Hermaphrodite endormi, marbre, Rome, 1ère moitié du IIe siècle — Musée du Louvre

« « La nature humaine était primitivement bien différente de ce qu’elle est aujourd’hui. D’abord, il y avait trois sortes d’hommes, les deux sexes qui subsistent encore, et un troisième composé des deux premiers et qui les renfermait tous deux : il s’appelait androgyne ; il a été détruit, et la seule chose qui en reste, est le nom qui est en opprobre. Puis tous les hommes généralement étaient d’une figure ronde, avaient des épaules et des côtes attachées ensemble, quatre bras, quatre jambes, deux visages opposés l’un à l’autre et parfaitement semblables, sortant d’un seul cou et tenant à une seule tête, quatre oreilles, un double appareil des organes de la génération, et tout le reste dans la même proportion (…) Leurs corps étaient robustes et leurs courages élevés, ce qui leur inspira l’audace de monter jusqu’au ciel et de combattre contre les dieux. Zeus examina avec les dieux ce qu’il y avait à faire dans cette circonstance. La chose n’était pas sans difficulté : les dieux ne voulaient pas les détruire comme ils avaient fait des géants en les foudroyant, car alors le culte que les hommes leur rendaient et les temples qu’ils leur élevaient, auraient aussi disparu ; et, d’un autre côté, une telle insolence ne pouvait être soufferte. Enfin, après bien des embarras, il vint une idée à Zeus : Je crois avoir trouvé, dit-il, un moyen de conserver les hommes et de les rendre plus retenus, c’est de diminuer leurs forces : je les séparerai en deux ; par là ils deviendront faibles ; et nous aurons encore un autre avantage, qui sera d’augmenter le nombre de ceux qui nous servent : ils marcheront droits, soutenus de deux jambes seulement ; et, si après cette punition leur audace subsiste, je les séparerai de nouveau, et ils seront réduits à marcher sur un seul pied, comme ceux qui dansent sur les outres à la fête de Bacchus. Après cette déclaration le dieu fit la séparation qu’il venait de résoudre, et il la fit de la manière que l’on coupe les œufs lorsqu’on veut les saler, ou qu’avec un cheveu on les divise en deux parties égales. Il commanda ensuite à Apollon de guérir les plaies, et de placer le visage des hommes du côté que la séparation avait été faite, afin que la vue de ce châtiment les rendît plus modestes. Apollon obéit, mit le visage du côté indiqué, et, ramassant les peaux coupées sur ce qu’on appelle aujourd’hui le ventre, il les réunit toutes à la manière d’une bourse que l’on ferme, n’y laissant qu’une ouverture qu’on appelle le nombril. Quant aux autres plis en très-grand nombre, il les polit et façonna la poitrine avec un instrument semblable à celui dont se servent les cordonniers pour polir les souliers sur la forme, et laissa seulement quelques plis sur le ventre et le nombril, comme des souvenirs de l’ancien état. Cette division étant faite, chaque moitié cherchait à rencontrer celle qui lui appartenait ; et s’étant trouvées toutes les deux, elles se joignaient avec une telle ardeur dans le désir de rentrer dans leur ancienne unité, qu’elles périssaient dans cet embrassement de faim et d’inaction, ne voulant rien faire l’une sans l’autre. Quand l’une des deux périssait, celle qui restait en cherchait une autre, à laquelle elle s’unissait de nouveau, soit qu’elle fut la moitié d’une femme entière, ce qu’aujourd’hui nous autres nous appelons une femme, soit que ce fût une moitié d’homme ; et ainsi la race allait s’éteignant. Zeus, touché de ce malheur, imagine un autre expédient. Il change de place les instruments de la génération et les met par-devant. Auparavant ils étaient par-derrière, et on concevait, et l’on répandait la semence, non l’un dans l’autre, mais à terre, comme les cigales. Il les mit donc par-devant, et de cette manière la conception se fit par la conjonction du mâle et de la femelle. Il en résulta que, si l’homme s’unissait à la femme, il engendrait et perpétuait l’espèce, et que, si le mâle s’unissait au mâle, la satiété les séparait bientôt et les renvoyait aux travaux et à tous les soins de la vie. Voilà comment l’amour est si naturel à l’homme ; l’amour nous ramène à notre nature primitive et, de deux êtres n’en faisant qu’un, rétablit en quelque sorte la nature humaine dans son ancienne perfection. Chacun de nous n’est donc qu’une moitié d’homme, moitié qui a été séparée de son tout, de la même manière que l’on sépare une sole. Ces moitiés cherchent toujours leurs moitiés. Les hommes qui sortent de ce composé des deux sexes, nommé androgyne, aiment les femmes, et la plus grande partie des adultères appartiennent à cette espèce, comme aussi les femmes qui aiment les hommes. Mais pour les femmes qui sortent d’un seul sexe, le sexe féminin, elles ne font pas grande attention aux hommes, et sont plus portées pour les femmes ; c’est à cette espèce qu’appartiennent les tribades. Les hommes qui sortent du sexe masculin recherchent le sexe masculin. »

Ainsi parle Aristophane dans Le Banquet. À noter que c’est une justification mythique du caractère génétique de l’homosexualité, masculine ou féminine : les Grecs prenaient la nature comme elle venait, y compris par derrière (d’où l’appellation d’« antiphysiques » pour désigner les homosexuels mâles au XVIIIe siècle).

Ce mythe de l’androgyne primitif a été relayé par la légende d’Hermaphrodite, ce fils d’Aphrodite et d’Hermès qui, se baignant un jour dans le lac de Carie (au sud-)ouest de l’Asie mineure), fut enlacé par Salmacis, la naïade du lieu : elle fit alors le vœu de ne plus être séparée du jeune homme, et les dieux l’exaucèrent en les fondant l’un dans l’autre : Jean-François de Troy en a laissé une représentation admirable ; mais je ne méprise pas celle de Bartholomaüs Spranger.
La nymphe irrémédiablement unie à son amant formula alors le vœu que tout homme qui se baignerait dans le lac n’en sortirait que porteur d’attributs féminins : je signale la légende à tous les transsexuels, qui trouveraient à s’immerger dans le lac une solution à leur désir moins hasardeuse et moins onéreuse qu’une intervention chirurgicale.

De là vient que vous appelez votre épouse « ma moitié », et que Mao Tsé-toung appelait les femmes « la moitié du ciel » — ce qui donna à Claudie Broyelle, en 1975, le titre de son essai sur la libération des femmes en Chine (Editions Denoël/Gonthier), à une époque où il y avait de vraies féministes et pas des hystériques frustrées. « Ma moitié » ou « ma mie », ainsi appelle-t-on celle avec laquelle vous constituez un couple.
De là aussi la légère dépression (« homo animal triste post coitum) qui suit l’acte de chair, non par baisse brutale de la dopamine et de l’adrénaline, non par excès subit d’endomorphine, mais par le constat toujours renouvelé, hélas, que vous avez eu beau chercher à vous unir, à vous réemboiter — d’où l’expression « se mettre à la colle » avec quelqu’un —, vient un moment où chacun récupère non pas son intégrité, mais son corps morcelé.

Parfois pourtant, l’illusion survit au plaisir. Valmont décrit cela fort bien (Liaisons, Lettre CXXV) lorsqu’il a l’impudence (et l’imprudence) de raconter à Mme de Merteuil comment il a trouvé dans les bras de Mme de Tourvel une qualité d’union qu’aucune femme avant elle ne lui avait procurée : « L’ivresse fut complète et réciproque ; et, pour la première fois, la mienne survécut au plaisir. » Impardonnable, un pareil aveu !

D’où la réaction extraordinaire de la femme avec laquelle couche Philip Marlowe, dans Playback — le dernier roman achevé de Raymond Chandler :

« I took hold of her and she came into my arms without a word. I picked her up and carried her and somehow found the bedroom. I put her down on the bed. I peeled her skirt up until I could see the white thighs above her long beautiful nylon-clad legs. Suddenly she reached up and pulled my head down against her breast.
« Beast! Could we have a little less light? »
I went to the door and switched the light off in the room. There was still a glow from the hall. When I turned she was standing by the bed as naked as Aphrodite, fresh from the Aegean. She stood there proudly and without either shame or enticement.
« Damn it, » I said, « when I was young you could undress a girl slowly. Nowadays she’s in the bed while you’re struggling with your collar button. »
« Well, struggle with your goddam collar button. »
She pulled the bedcovers back and lay on the bed shamelessly nude. She was just a beautiful naked woman completely unashamed of being what she was.
« Satisfied with my legs? » she asked.
I didn’t answer.
« Yesterday morning, » she said, half dreamily, « I said there was something about you I liked-you didn’t paw-and something I didn’t like. Know what it was? »
« That you didn’t make me do this then. »
« Your manner hardly encouraged it. »
« You’re supposed to be a detective. Please put out all the lights now. »
Then very soon in the dark she was saying, « Darling, darling, darling » in that very special tone of voice a woman uses only in those special moments. Then a slow gentle relaxing, a peace, a quietness.
« Still satisfied with my legs? » she asked dreamily.
« No man ever would be. They would haunt him, no matter how many times he made love to you. »
« You bastard. You complete bastard. Come closer. »
She put her head on my shoulder and we were very close now.
« I don’t love you, » she said.
« Why would you? But let’s not be cynical about it. There are sublime moments-even if they are only moments. »
I felt her tight and warm against me. Her body surged with vitality. Her beautiful arms held me tight.
And again in the darkness that muted cry, and then again the slow quiet peace.
« I hate you, » she said with her mouth against mine. « Not for this, but because perfection never comes twice and with us it came too soon. And I’ll never see you again and I don’t want to. It would have to be forever or not at all. » »

Comme on dit en justice : « Non bis in idem ». La perfection ne se duplique pas. Inutile de la quêter encore et encore, vous ressembleriez à l’héroïnomane recherchant (en vain, toujours en vain) la qualité du premier flash — alors qu’au fil des injections, il n’arrive, au mieux, qu’à cesser brièvement de souffrir du manque. Je n’exclus pas qu’un drogué cherche dans sa dose sans cesse recommencée un complément à lui-même — un double complémentaire qui sans cesse lui échappe, car ainsi l’ont voulu les Dieux.

Jean-Paul Brighelli

299 commentaires

  1. Je suis soufflée ! Une réussite absolue ! d’Aristophane à Chandler, en frôlant, au passage le XVIIIe, bien sûr, et même Mao, pour finir sur le mot « Dieux » ; grâce leur soit rendue…

    • Vous avez là une idée précise de comment je fonctionnais en cours.
      Certains étaient perdus…

      • … Et pourtant, les preuves en sont données, tout au long de ces 25 siècles que la nature humaine reste la nature humaine.

  2. … Et petite brindille du Demos, que n’aurais-je donné pour l’ivresse d’une représentation des « Guêpes » ou des « Grenouilles », à Epidaure.

  3. « De là aussi la légère dépression (« homo animal triste post coitum) qui suit l’acte de chair, non par baisse brutale de la dopamine et de l’adrénaline, non par excès subit d’endomorphine  »

    Ocytocine : grande absente des constituants de l’attachement de cette belle chronique, que l’on la développe au contact d’une simple caresse, d’un baiser, d’un mot doux.
    Le parallèle fait entre cette recherche d’absolu et la toxicomanie est d’une belle pertinence, Brighelli. La nymphomane est dans cette constante et susciterait selon vous des réactions extraordinaires. Mouaiii…
    Si la volonté est faite d’ignorer la dite hormone, cela ne découle pas d’un mensonge par omission comme le travers typiquement toxicomane l’impose mais peut-être bien d’un comportement nihiliste ; comportement aussi incensé qu’une vie sans ocytocine. Celle que développe les mères pour leur progéniture dure toute une vie. Son addiction est douce et sans danger, elle est à géométrie variable : elle peut se faire aussi bien maternelle que charnelle, un petit plus comme une pincée de sel qui s’ajouterait à votre « plat »… Nos moitiés masculines peuvent s’en passer, de là à considérer cette particularité comme une chance ? J’sais pas…

    PS : Hermaphrodite que vous nous offrez cette fois-ci côté pile était vraiment de circonstance. Très bien vu.

    • C’est tout à fait vrai pour l’ocytocine. Mais je n’ai pas voulu faire liste d’hormones.

      • Elle ne rentre pas dans l’attirail comportemental du/de la toxicomane en quête de divine complémentarité : elle chausse trop grand, non ?

  4. @Warlord, sur le SNP

    Votre réponse, en substance, consiste à dire que les revendications du SNP sont légitimes alors que celles de UKIP ne le sont pas. N’étant ni Écossais ni Brits, je n’ai pas d’avis sur la question, mais dans tous les cas c’est hors de propos – sauf à ce que vous considériez par principe comme illégitimes à siéger tous ceux qui ne partagent pas vos idées.

    Non, votre position initiale était autre : est illégitime à siéger dans une assemblée tout député aspirant à terme à la quitter (indépendamment de la légitimité de son combat). Or, dans ce que je lis de votre prose, je ne vois toujours pas de différence substantielle qui permettrait ce traitement différencié entre UKIP et SNP (/ Républicains sous la monarchie de Juillet ou après 1870).

    Ou, pardon, le seul bon élément que vous citez est faux. Le Parlement européen joue un rôle, direct ou indirect, dans la procédure de retrait : d’une, il ratifie l’accord de retrait ; de deux, il participe à la nomination de la Commission, qui est, comme vous le savez, l’interlocuteur lors des négociations.

    Et quand bien même… je ne crois pas que le SNP, une fois la minorité de sa position aux Communes constatée, ait démissionné ou se soit abstenu de siéger. Ça s’appelle parer à l’ordinaire : quand on ne peut obtenir ce que l’on souhaite à terme, on essaie que les affaires ne partent pas dans un sens contraire audit terme. Est-ce si difficile à comprendre ?

    • Avez-vous tout bien lu?
      Piqûre de rappel :

      Warlord
      20 juillet 2022 At 11h01
      Pour être tout à fait clair sur la différence entre le SNP et UKIP :
      Le SNP a choisi d’entrer à la Chambre des Communes parce que la Chambre des Communes a le pouvoir, par un vote, de demander l’organisation d’un référendum sur l’indépendance écossaise. Elle a le pouvoir d’autoriser le PM à organiser un tel référendum. En d’autres termes, le SNP frappe à la bonne porte.

      Rien de tel chez UKIP entrant au Parlement européen. Le Parlement européen n’a évidemment pas le pouvoir d’organiser ou de sceller le divorce entre le Royaume-Uni et l’UE. Il n’a pas le pouvoir de libérer le Royaume-Uni de ses engagements avec l’UE. Il n’a pas le pouvoir d’organiser le moindre référendum, la moindre consultation. UKIP frappait sciemment à la mauvaise porte. (…)

      La seule façon qu’avait UKIP de faire avancer la cause de la sortie d’UE, c’était de faire pression sur Downing Street au sein de la Chambre des Communes avec un groupe parlementaire, comme le fait le SNP. Mais aucun candidat UKIP n’a jamais été foutu de se faire élire, pas même Nigel Farage.

      • « La seule façon qu’avait UKIP de faire avancer la cause de la sortie d’UE »

        C’est faux – voir ce que j’ai écrit sur le PE.

        Et la sortie de l’UE est le terminus de UKIP, certainement pas l’objectif unique. Il y a des objectifs corolaires, comme déséserrer le RU de l’UE (à défaut d’en sortir), lutter contre l’immigration liée par l’UE, etc., etc. – tous objectifs qui requièrent une présence au PE… de même que le SNP, une fois sa minorité aux Communes constatée, ne se retire pas du jeu politique britannique pour autant : il fait avancer la cause écossaise autrement, en poursuivant des objectifs intermédiaires. Un peu de hauteur de vue, que diable !

        • Vous faites du « wishful thinking ». Vous prêtez aux UKIPeurs une ambition dans l’ampleur stratégique (vos « objectifs corollaires ») qu’ils n’ont jamais eue. Les discours de Farage au PE sont hélas pour vous sans ambiguïté. Du bas de gamme tendu vers une seule idée : sortir de l’UE. Hauteur de vue, dites-vous? Aux abonnés absents chez Farage…

          • C’est ce qu’on appelle un procès d’intention (en l’état) : c’est fort réversible, c’est comme si je vous disais que vous prêtez au SNP un ampleur stratégique qu’il n’a pas, donc les députés devraient démissionner, bla-bla-bla… Infalsifiable.

            Il existe une autre manière de penser. Je vous le redis, on peut très bien imaginer que l’objectif principal de UKIP est de quitter l’UE, mais qu’à défaut il y a évidemment des objectifs de repli. Comme pour le SNP. Ce n’est pas parce que vous êtes incapable de concevoir des motifs de vote que d’autres ne le peuvent. Ne limitez les possibilités intellectuelles à vos exactes capacités.

          • (Accessoirement, vous ne soulevez que l’incident, il reste le principal : le PE joue un rôle important dans la procédure de retrait.)

          • « le PE joue un rôle important dans la procédure de retrait. »
            Mais il ne peut en aucun cas en être le déclencheur ou l’initiateur.
            Arrêtez d’essayer de nous faire prendre les vessies pour des lanternes.
            Si UKIP voulait vraiment déclencher la sortie d’UE, le PE était la mauvaise porte.
            La bonne porte, c’était celle du 10 Downing Street, seule habilitée à déclencher le processus référendaire sur pression de la Chambre des Communes. Ce qui a d’ailleurs fini par arriver.
            Tout le reste est littérature et pénible tentative de votre part d’allumer des contre-feux à votre raisonnement bancal.

          • Mais à quel moment la porte est-elle unique ? Il faut ET Downing Street (pour le référendum) ET le PE (pour l’accord).

            Et comme vous le dites vous-même, le choix de Cameron n’est pas étranger aux résultats de UKIP au PE. CQFD.

            (On attend le reste sur le SNP…)

        • Il y a cette autre stratégie qui est celle de la visibilté politique qu’offre le PE… qui, selon vous je l’imagine, serait tout aussi détestable mais est parfaitement légale. Visibilité pour un petit parti qui leur offre la possibilité du buzz sur un plateau d’argent dont ne s’est pas privé Farage et son équipe (jusqu’à l’amende pour insulte, de mémoire) et les retours médiatiques aux impacts que l’ont connait aujourd’hui.
          Ils auraient eu tort de s’en priver, non ?

          • @Prépuscule
            OK. Je vois.
            C’est compulsif chez vous : vous êtes tellement persuadé de votre supériorité intellectuelle que vous êtes désagréablement surpris qu’on vous oppose un raisonnement convaincant qui tient la route, surtout quand vous pensiez être en position de force au départ (vous étiez curieux de voir comment j’allais me « dépatouiller » – c’est votre mot – de la comparaison SNP/UKIP…). Je n’ai pas eu à me « dépatouiller », il m’a suffi de développer une pensée cohérente, apparemment à votre grande surprise et à votre grand désappointement.
            Bien. Vous voulez à tout prix persuader ce blog contre toute évidence que le PE était la bonne porte à ouvrir pour obtenir la sortie d’UE, que donc dans notre controverse vous avez remporté la victoire ou que vous pouvez encore la remporter. Si c’est votre kiff, je vous laisse ce plaisir enfantin, mais dans ces conditions la discussion sur ce sujet n’a plus lieu d’être.
            Peut-être nous opposerons-nous à nouveau sur un autre sujet.
            Si tel est mon bon plaisir.

          • Quand on en vient à moralino-ouin-ouiner et à spéculer sur l’idée que l’interlocuteur se fait de ses capacités intellectuelles…

          • @Prepuscule
            Je suis peut-être le premier à vous le dire, mais vous êtes très facile à pasticher quand vous êtes un peu coincé et que vous avez consommé tous vos atouts: il suffit d’écrire un texte relativement long, disons une bonne quarantaine de lignes, d’y inclure quelques passages obligés incontournables : transcendance/métaphysique/Platon/moraline/ouin-ouin/capacités intellectuelles/courge/grand remplacement/RER B…
            Et le tour est joué.
            Je me répète, je vous laisse volontiers cet autre plaisir enfantin : vous auto-parodier sans forcément que vous en ayez conscience.

          • Seum? Quel seum? Mais vous êtes en plein trip d’acide, ou quoi?
            Je suis d’un calme olympien et d’une zenitude de moine bouddhiste.

  5. 25 siècles…
    (M. de Jaeghere, Front Populaire, revue, Eté 2022) :

    « les Grecs (…) même parmi ceux qui étaient les plus favorables à la démocratie (…),
    à l’instar de l’Antigone de Sophocle, et au contraire de la quasi-totalité de nos hommes politiques, proclamaient qu’au-dessus des lois humaines, il y avait les lois non écrites, inébranlables, des dieux, qu’il n’appartiendrait jamais à Créon de transgresser, serait-il élu démocratiquement. Ces lois commandaient tout une part de la vie morale. »

    « Elles obligeaient à la loyauté, au respect des traités, à la piété filiale, au patriotisme, elles interdisaient le sacrilège, le viol des serments, la mise à mort d’un prisonnier, la privation de sépulture ; elles imposaient le respect de la propriété privée et celui de la vie des innocents. »

    « Les Grecs tenaient en outre qu’il y a une nature humaine, caractérisée par la sociabilité, la raison, la volonté, le sens de la justice, la soif de transcendance. »

    « Au-dessus de toute loi écrite, ils plaçaient dès lors aussi une « loi naturelle », qui n’était pas celle de la nature sauvage mais celle qui permettait à l’homme d’accomplir les différents aspects de sa nature »

    « Plus que de la volonté changeante de la majorité, c’est de la loi naturelle que les lois écrites devaient être le reflet, quand bien même leurs dispositions étaient le fruit d’une discussion raisonnée. »

    « Autrement dit, la démocratie antique donnait au peuple compétence pour dire :
    « Je le veux, car c’est juste. »

    La révolution copernicienne tient à ce qu’il prétend désormais dire :
    « C’est juste, parce que je le veux. »

    « Les Grecs antiques auraient tenu cela pour une forme collective de la tyrannie ».

    • C’est très, très mauvais.

      « Les Grecs antiques » ou « la démocratie antique », ça ne veut rien dire. Surtout quand ça représente Platon et les tenants anciens de la technocratie.

      • 😄 ! Un conseil Prépu : sortez de votre rer et allez faire un tour Et en Ecosse Et dans le « Cab des Antiques » ! on en recause, peut-être après…

          • Platon n’est qu’un… parmi d’autres, ce que m’a permis de découvrir (y’a pas d’âge !) le « Cab »… (moult citations à l’appui, et on peut toujours se référer aux originaux, si on en a le temps et le courage) ; « relais » : la fréquentation trop assidu du rer (correspondances, arrêts, terminus) en vrai/faux commuter, ne vous arrange pas ! Autre « relais » (?!) : J. de Romilly…

  6. On peut toujours aller voir Les Grenouilles à Épidaure pour espérer y trouver le prince charmant, en vain, et puis on finit sa triste vie seule, vieille, pauvre, abandonnée par sa progéniture, à passer des journées entières à martyriser des mouches dans un blog.
    Bref. Je me souviens comme si c’était hier de ma visite de ce site. C’était en Avril 2004. Le dernier voyage en famille avec Papa. On est arrivé tôt le matin en taxi. On a marché entre les oliviers bien rangés, suivi les pentes douces du terrain, joui de l’émerveillement du paysage frais sorti de l’aube, et soudain la mer au loin a surgi dans une ouverture portuaire sous un ciel baigné d’une lumière divine de transparence comme une eau pure, un ciel froid immense qui délivre. Puis on a découvert enfin le théâtre, si généreusement ouvert qui forme une baie. Je revois encore cette monumentale coquille saint-jacques minérale tournée vers le ciel comme une offrande, d’une concentricité parfaite de gradins creusés dans la roche délicatement fractionnée de lignes minces d’escalier.
    Mais il faut effectivement attendre le moment souverain du soir qui tombe quand le public des habitués s’installe sur ses petits coussins et bavarde. C’est comme une espèce de battement d’ailes du temps qui bruisse doucement dans cette nappe incurvée qui protège, rien de brutal; une ouverture, une respiration, qui donne le sentiment que quelque chose dérive depuis des siècles et nous accompagne depuis la naissance, pour ne pas rompre la chaîne qui nous relie avec les temps anciens et les générations disparues. Et à nouveau cette ouverture au ciel du crépuscule qui nous submerge et devient nuit, mais cette présence humaine au lieu de nous dérouter de nos pensées, absorbe, apaise et interroge. C’est un peu comme si l’ordre des saisons depuis la nuit des temps antiques nous admettait ici. Dans cette succession calme des générations, les rites demeurent et font demeure et refuge. Et les textes des Grecs déclamés dans leur langue d’origine nous y invitent.
    Et même si les pièces tragiques de Sophocle nous parlent d’une démesure, d’une hybris comme ils disent, d’un crime qui survient et fait une brèche dans nos vies humaines si fragiles pour d’obscures décisions des Dieux, le récit qui en est fait ne quitte jamais la mesure et le ton chaleureux d’une parole fraternelle mais aussi celui d’un avertissement pour que nous gardions sans cesse en nous la saveur mystérieuse de la vie. Oui, quand on se rend à Épidaure, on n’oublie pas.
    Et je n’ai pas le souvenir d’avoir croisé des hermaphrodites lors de ce voyage en Grèce. Je le regrette. On me dit qu’on en voit beaucoup dans les « corps intermédiaires »(uhuhu)où on les utilise à double emploi. Honteux !

    • « Oui, quand on se rend à Epidaure, on n’oublie pas ».
      Bel hommage que le vôtre à cette « monumentale coquille »…

  7. Warlord 20 juillet 2022 At 12h25
    Les raisons de mon vote non au référendum 2005:
    (—)
    2. Le projet de constitution européenne mentionnait explicitement « les racines chrétiennes » de l’Europe. Outre que n’étaient pas mentionnées au moins à égalité les racines gréco-latines du continent européen, j’estime qu’une constitution n’a pas à faire état de quoi que ce soit en liaison avec telle ou telle religion. C’est une question de principe : « a secular organization with a godless constitution ».

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Religion_en_Europe#/media/Fichier:Europe-atheism-2005-blues.svg
    Ce ne sont pas les prémices mais les fondations de l’Europe qui se sont construits au concile de Nicée, cela va bien au-delà de la volonté d’apaisement des conflits qui opposaient les différents courants chrétiens, la volonté politique est d’unifier par dessus les frontière sous un pouvoir supranational. L’enjeu d’unification symbolisé par le drapeau marial se place sur ce même axe verticale, n’est-ce pas ? La cartographie supra est une vérité effective, elle vous démontrera peut-être que votre objectif n’est sans doute pas du commun de tous les européistes. Vous êtes en droit de vous sentir appartenir à la minorité, ils sont en droit d’exprimer leur majorité.

    • Je le sais bien : ma vision de ce que devrait être une Union Européenne démocratique ET efficace (Fédéralisme assumé, exécutif supranational doté de pouvoirs forts et élu au suffrage universel direct etc.) est actuellement très minoritaire.
      Mais je n’ai aucun doute qu’elle finira par s’imposer. Pas tout de suite, hélas.

  8. Alors que la Chine est en train de perdre son grenier à blé, elle s’apprête à faire main basse sur celui de l’Europe. Bruxelles, Paris ou Berlin demeurent aux abonnés absents. Alors que les Occidentaux avaient su se montrer intraitables à l’égard des Russes et de leur influence en Ukraine, ils sont étrangement passifs quand il s’agit d’une vassalisation économique sous pavillon chinois. La menace que cela fait peser sur notre souveraineté alimentaire est pourtant beaucoup plus grave.

    https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/la-chine-fait-main-basse-sur-le-ble-ukrainien-dans-l-indifference-europeenne-895618.html#xtor=CS3-24-%5BBienvenue%5D-%5BJ5%5D-%5BD%C3%A9cembre%5D-%5BAutres%5D

    • Vous apportez de l’eau à mon moulin.
      Face aux dangers divers qui nous menacent (et l’expansion de la Chine en est un évident) , les États-nations prétendument « souverains », isolés, pesant chacun séparément un poids dérisoire, sont totalement impuissants. L’UE qui est un nain politique est actuellement à peu près impuissante.

      Alors ? L’exécutif supranational fort doté de vrais pouvoirs, on y vient? Ou bien on préfère attendre tranquillement la soumission et l’agonie ?

        • Langage défaitiste qui conduit à toutes les défaites. Vous faites partie du clan des losers, de ceux qui se rendent sans combattre.

          • (Le courageux Monsieur Painter, du clan des winners, se garde de s’adresser au dos gris et auteur du commentaire de 11h48 sous le mien qui ne fait pas spécialement montre d’optimisme non plus… Courageux mais pas téméraire, hein. )

        • Allons allons, Flo, vous vous sous-estimez. Dragonne comme vous pouvez l’être, le vrai courage, c’est de vous affronter vous, et pas le premier venu (bien que dernier arrivé) sur ce blog !

      • L’avenir est aux tables rondes entre régionalistes (catalans, écossais, wallons, padanoïdes, etc.). Les états-nations sont morts, même si certains continuent à en bourriner l’enveloppe

      • Ce sont les pays du maghreb et une partie de l’Afrique qui risque d’en souffrir principalement, dans une mesure qui s’annonce dramatique. Notre gouvernement fanfaronnait il y a peu que nous étions autonomes sur le blé…
        Il ne sont pas beaux, ce sont des vilains de la pire espèce.

    • On voit bien l’anus divin rougi d’avoir expulsé cette matière. Quelque chose me dit qu’on verra bientôt une inflation de découvertes de galaxies du même tonneau (diarrhée primitive ?)

  9. Quelle tristesse….La belle Penny Mordaunt ne sera pas Première Ministre du Royaume-Uni…
    Ce sera soit Truss soit Sunak…
    Et bien entendu aucun des deux n’aura les couilles de dissoudre, et de convoquer des élections législatives anticipées.
    Je veux Penny !!! Sob sob sob.

    • Mon cher Warlord, vous qui nourrissez tant de projets pour l’ UE, je crains que cette guerre énergétique sonne le glas de l’union. Notez que dans une moindre mesure, la démonstration de la farce européenne que fut ce chacun pour sa pomme d’un pathétique graveleux (et que j’te pique tes masques en provenance de Pékin en transit sur mon sol, et que je ne te file pas un coup de main ou ces sont mes aspirateurs respiratoirs pas tes-tiens, c’est tout pour moi) nous avait déjà été faite durant le covid, cette suite est tellement prévisible.
      L’Italie départie de Draghi et dépendante à 67 % du gaz russe, elle ne défraye pas encore la rubrique des grandes trahisons européennes, pour combien de temps encore ?

      • Et oui, Warlord ! « Chacun pour sa pomme », le maximum dans la poche de lady von der L. et maintenant le Draghi qui fuit… en attendant la suite…

        • @Flo et WTH
          Vous me prenez à témoin à propos des atermoiements et des petites (et grosses) lâchetés des pays de l’UE. Votre sollicitude légèrement teintée de pitié me touche beaucoup. En réalité ce qui se passe confirme en tous points mon diagnostic :
          1. Quand on laisse le champ libre aux États-Nations « souverains », ils exercent leur souveraineté toujours dans le sens de l’égoïsme. La Hongrie est donc le dernier exemple en date. Il y en aura d’autres, à coup sûr.
          2. L’UE fonctionne actuellement à l’envers de ce que la situation exige. Je l’ai déjà dit mille fois : ce géant économique est un nain politique. Il est grand temps que la Commission Européenne se remette au travail sur un nouveau projet de constitution qui aille résolument dans le sens d’une supranationalité assumée, avec élection d’un exécutif au suffrage universel direct, doté de pouvoirs forts s’imposant aux États membres, et sous le regard d’un Parlement européen qui enfin servirait à qqch d’utile : contrôler l’exécutif pour empêcher les dérives autoritaires. Montesquieu au pouvoir, nom de dieu !

          Je suis consterné par ce qui se passe, mais je ne perds pas espoir, au contraire, car je sais que tôt ou tard on viendra à mes solutions. En revanche je commence à trouver le temps un peu long…

          • Pour que ce nain politique puisse accéder à la supranationalité encore faut-il que les peuples acceptent ce nouvel Etat. (Vous n’êtes pas sans ignorer les soulèvements actuels des agriculteurs aux Pays-Bas qui menacent de s’étendre à toute l’Europe).
            Il vous sera de plus en plus difficile de convaincre que la singularité d’une économie propre à un territoire puisse être gérée en externalisation extraterritoriale dans le respect de ses intérêts sans qu’il n’y ait à craindre la corruption et le travaille lobbyiste contraire à ceux-ci. Parce que les faits, les résultats, nous recommandent vivement de ne PLUS le faire.
            La chute de l’euro face au dollar ? C’est tout l’immeuble Europe entier qui brûle aux profits des US. Ne reprochez pas à ses habitants de regretter leur pavillon individuel qui fonctionnait parfaitement avant l’apparition de l’euro.

            Vous représentez un groupe politique de plus en plus minoritaire.

          • L’Histoire est jonchée d’illustres brelles ayant accédé à la magistrature suprême, élus démocratiquement par des votes chargés d’espoirs sans que les résultats escomptés ne suivent. Pardon, Warlord, mais votre difficulté seconde et principale sera de trouver le bon exécutant… Votre projet est décidément très fastidieux.

  10. Mon projet pour la France : faire sortir cette fausse gloire de Simone Veil du Panthéon pour y faire entrer l’immense Jacqueline de Romilly.

  11. Evgeny Fedorov, député de « Russie Unie » (le parti soutenant Vladimir Poutine ») a déclaré hier:
    « Nous ne vaincrons pas l’Ukraine sur le champ de bataille. Nous perdrons cette guerre si nous ne bombardons pas les États-Unis. »

    • Depuis que cette f(r)ange poutinoïde sait qu’elle ne trouvera pas asile en Périgord, elle se répand en délires fascistoïdes maximalistes auxquels seuls des fendillés du bocal prêtent attention.

      • Ils descendront, sans demander l’autorisation, dépouilleront votre cave de tous ses jambons, ses bocaux de confits et de confitures de cerise. Tout, ils prendront tout, dormiront dans vos draps et vous fileront, grands seigneurs, une tente dans le jardin, un rouleau de PQ et une lampe torche… loin du réseau wifi.

    • Oui, Flo, mais, déshabitués depuis lurette aux fumets de jambon, et autres merveilles, ils louperont quelques marche et se casseront la figure dans l’escalier menant aux caves. Error fatale ! Finir comme dame Trump, c’est moche…

    • Evgeny Fedorov … sur ripostelaique.com

      Il a au moins raison quand il dit :
      « Voyez la panique des responsables occidentaux au sujet du manque d’énergie qui s’annonce! C’est la canicule chez vous? Ne vous plaignez pas car vous grelotterez bientôt, faute de gaz et pétrole pour alimenter vos chauffages! Vos industries s’arrêteront, faute d’énergie ou ne pouvant plus la payer! Chômage. Misère. Faim. »

      Ou encore :
      « Une fois encore les responsables occidentaux n’ont pas compris que si leurs citoyens ne peuvent pas supporter moins 5 degrés sans se plaindre, nous pouvons vivre par moins 20 sans problème. Avez-vous entendu parler du siège de Leningrad? Nous n’avons pas plié pendant 872 jours! Froid. Famine. Maladie. Rien n’y a fait, nous avons tenu car nous savions que nous avions raison ». (!)

      https://ripostelaique.com/oui-la-russie-doit-et-va-faire-tomber-cette-europe-pourrie.html

      • Ca reste quand même un film de pubart : esthétisation maximale de l’univers dickien (pluie permanente, appart de Sebastian). Pas assez glauque et pas un pet politique. En revanche, j’aime beaucoup la séquence où Leon est poussé à parler de sa mère (on imagine mal roquet parler de son père dans un tel test)

        https://www.youtube.com/watch?v=ic0PuvJbdu0

        • Rhooo. Il l’est devenu (film de pubar), il était très avant-gardiste à sa sortie son premier public était exclusivement composé d’amateurs de SF. 40 ans après, ce film n’a très peu vieilli.

        • « j’aime beaucoup la séquence où Leon est poussé à parler de sa mère (on imagine mal roquet parler de son père dans un tel test) » : comment interpréter une phrase aussi sibylline…?!

          C’était en 1982… et, peu importe esthétisation & co, moi j’ai été subjuguée (en en plus, je l’ai vu à Los Angeles – puis après revu à Paris ).
          Vu là-bas aussi E.T. et la, on s’était fait violence pour ne pas sortir avant la fin…

  12. « Assaut du Capitole : Donald Trump devra « réponde de ses actes devant la justice », selon la commission d’enquête parlementaire » https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/etats-unis-la-commission-d-enquete-sur-l-attaque-du-capitole-veut-que-trump-rende-des-comptes_5271490.html

    Trump devant la justice, c’est un début.
    Mais la suite, ce qui serait vraiment intéressant, c’est que le Parti Républicain rende des comptes sur la façon dont il a confié les clés du camion à un clown pareil.

    • Un clown certes, mais tout est tenté pour que les Républicains ne reviennent pas. (mais que faisaient donc les oies – du Capitole ?).

  13. 5% d’augmentation, les boomers peuvent remercier leur prince.

    Crève, Charbonnel, crève.

    • Oui c’est cool et je ne regrette pas d’avoir voté pour lui. A deux, ça fait un déjeuner gastro très honorable par mois. Je penserai à vous.

      • Prudence, Zorglub. Mettez peut-être de côté pour les notes de gaz et d’électricité à venir et avant de les claquer en restaurants. Attendez six mois encore avant de vous féliciter d’avoir voté pour lui.

    • Nous y voici. Alors réponse au phimosis qui intervient sur ce blog sous tant de pseudo qu’il ne doit plus être tellement sûr de son identité.
      Je dois crever, sale con ? T’inquiète, c’est en cours.
      Je ne veux pas partir sans te morigéner, sale fiente de pigeon souffreteux !
      1/ où as tu été chercher que j’étais macroniste ? Parcque que je soutenais la vaccination ? Même mon vénéré maire à tout organisé pour cela. Et pourtant, Ménard, hein ?
      En fait, tu t’es défoulé sur moi au nom des boomers ? Même pas foutu de causer français, le trouduc fiéleux.
      2/ plus haut sur le blog, tu m’as diffamé en racontant des saloperies sur moi et ma famille, tu as piraté ma messagerie messenger : j’aurais pu porter plainte. Mais bon, je suis un bon boomer.
      Parce qu’en fait, toi, tu es bien protégé parce tes pseudo merdiques. Moi j’avance la tête haute. Au fond, soit tu es un salaud de la pire espèce, soit tu as de graves difficultés psychiatriques. Peu importe : tu es peu utile et tu dois le savoir.
      3/ tu peux continuer à m’insulter gratuitement, moi qui ne t’avais rien fait, ni rien demandé, d’ailleurs. Bientôt je ne serai plus en capacité de lire tes sanies et cela seul a le pouvoir de me réjouir.
      Salut la compagnie, et bien du courage.
      Signature lisible… nous ne sommes pas lerche ici qui assumons notre identité.

      •  » où as tu été chercher que j’étais macroniste ? »

        Ne l’êtes-vous pas ? Il n’y a rien d’honteux à l’être, il faut seulement assumer vos intérêts de classe (d’âge), qui divergent des miens.

        « tu as piraté ma messagerie messenger »

        Ma vie est merdique mais pas à ce point-là. J’ai d’autres choses à faire de mon temps.

        « en capacité de… »

        Ne serait-ce que ça mérite l’opprobre.

      • Nous nous sommes souvent chamaillés mais ce que vous dites, Charbonnel, me désole. Je vous souhaite de reprendre du poil de la bête, l’Adonis…

        • Poco importa…
          Il suffit de remonter au billet du 15 mars pour lire ou relire la bordée d’insultes de cette crevure pour constater que personne ici n’a trouvé cela scandaleux.
          On rejoint l’expérience de Milgram. Alors basta ! Plus rien à faire ici.

    • Merci ; relu, hier soir, « Voltaire ou le Jihad »… 7 ans déjà …
      Difficile de rester optimistes, quand on constate, dans ce, certes, très court laps de temps, que le pire a vaillamment continué son chemin.
      Cette fois, j’ai tilté à « Thucidyde » et les « Barbares » ; normal, après tout ce que j’ai pu glaner dans « l’ivresse de Demos »… incroyable ce chapitre (pour les ignorants comme moi) ; quelle bibliographie !
      Par contre, je préfère oublier quelques-unes des cinquante dernières pages de ce « Cabinet des Antiques », cet hymne au retour de la « religion chrétienne » ;
      je ne vois pas en quoi remettre au centre les croyances en Dieu (ou Dieu et les croyances qui s’y rattachent) nous permettraient d’acquérir ce « supplément d’âme », nécessaire à toute bonne vie, selon l’auteur, et qui ferait totalement défaut à cette laïcisation, qu’il dénigre largement.
      C’est justement parce que tous ces Principes, pour lesquels les hommes se sont battus et ont pu véritablement progresser, ont été foulés au pied et le sont plus que jamais… que nous en sommes là !
      Il importe, c’est une urgence (cette urgence dite « absolue » lorsque l’homme est en situation de « détresse vitale ») de « rallumer les Lumières » si l’on ne veut pas (re) tomber dans l’obscurantisme le plus total, en finir avec la civilisation, retourner à la pré-histoire.

  14. Charbonnel :
    « Plus haut sur le blog, tu m’as diffamé en racontant des saloperies sur moi et ma famille, tu as piraté ma messagerie messenger : j’aurais pu porter plainte. »

    Si ce que dit Charbonnel est vrai, alors l’auteur de ces actes est un psychopathe à gerber. Il y a peu de temps je lui trouvais certaines caractéristiques du pervers narcissique, me serais-je trompé en étant très en dessous de la vérité ?

  15. Prépuscule :
    « en capacité de… »
    « Ne serait-ce que ça mérite l’opprobre. »

    Compte tenu de la teneur du post de Charbonnel, vous savez ce que mérite l’auteur de cette remarque ? Des coups de pied au cul et de grandes claques dans la gueule.
    Et le mépris de tous les intervenants de ce blog.
    Plus que jamais, il faut ici citer le mot fameux d’Audiard : les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.
    Comme disait Warlord plus haut, le con en question va sans doute nous sortir une réponse où il sera question de moraline ouin-ouin, de Platon et de transcendance. Qu’il s’administre le tout sous forme de suppositoire.

  16. Saadé : encore un levantin ! Faut dire que ça remonte à très loin : dès 1500 avant notre ère, les coquins de Mésopotamie et des environs, entre le Tigre et l’Euphrate, commerçaient et échangeaient déjà en Méditerranée…

    Et pour la petite histoire :
    sur quelques-unes parmi les milliers de tablettes d’argile recouvertes d’inscriptions et retrouvées par les archéologues,
    quelques-unes évoquent « la glace que le roi Zimri-Lim utilisait l’été pour rafraichir les boissons – vins, bières, boissons fermentées, aromatisées au jus de grenade ou à la réglisse anisée (!) ;
    il avait ordonné la construction d’une glacière (!) sur les bords de l’Euphrate, spécialement conçue pour conserver la glace apportée l’hiver des montagnes enneigées et utilisée durant les mois chauds d’été, ce qui est tout à fait possible (…).

    Il rappelait à son fils que les serviteurs devaient nettoyer la glace avant qu’elle ne soit rajoutée aux boissons : ‘Envoie les chercher de la glace ! qu’ils la débarrassent des brindilles, de la bouse, et de toute autre saleté’’’.

    * In « 1177 avant J.C, le jour où la civilisation s’est effondrée » (Eric Cline)

      • « la vérité » ?! « bullies » ! LA vérité, laquelle ?

        Si les spécialistes de ces joutes oratoires, de ces mises en scène, faut-il le rappeler,
        entièrement virtuelles, via l’écran (!) s’entêtent à ruminer leur vengeance (?!) des mois durant,
        qu’ils se retrouvent pour de bon sur un pré (là où l’herbe pourra repousser), et qu’ils fassent comme d’antan : régler leurs différents, en face à face – et pas à coups d’épées d’Académiciens !

  17. «  Hier vous étiez une déesse, maintenant vous n êtes plus qu une femme »Baudelaire
    On ne parlait pas encore d accident de décompression (plonger « au fond de l inconnu pour trouver du nouveau »)
    ni du reste de dépressurisation (« au dessus des étangs, au dessus des vallées… » Élévation)

  18. Charbonnel 24 juillet 2022 At 23h05
    « On rejoint l’expérience de Milgram. Alors basta ! Plus rien à faire ici. »

    Vous ne pouvez pas comparer l’état d’esprit de ce lieu, qui n’a rien de passif avec le comportement servile, pour la plupart, de milliers de bigots acceptant de s’injecter une mixture en phase d’essai dont la totalité des effets secondaires ne sont pas encore connus… de nouveaux troubles apparaissant régulièrement…
    Le saint-synode de l’académie de médecine s’est exprimé récemment, il considère que de réintégrer des soignants mis à pied constitue une faute (!) pour protéger des patients. Le saint-synode n’a aucun souci avec un hopital sous extrême tension, des urgences fermées la nuit, des services hospitaliers ayant du personnel vacciné positif au covid qui-ne-protè
    ge-les-patients en remplacement du personnel mis à pied. Le saint-synode a parlé !

    • Vous ne pouvez pas contester qu’un certain intervenant a souvent dépassé les bornes sur ce blog, en particulier avec Charbonnel, sans que beaucoup de monde s’en offusque.
      Je m’honore d’être de ceux qui lui rentrent dans le lard chaque fois qu’il le mérite depuis que je lis ce blog. Mais je suis loin d’être le seul : il y a eu Gus, Gavrilovic, Zorglub, Mendax, Warlord, et peut-être d’autres que j’oublie. Charbonnel signale les échanges qui suivent le billet du 15 mars. Je les ai relus. Il y avait effectivement de quoi distribuer quelques claques à ce malfaisant.
      Dans la langue de Shakespeare il y a un mot pour désigner ce type de psychopathe narcissique : « bully ».
      I don’t like bullies.

      • Dites-nous, vous qui semblez suivre quotidiennement les échanges pour en connaître les intervenants aujhourd’hui disparus : vous en étiez-vous offusqué au moment des faits, vous étiez-vous manifesté le jour J ?

        Nous avons pu mesurer votre courage quand vous avez préféré m’interpellée plutôt que Dugong, mesurer votre courtoisie par votre vocabulaire. Nous pourrions penser que votre intervention soudaine en faveur de Charbonnel (je me répète mais personne ne se souvient d’une intervention de votre part dénonçant l’abject et l’immonde traitement de Charbonnel sur ce fil) cache en vérité un réglement de compte personnel que vous auriez avec Prépus.

        • Bref, votre façon de vous scandaliser fait vraiment « p’tite bite », celle d’un type à bout d’argument, en sentiment d’infériorité face à un adversaire, sautant sur l’occasion pour se découvrir une soudaine compassion … hein, vous m’avez comprise, j’en suis sûre.

          • Je vous appelle Mamie Zinzin quand vous partez dans des délires incontrôlés. Là, c’est le cas, Mamie Zinzin est de retour.
            Mais il est clair que de votre côté, Prépuscule, Comme un ouragan et tous les autres, vous l (es) aimez bien…
            Chacun son truc. I don’t like bullies.

        • Vous êtes-vous manifesté le jour J pour défendre Charbonnel ? OUI ou NON ?
          Réponse : NON. Vous aurez beau vous débattre, pointer le doigt accusateur en accusasion, vos interventions pour le défendre ne valent pas un pet de lapin.

          • Vous est-il venu à l’idée que je n’étais peut-être pas présent sur le blog ce jour-là? Que je n’ai lu que le lendemain ?
            Arrêtez votre bullshit svp.

          • Et bien faites-vous la même réflexion pourles intervenants du blog qui comme vous ne l’ont découvert trop tardivement.

            Cette histoire ne vous regarde en rien, l’intervention de Charbonnel se suffit à elle même pour recadrer Prépus. Si Prépus maintient ses traitements, il appartient à notre hôte d’intervenir, il se passe de vos injonctions pour le faire.

          • Aucune injonction de ma part, le responsable de ce blog sait ce qu’il a à faire.
            Cela dit, je ne peux que constater une fois de plus que votre compréhension/indulgence va aux « bourreaux » plus qu’au « victimes », les mots entre guillemets étant à prendre comme des métaphores génériques.
            Vous dites que cette histoire ne me regarde en rien : vous vous trompez. En tant que lecteur fréquent et intervenant occasionnel sur ce blog, tout ce qui s’y dit me regarde. Les positionnements des uns et des autres me regardent, tout comme ils vous regardent. D’ailleurs vous ne vous privez pas de nous le faire savoir. Mais certains échappent à vos anathèmes plus que d’autres.
            Chacun son truc. I don’t like bullies.
            .

          • Vos tentatives de lynchage par tirs groupés en rameutant la galerie, en bande plutôt que seul, sont plus minables encore que les insultes de Prépus dont les interventions, comme celles de Charbonnel — dont je ne partage pas toujours voir souvent les avis — sont de qualité.

  19. Harold Painter
    16 mars 2022 At 21h37
    L’hurluberlu qui se fait appeler Comme un ouragan est en train de niquer ce blog à lui tout seul. Une tête à claques pareille, jamais vu ça ici.
    Quelqu’un pour l’arrêter, par pitié?

  20. Harold Painter
    18 mars 2022 At 19h30
    Merci à Warlord de rabattre son caquet au boulet qui s’incruste ici. Ça fait du bien.

    Les deux auto-citations que je viens de poster font suite aux saloperies postées par Comme un ouragan dans les commentaires du billet du 15 mars dont parlait Charbonnel.
    Je n’ai pas à me justifier, évidemment. C’est juste pour rappeler la vérité, si jamais la vérité intéresse encore quelqu’un sur ce blog.
    I don’t like bullies.

  21. « la vérité » ?! « bullies » ! LA vérité, laquelle ?

    Si les spécialistes de ces joutes oratoires, de ces mises en scène, faut-il le rappeler,
    entièrement virtuelles, via l’écran (!) s’entêtent à ruminer leur vengeance (?!) des mois durant,
    qu’ils se retrouvent pour de bon sur un pré (là où l’herbe pourra repousser), et qu’ils fassent comme d’antan : régler leurs différents, en face à face – et pas à coups d’épées d’Académiciens !

    • « LA vérité, laquelle ? »

      Au moins, la vérité des dates et des contenus de mes posts d’après le 15 mars, puisque c’est de cela qu’il était question.

  22. Quant aux membres des professions de Santé, Flo,
    si, au bout d’un an, ils ne sont pas partis, ou n’ont pas trouvé d’autres boulots, c’est évidement dramatique.

    Mais une réintégration ne me semble pas la solution « idéale » : ils resteront, pour les autres, ceux qui ont défié l’Autorité – rancune, etc, quand tu nous tiens (!)…

    Je veux dire que quand on s’est fait ainsi cracher à la figure (et là on est bien loin du virtuel !) et qu’on a un brin d’amour propre,
    la « punition » (!) a assez duré a osé dire l’infect représentant des urgences, on ne revient pas…
    on avance, quelles que soient les circonstances, aussi dures soient-elles.

    J’en reviens, en passant, à… l’avortement et ce que j’en ai dit récemment : 50 ans après, il est anormal qu’il ne soit pas devenu plus qu’une réponse de dernier recours, et que la pilule du lendemain (qui dit-on marche du feu de dieu aux EU), de même que les contraceptions ne soient pas, partout, et recommandées et gratuites.

    En attendant, pour celles qui en ont besoin, de nouvelles cliniques d’avortement ouvrent… au Mexique, toujours desservi par… Greyhound !

    • Pour connaître du personnel soignants aux Urgences, les chefs de service jusqu’au personnel ne sont pas tous systématiquement pro vaccins. Compte tenu de l’état dramatique des hopitaux actuellement, l’Etat a l’obligation technique de les réintégrer ou c’est une non assistance à personne en danger. C’est un bébé de neuf mois qui a failli y passer si le SAMU ne s’était pas chargé de le faire admettre à l’hopital et après insistance des parents paniqués qui s’étaient vus claquer la porte au nez en pleine nuit. Combien de drames étouffés par les médias pour ne pas réintégrer ce personnel ? C’est inadmissible.

  23. Flo
    25 juillet 2022 At 13h40
    « Vos tentatives de lynchage par tirs groupés en rameutant la galerie, en bande plutôt que seul, sont plus minables encore que les insultes de Prépus dont les interventions, comme celles de Charbonnel — dont je ne partage pas toujours voir souvent les avis — sont de qualité. »

    Du Mamie Zinzin tout craché.

    • A vous lire, je dois être pour vous le personnage le plus abominable de ce blog, Brighelli excepté (Brighelli hors concours dans l’abomination au point que vous mettiez WTH en garde contre lui….).
      Je suis donc en bonne compagnie.

  24. « Si les spécialistes de ces joutes oratoires, de ces mises en scène, faut-il le rappeler,
    entièrement virtuelles, via l’écran (!) s’entêtent à ruminer leur vengeance (?!) des mois durant,
    qu’ils se retrouvent pour de bon sur un pré (là où l’herbe pourra repousser), et qu’ils fassent comme d’antan : régler leurs différents, en face à face – et pas à coups d’épées d’Académiciens ! »

    Message transmis à Flo.

  25. Flagrant délire (suite) – Infantilisation : j’anticipe

    Faut aérer 10 minutes toutes les 2h son gourbi pour éviter covid, qu’ils disaient ; à partir de dorénavant (ouaf), soit l’automne prochain, l’aération sera-t-elle réduite à 5 minutes, conséquemment à la baisse obligatoire du chauffage ?

    • Les profs de physique chimie recrutés dans l’académie de Clermont-Ferrand seront enfin incollables sur la chimie du pneu tubeless…

      J’ai quand même un gros doute sur l’homogénéité du niveau de recrutement.

      • Justement. Ça ne sera pas homogène, on établira une vraie concurrence. Vous voulez tout savoir sur le tubeless ? Venez à Clermont. Si vous vous en fichez, allez ailleurs. Tel établissement fera de la chimie culinaire — je ne sais toujours pas pourquoi un e mayonnaise monte mieux quand on y ajoute une pointe de moutarde, ni pourquoi il faut saler les blancs d’œufs avant de les monter en neige. Des interrogations métaphysiques, pour moi.

        • Dans ce point de vue, il faudrait aussi « libérer » les contenus de programmes et laisser glisser vers un relativisme bon teint . Le tout sponsorisé par marmiton.org.

          Savoir s’il « faut saler les blancs d’œufs avant de les monter en neige » revient non pas à mélanger « pour voir » mais à séparer le pas tout à fait faux du presque pas vrai. Deux ingrédients hautement non miscibles et qui émulsionnent quand ils veulent.

        • On retrouve la même problématique en matière de jardinage où certains croient qu’arroser une plante en plein soleil laisse des gouttes d’eau sur les feuilles qui « font un effet de loupe » et crament la feuille.

          Je passe en rase motte sur l’influence de la Lune…

          • « Je passe en rase motte sur l’influence de la Lune… »

            Motte, Lune… rase ! Ooohhh

            (Vous n’auriez donc jamais planté de salades ?)

        • Rappelons ce que disait tionton René !: « ce qui borde le vrai n’est pas le faux mais l’insignifiant »

    • Que vous voulez-vous, les deux milliards d’euros attribués sur quatre ans à McKinsey étaient sans doute plus important que d’augmenter le salaire des profs et des infirmières.
      Zorglub très content de lui pour avoir participé à la réélection de Touf, vous expliquera, qu’agrégé ou non, qu’il faut savoir se serrer la ceinture.

    • Le CRPE montre tant de motifs d’espoir…

      Brighelli est intellectuellement masochiste, nous le savons tous.

    • M’a l’air un chouille dépressif, le suedish. Le débris s’apprête à arpenter les rues de Rueil pour trouver sa prochaine nourriture qu’il consommera à la broche dans sa grotte façon Themroc entouré de quelques Happy few.

  26. Raimu était un matamore avec énormément de faconde et ce pauvre Daniel Auteuil acteur fin et délicat essaye vainement de l’imiter … personne pour lui dire qu’il s’est trompé de costume ?

    Il doit y avoir des producteurs qui aiment perdre leur argent …

  27. « Opinion | Boris Johnson’s biggest failing? It’s the post-Brexit economy. – The Washington Post » https://www.washingtonpost.com/opinions/2022/07/07/boris-johnson-resignation-brexit-economy-inflation-trade-growth/
    Si j’etais souverainiste, je commencerais sérieusement à me poser des questions.
    Il n’est jamais trop tard pour se poser les bonnes.
    @WTH : The New Statesman, The Washington Post : vous allez bien nous trouver qqch pour disqualifier ces deux organes de presse, n’est-ce pas ? On compte sur vous.

  28. Un ..; deux !
    Un ..; deux !

    Je me sens tout prêt à aider Brighelli à trouver la dualité parfaite dans l’unité sainte !

  29. Le gland chef de village a reçu le petit homme blanc, lui a offert le sceptre d’Etoudi, lui a fait tomber la veste, et retrousser les manches au son de saga metissa…

    Attention, avait prévenu le petit homme blanc « Camerounais, je vous mets en garde sur la tentation de la Russie » ;
    mais qui imaginerait Vlad ou même Xi taper dans leurs mains au son du balafon ?

    https://resize-parismatch.lanmedia.fr/f/webp/r/933,621,FFFFFF,forcex,center-middle/img/var/pm/public/media/image/2022/07/27/11/yn1.jpg?VersionId=Hp0wnWcFN5ZR7kSjds2BfmJ6DV3azPG6

  30. Warlord (pas le temps de lire, pour l’instant).

    Juste vu que Rishi Sunak sera peut-être le premier « homme non-blanc » (tf1 info), à la tête de la perfide Albion, la Brexiteuse.

    Heureusement qu’il « a fait ses classes chez Goldman Sachs, qu’il est amateur de cricket et de football, fan de Star Wars, et propriétaire d’un manoir géorgien dans un village du Yorkshire » (tf1 info) ; le reste, Brexit or not…

  31. Painter, Mendax, Warlord et Mycroft… les quatre cavaliers de l’apocalypse intellectuelle !

    • La réponse que j’attendais est dans votre question.

      Vous n’avez jamais vu ce type de salades poussant dans des jardins d’une drôle de façon, montantes comme des arbustes ? Parce que plantées en Lune descendante.

        • S’il vous prenait l’envie de déguster une romaine poussée maison, frottez-vous à cette causalité tremblante. Faites l’essai. Ce sont des siècles de traditions orales qui se perpétuent et vous contemplent. (En plus, vous avez le meilleur des engrais fourni par vos volatiles…)

          • Faites l’essai. Ne soyez pas borné comme un babiologiste ou bien : trouvez-moi un seul paysagiste, jardinier, exploitant agricole qui ne suivent pas le calendrier lunaire*. Bonne chance.

            *Que vous trouverez dans n’importe quel Bricomanouche près de chez vous

  32. @Dugong
    Une intervenante bien connue de ce blog me considère comme un lâche, un couard, un pleutre, parce que selon elle, je n’aurais pas le cran de m’opposer à vous.
    Pour la détromper, j’ai l’honneur de vous provoquer en duel : au poignard en Solex, jusqu’au premier sang.
    Si nous n’arrivons pas à nous départager, nous nous affronterons dans le cadre d’un quiz sur le rugby des années 1970. Et là ça risque vraiment de saigner !

  33. D’autres savent parfaitement éviter la poubelle et se recasent au poil !
    Castex, par exemple :
    nouveau président de la FACE, Fondation « agir contre l’exclusion » (petit clin d’œil malicieux aux nombreux exclus covid)… où il va se pencher « sur un projet innovant de végétalisation des espaces urbains » (autre petit clin d’oeil à notre Hidalga) + réintégrer la Cour des Comptes (avec des « missions spécifiques ») + nommé la tête du Conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), toussa avec l’accord du Parlement et de la HAPTVP.
    (sources : figaro.fr, etc…).

    (pour la petite histoire, on rappelle que la FACE a été créée par la bouffonne Martine de Lille).

  34. « Labour and Tories ignoring disaster of Brexit out of own self-interest, Greens warn | The Green Party » https://www.greenparty.org.uk/news/2022/07/04/labour-and-tories-ignoring-disaster-of-brexit-out-of-own-self-interest,-greens-warn/
    Les bonnes questions, il y en a quand même quelques-uns qui se les posent.
    Mais pas les souverainistes. Qui sont un peu dans la situation du type qui saute du 100ème étage de son gratte-ciel, et qui à chaque étage franchi dans sa chute, se dit : »jusque là, tout va bien ».

  35. Ferrier affirme qu’une nation européenne existe, tout comme un peuple européen. Ça n’est pas pour me déplaire.
    Il tire à boulets rouges sur les souverainistes de tous bords. Ça n’est pas pour me déplaire.
    Il fait de l’identité son grand combat, au point de soutenir Zemmour. Là c’est pour moi un sérieux dérapage, et totalement incohérent puisque Zemmour est souverainiste…
    Quant à l’euro et ses vertus, il serait temps en effet de ne plus les nier…
    L’Europe politique que j’appelle de mes vœux est encore bien loin. Mais quand je vois des gens comme Ferrier (que je désapprouve globalement) s’en prendre au souverainisme en tant que combat d’arrière-garde, je me dis que l’idée de la supranationalité gagne du terrain.

    • Zemmour a été très clair dans son programme, sous des allures souverainistes, il n’a jamais souhaité quitter l’UE et l’euro.

      • Parfaitement. Il n’est « souverainiste » que dans la mesure où l’UE l’empêcherait de réaliser son programme. Il n’est pas souverainiste de principe, il est souverainiste de nécessité. La position de Ferrier est parfaitement logique : l’identité avant la souveraineté.

      • « Eric Zemmour: « Je suis favorable à la sortie de l’euro » | L’Echo » https://www.lecho.be/opinions/analyse/eric-zemmour-je-suis-favorable-a-la-sortie-de-l-euro/9367490.html
        Et si vous arrêtiez de prendre les gens pour des imbéciles sous-informés?
        Zemmour, le temps de sa campagne, a en effet déclaré qu’il ne souhaitait ni sortir de l’UE ni abandonner l’euro. En cela il tirait les leçons des lamentables embrouillaminis de MLP en 2017. Il évitait de faire peur et de susciter la panique. Positionnement tactique.
        Mais comme le montre le lien ci-dessus, Zemmour est fondamentalement hostile à l’UE et à l’euro. Il est bel et bien souverainiste. Et pour des raisons électoralistes il l’a dissimulé en 2022.

        • Encore une théorie du complot ! Heureusement que seul Wawa est sincère dans ses déclarations.

          Zemmour a expressément dit pourquoi il n’était pas favorable à une sortie de l’UE ou de l’euro pendant la campagne. Quiconque connaît un peu sa pensée y voit de la cohérence. Après… il faut bien que certains glosent sur les arrières-mondes, sur le « lui profond » et autres billevesées métaphysiques. Mais, de grâce, qu’ils lisent leurs propres sources !

          « Mais je sais qu’à court terme, ça ne se fera pas DANS LE CONTEXTE ACTUEL: le protectionnisme européen ne se fera pas car la Commission, l’Allemagne et l’Angleterre y sont hostiles et, a fortiori, le protectionnisme en Europe le rétablissement de frontières par rapport à l’Allemagne ne se fera pas. C’est POUR ÇA que je suis favorable à la sortie de l’euro pour qu’on essaie, au moins, de dévaluer. »

          Souverainisme de nécessité, CQFD.

          • Et après ça ne comprend pas pourquoi certains parlent de transcendance ! Stop à la curaillonnerie !

          • Wawa vit quand même dans un monde où « à court terme », « dans le contexte actuel » et « pour cette raison précise » sont synonymes de « fondamentalement »…

            Allez au suivant ! qui vient prendre sa baffe ?

  36. Zemmour souverainiste… Encore un qui doit autant le connaître qu’il a vu des électeurs de MLP. Pontifiant suivant ?

  37. Nonos est mort et enterré dans un cercueil plombé. Bénéficiera-t-il de complicités extérieures * pour lui dévisser le couvercle et lui permettre d’empuantir la vie politique ?

    * Front Méphistophélique

  38. Le Vespéral titre : « la journaliste russe Marina Ovsiannikova dénonce à nouveau le conflit et reçoit une amende »

    Elle aurait pu recevoir une balle.

  39. Toujours dans le Vespéral, cet article sur la violence des symptômes de la variole du singe :

    « Dans un premier temps, la maladie peut être confondue avec d’autres infections, en raison de symptômes peu spécifiques qui varient selon les patients. Fièvre, douleurs musculaires, fatigue, « je pensais avoir contracté le Covid-19 », se rappelle Ynes, une transgenre. Le médecin traitant de Mikaël, 38 ans, avait, lui, présumé une angine. Après de multiples consultations, des diagnostics erronés, des douleurs telles « une plaie ouverte arrosée de jus de citron » ou « des coups de couteau dans l’anus, Ynes appelle le SAMU, trois jours après ses premiers symptômes. »

    Des coups de couteau dans la rondelle, c’est pourtant signé…

  40. Le Fogari titre : « Notre-Dame: ce qui sera prêt en 2024… et ce qui ne le sera pas »

    dieu ne reviendra pas, il est passé chez booking

  41. C’est bon, je suis désormais convaincu : Zemmour milite pour une Europe supranationale. Ça vous va, ça ?
    A vouloir avoir raison à tout prix, à vouloir systématiquement avoir le dernier mot, toujours…on oublie l’essentiel pour mettre en exergue l’accessoire. Dommage.
    Et que vient foutre l’OCDE dans cette affaire ?

    • Entre le A de Arthus-Bertrand et le Z de Zemmour, il y a quand même d’autres lettres dans l’alphabet, non ? Soyez beau joueur.

  42. Transcendance, c’est fait.
    On attend moraline ouin ouin.
    Et ce cher vieux Platon.

    Ça sera sans moi.
    Car tel est mon bon plaisir.

    • 1) Répéter les mêmes phrases à propos des mêmes choses… on appelle ça la cohérence ! Ou le gâtisme, certes.

      2) Quand on a un peu de culture, on fait des références correctes : « Car tel est mon Ø plaisir. »

      • Besoin compulsif d’avoir le dernier mot. Vous l’avez, dormez en paix.
        « Car tel est mon BON plaisir », c’est une citation du film Lawrence d’Arabie, de David Lean. Référence que vous n’avez visiblement pas.
        Terminé pour aujourd’hui.

          • Ben oui. Auda ibu Tayi / Anthony Quinn, qui est une « rivière pour son peuple », parle de lui à la troisième personne. Comme De Gaulle.

        • 1) Et bah le voilà le ouin-ouin !

          2) Je ne répète pas les conneries des autres, nuance !

          • Alors comme ça, on veut donner des leçons de culture générale et on est soi-même dramatiquement insuffisant du côté 7ème art? Dugong et notre hôte ont, eux, repéré la référence au (magnifique) film de David Lean, ce qui suffit à me rassurer sur leur mémoire et sur leur bon goût.
            Si seulement l’inculte cinématographique pouvait mettre à profit cette mésaventure un peu cruelle pour découvrir l’humilité…Mais ne rêvons pas : il est de ces gens qui, entendant le mot « humilité », pensent qu’il est question d’hygrométrie.
            L’ignare des salles obscures voudra naturellement répondre à ce post, pour avoir le dernier mot. Il l’a déjà : je ne répondrai pas à sa réponse.
            Car tel est mon bon plaisir.

          • Avant d’être une référence cinématographique « car tel est notre plaisir » est une formulation utilisée par les rois de France empruntée et dite par Lawrence à Auda ibu Tayi / Anthony Quinn (lui-même ne parlant pas à la troisième personne «  I am poor because I am a river to my people »… ou dans les doux rêves de Jean-Paul ) lui signifiant qu’en plus d’être une rivierre, il est un roi. Raison pour laquelle Dugong vous qualifie de crétin des Alpes (au singulier, ça ne vous est adressé qu’à vous)
            Mais encore faut-il avoir une certaine culture en histoire pour le comprendre.

  43. Il y a façon et (contre)façon de jeter de l’huile sur le feu.

    Côté Fricotage Européen, encore (et encore) du pain sur la planche…

    Côté cuistance, voici celui qui est supposé être un des plus grands restaus du monde ; et personne ne pourra ni chinoiser ni ressasser.
    (et très bien classé par tripadvisor; y’a pas que booking ; et de quoi aussi vous couper l’appétit).

    https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/restauration-hotellerie-sports-loisirs/chine-a-la-decouverte-d-un-des-plus-grands-restaurants-du-monde_3508655.html

  44. C’était écrit (suite)

    La presse : « Au Pakistan, 310 personnes meurent à cause d’une mousson diluvienne »

    Dans un pays de 210 millions d’habitants où le taux de natalité est de 21 pour 1000 et celui de mortalité de 6 pour 1000, c’est peanuts. Investir sur les armes nucléaires y est manifestement plus urgent que tout le reste.

  45. @Flo
    Vous êtes mignonne, chère amie, mais vous ne pensiez tout de même pas m’apprendre quoi que ce soit avec votre post?
    « Crétin des Alpes » est une expression qui fait référence aux ravages de la consanguinité dans les coins les plus reculés de nos montagnes alpines, en des temps révolus. La consanguinité entre souverainistes/nationalistes/patriotes/europhobes, c’est sur ce blog qu’elle fait des ravages.
    J’ignore si l’apostrophe dugonguienne m’était adressée. Demandez-le lui, poliment, avec la même grotesque déférence que vous avez toujours envers lui.

  46. @JPBrighelli
    Dans le film de D. Lean, Aouda ne parle pas à la troisième personne, il dit bien « Je ».
    C’est Lawrence qui, pour le convaincre de prendre part à l’expédition vers Aqaba malgré ses réticences, finit par emporter le morceau en lui disant : « Il n’ira à Aqaba ni pour l’argent ni pour la gloire. Il ira à Aqaba parce que tel est son bon plaisir. »
    A quoi Aouda répond :  » Ta mère s’est accouplée avec un serpent », ou quelque chose comme ça, je cite de mémoire.

    • Vous arriveriez donc frais comme un gardon et bien inspiré à 11h46, c’est ça ,?,
      Ma réponse qui vous est faite l’est à 10h22 et que je reposte ici, parce que tel est mon plaisir :

      Flo 29 juillet 2022 At 10h22 (@ Warlord)
      Avant d’être une référence cinématographique « car tel est notre plaisir » est une formulation utilisée par les rois de France empruntée et dite par Lawrence à Auda ibu Tayi / Anthony Quinn (lui-même ne parlant pas à la troisième personne « I am poor because I am a river to my people »… ou dans les doux rêves de Jean-Paul ) lui signifiant qu’en plus d’être une rivière, il est un roi. Raison pour laquelle Dugong vous qualifie de crétin des Alpes (au singulier, ça ne vous est adressé qu’à vous)
      Mais encore faut-il avoir une certaine culture en histoire pour le comprendre.

      • Vous êtes en train d’être grotesque, et vous êtes la seule à ne pas en avoir conscience.
        Continuez vos enfantillages, si tel est votre bon plaisir.

        • Pas autant que vous ne l’êtes, l’immaturité vous accompagne, Warlord. Vous avez l’art de retourner vos travers contre vos adversaires. Vous vous faites fort de maîtriser culture et histoire mais pensiez que cette tirade était le fruit de l’imagination d’un scénariste… Ô vous n’êtes pas le seul. Sans commentaire.

          • « vous (…) pensiez que cette tirade était le fruit de l’imagination d’un scénariste »
            Mais c’est vous, chère amie, qui pensez que je pensais cela.
            Pour ma part je connaissais fort bien la formulation des rois de France. Eh oui que voulez-vous, je suis allé aux études…
            En revanche votre cher Prépuscule (que vous mettez un soin tout maternel à défendre envers et contre tout) ne sait rien du film de D.Lean, et se rend ridicule en donnant des leçons de culture générale à ceux qui en savent beaucoup plus que lui en liaison avec cette allusion/citation…
            Et vous, à qui le grotesque ne fait pas peur, en rajoutez une couche en me croyant ignorant de la formule ancestrale de la monarchie! Et vous nous jouez la grande scène du « je l’ai dit preums » genre cour de récré d’ecole primaire…c’est d’un drôle, si vous saviez….
            Allez donc consoler votre petit protégé, qui, à n’en pas douter, saura se montrer à votre goût, bien hargneux et revanchard.
            Il m’est arrivé de prendre du plaisir à échanger des points de vue divergents sur l’avenir de l’Europe avec les habitués de ce blog. Aujourd’hui ça n’est plus du tout le cas, tout est devenu petit, mesquin, puéril, bêtement conflictuel, à tout propos.
            Je préfère donc vous laisser à vos enfantillages, les uns et les autres, au moins pour quelque temps.
            Car tel est mon bon plaisir.

          • « Pour ma part je connaissais fort bien la formulation des rois de France. Eh oui que voulez-vous, je suis allé aux études… »

            For sure ! Vous nous l’avez démontré.

            Contentez-vous de ressentir la honte comme tout à chacun histoire de vous rappeler à votre réalité que vous n’avez de cesse de fuir. Vous n’êtes pas demi dieu comme l’est Brighelli, enfin !

  47. Il y a lurette, au Kinopanorama, à l’entracte, nul n’aurait pu résister à la fraîcheur d’un chocolat glacé – même le dernier des crétins des Alpes (y compris normandes) ;
    tous éblouis et fascinés, comme Lawrence, par l’immensité du désert.

      • Quand le nettoyage ethnique devient un nettoyage social ou le triomphe de Karl Marx par Renaud Camus : virons les Mamadou cassos (le lumpenprolétariat) et les Simon d’aéroport (la bourgeoisie de l’étranger) !

  48. @ Painter

    J’ai obtenu une prolongation pour mon mémoire… vous aurez votre réponse sous peu ! Pas de raison que Wawa prenne sa claque tout seul !

  49. Prépuscule
    30 juillet 2022 At 3h30
    @ Painter

    « J’ai obtenu une prolongation pour mon mémoire… vous aurez votre réponse sous peu ! Pas de raison que Wawa prenne sa claque tout seul ! »

    Quel degré de rancoeur, de ressentiment, de haine et d’égotisme mélangés faut-il avoir atteint pour envoyer un post pareil à 3h30 en pleine nuit?
    @Flo, de quel côté est la hargne? De quel côté est l’obsession revancharde?
    Les egomaniaques psychopathes narcissiques de ce genre, je trouve ça limite inquiétant, ça fait peur.
    Dans un post de mars récemment relu, je disais que ce grand malade était en train de niquer ce blog à lui tout seul. Eh bien, voilà, c’est fait.
    Vous trouvez toujours ses posts intéressants? OK, je vous le laisse. Vous allez bien vous entendre, il a déjà un peu déteint sur vous.
    Bye bye.

    • Vous devriez être flatté ! je pense à vous entre deux Pick-me-up* à trois heures du matin ! Et comme, hormis face à une ardoise un peu salée, je n’ai qu’une parole et beaucoup d’honneur…

      *À ce propos j’indique à mes fidèles lecteurs que cette création du Rosebud (rue Delambre, à côté de Montparnasse) est excellentissime ! Le patron est un ami, dites que vous venez de la part de Martin, il vous fera un prix.

      • A very long time ago, nous fréquentâmes le « pub » du Ti Joz (rue Delambre) ; pas mal fréquenté aussi le « Crocodile » (rue Royer-Collard) : il existe toujours ?
        Un « pick-me-up », à 3h du mat’ : efficace ?

        • Aux dernières nouvelles oui (y suis allé seulement deux fois), mais je suis plutôt de la team en face – le Panta ! –… surtout quand je suis fauché comme les blés !

          • Et pour le pick-me-up… ma foi la soirée ne fut pas désagréable : suis monté au deuxième étage d’un bel immeuble boulevard Edgar Quinet (à défaut du septième ciel – elle est pour toi Wawa/Painter !).

  50. Il ne nique rien du tout, arrêtez-vous un peu, vous vous appliquez à mettre drama partout quand il n’y a pas lieu d’en mettre…
    Je pensais que cette royale formule (qui n’aurait jamais existée autrement que par « car ainsi nous plaît-il estre fait » nous permettait de rebondir en opposition à cette autre, à ce « Je veux » employée par Touf 1er, le Plouquissime, en visite sur le continent africain (là, en revanche, on atteint les sommets de l’egomaniaque !) et qui a donné lieu à un excellent papier de Anne Sophie Chazeau dans la revue des Deux Mondes que je recommande vivement. De la distance morale que suppose sa charge entre ce NOUS et ce JE qui lui sera décidément impossible à parcourir.

      • Couleur de nouille comme Macron en Afrique alors ? Certains disent qu’il a été écrasé par un troupeau de buffles noirs enragés …

    • « Absolute chaos » commente un bipède (blanc ?) et Grand-Breton à la gare du Nord ; quelle bibitte a pu heurter Thalys ? pangolin, non ; singe non plus ; alors, quel nouveau fléau va bientôt s’abattre sur nous ? A moins que ce ne soit tout simplement un hippopotame, échappé du zoo d’Europa ?

  51. Flo : Le matrimoine « national » de retour sur son continent Africain ? Mais alors plus « d’Arts Premiers » ? fermeture du « quai Branly » ? – voire transformé en centre d’accueil de quelques sub-Sahariens ?

    • « On le voit, l’argument de l’inaliénabilité du domaine public en défaveur des « restitutions », inscrit à l’article 451-5 du Code du patrimoine disposant que « les biens constituant les collections des musées de France appartenant à une personne publique font partie de leur domaine public et sont, à ce titre, inaliénables », dépasse très largement de picrocholines
      arguties juridiques, mais s’ancre au plus profond des processus de régulation du pouvoir exécutif dans ses rapports avec la nation et le peuple souverain auquel appartient ledit patrimoine et, avant même que ne s’impose le principe républicain de souveraineté populaire, cette notion d’inaliénabilité inscrivant dans le marbre la supériorité de la nation et de l’État, de la chose publique, sur celui qui momentanément les incarne et dirige. »
      A. S. Chazaud

      Alstom ne lui avait déjà pas fait peur… Je me souviens d’un sommet à Versailles où il recevait plusieurs chefs d’état durant son premier mandat, j’avais plaisanté en imaginant qu’il s’agissait en réalité d’une visite avant la signature d’une promesse de vente au plus offrant… Quand la fiction rejoint la réalité.

      • Il faut que cesse très vite, il vont se calmer les deux. Madame disposant de 300 000 euros annuel pour faire fonctionner son cabinet qui ne figure dans aucun des status de la magistrature qu’occupe son cher et tendre. C’est écrit nulle part (qu’elle fasse gaffe, qu’elle se prépare à devoir rembourser). À quel titre s’improvise-t-elle la Valérie Damido de l’Elysée après qu’elle ait proprement flingué une partie du château, travaux qui devraient normalement être supervisés par un officiel du patrimoine ; mais enfin qui est-elle, qui l’a élue ? Ça va mal se finir, ça va dégéner.

  52. Fléau sur le Kentucky = punition divine !
    finis eau pure et Bourbon (ex beau geste vis-à-vis de la France) ; perfide Albion tient enfin sa revanche ; et Vive l’Ecosse libre !

    • … que vous dites ! drôle de rade que la Panta’ : vu dans les comments un certain Zhidetskiy Yuriy (après traduc) : j’espère que vous ne l’avez pas croisé et n’avez rien osé négocier avec l’Est !

  53. Après  » J’encaisse taxes » à la Cour des Comptes, une nouvelle nomination encore plus inattendue.
    Les sots qui avaient pensé à la Cour de Justice de la République sont déçus.

Comments are closed.