Pascale Tournier s’est émue du compte-rendu que j’ai fait de son livre sur les « Nouveaux conservateurs » (chez Stock). Elle a tenu à préciser quelques points, ce qui nous a amenés à en préciser d’autres. Ci-dessous notre dialogue non coupé — après tout, l’époque est aux affrontements épistolaires, voir le dernier livre d’Alain Finkielkraut et Elisabeth de Fontenay, En terrain miné (chez Stock aussi).

Pascale Tournier. Je tiens d’abord à vous remercier, Jean-Paul Brighelli, d’avoir lu mon livre de la première à la dernière page et de l’avoir recensé avec la plume effilée et passionnée qui est la vôtre. Mais je tiens à remettre certaines pendules à l’heure, ou à replacer la boussole dans la bonne direction. Chacun choisira l’instrument de mesure qu’il préfère. C’est justement, le sens de la mesure et de la modération qui m’a guidée dans l’écriture de cette enquête sur une thématique délicate, bourrée de chausse-trapes mais qui mérite d’être explicitée, car elle est au fondement de la recomposition politique à l’œuvre aujourd’hui et des questionnements de toute une jeunesse.
Il m’est d’abord reproché de brosser le portrait des « chrétiens réactionnaires », voire des « néo-fascistes ». Déjà les personnes concernées apprécieront le vocable d’une grande finesse et que je n’ai jamais utilisé, comme je n’ai jamais employé le mot de « réactionnaire ». Monsieur Brighelli, vous utilisez les mêmes armes que celles de vos détracteurs. Celles-là même que vous leur reprochez, c’est curieux. Vous le savez comme moi, dès qu’on prononce le substantif de réactionnaire, le débat est rendu impossible. Vite rattaché à la contre-révolution ou carrément au pétainisme, le mot possède une charge symbolique bien trop forte. Ensuite, il ne correspond pas à la réalité sociologique de la population que je décris…

JPB. Vous jouez sur les mots. De conservateur (votre mot) à « réactionnaire » (le mien), la frontière est impalpable. D’autant que dans une société qui se veut en projection permanente vers un futur forcément radieux (le libéralisme a de l’avenir une conception tout aussi glorieuse que celle des communistes d’autrefois et de leurs lendemains qui devaient chanter), toute force qui n’est pas « de progrès » est par définition réactionnaire — au sens propre.

PT. Je tiens pourtant à cette distinction. Les catholiques que j’évoque sont d’abord et avant tout conservateurs. Leur façon de pensée et leur rapport au monde fait appel à la prudence et à une certaine circonspection ou pessimisme devant la nouveauté de notre société mondialisée. A la différence du mouvement réactionnaire, le conservatisme ne souhaite pas un total retour en arrière, et certainement pas à un système d’avant la Révolution, mais estime que la société fait fausse route sur des thématiques sociétales et aussi dans l’économie, l’éducation, le féminisme…

JPB. Bref, partout ! Bien sûr 1789 n’est plus la référence de l’exil hors de l’Eden. Les catholiques d’aujourd’hui ont un peu évolué (mais pas trop) depuis ceux que dépeignait Anatole France dans l’Anneau d’améthyste. Il serait d’ailleurs intéressant que vous situiez la zone de confort de vos conservateurs modernes. Avant 1968 ? Avant la loi de 1905 ? Par ailleurs, « la société » est un mot englobant bien pratique et bien flou : à quels politiques vos conservateurs consacrent-ils leurs imprécations ?

PT. C’est évidemment mai 1968 et son slogan « il est interdit d’interdire » qui leur pose davantage problème que la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat. On a même parlé de « mai 68 à l’envers » pour qualifier les manifs contre la loi Taubira. Mais reprenons le fil. Vous me tancez ensuite sur le fait d’avoir procédé par amalgame, d’avoir mélangé les torchons et les serviettes, pour être plus précise de ranger dans la même catégorie ces « mal-pensants », — qui là encore aimeront le qualificatif —, avec les intellectuels Natacha Polony, Eric Zemmour, Michel Onfray, Régis Debray, Christophe Guilluy, Bérénice Levet, François-Xavier Bellamy, Philippe Muray, Alain Finkielkraut et ses « bébés « comme Alexandre Devecchio ou le sociologue québécois Mathieu Bock-Côté… Bref, d’avoir mis dans le même panier des gens de gauche et de droite, des cathos et des souverainistes, des chevènementistes et des ex-fillonistes qui se sentent aujourd’hui orphelins et regrettent le retrait de la vie politique de Marion Maréchal-Le Pen. Si je fais bien la distinction entre les différentes filiations idéologiques de tous ces penseurs, mon propos est de montrer que les nouveaux conservateurs de droite se sentent inspirés par les conservateurs de gauche, jusqu’à parfois utiliser ces derniers comme caution pour des idées se rapprochant de l’extrême-droite.

JPB. Cela revient à reprocher à certains d’utiliser les bulletins météo édités par d’autres. Si Polony ou moi, ou Onfray ou Finkielkraut, dénonçons la déroute scolaire, et que nos propos sont repris par FrançaisDeSouche parce qu’ils sont vrais, nous n’y pouvons rien.

PT. Mais je démontre aussi qu’il existe bien entre ces deux camps des passerelles ! Ils se retrouvent invités aux mêmes tables rondes, car des points d’accroche idéologiques les rassemblent et leurs intérêts convergent. À quelques nuances près…

JPB. Oui — mais ces nuances sont des abîmes !

PT. Pas autant que vous ne le croyez. Ils se reconnaissent dans la même critique du progrès, de la technique, du libéralisme débridé, des frontières ouvertes aux quatre vents, d’une trop grande visibilité de l’islam et du macronisme en général qu’ils qualifient de libéral-libertaire, même si la réalité s’avère au fil des mois moins caricaturale. Comment ainsi expliquer que Christophe Guilluy, Natacha Polony parlent dans les colonnes de la revue bioconservatrice Limite pilotée par d’anciens des Manifs pour tous mais biberonnés à la pensée de Jacques Ellul et Jean-Claude Michéa ? Comment expliquer encore pourquoi Natacha Polony, Alexandre Devecchio et Mathieu Bock-Côté sont appelés à la rescousse pour penser le logiciel des Républicains après la défaite cuisante de François Fillon ? Je peux également citer votre revue Causeur qui a formé toute la jeune garde d’intellectuels catholiques comme Eugénie Bastié ou encore Jacques de Guillebon, le rédacteur en chef de l’Incorrect, journal mensuel de la droite décomplexée ; lui-même a fait ses armes dans la revue royaliste Immédiatement au début des années 2000 — et il a accueilli dans ses colonnes les Républicains de la rive gauche : Emmanuel Todd, Elisabeth Levy, Régis Debray, Max Gallo, Jean-Claude Michéa, Pierre-André Taguieff.

JPB. « Républicains de la rive gauche » est une jolie formule d’une ambiguïté plaisante. N’empêche que ce qui prime, c’est « républicain ». « Gauche » est un terme trop galvaudé depuis qu’il identifie à la fois Benoît Hamon, Najat Vallaud-Belkacem, et la nuée de nymphes radicales qui papillonnent autour de Mélenchon. Quant à « rive gauche », c’est de la polémique, vous le savez bien — du moins en ce qui concerne Michéa, par exemple.

PT. Peut-être vais-je vous donner un coup de vieux…

JPB. N’ayez aucun scrupule, c’est un coup que je me donne moi-même — tous les matins…

PT. …mais visiblement, vous n’avez pas compris que les nouvelles générations, nées après la chute du mur de Berlin, sont moins marquées par les frontières idéologiques et qu’elles puisent leurs références aussi bien à droite et à gauche, en fonction de leurs intérêts, qui peut se résumer à un concept : le sens de la limite. Ces jeunes qui n’ont connu que la crise, le terrorisme, et désormais la crise écologique, n’ont pas le temps de s’embarrasser de savoir si on est de droite ou de gauche. Et affichent sans complexe leurs convictions religieuses.

JPB. Ces jeunes, je les instruis, je les connais à fond. Et leurs prétentions à ne pas se situer à droite ou à gauche (parlons de vraie droite et de vraie gauche, pas des polichinelles qui s’agitent en revendiquant telle ou telle étiquette) est une vieille rengaine… de droite. Dis-moi quels intérêts, tu défends, quelle école tu veux mettre en place, quel système économique te paraît le meilleur, et je te dirai ce que tu es — un vieux bourgeois à masque jeune, ou un jeune révolutionnaire, quel que soit ton âge.

PT. Enfin, comme Blanche-Neige-Zabou qui voyait partout des nains japonais dans le film de Sussfeld de 1982 – le film a le mérite d’être cocasse-, il paraît que je vois partout des militants de l’Action française. Permettez-moi juste de rappeler quelques faits. Et oui, j’ai essayé de faire mon travail de journaliste, c’est mon métier. Depuis 2012, les troupes de l’Action française sont passées de 1000 à 3000 personnes et ses idées dépassent largement ses cercles habituels. Comme me l’a dit un historien, pour un jeune en quête d’absolu, cette école de formation est plus attirante que le FN à cause de son histoire intellectuelle prestigieuse. Cela en dit long sur les manquements de notre société pour des jeunes qui ont soif d’apprendre et de repères. Ah j’oubliais, le secrétaire général François Bel-Ker a milité aux côtés d’Augustin Legrand de l’association Don Quichotte et l’AF a soutenu Jean-Pierre Chevènement en 2002. Et oui encore !

JPB. Accordons-nous sur un point. Vous vous rappelez ce vieux slogan de 1968, « nous ne voulons pas d’un monde où la certitude de ne pas mourir de faim s’échange contre le risque de mourir d’ennui » — un slogan emprunté à Raoul Vaneigem et à son Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations (les situationnistes sont partout, et ils y furent avant tout le monde). Le monde moderne cajole les jeunes dans l’immanence — et présente un terrible déficit du côté de la transcendance. La disparition du Parti communiste a fait sauter le dernier espoir. Restent pour les uns le djihad, pour les autres la vieille lune du royalisme chrétien, où survit encore l’idée de nation — d’où le rapprochement ponctuel avec Chevènement. Je milite personnellement pour un renouveau de la République — contre l’effacement dans le concert mondialisé, contre le règne des financiers sans frontières.

PT. S’il y a un point que je partage avec vous totalement, c’est bien l’absence de renouveau dans la pensée de gauche. Si cette sphère conservatrice a construit une vision qui fait système dans tous les domaines, — à l’exception de l’économie qui reste un point aveugle…

JPB. Ce n’est pas rien…

PT. …une vision fondée sur un rapport au monde inquiet et pessimiste et que la modernité effraie quand elle ne les pousse pas au repli sur soi, les nouvelles idées à gauche sont proches de zéro, voire du néant. Les socio-démocrates bricolent une pensée avec des restes morcelés de leur ancienne doctrine. Et en prenant de haut la scène conservatrice qui bouillonne et en se plaçant systématiquement dans le camp de la bien-pensance, ils se trompent. Et là, ne vous en déplaise, je rejoins Laurent Joffrin, le directeur de la rédaction de Libération, qui dans son article les exhorte à se réveiller.

JPB. Vous vous rappelez le « TINA » de Thatcher et de ses disciples ? Je le retournerai volontiers : il n’y a pas d’alternative à la République et à la Nation. Quand ceux qui se croient de gauche le comprendront, et rejoindront les « intellectuels conservateurs » que vous épinglez, ils sauront alors que Finkielkraut, Michéa, Onfray, Debray sont leurs grands-parents, et non leurs adversaires. Mais bon, ce n’est peut-être pas pour demain.

Jean-Paul Brighelli et Pascale Tournier

194 commentaires

  1. L’action française … de 1000 à 3000 personnes.
    Comme embellie du royalisme, il y a pire ; pas de quoi générer une embolie de la République.

    Les quelques rares que j’ai entrevus étaient des piliers d’ E & R qui piochaient dans le corpus (c’est le passif antisémite de l’Action Française, je pense, qui produisait le tropisme)

    Des  » culs blancs  » comme se définissaient certains.
    (une petit partie du troupeau E & R )

    • A comparer aux 20.000 fichés « S » …sans compter les non-fichés, ni les délinquants ordinaires…

      • Voilà ; une espèce en voie de disparition à conserver dans des zoos humains.
        A Reims par exemple (une poignée de tondus, 4 ou 5 pelés et peut-être quelques chauves) : avec la cathédrale des sacres en toile de fond pour enjoliver le décor.
        (idem on y retrouve une cellule active d’ E & R)
        Certains profs de la fac de philo peut-être, à la fin des années 1980 (que j’ai vaguement fréquentée en lieu et place de la salle d’attente de la gare)

        Il y a quelques temps il y a bien eu un papier dans le journal local avec les propos d’un royaliste.

        Franchement pas de quoi déclencher une nouvelle guerre de Vendée avec toutes ses exactions ( ou alors il est encore trop tôt) Patrick Buisson peut dormir tranquille (entre deux garde à vue)

        • Je les imagine chargeant au pied de la montagne de Reims (une colline en fait ; ils exagèrent un peu par là bas) au cri de Montjoie Saint Denis, une troupe de Sarrazins locaux (frêres d’armes des Kouachi, issus du cru)
          Franche rigolade assurée (bien à l’abri sur cette même montagne de Reims chez quelques viticulteurs que j’ai connu)

      • 20 000 c’est énorme.
        Je le suis peut-être sans le savoir ; ça fait froid dans le dos, des erreurs pareilles.

  2. « « Gauche » est un terme trop galvaudé depuis qu’il identifie à la fois Benoît Hamon, Najat Vallaud-Belkacem, et la nuée de nymphes radicales qui papillonnent autour de Mélenchon. »

    Il existerait donc des gens qui furent larves et ne le seraient plus tout simplement parce que c’est dans l’ordre de l’évolution naturelle des choses et qui se transformeraient maintenant en des leurres en liberté : faire croire qu’on peut papillonner autour de Mélenchon c’est faire croire aux Chinois que leur station spatiale tournera mille ans.

    La crise à leaders actuelle est durable, il y en a potentiellement peu et ils se vaporisent très vite au contact du réel. Comme des insectes passant trop près d’une source lumineuse chaude.

    L’époque est favorable à l’émergence de jeunes papillons cultivant une apparence de « pragmatisme éclairé ». Toufriquet est le premier. Il finira épinglé comme les autres sauf s’il réussit à immerger le « peuple » dans l’azote liquide.

    • Il me semble que le Maître se réfère subtilement au Prélude à l’après-midi d’un faune:

      « Ces nymphes, je les veux perpétuer.
      -Si clair,
      Leur incarnat léger, qu’il voltige dans l’air
      Assoupi de sommeils touffus. »
      Mallarmé.

      Une image d’une grande cocasserie surgit alors dans l’imagination du lecteur (coalescence chiasmatique une fois encore) « le septuagénaire éructant  » entouré de jeunes filles qui papillonnent.

      Voyez toutes les connotations que la substitution du vocable « papillonnent » au vocable « voltige » apporte au texte.

      Papillonner, ce n’est pas être sérieux;Mélenchon l’est-il lui- même ? Est-ce un faune décati,carié ?

      Une fois de plus,du grand art .
      https://www.youtube.com/watch?v=EvnRC7tSX50

      Crise à leaders, chrysalide… je ne l’ai pas vu tout de suite;d’où vient que nous aimions les papillons et pas les chenilles ?

      Azote liquide:des Américains paient 200 000 dollars pour que leur corps sont conservés ainsi, après leur trépas, en attendant que les progrès de la médecine permettent de les ressusciter.

  3. Comment peut-on « rejoindre Laurent Joffrin »????
    Pardon, je voulais dire « l’innommable »…

  4. « Persuadée que la plateforme lui en voulait personnellement, la femme, Nasim Najafi Aghdam, était en colère contre YouTube. Elle lui reprochait de censurer ses vidéos et de l’empêcher d’y afficher des publicités. »

    Les musulmans paranos ? C’est une vérité d’évidence que les progressistes ne reconnaissent pas.

        • « Laïcard » est un terme utilisé par « Le Monde », « Libération » et « Médiapart », c’est-à-dire les idiots utiles de l’extrême-droite musulmane, pour discréditer la laïcité, valeur fondatrice de la République et seule garante du vivre-ensemble.

          • résumer les catholiques aux seuls bigots est aussi caricatural … c’était le sens de mon commentaire. Et à ma connaissance, il existe sur cette Terre d’autres pays que le notre (qui bien sûr n’ont pas notre intense rayonnement de phare de l’humanité) et qui sans être des « républiques » n’en sont pas moins de grandes démocraties, où il n’est pas besoin de se gargariser de mots comme la¨cité et « vivrensemble », à longueur de temps …

          • Il va falloir que je fasse un billet un de ces quatre sur cette notion de démocratie, qui me paraît de plus en plus caduque — et dangereuse.
            Evidemment, dit comme ça, ça frise le paradoxe.

  5. Il y a une histoire toute récente qui va apporter de l’eau au moulin de JPB ; la direction d’Act-Up vient de démissionner en bloc suite à des pressions subies de la part de nouveaux militants venus des Indigènes de la République et autres communautaristes qui voulaient transformer la lutte contre sida en lutte pour le communautarisme !
    C’est d’ailleurs le succès du film consacré à l’histoire d’Act-Up qui a amené en masse ces cocos d’un nouveau genre dans le mouvement !

    Les progressistes actupiens qui du temps de Didier Lestrade s’inspiraient de New-York sont débordés sur leur gauche !

    • Avec l’entrisme des crypto-salafistes ultra-homophobes, ça va leur faire tout drôle à Act-Up…

  6. Autre symptôme : Londres qui a voulu imiter New-York et devenir la capitale du cosmopolitisme la dépasse en terme de criminalité ! Les attaques au couteau se multiplient …

    • …. Les attaques au couteau se multiplient …
      Voilà ce que ça donne de limiter les armes à feu en circulation ; un formidable bond en arrière.

      • y’a qu’à interdire les couteaux, ça relancera eut-être l’artisanat moribond du silex …

  7. « une vision fondée sur un rapport au monde inquiet et pessimiste et que la modernité effraie quand elle ne les pousse pas au repli sur soi, les nouvelles idées à gauche sont proches de zéro, voire du néant. »

    Qu’est-ce donc que la modernité selon Pascale Tournier et Libé ?
    Est-ce qu’elle pourrait-être une nouvelle gauche avec l’apparition d’un mashia de l’économie globale/mondiale de gauche (si si) garantissant la pérennisation des acquis sociaux et du travail pour tous, plus fort que les lobbys industriels, plus fort que les lobbys financiers – un point aveugle qui ne le serait plus – le loup et l’agneau, ensemble, l’un contre l’autre ! mais attention, qui ne serait pas la droite… et qui ne serait pas non plus cette troisième voie « En marche » ? Halléluia !

    Et les shaddock pompaient…

  8. Ce qui est assez pathétique chez les Gauchistes c’est que leur ignorance leur tient lieu de Credo !
    Ils comptaient dénoncer l’ordre bourgeois au nom d’une rationalité supérieure et se retrouvent comme Didier Lestrade à signer une pétition pour faire libérer l’ultra-réactionnaire Tariq Ramadan pendant qu’Act-Up se fait détrousser de sa gloire par des tribalistes attachés à leurs gris-gris ancestraux !

    • Quand je me laisse aller à lire Driout, j’ai envie de voter Toufriquet comme d’aller pisser.

    • « Act-Up se fait détrousser de sa gloire… »

      Vous avez sans doute voulu dire « dépouiller ».

      Ames des ancêtres de Driout,réveillez vous.

  9. Le 4 avril 2018 à 0 h 52 min,
    Lormier
    a dit :
    Pardon,le lien envoie non pas sur le tableau mais sur l’article entier.

    Le tableau: Le Rêve

    Le rêve est l’état privilégié de la jeune femme, et surtout de la jeune fille, l’expression de sa sexualité naissante. Il est indéterminé : il peut aussi bien aboutir à la réalisation pénible et victorieuse du désir, qu’à la création volontaire de fictions, ces rêves conscients.
    Les fictions n’ont pas de parents, pas de filiation ; elles sont dégagées des devoirs mondains et révérences contraintes auxquels nous oblige cette générosité vulgaire d’avoir donné la vie. Elles sont en cela préférables aux réalités, et plus encore par leur capacité productive. Leur fécondité excède celle du corps, et même celle de l’âme qui s’incline devant la médiocrité du passé.

    • Le rêve n’est pas le fantasme. Fantasme né d’une contradiction avec la réalité mais s’avère nécessaire à la « félicité » entreprise et aboutit que dévoilent, par ces quelques traits, le visage apaisé de la jeune femme de ce tableau.

      • N’importe quoi les filles !
        « Le Rêve » de Pablito c’est tout au plus une excellente illustration de ce qui est le plus difficile à acquérir pour les débutantes en gâterie: accompagner le travail imaginatif de « linguistique » d’un regard exagérément tendre, voire mystique façon Sainte Thérèse, un peu comme à la réception de l’hostie.

        • Mon pauvre Hervé, si tu savais ce qui lui passé par la tête pour pouvoir afficher le sourire de Bernadette Soubirous et le regard de Thérèse d’Avila.
          Non, elle ne s’est pas fait l’amour. Oui, c’est inaudible pour tes chastes oreilles.

      • Ah, nos chères sœurs, les femmes ! Elles « font l’amour », car elles sont sentimentales, émotives, intelligentes, là où nous sommes, nous autres, si rudes et si mal équipés pour penser …
        Les hommes font la guerre, ces frères lourds, car ils sont simples comme des kro-macroniens du crétacé, des footeux, des vantards insensibles, d’ailleurs ils ne font jamais l’amour : ils baisent, tout au plus !

  10. Il y a beaucoup de faux-nez dans le politique française !

    Il y a quelque temps il y a eu une dispute très médiatisée entre Macron et le chef d’état-major de l’armée française – j’ai alors qualifié ici même Pierre de Villiers de comédien ! Macron avait trouvé son maître es-comédie …
    Et l’on apprend récemment au grand désarroi des « nationaux » qu’il rejoint le « Boston Consulting Group », un groupe lobbyiste américain.
    C’est mal connaître l’armée française d’aujourd’hui que de ne pas savoir que la majorité de ses hauts-gradés sont otanisés et américanisés jusqu’au trognon !

    • Les gens du « Front national » sont une bande de branquignols ; ils encensaient Pierre de Villiers, le grand soldat – tu parles ! – pendant que celui-ci travaillait déjà activement depuis plusieurs années pour les Américains !

  11. Conservateur et réactionnaire: je m’insurge, pas pareil…. Le réactionnaire veut revenir en arrière, ce qui est compréhensible. Le conservateur veut rester dans le présent, mais le présent n’étant que du futur non encore réalisé, le conservateur est en fait un progressiste qui s’ignore. Donc, la seul position tenable est celle du réactionnaire, CQFD.

    • « le présent n’étant que du futur non encore réalisé », euh, comment dire, bon je vais essayer :
      le présent, ce sera le passé du futur (qui est a réaliser), et c’était le futur du passé (qui s’est donc accompli, ou qui est en train de le faire … ) 😉

  12. « il n’y a pas d’alternative à la République et à la Nation. Quand ceux qui se croient de gauche le comprendront, et rejoindront les « intellectuels conservateurs » que vous épinglez, ils sauront alors que Finkielkraut, Michéa, Onfray, Debray sont leurs grands-parents, et non leurs adversaires. »
    M. Brighelli, que vient faire ici ce mot de « grands-parents » ? Voulez-vous dire que nous devons penser comme nos grands-parents ? D’abord, pour bien des gens, c’est chose impossible. Et puis, que serait cette idée de vouloir prescrire aux enfants ce qu’ils doivent penser ? Ca me rappelle les chrétiens qui convertissent de force leurs inconscients nouveaux-nés… Quant à nos grands-parents, contentons-nous de veiller sur eux, de les aimer et les respecter – c’est ce que la nature réclame et que la vertu recommande. Ce que nous avons appris, ce que nous savons, c’est à eux que nous le devons ; ce qu’il faut penser, ils ne peuvent pas nous le dire.

    • C’était juste une allusion (apparemment pas assez délicate) à l’écart d’âge entre Finkie and co et les p’tits jeunes actuels.

  13. Il faudrait un peu parler de Martin Luther King car le blog roupille !

    Est-ce que je suis le Martin Luther King de Dugong ? Est-ce qu’il va venir me dégommer au nom de la contre-culture des années soixante, that is the point !

  14. Vous imaginez ? Je suis le black power de la culture occidentale, la grande résurgence de la tradition ! Le mouvement civique des nantis de l’intelligence et du raffinement … face à la horde sauvage des cent douze salopards !
    Quel western comme les aime JPB !

  15. Contrairement à un certain nombre ici je ne suis pas encore dans le formol !
    Il y a encore de la vie et donc encore de la baston en moi !
    Car enfin la paix sans la guerre que serait-ce sinon une grande plage vide ?

    P.S Lormier une citation latine serait indiquée ici pour clore ma péroraison.

    • « Car enfin la paix sans la guerre que serait-ce sinon une grande plage vide ? »

      C’est pour ça que je viens dans ce blog: j’aime entendre les veaux parler de transcendance.

    • Mon professeur de latin nous enseignait de beaux paradigmes-que je consignais soigneusement dans un cahier à couverture bleu…hélas perdu depuis bien longtemps.
      Si un jour ce monde cessait et qu’au chaos succédât l’harmonie,alors ce cahier retrouverait son propriétaire et le lien chiasmatique entre la latinité et Lormier se resserrerait d’un coup.

      Je me souviens de:

      « Si vis pacem, cole justitiam. »

      (si tu veux la paix,cultive la justice.)

      Notre professeur était sans doute un pacifiste.

    • « Les trois jours du Condor » ; vous pensez que cela va durer un peu plus longtemps ?

      • Bouteflika attend la tonalité depuis son investiture en 1999. Faut croire que ça conserve.

        A Bab el Oued, on l’appelle le Hawking algérien : il maintient le pays dans un trou noir dont certains sont prêts à tout pour sortir.

        https://www.libe.ma/photo/art/grande/9518633-15280579.jpg

        N’ayant aucune envie de parler au peuple, il n’a nul besoin de gadget style voix artificielle.

  16. Je ne voudrais pas me fâcher avec mes potes Périgourdins, merveilleux amis de longue date …Mais c’est en Périgord qu’il faut accueillir en Califat Républicain tous les frères migrants(*) appareillés Condor venus d’outre-Méditerranée, qui nuisent actuellement au tourisme parisien en attaquant depuis leur base en 9-3 nos frères Chinois porteurs d’euros appareillés Wiko.

    Pour un Califat en PERIGORD sous-peuplé, votez et faites voter pour le PRI, Parti des Réactionnaires Inventifs.

    (*)avec effet rétroactif.

    • Rassurez-vous, les envahisseurs sont tellement nombreux que les campagnes sont elles-aussi dotées de leur CPF à 50 000 euros annuels par homme* (les femmes ont été « oubliées » dans le pays « en guerre » et nos chantres de l’égalité ne s’en émeuvent guère tout comme du sort des femmes auxquelles ils s’adressent parfois poliment dans la rue comme par exemple certain Premier de l’an en Allemagne).
      Chaque bâtiment libre (notamment les anciennes gendarmeries…) permet cet accueil sans pour autant décongestionner Paris.
      Si vous avez l’impression bourgeoise qu’ils sont très ou trop nombreux, remerciez Soros et ses amis.
      Et si vous avez mauvaise conscience à trouver que trop c’est trop, lisez
      https://www.senat.fr/rap/r16-598/r16-5981.pdf

      • Bullshit.

        Dans le nord-est de la Dordogne, aux confins de la Corrèze et du Zambèze, ils sont trente-cinq qui resteront 4 mois, hébergé.e.s à la cité de Clairvivre *, utopie sociale et médicale des années 1930 où Driout aurait pu s’épanouir dans une vie saine, à la campagne, dans l’exercice de travaux manuels encadrés pas trop compliqués.

        http://www.dordognelibre.fr/2018/03/23/nouveau-depart-cinq-familles-de-refugies-a-clairvivre/

        Vous devriez être plus accueillants : ils torcheront vos vieux khuls tout pourris dans quelques années.

        * voir ci-dessous à cause de ce gros khonnard de robot à la mormoil

          • 4 mois, et repartiront relever leur pays d’origine ? y torcher le cul de leurs vieillards laissant les nôtres en paix ?
            Lisez le rapport du sénat, il n’est pas rédigé par des extrémistes.
            Vus les coûts annoncés officiellement pour l’accueil de ces CPF (1,5 milliard en six mois), on peut penser qu’ils sont légèrement plus que 35. Ils sont x fois 35, x tendant vers des valeurs impossibles à absorber raisonnablement en si peu de temps.
            Surtout avec des différences culturelles aussi importantes.

            Après, vous pouvez aussi aider à les accueillir en en prenant quelques uns chez vous.

          • Vous dialisez sans lire.
            Moi aussi, je peux tronquer, truquer, approximer, f(i)louter :

            « x tendant vers des valeurs impossibles à absorber »

            On sent que l’infini n’est plus très loin.

            Bah, si ça peut khoncourir à familiariser les masses avec cette notion délicate…

            Vous pourriez venir sur place avec votre milice à chassepots pour les « prendre en charge »

        • Le 5 avril, François Héran,tout dernièrement nommé professeur au Collège de France, prononçait la leçon inaugurale de son cours:Migrations et sociétés.

          La semaine dernère,il a donné au Monde un entretien dans lequel il disait notamment qu’une idée fausse et communément répandue veut que les chercheurs vivent dans leurs laboratoires et bibliothèques, loin des réalités, alors que les politiques sont en contact avec le réel ;en matière de migration, c’est l’inverse qui est vrai,dit-il.

          Si vous l’écoutez, vous apprécierez peut-être ce sage conseil: il faut apprendre à distinguer entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous; François Héran, bon connaisseur de la philosophie grecque n’a pas oublié les Stoïciens-ce qui ne l’empêche nullement de connaître la science statistique (longtemps directeur de l’Institut National des Etudes démographiques.)

          https://www.college-de-france.fr/site/francois-heran/p369538168285351_content.htm

  17. Ça va être ta fête de l’apprendre et c’est, bien sûr, dans l’Osservatore Pedago :

    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2018/04/05042018Article636585093695848193.aspx

    Créer un « GIEC des intelligences » à coup de « plate-formes innovantes », de « recherches participatives », de « banques de projets », de « mentorat bienveillant », « d’écosystèmes numériques d’apprentissage », … Voilà un programme dont à propos duquel le climat scolaire va s’adoucir.

    Le vide, plein de bouffissures soufflées comme du popcorn, sera bienveillant ou ne sera pas.

      • Comment osez-vous ironiser sur de si prodigieuses perspectives ?

        Le désapprendre à apprendre est en marche et vous autres, conservatoréacs, n’y pourrez rien. Vous serez balayés par le puissant tsunami provoqué par la co-construction d’une Europe et d’une planète désapprenantes *.

        Et paf !

        * Afrique de l’Est comprise

  18. L’asile de Leyme fondé par Frère Hilarion Tissot accueillait dès le 19e siècle tous les physiciens qui avaient redécouvert la pomme de Newton ; c’est dans la joie et la bonne humeur qu’ils mettaient « la main à la pâte » !

    « 1835 : Le traitement qu’il préconise consiste en des travaux de la ferme et en des exercices religieux : prières, cantiques, exorcisme. »

    C’est aujourd’hui la fonction relevée glorieusement par « Bonnet d’âne » ! On prie beaucoup …

    • après de folles libations, il convient de « rendre grasses » agenouillé devant Ste Porcelaine … 😉

    • 17e chambre du tribunal de Paris : 10.000 euros d’amende pour avoir parlé d’espèce invasive !

      • Et vous, vous avez désigné récemment les Amérindiens comme une « espèce ».

        Comme vous êtes rusé, et pour vous prémunir en cas de procès vous avez aussi désigné les colonisateurs comme une espèce.

        A la Libération, vous étiez facilement passé entre les mailles du filet;ne croyez pas trop en votre bone étoile quand même.

        Et rappelez vous:scripta manent.

  19. Le Petit Bleu (affaire Dreyfus suite et fin).
    Chaque mot est taxé ! C’est comme à la poste dans le temps quand on envoyait un télégramme …

  20. « Ces jeunes qui n’ont connu que la crise, le terrorisme, et désormais la crise écologique, n’ont pas le temps de s’embarrasser de savoir si on est de droite ou de gauche. Et affichent sans complexe leurs convictions religieuses. » (Pascale Tournier)

    N’importe où je me trouve, amie Pascale, je me sens « moi-même », gorgé de références propres, d’histoires propres, choisies, adoptées librement, refusées librement, considérant comme atteinte agressive le rattachement à une identité particulière.

    Je ne suis donc, ni de droite, ni de gauche, ni juif, ni athée comme un phoque, ni français, ni chinois, ni esquimau, ni américain, ni citoyen du monde : juste un organisme animal à capacité intellectuelle suffisamment réduite pour être profondément heureux de vivre !

  21. Les gens de l’affaire Tarnac disent qu’ils sont victimes d’une oligarchie devenue méchante parce qu’elle se sent aux abois !

    Je dirai plutôt devenue stupide à force de brasser des milliards ! Un simple petit mot comme une pointe d’aiguille dégonfle ces baudruches et les fait enrager …

  22. Le Rêve de Picasso
    Voyez-vous ce que voit le critique du New York Times ?
    “Le Rêve” …if you can look away from her closed left eye, transmuted into the glans of a tumescent penis. »
    « … si vous pouvez détacher votre regard de son oeil gauche,fermé, et qui est transmué en tout autre chose:le gland d’un pénis tumescent. »

    https://www.nytimes.com/2018/04/02/arts/design/picasso-tate-modern-london.html?emc=edit_mbe_20180403&nl=morning-briefing-europe&nlid=7303302420180403&te=1

  23. Un vert ça va, trois …..
    http://www.lepoint.fr/politique/jean-vincent-place-tocard-tu-sais-pas-a-qui-tu-parles-05-04-2018-2208216_20.php

    2,32 g ; il avait quand même bien tapé dans la gourde ; environ 10 verres standards (puisqu’il s’agissait d’un bar et non d’un barbecue entre champions du 153*)
    Ce n’est pas très compatible avec les valeurs du vivre-ensemble (entre bourrés c’est difficile) ce qu’il a fait.
    Le tout en compagnie d’un sénateur.

    * 3X51

    • Il joue les prolongations et a du passer par l’hôpital (1,16 g/l de sang est-il dit de cette source via AFP, comme d’autres)
      http://www.lalibre.be/actu/international/violence-insultes-racistes-etat-d-ivresse-l-ex-secretaire-d-etat-francais-jean-vincent-place-en-garde-a-vue-5ac5ce42cd702f0c1ab89233

      Ca sentait le naufrage depuis un bout de temps chez les verres (la concurrence est dure avec le PS entré en social-écologie ; nouvelle sous-appellation ais-je noté)

      • « 1,16 g/l de sang »

        Avoir autant de sang dans son éthanol provoque les mêmes troubles qu’un excès d’oxygène dans le sang d’un sportif car, en vérité, je vous le dis : le 51 et ses multiples simulent les effets de l’érythropoïétine sur les marathoniens du zinc.

    • 3×51 = 3^2×17

      17= 2^4 + 1

      17 = 2 exposant 2^2 +1 est un nombre de Fermat;les quatre premiers sont 3,5,17, 257 ( 2^8 +1) , 65537 ( 2^16 +1); ces quatre là sont premiers.

      Fermat,à qui il arrivait de se tromper pensait que tous étaient premiers.
      Enfin Euler vint,qui montra que 2^32 + 1 = 4294967297 est divisible par 641

        • Vous faites bien de relever…quand une lettre est oubliée dans un mot,en général on reconstitue le sens;avec les chiffres, c’est une autre affaire

          Je voulais dire 153 = 3×51

          et j’ajoute
          153= 12^2 + 3^2
          mais
          3^2×51=459 = 3^3×17 ne peut s’écrire comme somme de deux carrés.

          Vive le pastis qui nous ramène au pays des entiers.
          Dieu nous a donné les entiers et nous avons créé le pastis.

  24. Seine-Saint-Denis : trois lycées du 93 en guerre contre la violence.

    Trois lycées minés par la violence se sont mobilisés ce jeudi. Menaces, agressions, incendies, les exactions prennent des formes différentes toujours sur fond de rivalités interquartiers.

    Lycée Utrillo à Stains, 1 267 élèves.

    Les violences. Les agressions vont crescendo depuis trois semaines : le 12 mars, un élève de 1ère, âgé de 17 ans, est frappé à la tête à coups de marteau. Grièvement blessé, ce jeune originaire de la cité Rose à Pierrefitte est hospitalisé. Depuis cette agression, les violences n’ont cessé. Mardi à 7 h 45, un élève est menacé sur le parvis du lycée avec une arme de poing par des individus cagoulés. A 13 h 20, un autre élève est frappé avec un hachoir sur le parvis.

    Les raisons. La guerre des quartiers. Elle se déporte autour du lycée. « Le lycée est le point de rencontre des cités du Clos Saint-Lazare à Stains et celles de Pierrefitte. Les conflits viennent donc se régler devant le lycée », explique un élève de terminale.

    La mobilisation. Les enseignants et personnels ont fait jouer leur droit de retrait ces mercredi et jeudi « face à ces conditions de travail déplorables et dangereuses mais surtout face à la faillite de nos institutions qui se sont montrées incapables d’assurer la sécurité des élèves et des adultes ». « Nous demandons au moins la pérennisation d’un poste de surveillant », indique Fabienne Giuliani, enseignante en histoire-géo, du syndicat Sud-Education 93.

    Les réponses. Le rectorat a missionné ce jeudi matin son proviseur de vie scolaire et le conseiller sécurité du recteur. « Nous sommes là pour être au plus près des équipes et entendre leur souffrance », souligne Régis Astruc, proviseur de vie scolaire. Une cellule d’écoute est mise en place « aussi longtemps que nécessaire », les équipes mobiles de sécurité (EMS) du rectorat ont été dépêchées depuis hier dans le lycée jusqu’à un retour au calme. Un conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance est convoqué ce vendredi. Il inclura pour la première fois à Stains des enseignants et des parents.

    Le lycée Suger à Saint-Denis, 1 400 élèves.

    Les violences : Un incendie volontaire est allumé le 22 mars dans le lycée. Sur les réseaux sociaux, des messages appellent « à brûler le lycée ». Il y a deux semaines un élève est agressé sur le parvis parce qu’il n’appartiendrait pas au même quartier que ses assaillants. Les violences sont récurrentes à Suger mais elles montent en intensité. En mars 2017, le lycée avait été la cible de groupes de casseurs. De l’essence avait été répandue dans l’établissement et un tir de mortier avait atterri dans l’enceinte.

    Les raisons. Ces violences chroniques sont liées aux rivalités interquartiers. Le lycée est en lisière du Franc Moisin. A ces guerres des bandes, se mêlent la présence de groupes plus structurés et plus politisés apparus lors des blocus en 2016. « C’était une violence revendiquée de jeunes casseurs qui s’en prenaient à l’Institution et dénonçaient en même temps l’affaire Théo », analyse une enseignante.

    La mobilisation. Au lendemain de l’incendie une dizaine d’enseignants observe un droit de retrait. Une AG s’est tenue à 12 h 30 ce jeudi pour « décider d’agir collectivement avec les autres lycées touchés par la violence, les parents d’élèves. Il faut que les élus s’en saisissent », détaille cette enseignante.

    Les réponses. Le conseil régional vote en 2017 une enveloppe de 55 000 € pour installer des caméras. « Leur fonctionnement n’est pas optimal », juge une enseignante.

    Le lycée Paul-Eluard, 2 000 élèves.

    Les violences. Mardi, une élève est atteinte en plein cours par une pierre jetée à travers une vitre. C’est le troisième jet de projectile qui blesse une personne en peu de temps.

    Les raisons. « Nous sommes dans un lycée de centre-ville. Jusqu’à présent nous étions un îlot de paix. Tout d’un coup on découvre la vraie vie du quartier », lâche Fanny Capel, professeur de français.

    La pierre jetée contre le lycée était accompagnée d’un tract : « Nous voulons la justice et nous sommes prêts à casser toutes les vitres du lycée ». Canular de mauvais goût ou vraie revendication ? Certains enseignants prennent la menace au sérieux : « C’est l’institution qui est visée. Il y a une volonté de déstabilisation ».

    La mobilisation. Les enseignants observent deux droits de retraits en une semaine. Ce jeudi ils se sont rassemblés sous le slogan « Ras le casque ». « Car l’ambiance n’est pas sereine et qu’il va falloir se protéger comme sur un chantier », glisse Thomas, enseignant.

    Les réponses. Le conseil régional a indiqué qu’il allait rehausser les grilles à l’arrière de cet établissement qui s’étend sur 6 ha et installer une cloison contre le bâtiment G le plus exposés aux projections extérieures.

    http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/stains-le-lycee-toujours-paralyse-apres-le-droit-de-retrait-des-personnels-05-04-2018-7647762.php

    • « Une cellule d’écoute est mise en place « aussi longtemps que nécessaire », »

      On écoutera les coups de marteau jusqu’au dernier.

    • C’est sûr qu’avec le « proviseur de vie scolaire et le conseiller sécurité du recteur », ça effraie de suite les voyous et remet de l’ordre ! Quant au « Nous sommes là pour être au plus près des équipes et entendre leur souffrance », on hésite entre le fou rire et les larmes de désespoir !

  25. Il y a déjà un certain temps,Dugong (qui, je le rappelle pour mémoire,s’occupa quelques années durant de consolider l’enseignement de la physique dans tel pays d’Afrique noire) avait illustré son propos d’une photographie:une école de ce pays, école aux murs jaunes…

    En l’absence d’appareil critique,je ne puis retrouver aisément cette photographie.
    Un détail, cependant, m’avait frappé:on pouvait lire,écrit sur le mur:Fondation Odon Vallet.

    Je n’avais pas pris le temps,alors,d’interroger l’amateur de tubéreuses et de Bavaroises sur cette fondation.

    Odon Vallet, qui ne partage pas du tout les opinions de Driout sur les « races inférieures », a fait venir dans notre belle contrée, dans la patrie de Jeanne d’Arc (!) nombre d’Africans au cul d’ébène qui ne finiront pas éboueurs au cul des bennes.

    Il rencontre les plus brillants, les aide par des bourses d’étude, facilite leur inscription dans les meilleurs lycées (notamment au Lycée Louis le Grand.)

    Faut-il pendre Odon Vallet ?

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/09/19/odon-vallet-philanthrope-de-l-education-au-benin_5000260_3212.html

  26. Lormier,

    Vous avez de drôles de fréquentations ! Pédé, catho et amateur du cul noir …
    Enfin ! Je reçois déjà la documentation de « La Procure missionnaire » … c’est une obsession chez les chrétiens de sauver l’Afrique ! Je crois que l’Afrique a été inventée afin que les bonnes âmes se sentent plus à l’aise dans leurs baskets … bien ou mal « Placé » !

    • Voilà bien ce qui m’intrigue:l’amateur de bavaroises n’aime pas les catholiques,il l’a maintes fois souligné…cependant il affiche le nom d’Odon Vallet sur un cliché pris en Afrique

  27. Dans sa leçon inaugurale prononcée hier(chaire Migrations et sociétés) au Collège de France) François Héran cite de grands anciens, notamment Louis Chevalier auteur de
    « Classes laborieuses et classes dangereuses à paris pendant la prmière moitié du dix-neuvième siècle ».

    A cette époque là s’exprimait chez les Parisiens une peur

    « face à l’invasion de barbares,nomades surgis de lointaines contrées telles que la Bretagne,l’Auvergne ou la Savoie,prolétaires inassimilables, prompts au crime, visiblement d’une espèce différente,mais que Paris absorbera dans les replis de ses quartiers… »

    https://www.college-de-france.fr/site/francois-heran/Retransmission-en-direct-lecon-inaugurale-francois-heran.htmhttps://www.college-de-france.fr/site/francois-heran/Retransmission-en-direct-lecon-inaugurale-francois-heran.htm

    vers 12 mn 30

    • Mais oui ! C’est juste une impression … de balles de kalachnikovs comme à Marseille et Vitrolles depuis deux jours – trois morts dans des règlements de compte liés au trafic de drogue probablement.

  28. C’est pathétique de voir un type comme François Héran digresser sur les migrations !

    Et si ça se trouve il tient en privé un discours à l’opposé de ses convictions affichées !

    Lormier vous êtes par moment une grosse andouille !

  29. Vous croyez vraiment que François Héran loge à Sevran ?

    J’avais un camarade à Jussieu en 1985 qui venait de Sevran – son père était commandant de bord chez Air France donc il travaillait à Roissy – s’il n’avait pas vécu là-bas il n’aurait pas fréquenté tous ces négros et ces bicots qui lui vendaient de la drogue ! Et il serait encore vivant …

    Ceci dit depuis le trafic de drogue a fait tache d’huile … en 2007 la vice-présidente du tribunal de Grande Instance de Nanterre qui avait fait un déplacement chez moi assistée de la police – on ne saurait être trop prudent – me disait en catimini : « Vous vivez dans un coin tranquille » !
    Tu parles Charles … depuis six mois j’ai de nouveaux voisins d’un genre particulier. Descente de police dans mon immeuble il y a trois semaines pour rechercher de la drogue …

    • Pierre,
      La poudre n’est pas apparue dans les années 85, et elle n’est pas raciste…

      • Par contre l’hypocrisie qui est une drogue dure elle tue les peuples et les nations !

        • Et puis franchement, si vos nouveaux voisins se font prendre seulement 6 mois après avoir aménager, dites-vous que vous n’avez pas affaire à de grands professionnels. Vous ne risquez pas grand chose.

      • Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois,
        Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois,
        Plus éclatant que les cymbales ?
        Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l’oiseau merveilleux ?
        – Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus,
        Je veux de la poudre et des balles.

    • « Vous croyez vraiment que François Héran loge à Sevran ? »

      J’ignore où il habite mais je me souviens que dans un entretien donné au Monde il y a vingt ans environ, il avait dit que dans son appartement de banlieue, il était plus dérangé par les bruits de perceuses des Français de souche, le dimanche que par le cri de moutons égorgés sur les balcons.

      Quant à moi, je préférerais toujours des voisins trafiquants de drogue ( gens fort discrets) à des maniaques de la perceuse électrique:comment trouver assez de pans de mur pour y percer,semaine après semaine, des trous ?

      François Héran ne « digresse » pas sur les migrations:c’est son sujet.

      • Lormier vous êtes un plaisantin !

        Des droguistes gens fort discrets !!!!!!!

        Neuilly est une banlieue de Paris !

        Bonne route Lormier et amusez-vous bien sur le blog ça ne mange pas de pain !

        • Oui, les droguistes exerçant à domicile, hors citée, sont dans l’obligation d’être discrets. L’expérience de vos voisins n’est pas à prendre en exemple.

          • Aussi étonnant que cela puisse vous paraître, vous êtes plus en sécurité dans votre quartier avec un seul droguiste qu’à Neuilly ou dans le 16ème. Les droguistes du quartier qu’habite ma fille, lui sont venus en aide récemment parce qu’elle était harcelée, ils ont été extrêmement courtois avec elle : »vous avez besoin d’aide mademoiselle ? », et très mauvais avec le harceleur. Ils ne veulent pas d’histoire – ne veulent pas voir la police venir sur leur zone d’activité.

  30. « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire. »

    Et bien le Maître prouve par l’exemple la fausseté de cet adage.

    Cette Tournier n’est manifestement pas de taille à se mesurer au Maître, qui la pulvérise d’un coup d’éventail.

    Ce qui rend le billet admirable,c’est ,il nous ouvre des perspectives immenses allant bien au-delà de la réfutation.

    deux petits exemples de la nullité de cette Tournier
    « …1) je tiens à remettre certaines pendules à l’heure, ou à replacer la boussole dans la bonne direction.
    2) Chacun choisira l’instrument de mesure qu’il préfère. C’est justement, le sens de la mesure et de la modération qui m’a guidée dans l’écriture de cette enquête sur une thématique délicate. »

    1) Cette journaliste n’a jamais vu une boussole; une boussole,on la pose si possible à plat et c’est le cadran que l’on fait pivoter pour que le point rouge de l’aiguille coïncide avec le N de la partie fixe.

    Que peut signifier « replacer la boussole dans la bonne direction » ?

    2) a) une pendule peut aider à s’orienter certes,mais une boussole ne donne pas l’heure… et pour connaître une température, je prends un thermomètre.

    Bref,on choisit un instrument de mesure en fonction de ce qu’on veut mesurer et non selon sa « préférence ».

    b) « C’est justement, le sens de la mesure et de la modération qui m’a guidée  »

    Transition idiote: elle joue sur les mots,comme le dit si bien le Maître.

    Encore une fois,ce qui fait la  » gloire  » de ce billet, ce n’est pas le facile uccession brighellienne de « ippons » (il la lisse se relever pour l’envoyer aussitôt au tapis) mais l’énoncé de quelques maximes à méditer.

    Le Maître m’ayant rappelé que les textes qui méritent une longue exégèse sont précisément ceux qui s’en passent, je m’en tiendrai à une citation:

    « Dis-moi quels intérêts, tu défends, quelle école tu veux mettre en place, quel système économique te paraît le meilleur, et je te dirai ce que tu es … »

    • Hélas, le manteau de ma cheminée n’est pas assez grand pour que j’y fasse graver,en lettres d’or, cette maxime.

      Lorsque on tisonne le feu,on ne regarde pas le manteau de la cheminée.

  31. Pour dire les choses telles qu’elles sont Dugong et Zorglub ont vécu en Afrique la vie dorée des coloniaux au titre de la coopération – payés très cher et vivants dans des quartiers réservés servis par une armée de négrillonnes et de négrillons. Comme disait ma tante Monique Giard à ma mère : « Que voulez-vous Yvette en Afrique on n’avait rien à faire on était servi comme des rois ! »
    Que des bons souvenirs … des bons temps de la coloniale !

    • Pauvre Driout, avorton des inutiles qui encombraient le bateau de Bardamu, qui confond le personnel d’ambassade et les coopérants qui eux, en « province » étaient vraiment au contact de la population locale.

      Quant au salaire, quasiment doublé, il permettait selon les dires d’un de mes chefs de mission * d’assumer nos contradictions (vous êtes bien payés pour ne pas vous poser trop de questions existentielles *). De plus, lorsque la situation locale déplaisait au roi de France, on ne se gênait pas pour charteriser l’ensemble de la coop (essentiellement médicale et éducative). Jamais, évidemment, le personnel d’ambassade dont on sentait qu’il retenait très fort sa respiration entre le domicile et le « bureau »…

      Dans un de mes postes, mon successeur, que j’avais rencontré et briffé, n’a tenu que 3 mois…

      * rien de religieux là dedans

      • Vous avez beaucoup souffert alors ce qui explique le surcroît d’aigreur dont vous nous faites profiter tous les jours !

        Louis Giard (1920-2012) n’était pas exactement parlant au quai d’Orsay mais un ancien élève de l’Enfom – donc en fait à partir de la décolonisation en 1960/1962 il n’avait plus de poste officiel ! Ceci dit il a été envoyé au Rwanda dans les années 1970.
        J’ai rencontré Jacques Champagne de Labriolle qui m’est plus ou moins apparenté et qui a fait carrière d’ambassadeur en Afrique ; effectivement les gens du quai d’Orsay sont somptueusement défrayés !
        Mais chut ! c’est un secret d’Etat …

        • Les habitués de l’amiral Bragueton dont vous êtes la raclure de tinette la plus commune ici et qui confond si opportunément aigreur et mépris, ne peuvent imaginer une seule seconde qu’un coopérant pouvait mener une vie heureuse en Afrique.

        • Récréation arithmétique:

          2018: Le retour
          Le premier terme de cette suite est 2018 .
          Chaque terme est égal à la somme des cubes des chiffres du précédent.
          Que vaut le 2018 ° terme ?

      • Vous qui vous y connaissez en missionnaires, et en positions du missionnaire vous avez peu-être lu The Missionary Position: Mother Teresa in Theory and Practice de Christopher Hitchens
        La position du missionnaire: Mère Theresa,pratique et théorie

        Il raconte entre autres un « miracle »

        Kodak, Malcolm Muggeridge et un miracle de Mère Theresa raconté par le cameraman.

        (pour avoir des sous-titres,cliquer sur CC)

        https://www.pablopicasso.org/the-dream.jsp

      • « Quant au salaire, quasiment doublé … »

        Z’auriez dû postuler pour consolider la physique en Arabie Saoudite!
        Salaire plus que triplé, mission bien plus motivante et chiottes climatisées.

        • Y’en a des qui confondent fuite dans un lycée français à l’étranger et coopération dans le système éducatif d’un pays que certains qualifient de « shithole countries ».

          Y’a plus qu’une nuance, un gouffre…

  32. Le Rêve de Picasso
    Un gland, je veux bien, mais un paix-nice en érection ?

    « The erautic content of the painting has been noted repeatedly, with critics pointing out that Picasso painted an erect pee-nis, presumably symbolizing his own, in the upturned face of his model.
    Le contenu érautique du tableau a été souvent relevé,les critiques faisant observer que
    Picasso a peint un paix-nice en érection-lequel,peut-on supposer symbolise son propre paix-Nicea,sur le visage renversé de son modèle  »

    J’imagine facilement madame Véto s’exclamant et se gaussant  » Ca, une érection ? quelle blague, mon pauvre; si tu crois qu’avec ça tu vas démoraliser l’Occident*, pov’mec!  »
    *
    https://www.grasset.fr/le-painis-et-la-demoralisation-de-loccident-9782246006732

  33. à Flo

    C’est votre jugement sur le Rêve qui m’importe;je l’espère,je l’attends

    • Oooh, je vous fais attendre Messire, vous m’en voyez navrée ; quoique nous soyons égaux sur ce point, j’attends également toujours vos réponses. : )
      A savoir si vous êtes d’origine tchèque et marié ?

    • C’est regrettable que vous ne répondiez pas.
      Ou peut-être dois-je vous réserver ma réponse au Grand Palais, le 19 mai à 21 h*, expo Kupka ?

      * l’horaire peut être modifié selon vos besoins.

  34. Récréation arithmétique:

    2018: Le retour
    Le premier terme de cette suite est 2018 .
    Chaque terme est égal à la somme des cubes des chiffres du précédent.
    Que vaut le 2018 ° terme ?

    • @ Lormier
      Je vous recommande vivement de gérer astucieusement les priorités de vos réponses…

      • Sinon il m’en cuirait…

        Non je ne suis pas tchèque.

        Nous n’avons pas la même conception du monde; la vôtre est certainement meilleure…mais ce n’est pas la mienne.

        Pour moi,le cybermonde doit rester séparé du monde « réel »; je maintiens:

        1 que nos colloques ici sont d’une nature qui ne pourrait aucunement se rencontrer dans le monde réel: je crois avoir perçu,grâce à eux, quelque chose de la spécificité de l’intelligence féminine; (c’est évidemment impossible à définir.)

        2 que dans le monde « réel » qui vous entoure se trouvent bien des individus très supérieurs à moi et avec qui vous pouvez vivre en bonne intelligence.

        • ça devient délirant…

          1) Individus supérieurs : je suis extrêmement difficile. Les seuls qui aient pu m’intéresser et malgré leur beau gabarit, étaient des petites flipettes aux mille prétextes, aussi changeant que ne le serait une bonne femme : « Oui. Non. Je sais pas. Je ne peux pas. Non, j’ai grossi ». Fatigant.
          2) Ma vie est parfaite telle quelle est, je ne cherche personne pour l’améliorer.
          3) Just, my Dear. Plaisant que de m’imaginer aller à cette expo avec vous, un soir à Paris mois de mai. Tant pis pour vous !

          • Flo, si Lolo n’est pas prêt à assurer ses responsabilités, je veux bien le remplacer pour aller voir cette expo Kupka.
            Laissons-le chez lui lire du Brighelli le soir à la chandelle… »regrettant son amour et son fier dédain. »…
            Quel benêt !

    • 2018 = 3 x 672 + 2

      2018ème terme de la suite : 371 … dont la somme des cubes de ses chiffres vaut…

    • suite:sauf erreur:
      2018 521 134 92 26 17 11 2 8 512

      Les chiffres (digits en anglais) du deuxième et du dixième termes sont égaux donc la somme des cubes est égale, le 11-ème terme vaut 134 comme le troisième.

      2018 = 3×672 + 2, donc le 2018° terme est égal au 5°, soit 26

      comment est-ce fabriqué ?

      Quant au dernier terme non nul de 10! y aurait-il un moyen d déterminer que la puissance à laquelle le facteur 3 figure dans le produit est un multiple de 4 sans effectuer tout le calcul (qui donne 48 ) ?

      • Erreur. La réponse de Hervé est la bonne, et rien qu’en essayant, on la trouve assez vite.

        • Oui, je me suis planté après 92, additionnant bêtement les chiffres de 729 (cube de 9) au lieu d’additionner 729 et 8.

          2018 521 134 92 737 713 371

          371 = 27+ 343+ 1; il est la somme des cubes de ses chiffres et donc tous ses successeurs (2018 par exemple) sont égaux à 371.

          Je demande pardon à abcmaths pour mon étourderie et je le remercie vivement de m’avoir fait découvrir les nombres narcissiques (ceux qui ,comme 371 ont la propriéte d’être égaux à la somme des cubes de leurs chiffres).

          Plus petit que 371,il y a le triple pastis,cher à Sisyphe: 153 = 3×51= 1+125+27 .

          Et est-ce tout à fait un hasard si la Provence a pu titrer,le MARDI 25/04/2017 à 10H10 – MARSEILLE : les 371 713 votes du 1er tour à la loupe ?

        • 10! = 3628800, non ?

          Il doit y avoir gourance, mais comme diraient des élèves (toujours attentifs, les petits) : « c’est quoi la question ? ».

        • La machine mange les zéros; je me référais à la devinette précédente-concernant 100 ! et non 10!

          Bon je vais voir où je me suis trompé sur 2018.

  35. Ce que je peux dire c’est que je comprends volontiers ceux qui défendent leurs intérêts particuliers – moi je me situe à un niveau supérieur quand je parle de la France c’est tout ! Chacun son rôle et la morale de l’histoire n’en sera que mieux conservée.

    Mon oncle Louis Giard était amer d’avoir raté sa carrière puisqu’au fond il se voyait jeune en grand administrateur de l’Afrique comme Gallieni et Lyautey – mon autre oncle Jacques-Alexis Regnault (1920-1995) issu lui aussi de l’Enfom a préféré démissionner de la fonction publique en 1961 et rentrer faire carrière dans le privé – il a pris une décision logique. Il n’a pas cultivé la rancœur de l’échec.
    Il faut assumer quelque part ses choix.

    • Vous vous préoccupez de l’intérêt général;sur ce sujet, un penseur très à la mode, père du libéralisme , de Milton Friedman, jusqu’au dernier avatar-avorton le,macronisme, très prisé par ceux qui pourfendent le secteur public a écrit cette phrase trop rarement citée:

      « ..I have never known much good done by those who affected to trade for the public good.  »
      « je n’ai jamais constaté que grand bien fût fait par ceux qui affectaient d’oeuvrer pour le bien commun/l’intérêt général; »

      An Inquiry into the Nature and Causes of the Wealth of Nations (IV.2.9)
      the Wealth of Nations …la richesse des nations.
      Adam Smith,1776

      • Pour dire la vérité je suis de cœur avec la France ! Maintenant l’intérêt général de qui de quoi de quand ? Je ne sais pas …

  36. Voyez-vous Lormier la raison est une chose merveilleuse avec laquelle on peut faire bien des choses mais c’est le cœur qui nous gouverne – mal je vous l’accorde !

    • Vous oubliez le vit et les…couilles (mot qui passe très bien-alors que le robot m’oblige à écrire Paix-Nice.)

      Soit; votre idole n’est pas « l’intérêt général »; votre idole est  » la France », la France éternelle, le Jockey club, les marquises qui sortent à cinq heures,les mecs à à particule,c les beaux légionnaires (français !) aux yeux bleu et au cul bien blanc (et quand le pourtour de l’anus est trop foncé, vous leur fournissez la pommade décolorante) etc.

      C’est une idole et je vous reconnais le droit d’idolâtrer.

      • « L’intérêt supérieur de la France » disait de Gaulle qui ne se payait pas de mots !
        ..
        Disons que l’exotisme ce n’est pas mon truc – Elon Musk rêve d’aller taquiner les petits hommes verts sur Mars – Jacques-Yves Cousteau ambitionnait d’aller batifoler avec Jojo le mérou au milieu de l’océan – Paul Erdös se contentait de se promener à travers le monde avec une valise et un carnet de notes pour y mettre ses idées mathématiques.

        Chacun son idole ! Une fusée, un scaphandre, un papier et un crayon !
        Et tout cela fait d’excellentes utopies.

        • des idées mathématiques…disons plutôt des résultats et des démonstrataions (quelque chose comme 1300 articles, je crois;le premier publié alors qu’il n’avait que dix-neuf ans:une démonstration « élémentaire » du mal nommé « postulat de Bertrand »- ce même Bertrand sur lequel vous aviez écrit des insanités, allant jusqu’à tronquer et falsifier une fiche ouiki…

          que voyez-vous dans le Rêve, de Picasso ? Un paix-Nice en érection ?

          • « démonstrataions » c’est l’émotion de voir votre pé »-nis en érection pour la première fois depuis -ante ans ?

          • @ Lormier
            Pour vous répondre. Oui, un peine-hisse, parfaitement à sa place, dans la même veine créatrice à détournement que cette tête de taureau formée d’une selle et d’un guidon de vélo exposé au musée Picasso.

  37. Nous pouvons redouter que le dialogue entre ces deux archéologues de la pensée que sont Driout et Lormier ne puisse qu’accoucher d’une portée de cafards vieillots, perclus de rhumatismes dès leur naissance…
    Mais qu’est-ce qu’elle lui trouve Flo à son Lolo chéri ?

    • Hervé rêve d’aller ramoner Dobo et Flo ! Pour le moment c’est l’amertume du désert des Tartares … notre déjà vieux légionnaire se tire sur la tige vainement !

      • Je doute fort que flo (eu égard à ce qu’elle nous confie ici) s’intéresse à initier un mal-otrou.(prononciation à la Roumaine;)

        En Champagne, la vinification implique un premier dégorgement.

    • C’était pourtant bien comme premier rendez-vous cette nocturne au Grand Palais.
      Il n’y en a qu’une dans l’année ! Pire, même accompagnée, je ne suis pas sûre de visiter l’expo sans avoir une pensée pour Lormier. Quel délicieux poison !

  38. Aujourd’hui, avec ma Bingbing, j’ai assisté à une représentation d’une version laotienne du Ramayana. En jetant un oeil concupiscent aux courbures de ces Tanagras évoluant gracieusement devant mes yeux ébahis, j’ai aussitôt décidé de me mettre à cet art…même comme débutant, quitte à passer pour opportuniste.
    Depuis, elle me fait un peu la gueule ma Bingbing…

    • Faut dire que la dernière fois qu’elle m’a traîné dans un « spectacle vivant » de ce genre, c’était en banlieue pour aller voir une gonzesse grassouillette qui était censée faire la mouette dans une mise en scène improbable. On était en tout et pour tout une vingtaine de clampins complètement effondrés devant une telle misère. Sûr que même catapultée par les chariots de pont du Charles de Gaulle, elle aurait jamais pu s’envoler la grassouillette qui nous racontait « sa vie de mouette ». Quelle cagade ! Je me suis juré d’éviter de genre spectacle à l’avenir. Ca rend triste de voir des clownesses pareilles.

      • Vous n’avez pas expliqué par quel phénomène une culotte lancée en l’air pouvait rester collée au plafond-et d’abord, quelle hauteur de plafond ?

  39. Giscard Samba – fils spirituel de VGE – de Brazzaville, assaille les filles dès qu’elles franchissent les haies !

    Faut-il l’emmener à l’exposition Picasso pour lui retourner les méninges ?

    • Si tous les Giscard se donnaient le zo.b cela ferait une grande farandole autour de la Terre !

  40. La samba qu’ils disent !
    C’est mon grand-oncle qui prétendait n’enseigner que la Rumba, le Tango et le Mambo à l’université de New York et pas le Rock’n’Roll en octobre 1955 ! Mais en fait j’ai des photos de lui où on le voit faisant voltiger ses élèves filles dans les airs – à 65 ans il avait une pêche d’enfer pour fêter son départ à la retraite en janvier 1956.

    • En 1955 ce sont les débuts d’Elvis Presley et le Rock n’Roll avait une réputation de soufre ! Ce qui explique son petit mensonge … les danses espagnoles et sud-américaines oui, mais pas ce grand escogriffe de diable rock’n’rollant !
      Il ne fallait pas affoler les béotiens de NYU !

    • Ils sont tous vieux vos ancêtres.
      Comment voulez vous que cela soit attractif pour les jeunes de maintenant ?
      Pour qui tout ce qui a plus de 6 mois est préhistorique et tout ce qui fait plus de 2 phrases de 5 mots, du harcèlement (avec des parents neuneus qui acquiescent derrière)

      • Ceci dit ce désintérêt pour toutes choses vieilles de plus de 6 mois est intéressant pour certains. Plus besoin d’avoir recours à l’obsolescence programmée par une ruse technique ; elle survient d’elle-même l’obsolescence des objets consommables et des pratiques inhérentes d’émulation consomma/incita-toire.

        Longue vie à vos ancêtres qui ne m’ont servi que de prétexte pour divaguer.
        (que personne ne se retourne dans sa tombe ; il doit y avoir suffisamment de mouvements rotatoires comme cela dans les lieux de sépulture, en cette époque)

  41. Le 6 avril 2018 à 19 h 42 min,
    Floa dit :@ Lormier
    Pour vous répondre. Oui, un peine-hisse, parfaitement à sa place, dans la même veine créatrice à détournement que cette tête de taureau formée d’une selle et d’un guidon de vélo exposé au musée Picasso.

    D »accord, mais en éerection ? Le critique du NYT dit « tumescent »; et pour lui, c’est post-coïtal…

    J’aimerais beaucoup recueillir l’avis de dobolino, experte ès-organes érectiles.

    • Même rarement, il peut y avoir un moment de symbiose accordée mais il est tout de même conseillé à une femme qu’elle jouisse avant son partenaire. La puissance masculine est intacte jusqu’à sa petite mort.

  42. J’ai un accès limité au contenu, désormais.
    Quelqu’un a entendu parler de cela ?
    https://reflets.info/articles/depuis-quand-l-education-nationale-est-elle-devenue-une-machine-a-effrayer-les-enfants
    (en imaginant la suite de l’article, je pense à un témoignage)

    Dans ce cas :
    Quelle idée d’apprendre aux enfants à se mettre à l’abri sous une table …. (qui n’abrite pas des balles, si c’était cela le thème de l’exercice) : au Japon ou dans des zones potentiellement exposées à des risques sismiques, d’accord mais là !

    D’ici à ce qu’il s’agisse d’une pratique conjuratoire, d’angoisses d’adultes confinés dans des bureaux tels des momies, dans un quelconque ministère (si vous saviez ! )
    Certains pour se calmer sont capables de tout, alors qu’il existe d’excellents anxiolytiques dans la nature ou dans la pharmacopée moderne.

  43. Nous voilà coincés entre les hyènes conservato-progressistes et les chacals progresso-réactionnaires. Bestioles dont Toufriquet prétend assurer la synthèse (vocale) par les emmerdes-en-même-temps avec lesquelles il nous enduit : de grosses ficelles qui sont censées réaliser les tensions motrices du Progrès et qui pendent en fait piteusement tant le politique n’agit plus maintenant qu’à la marge.

    En plongeant Lacan dans le social, on pourrait utiliser le terme « sublimation », entendu à la fois comme raccourci vers l’allègement gazeux des passions et le salto dialectique du dépassement de soi. Le peuple n’a plus à être sublime (« état » qui n’aurait plus les moyens de son existence), il doit se sublimer sans cesse (processus infini du « progrès », vague, incolore, inodore, sans saveur mais en ligne de mirage permanente).

  44. Le 6 avril 2018 à 21 h 52 min,
    Flo a dit :
    Même rarement, il peut y avoir un moment de symbiose accordée mais il est tout de même conseillé à une femme qu’elle jouisse avant son partenaire. La puissance masculine est intacte jusqu’à sa petite mort.

    Je crois que vous vous amusez à répondre à côté…et à proposer une conception des rapports sexuels qui ne peut pas être la vôtre ( une conception boutiquière).
    Ce pen-hisse, dans le tableau de Picasso, n’est pas vraiment rectiligne,n’est-ce pas ?
    Les corps caverneux sont passablement dégonflés,oui ou non ?

    Dans l’Etre et le Néant, il y a un passage qu’on pourrait décrire comme une phénoménologie du coït; Sartre y fait judicieusement observer que le pen-hisse n’est pas un muscle strié;je puis bander mes biceps (ou mes triceps- muscles beaucoup plus sollicités, quoi qu’en disent les féministes,que les biceps lors du coït à la française) mais je ne peux décider de « bander » mon pen-hisse.

    Tout cela pour dire que les commentateurs qui prétendent avoir vu une bite bien roide dans le tableau ne l’ont pas vraiment regardé ou alors sont des gens qui « bandent » très mou.

    A l’incorporation dans l’armée française on distribue,entre autres effets, des slips -plaisamment désignés en argot militaire par le vocable suivant : »bande à l’aise. »
    Qu’il soit militaire ou civil le slip n’est pas un vêtement adéquat;tous les médecins vous diront qu’il faut que l’air circule autour des bourses.

    Hélas aujourd’hui,dans les grandes villes,il est nécessaire,quand on sort de chez soi, de revêtir un protège-couilles pour se prémunir contre les attaques de féministes qui,organisées en petites escouades agiles, ( ce ne sont pas des petits lapins,c’est moi qui vous le dis ) décochent stochastiquement des coups de pied fort bien ajustés.

    J’ai réussi à me procurer un modèle ajouré,en fibre de carbone*, mais c’est quand même désagréable à porter.

    Deux conseils aux jeunes gens pleins de fougue:

    -musclez vos triceps
    -quand vous allez chez une femme,slip, caleçon ou rien du tout sous le pantalon- mais toujours braguette à boutons.

    * matériau adéquat pour un protège-couilles mais pas du tout pour des bâtons de marche;si vous voulez du léger choisissez un alliage titane-aluminium:ça se tord mais ça ne casse pas.

    https://www.leki.com/fr/trekking/batons/

    (marque allemande;fabrication en République tchèque)

    • Boutiquière ?
      Why ? De quoi vous êtes-vous vexé ?
      Vous pensiez que la femme jouissait après l’homme, c’est pour ça ? Il n’y a rien de mercantile dans le procédé à ce qu’une femme jouisse avant qu’il ne soit trop tard, ce n’est qu’une question technique. (Ou bien vous êtes le pire des mufles dans un lit ?)
      Le peine-hisse n’est qu’une suggestion, par sa morphologie particulière épousant les traits du visage féminin. C’est un pickwik cubique, et alors, what the f.u.c.k ?

      Jeune gens n’écoutez pas Lormier ! ( quoique il ait raison pour les boutons plutôt que la braguette),
      Il n’y a rien de plus agréable pour les mains d’une femme que de toucher directement la peau douce de votre fessier sous votre pantalon, ça vous rend sexy et viril. Franchir un élastique qui bride le mouvement des caresses et ce tissus tiède, fin et à plis posé dessus comme témoin est véritable un tue l’amour.

  45. – Faites sauter les boutons ! in « La Guerre des boutons ».

    N.B : Quand je pense qu’on situe « Bonnet d’âne » parmi les blogs lettrés réactionnaires alors qu’il s’agit d’un blog couture d’avant-garde !

  46. Une question néanmoins : s’agira-t-il de former la jeunesse au charme des boutons-pressions plutôt qu’au classique bouton du Poilu ?

    En somme la guerre dans le confort de la tranchée pour rehausser le moral du combattant de la première à la dernière heure !

  47. Je pensais qu’on pouvait parler de « l’art » avec Flo, mais à la lecture des commentaires de cette petite cochonne, j’ai visiblement commis une erreur orthographique.
    J’annule l’expo Kupka !

    Quant à ce pauvre Lormier, je me suis toujours demandé s’il avait un problème psychiatrique ou s’il était vraiment très con. J’ai pris l’avis d’un voisin fort sympathique, le docteur Mengele, un vieux Teuton aisé, plein de charme et d’une discrétion exemplaire . Il propose une castration.
    J’ai rectifié son jugement en lui disant que le minus en question, un petit chien qui aboie beaucoup de sa petite voix, qui mordille sans raison, un peu bête, faisant l’important était déjà castré à l’ancienne.
    Il a proposé une trépanation.

    • Mais qu’ai-je dit de cochon ? Je n’ai fait que répondre à Lormier ou le reprendre sur des conseils mal avisés en donnant généreusement des indications supplémentaires sur un pourquoi du comment. Je vous trouve tous très tendus en ce moment pour ne pas dire odieux.
      Je file. Bye

      PS : Je pensais proposer à Pierre de se joindre à nous… voir même à tout ceux sur Paris intéressés par l’expo (Melo par exemple).

  48. A propos de tension visible à l’oeil nu:
    « Vivant, je suis plus grand que Shakespeare, Cervantès, Rabelais ou Mozart, morts ! » ai-je affirmé sans preuve cartésienne à la femme de ménage de l’étage de l’hôtel, splendide animal exotique, anxieuse pour des broutilles familiales, d’après ce que j’ai compris.
    Elle s’est mise à pleurer.
    Je l’ai prise dans mes bras comme on fait d’un naufragé qui revient à la vie, s’il est aidé par un hypocrite au service du bien….
    (Le reste est une affaire qui n’a pas à jouir de publicité)

  49. Tout bien pesé, mon meilleur ami, c’est moi !
    (…il me pardonne tout…)

  50. Tout bien pesé, mon meilleur ennemi, c’est moi aussi !
    (…je n’ai besoin de personne…)

    • Pour ceux qui ont raté ça,il faudra aller à Moscou et à Saint-Petersbourg car la collection est répartie entre ces deux villes.

      https://www.youtube.com/watch?v=fRibmLgq0SM

      A propos de Kupka et d’art abstrait,deux questions:

      1 Pourquoi avoir choisi comme affiche une toile qui fait irrésistiblement penser à Delaunay ? »

      2 Que vaut le regard de « l’abstractionniste » sur l’art abstrait, ou plus généralement la peinture?

      Un ami mathématicien,revenant d’une exposition Picasso,ayant remarqué que dans certaines toiles une ligne bien visible décrit de nombreuses circonvolutions s’extasie et me parle de « winding » number.

      Je ne vais pas regarder du Picasso pour apprendre (ou retrouver) le théorème de Cauchy; André Weil quand il se promenait en montagne voyait des « manifolds » a dit sa fille…

      Et votre héros, Thom, aimait-il la peinture ? Y retrouvait-il seulement ses catastrophes élémentaires ?

    • Il pourra compter sur les juges idéologues-angélistes pour lui éviter une peine de prison dissuasive. Comme Jawad Bendaoud libéré par ces mêmes juges. Ou comme l’assassin de la vieille dame juive qui n’avait fait que 5 mois de prison pour une agression sexuelle sur une fillette de 12 ans.

    • L’article précise:

      « Placé en garde à vue, il a ensuite affirmé être l’auteur de ce meurtre avec préméditation. Ce matin-là, il n’était pas allé en cours. »

      Ses professeurs
      1 n’ont pas su le motiver pour venir en cours.n’ y aurait-il pas eu des propos blessants ou « inappropriés » de la part d’un ou plusieurs de ses professeurs ?

      2 n’ont pas fait le nécessaire lorsque ils ont constaté son absence (il faudra évidemment vérifier si les absences de cette matinée ont été correctement enregistrées dans le cahier d’appel.)

      En tout état de cause,il ne fait aucun doute que le procureur devra interroger les professeurs,qui ont manifestement une part de responsabilité dans ce drame.

  51. Le 7 avril 2018 à 13 h 13 min,
    Flo a dit :

    Jeune gens n’écoutez pas Lormier !

    tout de même, vous n’iriez pas raconter que les bâtons en fibre de carbone, c’est bien ?
    Soyez responsable;on gagne vingt grammes par bâton, mais soumis à des efforts,ils cassent comme du verre;un alliage aluminium titane,c’est ce qui se fait de mieux pour le moment (en attendant qui sait ? de nouveaux progrès de la nanotechnologie.)

    je vous rappelle d’ailleurs que le regretté Ueli Steck avait signé chez leki des bâtons en titane-alu, mais jamais en fibre.

    https://www.climbing.com/news/ueli-steck-found-dead-on-nuptse/

    • Parfait, puisque vous êtes aux études comparatives, je vous suggère de vous prêter au même exercice sur les portraits et autres toiles de l’artiste où des visages féminins apparaissent. Vous constaterez que « le rêve » est le seul proposant cette image subliminale. Ce qui est d’autant plus agaçant, je vous avais fourni l’exemple du géni de Picasso sur son art du détournement. Et que vous n’aviez pas contesté !
      Fermons le ban.

      Bien, devant les réactions (éjaculations précoces ?) que suscitent chez Hervé, mes commentaires en réponses à vos questions portant sur des sujets que son jeune âge lui interdit de lire et qui présentent même, chez ce pauvre gosse, un danger sanitaire, je prends la responsabilité de ne plus répondre à vos questions relatives aux thèmes : Peine-hisse; slip et braguette; sodomie chez la femme , quel avenir pour les culottes à trou Driouennes ? ; influence et réaction : l’ accent de Collin Farrel est-il clitoridien ? ; baraque à frite et pomme de terre : Pavlov et les nouveaux réflexes sexuels ?.
      Il nous faudra à l’avenir, impérativement, un salon privé pour aborder et reprendre ces conversations sereinement. Vous comprendrez que les parties privées que concernent ces carcans alu-titane / carbone rentrent également dans les conversations à présent proscrites sur bdâ.

      • Approchant du virtuel par sa capacité à conserver l’anonymat que réclame les sujets que nous aurions à évoquer, je vous propose le confessionnal de l’église Saint Sulpice. Le lieu présente l’avantage d’être peu fréquenté, il propose également une toile marouflée de Delacroix « le combat de l’ange » qui pourrait vous inspirer cet aboutissement que sont les formulations de vos questions qui vous torturent tant. Après avoir débattu, et comme le suggère l’endroit à l’abris de nos regards respectifs, je me prêterai volontiers à écouter vos turpitudes éventuelles et vous libérer enfin de cette souffrance enfouie, sans jugement ni accusation pour que vous puissiez repartir en paix.

      • « éjaculations précoces  »

        Hervé a prétendu avoir éjaculé pour la première fois à l’âge de sept ans;je pense qu’il exagère mais je ne doute pas qu’il soit un éjaculateur précoce.

  52. Olé ! Quand je vois une belle corrida je salue d’une « olé » sonore la passe et la mise à mort du taurillon ! Comme Picasso, Hemingway, Ava Gardner, Montherlant me voici devenu adepte des jeux d’arène !

  53. Y’a pas à dire, insulter c’est plaisant, et en qualité de misanthrope décidé, je me dois de détester tout le monde ! Mais je précise à Flo et Lormier que je ne pense pas un traître mot de tout ce que j’ai pu dire d’eux hier.

    Flo, j’aurais bcp aimé visiter cette expo Kupka avec des habitués du blog mais en ce moment je suis en Asie, mi-boulot, mi-tourisme (En Chine et au Vietnam depuis un mois déjà, puis Cambodge et Laos en mai) et ne reviens en France qu’au début du mois de juin…donc l’expo Kupka le 19 mai, ce serait sans moi et mon grand corps d’andouille !

    signé: hervé, un misanthrope dynamique et sincère.

    • « En Chine et au Vietnam depuis un mois déjà, puis Cambodge et Laos en mai »

      tout ça avec nos impôts

  54. « Que de mille endroits de la Terre
    Il nous vienne des ennemis,
    J’y consens » …
    Mais qu’Hervé nous abandonne au milieu d’une exposition Kupka !

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