Sandro Botticelli, Vénus et Mars, c.1483


Il y a des hommes dont j’ai finalement refusé d’être le nègre. Michel Charasse, par exemple, qui en deux entretiens préalables s’est révélé une franche ordure — et même pas drôle. Et puis il y a des livres que j’ai regretté de ne pas avoir co-écrits : la rencontre était positive, le sujet excitant, mais les circonstances ont fait que… ça ne s’est pas fait.

Gérard Strouk, par exemple. Ce gynécologue-obstétricien parisien venait de sortir (2001) Je vais être papa, un ouvrage où il racontait comment il organisait, dans sa maternité des Lilas, des groupes de discussion réservés aux futurs papas, pour les prévenir de ce qui allait se passer dans leurs vies. Non seulement la grossesse de leur compagne, l’accouchement proprement dit, les nuits quelque peu agitées des débuts, mais surtout la relation avec la mère de l’enfant à naître ou enfin né. Il tentait de les rassurer — non, il n’est pas déconseillé de faire l’amour pendant la grossesse, l’orgasme au contraire provoque, disait-il, un effet jacuzzi qui est très probablement agréable au fœtus. Sauf que si certaines femmes ont une libido décuplée pendant ces neuf mois interminables, d’autres la mettent en sommeil — ou, pire, répugnent à tout contact. Ajoutez à ce panorama celles qui ont la nausée fréquente, les dégoûts subits et inexpliqués, ou celles — c’est fréquent — qui changent d’odeur et le savent, et vous avez un terrain favorable aux malentendus les plus aigus. Sans parler de celles qui, après l’accouchement, ont le sentiment permanent d’une descente d’organes.

Il y a un nombre considérable de séparations dans les mois qui suivent la délivrance — et parfois dans les semaines qui le précèdent. Un livre signé Bernard Geberowicz et Colette Barroux, Baby-clash, Le couple à l’épreuve de l’enfant (2005) estime à 20 à 25% le nombre de couples qui divorcent lorsque l’enfant paraît, comme disait Françoise Dolto. Strouk, qui m’annonça des chiffres similaires en 2001, voulait faire quelque chose pour prévenir ces ruptures évitables…

… Et son conseil principal (ah, comme je regrette de ne pas avoir écrit ce livre !) était : « Messieurs, il est normal que votre épouse ne réagisse pas au quart de tour, que ce soit avant ou après l’accouchement, aux stimuli dont vous aviez l’habitude de la gratifier (ou de ne pas la gratifier). Pensez qu’elle est transformée des pieds à la tête, et la proie d’hormones dont vous n’avez aucune idée — et souvent elle non plus. Je comprends le désarroi de l’homme dont la partenaire se refuse à lui depuis les premières nausées jusqu’à la fin de l’allaitement — trois ans, parfois. C’est très long. Si vous tenez à elle, si vous voulez préserver votre couple, prenez une maîtresse durant cette période. Trompez-la pour lui rester fidèle. Un petit adultère revient moins cher, affectivement et matériellement, qu‘une vraie séparation. »

L’adultère est un à-côté de l’amour. Entendons-nous : j’entends l’adultère purement physique, la pulsion qui vous jette dans les bras de quelqu’un, la recherche de la satisfaction immédiate.
Le père dont la femme attend un enfant et a des haut-le-cœur rien qu’à l’idée d’approcher son partenaire de moins d’un mètre, encore davantage à l’idée qu’il vienne renifler entre ses cuisses le changement de goût de ses humeurs ; l’heureux papa dont la progéniture hurlante accapare la mère à 120% de son temps — ce qui semble satisfaire merveilleusement la génitrice comblée, et parfaitement épuisée ; l’ex-amant fougueux dont la maîtresse, devenue maman, ne supporte plus l’idée que l’on introduise quelque chose entre ses sphincters malmenés — quand ils n’ont pas été découpés par une épisiotomie qui a dérapé, voire par une déchirure malencontreuse ; et ces hommes dont l’épouse a fermé la boutique à jamais après avoir accouché… Ces mâles amoureux de leur femme, reconnaissants de lui avoir donné cette progéniture formée de cellules en désordre et qui ne communique qu’en hurlant, mais frustrés pour des semaines, des mois, parfois des années, ont toutes les raisons de fourrager ailleurs, maintenant que par la vertu de la loi Marthe Richard, il n’y a plus de bordels, jadis providence des maris négligés.

Au-delà de ces situations pénibles, où l’adultère est un pis-aller imposé par les circonstances, il y a tous les adultères, de l’un comme de l’autre, résultant de cette Théorie du camembert dont je vous ai souvent parlé, et dont je vais me résoudre à publier l’analyse — qu’il m’est arrivé de fournir à mes étudiants, le devoir d’un éducateur (puisqu’ils tiennent à ce que nous éduquions les gosses qui nous sont confiés, au lieu de nous contenter de les instruire) ne s’arrêtant pas à la salle de classe et aux murs du lycée, mais s’étendant aux espaces extérieurs, y compris les chambres à coucher.

(Vous allez voir que certains ne percevront pas l’humour de la phrase précédente, et concluront que j’ai entretenu avec mes loupiotes des relations socratiques — horresco referens…)

Le vrai adultère, qu’en toute conscience je ne peux que condamner, consiste à mettre la maîtresse ou l’amant sur le même créneau que l’épouse — ou la maîtresse en titre. C’est le sujet de l’un des plus mauvais films de Lautner, Attention, une femme peut en cacher une autre (1983), où Miou-Miou est l’épouse simultanée de Roger Hanin et d’Eddy Mitchell, et court de l’un à l’autre. Ça, c’est éhonté. Imaginez un harem plein de créatures exactement semblables.
Mais si le nouveau venu (terme épicène, hé !) occupe une section que votre chéri ordinaire ne fréquente pas, où est la tromperie ? Aphrodite, mariée à ce butor cagneux d’Héphaïstos, couchait avec Arès, dieu des batailles. Elle avait bien raison. Et Botticelli (voir ci-dessus) utilisa pour représenter les deux amants les visages de Giuliano de Médicis et de Simonetta Vespucci, mariés l’un et l’autre et amants dans la vraie vie, au vu et au su de leurs conjoints respectifs et de tout Florence. Après tout, les adultères royaux s’étalaient sans que les courtisans ou les épouses en dissent quoi que ce soit de négatif.

Imaginez par exemple que vous ayez besoin de temps en temps de vivre un épisode de domination, dans un sens ou dans l’autre. Allez-vous demander à celui qui partage votre vie de s’armer de sa cravache, alors qu’il en ignore l’usage et le maniement ? Ou si vous voulez de temps en temps avoir des relations avec une personne de votre sexe, pensez-vous que votre hétéro préféré est équipé pour cela ?
Je ne saurais trop vous conseiller sur ce sujet la lecture de À fleur de chair, un joli roman SM de Chloé Saffy (à La Musardine). L’une des héroïnes sait que son mari est un maître qui a de temps en temps besoin d’une soumise. Et elle ne saurait remplir une fonction pour laquelle elle n’a aucun goût. Elle le laisse donc errer chez une « soumise de province », comme dit Caroline Lamarche (autre lecture indispensable). Et elle lit en cachette les comptes-rendus que la susdite fait de ces rencontres épicées et violentes. Sans parvenir tout à fait à être jalouse, tant l’emprise SM diffère de l’engagement sentimental.

Autre type d’adultère indispensable, celui du créateur. Dans un roman peu lu d’Aldous Huxley, Le Génie et la déesse (1955), Henry Maartens, physicien et prix Nobel, dépend de son épouse (et quasi mère) pour garder sa stabilité et ses mioches, et ne se gêne guère pour entretenir des relations avec telle ou telle créature : les deux versants lui sont essentiels pour qu’il continue à travailler sereinement. Son égoïsme épuise sa femme, qui meurt — et qu’il remplace par une autre, tout en continuant sa vie de chercheur et d’amant occasionnel.
Et Natalie Clifford Barney, la plus séduisante de toutes les lesbiennes des années 1900, qui n’en manquèrent pas, vécut une passion torride avec Liane de Pougy, la plus irrésistible de toutes les courtisanes de la Belle Epoque, tout en entretenant une relation avec Renée Vivien, poétesse anorexique, qu’elle trompait d’ailleurs avec un lot de jeunes filles qui ne résistaient guère, petite monnaie de ses deux passions si différentes et simultanées.

Et je ne citerai que pour mémoire la distinction que faisait Beauvoir entre les amours nécessaires (Sartre) et contingentes — les hommes et les femmes que l’un et l’autre consommaient, Beauvoir fournissant parfois Sartre avec telle ou telle de ses conquêtes, pêchées dans le vivier des classes Terminales où elle enseignait — par exemple Bianca Lamblin, qui raconta ces échanges dans son Journal d’une jeune fille dérangée, ou les sœurs Olga et Wanda Kosakiewicz. Beauvoir eut une passion pour l’écrivain américain Nelson Algren ou pour Claude Lanzmann, mais se fit enterrer à côté de Sartre au cimetière du Montparnasse tout en portant la bague que lui avait offerte Algren. Quand les liaisons atteignent ces niveaux de complicité, peut-on encore parler d’adultère ?

Jean-Paul Brighelli

PS. Promis, je vous fournirai la semaine prochaine le texte complet de la Théorie du camembert…

257 commentaires

      • Un teigneux qui ne lâche pas l’os comme son maître Mitterrand. Au fond le chien de garde du natif de Jarnac – mais sans l’élégance de son maître. Le pitt-bull de service … ça vous va ?

  1. Je suis plongé dans le « Saint-Simon » de La Varende qui est très à l’aise avec toute cette Cour grouillante autour de Louis XIV ! A côté des « Mémoires » du duc de Saint-Simon le personnel politique du jour a l’air un peu fade … il manque l’étiquette !

  2. Le problème de Charasse ce n’est pas qu’il soit plein de haine parce que le petit duc lui aussi poursuivait ses ennemis comme le duc du Maine de toute la force de ses colères rentrées – le problème c’est son manque de style, le lourdaud de Province à qui il manque le grand style ! Mitterrand était un salaud certes mais il avait de l’élégance dans la manière d’assassiner ses ennemis … comme Michel Rocard et Guy Mollet avant !

    • C’est Marcel Bleustein-Blanchet si je me souviens bien qui raconte un match de tennis acharné entre Guy Mollet et François Mitterrand – Guy Mollet était un excellent joueur classé et ce n’était pas le cas de Mitterrand mais il joua cette partie comme si sa vie en dépendait ! Mitterrand était un teigneux qui ne lâchait pas l’os ! Bleustein-Blanchet voyait bien que l’enjeu de la partie – amicale – était toute autre : c’était la domination de la Gauche qui se jouait !
      Mitterrand finit à force de rebondissements inattendus par gagner cette partie interminable alors que le soir tombait … il l’avait remporté à l’usure sur son adversaire !

  3. En ce qui concerne les coucheries post-partum je suis un peu pris de court ! J’attends que ces dames entrent en scène … à vous l’honneur mes princesses !

    • Toutes les jeunes dames de « la Firme » ont tenu le coup ; donc : aucun chiard en perspective, pour le moment.

  4. J’ai vu passer « Le beau nez d’Anne » sur Le Monde au sujet du principe d’équivalence.
    Je me demande si …

  5. La mater des Lilas, toujours à la pointe… du progrès ? Enfin, il y a déjà plus de 20 ans – et ce n’était pas le peuple des abîmes qui en passait les portes.

    Encourager alors le petit bourgeois parisien à goûter au fruit non défendu, et même l’encourager – c’est plein de vitamines, ça vous boostera, à coups de cravache même, pour les amateurs ;
    mais pourquoi pas, en effet – ou plutôt, c’était supposé en faire, de l’effet.

    Surtout que maintenant, le « narratif » a complètement viré de bord : pauvres hommes, sommés de torcher les chiards à part égale ; point de fantaisie autorisée, surtout quand une Sardine R. (sans chiard) s’en mêle ;
    et même que la Suède leur fait le cadeau d’un mois et demi de congé parental ;
    top, niveau orga-nisation, zéro, niveau orga-sme ?

    Quant au Castor (sans chiard) qui procédait à des échanges – pauvres petites !
    Bien triste aussi que cette malheureuse, si malheureuse, R. Vivien, telle que la dépeint Colette (« le pur et l’impur ») ; Colette, une femme libre, elle – d’ailleurs elle ne s’en est encombrée que d’un, de chiard.
    Rappelons que certains hommes peuvent devenir autrement plus encombrants ; heureusement, il existe là des tas de solutions, tout à fait louables, pour s’en débarrasser.

  6. L’adultère, joli sujet en politique également.
    Fabien Roussel et François Ruffin actuellement soupçonnés de tromper leur famille politique, voilà qui aurait pu inspirer M’sieur Brighelli.
    Grâces soient rendues à ces deux hommes, qui disent haut et fort ce que la Gauche historique n’aurait jamais dû cesser de clamer. Et c’est la « Gauche » histrionique qui les accuse d’adultère ? Pitoyable : la réalité est qu’elle provoque elle-même son cocufiage depuis au moins trois décennies.
    Il était temps que ça bouge!

    • et pendant ce temps, le chef des lfi gueule :

      La rép c’est moa ah ah ah
      J’suis plus heureux qu’un roi…

      • Camarade : je viens de lire qu’un des FR, le Ruffin, sera de passage en Dordogne, le 19 ;
        Courez-y, c’est un réel plaisir que de l’entendre causer ; dernier tweet à propos de la réforme des retraites :
        « Je le dis, avec gravité, avec une solennité à laquelle je ne suis pas habitué, je le dis pour mon pays : c’est une folie » 🤣
        Vivement la rentrée (des classes) à l’Assemblée !

  7. De nommbreux brinatneux voudraient mettre un doigt dans Zaza the two (dont ma voisine qui a filé à l’anglaise à Londres).

    Pour éviter ça, le parlement britanneux a sorti une loi condamnant à la décapitation à l’épée pour toute tentative d’attenter à l’intégrité physiue de la dépouille de la vieille fripouille.

    • Y’a pas grand chose à en tirer : on lui a juste laissé sa bague (de fiançailles) et de vieilles boucles d’oreilles,
      que disent les mags people.
      (Au passage, noté qu’Actu-rugby fait aussi dans le people – ouaf . Comme disaient les Inconnus, « mais ça ne nous regarde pas ».)

    • Je ne sais pas pourquoi un démon du nom d’Uter a usurpé ma place depuis tout à l’heure ! C’est certainement le fantôme de la Reine …

  8. Au sujet d’adultères consommés que penser de tous ces acteurs présentés comme des modèles de fidélité conjugale et qui avaient une double vie ? Bourvil, Louis de Funès et Lino Ventura ?
    Yanou Collart Macha Béranger Pierrette Bruno (elle-même mariée par ailleurs) … la femme de Bourvil pour se venger n’a pas voulu l’enterrer là où il le voulait !

      • Il y a deux sortes de journalistes en somme : ceux qui ne savent pas et qui inventent et ceux qui savent et qui déforment tout !
        Quand on songe que pendant un demi-siècle toute le show-business connaissait pertinemment le sexe réel d’Amanda Lear et que les journalistes la présentaient comme une femme !

  9. « au moins c’est dans le sujet » (JPB, 15/09, 23h30)

    Personne ici, surtout les messieurs, n’osera s’épancher sur un tel « sujet » ; il est d’ailleurs fort probable qu’ils ne l’ont guère connu, ou pratiqué.

    Ce mari, ou ce jeune père (pas toujours, ils sont même de plus en plus vieux) qui pourrait (devrait, presque même) chercher compensation ailleurs, après l’arrivée du bébé, pour mieux revenir ?
    Non mais ! c’est au mieux une (mauvaise) blague,

    … Et c’est se moquer des femelles, d’un côté, comme de l’autre ; à l’une : je vais tirer mon coup ailleurs pour mieux te revenir ; à l’autre : tu n’es qu’un coup, pour m’aider à mieux revenir à la mère de mon enfant, ma bien aimée ?!

    Et puis quoi encore ?!

    De l’adultère – quel horrible mot, au passage – élevé au rang de thérapie, c’est pour le moins loufoque.

    Thème des beaux-arts, sans aucun doute, puisqu’il a inspiré, littérature et peinture, à travers les âges,
    justement parce que, dans la vie réelle, certains, la plupart, ne font qu’en rêver…

    Et si ça marche,
    – mais oui, ça arrive, et autant du côté des femelles que des mâles, et peut-être même plus, mais ça se dit moins –
    se partager finit par être difficile à vivre, et, un jour ou l’autre ça finit (presque inévitablement) par se transformer en quasi cauchemar : un divorce, par exemple, n’est-ce-pas ?!

    Rares sont ceux qui ont pu, et peuvent jouer, en toute liberté, en jouer comme d’un art (?!) et faire leur Sartre et son Castor : une exception qui ne fait que confirmer la règle.

    De nos jours, il semble que l’adultère soit beaucoup moins « tendance » ! C’est même montré du doigt ; on en reviendrait presque au puritanisme ;

    ça peut même vous jouer de sales tours, messieurs : avec me-too & co., on peut s’attendre au pire.

    Mais, dans l’avenir, on ne sait ce qu’il en adviendra, avec le Metaverse… et ce que seront les nouvelles règles du jeu.

    • Ce qu’il faut en fait c’est un attaché de presse qui vous fait passer pour un compendium de toutes les vertus !

    • Je crois que vous vous faites des illusions sur la fidélité des maris privés de radada.
      Sans compter les créateurs en quête de muses…
      Les deux pouvant d’ailleurs se cumuler.
      Sinon, d’accord sur le fait (mais ça remonte aux années SIDA) que l’adultère est moins tendance — par trouille pure.

  10. Tant que la publicité de l’adultère n’est pas faite, il n’y a pas d’adultère et vous pouvez passer pour le plus honnête des maris !

  11. Il faut lisser les grumeaux de la vie !

    Euh ! ça c’est le credo des attachés de presse … mais moi j’aime les aspérités de la vie et pas la morale plate des fonctionnaires de la vie !

  12. Que les habitués de ce blog me pardonnent, je reviens au sujet que j’évoquais hier, car il me travaille (sic):
    Quand je lis ça,
    https://www.midilibre.fr/2022/09/15/sandrine-rousseau-affirme-que-le-travail-est-une-valeur-de-droite-et-plaide-pour-le-droit-a-la-paresse-10545502.php,
    je me demande ce qu’attendent la NUPES et LFI pour déclencher une procédure d’exclusion de cette inconsciente. C’est à des gens comme elle que l’extrême-droite doit son ascension.
    Une chose est sûre : elle donne l’exemple de la paresse intellectuelle. Mais évidemment, avec un electro-encéphalogramme plat, le contraire eut été étonnant….
    PS : chacun connaît les tendances mythomaniaques de Bernard Lavilliers. Mais sa chanson « Les mains d’or » est magnifique et fait oublier le côté irritant du personnage. Sandrine Rousseau n’a sans doute jamais écouté cette chanson.

  13. Sandrine Rousseau a été approchée par un producteur de films pornos qui lui a dit qu’il lui faudrait se salir les mains – elle a répondu que les lis ne filent ni ne tissent …

    • Durit lit enfin de la presse de droite lisible. Rancesoir et fachospherie.fr lui droitisait furieusement son peu d’entendement.

  14. C’est drôle ! Moi qui ne suis pas journaliste ici on veut me faire passer pour un adepte du je-raconte-n’importe-quoi-parce-que-cela-me-rapporte-de-l’argent !

    • J’ai même pas reçu la formation express en trois jours qui fait de nous tous des professionnels du mensonge agréés par le ministère du mensonge dit de l’éducation nationale ! N’est-ce pas ?

  15. c’est un type qui lit le journal « Le Monde » depuis un bon demi-siècle ; il n’y a jamais trouvé une seule fausseté, c’est dire son degré de clairvoyance ! Au fond il est comme un bigot qui croit dur comme fer à toutes les fadaises de son curé et de sa bible, seulement son évangile c’est « Le Monde » du jour qui est antidaté !

    • Il s’agit de faire de la publicité pour les derniers produits en cours de sortie de l’industrie pharmaceutique !

      • Les journaux ne sont plus achetés par leurs lecteurs – alors ils sont achetés par l’industrie !

  16. Est-ce que cela vaut le coup de s’amuser à commenter chaque placard publicitaire de l’espace « Le Monde » ? Je vous laisse seuls juges …

  17. Le publi-reportage … c’est comme la tête de gondole dans le supermarché : un attrape-nigaud !

  18. Adult(h)érapie (dernière) :
    Merci à JPB de m’avoir répondu, succinctement, certes ; les autres s’en garderaient bien.
    Certains ont de la chance, avec les post-partum, d’autres moins.

    Ceci étant, Il faut être un drôle de con pour vivre avec un « mari » (marri) ! Il est vrai, qu’après coup(s), et mise(s) bas, ça peut rapporter (voire assez gros) que même certaines mesdames se retrouvent sans gêne – du moins si l’on a eu à faire à un gentleman.

    Mais les temps sont plutôt aux tristes sires (!) qui prennent leur jambes à leur cou (ça change) ; et ce n’est pas nouveau.

    Quant à aller « rencontrer » d’autres couples (!) bien mariés (!), à la recherche de sensations fortes (!) , dans des lieux réservés (!), avec ou sans masque,
    que c’est petit bourgeois ! alors qu’il est si simple de partager et d’échanger, entre gens civilisés !

    (l’abus du ! peut être ennuyeux, mais n’est pas dangereux)

  19. Mon pauvre Josip : n’attendez aucune réponse raisonnable, de la part des deux célèbre danseurs de paso doble, que sont doc Driout et Mr DK, pas plus qu’occasionnellement, de la part de l’abcm.

    Appelez Flo à la rescousse, ou d’autres récemment disparus (sans doute partis recharger leurs batteries – de campagne).

    La Sardine Rousseau donne le bon exemple : ne rien faire, l’assistanat, c’est le Pérou ! Surtout quand on parvient à se faire élire (et à tenir aussi longtemps que le Mélenchon, et bien d’autres).

    Et tant qu’à faire, en toute bonne logique, autant protéger ces tout (petits) imitateurs, ces millions de (petits) « assistés », pour qui il n’est pourtant question que de toucher un tout petit Pérou.

    La paresse intellectuelle étant elle, tout aussi (vivement ) encouragée, on ne peut qu’arriver à un monde d’abonnés Pôle (bientôt nord, car mal chauffé)-Emploi, samedis soirs deliveroo ou macDo, sans oublir Netflix, bien sûr !

    • « Mon pauvre Josip : n’attendez aucune réponse raisonnable »

      Parce qu’il y avait une question ?

      • Une « réaction » eut été préférable – vous savez, comme les gosses qui lèvent le doigt, en classe.

    • D’un fait divers à l’autre, ou comment la « paresse intellectuelle » s’affiche de nouveau ;
      cette fois, c’est le tour d’un il qui n’a balmoral.

  20. … « paresse intellectuelle », ici parfaite inconnue.

    On ne peut qu’y admirer le panache des échanges.

    Et donc, consentir à ce que certains puissent se laisser aller, de temps à autre, à la lecture de quelques faits divers,
    tels que ceux lancés par actu-rugby,
    voire même adresser ses condoléances et même ses « regrets profonds » au (pourtant perfide) « royaume ».

    • Attendez lundi ! Je vais me relancer et pleurant à chaudes larmes je vais vous faire verser malgré vous-même des pleurs de compassion pour mon triste sort. Sans reine vous dis-je !

  21. J’ai perdu mon Elizabeth,
    Rien n’égale mon malheur
    Sort cruel ! quelle rigueur !
    Rien n’égale mon malheur !
    Je succombe à ma douleur !
    Elizabeth ! Elizabeth !
    Réponds, quel supplice !
    Réponds-moi !
    C’est ton époux, ton époux fidèle
    Entends ma voix qui t’appelle.

    • C’est donc bien vous que l’on dit avoir aperçu, sur un trottoir, avec une pochette d’où dépasse un petit portrait encadré de HM, un monocle embué de larmes, et un brassard sur lequel a été discrètement brodé les couleurs de l’étendard royal

  22. Deuxième réponse à Josip Gavrilovic (16 septembre 2022 At 11h30)
    Tape Sandrine, Josip – comme les autres, aime ça !
    Oui…
    (facile pour Lormier)

    • Il y a l’adultère simple – c’est celui de Brighelli, un peu macho, un peu old style – et il y a le new adultère, l’adultère déconstruit à la Sandrine Rousseau avec un Josip très près du peuple !

      • Avec Sandrine, il faut pouvoir bander (resp débander) sur simple demande mais en recommandé avec accusé de réception. Sinon, elle vous plainte et les flics débarquent dans la minute

  23. C’est compliqué l’adultère déconstruit – il y faut du monde, des lumières, des projecteurs et un beau son et lumière ! Ça ressemble à une grosse partouze …

    • En effet, avec la déconstruction, c’est plus tendu, il faut mettre le feu avant que son complice s’ennuie.
      Oui…

    • « Une version courte de ce papier a été publiée par Le Canard enchaîné le 14 septembre » : le Canard se serait déchaîné ?!

    • Sincèrement si je pratiquais l’adultère – dieu et mon roi m’en gardent- je voudrais que ce soit très simple, très nature si vous voyez. Pas de fanfreluches, pas d’entrée en matière trop longue, un adultère roboratif.

      • Je suis très favorable à une monarchie élective qui se renouvelle tous les dix ans mettons ! Comme cela on aurait des rois et des reines beaux et jeunes.

  24. Tout ça pour qu’un vieux pède puisse se pignoler devant l’encart en couleur de « Rois et Reines »

  25. Mendax a tenté une percée… Il lui est conseillé d’attendre encore un petit peu : c’est après le 19, que les choses reprendront leur cours normal,
    – de même que la Cour, selon Stéphane B., the specialist, est promise à un devenir d’une presque triste et banale normalité.

    • Je comprends rarement de quoi vous parlez.

      De manière tout à fait illogique vous semblez en avoir tiré la conclusion que je ne sais pas de quoi je parle.

      Brillant raisonnement.

  26. La reine des queues est d’ailleurs ethniquement pure : que de braves Anglais au teint rougeaud et aux chevelures blondes !

  27. Le vrai adultère, qu’en toute conscience je ne peux que condamner, consiste à mettre la maîtresse sur le même créneau que l’épouse…(jp)
    Le créneau…horaire ? À 3 de 5 à 7…ni avec toi, ni sans toi…les apories du vivre-ensemble…une façon de se débarrasser de la culpabilité d’un adultère classique vécu selon les règles de la clandestinité et l’art de sa dissimulation à la femme qu’on a choisi d’aimer pour la vie mais qui suffit rarement à nos désirs, c’est pourquoi il faut la tromper avec une autre que nous n’aimons pas.
    Pour la femme, il vaut mieux qu’elle n’ait qu’une ou deux grandes aventures à raconter, ça fait sérieux et hygiénique. Ça montre qu’elle n’a pas peur des engagements. Qu’elle saura faire fructifier le petit capital de l’intérieur des investissements en bourses, en tirer toute la substantifique moelle qui sinon s’écoulerait blanche et seule. Car comme disait JP dans un autre billet, quand on aime on pompe.
    Pour moi, la conquête fait le tout. Plus j’en aurai queuté, plus je serai valable.
    Rien de plus baisable qu’un bien baisé.
    BJ à toussent

  28. Pierre Driout
    16 septembre 2022 At 21h17
    Pas un seul Paki, pas un seul musulman dans toute la queue et nous sommes à Londres !

    WTH
    16 septembre 2022 At 23h26
    Oui ! quel que soit le support (quotidiens, tv – en ligne …), c’est très clair : on ne voit que des centaines et centaines de milliers de Brits bon teint, venus de tout le RU, voire de plus loin.

    Ces commentaires, qui mettent l’accent sur l’origine ethnique des « queutards », sont plus que bizarres et peut-être légèrement nauséabonds. L’implicite que j’y vois, c’est que les pakis, les indiens, les jamaïquains que le Royaume-Uni a si généreusement accueillis, sont d’une ingratitude sans nom : ces malotrus ne viennent même pas se recueillir sur la tombe de cette reine qui a tant fait pour eux…Ah les salauds!
    Passons sur l’accueil qu’ils ont parfois reçu en Angleterre : un certain nombre d’entre eux ont pu voir de près la pointure des skinheads qui leur souhaitaient la bienvenue à coups de rangers et à 15 contre 1. Allons un peu au delà de la rancoeur puérile de ces immigrés qui se sont fait malencontreusement casser la gueule lors de simples algarades entre baigneurs.
    Posons la question qui va fâcher : Elizabeth mérite-t-elle la gratitude universelle? Qu’a-t-elle fait pour la mériter ? Elle est présentée comme une chef d’Etat, mais quelle décision de chef d’état a-t-elle prise qui ait eu un impact sur la vie des gens? Aucune, évidemment. Lors de l’interminable défilé des hommages télévisuels, a-t-on vu nos éditocrates louer sa politique étrangère? Ses décisions liées à l’économie? Ses audacieuses avancées sociétales? Non. On a vu les ineffables Stéphane Bern et Adélaïde de Clermont-Tonnerre (Points de vue Images du Monde!) nous parler de ses chapeaux, de ses chiens, de ses châteaux. C’est peut-être un peu léger pour inciter les pakis à se déplacer à Westminster. A vrai dire c’est un peu léger pour inciter quiconque à se déplacer. Mais les gens sont bizarres, et outre-Manche encore plus qu’ailleurs…

  29. Mendax
    16 septembre 2022 At 18h45
    De célèbres idiots utiles – dont l’un régulièrement cité par ces dames:

    https://desk-russie.eu/2022/09/16/voyage-au-pays-des-idiots.html

    Il faut remercier Mendax de cette piqûre de rappel. On reconnaît facilement dans ces quatre portraits un certain nombre de remarques produites ici même sur ce blog par celles et ceux qui donnent à la Russie des circonstances atténuantes – quand ce n’est pas un soutien sans ambiguïté. On sait donc d’où elles et ils parlent, et c’est tout à fait intéressant.
    Une enquête sur les financements russes – directs ou indirects – à ces quatre « idiots utiles » ne serait ni idiote ni inutile.

      • Ah! Revoilà notre chevalier d’Assas!
        Quand on relit les sottises que Castelnau, cet avocat – spécialiste de la chose militaire comme on en fait peu – a pu dire (et continue à dire) sur la guerre russo-ukrainienne, on comprend très vite que ce n’est même pas la peine de l’attaquer : il sait très bien s’auto-détruire.

          • « On l’y a entendu débattre fort civilement en 2019 avec le conspirationniste Étienne Chouard, admirateur de Soral et de l’« effroyable imposteur » Thierry Meyssan. Naguère mélenchoniste, il se fendra en avril 2022 d’un billet intitulé « Moi, communiste patriote, je voterai Marine Le Pen ». Un cursus qui aurait ravi Coluche : trente ans de droit, et tout le reste de travers. »

            Y a-t-il besoin d’en dire plus ?

          • Tiens, vous reprenez les tics de Flo?

            Et un énergumène qui termine toutes ses périodes oratoires par « hein », ça vous plaît tant que ça?

            (Je sais, je sais, c’est mesquin de s’en prendre ainsi à la forme. Mais je vous croyais un peu esthète malgré tout. Je suis déçu.)

          • @ Bugeaud

            C’est un peu le syndrome Brighelli/Onfray/Zemmour/des polémistes : sur dix minutes, il y a trois conneries… mais putain que ça fait du bien. Le déchet n’est pas bien grave si le principal est là. Question de style – de panache !

            @ Mendax

            Je lis plus Castelnau que je ne l’écoute à vrai dire.

  30. Les IgNobel nommés

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/09/16/c-urs-synchrones-scorpions-constipes-et-pros-du-commerage-au-menu-des-nobel-de-l-improbable_6141824_1650684.html

    PS : Les Français aiment l’idée d’expérience(s) cruciale(s) mais ils sont plutôt seuls. Par exemple, une expérience confirmant le principe d’équivalence avec une précision accrue recueille un succès d’estime mais ça ne touche pas l’autre élément de la paire. Pire, les expériences d’Aspect en physique quantique auraient dû lui valoir le prix Nobel (par le Ig !). Mais, l’important, notamment chez les physiciens amers loqués, est que ça marche, pas qu’on y comprenne quelque chose…

  31. Charles III fait du lèche-cul aux musulmans mais cela ne sert à rien : ils ne le reconnaîtront jamais pour toi ! C’est le chef de l’église anglicane … le jour où ils seront majoritaires ils renverseront sa dynastie et mettront à la place un roi musulman ! Ou encore obligeront les descendants Windsor à abjurer l’Anglicanisme et à épouser l’Islam !

    • Déjà que le Royaume-Uni vient d’échapper de peu à la nomination de Rishi Sunak au 10 Downing Street…
      Non mais vous vous rendez compte? Un Indien à Downing Street? Un Indien avec des larmes de crocodile pour pleurer la reine préférée de Pierre Driout (sans qu’on ait bien compris pourquoi, soit dit en passant)?
      Good mourning England !

  32. Charles III fait du lèche-cul aux musulmans mais cela ne sert à rien : ils ne le reconnaîtront jamais pour roi !

  33. Je ne le verrai pas évidemment mais ce sera pareil en France : avant la fin du siècle la France sera une république musulmane !

    • Les Français ne veulent pas être sauvés, ils veulent mourir tranquillement ! Ils réclament à cor et à cri une loi sur l’euthanasie !

      Donc en conclusion je me soucie comme d’une guigne de leur sort actuel puisque après avoir trahi la France ils veulent en finir avec la vie !

      • On vous offrira une sortie de l’ehpad de Rueil sur les deniers publics auxquels vous ne participez pas ou si peu…

        • Les deniers publics ? C’est quoi ce discours de vieillard ? Vous vivez dans quel siècle ? Déjà que vous lisez « Le Monde » ce qui fait que vous avez la vue basse maintenant vous radotez sous l’Ancien régime !

  34. Petits veinards ! Vous ne me payez même pas et vous êtes les premiers informés de votre mort prochaine …;

  35. Ce qui me frappe c’est le décalage entre la réalité du monde d’aujourd’hui et le radotage incessant des petits rentiers de la république !

      • Pauvre tache ! il lit « Le Monde » depuis un demi-siècle et ne s’est pas aperçu de la moindre imposture de ce fameux canard ! Il a le don de double-vue …

    • Comment est-ce que des peuples sains et raisonnables peuvent-ils se suicider allègrement au nom d’une fausse science ? On a affaire à un cas d’école !

      La naïveté insondable de ceux qui sont passés par l’éducation nationale m’épate !

  36. Les peuples qui ont accepté le vaccin sont des peuples qui ont accepté de jouer avec des joueurs qui ont des cartes biseautées !

  37. Qu’est-ce qu’un bon journaliste ? C’est un type qui apprend à ouvrir les yeux et à rapporter fidèlement ce qu’il voit à ceux qui ne peuvent voir !

    Ergo il n’y a plus de journalistes en France ! Il n’y a plus que des employés subalternes qui exécutent docilement le contrat de travail sous les ordres de la chiourme directoriale !

    • La docilité est l’ennemie du caractère ! On apprend la soumission intégrale à l’éducation nationale … et c’est pourquoi j’ai conservé mon caractère tranchant du cancre absolu !

    • Josip, c’est un peu Macron clamant son hétérosexualité ! Assumez donc d’être de droite… On ne se cache pas longtemps derrière son petit doigt.

  38. « Le don de double vue » : ainsi parla P. Driout, valeureux et noble défenseur de nos institutions,
    à propos de DK
    – ne pas confondre avec le royaume aux mêmes initiales et son Hamlet, pas plus que le D(+S)K qui connut de tristes mésaventures dans un autre pays –

    don qui qui permet donc de lire entre les lignes,
    ce que le général, malgré l’aide de son aide de camp, ne saura jamais faire.

  39. Rappelons en passant au général, que ne semble pas gêner l’appel du muezzin, ici comme ailleurs,
    de relire l’histoire de Telford,
    où un gang indo-pakistanais, s’est bien vengé, à sa façon, et pendant de nombreuses années, contre le vilain blanc – plus précisément de pauvres jeunes oies blanches.

    A l’autre bout, Rishi Sunak qui a « fait ses classes chez Goldman Sachs, est amateur de cricket et de football, fan de Star Wars, et propriétaire d’un manoir géorgien dans un village du Yorkshire » (la presse),
    et a ainsi frôlé le poste de Prem ; il l’obtiendra sans doute un jour, n’en doutons-pas ; les choses sont presque mûres.
    (les tabloids ne nous disent pas s’il apprécie les gins Farage ; peut-être le saurons-nous un jour).

    A chacun selon ses moyens !

    • Les salopards de Telford (et d’ailleurs) sont-ils une excuse ou une justification pour les salopards skinheads agresseurs de pakis ? L’ignominie est trans-ethnique et universelle.
      Quant à m’imaginer séduit par les appels du muezzin, c’est à peu près aussi crédible que vous imaginer vous, WTH, parcourue par un frisson de plaisir à la vue de la kalachnikov d’un combattant de Daech. Je ne vous ferai pas cette injure.

      • « Ignominie universelle » :

        Telford s’est étalé sur près de 40 ans ; c’est pas mal, dans une ville où la police a reçu l’ordre, pendant tout ce temps, de fermer les yeux.

        Gageons qu’à l’Est, nous n’avons pas fini d’en découvrir des charniers… que le grand stratège de ce blog se fera l’honneur et le devoir d’analyser, en toute objectivité

  40. Pierre Goubert (1915-2011) qui était de très basse extraction comme aurait pu parler le duc de Saint-Simon a fait un livre qui l’a rendu immédiatement célèbre dans le cercle des historiens « Louis XIV et vingt millions de Français » ; c’est le contrepied absolu des « Mémoires » de Saint-Simon. Mais cela n’enlève rien au coup d’oeil magistral de l’excellent petit-rapporteur qu’était Monsieur le Duc – et Pair de France !

    Mais les « Mémoires » du petit duc ont été mises au secret et n’ont été publiées que 80 ans après sa mort ! C’était la vérité trop cru et trop cruelle … journaliste de génie : Saint-Simon donnait à voir !

  41. Saint-Simon a écrit une page enfiévrée et totalement inattendue sur la révocation de l’Edit de Nantes en 1685 et les suites de la persécution des Huguenots. Contrairement à cette idiote de Madame de Sévigné il voit bien le désastre absolu pour le règne … il avait dix ans en 1685 et j’imagine que son coeur sensible d’enfant a dû être révolté !

  42. Si je parle de Louis XIV c’est un peu aussi parce que ce très long règne rappelle de près celui d’Elizabeth II ! Oui l’enterrement de la reine d’Angleterre est un moment immense contrairement à ce que croient les républicains français ! C’est la fin de la monarchie anglicane qui commence …

  43. Le général, comme son aide de camp, iront-ils lire JPB sur Causeur ?
    Peut-être, mais sûrement pas le dernier Murray : un blanc, au prénom qui sonne brit (Douglas)… Tout pour (dé)plaire.

    « The strange death of Europe », le premier, a été très judicieusement traduit par étrange « suicide ».
    C’est encore plus clair.

    https://www.causeur.fr/tu-seras-raciste-mon-fils-242286

    • Je répète ce que je vous ai déjà dit plus haut : l’ignominie est trans-ethnique et universelle.
      Polémiquons sur ce qui nous divise. Any time!
      Mais evitons les mauvais procès sur les sujets qui nous rapprochent.

  44. En 2016 le Cour de cassation a jugé qu’accuser quelqu’un d’entretenir une relation adultérine n’était pas porter atteinte à son honneur ou à sa considération. Et après certains osent dire que l’Occident n’est pas décadent…

  45. Brighelli a reçu 261 commentaires sur Causeur pour « Tu seras raciste mon fils » ! Est-ce une grande cuvée du Brighelli-renouveau ou une petite piquette habituelle ?

    Attention ! Le roi des cons c’est Charles III c’est pas Jean-Paul !

  46. Un jour le musicien oscarisé John Barry dit à sa jeune potiche de 21 ans Jane Birkin : Maintenant c’est fini il va falloir se séparer !
    Elle obtempère et quitte le domicile conjugal avec son enfant sous le bras sans rien réclamer – je veux dire financièrement !
    Plus tard elle admettra : Je ne savais pas retenir un homme, j’étais une belle cruche !

    • Je lui pisse à la raie. La nonnette n’y connaît rien. Je m’en tiens au dogme de l’ADEME (bilan neutre en dioxyde de carbone) et si un missionnaire du climat vient me les briser, je le passe recta dans le foyer comme au bon vieux temps de la Longue Marche.

  47. Je sais qu’il y a dans cette salle des admirateurs de Sandrine.
    Citons sa dernière déclaration :(au sujet de l’abaissement de la limitation de vitesse sur autoroute)
    « Nous devons basculer dans une société qui ralentit »
    Voir les mythes et basculer.
    C’est ça son fantasme, on le savait.
    Oui…

  48. Hier un Suisse m’a commandé « L’apocalypse joyeuse » ouvrage consacré à la Vienne d’avant la catastrophique guerre de 14.
    Je me demandais quand même si je ne préférerais pas une apocalypse même pas triste à une longue, interminable et lamentable agonie comme celle que nous vivons aujourd’hui ?

    • 🤣
      « Stuart et Carrie, les animateurs du club libertin Eureka, dans le Kent, ont choisi de faire des funérailles une occasion à part. Ils ont invité leurs fidèles clients à « partager la journée ensemble ».
      Un « buffet léger » sera servi et les funérailles seront retransmises sur une télévision.
      L’invitation ne précise pas la tenue à porter.
      Le cours des événements normaux reprendra le 24 septembre avec une soirée hungry housewives (« ménagères affamées ») ».
      ‘Reusement qu’il reste les Brits pour vraiment se bidonner !

  49. Ici on est quand même dans un confessionnal ! Alors voici mon aveu : je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir une belle âme ni même une âme à sauver – perdue pour perdue autant faire une belle fin non ? Direct l’enfer sans passer par la case purgatoire …

    • J’adore les réaction des fans : comment ? mais c’est une honte ! Johnny était un anachorète, un modèle de vertu familiale, le meilleur des meilleurs ! Un Saint-Johnny …

      Et on se demande ensuite comment les religions peuvent naître avec leurs gourous et leurs panthéons !

  50. Bon d’accord ! Un homme qui gifle une femme plus faible que lui n’est pas tout à fait un homme – mais un homme qui gifle une femme plus forte que lui et lui renvoie une mandale qui l’envoie bouler à trois mètres ?

    Face à Amélie Mauresmo la plupart des hommes n’ont pas une droite assez vigoureuse pour répliquer !

    https://www.google.fr/search?q=amelie+mauresmo&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjykvXWop76AhUY_4UKHdlwAHcQ_AUoAXoECAIQAw&biw=910&bih=411&dpr=1.5

  51. Jour J-1 :
    Liverpool don’t give a shit ; sa préférence fut, en son temps, les Fab four, sortis de son ventre.
    Rien à voir avec ceux sortis du royal Buck.

  52. « Je me rappelle d’avoir aimé les femmes » Jean de La Varende (1887-1959).

    C’est un royaliste et un catholique fervent – alors il ne dit pas « une » femme mais des femmes ! Comment peut-on catholiquement honorer plusieurs femmes-reines alors ?

  53. Aux yeux de La Varende, il y a quatre oeuvres de génie dans la littérature française :

    – Les Essais de Montaigne
    – Les Pensées de Pascal
    – Les Mémoires de Saint-Simon
    – Les Mémoires d’Outre-tombe de Chateaubriand.

    Pas plus !

  54. Alcofribas:

    C’est un peu le syndrome Brighelli/Onfray/Zemmour/des polémistes : sur dix minutes, il y a trois conneries… mais putain que ça fait du bien. Le déchet n’est pas bien grave si le principal est là. Question de style – de panache !

    Euh… Sur les trois, il n’y en a qu’un seul qui ait vraiment du style, un autre qui a le mérite d’être clair et cohérent et je ne dirai rien du troisième par pure charité humaine.

    Je trouve ça très curieux que vous les mettiez tous les trois sur le même plan. D’ailleurs, « polémistes », c’est extrêmement réducteur.

  55. Ce n’est pas la première fois dans l’histoire de France qu’un homme se fait passer pour une femme dans des emplois officiels ! On a eu l’abbé de Choisy, on a eu le chevalier d’Eon et quelques autres encore !

  56. C’est rien tout cela ! Il y a trois noirs excités en Afrique qu’est-ce que vous voulez qu’ils fassent contre Dugong et Zorglub ?

    • Là-bas, pour 10.000 CFA vous vous assurez les services d’un porteur de pancarte. Ici, Durit travaille à l’œil mu par de puissantes giclées idéologiques.

      Qu’il reste donc à ses moisisssures.

      • Faites de temps en temps une pause, dans le malsain et le nauséabond ; peut-être vous faudrait-il, comme votre cuvette de gogues, un bon coup de canard bleu (wc) ; ça nettoierait vos obsessions.

      • Et bien, oui, tel est leur, notre destin ; une hydre, dont il est impossible de venir à bout.
        Il est par moment si difficile de tenir bon, de faire face, seuls.

    • Il y a ceux qui s’en sortent et ceux qui sortent.
      Il y a ceux qui cherchent et ceux qui trouvent.

      Et parfois ceux qui sèment récoltent.

  57. Alcofribas:
    « C’est un peu le syndrome Brighelli/Onfray/Zemmour/des polémistes : sur dix minutes, il y a trois conneries… mais putain que ça fait du bien. Le déchet n’est pas bien grave si le principal est là. Question de style – de panache ! »

    Je note que vous ne niez pas que Castelnau dise des conneries.
    En outre, sachez qu’avec 3 conneries en 10 minutes, même dites avec panache, vous n’avez aucune chance dans aucun oral d’aucun concours, ENA, l’X, l’ENS, Agrégation etc. Trois conneries en 10 minutes, c’est beaucoup plus qu’un déchet : c’est éliminatoire.
    Votre indulgence et votre amour du beau confinent à l’auto-destruction. C’est le syndrome du « je me tire une balle dans le pied juste après être tombé de la branche sur laquelle j’étais assis et que j’ai sciée. »

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