Depuis ce matin, les journaux évoquent un entretien que Christine Lagarde a accordé à la chaîne ABC aux Etats-Unis ce dimanche. Notre ministre de l’économie dissertait sur « l’aide » qu’une moindre présence de libido et de testostérone apporte à la gent féminine dans l’exercice des responsabilités publiques.

Intrigué par cette fameuse « aide », je me suis mis en quête d’autres déclarations que Mme Lagarde aurait pu avoir sur ce thème et qui expliciterait davantage sa pensée. Je n’ai pas été déçu du voyage. Le 1er octobre dernier, pour la Tribune, elle a [1. Cette fois-ci, dans la langue de Molière qu’on dit pourtant rare dans son cabinet davantage habitué à celle de Shakespeare.] donné un éclairage fort détonnant sur les responsabilités dans la crise financière. Qu’on en juge. Lorsqu’on lui demande si la donne aurait été changée si Lehmann Brothers s’était appelé Lehmann Sisters, Christine Lagarde n’hésite pas : « Oui. J’en suis convaincue. Intuitivement, je pense qu’il y a moins de libido féminine dans le rapport de compétitivité permanent qui se joue dans les salles de marché. » Son intuition -féminine, bien entendu-  ne la trompe pas. Elle en est convaincue. La testostérone, voilà l’ennemie ! D’ailleurs, plus loin, elle enfonce le clou[2. Qu’on me pardonne cette expression évoquant le bricolage et, donc, suintant la testostérone.] : « […] le compost financier a été l’élément déterminant. Et si vous regardez la sphère financière, vous y rencontrez une grande majorité de paires de pantalons. » On notera au passage la délicatesse qui la pousse à préférer évoquer les pantalons à autres choses pour désigner ce qui va par deux chez les messieurs. Et d’oublier au passage les combats féministes d’avant-garde menés par la municipalité parisienne. Mais on comprend malgré tout entre les lignes, que ce qui pose problème, au premier chef, dans les bourses, ce sont bien les couilles.

Point de problème systémique, donc. Alors que le G20 va débuter et que notre Président de la République souhaite apporter à ses partenaires quelques propositions pour réformer le capitalisme mondialisé, sa ministre lui apprend doctement que ce n’est pas la peine et que le problème se situe au niveau de son caleçon. Il suffit simplement de n’embaucher que des traideuses.

Il suffisait d’y penser.

26 commentaires

  1. C’est d’autant plus drôle pour un germanophone, dans le même esprit que le rapport entre les bourses et les couilles, que « nagen », clouer donc « enfoncer le clou » signifie « baiser ».
    C’est ainsi que le Français méticuleux « lime », l’Allemand brutal « cloue » et l’Anglais vicieux « visse » (to screw) !
    Mme Lagarde est bien « Marie-Chantal à Bercy » selon l’expression de NDA !

  2. en passant elle nous gratifie d’un bel anglicisme bien dans le style de son américanophilie. En français on ne dit pas « je porte une paire de pantalons » mais bien « je porte un pantalon » (au singulier). Par contre en anglais on dit bien  » I wear a pair of trousers » (au pluriel)

    @ Jardidi : Cette droite n’a pas à faire peur. Elle tout simplement ridicule. Par contre le retour en force des thèses marxistes au sein de la gauche française moi me fait peur.

  3. Elle ignore tout autant que la consommation compulsive et presque hystérique en babioles en tout genre, est un comportement essentiellement féminin. C’est comme ça

    à nous les hommes, le trading et les hauts fourneaux
    à elles les femmes, le textile et les cuisines équipés

    La mise en oeuvre d’un protectionnisme avec la Chine, provoquant une hausse des escarpins roses fluo, provoquerait chez sa copine Roselyne, une crise d’anxiété profonde la conduisant à mobiliser l’armée pour tous nous vacciner.

    Les Hormones, voilà les ennemis. Les hormones, l’Opium des corps. Le matérialisme nouveau basé sur le déterminisme physiologique. Lagarde nouvelle Engèl(e)s ?

    J’ai connu des tradeuses – il y a longtemps – elles usaient parfois d’atouts qui n’avaient aucun rapport avec l’actuariat et le modèle de Black & Scholes (*) !

    (*) laisse tomber Christine, c’est technique

  4. moi,ce qui me fait peur,c »est les donneurs de leçons ,de gauche comme de droite,
    mais,,,,,se sont ces gens qui nous mis dans se merdier,,,
    les hormones du mensonge et de l »irresponsabilité sont dans leurs cerveaux,
    toujours donner des avantages,dépenser plus,toujours emprunter,ne jamais réduire son train de vie,mais celui des autres,
    un seul a le courage de prévenir l »avenir,Bianco,,des larmes pour beaucoup,du sang,peut étre des émeutes,comme en gréce socialiste,,,
    le spectacle des politiciens est lamentable,des patins irresponsables qui font leurs cirque pour se montrer,
    copé,mélenchon,,,,lepen,tapie,sarko et son avion tout neuf, ect,,,,,,,
    et le peuple assiste en souriant a ce spectacle,,,,
    ou,il va moins rire,c »est le jours ou il va falloir régler la note et oui?
    toute chose a une fin,,,,et se sera en 2012,,,,bon courage a celui ou celle qui sera élues,,la france d »en bas,paye ses impôts et taxes foncières,,,chez certains donneurs donneurs de leçons,,,elle explose,,,
    pas grave,si,si c »est toujours la faute des autres,,,

  5. Il suffit de penser à Laurence Parisot ou Margaret Thatcher pour comprendre que le problème du capitalisme c’est bien… le capitalisme, et pas un présupposé sexiste quelconque. Mais cette droite, hommes et femmes confondus, nous a habitués à sa pensée en-dessous du niveau de la ceinture. Et après ça on va venir nous expliquer que c’est Mélenchon qui est vulgaire…

  6. @ David Desgouilles,

    Simple question : qu’est-ce qui vous fait rapprocher les propos stupides de Madame Lagarde avec le féminisme ?
    Ironie ? ou ignorance de ce qu’est le féminisme ?…

    Tout ce que raconte en l’occurrence Madame Lagarde, est une reprise du discours machiste… qui justifie CERTAINS comportements d’hommes comme étant naturel (provenant de l’état de nature) ET induit par les hormones, la testostérone en question…

  7. @Abd Salam

    Je n’évoque le féminisme que pour rappeler l’histoire de la municipalité parisienne qui a voté une résolution pour demander au préfet de police de supprimer la réglementation interdisant le pantalon aux dames.
    Il n’en est question nulle part ailleurs. Si, si, regardez bien !

    Cependant, il y a deux sortes de féminisme à l’origine : celui, universaliste, qu’on trouvait en France il y a trente ou quarante ans. Et un autre, anglo-saxon, différentialiste et puritain, qui pourrait bien être à l’origine des propos de Mme Lagarde.

  8. @ David Desgouilles,

    Il n’existe pas de féminisme à la mode anglo-saxonne, qui serait différentialiste (oxymore de féminisme, d’ailleurs) et puritain…

    Vous prenez un discours qui dit tout et n’importe quoi sur le compte du féminisme, et qui fait en l’occurrence écran, pour le féminisme…
    IL y a en effet des gens qui racontent certaines énormités sur le féminisme, et d’autres gens qui, entendant ce discours, croient que le pseudo-féminisme mis en avant par certains détracteurs est un courant féministe qui existerait réellement…

    Ce serait sympa pour se faire un avis sur les féministes, qu’elles soient Etats-uniennes, ou Néo-zélandaises, ou Suédoises, d’aller directement à la source, et étudier leurs textes, ou leurs discours sortis de leurs bouches, pour juger sur piéces, à partir d’info de premières mains… Plutôt que de prendre des propos rapportés.

    A l’heure actuelle, la seule déchirure qui se fait jour au niveau des féministes, et qui soit inquiétante, c’est le relativisme… Certains et certainEs féministes, y compris parmi les militants et militantEs, auraient tendance à accepter certains comportements machistes du fait que ces comportements ont des origines exotiques…

    Avant cela, les seuls points de désaccord entre nous, les féministes, portaient sur la manières de rendre concrète l’égalité entre les hommes et les femmes, et donc les méthodes à mettre en oeuvre pour atteindre ce but dans la réalité.

    En conclusion, il y a bel et bien, aujourd’hui comme hier (années 50/60) et avant-hier (années 1850/1880 et avant), qu’un seul et unique féminisme, universaliste, égalitaire, et absolument pas puritain.

    Je le répète, les propos de Madame Lagarde sont tout simplement la répétition du discours machiste ! qui lui explique certains comportements masculins comme étant le résultat de la testostérone.

    Sinon, je vous remercie pour les explications que vous avez la gentillesse d’apporter, et qui permettent donc en effet, de comprendre pourquoi vous faites allusion au féminisme ; en effet, vous faites allusion… une allusion n’est pas forcément aussi claire qu’on le voudrait.
    Comme l’indiquait ma question, je ne savais pas sur quel pied dansait 😉

  9. (petit rajout)

    Les bêtises que nous sert Madame Lagarde, sont typiquement issu de la « doctrine » macho : présenter les femmes comme non-conflictuelles, et forcément apaisantes, et conciliantes, pacifiques, patiente, incarnation de l’abnégation,…

    C’est la conception machiste de la « nature féminine »…

    (pour le reste, je ne préciserais pas davantage ma présentation du féminisme, puisque ce n’est pas le sujet de l’article… ni du fil de commentaires)

  10. @ David Desgouilles,

    Oupsss ! mais j’y pense, pourquoi rapprocher les conneries exprimées par Madame Lagarde du féminisme réel ou imaginaire ?…
    Quand une femme s’exprime, vous croyez que c’est forcément du féminisme ?

    Vous croyez qu’une personne comme Madame Boutin, ou Madame Rotschild exprime des conceptions féministes quand elle donne leur vision de la société, notamment des rôles des hommes et des femmes dans la société en qestion ?…

  11. @ David Desgouilles,

    Ben, justement, Madame Badinter parlent du féminisme imaginaire… dont je vous parlais juste avant ; inutile de vous dire que ça fait mal, quand une figure pareille se prends les pieds dans le tapis, et prenant en compte les critiques du féminisme à la place du féminisme !
    Elles jugent des comportements et des propos rapportés attribués à des féministes, à la place de faits…

    Je ne vous demanderais pas de me croire sur parole, mais comme je le dis, de juger à partir d’info de premiéres mains.
    Je ne prendrais qu’un exemple : entre ce la Canadienne Andrea Dworkin a réellement écrit et ce que certains individus se permettent de raconter ; ça n’a rien à voir.

  12. oupsss !

    Et j’ai oublié :

    Madame Badinter a aussi pu juger, de manière indirecte encore une fois, des actions et des propos qui existent, mais qui ne sont pas le faits de féministes !

    Par exemple, l’une des dernières nouveautés, c’est de reprocher aux féministes, les propos que l’on retrouve dans la presse féminine…

  13. La droite n’a rien à envier à la gauche !!! Chacun les siennes !
    En tous cas, je te le dis david : « ON N’A ENCORE JAMAIS VU UNE POULE ANNONCER LE LEVER DU SOLEIL A LA PLACE DU COQ ».
    Et tu sais que j’ai refusé de suivre une féministe tête de liste aux européennes moi qui ne suis qu’une humble femme soumise ! Mais au fait… David ? Qui réveille le coq le matin ?… Que je sache, ça s’est toujours passé ainsi et ça ne changera pas tant que le monde sera monde ! n’en déplaise à Madame LAGARDE. Chacun son truc !
    Et pour nous sortir du merd…. où nous sommes, il va nous falloir un mec et un vrai. Qui n’aura peur de rien et surtout pas de se battre dans un combat avec le risque de la mort à l’appuie.

  14. @ Damienne,

    La testostéronne est un des facteurs de la masculinité, il n’en est pas la totalité…

    Mais pourquoi partir dans une course des hommes contre les femmes ? ou le contraire ?

    Je rappelle de surcroit que les propos de Madame Lagarde ne sont pas l’expression de conceptions féministes…

    Et je vous informerais qu’à l’état de nature, les mâles ne se battent JAMAIS pour assurer la sécurité des femelles… jamais.
    Dans la nature, c’est chacun pour soi.
    Bref, ne pas prendre une idée machiste, donc une conception culturelle, pour une vérité biologique.

  15. si un mâle n’est pas capable de se battre pour la sécurité de sa femelle, ce n’est pas un mâle c’est une mallette. Ou alors un animal.
    Quant aux « hommelettes », il y en a plein les partis politiques actuellement. Alors, Mariane peut se faire du soucis.

  16. @ Damienne,

    C’est votre droit d’être macho, ou machotte ; toujours est-il que « se battre pour sa femelle » est une idée humaine, un simple principe culturelle, que l’on ne retrouve pas dans la nature.

  17. @abd salam

    « En conclusion, il y a bel et bien, aujourd’hui comme hier (années 50/60) et avant-hier (années 1850/1880 et avant), qu’un seul et unique féminisme, universaliste, égalitaire, et absolument pas puritain. »

    Cela me semble aussi vain que de parler d’une seule gauche, universaliste,égalitaire etc…
    Le seul et unique supporte t-il la contradiction, les variations ? ou votre point de vue est-il universel ?

  18. @ Mathieu,

    Il n’y a eu qu’un seul féminisme, cela ne veut pas dire que tout et toutes les féministes sont parfaitement d’accord sur toutes les questions de sociétés, et sur les solutions à apporter ; comme je l’ai déjà écrit plus haut.

    Je parle de la définition, il y a un certains nombres de critères qui définissent « être féministe » ; les concepts correspondent à des définitions plus ou moins larges…
    Ce que je consteste, c’est un extrêmisme dans l’interprétation des définitions ; voir pire, lorsque des choses sont carrément contraire à un concept, on veut encore le raccrocher à ce concept en question.

    Quand on lit les écrits des femmes féministes, on peut remonter à Christine de Pisan, lire les articles de Madeleine Pelletier, dans les années 1910, ou les livres de Taslima Nasrin ; ce sont les mêmes constats, les mêmes dénonciations, et les mêmes revendications qui ressortent.

    Je répéte ce que j’avais écrit dans un de mes postes précédent, il y a bien un seul et unique féminisme ; et traditionnellement, les désaccords portent sur la manière de concrètiser l’égalité entre les hommes et les femmes.
    Un exemple : il y a des féministes, hommes et femmes, qui sont contre la technique de « parité »… cela ne fait pas l’unanimité.

    L’inquiétude à l’heure actuelle, c’est que certains féministes, et certaines féministes, victime de la maladie du relativisme, ne condamnent pas le machisme, quand il est originaire de culture exotique ! c’est la premiére déchirure grave à l’intérieur des courants féministes !

    En résumé, je n’ai jamais écrit que les féministes militants et militantEs étaient d’accord sur tout, mais qu’il n’y avait qu’un seul féminisme, et que tous avaient un seul but.

  19. @ Mathieu,

    Je pense que les éventuelles tensions entre féministes feront leur apparition, et s’aggraveront, le jour où les féministes seront un (ou des courants) fort(s) et influent(s)…

    Pour le moment, nous sommes plus sur la défensive… nous passons nos journées à nous justifier, plus qu’à militer !

  20. Il faut quand même reconnaitre que l’humour, l’économie et la féminité doivent tout à Christine Lagarde…

  21. @ Abd Salam
    Les « chiennnes de garde », est ce du féminisme ? et « Ni putes, ni soumises » ?
    Vous reconnaitrez que, s’il n’y a qu’un seul féminisme comme vous le prétendez, il peut s’exprimer de façon très variée, pour ne pas dire plus. Et vous admettrez aussi que de très nombreuses femmes ne s’ y reconnaissent pas…
    C’est comme dans les religions finalement; un seul Dieu mais que de raisons de se foutre sur la gueule !
    Pour en revenir à Lagade qui est quand même le sujet principal, ne l’oublions pas, un des objectifs de l’oligarchie financière aujourd’hui est de trouver des prétextes (testostérone), des boucs émissaires (Roms) à ses dérèglements pour faire oublier ou sont ses responsabilités.
    D’où ce concours grotesque où chacun des représentants de ladite oligarchie apporte sa pierre.
    Je fais l’hypothèse que le mauvais classemet de Lyon en Ligue 1 est la cause de l’instabilité des marchés. Qu’on me démontre le contraire.

  22. faudrait que TOUS les traders se chopent le cancer de la prostate
    et qu’on les traite TOUS
    orchidectomie ou androcur
    tu verrais ça mon garçû !
    t’entendrais pas une mouche voller dans les salles de marché !
    tiens une vieille blague que faisait un de mes profs d’urologie dans ma lointaine jeunesse à propos du cancer de la prostate et de son traitement ( à l’époque la chirurgie ça marchait moyen la radiothérapie c’était le barbecue alors il y avait que l’orchidectomie ; couper les couilles quoi ) et en plus ça se vérifie toujours
     » tu vois le type qui vient pour sa première consultation pour son cancer de la prostate ; il entre le premier dans ton bureau . à la deuxième consultation c’est sa femme qui le précède . à la troisième c’est sa fille qui ouvre la marche ! »
    ha ha !
    toujours vrai !

  23. @ gavroche64,

    Les chiennes de garde, c’est du féminisme… évidemment ! biensur, il faut se renseigner, et donc regarder le fond des choses…
    Les féministes militantes du mouvement des chiennes de garde essaient de faire réfléchir sur le sens des mots…
    Cela fait pleinement parti du féminisme militant de questionner l’outil qui nous set à penser le monde !

    Je ne trouve que leur moyen soit le bon… elles souhaitent mettre les rieurs de leur côté, et ne font rire qu’à leur dépend !

    Mais ça reste, conforme à la seule et unique définition du féminisme…

    Que certaines associations de militantes s’attaquent à tel ou tel problème en particulier ne change rien à la définition…

    IL en va de même avec le mouvement des « ni pute ni soumise », qui s’attaquent à une parti de l’ensemble des problèmes auxquels doit faire face le militantisme féministe.
    Saviez-vous que l’un des slogans des féministes en Europe a été : ni madonne, ni putain ?…

    Je le répéte, et vous me semblez d’accord, car vous dites presque la même chose que moi, mais pas de la même manière : il n’y a qu’un seul féminisme, et il y a des désaccords parmi les féministes, sur les méthodes à employer…

    Mais jusqu’à présent, aucune et aucun féministe ne s’est mis sur la gueule !
    Quoique le problème très récent du relativisme qui pourrie le féminisme, nous inquiétent beaucoup…
    CE qui nous inquiétent aussi énormément, ce sont les féministes qui font la même erreur que Madame Badinter, et qui font confiance à certains détracteurs qui inventent des courants féministes imaginaires…

    Je n’ai jamais dit que le féminisme ne s’exprimait pas de manière variée… mais que, POUR LE MOMENT, tous les mouvements connus ne vont que dans un seul sens ! et sont tous conformes à la définition du féminisme.

    Ce que je veux souligner, c’est qu’il faut arrêter avec le relativisme, qui veut qu’il existe mille interprétations possibles ET JUSTE d’un seul concept !
    Sans tomber dans l’extrême inverse orthodoxe qui voudrait tout réduire à des choses simples, bien évidemment.

    En espérant que j’arrive à faire passer mon idée…

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