Gerard ter Borch (1617-1681), Jeune femme écrivant, c.1655

Ce récit fut entièrement écrit à deux mains — chacun son chapitre, en alternance, racontant la même chose ou une scène tout à fait différente. Deux styles, deux conceptions de l’amour. L’introduction (si je puis dire) est de mon fait.

« La jouissance est un en-deçà ou un au-delà du langage. Elle parle par cris, murmures, soupirs, apocopes ou onomatopées. Elle n’articule pas — elle désarticule la syntaxe, raréfie les mots, les pousse à l’apocope… »
M*** relit par dessus mon épaule. « Apocope à la deuxième phrase ! Tu plaisantes ! Tu veux te brouiller — et me brouiller ! — avec l’éditeur ! Et avec le lecteur ! Avec la terre entière ! »
– Bon, bon, maugrée-je. Rectifions.
« La jouissance désarticule le langage, elle écorche les mots, les hache, en fait une bouillie, un balbutiement bredouillé… »
– Mais non ! intervient-elle. Tu te fais plaisir, à enfiler les mots comme des perles de culture — et culture est bien le mot, n’est-ce pas ? Tu ne peux pas parler simplement ? On jouit dans un cri — ou dans le silence. Voilà, tout est dit…
Je proteste, pour la forme. Je sais bien qu’elle a raison. Qu’elle est l’écrivain — moi, tout au mieux le littéraire, le littérateur, lis tes ratures — très pauvre hère farci des mots des autres…
Et justement : je ne parviens au faîte du plaisir — car la jouissance masculine ne se réduit à l’éjaculation que pour les imbéciles et les bêtes brutes — qu’en ajoutant des mots, des phrases, des récits entiers aux gestes de la passion. Sodomiser, certainement — mais lui susurrer en même temps dans l’oreille l’une de ces improvisations romancées, le récit plus ou moins crédible de la vie que je lui imagine, quand elle est loin de moi.
Candaulisme différé…
« Et sans lubrifiant, murmuré-je à son oreille tout en la pénétrant — ça se sent que tu t’es fait enculer il y a peu — tout à l’heure, peut-être, juste avant que j’arrive… Tu es toute graissée de foutre — qui c’est qui t’a déchargé dans le cul, petite pute ? »
– Comment as-tu deviné ? halète-t-elle. Oui — le facteur — non, le plombier…
– À d’autres ! Le plombier, tu le tires des films pornos dont tu t’abreuves… Il y a toujours un plombier musclé et séduisant, la tête d’Adonis sur le corps d’Hercule — et toujours disponible pour réparer la plomberie de la dame, à n’y pas croire — c’est là que l’on sent bien que l’on est dans une fiction… Mais pas toi — hein ! Pas toi… Toi, il porte un nom, il n’est pas un artisan anonyme vêtu d’un marcel sale et d’un jean étroit…
– Oui, je dois l’avouer… Je te trompe, je te trompe depuis des mois…
– Avec qui ?
– Tu ne le connais pas… Je l’ai rencontré en soirée…
– Jeune, bien sûr ?
– Bien sûr — oh, comme tu m’encules bien, mon amour !
– Et supérieurement membré, bien entendu… Elle est comment, sa queue ?
– Enorme, répond-elle entre deux gémissements. Enorme. Je ne peux même pas le sucer — pas plus loin que le gland… Il ne me baise presque jamais, tellement il me fait mal, par devant…
– Alors, dans le cul direct ?
– Oui, directement… C’est tellement… tellement…
– Tu aimes te faire distendre l’anus, hein ?
– J’adore ! Et il le fait tellement mieux que toi ! Il m’occupe le rectum, et il remonte encore — il me remplit jusqu’au cœur…
– Et il te jouit au fond du cul ?
– Aujourd’hui, seulement — je savais que tu allais venir !
– Et d’habitude…
– D’habitude, il vient jouir dans ma bouche… Il y en a tellement… Je n’arrive jamais à tout avaler d’un coup… Je dois m’y reprendre à trois ou quatre fois — il me remplit l’estomac de foutre… Je le digère toute la journée… Je jouis — ah, je jouis…
Moi, je ne dis rien, parce que je jouis aussi, et que la vraie jouissance se tait, ou qu’elle crie. Nos corps se crispent l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, j’ai la vision fugace des longues limaces blanches s’élançant dans le puits sans fond de son cul, la graissant pour les étreintes ultérieures, celles qu’elle aura avec l’homme qui me remplacera, tout à l’heure, quand je serai parti… « Je t’aime, dit-elle, je t’aime, je t’aime, je t’aime… » Je meurs longuement sur elle, la queue têtée par son anus avide, comme disait Apollinaire…
– Voilà, lance M***, tu y reviens ! Incapable d’écrire trois lignes sans nous accabler sous une référence ! Il n’en a rien à battre, le lecteur, de savoir ce qu’Alexine Mangetout faisait avec un hospodar dans les 11 000 verges ! Ce qu’il veut, lui, c’est le film en direct — la façon dont tu me remplis le cul de foutre, et rien d’autre, la façon dont le sphincter se contracte autour de ta queue encore dure — mais pas une citation, pas un grand nom des Belles-Lettres jeté en pâture — à qui, d’ailleurs ? C’est un bouquin de cul, tu sais — inutile de t’encombrer de fioritures… Va falloir que je te montre. Une page de toi, une page de moi ?
– Bonne idée, dis-je. Effeuillons-nous.

Pietro Rotari (1707-1762), Jeune femme écrivant une lettre d’amour, 1755


231 commentaires

  1. « Pas une citation, pas un grand nom des Belles-Lettres jeté en pâture ».
    Si, mais à faible dose (normal vu le propos) :
    « jeté(e)s en pâture » (!) « Les 11 000 verges » et deux peintures – c’est inévitable avec JPB – :
    la jeune fille, en exergue, semble bien pâlotte (falotte), tandis que celle qui referme le propos, toute rêveuse, robe rouge, rose aux joues…
    Il est vrai, qu’en fin de lecture, certains pourraient en rougir, voire plus.
    Le « littérateur » sait « enfiler les mots comme des perles de culture — et culture est bien le mot, n’est-ce pas ? Tu ne peux pas parler simplement ? »
    Et c’est quoi « parler simplement » ? C’est « Faire le film en direct » ? « Remplir le cul de foutre » ?
    Le « littérateur » qui serait même prêt à « susurrer » le « récit plus ou moins crédible de la vie que je lui imagine, quand elle est loin de moi – que fait (et à quoi rêve) la créature ? Eternel tourment ?
    Et pourtant, il ne s’empêche pas d’enfiler, et comment ! Par moments en mode Apollinaire… puisqu’il est le « littéraire ».
    Un « littérateur littéraire », qui semble aussi ne pas en finir d’interroger sur « la jouissance masculine » : « l’éjaculation n’est que pour les imbéciles et les bêtes brutes »,
    et qui ne conçoit pas la vie, et ce qui en est plaisir… sans les mots ; n’empêche qu’au moment où, il la ferme (sa gueule) ; « la jouissance se tait ».
    C’est ainsi que la porniqueuse (moqueuse) et le faiseur de mots se rejoignent ; double Je, autant que double Jeu.
    « Effeuillons nous » : jolie conclusion ; bon mot de fin (et de revenons-y).

  2. L’obsession brighellienne de la sodomie se confirme billet après billet.
    Et si, tout compte fait, la psychanalyse sauvage drôlatique à laquelle je me suis livré dernièrement sur Brighelli était, de fait, plus réaliste que drôlatique ?

    • Fable la girafe, pour un seul girafon n’a pu obtenir de pension alimentaire (du lion).
      On peut donc comprendre l’obsession de JPB …
      Et c’est d’ailleurs pourquoi fable la girafe conclut avec ces mots : « allez tous vous faire enk’ ! »

  3. La guerre des étoiles (de l’anus) inversée:
    Burno Lemaire: Jean-Paul, je suis ton fils!
    JPB: Nooooooooooon!

  4. Psychanalyse sauvage, suite :
    Quand je lis Brighelli, je lis « brigue, et lis ».
    Et si l’on prend en compte certaines prononciations régionales ou locales en italien, on a aussi « brille et lis ». Passage obligé vers « Brille au lit/Brialy ».
    Lire, briguer, briller, introduction à la littérature par des annales, intromission anale avec « lis tes ratures » : le programme de son existence était tout entier contenu dès sa naissance dans son patronyme.
    Merci de votre attention.

    • C’est d’autant plus drôle que lorsque je donnais mon nom, dans les années 70-80, les gens, très souvent, entendaient « Brialy » — on va à ce que l’on connaît.
      À tel point que dans l’annuaire parisien, des années durant, on m’a baptisé Jean-Claude…
      Alors, quand on connaît les mœurs dudit Jean-Claude Brialy…
      Vous voyez, j’apporte de l’eau à votre moulin !

      • Grand merci, et sachez que mon moulin n’a pas fini de tourner, car vous me donnez du grain à moudre en permanence…

  5. Annie E.a-t-elle déjà pris un bon vier dans le nuss ?
    On imagine la difficulté de la progression dans un tel environnement hémorroïdaire…

  6. De Brilleaulit à Brialy : c’est du tout cousu de fil blanc entre les uks ci-dessus – fil blanc, c’est quand même plus élégant que de « longues limaces blanches s’élançant dans le puits sans fond… »,

    y compris le vieux sirénien, qui se croit obligé d’en rajouter, après nous l’avoir joué « je me souviens »… avec photo de son vieux machin (non : pas en mode Griveaux).

    Je répète : allez tous vous faire enk’ !

  7. (Manquerait un « u » à Brighelli ? Pour éviter que ça puisse aussi sonner en mode Bri jelly ? ce qui nous ramènerait inévitablement aux « longues limaces blanches…» ?)

    • Excellent
      (l’iconographie est trompeuse, je me suis plongé dans cette nouvelle lecture me pensant en sécurité de toute attaque perv’ à l’heure du déjeuner (double sic). Quand lui viendra enfin l’idée d’arrêter de nous biffler son obsession sous un narratif porno des plus brut … Alors qu’il est capable des plus somptueux sous-entendus, ou d’introduire (si j’ose dire) une science particulière comme ce fut le cas pour Incipit 2 dont j’ai gardé les lignes effacées :
      « hommage de la plus haute et de la plus profonde sympathie pour leurs personnes et pour leurs œuvres. Gve Flaubert. » Relié en maroquin rouge filets à froid, avec le chiffre des Goncourt en forme de médaillon sur fond or, l’ex-libris des Goncourt sur une feuille de garde avec cette note autographe à l’encre rouge : « Edition en un volume. Exemplaire dans lequel il a été intercalé une page du manuscrit, original à moi donnée par Mme Commanville, la nièce de Flaubert. Edmond de Goncourt. »

      il récupérera alors peut-être un public. Mais dans l’immédiat, ça n’est pas du Brighelli mais bien du Bri jelly.
      Vous vous rêviez en public, allez finir seul à vous palucher la nouille sur votre blog, Monsieur

    • me semble que le « h » est là pour ça

      Je me souviens d’une vétérinaire de la Drôme,qui avait sauvé le bouvier bernois du Maestro…elle fantasmait sur ce dernier ainsi que sur la Maserati Ghibli;sans doute les deux sonorités se conflataient-elles.

      Je me souviens qu’elle jetait des pièces d’or dans la rue et qu’elle avait échappé de peu à l’internement d’office.

      • elle fantasmait sur ce dernier (Maestro)

        Elle pratiquait un art de la réflexion d’une belle finesse et toujours dans la spontanéité… Quand d’autres s’appuient sur World avant l’envoi de leur commentaire, trahis par les retours à la ligne conflictuels entre le logiciel et le blog. Même dans sa plus odieuse mauvaise foi, elle n’avait pas son pareil dans sa pratique de l’écrit. Elle n’en avait strictement rien à foutre de votre Maître, Lormier. Peut-être est-elle navrée du constat que l’on se fait, de cette décrépitude, d’un esprit tournant en ligne orbitale autour d’un seul et même orifice. Les dames se pâmant devant l’animal dans l’espoir d’une projection, restent sur leur faim : aucun indice sur un quelconque sentiment de sa part, le sujet n’est toujours qu’un amas de chair au cul parfait et à la tête bien remplie. Elles ne trouvent jamais dans ses confessions le trait d’un geste, le dessin d’une nuque élancée, le son d’un rire si particulier ou plus prosaïquement un simple goût vestimentaire singulier qui modèlent son sentiment amoureux. Et pour cause, diront les mauvaises langues, il en est bien incapable. Ne comptent que l’anus et l’agrégation qui l’agrémente…

  8. Tout ceci est bien loin de « Killer of the flower moon » : Scorsese, De Niro, le massacre oublié des Indiens Osage, le messianisme yankee *- , dont notre hôte donne une impeccable critique, d’autant qu’il va même jusqu’à reprendre « la théorie de Diderot et son Paradoxe du comédien »…

    * et leur bouffe qui a fait des ravages, et continue de… ; il a ainsi suffi de quelques années pour que l’obésité s’installe dans moult îles du Pacifique.

    https://www.causeur.fr/killers-of-the-flower-moon-un-grand-scorsese-un-grand-de-niro-un-tres-grand-film-268052

  9. « …la jouissance masculine ne se réduit à l’éjaculation que pour les imbéciles et les bêtes brutes… »
    et les neuro-cogniticiens.

  10. WTH 19 octobre 2023 At 19h12
    « …fil blanc, c’est quand même plus élégant que de « longues limaces blanches s’élançant … »

    i) quoi, vous n’êtes pas sensible à l’oxymore ?
    ii) je ne sais si vous faites enkhuler;et si oui quelle sensation éprouvez-vous ,après l’éjaculation (de l’homme ) ? Je me souviens d’une femme me racontant que c’était plutôt dégoûtant le sperme dégoulinant et retrouvant la sortie;le mot angalis qui vient à l’esprit c’est « slimy »-lequel va très bien avec la limace;on dit familièrement que limace et escargots bavent;en fait ce n’est pas de la bave,je ne sais pas comment ça s’appelle, mais c’est plutôt visqueux…on en fait du sirop pour la toux (sèche):l’Hélicidine.
    Est-ce que le sperme guérit les extinctions de voix ?

    https://www.pharmashopi.com/helicidine-10-sans-sucre-flacon-de-250-ml-xml-704_721_24911-152310.html

    • « Est-ce que le sperme guérit les extinctions de voix ? »
      Oui, c’est le fameux sirop de Cordum.
      Une blague classique qui fonctionne encore parfois: on remarque une jeune fille enrouée (ou qui tousse) un peu naïve de son entourage et on l’envoie en pharmacie en lui recommandant d’acheter le fameux sirop de Cordum. Fous rires garanti.

  11. « Tu aimes te faire distendre l’anus, hein ? »

    Mais, comme dirait Dugong,il peut retrouver son état initial.

    NB Chez Bruno Lemaire-pâle imitateur du Maestro- la dilatation précède l’intromission.

  12. « Tu aimes te faire distendre l’anus, hein ? »

    Mais, comme dirait Dugong,il peut retrouver son état initial.

    NB Chez Bruno Lemaire-pâle imitateur du Maestro- la dilatation précède l’intromission.

    • Vous commettez l’erreur – assez commune sur ce blog – de considérer (ou d’espérer) que les billets de Jean-Paul Brighelli puissent être des objets esthétiques, voire des œuvres d’art. Ce qu’ils sont très rarement. Vous êtes donc inévitablement déçu(e)(s).
      En revanche, si vous les prenez pour ce qu’ils sont réellement : des manifestations de l’inconscient de leur auteur, alors les lire devient un plaisir de gourmet, et les interpréter (avec sérieux ou de façon drôlatique) un exercice intellectuel fort gratifiant.
      Alors, et alors seulement, Jean-Paul Brighelli vous apparaît tel qu’il a toujours voulu être : un livre ouvert.

      • Que c’est joliment dit.
        (remarque : Je ne dirai rien de la prétention de notre sergent, qui lui, a beau écrire, reste encore sergent)

  13. Gérard (11h18) : Mais vous savez bien, la jouissance, sans le cerveau, c’est que pour les reptiliens ; Et le grand Apollinaire ici nommé, et ses « 11 000 verges » ?

    Tous ces (ses) mots : que de la littérature… ?

    « Ne comptent que l’anus et l’agrégation qui l’agrémente… » : entre autres préoccupations, ou plutôt obsessions, brigheliennes * ; « enfiler (!) les mots », les jeux de mots, oxymore (cf la remarque de Lormier), certains textes, à l’apparence porcneau, adresseraient donc moult clins d’oeils… aux « littéraires » (de préférence agrégé.e.s ?).
    Le porcneau, en mode JEU(x) d’écriture ; why not ; en mode « film en direct », no.
    Rassurez-vous, Gérard, sans les bonnes femmes – dont il(s) aime(ent) à se moquer, sur ce blog (vous et moi, les demeurées), il(s) seraient bien marri(s) – surtout ceux qui furent plusieurs fois maris (les pauvres ?!).

    * Lormier, ne me prenez pas toujours pour une demeurée : « il me semble que le « h » est là pour ça » ! Vaut mieux un « h » qu’un « u » (comme ukh ).

    • « Mr Connac »

      Brighelli sait parfaitement que l’abréviation de « Monsieur » est « M. » Sous l’influence d’abcmaths, serait-il en train de tenter une contrepèterie pour l’œil?

  14. abcmaths 20 octobre 2023 At 9h52
    Qu’est elle devenue ?

    Elle a peut-être pris sa retraite…

    Dans l’Education Nationale,il y a une flopée de P4…dont beaucoup ont été d’excellents professeurs;alors il peut aussi y avoir d’excellents vétérinaires qui sont des cas psychiatriques.

    C’est un grand mystère:des gens qui fonctionnent bien dans leur métier et qui sont parfois en proie à des délires incroyables.

    • Raisonnement simpliste.
      Nul besoin d’être un cas psychiatrique pour être classé P4.
      Passer sa faim au mess des officiers suffisait pour obtenir cette appellation .
      (Fine appellation et pas du tout honteuse puisqu’ elle permettait la décharge et la libération. )
      Oui…
      (deux)

  15. Le mucus des limaces est une substance visco-élastique qui est à la fois adhésive et lubrifiante !

    http://www.worldwidewounds.com/2013/July/Thomas/slug-steve-thomas.html#:~:text=Both%20slugs%20and%20snails%20secrete,rough%20or%20potentially%20hostile%20terrain.

    Je vois mal une limace s’élancer…Pourrait-on concevoir un appareil qui les propulse à grande vitesse,sur le modèle peut-être du lance-grille-pain ? Mais il faudrait alors les insérer dans des tubes rigides… A moins de trouver un moyen de les enfermer dans le grille-pain,grille-pain qui serait ensuite enfourné dans le lance-grille-pain; encore faudrait-il qu’à l’arrivée les limaces soient éjectées.

    Problème coriace.

  16. WTH 20 octobre 2023 At 13h35
    * Lormier, ne me prenez pas toujours pour une demeurée

    Mais je ne vous ai jamais prise pour une demeurée !

  17. Pietro Rotari (1707-1762), Jeune femme écrivant une lettre d’amour, 1755

    Elle ne regarde pas la lettre qu’elle écrit;elle semble regarder de biais quelqu’un;qui ?

    Pietro,c’est le fondateur du Rotary ?

  18. Il me semble que Damien (dans un récit aujourd’hui disparu) subissait de la part de sa soumise le même genre de critiques (assassines) que le « le-mâle » du présent billet de la part de son co-auteur; la soumise reprochait à Damien de ne parler que par références cinématographiques,le co-auteur dit:
    « Voilà, lance M***, tu y reviens ! Incapable d’écrire trois lignes sans nous accabler sous une référence !  »

    Différence:le « je-mâle » semble trouver le reproche justifié:
    « Je proteste, pour la forme. Je sais bien qu’elle a raison. Qu’elle est l’écrivain — moi, tout au mieux le littéraire, le littérateur, lis tes ratures — très pauvre hère farci des mots des autres… »

  19. Pour sortir des débats faisandés, biaisés et frelatés de notre Assemblée Nationale, qu’on dirait organisés par Hanouna ou Pascal Praud.
    Pour voir un peu plus loin que le bout du nez de Brighelli, cyrano58, gerard ou un lointain lecteur.
    Pour côtoyer, le temps d’une lecture, un peu de lucidité et d’intelligence :
    https://blog.mondediplo.net/catalyse-totalitaire

        • @Sergent Ryan
          « Les moments de vérité recèlent toujours quelque avantage : nous savons désormais en quoi consiste le camp républicain. C’est le camp qui interdit le dissensus, qui interdit l’expression publique, qui interdit les manifestations, qui impose l’unanimité ou le silence, et qui fait menacer par ses nervis policiers tous ceux et toutes celles qui seraient tentés de continuer à faire de la politique autour de la question israélo-palestinienne. C’est le camp qui fait faire des signalements par des institutions universitaires à l’encontre de communiqués de syndicats étudiants, (…) [le camp] qui doit sans doute déjà penser secrètement à des dissolutions.
          C’est bien davantage qu’un spasme en fait. Par définition, un spasme finit par relaxer. Ici, ça cristallise : une phase précipite. Et pas n’importe laquelle : catalyse totalitaire. « Totalitaire » est la catégorie qui s’impose pour toute entreprise politique de production d’une unanimité sous contrainte. L’intimidation, le forçage à l’alignement, la désignation à la vindicte, la déformation systématique, la réduction au monstrueux de toute opinion divergente en sont les opérations de premier rang. Viennent ensuite l’interdiction et la pénalisation. Témoigner du soutien au peuple palestinien est devenu un délit. Arborer un drapeau palestinien est passible de 135€ d’amende – on cherche en vain une base légale présentable. « Free Palestine » est un graffiti antisémite – dixit CNews, devenu arbitre des élégances en cette matière, signes de temps renversés où d’actuelles collusions avec des antisémites distribuent les accusations d’antisémitisme (…). Sous l’approbation silencieuse du reste du champ politique et médiatique. Le camp républicain, c’est le camp qui suspend la politique, les libertés et les droits fondamentaux, le camp soudé dans le racisme anti-Arabe et dans le mépris des vies non-blanches.
          Le monde arabe, et pas seulement lui, observe tout cela, et tout cela se grave dans la mémoire de ses peuples. Quand la némésis reviendra, car elle reviendra, les dirigeants occidentaux, interloqués et bras ballants, de nouveau ne comprendront rien ».

          L’intérêt des lignes ci-dessus vous échappe ?
          Laissez-moi donc vous expliquer : par delà les faits et les enjeux liés au conflit israelo-palestinien, cet article nous explique ce que signifie la façon dont cette affaire est traitée en France par le monde politique et par le monde médiatique : toute voix dissonante est mise au ban de la société. La France est mûre, prête pour porter au pouvoir l’extrême-droite nouvellement planquée bien au chaud au sein du camp républicain.
          Que ceux qui en rêvent se réjouissent : c’est pour très bientôt.

      • Dugong ne dit jamais rien d’essentiel, tout comme il ne dit jamais rien de l’essentiel.
        Il préfère faire du Vermot et tenter maladroitement d’ironiser sur ses cibles favorites, Despentes, Ernaux, Obono etc.
        Pour reprendre un mot célèbre, Dugong voudrait nous vendre de l’intelligence, et il n’a même pas un échantillon sur lui.

          • Dugong
            21 octobre 2023 At 13h34
            Hélas pour vous, j’ai tout accaparé.

            Si c’était le cas ça se saurait et on s’en serait aperçu.
            Essayez encore.

          • Mon premier désigne quelqu’un qui prend les choses pour lui seul.
            Mon deuxième désigne quelqu’un qui prend les choses pour lui seul.
            Mon troisième désigne quelqu’un qui prend les choses pour lui seul.
            Mon quatrième désigne quelqu’un qui prend les choses pour lui seul.
            Mon cinquième désigne quelqu’un qui prend les choses pour lui seul.
            Mon tout est ce qui arrive quand on mange trop de cerises.

          • À tous les connaisseurs. Et aux hommes de bon goût.

            Dans le même genre – que j’ai déjà racontée trente fois ici mais elle me fait mourir de rire à chaque fois que j’y pense –, il y a :

            Mon premier est une salade.
            Mon deuxième est une salade.
            Mon troisième est une salade.
            Mon quatrième est une salade.
            Mon cinquième est une salade.
            Mon sixième est une salade.
            Mon septième est une salade.
            Mon huitième est une salade.
            Mon tout a écrit les Aventures d’Alice.

          • « Si c’était le cas ça se saurait et on s’en serait aperçu. »
            On, c’est Obono ?

            J’avais tout mis dans un sac qui a été égaré.

    • @Massalia 12h01

      Le monde diplo? Sérieusement? Et en plus une déjection de Lordon!
      Le Manatee n’aime pas lorsque des babiologues ou pire, des socio/psycho…et autres logues utilisent les mots de la physique. Catalyse totalitaire c’est quoi au juste? Moi, qui sans prétendre être un génie en chimie en connais un peu, je ne comprends pas le concept. Pourtant j’aimerais bien qu’un catalyseur totalitaire foute Le Chatelier au gnouf derrière de solides barrières d’énergie, mais ça marche pas.

      • Si vous préférez vraiment absorber (pour vous y conformer) toute la bien-pensance actuelle philosémite et anti-Arabe telle qu’elle est diffusée ad nauseam sur Cnews, Europe 1, RTL, Causeur et jusqu’à l’Elysée, ne venez pas parler d’intelligence.
        Si vous trouvez Élisabeth Lévy et Arthur plus pertinents et d’une plus grande finesse d’analyse que l’article de Lordon, ne venez pas parler d’intelligence.

  20. « La jouissance est un en-deçà ou un au-delà du langage. Elle parle par cris, murmures, soupirs, apocopes ou onomatopées. Elle n’articule pas — elle désarticule la syntaxe, raréfie les mots, les pousse à l’apocope… »

    Ca pourrait être du Barthes; rajoutons un peu de « langue fasciste » (mais justement quand on jouit on ne parle plus,c’est l’abolition du fascisme,ils devraient essayer en Ukraine) un peu de « effondrer » et le tour est joué:vous avez de la bouillie pour chats prétentieux.

    Et comment qu’elle t’envoie ça balader la « je-femelle » !

    « On jouit dans un cri — ou dans le silence. Voilà, tout est dit… »

      • La « je-femelle » n’a pas de mal à repérer le phraseur;il faudrait lui soumettre les textes écrits par le nègre de Gabriel Attal .
        (Le Maestro,curieusement, se laisse enivrer.)

  21. WTH 20 octobre 2023 At 14h06
    obsession brighellienne… parfaitement maîtrisée :

    Une obsession « maîtrisée » est-elle encore une obsession ?

    • Cela fait longtemps qu’il lutte contre le collège dit « unique ».
      Combat aujourd’hui un peu dépassé, le pays tout entier étant « à la ramasse » ( jeux de mots Cyranien) mais qui revient sans cesse, comme une obsession en effet.
      Il se bat ! Il se bat ! Il se bat !
      JPB n’a jamais maîtrisé les pures luttes .
      Oui…
      ( pas si facile pour Lormier car le texte est un peu long)

      • maîtrisé les pures luttes .

        méPrisé les Turluttes .

        NB turluttes. \tyʁ.lyt\ turlutte \tyʁ.lyt\ féminin. Leurre de pêche, en plastique garni d’une ou de deux rangées d’hameçons, pour capturer la seiche ou l’encornet.

        • Pff…
          « Contemporain. Hypocoristique évoquant la turlurette ou le turlututu, petites flûtes tenues en bouche. Turlututu désigne au 19esiècle le pénis »

  22. ça faisait longtemps ! Revoilou PMF-M, en compagnie du Diplo et de son non pas, « stupid white man », mais very smart white guy – comme chacun sait.

    De même que l’on sait qu’en France, on est prié, plus que jamais, de la fermer.
    Ce qui n’est pas le cas partout en Occident – manifs autorisées en GB, presse anglo-saxonne, où les « voix dissonantes » peuvent encore se faire entendre,
    sur ce « conflit » comme sur… « l’affaire covid »…

    Difficile d’ignorer la situation dramatique des Gazaouis, condamnés à vivre dans une « prison à ciel ouvert , de même que… de quoi sont capables certains « colons » israéliens… *

    Les dirigeants du Hamas sont, bien sûr, des « extrémistes » ; et il y a fort à parier qu’ils ne font guère plus que le minimum pour « leur » peuple (Santé, Education, etc…) – l’ennemi, la Cause, étant… Israël – ! – et fort à parier aussi que tous les gazaouis ne sont pas forcément derrière lui.
    Ce Hamas, qui – comme l’affirment certains – n’a pas été seul dans les exactions commises – on en finit plus entre tous ces « clans » au sein de la constellation islamiste… **

    Les Israéliens sont, eux aussi, sous la coupe « d’extrémistes ». Ici, on parle peu de cette société fragmentée, entre les sionistes, et les autres, ceux qui ont combattu, pendant des mois, Netanyahou et son « projet de réforme de la Justice » ;
    quasiment jamais évoquées ces manifestations, y compris les voix de l’opposition, dont une certaine presse israélienne, qui s’est opposée, dès le 1er jour, à la contre-attaque sur Gaza.

    C’est qu’ Israël est soutenu par l’Occident, et qu’il s’agit de toujours tromper les peuples… et de les monter les uns contre les autres.

    Il a été dit (évidemment hors mainstream) qu’après s’être débarrassés de ceux qui voulaient la paix (du temps, par ex, d’un Rabin), les successeurs, des ceux côtés, auraient agi… de connivence,
    la réalité étant que, pas plus l’Un que l’Autre ne souhaitent la création… d’un Etat Palestinien.

    Une longue histoire de (guerres de) RELIGIONS, de frontières… En verra-t-on jamais la fin ? Très peu probable, là-bas… comme ailleurs.

    *« Cisjordanie. Plusieurs villes palestiniennes saccagées par des colons israéliens dans un nouvel engrenage de violences » (courrier int’l – juin 23)

    ** camarade PMF-M, à propos de « constellation » et de « clans », peut-on espérer qu’une gauche, vraie de vraie, revue et recomposée via, par ex, un Ruffin et un Roussel, pourrait nous apporter, pour commencer, la liberté de causement ? 😉

    • WTH :
      ** camarade PMF-M, à propos de « constellation » et de « clans », peut-on espérer qu’une gauche, vraie de vraie, revue et recomposée via, par ex, un Ruffin et un Roussel, pourrait nous apporter, pour commencer, la liberté de causement ?

      Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer…
      Mais oui, bien sûr, on peut l’espérer.

  23. Les diseuses d’essentiel (mon mari) raclent le fond de cale du diplo, là où la mélasse progressiviste colle au doigt et s’incruste dans les semelles.

    Je préfère le superflu qui a le grand avantage d’être très bien distribué. Sauf dans la bande de Gaza qui manque de tout (même de l’essentiel)

    Dans les cours d’histérorie géographieuse, il faudrait esspliquer d’abord que la bande de Gaza n’est pas essentiellement un rouleau de ouate phéniquée.

    C’est la ouate…

    • « la bande de Gaza n’est pas essentiellement un rouleau de ouate phéniquée »

      Ça, vous n’en savez rien. Vous étiez avec Adam et Ève ?

    • Ce que vous échouez toujours à comprendre, c’est que quand vous dites Obono, tout le monde a envie de vous répondre You too.
      Et si aujourd’hui est un beautiful day, demain risque d’être un bloody sunday. Avec ou sans vous.

      • « Bloody Sunday » ! Le sirénien semblerait plutôt pencher du côté du super flux de la vigne, made-in-France.

  24. Dugong
    21 octobre 2023 At 17h09
    (…) le (…) diplo, là où la mélasse progressiviste colle au doigt et s’incruste dans les semelles.

    Si seulement elle pouvait coller encore plus et ne plus jamais quitter les crampons de vos semelles…
    Mais si vous préférez vraiment absorber (pour vous y conformer) toute la bien-pensance actuelle philosémite et anti-Arabe telle qu’elle est diffusée ad nauseam sur Cnews, Europe 1, RTL, Causeur et jusqu’à l’Elysée, ne venez pas parler d’intelligence.

    Si vous trouvez Élisabeth Lévy et Arthur plus pertinents et d’une plus grande finesse d’analyse que l’article de Lordon, ne venez pas parler d’intelligence.

  25. « Le vrai juif se sent plus juif que fourreur… » ; c’est Desproges kil l’avait dit ; 1986 ; c’est déjà très vieux.

  26. « Bien pensance » et déboulonnage (de statues) – Suite :
    Ben oui, PMF-M,
    – tant que les petits caporaux tiendront le crachoir et continueront de sévir (!) – ici un sous-sous-journaleux du type apathie et un politiste (mdr) – assez loin du causement prétentieux du very smart white man du diplo –
    – tant que ne sera pas secoué, pour de bon, le cocotier de toutes les religions…

  27. Dugong 21 octobre 2023 At 17h09

    Dans les cours d’histérorie géographieuse, il faudrait esspliquer d’abord que la bande de Gaza n’est pas essentiellement un rouleau de ouate phéniquée.

    i) on se souveint qu’en cours d’histoire,Dugong matait les jambes de sa prof et n’écoutait rien

    ii) De Gaza à la ouate…à cause de gaze ?

  28. « …toujours disponible pour réparer la plomberie de la dame, à n’y pas croire — c’est là que l’on sent bien que l’on est dans une fiction… »

    Pierre de touche du réel,déjà mentionnée lors de l’émission sur la pornographie (émission pendant laquelle Audrey Pulvar,narines dilatées, s’offrit au Maestro);c’est ainsi que JP Brighelli enseignait à ses élèves que le porno,ce n’est pas pour de vrai.

  29. Turlututu, chapeau pointu
    Tralalala, chapeau tout droit
    Tralalalère, chapeau de travers
    Tradériré, chapeau sur l’nez
    Zim, zoum, zam, bonsoir Madame.

    Comment se fait-il que turlututu se retrouve dans une chanson leste du XIXième et des comptines pour enfants ?

  30. Dugong 21 octobre 2023 At 17h09
    « … le fond de cale du diplo, là où la mélasse progressiviste colle au doigt … »

    Curieux mélange d’images:ce qu’on trouve au fond d’une cale, c’est plutôt saumâtre.

  31. Quant à la pauvre fillette ,
    Elle en joua tant de fois ,
    Qu’hélas ! comme une musette,
    Elle enfla pendant neuf mois.
    Je la plaignis tendrement,
    En lui disant : « Mon enfant,
    » Que veux-tu , que veux-tu ?
    » Prends garde à Turlututu ,
    « Turlututu, chapeau pointu. »

    Filles, craignez l’influence
    De tout instrument à vent;
    Vous voyez la conséquence
    Qu’il en résulte souvent.
    Profitez de la leçon,
    Et chantez à l’unisson ;

    Rlututu, rlututu,
    Vous ne nous y prendrez plu’,
    Turlututu, chapeau pointu.

    M. LASSAGNE.

    Alors, la turlute ?

    • Avec un seul t ?
      Cri de l’alouette.
      « On entend la turlute de l’alouette. Malgré la pluie, une alouette, haut dans le ciel, turlute sa liberté. »

      « En dehors des corneilles qui craillent noir (…) il y a tout de même des alouettes qui tirelirent et turlutent très haut, à fleur de soleil  » (H. Bazin, Mort pt cheval, 1949, p. 343).

      • Quant à la pauvre fillette ,
        Elle en joua tant de fois ,
        Qu’hélas ! comme une musette,
        Elle enfla pendant neuf mois.

        Donc pas seulement des fellations

        • Je l’ai dit plus haut:
          « Turlututu désigne au 19esiècle le pénis  »
          Divers sens, diverses luttes, il y a aussi les dures luttes au milieu des pétales.
          Oui…

  32. Dans le présent billet,le je-femelle est impitoyablement critique;un our peut-être viendra un je-femelle qui encensera.

  33. Il y a Turlututu qui enseigne la turlutte,ily a le barion Turelure qui annonce l’avenir radieux:

    Voix de Turelure
    le développement des ressources nationales qui marche de pair avec le progrès des lumières et d’une sage liberté !… Ah, pardonnez son émotion à un vieux militaire ! Ce que notre jeunesse a rêvé, ce que n’ont pu faire nos armes et le génie d’un grand homme, la science le réalise ! … Et moi aussi, Messieurs, moi-même, oui, je veux donner l’exemple. Cette terre, cette maison, ce bien héréditaire de notre antique famille, je veux les consacrer au développement de nos forces économiques. Ce monastère va devenir une papeterie.

    Paul Claudel
    Le Pain dur

  34. Après les « stupid white men », dans le « mépris des vies non blanches » (Lord-on), voilà qu’un (gros) non blanc la ramène avec « c*** de blanc » (rugby)
    En vérité je vous le dis, si tout continue ainsi, bien peu chères vaudront nos vies. *

    * à moins d’être fonctionnaire ?!

  35. @WTH
    Vous semblez ignorer que Stupid White Men, sous la plume de Lordon, n’est rien d’autre que la citation du titre d’un livre de Michael Moore.
    Renseignez-vous.

    • Ben oui, il m’arrive souvent d’être très ignorante ;
      et M. Moore fait lui aussi partie des (gros) « stupid white men »… « Renseignez-vous  » * !

      * Moore a soutenu Obama et la mère Clinton, rien que ça…

        • J’ai lu M. Moore (du moins il y a longtemps ; il a presque mon âge)… et je connais un petit peu les EU…
          Et oui, il y a « rapport » ; « mais bon » ! mieux vaut s’abstenir d’aller plus loin avec une vieille khonne de blanche !
          arrghh PMF-M…

          • Un Américain un brin conscient de ce qui se passe dans son pays, se serait abstenu de « soutenir » Obama :
            c’était malin de la part de ceux qui décident, que de choisir ce coquin,
            comme ici…Macron !

          • Expliquez-nous le rapport avec l’article de Lordon.
            Si Lordon veut, par exemple, évoquer la corruption ou les comportements mafieux, et que je dis que certains hommes politiques ont « les mains sales », est-ce que vous en déduisez qu’il est sartrien et existentialiste ?
            Si il se met à disserter sur « l’humaine condition », est-ce que vous en déduisez qu’il est un inconditionnel de Malraux ?

            Je ne vous traite pas de vieille conne de blanche. Vous seule le faites.

  36. PMF-M :
    « les hommes politiques » ne sont plus que des… déserteurs : l’AN est la plupart du temps, et depuis des années, quasiment vide ; et comme s’est imposée (!) la manie du 49.3…

    Quant à ceux qui sont au pouvoir, ils ne peuvent qu’avoir les « mains sales » : ce ne sont pas eux qui tirent les ficelles ; ils ne font qu’obéir.
    Obama : changement de look ; retour au jeunisme (après Clinton) et en plus un black.
    Ici, changement de look aussi : du jeunisme ET du 100 % young american leader.

    (les actuelles « démocraties occidentales » sont en réalité des impostures institutionnelles fondées sur l’irresponsabilité des décideurs réels, garantissant une impunité totale aux tireurs de ficelles, les tenanciers du pouvoir économique – cf Valérie Bugault).
    Peut-on espérer, un jour, un changement ?

  37.  » Israël – Palestine : du chaos à la réorganisation mondiale ?  » : Interview d’Alain Juillet.

    Entre autres :
    – ne pas oublier les sous-sols de Gaza (moyen essentiel pour faire entrer et sortir armes, personnes, etc…) ; une autre ville, un vrai labyrinthe ; « nettoyer » (oups !) Gaza, c’est aussi, nécessairement, « nettoyer » (reoups) ses labyrinthes ; quasi impossible ;, rien à voir avec les sous-sols viet minh (guerre du Vietnam) -,
    sans compter les otages…

    – au large de Gaza : station gazière off-shore… (sous-sols ; cf « Capital » 11/10/23 : « Les attaques déclenchées samedi 7 octobre par le Hamas contre Israël ont conduit la compagnie pétrolière Chevron à fermer l’une de ses plateformes. De quoi s’interroger sur les décisions à prendre pour TotalEnergies et Eni, en pleine exploration d’hydrocarbures aux larges des côtes israéliennes… »)
    …« Il y aura forcément négociation »…

    – Brics : pour que l’économie « tourne » au Moyen-Orient, il faut la paix dans la région… (d’où les « accords d’Abraham ») ; cette volonté de « désescalade et de négociation » semble un « processus inéluctable », « qui prendra des années »,
    avec des poussées de fièvre, (type Gaza)…
    où Européens, comme Américains, ne semblent plus avoir leur place…

    https://tvl.fr/le-samedi-politique-avec-alain-juillet-israel-palestine-du-chaos-a-la-reorganisation-mondiale

    • (A noter, au passage, le titre : « Israël-Palestine », à la (grande) différence des mainstream qui parlent eux d’Israël-Hamas…)

  38. Dugong
    23 octobre 2023 At 6h54
    « Si Lordon veut… »

    Mais pourquoi Lordon voudrait-il quelque chose plutôt que rien ?

    Vous faites semblant de ne pas savoir ce qu’il veut, et qu’il a exposé et expliqué – à l’écrit et l’oral – à de nombreuses occasions : vous savez fort bien qu’il souhaite l’avènement d’un « communisme luxueux »*.
    Vous n’appréciez pas Lordon, c’est clair, mais il est non moins clair que vous le lisez, à l’occasion.

    *Un communisme luxueux, l’idée me paraît beaucoup plus séduisante qu’une paupérisation capitaliste….

  39. Lordon, une sorte d’ultralibéralisme truffé de d’injonctions à la grève générale, moteur de toutes les transformations.

  40. ultralibéralisme :
    Système économique, politique prônant le libéralisme absolu, encourageant l’économie de marché, l’entreprise privée, le désengagement de l’État.

    Lordon, ultralibéral ? Expliquez-nous donc ça, Dugong.
    Instructionnez-nous.

    Mais auparavant, évitez de prendre vos cours d’économie chez Chantal Goya…

      • Si vous avez des biscuits en poche pour contester la définition que je donne (qui n’est évidemment pas le slogan publicitaire d’une marque), nous vous écoutons avec intérêt.

        (Mais que vous arrive-t-il aujourd’hui, Dugong ? Vous voilà passé dans le camp des diseuses d’essentiel, à l’instar d’un Brighelli ? Pas de jeu de mots vaseux ? Pas d’essuyage de crampons sur la gueule de vos cibles habituelles ?
        Finalement, votre intellect est assez semblable à la libido de Blaise Pascal : avec une stimulation adéquate, la face de ce blog pourrait en être changée…)

    • « Bien sûr ce « faire des choses », de lui-même, ne compose pas spontanément une division du travail entièrement adéquate à l’ensemble des nécessités de la vie matérielle collective. Aussi une part continuera-t-elle d’être contrainte ».

      « Une part continuera-t-elle d’être contrainte », voilà qui est ultralibéral en diable.

    • Si un jour il vous prenait l’envie de sortir de votre bulle, vous verriez qu’il y a en France et ailleurs des milliers de musulmans – parfois même pratiquants assidus – qui n’ont envie d’emmerder personne, qui veulent juste qu’on leur foute la paix, qu’on leur donne les moyens de travailler, de se loger décemment, qui respectent les lois autant que vous et moi, et qui n’ont pas le AK 47 entre les dents.
      Ces gens-là, je crois qu’on peut dire qu’ils représentent l’islam modéré, qui existe bel et bien.

      Pour le communisme luxueux, je n’en sais rien, je passe mon tour.

    • « Lord-on, lui y croit ». Ah, à cette vieille ritournelle…

      Extraits d’un joli conte que « nous » avions distribué, dans les temps jadis, sous forme de dépliant – fallait prendre le temps de le lire, et savoir lire ; grandes manifs et grèves, 1979 , fin de la sidérurgie, entre autres -.

      Avec, d’un côté :
      « A bas le prolétariat » (en majuscules, œuf corse) : « ceux qui ne visent pas à devenir une puissance parmi les puissances de ce monde, mais veulent le briser, pourrait résumer leur programme ainsi : « A bas le prolétariat ».
      Non pas évidemment dans le sens d’une opposition aux prolétaires, en tant qu’hommes, mais parce que précisément, on ne peut être homme qu’en refusant d’être un prolétaire.
      Les révolutionnaires ne proposent pas l’amélioration de la condition prolétarienne, mais sa suppression.
      La révolution sera prolétarienne par ceux qui la feront et anti-prolétarienne par son contenu…

      De l’autre côté :
      « Vive le communisme ». Les escarmouches de la guerre sociale de ces dix dernières années accentuent la menace qui pèse sur la misère du salariat. La crise ne peut que s’aggraver, une solution pacifique est exclue.
      Pour le moment, les forces du vieux monde sont contraintes à l’offensive, mais rien n’est encore joué.
      Refuser l’enjeu de l’ennemi : réformer pour conserver le monde de l’économie.
      Reconnaître notre terrain : mettre en avant la possibilité du communisme.
      C’est ce à quoi contribue la théorie de la révolution communiste.
      Donnons-nous les armes décisives pour l’embrasement qui vient… »

      Et blablabla, inside.

      Ah qu’elles étaient belles les zutopies de mon pays, lalalala, lalalala ! ce que c’est que d’avoir été jeune…

      Embrasement ? Guerre sociale ?
      . prolétarisation accélérée de la classe dite moyenne ;
      . création de nouvelles religions et remontée (en grande puissance) de certaines ;
      . ramolllssement cérébral et manuel de moult, qui, de 7 à 77 ans, n’en fichent pas une, et s’en contentent ;
      . consommation passive (quand accidents, voire morts subites, on dédommage, cf Nestlé-Buitoni *), y compris de pseudo-vaccins, jusqu’au « permis de circuler » – au pays des soviets, on ne pouvait se risquer à plus de 70 km de Moscou, sans autorisation ; ici ils ont été jusqu’à l’interdiction de dépasser le km ;
      . enfin impressionnant spectacle planétaire de tous ces êtres (humains), terminaux de réseaux *, et qui ne partagent guère plus (en commun, hormis les transports), que des milliers de… snapshots et de snackshops, et s’accommoderont, sans doute… des « 15 min cities » (à pinces, ou à roues, alias « mobilités douces »)

      * à condition que des centaines de millions (et plus) de petites mains, à travers le globe, s’épuisent dans les mines, et que des cerveaux s’acharnent à inventer toujours plus de matériel et « d’immatériel » (tu parles !)
      Entendu un de ces terminaux dire « c’est chouette la Bretagne ; j’ai fait 700 photos » – en un ouikind ? de… leurs tronches de cakes, au-dessus des crêpes, made in, et made by, qui ?
      (certes beaucoup moins qu’a pu en faire un JPB… mais pas uniquement au Mont St Michel, et puis pas en un clic-clac, mais avec art et essai(s) 😉

      ** « des papes, des papes, ou mais des Panzani » (le François se fait vieux)

  41. (PMF-M – faut tenir compte d’un élément important : le sirénien ne peut se permettre de perdre son temps en discussions oiseuses, occupé, comme il l’est, avec ses canards ; un véritable exploit de la part d’un sirénien).

    • Il y a vraiment des moments où vous êtes aussi limité, sinon plus, que….je vous laisse choisir le nom.
      Néanmoins, deux remarques :
      – je préfère un communiste en Rolls-Royce à un fasciste en tank. (Pas vous ?)
      – Wagenknecht essaie d’aller sur les terres de la droite parfois la plus extrême, dans l’espoir de capter des voix. Elle avait le choix entre le déshonneur et l’écrasement électoral. Elle a choisi le déshonneur.
      Elle aura quand même, le moment venu, l’écrasement électoral.

      • « je préfère un communiste en Rolls-Royce à un fasciste en tank »

        Je préfère occire le fasciste puis écrabouiller la rolls avé le tank

  42. Certains (les polpotistes entre autres) pensent régler le problème palestinien en exterminant les Palestiniens.

    Qu’envisagent-ils pour le problème corse ?

  43. Dugong 23 octobre 2023 At 9h27
    Avec des miradors dorés, des balles en argent, des rideaux de fer, des goulags où on s’archi-pèle l’hiver

    Greta Thunberg rêve de bombardiers à propulsion électrique et de bombes bio-dégradables.

    NB La balle en argent,c’est pour tuer les loups-garous.

  44. Ne jamais oublier que les bourgeois qui n’ont jamais vu un pauvre connaissent mieux l’intérêt des pauvres que les pauvres eux-mêmes.

      • En tant que marxiste, je crois à la divergence fondamentale des intérêts. Et en tant qu’héritier des lUmIèrEs, je crois à l’autonomie de la volonté. Ergo je crois que les pauvres sont les mieux placés pour déterminer leurs intérêts.

        Mais on est entièrement libre de ne pas partager mes deux postulats idéologiques de départ.

  45. Sergent Ryan
    23 octobre 2023 At 18h07
    Le marxisme, cette chose surfaite…

    Sergent Ryan
    23 octobre 2023 At 18h32
    En tant que marxiste, je…(…)

    Schizophrène ? Masochiste ? Les deux ?

    On rencontre des gens étranges sur ce blog…

      • Ça n’est pas un désordre mental, tout juste une tournure d’esprit.
        (Je vous dois des excuses, pour le pb d’indentation à l’origine d’un malentendu hier. Les arborescences n’apparaissent pas sur mon smartphone de la même façon que sur un écran d’ordinateur. Et j’ignore pourquoi. Voilà qui est dit.)

  46. Ainsi donc, alors donc, (à lord-on), je suis très triste que vous n’ayez eu aucune réaction à nos bafouilles des années ’70 !
    C’est vrai qu’on était jeunes, et loin de s’exprimer aussi bien que le fonctionnaire Lordon !
    Et sinon, z’avez aussi des petites arborescences blanches, qui vous sortent des oreilles, quand vous êtes branché sur vot’ smartp’ ?!

  47. PMF-Massalia 23 octobre 2023 At 17h35
    – je préfère un communiste en Rolls-Royce à un fasciste en tank. (Pas vous ?)

    Quand on sait que n’importe quel déb’ qui ne tient pas le discours de la woke culture inclusive en mode vegan est de facto taxé de facho… Commençons par vous demander ce qu’est un facho ?

    • Yes ! PMF-M ne vit pas sur la même planète…
      le woke, comme le vax, ça lui passe au dessus des oreilles (dont dépassent, etc…) ;
      Franchement le coup de la Rolls-Royce, faut’le faire !

  48. « L’univers mental » du bouffon bougon PMF-M, quoi t-est-ce ?
    Vaste QQRSR.

    Du haut de son insondable mépris, parler aux bonnesfemmes se résume donc pour lui à… « bisous » !
    ça s’arrête là.

    Fait toujours semblant de pas entendre – s’est donc bien gardé de la moindre réaction à mon « conte » des années 70 ; il aurait pu, au moins, se moquer ; même pas ; rien ; nada.

    Encore une fois ne cause qu’aux messieurs, et encore…

    Gave est un argentier ; peut-être pas de la pire espèce – rarissimes sont ceux susceptibles d’arriver ne serait-ce qu’au gros orteil d’un Rockefeller –
    un financier, donc ; personne ne remettra ça en doute ; il lui arrive, aussi, parfois, de dire des choses non dénuées d’intérêt ( !).

    PMF-M, lui, est un gars tout ce qu’il y a de droit dans ses bottes, et qui n’en déviera jamais, ne serait-ce que d’un millimètre, quoi qu’il lui arrive – mais « quoi qu’il arrive », c’est une autre histoire…

    Un peu comme Castelnau ? qui n’est pas un Gave : de la vieille noblesse, et toute sa vie au service des staliniens ; tout comme, aussi, et c’est tout en son honneur, au service de… la Justice.
    c’est assez rare.

    Bref, bouffon bougon, en conclusion : l’absence totale d’humour est un très grave défaut ; et ici, en particulier.

    • « PMF-M, lui, est un gars tout ce qu’il y a de droit dans ses bottes, et qui n’en déviera jamais, ne serait-ce que d’un millimètre ».
      La réalité est que je suis un vertébré entouré de mollusques.
      Les mollusques sont faciles à écraser. Les vertébrés, un peu moins.

  49. Je préfère occire le fasciste puis écrabouiller la rolls avé le tank

    on dirait qut’as l’intention de nous en faire un rap avec des uzi et des putes russes, Dudu.

  50. Echelle 1/24 et encore… (suite)

    Paulo le Prolo ne pourra pas réserver de sitôt sa Rolls Phantom au Lidl du coin (avec un choix des couleurs de peinture qui autorisera tous les mauvais goûts. Notamment le cuir rose façon Barbie).

    Il devra la garer sur le parking de la cité paske son garage avait été prévu pour une twingo. Du coup, elle sera flambée neuve par les dealers du coin.

    C’est bea

      • Les ailes de la Rolls effleuraient des pylônes
        Quand m’étant malgré moi égaré
        Nous arrivâmes ma Rolls et moi dans une zone
        Dangereuse, un endroit isolé

        Là-bas, sur le capot de cette Silver Ghost
        De dix-neuf cent dix s’avance en éclaireur
        La Vénus d’argent du radiateur
        Dont les voiles légers volent aux avant-postes

        Hautaine, dédaigneuse, tandis qu’ hurle le poste
        De radio couvrant le silence du moteur
        Elle fixe l’horizon et l’esprit ailleurs
        Semble tout ignorer des trottoirs que j’accoste

        Ruelles, culs-de-sac aux stationnements
        Interdits par la loi, le cœur indifférent
        Elle tient le mors de mes vingt-six chevaux-vapeur
        Princesse des ténèbres, archange maudit
        Amazone modern style que le sculpteur
        En anglais, surnomma Spirit of Ecstasy

  51. Dobelyou (copyright lfdh), pauvre choupinette, victime de l’odieux personnage qui, « du haut de son insondable mépris », ne daigne pas s’adresser aux bonnes femmes…
    Elle a besoin de considération et de reconnaissance, Dobelyou. Elle a besoin qu’on lui dise qu’elle existe. Elle a besoin qu’on lui dise qu’on l’aime.
    L’espace d’un instant, elle s’est réincarnée ainsi :
    https://youtu.be/2H0FCcUbt04?si=f6xYAA27CkabWx1B
    Dobelyou, à votre âge, est-ce bien raisonnable ?
    (C’est de l’humour, WTH…Vous savez bien, ce truc dont vous pensez que je suis dépourvu…Mais le goûterez-vous ?)

    • J’ai tendance à pester, PMF-M, sans être pour autant une peste – toussa parce que j’ai vu que Lorie se nomme Pester.

      Je vous rappelle que les « mollusques » existent toujours et que même la… limace se traîne encore.
      Par contre, au cours des millénaires, moult vertébrés, tendance nuisible, ont disparus.

    • « pas bien malin… »

      Il a, au contraire, parfaitement compris votre projet à l’américaine sous votre beau discours fédérateur sur la langue française que vous agitez comme un chiffon rouge pour mieux mettre en place le pire système éducatif décentralisé et donc ultra libérale qui soit.
      Il n’est pas le seul.

  52. Si vous êtes enrhumé,surtout pas de vaso-constricteurs (type Actifed)…vous risqueriez un AVC.
    C’est une recommandation de l’ANSM (qui n’interdit pas ,cependant, la vente de ces médicaments,commercialisés et utilisés depuis une dizaine d’années.)

    Cette soudaine recommandation aurait-elle pour but de masquer le lien entre augmentation du nombre d’AVC et injections d’ARN messager ?

    Ce serait un peu gros.

    Lormier ne risque rien:depuis toujours les généralistes lui expliquent que les vaso-constricteurs ne soulagent que momentanément et ne soignent absolument pas le rhume.

    Comment se fait-il qu’un produit qu’aucun médecin n’a jamais recommandé se vende si bien ?

    • Pac’que les pharmaciens (big pharma) sont de bons épiciers, que les gogos sont pléthore, et ne lisent presque jamais les notices. Faut déjà pouvoir le faire.
      … Lire ou écouter les contes de Lordon ne leur apporterait donc rien que… des maux de tête, ce qui, au bout du compte, ne ferait (encore) que du bien dans le tiroir-caisse du pharmacien…

  53. Pour les infarctus on nous a déà expliqué que c’est parce que les gens se baissent pour serrer leurs lacets
    Et pour les turbo-cancers qu’est-ce qu’ils vont nous inventer ?
    Bon,pour les myocardites,maintenant c’est terminé le baratin:c’est écrit sur les boîtes que Pfizer peut en provoquer.
    Au fait,il paraît que 1,7 % des soignants a fait sa dose de rappel;quels médecins conseillent encore une « mise à jour » à leurs patients ?

    Dugong va peut-^tre entrer dans le Guinness des records…unique Français à jour ,

  54. Dugong 24 octobre 2023 At 8h55
    C’est beau, une RR qui crame, la nuit sur le parking…

    Les Rolls ont maintenant des moteurs BMW…

    • Les comptes de grand-père Xi (suite) –

      BMW va investir plus d’un milliard en Chine pour ses ouatures électriques ; cause : l’accès aux « batteries ».
      (Je conseille encore vivement la lecture de « la guerre aux métaux rares » ; on y apprend beaucoup, entre autre sur les supposés magouillages EU-Chine, sous Clinton – et qui ne fut guère, en son temps, remarqués dans les media – tandis que ces derniers ont furieusement mis l’accent, il y a encore peu, sur le, supposé, comme il s’est avéré, fort soutien de Trump par la Chine.

      Quant à la (fausse !) « RR chinoise », la Hongqi E-HS9, elle débarque en Europe.
      Et puis quoi encore ?!

    • « Les Rolls ont maintenant des moteurs BMW… »

      Elles avaient déjà des suspensions Citroën…

    • Le cravaté, aux manchettes, a besoin de ses notes ; JPB, « l’écrivain » est égal à lui-même (parfait, comme d’hab, évidemment, tss) et la palme revient à… « Eléments » : impeccable discours !

      • A quand un double-jeu où le je-femme dira au Maestro:c’est toi l’écrivain, moi je ne suis qu’une faiseuse de notes de bas de page et en plus tu me baises beaucoup mieux que le facteur et le plombier;y a qu’avec toi que je jouisse pour de bon;tiens, tu me fais la pince de homard ?

        • « Pince de homard » : où comment l’IAL, pince sans rire, refuse de mettre des gants, et n’y va pas avec le dos de la cuillère.

          • mieux que le facteur et mieux que le plombier
            i) c’est un peu lourd mais ça évite l’ambiguïté que vous soulignez
            ii) malheureusement ça suscite une question:y aurait-il une gradation entre plombier et facteur ?
            La limidité,un idéal difficile à atteindre,sauf pour quelques élus.

  55. WTH 24 octobre 2023 At 15h46
    Le cravaté, aux manchettes…

    Il s’est déjà illustré, au Sénat,lors d’une commission où étaient reçus des représentants syndicaux du corps enseignant.

  56. Les « merdes » et les bons comptes de grand-père Xi (suite) –

    Après Shein, Temu.
    Shein = « She in-side » = se prononce donc Chi-in = Chine

    Et Temu ? Créé par Pinduoduo = « ensemble plus plus » (plus une saleté de mauvaise qualité se vend, plus son prix baisse) qui vient de délocaliser (!) son siège social de Shanghai… à Dublin.

    https://madame.lefigaro.fr/style/news/qu-est-ce-que-temu-l-inquietante-application-shopping-la-plus-telechargee-en-france-20231024

  57. La députée Ersilia Soudais,très choquée

    « Ne faut-il pas être cinglé pour venir me harceler jusqu’à mon bureau, à l’Assemblée ?  »
    _____________________________________________________________________
    Il y a de quoi être choqué,en effet:quelqu’un a osé coller sur la porte de son buereau la photo d’un bébé kidnappé par le Hamas !

    https://pbs.twimg.com/media/F9NPAraacAA-ZCs?format=jpg&name=large

  58. Jean-Paul Brighelli 24 octobre 2023 At 18h10
    Ben à vrai dire c’est tout ce qu’il me reste.

    De mieux baiser que le facteur ET le plombier ?

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