Il y a le ciel, le soleil et la mer — et une longue, très longue file d’hommes habillés en orange (rappel probable de la tenue imposée à Guantanamo et plus généralement dans les prisons US) escortés par des militants de l’Etat islamique vêtus de noir — agréable contraste pour l’œil. Ciel fuligineux, soigneusement dramatique — colère céleste. Plan d’ensemble, puis montage rapide et serré, style actualités américaines.
Gros plans sur les visages terrorisés des prisonniers. L’un des tueurs s’adresse à la caméra — à nous à travers la caméra — en anglais, avec un très léger accent arabe. Histoire de dire deux ou trois choses essentielles. Puis on pousse les prisonniers la face sur le sable, et on les décapite tous, avant de poser les têtes coupées sur les torses des victimes. La mer se teinte de rouge — écho, précise le commentateur, des vagues dans lesquelles vous avez jeté le corps d’Oussama Ben Laden. Tit for tat.
Très beau, très esthétique, remarque en grinçant Hussein Ibish, qui travaille sur la Palestine pour les Américains et qui raconte la scène pour le New York Times. Société du spectacle au paroxysme de son pouvoir : les terroristes ont parfaitement assimilé les codes de la représentation occidentale, avec un arrière-plan oriental de théâtre de la cruauté qui n’aurait pas déplu à Antonin Artaud.
D’où le goût de ces jeunes gens pour les supplices spectaculaires — un pilote jordanien brûlé vif il y a quinze jours, et hier, 43 personnes, à Al-Baghdadi, en Irak, exécutées en groupe de la même façon. Le sadisme est d’abord mise en scène. Sur des gosses nourris de jeux vidéos et en perte de réel, ça fait son petit grand effet. Sur les tueurs en série qui hésitent ici à passer à l’acte, c’est irrésistible.
Et les spécialistes de nous expliquer que derrière ces vidéos distillées avec un doigté remarquable — les fous de Dieu alimentent l’hydre insatiable des médias mondiaux —, il y a une stratégie très clairement pensée, la volonté de faire croire aux Musulmans du monde entier que le leader de l’Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, est le Mahdi. L’envoyé qui remettra le Califat à l’ordre du jour. En attendant mieux — la chute de la seconde Rome et l’extermination des Roumis.

Curieusement, l’Elysée a « oublié », en condamnant (!) cette exécution de masse, que les Egyptiens décapités étaient chrétiens. Bourde, comme veut le croire TF1, ou volonté imbécile de ne pas jeter d’huile sur le feu… Ce gouvernement se soucie prioritairement de communication, il devrait prendre des cours auprès de Daesh.

Toutes les vidéos expédiées par l’Etat islamique sont réalisées avec le même soin. Il est temps de se dire qu’il s’agit de professionnels, pas de cinglés hystériques. De gens qui maîtrisent parfaitement leur propos et leur action, les codes de couleurs et les symboles. Qui ont un plan précis : le bord de mer signifie que l’on va passer de l’autre côté, et le commentateur dit clairement que l’exécution de ces 21 chrétiens coptes témoigne de l’ambition de « conquérir Rome » : dois-je rappeler que les « barbares » qui ont dévasté la capitale de l’Empire, au Vème siècle, n’étaient pas du tout des excités, mais des peuples organisés qui, simplement, ne parlaient pas latin — encore que nombre d’entre eux le baragouinaient assez bien, vu que les échanges entre l’Empire pourrissant et ses futurs vainqueurs étaient fréquents, et que nombre de guerriers hirsutes avaient servi dans les armées romaines. Une civilisation en chassait une autre, et il fallait tout le détachement de Saint Augustin pour considérer que l’écroulement des empires est un épiphénomène face à la permanence de Dieu.

Tous les raids que lancent les aviations occidentales — ou les missiles, ou les drones — contre ces combattants ne font que renforcer leur certitude : l’Occident ne sait pas se battre. Technologie contre ressources humaines : ça ne marche pas plus à la guerre — remember Viet Nam — qu’à l’Ecole, où certains s’imaginent que des écrans peuvent remplacer les profs. C’est sur le terrain que ça doit se passer. On a bien été capable, pour faire plaisir à Bernard-Henri Lévy (curieusement silencieux ces temps-ci) de virer Kadhafi. Face à ce qui est en train de devenir le plus grand rassemblement de volontaires depuis la guerre d’Espagne, il faut évidemment aller sur le terrain, et régler la question comme Lord Kitchener régla jadis celle de l’Etat islamique installé au Soudan par un autre Mahdi, à la fin du XIXème siècle. Ou comme les Romains, à l’époque de leur expansion, ont réglé la question carthaginoise. Obama vient de demander au Congrès (qui ne lui est pas favorable) la permission d’engager les troupes au sol. Les Français se cantonnent dans des opérations marginales au Mali — alors qu’il s’agit de toute évidence d’un plan mondial, concerté, qui du Nigéria aux frontières turques pousse ses pions en même temps.

Y aller présente pas mal de risques — entre autres celui que la cinquième colonne (à laquelle les attentats de janvier donnent une réalité qui devrait convaincre les plus optimistes — ce ne sont pas des « loups solitaires », mais des gens organisés envoyés en mission) passe ici à l’action. Mais enfin, de toute façon, on y est. Des attentats, il y en aura bien d’autres, tout le monde le sait, particulièrement les forces de l’ordre, qui en sont toujours à se disputer entre services de renseignement rivaux. Dans six mois, l’Etat islamique sera devenu une force irrésistible, qui emportera le Moyen Orient — ils ne sont pas fous, ils évitent soigneusement Israël — et l’Afrique du Nord. Demain, la Tunisie. Après-demain…
Les télés occidentales vont adorer — jusqu’à ce qu’un voile noir portant le nom d’Allah occupe leurs lucarnes. Il ne sera même plus temps de faire notre soumission, comme le raconte Houellebecq avec une ironie cynique. Nous serons tous morts. Ce n’est pas la maîtrise de la kalachnikov qui me fait croire cela, c’est la maîtrise de la caméra. À qui contrôle les médias il n’est rien d’impossible.

Jean-Paul Brighelli

40 commentaires

  1. @jpb : « Bernard-Henri » et « Kadhafi ».

    Rien à voir : reportage hier soir dans Envoyé spécial sur le délitement généralisé de l’ orthographe en France — si ce n’était que l’orthographe… —, et devinez quoi : pas le moindre début d’évocation d’une éventuelle possibilité de déficience de la formation au primaire — o
    A déconseiller aux âmes sensibles : voir des élèves ingénieurs trouver « pas évident » de distinguer « peut-être » de « peut être » m’a beaucoup peiné.

  2. Malheureusement on va attendre la dernière minute. Et comme d’habitude on va tout raser et personne n’aura le droit de regarder même pas les journalistes on cachera l’horreur des dommages collatéraux. On nous dira que tout va bien. Il n’y aura pas de spectacle, circulez y-a rien à voir. Et enfants, femmes et hommes paieront le prix qui n’est pas le leur mais celui des islamistes.

  3. Pris en tenaille entre Brighelli et Meirieu, les jours d’Allah seront bientôt comptés : soit il finira analphabète et débile construisant lui-même ses savoirs soit en obsédé du cul perdant sa semence dans les fondements des chamelles !

    Allah t’es foutu les pédagos sont dans la rue !

    • Et bien, je n’aurai pas pensé mieux quel que soit le moment ou la souris de mon PC préféré m’aurait démangé.
      Vous venez d’enlever les mots de mon rongeur informatique préféré..
      Belle rhétorique, un tantinet provoc, mais rhétorique quand même..

  4. La guerre des drones, c’est la guerre qu’on n’assume pas : pas d’image, pas de mort (dans son propre camp) ni même de prisonnier. Des opérateurs qui prennent leur quart comme on irait au bureau, bien loin des zones de combat, avant de rentrer à temps chez eux pour la sitcom du soir. Une apparence de normalité ici, des coups portés là-bas, dans le silence.

    Mais la guerre des drones c’est aussi la vieille croyance dans l’arme miracle. On peut se permettre un parallèle historique – qui ne vaut bien sûr que sous l’angle technologique – avec les V2 : une arme de représailles idéale (elle n’engage pas de combattant, elle est imparable) et terriblement… coûteuse et inefficace.

    Hitler mettra les moyens sur cette arme nouvelle avec le succès que l’on sait : un peu plus de 3 000 fusées tirées en 6 mois (soit un tonnage à peu près équivalent d’explosif : moins de 20 tonnes par jour) à comparer aux 4 000 tonnes de bombes déversées sur Dresde seule en trois jours. Moins de 2 500 morts d’un côté, plus de 25 000 de l’autre. A la clé, une énergie folle dépensée pour des résultats dérisoires.

    Bien évidemment nos ennemis – c’est bien le terme, non ? – ne s’y trompent pas : que leur coûtent quelques morts – volontaires de surcroit – quand au bout il y a la victoire ?

    Pour paraphraser Churchill – mais il parlait alors de Londres – « le Djihadistan peut bien encaisser ».

    Cordialement,

    E.P.

    • Pour Dresde il me semble que le chiffre c’est plutôt 250 000 morts , il s’agissait de bombes au phosphore, bombardement complètement inutile sur le plan militaire….

      • A ma connaissance, le bilan du bombardement de Dresde de février 1945 a fait (et fait toujours) l’objet de débats plus ou moins vifs. J’ai retenu, pour la démonstration, le chiffre bas (repris par Wikipedia).

        Ceci dit, on trouve effectivement toutes sortes de chiffres chez différents auteurs (de mémoire, et sans avoir pu le vérifier, le chiffre que vous citez est celui avancé par la propagande allemande au lendemain du bombardement et repris plus tard, revu à la hausse, par les Soviétiques – on le retrouve, [là encore de mémoire] dans le documentaire « De Nuremberg à Nuremberg » de F. Rossif).

        Je ne possède pas la compétence nécessaire pour démêler le vrai du faux (si tant est que qui que ce soit détienne un chiffre vérifiable).

        Je note toutefois, à titre de comparaison, que les bombardements de Tokyo, à peu près contemporains de ceux de Dresde et de Hambourg – et également perpétrés au moyen de bombes incendiaires, mais cette fois sur une ville faite de constructions en papier et en bois – sont crédités d’un bilan ne faisant état « que » de « plus de 100.000 victimes ».

        Cordialement,

        E.P.

  5. Pour le moment, on peut – on doit – redouter la morsure de « loups solitaires » : un attentat aveugle ici, une exécution ciblée là. Un coup contre les civils – « voici ce que vous coûtent les actions de votre gouvernement contre nos frères de Syrie / d’Irak / de Libye… » – un coût contre les forces de l’ordre – « voilà pour mettre votre nez dans nos affaires » – un coût contre les journalistes – « ferme ta gueule » – etc.

    Mais qu’adviendra-t-il lorsque les « événements » auront pris une plus grande ampleur ? Quand un fossé se sera creusé pour de bon entre les « communautés » ? Quand on envisagera sérieusement des solutions zemmouriennes (allez, disons « accompagner les musulmans sur le chemin du retour »), après avoir élu l’un ou l’autre des irresponsables qui prétendent nous gouverner ?

    Faudra-t-il faire face à un front interne ? Aurons-nous le doigté suffisant pour l’éteindre sans en provoquer de métastases (pas comme Alger ’57) ?

    Saurons-nous collectivement séparer, avec la finesse du scalpel, nos ennemis irréductibles de la masse des a priori amis, des indifférents et des hésitants ? Saurons-nous encore le faire après avoir porté au pouvoir l’un ou l’autre dont le nom seul constituera un appel à l’action de part et d’autre ?

    Très sincèrement, j’hésite tous les jours entre un optimisme raisonnable (après tout, nous sommes une grande nation ; nous sommes très supérieurs en nombre, etc.) et un pessimisme teinté de panique (nous ne formons pas un front uni et nous en serions bien incapables ; nous avons renoncé à la guerre et nous avons trop à perdre pour renouer avec elle, etc.)

    Cordialement,

    E.P.

  6. Le coït fatal d’Allah s’éprenant d’amour pour la belle Sirènehazade de Copenhague et finissant dans un abysse de 3000 mètres de profondeur dans un palais d’émeraude retenu par les liens du mariage du ciel et de la mer !

    Que j’aime les contes moyen-orientalo-nordiques !

  7. Une analyse pointue mais géostratégiquement criticable: certains pensent, arguments à l’appui, que l’Etat islamique est au bord de l’implosion et ce malgré cette débauche de communication répugnante; d’autre part, nous sommes en plein conflit asymétrique: d’un côté, des masses populaires passives plus ou moins consentantes voire complices et des groupes de combattants très organisés, mobiles, au service d’une idéologie  » up to date »; de l’autre, des moyens militaires conventionnels souvent inadaptés.
    La suite est évidente: les premiers, n’ayant rien à perdre, gagnent; nous, les autres, ne pouvant gagner, sauf à reproduire la bataille d’Alger et tout ce que cela représente.
    Parcourir et lire, à ce sujet, cet excellent blog:
    http://lavoiedelepee.blogspot.fr/

    Le camp des saints: on y est déjà. Depuis quarante ans, de façon larvée, depuis quelques mois sous les feux de l’actualité avec des centaines de milliers de boat people; dans quelques temps avec des terroristes infiltrés.

    La solution existe mais elle n’est pas politiquement adaptée au monde moderne, victime consentie et masochiste de ses errements.

    Pour paraphraser un personnage célèbre: nous ménageons la chèvre et le choux, nous n’aurons ni l’un ni l’autre!
    Vacances méritées, chers collègues!
    😉

    • Je suis à la colle avec Allah depuis trois semaines ; on s’est aménagé un nid d’amour très douillet avec des barbelés, des miradors, des fours à micro-ondes et des mines anti-personnels ! C’est chic et cosy … et puis très sélect !

  8. Tout cela est prévisible depuis plusieurs dizaines d’années, le pire est à venir :
    – attaque au sol au Derch
    – représailles en Europe ie. soulèvement dans les banlieues, attentats aveugles, ciblés etc.
    Mais les utopistes gauchistes non pas encore renoncé.

  9. L’hideux islam avance en rampant pendant que nos islamo-compatibles et collabos regardent ailleurs en échange de quelques voix aux prochaines élections.
    Le politiquement correct et l’ignorance crasse de nos politiques et de la plus part des journalistes (aucun d’eux n’aura lu une ligne du coran et de la sira) lui préparent le terrain.
    On va se retrouver devant un choix : le FN que l’on dit fachiste et les islamos padamalgames.
    Mon choix est fait : je ne porterais pas le voile et je ne veux pas être lapidée!!

    • Ce n’est pas une raison suffisante pour massacrer le français sur le blog de JPB, où qu’il ait par ailleurs dérivé.

  10. Il y a quelques années, ou quelques mois, je ne sais plus, on disait EIIL. J’aimais bien EIIL. Au moins, on pouvait mettre des mots qu’on comprenait derrière les lettres : Etat Islamique en Irak et au Levant. Du coup, on se laissait entendre que les gars voulaient restaurer le califat umayyade ou abbasside et que, vu leurs tendances, ça devait plutôt être umayyade.
    Ensuite, pour une raison qui m’échappe, on a commencé à dire Daesh, même plus de majuscules pour faire comprendre que c’est un sigle et, de toutes manières, c’est en arabe, on ne comprendrait pas. Hollande prononce Dash, ça donne un côté produit ménager, mais ça ne m’éclaire pas plus.
    Est-ce que ça ne ferait pas un peu partie de la mise en scène, ça, utiliser des mots qu’on ne comprend pas comme ça on a encore plus peur ?

  11. Les Américains ont un acronyme plus chantant — ISIS.
    C’est une déesse à mauvais caractère, un peu vache (on l’a assimilée tardivement à Io) et avec les mauvaises manières d’Artémis, avec laquelle son culte a fini par se confondre.

    Mais quand même… Je préférais la polygamie — on avait le choix de ses pistons…

    • Je ne l’ai pas mentionné, celui-là, mais il commence à s’entendre aussi. Je préfère la polygamie et le polythéisme, on a doublement le choix de ses pistons.

  12. Les Trophées :

    – Dans la catégorie César du meilleur second rôle Mahomet prophète de son état, petit rapporteur de la parole d’allah.
    – Dans la catégorie César du livre le plus rasoir de tous les temps, le Coran.
    – Dans la catégorie César du mavais goût, la barbe broussailleuse des combattants du djihad.
    – Dans la catégorie César de celui qui n’est pas habillé par Yves Saint-Laurent, l’ayatollah Khameinei.

    Et que le spectacle continue …

    • Le producteur de la soirée des trophées de l’état islamique n’est pas José Maria de Hérédia mais Allah le miséricordieux pdg des studios Islam&Cie !

  13. Le conflit israëlo-palestinien pourrait être l’exemple de ce qui se passera en France dans quelques années: des pans entiers du pays sous domination musulmane ( les prémices actuels sont suffisamment significatifs), des combattants aguerris noyés dans la masse complice ou passive, un pouvoir central impuissant.
    L’évolution constatée dans nos villes depuis trente ans nous incite au pessimisme: malgré la novlangue et les édits de la Pravda, le repli de lourdes masses populaires vers l’islamisme et le rejet concomitant de la société occidentale s’accentue de jour en jour; comme le signalait un sociologue ( danois ou suédois) ces tendances ne sont pas le fait d’un accablement social mais expriment bien une volonté de déni du modèle proposé.
    La fracture était latente, elle est révélée: les immigrés musulmans, hors les élites, peut-être ( qui ont intégré l’En par exemple) ne seront jamais des citoyens républicains: le Coran est leur Loi et elle prime le reste.
    Nos actuels gouvernants jouent avec le feu: en nourrissant leur futur vivier électoral à grandes louches de « vivre ensemble », en occultant la réalité des faits ( Daesh pour ne pas dire islamique),
    il est plus que probable qu’ils finiront égorgés comme les dindons de la farce, farce qui ne fera plus rire personne.

  14. JBP a dit : « remember Vietnam ».

    Lors de la guerre du Vietnam, le Vietnam du nord était soutenu financièrement et militairement par la Chine, l’URSS et les pays communistes. Aujourd’hui, posons-nous la question : « qui soutient le terrorisme ? qui arme et fiance l’Etat islamique ? ». C’est vrai que les Etats-Unis ont assumé le rôle de leader dans la lutte anti-terroriste, mais il y a dans ce pays un côté obscure qui consiste à générer des actes terroristes, pour déstabiliser certains pays.

    Lors de son déplacement à Davos, Flamby a déclaré : « j’appelle le système financier à couper les sources de financement d’alimentation du terrorisme, à en terminer avec les paradis fiscaux… Ne laissez pas agir aujourd’hui une bête qui vous frappera aussi le moment venu ». Est-ce que c’est le système financier international qui est responsable du financement du terrorisme « islamiste » ? Mais qu’est-ce que le système financier international ? Ne s’agit-il pas de UBS, CS, BNP, Crédit Agricole, Société Générale, Deutsche Bank etc. ? Visiblement, les Occidentaux ont les moyens de sanctionner financièrement la Russie, pourquoi ne réagissent-ils pas de la même manière face au terrorisme islamique ? Et plus on pose de questions, et moins on obtient de réponse…

    • « Flamby a déclaré : « j’appelle le système financier à couper les sources … » »

      Votre citation est honteusement tronquée et déformée.

      Il a dit précisément : « j’invite les financiers qui se trouvent à la City ou qui viendraient à s’y trouver, à se mettre en rapport avec moi ».

      Il leur dira ensuite ce qu’ils doivent faire.

  15. Le grand méchant mou compense aujourd’hui ses impuissances d’hier: avec sa tronche et son cursus, il devait, à l’époque de l’ENA, plutôt fréquenter les pissotières et les amateurs de croûtons que les jolies filles en minijupe.
    Pouvoir et argent facilitent bien les choses!

  16. Ben, il a bien dragué avec succès Ségolène…
    À quoi ressemblait-elle à cette époque ?

  17. Allons, allons, draguer Ségo, c’est une tentative de suicide comme une autre… Draguer Ségo avec succès, heureusement, c’est moins définitif que le suicide.

  18. Exposé remarquable de lucidité et, comme toujours, agréable à lire, même si le sujet n’a rien de réjouissant.

  19. Un prêtre a rencontré dieu : c’est une gonzesse ! Donc Mahomet devait être complètement bigleux ou sourd comme un pot puisqu’il a confondu la voix d’un type sévèrement burné avec une nana au poil !

    • Brighelli hâtez-vous d’aller au Paradis pendant qu’il y a des places à la droite de la drôlesse : on ne doit pas s’y ennuyer dans ce bordel à queue !

  20. Le grand Charles de Gaulle va raser les poils à Mahomet ! Le barbier national est de retour sur zone, tenez-vous bien les barbus !

    Attention ! le Charles de Gaulle est un porte-avions pas une galère-hôtel où les petites nanas font les potiches et lustrent les pompons !

    • « L’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) enquête sur l’attaque supposée d’un loup qui aurait dévoré un kangourou dans la Meuse, rapporte le quotidien L’Est Républicain.

      Patrick Klein, éleveur et propriétaire de la victime, est convaincu de la culpabilité du carnivore. « Un kangourou, c’est vif, ça fait des bonds de 5 mètres en courant. Un renard ou une autre bête ne peut pas le tuer. Ca ne peut pas non plus être un chien errant. On l’aurait vu la journée, les gens l’auraient remarqué », estime-t-il dans les colonnes du journal.

      L’éleveur n’a retrouvé que la partie arrière du marsupial, tout le reste a été dépecé par le prédateur.

      Pour l’heure, l’ONCFS ne retient aucune hypothèse. »

      Cherchez pas ! C’est certainement une gonzesse lycaone qui a fait le coup ! On me dit que la multiplication de cas de vampirisme est avéré …

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