Présentation

Depuis « la Fabrique du crétin » (2005), rien n’a changé, sinon en pire. L’école se meurt, mais l’école n’est pas morte. Partout se manifestent des oppositions à la plus grande entreprise de destruction intellectuelle des temps modernes. Bonnet d’Âne se veut le point d’ancrage de cette résistance. Pour une vraie école de la République, pour la transmission des savoirs, pour la culture. Pour les élèves. Pour demain.