L’un n’invite que ceux qu’il juge dignes d’être interrogé par lui. L’autre ne fait inviter que ceux qui lui permettront de maintenir les cerveaux en état de bien ingurgiter la publicité qu’il se fait la profession de commercialiser.
L’un dépend d’un marchand d’armes. L’autre est le serviteur du numéro un français du bâtiment. Les deux entreprises en question dépendent presqu’exclusivement de la commande publique.
L’un a un chef qui s’appelle Arnaud Lagardère. L’autre sert Martin Bouygues. Arnaud et Martin, c’est ainsi que Nicolas nomme ses intimes. Par leurs prénoms.
L’un a trempé dans l’affaire Botton. L’autre a déja tenté et parfois réussi de fausser l’élection présidentielle.
L’un appelle Nicolas pour lui demander par quel journaliste de sa station il préfère être suivi. L’autre prépare ses émissions avec des producteurs qui font partie de l’équipe de Nicolas.
Si j’avais une machine à voyager dans le temps, je tenterais de ramener l’ORTF. Au moins était elle l’émanation d’un Etat qui était sous le contrôle démocratique.
Je préfère cela aux copains et aux coquins
elkabbach,et sa chaîne parlementaire,,,,,,
en général,,c »est toujours copains-coquins-