Nous sommes, paraît-il, en démocratie. Et c’est, paraît-il, le meilleur des régimes : ses partisans tentent de faire honte à Xi Jinping, si chien avec les Oïgours, ou à Poutine, si vache avec les Tchétchènes.
La démocratie fonctionne sur un grand principe, que l’on nous serine volontiers : la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Quand on prononce rapidement la phrase, elle paraît fondée sur une réciprocité dans la tolérance et sur une common decency tout à fait séduisante. Mais si vous tentez de la figurer, il en va tout autrement.
Imaginez un cercle, qui représentera votre espace de liberté. Puis un second cercle, représentant l’espace d’un autre démocrate. Ces deux cercles ne se confondent pas (ce serait supposer que nos désirs sont absolument identiques), ils sont forcément sécants. La zone commune empiète donc par définition sur votre espace de liberté, et l’ampute. Imaginez ensuite tous les cercles de 67 millions de Français, et vous comprenez vite que dans ce merveilleux système démocratique, il ne vous reste aucun espace de liberté. Partout ailleurs, on appellerait cela une contrainte dictatoriale. Mais en démocratie, on appelle cela la loi, où l’individu s’efface devant le collectif.
La loi par exemple empiète en ce moment avec mon désir d’aller prendre un café le matin au Bar de la Marine en lisant le journal. Et je ne suis pas prêt de pardonner cet empiètement sur un minuscule espace personnel que je croyais avoir préservé. Puis la loi m’exhorte à me masquer pour marcher dans une ville parfaitement déserte. Puis elle m’oblige…
Quant à la démocratie, c’est ce régime qu’enfourche l’exquis Geoffroy de Lagasnerie lorsqu’il explique qu’il est favorable à une censure préalable de tout ce qui n’est pas conforme à ce que pensent lui et ses amis.
Quant à savoir s’ils pensent… Il y a beau temps que la pensée n’est plus à gauche.
Je ne suis pas démocrate. Je suis républicain.
Encore faut-il s’entendre sur le terme. J’ai expliqué tout récemment à des élèves qui doivent en fin d’année disserter sur la Révolution que lorsque Saint-Just dit « République » dans ses discours, il fait allusion à la république romaine — suggérant d’être aussi tranchant envers Danton que Brutus le fut pour ses enfants.
Ce n’est pas exactement à ce genre de république que je pense.
Ma république, j’en ai reçu la définition la plus simple quand j’avais 8 ans.
Nous n’avions pas la télévision, et mes parents m’amenaient parfois au cinéma. Ce jour-là, dans une grande salle de la rue de Rome, à Marseille, qui n’existe plus et permettait alors de voir des films en 70mm, j’ai entendu la déclaration suivante :
« République ! C’est un nom qui sonne très bien… Ça veut dire qu’on peut vivre libre, dire ce qu’on veut, aller et venir où on veut, boire à en prendre une cuite si ça vous chante… Il y a des mots qui vous font de l’effet. République est l’un de ces mots qui me donnent des picotements dans les yeux, un serrement de gorge comme lorsqu’un homme voit son premier-né commencer à marcher… Ces mots-là quand on les prononce, ça vous échauffe le cœur… « République » est l’un de ces mots. »
On pourra si l’on veut mettre sur le compte de mon jeune âge l’effet prodigieux de ce discours, articulé par un acteur que j’admirais — et dudit film en général. Un film où 175 hommes meurent comme étaient morts les 300 Spartiates des Thermopyles — ou le petit Bara face aux contre-révolutionnaires : au nom de la Liberté.
Ils auraient été bien surpris si on leur avait expliqué que 180 ans plus tard, un gouvernement pourrait les empêcher non seulement de « boire à en prendre une cuite », mais simplement d’avaler un café. Qu’auraient-ils fait du gouvernement qui aurait tenté de les museler ? Ce que, dans le film susdit, ils firent à Santa-Anna, dictateur du Mexique. Ils l’auraient chassé.
Les démocrates ont, assez habilement, mis le mot « Liberté » au pluriel, afin de l’émietter. Un truc de rhétoriciens malhabiles. Tout comme ils ont accolé des adjectifs au mot « Laïcité » — et une laïcité à géométrie variable, ce n’est plus une laïcité du tout. C’est comme le « Je t’aime ». Accolez-lui un adverbe (un peu, beaucoup), et le sens est subitement édulcoré.
Il y a des mots absolus. Liberté est de ceux-là. République aussi.
Démocratie est désormais un mot de politiciens avides et corrompus. Un mot de trouillards aussi — mais la trouille, en langage rhétorique contemporain, se dit désormais Altruisme et Respect d’autrui. Sauf que le mot Respect, tel qu’il est articulé aujourd’hui, appartient lui aussi à la gamme des renoncements. Les seuls individus respectables sont les hommes libres. Mais où sont-ils désormais ?
Jean-Paul Brighelli
PS. Si l’on doute de la version française, dont j’ai repris exactement les termes, on peut toujours se référer à l’original américain, dont voici la version intégrale : « Republic. I like the sound of the word. It means people can live free, talk free, go or come, buy or sell, be drunk or sober, however they choose. Some words give you a feeling. Republic is one of those words that makes me tight in the throat — the same tightness a man gets when his baby takes his first step or his first baby shaves and makes his first sound as a man. Some words can give you a feeling that makes your heart warm. Republic is one of those words.»
« Les démocrates ont, assez habilement, mis le mot « Liberté » au pluriel, afin de l’émietter ».
Il est très à la mode de mettre au pluriel des noms afin de les nullifier : « culture », « musique », médecine », etc.
Qu’en pensent les frères-la-truelle ?
Ce qu’il y a de bien c’est que toute la république va maintenant ressembler à un Ehpad géant !
« Et je ne suis pas prêt de pardonner … »
J’aurais écrit « près de » ou « prêt à ». Me trompé-je ?
et empiéter SUR plutôt qu’empiéter avec ?
Tout ça, c’est dû au clavier;le cerveau a pensé interférer avec puis empiéter et ça s’est télescopé.
J’ajoute que les prépositions sont des putes;dans les langues à déclinaisons, elles sont moins salopes mais en français !
Je ne pense pas que vous vous trompiez, Christophe.
superbe ! merci JPB ;
« Il y a des mots absolus. Liberté est de ceux-là. République aussi.
Démocratie est désormais un mot de politiciens avides et corrompus »
On ne peut mieux dire !
(on peut aussi aller écouter les 2 mns où J. Wayne prononce ces paroles…)
https://youtu.be/ZLQ7klqYE_4
Super! Merci.
On apprend que pour se faire élire, Davy Crockett a dû se faire passer pour péquenot, alors qu’il parle bien, en homme instruit, en habile rhétoricien.
Parfois, pour réussir en politique,il faut faire de l’anti-rhétorique.
Comme il faut toujours tout rapporter au Maestro je rappellerai une petite anecdote: jeune cloutard, Il Maestro tomba un jour ,en Corse,sur deux petites et accortes randonneuses, pas du tout normaliennes; l’une des deux (pauvrette) avait fait un faux-pas et ne pouvait plus guère marcher;JPB la chargea sur ses épaules ;il n’y avait guère plus de 50 km jusqu’au prochain village; assez de temps quand même pour qu’une conversation prenne corps, cependant que le clitoris de la donzelle frottait, frottait sur la cinquième cervicale du porteur .
L’habile rhétoricien fit tous les efforts possibles pour gommer de son vocabulaire tout ce qui eût trahi sa nature d’intello…Rien n’y fit.
On ignore la fin de l’histoire.
Le Maestro s’était-il souvenu de John Wayne ?
50 kms, n’exagérons pas. Trois heures de marche tout au plus. Mais bon, elle pesait son poids, la gisquette.
Je leur ai raconté que j’étais manutentionnaire à Conforama — à côté de la Samaritaine, à l’époque, à l’angle du Quai de la Mégisserie. Ça a très bien marché. Arrivés à l’étape du col de Vergio (le bien nommé), elles ont choisi le gîte, et moi l’hôtel. Et je leur ai galamment offert de venir prendre un bain. Le reste appartient à l’histoire.
Gal, amant de la tour Magne, à Nîmes.
PS
i) je croyais me souvenir qu’elles n’avaient pas gobé votre salade;mais finalement, que vous fussiez un intello ne les dérangeait pas plus que ça
ii) Conforama,ça existait déjà à l’époque et à cet endroit ?
iii) Vous les avez fait entrer dans l’hôtel en catimini ? ou bien vous avez payé « l’impôt révolutionnaire « ?
Je les ai invitées dans ma chambre, et personne n’y a trouvé à redire. On sait vivre, là-bas.
Etait-ce une autre enseigne ? Ça vendait des meubles et de l’électro-ménager.
c’était peut être « la Belle Jardinière » !
Le problème pour moi ne vient pas seulement des formes politique mais aussi du fait que l’individu n’a plus la maîtrise de son environnement parasité par la technique !
Depuis deux mois mon ordinateur avait été vidé de ses logiciels et de ses fichiers et hier matin microsoft a décidé de tout faire réapparaître miraculeusement !
A qui me plaindre ? Quel interlocuteur obtenir ? Rien ni personne en fait !
J’achète une machine – un objet – mais c’est une carcasse vide et je suis entièrement dans les mains de son fabricant qui décide si j’ai le droit de m’en servir ou pas !
Kafka avait décrit un univers bureaucratique où la moindre erreur de fichier devient cauchemar humain à répétition ! On a quelque chose de ce genre mais c’est la machine qui a pris le pouvoir – ce ne sont même plus des bureaucrates !
Je ne sais quel modèle mathématique abscons a décidé à notre place ce qui était bon pour nous ou pas – si nous devions être confinés ou pas – quelles restriction de déplacement et d’usage nous devons supporter dans nos vies !
Tout ce qui paraissait de l’ordre du délire littéraire s’accomplit sous nos yeux en ordre dispersé peut être mais d’une manière soutenue !
Je ne sais à quoi comparer la nouvelle ère qui s’annonce et qui ne ressemble politiquement à rien de ce qui précède !
Un nouveau moyen-âge où l’individu serait comme un serf, aussi ignorant des enjeux politiques que ligoté par des liens de sujétion d’une précision inouïe dans toute l’histoire humaine !
Racheter sa liberté ? Oui mais comment faire ?
Nous nous acheminons par à-coups douloureux vers une ère où la liberté ne sera même plus une valeur ni un désir, et encore moins un rêve. J’ai hâte que cette ère advienne et s’installe pour de bon…
Madame Vonner,interrogée à la radio,profite de l’occasion pour embrouiller encore plus les
choses .
André Bercoff lui demande des précisions sur ses déclarations tonitruantes à
l’Assemblée…elle reconnaît avoir grossi le trait (sans dire à quel point) et, bien évidemment,
n’avoue pas avoir inventé de toute pièce une recommandation anti-masque du Center for Disease Control.
Bercoff n’insiste pas, car il fait partie de la corporation des enfumeurs.
Quant aux députés, la vérité, ils s’en contrecaguent.
https://www.youtube.com/watch?v=sy7gIaoo7Lg
Bah, ils se contrecaguent de tout ce qui ne va pas dans le sens du ministre, de la peu et des labos.
J’espère que vous avez compris qu’il n’y a pas (et qu’il n’y eut jamais) de quoi créer une telle panique. On nous demande de gérer, nous citoyens, des décisions qui ont réduit à pas grand chose l’efficacité du système hospitalier. Et comme, de droite et de gauche, ils en sont tous responsables…
Ce n’est tout de même pas la faute des citoyens si nous avons un système hospitalier en faillite. Mais ils n’ont pas à assumer les mauvais choix de vingt ans de libéralisme.
Excellent! Mais essecusez svp oussequ’il est le mot France?
“Les démocrates ont, assez habilement, mis le mot « Liberté » au pluriel, afin de l’émietter. Un truc de rhétoriciens malhabiles. “
C’est toute l’ambiguïté de l’adverbe “assez”;on peut-être relativement, passablement ,“assez” habile tout en restant plutôt du côté malhabile.
Enfin , plus exactement, ces démocrates sont assez habiles dans leur démarche, mais en matière de rhétorique,ils ont des progrès à faire.
Jadis,il m’arrivait de demander au boulanger une baguette “assez cuite”;aujourd’hui je demande toujours une baguette très cuite et même quelquefois une baguette extrêmement cuite-car la quasi-totalité des baguettes sont insuffisamment cuites.
C’est assez Lormier – mais pas trop quand même !
Tiens, vous me rappelez que je me suis fâchée avec la boulangère qui ne voulait pas entendre formuler de nuances de cuisson dans la commande et formulait cette exigence de manière agressive et à peine polie.
J’ai donc boycotté pas mal de temps et quand j’ai appris qu’elle était partie, j’y suis retournée. Et je fais comme vous car j’ai horreur du pain peu cuit, peu ragoûtant et fort pâteux.
Bonne remarque.
La France est moribonde, le nom de notre pays est (presque) devenu un gros mot.
Les pays meurent aussi.
Un de mes profs d’histoire – qui faisait beaucoup de hors-programme ( je devais être en seconde) avait terminé un de ses cours par la phrase ci-dessous dont je me souviens encore parfaitement.
« Ainsi, sans guerre aucune, il suffit de cinquante ans pour détruire un pays, même un grand pays. »
Je ne me souviens plus du cours, peut-être n’avais-je pas bien compris, mais j’ai retenu la conclusion.
Maintenant, cinquante ans après, j’ai compris.
Salut France !
Oui, il y a.
Ce commentaire, mal placé, était une réponse à celui de Lili
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/republique-versus-democratie-003253#comment-392835
» Mal nommer les pays, c’est ajouter au malheur du monde »
Citation approximative de Camus.
Un homme, ça s’empêche de mal nommer les pays.
Absolument!
« Voilà ce que c’est un homme, ou sinon… »
Sinon, ça brouille l’écoute.
Et ça finit par la séparation: Salut Fred.
Oui,… deux
Très.
Les pays meurent aussi, et comme les oiseaux, ils se cachent pour mourir.
Les pays moisis !
Phallus rance.
J’ai arrêté de saluer mon ami Fred depuis que je lis vos contrepets.
A quoi reconnaît-on un professeur moisi ?
Il achète ses bouquins chez Pierre Driout.
Pour écrire un seul vers …
https://www.youtube.com/watch?v=XOOXiolhCnA
« Um eines Verses willen muß man viele Städte sehen, Menschen und Dinge, man muß die Tiere kennen, man muß fühlen, wie die Vogel fliegen, und die Gebärde wissen, mit welcher die kleinen Blumen sich auftun am Morgen. »
Rainer Maria Rilke.
Abc – smart!
Il y avait un auteur compositeur et chanteur qui lui écrivit une lettre.
Un artiste magnifique black listé plus ou moins. Auteur, mélodiste subtil, interpréte fracassant.
F. est un peu comme ces livres que je ne prends plus à la bibliothéque. Je les commande à la librairie, parceque j’ai trouvé un jour des des crottes de nez dans un livre. Dedant… C’est pareil avec le pays: on le moque, on « le mouche », on ne le traite, on le traître et on laisse d’autres trancher.
République et vérité.
Dans l’extrait opportunément fourni par fib,on entend Crockett parler lyriquement de la républiqe;on entend aussi cet échange avec Travis:
Travis…vous êtes venu au Texas pour vous batter avec nous
Crockett: Ne le dites pas à mes compagnosn du Tennessee;ils croient que nous sommes venus pour chasser et nous saouler.
Quand on veut la république, faut-il parfois mentir ?
Je pose la question.
Si l’on est un peu avisé, quand on vous présente une photo où il y a les ruines d’un château, on voit d’abord Brighelli qui passait par là.
De même ce billet ne parle pas d’abord de république mais de la formation du Maestro.
Quand à huit ans il vit ce film, ne fut-il pas frappé par la roublardise de Wayne ? En fit-il son miel ?
Je pose la question.
vide:
Dans la photo d’un château en ruines, voyez-vous d’abord la ruine, ou le château — ou Brighelli qui y passait ?
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/ego-trip-002296
Le 4 octobre 2020 à 23 h 41 min, Thierry L a dit :
Horreur absolue, magnifiée par JPB ayant perdu definitevement une roue, dans un discours a la Malraux, sans l’opium avec sa légion d’honneur a la Darcos…
Tiens, on reparle du gros pein de soupe !
Recyclage de Ministre:qui préside la fondation Kaïros ?
XAVIER DARCOS
Qu’est-ce que la fondation Kaïros ?
La Fondation Kairos vise à soutenir les projets éducatifs innovants, et notamment les établissements scolaires libres, qui ont à cœur de transmettre la connaissance et la culture classique.
https://www.fondationkairoseducation.org/
Trop de vin ; il s’agissait de la pantheonisation (c’est tendance) d’A. Nothomb avec un discours a la Malraux accueillant les cendres de J. Moulin.
La légion c’était pour faire solonnel
Pendant qu’on musèle tout un peuple et que tout manquement au port du masque est sévèrement réprimé, la justice accorde la liberté et aux pédophiles.
https://www.republicain-lorrain.fr/amp/faits-divers-justice/2020/10/03/la-jeune-fille-etait-abusee-par-son-oncle?fbclid=IwAR3EGLOHS_Z6gCDFQDBhTYjEnTuJdJ3_o__KUW7RhJxdKJykoKKz5G_7IQA&s=04&__twitter_impression=true
Pas de masque ? inscription automatique au fichier des volontaires pour les tests de vaccins
C’est la prochaine étape.
« Je ne suis pas démocrate. Je suis républicain. »
Moi non plus.
Moi je suis censitaire !
D’ailleurs à ce sujet je lance une quête ici-même : j’ai besoin de 2,8 millions d’euros pour racheter le château de Verteuil aux La Rochefoucauld.
En échange je m’engage à de menus travaux littéraires comme chanter la louange de mes bienfaiteurs.
Si Dugong-le-riche veut verser son obole, on chantera même son épithalame s’il le faut !
Escroc ! C’est une merde inchauffable classée Z– (passoire thermique).
Je paye la doudoune à mes invités de marque !
Un hectare de toiture, certes, mais en bon état et sans vis à vis. Fine gueule, Pierre. Votre cagna ne manque pas de style.
dans le Figaro papier du jour (non, je ne suis pas abo !) : deux articles sur la « démocratie » ;
(même) N. Baverez (…) qui titre : « de la corruption de la démocratie en Amérique » ;
quant à J. Julliard, il titre :
« la démocratie en danger », ;
pas de tout le même type d’analyse bien sûr,
juste un très court extrait : « tous les régimes, tous les chefs d’Etat, de plus libéral au plus autoritaire, du plus privatiste au plus étatiste, s’en réclament bruyamment, comme autant d’hommages que le vice rend à la vertu »,
et, on note
qu’il utilise, INDIFFEREMMENT, tout au long de son « carnet »,
les termes « démocratie » ou « république »…
néanmoins,
si demeurent perverties et dénuées de sens ces « civilités traditionnelles », ces « dispositions à la bienveillance et à la droiture qui constitue l’indispensable infrastructure morale de toute société juste » (Orwell)
autrement dit, si une « common decency », ne peut être instaurée (restaurée ?), aucun espoir de mise en place d’une véritable « république » ;
cette « common decency » qui « prend clairement appui sur ces vertus de base que l’humanité a toujours reconnues et valorisées, et qui ont acquis, à ce titre, un statut transversal par rapport à toute construction idéologique possible.(Michéa)
Eric ZEMMOUR vient de dire 2 choses terribles sur Cnews:
1. La nouvelle encyclique du Pape « sacrifie » les Peuples européens
2. » Ce que je ( Zemmour) dis aujourd’hui sera répété dans 10 ans, et ce sera TROP TARD ».
Vous voyez Jean-Paul, pareil que pour Zemmour : Ce que je vous dis, aujourd’hui, sera répété dans 10 ans, et ce sera TROP TARD !
Vous ne voulez pas coucher utile une fois dans votre vie ? Quand je vois Carla Bruni invitée en guest star au 20h de Delahousse alors que la donzelle n’excède pas les 5 000 albums vendus par sortie et ce soir, la cinq reçoit avec les mêmes honneurs Julie Gayet – véridique, à 24 heures d’intervalles – qui est aussi bankable au box office que Pierre saurait l’être… Un plan avec une ministre ou future ministre ou tenez, une présidente, vous ne manquez pas de pif ? Hein… Tous les éditeurs se battent pour que vous signez chez eux du jour au lendemain. Du 20 h en veux-tu en voilà, des brunch en cascade avec le meilleur du gratin journalistique dans les palaces parisiens et ce n’est pas tout : Bim ! le festival de Cannes (qui offre peut-être la possibilité de croiser Charlize… Non, ça n’est pas rien).
Utile pour vous mais attention surtout pour la République. Le devoir vous oblige un peu maintenant après cette superbe déclaration qui me fit écraser une larme.
Non, ne répondez rien, ne vous précipitez pas ; le temps est pour vous comme ont dit au poker.
Bizz !
« avec le meilleur du gratin journalistique »
Même en cherchant bien… ?
Non, vous exagérez, Méditerranée, il y en a de très jolies.
Un « mineur non accompagné » de 25 ans -militant de l’extrême-droite musulmane- poignarde des passants devant les anciens locaux de Charlie Hebdo: silence radio des politiques, artistes et journalistes bien-pensants.
Non, le véritable danger, ce sont les propos de Zemmour.
“…l’exquis Geoffroy de Lagasnerie …explique qu’il est favorable à une censure préalable de tout ce qui n’est pas conforme à ce que pensent lui et ses amis.”
Il revient sur le mot “censure”, qu’il regrette d’avoir prononcé; plus exact ,dit-il est le mot “mépris”: je refuse de “débattre” avec des gens que je méprise;accepter de participer à de pseudo-débats avec tel ou tel, comme le voudrait la presse, c’est renforcer tel ou tel.
En aucun cas il n’appelle à une censure institutionnelle.
En gros: toi,t’es trop khon, ou trop malhonnête, je refuse de perdre mon temps à te parler.
Êtes-vous certain qu’il n’y ait pas une censure du débat public ? les idées échangées ne concernent pas que ses acteurs. Il prive également le public d’une possibilité de se forger une opinion.
Il suffit que quelqu’un comme lui ouvre la bouche une fois dans les media pour que notre opinion soit forgée. Il rêve d’instaurer une censure pour ceux qui ne pensent pas comme lui, mais toute la bienpensance médiatique serait bien avisée d’éviter de l’inviter, autant qu’elle évite consciencieusement certains !
Un manutentionnaire de 20 ans et quelque, qui, dans les années 70, se paie une chambre d’hôtel
avec salle de bain, des meufs qui auraient pu croire ça eh ben, elles auraient été vachement
naïves.
A mon avis,elles étaient pas naïves.
Je sais que les refuges pour randonneurs, en Corse, ont la réputation d’être particulièrement
crades mais bon… il devat bien y avoir quelques douches.
En acceptant l’invitation d’un mec seul à venir prendre un bain dans son hôtel, les meufs
acceptaient tacitement beaucoup plus.
Et pis d’abord, j’aimerais bien savoir: le bain, elles l’ont pris ensemble (pour économiser l’eau,
denrée rare en Co?rse en plein été) ou l’une après l’autre ?
Et pis l’éclopée, elle a pu enjamber seule le rebord de la baignoire ?
on ne saura jamais la vérité ; à moins qu’il n’ait fait subrepticement qques photos, mais il n’en conviendra jamais…
il est vrai qu’on embellit toujours, c’est inévitable …
2 jeunes filles, dont l’une portée pendant une marche de 3 heures, dans la montagne, balade suivie de débordements de baignoire, faut quand même assurer ;
certes, à 20 ans, on peut tout, ou presque.
Mais écrire « Ma république, j’en ai reçu la définition la plus simple quand j’avais 8 ans » ;
là, c’est vraiment très fort ; on touche vraiment à l’exception(nel).
N’y aurait-il pas une pointe d’ironie ?
Je vois que vous ne connaissez pas la Corse. En montagne, de l’eau, il y en a tant qu’on en veut.
Tenez, je suis bon prince, je vous conseille un excellent guide de la Corse écrit par quelqu’un qui s’y connaît :
https://www.amazon.fr/Corse-du-Sud-ancienne-%C3%A9dition/dp/2742401628
et
https://www.galaxidion.com/livre/109986-haute-corse-gallimard-loisirs
« Je vois que vous ne connaissez pas la Corse. »
Tu m’étonnes, ce pauvre lormier n’est jamais sorti de chez lui car il a pas une thune.
Je suis toujours épaté qu’il ait réussi à caser un aéroport entre ses toilettes et sa chambre à coucher…hurkhurkhurk !
La République ne sera sauvée de la démocratie – devenue la confrontation de minorités revendicatives- que par un Cincinnatus.
j’ignorais… très intéressant ! merci
« On s’est fait avoir » dirent-elles en regardant le porte-clef que le faux corse roublard leur remit en guise de cadeau d’adieu.
Si le gros plien de soupe vous manquait:
https://www.fondationkairoseducation.org/wp-content/uploads/2020/06/introduction-fondation-kairos.mp4?_=1
Comme tout le monde, les ricains aiment à se peindre avec les flatteuses couleurs de leur imagination. Hypocrites, ils rendent hommage aux nobles sentiments dans les seuls films et discours, alors qu’ils les bafouent en permanence dans les faits. L’universel idéal politique et marchand se résume à cette formule en vieil italien : « Ubi Disneylandum faciunt, Paradisum appellant. » (qui connaît une variante : « Ubi solitudinem faciunt, Islam appellant »). L’intérêt du latin de cuisine, c’est que sa traduction n’exige même pas d’avoir oublié son latin.
L’interrogation finale de m’sieur Brighelli me semble rhétorique, et d’une ironie infrasonique comme disait Curtis. Les hommes libres n’existent plus, faute de lucidité, faute de cohérence, faute de courage. Le néant nous attend post mortem : c’est une chance ; sinon, même les moins pires d’entre nous auraient eu à affronter le regard lourd de mépris et de tristesse de nos ancêtres qui ont oeuvré non pour un régime (« la » « république ») mais pour une nation (la France). Nous sommes tellement indignes d’être encore appelés des Français que nos maîtres ont raison d’offrir ce titre, jadis un honneur, à tous ceux qui veulent profiter des avantages associés à une carte d’identification.
Voici un discours d’homme libre, adapté à notre sinistre époque, celui du chef calédonien Calgacus qui harangue ses troupes en leur exposant sobrement le système romain, ricain, européen, chinois (au choix) qui entend les asservir. Il a le talent de Tacite. Mutatis mutandis…
« Toutes les fois que je considère les causes de la guerre et l’extrémité à laquelle nous sommes réduits, un grand espoir m’anime ; oui, ce jour même et votre accord fonderont l’époque de la liberté de toute la Bretagne. Et en effet, tous nous fûmes exempts de la servitude ; au delà plus de terres ; la mer même ne serait pas un asile : la flotte romaine nous y menace. Ainsi le combat et les armes, seul parti honorable pour les braves, sont ici même le plus sûr pour les lâches. Les guerres précédentes, où l’on combattit contre les Romains avec une fortune diverse, avaient leur espoir et leur ressource en nous, nous les fils les plus nobles de la Bretagne, et qui, placés au fond même de son sanctuaire, et ne voyant pas les rivages de la servitude, avons eu nos yeux même préservés du contact de la tyrannie. Placés à l’extrémité du monde, derniers restes de sa liberté, cette retraite, qui nous cache à la renommée, nous avait jusqu’ici protégés : maintenant les dernières limites de la Bretagne sont à découvert ; ce qu’on ignore est ce qui en impose. Mais derrière nous plus de nation, rien, que des flots et des rochers ; et à l’intérieur sont les Romains, à l’orgueil desquels vainement vous penseriez échapper par l’obéissance et par la soumission : envahisseurs de l’univers, quand les terres manquent à leurs dévastations, ils fouillent même les mers ; avares, si l’ennemi est riche ; ambitieux, s’il est pauvre. Ni l’Orient ni l’Occident ne les ont rassasiés ; seuls, de tous les mortels, ils poursuivent d’une égale ardeur et les richesses et la misère : enlever, égorger, piller, c’est, dans leur faux langage, gouverner ; et, où ils ont fait un désert, ils disent qu’ils ont donné la paix.
La nature a voulu que les enfants et les parents fussent à chacun ce qu’il eût de plus cher : ils nous sont enlevés par des enrôlements, pour aller obéir en d’autres climats. Si nos épouses et nos soeurs échappent à la brutalité ennemie, les Romains les déshonorent sous le nom d’hôtes et d’amis. Nos biens, nos fortunes, sont absorbés par les tributs ; nos blés, par les réquisitions : nos corps mêmes et nos bras s’usent, sous les coups et les opprobres, à des travaux au milieu des bois et des marais. Les malheureux nés dans l’esclavage, une seule fois vendus, sont nourris par leurs maîtres : la Bretagne achète chaque jour sa propre servitude, chaque jour elle l’entretient. Et, comme dans une maison le plus nouveau des esclaves est le jouet même de ses camarades, ainsi, dans cet antique servage du monde, nouveaux et méprisés, nous sommes destinés à être victimes. Nous n’avons point, en effet, des champs, des mines, ou des ports aux travaux desquels on puisse nous réserver ; nous n’avons que du courage et de la fierté, vertus insupportables à des dominateurs ; et plus notre éloignement et le mystère de nos retraites nous protègent, plus nous sommes suspects. Ainsi, perdant tout espoir de pardon, enfin prenez courage, et vous à qui la vie, et vous à qui la gloire est la plus chère. Les Trinobantes, conduits par une femme, ont pu incendier la colonie des Romains, dévaster leur camp ; et, si leur prospérité ne les eût endormis, ils eussent secoué à jamais le joug. Nous, intacts et indomptés, nous qui n’avons point à conquérir une liberté, dès le premier choc ne montrerons-nous pas quels hommes la Calédonie s’était réservés ?
Croyez-vous aux Romains autant de courage dans la guerre que d’insolence dans la paix ? Ces hommes, qu’ont illustrés nos dissensions et nos discordes, tournent à la gloire de leur armée les fautes de leurs ennemis ; cet assemblage des nations les plus diverses, le succès le maintient, un revers le dissoudra. A moins que vous ne pensiez que ces Gaulois, ces Germains, et, j’ai honte de le dire, ces Bretons qui prêtent leur sang à une tyrannie étrangère, toutefois plus longtemps ennemis qu’esclaves, soient retenus par fidélité et par attachement ; c’est par la crainte et la terreur, faibles liens d’affection ; brisez-les : cessant de craindre, ils commenceront à haïr. Tout ce qui peut exciter à la victoire est pour nous ; nulle épouse n’enflamme le courage des Romains, nul père ne va leur reprocher leur fuite. Pour la plupart, point de patrie, ou ils servent une patrie qui n’est point la leur. Peu nombreux, tremblants, incertains, ne voyant autour d’eux qu’un ciel, une mer, des forêts inconnues, enfermés et comme enchaînés, ils nous sont livrés par les dieux. Qu’un vain appareil ne vous épouvante, ni cet éclat d’or et d’argent qui ne blesse ni ne défend. Dans les rangs mêmes de l’ennemi nous retrouverons les bras de nos frères ; les Bretons reconnaîtront leur cause ; les Gaulois se rappelleront leur ancienne liberté : ce qui leur reste de Germains les abandonnera, ainsi que naguère les Usipiens les ont délaissés, et dès lors plus de crainte. Des forts évacués, des colonies de vieillards, des municipes affaiblis et en proie aux discordes entre des maîtres injustes et des sujets prêts à la révolte. Ici est votre chef, ici est votre armée ; là, des tributs, les travaux des mines et tous les autres châtiments des esclaves : les rendre éternels, ou s’en venger aussitôt, va se décider sur ce champ même. Ainsi, en marchant au combat, pensez et à vos ancêtres et à vos descendants. »
Toute ressemblance avec notre situation serait évidemment fortuite.
MM. Martin et Gaillard offrent une meilleure traduction (ce n’est pas si fréquent) dans leur remarquable Anthologie de la littérature latine.
Belle scène pour un beau film.
A en croire Tacite, Tibère, au sortir du Sénat, s’écriait « O homines ad servitutem paratos ! », révulsé qu’il était par la servilité des « élites », et sans doute par celle du peuple tout entier qui ne renversait pas ses tyrans — tous ses tyrans.
Où sont les hommes libres ? Dans les vieux livres et dans les cimetières. La liberté d’esprit s’exprime au mieux avec un clavier ; c’est assez dire qu’elle est inutile, contrainte à l’enfer de la répétition, puisque tout ce qui devait être dit l’a été, usque ad nauseam, mais que nul ne se décide à agir enfin contre la tyrannie. Beau thème de discours et de billet. 🙂
« Il n’y a pas de miracles. Il n’y aura pas de miracles. Nos pays sont pourris. Le règne de l’argent, le désir de l’argent est un chancre qui nous a dégénérés. Il n’y a plus d’hommes. Il y a des larbins qui pensent à leur pourboire et qui comptent leurs sous. Il y avait de la grandeur en eux, il y avait de la force en eux, il y avait de la gaieté. Il y a un demi-siècle qu’on leur ment. Leur vanité et leur demi-instruction est le tambour sur lequel on bat le rappel. Cette pauvre petite vie stupide que la ploutocratie leur a faite, on leur en montre les trous et les poches, on l’agite devant eux comme un piteux haillon, et on leur crie : « La démocratie changera tout cela. » Ils le croient, les malheureux, et ils suivent, la langue pendante, depuis cinquante ans, le camion sur lequel est installé l’orchestre du cirque. Ils n’ont pas encore compris que la « démocratie » sert justement à perpétuer tout cela. Comme des chiens dociles, ils surveillent jalousement le niveau des diverses formes que prend la sacro-sainte Pâtée et se mordent entre eux au nom du Salaire, de l’Emolument, du Traitement, de la Retraite et de l’Echelon. Ils n’ont jamais songé qu’en tirant un bon coup sur la chaîne, cela changerait peut-être les données de la question. […] Ils aiment leur fausse démocratie. Ils l’ont dans la peau. C’est tellement plus confortable que les régimes énergiques. Ils aiment la manière dont ils crèvent ; simplement parce qu’ils y sont habitués. »
Merci pour ce commentaire bien gluant comme on les aime.
Et pendant ce temps-là — et en accès libre…
https://www.causeur.fr/une-photo-de-noir-est-elle-un-noir-184639
Ceci n’est pas une pipe.
J’ai regardé cette fameuse interview sur France-Inter avec le désir non dissimulé de voir Geoffroy de Lagasnerie dégommer cette Léa Salamé et sa pauvre défense de la liberté d’expression. Interview qui m’a rendu à la fois compréhensif et dubitatif envers la stratégie de GdL.
Compréhensif parce que de fait, France-Inter, cette radio d’État aussi « géniale que précieuse », n’est pas un espace neutre, et propose régulièrement dans sa matinale beaucoup d’entretiens avec ce qu’il faut bien appeler des « autoritaires de gauche »(ou néo-réacs, c’est pareil de toute façon) tous plus ou moins occupés à cette drôle de tâche de faire la peau à une certaine modernité, et plus précisément à solder le grand moment libertaire de la pensée française qui stimule beaucoup de molécules chez moi(Deleuze, Foucault et compagnie) dont GdL serait le plus évident continuateur aujourd’hui.
Dubitatif parce que je n’arrive pas bien à discerner chez GdL son degré de maîtrise de la stratégie médiatique, s’il s’agit bien pour lui de faire ici de la stratégie, car on voit bien que celle-ci est perdante en ce qu’elle attire la réprobation sur lui, et fait que ce gonze est moins suivi qu’il ne le devrait. La stratégie implique de se rendre séduisant; en opérant comme ça, et sans doute pour des mauvaises raisons, il se rend rebutant, inaudible, et assurément tricard sur Radio-France.
Ce buzz lui fera sans doute mieux vendre son dernier bouquin (« Sortir de notre impuissance politique, Fayard ») que ses idées, et d’ailleurs, rien que pour faire bisquer Jean-Paul, je pense que je vais finir par l’acheter, car dans ce livre il est question d’inviter la jeune gauche intellectuelle à ne pas déserter les parcours institutionnels qui mènent à des postes de pouvoirs qui influencent le droit et les lois, au lieu de s’engager naïvement pour des ONG inopérantes.
C’est marrant, parce que cette stratégie d’infiltration je la mène à mon niveau avec mon entourage(amis et collègues de taf) à qui je n’avoue pas directement mon tropisme de plus en plus à gauche et à qui j’essaie de glisser çà et là quelques réflexions gauchisantes. Je suis en réalité parfaitement schizophrène politiquement, je peux d’ailleurs tout à fait abonder dans le sens de mes interlocuteurs parce que je suis une grosse feignasse et que je trouve fatigant d’aller dans un sens vraiment opposé au leur, et puis, pour être tout à fait honnête, il me reste quand même des réflexes droitiers. Je suis un petit bourgeois attaché à un certain confort matériel qui perçoit de plus en plus nettement les apories de la droite et celles de la gauche institutionnelle. J’ai un corps de droite et un cerveau de gauche.
Évidemment, et ce depuis quelques temps, je culpabilise d’être un bourgeois, un privilégié. À coup sûr, ce pathétique scrupule, très répandu dans ma classe, me fera basculer un beau jour parmi les bourgeois de gauche qui lisent le New York Times et votent démocrate, ou Le Monde et votent EELV, en regrettant qu’ils ne soient pas assez à gauche tout en levant les yeux au ciel devant des déclarations fumeuses à la GdL. Bref, un personnage joué par Isabelle Huppert dans un film de ce milieu.
Mais sincèrement, je préfère me savoir bourgeois assumé -et disponible à la pensée- que bourgeois complexé; cette race là est déjà trop représentée, y’en a partout, presque autant que de noirs et d’arabes.
Corps de droite, cerveau de gauche ? Voilà qui appellerait un débat technique avec moi-même car, à part chez les sportifs de haut niveau, on a toujours un peu le cerveau de son corps, et le corps de son cerveau, non ?
Le diplo, spécialiste en recyclage d’archaïsmes en devenir, ripoline un articulet de 2012 déplorant le manque de moyens pour l’enseignement public de « l’arabe, « langue de France » sacrifiée » :
https://www.monde-diplomatique.fr/2012/10/TALON/48275
Pas un mot sur le type de langue arabe enseignée dans le public en France *, ses exigences et ni sur les attentes des zapprenants et de leurs géniteurs.
* en 2019, 6 postes (concours externe et interne confondus) pour 406 inscrits
Dans cet article, une locution amusante,à laquelle on n’échappe pas: « langue rare ».
Exemples de langues rares:l’arabe, le chinois, le russe…
J’ai eu l’occasion de bavarder un jour avec un professeur d’arabe d’un grand lycée ( avec classes prépa); il y a bien des variétes d’arabe; quand un eétudiant syrien rencontre un étudiant tunisien, soit ils parlent farnçais, soit ils parlent « arabe standard » (qui n’est pas la même chose que l’arabe .coranique.)
Le latin (aujourd’hui peu étudié) véhicule-t-il le dogme catholique ? les professeurs de latin enseignent-ils le latin liturgique ?
Augmenter l’espace séparant le ukh binational entre les deux chaises culturelles…
Juges vs enseignants:
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/audience-douloureuse-pour-l-enseignante-agressee-au-cap-d-agde-par-deux-parents-1601473625?fbclid=IwAR29Ff5qdhov_iVW7Y0DkJo4B7Cundrr90A9lWA09KTo8eva_65ihRFkd34
Une fois de plus les magistrats idéologues laxistes adressent un formidable message d’encouragement et d’impunité aux racailles qui insultent et tabassent les enseignants.
C’est « Fantôme contre fantôme » alors ? Mais j’ai déjà vu le film …
Il Maestro dans sa baignoire:
https://www.youtube.com/watch?v=Nk2-rfTbl-w
Le 6 octobre 2020 à 4 h 48 min,jpbrighelli a dit :
Je vois que vous ne connaissez pas la Corse. En montagne, de l’eau, il y en a tant qu’on en veut.
Oui;quand on a envie de partager une baignoire,on peut inventer toutes sortes de prétextes.
à propos de Tacite:
Gros-plein-de-soupe (aujourd’hui président de Kaîros,assocaition pour la promotion de l’enseignement libre) a écrit ceci à propos de son « Tacite »:
« J’ai pris le parti de considérer que la pensée de Tacite a valeur universelle et qu’il s’adresse encore à notre temps. Certes, il évoque une période cruelle où les princes étaient surtout des tueurs ou des scélérats. Il montre comment le pouvoir peut dégénérer en despotisme de palais, en servilité, en affairisme et en bureaucratie. Nos manières sont plus policées. Mais ses formules, étincelantes d’intelligence et de pénétration, semblent subitement viser une actualité permanente. Sonnent-elles plus juste à nos oreilles parce qu’elles concernaient une forme de décadence ou de déclin ? Je laisse à chacun le soin d’en juger et de lire entre les lignes. »
Et ta soeur, gros lard ?
Ca ne mange jamais de pain !
Soupe aux lardons et au pain trempé …
« C’est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l’empire ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanicus, et déjà l’intègre Providence a livré à un enfant obscur la gloire du maître du monde. Si le rôle de l’historien est beau, il est souvent dangereux ; mais il est des autels comme celui de l’honneur, qui, bien qu’abandonnés, réclament encore des sacrifices ; le Dieu n’est point anéanti parce que le temple est désert. Partout où il reste une chance à la fortune, il n’y a point d’héroïsme à la tenter ; les actions magnanimes sont celles dont le résultat prévu est le malheur et la mort. Après tout, qu’importent les revers, si notre nom, prononcé dans la postérité, va faire battre un cœur généreux deux mille ans après notre vie ? »
C’est pas du Darcos c’est du Chateaubriand !
Il n’y a pas aujourd’hui à proprement parler une intelligence artificielle qui nous domine et qui guide nos vies – mais il y a une série d’automatismes qui la remplacent et qui font fonction de … nous sommes gouvernés par une successions d’actes que nous ne comprenons pas bien nous-mêmes.
En ce sens Tacite avec ses obscurités fulgurantes décrit assez bien le tunnel dans lequel la civilisation actuelle se déploie !
« Ce n’est pas la jeune fille en crop top qui est provocante, c’est le regard lascif du mâle mal éduqué qui se pose sur elle — comme une limace glisse sur une fleur. »
JP Brighelli.
D’ac.
Faut pas que le regard soit vulgaire, faut pas qu’il s’accompagne de propos obscènes.
Mais vous ne condamneriez pas le désir, comme le font de dangereuses et toxiques khonnes, n’est-ce pas ?
D’autant moins que la créature en top l’a fait exprès — pour être regardée, admirée, pas sifflée comme un caniche. Ni attaquée sous prétexte queue.
Condamner le désir ???? Diantre !
Le communisme est monolithique – je dis souvent qu’il est monumental – alors que le gauchisme est protéiforme, il se glisse dans les interstices civilisationnels, dans toutes formes de pourritures.
Il est donc beaucoup plus adapté à une forme de société où l’information domine jusqu’à devenir sur-information, c’est à dire désillusion du monde !
Le communisme est une illusion tragique – le gauchisme est une désillusion permanente.
? très joliment formulé !
Vrai !
Proverbe corse:
Quand Jean Paul Brighelli montre la lune, l’imbécile regarde la lune.
L’obsédé regarde la lune, voulez-vous dire !
Le 6 octobre 2020 à 11 h 04 min, Pierre Driout a dit :
Il n’y a pas aujourd’hui à proprement parler une intelligence artificielle qui nous domine et qui guide nos vies …
Evgeny Morozov (qui a inventé le concept du « solutionisme ») soutient que solutionisme, « disruption » permanente et néo-libéralisme se combinent pour nous asservir.
voir
https://www.theguardian.com/commentisfree/2020/apr/15/tech-coronavirus-surveilance-state-digital-disrupt
Ca nous change de la sempiternelle « problématique » qui hantait les décennies précédentes !
Avec la « complexité » ça nous fera une nouvelle scie à limer …
Claude Hagège: « Imposer sa langue, c’est imposer sa pensée »
par Michel Feltin-Palas,publié le 28/03/2012
Enfant, quelles langues avez-vous apprises?
A la maison, nous utilisions le français. Mais mes parents m’ont fait suivre une partie de ma scolarité en arabe – ce qui montre leur ouverture d’esprit, car l’arabe était alors considéré comme une langue de colonisés. J’ai également appris l’hébreu sous ses deux formes, biblique et israélienne.
https://www.lexpress.fr/culture/livre/claude-hagege-imposer-sa-langue-c-est-imposer-sa-pensee_1098440.html
Hagège a donc appris l’arabe « classiqu » ou « littéral » ou « standard » à l’école; il n’a pas appris l’arabe sur le tas, dans la rue.
Quand on apprend l’hébreu israélien, est-ce qu’on devient automatiquement anti-palestinien ?
Seule Lili pourra vous répondre…
Mais non pas du tout.
Quand vous lisez un billet de Brighelli sur République et démocratie, comprenez que le sujet , c’est Brighelli.
Ca, fib l’a bien compris:l’important, c’est que Brighelli a vu Alamo à l’âge de huit ans au cinéma .
ci-dessus, ma réponse à:
Le 6 octobre 2020 à 11 h 31 min,
Pierre Driout
a dit :
L’obsédé regarde la lune, voulez-vous dire !
Ca le regarde ! Quand JPB se fait une toile, la toile tremble …
Devenez célèbre à peu de frais ! Inventez des mots liquides dont le sens variera à l’infini pour chaque interlocuteur comme problématique, solutionnisme, complexité, davocratisme etc etc.
Blanchard, histérorien non noir, veut représenter les noirs en Haute Définition :
https://www.dailymotion.com/video/x2yu15d
Media ,suite:
Didier Raoult a bien compris comment ça marche.
Mesdames et Messieurs les journalistes, si vous voulez un entretien,il faudra descendre à Marseille;je vous accorderais peut-être un peu de temps … mais je vous préviens d’emblée: pas de questions khonnes; donc envoyez moi vos questions à l’avance.
Monsieur Bourdin, je m’en fous de vous §!
Et ses petites émissions sur Youtube ont bien plus d’impact que toutes les salades de BFM et autres.
Je ne dirais pas qu’il pratique le mépris (il est trop gentil pour ça), simplement il rétablit une échelle des valeurs:ce n’est pas un ignorant comme P Cohen qui va expliquer à un professeur de médecine comment soigner une méningite.
C’est pourtant la version de Cohen qui prévaut dans les médias gileadocrates.
Didier Raoult a voulu jouer au « Docteur Miracle » c’est vraiment le titre d’une opérette (marseillaise) !
Just passing by
Vous y venez aussi « au clavier » ?!
il n’est jamais inutile de répéter, au contraire, d’autant que les armes ennemies se font toujours plus acérées et affinées, et donc toujours plus difficiles à débusquer et à dénoncer ;
et « la pâtée » se faisant de moins en moins alléchante, certains y pensent à « tirer un bon coup sur la chaîne », et peut être plus que l’on ne l’imagine ;
avouez que descendre dans la rue, pour demander certes… un peu plus de panem, et y perdre un oeil, c’est quand même cher payé ;
on le sait bien, le plus difficile est d’abord de nous débarrasser des « tyrans » qui engluent nos propres cerveaux
https://www.programme-tv.net/news/people/262169-null/
La démocratie c’est l’extrême-droite musulmane qui éructe un appel au meurtre en toute liberté à la télé.
La République c’est la laïcité. Et la paix civile.
Voilà !
à Pirre Driout
Si vous voulez vous faire une idée du « solutionnisme » lisez l’article du Guardian;comme je crois, vous ne lisez pas facilement l’angalis (car vous avez eu de mauvais professeurs), passez le à la moulintte Google trad (j’ai testé un paragraphe, c’est pas trop dégueu.)
https://www.theguardian.com/commentisfree/2020/apr/15/tech-coronavirus-surveilance-state-digital-disrupt
Le cas du covid-19 est éclairant ! Nous sommes dépossédés de notre liberté de choix politique – mourir soit mais libre par exemple – au profit d’un mode « pilotage automatique » – on ne vous demande même plus : laissez-nous installer les pilotes sur votre ordinateur ! Non c’est laissez-nous gérer le covid-19 que cela vous plaise ou non !
Un covid pas convivial du tout … un emmerdeur de premier choix !
Vous remarquerez que pour le moment personne n’ayant de solution – toutes les solutions proposées sont éphémères au possible ! Des palliatifs obligatoires … mais de vrais poisons dans la vie courante.
Je ne suis pas contre par principe contre les solutions – quand il y en a ! Je suis contre les fausses solutions qui apportent plus de problèmes qu’elles n’en résolvent.
réaction à l’intervention du « fantôme »,
dont l’expression, le style, sont à chaque fois une vraie révélation pour moi (le nouveau « passant » semble en prendre le chemin), ?
est-ce à dire qu’il (le « fantôme ») nourrit son corps de « droite » de doughnuts et de BBQ, et suit tout aussi docilement les impératifs dictés par son cerveau de « gauche », comme ne jamais, par ex, utiliser le « N word », mais qu’en même temps…
Fantôme qu’a ce lieu son pur éclat assigne … d’après Mallarmé.
« solutionnisme » (article, très intéressant, cité par lormier) –
très court extrait (google trad) :
« Si le néolibéralisme est une idéologie proactive, le solutionnisme est réactif : il désarme, désactive et rejette toute alternative politique.
Le néolibéralisme réduit les budgets publics; le solutionnisme réduit l’imagination du public ».
d’où l’intérêt de comprendre le fonctionnement de ces nouveaux filets, régulièrement renouvelés et mis en place, même si les mailles en deviennent tellement serrées que s’en extraire relèvera du prodige (c’est du moins ce qu’il s’agit impérativement de croire).
Un blanc a-t-il le droit d’étudier les trous noirs ? Le prix Nobel de physique vient d’être attribué notamment à Andrea Ghez qui, il y a déjà lurette, a trouvé un moyen de visualiser le mouvement d’étoiles autour de Sagittarius A*, trou noir super-massif (4,15 millions de masses solaires, au centre de notre galaxie à environ 25000 années lumière du système solaire)
.
https://www.youtube.com/watch?v=PkoE8SSY5ys
Voir à partir de 36min 51 s
Les trous noirs sont tous des mal-mariés.
« Une photo de Noir, est-elle un noir » (JPB, « Causeur ») –
Et encore une preuve de la nécessité de revenir sans cesse et obstinément… sur l’ouvrage, de traquer Le Mensonge, partout où il se cache, où il s’étale, où il prospère…
(JPB ou l’Art de trouver LES photos, comme les peintures et sculptures, qui font Tilt !)
Noir et… Noir
Si je tape « photo de nègre » sur google image, j’obtiens autant de noirs que de blancs, c’est bizarre quand même !
https://www.google.fr/search?q=photo+de+n%C3%A8gre&sxsrf=ALeKk024asFGzBP2gy7YNFrlZJSXdRJSYA:1601988280877&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjty6mz_5_sAhWuxIUKHSetAzMQ_AUoAnoECA0QBA&biw=911&bih=438
Pas tant que ça si on considère qu’il y a des blancs qui s’appellent Nègre et des noirs qui s’appellent Blanc.
Sans compter que comment savoir qu’un noir est noir s’il n’est pas à côté d’un blanc ? 😉
?
constatations et constellations :
– on en revient encore au blanc et au noir,
– les étoiles autour de Sagittarius A, « trou noir super massif » : étant Sagittaire, je trouve ça super vexant (mais je vais quand même regarder)
(une dernière)
bleu, blanc, rouge, et noir – Noirs et Blancs
https://i.guim.co.uk/img/media/4434b525041ab9972315d95ee427e0f0fa321dc8/85_82_3639_2184/master/3639.jpg?width=1900&quality=85&auto=format&fit=max&s=e2687cce01caa48bf4f0db4247211e6b
Axiome littéraire :
– Les femmes en province aiment les menteurs parisiens.
Je ne m’explique pas autrement le succès d’Emmanuel Carrère – en une semaine je viens de vendre trois de ses livres !
Ne les envoyez pas, prétextez d’une dure lutte contre les moisissures, vous diminuerez le succès de votre bête… noire.
La vie en province est tellement triste pour les femmes romantiques que je ne puis leur faire subir cela ! Je les laisse succomber à leur vice : la lecture érotique de confessions masculines !
Ça va se tasser, il n’est plus dans la liste des Goncourt.
L’atmosphère est devenue tellement débilitante que l’on en vient à rêver à covid-19 comme à des hordes tartares qui débouleraient dans la cité pour rénover à coups de hache les foules amoindries par le confinement perpétuel.
Chanson d’Aristide Bruant dont la France a tout lieu d’être fier : La noire
La noire est fille du canton
Qui se fout du qu’en dira-t-on.
Nous nous foutons de ses vertus,
Puisqu’elle a les tétons pointus,
Voilà pouquoi nous la chantons:
Vive la noire et ses tétons!
Elle a deux sourcils et deux yeux
Qui sont plus noirs que ses cheveux,
Dans ses yeux brille un éclair blanc
Qui vous fait pétiller le sang!
Voilà pouquoi nous la chantons:
Vive la noire et ses tétons!
Son haleine, comme sa peau,
A des senteurs de fruit nouveau.
Quand on aspire, entre ses dents,
On croit respirer du printemps.
Voilà pouquoi nous la chantons:
Vive la noire et ses tétons!
La noire n’a qu’un seul amant
Qui s’appelle le régiment.
Et le régiment le sait bien,
La noire a remplacé le chien …
Voilà pouquoi nous la chantons:
Vive la noire et ses tétons!
Frères, jurons, sur ses appas,
Que Bismarck n’y touchera pas,
Pour elle, à l’ombre du drapeau,
Nous nous ferons crever la peau.
Voilà pouquoi nous la chantons:
Vive la noire et ses tétons!
Même au plus fort de l’époque coloniale, comment peut-on écrire et chanter des saloperies pareilles?
Et comment s’étonner que les noirs soient…comment dire…un peu chatouilleux sur le sujet ?
Chatrouilleux des tétons ?
« novitchock » ! « néonicotinéide » ! (nouveaux jurons)
la noire était alors une blanche… aux cheveux noirs, et non une une africaine !
Combien touchez vous de fric pour cette bouse déposée sur le forum ?
Le commentariat a le DROIT de savoir !
A ne pas confondre avec un Aristide Briand
G&T : vous n’aurez jamais de médaille, même pas celle-là :
https://i2.wp.com/tintinomania.com/wp-content/uploads/2018/07/M%C3%A9daille-derni%C3%A8re.jpg?w=1200&ssl=1
là-bas, certains blancs z’et noirs (démocrates) se trémoussent pour la bonne cause ! fascinant !
https://madame.lefigaro.fr/celebrites/video-jane-fonde-remet-ses-guetres-et-son-justaucorps-061020-182900
Citation du jour:
Andrea Ghez, prix Nobel de physique :
« Très peu de gens comprennent ce qu’est un trou noir, mais beaucoup sont fascinés »
C’est troublant, en effet, on peut photographier un noir, mais pas un trou noir.
Non.
?
Le gouvernement français réfléchit à un nouvelle décoration :
le perroquet d’or.
Les futurs décorés sont légion.
kulture(s) :
je vous signale, au passage, que Lilian Thuram vient d’ékrire, en français et pas en Kréole, « la pensée blanche » :
tous à genoux, fissa !
Le 6 octobre 2020 à 16 h 06 min,
jpbrighelli
a dit :
D’autant moins que la créature en top l’a fait exprès — pour être regardée, admirée, pas sifflée comme un caniche. Ni attaquée sous prétexte queue.
i) Bien des créatures en crop top seraient très fâchées d’entendre ça; leur thèse est :il faut que les hommes comprennent que nos nibards et nos nombrils n’ont pas à être « sexualisés. »
ii) Je ne sais plus quelle femme a dit (avec raison): le mec qui siffle les filles dans la rue, le mec lourdingue, qu’espère-t-il au juste ? Sûrement pas de pécho.
Roger Penrose décroche le prix Nobel de physique 2020.
Dugong, agrégé de physique sénile, reclus dans le Périgord coloré, pourrait nous faire un petit commentaire sur les pavages de Penrose, s’il lui reste quelques neurones fonctionnels, ce qui reste à prouver.
Il l’a décroché sur le tard !
Rien à cirer. Demandez plutôt au lorrain adepte des jeux alakhs (on raconte qu’il a pavé seul tout le hall de la gare de Metz muni uniquement de sa bite et de son couteau).
Je sèche.
PS Un rapport quelconque avec Martin Gardner et ses « jeux alakh », pour lesquels il faudrait inventer un masque ?
référence:
Le 4 octobre 2020 à 10 h 03 min,
Dugong
a dit :
Y a-t-il des masques efficaces contre les jeux alakhs ? Des lois dures contre les dealers bientôt ?
en réponse à une demande de Gus concernant un cd rom d’énigmes de Martin Gardner
Les mots ne sont que des étiquettes, tout ça, mais je trouve la petite démocratie bien maltraitée et je propose une version contraire de la tribune.
Démocratie serait ainsi paré de toutes les tares du système actuel, sacrifié par des politiciens corrompus, quand République serait pur, pourvu qu’on s’accordât sur les définitions.
Je propose d’accorder le même soin au concept de démocratie, je ne vois pas pourquoi elle devrait être abandonnée à d’immondes gauchistes comme ce Lagasnerie dont l’existence vient à peine de dépasser mon horizon.
La seule définition qui tienne, c’est le fait que le peuple, le peuple seul et non quelque représentant suspect, vote les lois et élise les magistrats. C’est un peu une définition à la Chouard, qui d’ailleurs devrait se tenir à cette simplicité plutôt que de s’embarquer dans des projets de constitution, c’est la seule qui n’ait jamais directement inspiré de régime politique dans l’histoire récente. La démocratie étant absente de nos vies, il serait bien injuste et trop commode de lui faire porter nos maux. Qui peut honnêtement soutenir qu’un régime démocratique laisserait des penchants gauchistes qui ne représentent rien dans la population occuper une telle place et une influence croissante sur nos lois, quand des sondages nous apprennent encore que le peuple reste majoritairement favorable à la peine de mort, comme il l’était à l’époque où Mitterand la supprima ?
Si on refuse cette définition pour y placer une théorie de concepts qui prostituent le sens originel et s’en réclament faussement, il faut faire la même chose pour la République. Pas de références à Rome, d’ailleurs plus ou moins bien digérées par des révolutionnaires à la Saint-Just, pas de références à Bodin.
La République, nous l’avons en discontinu depuis presque 220 ans, plus ou moins influencée par le passé capétien, plus ou moins guidée par son pendant maçonnique, et maintenant par les groupuscules dans lesquels la société française se dissout. C’est la République et ses sourcilleux serviteurs qui empêchent M. Brighelli de sacrifier au café matinal. Ce n’est pas la Liberté qui résonne avec émotion dans le cœur d’un enfant, mais un régime politique, à tendance oligarchique.
Le lien entre Liberté et République est intéressant en effet, c’est bien à la seconde que les sénateurs romains pensaient quand ils méditaient de rétablir la première sous le Principat. Ils n’entendaient pas ce respect scrupuleux de la liberté intérieure de chacun, mais un régime qui garantirait leurs droits et leur prééminence.
On peut jouer avec les mots tant qu’on veut. Si on accepte de mâtiner ce jeu avec le respect de concepts qui ont une histoire, tout montre qu’il faudrait remplacer les deux mots terme à terme dans le texte.
Enfin, je me permets de recommander l’ essai d’un Canadien, Démocratie histoire politique d’un mot, qui montre bien comment la classe politique en Amérique et en France, après une phase de détestation de la démocratie et de ses significations politiques et sociales, a préféré s’en emparer tout en y transférant le contenu et les réalités du concept de République. Il est farce que le mot démocratie se voit maintenant paré des tares de son meurtrier.
Colonisée, faisant l’objet d’appropriation, d’un blackface conceptuel et constitutionnel, quel amateur de causes minoritaires viendra défendre la pauvre démocratie ?
« démocratie et histoire politique d’un mot » : merci pour le titre ; voilà qui semble intéressant à lire
A propos de la peine de mort pour laquelle le peuple a toujours penché, je ne sais où est le progrès puisqu’elle est censée adoucir les moeurs de ceux qui la craignent, mais que nenni. Alors que faire ? Laisser le champ libre à nos penchants de vengeance sociale ou tenter de faire avancer la situation au prix de l’échec que l’on constate ? C’est inextricable.
Et il faut bien se demander aussi à quoi peut mener la démo/cratie dans une population de moins en moins instruite, avec une partie de sa jeunesse de plus en plus violente, et de plus en plus soumise aux nouvelles technologies et aux médias toxiques… nous sommes rendus dans une situation inextricable.
Il est à noter que la peine de mort interdit toute récidive.
La classe ouvrière n’est pas pure. elle est. Vous préparez le terrain pour eelv 2022 ?
Je ne donnais l’exemple de la peine de mort que pour montrer les conséquences d’une démocratie par rapport à un système oligarchique, où Mitterrand s’est constitué une aura de courage et de responsabilité en allant contre la volonté générale. Et le fait que celle-ci, bien loin de se réjouir ou d’accepter le viol, de conserver peu ou prou ses convictions. Sur le fond, j’avoue que le sujet m’est assez indifférent, ou plutôt que je suis sensible à tous les arguments.
Pour le reste, l’idée que le peuple du présent est abruti et incapable de gérer ses affaires de souverain, c’est plus ou moins la position des élites depuis au moins la Révolution. Vous avez des républicains prométhéens, peut-être à la façon de notre hôte, qui veulent élever le peuple en ses enfants. En version plus sombre, vous avez les marxistes qui envisagent des dictatures éducatives, le temps de mettre le peuple à niveau. Comme celui-ci déçoit toujours… De même avec ceux qui parlent de « populisme », qui y placent exactement les critiques qu’on adressait à la démocratie avant de trouver le terme agréable.
J’oserais l’idée inverse : avoir conscience de détenir un tant-millionième de la souveraineté devrait accroître le besoin d’excellence personnelle et le sens de la responsabilité. Sinon, eh bien la nature se charge d’optimiser son contenu. C’est l’hypothèse qu’on peut risquer pour la Suisse, dont le peuple a refusé vacances et augmentations de salaire, à notre grand amusement. Au lieu de quoi les régimes dits représentatifs ne flattent que l’instinct du dégagisme, agréable quand on considère la classe dirigeante française, mais qui n’élève pas. Tout cela mériterait aussi d’être considéré à l’aune des errements de notre système d’instruction, j’ai l’impression que le fait de ne former que des eunuques politiques n’est pas de nature à favoriser l’investissement scolaire, mais c’est difficile à prouver.
Canton de Genève:finalement le SMIC a été augmenté,après « votation ».
https://www.youtube.com/watch?v=ShDqw_aMamU
PS De toute façon l’économie d’une machine à laver est quelque chose de bien particulier; de cette particularité résultent nombre de comportements qui nous sont peu compréhensibles.
A bas le peuple, à bas Chouard, a bas la populace !
La Démocratie a été crée par les élites aristocratiques pour faire croire à des sornettes pompeuses : la Liberté, l’Egalité et la Fraternité entre couillons du troupeau de moutons qui votent les yeux fermés…
On appelle République l’emballage usé du cadeau trompeur, la Démocratie.
Justement ! ils ne votent (quasiment) plus ; les yeux se sont ouverts (?!) ;
Il n’y a jamais eu, nulle part, de gouvernement « par le peuple et pour le peuple »,
pas plus que « d’égalité, de fraternité, et de liberté », alors là !…
sauf lors de moments fugaces, tout au long de l’histoire humaine (ex 1936 et 37, Barcelone, B. Durruti…)
Lorsque le mot – PURETE – est employé ça gratte!!! car Hitler a utilisé le mot et cette orgueilleuse insanité fut revendiqué aussi par – islam-
Lagasnerie qui se prend pour Saint Just est prisonnier dans son bocal, couvercle vissé à mort, désséché , avec encore un reste de formol.
Quelle tristesse, à son âge !
Lili je trouve fabuleuse votre remarque sur la notion de pureté et l’islam, étant entendu qu’elle n’a nulle valeur dans la religion hébraïque…
Le nazisme c’est l’obsession de la pureté de la race.
Le communisme c’est l’obsession de la pureté de la classe.
L’islam c’est l’obsession de la pureté de la foi.
Tous les totalitarismes sont fondés sur l’obsession de la pureté et sur l’angoisse xénophobe de la souillure (par le juif, par le bourgeois, par le kouffar).
oui ; pureté et souillure, des termes à forte connotation religieuse ;
les extrémismes sentent forcément le souffre.
A la minute où vous monterez sur l’échafaud, il faudra bien que vous accordiez quelques secondes à la notion de pureté. Ceci dit, si vous ne le faites pas, personne ne s’en formalisera.
Juste avant ou après Pierre Driout, l’échafaud ?
Qu’ils s’arrangent entre eux.
Et la galanterie alors ? Malpoli ce Dugong il ne laisse même pas les femmes passer devant lui …
Et l’égalité alors ?
La galanterie voudrait que vous testiez avant et devant elle pour qu’elle puisse apprécier l’efficacité du protocole.
La dignité voudra qu’il s’agisse de la veuve dont le peuple prisait l’usage (un ramassis d’animaux malfaisants le peuple) ; une belle mécanique d’une simplicité enfantine.
5 sur Valiere!?
Une photo de Noir est-elle un Noir? demandait Jean Paul Brighelli,il y a peu.
Je crois que la bonne réponse est: non.
Alors un tableau,une statue de femmes nue sont-elles des femmes nues ?
Peut-être Laurence des Cars, qui préside l’institution [musée d’Orsay], … devrait-elle organiser, pour les personnels chargés de la sécurité et de la sauvegarde des visiteurs à moralité étroite, une visite guidée de son établissement. Leur expliquer qu’un musée qui s’enorgueillit (à juste titre) de posséder le Déjeuner sur l’herbe ou l’Olympia a des vues assez larges sur ce qu’est la provocation…
Que l’on ne peut défendre une morale rigoriste quand on expose la Femme piquée par un serpent d’Auguste Clésinger …Mazette ! Cela laisse assez loin, dans l’obscénité, le sillon d’ombre fort décent où se devinent les seins de Jeanne*. »
[*Jeanne, l’infecte petite bourge qui était venue faire du scandale au musée d’Orsay]
@ Je n’ai pas compris l’intervention de méditerrannee à propos de l’adjectif- pur- employé par ceux qui s’y cachent derriére afin d’hégémonie? Pouvez -vous expliquer en quoi c’est « fabuleux »?
Hier soir, une fois n’est pas coutume, j’ai regardé les 3/4 du docu de pascal Blanchard sur les décolonisations.
https://www.france.tv/france-2/decolonisations-du-sang-et-des-larmes/decolonisations-du-sang-et-des-larmes-saison-1/1974077-la-fracture-1931-1954.html
Je craignais le pire mais, pour une fois chez B., les commentaires étaient plutôt bien balancés. J’ai arrêté quand il s’est agi des futures décos des derniers confettis (doms, kanakie, ilots à manchots, etc.) avec interviews de sainte vergès (son drame : même pas noire)
Maintenant que la décolonisation extérieure est faite, il faut s’attaquer à la colonisation intérieure !
l’analyse faite par Pierre Vermeren : « le choc des décolonisations – de la guerre d’Algérie aux printemps arabes –fut intéressante (pour quelqu’un comme moi, ignare en la matière) ;
lui est un vrai « historien », ou plutôt « professeur d’histoire », c’est plus sûr…
(en exergue de son livre – sorti fin 2015 – : « à Cabu, assassiné pour avoir ri de nos certitudes »…)
On demande un nouvel Hercule qui décolonisera la France !
Durit en Terre Adélie !
La Terre Adélie aux manchots empereurs !
PS Je ne suis pas l’empereur Napoléon Bonaparte et je ne suis pas un demi-dieu qui prépare son bûcher comme Hercule !
Je suis un homme extrêmement limité … c’est même quelque chose d’assez original à notre époque : j’ai conscience de mes étroites limites !
– Je ne gouverne pas sars-cov-2, j’en laisse la gloire à Didier Raoult
– Je ne gouverne pas le climat, j’en laisse l’entier bénéfice à Greta Thunberg et Nicolas Hulot
– Je ne gouverne pas la rente, je laisse ce plaisir aux rentiers boursicoteurs
– Je ne gouverne pas les trous noirs, je laisse Penrose et les mânes de Hawking aux commandes
– Je ne gouverne même pas Bonnet d’âne
Est-ce que je me gouverne ? Si peu et si mal …
Au fait vous les professeurs est-ce que vous gouvernez encore vos élèves ou êtes-vous prêts et prêtes à laisser cela à des intervenants extérieurs ?
Extrèmismes et ravages : « la fille de l’Espagnole » (Karina Sainz Borgo (Vénézuélienne), où, avec les « fils de la patrie » (les filles étaient encore pire), à Caracas, on macérait dans la souillure la plus abjecte…
Par moments, le passé (et l’enfance) resurgissent avec beaucoup de poésie, même si la vie était très dure, pour certaines, dont ces « femmes malheureuses qui pulvérisaient, à coups de pilon , l’écorce du grain », pour en faire de la farine et confectionner des « arepas » :
Pour se donner du courage, ces « négresses du village… chantaient tout en exhalant la fumée de leurs cigares ;
elles expulsaient, telle une lamentation, cette lignée de femelles auxquelles le monde n’a rien donné d’autres que des bras pour nourri la progéniture qui jaillissait de leur entrecuisse déchiqueté à force d’accouchement ;
des femmes comme des rocs, au coeur comme du pain dur et à la peau tannée par le soleil et la chaleur des foyers et des fers à repasser ;
des femmes qui ont arrosé les petites « arepas » avec la liqueur anisée de leurs peines. »
Nobel de chimie (section je coupe ce que je veux, quand je veux) décerné à deux femmes qui aiment brandir les ciseaux et le bricolage babiologique.
1er prix de Nobel de couture pour deux petites mains : je salue bien bas !
La couture au féminin mène à tout aurait dit Aline Coffin !
Alice pas Aline – mais si j’ai coupé une lettre c’est par mauvais esprit au masculin sans doute !
Sexisme:
Le procédé dont la mise au point est aujourd’hui récompensée par le Nobel s’appelle, traditionnellent « couteau suisse génétique »;comme ce sont deux femmes qui reçoivent le Nobel, tout à coup les misogynes sortent en rampant des lambris et des parquets et disent « ciseaux » -ce qui leur permet des plaisanteries lourdingues sur les femmes et la couture.
https://www.igh.cnrs.fr/images/microsite/herve-seitz/files/TechSc.pdf
Débâcle commerciale d’un petit nombriliste.
Dans une tentative désespérée pour écouler sa bouse germanopratine, l’auteur d’une auto-fiction aigre se répand dans les magazines pour ménagères intellos de plus de 50 ans, son cœur de cible.
Peine perdue !
Il se situe à la 59e place du classement des ventes de livres, loin derrière Cyril Lignac, un cuistot médiatique.
La bonne bouffe se vendra toujours mieux que les passions tristes mal digérées.
Le 7 octobre 2020 à 9 h 32 min,
Dugong
a dit :
Rien à cirer. Demandez plutôt au lorrain adepte des jeux alakhs (on raconte qu’il a pavé seul tout le hall de la gare de Metz muni uniquement de sa bite et de son couteau).
Je sèche.
PS Un rapport quelconque avec Martin Gardner et ses « jeux alakh », pour lesquels il faudrait inventer un masque ?
Faut plutôt demander à Dugong Sabine.
Sabine a beaucoup pavé.
Oui, il y a.
Sous ce lien vous aurez un aperçu de divers pavages.
https://www.google.com/search?q=pavages+abcmaths&client=tablet-android-samsung&prmd=minv&sxsrf=ALeKk022sBiqcmpP1HXvoc7AMhKSkUk65Q:1602072361957&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjMr6fQuKLsAhUHzhoKHWAQA8AQ_AUoAnoECAgQAg&biw=683&bih=911
Sa pine a beaucoup bavé.
Pavage avec Sabine (selon Escher)
http://abcmaths.free.fr/blog/uploaded_images/remplissageplan010-703946.jpg
Le titre officiel est « Huit têtes ».
Solutionnisme et macronisme.
a) Hier Macron a déclaré à des soignants qui l’interpellaient: “[l’hôpital], ce n’est pas qu’une question de moyens, c’est une question d’organisation”
b) « Après des décennies de politique néolibérale, le solutionnisme est devenu la réponse par défaut à nombre de problèmes politiques. Pourquoi un gouvernement investirait-il dans la reconstruction des systèmes de transport public en ruine, par exemple, alors qu’il pourrait simplement utiliser les mégadonnées pour inciter les passagers à ne pas voyager aux heures de pointe? Comme l’architecte d’un tel programme à Chicago l’a dit il y a quelques années, «les solutions du côté de l’offre [comme] la construction de plus de lignes de transport en commun… coûtent très cher.» Au lieu de cela, « Ce que nous faisons, c’est chercher des moyens par lesquels les données peuvent gérer la demande … en aidant les résidents à comprendre le meilleur moment pour voyager. »
Evgeny Morozov.
i) Pourquoi y a-t-il des heures de pointe ?
ii) Dites-moi de quoi vous avez besoin, je vous dirai comment vous en passer
Mettez-moi cela dans un grand tableau excel que je comprenne bien !
Tout cela ne serait pas arrivé si on n’avait pas cantonné les femmes au reprisage !
C’est comme cela que l’esprit vient aux filles … on connaît l’histoire de la Belle au bois dormant qui filait de la laine !
Quand Hercule se met à filer aux pieds d’Omphale tout tombe en quenouille !
En résumé Brighelli a voulu dire que la république c’est un truc de mecs, alors que la démocratie c’est un truc de gonzesses ! Vous voilà prévenues les filles …
Républicains encore un effort pour devenir démocrates !
Plutôt crever !
Pas de suffrage universel alors ?
Si P. Driout a raison la République et la Democratie sont souvent intimement liés comme mecs et filles.
Quoiqu’on en dise par ailleurs.
les démocrates à l’américaine, rassemblent « mecs et filles » dans cette vidéo, postée hier :
https://madame.lefigaro.fr/celebrites/video-jane-fonde-remet-ses-guetres-et-son-justaucorps-061020-182900
les mecs ressemblent plutôt à des gonzesses, et vice versa ; quand à Fonda, c’est une réplicante (non républicaine, bien sûr)
Biden rassure:je ne suis ni communiste, ni socialiste, tous mes discours, toute mon action le prouvent; en plus, je n’ai jamais copiné avec Poutine.
Le 7 octobre 2020 à 9 h 32 min,Dugong a dit :
Rien à cirer. Demandez plutôt au lorrain adepte des jeux alakhs (on raconte qu’il a pavé seul tout le hall de la gare de Metz muni uniquement de sa bite et de son couteau).
Eléments en vue d’une exégèse
“avec ma bite et mon couteau “
avec le strict minimum ; en me débrouillant tout seul ; malgré l’adversité ; avec les rares moyens dont je dispose ; sans être suffisamment équipé
« Le lieutenant-colonel Benson, ancien d’Algérie, qui se trouvait non loin du théâtre des opérations, semble bien résumer les faits : « Chacun y est allé avec sa bite et son couteau ! » Derrière cette expression imagée se devinent aisément les trésors de courage, de détermination et d’improvisation que les militaires durent déployer pour accomplir leur mission. »Cédric Michalski – L’assaut de la grotte d’Ouvéa: analyse juridique – 2004
Le commentaire de Dugong semble faire allusion à un fait divers:en gare de Metz, un individu déséquilibré, muni d’un couteau menaça le public avant d’ête arrêté.
Ouvéa ; ça n’a pas été républicain ou démocrate la gestion de tout cela avec des élections qui arrivaient juste derrière.
Ou alors trop (Républicain RPR)
Le 7 octobre 2020 à 15 h 37 min, fib a dit :
… quant à Fonda, c’est une réplicante (non républicaine, bien sûr)
Jane Fonda, à la sortie de Coming home (1978) Pas khonne, la meuf.
https://www.youtube.com/watch?v=BdNskdSwcRo
PS Vous qui est experte ès dénichonnement de séquences, vous pourriez retrouver dans Coming home, ma réplique préféréee: “My husband never did that to me” [Mon mari ne m’a jamais fait ça.]
Dans cette vidéo, on aperçoit Dugong et son pote Driout, tous deux en culotte de peau et chapeau à plumes (ils sont venus en badauds )
Dénichonné une photo où l’on voit Fonda, de dos, avec Sutherland – elle était superbe dans « Klute », avec ses cheveux savamment courts !
https://3.bp.blogspot.com/_c3Ab_3gRAo0/S6RIU4ZtiPI/AAAAAAAAAVo/K99FIaLFSQE/s280/klute+2.jpg
On a beaucoup écrit sur la scène d’amour entre Jane Fonda et Jon Voight dans Coming home…mais je crois qu’il ne faut pas espérer la retrouver sur le Bab El Oueb; j’ai cru la voir référencée dans une compilation mais quand je suis arrivé à cet item je suis tombé sur un os: Youtube a supprimé cette vidéo qui viole sa politique.
Tant pis!
Heureusement qu’il y a le peaurneau !
La scène de Coming home introuvable sur les sites corrects est sur:
https://xhamster.com/videos/jane-fonda-coming-home-5884494
Bon ,l’image est mauvaise (transfert de transfert,technique sale…), le dialogue est doublé …en russe et manque la réplique: « mon mari ne m’avait jamais fait ça . »
Pour Dugong,
dialogue de Kepler, physicien, et de l’empereur Rodolphe II, son employeur.
Kepler : votre Majesté, cela fait deux ans que je n’ai pas reçu mon traitement. Quand puis-je espérer le recevoir ?
L’empereur : Mon pauvre Képler, les caisses de l’empire sont vides. Mais dès qu’elles se rempliront, vous recevrez vos arriérés de payement.
Kepler : Et puis-je savoir quand les caisses de l’empire vont-elles se remplir ?
L’empereur : Kepler, vous vous moquez de moi. Ne renversez pas les rôles ! C’est vous, l’astrologue officiel, en charge des prédictions.
Kepler : Aaaaargh ! et gloups !
Frédérique Vidal félicite Emmanuelle Charpentier après avoir condamné la technique inventée par elle !
https://twitter.com/VidalFrederique/status/1313790715785342977
Ne rien savoir c’est un grand privilège – mais il ne faut pas en abuser sauf en politique !
Excellentes « propositions » de M. Onfray – à lire !
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co257486/contre-discours-des-mureaux
si seulement…
En résumé
JPB a qui la République apparaît a l’âge de 8 ans est exclus du catéchisme quelques années plus tard et ne peut faire sa communion (une espèce de rire de passage dépoussiéré et un peu niais, déjà dans les années 1960-1970)
Jusque là tout se tient (le curé par malfaisance atavique s’en prend au républicain en graine qu’était JPB)
En résumé bis on notera que Lormier tient une comptabilité rigoureuse des aventures galantes de JPB (là le coup de la baignoire par un chic type sauveteur en Corse au siecle dernier) contées par celui ci au fil de ses papiers …
En troisième on notera que P. Driout est censitaire.
La République sans la démocratie sans doutes …
Bon, je sors.
Le 7 octobre 2020 à 23 h 32 min, fib a dit :
Excellentes « propositions » de M. Onfray – à lire !
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co257486/contre-discours-des-mureaux
La “proposition” ci-dessous, extraite du texte d’Onfray est-elle « excellente » ?
Je pose la question.
“Dès 2016, dans Penser l’islam, j’ai donné ce chiffre dont personne ne parle: quatre millions de musulmans seraient morts sur la planète sous les frappes des Américains et de leurs alliés. Peut-on imaginer que l’oumma, la communauté musulmane sur toute la planète, soit indifférente au sort de tant de victimes innocentes? Qu’elle encaisse sans réagir, sans bouger, sans broncher? Sans vouloir se venger? Sans chercher à riposter à cette guerre du fort contre les faibles par le terrorisme qui est la guerre des faibles envers les forts? “
Pour rééquilibrer la balance je suggère à Michel Onfray de donner un coup de pouce au djihad !
Il y a certainement des cagnottes djihadistes qu’il pourrait alimenter avec ses amis du « Front populaire » car enfin lors de la guerre civile espagnole il me semble que les amis des républicains payaient de leurs personnes et de leur argent pour envoyer des secours contre les phalangistes qui eux-mêmes étaient aidés par les hitlériens et les mussoliniens.
Camarade Onfray il faut choisir ton camp !
Je crois qu’il l’a choisi et sans ambiguïté.
Il explique seulement ce que l’occident refuse d’admettre.
La théorie politique n’a pas les réponses à toutes les questions que l’on se pose ! Toute théorie politique est incomplète par destination.
Comment aurais-je pu prévoir en mars 2020 que la race jaune serait quasiment indemne de covid-19 et que la race blanche serait extrêmement touchée ?
L’improbabilité est la mère de l’action politique !
Le 8 octobre 2020 à 8 h 41 min, Thierry L a dit :
En résumé bis on notera que Lormier tient une comptabilité rigoureuse des aventures galantes de JPB (là le coup de la baignoire par un chic type sauveteur en Corse au siecle dernier) contées par celui ci au fil de ses papiers …
i) Le Maestro nous a déjà précisé que s’il devait raconter ses aventures galantes, il en aurait au moins pour mille ans.
ii) Le sauvetage de l’accorte randonneuse pas normalienne avait déjà été raconté-sans l’épilogue, qui nous a été fourni aujourd’hui, non dans le corps du billet, mais dans une réponse à un khommentaire (de Lormier).
Lormier s’intéressait à un parallèle possible entre Davy Crockett se faisant passer pour péquenot et Brighelli tentant de dissimuler sa khulture.
iii) Lormier tient à faire savoir à Thierry L que:
a) Il ne s’intéresse pas à la comptabilité
b) Ses couilles ne ballottent pas quand il fait du VTT (car Lycra)
c) Les discours et opinions d’un mec qui se vante d’aller faire chier son mulet sur les edelweiss ne valent pas tripette.
i)
Normal il est Marseillais, il maestro
Evidemment il est plus facile de faire le joli-coeur de la philosophie – à la mode gauchisante – que de choisir son camp comme Pechkoff qui ayant connu de près Lénine par l’intermédiaire de Gorki ressentit une forte animosité contre l’homme et le système qu’il prônait au point de devenir farouchement anti-communiste !
Pechkoff homme d’action et de diplomatie mais très peu intellectuel dans la forme mit sa force au service de son coeur ! Ce n’est pas à la portée du premier morpion venu !
Comment aurais-je pu prévoir en mars 2020 que Durit allait survivre au covid ? La destinée de la planète semble néanmoins largement indépendante de celle du débris ruellois.
Covid et moi : les deux seuls opposants conséquents au système de dévalorisation permanent du gauchisme occidental !
Nous sommes pour les races et les nations et contre le chacun pour soi !
Il y a des Occidentaux qui ont choisi de s’opposer au système américain et qui le payent de leur personne, soit par l’exil comme Thierry Meyssan et Edward Snowden, soit par la prison comme Julian Assange.
C’est périlleux !
C’est la démocratie…
L’orgasme deSally ( Jane Fonda) dans Coming home savamment commenté.
http://debordements.fr/Screening-Sex-Linda-Williams
Certaines féministes aujourd’hui rêvent d”’impuissanter” les hommes;leur coït idéal ? Le coït avec un paraplégique ?
Mais Luke (Jon Voght) normalement insensible sous la ceinture, normalement incapable d’érection en a peut-être eu une quand même;des paraplégiques ont témoigné que ça pouvait leur arriver.
De toute façon, Sally jouit (pour la première fois de sa vie) grâce au cunnilingus.
“Mon mari ne m’avait jamais fait ça.”
Et on apprend que Jane Fonda a joué la scène comme elle l’entendait, sans suivre les indications phallocentrées du metteur en scène.
Jane Fonda c’est la mystique Marthe Robin ! Elle ne se nourrit quasiment pas, un rien, un peu de sperme en bouche et elle repart au combat ! Gauchiste du jour, gauchiste de la nuit ! Elle jouit en Jésus-Christ …
Dugong est un gauchiste-rentier – bien entendu il n’admettra jamais être ce qu’il est, c’est la ruse suprême du gauchiste saprophyte qui profite mais prétend être désintéressé dans la ruine du système ! C’est un prêteur sur gages des idées et des actes des autres …
Dugong est un lecteur du quotidien L’Immonde, qu’il cite volontiers, depuis sa grotte périgourdine.
Cette référence constitue un marqueur reconnu et fiable de conformisme idéologique, avec une fiabilité de 99,9%.
Il lit même « Le monde diplomatique » circonstance aggravante je crois bien !
Qu’est-ce qu’il y a encore de bon dans le Dugong et de sain ?
Je lis même parfois vapeurs actuelles *, c’est dire !
* juste après, je déclenche l’antivirus. Fopadek !
Vous êtes un physicien, donc peu rigoureux.
Je citerais un exemple :
La gare de Metz, comme celle de Nancy, possède deux halles :
une pour les départs, et une pour les arrivées, de surfaces largement différentes.
Quelle halle doit être pavée ?
Avec quel motif de pavage, parmi les 17 motifs possibles ?
Vous manquez de rigueur et de précision dans votre discours, comme tout physicien.
Venant de vous, une telle chose fait rire.
La Vie n’a pas le temps d’attendre la rigueur (quasi proverbe babiologique, issu de Valéry)
PS : sékoi la rigueur ? Revenir à Thom pour la réponse…
Il y a des articles.bien documentés dans le monde diplo, ce n’est pas nécessairement convergence systématique avec un des fils de G. Halimi
Les sources sont fouillables (il ne s’agit pas de déchets)
Faut se tenir au courant des lectures de tout le monde en démocratie (tout un chacun adversaire potentiel de l’autre selon JPB et les cercles , pas vertueux)
Le vespéral qu’il appelle ça ; il se tient au courant de kesk’ils écrivent
Ce n’est pas.comme connaître l’adversaire comme soi même ou mieux ; par contre ça commence bien.
lormier – 10h54 :
très pertinent au contraire ! quand la phrase n’est pas isolée de son CONTEXTE ! vous le savez bien, ne faites pas semblant de l’ignorer…
sur ce plan, la responsabilité de tout ce qui nous accable vient bien de l’Occident, i.e. des EU, que la France, comme d’autres, se fait un devoir de suivre, comme un toutou…
et de la recherche (après le pétrole) de métaux nécessaires à l’expansion prioritaires… des GAFAM ;
« de la même manière que notre pays est islamophobe sur le terrain international, il se montre islamophile sur le territoire intérieur » : c’est exactement la politique inverse qui devrait être mise en place ;
sans compter ce « droit d’ingérence » (du type BHL) qui continue à coûter très cher ;
perso, « adhérer à ce qui fait l’art d’être français » est une formule qui me plaît (à supposer que l’on puisse encore y parvenir), tout comme « la République, rien que la République, toute la République » ;
ce ne sont sans doute que des mots…
Comme le fameux « préséodyme » d’Onfray. Un vrai salmigondis de terres rares…
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co257486/contre-discours-des-mureaux
Préséodyme ou plutôt paraséodyme (jumeau du poireau) utilisé en optique pour la fabrication de certaines lentilles.
Entre-t-il dans la composition du verre trempé pour écrans de téléphone (type « Gorilla » par exemple ?
Pas l’impression.
praséodyme
Deja pseudonyme, synonyme homonyme, … certains (es) peuvent confondre
Le 8 octobre 2020 à 12 h 06 min, fib a dit :
lormier – 10h54 :
très pertinent au contraire !
Au contraire de QUOI ?
J’ai posé une question, je n’ai rien affirmé ni nié.
Comme dirait Ossip Kavalierovic, une question n’est pas un énoncé assertif.
(pré, pra et para-s..), comme d’hab, ILS se foutent de ma gueule ! peu m’importe ;
pas plus ni moins d’incohérences, dans le discours d’Onfray, que dans celui d’autres, ici et ailleurs ;
c’est évidemment on ne peut plus schématique – mais c’est bien dit !
Déduction absurde d’un médecin français en Chine un certain docteur Klein !
Il dit que les gouvernements occidentaux n’ont pas voulu faire un confinement total de la population comme à Wuhan mais juste contenir un peu le virus !
Que donc l’épidémie serait déjà finie comme en Chine si on avait bien voulu appliquer la bonne méthode !
Je constate – c’est très sommaire je sais – mais tous les pays homogènes ethniquement parlant peuplés par la race jaune – la race aux yeux bridés comme on disait dans le temps – sont quasiment épargnés par covid-19 : Vietnam, Japon, Corée du sud, Taïwan (Formose), Hong-Kong, Macao etc. Et ce quel que soit les méthodes employées pour lutter contre l’épidémie.
Au départ j’ai pensé que le virus circulait peu parce que ces pays avaient une disposition géographique particulière – des îles ou des pays sans frontières, peu de tourisme etc – mais sur le long terme cela ne pouvait pas jouer. Il y avait forcément un autre motif au peu de diffusion du virus.
Le seul motif valable : la génétique ! Soit le génome de la population est peu apte à accueillir le virus soit le système immunitaire est très bien préparé contre le virus. Ou encore une combinaison des deux motifs !
Le 8 octobre 2020 à 12 h 03 min,
Savonarole
a dit :
Vous êtes un physicien, donc peu rigoureux.
…
Vous manquez de rigueur et de précision dans votre discours, comme tout physicien.
Je pense que l’”effet brouillage” est voulu par Dugong qui d’ailleurs ne s’exprime pas ici en physicien.
Voyez ce message:
Le 7 octobre 2020 à 9 h 32 min, Dugong a dit :
Rien à cirer. Demandez plutôt au Lorrain adepte des jeux alakhs (on raconte qu’il a pavé seul tout le hall de la gare de Metz muni uniquement de sa bite et de son couteau).
“Le Lorrain”, terme méprisant dans la bouche de Dugong, alsacien…
“lorrain adepte des jeux alakhs…”:on reconnaît abcmaths, lorrain et professeur de mathématqiues, donc raillé à double titre par le physicien alsacien.
(“jeux alakh”, d’autant plus alakh que Dugong se plante dans ses solutions,quand il essaie d’en donner.)
“bite et couteau”; (= avec les moyens du bord) ;l’expression est choisie pour brouiller les pistes ,car « couteau » évoque le déséquilibré messin (quand bien même il n’aurait pas agi en gare de Metz.)
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/attaque-au-couteau-a-metz-coup-de-folie-ou-assaut-terroriste_3773151.html
Bref, si on pense comme ses dirigeants, on est sauvé. Dans le cas contraire, on finit, au mieux, fourgueur de cellulose moisie dur internet.
Nous serons sauvés par les ciseaux génétiques, ô misérable scarabée qui ignore la Voie !
Un avocat allemand déjà célèbre entre autres pour l’affaire de la fraude « voiture du peuple » a commencé une procédure intéressante mais qui va avoir du mal à aboutir :
https://www.youtube.com/watch?v=kr04gHbP5MQ
Nuremberg bis, mais cette fois, les puissants sont du côté des accusés…
Le docteur Klein a écrit au docteur Macron pour lui dire qu’il fallait donner un nouveau tour de vis et resserrer les écrous autour de la population française rétive aux bonne méthodes chinoises !
Prenez-en de la graine petits scarabées !
Pour Dugong, le physicien :
Les gares de Marseille Saint-Charles et de Paris Gare de Lyon, sont topologiquement différentes des gares de Metz et de Nancy.
Saurez vous trouver la différence topologique ?
J’en doute !
Toutes les civilisations sont basées sur des idéologies culturelles – ces idéologies sont fictionnelles par définition ! Depuis 1945 on a adopté une idéologie universelle : les races n’existent pas ! Le virus sars-cov-2 entité biologique rétive à toute idéologie est là pour démentir chaque jour cette assertion culturelle !
La politique est une chose – la biologie en est une autre. La biologie est un transhumanisme par définition même !
Deux erreurs à ne pas faire : réduire la politique à la biologie – ne pas tenir compte de la réalité biologique dans notre enseignement politique.
C’est comme ignorer la physique … et vouloir monter au combat en croyant que le courage suffit à vaincre les nids de mitrailleuses ennemies – erreur du haut commandement français en 1914 qui faillit bien être fatale ! Attaquer attaquer disait-il ! Finalement ce fut s’enterrer !
encore un qui n’a pas réussi à se faire une place, pour bouffer au ratelier :
https://i.guim.co.uk/img/media/cb36871bd72eb922a49fde8efc75ce5f973722c2/0_118_3500_2101/master/3500.jpg?width=1900&quality=85&auto=format&fit=max&s=903b8e662a2d9d8a243c409fb286c28b
Elle est magnifique !
Quand Brighelli montre des porcelets, l’imbécile regarde les porcelets.
https://fr.yahoo.com/news/deux-policiers-agress%C3%A9s-val-doise-091135060.html
La démocratie – ici la communauté protégée des criminels- s’en prend aux policiers, symbole de la République.
En ce moment les opposants à Trump se divisent en deux camps :
– Ceux qui disent il n’a jamais eu covid-19 ce n’est qu’une mise en scène
– Ceux qui disent c’est scandaleux il y a un traitement pour le covid-19 et il se le réserve
On a les opposants qu’on mérite !
Le 8 octobre 2020 à 12 h 59 min,
fib
a dit :
(pré, pra et para-s..), comme d’hab, ILS se foutent de ma gueule !
Mais non, Madame, personne ne se fout de votre gueule;nous avons lu le texte que vous nous invitiez à lire.
Parmi les propositions d’Onfray une concerne la ou les causes des attaques terroristes; Onfray n’est pas très éloigné de la thèse des experts ès-stratégies américains: les attaques terroristes font partie de la guerre asymétrique; pour les analyser il faut les replacer dans le contexte géo-politique.
Quant au jumeau du poireau, Onfray se trompe sans doute quand il le range à côté du lithium, comme terre rare nécessaire à la fabrication des téléphones portables.
Il faut que l’adolescent apprenne à regarder les filles d’une manière polie,évoluée, non-provocante; il faut aussi qu’il apprenne à leur parler intelligemment,avec raffinement, galamment.
On ne lui interdit pas de les désirer, ni de bander ,on voudrait que son désir s’exprime d’une manière non grossière.
Il a d’ailleurs tout à y gagner: ce n’est pas en sifflant une fille comme si c’était un “caniche” ou en lui lançant: “viens ma poule, que je te baise” qu’il va pécho.
Qui pourrait contester ce qui précède ?
Se pose alors le problème théorique et pratique de l’éducation du mâle adolescent.
Ne faut-il pas procéder par étapes ?
Si vous lui présentez des petites meufs avec plus de 50% de surface cutanée visible,ou avec des tétons pontant sous le lycra, un pantalon moulant qui fait saillir l’orteil de chameau, ne pensez-vous pas que la charge érotique sera de nature à provoquer le débordement ?
Il faut habituer le garçon, progressivement, à admirer les meufs.
C’est pourquoi je ne peux qu’approuver les proviseurs qui demandent aux filles de couvrir leurs attributs sexuels secondaires.
très flattée par le « madame » !
revenons aux choses sérieuse ; rappel : il n’y a pas que le masque !
http://h16free.com/wp-content/uploads/2020/03/macron-avec-du-savon.jpg
Madame, tout court
En franais ça passe très bien,, il ne s’agit pas de fraulein en allemand voyez vous.
de masque, à voile(s) :
justement : polygamie – gamie, de l’anglais « game » – : Marlène dévoile des mesures, mais comme disait l’autre « j’y suis jamais allée, mais si on me paye le voyage »
Dans les histoires avec Pénélope et Andromaque il est souvent question d’Ulysse moins souvent d’Argos (: ,pauvre bete !)