Le dernier numéro-papier de Causeur revient longuement sur le « syndrome de Cologne » — les viols divers et variés auxquels se sont livrés pour le Nouvel An des gens que les victimes ont identifiés unanimement comme des étrangers basanés, nord-africains ou migrants moyen-orientaux.
Elisabeth Lévy (dite « la Patronne », susnommée « Trois pommes acides » ou encore « Philippine Muray »), dans un éditorial lumineux intitulé « Leur culture et la nôtre », évoque avec émotion — quand même — et perspicacité l’aveuglement collectif de tous ceux qui, en Allemagne, en Suède, aux Pays-Bas ou en France, ont peur d’être taxés de racisme et d’islamophobie si seulement ils disaient que les réseaux criminels — à commencer par la prostitution — et les comportements asociaux — à commencer par le mépris des femmes — sont très souvent le fait des sectateurs de Mahomet, comme on disait aux époques où l’on appelait un chat un chat.
Elle prend la précaution élémentaire de préciser que « tous les immigrés ne sont pas des violeurs » — loin de là, bien sûr. Mais c’est pour ajouter immédiatement : « Mais à Cologne, tous les violeurs étaient des immigrés ».
Et de citer in fine un proverbe juif que j’ignorais, mais auquel j’adhère : « Celui qui a pitié des méchants finira par être cruel avec les bons ». Parce que, comme l’écrit Cyril Bennasar dans le même numéro, « si l’Etat ne fait pas respecter la loi, le citoyen s’en chargera : voulez-vous vraiment ça ? »
J’ai longtemps eu un problème avec le viol — en fait, je me suis toujours demandé comment faisaient les violeurs. Longtemps j’ai penché pour une explication hormonale — un quelconque dérèglement glandulaire, qui expliquerait, par exemple, le taux effarant de récidive à la sortie de la prison (et le peu d’efficacité justement du système carcéral dans ce cas).
Mais Cologne — et la réalité des commissariats, à Marseille et ailleurs — m’incitent à penser davantage en terme de culture. Et ce n’est pas, contrairement à ce que pense Elisabeth (dite aussi « Calamity Levy » et « Sexy Sadie », vieux reste des Beatles de son enfance) un « choc des cultures » à la Samuel Huntington. C’est l’affrontement d’une culture — la nôtre — et d’un refus de la culture — une contre-culture au sens propre du terme. D’une civilisation — la nôtre — et du déni de la notion même de civilisation. L’opposition de la Raison et de la Foi — une foi obscure, primitive, qui engendre chez ses sectateurs la certitude des pierres — celles que l’on jette sur les femmes adultères.
Faites donc une expérience. En arrivant Gare Saint-Charles, descendez vers le centre ville par la rue des Petites Maries. À mi-parcours, au croisement avec la rue Longue des Capucins, il y a un bar fort populaire, fort peuplé — d’hommes. Uniquement d’hommes. En huit ans — et j’y passe très souvent — je n’ai jamais vu une femme. Ni au bistro, ni, en général, dans la rue. Et pour y être passé avec des créatures du sexe, comme on disait quand on parlait français, je sais ce que l’on entend, au passage, de réflexions oiseuses. Je préfère ne pas imaginer ce que seraient les insultes si ladite créature était maghrébine, légère et court vêtue, comme Perrette dans la fable.
Ce que cette attitude, cet apartheid, ce mépris généralisé disent de cet islam du quotidien, c’est d’abord une peur des femmes — on n’enferme que ce que l’on craint. La peur du ventre des femmes.
Et la frustration. Nous avons glissé tout doucement, en Occident, vers la liberté sexuelle (pas dans les années 1960, mais dès le XVIIIème siècle dans les sphères aristocratiques), et ce que le sexe libéré disait aux obsédés de la morale et de la religion, c’était que du libertinage des sens à celui de l’esprit, la pente est naturelle. Vouloir à toute force contrôler les ventres, c’est prétendre contrôler l’esprit — on le voit assez avec les femmes voilées, qui se font croire que « c’est leur choix », mais qui sont les exemples les plus purs de cet opium du peuple dont parlait un certain barbu juif (un complot, sûrement) du XIXème siècle.
Comme le dit éloquemment Elisabeth Lévy (dites « Betty Boop »), « cet Autre-là ne nous dit pas, comme les propagandistes du multiculturalisme heureux « à toi le string, à moi la burqa, vivons avec nos différences, inch’Allah » : il pense que mon string signifie « à prendre ». »
Vous vous rappelez peut-être la Journée de la jupe, le film de Jean-Paul Lilienfeld sur lequel j’avais écrit, à l’époque, de gentilles choses (et l’article de Philippe Meirieu, en pseudo-soutien tout en nuances, dandinements et contournements, vaut aussi son pesant de pédagogisme embarrassé). À la dernière image, les élèves musulmanes d’Isabelle Adjani alias Sonia Bergerac venaient, audace inouïe, à ses funérailles en jupe — il y avait un plan qui m’a rappelé celui que fait Truffaut sur les jambes des ex-maîtresses, dans une situation exactement similaire (l’enterrement du héros), dans l’Homme qui aimait les femmes.
Mais ce sont des jambes encore très décentes. Pour tester la pudeur des vrais croyants, il en faut davantage. Raccourcissons les jupes ! Interdire les burqas ne suffit pas : il faut imposer la mini.
Elisabeth Lévy (dites aussi « mini-mini-mini », version Dutronc, ou « mini Minnie », version Disney) ne me démentira pas, elle qui, jupe haute et bottes du même cuir, teste toute la journée la capacité des Parisiens à tenir en laisse leurs pulsions — ce que tout le monde ne sait pas faire.
Il faut comprendre que nos élèves musulmanes (et pas seulement musulmanes, dans une ville aussi bariolée que Marseille) ont chaque matin, avant de s’habiller, des hésitations que ne connaissent pas les petites Parisiennes — mais Paris est une ville qui n’existe pas. Une jupe longue, pour satisfaire les wahhabites ? Un voile amovible, pour satisfaire les salafistes et les laïques qui guettent à la porte ? Un pantalon, comme tout le monde ? Moulant ? Pas moulant ? Toujours trop moulant… Elles évoluent dans un monde où porter une jupe de longueur normale (sans parler d’une mini) ou un soutif un peu pigeonnant est une déclaration de guerre (et d’indépendance) face à un milieu étroitement normatif, face aux regards de coreligionnaires peu portés sur la tolérance. Nous voici revenus cinquante ans en arrière, quand il était interdit aux filles de venir au lycée en pantalon — sauf que cette fois, c’est l’inverse. Un conformisme religieux s’est substitué au conformisme des bien-pensants. Au niveau vestimentaire, nous voici un demi-siècle en arrière (ma mère aussi portait souvent un foulard dans les années 1950 — mais pas les Musulmanes débarquées après les accords d’Evian). Au niveau des mœurs, nous voici mille ans en arrière — avant que l’amour courtois enseigne à des chevaliers quelque peu rustres que l’on séduit les gentes dames avec des roses et des fleurs de rhétorique, et non en les traitant en prise de guerre.
Jean-Paul Brighelli
« Au niveau des mœurs, nous voici mille ans en arrière — avant que l’amour courtois enseigne à des chevaliers quelque peu rustres que l’on séduit les gentes dames avec des roses et des fleurs de rhétorique, et non en les traitant en prise de guerre. »
Je ne suis que dugong(1), modeste serviteur de mon Maître Dugong(0) dont l’enseignement éclairé m’excite à insérer ceci ici :
Est-ce si sûr ?
Selon un journaliste de RFI, l’Etat islamique aurait récemment décapité une belge de 22 ans accusée de sorcellerie »
Le fait qu’elle fut belge a sûrement lourdement pesé dans la balance :
https://www.youtube.com/watch?v=PK8yQ-zpn_k
Cet extrait de « Sacré Graal », définitivement génial, devrait être projeté et commenté dans tous les espe comme antidote à tous les délires du genre mains à la patte d’oie (ou de canard).
PS : exercice pour les cinéphiles : trouver (sans glouglou !) la scène du « septième sceau » de Bergman en rapport avec cet extrait. Les trois premiers à trouver la bonne réponse gagnent à être connus.
« dans une ville aussi bariolée que Marseille » a attiré l’attention de Dugong(0) qui me prie d’insérer :
Marseille, c’est aussi des barios jolis comme le Roucas blanc, même s’il clame maintenant n’avoir rien à voir avec la patronne de la pme innovante :
http://www.lefigaro.fr/culture/2015/10/27/03004-20151027ARTFIG00113-jean-roucas-et-le-front-national-c-est-fini.php
Pratiques du caïdat venues du fin fond tribal de l’islam de l’arabie … la virilité c’est la prise de guerre !
Mise en esclavage remis en honneur dans l’Etat islamique – qui je le rappelle a été soutenu militairement par le gouvernement actuel de la France ! Du moins jusqu’aux attentats parisiens de 2015.
…
Le revirement soudain de la politique française me laisse suspicieux !
C’est l’Europe des Lumières qui fit cesser les pratiques ancestrales de l’islam en Afrique et en Asie en colonisant successivement toutes ses emprises terrestres et maritimes.
Clemenceau avait cru bon s’opposer à Jules Ferry sur la question coloniale en prétendant qu’il n’y avait pas de race supérieure ayant des droits et des devoirs sur les races inférieures.
C’était aller un peu vite en besogne en effaçant la course du progrès des mœurs et des institutions !
Car enfin alors le cannibalisme serait toujours à l’honneur dans les coins les plus reculés de la planète à ce compte-là.
Clemenceau dans sa fureur d’opposant manquait parfois de jugeote.
La colonisation de l’Afrique par les puissances européennes fut une vaste entreprise achevée avant 1914 et qui eut des conséquences heureuses sur bien des plans.
Le relativisme culturel à la mode Claude Lévi-Strauss est particulièrement ridicule – n’en déplaisent aux thuriféraires de l’illustre ethnologue – et comparer les sociétés oblige à les classer sur le plan du développement moral et matériel.
Sinon à quoi bon enseigner quoi que ce soit ?
Autant fermer les écoles … et laisser le hasard décider du sort de l’humanité !
« Le relativisme culturel à la mode Claude Lévi-Strauss est particulièrement ridicule »
Ce sont les épigones de Lévi-Strauss qui, l’ayant mal lu, ou incomplètement, ont alimenté cette idée du relativisme culturel. L’ethnologue est assez clair, et très fréquemment, pour défendre que tout ne vaut pas tout, et que la culture oblige aussi à opérer certains classements.
Le judaïsme, l’islam et le christianisme sont des religions révélées qui n’admettent pas l’idée de progrès.
Ceci explique largement l’extrême conservatisme de leurs pratiquants notamment sur le plan des mœurs et des rapports entre les sexes.
Le judaïsme qui n’est pas prosélyte s’accommode aisément du relativisme culturel se contentant de mépriser ceux qui ne sont pas du peuple élu.
En clair il faut être à la fois animé de l’esprit des lumières – c’est à dire de la raison pour tous – et de la fermeté nécessaire pour étendre à tous les hommes les bienfaits réservés à quelques uns.
Il ne suffit pas d’être raisonnable mais il faut être prosélyte de sa raison !
Monsieur Brighelli, faites vous inviter à la télé et dites leur tout ça ! C’est urgent Bon Dieu !
Vous croyez que l’on « se fait inviter » à la télé ? C’est la télé qui invite…
Tiens, c’est nouveau çà : Brighelli martyr !!!
Martyr de la foi ou martyr du fois?
Pfff! Toujours les mêmes histoires. Je ne sais pas moi, pourquoi pas, une expo, une pièce de théâtre, une ville, un festival, un voyage, une côte, la mer, le citron, le chocolat, un livre, un chanteur, un écrivain, un destin particulier, une théorie ?
Oui évidemment Brighelli peut porter le kilt écossais pour faire passer le message devant ses élèves !
…
Et ses élèves féminines lui diront : « Plus haut la gambette on ne voit rien dans les derniers rangs ! »
Et comme disait Saint-Raffarin en son temps « Notre route est droite, mais la pente est forte » Homo Erectus sum !
Pardon, étourderie de ma part, mais quand même, qu’est-ce-que j’aimerais vous entendre en baffer deux trois dans un débat, avec votre air doux et votre voix grondante ! Vous lire ici, ce n’est déjà pas mal mais on est tous d’accord avec vous. Vraiment dommage !
Bien sûr mais qu’est-ce que cela fait comme bien de lire des personnes qui pensent pareil ..
Des fois on sort bien mal …d’autres forums « politiques » …
Driout, je ne suis pas d’accord avec vous et j’abonde dans le sens de Sanseverina (qu’elle me pardonne).
Au lieu de nous bassiner avec les fidèles du divin chamelier qui pensent avec leurs queues ‘neuronalement’ suréquipées, on devrait
suivre la piste de Sanseverina, notre oasis de ce lieu désertique qu’est devenu ce bac à sable brighellien, notre fleur parmi les
fleurs qui exhale son parfum suave émergeant de notre puanteur boboïde de féminitude humaniste aspergée d’Eau de Cologne. Il faut je crois nous féliciter à bas bruit de la conversion au cartésianisme de cette jeunesse virile qui clame sa raison d’être en criant à nos portes « je bande, donc je suis! », ne plus en parler et changer instamment de sujet de discussion hâtivement proposé par notre hôte.
Je m’inscris derechef au « Club de Sanseverina » si j’y suis admis, on m’a dit qu’il fallait pour cela jouir de solides références…
Il faut jouir tout court c’est ça le plus dur ! Un orgasme à chaque phrase de Sansévérina ça secoue !
« Au niveau des mœurs, nous voici mille ans en arrière — avant que l’amour courtois enseigne à des chevaliers quelque peu rustres que l’on séduit les gentes dames avec des roses et des fleurs de rhétorique, et non en les traitant en prise de guerre. »dixit Brighelli.
Il faut capturer ces monstres incultes et insensibles et leur faire lire de force Guinizzelli, et tout Pétrarque pour leur faire revoir le sens du mot martyre.
« e perché ‘l mio martir non giunga a riva,
mille volte il dì moro et mille nasco,
tanto da la salute mia son lunge. »
Et celui du mot guerre:
« vegghio, penso, ardo, piango; et chi mi sface
sempre m’è inanzi per mia dolce pena :
guerra è ‘l mio stato, d’ira et di duol piena,
et sol di lei pensando ò qualche pace. »
A la place de leur gros bouquin qui crée tant de problèmes…
C’est le CLXIV pour ceux qui chercheraient…
Notez qu’il y en a quelques-uns ici, mal dégrossis et vulgaires à souhait, à qui cela ne ferait pas de mal de lire Pétrarque et de s’en inspirer.
Franchement, cela fait un petit bout de temps que je cherche à comprendre un tel acharnement.
Driout, je ne sais pas si c’est le fait d’être malade qui vous rend aussi dégueulasse à mon égard. Vous dépassez largement les bornes.
Hervé, le moins qu’on puisse dire est que je vous aurais demandé sur tous les tons de me laisser tranquille. Manifestement, cela vous amuse beaucoup. Tout cela est gratuit et assez sadique.
Cela amuse beaucoup également le maître des lieux comme certains le disent ici, puisqu’il ne fait rien. Et qui ne dit mot consent, libre à lui, il est chez lui, c’est vrai. « Les lieux », expression adéquate d’ailleurs pour qualifier ce qu’est devenu le blog. Je vous laisse donc à vos jeux de rôles et à vos masques stupides. Per me basta cosi.
Que toutes les jeunes filles chantent « ce soir nous irons danser sans chemises, sans pantalons » de Rika Zaraï!
Encore un complot…
Sanseverina, il y en a au moins un qui s’engage à être votre Fabrice ! j’aime vous lire. Et je ne dis pas cela à tout le monde, loin s’en faut : la dernière fois que j’ai proclamé cela, cétait à Marie de France, et c’était il y a quelques siècles, déjà…
JPB pense en terme de culture. Ce que démontrent les enquêtes de police à Cologne c’est que les violeurs étaient pour l’essentiel des Algériens et des Marocains, pas des Syriens. Quelle culture ont ces violeurs ? La plupart ne parlent même pas arabe littéraire, mais un dialecte incompréhensible… Comme d’ailleurs les « terroristes » qui de Belgique en France, en passant par le Maghreb sont de purs produits autochtones, longtemps couvés par les mêmes…
Je trouve qu’il y a un raccourci quand JPB évoque la culture.
Il faudrait d’abord connaitre véritablement le phénomène et ne pas prendre pour nécessairement pure vérité cette histoire de Cologne. Tout cela fait curieusement penser à une autre affaire : celle de « honte noire » qui a vu le déchaînement d’une campagne de presse en Allemagne de 1919 à 1923 pour dénoncer les viols commis par les troupes françaises composées, selon les journaux allemands, de troupes coloniales de « nègres ». Cette dénonciation des troupes coloniales en Rhénanie et dans la Rhur n’était évidemment pas sans quelques fondements mais avait la particularité de multiplier le nombre et l’importance des agressions commises.
Comme la « crise des réfugiés » a commencé par une campagne de presse pour faire accepter ce qui ne pouvait être évité, la réaction actuelle qui vise à détourner le flot voit une nouvelle campagne de presse. Ne nous dépêchons pas trop de livrer analyses et explications : l’oiseau de Minerve se lève avec la nuit !
http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/mourir-daimer-demandeurs-dasile,237659
Pour Lauren Mann le temps des explications arrive trop tard !
C’est bien pour ça que Causeur — et moi en dérivation — avons pris le temps avant de publier quoi que ce soit sur le sujet — le temps de s’assurer qu’il ne s’agissait pas de faux.
Mais la police et la justice allemande se seraient fait un plaisir de dénoncer une manipulation — d’autant que comme l’explique Causeur, l’affaire embarrasse sacrément Merkel et son gouvernement. Ils ont enquêté lourdement et ont dû se rendre à l’évidence;
Et je parle de culture ici — et d’inculture là-bas, y compris ce là-bas qui nous est si proche, dans toutes les ZEP de France.
Dugong(0) me prie d’insérer :
L’incontinent qui déverse ici son mucus en oscillant entre son pilulier et son écran est un transformiste.
Comme d’autres parmi ses voisins coplanaires réagissent aux « kss kss », lui se transforme en roquet sautillant dès qu’on lui lance des « Stirn Stirn »
Dans la fange molle où cette faune peu étudiée et mal étudiante se reproduit par tacite reconduction, tout est perçu comme appât rance.
Je suppose que si j’avais une fille de 24 ans – puisque j’en ai l’âge – je lui apprendrais une saine méfiance des gens venant de cultures en opposition frontale avec la nôtre !
Je ne sais trop qui étaient les parents de Lauren Mann mais je parie qu’ils embrassaient sans retenue les sottes prétentions à l’universalisme de peur de montrer des préventions trop crues contre les gens du dehors !
Le ministère des affaires étrangères liste des pays où les Français sont en danger pour de bonnes raisons ! On peut donc légitimement penser que les autochtones nous y sont hostiles !
L’équipe de Top Gear – des Anglais de la BBC plein d’outrecuidance – sont allés faire un road trip en Argentine ; arrivés en Patagonie ils ont traversé une ville d’anciens militaires argentins qui n’avaient pas oublié la guerre des Malouines ; ils ont dû fuir à toute allure sous les jets de pierre !
C’était pourtant un gros convoi de plusieurs dizaines de véhicules qui se croyait en terre conquise …
Une petite histoire : mon grand oncle René était professeur à l’université de New York ; c’était un globe trotter ; ce vieux célibataire faisait un tour dans l’hémisphère austral dans les années soixante et passa plusieurs mois en Australie et en Nouvelle-Zélande ; il connaissait fort bien l’animosité des habitants envers les Français et recommandait à mon père de lui écrire « Mister » et non pas « Monsieur » sur les lettres pour ne pas dévoiler sa qualité originelle de Français !
…
Petite leçon de savoir-vivre sa différence !
Dugong revenu d’entre les morts s’intéresse avec passion à ma bio !
Quelques éléments donc. Je descends de la famille De Béhagle originaire des Flandres dont le dernier représentant mâle a été l’explorateur Ferdinand de Béhagle (1857-1899), ce marin et ce colonial était un farouche militant anti-esclavagiste ; il était entré en conflit avec Rabah (1842-1900) dernier sultan du Tchad et esclavagiste patenté qui le fit mettre à mort avant d’être lui-même tué par l’armée française.
Et c’est ainsi que Dugong devint grand et instruit !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rabah
La vie est pleine de coïncidences étranges ! Je venais d’écrire mon petit laïus, je reçois un coup de fil d’un lieutenant de police de Paris qui me demande de venir témoigner contre un cambrioleur maghrébin qui ligotait ses victimes homosexuelles avant de les dépouiller.
Je l’avais reçu chez moi fin 2014 mais j’ai arrêté le jeu avant la fin … je n’avais pas trop envie d’être ridicule à mon âge en me faisant surprendre aussi bêtement par un petit malfrat !
Puisqu’on en est aux confidences aujourd’hui, et afin de mettre définitivement un terme aux rumeurs les plus folles qui circulent sur mon compte, je déclare officiellement que je ne suis candidat à aucun portefeuille ministériel dans le prochain gouvernement.
Que les plus hautes sphères de l’Etat se le tiennent pour dit !
Ayant pris connaissance du consternant Dugong(1) du 11 Février 2016 à 8 h 46 min, mon ineptomètre s’est mis soudain à crépiter.
Contact pris avec le BIPM, je crée une nouvelle unité, le ‘dug’ qui va s’imposer localement comme unité apparentée du système international employée pour mesurer la cote d’ineptie d’un commentaire, appliquée au champ lexical, stylistique, sémantique et syntaxique. Les unités multiples et sous-multiples sont autorisées: décidug, décadug, kilodug, etc…On peut le voir comme une échelle de Richter de l’absurdité la plus incommensurable par rapport au dug-étalon basé sur le premier commentaire du jour ou, en son absence, sur le dernier commentaire publié de Dugong({0,1}) qui détermine la cote de base à 1 dug pour la journée en cours.
Exemple: ce commentaire vaut selon moi 0,5 dug.
Alexandre Vialatte a écrit une novella auvergnate « Les fruits du Dugong » où l’humour le plus délicat voisine avec le sel attique le plus relevé et que je vous recommande !
« Les fruits du Dugong », combien de dug ?
Et maintenant, repas !
A ce soir mes petits choux.
Cela me fait toujours plaisir lorsqu’on évoque Vialatte, « le plus grand des écrivains mineurs ».
« L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau »: où comment relativiser 2500 ans d’interrogations métaphysiques…
Nicolas, maître-es point Godwin, replonge tête baissée dans les sables mouvants de la seconde, pour y trouver un nième parallèle entre la situation actuelle et les abominations nazies.
L’ampleur des agressions en Allemagne ne fait aucun doute, sauf aux yeux de ceux qui préférent l’aveuglement à la lumière des faits. Et oui, ça dérange ces bonnes consciences de gauche, ces humanistes du Dimanche, ces mondialistes de salon, ces antiracistes primaires tant que ça ne se passe pas chez eux; ça les dérange que les agresseurs soient maghrébins. Eussent-ils été asiatiques, martiens ou que sais-je, ce n’était pas un problème; mais des arabes des ex-colonies, pensez donc, quelle horreur, eux qui ont déjà tant souffert!!
Continuez donc à ratiociner sur le pourquoi du comment; demain la réalité frappera à votre porte.
La réalité a déjà frappé à mes portes avec les attentats en France. Les Français croyaient être protégés, ils ne le sont plus. Notre Nation, comme tant d’autres, a subi des attentats aveugles contre la population civile. Je suis solidaire avec notre pays, mais je refuse l’hystérie de la propagande et de la démagogie manipulant l’émotion collective. Sans oublier les polichinelles de tous poils, bonimenteurs, et autres charlatans, chargés de « vendre » la rhétorique de la caste au pouvoir : « experts du monde arabe » qui n’ont jamais « vécu » dans le monde arabe, « islamologues » dont aucun n’est musulman (je cherche en vain des « christianologues »…), « experts en terrorisme » pitoyables porte-voix des officines des services spéciaux. On nous parle de guerre contre des « terroristes » infiltrés dans la population qui « en veulent à Nos Valeurs » de paradisiaque démocratie… Jamais arrêtés, lors de leurs crimes, pour ensuite être jugés, dans la clarté d’un procès public permettant de connaître leurs motivations, leurs formations, et surtout leurs commanditaires !
Sur Cologne, je n’arrive pas à comprendre ce qui s’est réellement passé, s’agit-il d’un acte collectif prémédité ? je ne vois pas alors à qui il est utile sinon à toutes les extrêmes-droites. Les extrême-droite c’est-à-dire les mouvements fascistes, xénophobes qui fleurissent partout en Europe aussi bien que Daech. Tous occupés à fournir des boucs émissaires à la colère de ceux qui n’en peuvent plus… Attribuer à l’immigré du coin, la détérioration de la condition salariale en la pimentant d’obsession sexuelle attribuée à l’étranger, un grand classique du « nazisme ». Et c’est bien seulement quand l’extrême-droite peut utiliser contre l’immigré, le basané la condition féminine qu’elle se mobilise au nom des femmes méprisées par le fascisme. Faut-il lui faire ce cadeau de tous les amalgames ? C’est pourquoi il faut être prudent avant de relayer n’importe quoi. Que penser de cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Zr_dya5TpwQ ?
Il y a bien sûr les femmes de Cologne, mais il y a aussi le sort réservé à ces femmes et leurs enfants qui fuient la guerre…
Parce que pour être islamologue, il faudrait être musulman, selon vous. Tous les proctologues n’ont pas forcément souffert d’hémorroïdes je crois…
Sinon, comme « islamologue » musulman, il y a Tarik Ramadan, si c’est le genre d’expertise que vous cautionnez.
Voyez ce qui se passe à l’école quand des pseudos experts parlent de l’éducation… Des experts comme Meirieu, il n’y a qu’en France qu’on en voit plein. Un autre exemple : sur son cv, Guy Sorman prétend être expert de la Chine et de l’économie, mais dès qu’on lit ce qu’il écrit sur ce pays et sur l’économie, on a envie de vomir…
Sur Tariq Ramadan qui intervient régulièrement sur les chaînes de TV britanniques, rappelons qu’il avait été recruté pour occuper la chaire d’islamologie dans la plus grande université catholique du monde, celle de Notre-Dame, dans l’Etat d’Indiana aux USA. Mais le fanatique Daniel Pipes (6), spécialiste de la chasse aux universitaires « suspects de déviationnisme antichoc des civilisations », bloqua son visa d’admission. L’université d’Oxford, au Royaume Uni, le récupéra aussitôt. Il est régulièrement consulté par les autorités du pays. Comme dans d’autres pays européens ou d’autres continents. Ses livres en anglais se retrouvent dans toutes les librairies britanniques. Sollicité dans le monde entier comme conférencier, il est l’exemple du chercheur qui étudie, analyse, écoute, regarde, échange. Dans l’humilité…
Sauf en France… « Liberté d’expression », « Exception culturelle française »… Diabolisons, d’abord. Réfléchissons, ensuite. En France, Tariq Ramadan est ostracisé par le puissant lobby islamophobe et ses beni oui-oui. Tout simplement, parce qu’il n’accepte pas la diabolisation de l’Islam. Comme tout clou qui dépasse, il a donc droit aux coups de marteau des tenants de notre glorieux héritage colonial. Les « inférieurs » doivent « s’écraser » et demander la permission d’exister.
Plutôt que de lire des charlatans, j’invite les lecteurs à consulter l’ouvrage fondamental « L’islamisme en face » de François Burgat, le meilleur spécialiste international sur la question : http://rue89.nouvelobs.com/2011/12/17/le-mot-islamiste-ne-veut-plus-dire-grand-chose-227603
Fin du prêche? Après l’hagiographie de Ramadan, vous ne ferez bien un petit couplet dithyrambique sur ses potes Dieudonné et Soral?
À cette heure on ne sait pas grand chose du remaniement — sinon qu’Ayrault entrera probablement au Quai d’Orsay.
Du coup, il faut absolument trouver une femme pour le poste restant. Parité oblige.
Quand je pense que la belle ambition d’un Jean-Vincent Placé va rester encore une fois en rade… À vous dégoûter d’avoir les dents longues et le ventre usé par la marche, comme disait Cyrano…
On pourrait proposer à Jean-Vincent Placé un petit trekking en Kabylie – comme le regretté Hervé Gourdel – afin qu’il retrouve la ligne. S’il en sort vivant il pourra en plus plastronner !
Ayrault au quai d’Orsay ? C’est une blague ?
Je me souviens d’un reportage d’Arte info, où les électriciens allemands étaient manifestement morts de rire (intérieurement) des concessions que cet incapable leur avait fait.
Il faut quand même rester sérieux : avec un CAPES d’allemand, on peut certes faire une belle carrière démagogique sur la scène politicarde française, à coup d’ouverture de musée de l’esclavage à Nantes par exemple. Mais ce dont on a besoin, c’est d’hommes d’Etat, et ce ne sont pas des petits profs même pas agrégés qui vont en avoir la carrure.
(et ne me lancez pas sur les licenciés en histoire pseudo-catalans…)
Moi, je préfère largement Ayrault à Fabius. Comme quoi, ce n’est pas une question de diplome. On peut être major à l’agreg et déclarer que les terroristes font du bon travail. Et comme on a peur que Fabius balance tout, on tape du pied et des mains pour qu’il ait une place à la tête du Conseil Constitutionnel… Dans ce pays, plus on ment, plus on trahit son pays et plus on est assuré d’avoir une place : Chamilo2.grenet.fr/inp/main/document/document.php?curdirpath=%2FExercices_supplementaire&cidReq=
Après ça, que vous voulez enseigner aux élèves ? Les valeurs de la République ?
Les profs d’allemand dont on supprime les postes grâce à la réforme du collège ont un destin tout tracé devant eux !
Ceux qui disaient que prof d’allemand ça ne mène aryen ont tort…
Si ! Jean-Vincent Placé a un strapontin ! Tout ça pour ça — mais sa retraite est assurée !
Il ne tiendra pas sur un strapontin…
Verrrry funny !
A n’en pas douter il va appeler les lycéens à redescendre dans la rue pour Léonarda !
À la Culture donc, Audrey Azoulay…
Qui ça ?
Sciences-Po / ENA? même promotion que Fleur Pellerin — une référence. Master de gestion. A bien géré le Centre national du cinéma. Bienvenue chez les chtis !
Et double nationalité franco-marocaine, si j’ai bien compris. Je sens que la littérature française (« qui c’est, ce mec, prix Nobel ? ») sera encore à l’honneur.
Elle a eu un AA à son master de communication ! Cela vaut-il le Z de Zorro ?
A vrai dire, est-ce qu’on ne s’en fout pas complètement ?
Mauvaise langue!
Il y a eu un Azoulay qui était producteur des séries « Premiers baisers » et « Hélène et les garçons »: l’apogée de la culture à la télé!
Cologne c’est très surfait, 632 ans pour construire une cathédrale, c’est quand même des sacrés branleurs ces teutons sans leurs travailleurs détachés ou leurs réfugiés qui eux savent mettre la main à la pâte quand il faut et où il ne faut pas. De plus, tout ce travail, tout ce mal que se sont donnés ces bâtisseurs, pour rien, puisque Mufti Merkel a eu la peau des racines chrétiennes de l’Europe jusqu’à l’os. Mufti Merkel en mini-jupe outre-rein ça le fait pas pour moi, contrairement à E. Lévy; d’ailleurs Merkel, Lévy, ou toute autre femme de pouvoir dont le fouet monte puis s’abat délicieusement sur des mâles prosternés, ce n’est pas le problème: la mini-jupe c’est plutôt laid, ça casse la silhouette comme le pensait Coco Chanel qui avait pour adage inaliénable « jamais au-dessus du genou » (c’est aussi le dernier voeu du cul de jatte avant amputation). Quoique Chanel l’aurait sans doute appréciée avec des cuissardes à lacets montant au-dessus du genou, comme nous, et d’ailleurs on attend toujours les photos volées d’Elisabeth Lévy de la collection personnelle de Brighelli. Pour William Hogart « un habit, c’est une idée qui flotte autour du corps d’un homme » (ici l’homme embrasse la femme s’il y est autorisé) brillante formule mise en application par H&M, entreprise scandinaïve, qui ne s’était pas trompée l’année dernière en mettant le voile à l’honneur dans leur catalogue pour des musulmanes bien sous tous rapports.
Echos du terrain …
Motion votée à l’unanimité par l’assemblée plénière de la 12ème section du Conseil National des Universités
Les sections européennes imaginées en 1992 par Jack Lang, les classes bilangues créées en 2005 par François Fillon étaient des dispositifs accessibles partout aux élèves de tous les milieux. Ils avaient permis d’améliorer le niveau des deuxièmes langues vivantes en France et de renforcer l’apprentissage de l’allemand. La suppression du premier dispositif, la réduction drastique du second, source d’inégalité territoriale, représentent un grave recul et mettent en péril l’enseignement de l’allemand en France à tous les niveaux. Les membres de la 12e section du Conseil National des Universités demandent à l’unanimité au Ministère de l’Education nationale de renoncer à cette politique destructrice et restent ouverts à toute discussion sur l’enseignement de l’allemand en particulier et des langues en général dans notre pays.
( Source : ADEAF facebook )
Remaniement, renie manant!
Notez la nomination d’Harlem Désir au poste de secrétaire d’Etat aux affaires européennes: le petit revanchard a fait son chemin!
Pour le reste: pourquoi des écolos qui ne représentent, électoralement parlant, qu’un vide intersidéral ou sidérant?
A remarquer, en ce qui nous concerne, que la belle Najat reste en poste, ce qui est pour le moins osé, au vu de la fronde des enseignants contre la réforme du collège. S’agit-il d’enfoncer le clou ou d’enclouer le fond ( du cercueil)? Le message est clair pour les profs: allez donc vous faire mettre!
Pour hervé: raccourcissez vos phrases et évitez la diarrhée verbale, vous en serez mieux compris. Trop de périphrases tuent le discours!
« Notez la nomination d’Harlem Désir au poste de secrétaire d’Etat aux affaires européennes: le petit revanchard a fait son chemin! »
En fait ça fait près de 2 ans qu’il l’est. Mais bon, difficile de reprocher à quiconque d’avoir ignoré ses fulgurances à ce poste…
Je me souviens que le débile léger militant degôche qui dirige un autre blog de profs se félicitait du « joli sourire de la mimi Najat ».
J’imagine qu’il aura eu le temps de l’admirer (platoniquement), ce joli sourire…
Pourquoi des écolos ?
Mais afin qu’ils ne représentent plus rien en 2017. Hollande leur fait ce que Mitterrand a fait aux cocos.
Les écolos
Les municipales, les régionales ?… Des accords à respecter ?
Et que représente le PS sans coalition? 17% ?
Un autre article « lumineux » sur l’islam et la Femme/
http://www.telerama.fr/idees/apres-cologne-nous-voyons-en-europe-les-signes-precurseurs-de-la-montee-de-l-extreme-droite-integriste,137685.php
Il y a heureusement quelques esprits lucides…
Les journalistes, enseignants ou sociologues originaires du Maghreb sont souvent bien plus lucides que notre extrême-gauche orpheline du stalinisme et devenue l’idiote utile de l’extrême-droite islamique. Quelle terrible revanche de l’opium du peuple sur le marxisme!
Tenez, en parlant de lucidité !
Non encore évoquée sur ce fil, la nouvelle concernant Mezzadri
http://www.liberation.fr/direct/element/relaxe-du-prof-poursuivi-pour-avoir-ironise-sur-les-blancos-de-valls_30536/
Un résultat contraire aurait été désespérant.
@Sisyphe
D’accord avec vous, mon post vaut largement 1,50 dug ! Faut dire que quand j’ai pris le fil des com, le sujet était le remaniement ministériel qui est le genre de truc qui m’en touche une sans faire bouger l’autre comme disait euh… bon bref. Il y a parfois des phrases qui viennent toutes seules, envoyées par l’inconscient, dans un patois inavouable mais qui se tient et qu’on ne voudrait pas retoucher sans se renier ou se décevoir. Et puis je voudrais vous y voir, écrire un com sur la minijupe tout en regardant des photos de filles habillées en Courrèges comme base documentaire, facile de s’emmêler les pinceaux.
Je vous en prie Sanseverina, ne quittez pas cet endroit, sinon je n’y viendrai plus non plus, votre voix couvre le bruit des rots et des pets que certains de ces messieurs croient être de la littérature. Ils ne sont pas très loin de ceux qui lapident et assassinent car quand je lis certaines de leurs interventions, les plus courtes, je sens toujours une menace sous-jacente pour les « femelles » qui se permettraient de se prendre pour leurs égales. Je n’ai que du mépris pour ces hommes-là mais je ne leur laisserai jamais avoir le dernier mot. S’il vous plaît Sanseverina, sans vous, que je lis toujours, ce blog ressemblera à une scène de « La soupe aux choux » !
@ Sanseverina @ Allons bon
Vous êtes sérieux ?
Emmanuelle Cosse s’oppose au gouvernement !
Elle est des cosses dont on fait les cocus !
…
On a mis aux arrêts un général pour moins que cela l’autre jour à Calais !
Jean-Michel Baylet est donc ministre — un événement de portée mondiale qui ne vous a certainement pas échappé.
La Dépêche du Midi a justement célébré ce grand moment :
http://ladechedumidi.com/jean-michel-baylet-ministre-des-millions-de-personnes-en-liesse-dans-les-rues/
Au moins « La Dèche du midi » est drôle !
Hormis Le Point, aucun media ne s’émeut du fait qu’un ministre soit patron de presse. Forcément… ils sont tous occupés à surveiller le Canal Plus de Bolloré…
Je ne sais qui détient le record du plus court ministère ? Est-ce Jean-Jacques Servan Schreiber sous Giscard ou le cancérologue Schwartzenberg sous Mitterrand ? En tout cas un qui avait la langue bien pendue …
Servan Schreiber a été ministère des réformes douze jours durant avant d’être réformé lui-même !
ministre des réformes … mon clavier ! toujours mon clavier !
C’est un peu comme l’EL, moins on en parle plus il existe. Le silence… c’est ainsi que peuvent prospérer les dictatures de l’Interdit, avec son corollaire le totalitarisme. La censure sur la longueur d’une jupe mérite une réponse sitôt que les beaux jours reviendront. Proposons une grande manifestation nationale de la mini-jupe !
Discours vraiment présidentiel aux forces armées en état de guerre :
Je ne fais pas de politique ; ce sont les Français qui font de la politique ; moi je me contente de défendre les intérêts de la France en m’opposant aux dévoiements de l’Etat et aux alliances discutables.
Vous vous servez ! C’est tout votre honneur.
Autrefois pour avoir une retraite à taux plein de ministre, il suffisait d’être passé dans un ministère (Tapie, par exemple). Je crois qu’à présent, il faut y être resté 6 mois.
Pour remonter le moral de JPB :
« Une avocate grenobloise contrainte de retirer son soutien-gorge pour rencontrer un détenu »
Eh ! eh ! bientôt la tenue obligatoire de l’avocate en visite pénitentiaire : le string !
On l’appellera le string d’état d’urgence ! Encore mieux que la mini-jupe …
Placé a déclaré en septembre :
« Je ne veux pas devenir ministre à tout prix. Je gagne plus en tant que président de groupe qu’en tant que ministre. Et puis, si ça ne marche pas, je peux faire autre chose, à la tête d’une entreprise par exemple ».
Quelle est sa prime que qu’il devienne ministre ?
Au fait, ça sert à quoi un ministre puisque tout se décide à l’Elysée?
Il faudrait avoir le nom du prodigieux technocrate qui a inventé le ministère de l’Égalité réelle pour lui demander si cet adjectif est aussi signifiant qu’indispensable ? Peut-être que oui. Car c’est bien l’aveu que depuis la création de notre devise républicaine, l’égalité est irréelle, chimérique, rêvée, sauf si on divise la population en couches sociologiques étanches et qu’on applique ce principe à l’intérieur de chacune d’elles sans ce soucier d’un principe d’égalité commun à toutes les couches.
Il aurait fallu étendre le concept à tous les ministères: celui du Travail Réel de ceux qui bossent 35h/sem pour 1 smic, celui des Transports Réels de ceux qui se farcissent 3h de RER quotidiens pour aller bosser, etc…
Attendons le ministère de la Liberté réelle qui permettra de s’exprimer librement après la fin de l’état d’urgence sans être inquiété par une loi oppressante ou qui défendra la liberté de s’habiller en minijupe dans tous les quartiers de banlieue. Puis on créera celui de la Fraternité réelle, c’est à dire celle qui n’est pas soluble dans le communautarisme qui vient où seule la fraternité de la tribu fait force de loi.
Ministère de l’égalité réelle… C’est comme dans 1984 — le Ministère de la Vérité, et des slogans antiphrastiques du genre « la liberté, c’est l’esclavage ».
Nous sommes en plein totalitarisme mou.
Mouais…y a des jours où se demande si des ministères ne sont pas créés exprès…ah si?
Té, je commence à apprécier » être armé c’est être libre », une devise issue d’un classique de la SF. Lequel? A vous de jouer, et sans votre ami google le roi d’la pompe!
» être armé c’est être libre « .
C’est pas d’Orwell ça ?
Vauban ?
André Maginot ?
Charlton Heston ?
En tous cas c’est quelqu’un qui pensait que la mort du soldat ou du citoyen est une conjecture préalable à toute décision tactique ou stratégique devant être prise par un homme d’état.
Exemples: « si vis pacem parabellum » ou
« La diplomatie sans les armes, c’est la musique sans les instruments. »
Sans oublier « la paix est l’intervalle entre deux guerres » — que l’on attribue volontiers à Giraudoux, qui pourtant ne faisait que citer Salluste, en homme cultivé qu’il était — mais voilà, la référence s’est perdue. Nous devrions faire plus de latin.
On peut penser de ce que l’on veut de Fleur Pellerin, mais la façon de Hollande de l’éjecter du gouvernement relève de la goujaterie. Qu’attend d’un mec qui a jeté sa campagne, Valérie Trierwieler, comme un mouchoir ?
Le discours de départ de Fleur Pellerin est plus élégant: « Il y a peu de pays au monde où une enfant trouvée dans les rues d’un bidonville, d’un pays en développement, et adoptée par une famille modeste, dont la généalogie est faite d’ouvriers, de domestiques, puisse un jour se retrouver ministre de la Culture. J’ai une gratitude immense, indicible pour Manuel Valls d’avoir proposé mon nom au président de la République en août 2014. Je tiens à lui dire ma reconnaissance et ma fidélité ».
Tout ça pour dire que l’égalité « autant d’hommes que de femmes au gouvernement » est du flan ! Hollande n’a même pas la classe de Poutine. Je me demande ce que Julie Gayet trouve de beau dans ce type…
Oui le Remanie ment !
Marchons ! marchons ! chantaient les hallebardiers dans l’opéra fameux … nous mentirons jusqu’à la fin ! C’est la seule promesse que je suis encore en état de tenir a dit le mari de Julie Gayet.
Dans « Les Brigands » de Jacques Offenbach, deux carabiniers valeureux chantent « Marchons, marchons » tout en restant sur place ! Toute allusion à l’actualité récente serait superfétatoire.
Il n’y a plus de « Brigands » d’ailleurs …
… juste des émigrants pourchassés par les forces de la réaction !
« Etre armé c’est être libre », devise issue d’un grand classique de la SF: le monde des non-A, d’Alfred VanVogt.
A lire au second degré, oeuf corse; la traduction est de B. Vian, tout de même…
Le reste et les suites relèvent des fantasmes de l’auteur, mais pas que, et ça se lit volontier, les soirs d’ennuis au coin du feu.
ennui sauf si trop de soucis!
Mélenchon le furieux compte réduire à quia Hollande le baveux en 2017 !
Bon ! je veux bien lui tresser une couronne de laurier s’il arrive à réduire Hollande à moins de 10% des voix au premier tour ! Jospin avait fait 16% en 2002 donc c’est une tâche qui n’est pas de l’ordre de l’impossible en théorie.
Driout!
Pour une couturière des mots, vos propos sont trop décousus!
On perd le fil…
Vous n’êtes pas au courant donc de l’actualité ? Jean-Luc Mélenchon est candidat à la présidentielle de 2017 de proprio motu – pas à la présidentielle du Vénézuela ou de Cuba.
Je dis donc que si Mélenchon arrive à opérer une réduction de tête sur l’enflé de l’Elysée façon jivaro je suis prêt à faire son éloge !
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