Levet-135x215Après avoir travaillé sur Balzac (le Cousin Pons — le dernier roman, l’un des plus beaux), je vais, en ce début novembre, étudier trois pièces de Marivaux — la Double inconstance, la Fausse suivante et la Dispute. J’ai passé une bonne partie de mon été à les analyser, j’en ai tiré une centaine de pages de notes, bref, tout était prêt, quand j’ai lu le dernier brûlot anti-féministe de Bérénice Levet.

Elle y cite un mot de Barbey d’Aurevilly qui m’avait échappé : « Je demande que Marivaux soit interdit à tous les théâtres. Une société fondée sur le suffrage universel ne peut rien comprendre à Marivaux. »
Ni à Laclos, serait-on tenté d’ajouter. Ni à Racine. Ni à Molière, qui dans les Femmes savantes, assaisonnait à la sauce ridicule les prétentions langagières d’Armande et de Philaminte — que cite aussi Bérénice Levet. On se souvient que nos pédantes avaient elles aussi l’intention de faire dans la langue des « remuements », car elles ont pris « une haine mortelle » pour « un nombre de mots », contre lesquels elles préparent « de mortelles sentences ».
Je me demande quelle professeure, comme disent et écrivent ces imbéciles, oserait encore faire étudier une telle pièce à ses élèves — et elles sont près de 90% parmi les enseignants de Lettres. Tout comme le Nouveau Magazine Littéraire prétend réformer la littérature en traquant toutes celles qui ne sont pas conformes au nouveau canon féministe. Après la tentation de Trissotin, voici venus les temps de Trissotine.

C’est typique. De tous temps, les nouveaux convertis ont été plus jusqu’auboutistes que les anciens croyants. Torquemada, Laval, Raphaël Glücksman et les nouvelles musulmanes couvertes des pieds à la tête. Tant de gens qui donnent raison à Orwell (avec la novlanque) ou Klemperer (avec la Lingua Tertii Imperii) portent témoignage d’un fait imparable : la bêtise, parvenue à un certain point, peut tout ce qu’elle croit pouvoir, comme disait à peu près le Cardinal de Retz. C’est ainsi que les féministes enragées qui à la fac des Lettres d’ax-en-Provence font cours sur Simone de Beauvoir, ont prévenu qu’elles mettraient zéro à toute personne qui n’écrirait pas »écrivaine », ou « autrice » — des mots que Beauvoir, femme intelligente s’il en fut, leur aurait crachés à la gueule. « Oui, mais justement, argumentent-elles, Silone n’est pas allée jusqu’au bout. » Eh bien en allant au bout, ma cocote, on tombe. On tombe par exemple sur Bérénice Levet, qui ne s’en laisse pas conter.

Retour à Marivaux. Rien de plus terrible que ces comédies plaisantes. Prenez la Fausse suivante par exemple. Un homme y est dupé par une femme déguisée en homme — qui inspire d’ailleurs de tendres sentiments à une comtesse fort désireuse de sortir du célibat. Ou la Dispute : « Les deux sexes n’ont rien à se reprocher, vices et vertus, tout est égal entr’eux. » Ou la Double inconstance : pour le « service du Prince, une femme, Flaminia, se charge de briser l’amour existant entre Silvia et Arlequin — « l’histoire élégante d’un crime », dit Anouilh qui a tourné suavement autour de la pièce dans la Répétition.
Le XVIIIe siècle usait de la galanterie comme pierre de touche de la qualité : c’était un jeu de pouvoir, où personne n’était donné gagnant a priori — et je doute que Marivaux se soit cru plus savant qu’Emilie du Châtelet. Ce qui les intéressait, c’était la nature humaine, et la façon dont la question d’argent forçait à simuler les sentiments.
Et le marivaudage était cette élégance d’expression qui cherche à séduire en tournant autour du mot — le meilleur moyen de casser le pot.
Une élégance qui n’est plus de saison, explique avec une ironie glacée Bérénice Levet — qui en veut visiblement à toutes ces pouffiasses de l’obliger à parler contre les femmes pour dénoncer la façon dont quelques lesbiennes frustrées se sont annexé le féminisme, et décidé que la prochaine croisade — puisque la chute du Mur ne laissait plus grand chose à espérer dans le champ strictement politique — serait l’ablation de nos couilles.
Le livre regorge d’anecdotes significatives et positivement sidérantes — mais ma préférée est l’extension du domaine de la lutte contre le manspreading.
J’ai appris un mot — et comme Monsieur Jourdain avec la prose, je pratiquais le manspreading et je ne le savais pas ! Un vocable, explique Bérénice Levet, forgé « pour désigner et incriminer l’habitude des hommes de s’asseoir jambes écartées. »
Galéjade ? Même pas. « Depuis juin 2017, après New York, Tokyo, Seattle, Philadelphie, Madrid en signale l’interdiction par un pictogramme [forcément, les mecs ne savent pas lire, il leur fait des dessins] montrant un homme les cuisses écartées barré d’une croix rouge ».
« Osez le féminisme ! », cette association qui regroupe toutes celles que nous pendrons à la prochaine révolution, a traduit manspreading par « syndrome des couilles de cristal ». Et observe nos hommes politiques. Chance pour eux, « Macron et son premier ministre ont les jambes soigneusement repliées l’une sur l’autre ou sagement serrées » — sans qu’on puisse incriminer, je pense, l’habitude de porter la jupe. « L’ami des femmes se signale à ces petits indices ! »
Ainsi se gagne une élection, mes amis. Désormais, en public, tenez-vous dans une attitude non offensante — et apprenez à vos chiens à s’asseoir sur leur séant, et non sur le côté, ce que font tous ceux qui ont peur de se coincer les roubignolles. Question de taille, sans doute.

Jean-Paul Brighelli

357 commentaires

  1. Si nous revenons aux temps de « l’Arabie heureuse » du VIIe siècle nous pourrons reparcourir tout le chemin qui nous mènera au XVIIIe siècle parisien de Marivaux !
    Epoque où la stabilité des rapports sociaux et où l’extrême sociabilité des habitants de la grande ville pouvaient faire naître un jeu d’échecs entre sexes aussi subtil que celui où Philidor triomphait dans les cafés à la mode du temps.

  2. Je suis étonné d’ailleurs que les professeurs de lettres ne signalent pas la contiguïté entre Paris capitale du jeu d’échec au siècle des Lumières grâce au café de la Régence, au Procope et à quelques autres lieux consacrés et la manière dont Marivaux avance ses pions sentimentaux dans son jeu de dames !

      • Ce sont deux jeux de société ! 64 cases dans l’un et l’autre cas. Des pions seulement dans le jeu de dames.
        Le marivaudage est-il plus conforme à un jeu de dames car il y a parfaite égalité de départ entre les joueurs et le matériel ou à un jeu d’échecs avec un handicap à surmonter ?
        Il y a des inégalités de départ entre les personnages de Marivaux – mais jamais insurmontables.

        • 100 cases pour le jeu de dames ! par charité chrétienne et catholique, je ne me moquerai pas ! 😉

  3. Jambes serrées, klito déverrouillé. Jambes ouvertes, ovaires offertes.

    Une femme qui croise et décroise ses jambes ne tente pas forcément d’avoir les deux. Un homme faisant la même chose a, presqu’à coup sûr, un problème de roubignoles coincées.

    Enfin, un chien mâle assis sur son séant montre sa queue et certains bandent de façon quasi permanente sans qu’une chienne soit nécessairement présente dans sa proxémie.

      • De passage à Monaco,le père Igor a déposé quelques apophtegmes.

        En voici un:

        « Jambes serrées, klito déverrouillé. Jambes ouvertes, ovaires offertes. »

        Je me suis amusé à en soumettre la première partie à Glouglou (après l’avoir traduite en langue française )
        « jambes serrées,clitoris déverrouillé » a d’emblée envoyé:

        « Salut
        Moi je n’atteint l’orgasme qu’en serrant très fort les jambes, qu’il y ait pénétration ou pas… Du coup les positions pour atteindre l’orgasme soont reduites, je dois etre sur le dos ou sur le coté…
        J’aimerai y parvenir les jambes écartées mais ca me semble impossible: comment contracter ses msucles vaginaux dans ce cas la? Puisque c’est bien comme ca qu’on atteitn l’orgasme non?
        Faite moi part de vos expériences et avis. Merci »

        « Pour ma part, j’atteins plus facilement l’orgasme dans des positions telles que levrette, ou bien en sodomie; mon ami ou moi-même stimule le clito en même temps, et là, je grimpe direct au rideau, par contre, je ne serre pas vraiment les jambes… »

        http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/orgasme/orgasme-fermees-serrees-sujet_145465_1.htm

        • Comme dirait le chevalier Dupin : « Le meilleur endroit où l’on peut serrer un orgasme c’est encore entre les cuisses ! »

  4. Au XIXe siècle Labiche s’essaye à faire revivre le marivaudage dans « Le voyage de Monsieur Perrichon » ; deux prétendants luttent pour obtenir la main de la fille de ce gros commerçant parisien aujourd’hui rentier ; c’est la vanité du parvenu qui est mise en lumières plus que la délicatesse des sentiments des jeunes gens. La course à la dot c’est la course à l’échalote du siècle.

    Mais le suffrage universel n’a rien à voir dans cette histoire ! N’en déplaise à Jules Barbey d’Aurevilly. Le code Napoléon est le grand responsable des mœurs de l’époque.

  5. « Le syndrome des couilles de cristal »

    Cette expression laisse Lormier perplexe;d’où vient-elle, qui l’a imaginée,qui l’a utilisée en premier ?

    Le « manspreading » a d’abord été dénoncé par les usagers du métro londonien;c’était une impolitesse parmi d’autres:elle consiste à empiéter sur l’espace du voisin;cette mauvaise habitude peut gêner autant un homme qu’une femme.

    Puis les féministes…

    (Le « mansplaining » est aussi un comportement qui agace;c’est une habitude assez répandue chez les hommes et qui consiste à expliquer à une femme,d’une manière condescendante,quelque chose que peut-être elle comprend mieux que l’homme qui explique.)

    Puisque le « manspreading » a d’abord été dénoncé en Angleterre,peut-être l’expression « syndrome des couilles de cristal » viendrait-elle de l’anglais.

    Si je gouglise « crystal ball syndrome »,je ne trouve rien qui rappelle le manspreading, seulement des considérations sur le » management » (il ne faut pas vouloir tout prévoir ) ou encore la description de diverses pratiques sexuelles.
    en voici une:

    « when a girl performs oral sex with pop rocks in her mouth  » fellation avec des « pop rocks  » ( bonbons effervescents)dans la bouche.

    et avec le moins ambigu « crystal bollocks syndrome »,je suis tombé sur un petit opéra:
    https://www.youtube.com/watch?v=-I3YLEi1bLo

    Je me souviens d’un billet dans lequel le Maître racontait comment il avait martyrisé,dans le TGV Paris- Marseille,son voisin curé en lui racontant des horreurs…

    Le pauvre curé était-il assis côté fenêtre ?
    S’était-il recroquevillé sur lui-même,effrayé par l’imposante carrure du blasphémateur ?
    Avait-il eu droit à un dixième d’accoudoir ?

    Encore de passionnantes questions…

    Il faudrait demander à un rhumatologue si en posture assise (posture malsaine de toute façon) il est bon de pratiquer la suce-pination crurale (laquelle se traduit par l’écartement des cuisses.)

    Aujourd’hui que je suis contraint par les féministes militantes qui donnent des coups de pied dans les couilles (de manière stochastique) de porter un protège-couilles lorsque je me rends dans des endroits fréquentés,écarter les genoux de 10 cm ne me suffit plus.

  6. « Macron et son premier ministre ont les jambes soigneusement repliées l’une sur l’autre ou sagement serrées . »

    Tatiana Ventôse,ex-khâgneuse pleine de verve, avait dès juillet 2018 problématisé les couilles de Macron.

    « Benalla,il a quoi sur toi , des photos de toi en train de faire caca quand t’étais petit ? il connaît le diamètre exact de tes couilles molles ?…il te fait chanter ? tu peux nous le dire, Manu  »

    voir,à partir de 15mn 37:
    https://www.youtube.com/watch?v=4mN2bFnLqxc

    • PS Dans les vidéos qu’elle fabrique elle-même,Tatiana Ventôse a un côté que j’appellerais « sexy-crade ».

      Si vous voulez la voir « plus en majesté » ,bien maquillée et le blond vénitien de sa chevelure parfaitement mis en valeur (clin d’oeil à elimal),regardez-la sur RT (émission de Taddéi);sisyphe n’aime pas écouter;je lui conseillerais donc (sofsonrespè) de couper le son.

  7. « cette élégance d’expression qui cherche à séduire en tournant autour du mot — le meilleur moyen de casser le pot »

    « Ô Albertine, quelle gaillarde mouche tu fais, mon ailée ! » me suis-je dit en lisant cette expression la première fois .

  8. A part cette référence à Proust (si j’ai bien interprété, bien sûr), le reste du billet au sujet cent fois rebattu, vaut pas tripette. JPB pourra cependant le vendre hors de prix à des acheteurs sans vertu comme Lormier qui conjugue sa délinquance verbeuse à la première personne de son singulier problème.
    Je préfère, dorénav(r)ant, m’abstenir de commenter, avant qu’il ne soit trop tard, sur ce blog qui s’encombre des mauvais en repoussant les bons au limes…
    Auto-censure !

  9. Précision @ sisyphe pour mon logging en root (cf dernier billet)
    J’ai pesamment creusé la métaphore de Duduche: plantage, racine, root…

    Sinon, oui je me connecte à mes risques et périls en tant que root sous Debian quand c’est nécéssaire sur mon propre ordi…ou sur le serveur Inn de mon ancienne fac, où j’assume, pour quelque temps encore, la charge bénévole d’administrateur Usenet.

    • serveur INN, c’est mieux !
      Même si, ici c’est l’auberge espagnole…
      Bon WE !

    • OK.
      Petit linuxien de base depuis 15 ans, j’avais en tête la loi intangible du « root only if necessary ».

  10. Je crois me souvenir que dans les Aventures d’Hucklberry Finn, Mark Twain évoque le déguisement du jeune Huck en jeune fille. On jette un objet à ce garçon, lequel serre les jambes pour éviter qu’il ne tombe et le recueillir sur ses cuisses. Erreur, dit Twain. Si tu es déguisé en femme, il faut écarter les jambes pour que cela tombe dans le tissu de ta robe! Belle illustration de la différence des sexes, basée sur l’observation du comportement. Mais remarque qui serait vaine aujourd’hui avec la mode des pantalons féminins.

  11. Je ne suis pas sûre d’avoir bien compris : des administrations municipales se soucieraient de la façon dont les gens sont assis?

    • En France,il s’agit plutôt de l’administration des transports (à Paris,la RATP).

      Aux heures d’affluence,il y a sur les quais des employés qui demandent à ceux qui veulent monter de laisser descendre d’abord et aussi qui prient les gens qui montent à bord de ne pas s’agglutiner près des portes.

      ttout ceci semble tomber sous le sens;cela fait assez longtemps que je n’ai pas voyagé dans la confédération mais je doute que de tels avertissements soient nécessaires dans ce pays civilisé.

      Je n’ai pas encore vu d’affiches demandant de ne pas écarter déraisonnablement les jambes mais elles ne devraient pas tarder à arriver.

      Il y a deux ou trois ans ,alors que j’étais assis dans un autobus,j’ai invité une dame à prendre ma place;par jeu,elle s’est fâchée-disant: « voilà on se lève de bonne humeur,il fait beau et tout d’un coup,on se fait traiter de croulante ! »

      « Mais enfin ,Madâme,pardonnez-moi,ai-je répondu,c’est à votre sexe que je voulais rendre hommage. »

        • Pas du tout;elle a dit: »je plaisantais,vous êtes charmant. »
          Ma modestie (qualité dont j’ai quelque raison d’être fier) en fut effarouchée;je rougis jusqu’aux oreilles.

    • Et, histoire de se repaître dans la nostalgie, vous pourriez nous exprimer ça en Kobaïen ? vu que vous en êtes ZE spécialiste, en ces lieux …

      • Je ne parle jamais aux ilotes du libéralisme * en Kobaïen, ça les instruit.

        * surtout lorsqu’ils se vautrent dans un système totalement artificieux comme celui de nos dominos néocoloniaux.

    • Merci;en somme,il n’y a pas de mot russe qui corresponde bien au Maître par lequel je désigne le Maître.

      JP Brighelli s’est exprimé sur le sujet:on appelait Fellini « Maestro »;c’est ainsi qu’il préférerait être appelé.

        • “Le sexe masculin est ce qu’il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève.”

          Attribué à Frédéric Dard.

  12. Soulignons que les preux chevaliers modernes parmi les plus ardants à défendre un féminisme outrancier sont les homosexuels mâles.
    C’est cul fédé.

    • « Je répéterai ceci ad nauseam: tant que l’on ne sanctionnera pas FINANCIEREMENT les parents actuels pour les khonn.. de leurs boutonneux et boutonneuses, toutes les lois – existantes, trop nombreuses donc perdues dans le marigot- resteront inutiles.
      Le 26 octobre 2018 à 21 h 46 min, Jean Paul Brighelli a dit :

      Ça tombe bien, c’est ce que j’expliquais justement dans cet article — écrit mardi matin, mais mis en ligne seulement cet après-midi :

      https://www.valeursactuelles.com/societe/violence-scolaire-il-faut-frapper-les-parents-au-portefeuille-100081 »

      Merci, ça fait du bien d’être un sancho aux côtés d’un Don Quichotte!

        • Je vous mettrai le texte in extenso demain soir — là, je ne peux pas, je ne suis pas chez moi, je n’ai pas le fichier originel — et je ne suis pas abonné à Valeurs Actuelles où j’écris, figurez-vous…

        • Mais en gros je propose de frapper financièrement en supprimant les bourses des gros déconneurs, la prime de rentrée scolaire et in fine les allocs.
          Les grands esprits…

          • Faudra aller encore plus pour assécher le marigot:
            – oubli de matos => $$
            – travail non fait =>$$
            -attitude constamment inconvenante=>$$

            etc. Comme pour la bagnole, ils ne comprennent que le bâton $$

          • Sanctions financières:un cautère sur une jambe de bois (selon l’expression consacrée)
            Dans le Monde du 25-26 novembre 1990 des personnes assez connues avaient signé un texte qui a gardé toute sa force.
            un extrait:
            « Souvenez-vous des professeurs
            par Elisabeth Badinter, Régis Debray, Alain Finkielkraut Elisabeth de Fontenay et Catherine Kintzler
            Les élèves sont en droit d’avoir des maîtres qualifiés capables non de leur décerner des diplômes à l’encan mais de leur donner la culture générale, les savoirs et les savoir-faire indispensables pour être libre et pour s’orienter dans la vie.  »
            Un  » lycée » qui mène à un diplôme sans valeur, ne peut pas fonctionner.
            Sans disciplines dont la maîtrise est sanctionnée par un examen sérieux,il ne peut y avoir de discipline.

          • Supprimer bourses et allocs ? et qui décide ? le protale ? et sa décision sera immédiatement attaquée devant le TA par une ribambelle de ces associations lucratives et sans buts, trop heureuses de se mettre en avant. Je vous laisse deviner la courageuse décision du TA formé de magistrats encore plus aux ordres, et estampillés SM/PS … Au bout de deux ou trois recours, la mesure sera impossible à appliquer !

      • et la castration chimique ? Ca n’empêcherait pas les sanctions financières.

        PS : on peut aussi con-pléter par une mesure de double ovariectomie pour plus de « sécurité ».

        • La castration (ablation des testicules) ne règle pas toujours le problème du priapisme canin (par vous évoqué);il est parfois nécessaire de procéder à l’ablation du pénis (en cas de nécrose de celui-ci notamment)-accompagnée bien sûr d’une déviation de l’urètre pour permettre à l’animal d’évacuer ses urines.

    • Vous voulez que je vous fasse la réaction du Camp du Bien ? allez, juste pour rigoler :
      M. Brighelli glisse encore un peu plus vers l’extrême droite, après avoir longtemps soutenu le fasciste NDA, le voici qu’il reprend les thèmes nauséabonds du RN !
      La violence d’un élève, est l’expression de son mal être, auquel il faut apporter une réponse pédagogique ! et priver ces familles déjà durement éprouvées par la politique de casse sociale du gouvernement, ne fera que les stigmatiser encore plus !
      Non M. Brighelli, c’est exactement le contraire qu’il faut mettre en oeuvre : plus de moyens, plus d’encadrants, d’éducateurs, de psychologues, pour aider le nombre grandissant des élèves rejetés par le système sélectif ultra-libéral et mondialisé, et surtout la mise en place du RSA-élève, pour que les exclus puissent étudier dans la dignité !
      M. Brighelli, j’en appelle à ce qui reste d’humanité en vous, écoutez votre cœur, il bat du bon côté, il bat à gauche !

      • Très belle analyse d’une idéologie qui a déjà tellement pris la flotte qu’elle ressemble plus à un pluviomètre qu’à un réservoir d’idées.

        • inquiétez-vous pas, 99 % de vos collègues sont d’accord avec ça !
          Une variation sur le puissant et imparable
          « Je suis communiste parce que cela me dispense de réfléchir » de Frederic Joliot Curie

    • L’idée est non seulement bonne mais il n’y a pas d’alternative à la sanction financière.
      Par conséquent elle ne sera JAMAIS appliquée pour cause de clientélisme électoral.

      • Aucun responsable politique n’en prendra le risque, il y a des élections qui approchent, et une mesure de ce type sera du pain bénie pour les oppositions qui s’y referont une belle santé, à dénoncer en cœur, une politique de riches !

        C’est une question d’avoir des c0uilles ! Ah, Maggie Thatcher … 😉

      • Pas sûr. Une façon de trier le grain de l’ivraie, et que li vrais ayent se faire foutre ailleurs.

        • Ils ont trop à perdre : 4 candidats /partis autour de 20 %, aucun d’eux n’aura la base politique pour, quant au courage …

    • et combien pour les barrettes de shit ? juste pour voir l’évolution, parce que quand j’étais au Lycée, c’était 50 F. Et dans une barrette, y’avait de quoi en faire, des trois feuilles … 😉

      • Oui, mais 50 F de votre époque, ça fait combien en euros de maintenant ?
        Voilà un marqueur d’inflation intéressant ! À comparer avec l’évolution (vers le haut stratosphérique) du prix de la baguette et du p’tit noir.

        • Comme marqueur de l’inflation des valeurs : il y a 30 ans, vous donniez 50 F au petit neveu de 10 ans, son regard s’illuminait et il se confondait en remerciements. Essayez de refiler, allez non pas 10, mais 20 € à un gamin, et vous allez entendre parler du pays …

      • En 2005,aux Etats Unis,Levitt and Dubner publièrent un livre, Freakonomics, qui eut un grand retentissement et une riche postérité;le chapitre le plus souvent cité concerne l’économie de la dro*gue à Chicago et s’intitule WHY DO DRU*G DEALERS STILL LIVE WITH THEIR MOMS?

        (Pourquoi les dea*leurs vivent encore chez leur m’man ?)

        On peut en lire un résumé ici:
        https://freakonomics-review.weebly.com/why-do-druhg-deahlers-still-live-with-their-moms.html#

        (enlever les h qui ne sont là que pour duper le robot)

        Grosso modo,seuls les chefs gagnent bien leur vie;les petits touchent 3,30 dollars de l’heure (données de 2005).
        J’ignore quelle est la situation en France,mais je ne serais pas surpris que les 1500 euros par jour cités par le Maître à la télévision ne concernent qu’une toute petite élite dirigeante.

        • Dea*leurs et universitaires,Freakonomics ,suite

          L’analyse du marché de l’emploi des dea*leurs par Levit et Dubner a inspiré plus récemment (en 2013) des économistes de la LSE (London School of Economics) qui ont travaillé sur le marché de l’emploi des universitaires.

          Ils arrivent à la conclusion que c’est un marché « duel » qui ressemble fortement au marché de l’emploi des dea*leurs.

          « The academic job market is structured in many respects like a dru*g gang, with an expanding mass of outsiders and a shrinking core of insiders.  »

          « Le marché de l’emploi universitaire est structuré à bien des égards comme un gang de marchands de dro*gue,avec une masse croissante d' »outsiders » [les docteurs qui acceptent un contrat précaire) et un noyau décroissant d' »insiders » [professeurs titulaires].

          Ils expliquent que les outsiders acceptent des contrats précaires et de basses rémunérations parce qu’ils espèrent (follement) accéder à des chaires.

          NB Sylvain Fort,actuellement chargé de la com pol de l’Elysée est un cas intéressant:un brillant universiataire ne pouvant accéder à un poste de titulaire et qui,en ayant eu marre d’être payé au SMIG avec des contrats à durée déterminée, a fini par fonder son agence de com,avant d’être repéré par la Macronie .
          http://blogs.lse.ac.uk/impactofsocialsciences/2013/12/11/how-academia-resembles-a-druhg-gang/

          • En vérité, je vous le dis, celui qui veut accéder aux chaires chères, cherra car, à trop tirer sur la chevillette, on peut se prendre un coup sur la bobinette.

          • Cet article,datant de 1993 nous en dit assez peu sur les salaires des chouffeurs et des revendeurs;en revanche,il nous dit clairement:
            1 que les chefs,peu nombreux,se font un pognon de dingue
            2 que sans l’argent de la drogue,l’économie de certaines cités de banlieue s’effondrerait complètement;

            « A 17 ans, les revendeurs peuvent, selon un éducateur, «se faire en deux jours ce que leurs pères gagnent en un mois».

            CCa, c’est vraiment une donnée claire,précise et irréfutable
            1″ selon un éducateur » 2 « peuvent » 3 « ce que leurs pères gagnent en un mois », c’est-à-dire combien ?

          • « doit » ,
            « pas loin de »… 100 euros par jour;à quel niveau hiérarchique faut-il accéder pour atteindre les 1500 euros par jour évoqués par le Maître à la télévision ?

            Ecoutez,je ne connais rien à l’économie de la dro*gue mais la question posée en 2005 par Levit et Dubner m’interpelle:comment se fait-il que les revendeurs vivent encore chez leurs mères ?

  13. à Lormier,

    Le 26 octobre 2018 à 21 h 35 min,
    Lormier
    a dit :
    Merci;en somme,il n’y a pas de mot russe qui corresponde bien au Maître par lequel je désigne le Maître.

    JP Brighelli s’est exprimé sur le sujet:on appelait Fellini « Maestro »;c’est ainsi qu’il préférerait être appelé.

    Je suis sincèrement contrite (laissons aux mauvais esprits l’occasion de jouer avec et sur les mots), n’ayant visiblement pas satisfait à votre attente. La traduction par профе́ссор ne répondant pas, semble-t-il, à toute la nuance que vous mettez dans le Maître à l’attention de JPB mais qui serait je pense la meilleure des traductions…

    Je vous remercie de votre galanterie et de m’épargner le désagrément d’avoir à répondre aux reproches qui nous sont adressés…L’épidémie de féminisme outrancier galopant auquel nous devons faire face en ces temps troubles, vérole le rapport homme-femme, tant et si bien que désormais la galanterie est considérée comme de la condescendance masculine de la part de ces femmes qui se réclament « féministes » alors que, paradoxalement,cette galanterie conférait à la femme une certaine force et de l’ascendance sur les hommes.
    Ce billet me déçoit, il est bien fade en comparaison ne serait-ce que du précédent! Quelle surprise que, tout « sadiste  » qu’il est, à moins qu’il ne soit plus juste d’écrire qu’il fut ou fût (j’espère que vous apprécierez ce clin d’oeil ),JPB ne soit pas plus mordant pour ne pas dire « sadique » à l’égard de ces féministes auxquelles il ne prédit qu’une éventuelle pendaison au cours d’une future révolution?

    • Et oui, »профе́ссор » ne me semble pas un bon équivalent…car il y bien là quelque chose qui a rapport au « professoral »;or par Maître ,j’entends Maître de l’écriture,Maître d’un art;ce n’est pas la pédagogie dont témoignent les billets qui m’intéresse au premier chef.

      Après tout,je n’ai pas besoin de m’adresser en russe au Maître.
      Vos réponses m’ont éclairé sur une petite zone du vocabulaire russe,m’ont redonné envie de « faire du russe » et cela n’a pas de prix.

      • Je vous souhaite de reprendre votre étude du russe et ne peux que vous y encourager vivement, vous en possédez de bonnes bases et surtout vous montrez cette curiosité fine, nécessaire à l’étude d’une langue comme le russe; quant à l’étude du hongrois, quelques unes de vos remarques me laissent penser que vous y trouveriez beaucoup de d’intérêt et de plaisir.

      • « L’épidémie de féminisme outrancier galopant auquel nous devons faire face en ces temps troubles, vérole le rapport homme-femme… »
        1 Je ne suis pas expert ès-féminisme;je crois qu’il y a féminisme et féminisme;celui de Gloria Steinem me convient bien.
        Il m’arrive de pratiquer l’exercice de la Gedankenexperiment;je gare une voiture dans un parking souterrain,je me dis: »si j’étais une femme,peut-être devrais-je chercher une place proche de l’ascenseur,pour réduire le risque de me faire emmerder… »

        2 Féminisme ou pas, « entre l’homme et la femme,ça ne marche pas. » On s’habitue,on en prend son parti et,finalement,on arrive à un modus vivendi acceptable,voire agréable.

        3 Les problèmes qui se posent dans le monde réel ne se posent quasiment pas dans le monde virtuel.(Ceci dit, l’infériorité de la gent masculine s’y révèle beaucoup mieux.)

  14. « Ah ! comme elles poussaient des soupirs
    Les jeunes fillettes d’antan
    Du monde ou d’l’usine
    Qui sont devenues à présent
    De vieilles grand-mamans
    Ce fut vraiment Félix Mayol
    Le bourreau des coeurs de leur music-hall »

    Charles Trenet chantre du féminisme d’antan !

  15. Castaner veut des policiers dans les écoles pour ramener un peu d’urbanité ; j’ai une autre proposition plus consistante : le chien-policier !

    Car enfin comme le chantait Félix Mayol :

     » Mesdam’s et Messieurs, faut qu’ tout le mond’ le sache,
    Bientôt, dans Paris, y aura plus d’apaches:
    On pourra chez soi rentrer l’ soir à pied
    Car on vient d’ créer le chien policier !
    Ben c’ lui qu’a trouvé le chien sergent d’ ville
    Est loin mes amis d’être un imbécile,
    Car un chien, ça court pus vit’ qu’un agent
    Et ç’a l’avantag’ d’être intelligent »

  16. Alors princesse est partie en courant,
    Alors princesse est partie en pleurant,
    Chagrine qu’on ait boudé son offrande.

    • Peut-être, mais
      « y a pas eu détournement de mineure… »

      Enfin, pas dans la chanson.

      • C’est qu’il aimait déjà une grande. De tout temps, le jeu n’a eu d’intéret qu’entre gens éduqués. Il faut laisser la marmaille s’agiter et savoir prendre plaisir en bonne compagnie.

  17. Je ne vais tout de même pas perdre mon temps à lire cette Bérénice L. dont je n’ai jamais entendu parler alors qu’entre deux pensées pour moi-même de Mac Laurel je lis cette phrase du Prince:

    « Elle se disait certes qu’il avait du prendre son parti, mais qu’il eût sur l’heure froidement renoncé ne l’en froissait pas moins ; n’eût il cessé son manège importun qu’elle l’aurait ressenti de même ; que tout cela cependant pût se terminer ainsi sans plus de façons la laissait songeuse. »
    SHIKIBU, 1008 AC.

  18. Ce Mac Laurel, quel type tout de même…
    Parait qu’il était Empereur ?
    Je ne sais plus où, ni quand !

  19. Au taf, je simule l’intelligence pour de la thune.
    Ici, je simule la connerie pour le plaisir.

    Certains choisissent les options inverses…uhuhu !

  20. MARRE DE TA GROSSE ?

    Ami féministe, je mets au point nuitamment une poupée d’amour. Les Love Dolls japonaises sont encore bcp trop basiques au goût post-moderne sexuel de quelques clients exigeants.

    Ce sera la Love Doll à PPV (Peau à Pigment Variable)

    Lundi ? Sur tatami avec une poupée dont les yeux se brident magnifiquement, les fesses se galbent légèrement, et la peau jaunit délicatement. Kimono fendu fourni gracieusement…
    Mardi ? Une belle négresse, bien noire et rose là où il faut..
    Mercredi ? une polynésienne gauguignolesque canon.
    Et pour ta fin de semaine caucasienne, une blancheur scandinave, blonde au teint de lait à te faire mourir d’ennui amoureux comme dans un film de Bergman.
    Pas belle la vie changeante ?…

    • On peut étendre le concept pour les gonzesses qui en ont marre de leur gonze qui sent la sueur, l’alcool et le tabac froid.
      Mais pour plaire aux féministes je me lancerai dans un projet culturel, sociétal, religieux, fabuleux : L’HCM (L’Homme à Corps Modifiable).
      Applications nombreuses et variées.
      Un Arabe pourra transformer son faciès déplaisant en celui d’un juif séduisant et vice versa.
      Un petit japonais jouera à être antillais le temps d’une zouk.
      Un Monégasque fera l’Andorran sous les yeux émerveillés d’un Luxembourgeois fauché.
      Un Russe passera la frontière US comme un véritable Gringo.
      La fin du racisme apparent.
      Tous pareils.
      Tous modifiables.
      Petit ou grand, blanc ou noir, beau ou laid, capable de se transformer en Macron, en Mélenchon, en Brad Pitt, en Brighelli !
      Des milliers de Brighelli dans les rues pour la Saint Jean – Saint Paul. Enfin …!

      Le rêve de l’uniformité déplacée.

  21. Je vous quitte définitivement.
    L’auto-censure m’aura tuer…
    Quelle perte !

  22. Les pauvres sont des khons (suite)

    L’universalité du noyau de la bêtise au coeur (au ker ?) d’une grande diversité locale est un fait reconnu. Aujourd’hui (et demain) : le Brésil

    https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/10/25/maud-chirio-bolsonaro-va-mettre-en-place-un-regime-fascisant_5374529_3222.html

    En ces temps de batailles autour des programmes scolaires, ne pourrait-on pas inscrire dans le marbre le thème général de la khonnerie populaire si aisément déclinable par les déclinistes de tout poil ?

    Bien sûr, au lieu de se réjouir de la richesse du thème, d’innombrables animateurs histéroriens beugleront le futur pazassé (pas assez d’heures, pas assez de postes, pas assez de citoyenneté vivrensembliste, …).

    • « Bolsonaro va mettre en place un régime fascisant »

      Bin quoi,un régime fascisant c’est un régime politique comme un autre.

      • jepréféreraisnepas (suite)

        Argument-massu(e) asséné par les fanafafs dans les commentaires : « Bolsonaro n’est pas un fasciste »

        Perso, je n’aurais pas envie de le vérifier car trancher la question évoque des souvenirs de tortures et de mains coupées

        • parce que , bien sûr, une main coupée par un tortionnaire coco, cépapareil, c’est « au nom du peuple » … affligeant !

          • Heureusement, j’ai encore de quoi pour vous faire un doigt d’honneur ambidextre.

            Et même des deux mains que vous le vouliez ou non.

            PS Je descend quelques instants de mon olympe pour me rapprocher de vos marais binaires à la mormoil : vous qualifiez de tortionnaires communistes ceux qui s’opposent aux neofascistes trop picaux. Comme ceux qui critiquent le darwinisme se font immanquablement traiter de créationnistes.

      • un régime fascisant c’est d’abord un régime socialiste, qui évolue , le plus naturellement du monde vers la dictature ! et on rappellera que le Le Programme en 25 points du Nsdap, reprenait 9 propositions du manifeste du PC de Marx …
        L’inculture des journalistes …

          • Le prob Bolsonaro, c’est que la jeune génération brésilienne n’a pas connu les affres des diverses dictatures ayant sévi depuis les 40’s et que les anciens passent par-dessus les débordements forts criminels de la dernière en date ( 70-84)…
            Mais ,au vu du bordel ambiant et redondant, on peut sinon comprendre, du moins essayer.
            Triste tropique pour un pays plein de ressources matérielles et humaines…

  23. Demain les roquets * (suite)

    Parmi tous les humanistes qui ont rempli les fosses communes de la planète, j’ai une tendresse particulière pour le général Stroessner ** et son paradis paraguayen humide et enclavé.

    On pourra évaluer l’importance de ce riant pays en se demandant qui parle du Paraguay aujourd’hui.

    Fokssachanje.

    * il leur manque la parole

    ** rappelons qu’il trouva refuge au Brésil de son renversement en 1989 jusqu’à sa mort en 2008 ?

    • Restons raisonnables: les dictatures Sud-Am’ furent, sans aucun doute, souvent brutales et sanglantes, mais ne sont qu’imitation à petite échelle des pratiques de ceratins pays autrefois loués par une frange de l’intellect franchouillard.

  24. Euh, Maître, not’ bon Maître, le « Cousin truc-machin », c’était pas le pénultième épisode d’une saga, qui a commencé par « le Cousin Scie », suivie de « le Cousin Rappe », puis «  »le Cousin Ponce », saga xylophile, écrite par Honoré de Balsa ?

        • et vous aussi,puisque vous savez manier le cyrillique:

          Краткое содержание «Мастер и Маргарита»
          Роман «Мастер и Маргарита» Булгакова (1928-1940) – книга в книге. В рассказ о визите сатаны в Москву начала ХХ века вписана новелла по мотивам Нового Завета, которую якобы сочинил один из булгаковских персонажей – мастер. В конце два произведения соединяются: мастер встречает своего главного героя – прокуратора Иудеи Понтия Пилата – и милосердно решает его судьбу.
          « Понтия Пилата » ,c’est le titre du roman qu’écrit le Maître dans Le Maître et Marguerite.

          Подробнее: https://obrazovaka.ru/books/bulgakov/master-i-margarita#ixzz5V8UQKS5Q

          • c’est pas parce que je dis que le cousin ponce que je manie la scie relique ! faudrait pas tout mélanger à en faire des raccourcis !
            Et votre recette, c’est carrément « Pilates des cas horribles » ! 😉

      • Rizières ?

        « Pas une feuille qui bouge,
        Pas un seul oiseau chantant ;
        Au bord de l’horizon rouge
        Un éclair intermittent ; »

        Un irrécupérable qu’on aura enfin libéré de ses contradictions

    • Et, comme dit la basse-cour des doigts de l’homme, il faut remettre les choses dans le con qu’on teste.

  25. à Sisyphe:

    Vous n’aimez pas écouter,vous préférez lire;si vous voulez vous faire une petite idée de ce que pense Tatiana Ventôse (une meuf que j’kiffe grave,la vie d’ma mère k’c vrai),vous pouvez jeter un coup d’œil sur:

    https://lincorrect.org/40951-2/

    • Merci.
      Un témoignage symptômatique de plus sur le 180° de beaucoup de gens dits « de gauche », qui se prennent la réalité en pleine tronche.

      • Je crois que vous avez fait une lecture un peu rapide de l’entretien;enfin,quand on a des idées préconçues…

        • Pfff…vous êtes bien prompt au jugement de vos pairs.
          Passez au conditionnel au lieu d’asséner des contre-vérités.

          • Vous n’êtes pas mon père;j’ai dit « je crois » et non « je suis sûr »;la p’tite Tatiana (ah comme j’la kiffe,la vie d’ma mère) prend soin d’expliquer:c’est pas passque je dis « c’étaient des Arabes -au sens où on entend le mot- car c’est un FAIT que j’dis forcément des Arabes et k’ j’suis devenue d’esstrême droite.

            C’te meuf c’est une Jennifer Cagole,une Myriam Néfertiti;si le Maître l’avait eue dans sa classe,j’suis sûr qu’il l’aurait kiffée grave.

          • En classe je ne « kiffe grave » personne, mon cher.
            En dehors, je ne dis pas…

    • Tatiana Ventôse a la berlue ! J’ai assisté à toute la scène, ce sont Jean-Marie Le Pen et le général Stroessner qui déguisés en Arabes se sont mis à la terroriser dans le métro !

      Le général Aussaresses supervisait l’opération « métro de la dernière chance » !

    • Peut-être pourriez-vous avoir la décence de nous prévenir avant de nous conduire par un lien sur un tel amas d’abjection ?
      J’ai peine à comprendre comment un tel site ne tombe pas sous le coup de la loi.

      Vous faites volontiers assaut d’élégance et de distinction quand bien même il ne s’agit souvent que de pédanterie.
      Que n’appliquez-vous ces vertus à la préservation du bol alimentaire de vos interlocuteurs.
      Blurpp, je dépose à vos pieds une grande flaque de vomi.

      • « J’ai peine à comprendre comment un tel site ne tombe pas sous le coup de la loi. »

        Ils disent être hébergés aux Etats-Unis et protégés par le premier amendement.

        • la liberté d’expression, ce n’est pas une notion à géométrie variable ! Et personne jusqu’à preuve du contraire, ne vous impose la lecture de ces sites ! Vous disposez de votre libre arbitre, et choisissez le contenu qui vous convient. Point !
          Si vous commencez à justifier la censure, il n’y a plus de liberté d’expression ! et de toutes façons, bonne chance pour fermer un site, qui rouvrira en quelques heures hébergé ailleurs …

  26. Je vous demande de vous arrêter de torturer Zorglub ! Son yaourt Mongol pris sous la yourte va encore gerber sur ma blouse blanche de tortionnaire distingué … vous pourriez quand même faire attention Lormier !

  27. Il faut penser à la rectitude du champ opératoire : des incisions fines dans le champ de la pensée correcte.

    Je demande une asepsie complète avant d’opérer un grand malade de l’Education nationale.

    Signé : un grand ponte de la médecine du politiquement correct qui veut rester anonyme (la gloire attendra).

    • Laurent Joffrin, degré zéro du zéro. Le zéro absolu. Moins 270 et quelques. La boussole qui, indique le sud. La honte de la profession — et pourtant…

  28. Je ne veux pas laisser Lormier dans une angoisse insoutenable !

    – Pourquoi les petits dealers restent-ils à vivre chez leur maman ?
    – Parce qu’ils n’ont pas trouvé la femme idéale.

    • C’est là d’ailleurs où féminisme et machisme devraient pouvoir trouver un terrain d’entente : pourquoi laisser de jeunes dealers sans horizon d’attente en un monde meilleur où la femme apporte sécurité et bien-être ?

  29. Je serais maire de France j’organiserais des mariages de réconciliation citoyenne :
    – Un dealer – une féministe ! Un couple en or …

  30. Brésil : bozo narrow vs bolcho nero

    Que le moins facho ultralibéral * gagne.

    * il n’y a rien à rayer

    • Un pays compliqué. J’essaie de le comprendre depuis 35 ans, je n’y suis pas encore arrivé.

  31. Pour ce qui est de l’écartement des jambes des mecs assis dans le bus ou le métro, je suis tout à fait d’accord avec cet avertissement tout en sachant évidemment qu’il n’aura aucun impact sur ceux qui le liront et continueront de faire le grand écart.
    Ce comportement « mâle » dure depuis des lustres mais s’est agavé depuis que nos wagons de métro et nos bus sont squattés (utilisés sans titre de transport) par toute une population assez jeune, parfois moins, issue de l’immigration.
    Je me suis rendue compte que l’écartement des jambes de ses  » usagers » des transports en commun variait selon les personnes assises à côté d’eux. A côté d’un autre homme, bizarrement, les jambes se resserrent. A côté d’une femme (surtout si celle-ci prend soin de sa personne: maquillage, coiffure, habillage féminins – ce qui dans le cerveau obtus de ces konars signifie: » Je cherche un mâle! »), ces voyageurs font des prouesses d’élasticité ligamentaire au niveau de l’aine. Dans quel but? Tout simplement pour se frotter, comme un clébard en chaleur, contre la cuisse de leurs voisines.
    Il m’est arrivé plusieurs fois de devoir me lever car ce contact me dégoûtait ou bien d’éviter, même fatiguée, de m’asseoir à côté de ces mâles facilement reconnaissables: casquette retournée, regard rivé sur leur portable… Quelques spécimens plus âgés s’adonnent aussi à ces petits plaisirs du vivre ensemble qui leur permet de toucher la « femme blanche pervertie et aguicheuse ».

  32. Denis Collin,professeur de philosophie,a donné une conférence intitulée

    « L’idéologie scolaire des handicaps socio-culturels ».

    Ceux qui comprennent vite (comme,par exemple les lecteurs de Bonnet d’Ane) trouveront sans doute le rythme trop lent mais c’est d’une grande richesse explicative et « historique » (intéressant rappel de la trajectoire du « maoïste » Alain Geismar);il est montré que Blanquer s’inscrit dans la tradition et n’est pas du tout le « restaurateur »qu’une certaine presse tente de nous vendre .

    (Sur deux sens du mot « maître » elimal sera peut-être intéressée par la discussion des concepts latins de dominus et de magister 26mn 49 sq°
    Evidemment,les anti-marxistes primaires fuiront lorsque ils sauront que Denis Collin a beaucoup lu et expliqué Marx.

    PS Denis Collin fils d’un paysan ayant quitté l’école à douze ans dit avoir été grand demandeur de »violence symbolique* » infligée par l’école:interne,il a pu passe ses soirées à lire et étudier-activités qu’il préférait au travail de la ferme.
    * notion bourdieusienne
    https://www.youtube.com/watch?v=433EBfZa27o

  33. Et la « réponse », princesse:
    http://premium.lefigaro.fr/vox/societe/2018/10/26/31003-20181026ARTFIG00299-l-homeopathie-face-a-ses-accusateurs.php

    « Surtout, l’homéopathie n’est pas dénuée de tout fondement scientifique. L’homéopathie est un champ de recherche à part entière, dans lequel sont effectués des travaux rigoureux, qui répondent aux critères les plus exigeants. Ce sont ces travaux, notamment en recherche fondamentale, qui ont permis de démontrer à plusieurs reprises que des hautes dilutions ont bien une activité propre.  »

    C’est le fond du problème: démontrez-nous l’effet d’une substance diluée 100 fois.

      • Oui, c’est paradoxal: l’eau coule sous les ponts et noie mon 51 vespéral.
        Santé!

        PS: un boum! vite éteint.

      • Encore un coup des Corses, ce truc là, et du plus roublard d’entre eux : Buonaparte et sa célèbre mémoire d’Eylau !
        Qu’on te me leur donne, leur indépendance ! 😉

    • C’est surtout une manière élégante, sous couvert de pratiquer une médecine « douce » (l’autre est-elle dure ?), de passer en secteur 2, là où l’Ordre recommande d’opérer (!) des dépassements « avec tact et mesure ».
      J’attends encore le montant chiffré du tact et de la mesure…

  34. à Lormier, en réponse à votre message du 27 octobre 2018 à 1 h 09 min,
    Vous écrivez:

    « 1 Je ne suis pas expert ès-féminisme;je crois qu’il y a féminisme et féminisme;celui de Gloria Steinem me convient bien. »

    Je ne peux qu’entériner et apprécier que vous mentionnez Gloria Steinem… Qu’elle soit citée sur ce « fil de discussion » était important…Vous êtes assurément plus « expert ès-féminisme » que vous le déniez.

    Le plus troublant dans votre message réside dans les propos qui suivent:

    « 2 Féminisme ou pas, « entre l’homme et la femme,ça ne marche pas. » On s’habitue,on en prend son parti et,finalement,on arrive à un modus vivendi acceptable,voire agréable.
    3 Les problèmes qui se posent dans le monde réel ne se posent quasiment pas dans le monde virtuel.(Ceci dit, l’infériorité de la gent masculine s’y révèle beaucoup mieux.) »

    N’en revient-on pas au « once bitten, twice shy »? J’ajoute un sourire et n’insisterai pas davantage sur ce point.Vous comprenez…
    Néanmoins pourriez-vous expliquer ce que vous entendez par « l’infériorité de la gent masculine s’y révèle beaucoup mieux. »?
    Ne pensez-vous pas si l’on considère non seulement les échanges qui ont lieu sur ce blog depuis des années mais aussi l’évolution des « rapports » entre les quelques commentateurs « habitués » des lieux, qu’il s’avère indéniablement que les problèmes qui se posent dans le monde réel se posent aussi dans le monde virtuel?

    • « Les problèmes qui se posent dans le monde réel se posent aussi dans le monde virtuel? »
      En profondeur,vous avez sans doute raison;je voulais seulement dire:dans le monde réel,la question sexuelle fait toujours plus ou moins obstacle à la conversation entre hommes et femmes.

      Dans le monde virtuel,non;je n’ai aucune gêne à écrire « couilles » et « testicules » (ou trou du cul)
      C’est la liberté!

      Je me souviens d’avoir dit une fois,en présence d’une dame, qu’après une après-midi de VTT,je n’avais rien de plus pressé que de mettre mes testicules à tremper dans un bidet d’eau glacée;cela l’avait fait éclater de rire- mais je n’aurais pas risqué un tel propos devant n’importe quelle femme.

      • Le bidet, denrée rare mais nez en moins typiquement frachouillarde, voire utile en ces temps d’écologie…

      • bin, faudra éviter à l’avenir, c’est de l’agression sexuelle verbale caractérisée, et si ça peut pas encore vous conduire en zon-zon, ça vous vaudra une prune bien salée !

  35. HS : Ô Très révéré et Très Magistral, avez-vous des nouvelles de Basile De Koch, votre « voisin » de Blog, qui ne donne plus signe de vie ?

  36. Comment expliquer la mémoire évanescente du cyprin doré * alors que son élément semble en regorger ?

    * Non. Il n’en découle pas que cyprine soit le nom de la femelle.

    • Oui — c’est comme péripatéticien et péripatéticienne. Ou courtisan et courtisane.

      • Laissons à Lormier le soin de dresser une liste exhaustive de ces termes. Ca occupera son dimanche.

        • Juste pour le mettre en appétit:
          gars / garce.*
          coureur /coureuse
          professionnel/ professionnelle .

          *Oui, oui, à l’origine, garce n’est que le féminin de gars

          PS:
          Je note, une fois de plus, que lorsqu’on féminise, ça se dégrade fort.

      • Recenser ce type d’expressions vous donnerait un mal de chien.ne, mais vous avez certainement d’autres chat.te.s à fouetter.

  37. Mesdames et Messieurs membres du corps universitaire, que pensez-vous de la polémique lancée par Emmanuel Macron en Hongrie au sujet de l’université Georges Soros, université américaine qui enseigne en anglais à Budapest ?

  38. En France il existe un monopole de l’enseignement par l’Etat avec des concessions à certaines institutions privées triées sur le volet.
    On a donc un contrôle strict par l’administration des savoirs dispensés par les établissement de quelque niveau qu’ils soient.

  39. Ou si vous préférez l’enseignement doit-il être cosmopolite ou nationaliste ? Emmanuel Macron soutenu par une large fraction de la bourgeoisie « française » qui travaille pour des multi-nationales considère que le seul vrai savoir transgresse les frontières – ce qui explique d’ailleurs que pour lui la culture de Marivaux n’est ni française, ni parisienne, ni d’aucun lieu, ni d’aucun temps !
    Je crois qu’il serait facile de démontrer le contraire … bien entendu à l’université Georges-Soros on n’enseigne pas Marivaux et on n’a que faire du professeur de lettres françaises Jean-Paul Brighelli – on se prépare aux grandes affaires (qui n’excluent nullement les petites).

  40. Sur ce blog nous avons un macronien de choc, le sieur Dugong et un anti-macronien tout aussi convaincu, votre serviteur.

    Messire Dugong considère que Lormier n’est qu’un antiquaire des mots qui s’occupe comme il peut surtout les dimanches, quant à moi il me considère comme un vulgaire brocanteur encore moins utile qu’un portefaix, qui règne sur un dépôt de vieilleries usagées et tout juste bonnes pour le tri sélectif.

  41. Que je vous considère souvent comme un coprolithe égaré ne fait pas automatiquement de moi un macronien. De même, que vous soyez souvent un coprolithe ne fait pas automatiquement de vous un anti-macronien retrouvé.

    Néanmoins, ce que je lis parfois ici me donne très envie d’urnifier lrem l’année prochaine

    Saurais-je résister à cette tentation ?

    • Il paraît que cela vaut très cher le coprolithe ; mais vous êtes certainement plus au courant que moi du cours des excréments de dinosaures … à la bourse de Ouagadougou !

        • J’ai vu hier soir dans « 3 vetos à Houston » une hyène apprivoisée, extrêmement câline avec les vétos qu’elle ne connaissait pas et qui étaient un peu intimidés ! Bon d’accord elle pousse de drôles de grognement et sa mâchoire redoutable effrayait les visiteurs mais ce sont des animaux sociaux qui adorent les contacts. Elle s’ennuyait visiblement toute seule dans son enclos … au final je ne déteste pas les hyènes !

          • les seules à craindre sont les terribles « hyènes révisionnistes », souvent accompagnées des redoutables « vipères lubriques » et autres « valets de l’impérialisme » …

          • sans oublier les célèbres « tigres de papier », et les « suppôts du colonialisme » 😉

    • « coprolithe égaré  »
      Le coprolithe n’ayant pas le moyen de s’orienter,il faut gloser l’expression ainsi:coprolithe égaré par son propriétaire;en revanche un esprit égaré s’est égaré lui-même.

  42. J’oubliais de préciser que Dugong s’il n’est pas le nationaliste obtus que je suis est par contre un disciple de Céline qui adorait inonder d’excréments ses adversaires (politiques et littéraires) réels ou imaginaires – oui je n’aime pas les grands empires qui règnent sur la merde humaine, je préfère les petites patries civilisées comme des diamants !

    Emile Zola à Stéphane Mallarmé : « Qu’avez-vous contre la merde ? Ca a sa valeur comme le diamant » ; et le doux poète de répondre suavement « Oui mais le diamant c’est plus rare !

    • Est-ce dans La faute de l’abbé Mouret ou dans la Conquête de Plassans qu’un personnage passe ses moments de loisir à rouler des petites boulettes de merde,qu’il trie et répertorie ?

    • Nao vai ter surpresa nenhuma. O jogo jà esta encerrado. Quem compreende é quem vive neste pais…
      Pardon pour les accents manquants, salop…d’azerty!

        • O jogo jà esta encerrado;
          faut voir. J’ai cru comprendre que, sans congrès acquis à sa cause, un président au Brésil …..

          • Dei uma resposta para o senhor, mas a inteligencia articial deste blog nao deixou passar o link.
            Resumado: os três poderes, a moda antiga…sabendo que o Bolsovazio de hoje sera o bolsocheio de amanha.
            Abraço!

  43. Citation trouvée sur le blog Rioufol :

    L’Afro-américain Louis Farakhan déclarait la semaine dernière que les Juifs sont des termites.
    « I’m not an anti-Semite. I’m anti-Termite. pic.twitter.com/L5dPQcnVg4 – MINISTER FARRAKHAN (@LouisFarrakhan) October 16, 2018 »

    Dans les comparaisons animalières on trouve à boire et à manger !

    • Farakhan est musulman, non ? dire qu’à une époque, les médias voulaient en faire un rev King 2.0

        • je citais de mémoire, quelques expressions imagées du best seller de l’idole de bien des enseignants français, le grand timonier Mao Zedong …

          • « rats visqueux » c’est de Sartre je crois;il me semble qu’il lui est arrivé de commencer une conférence par « Chers rats visqueux ».

            Jeune homme Geismar publiait des tracts où il conseillait aux lycéens de dire « Crève salope! » à leurs professeurs.

            Plus tard il fut nommé Inspecteur Général de l’Education Nationale.

  44. Là d’accord,les « ligaments » des aines travaillent grave.
    Deux remarques:
    a) je ne suis pas sûr que Meghan Markle serait cap.
    b)On remarque que le spectacle ne déplaît pas aux dames;si j’étais mauvaise langue,je m’interrogerais sur le fait que ce sont les féministes françaises qui parlent de couilles (alors que dans « manspreading »,il n’en est nullement question.

    https://www.youtube.com/watch?v=sqnA3elTD98

  45. C’est un peu curieux que dugong traite Pierre Driout de « coprolithe » (ce qui n’est guère aimable,si l’on y songe).

    En effet dans Le disque-monde de Pratchett, cette injure est utilisée par des trolls qui la jettent à la tête d’autres trolls- leursennemis.

    Maintenant,allez savoir quelle est la source inépuisable des insultes dugonguiennes…

    • « quelle est la source inépuisable des insultes dugonguiennes… » ? son insondable fatuité ! Le grand Albert Zweitein disait « il y a trois choses infinies, l’Univers, la bêtise humaine, et la fatuité à le Dugong ! »

      • fatuité ? Mais non.

        J’ai croisé pas mal de physiciens;ce sont généralement des gens un peu bornés.

        Dugong l’est beaucoup moins que la moyenne de ses congénères. (les bornes sont moins vite atteintes.)

  46. à Lormier

    en réponse à votre post Le 28 octobre 2018 à 18 h 26 min,
    On peut en effet considérer que le monde virtuel permet davantage de libérer l’expression ou plus exactement de débrider l’expression dans les échanges d’autant que ces derniers se font sous couvert de pseudos. Cependant comme je vous l’ai déjà écrit plusieurs fois les mots utilisés finissent toujours par révéler la personnalité « réelle » qui se dissimule derrière le pseudo (clin d’oeil)…Sauf si on a affaire à un psychopathe…Je suppose que c’est l’image de votre « altière » personne enfourchant un bidet pour rafraîchir vos « bijoux de famille », « youks », » couilles »( vous choisirez l’expression qui vous siéra le mieux…sourire)qui a déclenché l’éclat de rire de la dame quand vous avez émis le souhait  » mettre mes testicules à tremper dans un bidet d’eau glacée ». Je me doute soyez en assuré que vous ne glissez pas ce genre de propos entre deux petits fours lors d’une soirée mondaine; quoique cela pourrait avoir la « vertu » de détendre une ambiance trop tendue… sourire…

      • Effectivement. Et vue sa condition humaine, il serait moins célèbre qu’un autre crucifié.
        Ce qui est heureux, parce que si « notre » nouveau prophète se mettait, par impossible, à avoir autant de succès religieux, on est mal !

        • Oui.
          Au passage, dans sa courte phrase, admirons JPB, véritable maitre de pédagogie, la vraie, celle qui est efficace.

  47. Pour ceux qui vont à la selle et paie ensuite la douane :

    https://www.irbms.com/cyclisme-maux-du-seant/

    Il existe de nombreux liens qui conseillent des préparations * pour les bains de siège mais on y fait en général état de cuvettes en plastique comme khontenant. Le bidet semble être un objet en voie de disparition dans nos salles de bains au bénéfice de douches de taille respectable.

    On peut douter de l’intérêt de plonger nos balloches meurtries dans de la glace fondante, traitement où le risque de recroquevillement peut aller bien au delà du raisonnable. Quant aux dames au fessier rougi, glandeuses de Bartholin notoires, il y a bien d’autres liquides dans lesquels elles trouveront du plaisir à se tremper les lèvres.

    Finalement, je crois utile de briser menu les croyances dans les bienfaits du froid sur nos grelots : le gel convient mieux à la selle qu’au bain de siège.

    * on trouve sur le net d’innombrables préparation : décoction d’écorce de chêne, citronelle, hamamélis, argile verte, bicarbonate, sauge, etc.

  48. « Je me demande quelle professeure, comme disent et écrivent ces imbéciles »
    Imbécil »E » encore une preuve indiscutable d’une discrimination sexuelle rampante….
    Mais que font ces chiennes de garde, femens et autres, elles sont bêt »E »s ou quoi?

    • Non ! Juste l’un de ses avatars…
      Ça fait rigoler aux larmes mes élèves d’origine algérienne — ils parient entre eux sur le nombre exact de ses clones depuis leur naissance.
      De toute façon, s’il meurt, c’est la guerre civile — promise entre autres par les Kabyles.

  49. Le 29 octobre 2018 à 7 h 29 min, Arthur a dit :
    A propos de libération, quelques nouvelles du prophète (1 an déjà au moins) :
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=131&v=k40RpYZlvkQ

    Parmi les raisons qui selon Attali,font que les représentants des peuples sont sans pouvoir en Europe,il y a l’euro:
    Attali « L’euro fait qu’une grande partie de la politique économique est devenue européenne. »

    Il est exact que l’euro a été créé dans le but d’asservir les nations.
    Mais la vision attalique du monde a un côté « fin de l’Histoire » , qui la condamne.

    Il n’y a pas de « fin de l’Histoire » et aujourd’hui, ce qui se passe en Italie pourrait bien conduire à la fin de l’euro et à la dislocation de l’Union Européenne:

    « Le point capital aujourd’hui, ce n’est pas la « nature » du gouvernement italien, mais le fait qu’il ait engagé, pour la première fois, une dynamique de remise en question concrète, immédiate du carcan de l’Union Européenne. Ici, en France, on a beaucoup parlé de la « désobéissance », mais c’est ce gouvernement italien-là qui la met en œuvre. Où cela conduira-t-il ? Il est difficile de le dire.
    … Si la spéculation se déchaîne contre l’Italie (le fameux spread, c’est-à-dire l’écart entre les taux allemands et italiens, qui a beaucoup augmenté), le pays pourrait se trouver dans une mauvaise situation. Mais fort heureusement, les Italiens n’ont pas fait confiance à un homme de gauche comme Tsipras. Les dirigeants M5S et certains cadres de la Lega étudient sérieusement la possibilité de la sortie de l’euro pour sauver l’Italie face à la spéculation plus ou moins pilotée de Berlin ou Paris. Régulièrement, des sphères gouvernementales, fuitent des informations selon lesquelles on se préparerait à mettre en circulation en Italie une nouvelle monnaie en lieu et place de l’euro. Les dirigeants seront-ils assez forts pour résister aux pressions de l’UE ? Mystère.  »

    Denis Collin

    Bien évidemment,il y a d’abord le Brexit;Attali dit que le traité de Maastricht ne comporte aucun article prévoyant la sortie de l’UE mais un tel article n’est pas nécessaire,car on peut dénoncer un traité.

    Ce qui est curieux chez Attali c’est qu’il nous annonce d’un ton satisfait les catastrophes à venir et qu’il se flatte d’avoir joué un grand rôle dans leur préparation.

  50. Libérons-nous de l’optimisme !

    Fonctionnaires mes frères vous ne valez pas mieux que le dernier des taulards ; Manu le pote à Benalla a dit « une voix de criminel vaut tout autant qu’une voix d’honnête homme du moment qu’il vote pour moi. Je ferai placer des urnes dans toutes les centrales de France pour les européennes. En attendant bonne Halloween ! On va cramer du flic … »

  51. Principes d’économie politique,par un créateur de richesses (ce n’est pas Attali)

    « Il vaudrait donc mieux qu’on nous eût étouffés dès le berceau ?
    – Assurément. C’est l’usage dans beaucoup de pays ; c’était la coutume des Grecs ; c’est celle des Chinois. Là, les enfants malheureux s’exposent ou se mettent à mort. A quoi bon laisser vivre des créatures comme vous, qui, ne pouvant plus compter sur les secours de leurs parents, ou parce qu’ils en sont privés ou parce qu’ils n’en sont pas reconnus, ne servent plus dès lors qu’à surcharger l’État d’une denrée dont il regorge ? Les bâtards, les orphelins, les enfants mal constitués, devraient être condamnés à la mort dès leur naissance. Les premiers et les seconds, parce que, n’ayant plus personne qui veuille ou qui puisse prendre soin d’eux, ils souillent la société d’une lie qui ne peut que lui devenir funeste un jour ; et les troisièmes, parce qu’ils ne peuvent lui être d’aucune utilité. L’une et l’autre de ces classes sont à la société comme ces excroissances de chair, qui, se nourrissent du suc des membres sains, les dégradent et les affaiblissent ; ou, si vous l’aimez mieux, comme ces végétaux parasites, qui, se liant aux bonnes plantes, les détériorent et les rongent en s’adaptant leur substance nourricière. Abus criants que ces aumônes destinées à alimenter une telle écume… que ces maisons richement dotées, qu’on a l’extravagance de leur bâtir, comme si l’espèce des hommes était tellement rare… tellement précieuse, qu’il en fallût conserver jusqu’à la plus vile portion ; comme s’il n’y avait pas plus d’hommes, en un mot, qu’il n’en faut sur le globe, et comme s’il n’était pas plus nécessaire à la politique et à la nature, de détruire que de conserver. »

    • vous mélangez libertinage et libéralisme … vous devriez vous surveiller, et ne pas oublier de prendre vous gouttes, la sénilité vous guette ! 😉

  52. Il y a des gens qui adorent les hyper- ; je me souviens de l’hyper-puissance américaine chère à Védrine, l’hyper- ceci cela d’Attali sus-nommé.

    Je les invite à réfléchir à ceci : l’hyper-confort des uns appelle l’hyper-violence des autres.

  53. L’immeuble de la bonne-conscience est un hyper-espace ouvert à tous mais fermé aux autres.

    • « vendu au grand capital » ? mais être riche à la place des riches est leur obsession ! de Mitterrand à Flamby en passant par Charrasse, Jospin, Sapin, Mermaz, Joxe, Lang etc …

      • Cependant,Maître,vous acceptez fort bien qu’après ce texte que d’aucuns jugeraient « définitif » dugong poste un lien vers un article traitant du même « triste sire. »

        Ne voulant pas dissimuler mon péché,je vous avoue que j’ai suivi le lien et lu l’article.

    • Il m’arrive de ne pas suivre vos liens,m’exposant ainsi au reproche d’être un « branleur ».

      Mais cette fois-ci j’ai suivi.

  54. Dans un article du Guardian,publié en 2012,Greg Palast expliquait la fonction de l’euro;selon lui la théorie de la monnaie unique a été formulée par l’économiste reaganien Mundell

    Robert Mundell, evil genius of the euro
    Greg Palast June 26, 2012

    « It [the euro] puts monetary policy out of the reach of politicians, » he [Mundell] said. « [And] without fiscal policy, the only way nations can keep jobs is by the competitive reduction of rules on business. »
    He cited labor laws, environmental regulations and, of course, taxes. All would be flushed away by the euro. Democracy would not be allowed to interfere with the marketplace – or the plumbing. »

    Cela [l’euro] met la politique fiscale hors de portée des dirigeants politiques. [Et] sans politique fiscale,la seule manière dont les nations peuvent préserver l’emploi,c’est par la réduction des règles qui régissent les entreprise.
    Parmi ces règles,il citait les lois du travail,les réglementations sur l’environnement et bien sûr les taxes et impôts. Tout cela serait évacué grâce l’euro.La démocratie n’aurait plus le droit d’interférer avec le marché ou la plomberie. »

    • c’est une évidence, la charrue avant les boeufs ! mais comme Giscard et Schmidt poussaient et que tout le monde « sautait comme des cabris », on sait ce qu’il est advenu, et nous avons ce monstre administratif qui nous impose des normes et des règles délirantes !
      J’ai un cousin, ingénieur chez Michelin, qui passe son temps à aller à des réunions à Bruxelles depuis 2 ans, pour définir des normes EU pour les pneus ! voilà, après 2 mois de débats pour la normalisation des cuvettes de chiottes, voilà ce que fait la commission : brillantissime et essentiel !

    • Le fonctionnaire de police est un truand comme un autre soumis à la loi de l’offre et de la demande ; policier cramé fête aux balcons des cités, saines réjouissances d’Halloween !
      Le marché toujours triomphe !

    • Manipulation des bolsonéristes hexagonaux ?

      En tout cas, Driout, en khrétin militant fonce museau baissé.

      • Y-a-t-il un narco-trafic grandissant en France ? Oui
        Ce narco-trafic va-t-il se constituer en force para-publique et déboucher sur des narco-états parallèles ? C’est ce que pensent de plus en plus certains hauts-fonctionnaires des finances à Bercy (par exemple du département de la Seine-Saint-Denis).
        Quel est le point commun à tous les narco-états ? L’hyper-violence style Colombie ou Afghanistan.

        Signé : Le citoyen éclairé Pierre Driout

        • Je rappelle à toutes fins utiles que le pauvre Dugong a fui Marseille pour sauver sa BMW !

          • Driout, toujours pertinent.

            Vous êtes éclairé au gaz ?

            Quant à ce que « pensent de plus en plus certains hauts-fonctionnaires des finances à Bercy », comment dire ?

    • Quand je pense que j’ai enseigné là, aux Tarterêts, pendant 10 ans…
      Et que je traversais ladite cité tous les matins et tous les soirs, entre le lycée et la gare.

  55. Le policier empêche le fonctionnement normal de la loi de l’offre et de la demande sur le marché de la drogue c’est une anomalie légale !

  56. Sade que nous citait tantôt Lormier s’est trouvé comme un petit poisson dans l’eau au milieu de cette révolution qui mettait les idées tête-bêche !

    Son radicalisme verbeux combattait la vertu ancestrale au nom de la vertu des mots.
    La logique de la mort plutôt que la compromission du vivant !

    • Sade,comme un poisson dans l’eau dans la Révolution ?

      C’est contestable (et contesté):les révolutionnaires l’ont remis en prison ;beaucoup souhaitaient qu’il fût condamné à mort.

      voir par exemple:

      Sade dans la Révolution ,par Michel Delon

      https://www.persee.fr/doc/rfea_0397-7870_1989_num_40_1_1358

      et bien sûr,l’ouvrage qui fait autorité,par le plus grand des sadiens:

      Sade-La vie La légende
      Jean-Paul Brighelli
      ISBN : 203505012X
      Éditeur : LAROUSSE (10/01/2006)

      • Ce n’est pas une preuve ! Les révolutionnaires en bons révoltés qu’ils étaient s’enfermaient les uns les autres dès qu’une mauvaise pensée leur trottait dans la tête !

    • Je rappelle pour ceux qui l’ignorent que Marseille devance maintenant Naples en termes de criminalité !

  57. Acclimatation difficile hier midi dans le jardin du même nom où soufflait un vent à décorner les cocus les mieux décorés pour Halloween en faisant la queue devant le bâtiment de la Fondation Louis Vuitton qui est vraiment un bel écrin, un espèce de paquebot, excipient-violent ne souffrant aucune innocuité pour véhiculer en images des oeuvres d’art parfois plates, plus ou moins agréables à regarder autrement et ailleurs qu’ici.
    Le prix d’entrée de 16€/personne me semble un peu excessif quand pour 15 balles plein pot t’as le Louvre en entier…mais faut payer la sécurité –surnuméraire à mon avis– les primes d’assurances des oeuvres d’art prêtées par des particuliers (pour la plupart), leur transport, etc…je ne sourcille pas !
    Quinze minutes de queue sous un vent du nord avec un billet réservé sur internet.
    Montesquieu peut aller se rhabiller avec ses moufles et son cache-col, pensai-je.
    j’ai pas besoin d’être un « écorché moscovite pour me donner du sentiment » moi, me dis-je, ma Bingbing blottie contre moi.
    Je n’attends pas dehors dans un froid sibérien pour ne « consommer » bêtement que des toiles…qu’elles soient de peinture ou de cinéma; je suis venu les regarder en essayant de voir ce que ces deux têtes brûlées de Schiele et Basquiat ont voulu dire, qu’ils ont dit ou non, ce qu’ils ont dit malgré eux.
    Enfin à l’intérieur à 12h30 précises comme prévu, le match « Schiele vs Basquiat » peut commencer.
    Quand l’éthique personnelle ne s’y oppose pas, au moment de faire un choix entre deux artistes, sans hésiter, je soutiens les deux !
    Je croyais assister à un face à face (ou à un côte à côte); on regarde en fait les oeuvres de ces deux gonzes (soixante-dix ans d’écart au compteur mais alter ego) séparément.
    Schiele d’abord.
    Tombé tout petit dans la potion magique du grand bain culturel viennois bouillonnant, on admire ici ses dessins, essentiellement, une bonne centaine, et une douzaine de peintures, des huiles et des gouaches. Je tombe en arrêt admiratif devant des (auto) portraits, des nez petits et grands, des bouches petites et grandes expressives ou parfois niaises, des regards exorbités, des grandes mains (quand il y en a) désarticulées.
    Un baiser trash entre un « Cardinal et une nonne » en génuflexion, un hommage à Klimpt son mentor. Des scènes intimes aussi: elles sont belles. Filles côte à côte, au lit, cheveux dénoués… délicats tableaux lesbiens, ou peinture tout court d’amours débutantes, administrés de main de maître… élan contrebalancé par hésitation tendre et violente…
    Mon oeil (pourtant expert) a été désorienté et j’ai dû lutter pour parvenir à appréhender certaines positions des membres contorsionnés.
    Schiele peint tout et ose tout: l’abaissement des barrières qui préfigurent la sensualité volcanique dédiée à l’élu(e)(…androgyne ?), l’accès au corps prosaïque sans défense, une « Origine du Monde » plus gynécologique et exhibitionniste que l’autre, une « Hostie rouge » écarlate et turgescente, bref, des tableaux qui lui vaudront trois semaines de taule: magnifiques et méritées, petit voyou !

    Basquiat ensuite.
    La première salle montre (pour la première fois, parait-il) ses fameuses « Heads » en triptyque, gigantesques, traversées de scarifications en traits rageurs (acrylique et crayon gras) .
    Peintures performatives étourdissantes.
    Comme Schiele, c’est de la création compulsive qui t’implique malgré toi, te perturbe l’oeil et te pousse dans tes derniers retranchements. Je garde physiquement mes distances d’avec ces crânes où il est sûrement dangereux de se pencher au-dedans.
    Je ne connaissais Basquiat que par des photos de ses collages, de ses assemblages ou de ses graffitis sur les murs d’un N.Y. des années quatre-vingts que j’aurais bien aimé connaître,
    (essayez de visionner la saison 2 de la série « The Deuce » pour voir ce que je veux dire…Times Square à l’heure du Bronx !).
    Il y en a, plus qu’on ne peut en appréhender en deux heures de visite.
    Mais le plus intéressant, ce sera la découverte à la fin de l’expo de ses rébus visuels ésotériques, des textes flottants, des chiffres, des signes.
    On sent que le gars n’était pas né dans la rue quoiqu’il en dise. Un cérébral, issu d’une famille de la middle-class aisée, excellente éducation (sa mère squattait le MOMA avec lui dès son plus jeune âge) d’un gars qui se voulait écrivain avant tout.
    Suit enfin un tableau lâchant des bouffées d’extincteurs et des jets de bouches d’incendie dans la nuit d’une cure de désintox qui n’allait nulle part, puis une funeste « riding with death », balade en vélo prémonitoire ou trompe-la-mort.

    Les deux gonzes sont morts à 28 balais !
    J’en aurai bientôt 27 sans avoir véritablement produit quelque chose de concret pour la postérité.
    J’ai eu un spasme en y pensant…

    https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr/expositions.html

      • Garamond 0.23 ?
        Ma pauvre Duduche ! La seule fonte que tu connaisses c’est celle de la plaque qui bouche ton tout-à-l’égout et qui te servira un beau jour de pierre tombale.
        Laisse la tomber, par Newton …Hurkhurkhurk !

    • Les plus illustres ici (en tout cas les plus prolixes) vous ont pourtant déjà répété que « l’art moderne » c’est que de la merde.
      Ils n’ont même pas besoin s’exprimer pour ce qui est de l’art contemporain, si tant est qu’ils fassent la différence, ce qui n’était largement pas clair lors de leurs interventions durant lesquelles ils incluaient dans le même package (all inclusive …) tout ce qui est postérieur à 1900 et qui n’est pas une resucée de l’antérieur !

      Pas le courage de chercher qui quoi comment (ni combien de fois) car, comme le répèterait le péteux prétentieux qui chaque fois croire nous en sortir une nouvelle (et bien bonne) : « en l’absence d’appareil critique » etc.

      J’ai vu une expo Basquiat à Paris à la Fondation Dina Vierny me semble-t-il il y a au mois 15 ans j’en garde encore des frissons.

      Pour le reste, appliquez-vous et ne désespérez pas : vous atteindrez (peut-être) 60 ans et (sans doute) n’aurez rien produit.

      • Malgré l’absence d’appareil critique,vous vous rappellerez sans mal la formule grossière par laquelle j’avais répondu à votre torrent de gossièretés :je vous emmerde.

        • Vous n’avez nul besoin de le proclamer si haut et fort.
          A votre contact on se retrouve souillé de merde, à croire que vous révélez ainsi votre vraie nature.
          Midas /…/ d’autres /…/

          L’âge, la mémoire, toussa, etc.
          Relisez si besoin.
          Un « torrent de grossièreté » ?
          Non, un seul mot d’accroche grossier parmi 227, « Pauv’ con » et pouvais-je m’en dispenser ?

          Sinon, pauvre choupette, blessé ?

      • Tout n’est pas bon chez Basquiat mais tout n’est pas à jeter.
        A part les « Heads » de la première salle et les textes de sa dernière période, le reste m’a laissé perplexe, mais j’ai admiré l’énergie créatrice que je n’atteindrai pas « sans doute » à mes 60 piges.
        Basquiat est sûrement surcoté. De même que la cotation boursière ne reflète plus l’état réel des entreprises cotées en Bourse, de même le prix des œuvres d’art est entièrement déconnecté de la valeur artistique réelle des objets de la spéculation financière.
        Ne pas confondre amateurs d’art et mateurs de bénéfice sonnant et trébuchant…

        • Oui.
          Après les histoires de fric ne me concernent pas directement : j’ai peu à défiscaliser !
          Que l’art soit désormais un placement spéculatif comme un autre avec toutes les folies que la modernité des circuits financier permet dévoie un peu le système marchand (indispensable) dans lequel il est intégré.
          Mais ça n’enlève rien au talent de ceux qui en ont.

          A à toute époque business et art ont fait bon ménage, les princes se sont servi des artistes pour faire des concours quéquette et les curés pour manipuler les masses.

          Avez-vous vu le film de Schnabel (lui-même plasticien) ?
          C’est bien !

        • Tss tss
          Si tu veux vraiment passer pour un cador de l’édition comme par utiliser le mot « typo » plutôt que fonte.
          Et ne t’arrête pas en si bon chemin, cite les trois entités qui décident de la cotations d’un artiste et permettent la création d’une niche fiscale supplémentaire si utile aux capitaines d’industrie dépourvus d’idée pour placer leur fric. De la différence entre l’art contemporain et moderne. De l’aboutissement rêvé du capital à pouvoir créer de la valeur sans investissement humain mais par la validation des trois décisionnaires.
          Vu l’expo dont parle Zorglub il y a une quinzaine d’année, vu les faciès graves et recueillis du public devant les « oeuvres » de l’artiste. Ils avaient tous le frisson. Basquia était drôle. Souvenir d’une toile où il était question d’un chat, de ses créations : égal à/de l’homme par la perfection de sa production selon Man Ray. (tu sais, Ô mon bébé, à quoi je fais référence).
          Haïtien, homo et sidéen, peut-on parler de discrimination positive pour sa cotation ?

          • Flo chérie, je ne troquerai jamais une « typo » pour une « fonte »…ne serait-ce qu’en souvenir de Donald Knuth et de son logiciel « Metafont ».
            Je veux être un gourou TeX ou rien !

            Eclaire-moi sur les trois entités car tu es trop fine pour moi.
            Je propose la Sainte Trinité: le Père, le Fisc et le Saint-Esprit, j’ai bon ?

          • Il y a une prise de pari réussi à Bilbao, l’enjeu selon lequel tu te sois débarrasser des contraintes sensorielles superflues qui polluent la perception que tu aurais d’une oeuvre. Et c’est comme une annonce qui t’es faite à l’entrée du musée par l’accueil de ce gigantesque Calder, aussi léger que poétique, semblant être en apesanteur et de la promesse qui te serait faite sur la perte des repères qui tu t’apprêtes à vivre. Tu te retrouves à ne plus pouvoir situer le Nord du Sud, le niveau où te trouves une fois avancé avancé dans les entrailles de l’édifice. L’oeuvre de F. Gehry est magistrale.

            Quid du jardin d’acclimatation ? tu n’as rien dit sur cette première visite de son édifice.
            (Cherche pour Man Ray)

          • Hervé/Johnny Deep même combat ?

            «Rien ne peut remplacer la chaleur et l’immédiateté de la poésie de Basquiat, ou les questions et vérités absolues qu’il a délivrées». «La musique belle et dérangeante de ses peintures, la cacophonie de son silence qui attaque nos sens, survivra bien après notre dernier souffle.»

    • Merci beaucoup pour le compte-rendu. J’ai vu les affiches dans le métro pendant une semaine, je n’ai pas eu le temps ni l’occasion de m’y rendre. Ni à l’expo sur Venise dont je suis sûr qu’elle n’est pas inintéressante.
      Ah — allez donc voir Mucha au Musée du Luxembourg. C’est redoutablement joli.

      • De rien pour le compte-rendu. Une info: l’expo est à éviter le dimanche en période de vacances scolaires à cause de l’affluence record, cohue indescriptible par endroits hier !
        Comme je l’ai dit, elle rassemble bcp de dessins, pas mal d’aquarelles mais très peu de peintures de Schiele.
        Elle met surtout en miroir les parcours des deux artistes: leurs deux mentors, Klimt pour l’un, Warhol pour l’autre et pour tous deux, la fougue expressionniste, l’outrance dans le dessin fiévreux et l’audace des couleurs vives, bien qu’exprimées dans des styles très différents. C’est une expo pas très facile à faire qui prend un peu la tête si on joue le jeu.
        Pas vu « Venise » qui vaut le détour pour les peintures parait-il, mais Macha Makeïeff aux commandes dans la muséographie et les commissaires de l’exposition ont un peu délaissé la verrerie et la sculpture…dommage !
        Je prends note pour Mucha ! Une de mes tantes possède deux affiches authentiques chez elle, mais je suis placé assez loin dans la liste des héritiers…

  58. Au jardin d’acclimatation j’ai rencontré un géomètre hier en pleine cure de désintoxication en compagnie de sa charmante marraine chinoise !
    Comme je suis un bon Sherlock Holmes du XXIe siècle j’ai tout de suite reconnu un émule du divin Oscar Wilde, le portrait craché du beau Dorian Gray peint conjointement par Schiele&Basquiat.

  59. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/10/29/01016-20181029ARTFIG00081-essonne-appel-a-la-purge-contre-les-policiers-le-ministre-de-l-interieur-saisi.php

    Pheldge a dit :

    la liberté d’expression, ce n’est pas une notion à géométrie variable ! Et personne jusqu’à preuve du contraire, ne vous impose la lecture de ces sites (« ici de cet appel au meurtre, tout comme le site en question appelait à toutes les formes de violence réelles ou symboliques contre les youpins ou les bicots pour reprendre le vocabulaire utilisé ») ! Vous disposez de votre libre arbitre, et choisissez le contenu qui vous convient. Point !
    Si vous commencez à justifier la censure, il n’y a plus de liberté d’expression !

    • de nombreux textes de rap sont des appels à la violence ou au meurtre, on n’en fait pas tout un foin ! Le problème est que en cas de passage à l’acte, les sauvageons profitent d’une clémente bienveillance, au lieu d’être punis !

      Saisissez-vous la nuance, ou bien faut-il vous commander une traduction en kobaïen, auprès de qui-vous-savez ? 😉

      • « on n’en fait pas tout un foin »
        En fait, souvent si (et pas assez souvent, je suis d’ac) !
        Lorsqu’un de ces tocards dépasse vraiment les bornes par un appel au meurtre, au viol, etc. y’a des protestations légitimes.

        La pratique sans limite (celle de la loi n’est pas si mauvaise) de la liberté d’expression conduit au paradoxe de tolérance : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_de_la_tol%C3%A9rance
        On observe les effets du 1er amendement sur l’état de sérénité et d’apaisement de la société amerlok : un peu les mêmes que celui du 2ème sur les crimes de masse.

        Oui, nous adultes à peu près éclairés pouvons choisir de lire (ou pas, rapport à ske c’est pas passionnant, déjà vu, etc.) des textes abjects de racisme, d’antisémitisme, d’apologie du nazisme (le lien proposé par lormier) ou de propagande daechiennne sans risquer d’être « contaminé » (*).

        Ce n’est hélas pas le cas des nombreux mômes ou adultes pauvres d’esprit.
        Et trop d’autres seront touchés par les ravages du biais de confirmation (vous y faites souvent une allusion implicite ici en moquant « gentiment » les relents marxisants des membres de la grande famille EN).

        (*) On ne peut pas considérer que le réel serait plus plaisant dans un monde promouvant les thèses racistes antisémites ou nazi comme guides de l’action publique.
        Et je ne suis pas dans l’idéologie illibérale mais dans le factuel expérimenté ici ou là, maintenant ou dans le passé.

        • Je préfèrerai toujours, un système à l’américaine, où la liberté individuelle est un droit fondamental, auquel tout le monde est attaché, quel que soit le niveau d’éducation, à un système dans lequel, parce que le peuple est stupide, une élite s’arroge le droit de décider ce qui est bien et mal, de penser à sa place, situation que tout le monde accepte, par habitude.

          Le fait est que les thèses et les idées extrémistes touchent relativement peu de monde. Les censurer, ne fait que les conforter, en victimisant leurs adeptes.

  60. C’est presque drôle en vérité !

    « Un policier de la protection rapprochée écarté pour radicalisme
    Ce fonctionnaire avait notamment été chargé de protéger Riss, le directeur de la rédaction de Charlie Hebdo et de l’imam Hassen Chalghoumi, menacé par des islamistes. »

    • Il y a deux phénomènes qui sont conjoints en France :
      – La montée de l’islam
      – La progression du trafic de drogue.

      Cela peut paraître étrange puisqu’officiellement ce sont des ennemis jurés ; mais l’islamisme est un totalitarisme à qui on n’échappe que par la prise de produits stupéfiants illicites – le fléau du haschich et de l’opium est donc très répandu au Proche-Orient et en Asie centrale.

      • Bof …
        75 000 décès par overdose d’opiacés aux USA.
        Surement concentrés dans la Bible Belt, les sectes évangéliques étant connerie pour connerie une juste réponse à l’islam ?

        Je dois cependant reconnaître qu’elles sont moins sanguinaire (aujourd’hui, car si on se réfère aux « guerres indiennes » y’a eu du bon niveau).

    • Macron l’a averti, il a intérêt a se tenir à carreaux, le Bolso ! à sa place, je fouetterai grave 😉

  61. Ah, un petit HS, à l’attention des partisans de l’état partout et pour tous, urbi et orbi l’EdNat : quand on laisse des fonctionnaires irresponsables* gérer des trucs qui les dépassent ça donne des réussites flamboyantes comme celle de Louvois ;
    https://fr.news.yahoo.com/militaires-payés-l-apos-armée-105902745.html
    Imaginez, que c’est la même bande de bras cassés, qui met en place le prélèvement à la source : forcément, ça va bien se passer !

    *la grosse différence avec le privé, c’est que 1/ l’avancement se fait au copinage, à la veulerie, jamais selon les résultats 2/ en cas d’échec, jamais de sanction, jamais de licenciement, mais souvent un recasage agrémenté d’une promotion !
    Je suis pour que les fonctionnaires rendent des comptes, (ainsi que les élus, mais là, faut pas rêver …)

    • C’est sûr que taper sur les humbles c’est moins de boulot que d’exploser les puissants !

  62. « Quid du jardin d’acclimatation ?  »
    Je t’en dirai plus si tu me retrouves sur la terrasse centrale du bâtiment au dernier niveau supérieur. D’un côté la skyline de la Défense, de l’autre Paris…et surtout, on est au niveau, voire légèrement au-dessus de la cime des arbres du Bois de Boulogne. Ca, c’est magique !

    • Il y a une certaine confidentialité par sa superficie réduite et toute étrange, tu sais, tu la découvre déjà enivré de ton parcours, presque en état de choc. Assis, les balustres hautes et pleines empêchent une vue latérale, tu as les yeux tournés vers le ciel. Comme un fond bleu sur le play de la remémorisation d’images divines qui défilent et que tu te rejoues ; la magie s’opère aussi. Te souviens-tu de la terrasse de la Galerie des Offices ? Je t’y attends et je répondrai à la question des trois X. (cherche pour Man Ray).

      • A-t-il le khul torché ? Lui au-dessus, vous en-dessous, la même chienlit que la gravitation unit.

        • Quelle délicatesse ! Si vous vivez sur les hauteurs de votre Olympe, c’est sûrement une Olympe de bouse ! 😉

    • 1) Bercy (paiement de la facture, validation de la cote de l’artiste),
      2)Musée d’Etat en accord avec/ et/ou fondation privée,
      3) Marchand et/ou auction market

      Associer le trait de de Schiele à celui de Basquiat le très rigolot (collection onapapeur) a peut-être pour objet d’ancrer la cote de l’Haïtien dans le top ten des valeurs refuges. Si ce n’est pas beau, pif paf, la malédiction très rock and roll des 27 ans, Wharol et Klimt.. Fiat lux !
      Et devant le déferlement d’artistes aux côtes aussi aléatoires que nombreuses, Khoon a bien senti le danger : un placement de produit place du Trocadéro lui assurait la pérennisation de la valeur refuge que sont ses boudins gonflés aux couleurs vives et douces. Parions que la prochaine expo de la fondation B. Arnault maintienne la ligne comparative entre deux artistes ( collection onapapeur), en proposant par exemple le bleu klein à celui du noir d’Anish Kapoor baptisé Vantablack – produit en marque déposée comme étant le noir absorbant le plus de lumière et qui est dorénavant sa propriété industrielle ; il en a l’exclusive utilisation (si si).
      So, baby, la cernes-tu l’embrouille ?

      • Bernard Arnault fait partie de ces bourgeois si français qui aiment beurrer leur tartine des deux côtés !
        On en a un autre exemplaire de ce genre de loustic sur le blog « Bonnet d’âne » …

      • Flo,
        Je suis d’accord avec toi sur le fait que l’accrochage Schiele/Basquiat est aussi factice qu’improbable. Je ne me fais aucune illusion sur l’esprit de complaisance d’un milieu « artistique » qui tire profit de ces « expositions comparatives » comme tu dis, qu’il s’agisse des experts, des marchands, des conservateurs de musées, des commissaires d’exposition ou des critiques d’art dont les magazines vivent de la publicité des galeries, des commissaires-priseurs et de l’univers du luxe en général, LVMH en tête de gondole.
        Le pire pour moi, c’est sans doute Pinault, qui possède Christie’s, ce qui lui permet de maîtriser le marché, la côte des artistes, le positionnement des œuvres, le marketing de l’art: juge et partie, l’anti-modèle des « spécullectors » à la vision de l’art creuse, superficielle voire inexistante:
        https://www.challenges.fr/patrimoine/marche-de-l-art/requins-caniches-et-autres-mystificateurs-de-jean-gabriel-fredet-une-enquete-decapante-sur-les-exces-de-l-art-contemporain_507449
        Mais rassure-toi trésor, un jour, y’aura une reddition des comptes, et nous autres les « crève-la-faim » qu’on a rien à dire de lard pic(sou)tural, vu qu’on n’a qu’à jouir de ce qu’ils nous plantent dans les jardins publics comme les coquelicots de Koons, on saura où les trouver pour les pendouiller !
        Bises.

    • u’est-ce qui peut donner envie à un jeune homme d’aller travailler dans une école maternelle ou primaire ?

        • En Angleterre tout jeune homme qui veut enseigner en primaire est ipso facto soupçonné d’ tendances pédophiles.

  63. « Emmanuel Macron vide son agenda pour se reposer » (Le Figaro)

    Il vient de craquer le gros bébé !
    Pauvre chou …
    Que va devenir notre cher vieux pays sans ce jeune con ?

    • Le problème de Macron c’est que c’est un faux jeune ! Epouser sa grand-mère n’est pas la preuve d’une grande avancée de la maturité plutôt d’une vieillesse précoce !

  64. Ventes d’armes à l’Arabie saoudite : Macron se dissocie de Merkel.
    (Le Monde-27 oct. 2018)
    Entièrement avec notre bébé. Il devient indispensable dans ce monde auto-normé que les armes les plus létales, comme les autres d’ailleurs, soient livrées dans des étuis de Moraline concentrée.
    Rappelons que la Moraline est une médication fournie en exclusivité par la Merkel GmbH et qu’elle fait travailler 900.000 migrants non-européens…comme des bêtes …

  65. Théologie gynocentrée (suite)

    Dans les traductions du Gore Texte ™, on croyait assister à un match de catch entre stylistes comme, par exemple, Chouraqui dit le glébeux d’Aïn Témouchent et Meschonnic dit le taamiseur de Bessarabie.

    Nenni ! Tout faux !

    Car voilà que des espèces de diaconnasses vinrent revaloriser « les figures de femmes puissantes ou influentes comme Myriam, Débora, Marie-Madeleine, Lydie, etc, qui relativisaient la centralité de Marie mère et vierge. » en occultant Bethsabée, Judith, Esther, Suzanne, qualifiées de superbes salopes par notre hôte même.

    https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/Eglise-en-France/Entre-feminin-feminisme-lecture-biblique-femmes-exegetes-protestantes-selon-E-Parmentier-2017-03-16-1200832393

    La solution ? Simple. Revenir à la base :

    « Les plus féministes montrèrent Dieu comme une femme ou une mère : « La femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi je ne t’oublierai pas » (Is 49, 15). Le Seigneur est même pourvu d’un sein maternel et allaite (Is 46, 3b-4a, Is 66, 12b-13a). Dans Job 38, 8-9.28-29, son activité créatrice fait écho à un engendrement. C’est en toute confiance que le psalmiste se repose en Dieu « comme un enfant sur sa mère » (Ps 131, 2b). Moïse considère le Seigneur comme une mère (Nb 11, 12), et il rappelle au peuple « le Rocher qui t’a engendré, tu l’as négligé ; tu as oublié le Dieu qui t’a mis au monde » (Dt 32, 18). Dieu est comparé aussi à des animaux femelles : l’aigle qui veille sur ses petits (Dt 32, 11) ou les porte sur ses ailes (Ex 19, 4), qui cache à l’ombre de ses ailes (Ps 17, 8 ; 57, 2 et 91, 4), l’ourse qui défend ses petits (Os 13, 8). »

    Alors, allons crier dans le désert : dieu.e, dieu.e pourquoi nous as-tu abandonné.e.s ?

    • Le jour où les églises cesseront de nous les briser menu, on pourra enfin croire en paix.
      César, rendre, etc.
      Las.

      • Quoi ?
        Et la fin des temps – qui n’est qu’une mi temps – est pour nous : on échange les maillots.
        « La passion t’attirera, vers ton épouse, et elle te dominera ».

        Les compteurs ne seront pas à zéro et vous allez prendre très cher…

      • « les églises nous les brisent menu » ah, tiens, elles viennent dire la messe chez vous ? vous imposer leurs dogmes, et leurs rituels ? et vous vous laissez faire ?

        Quels salauds, ces curés , quand même ! c’est pas comme si à l’école, on gavait les mômes de la doxa socialiste, au point qu’à la sortie, ils sont incapables de penser par eux-mêmes, et hors du moule … 😉

    • Ô Maître, vénérable et vénéré, à votre âge, tout ces articles, ça frôle le surmenage !
      Je me propose, en tant que disciple, dissipé, d’ici peu, de vous rédiger quelques chroniques bien senties, pour une poignée de roros … Vous savez apprécier ma prose, et ce style inimitable qui me vaut une admiration unanime, alors, deal ? 😉

    • « L’Île-de-France est donc cet espace particulier où deux lycées remplissent à moitié la plus grande école scientifique française « [POLYTECHNIQUE]

      Hum!

    • Je ne peux, bien sûr, que partager cette analyse, à la fois en tant que « fils de » et en tant qu’enseignant et parent.
      Ce qui a changé en quarante ans, ce n’est pas la ségrégation sociale, elle a toujours existé et existe encore – les enfants d’ouvriers sont assez rarement séduits par les efforts intellectuels que demandent des études longues; ce qui a boulerversé lentement la donne, c’est l’explosion démographique d’une partie des populations immigrées, le plus souvent africaines, qui amplifient ici ce qui existait là-bas: le rejet de l’école impure du Blanc, sous-tendu par des justification religieuses ou de pseudo-revendications postcolonialistes.
      Le problème, c’est que cette mentalité, accoudée à un consumérisme constitutionnel , s’est propagée à toutes les couches du prolétariat, quelles que soient ses origines.
      Hors la fuite, il y a bien longtemps qu’il n’y a pas de solutions pour ce problème de carte scolaire et de mixité de mes c…

      • mais les populations immigrées, ce sont tous des érudits, de fins connaisseurs de Victor Hugo, Balzac etc … qu’on vous dit !
        Ceci dit, avant de nous bassiner avec la reproduction des élites, Bourdieu et consorts auraient dû réfléchir à la reproduction des médiocres ! Un enfant aura comme modèles , ses parents et leurs proches, et si tous sont ouvriers, il rêvera de le devenir à son tour, mais ne pensera jamais à être médecin avocat ou notaire !
        J’ai eu au collège de nombreux camarades, qui après la troisième, sont partis en école professionnelle « pour faire comme papa », conducteur à la RATP, postier …

  66. Je ne suis pas sûr que le « regroupement familial » soit un accident involontaire selon la thèse de Giscard quarante ans après les faits !

    • Giscard est un peu comme Guillaume II après la guerre de 14/18 : « Je n’ai pas voulu cela ! »

      Avez-vous remarqué qu’au fond le président le plus giscardien de la Ve république c’est Macron ?

  67. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/10/30/01016-20181030ARTFIG00171-rhone-un-parent-d-eleve-condamne-pour-avoir-gifle-un-professeur.php

    Désolé, mais ce fait banal est l’archétype de ce qui peut arriver à n’importe quel prof, même avec 30 ans d’expérience.
    Encore une fois, notons l’impétuosité typique de certaines ethnies et le poids de la parole de l’enfant.

    Pour ceusses qui ne connaissent pas le collège, voici ce qu’il peut s’y passer.

  68. Nous sommes, enseignants, parmi les hyènes: elles n’attaquent que les plus faibles, psychiquement parlant.
    Je suis à peu près persuadé que mes élèves croient que si ils m’agressent, ils se prendront une sauvage réaction animale dans la tronche. C’est pas moi mais c’est c’est ce que m’impose le métier aujourd’hui.
    Je paye le prix de la santé.

  69. Je pense que Brighelli plaisante dans l’entretien qu’il accorde au Figaro ! A moins qu’il ne veuille sérieusement voir des Kanaks à Polytechnique et des Aborigènes à Normale Sup’ ! Mais je crois que ce serait trop gros …

    Ceci dit j’ai beaucoup de sympathie pour les Polynésiens mais je préfère les voir heureux dans leurs îles que malheureux comme des pierres au milieu des grosses têtes.

    • Victor Mabille qui a terminé major de polytechnique en 2017 a passé son bac à Quimper puis a intégré la prépa de Ginette à Versailles et aujourd’hui se trouve à l’école des Mines.
      Je ne connais pas son origine sociale … mais je ne crois pas qu’il soit spécialement fortuné. Je pense donc à un bon capital génétique avant tout plus un effort des parents pour l’orienter vers l’étude.

      • C’est un Lasallien;il a fait ses études secondaires chez les frères, au Likès (établissement qui appartient au même réseau que Passy Buzenval);au terme des ses années de Polytechnicien,il va intégrer le corps des Mines (et non pas l’Ecole des Mines).

        Ce qui est sûr,c’est que ce n’est pas un scientifique…ce qui ne l’empêche nullement d’être un bon garçon.

        Il serait intéressant de savoir quel pourcentage de polytechniciens poursuit des carrières scientifiques.

        • Non il faut d’abord qu’il termine ses études aux Mines de Paris où il se trouve ;…

          • Vous avez raison:le Corps des Mines est désormais plus ou moins intégré dans Mines Paris Tech,organisme lui-même intégré dans PSL;quelle salade!

            Mais le concours d’entrée à l’Ecole des mines auquel on se présente en général après deux ans de classe préparatoire,ne donne pas accès au Corps de Mines.

            Le fils d’un de mes amis,reçu à l’Ecole des Mines, a eu quelque difficulté à faire admettre à la Direction que le management ne l’intéressait pas et qu’il entendait poursuivre ses études scientifiques.

            Vous recommencez à parler de vos ancêtres;ce qui serait chic,ce serait de rassembler les morceaux épars;en l’absence d’appareil critique,il serait laborieux pour le lecteur de collecter lui-même tous ces fragments.

        • Saufvotrerespé, les membres du corps des Mines sont formés à l’École nationale des Mines de Paris .

          • L’école des Mines de Paris s’appelle désormais Mines Paris Tech …
            Et les corpsards, des mines ou des ponts, sont ingénieurs des grands corps techniques de l’état, et en concurrence directe avec les énarques.Leur formation est à part.
            Les X-Mines, sont des gens qui, après l’X sont admis en « école de spécialisation », et rentrent en 2 ème année.

      • Madame Lauvergeon (dont on dit beaucoup de mal aujourd’hui mais ça n’a rien à voir) était fille de professeurs,normalienne et ingénieur du Corps des Mines.

        Pompidou,fils d’un instituteur.
        Je ne sais pas si les enfants qui naissent cette année de couples de professeurs auront des carrières comparables.

  70. L’influence d’un parent peut jouer un grand rôle dans l’orientation ; je peux vous raconter l’histoire de Gabriel Auguste Daubrée (1814-1896) passé par X-Mines et devenu un grand géologue ; son père étant mort en 1820 c’est son oncle qui se trouve être mon aïeul le chirurgien-major Charles Regnault qui l’a incité à entreprendre des études scientifiques !

  71. « Mais le concours d’entrée à l’Ecole des mines auquel on se présente en général après deux ans de classe préparatoire,ne donne pas accès au Corps de Mines. »

    Personne n’a jamais prétendu cela ici !

    • Je n’y comprends pas grand chose;si vous avez la patience de m’éclairer…

      PS:à propos de la prose du Maître, je la prends telle qu’elle est et ne m’aventure pas à lui substituer des interprétations ou variantes.

      • PS 2 On sait (ce n’est pas évident) que si n est supérieur à 1 alors n! n’est pas un carré.

        Il arrive que n!+1 soit un carré;ainsi 5!+1 = 121= carré de 11 et 7!+1=5041= carré de 71.

        Ce phénomène est-il « fréquent » ? Peut-on observer des régularités ?

        • à abc maths

          J’ai vu que ce problème s’appelle problème de Brocard…
          Il semble que Richard Guy en parle (et dise plus ou moins tout ce qu’on en sait dans Unsolved Problems in Number Theoy)
          Bien sûr 4!+1=carré de 5

          J’aurais sans doute dû me renseigner avant de vous poser la question;j’ose espérer que vous prendrez ma précipitation pour un hommage…

    • de mon temps, il y avait 2 places par promo (pour les meilleurs, pas de discrimination positive, n’en déplaise à certains 😉 ) pour les élèves « normaux », sur une douzaine de places ( les premiers de l’X, 2 ou 3 normaliens ….)

  72. Hier soir dans BdÂ
    Un vestiaire de sportifs de banlieue crade emmenés par Lorniais (excellent sisyphe!), ce grand imbécile qui se décarcasse, qui lutte, qui combat, qui cite, qui répète, qui développe, qui veut vaincre quoiqu’il en coûte, qui se venge d’une origine sociale misérable, d’une famille débile, d’un genre inconvenant …
    Bref, cela transpire l’inanité et l’insuffisance.
    Et finit par puer !
    De l’air !

      • La Croix ne s’est pas encore fait de religion sur l’orthographe genrée.

        Dans l’article par vous cité,on peut lire:

        Élisabeth Parmentier, est pasteurE et professeur0; elle a étudié des auteurEs du XIXe siècle

        « …Bethsabée, Judith, Esther, Suzanne, qualifiées de superbes salopes par notre hôte même. »

        « Salopes » n’est pas le féminin de « salaud »; Alain Geismar,jeune révolutionnaire, incitait par ses tracts distribués aux lycéens en 1968 à saluer leurs professeurs d’un « Crève,salope! » quel que fût le sexe du professeur;était-ce de l’inclusif avant la lettre ?

    • Ce n’est pas Lormier qui en est l’auteur. Ce n’était qu’un boutade sur l’idée que dieu était une femme en reprenant la Genèse. C’est une phrase que tout rav ou curé connait sur la condition que doit vivre femme en punition du pêché originel qu’elle a commis. J’ai prêté à sisyphe l’idée qu’il la connaisse, je me suis plantée.

      Genèse : 3 -16
      A la femme il dit: « J’aggraverai tes labeurs et ta grossesse; tu enfanteras avec douleur; la passion t’attirera, vers ton époux, et lui te dominera. »

      Bon si dieu est une femme, elle peut donc en réécrire les punitions. L’idée qu’il vous faille obligatoirement, à votre tour, des sentiments pour assouvir votre besogne sexuelle m’amuse.

      • Alors, bien sur, Dame nature s’est penchée sur le berceau de Dobo et lui a fait la grâce de ne pas être une demi sexuelle… Trop cool !

      • j’ai une version très légèrement différente :Genèse : 3 -16 : alors l’Éternel dit à la femme « tu seras soumise à ton homme, et il te dominera ! »
        Bizarrement mon épouse n’accueille pas la parole du Tout-Puissant avec le même enthousiasme que moi … 😉

  73. « Vois-tu, dans notre école à nous, il y avait, au bas des factures :
    « Matières optionnelles : français, musique, et blanchissage. »
    …Je ne suivais que les cours ordinaires…
    Rire et Médire; puis, les différentes parties de l’Arithmétique:
    Ambition, Distraction, Laidification et Dérision. »

    signé: LA SIMILI-TORTUE (LC)

  74. Son homonyme créateur du bal Mabille à Paris et mort en 1863 avait publié un recueil de poèmes « Les Cigarettes ».

    Fruit défendu

    Regardez, n’y touchez pas.

    Ma belle fille, à l’âme d’ange,
    J’aime ton teint, comme l’orange,
    Frais et doré par le soleil.
    Sous mes regards tu fais la moue ;
    Mais j’aime voir rougir ta joue
    Comme une pêche au flanc vermeil.

    Comme la pomme ferme et ronde,
    Ta gorge blanche et pudibonde
    Berce deux seins pleins de candeur ;
    Et sur ces deux seins on devine,
    Comme la fraise purpurine
    Deux signes rouges de pudeur.

    Tes yeux allongent en amande
    Une prunelle qui demande
    Tout ce qu’un cœur a de soupirs ;
    Et tes lèvres sont plus rosées
    Que les grenades embrasées
    Aux feux des printaniers désirs.

    Chaque trésor de ta corbeille,
    De ta beauté chaque merveille
    Éblouit mes sens éperdus.
    Je suis Adam, je te crois Ève ;
    Mais je m’éveille en ce beau rêve,
    Sans cueillir ces fruits défendus.

        • Pierre, allons, allons.
          Accrochée à une liane, dans les bras d’un homme en slip léopard et le teint halé… Quelle femme refuse ?

  75. C’est vrai ! J’avoue : Victor Mabille n’a pas mené les mêmes combats que James Bulger ; parrain de bal ce n’est pas la même chose que parrain tout court … du milieu.

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