08838-bonheur-dico-historique-critiqueAu début de l’année 2019, le magazine ELLE, dont Barthes disait déjà dans les années 1950 qu’il était un « véritable trésor mythologique » et qui a tout fait pour le rester, publiait un article intitulé « Dix livres sur le bonheur pour bien commencer l’année ». Et d’évoquer en vrac ces grands auteurs incontournables que sont Raphaëlle Giordano, Lori Nelson Spielman, Ludovic Hubler, et quelques autres de même farine.
Un cran au dessus, le Nouvel Observateur, qui n’était pas encore l’Obs, a publié jadis un dossier très complet sur la notion, auquel je renvoie le lecteur curieux.
Enfin, Maupassant a écrit une nouvelle sidérante, intitulée « le Bonheur », dans laquelle on s’aperçoit qu’une femme du monde n’est vraiment heureuse qu’au fond d’une tanière, en Corse, à coudre des peaux de mouflon, dans le dernier quart du XIXe siècle.

Dans les périodes où ça ne va pas bien, quand « résilience » est le mot à la mode, et qu’il suffit de traverser la rue pour trouver du boulot, les livres sur le bonheur se vendent comme des petits pains. Mais justement, il en est de ces livres comme de la « cuisine ornementale » de ELLE : on a l’image, on a le son, comme l’âne, mais on n’a pas le produit.
C’est que le bonheur, objet d’étude depuis la plus haute antiquité (on se rappelle tous avoir traduit un passage du De Vita Beata de Sénèque, quand nous faisions, du latin, ou de l’Ethique à Nicomaque, quand nous faisions du grec — et le bonheur qui nous saisissait fugacement quand nous trouvions, dans le Gaffiot ou dans le Bailly, un fragment tout entier traduit), glisse entre les doigts du philosophe. Le problème est si aigu que l’Inspection Générale en fit il y a quelques années l’objet d’études des CPGE scientifiques, proposant d’étudier, justement, Sénèque, Tchékov, et Le Clézio — sur ce dernier je reviendrai.

Alors, le bonheur, état fugace ou quête infinie ? Ce n’est pas faute d’avoir retourné le problème dans tous les sens, comme le prouve à l’envi le formidable volume d’études publié par le CNRS, sous la direction de Michèle Gally, professeur des universités, spécialiste du Moyen-Âge, à qui l’on doit l’une des analyses les plus fines, dans un livre intitulé le Bûcher des humanités, de ce que l’abandon des études classiques fait à la civilisation.imgres De A, comme Allegro, à Z comme Zen, ce dictionnaire, rédigé par une cohorte d’éminents spécialistes de toutes les disciplines, fait un peu plus que le tour de la question : il la creuse, la dissèque, en analyse les radicelles les plus menues, et conclut avec lucidité, mais sans amertume, qu’une telle quête, comme celle du Graal, est par essence « éternellement inachevée ».
Barthes, que j’évoquais plus haut, y a bien entendu une entrée — pour constater qu’entre être heureux et « ne pas être malheureux », il subsiste un abîme. Ou Robespierre, qui contrairement (ou conformément, tout dépend de l’attitude et des préjugés du lecteur) à ce que l’on aurait pu croire, s’est fort préoccupé du bonheur, avant même que la Révolution n’éclate — cette période où, comme disait son ami Saint-Just, on constata que le bonheur « était une idée neuve en Europe ». Quant à savoir lequel doit l’emporter, du bonheur collectif ou individuel, c’est une autre affaire. Le premier, tranche — si je puis dire — Marat. Les deux mon capitaine, conclut l’Incorruptible : la source du bonheur individuel comme collectif, c’est la Justice. Mais on réalisa avec Thermidor que l’excès de Justice est vécu comme une injustice. Le bonheur serait-il par essence médiocre, l’enfant légitime du meden agan, le « rien de trop » aristotélicien ? Est-il dans la satisfaction des passions, ou dans leur extinction — cette ataraxie prônée par Démocrite, Epicure et Sénèque — rien que de bons esprits ? La notion est décortiquée dans la dernière section du Dictionnaire, portant sur la Spiritualité — après la Création, la Fiction, la Pensée, le Politique, le Psychique et la Société, champs successifs du bonheur possible, et obstacles successifs à sa réalisation.

D’où le retour annoncé à Le Clézio, qui a lui-même une belle entrée dans l’ouvrage. Dans le Chercheur d’or, le héros passe d’un état de bonheur enfantin et édénique au malheur complet de la guerre, de la perte des êtres aimés. Puis il s’illusionne sur le bonheur que pourrait lui valoir ce trésor qu’il cherche désespérément sur l’île de Rodrigues — avant de réaliser (c’est dans les dernières lignes) que le bonheur est dans cette navigation infinie, « de l’autre côté du monde, dans un lieu où l’on ne craint plus les signes du ciel, ni la guerre des hommes » ; et dans le récit, qui commence en cette fin de livre, de tout ce qui s’est passé : il n’y a aucun bonheur comparable à celui d’écrire, au tout petit matin, merveilleusement seul mais entouré de livres, et d’entendre « jusqu’au fond de moi le bruit vivant de la mer qui arrive » et le chant des matelots.

Jean-Paul Brighelli

PS. Ce Dictionnaire du bonheur est un gros volume qui ne coûte, après tout, que 29 €. Mais si vous êtes en quête, à quelques jours de Noël, d’un cadeau plus mignard, essayez l’Histoire politique du barbelé, où Olivier Razac montre avec pertinence, à travers les exemples de l’Ouest américain et des deux guerres mondiales, que le barbelé est une dématérialisation du mur, avec l’avantage d’être déplaçable, et de ne pas offrir de surface stable sur laquelle les mauvais esprits pourraient écrire leur révolte. Un petit bijou de petit livre, pour 8 €.
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333 commentaires

  1. Le Bonheur ?
    C’est l’absence de Malheur !
    Est il possible qu’il n’y ait pas de Malheur ?
    C’est impossible, voyons !

    Conclusion : il est impossible d’être pleinement heureux ….

    • Il me semble qu’on peut être heureux tout en étant dans le malheur mais là, faut que je plie et range mon linge avant d’aller voir la tronche du malade d’hier

  2. Le 21 décembre 2019 à 22 h 15 min, Savonarole a dit :

    Vous êtes une parfaite savante.
    Comment pouvez survivre avec tant de perfections dans un Cosmos imparfait ?
    Zat is ma question !

    C’est une souffrance perpétuelle depuis que je suis sortie de l’enfance, Savonarole, et ça m’a valu d’inimaginables emmerdements tout au long de ma carrière scolaire et professionnelle … J’aspire perpétuellement à une impossible perfection et me replie régulièrement dans ma borie à Lure, restant terrée sans bouger ni pied ni patte, après chaque dégelée.
    Je ne suis heureuse que contemplant le Dévoluy depuis le col des Aiguilles ou le Rosanais depuis le col de Chauvac.
    Smiley : 😉 😉 😉
    et musique
    https://www.youtube.com/watch?v=J8loylpnbkQ

    • dévot, lui, et même pas une petite pensée pour notre Magistralissime, aka le dévolu, et qui dans quelques mois deviendra, hélas, le dévalué … 😉

      PS : Ô votre Granditude, prendez pas ça mal, c’est juste pour le plaisir de jouer avec les mots

  3. et ceci dit, Savon, concernant l’échographie, méditez ce sujet bateau de l’épreuve de Français des futurs défunts concours d’entrée anonymes dans les grandes écoles scientifiques :  » La Science est vraie, la Technique est utile ». L’image ultrasonique, dont il ne faut pas oublier qu’elle n’est qu’interprétation par une machine des ultrasons absorbés ou renvoyés, sans la connaissance des pathologies n’est qu’un moyen technique. La science réside dans l’interprétation de ces images et là, l’ingé est impotent. Idem pour IRM, Scanner, et notre bonne vieille radiologie qui, elle, est bien une photo.

  4. Le bonheur me vient quand je laisse libre cours à mon imaginaire sans me heurter aux dures réalités qui entravent cet imaginaire foisonnant. Le bonheur individuel passerait donc par la solitude absolue loin du bruit du monde ?Un bonheur de Chartreux ?

    • La vie en société implique la permanente intrication entre bonheur et malheur ; le sage lui doit s’isoler et abandonner purement et simplement ces deux notions qui ne le concernent plus…
      Pas donné à tout le monde, l’ermitage du stylite !

  5. Loin de moi l’idée d’insulter Najat Belkacem ou Cricri Taubira en tant que femmes, tant je révère nos aimables sœurs, femelles si compréhensives à nos désirs de mâles insuffisants et bons à rien ! Mais ces deux là, misère, ne sont que des Harpies, des Hyènes, des Furies, des Plaies, des Pestes !

    Alors, que ces Charognes restent au repos, là où elles sont. Elles ont fait suffisamment de conneries dans leur vie précédente…..

    • Quand à rendre hommage à celles qui le méritent, louons Dame Murasaki-Shikibu, qui écrit son récit fameux au palais impérial du Japon en l’année 1008 et le publie en 1021. Ce « Le Dit du Genji » est une œuvre considérée comme majeure en littérature mondiale et l’édition illustrée par la peinture traditionnelle japonaise – trois tomes en coffret chez Diane de Selliers, traduit par René Sieffert – est une pure merveille donnée au lecteur pour la modique somme de 155 euros.
      (…vous n’avez qu’à bouffer des pâtes pendant deux semaines, bande de grippesous …!)

  6. Je vais vous livrer gratuitement ma conception du bonheur, qui me vient de mes randonnées jusqu’au sommet de la montagne Sainte-Victoire au dessus du château de Vauvenarges, lieu de résidence du barbouilleur communiste.
    Le but est connu, c’est le sommet.
    Après il faut souffrir dans la montée et dépenser beaucoup d’énergie.
    Arrivé au sommet, c’est un grand bonheur, car la vue est magnifique.
    Surtout sur la cheminée de Gardanne qui crache un beau nuage jaune du au dioxyde de soufre.
    Ensuite, les choses se compliquent dans la descente, qui est bien plus pénible que la montée.
    Les accidents arrivent toujours à la descente, comme avec les psychotropes.

  7. Le bonheur est un état chimique qui fonctionne comme une pile – on a souvent des ennuis avec ces foutues batteries – heureusement IBM est arrivée ! Grâce au divin HAL la question de la recharge de ces damnées piles sera résolue une fois pour toutes : on nagera dans un nirvana de bonheur juste avant notre chute finale – et l’extinction de l’espèce.

  8. J’imagine que le bonheur c’est de croire en dieu. Cela doit donner un sens et une explication à votre vie, une consolation, l’immortalité.
    J’ai toujours jalousé ceux qui croient en Dieu.

    • Ben, ça dépend, en fait. Il existe au moins deux sortes de foi: celle qui est fondée sur la certitude (et je ne suis pas sûr qu’elle rende nécessairement heureux puisqu’elle amène à considérer tout contradicteur comme un ennemi ou un inférieur) et celle qui est fondée sur le doute (qui n’amène pas un plein réconfort puisque le doute subsiste toujours).

      Même le bonheur est quelque chose de relatif.

  9. La Nature était bien faite jusque là ! Elle ne nous donne qu’un avant-goût du bonheur … juste pour nous titiller agréablement les sens ! Car enfin dans un état de bonheur perpétuel on lève sa garde et l’on devient extrêmement vulnérable – individu comme peuple.

    L’état heureux est un état idiot.

  10. Le bonheur, c’est trouver quoi faire avec son propre malheur, non?

    Enfin, pour certains, c’est trouver quoi faire avec le malheur des autres…

      • Encore une erreur !
        J’ai appris dans le manuel de psychopathologie d’Emil Kraepelin que sadisme et masochisme sont les deux faces d’une même pièce.
        Vous croyez que la masochiste est inoffensive ?
        Grossière erreur !
        Car elle peut se transformer en sadique, si vous ne la dominez pas !
        On n’est pas sorti de l’auberge !

  11. Si le peuple français a conscience de son malheur – alors tout n’est pas perdu. Si au contraire il est endormi dans la fausse sécurité de son bonheur – alors il est irrémédiablement sur la pente de sa perte.

    Les fausses joies sont les pires de tous les malheurs – politiques.

  12. « …il n’y a aucun bonheur comparable à celui d’écrire, au tout petit matin,… »

    Ce n’est pas la première fois que le Maestro évoque le bonheur d’écrire ;bien des écrivains (la plupart ?) ne cachent pas les souffrances que provoque l’écriture-souffrances auxquelles ils ne veulent ni ne peuvent se soustraire puisque écrire est leur raison de vivre.

    « Tu enfanteras dans la douleur » ,oui, mais la naissance du Maestro (qu’il nous a racontée comme s’il y avait été) s’est passée sans cri et sans douleur.

  13. « Dans les périodes où ça ne va pas bien, quand « résilience » est le mot à la mode, …»

    Le mot « résilience » existait-il ,en français,avant Boris Cyrulnik ? Il existait en anglais ;peut-être s’était-il assoupi dans quelque dictionnaire de notre langue…En tout cas,il n’est à la mode que depuis que Cyrulnik l’a inventé ou ressuscité.

    Résilience,du latin « salire » (sauter) :capacité de retrouver son état initial après un choc,capacité de rebondir.

    Pour une bite,on appelle « temps de résilience » le temps qu’elle met à se re-raidir après l’éjaculation.

    • Ma mentule ne déraidit jamais car j’ai un truc récent infaillible pour la faire remonter au plafond quand nécessité oblige : je pense à la Ministriste Belloubet en nuisette….Imparable pour un pervers !

  14. Comme souvent, ce billet brasse l’air du temps.
    Le sujet des marchand(e)s de bonheur a déjà été étudié dans ce livre que je n’ai pas lu, et que je ne pense pas lire, étant déjà bien occupé par de vrais sujets.
    https://www.babelio.com/livres/Illouz-Happycratie/1068715

    Edgar Cabanas et Eva Illouz reconstituent ici avec brio les origines de cette nouvelle « science » et explorent les implications d’un phénomène parmi les plus captivants et inquiétants de ce début de siècle.

  15. « La confusion des sentiments » c’est ça le vrai bonheur d’après Stefan Zweig – autant dire la confusion intellectuelle ça ira plus vite !

    • La Sagesse nous indique que c’est l’équilibre des facultés qu’il faut viser – la monomanie du bonheur comme toutes les monomanies est un vice bien trop répandu de la modernité.

      • Nous devons, nous autres bonnetisés d’âneries, ABANDONNER tout espoir de bonheur et RIRE de nos malheurs : dans 30 ans, on succède à Simeon !

  16. Le Clézio ou le niaiseux nobélisé ; je quitte ce lieu si Brighelli continue à promouvoir une certaine littérature !

    Je croyais qu’ici on se nourrissait d’une substantielle moelle comme l’aurait dit Rabelais.

  17. Pourquoi avoir choisi une toile de Fernand Léger (grande parade d’artistes de cirque,sauf erreur) pour la couverture du dictionnaire ?

    Le bonheur se rencontre-t-il au cirque ? Bonheur du populo ? car le cirque est un spectacle populaire.

    NDL » état définitif » du tableau

    https://www.guggenheim.org/artwork/2461

    • Curieux que ce grand peintre ait pour nom Léger alors qu’il prône un univers mécanique des corps désarticulés par l’expressionisme !

    • Le Cirque le meilleur c’est celui que l’on retrouve en quittant le Cirque pour rentrer at home ! …

  18. Comme disait ma grand-mère, une coriace :
    Ne va pas t’imaginer que les alouettes vont te tomber toutes rôties dans la gueule !
    Effectivement :
    Je n’ai JAMAIS mangé d’alouette, ni d’ortolan dans ma vie.
    En plus :
    La population des alouettes est en chute libre, et il conviendrait d’agir pour renverser la situation !
    Que fait Greta Thunberg ?

  19. Savez-vous que le secret de Vermeer a été levé par un ingénieur américain qui n’avait jamais touché un pinceau de sa vie ? Ce peintre si original avait en fait trouvé un truc d’opticien pour accomplir ses peintures de chevalet si méticuleuses qu’on dirait qu’elles sont des photographies couleurs de son temps ! Après de longues recherches historiques, il a reproduit l’appareillage utilisé par Vermeer de Delft et il lui a fallu six mois d’un travail minutieux pour reproduire à l’identique un de ses tableaux – ce n’était pas du génie mais de la patience qu’il fallait pour obtenir cet heureux résultat.

    Conclusion : les tableaux les plus heureux du monde sont le résultat d’une patience quasi-infinie plus que d’une inspiration divine. De la transpiration d’artisan, certes oui !

  20. « Barthes, que j’évoquais plus haut, y a bien entendu une entrée… »

    Certains rêvent d’avoir leurs entrées au Chabanais,au Jockey club,au salon de la duchesse de Guermantes,d’autres sont heureux d’avoir UNE entrée dans le dictionnaire .

    Quand le mot résilience a-t-il fait SON entrée dans le dictionnaire ?

    Au bal des débutantes,il faut réussir son entrée.

    • Les fausses entrées sont peut-être toujours réussies;le rideau se lève un peu trop tôt sur la scène de Macbeth et le spectateur aperçoit,fugitives les « weird sisters » (que traditionnellement on désigne ,en français par le mot « sorcières ») qui aussitôt s’évanouissent.

      (cf Mallarmé. Crayonné au théâtre.)

      • Quand Sarko accrocha la Légion d’Honneur sur l’ample poitrine de Julia Kristeva, il lui rappela qu’elle avait été l’élève de Barthès — le joueur de foot sans doute, dans la sous-culture sarkozienne…

        • … l’élève de Barthès ….
          C’est sidérant.

          Dès 2007, j’avais bien senti que l’époque devenait dangereuse.

          Je ne m’étais pas trompé ; il risque de faire figure de vieux sage érudit Sarkozy, un jour ou l’autre ; au rythme où ca va.

  21. ALOUETTE,
    ( Hymne des bourreaux de BERCY chantant en chœur)

    Alouette, gentille alouette,
    Alouette, je te plumerai.
    Je te plumerai la tête
    Je te plumerai la tête
    Et la tête
    Et la tête
    Alouette
    Alouette

    refrain :
    Aaaaaah ! Alouette, gentille alouette,
    Alouette, je te plumerai.

    Je te plumerai le bec
    Je te plumerai le bec

    refrain

    Je te plumerai la tête
    Je te plumerai la tête

    refrain

    Je te plumerai les yeux
    Je te plumerai les yeux

    refrain

    Je te plumerai le cou
    Je te plumerai le cou

    refrain

    Je te plumerai les ailes
    Je te plumerai les ailes

    refrain

    Je te plumerai le dos
    Je te plumerai le dos

    refrain

    Je te plumerai les pattes
    Je te plumerai les pattes

    refrain

    Je te plumerai la queue
    Je te plumerai la queue

    • Alouette, mésange, hirondelle, rouge-gorge !
      C’est pourtant mon petit oiseau qui est le phœnix des hôtes de ces bois !

  22. Je ne reconnais plus mon JPB ! Je crains qu’il soit tombé vivant dans un puits plein de mélasse du bonheur !

    Voici ce que wiki nous apprend sur Le Clézio :

    « En 2010, l’ordre de l’Aigle aztèque mexicain lui est accordé en tant que « spécialiste des civilisations antiques mexicaines ». Le président Felipe Calderón décrit à cette occasion l’écrivain français comme « un prix Nobel français très mexicanisé, et si j’ose dire, très michoacanisé ».

    Sans commentaire !

  23. Avoir une entrée,avoir ses entrées.

    Le maire de la petite ville avait dit à Pascale Huby:pour sauver le latin dans notre collège,il faudrait connaître quelqu’un.

    Connaître quelqu’un;quelqu’un mais pas n’importe qui;quelqu’un qui ait ses entrées au Ministère.

    Le maestro a toujours ses entrées au Ministère.

    • pas le maire ! Le maire n’en avait rien à battre. le principal du collège. Je lui avais dit que je pouvais voir avec mon papa, ce à quoi il m’avait répondu que s’il avait des relations, ce serait bien pratique. J’ai eu la bêtise de lui rétorquer qu’il n’était pas question d’avoir des relations mais que mon père était sensu stricto une relation à lui tout seul.
      Que ce brave principal a pu m’en vouloir de voir en 3 jours de temps, une fois la relation activée, sa DGH ne pas être diminuée mais être augmentée …

  24. Les mêmes qui nobélisent Le Clézio ont produit une Greta qui est la parfaite descendante la bave aux lèvres de ce produit stupidement prophétique de la décadence occidentale !

    • Un siècle auparavant – avant l’époque de la décadence de la volonté – le comité Nobel avait couronné Kipling l’homme qui avait voulu être roi de la nouvelle littéraire !
      Kipling qui racontait des histoires cruelles pour les enfants et les adultes … qui se passaient dans un monde surréaliste où tout est plus grand, plus beau, plus imaginé.

      Le Clézio ou l’anti-Kipling !

  25. Le Clézio, c’est dur à porter comme nom !
    Je m’appelai de naissance Albert Médor le Clébard : j’ai réussi à changer de patronyme. Désormais je suis Jean Charles Enguerrand de la Serpillière ! C’est tout de même autrement flatteur, non ?

  26. La question que je pose et à laquelle je m’essaye à répondre est celle-ci : pourquoi Le Clézio est-il devenu l’idole, le dieu-vivant, des écoles où l’on apprend l’analphabétisme littéraire ? Cette école qui produit en chaine des Greta qui font la grève des cours !

    Si jamais je sors en ville – si les métros fonctionnent – et que je croise Le Clézio je lui dirai : « Ton Aigle Aztèque te va si bien ! Cette couronne de plumes te désigne en effet de loin à tous les regards comme une bête de scène littéraire. »

    • Le Chercheur d’or est un très beau roman. Pour l’avoir écrit, il lui sera pardonné d’avoir œuvré pour le Nobel.
      Le reste, c’est du prêchi-prêcha, effectivement.

  27. pas besoin de dico pour trouver le bonheur, j’ai mon alphabêt perso:
    A comme absence
    B comme biture
    C comme cesser
    D comme dépit
    E comme enseignant
    F comme feignasse
    G comme moi
    H comme homo (sapiens)
    I comme irascible
    J comme jouir
    K comme KKK
    L comme elle
    M comme minus
    N comme haine
    O comme O m’enc…
    P comme prof
    Q comme Qi (et non)
    R comme ratiocineur
    S comme sal…
    T comme théocratie & FTS
    U comme urluberlu ( voire H)
    V comme vit
    W comme rien cepafrançé
    X comme mon nom est
    Y comme Yoni
    Z comme zéro

  28. Au fait: un très joyeux Noël à tous! Christ est né, réjouissons-nous!
    Céféessprépourfairchiéléatésiréductibldublog & FTS

    La bise!

    • L’école est la branche pourrie de la Nation – il faut s’asseoir dessus tous ensemble comme disait Ségolène. Christ est avec nous pour faire plier ce vieux bois qui crucifie les derniers bons professeurs.

    • y’a pas besoin de s’excuser d’avoir la foi …
      Je suis toujours surpris que les bouffeurs de curés célèbrent Noël et Pâques, et qu’ils revendiquent le repos dominical pourtant clairement lié à ces racines Chrétiennes, qu’ils vomissent.

  29. Je propose, en cette fin d’année festive, que nous nous cotisions afin de pouvoir payer un aller sans retour à Greta Thunberg dans un bouzbir de Casa. Formation sur le tas, élargissement des points de vue, conscientisation ethno-clitamoridienne…Un acte de charité pour Noël.

    • Je propose de remplacer Greta, dans le traitement de faveur charitable, par ses mentor. Papa, Maman. Nous devons nous préoccuper aussi de ces putes….

    • Education Nationale: pour les retraites, les chiffres sont têtus
      • 17 DÉC. 2019

      • PAR PASCALE FOURIER

      Chacun se plaît à croire l’impossible: non, le Gouvernement ne peut être décidé à paupériser massivement toute une profession, plus de 800.000 agents de l’Etat qui se consacrent à la formation des enfants de la Nation. Eh bien si! La preuve par les chiffres. Ils sont têtus. Les enseignants aussi.

      Les enseignants ne perdront pas à la réforme par points. C’est promis, c’est juré, ça sera inscrit dans la loi. Et même, on va les augmenter, c’est juré, c’est craché, et c’est même pour l’année prochaine. Croix de bois, croix de fer…

      Las…La FSU, syndicat des enseignants le plus important, a été reçu par le Ministre de l’Education Nationale, ce lundi 16 Décembre, veille de grève. Et le communiqué de ce syndicat, suite à cette rencontre, est parlant :
      « La revalorisation éventuelle est donc toujours conçue comme une contrepartie de la baisse des pensions. Aucune réponse n’a été faite sur les générations 1960 et suivantes qui seraient touchées dès 2022 par un âge d’équilibre (64 ans en 2027). Les compensations seraient prioritairement tournées vers les générations 1975 et suivantes.
      La référence à une loi de programmation pluri-annuelle (censée s’étaler jusqu’à 2037) serait incluse dans le projet de loi retraites et des premiers éléments de revalorisation sont annoncés dès le 1° janvier 2021. Mais le budget consacré à cette loi de programmation reste flou, le Ministre disant » Je ne sais pas si c’est 8, 9 et demi ou 11 milliards sur 15 à 20 ans ». »
      82 EUROS BRUTS PAR MOIS…QUI RAPPORTERONT 0.180187643 EURO DE PENSION DE RETRAITE BRUTE PAR MOIS

      Soyons fous ! Prenons le chiffre le plus haut et la durée la plus courte: 11 milliards sur 15 ans, ce qui fait 733.333.333 euros par an.
      Sachant qu’il y a 736.997 enseignants devant élèves ( sans compter les enseignants du privé sous contrat), cela donne la coquette somme de 995 euros!

      995 euros annuels, c’est 82 euros bruts par mois…qui rapporteront 0.180187643 euro de pension de retraite brute par mois, sur la durée de la vie.

      Joyeux Noël aux enseignants !

      Rappel 1 : Pour une pension qui serait la même que la pension moyenne actuelle des pensions de enseignants, il faudrait un salaire 4343 euros de salaire brut mensuel sur toute la carrière.

      Rappel 2 : A moins d’une revalorisation conséquente, un enseignant partira en retraite après 43 ans de carrière suivant les grilles de rémunération actuelle avec son salaire de début de carrière, ou presque…

      https://blogs.mediapart.fr/pascale-fourier/blog/171219/education-nationale-pour-les-retraites-les-chiffres-sont-tetus

      • Quand les enseignants n’auront plus les moyens de se payer des couverts et de la vaisselle ils pourront enfin apprendre à manger avec leurs mains – ça les rapprochera de leurs élèves qu’ils chérissent.

      • Il y a deux façons de prévoir sa retraite : être prévoyant et mettre de côté en capitalisant (fourmi) ou bien compter sur ses enfants pour payer les pensions …
        Comment ne suis-je pas surpris de lire que les enseignants réclament et exigent que « les autres » fassent des efforts pour maintenir le niveau de leurs pensions ?

        « Faisons grève, faisons plier l’état, faisons rendre gorge au grand capital, faisons payer les riches ! » ce type de slogan idiot, très en vogue à l’EdNat se traduira inévitablement par une hausse des prélèvements, des taxes et des impôts, l’état n’ayant pas d’autre moyen de remplir ses caisses …

        • Mon cher, je gagne actuellement un peu moins de 600 € par mois, déductions faites des diverses prestations dont j’arrose mon ex-femme, et de ce que le fisc, inlassable, me prend chaque mois. Vous me dites avec quoi je pourrais bien capitaliser ?

          • CE QUI SUIT N’EST PAS UN CONSEIL
            En Inde, on arrose les ex-épouse…avec de l’essence : cela coûte moins cher si on est bien introduit auprès des autorités.

          • Regardez ce que vous cotisez actuellement ça doit faire environ 14 % du brut qui est de 4000 € pour un agrégé hors classe d’après ce que je trouve.
            Imaginez que vous ayez pu librement capitaliser rien que 4 % , soit 160 € par mois pendant 42 ans, les autres 10 % servant à alimenter le Ponzi de la répartition.
            Pour vous donner une idée, quelqu’un a fait le calcul, sur la période 1987-2018 en épargnant 15% d’un SMIC brut salarial, soit 150€.
            L’épargne commence au 1er janvier 1987 et l’investissement au 1er janvier 1988.
            Investissement bourse de Paris :
            – CAC40 GR : 155k€
            – CAC40 NR : 134k€ pour rester sur les bourses françaises, les étrangères étant souvent plus performantes.
            L’idée c’est pas de vous faire capitaliser en plus de ce que vous payez, c’est de ventiler différemment les 14 % qui vous sont prélevés chaque mois, avec des promesses faites de la peau de chagrin !

            Une vraie réforme, juste aurait été faire une pension de base pour tous, payée par tous au même prix, modique, sur une durée pour tous la même, et le reste, charge à chacun de s’organiser comme il veut !

          • L’idée, serait aussi de responsabiliser les gens dès l’entrée dans la vie active, mais après 70 ans de cigale, difficile de convaincre de faire les fourmis …

  30. SACRILEGE
    On peut tout faire lorsqu’on est à la CGT …
    Sauf couper le courant dans un stade de foot car, alors, la Haine n’oubliera pas ce forfait lamentable : elle surgira pour botter le cul des mécréants monopolistiques malpolis au moment où ils s’y attendront le moins, ces incultes d’EDF !

    • La démocratisation de l’enseignement passe par des économies d’échelle – prenez exemple sur les footballeurs qui se partagent un seul ballon à 22.

      • Rentiers aisés, nous avons une balle pour 4 et un terrain réduit pour ne pas contrarier ces crétins d’écologistes assurant la protection du gazon contre le jemenfoutisme humanoïde !

        Nous footbalisons à 4, autour d’un baby-foot de qualité !

  31. Le mot « démocratie » suffit au bonheur des professeurs – avec cela on leur fait tout avaler – la suite au prochain épisode.

  32. Brighelli,

    Je vous enjoins – dès que vous serez à la retraite bien et dûment méritée – d’écrire votre dictionnaire de l’enseignement : tous les mots qui font tilt dans le corps professoral, les mots magiques qui les font marcher au garde-à-vous et il y en a un paquet !

    Ce serait une œuvre de salubrité publique que de leur ouvrir leurs œillères verbales à ces canassons de réforme !

    • Je crois qu’un « dictionnaire de l’enseignement » pourrait être très très drôle – s’il était suffisamment peu pesant !

      • « Dictionnaire au second degré scolaire de l’enseignement » – avec la collaboration de Dugong pour les sciences !

        • Mots à expliciter – large choix : hiérarchie, règlement, administration, stage pédagogique, rectorat, nomination, laïcité, cour de récréation salle des professeurs, adjoints d’éducation etc.

          Quel beau dictionnaire !

          • Le principe d’un dictionnaire incisif de l’enseignement : on tape sur tout ce qui bouge, on est très méchant donc très drôle et on évite absolument le pathos philosophique ! Pas de quartier … chaque article est un tir au but !

          • J’en ai un en réserve. J’avais même fait une rubrique Brighelli dans laquelle j’avais écrit :
            Brighelli : A cloner.
            Il est avec le reste. Ça s’empile…

  33. Toute cette littérature pour aboutir à la conclusion du billet :
    il n’y a aucun bonheur comparable à celui d’écrire, au tout petit matin, merveilleusement seul mais entouré de livres.

    Conclusion discutable et que je conteste formellement, au nom de l’action efficace.

      • Je vais enfoncer une nouvelle porte ouverte :
        Vous pouvez écrire des choses vraies ou fausses.
        Deux exemples d’écriture de faussetés grossières :
        Le capital de Marx, fausse théorie économique et pensum indigeste de bout en bout
        La psychanalyse de Freud, exemple de généralisation abusive de son cas personnel et pathologique.

        • Mais des choses « fausses » ,quand elles sont écrites, peuvent avoir de grands effets.

          Ecrire le Capital,c’est agir;couler du béton,c’est agir aussi.

  34. Le seul et vrai bonheur est le suivant :
    L’expérience confirme ma théorie !
    Suprême jouissance !

  35. On la connait par cœur l’histoire de JPB.
    Après une retraite bien méritée de l’enseignement supérieur, il ira conseiller une candidate à l’élection présidentielle.
    Quelle fatigue !
    Quel ennui !
    Quelle lassitude !

      • Dans ma boule de cristal, je vois votre avenir après la retraite :

        Vous irez animer des ateliers d’écriture à Montbrun-les-Bains, couplès avec une cure thermale.
        Pour soigner le corps et l’esprit.
        Si cette nulle de Catherine Pancol peut le faire, vous pouvez aussi le faire !
        Mon conseil marketing :
        Faites de la réclame sur Madame Figaro et demandez cher !

        • Complément :
          Si vous ne demandez pas cher, vous n’êtes pas crédible !
          Vous pouvez aussi associer un nutritionniste dans votre bizness, pour faire maigrir vos clientes et leur faire déguster de la cuisine aphrodisiaque.
          Mais ceci est une autre histoire !

  36. Tout fout le camp, ma bonne dame !
    Le petit camé de l’Élysée n’a même pas été capable d’organiser un Noël avec grand-mère Brizitte dans son palais, avec une belle crèche et des cadeaux pour les petits enfants.
    Avec de belles photos dans les gazettes.
    Et la tradition, merdre !

  37. Le bonheur combien de divisions ?

    Ca va vous plaire : Comment nous sommes devenus ce que nous sommes ? de David Reich livre de 2018 enfin traduit en français.

    Le génome se moque un peu de bonheur individuel – mais pas du bonheur collectif.

    • David Reich identifie trois groupes humains à l’origine du peuplement actuel de l’Europe qui s’étalent de -35000 à l’âge de bronze.

    • Moi qui descend des Yamnayas ! Je sens que je vais en épater plus d’un en montrant mes nouveaux quartiers de noblesse.
      Comme je digère le lait je suppose que je descends de ces éleveurs nomades.

  38. « le Bûcher des humanités, de ce que l’abandon des études classiques fait à la civilisation. »

    …ou ce que l’abandon précoce de l’étude de l’anglais chez les plombiers-soudeurs a fait à la civilisation chrétienne, s’est dit Pedro, quand il a vu flamber la cathédrale Notre Dame de Paris en direct à la télé et qu’il a dit à sa femme: « Merde attends chéri…quand sur le bouton du chalumeau c’est marqué ‘On/Off’..oh putain je sais plus..je crois que j’ai fait une boulette Josiane ! »

    • NOTRE DAME BLUES
      Tiens ?
      On a pas encore oublié cet « accident » de fumeur de gitanes ?!
      Le mégot ravageur ?

      Gardes !
      Saisissez-vous de Josiane !
      C’est le plombier !…

  39. Moi aussi j’ai envie de bonheur, de vraie vie, d’authentique, de retour à l’essentiel en cette fin d’année 2019, par exemple d’être avec Pascale dans la garrigue en train de faire cuire des saucisses végétales Herta. L’homme moderne californien d’adoption que je suis devenu, coupé de ses racines a soif de naturel, de poils, d’odeurs corporelles. Vous me montrez une photo de Pascale en Provence en train de caresser un sanglier, je deviens moite, si en plus Pascale est en short j’entre en érection, et si en plus le sanglier lui aussi est en short, je jouis.
    Je ne rêve au fond que de choses simples: un pain de campagne, un litron de gnole, un gobie frit que je viendrais de pêcher, bref d’avoir la vie de Dudu dans le Périgord ou de JC…..à Porquerolles. Mais je me suis collé tout un tas de besoins factices comme par exemple Internet, cette chose qui a permis l’avènement de Macron, de Bilal Hassani, mais surtout de Grumpy cat:
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Grumpy_Cat
    un chat qui faisait tout le temps la gueule, la bête ressemblait à JPB qui aurait égaré son rasoir Bic pendant un mois.
    J’ai jeté un oeil sur « Le bonheur – Dictionnaire historique et critique » de Mimi Gally: 604 pages, 30 balles, livré en trente minutes par Amazon Prime si je veux. Mais franchement, qui a besoin qu’un livre arrive chez soi en trente minutes, à part JPB qui t’écrit deux chroniques par heure. J’ai vu qu’il existait une appli qui te permet de commander ton café dans le TGV et le temps que t’arrives au bar, il est prêt. Ce qui ne sert à rien, on gagne 28 secondes ! On fait rien en 28 secondes, sauf Driout qui a le temps d’écrire douze commentaires sur BdÂ.
    Bref Internet ce n’est que du temps perdu et en ce moment vous me faites perdre le mien car on doit aller passer les fêtes à Las Vegas en famille pour y vivre la vraie vie, l’authentique, le retour à l’essentiel, la joie que constitue le simple fait de nager dans le brouzouf.
    Joyeux Noël à tous, bande de bâtards !

  40. Durit le steppique se voit déjà descendre des chasseurs-cueilleurs du Caucase sans descendre de cheval :

    https://www.ac-orleans-tours.fr/fileadmin/user_upload/hg/nouveau-college/Ressources_scientifiques_disciplinaires/Origines_de_l_humanite_-_1-_peuplement_de_l_Europe_prehistorique_-_apport_de_la_genetique.pdf

    Lui qui croyait que les Géorgiens avaient immigré pour servir de pilier dans les équipes de rugby du néolithique. Manquerait plus qu’il apprenne que Marseille n’a pas été créée par Gyptis et Protis…

  41. Tout s’explique : Brighelli est l’homme du néolithique ! Son côté brouillon et bordélique sans doute … il casse des pierres sur la tête des gens !

    • Les Yamnayas ont massacré tous les mâles d’Europe et ont violé leurs femmes ! Joli programme …

  42. J’imagine bien le prochain bla-bla d’Emmanuel Macron à l’Onu : « Les massacres et les viols commis par les Yamnayas sont inexcusables ! Si j’avais été là ça ne serait pas passé comme cela on les aurait flashé et on leur aurait retiré des points de bonne conduite … »

  43. Vous me direz : tout ceci n’a rien à voir avec notre époque car maintenant le droit prime la force partout dans le monde !

    Un bel exemple : Donald Trump représentant l’Etat américain – et sur ce point aucun divorce avec son opposition – vient de signer un décret qui vise à empêcher l’ouverture d’un gazoduc dit Nord Stream 2 – servant à alimenter l’Allemagne et l’Europe de l’ouest en gaz russe. En quoi est-ce que les Etats-Unis sont concernés par ce gazoduc ? En rien. Sauf qu’ils veulent conserver leur leadership à tout prix sur l’Europe.

    Ils n’en sont pas encore à massacrer les mâles et à violer leurs femmes mais s’ils pouvaient seulement contrôler l’énergie totalement ils vassaliseraient les Européens définitivement.

  44. Pheldge a bien compris le but de la réforme des retraites:faire basculer le système vers un système de retraite par capitalisation.

    • sauf que c’est pas ce qui est en train de se faire … la répartition devient de plus en plus inique, allant siphonner les réserves des quelques caisses excédentaires pour financer une « transition douce » des régimes spéciaux … je n’ai donc pas fini de me faire tondre pour votre « pension garantie par l’état » !
      Je vous signale que jusqu’en 1939 c’était la capitalisation qui prévalait pour les retraites, et que la répartition est un « cadeau » de Vichy, qui s’est acheté une « popularité sociale » avec l’argent des caisses de retraites par capitalisation …
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Retraite_en_France#Les_réformes_du_gouvernement_de_Vichy_(1941-1944)

  45. 1) Le 23 décembre 2019 à 6 h 44 min,Jean Paul Brighelli a dit :
    Mon cher, je gagne actuellement un peu moins de 600 € par mois, déductions faites des diverses prestations dont j’arrose mon ex-femme, et de ce que le fisc, inlassable, me prend chaque mois. Vous me dites avec quoi je pourrais bien capitaliser ?

    2)[Edito] Brighelli – Et si l’on profitait de la réforme des retraites pour repenser le métier d’enseignant.
    En 2 Brighelli, tenant pour acquise la réforme des retraites,apporte de l’eau au moulin de Tête de Noeud:profitons en pour « redéfinir » le métier de professeur.
    Le camaéléon prend la couleur du support sur lequel il est posé.
    Le caméléon a-t-il une « vraie » couleur ?

    • « redéfinir » le métier de professeur ? oui, en les payant au mérite ! il est injuste et immoral que le branleur -désolé, mais j’en ai connu assez- qui fait à peine le service minimum, et le prof consciencieux et bosseur, perçoivent le même traitement !

  46. De mon point de vue un dictionnaire – hilarant – de l’enseignement écrit par JPB éviterait les personnalités – par exemple les plaisanteries de Lormier sur tête de nœud qui n’amusent que lui ! Et puis qui dans vingt ans à part les historiens se souviendront de Blanquer ?

    Ce qui est drôle dans le corps enseignant c’est sa crédulité et sa capacité à se hausser du col ! Il enfourche les pégases ailés de l’idéal pour mieux se faire plumer par les premiers malandrins venus.

      • Je crois que Brighelli n’est pas un grand adepte de la transparence et des Mamamouchis qui font des castagnettes pour se faire remarquer !

        Son pathos philosophique n’est pas religieux non plus.

      • Je crois que Brighelli n’est pas un grand adepte de la transparence et des Mamamouchis qui font des castagnettes pour se faire remarquer !

        Son pathos philosophique n’est pas religieux non plus.

        Par tradition le Mandarin doit être un prestidigitateur qui conserve ses secrets.

        • Pauvre cloche exotérique :
          Nous sommes tous des imposteurs, mais certains sont plus crédibles que d’autres !
          Cela dit, mon savoir ne doit pas tomber en de mauvaises mains !
          Et je le sais mieux que d’autres !

  47. La spécialité de l’Etat français dans les dernières décennies ? Se tirer une balle dans le pied – et sur ce plan là l’éducation nationale ce n’est pas Achille aux pieds légers.

  48. Bon ! 140 commentaires à lire. Je vois que le sujet a inspiré. J’y réfléchis depuis hier matin mais pas eu une minute de dispo pour lire. L’aprèm s’annonçant calme, je devrais avoir le temps de vous exposer ma version strictement individualiste du bonheur, la version collective étant une manie d’idéologues qui finissent par imposer un bonheur dictatorial où tout le monde en chie grave.

  49. Le 23 décembre 2019 à 6 h 44 min, Jean Paul Brighelli a dit :

    Mon cher, je gagne actuellement un peu moins de 600 € par mois,

    Mon cher, il vous faut faire des démarches pour demander la prime d’activité et les APL ! Ou trouver une riche héritière, ou les deux.
    Si vous avez besoin d’un coup de main, ne vous gênez pas pour me demander : j’ai le cœur sur la main

  50. Milady, n’allez pas vous vexer et vous draper dans votre dignité blessée parce que l’infime paillette obscure que je suis vous a comparée au minitel rose. Que je sois insensible à la p*rnogr*aphie ne doit pas vous empêcher de continuer. Y’en a plein que ça fait bander, ici.

    • Pour tout vous dire, à l’heure qu’il est je me sens nue. Complètement nue. Et seule dans cette nudité, allongée, je peine à retrouver le nord. Pas un mouflon à l’horizon, c’est la dèche. Et je songe à la fugacité du bonheur et ne sais point encore si je me remettrai la quête en tête.

  51. Nous l’avons tous, enfin les vieux, apprise au cours élémentaire :
    LE BONHEUR

    Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite.

    Le bonheur est dans le pré, cours-y vite. Il va filer.

    Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite.

    Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer.

    Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite,

    dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer.

    Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite,

    sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer.

    Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite,

    sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer.

    De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite,

    de pommier en cerisier, cours-y vite. Il va filer.

    Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite,

    saute par-dessus la haie, cours-y vite. Il a filé!

    Paul Fort

    • et dix ans plus tard, au lycée ( pas avec les profs !), Le Bonheur de Ferré, qui résume la situation :
      https://www.youtube.com/watch?v=gBAIiecYVqk

      Madame?
      Où courez-vous dans le silence
      Du tohu-bohu de la rue
      Madame?
      Tu vas retrouver ton amant
      Pendant que ton mari travaille
      Madame?
      Le bonheur ça vaut pas trois mailles
      Madame?
      Aussitôt là faut qu’il s’en aille
      Alors…
      Profite de l’après-midi
      Madame?
      Où courez-vous dans le vacarme
      Et le silence du devoir
      Madame?
      Tu vas retrouver ton mari
      Pendant que l’Autre fait la pause
      Madame?
      Le bonheur ça n’est pas grand-chose
      Madame?
      C’est du chagrin qui se repose
      Alors
      Il ne faut pas le réveiller
      Le bonheur…
      QU’EST-C’QUE C’EST?

    • On le nie, mais les requins chassent aussi à l’affut.
      L’instrumentation de la rue risque de donner des résultats inattendus pas forcément heureux.

      Pas de bol, je prévoyais une méharée dans le Sahara puisqu’un dindon peut aussi monter à chameau.

    • Il faut vraiment aimer être souris de labo pour fréquenter une véto avec tant d’amour réfréné !

  52. On ne doit pas se moquer de Greta qui n’a que le malheur de la planète pour survivre.

    Il faut se responsabiliser ; chacun sa petite planète malheureuse.

  53. Bonheur :
    1) au singulier : vaste farce utilisée par les marchands de tapis pour nous empêcher de sauter du rocher le plus haut.
    2) au pluriel : souvent employé avec « petits moments de « ; trop brefs, trop rares.
    3) au quotidien : a) n’avoir pas mal, n’avoir pas peur b) enthousiasme
    4) sur BdA : pouvoir écrire sans se faire enquiquiner.

    • 3) au quotidien : a) n’avoir pas mal

      NON, par chance même pas.
      Je vis au quotidien avec d’importantes douleurs chroniques et je n’ai jamais été aussi peu malheureux. Parfois grognon, mais ça … c’est pour l’entourage que c’est un pb.

      3) au quotidien : n’avoir pas peur

      OUI, et c’est lorsque j’ai cessé d’avoir peur de la douleur que la situation s’est arrangée.

      4) sur BdA : pouvoir écrire sans se faire enquiquiner

      NON j’aime être traité de dindon à cheval (qui se souvient de Montaigne à cheval ?) ou de petite-bite, ça me donne le sentiment d’exister. Quoi de pire que l’indifférence ?

  54. Par ailleurs, j’eusse aimé lire l’article de Brighelli sur Vapeurs mais il n’est pas accessible.
    Le titre n’annonce rien de bon d’ailleurs si ce n’est une caresse de plus dans le sens de TdN.

    • Cuisine ?
      Le concept est dépassé …
      Nous bouffons ce que nous pouvons : un chat abandonné, un chien qui traîne, un migrant qui n’a jamais entendu parler d’Eribon…
      Home sweet home ?
      Concept…etc, etc…

    • Mini mezzé ; Canard à l’orange purée de celeri-râve; tarte aux escargots ; côte de Limousine rassie sauce aux morilles ; etc.

      Je ne parle pas de ce qui ne se cuisine pas (fruits de mer, etc.)

      Et vous ?

  55. Plus sérieusement, nous avons fait, l’un de mes fils, ses deux gniards pourris, et moi même, une énorme Crèche de Noël avec des santons de 100 ans d’âge. Un régal !….
    Joyeuses Pâques !

  56. Les mousmés de BdA ont toutes un âge canonique (ta mère).

    Mais, qui sait même si c’est hautement improbable, il y a peut être ici quelques jeunes bergères délurées tapies sous le tapis ?

    http://dl.free.fr/jlKZJqAPj

    Matzneff va avoir des problèmes avec toutes ces vieilles qui ne pompent plus que l’oxygène de leur bouteille.

    Pauv’ gars

    • « Pauv’ gars » ?

      L’éventuelle qualité littéraire ne change rien à l’ignominie, même s’il a été de bon ton de la qualifier de libération (de Libération ?).
      Certes, l’air du temps était propre (heu …) à favoriser les penchants douteux. C’est pas pour autant que niquer des gosses de 11 ans quand on en a 50 et toutes les aptitudes intellectuelles pour observer le résultat sur ces mômes 10 ou 15 ans plus tard mérite le respect. Pas tout à fait pareil que s’il s’agit d’un imbécile impropre à toute considération éthique, tout recul (ou, je sais …) ou aptitude à prendre de la distance avec les modes les plus abjectes.

      Donc, de mon point de vue simplet : « Pauv’type » me semble plus approprié.

    • Si c’est moi que vous visez dans ces vieilles qui ne pompent plus que l’oxygène de leur bouteille, Messire, vous vous plantez grandiose.

  57. Le 23 décembre 2019 à 4 h 20 min,Pheldge a dit :
    Il y a deux façons de prévoir sa retraite : être prévoyant et mettre de côté en capitalisant (fourmi) ou bien …

    Il y a deux façons de s’éclairer:ou bien compter sur EDF,financée par nos impôts,ou bien installer une génératrice à pédales à la cave et faire pédaler la mouquère.

  58. Le 23 décembre 2019 à 21 h 45 min, Dugong a dit :
    Les mousmés de BdA ont toutes un âge canonique (ta mère).

    Mais, qui sait même si c’est hautement improbable, il y a peut être ici quelques jeunes bergères délurées tapies sous le tapis ?

    Matzneff va avoir des problèmes avec toutes ces vieilles qui ne pompent plus que l’oxygène de leur bouteille.

    Pauv’ gars

    « Dans Le Consentement (Grasset), Vanessa Springora raconte tout, la rencontre avec G. en 1985, à l’âge de 13 ans, la fascination, l’amour qu’elle dit avoir éprouvé, l’emprise, la séparation, la chute… »

    « Emprise » est un mot à la mode,LE mot à la mode;bien subtil le lexicographe qui pourra tracer précisément la frontière entre « amour » et « emprise ».

    « Au début,j’ai cru être tombée amoureuse,ensuite je me suis rendu compte que j’étais tombée

    sous son EMPRISE;il m’a fallu beaucoup de temps pour me libérer de cette EMPRISE et encore

    plus pour me RECONSTRUIRE ,réparer les dommages que ce PERVERS NARCISSIQUE avait

    infligés à MONMOA. »

  59. Constance Meyer et Serge Gainsbourg;elle l’a séduit alors qu’elle avait seize ans;dans le livre où elle raconte sa liaison avec lui,jamais elle ne parle d’emprise.
    Subit-elle encore une emprise (post-mortem) dont elle n’a pas conscience ?

    « Ma prof d’italien nous dit qu’elle habite rue de Lille, à côté de chez Serge… Je suis dubitative, je le lui dis. « Allez donc au 5 bis, rue de Verneuil si vous ne me croyez pas », me répond-t-elle. Je m’y précipite, la maison, les tags, aucun doute. Je sonne. Pas de réponse… Sur le trottoir d’en face, j’ouvre mon sac à dos et je lui écris. Cinq pages pour dire toute ma passion, mon engouement pour sa musique, je donne mon numéro de téléphone et je termine par « Quelle folie !»  »
    Il est 14 h 30 à quand elle glisse la lettre sous la porte. Elle rentre chez elle faire ses devoirs.
    17 h, le téléphone sonne, elle répond.
    – Pourrais-je parler à Constance ?
    – C’est moi…
    – C’est l’homme qui a reçu la lettre… Elle est bien écrite, elle m’a touché. J’aimerais bien te rencontrer. Tu veux venir dîner avec moi ce soir?
    Elle lui propose le lendemain, sa mère doit sortir…. »

    https://www.parismatch.com/Culture/Musique/Constance-Meyer-La-Jeune-Fille-et-Gainsbourg-153041

  60. Bonsoir Zorglub, je me souviens de Montaigne à cheval et j’espère qu’il va bien car il est des sa. lo. po. ries . de maladie qui nous jouent de sales tours parfois… Et le bonheur est bien de se sentir vivant quand on leurs échappe…
    PS: à Pascale, super le nouveau pseudo !

        • MàC, blogueur connu sous le pseudo Montaigne à Cheval était un fort en gueule fabuleux : il est mort l’an passé. Son père, Georges-Arthur Goldschmidt, né le 2 mai 1928 à Reinbek près de Hambourg, est un écrivain et un traducteur français d’origine allemande qui a traduit les meilleurs, Walter Benjamin, Friedrich Nietzsche, Franz Kafka, Peter Handke….

        • Si le Moloch se responsabilisait en ramassant tous les étrons qu’il sème puis abandonne en rase campagne, il faudrait y affecter tout le personnel, profs compris (les chefs rectoraux auraient droit à être assis sur des collecteuses automobiles)

      • « MàC est mort »

        Merdre !

        Qui se souvient encore du B2I ? Enième merdouille jetée par la haute traîtrise du Moloch dans le Grand Ventilateur à nouveautés pourries, MàC en avait fait une relation dont certains se souviennent peut-être encore.

        C’était en 2007. P…tain, douze ans !

        « Tiens, hune fois nait pas coutume, comme disait un gabier de misère de mes amis, je m’en vais parler boutique.
        Hier, à Georges Rouault, panique sur le pont. Tous au cabestan. Carguez les voiles. Drissez le cacatois…. Il s’agissait de la dernière crotte rectorale zé ministérielle le Bédeuzi. Bédeuzi???? Caisse à dire??

        En gros, c’est simple; il s’agit de faire chier les principaux, les principaux-adjoints….et bien sûr, last and least les profignards…

        Et là, c’est très fort. Cela commence en loucedé, à l’hypocrite, style Bernadette Sansbiroute qui se demande qu’est-ce que c’est que ce manche à balai qu’on a oublié sous sa soutane. Une réforme du Brevet. On ajoute des épreuves. Une de langues. Une de Bédeuzi. Bédeuzi. Goldschmidt, qu’est pas très futé, il se demande quoitaisse bédeuzi??? une ville de l’Empire Ottoman, résidence d’Abdulhamid III?? un joint??? une bédeuze???? Alors Goldschmidt, il va aux renseignements. L’a une heure de trou. Va quand même pas passer son temps à écrire sur Bonnet d’âne. Survint alors, en sa robe de lumière une Personne Ressource.
        Alors Goldschmidt va vers elle et lui demande « Oh fée rectale, enseigne-moi, moi, misérable cloporte. Apprends-moi les arcanes sourcilieuses de Meussieu Requeteur. »
        « Oui, Goldschmidt, et que veux-tu savoir, féal sujet?? »
        « le bédeuzi. »
        « Ah le bédeuzi. C’est un mystère, le sais-tu vil Goldschmidt, infâme contempteur de Saint-Meirieu, ne dis pas non, c’est le Cardinal Brighelli qui me l’a dit. »
        le c…..ar…dinal Brighelli, » bafouilla le misérable?
        « Zoui. Il a été nommé Evêque In Partibousse. »
        « Enfer et broutchmol aux noix!!! Je suis fait »
        « Repens-toi et écoute. »
        Alors s’ensuivit un long apologétique de Saint Bédeuzie (445-508). Fut alors Goldschmidt soulevé de terre devant la splendeur du saint. Et s’en repartit tout chose enseigner aux autres cloportes la vie sacrée de Saint_Bédeuzie,saint- patron des Zipodes.

        Non, sans déconner, un scandale de plus. Le flou total. Personne ne sait ce qu’il faut faire, ne pas faire. En gros, on doit voir si un élève ne sert pas d’un ordinateur pour touiller son café au lait. Et si c’est non, on valide et Youpi, il a le bédeuzi. La petite conne déléguée par le rectorat, qui jargonnait, jargonnait, jargonnait, pauvre caricature d’un méirieutisme en pleine débine, ne comprenait même pas ce qu’elle disait. Nous non plus. Et soudain, pafff!! l’ordinatur se met en berne. A plus. Eclat de rire général. La pauvre V…
        gênée, on le conçoit, un peu comme si un Labrador était venu se branler contre sa jambe;Et moi, en rajoutant une truelle… »Ben, évidemment, Microsoft, les Scientologues, c’et de la merde. On peut se demander pourquoi l’EN na pas pris Linux?? »
        Bérésina pédagogo. Désastre de Cannes. Gaugaméles. Tafalgar. Aboukir.
        Donc on fera ce qu’on aurait dû faire dès le début: valider tout le monde.
        Ecrit par : montaigneàcheval | 23 novembre 2007″

  61. Merci,Anacrouse,j’ai fait votre manip.

    Un paragraphe de l’édito de Valeurs Actuelles peut se lire comme une offre de services,de la part de quelqu’un qui se sent « acculé à la retraite »:

    « Pourquoi ne pas proposer à ces enseignants qui comme moi ont du bonheur à enseigner, une prolongation de carrière, quitte à laisser accéder ces postulants à un niveau supérieur de la Fonction publique ? Pourquoi ne pas leur dévoluer* la formation des maîtres, au lieu de la brader, comme aujourd’hui, à des cancres titulaires d’un master de “didactique”, cette science des ânes ?  »
    « un niveau supérour de la fonction publique »… c’est-à-dire ?

    Pour finir Inspecteur Général,il eût fallu appeler à votre Macron;peut-être que quelques éditos comme celui-ci seront récompensés par des commandes de rapports,des missions rémunérées,tous frais payés,avec pince-fesses chez le sous-préfet,qui sait , ?

    *dévoluer: néologisme ? Le CNRTL ne connaît pas;pas plus que le Littré.

    • « dévoluer: néologisme ? »

      Comment ?! Lormier, y connait pas le cardinal Brousseau, apôtre du Mystère de la Sainte Dévolution ?!

      Source ouikipédagol :

      « Acte par lequel l’enseignant fait accepter à l’élève la responsabilité d’une situation d’apprentissage ou d’un problème à résoudre. Pour cela, l’enseignant conduit à faire avancer la connaissance grâce au jeu sur le contrat didactique, et par la mise en place de situations didactiques dans lesquelles il place successivement l’élève. Il s’agit pour l’enseignant de repérer les variables didactiques qui provoquent des adaptations, régulations et des stratégies faisant avancer la construction du savoir. Favoriser de la part de l’élève l’émergence d’une rationalité dans la situation d’apprentissage. Cette dévolution se traduit chez l’élève par la maîtrise de compétences méthodologiques, par l’acceptation des rôles sociaux et elle lui permet de se prendre en charge.
      Il s’agit de rendre compte ainsi de la nature paradoxale de la construction d’un savoir. Si l’on veut que l’enseignement ne se limite pas à fournir (tout cru) une procédure à suivre, le projet d’enseignement et le savoir à transmettre doivent circuler cachés pour éviter que la verbalisation du contrat ne conduise à un effondrement de la tâche intellectuelle. Si l’enseignant dit trop clairement à l’élève ce qu’il veut obtenir, alors il risque de ne pas obtenir l’effet voulu. »

  62. e 23 décembre 2019 à 21 h 45 min, Dugong a dit :
    Les mousmés de BdA ont toutes un âge canonique (ta mère).
    Règle:

    A tout mot se terminant en français par la syllabe -[nik] on accole « ta mère »
    Exemples:

    Il a empoisonné sa belle-mère à l’arsenic -ta mère.

    Week-end à Porto-Vèque avec Miss Bottino;c’était édénique-ta mère.

    Contrairement à ce que pensent nos « modernes »,il y a bien des choses à apprendre dans le Traité des coniques-ta mère.

    Savonarole poursuivi par des hordes de harpies aux seins nus;c’est la panique-ta mère;

  63. (J’en profite pour rappeler à certains d’entre vous -qui sont des mécréants bien connus- que Noël est une fête sacrée ! Essayez de ne pas vous empiffrer de caviar, de foie gras et d’huitres délicieuses, essayez de ne pas boire comme un trou, essayez de ne pas parler des sujets qui fâchent, essayez d’être zen….Bref soyez respectueux envers Jésus-Christ, qui est né en pleine forme, et qui a fini sur la Croix pour vous sauver, bande d’ingrats !!!)

    • Empiffrez-vous autant que vous voulez bande d’hérétiques érectiles. L’ère poly-ethnique-ta mère est en route et vous enculera tous. Alors sauve qui peut. Quant à moi je reste avec Milady qui souffre sa race après qu’une meute d’intellectuels enragés lui aient déchiqueté le con. Ointe par mes soins elle repose en sa hutte sur une peau de mouflon et vous emmerde joyeusement.

  64. La vérité dans la race !

    « À Stuyvesant High School, le plus prestigieux lycée de New York, où on entre uniquement par concours, il y a moins de 1% de noirs et plus de 70% d’asiatiques. Harvard veut éviter cette situation et le seul moyen, c’est la discrimination positive. »

    https://twitter.com/philipp80119839

    • Montaigneàcheval et moi nous n’étions d’accord sur rien et pour cause ! Lui comme 99% des enseignants français considèrait que les races n’existent pas – et c’est à peine si les plus gauchistes d’entre eux acceptent qu’il puisse exister une culture qui prévaut sur les autres – et que l’on peut faire un crack de n’importe qui ou presque ( de n’importe quelle population) !
      Moi je crois aux statistiques … et pas du tout aux idéologies.

  65. Les imbéciles partent avantagés dans la course au bonheur : ils ont moins d’efforts à faire pour atteindre leur étiage naturel.

  66. Je suis persuadé qu’un lycée d’Harlem plein de négros est beaucoup plus joyeux et animé qu’un lycée comme Stuyvesant plein d’asiatiques bûcheurs et assidus.

  67. mais pourquoi MàC est mort ? C’est dégueulasse. triste nouvelle. Je m’associe sincèrement à la peine générale

    • Ouaip c’est moche.

      Et je me sens un peu responsable puisque, d’une certaine manière, j’ai moi-même appelé le messager de mauvaise nouvelle.

    • Il n’est pas impossible que je confuse, mais dans mes souvenirs, MàC était condamné à défunter vite, sauf si la greffe de cœur en provenance d’un donneur réussissait…

      Ce ne fut pas le cas.

  68. J’ai repensé à MàC récemment lorsque j’ai découvert que c’était le titre d’un bouquin.
    Quelle saloperie cette faucheuse.

  69. Pour répondre à Zorglub : soupe japonaise ( je commence à me lancer dans cette cuisine, quel bazar ! ) solettes à la cardamome noire, tarte chocolat caramel.

  70. Il est mort du cœur ? Eh ben voilà comment finissent les civilisations épuisées : par un excès de compassion morbide !

      • Bien dit, Zorglub ! Il est sûr que ce n’est pas l’empathie qui le tuera ! La flagornerie à l’égard de notre hôte, peut-être.

        • Brighelli et moi on a un deal : à lui l’intelligence pour briller et à moi les grosses mains pour l’applaudir à tout rompre !

  71. Pour être enseignant valeureux et résister au mauvais emploi du savoir, il faut savoir réserver son cœur aux grandes occasions. Remise de quelques lauriers glanés à la sueur du front par exemple.

  72. Le 24 décembre 2019 à 9 h 34 min,Dugong a dit :

    « dévoluer: néologisme ? »Comment ?! Lormier, y connait pas le cardinal Brousseau, apôtre du Mystère de la Sainte Dévolution ?!

    Sovotrespè :
    i) Jai écrit : *dévoluer: néologisme ? le point d’interrogation indique bien que je n’affirme
    pas ;la question demeure :le Maestro s’est-il amusé à l’inventer ou figurait-il déjà dans un écrit pédachiottenik -ta mère ? En tout cas il n’est ni dans le Littré ni sur CNRTL.

    ii) Dans le long et savoureux texte que vous citez en illustration de votre propos,figure le substantif « dévolution » et non le verbe « dévoluer ».

    iii) « Dévolution » n’est pas un néologisme ;on le trouve dans le Littré,avec un sens différent.
    (Si l’on n’est pas qu’unilinguiste, on obsevera que l’anglais (à partir de la racine latine volvere=roler) a formé un verbe (to devolve) et un nom (devolution) )

    NDL C’est souvent comme ça en anglais :plus de formes à partir d’une racine ;Lormier aura sans doute l’occasion d’en reparler entre Noël et le jour de l’An.

    pédachioottenik -ta mère :formé sur le modèle de spoutnik -ta mère (qui accompagne dans le voyage),refusenik -ta mère (qui refuse,c’est-à-dire:dissident)

    Noyeux Joël !

  73. Aux Etats-Unis on privilégie les races-bas-du-front à l’entrée de l’université – système de points et de quotas – et les gros-bras – les malingres n’ont pas de points bonus !

    Il faut évidemment faire tout le contraire : soutenir à bout de bras les races avantagées du côté du QI et désavantagées du côté des muscles.

    • inquiétez-vous pas, la discrimination positive, ça marche avec tout type de minorité un peu remuante, donc bientôt des quotas de LGBTQIxyz, des quotas de muzz, des quotas de … bref, à terme y’aura plus que des quotas, et plus d’examen ni de concours ! 😉

        • Ah ! Ça le reprend !
          Et n’oubliez pas que, pour bien écrire, Pheldge, il faut d’abord que notre hôte vous sodomise et vous fesse. C’est son remède souverain.

          • Elles n’ont rien à attendre ou à espérer si elles ont plus de 30 balais, allez 35, âge dernière limite, sous peine de se prendre dans les gencives, en bonne et due forme, un rappel sur la date de péremption à ne pas dépasser pour être consommable selon le goût de notre hôte… Même au bout de six mois de drague, s’il n’était pas averti avant de l’âge de la donzelle ; Noël ou pas, il ne fera aucun cadeau.

          • Tt -tt… Ne veux rien dire.
            Démentez ou abstenez-vous de toute réaction.
            Voilà, mesdames, rien au-dessus de 35 ans ans et si par hasard il vous portait un certain intérêt, poussant assez loin dans les contacts privé pour en faire une relation intime et il peut la planter du jour au lendemain au motif que vous n’aviez pas voulu vous faire casser le uc en deux heures chrono après un déjeuner rapide. Dépassées un certain âge, et pour les CDD (affaire carrée), les femmes en général ne cèdent rien en dessous d’un WE qui leur soit consacré. Vous voilà prévenu.
            Joyeux Noël Jean-Paul

          • On n’a rien à répondre à des imprécations. Je parlerais le langage de la raison (ici, c’est le domaine de l’esprit, pas celui des passions tristes), quand d’autres sont engoncées dans le sentiment. Dialogue de sourds. Donc, inutile. Fin pour aujourd’hui, j’ai à faire.

          • Mais faites mon ami, faites. Du reste je répondais à Dugong qui évoquais lui-même ces supposées tristes passions consumées par l’espoir et dans le silence. Sainte Thérèse, elle, évoquait certaines conditions nécessaire à une publications qui n’appartiennent pas à la Raison – Et on ne vous a pas vu réagir sous son commentaire, outré par la teneur du propos. Je ne faisais qu’y amener quelques précisions supplémentaires : qu’elles aient moins de 30 ans…
            Et je profite pour rajouter : si toutefois une « vieille », chassée sur ses terres, éveillait sa curiosité, qu’elle s’interroge de savoir pourquoi et pour combien de temps ; peut-être le temps qui lui sera nécessaire, sur ce laps impensable où il est célibataire (!), d’en trouver une de moins de 30 ans.
            Ne me remerciez pas, mon ami, vous allez recevoir une foule de mails de jeunes esprits remplis de raison, bref, bon en math, maîtrisant la perspective des plans de carrière.

        • je voudrais bien, mais 1/ c’est du boulot que de bien écrire, je veux dire rédiger proprement 2/ ça me prendra 2 fois plus de temps, à cause que mes tics et manies tellement recherchés et appréciés par ici, ça passerait moyen dans ce genre -humour- de bouquin 3/ j’ai même plus le temps de jouer de la guitare, alors en trouver pour écrire me semble irréaliste…

  74. Est-ce que le Collège de France pourrait créer cette chaire à l’intitulé alléchant « Cours de finesse française » ? Ou est-ce vraiment une idée hors d’âge ?

    On a plutôt l’idée générale au Collège de France de créer des chaires « Gros bourrin bourreur de crânes » de nos jours !

    • je ne comprends toujours pas comme le collège de France a réussi à passer à travers la réforme Haby ! 😉

  75. Laurent Alexandre fait remarquer que la discrimination raciale a toujours eu lieu dans les universités américaines – contre les noirs évidemment et aussi contre les juifs, sans parler de discrimination sexuelle envers les femmes – sauf au College of City de New York où enseignait mon grand-oncle René Drioult-Gérard qui accueillait sans quota les juifs de la grosse pomme – elle était donc considérée comme progressiste.
    Dans les années soixante elle s’est mise à faire des quotas positifs pour les noirs du quartier de Harlem où elle se trouve ce qui a eu un résultat désastreux sur le niveau des études. Elle en est revenue !

    Le système universitaire américain dans son état actuel est hors d’état de fournir les ingénieurs et les chercheurs dont l’économie a besoin – par contre les champions de sports olympiques sortent à foison de ses campus.
    Résultat : on fait des ponts d’or aux chercheurs européens et asiatiques qui veulent bien s’installer dans la Silicon Valley ou du côté de Boston ou encore ailleurs là où sont les entreprises de haute technologie.

    • Ah ! ça faisait longtemps qu’il n’avait pas étalé sa brillante ascendance.

      Dans tant de contrées les cimetières bruissent des frémissements d’os de ses aïeux qui tremblent d’effroi lorsqu’ils observent ce qu’il advint de la lignée.

    • Le modèle Lauriston eut, en France ses heures de gloire sombre. C’était pas du Jacob& Delafon, non…

  76. LE LENDEMAIN
    Si vous avez mal à la tête, ne vous en prenez pas au billet du taulier de luxe, n’accusez pas la violence de ce monde de nains, ne maudissez pas les aristos friqués de la CGT, n’impliquez pas la médecine pour vérifier que vous ne pensez pas trop puissamment dans votre boite crânienne …
    Non !
    Vous avez mal à la tête parce que vous avez trop bouffé et trop bu, hier soir.
    Joyeux Noël….

  77. Je rappelle aux impies du blog que le 24 au soir, on doit manger léger — afin de ne pas aller assister à la messe de minuit en état de péché de gourmandise (entre autres).
    Maintenant que votre âme est purifié, aujourd’hui vous pouvez manger ! Et boire ! Et sauter vos divers partenaires — mot épicène bien commode…

    • Don Brighelli,
      De mémoire, lu dans « La mafia se met à table » de J.Kermoal/M.Bartolomei ACTES SUD/1986 que, contrairement à ce que l’on croit généralement, la gourmandise n’est pas un péché.
      Il y a mauvaise interprétation, semble t il, car le péché a combattre : c’est est la goinfrerie !

  78. Une sorte d’animaliste (qui se pousse du croupion en se présentant comme une « éthologue khonstructiviste ») cause sur France khul et prône l’empathie avec les dindes. Notamment.

    https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/y-aura-t-il-des-saint-jacques-et-de-la-dinde-a-noel

    Tiendra-t-elle le même discours quand elle aura subi les assauts des dindons (véritables obsédés sexuels, dit-on) lors d’introductions sans entraves par des croûtons aillés?

    De plus, l’allumée se nomme Delfour. Se rend-elle compte de la provocation induite dans la communauté gallinacée ?

  79. Je suis pour la propagande zéro :
    – Zéro intelligence
    – Zéro esprit de finesse
    – Zéro humain

  80. L’intelligence glisse d’erreur en erreur ; la bêtise est fixiste.

    Trois formes d’intelligence : la toupie, le yoyo et le bilboquet.

    Ceci n’est pas sexuel !

    • Messire Pierre de Driout,
      Comment pouvez vous laisser entendre que la Toupie, le Yoyo, le Bilboquet, ce n’est pas sexuel !? Demandez aux passantes, aux clientes des grands magasins, aux intermittentes du spectacle, aux actrices, aux jeunettes à la peine comme députées LREM !
      Elles savent bien ce que c’est de tourner comme une toupie, de monter et descendre comme un yoyo, de sucer le bilboquet en argent massif, quand il le faut !!!

      • Le 24 décembre 2019 à 14 h 45 min,Pierre Driout a dit :
        Avec le bilboquet Dugong on remonte toujours au même niveau ! Mais ça ne vole pas bien haut …

  81. Où acheter le crotch-pot (grosso modo :casserole d’entrejambe) ?

    https://www.gossamergear.com/products/the-crotch-pot

    NB 1 à tester sur un entrejambe féminin :doit marcher moins bien, à mon avis

    NB2 Il y a deux manières de chauffer la nourriture :soit vous comptez sur l’Etat socialiste et vous branchez votre cuisinière sur EDF qui vit de nos impôts,soit vous utilisez le « crotch pot »

    NB3 Le Maestro a mis dans sa culotte un manuscrit de 500 pages…alors il y a la place pour une casserole

    Bon appétit

    • après réflexion, écrire un bouquin sur le retour au tribalisme, sous la forme 2.0, je préfère sous traiter. Et ça tombe bien je connais un nègre, qui est corse, et qui a de la tête* 😉

      *Disclaimer : corse + tête +nègre = humour. Je dégage la responsabilité du proprio des lieux, il n’y a aucune discrimination envers les nègres Corses

  82. Bon, 21 Ho9, je vous laisse. Ma connexion internet s’arrête, par ordonnance médicale. retour demain si mes nemrods m’en laissent le temps.

  83. Pour une fois qu’un billet ne fait pas dans l’Americanophilie galopante, il n’y aura pas de critique acerbe.
    Mais l’illustration du livre par Leger est si moche, qu’elle rebute l’éventuel acheteur, qui ne serait pas un imbécile heureux.

  84. J’aime bien Eric Zemmour, car il possède deux grandes qualités :
    Il est courageux et intelligent, et en plus très cultivé.

    Mais il privilégie toujours une stratégie d’attaque frontale, qui n’est pas forcément la plus efficace.
    Il ferait mieux de penser à rompre les lignes de communication des ennemis.
    C’est bien plus efficace !
    La France se trouve confrontée à deux puissants ennemis :
    l’empire Yankee
    la théocratie coranique
    les problèmes ne sont pas simples à résoudre !

    • Le mal qui frappe la France est infiniment plus profond que les comportements, tout à fait rationnel à mes yeux de l’Empire US ou la stupidité ancestrale des Infidèles coranisés par défaut, il vient des Français eux même, le plus grand mal !!!
      Il n’y a pas pire ennemi pour la nation que ce que l’on appelle les Français, ce troupeau bêlant, race de couillons matinés de fadas dégénérés et arrogants….

      • dont nous faisons tous partie d’ailleurs. Ne pas l’omettre quand on pose ce diagnostic. Nous ne sommes pas au-dessus de la mêlée.

      • Très bien, cette intervention pour dévaloriser et démotiver le lectorat.
        Combien êtes vous payé pour cracher votre venin ?

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