Supprimé

87 commentaires

  1. J’en ai rédigé une centaine de pages, sous le titre provisoire Le Train de 12h37. Savoir si je continue dépend de vous — j’ai bien vu que le précédent ne vous passionnait pas.
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    Et mon khul c’est du poulet ?

    Lormier a produit des analyses concernant notamment la philosophie sous-jacente au texte;un autre lecteur a imaginé une suite (qui n’en est pas vraiment une…une pochade sinistre et ricanante, certes) mais le fait même de vouloir adjoindre quelque chose au texte existant est bien le signe d’un intérêt.
    abcmaths aurait bien écrit quelque chose,mais son sur-moi l’en empêche:il eût été impudent ,dit-il , de parler après le Maestro. Sidération admirative etc.

  2. Vraiment bien, Brighlli.

    PS : « Comme elle a marqué le pas avant que la porte automatique ne s’ouvre, je les lui ai caressées. Elle a eu un petit rire de gorge. Crétine ! Double crétine ! »

    Toucher les fesses d’une femme que l’on a abordé quelques minutes auparavant… Serait un mode de sélection opérationnel en boîte à partouze ? Elle glousse : j’arrête de l’entreprendre ; elle marque un silence puis se retourne en affichant des yeux en trou de pines : Go !
    Peut-être lui touche-t-il aussi l’arrière train en connaissant d’avance sa réaction de lectrice Closer qui est toujours ce même petit rire de dinde, il s’y attend… Le geste juste pour s’en assurer. En fait ça me paraît plus logique, moins dépareillé. Un peu comme une Patek portée par un homme qui s’applique à être bien-poli, ou pas mal-poli, en disant « mince » plutôt que « merde » : un mec ultra cultivé mais sans finesse, quoi…

      • Non, ça m’a échappé. Nous sommes tellement habitués à vous lire dans vos pérégrinations. J’étais étonné et rassuré : vous êtes dans l’acmé de votre talent quand vous êtes honnêtes, que vous vous foutez royalement d’un quelconque jugement sur votre production…

      •  » Elle me croit intéressée, tant mieux, elle n’en répondra que plus volontiers. « Et toi ? » me rétorque-t-elle, non sans à-propos. « Entre les deux mon con balance », dis-je. »

        Bien sûr. J’ai négligé la fin de paragraphe, mon oeil av ait repéré la suite par laquelle, je me suis fait avoir :
        « C’est un gros mensonge. Je déteste les hommes et j’exècre les femmes. »

        Mais enfin, c’est vous tout craché, Brighelli, !

        Bon, 0/20. Fait ièch’, l’autre truffe va arriver m’en mettre plein la figure. Allez, je file.

  3. Bisexualité, lesbianisme, sauvagerie latente (Docile, personne n’est dupe), les ingrédients indispensables sont là.
    On attend la suite avec impatience.

    • (Docile, personne n’est dupe)
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      « docile », définition dans le dictionnaire Littré

      docile
      (do-si-l’) adj.
      1Qui a de la disposition à se laisser instruire, conduire. Un enfant docile aux leçons de ses maîtres.
      ÉTYMOLOGIE
      Lat. docilis, de docere, enseigner,

      En effet,si tarte soit elle, elle écoute docilement les doctes explications du « bibliophile »…elle apprend volontiers.
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      « On attend la suite avec impatience. »

      D’autant plus qu' »à ce stade » (comme disaient les autorités covidistes) des suites très diverses sont possibles.

      Quels sont les desseins de cette criminelle vendeuse de livres ? Tuer cette idiote après en avoir joui de manière sadique ? On peut dire de cette criminelle qu’elle est une « tire au khul »
      Va-t-elle chosir cette méthode ? Ou bien pas du tout tuer mais en faire un objet de plaisir ?

  4. « Après tout, pour séduire, il faut savoir se mettre à l’unisson de la bêtise de l’autre.  »

    Séduire une personne bête ? Il faut savoir mesurer cette bêtise quansd m^me;sinon, on peut se retrouver avec une lectrice de Meirieu…et là c’est non !

    Se donner du mal,dépenser des sous, monter avec la fille pour découvrir que sa bibliothèque est pleine de Meirieu !

  5. De Charybde en Scylla ! Mais comment un ex prof de lettres peut-il s’aveugler à ce point-là sur ses productions ?
    C’est sans intérêt, c’est confus, c’est verbeux ( vous ne pouvez pas vous empêcher de faire de la didactique à tous les coins de phrases, défaut déjà amplement présent dans votre Soleil noir, mais ça passait mieux dan d’un récit historique ), ça pue le prof à plein nez qui essaie d’étaler sa science à tout bout de champ, qui de toute façon ne sera pas lue puisque les lecteurs de ce type de récits de cul, ne recherchent que les éléments les plus vulgaires et les plus salaces dans une surenchère de violence qui ne fait honneur ni à vous ni à eux.
    La mise en aparté systématique des pensées ( si on peut employer ce mot ) de votre narratrice ponctuée de Oh et de Ah conjuguée à du mode jussif a un côté complètement ringard ( comme le « Ma foi » . On a l’impression d’entendre parler un vieux pépé. D’où l’erreur de lecture parfaitement compréhensible d’une de vos intervenantes si en plus vous n’accordez pas au féminin ce qui devrait l’être : «  Nous dédaignons l’unE l’autre… »
    La forme est nulle, quant au fond, il n’ y a de toute façon rien à espérer de ce type de torchon.
    Pour le coup, j’en viens presque à pardonner aux lecteurs leur amour de Lévy.
    C’est la vieillesse qui décuple votre narcissisme ?

      • défaut déjà amplement présent dans votre Soleil noir,

        roman précédemment encensé par la MEME lectrice. Allez-vous le faire pilonner parce que cette personne (qui a peut-être mangé des moules pas fraîches hier soir ) en dit maintenant du mal ?

        Ah ben merde alors !

        • Il s’ennuierait… et nous aussi (moi beaucoup) ; il semble d’ailleurs que certains ont déserté ?

          • Qu’il réfléchisse bien avant de le fermer, il ne sont plus que cinq à tout casser à le fréquenter. Autant le chiffre peut aller en augmentant, autant une fermeture lui serait fatal. Tout le monde en a souper de ses délires de diva. Il se prend pour qui à ne pas respecter son lectorat ? C’est d’une complète incorrection, un comportement de parv’. FUCK OFF BRIGHELLI !

      • Normal(ien) ? Le hall de gare, comme les wagons, auraient leurs limites ?
        Il me semble avoir lu que Sanseverina espérait, comme littérature de vieillesse, des recettes de cuisine ; et pourquoi pas du scrabble ?
        Ne vous laissez pas mener par le bout de nez maestro !

  6. SNCF Connect, une IA spécialisée dans l’occupéage de sièges libres par des culs las.

    Même en ToiJeVeux, un Paris-Marseille peut sembler interminable.

    • Même avec l’IA, c’est foutu pour Noël ! c’est déjà trop tard : « ruée sans précédent » pour les réservations TGV in(oh)Oui….

  7. Excellentissime ! JPB au top de sa forme ; on y retrouve… tout ! Finalement, quoi de mieux, en vérité je vous le dis, qu’un gentil petit… toutou.

  8. « ringard », « vieux pépé », « prof à plein nez » (normal) : Sanseverina n’y va pas avec le dos de la cuillère (comme toute bonne cuisinière).
    A propos de « Charybde en Scylla », souvenir (de petite vieille ?, 1987) : c’est ce que nous avions fait remarquer, à quelqu’un, en passant le détroit de Messine ; on peut dire que c’est tombé à l’eau !

    • J’aurais dû faire un copié/collé…mais pouvais-je m’attendre à ce que Sanseverina, personne habituellement affable et perspicace fasse une colique après avoir mangé un truc pas frais ?

      Même chez Rollinger,les accidents arrivent !

      Le Maestro, c’est la princesse au petit pois.

      • Encore un ou deux commentaires merdiques et ce sera rideau pour une durée indéterminée;elles font chier avec leurs vapeurs!

        • C’est Brighelli qui a des vapeurs !
          Seulement ici, d’ailleurs. Parce qu’il faut lire les commentaires sous ses articles dans Causeur. Il ne fait pas de pataquès du genre « Oui, bah puisque c’est comme ça, j’écris plus ! », Nan, nan… Il les met dans un mouchoir au fond de sa poche et continue ses piges… Mais quelle blague !

      • Mais Brighelli savait pertinemment que Sanseverina lui rentrerait dans le lard.
        C’est parfaitement calculé.
        Il veut qu’on le supplie à genoux, il veut nous voir l’encenser, nous répandre en compliment. Qu’il aille se faire cuire un oeuf !

        • « se faire cuire un oeuf » !
          ouh là, malheureux.se, vous touchez là une corde sensible : se faire cuire un oeuf, en mode JPB, c’est tout un art !

          • Franchement, zéro risque de me laisser tenter à son art culculinéaire.
            Il est fat, vieux, chauve. Mais il écrit bien. Sa lecture est agréable et quoiqu’en pense Sansèv’ (elle la première à le reconnaître).

          • (Quand je pense que j’étais, cet aprèm’, en terrasse accompagnée d’un copain qui se trouve être super bel homme (il est sorti avec un top model super connue), à nous marrer à voir le comportement féminin qu’il suscite. Ce n’est pas mon fiancé mais je me suis fait un paquet d’ennemiES. Elles me détestaient toutes à me voir lui taper sur le ventre. Sérieusement, qu’est-ce que j’ai à foutre des oeufs et de leur cuisson à la Brighelli ! Au secours !)

        • Le « fiancé » de GG (mdr).
          Avec GG, presque toujours assuré.e.s d’être au top de la finesse et donc de la vulgarité.

    • En ces temps fort troublés, où on ne sait plus à quel sein se vouer, JPB, à la corde (!) sensible – et « princesse au petit pois », même dans les couchettes de sleeping – aurait préféré annuler plutôt que d’être poursuivi, pour outrage, jusqu’à son dernier jour (en mode Polanski) ?
      ou alors, s’agit-il d’une (fine) tactique ? Une Q dont on va forcément connaître bientôt la R !

    • Le top du top ! Palme d’or aux Reporterreux !
      Que tous ces gens, que je n’appelle plus que terminaux d’réseaux, commencent donc par prendre un peu de distance avec leur tél portables.

  9. Tempête dans un verre d’eau. On y gagne avec la vignette de remplacement. Elle est drôle.
    Je ne renie pas ce que j’ai dit sur Soleil Noir. Il y avait quelques défauts qu’il n’était pas nécessaire de pointer pour une recension générale. Vous croyez qu’un livre cela s’écrit comme cela, sans retouche ?
    Au lieu de pousser Brighelli à faire un vrai roman, vous l’enfoncez par votre flagornerie à donner dans le n’importe quoi.
    Mon avis n’est qu’un avis de collègue. Je ne lui ai jamais demandé de retirer son papier. Il est assez grand pour savoir ce qu’il a à faire. Que ce papier disparaisse ou revienne m’est bien égal.
    Pour les désespérés, les sanglots longs de vos violons vous permettront d’avoir une copie en off. Allez, courage aux fans, il n’a pas détruit son manuscrit et il va encore pouvoir vous régaler de bien d’autres merveilles pornographiques.

    • Comme souvent (toujours ?), difficile de rétorquer quelque chose d’intelligent à Sanseverina (je parle de moi), qui elle, sait manier le verbe…

      • … mais a renoncé à « régaler » le lectorat de quelques anecdotes alléchantes ?
        (« un vrai roman »… A chacun ses mérites : JPB n’est ni Dumas, ni Perez-Reverte, mais il a fait me semble-t-il beaucoup pour ce qui doit être, plus que jamais, défendu.)

        • … Ce sidi (Perez-Reverte), JPB est parfaitement capable d’écrire un « vrai roman »… Il doit sûrement traîner quelques pages, oubliées, au fond de ses tiroirs, qu’il lui suffit de ressortir… et de travailler.

        •  » JPB n’est ni Dumas… »

          Justement Sanseverina disait que dans SoleilNoir,il écrivait mieux que Dumas…

          Mais vous savez bien comment sont les meufs (enfin, certaines d’entre elles):un jour ,vous êtes un dieu ,le lendemain une merde.

          (comportement beaucoup moins fréquent chez les non-Françaises)

    • « La mise en aparté systématique des pensées ( si on peut employer ce mot ) de votre narratrice ponctuée de Oh et de Ah conjuguée à du mode jussif a un côté complètement ringard »

      Absolument pas d’accord avec vous, ça passait au contraire super bien, rien de ringard, le rythme était très bon (ça me barbe d’être obligée d’en parler positivement).

  10. Pourtant il en a des personnages extérieurs pour faire mine de ne rien comprendre, de le critiquer puis de l’encenser.
    Pauvre naïveté !

  11. Sanseverina 5 octobre 2023 At 19h43
    « Que ce papier disparaisse ou revienne m’est bien égal. »

    i)Alors,ça y est vous allez mieux ? Ce n’était pas du botulisme ?
    ii) moi,ça ne m’est pas égal

    « bien d’autres merveilles pornographiques. »
    i) rien de pornographique dans Incipit 2
    ii) et puis d’abord qu’est-ce que c’est que cette manie de critiquer la pornographie ?

  12. Question à Lormier, généralement bien informé.
    Je suis souvent présent ici, mais je lis très vite et je ne lis pas tous les commentaires.
    Pouvez-vous m’éclairer ?
    Qui est cette Sanseverina devant laquelle JPB s’aplatit comme un gamin pris la main dans le sac ?
    Une journaliste, un écrivain, une éditrice ?

    • Ma fiche est incomplète.

      Sanseverina est (ou était jusque récemment,mais elle voulait se reconvertir) professeur agrégé de Lettres dans un lycée normand.

      Elle aime la langue italienne, qu’elle étudie et pratique.

      C’est une ancienne khâgneuse,capable de dire quelque chose comme:khâgneuse toujours.

      Elle apprécie la très bonne cuisine, est une habituée de Rollinger.

      A une époque, elle avait une grande inclination pour le Maestro,allant jusqu’à confier: »comme j’aimerais me réveiller à côté de lui en murmurant « Jean Paul »

      Il lui arrive de raconter cocassement des aventures à la photocopieuse:certain collègue s’y montra stupide et désobligeant.

      Son mari voudrait la dissuader de visiter ce site: »laisse tomber,c’est une bande de cinglés. »

      Le Maestro lui confia (à elle et à Gus) la tâche d’écrire une recension de Soleil Noir (qu’il lui avait fait lire dans son intégralité). Son texte,fort élogieux, était une merveille de subtilité.

      On ne peut dire que le Maestro s’aplatisse devant elle:n’importe quel petit merdeux est capable de lui faire retirer un écrit.

      • Sanseverina aime beaucoup l’Italie,qu’elle visite souvent…mais trouve Cinque Terre surfait.

        • C’est quand même curieux cette manie de se retirer brutalement.
          Quand on est dépassé par une lutte , on ne se se retire pas !
          Oui…

          • Enfin, pas comme ça.
            Trop facile de refuser de débattre tant qu’on ne se sent pas sûr.
            Oui…

          • déLassé par une Pute

            refuser de débattre tant qu’on ne se sent pas sûr.

            refuser de S’ébattre tant qu’on ne se sent pas Dur.

  13. Sanseverina 5 octobre 2023 At 19h43
    Vous croyez qu’un livre cela s’écrit comme cela, sans retouche ?
    Au lieu de pousser Brighelli à faire un vrai roman…

    Parce que vous croyez qu’un écrivain « s’améliore » grâce aux éructations de ses lecteurs ?

    C’est l’auteur qui fait le lecteur, pas l’inverse.

  14. Habituée de Roellinger ! Comme vous y allez ! Elle a beaucoup de fric, certes, mais ne fréquente que rarement les restaurants étoilés.
    Bien maigre votre fiche pour des attaques ad hominem. En parfaite harmonie avec le personnage de Damien en tout cas. Elle a bien fait de vous expédier en enfer. Même le petit copain de toujours est minable avec sa question rhétorique : c’est ki la dame ?
    Assez déconné, on s’est bien amusé mais on a mieux à faire. On vous laisse entre vous dans votre fange.

    • Vous n’avez pas supportez sa connaissance sur les ces belles éditions, ce milieu des collectionneurs. Vous n’avez retenu que les passages porno quand quand ceux qu’il offrait sur ces ouvrages anciens aux papiers particuliers méritaient à eux seuls une véritable attention.

      Vous avez une très jolie plume, je vous l’ai toujours dit mais si vous saviez à quel point votre jalousie vous handicape. Quel dommage. Brighelli est un foie jaune, appelez le comme il vous plaira — je ne lui fais aucun de cadeau moi-même — mais il est bien meilleur que vous ne l’êtes dans votre exercice commun.

      • Incroyable GG ! Capable de passer d’un extrême à l’autre ! Des moments où je vous, disons, soufflèterais volontiers (et d’ailleurs je n’y manque pas – on ne s’en empêche ni l’une, ni l’autre), d’autres où je vous aime bien, vraiment !

        • Non, je ne varie pas ! J’ai toujours dit que JPB avait une belle plume (ce qui n’empêche pas que ce soit un foie jaune), comme Sansèv’ en a aussi une. Et moi aussi je vous giflerais parfois.

        • Cet épisode était vraiment bien ; je lui trouvais une aisance, un tempo nouveau, JPB acquit à un rank supérieur dans son art… Je me suis même demandé si je n’allais pas changer de pseudo pour pouvoir poser quelques questions sur ces particularités de reliure, ces papiers.
          C’est chiant… Les deux (JPB/ Sansèv’) m’énervent !

    • Vous vous étiez fait la peau d’Hervé qui nous avait livré le récit bien ficelé d’une exposition au Grand Palais à laquelle il s’était rendu, un très chouette récit sur un aquarelliste qui n’avait rien d’amphigourique celui là… Votre réaction fut la même : celle d’un enfant gâté qui ne supporte pas de ne pas avoir la vedette.

      • « enfant gâté », « vedette » – Tout est dans la mise en scène.
        Et d’ailleurs, après son malaise la semaine dernière, P. Arditi, en retrouvant les planches, ce soir, a eu droit à une « standing ovation »…

  15. Dugong 5 octobre 2023 At 18h38
    Liberté d’expression ?

    Le mec de Masséna,il a mis en images des passages de Brighelli…

    • J’ai pu voir un court métrage fort drôle,qu’il a réalisé tout dernièrement. Ca s’intitule:La pince de homard;y alternent des images de la ripaille macroniste de Versailles avec la scène racontée par le Maestro, qui a lieu dans les jardins du château (orgasme provoqué par une pince de homard=pouce dans le con, quelques doigts dans le khul,pression à travers la menbrane séparant les deux orifices).
      Evidemment,suggérer à ses élèves d’aller voir sur le site du professeur n’est guère convenable;de surcroît,il se peut que le professeur en question ait eu des intentions condamnables.(des visées sur ses élèves)

  16. Cui ! Cui ! les petits oiseaux

    Dans un tweet qui fait le buzz, Carla Bruni enjoint les femmes à se faire une mammographie par an. Carla ne sait pas ce que sont les déserts médicaux, (la dame est prise dans la minute au moindre pet de travers par un toubib copain de son cher et tendre) et les trois mois d’attente pour passer une simple radio… J’te jure, pfff…

  17. Incipit 2 : on a soufflé au maestro qu’il allait un peu loin…
    On ne peut pas tout dire (surtout sur un blog de prof ?!).

    Par contre, dans la réalité, tout passe : les pires « faits divers », jusqu’à l’ex amuseur, qui au volant, a foutu la vie en l’air d’autres personnes, et pourtant reste libre…
    …oui mais il était sous l’emprise de la drogue (comme on dit), et ce sont ses deux fournisseurs qui vont sans doute trinquer à sa place.
    Presque aussi facile que d’effacer un texte ?!

    Ce n’est pas tant l’échange entre l’homme et la créature : c’est cru, c’est même cruel, c’est pourtant une façon de présenter la réalité.

    La vieille et le gamin, c’était pousser le cru, le même très cruel, à son extrême…
    C’est une vision qui peut rappeler celles qui traversent l’œil, et l’esprit, sous mauvais acide (lysergique).

    Et bien, JPB. merci d’avoir osé pousser à son paroxysme le spectacle des horreurs, qui nous entourent.
    Affreux, sales, et méchants !

  18. Brouzouf (suite) –
    Il se dit que certain.es. auraient payé (très) cher pour parader au 1er rang des défilés moche couture, été 24 ;
    on ne voit d’ailleurs que leurs gueules et jambes croisées – voire beaucoup plus – dans les magazines.
    Et les fringues dans toussa, puisqu’il s’agit de collections de porte-manteaux ?
    Et bien, il faut aller, par ex, sur Harper’s bazaar, pour en avoir une vision ; mais c’est tellement ridicule, grotesque, et affligeant, qu’entre deux spectacles des horreurs – le 1er rang, et le podium – vaut mieux… s’abstenir.

  19. Ridicule, grotesque, et même… insensé (suite) –

    Concours (?) Science (Pi)Po, en 2024, comme en 2023 :
    « Le dossier d’admissibilité se compose des notes obtenues au bac, des notes et appréciations reçues au lycée et d’un travail écrit composé de deux sujets de rédaction A FAIRE A LA MAISON ».
    (lefigaro – étudiant, 06/09)

  20. « La forme est nulle, quant au fond… »

    Brighelli, vous avez été taillé par ça. Relativisez.

    Le premier texte m’avait bien plus (un chouïa confus au début peut-être). Le côté san-antonien du second est moins à mon goût, rapidement trop vulgaire.

  21. On s’en fout du style dans l’érotisme ou la pornographie, ce qui compte c’est que ça fasse bander ou mouiller!

  22. A-t-on le droit de savoir s’il existe un dossier lormierien sur notre pomme ? Le cas échéant, a-t-on le droit de le consulter ? Ce serait intéressant.

    • Je trouve ça affligeant. Si l’on n’a plus de contrôle sur ce que l’on écrit, autant ne plus rien écrire.

      • Arrêtez voir, vous n’avez pas à rougir. Votre texte était très bien. Sanseverina vous fait payer vos prises de position répétées contre Blanquer.

        (Le cache s’effacera au prochain passage du robot, c’est-à-dire bientôt.)

      • « Si l’on n’a plus de contrôle sur ce que l’on écrit… »

        L’auteur est mort, vive l’auteur.

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