
Quelle mouche tsé-tsé a piqué Jean-Christophe Rufin ? À ses débuts, il a fait feu des quatre plumes, avec L’Abyssin (Goncourt du premier roman en 1997) puis Rouge Brésil (Goncourt tout court, en 2001). Suivirent quelques romans de bonne facture. Son élection à l’Académie, dont il fut le plus jeune membre, en 2008, aurait-elle diminué ses ambitions ? Elle l’a stérilisé. Puisqu’il est au sommet de la hiérarchie littéraire, qu’a-t-il à prouver ? Désormais, il s’amuse — l’année dernière avec D’or et de jungle, pseudo-parodie de Gérard de Villiers très inférieure à son modèle (j’avais eu alors l’occasion d’en dire ce que j’en pensais dans Marianne, à l’époque où je n’étais pas tricard sur cet honorable magazine), et aujourd’hui avec cet Eté avec Alexandre Dumas, pesant pensum dont le seul mérite est d’être court.
Cette collection, « Un été avec… », est une belle initiative qui nous a valu de splendides réussites. Ainsi Un été avec Montaigne (2013), d’Antoine Compagnon (qui récidiva plus tard avec Baudelaire, Pascal et Colette), Un été avec Valéry (2019), de Régis Debray, ou Un été avec Rimbaud, de Sylvain Tesson — entre marcheurs aux semelles de vent, ils s’étaient compris.
Franchement, Dumas ne posait aucun problème — sinon celui d’enfermer en 180 pages un colosse insaisissable, inépuisable et divers. D’autant que Rufin avoue avec franchise qu’il s’est largement inspiré de la biographie de référence, celle de Claude Schopp, et, Académie oblige, sur Les Trois Dumas d’André Maurois.
Mais quand on use de sources de qualité, autant ne pas les trahir.
Par exemple (p. 77), quitte à citer une phrase incisive de Charles Nodier, autant recopier exactement (« Vous serez toujours pareils, vous autres nègres, vous aimez les verroteries et les hochets »), et ne pas être son propre sensitivity reader en corrigeant « nègre » en « noir ». Ce n’est pas la seule marque d’allégeance de Rufin au wokisme en vogue dans les salons qu’il fréquente : évoquant plus loin (p. 146) les amours tumultueuses de Dumas, qui cumula les conquêtes et sema des enfants aux quatre vents, Rufin écrit : « Plus inexcusable encore, surtout à l’époque de #MeToo, Dumas a fréquenté majoritairement des artistes, comédiennes et cantatrices, à qui il pouvait procurer des rôles, profitant ainsi de sa célébrité et de son pouvoir. » L’ombre de Depardieu (qui a interprété Dumas dans un film peu connu mais intéressant de Safy Nebbou, L’Autre Dumas, sorti en 2010), flotte sur le Dumas de Ruffin.
Et alors ? Son père, le fameux général Dumas, arrivant de Saint-Domingue dans les années 1780, passe pour avoir loué sa virilité dans les boudoirs fin de siècle — pour 200 louis la nuit. Et son fils avait la réputation d’avoir hérité la puissante encolure de son père…
Pas de quoi être jaloux.
Dumas, tout quarteron qu’il était, serait-il un sur-mâle blanc colonialiste ? Il n’a même pas eu le courage, dit Rufin, apparemment adepte de l’intersectionnalité des luttes, de s’élever vraiment contre l’esclavage et l’exploitation des Antilles…
Ah oui ? À un importun qui dans un salon dégoisait sur les « nègres », et qui l’apostropha pour le provoquer en duel, Dumas répondit, imperturbable : « C’est vrai, mon père était métis, ma grand-mère était nègre, mon arrière-grand-père était singe ; vous voyez, Monsieur, ma race a commencé là où la vôtre aujourd’hui s’arrête. » Et il a écrit Georges, roman anti-esclavagiste peu connu mais qui n’est pas inintéressant.
Et ce mépris supposé de Dumas pour les « nègres » amène Rufin à écrire : « Dans Le Vicomte de Bragelonne, Zamor, le petit serviteur noir de Mme Du Barry qu’elle s’amuse à nommer gouverneur, est décrit comme un bouffon, avec des comportements presque simiesques. » Rufin aurait pu se relire. Bragelonne se passe 70 ans avant la naissance de la Du Barry, et Rufin a confondu avec Joseph Balsamo. On écrit toujours trop vite.
Passons sur le fait que plusieurs fois, Rufin croit se mettre le lecteur dans la poche en louant le film nauséabond récemment tiré du Comte de Monte-Cristo — j’en ai dit sur Causeur ce que l’on pouvait raisonnablement en penser. « Dix millions de spectateurs », rêve Rufin, qui en souhaite autant à son petit livre. Passons que pour complaire aux boomers qui se sont repus jadis des œuvres de Goscinny et Uderzo, il fasse de D’Artagnan un « Astérix avant l’heure » — quel intérêt ? Mais comment n’a-t-il pas vu que les quatre mousquetaires sont la diffraction du père tant aimé, perdu si tôt — et que c’est ce deuil infini, qui n’est jamais passé, qui a donné à Dumas la force de tant écrire, comme si chaque page était un linceul de plus sur le corps du général Dumas…
Au total, vous ne passeriez pas un bel été avec le fascicule de Rufin. Reprenez Monte-Cristo, reprenez la trilogie des Mousquetaires, et vivez un bel été.
Jean-Christophe Rufin, Un été avec Alexandre Dumas, Les Equateurs / France Inter, 186 p., 14,50 €.
Mais vous pouvez opter pour :
Claude Schopp, Alexandre Dumas, Fayard, 1985, 642 p., 8,10€ sur les sites de soldes
Ou
André Maurois, Les Trois Dumas, Hachette, 1957 — et Robert Laffont / Bouquins, 1993, 1393 p. (vous avez dans le même volume les biographies de Balzac et de Victor Hugo), 19€.
Ou même — pas plus gros que le livre de Rufin, mais puissamment illustré et quelque peu mieux écrit, je le dis sans forfanterie :
Jean-Paul Brighelli (avec Christian Biet et Jean-Luc Rispail), Alexandre Dumas ou les aventures d’un romancier, Gallimard / Découvertes, 1991, 4,79€ chez votre soldeur favori.

» quitte à citer une phrase incisive de Charles Nodier, autant recopier exactement »
Mal citer un auteur, c’est ajouter au malheur de ce monde.
Ardisson est mort le 14 juillet.
Jean-Pierre Azéma aussi.
Nos médias panégyrisent Ardisson à qui mieux mieux.
Pas un mot ou presque sur JP Azéma.
Vive la France.
La mari de Sabine est mort?
« son fils avait la réputation d’avoir hérité la puissante encolure de son père… »
Encolure,encolure…comment s’appelle cette figure de style ?
On a surnommé Blanquer « Tête de Noeud »;est-ce une métonymie ?
Métonymie? Hypallage? Synecdoque? Tout ça, cher ami, c’est du technolecte qui va inutilement encombrer votre Estafette.
Et d’ailleurs, j’oubliais : vous n’avez pas d’Estafette.
Vous pouvez donc sereinement retourner à votre lecture de l’intégrale des discours de Pierre Poujade.
« On a surnommé Blanquer « Tête de Noeud »;est-ce une métonymie ? »
Non, c’est la réalité.
« Quelle mouche tsé-tsé a piqué Jean-Christophe Rufin ? »
Le Maestro prend une expression courante (quelle mouche l’a piqué ?) et par l’ajout d’un mot -tsé-tsé- en subvertit totalement le sens.
Comment se nomme ce procédé rhétorique,ce torpillage ?
L’idée: Rufin-personnage qui jadis fit preuve de talent- a sombré dans une torpeur.
La glossine est porteuse d’un parasite ,le Trypanosoma brucei -cause de la maladie
du sommeil.
https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/maladie-du-sommeil-0
Lormier :
« L’idée: Rufin-personnage qui jadis fit preuve de talent- a sombré dans une torpeur. »
Grand merci pour cette reformulation bienvenue, qui nous a permis de comprendre ce qui était a priori hors de notre portée en première instance. Grâce à vous, tout devient clair !
Lormier, traducteur officiel de Brighelli…
Vous n’aviez pas besoin de cette « traduction »…Mais que pouvez-vous nous dire sur la subsversion de l’expression « quelle mouche l’a piqué ? »
NB Il me semble que ce n’est pas la première fois que le Maestro-esprit subversif-fait le coup.
Avez-vous répertorier les au-khu-rances ?
répertorié
« Trypanosomes dermiques extravasculaires…
Parasite flagellé… » etc.
« Ce technolecte abscons est totalement contraire aux exigences légitimes du bon sens populaire. »
Pcc: Pierre Poujade.
Son père, le fameux général Dumas, arrivant de Saint-Domingue dans les années 1780, passe pour avoir loué sa virilité dans les boudoirs fin de siècle — pour 200 louis la nuit.
a) « virilité » subsitution du mot abstrait à celui concret (bite) ;comment s’applle cette figure de rhétorique ?
b) « passe pour » Une légende ? Des sources ? A Paris, au début,il disposait de bonnes ressources. C’est quand il se brouilla avec son père qu’elles disparurent.
Lormier:
« virilité » subsitution du mot abstrait à celui concret (bite) ; comment s’applle cette figure de rhétorique ?
Métonymie? Hypallage? Synecdoque? Tout ça, cher ami, c’est du technolecte qui va inutilement encombrer votre Estafette.
Et d’ailleurs, j’oubliais : vous n’avez pas d’Estafette.
Bon, allez, je serai bon prince, j’arrête là mes persiflages. Il arrive un moment où tirer sur une ambulance n’est même plus drôle.
Merci pour votre indulgence.
Josip Gavrilovic 17 juillet 2025 à 0h05
Ardisson est mort le 14 juillet.
Jean-Pierre Azéma aussi.
Nos médias panégyrisent Ardisson à qui mieux mieux.
Pas un mot ou presque sur JP Azéma.
Vive la France.
La France, la France que le redresseur de torts voudrait tellement redresser;
« Rufin-personnage qui jadis fit preuve de talent- a sombré dans une torpeur. »
Il n’avait pas l’intention d’écrire sur Dumas. C’est une idée de sa compagne.
Sa femme a choisi Dumas.
D’où la torpeur.
Oui…
Josip Gavrilovic 17 juillet 2025 à 10h16
« Trypanosomes dermiques extravasculaires…
Parasite flagellé… » etc.
« Ce technolecte abscons est totalement contraire aux exigences légitimes du bon sens populaire. »
JG ne comprend pas la différence entre science et baratin.
« Les exigences légitimes du bon sens populaire. » », je leur chie dans la raie et pas au format tube de dentifrice…
J’avoue ne faire aucune différence entre technolecte et technolecte.
Lormier :
Mais que pouvez-vous nous dire sur la subsversion de l’expression « quelle mouche l’a piqué ? »
Mon naturel instructionniste revenant au galop, voici ce que je peux en dire :
– a priori, je ne vois pas d’étiquette existante pour cette subversion. Peut-être existe-t-elle, mais il faudra alors faire appel à plus cuistre – ou plus savant – que moi.
– Brassens était friand de ces subversion. Trois me viennent à l’esprit : « la face cachée de la lune de miel », « la loi de la pesanteur est dure mais c’est la loi », » à aucun prix je ne veux effeuiller dans le pot au feu la marguerite »,et je suis certain qu’il y en bien d’autres.
Pour ma part si je devais donner un nom à cette figure, je parlerais d’ « expression-valise ».
Sans garantie.
Brassens était friand de ces subversionS, au pluriel.
Dans un mot-valise,en général les deux termes ne s’opposent pas.
« Quelle mouche tsé-tsé l’ a piqué. » L’expression ordinaire est torpillée par le Maestro: au lieu de colère,une somnolence-engendrant ce livre faible.
Dugong 17 juillet 2025 à 11h15
je leur chie dans la raie et pas au format tube de dentifrice…
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Pour un séjour de courte durée, on peut être tenté-afin de réduire le poids et l’encombrement des bagages- de remplir un petit tube de dentifrice,plutôt que d’emporter le tube vendu dans le commerce.
Surtout n’achetez pas ce truc ,qui est une merde:
https://www.humangear.com/shop/p/gotoob
a) le bouchon peut se désolidariser du tube, et alors vous aurez plein de dentifrice dans votre trousse de toilette
b) vous ne parviendrez jamais à récupérer le reliquat de dentifrice réfugié dans les plis du tube
Donc, conseil; arrangez vous pour garder un tube à moitié (voire au x2/3, 3/4 ) vide. C’est celui-là que vous emporterez en voyage.
Sa femme a choisi Dumas.
D’où la torpeur.
Sa femme a choisi ma PEUR.
D’où la torDUE
Consternant.
» Par exemple (p. 77), quitte à citer une phrase incisive de Charles Nodier, autant recopier exactement (« Vous serez toujours pareils, vous autres nègres, vous aimez les verroteries et les hochets »), et ne pas être son propre sensitivity reader en corrigeant « nègre » en « noir ».
AUX USA on trouvait « negro » employé dans des articles sérieux.
Extrait d’article de 1922, The Atlantic
Liberia and Negro Rule
By Evans Lewin
September 1922 Issue
The recent arrangement with the Negro Republic of Liberia, whereby America will undertake certain administrative duties and will grant a loan for the development of that rich and backward portion of the coast of Guinea, has introduced a new and startling feature into the administration of Tropical Africa—new in the sense that America is strengthening the somewhat nebulous relations she has long maintained with that portion of Western Africa, and startling because, for the first time, she is seriously undertaking administrative responsibilities in a continent from which, except for the previous agreement with Liberia in 1911, she has studiously held aloof.
https://www.theatlantic.com/magazine/archive/1922/09/liberia-and-negro-rule/376221/
« Negro » n’est considéré comme injurieux que depuis fort peu de temps; (l’injure, c’est « nigger »).
Alors que « nègre »…
Rappel :
« nigger, nigger » in « New-York, New-York »…
by The Last Poets (1970) –
https://www.youtube.com/watch?v=De_N7Yaz2pE
(et « Niggers are scared of revolution »)
La bite du père…
Son père, le fameux général Dumas, arrivant de Saint-Domingue dans les années 1780, passe pour avoir loué sa virilité dans les boudoirs fin de siècle — pour 200 louis la nuit. Et son fils avait la réputation d’avoir hérité la puissante encolure de son père…
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Confirmation ? Je n’en ai pas encore trouvé…suelemnt ça:
L’illustre guerrier, si l’on en croit son fils, était fort bel homme.
Voulant nous en donner une preuve irréfragable, Alexandre Dumas certifie, dans ses Mémoires, que le mollet du héros, le jour où il épousa sa mère, était juste de la grosseur de la taille de celle-ci, — détail authentique et singulier que l’histoire ne s’attendait guère à enregistrer dans ses annales.
https://fr.wikisource.org/wiki/Alexandre_Dumas_(Mirecourt)
« la puissante encolure »
Quand le mollet est dur, il est temps de tirer sa crampe
Sa femme a choisi Dumas.
Sa femme a Moisi du CHai.
CHat
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/arretons-avec-la-republique-des-copains-pierre-moscovici-defend-l-arrivee-de-najat-vallaud-belkacem-a-la-cour-des-comptes-20250717
Najat, lauréate d’un concours ?
Ca s’appelait nomination au « tour extérieur »;ça s’appelle,je crois, aujourd’hui, nomination « hors tour ».
Ce type de nomination existait dans les textes, avant Mitterrand, mais Mitterrand en a beaucoup usé.
Oui, il y a sûrement des dossiers,des commissions etc; pour faire beau…mais cela n’a rien à voir avec un concours (épreuves écrites anonymes, jury etc.).
La Cour des Comptes c’est assez technique; Najat Vallaud Belkacem n’ a aucune compétence pour ce poste. Elle fera tapisserie.
Avant elle il y eut Agnès Buzyn (dont on se demande vraiment pourquoi elle n’est pas retournée dans son service;)
« mais cela n’a rien à voir avec un concours »
Même pas les p’tits concours ?
(que vous évoquiez avec JG)
Sa femme a choisi Dumas.
Sa femme a Moisi du CHat. ???
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Même pas les p’tits concours ?
(que vous évoquiez avec JG)
Quel rapport ?
Bon les concours passés par JG, je lui ai déjà dit que je n’en avais rien à cirer.
D’accord,il a eu un parcours universitaire brillant;il était prêt à m’envoyer son CV.
Il a fait Saint Cloud,il a intégré dans une meilleur rang que le Maestro,il a soutenu une thèse en Théorie des Opérations Enonciatives avec Culioli, il est correspondant de l’Académie royale du Liechtenstein mais qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ?
Ca ne change rien au fait qu’il écrit parfois des âneries.
Et il fait sa chochotte:il m’enverra son CV si je le demande (j’en veux pas) mais il refuse de le divulguer sur Bdâ.
« la République des copines et des coquinEs» – Rappel
LCP, Assemblée Nationale (2021) :
« En 2015, Najat Vallaud-Belkacem a été la victime du sexisme de Jean-Paul Brighelli…
ce dernier voit dans le soutien-gorge de la ministre un « écran de fumée pour faire oublier la faiblesse de ses propos sur l’éducation ».
Il se trouve que Mr Brighelli avait en fait confondu un débardeur en dentelles à une bretelle de soutien-gorge ! »
😁
Dugong 17 juillet 2025 à 11h15
je leur chie dans la raie et pas au format tube de dentifrice…
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L’ouverture des tubes de dentifrice est-elle définie par une norme (diamètre imposé ?)
Jadis il y avait des tubes de Kerrling (oeufs de cabillaud); le tube était rose;l’orifice n’était pas strictement circulaire, plutôt denté, de sorte que la substance sortait en ruban strié.
Apparemment le Kerrling existe toujours, mais les tubes sont bleu; A-t-il le même goût ?
https://www.mapetiteepicerie.es/NORDLAND-Tarama-Premium-Kerrling-p-3826-c-62_181.html
Jadis, le Kerrling ét
LIBERTÉ CHÉRIE…
La volonté de Messire Brighelli, concernant son blog prestigieux, est claire : ouvrir un espace de Liberté à des amoureux de la littérature, aux curieux, aux férus d’un partage paisible, aux rôdeurs courtois, mais aussi aux abrutis numériques de tout poil dans mon genre.
Des tarés en profitent, et se déchaînent sans autre raison que tartiner les murs de la cathédrale d’un vomi narcissique, fruit de leur handicap mental sévère.
Conséquence du choix : donner la liberté totale se paie.
Roquet n’exhibe plus les pieds de sa morue. Panaris ? Mycoses diverses ? Fuite chez maman pour éviter les coups ? Refus des bandelettes de contention,…
« Ardisson est mort le 14 juillet.
Jean-Pierre Azéma aussi. » (L’Oustachiant)
Pas con cette remarque, ça fait une moyenne.
Même la BBC en parle !
https://www.bbc.co.uk/sounds/play/m002g2mb
😉 !
Les mesures anti-motards sont populaires chez les mimiles dont le destin est de se retrouver bloqués dans des embouteillages et de voir les bavaroises les doubler sans vergogne.
https://www.lefigaro.fr/automobile/le-point-a-temps-ces-renovations-routieres-qui-mettent-en-danger-les-motards-20250718
Ne parlons même pas des gilets jaunes qui remplissent leur réservoir jusqu’à la gueule, déversant leur gazole sur le prochain rond-point.
Les cons ! Heureusement, je suis averti de ces déviances. Qu’ils s’endettent en achetant une 4L électrique hors de prix.
Ah tiens…Il y revient…
Ça doit vraiment le travailler sévèrement :
1. Contradictions :
Lormier
17 juillet
23:12
« Bon les concours passés par JG, je lui ai déjà dit que je n’en avais rien à cirer.
Oui mais…Le 12 juillet à 14:10, Lormier écrivait ceci, évoquant les khagneux recalés au concours d’entrée à l’ENS : « Ruminant, ruminant, s’aigrissant et s’aigrissant, n’ayant jamais admis que d’autres aient pu être meilleurs, ils refusent par exemple d’appeler Maestro quelqu’un qui les dépasse. » Cette dernière phrase visait quelqu’un en particulier. Mais qui donc était visé?
2. « D’accord,il a eu un parcours universitaire brillant »
Peut-etre bien que non…mais peut-être bien que oui…
3. « il était prêt à m’envoyer son CV. »
Oui, mais pour la seule et unique raison que Lormier s’était laissé aller – et sans couche-culotte – à des sous-entendus minables sur le parcours académique de JG (voir plus haut)
4. » Il a fait Saint Cloud, il a intégré dans une meilleur rang que le Maestro »
4.1. Peut-être bien que non…mais peut-être bien que oui…Peut-être une autre ENS…Peut-être une autre Grande École…
Et pour le rang d’admission, allez savoir…Quelqu’un connaît-il le rang d’admission de Brighelli ? Pas moi…
4.2. Surtout : qui peut être assez stupide, à part Lormier et WTH, pour imaginer que votre serviteur veuille entrer en compétition avec JPB ? Conflit idéologique, ça oui, et sévère. Mais compétition ? Pourquoi ? Pour quoi faire ? Absurde.
5. « il a soutenu une thèse en Théorie des Opérations Enonciatives avec Culioli »
Sur ce point j’accepte de lever un coin du voile : non, pas de thèse. JG est trop flemmard, trop papillonneur, trop dispersé, pour se concentrer sur une thèse qu’au demeurant personne ou presque ne lirait…Ma capacité à l’effort de recherche se serait-elle alors arrêtée au DEA ? Peut-être bien que non…Et peut-être bien que oui…Allez savoir…
6. « Il est correspondant de l’Académie royale du Liechtenstein »
Ni du Liechtenstein, ni des Îles Féroé, ni de San Marin.
Je lève un autre coin du voile : je n’ai pas trainé mes guêtres au Quai d’Orsay.
7. « Et il fait sa chochotte:il m’enverra son CV si je le demande (j’en veux pas) mais il refuse de le divulguer sur Bdâ. »
Comme déjà dit, je n’ai fait cette proposition qu’à une personne, pour la détromper quant aux sous-entendus minables que cette personne (Lormier) avait cru bon d’émettre.
Pour le reste, je ne suis pas un maréchal russe de l’époque soviétique arborant 15 rangées de décorations sur la poitrine. Donc, non, rien sur BdA, ou si peu.
Le serbique n’a donc jamais tenté de vendre une formation culiolisante à la Coop ?
Dans la vente, la loi de l’offre et de la demande règne en maître.
Pour la linguistique culiolienne, force est de constater que la demande est faible.
Et dans mon CV, pas de BTS « Force de Vente » ni de formation en Sup de CO…
Pourquoi ces échanges aigre-doux entre Lormier et votre serviteur ?
Rappel des faits, qui sont aussi têtus que JG :
Lormier
12 juillet 14h10
« Il y a un paquet de khâgneux n’ayant pas intégré qui ruminent cet échec leur vie durant.
Il s ‘étonnent qu’un tel (une telle) qui avait pourtant de moins bonnes notes aux petits concours ait intégré.
(…)
Ruminant, ruminant, s’aigrissant et s’aigrissant, n’ayant jamais admis que d’autres aient pu être meilleurs, ils refusent par exemple d’appeler Maestro quelqu’un qui les dépasse. »
Lormier est ici doublement faux-cul :
– sa dernière phrase, son « par exemple », vise évidemment JG, mais de façon mesquine, oblique, « vicarieuse ». Il aurait pu dire clairement ceci : « j’émets l’hypothèse que JG est un ancien étudiant de khâgne qui n’a pas réussi à intégrer l’ENS, et qui par jalousie et rancœur cherche à entrer en concurrence avec quelqu’un qui le dépasse tout en refusant de se reconnaître dépassé ». Mais Lormier préfère le sous-entendu minable.
– ensuite, sa mesquinerie ayant été dévoilée, et en outre ayant décliné la proposition de juger sur pièces que le parcours académique de JG n’avait rien qui puisse rendre JG aigri ou jaloux de qui ou de quoi que ce soit (to say the least), Lormier se récrie : « Je me fous complètement du CV de JG ». (Lormier 15 juillet 8h39 : « Lormier ne juge personne; Lormier se fout complètement de votre CV. »)
Doublement faux-cul.
Reste la question qui se pose comme une improbable équation à résoudre : un double faux-cul équivaut-il à un vrai « asshole » ?
Âneries de ma part ? J’ai déjà répondu ci-dessous. Je suis éventuellement en attente d’une contre-ŕéponse tenant compte des éléments que j’avance…Chiche ?
Lormier
17 juillet 2025 à 2h23
Le croassant infertile fait comme si il n’était pas l’auteur de cette ânerie:
Josip Gavrilovic 10 juillet 2025 à 18h08
« Non, pas d’accord. Ce qui se passe dans les salons parisiens, ce qui se passe chez Mme Verdurin ou chez la Duchesse de Guermantes, ce n’est pas la matière de cette œuvre. »
Ma réponse :
Loin de « faire comme si », je revendique au contraire sans honte être l’auteur de cette affirmation.
Je l’ai d’ailleurs reformulée ici même plus haut :
« A mes yeux la matière première de La Recherche est le projet proustien de transformer en Littérature (notamment par l’usage constant de la métaphore, seule capable de « donner une sorte d’éternité au style « , selon les mots de Proust lui-même) les diverses sensations éprouvées par son narrateur, sensations pouvant procurer l’impression d’échapper au Temps. »
Dans la cathédrale de l’œuvre proustienne, la matière première que je définis ci-dessus constitue l’ensemble Nef + Transept.
Ce qui se passe chez les Verdurin ou chez la duchesse de Guermantes, c’est la matière des chapelles latérales de la cathédrale.
Comparaison peut-être éclairante pour ceux qui se complaisent dans l’obscurité arrogante : quand JS Bach a composé L’offrande Musicale, le thème n’était pas de lui, mais du roi Frédéric de Prusse. Sur ce thème, Bach a élaboré une monumentale Fugue à 6 voix.
La matière de l’Offrande Musicale, c’est le tour de force de la complexité et de la beauté des 6 voix qui s’entremêlent dans cette Fugue, et qui constituent l’ensemble Nef + Transept de la cathédrale Musicale bâtie par JSB.
Le thème déclencheur, imposé par Frédéric II, n’en est qu’une chapelle latérale.
Quand une bombe nucléaire explose, ce n’est pas le détonateur qui irradie, ni qui provoque le souffle d’une puissance inouïe. C’est « autre chose ». (Pour des explications plus techniques liées à cet exemple, voir Dugong)
Il apparaît de plus en plus clairement que Lormier fait partie de ces équidés déshydratés non-conscients de leur déshydratation, et qui en conséquence freinent des quatre fers quand on veut les conduire à la rivière. Il finira intellectuellement asséché.
Il y a aussi l’ensemble vide, l’ensemble nef + transept + consept
Oui…mais encore ?
Et c’est Proust qui a commencé ! Voir ci-dessous…
« Et dans ces grands livres-là, il y a des parties qui n’ont eu le temps que d’être esquissées, et qui ne seront sans doute jamais finies, à cause de l’ampleur même du plan de l’architecte. Combien de grandes cathédrales restent inachevées ! »
La Sagrada Familia l’a bien été, elle !
La Recherche de Proust est achevée, sans l’être, tout en l’étant.
Proust aurait pu, s’il en avait eu le loisir, donner encore plus d’ampleur à son œuvre, en insérant dans l’existant tel ou tel ajout.
La Recherche aurait pu augmenter de volume, mais par insertions possibles, et non par extension.
Néanmoins, quand Proust a un beau jour dit à sa gouvernante C. Albaret : « Céleste, j’ai fini… », c’était bien parce qu’à ses yeux, « l’essentiel du dossier était clos, bouclé »…et la cathédrale était achevée, même si il y aurait moyen d’y insérer ultérieurement quelque vitraux supplémentaires.
La plus grande cathédrale artistique inachevée à laquelle je puisse penser, c’est L’Art de la Fugue de JS Bach, où le contrepoint 14 qui porte la signature du compositeur (B-A-C-H , si bémol, la, do, si bécarre) s’arrête brutalement, géniale musique en suspension, Bach n’ayant pas eu le temps, lui, de mener l’entreprise à son terme.
D’aucuns diront que j’ai encore pontifié.
Que nenni : j’ai simplement été instructionniste.
Pour revenir- par un côté- au sujet du message.
Dumas âgé eut pour maîtresse une actrice américaine Adah Isaacs Menken, peut être plus courtisane qu’actrice. Celle-ci est morte jeune en 1868 ( elle était peut être toujours la maîtresse de Dumas à ce moment).
Il y a plusieurs photos d’elle plus ou moins dénudée ou comme ici montrant ses jambes.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Adah_Isaacs_Menken#/media/Fichier%3AAdah-Mencken2.jpg
Dumas fit interdire la publication de photos où on voyait Adah assise sur genoux.
La Recherche de Proust est achevée, sans l’être, tout en l’étant.
Je pense que si Proust avait vécu, il aurait modifié la fin, au moins. On sait que le dernier chapitre avait été écrit au commencement du travail de Proust. Mais en lisant ce chapitre, on est surpris car entre temps, Proust a énormément gagné en subtilité et complexité, les personnages ont gagné en épaisseur. Le dernier chapitre écrit dans les débuts du travail d’écriture de la Recherche, donc de nombreuses années avant le relatif achèvement de la Recherche, n’est , pour moi, plus » raccord » avec ce que l’oeuvre est devenue.
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz = JG = la scie –
Lassie, chien fidèle à ses obsessions, hors domaine Santé, domaine qui relève lui du Dr. Lormier.
A ce sujet, sans aller jusqu’aux « bandelettes de contention » (cf plus haut Dugong),
old Trumpy gonflant quelque peu de la jambe,
se devra d’utiliser la chaussette de contention in Air Force One.
Pas de visite prévue pour lui à Westminster Abbey –
rencontre avec king Charles III et toute la tribu au mois de septembre.
Westminster Abbey : « fin des travaux », XVIe siècle.
Pas comme la Sagrade Familia, qui elle est restée inachevée ».
Après lecture de l’excellent (très original) polar du Barcelonais Aro Sáinz de la Maza « Le Bourreau de Gaudí », ai dans l’idée de revenir à Barcelone – au moins de janvier, peut-être.
Encore un, son commissaire Milo Malart, qui pleure sur sa ville ;
un peu comme le commissaire parmesan Soneri de Valerio Varesi,
mais dans un style bien différent.
Ces romans ont plus d’une bonne dizaine d’années, quand la bien triste évolution des choses s’est accélérée à grande vitesse…
Ah, oui ? Je trouve son commentaire sur cet essentiel atteint intéressant.
« L’essentiel atteint » ? Y’en a un que même le basique lui échappe :
« Intervilles : Fabien Roussel fait perdre son équipe après une erreur de calcul mental » (lefigaro)
https://i.f1g.fr/media/cms/704x396_cropupscale/2025/07/18/304cc35e24f863d6cb55ca7b2c41cba74b0618d7cb5112fa0c1bd8bb21795b6a.png
WTH
Westminster Abbey : « fin des travaux », XVIe siècle.
Pas comme la Sagrade Familia, qui elle est restée inachevée ».
Mais pas fin des inhumations.
Sauf erreur , la dernière personne inhumée est Stephen Hawking (2018)
les scientifiques du blog pourront expliquer ce que signifie l’équation gravée sur sa tombe qu’on peut voir ici (environ 10 ème photo)
https://www.westminster-abbey.org/history/explore-our-history/the-nations-memory
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vaporation_des_trous_noirs
Hawkins, c’est pas Einstein !
« ce que signifie l’équation »
Je n’aime pas l’usage généralisé qu’on fait du mot « équation » alors qu’il s’agit d’une relation entre grandeurs.
Une relation devient une équation dans un contexte où certaine(s) grandeur(s) sont connues et d’autres non
WTH
18 juillet 2025 à 12h16
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz = JG = la scie –
Voyez-vous, WTH, contrairement à ce que vous pensez et dites, je n’ai rien d’un boxeur poids lourd recherchant le KO.
Je suis au contraire généralement très patient, indulgent et bienveillant envers mes congénères.
Mais vraiment, c’est plus fort que moi, il y a deux choses dont je ne parviens pas à m’accommoder : le faux-cul-isme et la mesquinerie.
Or, dans cette (minuscule) affaire, Lormier s’est avéré mesquin et faux-cul.
That’s why.
Et à part ça, les échanges que ECHO et moi-même avons au sujet de Proust, ça vous endort aussi ?
ECHO 18 juillet 2025 à 13h59
Sauf erreur , la dernière personne inhumée est Stephen Hawking (2018)
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T stands for temperature, the h stands for Planck’s constant, used to understand parts of quantum mechanics.
The c stands for the speed of light – made famous by Einstein’s great formula.
Then you’ve got 8 Pi, which helps us to understand that it’s spherical.
The G is Newton’s constant to understand gravity.
The M stands for the mass of the black hole.
And the k stands for Boltzmann’s constant, which is the energy of gas particles.
So in words, the equation simply says – the bigger the mass of the black hole, the lower the temperature of the Hawking radiation.
https://www.cambridge-news.co.uk/news/cambridge-news/stephen-hawking-equation-gravestone-westminster-14788881
Ils l’ont enterré avec son fauteuil ?
Non.
Zauraient dû
Oui mais:
» Un trou noir extrémal n’émet pas de rayonnement de Hawking[22]. Mais un trou noir de Kerr non-extrémal en émet[23]. L’émission du rayonnement de Hawking requiert la présence d’un horizon des événements[2],[24]. Ainsi, une étoile à neutrons n’émet pas de rayonnement de Hawking[2], »
( wiki , art. Évaporation des trous noirs)
(pour faire croire que j’ai suivi alors que je suis largué dans l’espace- temps).
Il y a de pires endroits où être largué…
Ça fait vachement plus savant en anglais (cf le lien de dugong).
Si j’ai le temps, je le cherche en coréen, turc ou mandarin.
Quel cuistre …
Josip Gavrilovic 18 juillet 2025 à 14h52
Voyez-vous, WTH, contrairement à ce que vous pensez et dites, je n’ai rien d’un boxeur poids lourd
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Quand vous avez décidé de faire dans la connerie, là vous êtes un poids lourd.
Rappel: Josip Gavrilovic,avec ses conneries, a bien failli nous foutre dans la merde.
Jean-Paul Brighelli 10 juillet 2025 à 17h01
Franchement, la mise en parallèle d’extraits de Proust et de ma pauvre prose est navrante — pour moi. Envie soudaine de ne plus rien écrire, sinon par auto-dérision.
Rappels :
1. J’ai procédé à un rapprochement. Un rapprochement n’est ni une mise en parallèle ni une comparaison. Exemple : je peux rapprocher le personnage de John Merrick (Elephant Man, de David Lynch) du personnage de Cyrano de Bergerac, en tant que représentatifs de la laideur physique et de la beauté intérieure. Ce rapprochement n’est pas une mise en parallèle et encore moins une comparaison.
Je ne vois aucune raison de considérer un rapprochement légitime (« À temps perdu — et je n’ai plus le temps de le perdre » : cet incipit brighellien avait de quoi faire clignoter un signal d’alerte chez n’importe quel connaisseur de Proust) comme une sottise. Sauf à être de mauvaise foi.
2. Brighelli ayant un rapport compulsif à l’écriture, on peut tenir pour relativement lointaine la perspective de le voir renoncer à produire des textes. Il vous en apportera certainement la preuve très prochainement. C’est un certain Racine qui vous le dit :
« Son retour va bientôt dissiper vos alarmes. »
N’empêche que vous faites chier. Vraiment.
On a déjà eu droit à des interruptions à cause que quelqu’un l’avait agacé.
V’là aut’ chose: une Chambre Régionale du Conseil de l’Ordre des Médecins s’associe à un groupuscule complotiste et condamne un médecin.
« Harcèlement ordonné : quand l’Ordre des médecins devient l’arme des complotistes
TRIBUNE. Le Dr Damien Barraud est harcelé auprès de l’Ordre des médecins par des membres d’un groupuscule complotiste et antivax. Contre toute attente, l’Ordre s’associe à ce harcèlement. »
https://www.lepoint.fr/sante/harcelement-ordonne-quand-l-ordre-des-medecins-devient-l-arme-des-complotistes-18-07-2025-2594632_40.php#11
Teigneux, ces complotistes !
(Survolant la liste des « signataires », aperçu les noms de mâme Buzin, et de Rudy Reichstadt, de Conspiracy Watch – 😁)
Chute des graves (suite)
https://www.lefigaro.fr/sciences/le-celebre-parachutiste-de-l-extreme-felix-baumgartner-est-mort-lors-d-un-vol-de-parapente-20250717
Piscine vide, méfie !
Dans l’article sur Westminster cite plus haut, cette indication sur l’inhumation de Chsrles Darwin :
» A few feet away from Newton, just beyond the memorial stones to Michael Faraday and James Clerk Maxwell, is the grave of Charles Darwin, whose funeral was held in the Abbey on 26th April 1882. The Dean of Westminster, George Granville Bradley, was away in France when he received a telegram forwarded from the President of the Royal Society in London saying ‘…it would be acceptable to a very large number of our fellow-countrymen of all classes and opinions that our illustrious countryman, Mr Darwin, should be buried in Westminster Abbey’. The Dean recalled ‘I did not hesitate as to my answer and telegraphed direct…that my assent would be cheerfully given’. «
L’évêque de Carlisle:
Although Darwin was an agnostic, the Bishop of Carlisle, Harvey Goodwin, preached in the Abbey on the Sunday following the funeral:
Harvey Goodwin
I think that the interment of the remains of Mr Darwin in Westminster Abbey is in accordance with the judgment of the wisest of his countrymen…It would have been unfortunate if anything had occurred to give weight and currency to the foolish notion which some have diligently propagated, but for which Mr Darwin was not responsible, that there is a necessary conflict between a knowledge of Nature and a belief in God…
(même article)
Quelles formulations victoriennes.
» It would have been unfortunate if anything had occurred… »
Mais sympathiques en fait, et d’un bon sens louable.
WTH 18 juillet 2025 à 18h31
(Survolant la liste des « signataires », aperçu les noms de mâme Buzin, et de Rudy Reichstadt, de Conspiracy Watch – 😁)
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Parmi les signataires,il y a aussi l’ignoble Mathias Wargon, chef des urgences à Saint Denis;l’équipe qui est sous ses ordres a une singulière conception du soin.
Elle a appelé la police et fait expulser du service une jeune femme, manifestement très malade, qui est décédée quelques heures plus tard.
https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-la-famille-danissa-decedee-apres-avoir-ete-renvoyee-des-urgences-reclame-la-verite-06-03-2024-2RX37LM7NRFHPFMVNYO2SQ2LTY.php
Dugong 18 juillet 2025 à 18h36
« ce que signifie l’équation »
Je n’aime pas l’usage généralisé qu’on fait du mot « équation » alors qu’il s’agit d’une relation entre grandeurs.
Une relation devient une équation dans un contexte où certaine(s) grandeur(s) sont connues et d’autres non
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« équation de Hawking »:est-ce impropre ? (D’après ce que vous dites, il s’agit bien d’une équation, non ?)
S’il n’y a pas de belle grandeur inconnue que l’on veut déterminer, ce n’est pas une équation.
Rien n’est trop beau dès qu’il s’agit de grandeurs.
Oui…
Il y a pire qu’une fausse équation (ne pas confondre équation fausse), il y a les formules (de petites formes, quoi !)
J’entends déjà IAL qui va gratter dans le cnrtl avec ses gros doigts griffus…
Josip Gavrilovic 18 juillet 2025 à 18h40
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« …cet incipit brighellien avait de quoi faire clignoter un signal d’alerte chez n’importe quel connaisseur de Proust)
Un « connaisseur de Proust » n »est pas censé faire un contresens gros comme une maison sur l’expression « temps perdu ».
« temps perdu »
Oui…
Père tendu.
( paire tendue, c’est mieux)
Je veux bien être pendu si la formulation brighellienne « A temps perdu – et je n’ai plus le temps de le perdre – » n’est pas une référence inconsciente à Proust.
Vous me parlez de contresens, je vous parle de manifestation de l’inconscient. Vous voyez bien que nous ne parlons pas tout à fait de la même chose.
L’inconscient peut-il conduire à des contresens ? Ça, c’est encore une autre question.
Le contresens, c’est vous qui le faites.
« Je veux bien être pendu si la formulation brighellienne « A temps perdu – et je n’ai plus le temps de le perdre – » n’est pas une référence inconsciente à Proust. »
Vous ne répondez pas du tout à cette remarque. Elle est pourtant au centre de notre controverse.
Dugong 18 juillet 2025 à 18h28
Zauraient dû
Ecrivez au Roi;ça peut se corriger.
Rien n’est trop beau dès qu’il s’agit de grandeurs.
Rien n’est trop GRos dès qu’il s’agit de Bandeurs.
Lormier 17 juillet 2025 à 10h04
« Quelle mouche tsé-tsé a piqué Jean-Christophe Rufin ? »
L’expression de base est assez courante bien qu’un peu désuète. Le Maestro a peut-être simplement voulu évoquer les aventures africaines de Ruffin, et le fait qu’il se soit endormi sur ses lauriers académiques.
Je n’avais pas pensé à l’allusion possible au passé africain de Ruffin.
Quand une mouche vous pique, cela vous énerve, vous pousse à l’action; si c’est une mouche tsé-tsé, au contraire, vous dormez.
Lormier
Parmi les signataires,il y a aussi l’ignoble Mathias Wargon, chef des urgences à Saint Denis;l’équipe qui est sous ses ordres a une singulière conception du soin.
Elle a appelé la police et fait expulser du service une jeune femme, manifestement très malade, qui est décédée quelques heures plus tard.
https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-la-famille-danissa-decedee-apres-avoir-ete-renvoyee-des-urgences-reclame-la-verite-06-03-2024-2RX37LM7NRFHPFMVNYO2SQ2LTY.php
Ah les urgences de Delafontaine! Ceux qui disent que l’AME ou l’immigration ne coûtent rien au budget des français devraient y faire plus souvent un tour, ça ressemble au four des Francs-Moisins ou à ceux de Saint-Ouen.
Et dire que Wargon se présente comme un spécialiste de « l’efficience » hospitalière et qu’il a plein d’idées sur le gestion des ressources humines pour faire mieux avec moins, et plus « efficient ».
Si ce que rapporte le Parisien est exact il s’agit d’une très grosse bourde. Parce que quand on s’appelle Karamoko on est pas originaire d’Aubervilliers, mais plutôt de Côte d’Ivoire ou de Guinée…Là où de 10 à 25% de la population peut-être porteur d’un syndrôme drépanocytaire majeur, la plupart du temps sans le savoir.
Et donc quand une Karamoko se pointe aux urgences avec des douleurs thoraciques, surtout en étant déjà passé deux fois par la case hôpital en 24 heures on doit prendre ça très au sérieux. Ce peut-être mille choses, de la pneumonie aux troubles cardiaques en passant par la grippe ou la surdose de cocaïne, mais la première chose à laquelle on doit absolument penser car c’est gravissime c’est le syndrome thoracique aigüe (STA) des drépanocytaires, c’est écrit dans tous les bons manuels de l’urgentiste au chapitre « Conduite à tenir devant une douleur thoracique aigüe chez l’africain », on y trouve même la liste des « do and dont », et celles des examens à réaliser en urgence.
Bon, j’admets qu’un 29 décembre à Delafontaine ça devait être un gigantesque enfer et qu’au milieu de ce maelstrom de bruit et de fureur le personnel, malgré « l’efficience » préconisée par Wargon a peut-être été un peu débordé…
Un p’tit vax en passant, ni vu ni connu ?
Si mes souvenirs sont exacts,la famile Kamoko n’est pas du tout une famille de sans-papiers. Le père est en France depuis longtemps;sa fille,Anissa, est née en France.
Quand elle s’est présentée uax urgences, elle crachit du sang à cause d’une pneumonie.
D’autre part, elle souffrait d’une cardiopathie ancienne (congénitale ?).
La famille a porté plainte; la presse ne dit rien de l’avancement de l’affaire.
Wargon se tait,sur le conseil de son avocat.
L’hôpital avait publié un communiqué:
https://www.ch-stdenis.fr/sites/stdenis.local/files/2024-03/Communiqu%C3%A9%20du%20080324%20suite%20au%20d%C3%A9c%C3%A8s%20d%27Anissa%20Karamoko_0.pdf
Mathias Wargon, mari d’Emmanuelle Wargon, ancienne ministre du logement et secrétaire d’état a la transition écologique, Sciences Po, HEC, ENA, actuellement présidente de la commission de regulation de l’énergie.
Josip Gavrilovic 18 juillet 2025 à 23h34
référence inconsciente à Proust.
Qu’en savez-vous ? Pensez-vous que l’inconscient du Maestro fonctionne comme une IA de faible niveau ?
C’est vous qui voyez un rapport entre « perdre son temps » et le « temps perdu » proustien; et vous collez ça sur l’inconscient de Brighelli-inconscient auquel vous n’avez pas accès du tout.
C’est du supputationnage qui ne repose sur rien.
Lormier : « C’est du supputationnage qui ne repose sur rien. »
Cette phrase/objection, je l’ai entendue des milliers de fois venant de gens qui sont dans le déni ou dans l’ignorance des manifestations de l’inconscient.
Dans le cas qui nous intéresse, pour étayer mon hypothèse, je m’appuie sur un faisceau concordant d’indices :
– Brighelli est un grand lettré, qui a une connaissance encyclopédique des grandes œuvres (et même des moins grandes !) de la littérature mondiale. Cet homme est imprégné de littérature, il baigne dans les lettres, il en est imbibé. Si cet homme, pour présenter un texte de son cru très personnel (voire intime), utilise l’expression « A temps perdu… », j’estime que la probabilité que ce soit un écho proustien est très élevée.
– Le fait qu’il ajoute en incise « et je n’ai plus le temps de le perdre » appuie considérablement mon hypothèse : je ne peux pas imaginer que Brighelli-le-grand-lettré ne fasse pas ici allusion inconsciemment (ou pas…) à la course contre la montre/contre la mort livrée par Proust pour terminer son œuvre à temps.
– Le contenu de la lettre que Brighelli écrit à sa fille n’est pas exempt de souvenirs qui ressurgissent…inutile ici que j’en dise plus.
Si il s’agissait de l’homme de la rue, du « français moyen » (je dis cela sans mépris) parlant de temps perdu et de temps à ne plus perdre, je serais plus prudent dans cette hypothèse. Mais là, il s’agit de Brighelli-le-grand-lettré…Je le répète : la probabilité que je sois dans le vrai est très élevée.
On peut évidemment estimer que je sur-évalue la probabilité. On peut estimer que la part du hasard dans telle ou telle formulation ne peut pas être négligée. Ce sont des objections que je peux recevoir, et discuter, contester, comme je viens de le faire.
Mais parler de contresens, ou de supputation qui ne repose sur rien, non, c’est vraiment inadéquat.
D’ailleurs, à bien y réfléchir, la présence de la mort, son inéluctabilité sinon son imminence, sont des éléments qui apparaissent de plus en plus fréquemment et de plus en plus puissamment dans ce qu’écrit Brighelli.
Au cours des derniers mois, il a produit pas mal de textes au ton crépusculaire, où l’auteur semblait hanté par la perspective du silence imposé et du mot « fin ».
Comme si pour Brighelli, comme pour Proust, la course contre la montre/contre la mort avait commencé, comme si la nécessité se faisait toujours plus pressante d’écrire ce qu’il lui tient à cœur d’écrire.
Lui seul pourra confirmer ou infirmer cette impression.
Gargarisez vous,si cela vous fait du bien.
« C’est un peu court, jeune homme ».
Mais ça n’est pas grave.
Brighelli seul pourra confirmer ou infirmer mon impression.
abcmaths 18 juillet 2025 à 21h03
( paire tendue, c’est mieux)
https://pbs.twimg.com/media/ESayN63WoAAJRJ6?format=jpg&name=medium
Quand Lormier part à la recherche du père tendu, voilà ce que cela donne (par faux sens)
Où est le faux sens ? Vous dites « paire tendue »; je montre une photo d’une main qui tend une paire;c’est bien une « paire tendue ».
Vous avez raison.
Bishop of Carlisle
Le même évêque de Carlisle, Goodwin, qui précha à Westminster après l’inhumation de Darwin, est connu pour une diatribe ( à vrai dire plutôt mesurée) lors de l’exposition d’ un tableau de nu du peintre Alma Tadema à la Royal Academy , dans une lettre à un autre peintre (sans doute faite pour etre publiée):
» My mind had been considerably exercised this season by the exhibition of Alma-Tadema’s nude Venus… [there might] be artistic reasons which justify such public exposure of the female form… but for a living artist to exhibit a life-size, almost photographic representation of a beautiful naked woman strikes my inartistic mind as somewhat, if not very mischievous. »
Reproduction de l’œuvre et notice site Sotheby’s
https://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2015/victorian-pre-raphaelite-british-impressionist-art-l15133/lot.15.html
ECHO 19 juillet 2025 à 8h58
Mathias Wargon, mari d’Emmanuelle Wargon, ancienne ministre du logement et secrétaire d’état a la transition écologique, Sciences Po, HEC, ENA, actuellement présidente de la commission de regulation de l’énergie.
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Emmanuelle Wargon Fille de Lionel Stoleru (aujourd’hui décédé) ancien ministre,Polytechnicien, au.teur d’un manuel d’économie, mectrès fin, très courtois et cultivé qui à sa retraite a dirigé un orchestre.
Je me demande ce qu’il a pensé du Matthias Wargon-énergumène d’une insupportable vulgarité,incapable de faire deux phrases sans y insérer du vocabulaire ordurier.
Il est quasi impossible de savoir si Hawking désignait sa formiule par le mot « equation » .
Dans l’article ci-dessous, il dit « formula »;ce sont les commentateurs qui disent « equation ».
https://aeon.co/essays/a-brief-history-of-stephen-hawkings-greatest-equation
abcmaths 18 juillet 2025 à 20h44
S’il n’y a pas de belle grandeur inconnue que l’on veut déterminer, ce n’est pas une équation.
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Le T à la gauche du signe = n’est-il pas la grandeur à déterminer ?
So in words, the equation simply says – the bigger the mass of the black hole, the lower the temperature of the Hawking radiation.
Si vous le dites…
Lormier ne dit rien, Lormier ne dissimule pas,Lormier cite.