MitchellJ’aimerais beaucoup dire du bien du cinéma français, mais voilà : il y a bien peu de films sur lesquels pourrait se greffer mon sentiment d’admiration (pas seulement le plaisir, hein, ni la jouissance : l’admiration du style). La « troisième cinématographie mondiale », après Hollywood et Bollywood, est complètement à la ramasse, et je me félicite chaque jour de ne pas avoir la télévision, ce qui m’évite d’y voir des réalisateurs géniaux pleins d’ego et de pets contrariés étaler leur nombril orné de phrases creuses.
J’ai donc repris la liste de ce que j’ai vu au cinéma cette année, et dont j’ai souvent rendu compte ici-même. Pour tenter de comprendre pourquoi c’est à l’étranger que se concoctent les films que j’aime, pendant qu’en France s’élabore, avec une patience obstinée, tout ce que je n’aime pas. Aucun « french bashing » dans mon propos : je parlerais de littérature à peu près dans les mêmes termes, et j’adore la littérature française : mais j’échangerais volontiers un baril d’Edouard Louis contre une pincée de Proust ou de Flaubert. Et les quelques-uns qui subsistent (Echenoz, par exemple) sont autant d’oasis qui marquent le désert ambiant.

Pareil en cinéma. L’année a été plutôt fertile en très bons films, et même en grands films. Parasite, Palme d’or à Cannes, est une merveilleuse comédie noire, servie par une maestria technique ébouriffante — l’exemple-type aussi de ces films politiques auxquels la France, pays du bonheur, comme chacun sait, ne pense pas. Vice est un portrait au vitriol renforcé de Dick Cheney, biographie au scalpel d’un homme politique nocif : si nous sommes incapables d’en faire autant, c’est sans doute que nos hommes politiques sont tous exceptionnels, probes et compétents. Et non, je ne suis pas subventionné par le cinéma américain pour en dire du bien ! Rappelez-vous : El Reino, de Rodrigo Sorogoyen, dresse le portrait d’un homme politique espagnol corrompu jusqu’aux oreilles. Ce n’est pas en France que nous croiserions ses homologues. Quant à Sorry, we missed you, de Ken Loach, c’est un drame social de très haute tenue qui épingle cette société livrée à Amazon et Uber à la fois — deux travers dont l’Hexagone, c’est bien connu, a su se protéger.
Il faut aller au Québec pour trouver un film parlant français et inspiré politiquement. La Chute de l’empire américain raconte par le menu les moyens de blanchir de l’argent sale et de rouler sur l’or quand la veille encore on en était à livrer des paquets — une condition où Denys Arcand a superbement trouvé son inspiration, comme Ken Loach. Mais pas chez nous, où tout le monde a un boulot stable qui n’implique pas de pédaler comme un perdu pour trois clopinettes avec des pizzas ou des sushis sur le dos. Il est vrai que nous n’avons qu’à traverser la rue pour trouver un job à la hauteur de nos ambitions.
Ah, il y a de capitaux français dans Adults in the room. Mais le film de Costa-Gavras a été taxé de manichéisme par la presse française, la plus européaniste et la mieux informée au monde, qui a trouvé le moyen de prédire la chute de la maison Johnson en Angleterre, et qui tente encore de nous persuader que Alexander Boris de Pfeffel Johnson, passé par Eton et Oxford, capable de citer l’Iliade dans le texte, est un sous-Trump.

Politique aussi le splendide Joker. Ici, personne ne descend les escaliers de Montmartre en dansant sa folie. Nous, nous produisons les Misérables, une belle occasion pour le réalisateur, adoubé par Emmanuel Macron, d’exhaler sa haine à l’égard de Zineb El Razhoui, par ailleurs menacée de mort par tout ce que la religion de paix et d’amour compte de vrais croyants.
Ça n’a pas fait réagir grand-monde. Nous préférons nous en prendre à Roman Polanski — qui a produit avec J’accuse l’un des très rares films de l’année qui tienne un propos intelligent sur l’Histoire — et à Woody Allen, réalisateur du très touchant Jour de pluie à New York — l’un des deux films, avec le magnifique Motherless Brooklyn (Brooklyn Affairs, comme on dit en français), qui sache combiner des images bien cadrées, un vrai scénario et le jazz de Miles Davis, Chet Baker et Wynton Marsalis.
Nous, nous ne savons même plus filmer Paris.

Quant à la Mule de Clint Eastwood, c’est une belle approche des p’tits boulots auxquels sont contraints les retraités américains pour envoyer leurs petits-enfants à l’université — des circonstances auxquelles nous sommes étrangers, nous qui avons l’enseignement Supérieur le plus performant au monde, ce que signale, année après année, le classement de Shanghai. Nous qui n’avons aucun problème avec les retraites des seniors — ni avec leur emploi, de sorte que Laurent Pietraszewski, le dernier « Monsieur retraites » sorti de la gibecière Macron, suggère que ceux qui eurent un emploi pénible soient recyclés dans d’autres occupations afin d’atteindre les 64 ans du couperet dans le confort de Pôle Emploi. Et pourquoi pas en biscuits protéinés, comme dans Soleil vert ?

Peut-être avons-nous brillé dans le film de genre… Mais non, il n’y a pas de capitaux français dans First Man, le film avec lequel Damien Chazelle dissuade à tout jamais les enfants de se faire astronautes (mais nous avons notre propre idée de la pédagogie), ni dans Ad Astra, dernière mouture de l’Œdipe inter-sidéral, le film où Brad Pitt joue bien. Allons, dans le genre de la fiction militaire, nous avons fait le Chant du loup, qui est très fort, à une scène de cul près — mais où voir un film français où il n’y ait pas une étreinte superflue ? Pas chez Abdellatif Kechiche, dont Mektoub, my love : intermezzo est un long exercice de style sur le cunni, son histoire, sa pratique, et son illustration. Bah, pour ça, il y a xhamster.

Ou dans le film historique ? Mais Colette, jolie biographie d’une femme qui écrivait à l’époque où les romancières connaissaient le français, est américano-britannique (c’est même le seul film étranger que je suis allé voir en version française, tant cela me faisait drôle d’entendre Colette, l’un des plus beaux prosateurs du siècle, parler anglais).
Allons, ne boudons pas notre plaisir : Curiosa, au moins, évocation de la vie tumultueuse et érotique de Pierre Louÿs et de Marie de Heredia, est un film français. Descendu par la presse française, et qui ne méritait certainement pas cet assaut d’indignités. Reste Jeanne, un film confidentiel, le texte de la pièce de Claudel, justement couronné récemment par le prix Louis-Delluc.
Et j’avoue avoir pris du plaisir à regarder Edmond, qui filme intelligemment du théâtre. Mais bon, avec Cyrano, on me vendrait de la chair humaine en me faisant croire que c’est de l’agneau de prés-salés.

L’horreur même nous échappe — nous qui avons filmé les Yeux sans visage, le film qui fait encore tressaillir d’horreur les lycéennes. Ça est américain, tout comme Us, que je ne saurais trop recommander. Ou le Phare, démonstration lovecraftienne impeccable et implacable, exercice de style en noir et blanc et format quasi carré. Le film qui m’a fait redécouvrir Robert Pattinson, que Bel-Ami, il y a quelques années, m’avait dégoûté de revoir.
Mais sans doute, avec ou sans ma recommandation, avez-vous vu Midsommar, le plus grand film d’horreur de l’année, où Greta Thunberg et ses émules prennent le pouvoir dans une campagne suédoise idyllique ?

Quant aux thrillers… Au premier degré, nous avons eu la suite des aventures de John Wick. Il est toujours divertissant, quand on est hanté par le syndrome de Caligula, qui souhaitait que le peuple romain n’ait qu’une seule tête, afin de pouvoir la couper, d’assister au massacre en temps réduit d’un très grand nombre de ses contemporains. C’est ce qui, l’année précédente, m’avait fait aimer Atomic Blonde
Puis il y a eu, au plus brûlant de l’été, le dernier opus de Tarentino. Pour avoir dit tout le mal que je pensais de ce ratage intégral, je me suis pris ici-même une volée de bois vert : Tarentino est l’une de ces vaches sacrées qu’il est interdit de bousculer. Ce n’est pourtant pas de ma faute si ce garçon, depuis qu’Harvey Weinstein est sur la touche, ne produit que des sous-produits.
(Parce qu’il faut le dire : Miramax, la société des frères Weinstein, a financé en vingt ans une série impressionnante de très bons films. Le fait qu’Harvey soit — ou ne soit pas : attendons l’éventuel procès — d’une indélicatesse notoire n’enlève rien à son coup d’œil de producteur avisé).
Ici, en films d’action, rien. Mais c’est que nos producteurs, certainement, respectent les actrices…

Et le nombril alors, notre spécialité nationale ? Il se trouve que le plus beau film intimiste de l’année est espagnol — Almodovar s’est surpassé avec Douleur et gloire, épaulé par des acteurs de génie. Les nôtres sont tellement bons qu’ils se dispensent de jouer dans des productions de qualité.

Reste l’humour. Avez-vous vu l’hilarant Séduis-moi si tu peux ? Allons, ne soyons point médisant, la France a produit le Grand bain, qui est très drôle et très bien mené par Mathieu Amalric — mais Amalric est d’une classe à part. Et on pouvait sourire devant Alice et le maire, où Luchini, débarrassé de ses tics, offre une prestation exemplaire. Au passage, la Gauche en prend pour son grade. La raison sans doute pour laquelle une certaine presse l’a trouvé « ennuyeux ». 500 000 personnes se sont quand déplacées pour le voir — mais c’est loin, très loin des pellicules hexagonales de la franche rigolade, genre Ch’tis, qui font notre fierté.

Quant aux enfants… La Fameuse invasion des ours en Sicile, un petit bijou, est en partie français, quoique le réalisateur soit italien. Et Shaun le mouton, dont les aventures cosmiques ne me lassent pas (il y a dans la Ferme contre-attaque, un personnage merveilleux, une bureaucrate des étoiles inspirée par la Dana Scully des X-Files, qui dégage in fine une poésie magnifique de l’au-delà des étoiles et de l’enfance perpétuée), est déplorablement anglais.

Un bilan mitigé, comme on dit dans les conseils de classe pour ne pas avouer que c’est nul. Alors, risquons une hypothèse et une proposition.
Vers 1965, Malraux organisa un grand raôut où furent invité les principaux acteurs de la scène littéraire. Comme il se demandait comment aider la création, il s’entendit répondre : « Monsieur le ministre, si vous voulez vraiment aider les écrivains, mettez-les en prison. »
Le cinéma anglais, tombé dans le marasme au cours des années 1970, a relevé la tête lorsque Thatcher lui a coupé tout crédit. Quand on souffre, on réfléchit mieux — ce fut l’époque de Full Monty, des Virtuoses et de Billy Elliot. Le cinéma français, tout en ronds de jambe, auto-congratulations et renvois d’ascenseur, est gavé de subventions : coupons-les, et laissons la créativité réagir. Faisons souffrir scénaristes et réalisateurs. Et peut-être alors aurons-nous moins de films, et de meilleure qualité.

Jean-Paul Brighelli

704 commentaires

  1. Quand travaille t il donc, le Maestro magicien, pour consacrer autant d’heures à regarder ces écrans plats illuminant notre caverne si sombre …. ? Beau billet, en tout cas !

    • Il vous a dit qu’il avait la chance infinie d’être petit dormeur et de récupérer totalement en 4 à 5 heures de sommeil par jour. Ça laisse du temps libre, par rapport à ceux qui sont dormiasses. Nous ne naissons pas égaux, loin de là !

  2. Mon Dieu, quel beau cadeau de Noël, Sa Magistralitude ouvre les yeux, et découvre que là encore, l’intervention de l’état loin d’être une solution, est le réel problème : »Le cinéma français, tout en ronds de jambe, auto-congratulations et renvois d’ascenseur, est gavé de subventions : coupons-les, et laissons la créativité réagir.

    Brighelli commence à penser libéral ! encore quelques mois, et il jettera aux orties notre « modèle éducatif » … 😉

    • Vous allez un peu vite en besogne… »jeter aux orties »,hum,hum,qui s’y frotte s’y pique.

      Aujourd’hui,ici, il critique la réforme des retraites;la semaine passée,dans Valeurs actuelles,il en espérait grandement.

      Le caméléon prend la couleur de son support;il fait un excellent animal de compagnie;à la différence du chat,il ne vous met pas son trou de balle sous le nez.

  3. Je ne comprends plus du tout Brighelli ! Nous disposons à l’affiche du plus grand acteur au monde ! Emmanuel Macron – d’accord il ne tourne qu’un seul navet depuis 2017 mais enfin quel pitre ! Ce n’est pas sa faute si les scénaristes, les dialoguistes et les réalisateurs sont en dessous de tout !
    Pour le coup Macron ferait œuvre de salubrité publique en révisant les modalités du financement du cinéma – que de jolies économies à réaliser !

    • Il est le pur produit de l’ENA’Studio – qui a produit une série de clowns dantesques, les Hollande, Royal et tutti quanti !

  4. Superbe billet — cela devient une habitude — dont la lucide conclusion ne sera sans doute jamais réalité au pays de l’entre-soi des zélites zautoproclamées zincestueuses…

  5. Le système de propagande de l’Etat français était basé sur deux piliers:
    – L’éducation nationale
    – Le CRTS – cinéma radio télévision subventionnés

    Il est clair que le rendement de la propagande tend à baisser de plus en plus.

    • Prenez par exemple l’énarque Florian Philippot invité en continu par toutes les chaines de télévision française – pour faire contre-pied à Marine Le Pen – la greffe n’a pas pris dans les esprits comme on pouvait s’y attendre.

  6. « Le comité des sages » auprès du CSA pure émanation macroniste s’est juré d’avoir la peau du peuple !

    Citantion de Raphaël de Andréis « Écologie : la démocratie a échoué, l’heure de la dictature est venue. »

  7. Ari Behn qui avait écrit en 2011 « Talent du bonheur » vient de se suicider. Je le connaissais pour son livre « Les hommes passent à Tanger » voyage initiatique d’un jeune homme qui fréquente les homosexuels occidentaux de cette ville-port de passage.

      • Pas vraiment un inconnu de la presse people ! Il avait épousé une princesse norvégienne … vous devriez lire plus souvent Gala et Images du Monde !

        • Accessoirement toutes les dynasties scandinaves – danoises, norvégiennes et suédoises – descendent du maréchal Bernadotte français pur jus !

        • Ari Behn avait été traumatisé car un saltimbanque Hollywood lui avait mis la main sur les roupettes.
          Si un saltimbanque Hollywood dékhonne au point de mettre la main sur les roupettes de Savonarole, c’est le saltimbanque qui se retrouvera gravement traumatisé !

  8. The Great Peacock
    « Pets contrariés » justement parlons-en Brighlard, car il faudra bien un jour que nous y fassions face, eussiez-vous tété Brigitte que ça ne changeât rien. Vous-même, comment procédez-vous ? Êtes-vous spontanément en contradiction viscérale ou compulsive avec les flux et reflux naturels de votre génie ou vous imposez-vous aisément rigueur 23h sur 24 avec petite soupape de production nocturne d’une heure environ ? Out alors opérez-vous en sens inverse avec soupape de libération quasi permanente ? Comment cohabitez-vous avec les sourdes profondeurs de la pensée qui aux dernières nouvelles seraient en partie logées beaucoup plus bas qu’on ne pense, bien au-delà des allées du silence ? Laissez-vous libre cours aux vents de l’esprit ou au contraire interférez-vous en y plaçant des digues musclées ? Allez-y, débondez mon ami, rendez-nous compte des sortilèges intimes antérieurs et postérieurs à toute forme d’expression intelligente brute ou mesurée qui se respecte. Moi et mes volailles attendons une réponse franche et vigoureuse. Oh plumez-nous ! Oh sautez-nous ! Oh fricassez-nous, nous n’attendons que ça. Car sans Chef, point de bonne plumaison, et sans plumaison point de belle Toque. Foi d’animal.

  9. Je tiens à rappeler un événement marquant de 2019
    le décès de Jean-Pierre Mocky, le plus prolifique des réalisateurs français, en aout 2019.
    Également auteur de livres savoureux.

    On lui cherche un successeur.
    Adressez votre candidature à la rédaction de Causeur, qui transmettra.

  10. J’espère que les pays scandinaves seront retenus au bord du gouffre dans lequel est en train de tomber la France – peut être que les dynasties royales feront se souvenir aux Northmen leurs origines qui sait ! Ne désespérons pas ! Après tout la maison royale de Windsor a peut être contribué à ce que les Anglo-Saxons se souviennent de qui ils étaient auparavant !

    • il est vrai que les Scandinaves, question films, on n’en entend guère parler. L’ombre d’Ingmar Bergman les écraserait-elle ou est-ce aussi la mollesse social-démocrate qui entraverait la créativité, si on se fie à l’analyse impertinente mais probablement pertinente de Pheldge ?

      • ahhh, Bergman, et les articles dégoulinants de Télérama, que je lisais, perplexe … Heureusement pour moi, il y a eu Clint, Sly, Arnie et Chuck !

        • Que signifie ce V ? A moins que ce ne soit 5 ?
          En tout cas la mine patibulaire des flics nourrit d’un charisme de folie les enquêtes de ce département ! J’adore.

          • Je viens de (re)regarder en partie l’intégrale sur Canal et ils disent bien V. Mais que signifie ce V ? Si quelqu’un le sait…

        • Festen ou comment pourrir l’ambiance chez la famille  » tout va bien  » le jour d’une réunion de famille importante ?

  11. Le cinoche français actuel cultive trop le côté intello/introspectif/messager/politiquement correct/faux rebelle, d’où des films chiants qu’on oublie avant de les avoir vu.

    Le ciné, j’y vais plus. ya d’excellente séries exogènes sur nettefliqux et chez moi je gère à l’aise.

      • non, ça, c’est la conséquence : être subventionné, permet de produire une daube infâme, sans avoir à se soucier de ce que souhaite le public: « je suis un Artiste, un Cinéaste, je crée, moi monsieur ! »
        La daube infâme n’attire personne, ne rapporte rien, donc, pour nos brillants politiques, ça ne veut surtout pas dire, que ce système ne marche pas, mais qu’il faut encore plus de subventions …

        C’est un mode de pensée inhérent aux socialistes : une mauvaise solution qui ne marche pas ? ah, bin, on ne l’a pas assez imposée ! ce que résume très bien l’image suivante :
        https://images.app.goo.gl/B8BdgWfTB85CXm5k6

        • Louis XIV et bien d’autres monarques versaient des pensions aux auteurs.

          De quoi peut vivre un écrivain ?

          • Dealer chez Drouant ? Prostitué(e) au Lutetia ? Blablateur à la TV ? Enfileur de concombre chez Edouard Louis ?…

          • un indice, le produit de la vente de ses oeuvres ? et par pitié, n’allez pas mélanger la cour de Louis « croix baton vé » avec la vie actuelle, vous êtes plus fin que ça, M. Lormier !

            Après il y a le mécénat, qui implique des mécènes privés, qui financent qui bon leur semble sur leurs deniers propres. Ce qui n’a rien à voir avec le subventionnement étatique qui tient de la connivence, de l’opportunisme et du clientélisme, et est financé sur les « deniers des autres », contributeurs malgré eux !

  12. Quand le ciné français produisait « coup de tête » avé le très regretté Patrick Dewaere, on pouvait causer.
    Just an exemple.
    FTS

  13. « …des réalisateurs géniaux pleins d’ego et de pets contrariés… »

    i) un pet contrarié,est-ce,un contrpet ?
    ii) L’épithète « contrariés » qualifie-t-elle seulement « pets » ou bien « pets » et « ego » ?

    NDL beaucoup d’antphrases dans cette chronique-ta mère;Lormier va s’y intéresser;le texte tout entier mérite de figurer en illustration d’un manuel de rhétorique.

  14. Wallander interprété par Keneth Branagh, c’est la haute altitude du flip, le niveau olympique de la déprime

  15. « El Reino, de Rodrigo Sorogoyen, dresse le portrait d’un homme politique espagnol corrompu jusqu’aux oreilles.  »

    Driout aurait-il le Dauzat sur un rayon ?

    Rodrigo Sorogoyen, je parierais que c’est un nom basque…(goyen:d’en haut) .

    Je ne dis pas que Sorogoyen EST basque,je dis qu’il est presque certainement d’origine basque.

    Ce détail a-t-il un rapport avec le film ?

  16. Bonne recension des films 2019, critiqués ou pas sur BdÂ. Même s’il ne m’apprend pas grand chose, ce que j’aime bien chez JPB, c’est qu’il considère la critique ciné comme un outil de pensée. C’est toujours compliqué de parler d’une oeuvre, de penser une oeuvre, et quand notre hôte se donne ce dispositif critique sous forme de chronique écrite sur son blogounet, alors ça lui permet d’une part de produire par le texte un discours sur l’oeuvre qui soit à peu près à la hauteur de l’oeuvre, et d’autre part de se maintenir à un bon niveau de rigueur de pensée sur le film par la décantation des idées.
    Parce que l’expérience sensorielle qu’on vit devant un film est extraordinaire, qu’on aime ou pas le film qu’on regarde d’ailleurs: on entend des sons, on voit tout un tas d’images qui bougent, il y a tout un tas de choses dans le plan, une succession de plans; regarder un film c’est être emporté dans un tourbillon sensoriel et pour l’organiser en pensée, il faut décanter le film en utilisant le texte comme dispositif de décantation, il n’y en a pas d’autre.
    Pour ce qui est de s’inquiéter de faire entrer de la pensée dans le cinéma –et c’est là que je serais plus « rohmerien » que JPB dans mes goûts ciné, influence de Bingbing oblige– j’affirme que la pensée peut être un matériau de cinéma. Voir des gens qui pensent ou qui articulent des pensées, les entendre penser aussi, est pour moi un matériau tout aussi concret que de regarder des bagnoles se poursuivre l’une l’autre, regarder une baston, regarder deux personnes en train de baiser. Le cinéma peut nous aider à rendre compte que la pensée c’est de la matière, et donc que c’est beau, que c’est animé, que c’est vital. Mais pour ça il doit être servi par de bons réalisateurs, eux-mêmes servis par de bons acteurs, comme par exemple Anaïs Demoustiers dans le film (que je n’ai pas vu) « Alice et le maire » chroniqué par JPB. Je l’avais vue dans « Caprice » d’Emmanuel Mouret; on sentait dans cette comédie (bien qu’elle n’ait jamais à ma connaissance rencontré le gros Weinstein) qu’elle aimait se mettre en bouche de la matière verbale, livresque, littéraire, conceptuelle). Quant à Luchini (l’acteur, pas la personne), j’ai entendu ou lu des centaines de fois ce qu’en dit JPB, à savoir qu’il n’est jamais aussi bon dans un film que lorsqu’il n’en fait pas des caisses. Je pense exactement le contraire, car le grand talent de Luchini c’est le verbe, donc moi j’attends qu’il soit bavard, volubile, qu’il nous montre qu’il aime déplier oralement de la pensée.
    Pour le « Joker » (pompé sur « la valse des pantins » de Scorsese) qui soi-disant fait allusion à l’actualité économique et sociale, il semblerait –mais je ne peux ni ne veux juger mes infortunés semblables– qu’il a opéré chez les spectateurs une forme classique de catharsis. Libre à ces malheureux de se catharsiser autant qu’ils le veulent (encatharsissez-vous les uns les autres, mes frères !).
    Perso, je ne me suis jamais dit: « Putain, « Joker » c’est un Ken Loach ». Passons !

    Bon, on est arrivé à L.A. pour visiter entre autre un studio de cinéma, sans doute Warner Bros. Incroyable expérience de nuit (visuellement très différente de jour) de Noël à Vegas où pour Maman, installée ici:

    https://nsm09.casimages.com/img/2019/12/26//19122606051523694416572829.jpg

    dans le salon du Trump Hotel, j’étais à ses yeux de mère émerveillés par le miracle de Noël pour son énigmatique et divin enfant, la seule incarnation du Christ dans cette ville du péché qu’il faut quand même voir une fois dans sa vie pour y croire.
    Bises à tous !

    • Perso, je ne me suis jamais dit: « Putain, « Joker » c’est un Ken Loach ». Passons !

      Tu n’as pas vu le film. Enfin, si, tu l’as vu sans le voir ; tu as une aversion complète pour Phoenix, le texte en dispositif ne t’était d’aucune utilité dans ce tourbillon de folie, tu es réfractaire à l’image. J’aime pourtant ton idée de cet impossible parallèle à établir avec Ken Loach, je garde un souvenir très ému de son Kes. Je l’avais vu enfant, très jeune, au cine-club d’Antenne 2, que de larmes versées. Film qui m’avait autant marqué et dans un autre registre par sa fin plus apaisante que « Les 5 000 doigts du docteur T » diffusé aussi tardivement, au cinéma de minuit sur la 3. Et puis bien plus tard, sur grand écran, je découvrais Bandit Bandit, comme clôture de la solitude d’enfant et démonstration parfaite des richesse de ses royaumes imaginaires. bref, tu t’es adapté au mood du jour selon JPB, un rapide inventaire en deux feuillets sans que tu ne fasses mention de notre projection dans l’oeuvre. La base de l’ébauche du commencement qui commence immanquablement lorsque tu es enfant.

      Bises

      PS : Cette dame, qui n’est évidemment pas ta maman, dans ce salon qui n’est pas celui du Trump hôtel à Vegas (as-tu déjà vu, visité, un palace décoré à la sauce Trump ? Tu ressors aveugle) sait-elle qu’elle tient son quart d’heure warolien sur le blog le plus, le plus… de l’univers, enfin, sait-elle qu’elle n’est plus seule ?

  17. C’est assez curieux cette histoire de rhétorique qui arrive comme un cheveu sur la soupe ! Barbara Cassin qui se dit rhétoricienne a fait un discours emberlificoté au possible pour remercier l’Académie française de l’avoir accueillie en son sein ! Elle devait aussi remercier Philippe Beaussant de lui avoir cédé la place … et elle s’en est tirée avec un gros pet musical !
    Je ne comprends pas cette manie du koma-pet !

  18. Le 26 décembre 2019 à 19 h 07 min,Pheldge a dit :

    « …par pitié, n’allez pas mélanger la cour de Louis « croix baton vé » avec la vie actuelle, vous êtes plus fin que ça, M. Lormier !  »

    Merci pour le compliment,d’autant plus apprécié que vous êtes plutôt économe en la matière.

    Cela dit, je ne mélange rien du tout;je pose un problème:comment, aux diverses époques de l’histoire, s’est réglé (ou pas,ou mal réglé) ce problème essentiel: de quoi vivent les auteurs,artistes, créateurs ?

    Vous êtes bien trop instruit et cultivé, Pheldge,pour ne pas savoir que beaucoup d’oeuvres ne se vendaient pas,ou se vendaient pas cher du vivant de leurs créateurs.

    • « Merci pour le compliment,d’autant plus apprécié que vous êtes plutôt économe en la matière. » oui, bien sûr !
      J’ai envoyé un colis cadeau , qui est bien arrivé, le jour dit. le prestataire m’a envoyé une demande d’évaluation, j’ai donné 4/5 et non 5, et comme il fallait justifier ma note, j’ai mis : « vous avez fait ce pour quoi je vous avais payé, c’est la moindre des choses, vous pardonnerez donc mon absence d’enthousiasme et de compliments, pour avoir fait le minimum attendu. Devoir se réjouir qu’un prestataire fasse ce qu’on lui a commandé, en dit long sur la décrépitude de ce pays ! »

  19. Ce qui nous gêne tous avec Brighelli c’est sa gentillesse – il pourrait être politiquement imbuvable eh bien non ! il persiste à espérer une amélioration du système ! Il va au cinéma comme on espère la rédemption du pêcheur … sainte persévérance du lettré !

    • « Ce qui nous gêne tous avec Brighelli c’est sa gentillesse » oui, et c’est cette gentillesse, et toutes les gentillessetés* qu’il écrivait sur elle, qui manquent tant à Najat, au point qu’elle envisage son retour en politique ! 😉

      *la gentillesseté étant le contraire de la méchancetise, comme chacun sait

  20. Il est prouvé maintenant que la paix menace davantage les nations que la guerre – un bon film doit être comme une bonne guerre : rapide et fraîche, le bon goût cinématographique c’est de se lever à l’aurore pour pourfendre son ennemi et tomber au crépuscule dans les bras de son amante.

  21. JPB apporte de l’eau dans mon moulin, puisque j’ai déjà constaté la même chose avant lui dans un billet :
    En effet, si Casanova était devenu un médecin, il aurait coulé des jours heureux et paisibles dans la très policière république de Venise, et ne serait jamais devenu ce grand écrivain, pour la bonne et simple raison que les gens heureux n’ont pas d’histoire intéressante à raconter.

    https://rabouilleur.wordpress.com/2019/04/16/optimisation-sous-contrainte/

  22. Tout ça ne vaut pas un bon vieux Max Pécas comme le fameux « On se calme et on boit frais à St Tropez »…

    • Vous avez une lourde hérédité !
      On s’en doutait bien !
      Votre pseudo est ridicule.
      Vous n’arriverez à sauver personne, car vous manquez complétement de rationalité !

    • Je vous suggère un autre pseudo, celui de Cassandre.
      Vous direz des vérités et personne ne vous croira.
      Car, telle est la volonté d’Apollon !
      Cela correspond parfaitement à vos écrits.

      • Le propre du paranoïaque est de susciter les prétendues vérités, toujours persécutantes, que son cerveau malade énonce. C’est ce que m’avait expliqué le psychiatre quand je lui avais demandé pourquoi arrivait toujours ce que j’avais prévu. Aucune prescience là-dedans ! Aucune fatalité ! Juste une question d’attitude qui provoque les catastrophes redoutées.
        Surtout, Savonarole, ne révélez jamais quelque indice qui pourrait me permettre de vous identifier. Je suis réputée dangereuse, voire criminelle. J’ai terrorisé déjà bien des victimes qui n’ont dû leur salut qu’à leur grand courage dans le combat.

        • Vous ne me faites pas peur, Madame Castafiole !

          Voici mon véritable nom et mon adresse :
          Capitaine Haddock
          Chateau de Moulinsart
          B-666 Moulinsart

  23. Palimpseste:

    Aujourd’hui,quelles traces avons-nous des états successifs d’un écrit ?

    A Bab-el-Oueb,on écrit sur du sable.

    Lormier a rétronavigué jusqu’à la page du 13 décembre 2019-chronique consacrée au « Marseille année zéro : la Chute du monstre, de Philippe Pujol ».

    Il voulait relire ce qui y était dit à propos de « bashing ».

    « …la découverte du mot « bashing » par l’équipe municipale — comprenez le « Bashing from Paris* » dont Marseille est la cible et la victime.  »

    Surprise,Gloire à Dieu dans les cieux:le Maître a corrigé ce qu’il avait écrit initialement (de cela,nulle trace-pas plus que de ptyx sur la crédence- nulle trace,si ce n’est dans quelques mémoires fidèles).

    Et aujourd’hui,dans Bonnet d’âne,l’expression est employée à Bonnet-sciant:le « French bashing »,c’est bien le dénigrement appliqué à ce qui est français.

    « Aucun « french bashing** » dans mon propos : je parlerais de littérature à peu près dans les mêmes termes… »

    NDL
    * « Bashing from Paris »*: expression assez gauche; il faut absolument qu’ apparaisse le nom de la ville dénigrée (peut-être « Marseilles bashing-which Parisians sometimes/often/have been known to indulge in »)

    ** Si c’est de l’anglais,il faut une majuscule à « French. »

  24. Thésée prend la route vers Athènes.
    En chemin, il tue Périphétès, Procuste, Sciron, Cercyon, et Sinis, brigands (Brighelli ou petits brigands ?) qui s’en prennent aux voyageurs.

  25. GRÈVES DANS LES MONOPOLES
    J’en ai rêvé, Juppé l’a loupé, Macron le fait !
    Quoi ?
    M’offrir mon plus beau cadeau de Noël : déguster, de loin, la farce imbécile d’un pays paralysé pendant des semaines par son inaptitude à bâtir des relations évolutives … Quel beau poulailler ! Quelles belles poules molles ! Quels beaux coqs chaponisés ! Vive la France !
    Descente vertigineuse au cœur des ténèbres.

    • un monopole n’est que le résultat de l’intervention de l’état … trop souvent on assimile une position dominante à un monopole. Une position dominante, c’est temporaire, toujours !

      • Vous êtes l’exemple type de la pourriture intellectuelle !
        Un vrai déchet libertarien !
        Ni le monopole de Google ou de Microsoft ne sont le résultat d’intervention étatique.

        • Merci de rester courtois et poli ! et apprenez à lire :  » trop souvent on assimile une position dominante à un monopole. Une position dominante, c’est temporaire, toujours ! » un monopole est imposé, et seul l’état à la force de le faire, par la loi !
          Google un monopole ? non, il existe des alternatives, vous avez la liberté de choisir ! par exemple Qwant , financé par nos impôts via la CDC …
          Microsoft, leader sur les PC s’est fait dégommer sur les smartphones et les tablettes … Ce sont les consommateurs qui choisissent !

          • Les consommateurs ont le choix entre Pepsi-Cola et Coca-Cola.
            S’ils veulent du jus de pomme, meilleur pour leur santé, les gens comme vous diront que ce n’est pas possible.
            Vous êtes une crapule !

          • vous avez du Pepsi, du Coca, du Breizh, et même du Mecqa Cola, cela empêche-t-il de trouve du jus de pomme ? non ! il en existe de nombreuses marques, parce qu’il y a un marché et une demande !

            Désolé, mais vous avez beaucoup de fantasmes …

          • les consommateurs ont également le choix de ne pas consommer ! il existe de nombreuses alternatives à Google, laquelle utilisez-vous ? Et attendez un peu que les chinois s’en mêlent …

          • un « succès collectiviste », c’est parti pour être l’oxymore de ce début d’année !

  26. APPROVISIONNEMENT
    Question : aurons nous assez de Bonnets d’Âne, compte tenu de la demande énorme, en cours ?

  27. A lire, « Très cher cinéma français » de Neuhoff….Je ne sais pas s’il a été déjà cité

  28. Y a pas que le cinéma dans la vie y a aussi le théâtre ! Enfin un rabat-joie de moins cf « Boulevard Voiltaire » :

    « Mais austère comme un prophète de l’Ancien Testament ou un Agrippa d’Aubigné, Claude Régy l’était aussi sur le théâtre subventionné d’aujourd’hui. En 2001, dans un entretien à Libération, il ne mâchait pas ses mots :
    “ Le « subventionnement » des établissements de la décentralisation théâtrale a créé un monde de fonctionnaires qui dirigent ces maisons comme des sous-ministères. […] l’histoire de la décentralisation dramatique et celle du communisme se ressemblent. Des amateurs peuvent enlever leur culotte et faire les cons, c’est du théâtre, on peut écrire en imitant un peu les conversations que l’on entend dans les bistrots, c’est du théâtre, mais ce n’est que du théâtre. Pensez à ce que l’on voit dans les rues d’Avignon pendant les tristes semaines où se manifeste cette monstruosité qu’est le Festival et qui ressemble plus à une foire exposition qu’à quelque chose qui aurait encore quelque lien avec l’art. D’ailleurs, il faudrait supprimer le Festival d’Avignon pendant plusieurs années, qu’on oublie cette infection pour avoir idée de reconstruire autre chose. Et pareil pour l’ensemble des maisons de la culture. La situation est alarmante, mais c’est celle de toute notre société, on a le théâtre que l’on mérite.”

  29. Il y a des gens dont le seul talent est d’embrouiller les autres – ce qui ne les empêche pas de faire de très belles carrières officielles comme cette Barbara Cassin académicienne.

    • C’est quand même quelqu’une qui lit ceci – après l’avoir écrit je suppose car ce ne doit pas être Brighelli son nègre – elle en connaît beaucoup d’autres ayant été à la commission « Réconciliation et vérité » d’Afrique du Sud.

      « Très heureuse, aussi, d’avoir à prononcer un éloge. »

  30. Moi ce que je veux c’est que le poids des choses s’incarne dans les mots. Quant aux bulles verbales prenons soin qu’elles n’enflent pas trop car sinon elles pourraient bien nous éclater à la figure !

    • Le principe masculin c’est de tracer des limites – limite à chaque mot pour désigner chaque chose.
      Au-delà règne le confus qui débouche sur le chaos.

  31. notule :subjonctif

    « …Roman Polanski — qui a produit avec J’accuse l’un des très rares films de l’année qui tienne un propos intelligent sur l’Histoire — et à Woody Allen, réalisateur du très touchant Jour de pluie à New York — l’un des deux films, avec le magnifique Motherless Brooklyn … qui sache combiner des images bien cadrées un vrai scénario et le jazz… »

    On verrait mal un indicatif ici : « l’un des très rares films de l’année qui tient un propos intelligent sur l’Histoire… »

    Il ne s’agit pas de répertorier froidement,platement -ce qui supposerait que le degré d’intelligenced’un « propos sur l’Histoire » ne se discute pas.

    Il faudrait à tout le moins remodeler la phrase pour rendre l’indicatif acceptable :,et je sais pas si on peut éviter la mocheté : « bien peu de films cette année tiennent un propos intelligent sur l’Histoire ; « J’accuse » en est un rare exemple. »

    Peut-être l’indicatif serait-il plus acceptable dans l’exemple suivant :

    « l’un des deux films, avec le magnifique Motherless Brooklyn (Brooklyn Affairs, comme on dit en français), qui savent/ont su combiner des images bien cadrées , un vrai scénario et le jazz… »

    Cela tient sans doute au fait que l’échantillon est restreint (deux) et non susceptible d’appréciation (à la différence de « rares »).

    Je mets « savoir » au pluriel,puisque ce sont ces deux films qui ont le mérite de combiner etc.

  32. Le 20 décembre 2019 à 21 h 26 min,Dugong a dit :

    « Y’a que GKDL qui se croit obligé d’inonder BdA de ses éléments de langage de bonimenterie alakh. »

    Dans cette phrase,le subjonctif est possible (sinon souhaitable)-avec cette nuance:il est de telle nature que;y a vraiment que lui pour…Y en a qu’un pour se croire obligé.

    NB Il y a ellipse ;ce qui est sous-entendu :Y’a que GKDL* qui se croie obligé d’écrire même quand il n’est pas inspiré et alors il inonde…(si on manquait le sous-entendu,on pourrait croire que les autres pourraient eux aussi bonimenter à la manière de GKDL.

    Autre exemple:

    Quel malheur:j’ai cinq filles et il n’y en a qu’une qui sache se tenir à table.

    *caveat :je répète(bien obligé) le sigle « GKDL » ;cela n’implique pas que j’approuve la désignation.(autrement dit,je détache le signifiant du signifié)

    • A cause du prochain changement de municipalité, le projet de musée Dugonggenheim, rue des repenties, subit un nouveau retard.

      Toutes mes excuses.

    • Rue des écoles ? En somme c’est le lieu de délassement des professeurs au Collège de France … mais attention ! les professeuses n’y sont pas les bienvenues !

      • Pas très loin de chez JP Brighelli étudiant.
        Mais je crois qu’à l’époque le théâtre avait déménagé.

        • Il existait encore dans les années 80, quand, étudiants, on baguenaudait au Quartier Latin mais on n est jamais rentrés . Et pourtant la pub était alléchante  » Nus dans un filet au dessus de vos têtes « , tout un programme :-p . Rien que le nom nous faisait marrer …

  33. Michel Maffesoli, sociologue de son état, nous annonce dans « Madame Figaro » le retour du sacré dans la vie quotidienne après le rouleau-compresseur cartésien !

      • Si le côté mécaniquement imbécile de la prière renouvelée cinq fois par jour ne vous frappe pas c’est que vous êtes légèrement handicapé.

  34. L’intériorité est une chose – la matérialité en est une autre.

    La rencontre entre le vide intérieur et un langage peut produire tous les monstres de la pensée.

  35. Quand le charme envahit tout peut-il encore rester des armes à la pensée ? La rigueur est un contre-charme qui dissipe le voile des illusions. C’est l’épée qui permet d’avancer.

  36. Il y a ceux qui croient que la rationalité peut gérer l’irrationalité – mais celle-ci est une ronce qui s’insinue partout et désagrège la pensée.

    Gréer votre navire à votre guise et naviguer dans les hauts fonds si vous en avez le courage ! Mais n’entraînez pas à votre suite les autres dans ce naufrage qui vous est promis.

      • Je ne suis pas Elizabeth Teissier – je répète – Je ne suis pas Elizabeth Teissier !

        Pour votre gouverne elle fut la petite chouchoute de Maffesoli.

  37. Je précise : je n’ai aucun charme ! Je ne fus ni mannequin, ni vedette, ni astrologue, ni diseur de bonne aventure, jamais dans aucune circonstance ! Je ne chabadadise jamais … ni sur « Bonnet d’âne », ni sur « Poisson pané » le fameux blog de la cuisine express !

  38. Dans l’état-croupion de France à quel jeu peut-on jouer sans avoir l’air d’un has been ? Débile ou sénile, il faut choisir !

  39. J’ai toujours trouvé curieux ce besoin de lister en fin d’année les bonnes et les mauvaises choses. Besoin de mettre de l’ordre ? Tradition journalistique pour faire du papier ? Se rassurer en se disant qu’on tient son rôle dans le theatrum mundi si on fait la liste de ce qu’on a vu, lu, dit ?

    • Oui c’est curieux cette tradition de se regarder l’anus le 31 décembre – comme si les autres jours ne comptaient pas.

    • La majorité des entreprises clôturent leur exercice comptable au 31 décembre.
      Histoire de savoir si l’exercice a été bénéficiaire ou déficitaire.
      Rien de bien original ou de bien mystérieux, madame !

  40. Zazie ne peut plus prendre le métro – qu’est-ce que vous me chanter avec vos missiles hypersoniques !

      • J’ai trouvé un extrait sur Youtube, un équivalent à Boris : Trump interprétant un Chant, de niveau homérique, écrit par un Prix Nobel de Littérature, le petit Bob Dylan….ce monde est fou !

  41. Pheldge, votre attaque en règle contre Bergman me chagrine. Ce n’est pas parce qu’on a de bonnes critiques dans Télérama qu’on est obligatoirement à jeter.
    J’aurais cité le trio infernal Resnais/Azema/Arditi, j’aurais ri de votre mépris peu ou prou justifié. Quand j’étais étudiante, on allait se goinfrer avec les potes les films de Resnais. On passait tout le film à se demander ce qu’on allait bien pouvoir dire de percutant à la sortie pour esbroufer les autres. En fait, ce n’était pas compliqué de trouver les mots pour jouer les intellos vu que tous les autres avaient fait pareil et s’étaient aussi creusé les méninges pour prononcer la phrase qui tue; En plus, on avait tous l’air à l’ouest en sortant tellement on avait passé une heure trente et même plus à bloquer sa mâchoire pour ne pas bailler ostensiblement. Du coup, ça pouvait faire croire que Resnais nous avait hypnotisés. La consolation, c’était d’aller manger une glace au Tonneau qui faisait l’angle de la place Bellecour et de la Rue de la Ré. Puis le Tonneau a fermé, remplacé par un Mac Do, et on a abandonné d’aller voir Resnais …
    Mais Bergman, non, quand même ! C’est vraiment du ciné, sans jouer les intellos de gauche et sans être un cinéphile averti.
    Voudrez-vous bien défendre Bergman, Brighelli, ou jetterez-vous le bébé avec l’eau du bain ?

    • NB Azema me sort par les trous de nez. Quant à Arditi, les tics de Lucchini ne sont rien à côté de ses stéréotypes.

    • Sainte Thérèse a raison de souligner qu’il y a, le plus souvent, du Bergman bon et du Resnais mauvais…

    • J’avais bien aimé « smocking » & « no smocking » de Resnais avec Arditi et Azéma. Pour Bergman, c’est surtout les pâmoisons unanimes des chroniqueurs de Télérama qui m’agaçaient …
      Ah, et Casavettes … « une femme sous influence », oh mon Dieu, quel supplice ! C’est toute une époque du cinéma qui devait absolument éduquer les foules, militer, dénoncer. Du cinéma « prise de tête » avec migraine garantie. Oublié, le plaisir de voir une belle histoire, de se distraire, ou rire.

  42. Comment ce blog a-t-il pu dériver au point d’en arriver à des dialogues x entre Jésus et Sainte-Thérèse ? Vous laissez la bourgeoisie française en plan pendant quelques années et vous retrouvez des fornicateurs zélés !

  43. Le souci de Pheldge, ce sont les a priori, comme tout bon doctrinaire. On dirait un cégétiste obtus.

    • Je vous livre gratuitement une vérité entendue dans ma dure vie de labeur salarié :
      A la CGT, ils ne sont pas tous khons.
      Mais tous les khons sont à la CGT.
      Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

    • Petite devinette pour une véto de la Drôme :
      Quelle est la différence entre un grand nain et un petit géant ?

      • à ce stade de dogmatisme stupide, genre dire que Bergman est nul car il avait de bonnes critiques dans Télérama, ça devient une doctrine, Pheldge !

        • juste un solide parti pris 😉 il y a également des restaurants très cotés, très en vogue, dont la simple lecture des critiques élogieuses puis du menu, ne me donne pas envie.

          Je ne juge ni ne condamne ceux qui aiment Bergman, c’est pas mon truc, point.

  44. Il y a les fous et puis il y a moi – pourquoi faut-il que les fous se liguent contre moi ? Pourquoi faut-il que les fous se fassent un tel cinéma ? Qu’ils jugent l’histoire des hommes, soit, qu’ils jugent la science et la littérature, soit, mais qu’ils me jugent moi !

  45. La cohérence historique universelle n’est pas pour demain !

    Poutine encense Staline et dénonce un imaginaire pacte entre la Pologne et l’Allemagne nazie.
    La Chine rouge adore Mao le sanglant.
    Macron déteste l’Etat français républicain colonialiste.

    La dictature des idées fausses est-elle en marche ? Ca se pourrait …

    • Vous n’êtes qu’un pauvre minable, vous ne savez qu’insulter gratuitement, lancer des affirmations et des jugements péremptoires d’une grande bassesse.

  46. Le pays se morfond ; est-ce le bon moment de lui proposer un incinérateur géant qui pourrait lui donner de mauvaises idées ? On cherche toujours le cadavre de Jimmy Hoffa … d’ailleurs un film vient de sortir « The Irishman » qui parle de ce célèbre camionneur idéaliste.

    • Jimmy est au fond de l’Hudson, les deux pieds dans un blog en béton d’une tonne : il n’aura pas profité de sa retraite à points !

  47. Jimmy est au fond de l’Hudson, les deux pieds dans un blog en béton d’une tonne : il n’aura pas profité de sa retraite à points !

  48. Bergman et son psychiatre :
    A la demande de sa x-ième épouse Ingmar Bergman va consulter un psychiatre.
    Le psychiatre lui explique à la fin de la consultation :
    Vous souffrez de belles névroses.
    Mais, ces névroses constituent votre fonds de commerce, qui vous permet de nourrir toute la clique de vos satellites.
    DONC,
    Il n’apparait pas opportun de traiter vos névroses.
    Que Dieu vous garde !

    • Quiconque verrait une corrélation entre ce réalisateur Nordique et un prof Sudiste aurait l’esprit vraiment mal tourné.
      Ah ah ah !

  49. Ce n’est qu’un effet d’annonce supplémentaire. Primo : on entend les mouches voler sur bdâ. Deuzio : on s’est déjà fait avoir, nous étions super sages et nous attendons encore son cours sur l’instabilité des températures…

  50. La quintessence et le sixième sens :
    Empédocle avait bâti une théorie erronée de la matière basée sur quatre éléments :
    l’air, le feu, l’eau, et la terre.
    Aristote est ensuite venu rajouter son grain de sel avec un cinquième élément :
    la quintessence.
    Ce ne sont que foutaises.

    Les naturalistes ont identifié cinq sens :
    le toucher
    l’odorat
    la vue
    l’ouïe
    le gout

    La sagesse populaire a ajouté le sixième sens, autrement nommé intuition.
    Par exemple :
    Si G.M., un vieux dégoutant, vous propose des bonbons, le sixième sens, nourri par les conseils de vos parents, vous dira de déguerpir en vitesse !

    • Addition scientifique :
      Votre vitesse d’évasion ne pourra jamais dépasser la vitesse de la lumière qui vaut :
      299 792 458 m/s

  51. Il y avait le vide quantique qui n’est pas vide et maintenant il y a la téléportation quantique entre deux puces qui n’est pas une téléportation.

    Ah ! que ce monde est cruel … et comme ma tête est vide après tout !

  52. Tout homme de grande valeur spirituelle méprisera les grands-mères.
    Mais, parfois, très rarement, les matriarches peuvent donner de bons conseils !

  53. Donald Trump est tout sauf stupide.
    La preuve concrète et instructive.
    Donald Trump réunit ses collaborateurs, parmi lesquels il suspecte un traitre.
    Dans cette réunion, il balance une énormité :
    Pourquoi ne pas lancer une bombe atomique sur le cyclone qui se dirige vers notre beau et grand pays d’Amérique du Nord ?
    Le traitre relaye l’énormité à un journaliste et se fait démasquer.
    Tel est pris qui croyait prendre !
    Uhuhuhu !

  54. Viens de voir « Une vie cachée ». Si quelqu’un d’autre l’a vu, ce serait une bonne occasion en cette période de Noël de parler ici un peu du Christ dont il est toujours bon de rappeler qu’il nous aimait.
    Pour vos étrennes, faudra que je parle aussi de « Brooklyn affairs », ce qui doublera ma chargera de travail…Bah, c’est pas le travail qui nous fait peur dans la famille.
    En attendant voici mon cadeau de Noël, mes chéris; un joli Pretenders, même qu’à un moment on voit un blaireau:
    https://www.youtube.com/watch?v=AEyGZlBdkaA

  55. Je vais offrir un corset de contention pour le Nouvel an de notre président – on y lit des versets du Coran du plus bel effet.

  56. J’avais pensé aussi à un bonnet sur lequel on lisait « Transcash » mais j’ai crains un effet douteux – c’était redondant.

  57. Les guerres indiennes recommencent ! Dans un fort hassidique au nord de New York une bande d’indiens formée d’un homme seul armé d’une machette a fait irruption au milieu de la fête d’hanouka blessant cinq convives ! On demande un Daniel Boone-Brighelli armé de son long coutelas corse pour répondre à cette incursion de sauvages …

  58. Grande nouvelle !

    Il fait froid – l’hiver est arrivé – il ne fait pas grève.

    Malgré les prédictions de Sainte-Greta-du-Nord, le général Hiver reste maître du terrain !

  59. Bonne nouvelle ! Le Journal du dimanche (JDD) a sélectionné une liste des 50 imbéciles préférés des Français : personne ici n’en fait partie même pas moi et pourtant j’ai été nominé maintes et maintes fois par Dugong cette année comme les autres années !

    • La vérité c’est que vous n’êtes guère présentable pour être (no)minable. Avec une belle plume dans le fondement, en revanche…

      • Andy Warhol a promis à chacun ses trente secondes de gloire mais il n’a jamais dit par quel moyen on parvient au nirvana de la célébrité !

        – Il y a les entretiens de Goethe avec Eckermann
        – Y-aura-t-il jamais les lazzis de Dugong pour everywhere ?

        Seul le grand et suprême ordinateur qubit nous donnera la réponse : y-avait-il une pensée chez Dugong ?

  60. Est-ce qu’il faut coucher pour être le roi des cons chez les Français ? Ca devient une angoisse métaphysique petit Jésus !

  61. Au sujet de la célébrité qui tracasse chacun dans un monde où l’intimité n’est pas la vertu cardinale, ma mère a réussi le prodige d’être une célébrité mondiale tout en restant anonyme !
    Personne ne savait qui elle était mais une photo prise d’elle en juin 1955 au Mans fit le tour de la planète-média !

    La question du nom et du non-nom fait de nous des prisonniers de la tour de verre !

  62. Est-ce qu’on peut parler de pédophilie ici histoire de faire revenir le client ? On a un « Gabriel Matzneff » à faire rôtir à feu doux … le CNL verse une allocation au susdit – ce qui fait frémir le ministre : et s’il se servait de cette allocation pour acheter des sucettes afin d’appâter les petites pisseuses dans son antre de vieux beau ?

    • J + 3 depuis le départ de JPB et toujours rien à signaler, peut-être une petite secousse le 28 décembre 2019 à 19 h 44 min, mais aucun départ de feu malgré une tentative à 14h20 – Pierre joue avec des allumettes – aucune plainte pour tapage, les flics ne sont toujours pas venus. Waoo. Mais que nous arrive-t-il ?

      • Il est possible que JPB joue au con en fin d’année pour essayer de rattraper son retard et le haut du classement du JDD !

        PS Pourquoi aucun journal ne propose un classement des 50 intelligents préférés des Français ? Parce qu’il a peur de faire honte à tout le monde ?

        • Jamais, je ne dis bien jamais JPB n’a eut à mettre un bordel que nous nous serions épargnés de mettre en son absence. Il se cassait ; nous sautions sur les lits direct.
          Qui gère le blog ? Quelqu’un sait ?
          Que celui qui sait parle, il ne lui sera fait aucun mal.

          • Probablement Dugong. C’est à lui qu’il laisse les clés quand il part.
            Pour son chat, je ne sais qui est de corvée de croquettes.

          • Oui, je suis assez d’accord. Je vois bien Dugong en gardien du temple.
            Bon, maintenant le deuxième dossier : Où et avec qui est parti JPB ?
            Parti faire l’Australie en kangourou avec « con vigoureux* » ?
            Dugong doit savoir.
            Que celui qui sait parle sans crainte, il ne lui sera fait aucun mal.

            * Expression qui m’a tuée, qui me renverrait aux organes génitaux d’une femelle éléphant…

    • Pardon. Pour faire joli sur la broche : Auriez-vous également un prof de français et de théâtre accessoirement qui aurait débauché un élève de 14 ans.

      • Moi, j’ai une copine de 15 ans, en 1975, qui a débauché un prof d’histoire du lycée, Flo. Ce fut ardu, il a résisté longtemps mais elle est arrivée à ses fins. Je ne sais ce qu’elle a ensuite fait de sa victime …

        • Je vous crois aisément, j’avais autour de moi des gamines, au même âge, qui n’avaient pas froid aux yeux quant à l’âge et la fonction du bonhomme : profs, voisins, père de copine… Rien ne leur faisait peur.

          • Cela confirme un fait passé sous silence depuis que le nouveau singe humain écrit : l’organe de la pensée n’est pas le cerveau mais le sexe !

    • Matzneff ? C’est Hiroshima mon amour. Onde de choc à longue portée. Ni survivant(e) ni rescapé(e) – ce qui est valable pour lui l’est pour toutes et tous –

    • Gide se frottait aux jeunes arabes mais ne violait pas leurs parties intimes ! Contrairement à Oscar Wilde qui aimait les joies anales.

  63. Je me tâte avant de commander un short de boxe thaï, non pour mettre des kicks au dindon, mais comme une tenue de nuit. Suffisamment long, brodé d’un dragon en milieu de fessier jusqu’au devant de la cuisse. Je suis à peu certaine que personne ne vous enquiquine au réveil.

  64. Devise de Matzneff : « Je déflore par les deux bouts – je n’épouse pas. »

    Comme quoi quand on aime le beau on ne va pas à la messe pour se marier juste pour les enfants de chœur.

  65. J’attends le point Magistral de vue sur Matzneff, qui s’est toujours vanté de ses attirances et nombreuses relations pédophiles, bénéficiant depuis toujours d’une mansuétude, qui ailleurs serait qualifiée de complicité.

    Et vu celui développé pour Polanski, je prépare ma bassine à vomi !

    • Que voulez-vous que l’on vous dise. Que les français ont voté pour un monsieur qui a épousé son prof de français, quel âge avait-il quand il en est tombé amoureux ? Etait-il majeur ? Voilà.
      Et personne, mon bon monsieur, n’a crié au scandale.

      • Aviez-vous sorti votre bassine, on ne vous a jamais entendu sur ce fait ? En fait, tous ceux qui se sont abstenus d’un commentaire sur cette drôle de situation le concernant ont le devoir moral de la fermer.

        • Brigitte et Manu sont mariés, et depuis longtemps, ce n’est pas exactement la même chose … En dessous de 15 ans il n’y a pas de « rapport consenti » selon la loi. c’est pourtant pas les jeunes éphèbes ni les minettes de plus ce âge qui manquent !
          Un homme responsable sait ça et respecte cet interdit. S’il ne le fait pas, si il recherche spécifiquement ce type de relation, avec des mineurs de tous âges, c’est de la péd0philie, et ce type est un pervers, un grand malade point !
          Utiliser son prestige, son argent, son expérience et un physique avantageux, pour séduire fillettes et garçonnets, jeunes proies tendres et faibles, est indigne et ignoble. S’en vanter à longueur de bouquin, l’est encore plus.

      • Pour Macron, je ne connaissais pas tous les détails … et si la relation a fait scandale (https://fr.wikipedia.org/wiki/Brigitte_Macron ) il n’y a pas eu de plainte ni de « victime », puisque la relation s’est terminée par un mariage !

        Quant à la complaisance envers Matzneff, elle concerne essentiellement les milieux littéraires, journaleux et intellos divers. je doute que l’électeur moyen -prenez mon cas- ait la même indulgence, envers un type qui a fait carrière en relatant ses aventures avec des mineurs …
        http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/pourquoi-l-ecrivain-gabriel-matzneff-accuse-de-pedophilie-n-a-t-il-jamais-ete-poursuivi-28-12-2019-8225514.php
        Ce type est quand même une « grande signature » du Point, le même hebdo qui a viré JPB, ça fait réfléchir !

    • Matzneff en déflorant ses petites les a plutôt gâtées et mises correctement sur orbite.

      Sinon, comme beaucoup d’autres, elles seraient probablement tombées sur du tout-venant, genre maladroits besogneux ou burnes-à-vide-minute.

      • Et même d’après lui, il leur a enlevé leur roture et leur a imprimé une noblesse dont elles ne se doutaient pas !

        En somme l’anoblissement par la dévirginisation.

        • Matzneff de la race des seigneurs russes saigneurs de pucelle ! Mazette … y a des coups de knouts qui se perdent !

          • Il était très beau, j’ai eu l’occasion de le croiser. Que Vanessa en ait été amoureuse n’est pas surprenant. Vous oubliez tous que c’était un homme d’une grande beauté, dans la pure acception de ce que ce mot « beauté » signifie, ultra cultivé et particulièrement bien élevé – une tuerie sur patte…
            Vous en faisiez votre goûter, Pierre, ne dites pas non !

      • devant un tel compliment, je suis sûr que vous confierez sans problème, « l’éducation » de vos petits enfants dès 6 ans à cet intellectuel brillant, aux intentions si pures …

    • Ne faites pas la fine bouche. Il n’a pas toujours été chauve, d’une part, même sans cheveux il était très beau, d’autre part. Vous ne résistiez pas au bleu de son regard qui faisait la perdition de votre âme, vous étiez cuit, foutu, je vous le garantie.

  66. Une communication lisible sur le sujet :

    J-M. Apostolides
    28 décembre, 16:23

    Plutôt que de verser de l’huile sur le feu des débats actuels concernant l’écrivain Gabriel Matzneff, qu’on me permette de replacer son comportement dans le contexte d’une époque. «C’était un temps déraisonnable», mais dans lequel de nombreuses personnes s’essayaient à toutes les transgressions, ne serait-ce que pour mettre à bas les valeurs bourgeoises et revendiquer une liberté en tous points opposée aux valeurs de la génération précédente. Dans les années 60 et 70, il fallait «vivre sans temps mort et jouir sans entraves», quel que soit le prix à payer ou à faire payer à d’autres pour cette illusion. Combien se sont perdus dans ces tempêtes qui sacageaient toutes les valeurs anciennes!
    Si l’on compare Grabriel Matzneff à Guy Debord, généralement épargné – sinon encensé – par la nouvelle génération, le premier est plutôt modéré dans ses conduites. Debord avoue, très jeune, sa passion pour les petites filles ; il fait (avec Alice Becker-Ho et Gianfranco Sanguinetti) la théorie de la prédation sexuelle qu’ils nomment «théorie des marsupiaux» et qui se présente comme le complément de la «théorie du spectacle». Qui plus est, il pratique toute sa vie l’inceste avec sa sœur Michèle, au point de conduire cette dernière au suicide et incite ses proches à agir de même. Quand il apprend la mort de Michèle Labaste, il n’en éprouve aucun remords et ne se sent même pas responsable. Son rapport à l’argent est tout aussi hors des règles de l’échange, comme il l’a prouvé en tentant de s’emparer de l’héritage des enfants de Gérard Lebovici. Je me permets de renvoyer ici à la bio que je lui ai consacrée jadis et qui a provoqué l’ire de ses hagiographes.
    Bref, pour m’en tenir à ce commentaire, il faut garder en mémoire qu’en ces temps lointains la pierre angulaire de la pensée philosophique et littéraire était le marquis de Sade, figure « noire » à laquelle se sont confrontés tous les penseurs du 20e siècle. C’est à l’intérieur de ce cadre historique qu’on doit replacer Gabriel Matzneff et tous ceux dont les transgressions choquent profondément la sensibilité d’aujourd’hui.

    • Très juste remarque de notre Sainte Thérèse !…

      Sortant de WWII qui avait cassé tous les codes, on en inventait d’autres, presque aussi cons en regard de ce qui s’était vécu lors des conflits.

      • On n’oubliera pas non plus que, à cette époque, on affirmait haut et fort, comme une absolue certitude, que l’enfant avait toujours, sans aucune exception, une sexualité de pervers polymorphe. Donc, le tripoter et le pénétrer par tous les orifices était lui procurer du plaisir, l’épanouir, en faire un être complet et désinhibé. Beaucoup en sont encore intimement convaincus.

    • Laissez venir à moi les bambins (suite)

      Ne citons pas DCB, écolo toufriquéquetiste, qui, pointé par le curé Soubayrou, s’en est tiré sans problème en lui lançant ce terrible anathème : « toi, tu ne seras jamais président ».

      Une malé-diction dont l’ex bègue ne se remit jamais.

    • Ce n’est pas seulement le procès par de Matzneff (en effet, modéré dans sa conduite, n’a jamais contraint quiconque) ou celui des amours contingents par l’ignorance du contexte sociopolitique post 68 qui inquiètent. La littérature se voit couvrir à présent du même cache-sexe que ceux posés sur les statues Stéphane Simon exposées à l’Unesco cet automne, elle est sommée de s’adapter à une morale sortie des pires courants de pudibonderie anglo saxone dont on s’est toujours défendus d’appartenir. Denise Bombardier dont on se souvient de l’intervention en procès contre G.M. dans Apostrophe s’en targue : « On pensait que #MeeToo était un phénomène nord-américain, en France ça marche aussi ». La littérature et MeeToo même combat ? Elle va où celle là, elle a vu ça dans quel film ? Matzneff n’est pas seulement un témoignage auquel peu de monde adhère – le cas échéant : la pédophilie se serait vue explosée depuis ses publications (!) – c’est une putain de plume qui dans un autre temps que celui de Montherlant se destinait à un des fauteuils du Quai de Conti. Les journalistes l’ayant accueillis sont priés de s’expliquer – Double peine possible pour Pivot pour également reçu Nobokov. Est-ce que cette québécoise en relais avec double en gabarit français, j’ai nommé Catherine Laborde, pense pouvoir éradiquer la pédophilie par ces autodafés, pensent-elles que des ados de 14 ans, comme nous en avons connu (je suis une femme qu’elles ne nous racontent pas de connerie ! Je grogne) et qui existent encore aujourd’hui, cesseront d’avoir la paille de leur chaise brûler devant un mâle de 30 balais et plus comme nous le comptait Marguerite Duras dans son « Amant » et adapté au cinéma ?
      Comment, pardon ?! L’histoire d’une jeune fille qui ne fut pas trauma par son amant de 30 ans plus vieux, aurait été adaptée au cinéma ? Scandaleux. Elles étaient où Bombardier et Laborde pour dénoncer son adaptation sur grand écran. Laborde adhérait peut-être aussi à l’idée à cette même époque qu’une femme s’étant fait dépuceler à 14 ans par un homme beaucoup plus âgée puisse ne pas en être traumatisée…

      • En fait, c’est Duras. Qu’on se le dise : quand c’est Duras ou Brigitte pas de la pédophilie. Point barre.

          • C’est une bonne idée de lâcher la grappe de Don Gabriele de la Mentule ! Grappe si vieille qu’elle se détachera sinon. C’est une excellente idée de lâcher la grappe aux clergés pédophiles des principales religions monothéistes, c’est une merveilleuse idée de laisser tranquille Cohn-Bendit et les libérateurs 68tards, Harvey Weinstein et les recruteurs de starlettes décidées, Roman Polanski et ses erreurs …
            Tant de tordus de ce genre.
            Enfin, comment satisfaire si on le fait, tous les bons apôtres, adeptes de l’ordre moral, qui se régalent à voir les têtes tomber comme au bon vieux temps de la Terreur raccourcissante ?
            Qu’en faire, de ces Fouquier-Tinville de supérettes Robert Spière ? Comment les faire jouir ces braves noeuds noeuds, les terroristes de l’ordre moral ?!

          • Je te parle de plume. Bordel ! On te parle du contexte d’une époque qui a perpétué un esprit libertin, en passant par les culottes fendues des danseuses parfois mineures du Moulin Rouge. Oui, elles étaient fendue, on voyait leurs lunes ! . Qu’est-ce que vous croyez ? La petite ribaude de 14 balais devenue baronne qui n’échangeai pour rien au monde son savoir faire appris très jeune qui fit sa richesse vous semblerait impossible, je me marre.
            Est-ce que Duras fait acte de prosélytisme ? NON.
            Tu mettrais Duras dans le même sac qu’un curé pédophile ou qu’un Weinstein ? De quoi parle-t-on ?! De votre vie de bisounours aux coloris acidulés, lavée à l’eau bénite, bordée à coup de propagande, de statues en string, le tout chanté dans l’incohérence de la faveur morale très permissive accordée au couple du château.

          • Parce que contrairement à l’esprit étriqué, petite bourgeoise de Bombardier : On s’en fout de savoir qu’un Président de la République se rende en scooter chez sa maîtresse – il n’en sera pas destitué. On se fout de savoir si le maire de Paris est pédé, il est réélu que s’il est bon dans sa fonction. Et bien, la fonction de Matzneff est d’écrire dans une exception qui a toujours été le fondement de notre culture. On ne demandera pas à cette connasse outre atlantique et sa sbire une quelconque autorisation pour qu’un tallent s’exerce, ajoutant que Matzneff n’a jamais été condamné.

      • En admettant que Springora n’ait pas été traumatisée, il faudrait comprendre qu’elle sort ce bouquin 40 ans après pour satisfaire aux exigences du temps présent ?

        • Pour satisfaire aux exigences du fisc. Plaisanterie à part : Et pourquoi ne pas surfer sur la vague MeeToo ? Du reste, elle s’y associe. Profiter d’une belle fenêtre de popularité, faire un buzz à la Zemmour, avec la promesse d’un chiffre explosant les compteurs du nombre d’exemplaires vendus ?
          Ce type d’occas’ ne se présente pas deux fois dans une vie. Avant même sa sortie, son bouquin sent déjà la rupture de stock et la réimpression.

        • Maintenant, je ne lui dénie aucun traumatisme, elle peut avoir été marquée par cette histoire comme elle aurait pu être marquée, plus tardivement, par une autre comme la majorité de ses comparses – Quelle est la femme qui ne se soit pas brûler les ailes, au moins une fois, avec un homme ?
          Il est surprenant qu’elle livre ses confessions qu’au bout de trois décennies, en période MeeToo, par hasard Balthazar. Et surtout, elle n’a jamais porté plainte, ce qu’elle avait tout loisir de faire en trente ans… Mais ça rapporte beaucoup moins de blé…

          • ça c’est du grand art ! d’abord je te me lui dénie toute crédibilité, tout en reconnaissant que, bon, peut être elle aurait pu être légèrement traumatisée, mais qu’au final elle fait ça pour le fric, ce qui démontre qu’elle a bien dû chercher ce qui lui est arrivé !
            C’est bon, je dégueule déjà !

          • Non, le grand art est d’ouvrir sa bouche sur des faits vieux de quarante ans, pointer du doigt un amant, se garder de porter plainte pour éviter la contradiction au pénal avec son responsable légal : Sa mère !

            Vous la voulez la merde vous allez l’avoir !

            Si cette dame était dénuée de toute velléité matérielle, elle éditait sous pseudo. Le nom de Matzneff fait vendre.
            Bah, oui, Tartine 15 ans et Duchmole 35 ans, ça ne fait pas vendre : les gens s’en tapent.

  67. Flo, ma grand-mère disait toujours :  » la beauté, ça se mange pas en salade »;

  68. Cette nuit, en songe et sans nuisette, je portais une couronne. C’était le 6, jour érotique. Alors que la galette des rois je mangeais, un gland géant apparut soudain au coeur de la frangipane entre deux petits sujets ailés aux culs rebondis. Et je suçais, suçais, suçais, suçais à n’en plus finir ce gland qui s’offrait, et je tâtais, tâtais, tâtais, tâtais le cul des petits qui se dérobaient. On trouve des fèves dans la galette, mais on pourrait tout aussi bien y trouver des glands. Faudra-t-il donc toujours que nous sucions pour être couronnés, ça c’est une question.

  69. Finalement j’ai bien fait de lancer Matzneff sur le tapis … on gagne trente six fois la mise !

    Les révolutionnaires ont commencé par traiter de put.in Marie-Antoinette avant de l’ouvrir en deux pour voir de quoi il retournait !

  70. Puis d’ailleurs, c’est quoi, tout ce tintouin ? L’auteur du livre narre son histoire, vécue avec Matzneff, parce qu’elle a besoin de l’écrire et le publier, l’emprise étant été trop forte pour être absolument saine, mais elle n’a pas porté plainte en justice, que je sache. Donc…

  71. Henry de Montherlant se prenait pour un noble Romain qui avait droit de cuissage sur la populace et les esclaves ; Matzneff fils de Russes blancs et grand ami dudit Montherlant se prenait lui aussi pour un seigneur de l’ancien temps des Tsars qui avaient encore des serfs et des serves en 1850 ; ceci dit leur fin de vie est pitoyable ! Quand on est un anachronisme vivant on risque d’encourir les foudres de la Vox Populi à trop se vanter de vivre hors de son temps et hors des normes de son époque.

    • Vous savez que Montherlant s’est fait rosser à plusieurs reprises à la sortie des cinémas où il se frottait contre la jambe des petits garçons ! Il a notamment eu maille à partir avec la police de Vichy comme Peyrefitte.
      Ce qui explique le goût des pays arabes chez Montherlant et Gide c’est qu’on y est tolérant avec les épanchements sexuels intempestifs ailleurs en Occident.

  72. J’ai toujours été hésitant face à ceux qui savent ce qui est bon pour autrui.
    Même (et surtout ?) si cet « autrui » est un môme et que le « ce » dont on parle est lourd de perturbation dans la construction de l’être dans ce qu’il a de plus intime et fondamental (si j’avais eu la chance d’être dysorthographique j’aurais écrit « fondemental » ?).

    Allez ! j’ose le dire, au risque de paraitre ringard ou néo-puritain, les deux étant considérés en ce lieu comme l’étape ultime de l’insuffisance mentale : je n’ai pas aimé être contraint d’avoir des rapports sexuels avec des adultes lorsque j’étais enfant.

    Et, chère et douce Flo, peut-être vous :
    * l’avez-vous expérimenté et apprécié,
    * ne l’avez pas expérimentez et regrettez que ce soit le cas,
    * l’auriez expérimenté auriez-vous constaté que le cas précédent est une illusion
    * etc.
    mais, dans le doute, sachez que BEAUCOUP l’ont mal vécu.

    Peut-être, une des raisons qui m’ont amené à devenir petite-bite et langue de pute (ce qui peut compenser) ? Mais je suis un dindon, par chance, gracié fin novembre.

    Il ne me viendrait pas à l’idée de croire que j’aurais été indemne si on me l’avait épargné, ni que ma vie aurait été bien meilleure, mais j’ai la profonde certitude que « ça » ne m’a en aucun cas « amélioré ».
    Certes, les études statistiques dans le domaine sont fortement biaisées (ne pas oublier la voyelle indispensable !) par des travers idéologiques (dans un sens ou dans l’autre, par devant ou par derrière) mais, durant ma pauvre vie dans le réel, je n’ai jamais rencontré de personnes se félicitant de telles expériences. Peut-être un biais d’échantillonnage ?
    Par ailleurs, je le confesse (?), j’ai peu lu les bons auteurs donc je ne sais pas ce qu’il en est dans les meilleures pages des plus grands stylistes. Je ne suis qu’un tocard inculte et de basse extraction. Lorsque j’observe la hauteur de vue d’une partie de ceux qui ont été épargnés par une telle destinée, je n’en suis pas jaloux.

    Parler de Manuel et Brigitte est d’une stupidité (ou mauvaise foi) sans nom : on parle de mômes de 11 ou 12 ans et d’un adulte de 50.
    Mettre en avant le relativisme culturel peut avoir du sens si on se réfère à l’antiquité. C’est une ignominie lorsqu’il s’agit des années ’80. Il s’agissait, déjà à l’époque, d’un aveuglement idéologique tout aussi criminel que celui ayant consisté à envoyer les intellectuels déviants à la rizière « pour leur bien’ .

    « Va ch***, connasse… Je t’emmerde. »
    Citation qui mérite d’être retenue pour sa grande perspicacité et son usage sans fin.
    Bisous.

    • « Tu l’as ramènes Pouffiasse  » Citation qui mérite d’être retenue pour sa grande perspicacité et son usage sans fin.

      Je ne fais aucune apologie, je parle d’un contexte. Je ne vous parle pas de prosélytisme mais de témoignage relatifs à une époque. Faire une chasse au sorcière 50 après est aussi con que la rééducation dans les rizières que vous dénoncez. Contexte qui a non seulement encouragée Matzneff dans ses travers mais l’a aussi poussé à les confesser par écrit. Il expliquait dans une de ses chroniques du Point, il ya de ça un an, s’être repenti. Il ne chasse plus depuis très longtemps le petit garçon quand d’autres participent encore activement au nouveau marché sexuel pédophile qu’offrent l’émergence des pays pauvres. Lâchez-le. Je suis la première à ruer dans les brancards quand des liens suspect sont proposés sur bdâ, Ne me faites pas ce procès.

      [Parler de Manuel et Brigitte est d’une stupidité (ou mauvaise foi) sans nom : on parle de mômes de 11 ou 12 ans et d’un adulte de 50].

      Tiens. Diriez-vous que les vingt cinq ans de différence d’âge de Brigitte ne la prévalait d’aucune ascendance mentale sur Emmanuel encore mineur ?
      Au motif qu’il est un garçon, il est inimaginable qu’un traumatisme vicié par une ascendance féminine ait pu se mettre en place chez cet adolescent, devrais-je dire adulte en devenir pour que cela vous donne plus de sens ? Êtes-vous sérieux ?

      [Mettre en avant le relativisme culturel peut avoir du sens si on se réfère à l’antiquité]
      Phrase qui ne veut rien dire. Embastillé de son vivant, Sade est aujourd’hui étudié en cours. Et il ne s’agit pas de relativisme mais d’exception culturelle.
      Vous pouvez toujours faire une pétition pour interdire ses publications, nous ne sommes plus à ça près.

      SMAC

    • Tenez cadeau, ce que dit Marc Lambron de Brigitte, à vous d’en décoder toute l’étendue de ce que cela sous entend :
      « ne pas focaliser sur son âge, mais fouiller son passé. Prof de lettres, elle a « construit » son bel arriviste. Autrement dit, pour comprendre Macron, comprenez Brigitte ».

      : )

    • Merci Zorglub d’essayer de rappeler à Flo quelques éléments de bon sens, qu’elle s’obstine à nier.
      Manuel et Brigitte sont mariés. Manu était précoce et savait ce qu’il voulait, le réduire à un simple pantin, une marionette manipulée par sa prof devenue sa maîtresse puis son épouse, est très simpliste. Manu a dû autant batailler pour la séduire que l’inverse ! Il y a chaque année, des milliers de jeunes coqs qui essayent de se faire remarquer d’une prof … combien d’élus ?
      Matzneff n’a jamais cherché une relation stable, c’est un prédateur qui aime le frisson de la chasse.
      Et s’il dit s’être repenti -il a arrêté- c’est simplement que le physique ne suit plus, notamment l’entre-jambe.
      Il y a également une différence entre des adolescents d’environ 15 ans et plus, et les garçonnets pré-pubères qu’il affectionnait 10 ans et moins !

  73. Ce n’est pas un hasard si beaucoup de membres de l’oligarchie occidentale qui promeuvent l’immigration musulmane en Occident sont eux-mêmes des obsédés sexuels et souvent des pervers sexuels comme Pierre Bergé !

    • Durit a croisé une fois Bergé par hasard dans Paris. Tout émoustillé à l’idée de se prendre un bon coup de bâton de Bergé, Durit fut tout dépité de voir le mécène s’éloigner sans même lui avoir reniflé le trou de balle.

      Depuis, il rumine.

  74. Quant à Emmanuel Macron il est le digne commettant de cette oligarchie ! Il en cumule à peu près toutes les déviations intellectuelles et morales.

  75. Le problème général c’est quelle est votre philosophie politique ? La moralité publique en découle directement.
    Si vous êtes comme moi, un partisan de la démocratie bourgeoisie, cela suppose une vaste classe moyenne dominante dont les mœurs sont à peu près égales. Si vous êtes partisan d’une dictature oligarchique alors effectivement la moralité sexuelle sera celle d’une classe sociale très réduite en nombre qui exercera une dictature sexuelle entre autres choses !
    Tout le monde sait que les propriétaires d’esclaves dans le Sud des Etats-Unis avaient un droit de cuissage sur leurs esclaves de sexe féminin. C’est pareil dans tous les empires coloniaux.

    • Ah ! comme je regrette de n’avoir pu exercer le droit de cuissage sur mes esclaves intellectuelles, cela s’est fait en souriant …..ça a moins de charme désuet, ce que j’adore !

  76. Ah ! Par Priape ! comme je regrette de n’avoir pu exercer le droit de cuissage sur mes esclaves intellectuelles, cela s’est fait en souriant …..ça a moins de charme désuet, ce que j’adore !

  77. Mais mon pauvre, il est une île dans votre coin qui est réputée pour être un spot très apprécié des pervers n’ayant plus que pour seul attrait la belle garniture de leur portefeuille.

    « Manu était précoce et savait ce qu’il voulait, le réduire à un simple pantin, une marionnette manipulée par sa prof devenue sa maîtresse puis son épouse, est très simpliste. »

    Ah oui, Marc Lambron serait simpliste ; J’en prends note.
    Vous voudriez dire qu’un gamin de 15 ans n’est pas nécessairement manipulé par un adulte et encore moins s’il s’agit de son prof – Manu avait le dessus, Manu était précoce.
    En poussant votre logique : Springora qui avait le même âge que Manu au moment de sa relation avec Matzneff dirige aujourd’hui une maison d’édition, doit-elle remercier Matzneff ?
    Donc le mariage assainit la relation : Bah, y’a un prophète, il y a fort longtemps, qui s’est aussi marié avec une petite jeune – un p’tit 12 ans d’âge – pareil, c’est propre.

    Vous n’avez pas honte d’écrire ça ?

    • « Springora (alias Suspiria ?) dirige aujourd’hui une maison d’édition, doit-elle remercier Matzneff ?

      A-t-elle bénéficié de l’entre-jambe de son mentor ?

    • Flo, vous reconnaissez une admiration et de l’attirance pour Matzneff, alors vous essayez par tous les moyens de lui trouver des excuses en avançant « d’autres l’ont fait donc c’est pas grave » … Et votre acharnement sur Brigitte Macron, n’est qu’un « homme de paille ».
      Vous refusez d’accepter que Matzneff est un salopard, qui prenait plaisir à sodomiser des petits garçons, et accessoirement des petites filles !

      Quant au chamelier de paix et d’amour, son mariage avec Aïcha est une abomination qui devrait dégoûter ses adeptes, las … et c’est toujours « l’homme de paille »

      • Je lui reconnais un vrai tallent d’écrivain comme on n’en fait plus et je continuerai à lire ses chroniques sur le Point. Je lui reconnais aussi son goût ancien et déviant pour les jeunes gens auquel je n’adhère pas, (Et je me suis suffisamment fâchée sur un lien suspect pour que vous mettiez en doute mon avis) dont il s’est repenti, qui était très en vogue à une époque, rappelée par Sainte-Thérèse (Heu Pascale, il est enquiquinant ce pseudo…), époque où il était interdit d’interdire ou contrairement à ce qu’avance Celine Pina sur Facebook, ses maîtresses et amant n’avaient pas moins de 10 ans, il en donne la liste précise dans « Les moins de seize ans », elles et ils affichent une moyenne d’âge de 14/15 et plus puisqu’il parle également de jeunes majeures et vaccinées. La pédophilie n’était pas l’apanage d’une aristocratie contrairement à ce qu’elle avance, et si les arrestations tombaient dans les milieux ouvriers et épargnait une autre élite, elles n’avaient pas lieux d’être dans les milieux de gauches et extrême gauche parce que les plaintes ne tombaient tout simplement pas, contrairement à ce qu’avance Castelnau. La droite, elle, conservait défendait âprement ses moeurs et ses valeurs, Simone Veil vous en parlerait… Je ne défends pas ses moeurs, il a condamné lui-même d’avoir à payer de jeunes prostitués. Il n’a jamais violé ni tué personne mais je crains qu’on ne lui pardonne pas ou que l’on jalouse ce sens pointu
        de l’esthétique très italien, son verbe soigné d’un autre âge, sa trop grande culture et surtout son casier vierge. Je vous rappelle le titre du bouquin à paraître « Le consentement ». Et bien, il est plus aisé à une jeune fille de donner son consentement quand sa mère l’y autorise. Vous comprenez qui tient la véritable responsabilité et de ce qu’elle implique dans la suite supposée des événements. C’est une justice populaire à géométrie variable qui se pâme sur les sublimes forcément sublimes aventures asiato-érotiques de Duras à ses 15 ans – parce que personne à ce jour jour n’a condamner le Matzneff chinois de ses confessions et Duras a même reçu le Goncourt pour ses confessions, non, là, c’était une histoire d’A – Elle applaudi Américan Beauty qui fait un carton au box office (tout le monde comprenait que ce père famille puisse tomber amoureux de cette jeune adolescente) condamne par la suite, sans procès et sans ménagement son acteur principal pour que la justice annule toute poursuite, ferme les yeux sur le dépucelage de la très jeune d’Adeline par Philippe S. et lui offre des obsèques nationale avant d’être enterré à St Barth, collectionne Sade dans sa bibliothèque, affiche la Lolita de Nabokov adaptée par Kubric dans sa cuisine, écoute religieusement DCB et lang, vote Manu déniaisé par Brigitte. Tout est cool. Et j’en oublie… Vous êtes un des seuls à ne pas vous étonner d’une situation qui pas toujours été le consentement entre deux adultes : Un l’était plus que l’autre au début de leur relation et c’est vous, mon cher Pheldge, qui vous acharnez à ne pas l’admettre. Cela fait bien longtemps que Matzneff se garde de faire la promotion de ses anciennes tendances et n’emmerdait personne. Il fait une sorcière idéal en ces temps de chasse à l’homme. Vous illustrez assez bien l’hypocrisie catho et son sens du pardon inconditionnel : ça dépend combien et avec qui.

        • encore une fois Flo, on parle ici de Matzneff, et le fait que d’autres célébrités aient également eu des relations avec des ados ne l’exonère en rien !
          Qui plus est Matzneff est un multi-récidiviste auto-proclamé, fier de l’être, et qui s’en est largement vanté devant les micros complices de tous les médias pendant plusieurs décennies, ce qui me semble particulièrement abject !
          Et je déplore également cette tolérance, et cette indulgence complice envers les « artistes », les politiques -ex ministres de la culture, par exemple- et autres pipoles en matière de déviances sexuelles.

          D’autant que cela renforce l’idée d’une justice, laxiste pour certains, et intraitable pour d’autres.

          • Si. Un dernier truc et je n’en parle plus.
            On parle de Matzneff et de ce qui lui est reproché. J’aimerais comprendre si ce qui lui est reproché est répréhensible ou si ça ne l’est pas. Est-ce qu’un adulte peut tomber amoureux d’une ou d’un adolescent ? Parce que durant des décennies toute la culture cinématographique, littéraire, photographique (!) oeuvrait dans ce sens. On la chantait, on la louait ! Si ces faits sont répréhensibles qu’ils le soient pour tous, et de façon tout aussi rétro-active puisque l’on hésite pas à remonter jusqu’à 30 ans (Duras compris !). Quand Adeline s’est risquée d’expliquer les embardées nocturnes qu’elle avait subit toute gamine par Philippe S, ce n’est pas seulement un silence radio qu’elle a eu en soutient par les dindes de MeeToo mais une volée de bois vert de la part du public. Bande de clowns hypocrites. Ce qui est valable pour Matzneff doit l’être pour tous. Point barre. Ou bien admettez qu’un adulte peut avoir une relation consentie avec un(e) jeune ado, comme l’intelligentia artistico, politico, showbizz l’a toujours laissé croire et comme leurs oeuvres proclamées, dont celles que je vous ai citées, l’attestent.

            Bonne fêtes de fin d’année à tous

          • Flo, pour moi c’est simple, comme aux USA, on en chope un, la taule, qui qu’il soit ! Icône, ou idole, peu importe, la loi est la même pour tous !
            Bon réveillon, et n’abusez pas trop 😉

          • Et je ne suis pas aussi vindicative que vous ne l’êtes, j’adhère parfois aux circonstances atténuantes en fonction de l’âge des protagonistes et de leur maturité. Mais c’est le plus beau : selon votre logique, mon cher Pheldge, Brigitte devrait être en taule !!!
            :)) :)) :))
            Vous me faites la meilleure de cette fin d’année, monsieur l’inquisiteur. Merci !
            Bon, vous n’êtes plus à une contradiction près. ; )

            Bon réveillons à vous également

  78. Lassants ces discours sur le triste sire qu’est M.!
    Fin d’année ressassante sur BdA et pas sur le meilleur des thèmes.
    Mais vous n’avez donc pas reçu de bons livres à Noël dont vous pourriez parler ?
    Et puis il y a de fort belles oranges pour faire de la confiture en ce moment.
    Il fait un froid bien sec pour promener chiens et chats.
    Notre bonne Ste T. n’a donc pas une histoire marrante de chasseurs, de chien, de chat, de lapin (on vous amène d’autres animaux à soigner ?) à raconter ?
    Bon, je retourne à mes madeleines.

    • Il suffit que les gens de bien ne fassent pas rien pour que le mal triomphe.
      Edmond Burke.
      Je vois, je saisis, et je ne lèverai pas la main pour agir, car la vision du Chaos me desennuye.

        • Il est vrai que ressasser les mêmes rengaines, dans un si petit espace, vous place confortablement dans le camp des gens qui agissent, qui sont efficaces, qui luttent contre le mal, eux.

          • Ah bon !
            Vous pensez VRAIMENT que le cyberespace est petit ?
            Question annexe :
            Avez vous une estimation du nombre de dimensions du cyberespace ?
            Mille excuses, si vous n’êtes qu’une littéraire !

          • Si vous aviez juste une petite connaissance de la physique, vous sauriez que tout système isolé tend spontanément vers l’état de désordre maximal.
            Je suis un physicien, et je regarde le désordre progresser dans mes expériences.
            Les récriminations des bonnes femmes n’y changeront RIEN,
            car tel est mon bon plaisir !

    • « Blanche Neige et les sept nains », une histoire d’initiation au plaisir d’une petite peu farouche par des personnes de petite taille fortement membrées

  79. Les rares chroniques de Matzneff qui me sont tombées par hasard sous les yeux me font penser qu’avant d’être un grand écrivain, c’était essentiellement un magnifique cinglé qui cherchait naguère de la chair fraiche sous les douches de la piscine Deligny à défaut d’y trouver les jets de l’inspiration.
    Aujourd’hui Gaby le vieux magnifique tente de relever la tête hors de l’eau que la doxa lui
    enfonce dans la flaque de son malheur où il patauge bêtement.
    Que fait la police des moeurs ? Elle bande le muscle du point de vue du Bien, violente les khouilles molles bien pensantes, raffermit le pal organique emburqué au préservatif moral de ceux qui veulent lui mettre bien profond.
    J’en ai rien à foutre de justifier son plaisir à tâter du jeune tendron, je ne suis pas du milieu…je préfère me glisser par gérontophilie dans le lit des rombières d’EHPAD pour qu’elles me couchent sur leur testament dans un dernier battement de coeur qui flatte ma nécrophilie.
    Courage l’ami !

  80. L’affaire du vieux dégueulasse G.M. est une énième manipulation destinée à avancer la cause d’un matriarcat nocif et toxique.
    Je ne participerai en aucune manière à cette grossière manipulation !
    Qu’on se le dise !

  81. L’intrication du matriarcat et du patriarcat a été longuement dénoncée ici-même par qui de droit !

    Enfin tant que ça ne viole pas la seconde loi de la thermodynamique …

  82. On ne gouverne pas avec beaucoup de bonnes intentions – mais avec peu de gestes et peu de mots.

    Les vraies révolutions se hâtent lentement.

      • Les vraies révolutions sont quotidiennes et intérieures, ce que l’on appelle Révolution sont des explosions de colère sans valeur, des manipulations de foule sans conséquence bénéfique, des changements d’oligarchie fallacieux, qui ne mènent à rien.

  83. Il n’y a pas de « Front national » au Japon pour la bonne raison que le pays tout entier est un front national.

    Si ce n’est pas un éclair de foudre !

    • On s’y croirait. On reconnait bien le Brighlook du Brighlooz : regard en coin, timide, désabusé, autrefois pétillant mais toujours déviant, vicieux et cependant point n’osant car sans oseille, de la bouteille nez en moins, profondément philosophe, à son grand désespoir infiniment poli, vindicatif mais à ses semblables inlassablement pardonnant les agissements et gémissements, shifty mais fort sentimental et toujours tentant, ½ siècle plus tard, de jouir malgré lui-même, avec lui-même. Regard en coin et petit coin, tel est du fion le foin. Feu ! Feu ! Ouh que tu es mignon. Venez mon petit, venez, don’t be shy.

  84. Rien ne rend plus service à un gouvernement au bord de la crise de nerfs à cause de son incapacité à diriger le pays vers un avenir radieux, que les couillonnades MeToo, les bravades ClimatoGretarte, les enfilades du VieuxPédo, l’agitation des Végaganistes ! Le Peuple adore la distraction et les clowns ne manquent pas sur l’estrade mediatique…

  85. Ma chère Sanseverina, je suis véto rural donc bien sûr je consulte aussi des animaux de rente, quand le jeu en vaut la chandelle, id est quand le proprio conçoit un intérêt financier ou psychologique à ne pas laisser crever ses bêtes et a suffisamment de trésorerie

  86. Pour les histoires de chasse, je peux vous narrer celle de samedi mais elle est assez moche. Deux chiens couraient derrière un sanglier blessé. Celui-ci, fou de douleur et de terreur, a sauté 27 mètres de falaise et les deux chiens ont suivi. Bilan : trois morts au pied de la falaise, un sanglier et deux chiens.

    • Je serais chien ou sanglier, ça me ferait chier de mourir en 2019, à quelques heures de la nouvelle année 2020 ! Bonne célébration, chère Sainte Thérèse* !
      * Picpus ? Pourquoi, Picpus ?

        • Sainte Pascale (de Picpus) (75 112) hésitante entre sa passion lubrique pour le Christ en croix et sa passion amoureuse pour l’image idéalisée qu’elle entretient d’elle même depuis sa naissance: une sainte icône qu’elle tente d’approcher depuis toujours(*).
          Ce qui est déstabilisant pour moi c’est que nous ayons vécu quelques temps à Saint Mandé (et moi dans le 12ème arrdt l’année dernière) et que le début de son n° SS 2 59 11 75…soit, au mois près, le même que celui de Maman…des rapprochements avec Pascale qui me font prendre conscience que Maman est une femme, un détail qui m’avait échappé jusque là:
          https://nsm09.casimages.com/img/2019/12/31//19123101043423694416578121.jpg
          (Maman, pas loin du quartier de Bel Air (pas celui de Paris 12, mais celui de L.A.) hier dans la lumière éclatante des jardins du Getty Center)

          (*)sans bien sûr y parvenir: une chèvre ne sera jamais une jument de course.

    • Dommage qu’on n’ait pas pensé à faire une battue aux éléphants à l’époque des pèlerinages de Solutré. On aurait pu vérifier qu’à très peu de choses près, ils seraient tombés de façon identique.

        • Ayant un jour envisagé des modifications extérieures de mon appartement de Marseille, en pleine ZPPAUP, je me rendis à l’officine municipale détenant les livres sacrés définissant ce qui est permis (très peu) et ce qui ne l’est pas (presque tout).

          Résultat, comme tout le monde à Marseille, j’ai fait mes modifs en loucedé.

    • Chère Ste Thérèse, je demandais juste un peu de légèreté en cette toute fin d’année et comme souvent vous savez bien raconter quelques histoires plutôt marrantes, qu’en tout cas, je trouve, moi, sympathiques, je vous sollicitai donc.

  87. La Réunion, comme l’Australie; bientôt en feu à cause du réchauffage climatoridien ?

    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/12/31/incendies-en-australie-des-milliers-de-personnes-prises-au-piege-sur-des-plages_6024445_3210.html

    Heureusement, les gens pourront se réfugier sur la nouvelle route du littoral. Ce qui claquera définitivement le museau aux immondes critiques.

    Le cryptomeria * avec lequel l’ONF a replanté en masse brûle-t-il mieux que le tamarin des hauts ?

    * l’ONF présente cette espèce importée comme « le sapin créole ». Faut oser. Ah ! si seulement la gestion des hauts de l’île était confiée au privé dans le cadre d’une saine concurrence…

  88. « En 2019, 213,3 millions d’entrées ont été enregistrées dans les cinémas de l’Hexagone, soit la meilleure fréquentation en un demi-siècle, progression de 6 % par rapport à 2018. Les films tricolores ont subi une baisse de la fréquentation du même ordre »

    https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/12/30/le-cinema-realise-sa-meilleure-annee-depuis-1966-avec-plus-de-213-millions-d-entrees_6024418_3246.html

    Une solution pour 2020 : introduire une quatrième couleur dans les films tricolores.

    • Vendre la terre du confetti et vendre les habitants ?! Par Hermès !….. Du Gong ! Reprenez-vous, votre sens des affaires prend le dessus de votre humanisme faiblard.

      • Bien sûr, point de rizière pour rééduquer la populace vautrée depuis lurette dans l’argent-braguette. En revanche, der saines activités de débardage pourraient remettre ces manants sur le chemin de la rédemption par le travail.

    • Je n’ai lu que le titre mais,cela me suffit pour constater que les Chinois,par ces deux opérations successives,ont créé de la richesse (qu’ils gardent pour eux-car ce sont de bons gestionnaires et ils ne sont pas khons.)

  89. Wanted ! Avis de recherche !

    On recherche un mafieux en cheville avec les hautes autorités françaises qui aurait trouvé refuge au Liban ; récompense à la clef pour tout renseignement amenant sa capture : une Twingo tout équipée.

  90. Au Liban il n’y a pas d’Etat : un rêve pour les oligarques !

    Pas de justice, peu ou presque d’impôts ! Le pays de cocagne où la fripouillerie se sent enfin à l’aise …

    Tous les journaux des oligarques français saluent avec empressement « le départ mystérieux » de celui qui recevait il y a quelques semaines la visite de l’émissaire spécial du président français, l’ex-président de la république Nicolas Sarkozy.
    Était-il venu lui offrir des fleurs ou les clefs de sa prison dorée ?

  91. Peut-on faire société avec des gens qui n’acceptent en aucune façon l’idée d’égalité en droit ?

  92. L’histoire humaine nous montre l’existence viable de plusieurs systèmes politiques – de sociétés qui se développent puis périssent par des causes extérieures et intérieures.

    La société française est minée de l’intérieur – elle perd jour après jour son unité morale et donc culturelle. Le champion de la dissolution de cette unité n’est autre que le président de la dite république.

  93. Un discours politique est forcément un discours moral – ceux qui font de la politique en en appelant à l’économie de marché sont des prestidigitateurs qui font apparaître et disparaître une pièce de monnaie dans le creux de leur main ou dans leur manche.
    Ce n’est plus de la politique c’est de l’illusionnisme !

    • Quand on en appelle à la liberté des capitaux on n’en appelle pas à la liberté morale mais à la sujétion de la moralité à la libre circulation de l’argent ! La libération de Carlos Ghosn par les soins de la France c’est l’appel à l’immoralité publique.

  94. Je résume le programme Macronien :

    – Paupérisation du Français de base
    – Exaltation du passe-droit du Français du haut

    Ceux qui ne sont rien et ceux qui ont tout !

    • La différence entre Sarkozy et Marcon c’était l’espèce de pudeur – ce sur-moi moral – qui l’empêchait de dire sa vérité profonde et d’agir en conséquence. Avec Macron on a largement brisé le mur de pudeur qui rendait encore invisible le désir profond des « élites » qui peuvent tout se permettre comme le dit si bien JC.

  95. Il faut regarder avec un grand recul historique pour se rendre compte de l’évolution politique : on ne passe pas en un jour de la république romaine à l’empire romain !

    • Huntington qualifiait de « snobisme » l’irrédentisme japonais à refuser la mondialisation !

  96. Tempête Calvinia : l’Île Maurice et La Réunion en alerte 3

    La Tempête Calvinia est déjà passée sur la République de Genève :
    les dégâts ont été considérables !

    • La tempête Polignac est passée sur Monaco comme un « Ouragan » chantait la princesse Stéphanie !

  97. Il ne faut pas forcer son génie ! Certains illustrent la France d’autres se contentent de mener une vie de bourgeois modérée par les fêtes !

    • Savoir rester à sa place dans une société bien ordonnée c’est le désir le plus cher du bon citoyen.

        • Une vie mélancolique est beaucoup plus noble qu’une vie de touriste ! Surtout quand l’on sait que le tourisme culturel est toujours in fine du tourisme sexuel … l’obsession du mirage africaniste mène toujours dans les mêmes ornières !

  98. Se mettre en avant c’est toujours un peu risqué ! Surtout quand on n’a que des perversions à proposer comme exemple.
    L’écrivain Tony Duvert (1945-2008) avait publié un essai en 1974 « Le Bon sexe illustré » où il montrait à l’appui de sa thèse sur la sexualité des enfants des photos de petits garçons qui bandaient – activité réflexe qui ne dit rien du tout d’autre – il en déduisait que ces garçons le sexe à l’air désiraient qu’un adulte les frotte !

    • Montherlant n’avait aucune vie mondaine comment en aurait-il pu être autrement ? Invité par une maîtresse de maison dans son salon parisien qu’aurait-il pu répondre quand au milieu du dîner elle lui aurait demandé : « Alors Monsieur de Montherlant contez-nous vos derniers voyages en Afrique et vos derniers exploits parisiens ? » « Cette après-midi j’étais dans un cinéma bien connu de moi rue de la Gaîté où j’ai réussi à déculotter un jeune garçon et à lui branler le sexe avant la fin de la séance ! » Tête des invités bourgeois … et ils auraient encore été plus décontenancés par ses exploits d’obsédé sexuel au Maroc !

  99. Paul Léautaud était un célibataire endurci qui n’a jamais rien caché de ses amours tumultueuses avec ses maîtresses comme « Le Fléau » ; maintenant il soulignait dans ses célèbres entretiens radiophoniques avec Robert Mallet que la mélancolie était un sentiment beaucoup plus noble que le rire ! Le rire c’est souvent un grincement de dents ou bien une dilatation excessive de la rate …

      • Méfiez-vous de la liberté qui n’a que le rire pour seule raison ! On peut très bien rire en torturant un homme …

        Léautaud essaye de dire que la mélancolie est un retour triste et désespéré sur soi-même.

  100. La mélancolie est un miroir – c’est un miroir qu’on peut nommer aussi conscience de soi. De fameux peintres ont illustré ce thème … le rire lui déforme les choses. Rire de toutes les satires du monde soit ! Rire de tout par principe non !

  101. La tyrannie du rire déshumanisante est atroce selon moi ! Ce n’est évidemment que mon point de vue … mais c’est comme la torture par les chatouilles – une chinoiserie épouvantable d’orientaux !

    JC évitez de ma chatouiller trop y a déjà Savonarole qui m’encombre avec son charabia !

  102. Pour le fils de Madame P.

    (Alors, voilà, j’en profite, j’ai déjà mon idée de cadeau pour l’année prochaine : le beau bébé dans la vidéo Chrissie Hynde – (je voulais faire Chrissie Hynde comme métier quand j’avais 14 ans). Alors je le veux tout pareil, et si on me propose avec l’option de la frangipane étalée sur le derrière, je ne dis évidemment pas non. Je sais coudre, le laver, le border, passer l’éponge et la serpillière)

    https://www.youtube.com/watch?v=bLpmj059JFA

  103. Ma famille est formidable.

    Pour la nouvelle année (oui, nous ne fêtons pas Noël, nous avons assez de moralité pour être laics) ils m’ont offert un petit Philippin de 11 ans (sur les papiers mais je pense que c’est un peu moins).
    Ils voulaient que j’ouvre mon cadeau à minuit mais ils gigotait trop dans son carton. Du coup j’ai eu le droit de le déballer avant l’heure mais pas celui de l’utiliser.
    Il semble en parfait état et si souriant dans son sarong blanc. La meilleure surprise : il parle déjà quelques mots d’anglais. Il est si mignon et innocent, je vais l’initier avec délicatesse et raffinement à tous les plaisirs. Je sais que passés quelques moments d’étonnement il m’en remerciera.

    J’ai décidé de tenir un journal quotidien, j’espère que JPB ne prendra pas ombrage si j’utilise ces colonnes pour le faire.

    • ça reste dans le domaine du normal. Ils auraient pu vous offrir une chienne de grande race ou une chèvre.

  104. En ce matin du 1er janvier 2020, je recommande à Dieu, Satan, Brighelli, l’âme de ces contributeurs qui honorent cette agora fleurie.
    Aujourd’hui, meilleurs voeux à tous et à toutes, sans exception…
    Pour demain, on verra !

  105. Lu dans le Vespéral : « Le « plan Marshall » des écoles marseillaises, estimé à 1 milliard d’euros, ne devrait pas survivre aux dernières heures de 2019. Vendredi 27 décembre, pour la troisième fois en 2019, la justice a donné raison aux contribuables et aux organisations corporatives – conseils national et régional de l’ordre des architectes, notamment – qui contestent ce « plan école d’avenir » lancé par le maire. »

    Comme souvent, ce sont les commentaires qui éclairent les enjeux. J’en reproduis un ci-après qui possède ce fumet inimitable des enviandages déguisés et qui vous rappellera certainement un khon tributeur de BdA qui pollue régulièrement de ses grossièretés argumenteuses :

    « La victoire d’une poignée d’agents publics coupables du mauvais entretien et copains architectes incapables de concurrencer la maitrise d’iuvrage privée va entrainer des années de retard et des millions de surcoűts.
    Rappelons que les travaux publics sont toujours réalisés par des entreprises privées, le PPP consiste seulement à remplacer un chef de projet fonctionnaire inefficace car mal encadré, peu expérimenté, souvent en congé ou malade ou en formation avec 10 semaines de congés à Marseille, par un chef de projet dans une entreprise performante.
    Les couts du PPP sont moins chers, toutes les comparaisons le montre quelque soit le pays.
    Le mensonge du Public consiste à comparer le cout global du PPP (conception + études + maitrise d’ouvrage + travaux + maintenance sur des dizaines d’années + cout du financement) avec le seul cout des travaux en maitrise d’ouvrage publique.
    Les juges, juristes,ne comprennent rien aux PPP »

    • Pardon, excusez-moi, voilà, hop, hop – je me fais un de place dans ce long commentaire pour faire mon bisou du nouvel an – pardon, voilà… :

      SMAC

      • (Faites-lui des bisous les filles, profitez-en sans aucune modération, stoïque comme peut l’être Pierre, il ne bougera pas plus qu’un Welsh Guard)

    • Pour revenir au sujet.

      En effet, ça pourrait être signé. Certains se plaignant déjà de favoritisme à peine voilé dans l’attribution des appels d’offre de certaines régions un peu trop insularisées dans le fonctionnement des pouvoirs publics, contre lequel il existe encore des recours juridiques (pénalement répréhensible) mais qui chantent les louanges de l’ultra libéralisme sont en droit de s’inquiéter sérieusement sur cette ultime possibilité qui leur était offerte à exercer face aux majors du BTP « ça-va-être-tout-pour-notre-pomme-nada-on-ne-partage-pas ». Bonne chance.

      • Bonne année, Flo, et essayez de faire preuve de modestie sur des sujets que vous ne maîtrisez pas. Pour les insinuations perfides, et les insultes gratuites, il y a déjà quelqu’un.

        Paul Vergès, qu’on ne présente plus, avait promis des révélations, sur le plus gros scandale, et son copain Flamby avait envoyé son nouveau PNF, et on allait voir ce qu’on allait voir … rien !
        Par contre, il avait oublié la triste affaire Dumez, qui avait valu de la taule à son fiston Pierre !
        https://www.liberation.fr/france-archive/1995/08/05/dix-huit-mois-ferme-pour-un-ex-maire-de-la-reunion-pierre-verges-a-ete-reconnu-complice-de-fraude_142532
        Au passage, le Pierre est actuellement « fonctionnaire territorial en disponibilité » -il a grade d’administrateur- , et voyage beaucoup, en attendant sa retraite

        • Il n’y a strictement aucune insulte – zéro Caliméro. Ne commencez pas l’année le foie chargé, gardez pour vous cette humeur des lendemain de fêtes à cran, de grâce, en m’accusant justement d’un tort que vous me faites justement. Et puis, que voulez-vous : non, non et non, je ne compte pas me priver en ce début d’année, dans l’élan de grande bonté qui me caractérise, de vous apporter cette aide précieuse qui vous serait si utile.

          Ne faites donc pas l’enfant, reconnaissez votre erreur.
          Bienvenue Camarade en 2020 !

    • Ce Gontran de La Jaquette a bien saisi la pensée de son maître – tel maître tel valet – on presse le peuple français comme un citron puis ensuite on jette l’écorce.

  106. Auguri a Santa Teresa e a tutti !
    Très bonne année à tout le monde même à Driout qui n’est jamais, jamais, jamais sympa.

    • Désolé Sansé je vous ai oublié dans ma liste des prédictions pour 2020 – personne n’est parfaitement antipathique que voulez-vous ! Même le diable se fatigue parfois …

  107. Mes prédictions pour 2020 :

    – Situation du Dugong stable – ni en hausse, ni en baisse. Valeur de petit rentier de la dérision.
    – Le JC en hausse, fébrilité brownienne, l’air de San Francisco sans doute, beaucoup de brouillard avec des éclairs de génie.
    – Savonarole glisse sur la pente fatale de l’embrouillamini – crash en vue – cela n’inquiète que Steppenwolf.
    – Flo sur le tapis de la salle de bains, toute mouillée encore de ses ébats aquatiques, splash splash, Beach Female va sortir du tube !
    – Pov’Dobo a le cœur à l’arrêt – ennuyeux pour une cyclothymique.
    – Zorglub a trouvé un ressort – il aimerait bien l’adapter à son combi WW Econo-line mais il tâte le terrain : est-ce bien pour faire le tour du monde à l’économie ?

  108. Prédiction 2020 suite et c’est pas fin :

    – Brighelli est dans un dilemme : il arrête de jouer au prof’grognon en juin 2020 ou il rempile dans une armée de mercenaires pour rétablir la dictature professorale dans quelque pays exotique où il fait bon vivre son gauchisme désoeuvré ? Que le Grand Schtroumpf me croque : je n’en sais rien !

    • Investir une île grecque (bien mieux que le Frioul) et sans coup férir, déclarer l’indépendance de la République de Bonnet d’Ane dans un cadre régionaliste européen ?

    • Un homme ! Un homme ! Toujours un homme ? Pourquoi pas un transgenre ? ou un inverti ? ou une lesbosphile, ou une Greta ou un pape viré du Vatican pour incompétence ?…

  109. Un homme ! Un homme ! Toujours un homme ? Bon dieu ! Pourquoi pas un transgenre ? ou un inverti ? ou un castrat ? ou une lesbosphile, ou une Greta débile ? ou une naine lubrique ? ou un Pape viré du Vatican pour incompétence ?…

    • Frappez et il vous sera beaucoup donné ! Précepte évangélique mis en application hier soir place Saint-Pierre par François qui a frappé la main d’une Asiate qui avait l’outrecuidance de vouloir retenir la sienne.

      • #WeToo
        C’est un cas de harcèlement de Pape, assez rare, jamais dénoncé ! Les jeunes Asiates sont délurées : elle lui a mis la main au panier et n’a pas voulu lui lâcher la mentule….
        Il n’a fait que se défendre, le malheureux François !

        • Vous pensez qu’elle voulait s’emparer de son gros bâton de St-Pierre ? Avec le nœud de commandement et tout et tout … la petiote Han-Moïse était une Rebecca impudente alors !

  110. Oui, et la tête qu’il a le pape, après coup, une vraie tête de bouledogue. Il n’a pas l’air content, content.
    Pas très chrétienne, son attitude.
    Moi qui croyais que le pape était un exemple de vertu, de patience, d’abnégation ; laissez venir à moi les petits enfants et tout ça. Ah, il est vrai que c’était une fille, cela les intéresse moins.
    Et que les affaires bancaires et papales ne sont pas au mieux.
    Ou alors il a joué au tarot hier soir et il a perdu ?
    Tout ce qu’on ne sait pas de la vie d’un pape !

    • Mon conseil pour Imbroglio, harcelé par des femelles : si l’une d’entre elle maintient sa poignée de main, lui titiller le téton, saisie par la grâce, elle lâchera vite-fait l’étreinte.

      Autre question d’ordre théologique ?

  111. Notons que BdA prend une drôle de tournure depuis quelque temps : un JC, une sainte thérèse.
    Y aura-t-il d’autres conversions pendant cette nouvelle année ?
    D’autres les rejoindront-ils sur le chemin de joie et de paix ?
    Driout en Frater machiavélique ?
    Dugong en Frater jardinier ?

    • Me retrouver avec Durit dans le même monastère, le même cloître, la même cellule…

      Arrgh !

      L’horreur ! L’horreur !

    • CONFRERIE DES BONNETS D’ANE

      Nous allons moderniser la religion ancienne.

      Premièrement, l’image
      – Nous avons besoin d’images. Le crucifié sera remplacé dans les cathédrales réquisitionnées par un portrait de Brighelli par Francis Bacon …notre dieu.

      Deuxièmement, le sens de la vie
      – Le catéchisme sera remis à jour toutes les semaines. Ce qui est mal deviendra ce qui est bien, et vice serva. Hop ! Moins de repentance, plus du tout de péché, le paradis sur terre…

      Troisièmement, le recrutement
      – Deux heures de fornication entre les prêtres et les nonnettes par jour devraient apporter un nombre de bébés, automatiquement sacrés « évèques potentiels » !

      Voila ce que j’appelle de mes voeux : une révolution théologico-créative ! Vive Jean-Paul Ier !

  112. Le 30 décembre 2019 à 12 h 06 min, Milady a dit :

    Cette nuit, en songe et sans nuisette, je portais une couronne. C’était le 6, jour érotique. Alors que la galette des rois je mangeais, un gland géant apparut soudain au coeur de la frangipane entre deux petits sujets ailés aux culs rebondis. Et je suçais, suçais, suçais, suçais à n’en plus finir ce gland qui s’offrait, et je tâtais, tâtais, tâtais, tâtais le cul des petits qui se dérobaient. On trouve des fèves dans la galette, mais on pourrait tout aussi bien y trouver des glands. Faudra-t-il donc toujours que nous sucions pour être couronnés, ça c’est une question.

    La fève érotique de la galette des rois de l’école était destinée aux rugbymen
    Stupeur dans une école primaire catholique bretonne : la fève découverte dans la galette des rois montrait une scène d’ébat sexuel.
    La fillette de CE2 était pourtant ravie d’avoir eu la fève lors de la traditionnelle galette des rois, dans son école catholique de Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine. Mais le soir, en la ramenant fièrement à la maison, ses parents n’ont pas partagé son enthousiasme, raconte Le Télégramme mercredi. La fève représentait un couple… en plein ébat sexuel. On pouvait même y lire en toutes lettres la mention « levrette.

    Rédaction Europe1.fr le 11 janvier 2017 ,,

  113. FILM COMIQUE
    Il est en train de se dérouler sur vos écrans ! Quel histoire fabuleuse ! Il me semble que, question style, celui de l’exfiltration de Carlos Gone est magnifique en ce début d’année.
    Sois le bienvenu parmi nous, Carlos ! …

    • Suggérons lui ce commentaire :
      « Trente singes morts, ça fait 30 guenons veuves qui peuvent intéresser un humaniste, spécialiste de la jeunesse animale, comme Matzneff ! »

  114. Des singes qui faisaient une levrette dans un zoo surpris en plein ébat par la lanterne filante de Dugong ? Tout cela a fini en un méchant méchouis simiesque …

    • Il y avait, en fait, un double sens sulfureux, et en fait, le double sens était érotique. Petit Chaperon Rouge, combien de fois faudra-t-il te le répéter : on ne sort jamais en porte-jarretelles sans son chaperon !

    • Et de même que tout moine bande en cachette sous sa soutane, sur tes gardes sois toujours, défies-toi de celui qui va sous cape.

      • Les moines portent-ils des soutanes ?

        Je ne suis pas expert mais il me semble que ce sont plutôt les curés qui portent des soutanes.

        Cela dit,il se peut fort bien aussi que les curés bandent.

        Maurice Sachs,dans le Sabbat,mentionne le plaisir que lui procurait le frottement de la soutane sur ses mollets.

  115. Pronostic 2020

    Qui va l’emporter dans le fameux match entre l’intelligence artificielle et la bêtise naturelle ? Je parie encore et toujours sur la bêtise – mais je peux me tromper.

  116. Le fantasme fondamental des néo-riches c’est de pouvoir se passer des pauvres – de cultiver l’entre-soi si agréable et si distingué.

  117. Affaire fondatrice du nouvel ordre mondial, l’affaire Carlos Ghosn.

    Les petits bourgeois Français qui se voient tous riches en puissance – des ex-pauvres on va dire – admirent la réussite de Carlos Ghosn et abominent l’esprit chauvin et étroit des Japonais.
    Moi évidemment je suis du côté du Japon contre l’apatride prédateur – l’homme aux trois passeports. L’homme dont la morale consiste à faire sa gloire et sa fortune avant toute considération collective et avant tout respect de la culture hôte d’accueil. L’homme qui considère que la bourse a toujours raison envers et contre toute moralité supérieure !

    • Faux !
      Carlos Gone est un aventurier admirable, un manager hors pair, le sauveur de Nissan, un saint adorant les situations d’exception ….et on l’emmerde pour quelques erreurs d’écriture comptable ? Ces magistrats japonais, comme tous les magistrats, imbus d’eux même, sont des ordures !
      Bravo carlos ! Tu as fais tout ce qu’un homme censé aurait fait à ta place, retrouver ta liberté en échappant à ces salopards de Nippons !

    • « considération collectie » ? qu’est-ce que ça veut dire ? une entreprise c’est fait pour dégager des bénéfices, créer de la valeur, et parmi les conséquences, de l’emploi !
      On ne parle pas des Ateliers Nationaux, et un dirigeant d’entreprise, c’est pas l’Abbé Pierre !

      • Piquer dans la caisse d’une entreprise cela s’appelle en droit « abus de bien social » !
        Une entreprise n’est pas un ovni – c’est une société régie par des lois … sociales !

        Si vous ne voyez pas de quoi je veux parler je ne peux décidément plus rien pour vous.

  118. La bourgeoisie française dans son immense majorité est d’accord avec l’abolition de l’Etat français – pourvu qu’il reste une espèce de faux état, un état-tampon comme la Belgique où le roi est juste le roi de Belges mais pas le roi de la Belgique !

    Les Anglais en votant pour Boris Johnson viennent de refuser que l’Angleterre devienne un ventre mou de la mondialisation.

    • Soyons lucides !
      La France a un Dieu jupitérien à sa tête, la Belgique un Roi, pizzaiolo de village …

  119. De Gaulle en juin 40 pensait que tôt ou tard sous la pression des évènements et par intérêt bien compris les Français – et notamment la bourgeoisie française c’est à dire le corps dominant – se détournerait de Vichy pour se rallier à lui dès que la victoire se ferait sentir du côté allié.
    Le poids des forces en présence faisait qu’il était solitaire en juin 40 mais qu’il serait majorité dès que Niké – la victoire aux ailes d’argent – ferait entendre son doux bruissement.

    • Chacun des membres de la sous-noblesse bourgeoise travaille pour l’intérêt de soi même et de ses proches, çad toujours être du côté positif de l’Événement. Ce qui me parait être un positionnement intellectuel bien meilleur que les vieilleries, utopiques, que l’on entend ça et là sur la Liberté l’Egalité et la Fraternité…

      • Événement avec une majuscule…ça doit signifier quelque chose.

        (Je sais vaguement que Badiou a une théorie de « l’événement. »)

        PS Une nouvelle preuve de la perversité de Driout:je l’avais félicité parce qu’il écrivait événement selon l’orthographe traditionnelle;maintenant,il fait exprès d’utiliser l’orthographe récemment admise par l’Académie.

  120. Nicolas Dupont-Aignan qui malgré tout son côté geignard sait compter explique dans une vidéo le sens de la retraite macronienne : les salariés les mieux payés de France – les 300.000 cadres supérieurs qui touchent 10000 euros par mois – 10 kE comme on dit – les cadres de la finance et de la haute industrie – n’auront plus à cotiser au régime général ; manque à gagner 5 milliards par an qui iront droit dans les caisses des assureurs-vie comme Black Rock.

    https://resistancerepublicaine.com/2020/01/02/retraites-macron-crache-a-la-gueule-des-francais-avec-la-legion-dhonneur-du-president-de-blackrock/

    • Mettons fin au système spécieux-spéciaux de la retraite par répartition.
      Vive le chacun pour soi ….!

    • non, un régime de base par répartition, garantissant le RSA, pour le reste chacun est libre de cotiser à un régime de capitalisation. J’ai déjà mis des liens ici.

      Et entre nous, j’ai nettement plus confiance dans des fonds privés qui ont fait leurs preuves, que dans notre état mené à la quasi faillite par des énarques acoquinés aux syndicalistes véreux pour gérer les caisses de retraites !

      • Espèce de * @*### +++ !!!!

        Apprenez donc à écrire vos propals avec le sérieux qu’il manque à vos commentaires. Bouffon.

  121. Le chaos statistique de vos commentaires ineptes ne parvient pas à me désennuyer.
    Il y aurait peut-être quelque chose de pourri dans le blog de Bonnet d’Âne !

    • Il n’y a même pas un Danois pour remonter le niveau dans ce promontoire d’Elseneur où les ânes viennent se noyer !

      • le blog est tout pourri depuis beau temps ! C’est pour ça qu’on y vient. C’est un blog pour nécrophiles qui aiment l’odeur de la charogne.

        • Mais oui, Pascale, et du reste, tout ce qui n’a pas encarté au PS, qui fleure la rose, peut-il espérer sentir autre chose que le pipi et le caca ?

          • Qu’on se le dise : une carte au PS peut-être utilisée suspendue à votre rétro, sans avoir la forme du traditionnel résineux, votre bout de carton vous prémunit des mauvaises odeurs non conformes à la fragance de bon aloi qu’elle se doit d’évoquer : celle des chiottes que l’on vient tout juste de cleaner agrémentés du petit pschitt qui fait la différence. C’est la merde mais ça sent bon et on peut dormir dedans. Un standard : note de coeur de moraline, note de tête en bien pensance en format Wizzard.

  122. Macron met la dernière touche à la mondialisation par effacement définitif de l’être français : Savonarole répond fébrilement à la dernière question d’Asimov : quelle est l’entropie finale de l’univers ?
    Moi être inepte je persiste à ne rien comprendre à toutes ces beautés largement répandues à foison devant nos yeux comme un tapis kaléïdoscopique de l’intelligence !

  123. J’ai tout compris ! Pour Pheldge le patron est de droit divin … le soir il vérifie les caisses et il racle les fonds de tiroir pour aller faire tourner la roulette au casino d’en face – ou bien se payer une ligne de coke – et le manant comme moi n’a rien à y démêler !

  124. Il faut faire comme au Qatar : confisquer les passeports des salariés et fournir au patron qui part avec la caisse un deuxième passeport si nécessaire – cf Carlos Ghosn et son vrai passeport français entre les mains de ses avocats japonais et son toujours aussi vrai passeport fourni par Sarkozy et l’ambassade de France.

    Ca c’est de la musique ! Je vais les faire danser les salariés français comme disait Macron 1er !

    • Vous savez dans ce « nouvel ordre mondial » on peut très aller loin – certains disent qu’on n’ira jamais assez loin !

  125. Là où commence l’embrouille c’est quand on fait croire que la « mondialisation » c’est le standard le plus élevé possible de droits et de protections sociales !
    Il existe à travers le monde maints systèmes politico-économiques où le salarié est traité au choix comme un roi-fainéant ou comme un serf taillable et corvéable à merci !
    Dans les pays musulmans du Golfe persique le salarié immigré de basse extraction et de faible qualification est un serf ou voire même un esclave !
    Le moyen-âge et l’antiquité ne sont pas loin !

  126. Le 2 janvier 2020 à 14 h 26 min,
    Pheldge
    a dit :
    non, un régime de base par répartition, garantissant le RSA, pour le reste chacun est libre de cotiser à un régime de capitalisation. J’ai déjà mis des liens ici.

    Et entre nous, j’ai nettement plus confiance dans des fonds privés qui ont fait leurs preuves, que dans notre état mené à la quasi faillite par des énarques acoquinés aux syndicalistes véreux pour gérer les caisses de retraites !

    Bosse-t-il pour le groupe Carlyl ? Sérieusement. Insupportable. Entre le Dindon qui se prend pour la Sophie Haram du blog, investit par la mission de sortir des ténèbres celles et ceux qui ne dénonceraient pas la prostitution enfantine aux Philippines (on l’a attendu) et ce ****… Nous le savions que 2020 serait une année de merde, mais quand même.

  127. Le 2 janvier 2020 à 13 h 06 min,
    JC…..
    a dit :
    Mettons fin au système spécieux-spéciaux de la retraite par répartition.
    Vive le chacun pour soi ….!

    Et Dieu pour tous !
    Ce blog prend vraiment la bonne voie. Je suis confiante.
    JC est notre guide
    JC est notre force
    JC est notre joie

    • Chez nous soyez Reine, nous sommes à vous !
      Régnez en souveraine
      Chez nous, Chez nous
      Soyez la madone qu’on prie à genoux,
      Qui sourit et pardonne,
      Chez nous, Chez nous. !

    • Ou alors c’est le bousier divin … le fameux scarabée des chemins de Provence chanté par l’aède Jean-Henri Fabre !

      Rien ne se perd, rien ne se crée : ni le divin, ni le mesquin !

  128. On privatise les retraites mais on peut aller plus loin et pourquoi pas ? On peut privatiser les impôts … on confie à une régie de fermiers généraux le soin de collecter les impositions à charge pour elle de verser une taxe à l’état.

    Vous me direz au Liban pas d’impôt pas d’état c’est encore plus simple à réaliser ! La privatisation et la communautarisation idéale !

  129. Lettre fantasmée de rupture de Milady à Jean-Paul après qu’il l’ait déflorée… :

    Mon lover, mon étalon du Nirvana, si tu m’aimes…

    Alors je t’en prie, laisse-moi partir, et faire de nous deux mes plus beaux souvenirs. Je suis heureuse que les dernières heures que j’ai vécues avec toi aient été des heures de félicité, de plaisir, de tendresse. Ces ultimes étreintes feront s’atténuer dans ma mémoire les instants douloureux pour laisser place aux moments d’intense bonheur. Et bientôt c’est le merveilleux Jean-Paul, dont je me souviendrai. Celui-là seul.

    Tu es mon premier amant, mon tendre initiateur, celui qui a fait en sorte que je garde toute ma vie un beau souvenir de ma découverte de l’amour. Tu m’as ouvert les yeux, je suis née dans tes bras.

    Surtout, je t’en supplie, ne crois jamais que j’ai «tourné la page», que je «renie mon passé», ou quoi que ce soit de ce genre.

    Tu es et resteras jusqu’à ma mort mon premier amour et jamais je n’oublierai tout ce que nous avons vécu et combien nous nous sommes aimés. Ce que nous avons vécu de bonheur, de plaisir, d’amour fou, cette communion parfaite de nos cœurs et de nos corps qui nous unissait si fort, rien ni personne ne pourra jamais me les enlever, cela est mon trésor… et ma croix, pour l’éternité. Ton amour, Jean-Paul , est un soleil qui brillera en moi pour toujours. Jamais de la vie l’idée de regretter de t’avoir connu et aimé ne me viendra, je le jure devant Dieu.

    D’ailleurs, je ne te quitte pas vraiment puisque je garde auprès de moi tels des anges gardiens ou des garde-fous ce qu’à présent j’ai de plus précieux au monde: tes lettres, tes poèmes, tes photos, tes cadeaux, objets qui font partie intégrante de l’histoire de nos amours, et que je chéris plus que tout au monde.

    Une dernière fois je baise tes paupières si douces et j’espère que tu seras heureux.

    Adieu.

      • Bah, peut-être mais elle est sincère Monsieur Messire Rabat-joie en début d’année – c’est beau l’Amour ! Elle est quasi identique à 99% de celle d’une Vanessa adressée à celui-dont-on-ne prononce-plus-le-nom. Pff…

        • C’est du gnangnan style farci de mièvritude.

          Comment peut-on continuer à bander après pareille sortie ?

          • Le premier concerné, son destinataire et selon ses dires, la range dans ses plus belles déclarations de rupturo-mamours qu’il ait reçues. Non, ce n’est pas rien… ça dégouline un chouille, sur les bords, à côté, certes, certes, mais la sincérité, sous l’égide de cette fraîcheur qui subsiste, n’est-elle pas la beauté qui donnerait l’ampleur absolue à une telle déclaration de sentiments ? Bah, si !

    • Vous oubliez le Post Scriptum: sur ma fesse droite j’ai fait tatouer ton souvenir afin qu’à jamais tu sois de mes fesses le héraut et le sbire

  130. Parabole des talents
    Évangile selon Matthieu, chapitre 25, versets 14 à 30 :
    Jean-Paul explique sa conduite à son maitre :
    J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans un blog !
    Et le maitre de répliquer :
    Quant à Jean-Paul, ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ;
    là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !

  131. Le 2 janvier 2020 à 15 h 11 min,Pheldge a dit :

    allons allons, faut pas vous emporter M. Driout … un patron n’est nullement au dessus des lois, mais dans le cas cité, sa chute n’est pas innocente :
    lefigaro.fr vox économie bertille-bayart-et-emmanuel-egloff-la-chute-de-carlos-ghosn-a-ete-orchestrée.

    Cela fait longtemps que Ghosn et ses partisans soutiennent que l’on a comploté contre lui;c’est tout à fait plausible.

    Dans l’entretien quil a donné à l' »Asia Nikkei »,il y a un an,Ghosn dit qu’on a comploté contre lui,mais IL NE DIT PAS qu’il n’y a rien dans le dossier du procureur;avec une naïveté confondante (et sans doute feinte) il déclare:je ne suis pas juriste ,je ne sais pas si ce que j’ai fait est illégal !

    Quand on occupe une position aussi éminente,on a forcément beaucoup d’ennemis;la question qui reste posée est:les opérations financières de Ghosn tombent-elles sous le coup de la loi japonaise ?

    PS je me suis amusé à inclure dans l’extrait cette déclaration de Ghosn l’an dernier: »je ne m’enfuirai pas;je me défendrai. »

    Exclusive interview: Ghosn says ‘plot and treason’ led to arrest
    Ex-Nissan chief claims rivals wanted to ‘get rid’ of him
    Nikkei staff writers
    JANUARY 30, 2019 17:00 JST UPDATED ON JANUARY 30, 2019 23:28 JST
    « [Have I] done [something] inappropriate? I am not a lawyer, I don’t know the interpretation of [such] facts, » Ghosn said, showing his frustration over Nissan’s internal investigation.
    « These are known by everybody, why didn’t they tell me? »
    Ghosn, whose second bail request was rejected Jan. 22, insisted that he was not a flight risk and he would not destroy evidence.
    « I won’t flee, I will defend [myself], » he added.

    https://asia.nikkei.com/Business/Nissan-s-Ghosn-crisis/Exclusive-interview-Ghosn-says-plot-and-treason-led-to-arrest

    • bof, aux USA il aurait invoqué le 5 ème amendement … là il prend des précautions pour ne pas critiquer la magistrature japonaise, rien de plus. Avez-vous déjà eu affaire à des flics, ou des juges M. Lormier ? je ne pense pas, vous auriez réagi tout autrement !

  132. Du texte à l’image et lycée de Versailles.

    Le 26 décembre 2019 à 16 h 00 min,Milady a dit :

    « … ma mère aperçut alors une couille bien gainée par l’exiguïté du passage de fortune se fourvoyer discrètement hors du maillot tendu par la position assise de son compagnon exposant ainsi à nu les sentiments polis de son propriétaire. Ils avaient 14 ans. »

    Les dessins de Reiser qui ont été proposés en illustration ne sont pas du tout fidèles à la description;les détenteurs de couilles se tiennent debout et les couilles pendent naturellement hors de maillots très lâches.

    J’ai bien noté la précision du texte de Milady-précision qui n’exclut pas le recours à l’implicite:ce n’est pas seulement la position assise qui crée une tension;l’érection (les sentiments polis…) occasionne aussi une augmentation du volume à l’intérieur du maillot,d’où le « fourvoiement » de la couille.

    Et comment rendre justice à l’admirable double-entendre (« exposant…à nu ».) ?

    Quant à l’accompagnement visuel et sonore que nous offre,en supplément, Milady,je crois pouvoir le comprendre ainsi:le tableautin du texte (miniature si vous préférez) évoque beaucoup plus largement l’atmosphère des amours de plage-thème si cher à ceux qui ont (un peu) vécu.

  133. Du texte à l’image et lycée de Versailles.

    Le 26 décembre 2019 à 16 h 00 min,Milady a dit :

    « … ma mère aperçut alors une couille bien gainée par l’exiguïté du passage de fortune se fourvoyer discrètement hors du maillot tendu par la position assise de son compagnon exposant ainsi à nu les sentiments polis de son propriétaire. Ils avaient 14 ans. »

    Les dessins de Reiser qui ont été proposés en illustration ne sont pas du tout fidèles à la description;les détenteurs de couilles se tiennent debout et les couilles pendent naturellement hors de maillots très lâches.

    J’ai bien noté la précision du texte de Milady-précision qui n’exclut pas le recours à l’implicite:ce n’est pas seulement la position assise qui crée une tension;l’érection (les sentiments polis…) occasionne aussi une augmentation du volume à l’intérieur du maillot,d’où le « fourvoiement » de la couille.

    Et comment rendre justice à l’admirable double-entendre (« exposant…à nu ».) ?

    Quant à l’accompagnement visuel et sonore que nous offre,en supplément, Milady,je crois pouvoir le comprendre ainsi:le tableautin du texte (miniature si vous préférez) évoque beaucoup plus largement l’atmosphère des amours de plage-thème si cher à ceux qui ont (un peu) vécu.

    • Excellent commentaire. Elle aperçut avec un t, en effet, emportée par la douce rondeur de cet après-midi d’été atlantique, j’étais déjà, encore, dans le nu poli et non phallique ostentateur. Remarquons aussi que je parle des sentiments polis et non poilus. C’eusse pu déraper, mais c’eusse été gâcher par un malencontreux glissement sémantique l’éloquence virginale de cette couille impressionniste.

    • Remarquons aussi la présence de roseaux dans le paysage « assis dans le sable parmi les roseaux » qui n’est pas un détail fortuit mais un élément pictural majeur alimentant subtilement l’imaginaire romantique du lecteur curieux et pudique.

  134. Le Nom de la rose d’Umberto Eco devient un feuilleton télé.
    Je vous résume Le Nom de la rose en une question :
    Vous n’auriez pas vu la Poétique d’Aristote ?
    Et pour le Terminator, je vous le résume aussi :
    Vous n’auriez pas vu Sarah Connor ?

  135. Dialectique du théoricien et du praticien :
    Pour le théoricien, le praticien est un patient qu’il convient d’entendre avec une oreille très sélective, car le rapport signal sur bruit de son discours est très mauvais.
    A bon entendeur….

  136. Quand j’étais jeune je croyais en l’évolution : je pensais que les gens se bonifiaient en vieillissant !

  137. Le 3 janvier 2020 à 13 h 05 min,Milady a dit :

    Remarquons aussi la présence de roseaux dans le paysage « assis dans le sable parmi les roseaux » qui n’est pas un détail fortuit mais un élément pictural majeur alimentant subtilement l’imaginaire romantique du lecteur curieux et pudique.

    Quelles images naissent d’une lecture ?

    Vous décrivez précisément un paysage et une partie d’un corps humain;soit nous essayons d’imaginer la scène telle qu’elle existe dans votre souvenir (lui-même né d’une histoire que vous a racontée votre mère),soit nous passons sur les détails et nous puisons, par réflexe, dans le stock d’images que nous avons engrangées depuis des décennies; »couille dépassant du maillot »,voilà comment le dessin de Reiser est archivé dans notre mémoire:comme il est question de couille et de maillot,l’archiviste pressé nous ramène Reiser.

    Cela s’appelle-t-il lire ?

    Lormier l’a souvent répété:lire,c’est lire tous les mots.

    • Cela me fait penser aux éditions italiennes de « La Divine comédie » de Dante où les notes explicatives occupent plus de pages que le texte !

  138. Pour prendre du plaisir à la lecture savante, il faut trente ans de propédeutique selon Lormier ; auparavant on est en période de probation … tout lecteur doit surveiller ses arrières !

    • Lire tous les mots,est-ce pratiquer la « lecture savante »?
      Homo sapiens:homme sachant et aussi homme savourant.

      Plaquer Reiser sur Milady c’est comme mettre du coca-cola dans son Château Margaux.

  139. Le Mandarinat n’est pas une sinécure ! Mais ça risque d’être d’un ennui mortel sur la fin … un peu comme le calcul de l’entropie de l’univers.

    • Une énième preuve de la perversité de Driout:je l’avais félicité parce qu’il écrivait « événement » selon l’orthographe traditionnelle;maintenant,il fait exprès d’utiliser l’orthographe récemment admise par l’Académie.

      On peut être pervers,on peut aussi être perverti;le perverti est peut-être excusable:il a subi; »on » l’a perverti;

      A côté du mot « inverti »,il n’y a pas le mot « invers ».

      Nom: »évolution »;verbe correspondant: »évoluer ».

      Nom (rare,mais existant): « dévolution »; le verbe « dévoluer » ne figure pas dans les dictionnaires;c’est un néologisme,récemment employé par Il Maestro;néologisme de son invention ?

      Dugong a cru pouvoir me donner la preuve de l’existence du verbe « dévoluer » en me citant un texte dans lequel ce verbe n’apparaît pas !

      Curieuse démonstration;c’est ça la SCIENCE ?

      Dugong écrit « Claude Bernard » en minuscules parce qu’il ne tient pas le personnge en haute estime.

      • Quand un verbe doit, à l’évidence, être utilisé et qu’il n’est pas employé, c’est le signe incontestable non seulement de son existence mais aussi de sa nécessité.

        Bonne année quand même.

  140. Denis Collin,dans Marianne:

    « …la pédophilie a toujours fait partie des moeurs des puissants​. »…

    Matzneff fait-il,faisait-il partie des « puissants » ?

    « La domination sur les femmes trouve son prolongement dans la domination sur les enfants. Et la racine de toutes ces formes de domination n’est rien d’autre que la mise en esclavage de l’homme par l’homme.  »

    Ça colle bien avec,par exemple,le cas Strauss-Kahn ; souvenons-nous du ricanement d’Emmanuel Kahn (« il a troussé la soubrette »)

  141. « Davantage que cette chasse à l’homme qui est en train de se mettre en place vis-à-vis de Matzneff, un vieux monsieur dans la misère qui n’est plus en mesure de nuire à qui que ce soit, pour moi, c’est l’hypocrisie de toute une époque qui doit être remise en question ».
    Vanessa Springora.

    Enfin…

    • Vous n’avez rien compris au scenario du film.
      Le but de cette séquence médiatique sur un cas pathologique et heureusement très rare est de trainer dans la boue le patriarcat pour promouvoir un matriarcat, encore plus abject, pervers et nocif.

      • Possible, certaines ne cachent pas leur velléité contre le mal blanc de plus de cinquante ans. Sauf que le monsieur en question est encore aux manettes et ne compte pas céder la place.
        L’intersectionalité tant souhaitée par nos acteurs mondiaux, blancs de plus de cinquante ans ultra libéraux, peut difficilement se mettre en place dans un pays où la mosaïque culturelle est composée que de deux sections. Ces actions n’auraient pas d’autres enjeux que de segmenter et perpétrer la fracturation sociale en cours, rien de plus ?
        Ou bien serait-ce l’esprit du temps, celui de l’émotion compulsive aussi courte dans sa réflexion (nous avons quelques exemples sur ce fil) et dans sa durée qu’il ne lui a fallut pour apparaître sous le patronage du réseau social, véritable monarque de l’invective populaire à deux balles ?

    • En tant que Scientifique, je peux vous expliquer :
      Il ne faut JAMAIS tirer de conclusion générale d’un cas particulier.
      Cette tendance possède un nom :
      la généralisation abusive, ou induction FAUSSE !

      • Foutez-lui la paix à l’induction !

        Grâce à elle, la cervelle humaine a fait de grandes découvertes scientifiques.

        • Grâce à la conduction voulez-vous dire ! En effet certains breuvages parvenus à l’estomac puis aux intestins produisent une ébullition favorable de la cervelle.

      • On peut émettre une hypothèse qui sera ultérieurement validée par une recherche approfondie.
        Je vais m’expliquer par un exemple médical vétérinaire. Le chien peut être atteint de lupus, auquel cas on trouve dans son serum des anticorps antinucléaires ( = AcAN). Mon prof de médecine à l’école était en pleines recherches sur cette pathologie, d’où un cours très solide qui m’avait fort impressionnée.
        Lors de mes débuts à mon compte, je diagnostique avec ravissement une poly-arthrite lupique, avec plein d’AcAN. Quelques mois plus tard, ce chien développe une leishmaniose, et, soignant la leishmaniose, le lupus entre en rémission.
        J’avais un camarade de promo agrégé de médecine à l’école véto et je lui fais part de cette constatation, lui disant que j’en concluais qu’il pouvait y avoir des AcAN en cas de leish. Il me répond à la Savonarole.
        Mais… un an plus tard, il sort un magnifique article, statistiquement fiable, qui fit grand bruit et lui valut les honneurs des vétos et médecins, confirmant l’hypothèse que j’avais émise suite à ce cas particulier qui devint dès lors un cas général de diverses formes immunopathologiques de leishmaniose ( polyarthrite et/ou glomérulopathie).
        Il ne m’a même pas envoyé un tiré à part de l’article … J’avoue m’être senti flouée.

        • « un camarade de promo » … ça veut tout dire 😉 vous avez je l’espère retenu la leçon !

          • Non, Pheldge ! Il n’y a pas de leçon à retenir « et si c’était à refaire, je referais ce chemin ».
            Je ne peux seule, en exercice libéral, pousser suffisamment loin les investigations. Quand j’ai une idée, je ne demande pas mieux que la communiquer. Un simple coup de fil por me dire « j’ai creusé à partir de ta constatation et je te confirme que tu avais raison » aurait suffi.
            Ceci n’ayant pas été fait et la vengeance étant un plat qui se mange froid, je lui ai donné un coup de pied en vache douze ans plus tard …

          • Pheldge en pleine crise, ses tendances compulsives du quant à soi en démonstration…
            ?
            (comme vous le faite : Interdiction de s’énerver je suis encartée à l’emoji)

          • je voulais simplement dire par là, que ce n’est pas parce qu’il s’agissait d’un camarade de promo, qu’il fallait s’abstenir de toute précaution : compte tenu des applications possibles, il aurait été prudent de garder une trace écrite de cet échange. Je ne dis rien de plus. La confiance aveugle, c’est bon quand on est môme …

        • Je compte écrire un livre sur le thème :
          La Science ne paye pas
          Je viendrai discuter avec vous dans votre patelin paumé sur ce bel exemple.

        • Pour la véto de la Drome
          J’ai expérimenté la même chose que vous dès le lycée.
          Il y avait de gros musclés qui voulaient recopier mes devoirs de math.
          J’avais trouvé la parade en disant que je ferai le devoir à la dernière minute.
          J’ai ainsi acquis une réputation de feignant qui m’a été très profitable !

    • Toujours sympathique, et plus facile, de juger a posteriori !….Ce qui serait plaisant ce serait d’aimer les pouffinets et le pouffinettes sans les niquer.

  142. De nombreuses découvertes majeures ont eu pour départ un cas particulier, un accident individuel.
    Rappelez-vous la découverte de la pénicilline qu’on nous a tous enseignée au collège.

    • Mes étudiants de BTS en bio-analyse et contrôles me la sortent chaque année, celle-là!

      (C’est généralement pour essayer de minorer leur négligence ou leur gros poil dans la main.)

  143. Alors que le réchauffage climatoridien s’amplifie en accélérant et accélère en s’amplifiant, il devient urgent de prendre des mesures et comme des tas de gens dans d’improbables labos le font déjà depuis lurette, il convient d’agir autrement.

    Bien entendu, aucune action n’est sérieusement en mesure de contrecarrer le zimbrec. Aussi, je propose qu’en ce début d’année, on sacrifie le plus khon des khommentateurs de BdA, à titre d’exemple et d’exutoire.

    Enjoyer en désignant votre favori.e ainsi que les modalités du sacrifice.

    PS : Ne rêvez pas ! En tant qu’organisateur et manipulateur de cette khonsultation, je suis automatiquement exclu des nominations. Question d’éthique.

    • Supposons qu’il y ait « nécessité » de créer un verbe « enjoyer » à partir du substantif « joie »;ce verbe,né d’un fiat dugonguesque/algonquinois,pourrait,ou devrait signifier :mettre en joie ou encore « se réjouir »…

      Mais ne devrait-il pas être au mode impératif dans la phrase: « Enjoyez en désignant votre favori.e ainsi que les modalités du sacrifice. »

      NB Dans l’énoncé d’un problème de mathématiques,par exemple,on peut opter soit pour l’infinitif soit pour l’impératif:

      Exemple:

      Démontrer /Démontrez que pour tout entier n strictement positif, 2n+1 n’est pas divisible par 7.

      MAIS,

      L’impératif s’impose si la phrase s’adresse explicitement à quelqu’un (un « vous »):

      Démontrez,en vous appuyant sur le théorème de Dugong-Mormoëlle que…

    • Ce ne sont pas des modalités de sacrifice mais du grand d’art, une performance, du jamais vu dan vos cervelles innocentes, une expérience dont vous ne sortiriez pas indemnes si je lui mettais la main dessus, en vrai… La sauterie ça durerait trois jours au bas mot.

  144. Je propose qu’on élimine le général Soleimani – ça fait longtemps que ce soleil nous réchauffait les oreilles.

  145. Le 3 janvier 2020 à 17 h 17 min,Pheldge a dit :
    dévoluer est utilisé en Droit Civil : dévolution successorale etc …

    Je ne voudrais pas vous rapprocher de Dugong,tant cela vous blesserait;mais ,comme lui, vous donnez un exemple ne comportant pas le verbe « dévoluer ».
    Comme preuve de l’existence d’un tel verbe,c’est plutôt faible.
    Avez-vous un dictionnaire du Droit attestant l’existence de ce verbe ?

    Ça m’intéresserait d’avoir la référence.

    A Bab-El-Oueb,j’ai trouvé ceci-qui va un peu dans votre sens:

    Remarque

    La documentation atteste, exceptionnellement, à partir de 1893 (E. Perrier, Zool., t. 1, page 943) l’emploi d’un verbe transitif (dérivé de dévolu) dévoluer.
    Le rôle musical que la liturgie milanaise a continué de dévoluer aux diacres (Gastoué, Orig. chant romain, 1907, page 285).
    Il [le juriste] dévolue à celui-ci [le droit individuel] la réglementation des guerres, des conflits et des délimitations (J. Vuillemin, Être et trav., 1949, page 114).
    Une forme de part. passé passif dévolué au sens de « échu » et un infinitif dévoluer au sens de « échoir » (correspondant au b. lat. jur. devolutus, devolvi) sont sporadiquement attestés du xive au xvie siècle.

    https://www.le-tresor-de-la-langue.fr/definition/devolu

  146. quant à l’express, il n’est pas en reste :
    lexpress.fr/actualite/sciences/l-obesite-engendre-un-surplus-de-20-d-emission-de-co2_2112044.amp.html

  147. Le 3 janvier 2020 à 17 h 09 min,Pheldge a dit :
    bof, aux USA il aurait invoqué le 5 ème amendement … là il prend des précautions pour ne pas critiquer la magistrature japonaise, rien de plus. Avez-vous déjà eu affaire à des flics, ou des juges M. Lormier ? je ne pense pas, vous auriez réagi tout autrement !
    Comme d’habitude,vous éludez la question:complot contre lui ou pas,Ghosn a-t-il enfreint une ou des lois japonaises ?
    Deuxièmement, le 5ème amendement n’a rien à voir avec l’affaire Ghosn.
    Troisièmement,s’il ne critique pas spécifiquement les magistrats à qui il a eu affaire,il a,depuis Beyrouth, vertement critiqué l’ensemble de la justice japonaise (présomption de culpabilité,violation des droits de l’homme etc.)
    Quatrièmement, un dossier est ouvert en France;on y trouve notamment le nom de Rachida Dati à qui Ghosn a fait verser 900 000 euros pour un travail dont on peine à trouver une trace quelconque.
    S’il venait en France,il ne serait pas extradé vers le Japon,mais devrait-il répondre de ses actes devant un tribunal ?
    Madame Dati,elle aussi, dénonce une opération cousue de fil blanc pour la déstabiliser au moment des municipales.
    Ces gens-là réagissent de la même manière quand ils sont mis en cause.

    • M. Lormier, vous me faites un procès d’intention, vous évaluiez la réponse de Ghosn, j’en fais de même, et je la trouve prudente. Z-t-il enfreint la loi japonaise ? je crois que personne ne sait exactement aujourd’hui ce qui lui est reproché, pas même les procureurs !
      Le 5 ème amendement c’est « la possibilité de ne pas à avoir a témoigner contre soi-même » et donc d’éviter l’auto-incrimination. ==> en dire le moins possible, rester dans le flou tant que les faits reprochés ne sont pas connus.

      Enfin pour Dati, ne pensez-vous pas qu’il avait la possibilité, s’il s’agissait d’un pot de vin, de passer par des comptes off-shore, et lui verser le pognon sur un compte aux Caïmans ou à Jersey ? vous prenez ces gens pour des truffes ? vous croyez qu’ils ont envie de se faire pincer ? moi pas !

  148. Ah ! ah ! On a en France 20 743 128 tordus qui ont voté pour un employé de « Le Firme » afin de se faire torturer aux petits oignons pendant cinq ans ! Effectivement je ne suis pas le mieux placé pour postuler … ma compétence s’arrête à mon vote !

    • « La Firme » ; ceci dit Tom Cruise qui est un grand benêt s’en tire sans un poil de mouillé alors que le Macron je ne suis pas sûr que ses employeurs ne s’en débarrassent pas si le job ne leur plait pas.

  149. Affaire Ghosn;hypothèse en provenance du Japon.

    Certains commentateurs japonais font observer que Ghosn,s’il ne s’était pas enfui aurait été condamné ,probablement à une quinzaine d’années de prison-ce qui aurait nui aux relations diplomatiques et commerciales du Japon . (Hypothèse la plus pessimiste:mort en prison.)

    Selon ces commentateurs japonais, le gouvernement (ou des membres du gouvernement) auraient facilité la fuite de Ghosn pour en être débarrassés et retourner la situation au profit du Japon.

    NDL:manœuvre typique du judoka.

    • Précision à l’endroit du lecteur néophyte et selon ce qu’en pense un avocat (Castelnau pour changer) :

      « Le système judiciaire japonais est simplement barbare. Aucune des normes internationalement reconnues n’y est sérieusement appliquée. Tout repose sur la détention pression et l’aveu et 99,4% des personnes poursuivies sont condamnées.
      La corruption de la magistrature y est notoire comme la sévérité inhumaine des condamnations. Le Japon, est resté à une forme de barbarie judiciaire dont on n’a pas idée ici.
      Enfin, il est du devoir de tout homme privé de sa liberté d’essayer de la recouvrer. Du point de vue du détenu l’évasion est légitime. La tenter pour l’homme enfermé dans une cage est ce qui lui reste de dignité. Tout comme il est du devoir impératif de l’État qui le détient légitimement de l’empêcher. C’est comme ça que ça marche. »

  150. Le Japon est un pays admirable à tous égards ! Ceci dit personne n’est obligé d’y vivre – d’autant qu’il sélectionne de manière draconienne ceux qui sont habilités à y demeurer !

  151. Quête, requête, requéquette et dix de der (suite)

    Un mystique et prophète d’aujourd’hui, Bernard Feillet, vient de mouriré.

    https://www.la-croix.com/Debats/Forum-et-debats/Le-mystere-Dieu-sans-ordre-etabli-2020-01-03-1201069607

    Ce grand homme était « habité du désir et de l’attente que l’homme a de Dieu »

    Ce qu’il résumait d’une maxime : « quand je saisis l’homme dans son extrémité, je saisis Dieu dans sa proximité »

    On s’en doutait : dieu a une petite bite

  152. Le 3 janvier 2020 à 15 h 04 min,Lormier a dit :

    Une énième preuve de la perversité de Driout:je l’avais félicité parce qu’il écrivait « événement » selon l’orthographe traditionnelle;maintenant,il fait exprès d’utiliser l’orthographe récemment admise par l’Académie.

    De Driout,je peux dire:un « inverti pervers »,mais pas un « invers perverti »;car le mot « invers » n’existe pas.

    A côté du substantif « évolution » nous avons le verbe « évoluer »;certains en tireraient argument pour accréditer le verbe « dévoluer » (car dévolution existe.)

    Allons plus avant,suivons ces esprits subversifs:le verbe « révoluer  » existe-t-il à côté du substantif « révolution » ?

    Notule: Proust se moque ,dans La recherche,de l’expression « porte revolver »,traduction curieuse de l’anglais « revolving door ».

  153. En France il règne sur l’opinion publique et sur les moeurs et sur l’éducation depuis un demi-siècle un gauchisme d’une grande vulgarité qui n’a rien à voir avec la culture ancienne du pays – une culture accumulée par strates successives. Donc d’une certaine manière je suis devenu un étranger en mon propre pays … je n’aurais guère de mal à m’adapter à une autre culture car je ne reconnais plus guère la mienne – encore faudrait-il que cette culture me soit accessible.

  154. Résumons la situation : Dobo n’a pas de voisin à 5kms à la ronde – ce qui lui permet de dire qu’elle est pour la socialisation des espèces invasives. Dugong a quitté l’enfer marseillais pour se réfugier au fin fond du Périgord et donc il explique qu’il ne sent absolument pas étranger !

    • Il y a des gens qui veulent faire semblant jusqu’au bout ! Jusqu’à la dernière minute ils veulent pouvoir dire : tout va bien ! tout va pour le mieux !

      En politique ce tempérament se retrouve aussi – tout s’écroule autour d’eux et ils prétendent que ce ne sont que des aléas !

  155. Majorer n’a pas du tout le même sens en mathématiques et dans la langue courante (fait dont les professeurs de mathématques ne s’avisent pas tous.)

    Gus,fonctionnaire de l’Education Nationale, (autrement dit un nuisible) est payé selon l’INM ou indice nouveau majoré ,c’est-à-dire augmenté.

    Si vous faites venir un médecin parce qu’ un petit bouton sur votre ventre vous inquiète,il peut vous applique un DE (dépassement pour exigence exceptionnelle du patient); le prix de la viste est majoré.

    • « fonctionnaire de l’Education Nationale, (autrement dit un nuisible) », euh, surtout coupable de passivité avec ses collègues depuis 50 ans ! 😉

      • J’aurais pu préciser « nuisible aux yeux de certains » mais ça m’a semblé superflu.

        PS Gus n’a pas encore 50 ans. Aux yeux de ceratains,il est coupable aussi des fautes de ses prédécesseurs.

    • Nous apprenons que notre pape Jean-Paul Ier est retenu prisonnier par un groupe d’Etudiantes Scandinaves en Langues Orientales.
      Ces amazones semblent déterminées !
      Ses conditions de captivité ne sont nipponnes ni mauvaises, certes, mais nous devons l’aider à se libérer de ces furies. Que pouvons nous faire pour exfiltrer le Maestro ?

  156. Si tous les déséquilibrés à prénom juif * se mettent à l’islam aux alentours de Villejuif, on n’est pas au bout de nos peines.

    Faut dire qu’être affublé d’un tel prénom dès la naissance alors qu’on se sent musulman, c’est bien pire que se sentir fille dans un corps de garçon.

    * dans le top ten hébreux, on trouve Adam, Ben, Daniel, Ethan – éviter Buthan – Jacob, Omer. Ça en fait des déséquilibrés potentiels.

    • Question troublante en passant : dans un top ten trouve-t-on nécessairement un plus petit majorant ?

  157. En voyant tous ces animaux qui fuient en ce moment les incendies en Australie, on se dit que voyager dans ce pays en kangourou, faut vraiment pas le faire.

    • Ça pue la catholicaille réac qui se lave avec parcimonie.

      Ça donne presque envie de voter à gauche.

      • Il vaut mieux se laver avec Parcimonie, beauté corse qu’avec Martinez, beauté exotique flétrie depuis longtemps, ne bénéficiant plus du pognon soviétique à l’ancienne….

  158. Le 3 janvier 2020 à 21 h 17 min, Savonarole a dit :

    Pour la véto de la Drome
    J’ai expérimenté la même chose que vous dès le lycée.
    Il y avait de gros musclés qui voulaient recopier mes devoirs de math.
    J’avais trouvé la parade en disant que je ferai le devoir à la dernière minute.
    J’ai ainsi acquis une réputation de feignant qui m’a été très profitable !

    Ah ouais ? Tout le contraire de moi ! En Physique, en TC, nous avions un devoir sur table tous les 15 jours, alterné avec un devoir à la maison tous les 15 jours, le vendredi. Dès que j’avais l’énoncé, je faisais le pb le vendredi soir, le ramenait au lycée le samedi matin, lundi au plus tard, le donnais à qui en avait nécessité et le récupérait le vendredi pour le rendre au prof. En math, je ne me souviens plus, mais je n’ai jamais empêché qui que ce soit de copier sur moi. Quelle importance ? Nous ne passions pas un concours et je n’avais pas d’ambition éducative sur mes camarades.

    • Soit ils tiraient profit de ma copie, soit ils se contentaient de bêtement recopier et le jour du bac, ma foi, qu’ils s’en débrouillent.

      • J’ai une question pour vous, qui concerne la médecine vétérinaire.
        Pouvez vous me confirmer cette affirmation d’un médecin :
        La reconnaissance est une maladie des chiens non transmissible à l’homme.

      • Philippe Bouvard a vécu une version différente de la même histoire dans les Lettres :
        Il vendait ses talents de rédacteur à ses condisciples moins doués.
        Malheureusement, il fut démasqué et éjecté de l’école.

    • Vous nous parlez d’une époque artisanale.
      Je vais vous ouvrir de vastes horizons sur le 21e siècle, et les possibilités industrielles de la technique.
      Il existe maintenant des sites Internet où de riches et incultes Yankees peuvent sous-traiter, moyennant finances, leurs devoirs à des Hindous cultivés et pauvres.
      Je vous le demande :
      Est-ce vraiment un progrès ?

      • J’infirme. C’est l’homme qui a inventé la reconnaissance. Le chien connait deux sentiments, bien-être et mal-être. Quand quelqu’un lui procure du bien-être, selon son degré d’intelligence, il ira vers cette personne avec un comportement amical.
        Pour qu’ils m’aient en affection, il faut que je leur apporte un soulagement immédiat et qu’ils fassent la corrélation entre mon action et le soulagement. Ça arrive parfois que des chiens ou chats-patients deviennent super potes avec moi mais il y faut des chiens ou chats extrêmement observateurs et d’une intelligence hors normes.
        Mon cas le plus exceptionnel fut Mangi, un gros matou

        • Cela ressemble au chien de Pavlov !
          Croyez-vous que cela marche aussi avec les humains ?
          Par exemple :
          Je souffre d’un trop-plein de testostérone, et cette puthe de Sylvie me vide de cet excès, par des voies naturelles.
          Pourtant, je ne ressens aucune reconnaissance pour cette puthe de Sylvie !
          Suis-je normal, docteur ?

  159. BFM TV :
    Converti à l’islam
    Il s’est par ailleurs converti à l’islam récemment. Dans son sac à dos, retrouvé après son crime, une lettre testamentaire faisait référence à la religion musulmane et jouxtait un Coran. Mais aucune trace de radicalité n’a été pour le moment relevée dans son parcours durant les derniers temps ayant précédé le drame. Il était en outre inconnu des services de renseignement et judiciaires. Il avait été signalé pour des jets de projectiles lors d’une manifestation mais l’affaire n’était pas allée plus loin.
    Tandis qu’une source proche de l’enquête a glissé que l’assaillant était issu d’une famille « tout à fait normale », les enquêteurs continuent d’étudier l’environnement de l’assaillant.

    KIFKIF:
    Amoureux tapi
    Il s’était par ailleurs converti à l’amour récemment. Dans son sac à dos fleuri, retrouvé après cette puissante et fatale étreinte à larme blanche inspirée par Dieu, une lettre émouvante faisait référence à l’irrésistible pulsion de mort et jouxtait, oh poésie quand tu nous tiens, un Coran. Mais aucune trace, non, aucune trace d’enchantement radical n’avait été pour le moment relevée dans son parcours durant les temps paisibles qui avaient précédé le drame. Il était en outre inconnu tranquille des services de renseignement et judiciaires et dormants au bois dormant. Il avait été signalé pour quelques incontinences lors d’une manifestation mais l’affaire n’était pas allée plus loin.
    Tandis qu’une source inconnue et providentielle très éloignée de l’enquête avait alors découvert que l’assaillant avait dans sa chambre un portrait de Charles Ingalls ainsi qu’un pyjama à rayures tout à fait normales, les enquêteurs avaient continué d’étudier l’environnement du passionné jusqu’au détroit de Gibraltar, et encore au-delà, où une foule de pingouins inquiets pour leur survie attendaient avec impatience le retour de Greta fleur au bec transhumant par les Alpes.

    • Montelao, tu verras Rio (suite)

      « Hélio Lopes se verrait bien candidat des municipales à Rio de Janeiro en octobre. En cas de victoire, ce serait une double révolution paradoxale : la ville, plus grand port esclavagiste de l’humanité, élirait alors le premier maire noir de son histoire. Mais également son premier édile d’extrême droite. »

      Le mélangisme sera d’extrême-droite ou ne sera pas.

  160. Par snobisme je vais être obligé de vous lâcher – n’ayant même pas la reconnaissance d’un chien !

    • Et pourtant cela fait des années que je suis nourri et abreuvé grâces aux reliefs des repas plantureux du Dugong ! Dans les gras et les verts pâturages …

  161. La dugon’attitude c’est has been a dit l’ectoplasme de Johnny sur sa plage des Caraïbes …

  162. Avec quoi allons-nous éteindre les incendies dans le bush bourgeois français ? Avec des impôts ?

  163. Retour à Estaque (suite)

    Alors qu’Ulysse est en vue de son bout d’If, le gang des femelles de BdA qui jusque là soupirait, se remet à espérer.

  164. Certains Libanais cherchent noise à Carlos Ghosn: il s’est rendu en Israël pour affaires;or,Israël est considéré au Liban comme un ennemi.

    Ghosn est pote avec le président du Liban mais beaucoup veulent renverser ce président.

    Le feuilleton est prometteur.

    Prochainement sur Netflix.

    • Carlos Tavares qui en a marre de partager le même prénom voudrait s’appeler Charles – chouette idée !

  165. On nous dit que Ghosn possède à Beyrouth une belle propriété;mais Nissan estime en être propriétaire ( cette maison ayant été achetée avec son argent);
    Litige.

    En tout cas, pendant que carlos était à Tokyo,son épouse n’a pas pu pénétrer dans la maison de Beyrouth.

    Et ce n’est pas là qu’a eu lieu le réveillon.

    • J’ai bien regardé la méticuleuse reconstitution japonaise du parcours aérien du Ghosn – il ne s’est pas arrêté longtemps à Istanbul – peur de faire de mauvaises rencontres et de finir en morceaux dans une valise diplomatique ?

      • Rhoo si les Turcs avaient su. Après les geôles du Japon, finir sa course dans celles de Turquie. Moche. (Ghosn sous acide à perpétuité : Alors, voilà, c’est l’histoire d’un petit bonhomme qui s’était pris la foudre…)

      • Nous ne savons pas mais un passeport russe au prénom de Ludmila avec une perruque et des talons me paraissaient être prudent, dans sa situation, pour aborder sereinement l’escale turque.

  166. Le 4 janvier 2020 à 14 h 12 min, Dugong a dit :
    Retour à Estaque (suite)

    Alors qu’Ulysse est en vue de son bout d’If, le gang des femelles de BdA qui jusque là soupirait…

    C’était « impatience dans l’azur » ?

    Si c’est le gang tout entier qui comme une seule femme soupirait à l’unisson,peut-être serait-il nécessaire,pour rendre compte du phénomène,de céer un verbe: »consoupirer » (conspirer,c’est encore autre chose).

    Question de psychopathologie:l’impatience exacerbée peut-elle mener à l’hystérie ?

  167. Donc, j’ai un créneau pour vous raconter Mangi, chat à l’intelligence extraordinaire.
    Mangi vient pour une vieille hernie diaphragmatique qui s’était aggravée. Il respirait très très mal ( on dit dyspnée, par chez nous) et ne mangeait plus. Après oxygénothérapie, je l’opère. L’opération est difficile, le réveil pénible, le post-opératoire douloureux. Il faut bien 36 heures, voire 48 pour que l’amélioration soit tangible, temps très long pour un chat moyen. Puis Mangi rentre chez lui, guéri.
    Plusieurs mois plus tard, Mangi revient avec une occlusion intestinale qui lui faisait dégueuler tripes et boyaux depuis 48 heures. Quand sa maîtresse a ouvert le panier de transport, il a filé direct dans la cage d’hospitalisation après m’avoir courtoisement saluée. Il s’est installé et m’adit : « allez, soigne-moi ! ».
    Je ne sais si on peut parler de reconnaissance à mon égard de la part de ce chat ?

    • Il faut un an à un toxicomane pour espérer une rédemption. Qu’aviez-vous administrer comme antalgique à Mangui pour le soulager de ses douleurs post opératoire ?
      Vous n’y seriez pas allée avec le dos de la cuillère et Magui est reparti toxico à Mexico, Pascale, navrée de vous décevoir. Sa seule reconnaissance s’arrête au flash vécu dans cette cage, voilà tout. Ce n’est pas « soigne-moi » mais « encore ! »

      • Je suis peu adepte des morphiniques sur les chirurgies touchant l’appareil respiratoire, craignant la dépression respiratoire qu’ils peuvent engendrer. Puis ma génération n’est pas habituée à la gestion de la douleur enseignée larga manu dans les facultés de médecine et les écoles vétérinaires par les lobbys. Les jeunes confrères, si je les lis bien sur leurs com’, balancent des morphiniques à tout-va pour la moindre bobologie, sans les risques d’accoutumance et d’addiction qu’il y a chez les humains puisque on voit rarement des lapins nains se commander du tramadol frelaté sur des sites internet chinois
        Mais ils y vont fort, très fort et, à mon goût, trop fort. Je réserve ces molécules à certains cas mais m’en dispense souvent, trop souvent d’après les jeunes qui me qualifient de vétosaure.
        Il est sorti plein de spécialités vétos vendues à prix d’or, en même temps qu’une législation nous interdisant d’utiliser un médicament d’humaine quand existe le même en véto, à prix allant de quadruple à décuple, voire plus si convenances réciproques.

        • Ce petit bonhomme aurait fait sa convalescence sans aucune béquille. J’ai toujours été épatée par la gestion de la douleur chez l’animal, je vous assure que cela m’interroge, combien de fois ai-je vu un chat abîmée, la patte cassée, ou ayant une plaie sérieuse, et ne rien laisser paraître peut-être seulement par un souffle rapide.

          • Consternant ! c’est juste que comme il ne parle pas, vous ne l’entendez pas se plaindre !

          • Les animaux ne parlent pas mais peuvent gémir, manifester un son, une plainte – espèce de ##@ ! ?#, moule à gaufre ! Or j’ai vu certaines de ces bêtes blessés se comporter de façon telle au point qu’ils ne semblaient pas l’être.
            Et en matière de consternation, j’estime avoir encore une marge de production bien confortable comparativement avec celles dont vous nous gratifiez à longueur de fil.

          • Pheldge, je n’ai pas besoin de paroles pour reconnaitre la souffrance d’un animal.
            Mais ce n’est pas là-dessus qu’on vous interpelait. Le sujet est : en quoi est-ce bon que les laboratoires pharmaceutiques aient la main mise sur l’enseignement médical, jusqu’à endoctrinement des élèves, tous les titulaires de chaire se traînant quinze casseroles de conflits d’intérêt ?
            Mais votre réponse ci-dessus à Flo prouve que vous ne faites pas partie de la noble classe des endoctrineurs mais de la grande masse bêlante des endoctrinés ! N’est pas Goebels qui veut.
            Et hop, un point Godwin pour Thérèse !

          • Flo a raison. Il y a des rictus, des souffles labiaux, des postures de soumission, quantité de signes indiscutables.
            Le souci de l’animal est de croire que la douleur est un agresseur extérieur, ce qui le terrorise et parfois le rend ultra-agressif, jusqu’à l’automutilation.
            Il ne comprend pas que la douleur est générée par son propre corps.

          • [Il ne comprend pas que la douleur est générée par son propre corps.]
            Vous m’éclairez, Pascale, merci !

  168. Savonarole, en ce qui concerne le réflexe de Pavlov, il faut plusieurs séances avant qu’il ne se mette en place alors que dans les cas que j’ai vu, la réponse est rapide et très élaborée. Comprendre en une séance que « cet humain m’apporte réconfort », éventuellement différé dans le cas de Mangi.
    D’ailleurs, mon Dobolino sur son vieil âge ne s’y trompait pas et venait directement à moi dès qu’il était victime d’un phénomène pathologique mais il lui a fallu plusieurs années de réflexion pour reconnaitre le côté positif des tortures que je lui infligeais. Je m’en veux beaucoup de n’avoir pas su détecter à temps les derniers signaux qu’il m’a adressés. Pris à temps, j’aurais pu, dans de bonnes conditions de vie, repousser l’échéance fatale de quelques mois peut-être.

      • Je ne sais si on peut parler de reconnaissance à mon égard de la part de ce chat ?
        « reconnaissance » au sens de « reconnaître », »se rappeler « et non pas « gratitude »,n’est-ce pas ?

        « cet humain m’apporte réconfort »

        • Voilà, c’est ça ! Et je trouve admirable le niveau de conscience de cet animal, vu le différé entre le mieux-être et l’acte chirurgical. Il est vrai que je l’ai gardé hospitalisé plusieurs, qu’il est rentré en hospit dans le 36ème dessous et est ressorti en pleine forme. Il y a néanmoins un niveau de réflexion nettement supérieure à celui d’un cheval à qui on enlève un clou de rue

  169. En parlant de Turquie, je viens de lire Le Musée de l’Innocence d’Orhan Pamuk.
    Analyse fine que je fais de ce roman : ben putain la vache, y’en a qui sont bien tordus !

    J’aurais bien aimé savoir si Kemal allait aux putes pour soulager périodiquement ses glandes mais Pamuk n’en parle pas.

    • C’est mon homme qui m’a offert ce roman pour mon anniversaire. je me demande s’il y a un message subliminal là-dessous ?

    • Pour des histoires de tordus, il existe des ouvrages de psychopathologie, comme celui d’Emile Kraepelin, véritable fondateur de la psychiatrie moderne.
      J’y ai découvert l’univers très glauque des paraphilies, comme les fétichistes de la chaussure et des sous vêtements.
      Kraepelin, en vrai scientifique, écrit qu’il ne voit aucune explication rationnelle à la chose.
      Moi non plus !

    • Il ne faut pas se focaliser sur les cas pathologiques, car ce sont juste des repoussoirs qui permettent de mieux apprécier les personnalités constructives, et il en existe.
      Si vous cherchez de bonnes lectures pour meubler vos loisirs dans votre patelin paumé, je vous suggère cet ouvrage :
      Les vertus de l’échec
      https://www.decitre.fr/livres/les-vertus-de-l-echec-9782266285421.html

      L’argument est tiré d’une de mes leçons à mon disciple Alex Thérieur de Macédoine sur le thème :
      Les vertus pédagogiques de l’échec
      dont il faut point abuser, au risque de décourager le disciple, bien sûr !

      • Pascale, vous vous interrogiez de savoir ce qui pouvait bien faire courir pour obtenir le droit d’afficher une rosette à la boutonnière : Charles Pépin enseigne la Philosophie dans le lycée d’état de la légion d’honneur (excellence de la qualité de l’enseignement – le privé sans ses travers, à moindre frais, le tout dispensé dans l’enceinte de l’abbaye royale de St Denis. Elle est pas belle la vie ?)

        • Beaucoup d’appelés pour peu d’élus ! Je doute que Johnny Halliday ait été convié à enseigner le chant choral au lycée de la Légion d’Honneur ? Ou je sais plus qui le foot ?

          • Certes, les admissions se font sous condition de dossier scolaire. Être dans le sérail de l’EN peut toutefois aider. La marmaille de Johnny n’en n’avait peut-être pas le niveau et quand bien même, elle ne tenait pas 3 jours dans l’établissement, la discipline y est de fer.

      • Je crois bien savoir déjà depuis belle lurette savoir tirer profit des échecs. D’ailleurs, vu mon âge, et mon bac 76, j’y ai été formée dès le début de la scolarité en 1965/66 et mon parcours scolaire fut en mode sans échec grâce à l’usage presque abusif du  » vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage » à l’époque des faits.
        Mon exercice professionnel fut, comme celui de tous les soignants, parsemé de cadavres considérés comme autant d’échecs à analyser jusqu’au trognon.

  170. Le 3 janvier 2020 à 21 h 17 min,Savonarole a dit :

    …J’ai expérimenté la même chose que vous dès le lycée.
    Il y avait de gros musclés qui voulaient recopier mes devoirs de math.
    J’avais trouvé la parade en disant que je ferai le devoir à la dernière minute.
    J’ai ainsi acquis une réputation de feignant qui m’a été très profitable !

    Expérimenter a deux sens en français,chose que Lormier déplore:
    A.− [Expérimenter renvoie à une expérience vécue]
    1. Éprouver, apprendre, découvrir par une expérience personnelle :
    a. Ainsi j’expérimentais sans cesse à travers elle combien le monde visuel diffère du monde des sons et à quel point toute comparaison que l’on cherche à tirer de l’un pour l’autre est boiteuse. Gide, Symph. pastor.,1919, p. 894.
    b. Ressentir brutalement une sensation, un sentiment qui pourrait à l’avenir servir de leçon. Il expérimenta là une de ses pires épreuves (Malègue, Augustin,t. 2, 1933, p. 411).
    B.− [Expérimenter renvoie à une expérience provoquée]
    Soumettre quelque chose à une expérience afin d’en déterminer les différentes propriétés; vérifier par l’expérience. Et huit jours après mon retour j’expérimentai mon remède sur une femme du peuple. Mais la femme était de complexion délicate et elle mourut au bout de quelques heures (Ponson du Terr., Rocambole,t. 5, 1859, p. 418).

    https://www.cnrtl.fr/definition/experimenter

    L’anglais a, lui, deux verbes distincts:to experience:expérience vécue ,ou subie;to experiment:expérience provoquée (scientifique,par exemple)

    • et ?
      C’est pénible, le minable petit certifié de province qui étale son savoir. Mais c’est d’un pénible !
      Allez faire Ministre, comme Jean-Marc Ayrault, et lâchez-nous un peu les pompes, Lormier !

  171. To experience;exemple

    Fortunately, a reliable, socially acceptable treatment [for hysteria] appeared. Doctors or midwives applied vegetable oil to women’s genitals and then massaged them with one or two fingers inside and the heel of the hand pressing against the clitoris. With this type of massage, women had orgasms and EXPERIENCED sudden, dramatic relief from hysteria.

    en résumé:médecins et sages-femmes soignaient l’hystérie par des massages clitoridiens;leurs patientes éprouvaient (EXPERIENCED) un soudain et impressionnant soulagement

    • Oh l’autre ! il n’a jamais vu ou touché un traître buvard de sa vie, lu Huxley tout au plus, peut-être picoré quelques psylos, ado, dans le près du voisin, pétri d’inspiration en fermant la dernière page d’un Castaneda. Pff…
      (Z’avez pas fini d’être consterné, je vous le dis)

  172. Le Vespéral étudie avec une touche de componction la mort du cinéma et donc, notamment, du cinéma d’auteur français (plus connu sous le nom de cinémaradauteurfranchouille)

    http://dl.free.fr/neYMrSvYj

    Bientôt on jettera des cacahuètes en faisant des cris de singes aux cinéphiles qui font la queue devant un cinéma d’art et décès.

  173. L’incroyable phrase « Au moment où de nouveaux noms – Céline Sciamma, Ladj Ly, Mati Diop – trouvent leur place dans la conscience cinéphile internationale, le cinéma d’auteur français est pris à partie. » est l’équivalent cinématographique de la désormais classique « l’auteur nous dit que … » cher à notre hôte quand il corrige ses khopies en pleine nuit.

    En occasionnant une élévation du rythme cardiaque et de la pression artérielle pour de mauvaises raisons.

  174. Ce soir je serai de retour après une semaine off. Demain, nouvelle chronique : à la demande générale je parlerai de Matzneff. A ma manière. Bonne année à toutes et tous, chers affidés! Continuez à boire et à manger, et à trousser valets et soubrettes – ou gentilhommes et dames d’atours.

  175. Eh ! oh ! les jeunes on se chausse de sandales et de cothurnes, on s’habille à la grecque et on se prépare dans le gynécée à l’accueil de Saint-Matzneff le Grand Pope demain !

  176. Oui, Flo, la douleur est perçue par l’animal comme un agresseur extérieur. Quand on retourne à l’état de bête, on tente de la fuir ou on tente de se cacher. J’ai vécu ça lors de mon deuxième accouchement : le père du futur nouveau-né et la sage-femme ont dû me plaquer sur la table d’accouchement car je cherchais, lâchant une bordée de jurons fleuris, à fuir la pièce où je subissais l’agression. Ils m’ont maintenu de toutes leurs forces pendant que l’infirmière attrapait au vol le nourrisson expulsé comme un boulet de canon en quelques petites minutes. C’est là que j’ai compris les sentiments des chevaux à coliques !

    • J’adhère au concept, nous avons tous eu, je pense, des réactions similaires : agressivité et fuite quand la douleurs est intenable. Mais l’idée qu’une douleur plus modérée soit intégrée comme étant extérieure justifie parfaitement ce comportement « détaché » qu’adoptait l’animal que je ne m’expliquais pas.

  177. Voulez-vous visiter ?

    La maison d’éducation de la Légion d’honneur de Saint-Denis ouvre ses
    portes le samedi 29 février 2020 afin de présenter ses classes de BTS de
    commerce international, d’hypokhâgne et khâgne aux potentielles
    candidates, descendantes* de décorés de la Légion d’honneur, de la
    Médaille militaire et de l’ordre national du Mérite.
    Participation sur inscription exclusivement, par mail :

    portesouvertes.saintdenis@legiondhonneur.fr

    Une pièce d’identité sera exigée à l’entrée.

    PS faudrait essayer d’y aller en burqua,pour voir.

  178. Le 3 janvier 2020 à 17 h 16 min,
    Sainte Thérèse de Picpus
    a dit :
    On peut émettre une hypothèse qui sera ultérieurement validée par une recherche approfondie.

    …validée ou pas validée.

    • validée ou invalidée, confirmée ou infirmée, sont les termes en vigueur.

  179. De Vanessa Springora,un Anglais dirait sans hésiter: »she had early sexual EXPERIENCES ».

    Mais énoncer: »she EXPERIMENTED with oral sex at the age of fourteen » serait prendre position.

    « A quatorze ans, on n’est pas censée être attendue par un homme de 50 ans à la sortie de son collège, on n’est pas supposée vivre à l’hôtel avec lui, ni se retrouver dans son lit, sa verge dans la bouche, à l’heure du goûter. »,écrit Vanessa Springora;et c’est absolument vrai: »on n’est pas censée,on n’est pas supposée »,ce n’est pas la norme.

    Mais qu’en pensait-elle à l’époque ?

    Lolita trouve dégoûtant ce que lui fait Humbert Humbert;mais Vanessa,à treize ans ,à quatorze ans,que ressentait-elle ?

    vanessa,amante précoce ou amante immature ?

    • réponse de Sa Magistralitude demain …
      voici ce qui a fuité sur le prochain billet, le pitch comme qu’on dit : « oui, le terme de majorité sexuelle doit être supprimé, car tellement variable selon les individus, donc le délit de paedophilie n’existe plus, fermez le ban et libérez Polanski ! » 😉

  180. Le 4 janvier 2020 à 16 h 32 min,Sainte Thérèse de Picpus
    a dit :
    au délire tout au moins, quand la frustration a été excitée à son extrême, Lormier. J’en ai fait l’expérience.

    Si vous racontiez…

  181. Je n’ai rien à dire.
    Je poste pour que le compteur de commentaires passe à 700 !
    (il n’y a pas de petit plaisir…)

Comments are closed.