Ce qui suit a été écrit en 2016. Bien eu de gens ont lu l’intégralité e ce roman des temps barbares qui sont les nôtres. On y découpe ou transperce un certain nombre de gens peu recommandables.

« La beauté, dit-il. Reconnaître la beauté quand je la croise. En soixante ans, c’est la seule chose que j’ai vraiment apprise.
« Pas les beautés de la nature. Un coucher de soleil, un arbre, bon. Si on veut. Mais la nature peut vous produire des milliers de couchers de soleil lamentables, des millions d’arbres sans intérêt. Elle travaille au hasard. Mais ça ! Ça ! »

Guillaume sortit lentement le katana de son fourreau. Lou le lui avait offert la veille, pour son anniversaire. Elle avait dû faire des économies pendant des mois, sûrement ! Ils n’étaient pas pauvres, surtout depuis que son dernier livre à lui marchait bien. Mais elle avait tenu à lui offrir cette lame avec son argent à elle. Un vrai sabre showa, forgé dans les années 1930 pour un officier de l’armée nippone. Il avait dû trancher plein de têtes de Chinois à Nankin et ailleurs, cela se sentait. « C’est une arme, se dit Guillaume qui aimait se raconter des histoires, qui a pris le goût du sang ».
Bien sûr, a ne valait pas les lames de la période Edo — ou celles du XVIe siècle. Mais les Japonais ne laissent pas sortir de leurs îles quoi que ce soit qui appartiennent à leur héritage ancestral — pas si bêtes…
La beauté de l’arme était dans la ligne, la courbe délicate de la lame. Pas le demi-cercle exagéré du yatagan. Ni la courbure de charcutier du lourd sabre de cavalerie européen. Ce katana avait, grâce à la perfection de la courbe, 1,6 cm d’arc pour 71 cm de lame, un équilibre idéal qui n’appartenait qu’aux grands forgerons japonais.
Et cette arme-ci était signée, Yoshishige. Faite à la main par un artiste, un vrai. On sentait, rien qu’à la voir, la paume de l’artisan glissant sur la lame, pour en éprouver physiquement la perfection, le poli, l’équilibre. L’invraisemblable ligne — parce que la beauté est dans les lignes, et pas ailleurs.
Lou, par exemple, était belle comme un paysage toscan…
Le pommeau, en métal argenté, où étaient représentées des feuilles de vigne stylisées et des grappes, arrivait tout droit des traditions de la période Edo, quand les fermiers étaient particulièrement respectés, et arrivaient juste en dessous des samouraïs dans le système complexe et rigide des classes sociales du Japon. Un tribut à la gloire de la nature. Le tsuba, cette rondelle insérée qui sert de garde et que les amateurs collectionnent depuis toujours, représentait des fleurs de cerisier, un motif traditionnel rattaché lui aussi au samouraï, qui comme la fleur n’arrive à maturité et splendeur que pour mourir aussitôt — et sa mort est son fruit.
Mais ça, c’était ornemental. Ce qu’il y avait de vraiment beau, pensa-t-il, c’était la lame. L’acier plié avait une coloration bleutée, et on suivait du regard la ligne ondulante et suavement irrégulière du hamon, qui correspond à un procédé spécial pour durcir particulièrement le tranchant de la lame. Un dessin de dunes tout le long de la lame, ou une perspective de corps délicieusement allongés.
Guillaume se prit à penser soudain que ce sabre avait en lui quelque chose de féminin. Bien sûr, comme toutes les lames c’était d’abord un phallus majuscule — et 71 cm, c’était beaucoup pour un katana, l’arme avait dû appartenir à un officier relativement grand, la plupart des sabres japonais classiques font rarement plus de 65cm. Par comparaison, les rapières des mousquetaires, qui avaient alimenté une bonne part de son imagination quand il était enfant et au-delà, mesuraient souvent plus d’un mètre, pour des hommes qui dépassaient rarement 1m65. Les mousquetaires de Dumas s’empêtraient dans leurs épées, et étaient obligés de garder la main sur la garde pour relever l’arme, sinon elle aurait traîné par terre. Pas un hasard si l’on appelait « traîne-rapières » cette foule de soldats désœuvrés prêts à se vendre à n’importe qui désireux de donner un coup d’épée à un adversaire sans s’exposer lui-même. Pff…
Les samouraïs étaient bien plus petits en moyenne que les Français du XVIIe siècle. Seul Kojiro Sasaki, l’adversaire mythique de Musashi, était exceptionnellement grand et s’était fait confectionner un sabre en rapport avec sa taille, ce qui ne l’a pas empêché d’être tué d’un coup de bokken, un sabre de bois utilisé à l’entraînement — Musashi était coutumier du fait. Un sabre de bois ! Quelle dérision !
C’est avec un bokken, pensa Guillaume, que Tom Cruise se prend quelques raclées mémorables dans ce film pour gaijins intitulé le Dernier samouraï. Bien fait pour lui et pour tous les Occidentaux qui singent une civilisation à laquelle ils ne comprennent rien.
« Moi compris », pensa-t-il.
Il avait une légère tendance à l’auto-dépréciation. Cela faisait partie de son charme.
Il avait lui-même un bokken, un Suburito de 115 cm, en sunuke, un bois japonais très dur. C’était une arme déjà redoutable, si l’on savait s’en servir. Mais ça ! Ça ! Ce showa !
« Féminin et masculin », pensa-t-il. « L’équilibre parfait, le yin et le yang, toutes les ressources de la nature magnifiées par l’art. »
Le parfait athée qu’il était n’avait jamais trop fait confiance à la nature. « Elle n’est que désordre et chaos. Démesure. Impossible d’y voir la main d’un dieu, n’en déplaise à Platon et aux Pères de l’Eglise qui l’ont copié. Seul l’homme est dieu, quand il est artiste. L’art — la part proprement humaine — est avant tout harmonie, et l’harmonie, en musique comme dans tous les arts, c’est la mesure. Battre la mesure. Se mesurer à un autre guerrier. »
Il se rappelait un cours sur l’Homo vitruvianus de Vinci, le célèbre dessin d’un homme à quatre bras et quatre jambes enfermé dans un carré enfermé dans un cercle, qui sert de logo à une agence d’intérim. Il avait eu du mal à faire comprendre à ses étudiants, imbibés de préjugés modernes, que cet être-là, avec ses proportions idéales, était absolument parfait. « Il en a une toute petite ! » s’était exclamée une gamine qui voulait absolument faire croire qu’elle en utilisait régulièrement d’un calibre bien supérieur. Guillaume avait patiemment expliqué que Vinci avait réalisé un chef d’œuvre d’équilibre, et que s’il lui en avait dessiné une grosse, comme disent les jeunes filles raffinées, tout aurait basculé dans la vulgarité de la pornographie.
Il haussa les épaules. Il faudrait qu’un jour il amène en cours ce katana, pour leur faire prendre conscience de ce qu’est la beauté des choses sorties de l’intellect et des mains d’un grand artiste. Le froissement de la lame, quand il la sortait du fourreau, ce chant de l’acier contre le bois léger du saya, était déjà un chant en soi, une promesse.
« J’ai demandé que l’on polisse la lame avant l’envoi », lui avait dit Lou. Il avait apprécié qu’elle utilise « polir » plutôt qu’« aiguiser », comme aurait dit un boucher occidental. Le fil était incroyablement fin. C’était un objet dangereux. « Mais la beauté comporte toujours une part de danger », dit-il tout haut.

Il s’était acheté un sabre, quelques années auparavant, chez WKC, « la » firme d’épées en acier plié de Solingen. Pour un millier d’euros, on vous fournit là-bas un produit parfait, qui a l’avantage et le désavantage d’être un produit manufacturé. Qualité garantie. De l’industrie, pas de l’art.
Hier soir, Guillaume avait posé les deux sabres l’un à côté de l’autre. Autant comparer une Miss issue de n’importe quel concours, mensurations idéales, sourire stéréotypé après le port d’un appareil dentaire durant la moitié de son adolescence, avec Ava Gardner, Ingrid Bergman ou Audrey Hepburn. D’un côté une réussite technologique. De l’autre, un miracle.
Le cadeau de Lou était un miracle.

Guillaume n’avait pas de pratique — on ne tranche pas beaucoup la chair humaine en Occident, en ce début de XXIe siècle, quand on se contente d’être prof et parfois écrivain. Pas aussi facilement que dans le Japon des Tokugawa. Comment disaient-ils ? Koroshite saru — tuer et s’en aller. Mais il avait une profonde théorie. Il avait étudié, via une multitude de films de sabre, et quelques vidéos plus techniques dénichées sur la Toile, les diverses façons de tourner, au dernier moment, le fourreau dont on tire le sabre afin de donner à la lame le plan de coupe voulu, et fendre l’ennemi dans le même geste. Il était quasiment ambidextre, et s’était entraîné à dégainer aussi bien de la main droite que de la gauche, en poussant légèrement sur le fourreau afin de gagner une précieuse fraction de temps. On appelle cet art iaï-jutsu, en japonais — dégainer et tuer dans le même mouvement. On croit que c’est simple : essayez donc…
Il n’avait plus eu l’occasion de suivre un vrai enseignement de kenjutsu, l’art du sabre, depuis des années. Il n’y avait pas à Marseille, où il habitait, de dojo adéquat. À l’époque où il vivait en Languedoc, il avait suivi l’entraînement de l’école Harageï, à Castelnau. Mais c’était loin tout ça. Depuis cette période déjà ancienne, il s’était formé sans maître. « Après tout, plaisantait-il quand il en parlait, les grands samouraïs ont forgé leur style tout seuls. »
Cela faisait sourire Lou. Quant à Ch***, il haussait les épaules, comme d’habitude.

Il se noua une longue écharpe de soie à la taille, comme un vrai Japonais aurait noué son obi. Il y glissa le sabre dans son fourreau, et posa une main sur la garde, l’autre sur le fourreau de bois laqué, un pied en avant. Il avait juste assez de place, dans l’entrée de l’appartement, pour ce genre d’exercice. Ailleurs, l’appartement était plein de livres, de tables de travail, de lampes et de plantes vertes — des cactées, en l’occurrence —, bref, tous les accessoires absolument nécessaires à l’intellectuel qu’il était.
Le mouvement fut très rapide. La main gauche repoussa légèrement le fourreau en arrière, afin de gagner du temps pour dégainer, tandis que la main droite tirait le katana. Il fendit l’air devant lui, tranchant dans la chair d’un ennemi imaginaire, le genou droit plié, la jambe gauche tendue derrière.
Puis il se remit droit. Hmm… Pas assez rapide. Face à un adversaire à peu près entraîné, il se retrouverait découpé en tranches — deux tranches, pour être précis.
Il recommença, encore et encore. Le grand miroir qu’il avait installé dans l’entrée, sous prétexte que l’on avait bien besoin de vérifier, avant de sortir, si rien ne clochait, lui renvoyait une image qu’il jugeait avec sévérité.
Vu de l’extérieur, il était un peu ridicule, et touchant dans son désir de bien faire. Encore et encore. Refaire le même geste dix fois, cent fois. Jusqu’à ce que ce soit un automatisme. Un réflexe. « Je réfléchis trop à ce qu’il faut faire », se disait-il. Ce n’était pas faux. Il calculait la coordination du geste et du souffle — frapper en expiration, respirer en reprenant la position. Calculer la position des jambes. Le déroulé du bras. Respirer au bon moment — mais pouvait-on demander à l’adversaire de bien vouloir attendre qu’on ait ajusté sa respiration sur la sienne ? Le souffle aide à propulser le bras, certes, mais l’adversaire, lui, vous a décapité entre-temps.
Le souffle, c’était la théorie.
Il se guidait au son. Le sabre en coulissant très vite dans le fourreau lui donnait la note correspondant au geste — et la note qu’il méritait. Un do, c’était minable, 3/20. Fa ou sol, c’était quand même mieux. La moyenne. Un si aurait été formidable, mais il lui faudrait sans doute encore quelques années pour y arriver. Un grand maître dégainait en silence, tant la rapidité annihilait la perception d’un son quelconque. Mais ça, c’était l’apex, le nirvana, le but ultime. Monter la gamme et arriver au silence, au-delà du contre-ut.

Heureusement que Lou était au boulot. Elle était infirmière libérale, et travaillait dans au cabinet de Ch***. Quand Guillaume l’avait rencontrée — elle était venue se faire dédicacer l’un de ses précédents livres —, ils s’étaient plu tout de suite. « À quel nom ? » lui avait-il demandé, le stylo prêt à accabler la page de garde d’une formule bien sentie — la même que la lectrice précédente, mais qui le lui dirait ? « Lou », avait-elle soufflé. « Lou comme la Lou d’Apollinaire ? » « Exactement. » « Mon Lou la nuit descend… » avait-il commencé en souriant. Elle avait terminé le bout de poème : « Tu es à moi je t’aime. » Et pour atténuer sa surprise, elle avait rajouté : « On me l’a déjà faite, que voulez-vous… » Il avait juste signé : « À Lou. Guillaume » — et la date. Et il lui avait proposé de dîner avec lui. Trois ans déjà. Depuis, ils vivaient ensemble, il l’avait même épousée tout à fait légalement quelques mois auparavant, quand les menaces sur sa vie avaient commencé à fleurir sur la Toile.
Au tout début de leur liaison, il l’avait présentée à Ch***, qui cherchait à l’époque une infirmière susceptible de venir travailler dans le cabinet de groupe où il officiait lui-même, dans les Quartiers Nord de la ville. Elle était, paraît-il, la compétence même.
N’empêche… À l’automne précédent, il s’était vacciné tout seul contre la grippe. On peut être infiniment intime avec quelqu’un, et choisir de se piquer soi-même dans le gras de la cuisse.
Elle était rentrée un jour alors qu’il faisait ses exercices. « Mon Dieu ! » s’était-elle exclamée. Il l’entendait encore rire, un joli rire en cascade, qui partait delà gorge et remontait jusqu’aux yeux, et finissait presque en pleurant. Plus jamais ça ! Depuis cette séance gênante pour son amour-propre, il ne s’entraînait vraiment que lorsqu’il était sûr qu’elle ne rentrerait pas inopinément.

Il faisait déjà chaud, à 10 heures du matin, en cette fin septembre. Ou encore chaud. L’automne débutait à peine. Dans le Midi, on ne parle pas d’été indien, c’est un concept pour latitudes plus septentrionales. On dit juste qu’il fait chaud.
Guillaume reprit son souffle, en se remettant droit encore une fois. Le geste n’était pas mauvais. C’était l’exécution qui clochait. La rapidité. Le coulé du mouvement. Il ne devait pas y avoir de décomposition possible du geste, tout devait se faire en un seul « jeté », comme on dit en danse. C’était cela, c’était de la danse. Tout l’art du iaï, couper en dégainant, était au fond de la danse. Et le miroir était impitoyable. Allons ! Recommençons !
Guillaume était trop occidental, trop terrien aussi, pour que le caractère ésotérique du kenjutsu l’imprègne tout à fait. Il se satisferait volontiers de l’art plus terre-à-terre de trancher son semblable.
Il allait recommencer son geste pour la cinquantième fois peut-être quand le téléphone sonna.


407 commentaires

  1. la beauté est dans les lignes, et pas ailleurs.

    A condition qu’on ne les déplace pas ?

    (Mais Baudelaire ne savait pas trop ce qu’il disait…)

  2. Occidentaux qui singent une civilisation à laquelle ils ne comprennent rien.
    « Moi compris », pensa-t-il.

    Par conséquent,tout ce qu’il raconte sur ce sabre,ce n’est que balivernes,billevesées et coquecigrues.

  3. Le grand miroir qu’il avait installé dans l’entrée, sous prétexte que l’on avait bien besoin de vérifier, avant de sortir, si rien ne clochait,

    « sous prétexte »…Quelle est la vraie raison ? Guillaume serait-il complètement narcissique ?

    Au plafond de la chambre à*coucher,y a-t-il aussi un grand miroir ?

    NDL
    * Dans l’expression « chambre à coucher » la préposition « à » établit (ou pose) entre « chambre » et « coucher » un rapport très différent de celui qu’on observe dans « éponge à récurer »…rapport lui-même différent de celui observé dans « linge à laver » ,dans « dur à cuire », »nul à chier » (vide Dugong,int.al.)

  4. tranchant dans la chair d’un ennemi imaginaire,

    Chaque jour, Dugong,quant à lui, vitrifie Gaza.

    S’il plantait des bégonias dans son domaine,il pourrait chier dessus le matin,et ainsi gagner un peu en sérénité.

    (Mais chier sur des cactus n’est pas recommandé,car dangereux. D’ailleurs Guillaume ne doit pas le faire:c’est un « intellectuel ».)

  5. lorsqu’il était sûr qu’elle ne rentrerait pas inopinément.

    Comment peut-on être sûr d’une telle chose ? La femme est cet être ino-piné.
    (Guillaume croit-il qu’à force de piner Lou il va la désopiner ?)

  6. Bien Peu de gens ont lu l’intégralité e ce roman des temps barbares qui sont les nôtres.

    Ouais,eh ben on aurait aimé lire la totalité du roman avec la vendeuse-tueuse ,ne serait-ce que pour savoir si Suarès a vraiment dédicacé in exemplaire de Marsiho à Valéry.

  7. « Il en a une toute petite ! » s’était exclamée une gamine

    Le Maestro fut plus pédagogue que Guillaume;il s’agissait du David de Michel Ange;pour convaincre la jeune fille de son erreur,il lui fit dessiner une grosse bite sur la photo.

    (Prof toxique! crierait le Nouvel Obs,qui ne comprend rien.)

  8. Suite du précédent (chap. 1-3)

    « Ce qu’il y a de bien dans les palaces, dès que l’on affecte un air décidé, c’est que personne ne vous demande rien. Je monte donc directement sur l’immense terrasse qui domine le port, et je scrute les messieurs seuls qui boivent un premier verre. Tout ce que je sais de mon rencart, c’est qu’il a des cheveux gris et qu’il sera habillé en bleu. Trop facile !

    « Monsieur Galland ? »
    Il lève la tête, me sourit de ce sourire mécanique qu’ont les gens tristes. « Madame Delambre ? Judith Delambre ? » Nous nous sommes dit l’essentiel.
    Il boit un Perrier, me propose de prendre quelque chose, je remercie et refuse. J’ouvre ma mallette, et j’en sors le livre de Suarès. Il le prend comme saint Jérôme se saisissait de la Bible. Il s’attarde sur les pages de garde, vérifie le millésime, la dédicace à Valéry (« Au chantre impeccable du soleil méditerranéen, son ami, André Suarès — 23 septembre 1940 » — il ne s’est pas foulé, le grand Sétois !), et l’état des gravures.
    – Magnifique, me dit-il. La dédicace, vous ne m’aviez pas dit !
    – C’était ma surprise ! Valéry habitait à l’hôtel particulier la Rose du ciel, juste en face de Saint-Victor, dis-je. Vers le bout de la Rue Sainte. C’était en 1940. Une grande bâtisse qui domine le port, avec deux admirables palmiers, vous voyez ?
    – Je vois très bien, dit-il. Une plaque de marbre noir célèbre d’ailleurs l’événement. Mais les palmiers ne vont pas très bien…
    – Suarès s’occupait de la Nouvelle Revue Française avec Valéry, Gide et Claudel. En septembre 1940, il a préféré quitter Paris au moment de l’entrée des Allemands, et revenir à Marseille, où il était né. Valéry l’a certainement rencontré lorsqu’il est venu ici, en septembre 1941, faire une conférence. Suarès, qui était fort pauvre, n’avait guère à lui offrir que l’une ou l’autre de ses œuvres… »

    Il fait partie de ces imbéciles qui adorent qu’on leur fasse un cours. Ce que je lui dis, il peut le trouver dans n’importe quelle biographie un peu sérieuse. Bâtard, va !

    En attendant, il boit mes paroles. « Et vous me l’offrez pour combien ? » demande-t-il enfin. « 7000 euros, dis-je — autant me faire payer le cours improvisé. Il paraît soulagé, sans doute s’attendait-il à un montant supérieur, j’aurais dû demander davantage, on n’ose jamais mépriser à la bonne hauteur. Il jette un coup d’œil circulaire, nous sommes installés à une table discrète, il fouille dans le petit sac posé sur la table, en sort une épaisse liasse de billets de 200 euros et m’en compte trente-cinq. Ce n’est pas plus compliqué. 3000 pour le vendeur, auquel j’ai garanti ce prix, moins mes 20% de commission, et le reste pour moi. Jolie soirée.
    Il se lève enfin, me serre distraitement la main, et part très vite avec son trésor de papier. Grand bien lui fasse.

    Je regarde la Bonne Mère, juste en face, dont la statue étincelle dans les feux horizontaux du couchant. Elle est impassible. Sans doute n’a-t-elle rien à objecter.
    « Lionel Lévy est là ? » demandé-je à un serveur. « À cette heure, il est sans doute en cuisine », me répond-il avec un regard légèrement réprobateur. « Pouvez-vous lui dire que Judith Ballard est là ? »
    J’ai tant d’identités qu’il m’arrive de les mélanger. Delambre pour l’un, Ballard pour l’autre. Des noms de rues et de places. Mais je garde Judith. Après tout, elle a coupé la tête d’Holopherne.
    Le chef finit par se montrer, bouille ronde et souriante derrière ses lunettes de myope professionnel. Ravi de me voir. « Vous venez dîner ? » Ma foi, oui, pourquoi pas ? Quelques noix de saint-jacques n’ont jamais tué personne, et mon prochain rendez-vous est à dix heures… « Oui — mais avant, j’ai cela pour vous. » Et je lui tends le merveilleux livre de Brun. « Magnifique ! Vraiment magnifique ! Madame Ballard… » « Offrez-moi un verre de blanc, et je m’estimerai largement payée. » Les petits cadeaux entretiennent l’amitié — et j’ai dîné gratuitement, ce soir-là, entourée de l’attention des garçons. Fruits rôtis en dessert, léger et de bon goût. Un cognac ? Ma foi…
    « Chambre 614 », m’a dit mon honorable correspondant. Il est porté sur les escorts du type trentenaire élégante. Très bien. On va lui en fournir…

    L’homme qui ouvre la porte est un géant qui fut autrefois musclé, mais qui s’est laissé envahir par la graisse. Tel quel, une masse impressionnante, que le peignoir blanc peine à contenir. « Bonsoir », dit-il, avec une voix caressante. Il me propose à boire sans conviction, et je refuse poliment, d’autant que je n’ai aucune envie de laisser trop de traces de moi. Il entrouvre (involontairement ? Va savoir) son peignoir. Ma foi, ce n’est pas une zézette de compétition, et sous ce ventre un peu avachi, elle paraît vraiment dérisoire. Dois-je feindre de m’extasier ?

    La suite est ce que vous devinez — acrobaties rituelles rapidement menées à leur terme. Il est épuisé, à genoux sur le bord du lit, affalé en travers. Je me relève en souplesse, je fais deux pas jusqu’à mon sac Jérôme Dreyfuss, et j’en extrais le Beretta 92 SB qui l’alourdit considérablement —j’ai toujours préféré sentir tout le poids d’une arme, au lieu d’avoir l’un de ces pistolets en matériaux composites type Glock.
    L’homme est toujours couché à moitié sur le lit, haletant. Pauvre petite chose, qui succombe à la violence de son éjaculation.
    Il n’a pas compris tout de suite quand il a senti quelque chose de froid s’appliquer à son dos. Et il n’a pas eu le temps de comprendre : la balle, 9 x 19mm parabellum, a traversé tout droit dix centimètres de graisse jaune, et lui a fracassé le cœur. Puis, mise en appétit, elle a fini dans le matelas. La police scientifique s’y cassera les dents, le Beretta n’a jamais servi.

    Ce qu’il y a de bien, avec les grands hôtels internationaux, c’est l’insonorisation. Je me relève en souriant : « À l’Intercontinental, vous pouvez tirer au 9 mm, personne n’entend rien ! » Slogan ! Pub !
    Je passe dans la salle de bains, je me lave les mains, et j’essuie rapidement ce que ce gros porc a laissé entre mes cuisses. Penser à embarquer la serviette. Vérifier que l’on n’oublie rien.
    Je regarde dans le miroir la tête de la fille que je sais être moi. Les cheveux courts. La nuque bien dégagée. Les yeux sombres un peu fendus, presque asiatiques. Une jolie bouche un peu pulpeuse — n’exagérons rien. Des seins ronds, absolument parfaits. Une taille de guêpe, malgré les muscles latéraux. Et un certain sourire…
    Je sors de mon sac le petit Leica qui me suit depuis des années, et je cadre soigneusement le lit défait, l’homme affalé, le sang qui a coulé sur son dos, les couilles définitivement flasques. Hmm… Après un temps de réflexion, je me décale un peu à droite, pour saisir dans l’objectif — je ne triche pas, j’utilise un 50 mm, ce que l’industrie photographique a fait de plus proche de l’œil humain — le regard stupéfait de l’homme : ils ont tous dans la pupille la même surprise, après. C’est ce qui m’intéresse, ce vide, ce reflet du néant où je les ai envoyés. Dieu est mort. Le reste n’est que décor, le cadre de mon interrogation métaphysique. Nous sommes un néant qui finit dans un trou.
    Rhabillée de pied en cap. Pimpante à nouveau. J’entrouvre la porte, je jette un œil dans le couloir. Personne jusqu’à l’ascenseur, personne dans l’ascenseur. Descendre au premier, finir par l’escalier en se glissant dans un groupe de dîneurs.
    Et la petite dinde du train ? Bah, il faut savoir faire des sacrifices.

    Je descends sur le port, et je jette la serviette souillée dans la première poubelle. Puis je sors le portable à usage unique, et j’appelle le numéro qui y est mémorisé. « C’est fait », dis-je. Ça raccroche de l’autre côté. Je sais que 50 000 euros sont déjà en train de transiter via Jersey et les îles Vierges, vers un compte suisse numéroté. Je vais pouvoir partir en vacances, si j’en ai envie !
    Puis marcher vers le fort Saint-Jean, et jeter le portable à l’entrée du port, aussi loin que possible. « Job done ! » dirait ce crétin de George Bush.
    Je redescends vers la Résidence. J’aime bien cet hôtel dont toutes les fenêtres regardent vers Notre-Dame-de-la-Garde. On se sent protégée par les instances suprêmes…
    J’ai dormi comme une souche. »

  9. « Il fait partie de ces imbéciles qui adorent qu’on leur fasse un cours. Ce que je lui dis, il peut le trouver dans n’importe quelle biographie un peu sérieuse. Bâtard, va ! »

    Lormier en prend pour son grade.

  10. « je fais deux pas jusqu’à mon sac Jérôme Dreyfuss »

    Encore du placement de produit ! Un réticul(e) de dame pour planquer un Beretta, faut en avoir l’usage…

    • Ces écureils vont comprendre que leur position élevée leur donne un avantage;ils devraient se munir de fusils à lunette.

  11. la dédicace à Valéry (« Au chantre impeccable du soleil méditerranéen, son ami, André Suarès — 23 septembre 1940 » — il ne s’est pas foulé, le grand Sétois !)
    ——————————————————————————————————-
    Pour moi, le grand Sétois,c’est Valéry;sans recourir à une biographie sérieuse (je n’en ai pas à portée de main) j’ai vérifié. Suarès est né à Marseille et n’a rien à voir avec Sète.

    Or,la dédicace est ECRITE par Suarès POUR Valéry .

    Quand l’expert ès cohésion discursive sera revenu,je lui demanderai ce qu’il en pense.

    https://levieuxsaintmaur.fr/histoires/biographies/285-suares.html

  12. « Élève de l’École normale supérieure, condisciple de Romain Rolland, il échoue volontairement à l’agrégation pour ne pas devenir enseignant.  »

    Au moins,il n’est pas devenu un prof toxique (il en exisait déjà à l’époque.)

  13. Suares est en effet marseillais, comme le texte l’indique( phrase citée plus loin), tandis que Valéry est né à Sete (où il est enterré dans le fameux cimetière marin).
    Autre petite inadvertance. La dédicace porte: « Au chantre impeccable du soleil méditerranéen, son ami, André Suarès — 23 septembre 1940 »
    Ce qui contredit la phrase ultérieure où la narratrice explique à son client, que  » Valéry l’a certainement rencontré [Suares] lorsqu’il [Valery ?] est venu ici, en septembre 1941, faire une conférence. »
    On dit plus haut que Suares était venu habiter Marseille depuis septembre 1940, où  » il a préféré quitter Paris au moment de l’entrée des Allemands, et revenir à Marseille, où il était né « , tandis que Valéry sejournait en 1940 à Marseille à la villa Rose du Ciel. Ils auraient donc pu se rencontrer à ce moment. Mais la date de la dédicace contredit en tout état de cause qu’elle ait été faite à l’occasion d’une rencontre en 41
    Vieille technique d’enseignant?
    Il y en a 2 qui suivent!

    • Vous faites mieux que l’expert-ès « cohésion discursive ». (Il vous reprocherait sans doute de parler de « narratrice »…Maintenant qu’on sait qu’elle s’appelle Judith,on peut éviter les remontrances. Pas besoin de technolecte.)

      Les écrivains sont-ils de fieffés faux jetons ? Quand on compare le texte de la dédicace aux propos tenus par Suarès sur Valéry -que vous avez rapportés-on peut (sans généraliser) se dire que Suaarès était bien de cette espèce.

      Le Maestro a répondu à une question;il en reste une autre,beaucoup moins imporatnte. L’exemplire dédicacé appartient désormais à qui ? Il devrait être dans une bibliothèque, je pense ,et non entre les mains d’un collectionneur privé; D’ailleurs, je me demande si l’Etat ne préempterait pas tout livre de Valéry qui viendrait sur le marché…Mais je ne suis pas Judith.

      • Valéry faisait de faux manuscrits de ses poèmes avec des variantes inédites rien que pour ls collectionneurs qui les lui achetaient fort cher.

  14. https://fr.yahoo.com/news/bah-oui-ils-sont-nyctalopes–un-eleve-de-maternelle-exclu-parce-que-sa-maitresse-pensait-quil-lavait-insultee-145536396.html

    Voilà. Sans doute une néo-prof, donc juste un peu moins illettrée que ses élèves. Elle entend nyctalope et elle pense à une variation de nique ta mère. Je préfère en rire.
    Si un élève (moins abruti que la moyenne) venait à évoquer Nick Cave devant sa prof de musique, il se verrait probablement reprocher une apologie de la « tournante ».

  15. Ailleurs, l’appartement était plein de livres, de tables de travail, de lampes et de plantes vertes — des cactées, en l’occurrence —, bref, tous les accessoires absolument nécessaires à l’intellectuel qu’il était.
    ctées
    i) Les cactées sont-ils nécessaires à l’intellectuel ? Et pourquoi ?

    ii) A l’époque de la plandémie, le Maestro,qui séjournait quelque part (dans l’Hérault peut-être) était venu en douce à Marseille pour rendre visite à ses parents et arroser ses cactées.

    Une commentatrice,dont j’ai oublié le pseudo (et qu’on n’a pas vue depuis longtemps) avait persiflé: « Voyez-vous ça, Brighelli en cornette venant nourrir ses vieux parents… »

    En 72,Son Excellence Christopher Soames, Ambassadeur, avait rédigé une note sur les personnages importants de la République (pour préparer la visite de la reine). Il avait décrit Giscard comme un « cactus ».

    Pourquoi le Maestro aime-t-il tant les cactus ? Ses frères ?

  16. Il s’attarde sur les pages de garde, vérifie le millésime, la dédicace à Valéry …
    … La dédicace, vous ne m’aviez pas dit !

    Quel sens donner au verbe « vérifier » ? Il ne savait pas qu’il y avait une dédicace et pourtant il « la vérifie » .

    ( Il est d’ailleurs un peu étonnant qu’un collectionneur aussi passionné n’ait pas su qu’existait une exemplire avec dédicace -d’autant plus qu’il est marseillais et que le livre a été donné à Valéry dans cette ville même…

    Mais c’est un « imbécile » et un « bâtard »,me direz-vous.

  17. Un texte comme toujours brillant et largement documenté de la fille du héros de Dugong, qui d’une part démonte les assertions de Gégé prétendant que la russie ne s’est jamais mieux portée économiquement, et de l’autre les allégations de Cyrano soutenant que, quand même, poutine combat l’islamisme dans son pays (alors qu’il a embrassé le coran lors de sa visite chez les tchétchènes et que les russes commencent à leur tour à parler de « grand remplacement ») :

    https://desk-russie.eu/2024/10/10/russie-des-effets-boomerang-convergents.html

    Et pour les gens qui se pâment devant les arguments d’autorité, la dame touche davantage sa bille sur la question que Todd, Sapir ou Aberkane.

    • Elle fait très punkette (à chien ?). Son père avait ‘une coupe en brosse qui donnait l’impression d’une plantation de distributions de Dirac

    • Le mec a un CAP lécheur de boules otaniennes et il se permet de juger Sapir, Aberkane et Todd!

      • Attaque ad hominem ridicule.

        Je me permets de juger qui je veux, tout comme vous ne semblez pas avoir le moindre scrupule pour me juger moi.

        J’ai bien précisé à plusieurs reprises que les arguments d’autorité ne m’impressionnent guère, mais puisque les deux rombières adorent aller sur ce terrain-là, il me semblait opportun de souligner qu’une agrégée de russe soviétologue et historienne de la russie a un peu plus de légitimité que les trois autres zigues sur la question de la guerre en Ukraine.

        A part ça, je vous ai déjà connu plus courtois et plus fin.

        Bonne soirée.

  18. Isaac-Félix Suarès est un élève brillant : à 17 ans, élève au lycée Louis-le-Grand à Paris, il remporte le prix d’honneur de rhétorique du Concours général, avec médaille de 3000 F et une critique élogieuse d’Anatole France qui, saisi d’admiration, déclare sa composition unique dans les annales du concours, empreinte de générosité et d’un parfum rare.

    https://levieuxsaintmaur.fr/histoires/biographies/285-suares.html
    —————————————————————————————————-
    En ce temps-là (1885) les copies du Concours Général étaient lues par des écrivains,comme Anatole France;il semble m^me qu’il ait été membre du jury.

    Il serait intéressant de lire la copie en question.

    De même,il serait intéressant de lire la lettre dans laquelle France raconte avoir payé 20 francs pour un moment de voyeurisme.

  19. Et vous me l’offrez pour combien ? »… « 7000 euros, dis-je… Il paraît soulagé, sans doute s’attendait-il à un montant supérieur, … il fouille dans le petit sac posé sur la table, en sort une épaisse liasse de billets de 200 euros et m’en compte trente-cinq.

    a) Le prix navait donc pas été discuté à l’avance ?
    b) Combien d’argent a-t-il dans son sac ?

  20. Judith est tueuse à gage…Elle attire les victimes en se présentant comme « escort »…Mais elle est honnête,car elle se fait baiser avant de tuer. Pourtant cela ne semble pas vraiment indispensable (techniquement parlant)…à mons que sa vraie récompense-le regard du mort surpris après lorgasme – ne nécessite,précisément, qu’il y ait eu coït.

  21. L’expert russe Vladislav Inozemtsev parle d’une véritable économie de la mort : « Si l’on calcule tous les revenus d’un homme de 35 ans tué au front au bout d’un an et que sa famille reçoit toutes les primes pour sa mort, dans 60 régions de Russie, sa famille reçoit plus d’argent que cet homme n’aurait pu en gagner jusqu’à sa retraite. Autrement dit, […] aller au front et être tué un an plus tard est plus rentable économiquement que travailler honnêtement pendant plusieurs décennies. »
    ….
    les officiers se livrent à un juteux racket, exigeant des pots-de-vin allant de 40 000 à 70 000 roubles pour dispenser les soldats d’être affectés aux vagues humaines dont on ne revient pas vivant.

    Deux attiudes donc.Combien gagne-t-on en allant au front ? (sans être tué)

  22. « Il faudrait qu’un jour il amène en cours ce katana »

    Una faute, un doigt Au delà de 10, ça coutera un bras (manche courte)…

    • un bras (manche courte)…

      Ca,c’est un truc africain. Les coupeurs de bras pensaient ainsi empêcher les gens de voter.

    • Jean-Paul Brighelli 12 octobre 2024 At 0h55
      Valéry faisait de faux manuscrits de ses poèmes avec des variantes inédites rien que pour ls collectionneurs qui les lui achetaient fort cher.
      ——————————————————————————————————-
      Rusé, ce Valéry…Longtemps,il a tiré le diable par la queue (parce que « rédacteur au Ministère de la guerre,ce n’est pas le pactole.)

      La chaire au Collège de France a,tardivement, réglé son problème.

      Sartre,à la fin de sa vie, n’arrivant pas à payer ses factures d’électricité, signait (paraît-il) ses bouquins à la chaîne et empchait une partie du bénéfice de la vente.

      D’autres ont réglé leurs problèmes d’argent par le mariage. Strauss Kahn,le soir de son mariage avec Sinclair dit à ses amis:Ouf, les problèmes de fric,c’est définitivement terminé.

      Bon, tout ça c’est bien joli, mais ça ne nous dit pas qui possède aujourd’hui l’exemplaire dédicacé par Suarès (qui était marseillais et pas du tout sétois) à Valéry.

      Ne soyons pas un bâtard imbécile;l’information doit se trouver dans un bulletin des bibliophiles.

    • Dutronc chante qu’il y a partout des cactus (comme chez le Maestro). Il chante aussi qu’il en met dans son slip.

      Et le Maestro ?

    • En fait, je l’ai fait : cours de culture générale, à Thiers, A*** était venue faire une démonstration avec un katana et un wakizashi.
      Toujours drôle de pénétrer dans un lycée avec les manches de deux sabres japonais qui dépassent d’un sac.

      • Une meuf avec des sabres…
        « pénétrer dans »
        Le verbe « pénétrer peut être transitif ou intransitif.

        Le couteau de Sagawa eut du mal à pénétrer dans la fesse nollandaise.

        Mon amour,dit-elle, chaque fois que tu me pénètres, c’est comme si c’était la première fois. On dirait que ta bite n’en finit pas de grossir.

  23. « en sort une épaisse liasse de billets de 200 euros et m’en compte trente-cinq »

    La sicarienne a-t-elle taxé le reliquat pour ses faux frais ?

    • 3000 pour le vendeur, auquel j’ai garanti ce prix, moins mes 20% de commission, et le reste pour moi. Jolie soirée.
      ——————————————————————————————————-
      20% de 3000= 3000/5= 600

      3000-600= 2400 (qui seront versés au vendeur)

      7000-2400=4600
      C’est ce que Judith a gagné avec ce bouquin.

  24. dans Jeune et jolie,il y a une lycéenne qui baise avec des mecs pour du fric. (Ce fric,elle n’en fait rien, elle l’entasse dans un placard).

    Un jour,dans un hôtel, le mec clamse sur (ou sous ?) elle.

    Bien qu’elle ne l’ait pas tué, elle prend la fuite.

    La police la retrouve facilement grâce aux caméras de surveillance.

    Alors moi, je me demande si c’est prudent de dîner dans un hôtel avnt d’y commettre un crime.

    • Et il fallait absolument que je prenne ce train, j’ai rendez-vous à 18 heures. Au bar de l’InterContinental », ajouté-je avec une légère nuance de perfidie. « Tu vas y loger ? » « Y loger, non, je descends toujours à la Résidence, sur le Vieux-Port, et puis j’ai des amis à voir. Mais y dîner ce soir, certainement. À l’Alcyone.

      Ce qu’il y a de bien, avec les grands hôtels internationaux, c’est l’insonorisation. Je me relève en souriant : « À l’Intercontinental, vous pouvez tirer au 9 mm, personne n’entend rien ! » Slogan ! Pub !

  25. André Suarès (il choisi de se prénommer ainsi pour la littérature).
    Extrait de Marsiho :
     » Par un matin de pierre dure, au temps de Pâques, entre avril et mars, si tu peux rester debout sur le balcon de Notre-Dame-de-la-Garde, quand souffle le mistral et que l’équinoxe joue à la balle avec les bateaux sur la mer, tu fais, sans quitter le roc, la traversée de la tempête la plus sèche qui soit au monde […] Tiens-toi ferme à la rampe. Tu es sur le pont du plus haut bord entre tous les navires […] Marsiho est nue. Le mistral lui arrache tous ses vêtements et la nudité révèle la splendeur de la ville .”
    cité par Robert Parienté, André Suarès, entre mer et terre, La pensée de midi, 2000

    Sur Suarès et Marseille, un article assez développé
    https://tourisme-marseille.com/fiche/plaque-hommage-au-poete-et-ecrivain-andre-suares-montee-notre-dame-marseille/
    Une plaque lui rend hommage au pied d’un escalier montant à ND de la Garde.
    On observera que rien ne dit que Suarès était venu se réfugier à Marseille sous l’occupation…
    Suarès fut élève du lycée Thiers à l’époque où on n’y introduisait pas encore des katanas (et bien d’autres choses sans doute).

    • Il devait quand même y avoir déjà quelques professeurs toxiques. Le phénomène ne date pas d’hier;mais le Nouvel Obs vient seulement de lever le tabou.

      Je pense qu’on va prendre les choses en main et recenser les professeurs toxiques,en exercice ou retraités.

      « Suarès fut élève du lycée Thiers à l’époque où on n’y introduisait pas encore des katanas. »

      Et les professeurs ne faisaient pas dessiner des bites sur des reproductions du David de Michel Ange.

      Suarès a aussi été élève de Louis le Grand;en prépa ,probablement.

      En ce temps-là,le Rectrorat n’imposait pas un quota de cailleras à Louis le Grand.

      • « En ce temps-là,le Rectrorat n’imposait pas un quota de cailleras à Louis le Grand. »

        Là, vous savez que vous travestissez lourdement la réalité.

        • Ah bon? En 1890 où le Rectorat de Paris trouvait-il des cailleras à mettre à Louis le Grand ?

          • L’idée vous est-elle venue que nous ne sommes plus en 1890 ?
            Les prolos intelligents que vous aurez repoussés sont ceux qui vous poignarderont les premiers.

  26. ECHO 12 octobre 2024 At 9h50
    Sur Suarès et Marseille, un article assez développé

    Une plaque lui rend hommage au pied d’un escalier montant à ND de la Garde.
    On observera que rien ne dit que Suarès était venu se réfugier à Marseille sous l’occupation…
    ——————————————————————————————————
    En 1935, il reçoit le Grand Prix de la Société des Gens de Lettres, puis le Grand Prix de Littérature de l’Académie française. On envisage de publier ses œuvres complètes et on évoque son nom pour le prix Nobel lorsque la guerre éclate. Ses livres sont interdits. Se sachant recherché, il se réfugie à Antibes où il conseille un réseau de résistance.

    https://levieuxsaintmaur.fr/histoires/biographies/285-suares.html

    Antibes est plus proche de Nice que de Marseille…mais c’est aussi sur la côte.

    • Pour sûr qu’elle était d’Antibes !
      C’est plus près que les Caraïbes
      C’est plus près que Caracas
      Est-ce plus loin que Pézenas ? Je ne sais pas
      Et tout en étant Française
      L’était tout de même Antibaise
      Et, bien qu’elle soit Française,
      Et malgré ses yeux de braise
      Ça ne me mettait pas à l’aise
      De la savoir Antibaise
      Moi qui serais plutôt pour !
      Quelle avanie !

      Avanie et Framboise
      Sont les mamelles du destin !

  27. pénétrer,pénétrer dans , entrer dans entrer en.

    Un écrivain a-t-il écrit: « Il entra en elle comme un couteau; »? C’est une phrase qui me trotte dans la tête et que j’attribuerais bien à Marguerite Duras…mais je n’ai pu trouver confirmation.

    On entre DANS une pièce.

    On entre EN religion.

    On entre DANS les ordres

    On entre A l’X

    On pénètre une meuf,on entre EN elle;éventuellement on jouit DEDANS

    Attention! Ne croyez pas qu’on rentre DANS un vagin de vierge comme DANS du beuure. »

  28. Jean-Paul Brighelli 12 octobre 2024 At 12h34
    « En ce temps-là,le Rectrorat n’imposait pas un quota de cailleras à Louis le Grand. »

    Là, vous savez que vous travestissez lourdement la réalité.

    Je travestis la réalité ? En 1890,le Rectorat forçait Louis le Grand à accepter un quota de cailleras ? Mais alors,où les trouvait-il ?

  29. Dugong 12 octobre 2024 At 12h17
    Elle fait très punkette (à chien ?). Son père avait ‘une coupe en brosse qui donnait l’impression d’une plantation de distributions de Dirac.

    Image savante;

    Pour Lormier,Thom avait une tête de hérisson.

  30. Judith s’intéresse à son aspect physique. C’est uné élément à mettre dans le dossier de la « cohésion discursive ».

    Je regarde dans le miroir la tête de la fille que je sais être moi. Les cheveux courts. La nuque bien dégagée. Les yeux sombres un peu fendus, presque asiatiques. Une jolie bouche un peu pulpeuse — n’exagérons rien. Des seins ronds, absolument parfaits. Une taille de guêpe, malgré les muscles latéraux. Et un certain sourire…

  31. Jean-Paul Brighelli 12 octobre 2024 At 9h18
    En fait, je l’ai fait
    ———————————————————————————————
    Ancien combattant »

    J’ai fait le Mouvement Dada
    Disait le dadaïste
    J’ai fait le Mouvement Dada

    Et en effet
    Il l’avait fait

    Aragon

  32. Ce katana avait, grâce à la perfection de la courbe, 1,6 cm d’arc pour 71 cm de lame, un équilibre idéal…

    Je ne suis pas sûr de ne pas faire d’erreur.

    On trace un segment de droite reliant les deux extrêmités du sabre (une « corde »,en quelque sorte).

    La distance entre le bord tranchant de la lame et ce segment est ,en son point maximum de 1,6cm.

    C’est ainsi qu’il faut comprendre ?

    On ne sait pas où se situe ce maximum.

  33. tout aurait basculé dans la vulgarité de la pornographie.

    Guillaume a des préjugés;il pense que toute pornographie est vulgaire;c’est sans doute parce qu’il n’a vu que de la pornographie vulgaire,la plus courante,celle dont raffolaient les immigrés musulmans des années 80.

    Par ailleurs,que l’image d’un homme nu puisse à elle seule être pornographique…hum

  34. Ce que le Préfet omet de dire,c’est que les manifestants ont contraint l’hélicoptère à se poser,en tirant sur lui au lance-grille-pain.

    Manifestation interdite « Freinage d’urgence contre les LGV du Sud-Ouest » |
    Cette nuit, plusieurs tirs en direction de l’hélicoptère de la @Gendarmerie qui effectuait un survol de reconnaissance du site occupé en Sud Gironde par les opposants au projet

  35. Un hélicoptère, fut-il chargé de gendarmes, n’a aucune chance contre un lance grille-pains. A condition, bien sûr, que ce dernier soit bien servi.

    • Le lance grille-pain n’étant pas bio, il ne sera pas utilisé par les écologistes. Ils y substitueront le lance sardine, beaucoup plus efficace et certifié 100% vert.

    • abcmaths se repose;c’est bien de tenter de le remplacer. Le Maestro s’y est mis aussi (bêcher et lécher)

      chasser par un sumo

      SUcer par un CHAmeau

  36. c’était d’abord un phallus majuscule — et 71 cm,

    et ce « phallus » est courbe,ce qui devrait intéresser abcmaths:le héros de son roman,après un accident copulationnel, s’était retrouvé avec un pénis courbe…qui,en fin de compte, réjouissait ses partenaires: »c’est magique, c’est magique ! »

  37. Dugong 13 octobre 2024 At 9h33
    Un hélicoptère, fût-il chargé de gendarmes, n’a aucune chance contre un lance grille-pains. A condition, bien sûr, que ce dernier soit bien servi.
    ——————————————————————————————————-
    L’essentiel est de bien viser;les écolos ont atteint le RAC et cela a suffi à obliger le pilote à poser l’appareil.

    https://www.lavionnaire.fr/HelicoAnticouple.php

  38. Le préfet de la Gironde félicite les gendarmes qui ont réussi à embourber leur véhicule,qu’ils ont ensuite abandonné aux activistes. Ils se sont enfuis à pied…

  39. Une bonne part de ce texte est une méditation sur la beauté.

    S’il faut se méfier de l’idée de « beauté naturelle » et estimer (plus ou moins) que la beauté ne se rencontre que dans les oeuvres d’art (art au sens le plus large-incluant l’art du forgeron japonais) ,peut-on considérer une Audrey Hepburn, une Mylène Demongeot (dont le Maestro est toujours amoureux près de 70 ans après sa rencontre avec elle) comme des oeuvres d’art ?

    Et si oui, qui les a faites ?

    Dieu ?

    • Comme dit Merteuil : « Je suis mon ouvrage. »
      Il n’ y a d’autre dieu que soi, Lormier.

  40. Beauté et idéal

    La beauté de l’arme était dans la ligne, la courbe délicate de la lame. Pas le demi-cercle exagéré du yatagan. Ni la courbure de charcutier du lourd sabre de cavalerie européen. Ce katana avait, grâce à la perfection de la courbe, 1,6 cm d’arc pour 71 cm de lame, un équilibre idéal qui n’appartenait qu’aux grands forgerons japonais.

    « perfection de la courbe »…mais nous ne savons pas exactement quelle est cette courbe.

    Il s’agit,ne l’oublions pas, d’une arme;pourquoi cette courbe (dont nul ici ne saurait écrire l’équation) rend-elmle l’arme si meurtrière ?

    • « dont nul ici ne saurait écrire l’équation »

      Pff ! Un petit coup de Bézier et c’est torché

      • Faites…et en tatendant,au vu de la photo,pensez-vous que le milieu du sabre (poignée comprise ?) soit le point de la courbe le plus éloigné de la « tangente » ?

          • C’est simplement un lapsus;voir plus haut (où j’avais mis « corde » entre guillemets).
            Vous avez très bien compris la question;reformulez la correctement et répondez y.
            Manifestement,vous avez été tous les deux des professeurs toxiques et vous continuez après la retraite .

            Pouvez-vous expliciter:

            « Ce katana avait, grâce à la perfection de la courbe, 1,6 cm d’arc pour 71 cm de lame… » ?

            Et je sais faire la différence entre une tangente et une sécante.

            J’ai fait un LAPSUS,bordel de merde !

  41. Et pour atténuer sa surprise, elle avait rajouté : « On me l’a déjà faite, que voulez-vous… »  »

    Pas tombée de la dernière pluie,la meuf !

    Celui qui la « lui avait déjà faite »,il l’avait baisée ?

    « atténuer sa surprise » mais aussi (volontairement ?) rabaisser son caquet;tu te crois vachement cultivé et malin,mec, mais tu vois celle-la,on me l’a déjà faite. Te sens pas trop fier et sors ta quéquette ,qu’on voie si ton plumage vaut ton ramage….Te prends pas pour Brighelli.

  42. Il s’agit,ne l’oublions pas, d’une arme;pourquoi cette courbe… rend-elmle l’arme si meurtrière ?
    ———————————————————————————————————-
    C’est une question que je ne pose ni à abcmaths ni à Dugong car ils seraient bien incapables d’y répondre.
    Ils n’ont même pas le niveau pour se poser ce genre de question.

  43. RAPPEL:une interrogation prudente de Lormier:

    Lormier 12 octobre 2024 At 18h33
    Ce katana avait, grâce à la perfection de la courbe, 1,6 cm d’arc pour 71 cm de lame, un équilibre idéal…

    Je ne suis pas sûr de ne pas faire d’erreur.

    On trace un segment de droite reliant les deux extrêmités du sabre (une « corde »,en quelque sorte).

    La distance entre le bord tranchant de la lame et ce segment est ,en son maximum, de 1,6cm.

    C’est ainsi qu’il faut comprendre ?

    On ne sait pas où la distance lame-sécante atteint ce maximum.

    • Encore faudrait-il montrer que la courbure est bien la cause du caractère meurtrier de l’arme (IAL pourrait peut-être proposer une méthode de linéarisation ?)

      Attention aux méthodes de contre même si l’exemple proposé ci-dessous ne fait pas partie des armes en question :
      https://www.youtube.com/watch?v=kQKrmDLvijo

      Cékoi une « courbe parfaite » ?

  44. abcmaths 13 octobre 2024 At 20h42

    1)Grave confusion entre tangente et sécante.
    ———————————————————————————————————-
    C’est pas une confusion, c’est un LAPSUS !

  45. cyrano58 13 octobre 2024 At 11h54
    Le mec a un CAP lécheur de boules otaniennes et il se permet de juger Sapir, Aberkane et Todd!
    ——————————————————————————————————–

    Quel mec ?

  46. « pensez-vous que le milieu  »
    Certainement pas !
    La courbe n’est pas un arc de cercle !

    • Merci,je le savais…

      Cette courbe est très « plate ». Un géomètre saurait sans doute la reconnaître à vue de nez,si tant est qu’elle soit répertoriée,qu’elle porte un nom.

      Si je dessine un segment de droite joignant les deux extrêmités du sabre (poignée comprise car elle est dans le prolongement de la courbe de la lame) je peux mesurer la distance entre le sabre (côté tranchant) et la sécante .

      Aux deux extrêmités la distance est nulle.

      D’après le texte du Maestro,il me paraît raisonnable de penser que la distance est au maximum de 1,6 cm. En quel endroit ? (sur la sécante et sur la lame)

  47. Courbes, suite:

    Lormier n’a pas de sabre,mais il a des couteaux.

    Le couteau représenté ci-dessous est vendu comme couteau à désosser.

    Lormier l’utilise pour les légumes, particulièrement les carottes; »l’encoche » proche de la poignée,qu’on ne trouve sur aucune autre marque, fait merveille quand il s’agit de couper les fanes (et l’autre extrêmité.
    Belle inversion de la convexité, dont on découvre sans la comprendre vraiment l’utilité au cours du découpage.
    Couteau introuvable en France;les magasins qui vendent du Zwilling prétendent que ce couteau n’existe pas;ils n’iront pas chercher dans un catalogue.
    Qu’ils aillent tous se faire enculer et qu’ils fassent faillite ensuite!

    https://www.zwilling.com/dw/image/v2/BCGV_PRD/on/demandware.static/-/Sites-zwilling-master-catalog/default/dwdb8f93a0/images/large/31086-140-0_1.jpg?sw=1953&sh=1953&sm=fit

    • « Qu’ils aillent tous se faire enculer et qu’ils fassent faillite ensuite! »

      Même pas une copie chinoise de mauvais alloy ?

  48. La courbure du sabre offert par Lou est relativement « classique »

    How much curve should a katana have?
    Usually the katana (Uchigatana) curve is about 1.5 cm (0.59 inches) deep, longer swords like Tachi can be as deep as 3 cm (1.18 inches) or more. There is no such thing as « Standard size » for sori, as we all know many katanas were custom made to fit the wielder’s need. Generally speaking, a katana with deeper curve provides more advantages in horseback combat, allowing for quicker withdrawal of the blade after a strike. On the other hand, the shallower curvature facilitates infantry battles. That’s why Tachi is usually more curved than Uchigatana.

    How does Katana gets the curve?
    Unlike most people will imagine, the katana wasn’t forged, hammered or cut into a curved shape. The curve was happened during a special quenching process called « Clay tempered ». This involves heating the sword, then cooling it quickly, starting from the tip, which shapes the curve. Different thicknesses of clay are applied to different parts of the blade during this process, making the edge harder and the spine tougher. This method not only gives the katana its distinctive curve but also enhances its cutting ability and creates beautiful patterns (Hamon) on the blade.

    https://romanceofmen.com/blogs/katana-info/katana-sori-the-distinctive-curve-that-makes-samurai-sword-unique?srsltid=AfmBOopZk4qlwJo-gDWpSWAfXofW5_AGq7x-fiRJaBJZlDA4EL6OV0Bs

    Site commercial,mais assez riche en informaton;je ne sais qui a rédigé le texte,l’anglais étant parfois un peu douteux…

    Sur l’utlité de la courbure,il y a des choses …pas absolument limpides, mais quii ont le mérite d’être là.

  49. « un officier de l’armée nippone ».

    Cavalier ou fantassin ? Plutôt fantassin,dirais-je car un cavalier eût souhaité une courbure plus marquée.

  50. Jean-Paul Brighelli 13 octobre 2024 At 18h15
    Comme dit Merteuil : « Je suis mon ouvrage. »

    Hum…
    Votre fantasme, c’est de vous être donné naissance à vous-même.
    (On se souvient du récit que vous aviez donné de votre venue au monde-comme si vous y étiez. A la différence de Chuck Norris,cité par cyrano, vous n’aviez pas de couteau pour faire une césarienne.)

    • Questions pour IAL ; quel profil de lame pour une incision placentaire ?
      Faut-il prévoir une deuxième lame pour sortir sans faire l’alien ?

      • Question intéressante…mais ne nous dispersons pas;restons pour le moment sur le katana.

        (D’ailleurs avec un katana on peut faire d’une pierre deux coups:éventrer la mère et tuer le foetus. Utile et économique quand on envahissait son voisin
        et qu’on ne diposait pas encore du napalm.)

  51. Dugong 14 octobre 2024 At 7h16
    Même pas foutu de couper le sexe d’un ange sans faire de la chair à chipolata !
    ——————————————————————————————————-
    Et avec ce schéma,vous comprenez la question ?

    https://cdn.shopify.com/s/files/1/0070/6714/0160/files/How_to_measure_the_katana_curve_Sori_600x600.jpg?v=1706709859

    Vous le voyez le segemt en pointillé rouge ?

    D’ac qu’on peut mesuere sa longueur ?

    D’ac que si on appliquait le schéma au katana de Guillaume, la mesure serait d’1,6 cm ?

    Et maintenant, je considère la droite portée par le segment rouge. La lame est-elle symétrique par rapport à cette droite ?

    Ca m’en a tout l’air,mais ce n’est pas forcément le cas de tous les katanas.

    C’est des questions qui peuvent être répondues ? (à condition d’arrêter de pédaler dans la choucroute)

  52. Dugong 14 octobre 2024 At 7h14
    Encore faudrait-il montrer que la courbure est bien la cause du caractère meurtrier de l’arme …
    ——————————————————————————————————-
    Certainement pas LA cause, mais cette courbure contribue à rendre l’arme efficace et donc meurtrière.

    Tenir compte du fait que le katana sert principalement à trancher,pas à piquer.

    Ici,des éléments de réponse:

    https://romanceofmen.com/blogs/katana-info/katana-sori-the-distinctive-curve-that-makes-samurai-sword-unique?srsltid=AfmBOopZk4qlwJo-gDWpSWAfXofW5_AGq7x-fiRJaBJZlDA4EL6OV0Bs

    Site commercial,mais assez riche en informaton;je ne sais qui a rédigé le texte,l’anglais étant parfois un peu douteux…

    Sur l’utlité de la courbure,il y a des choses …pas absolument limpides, mais quii ont le mérite d’être là.

  53. Les forgerons japonais ne faisaient pas de calculs; ils sont parvenus aux courbes qui se sont imposées de manière empirique.

    D’autre part,il n’y avait pas martelage;c’est par la trempe qu’on obtenait la courbure.

    • « c’est par la trempe qu’on obtenait la courbure. »

      Distribuer des baffes, ça peut rendre l’échine plus souple…

  54. Dugong 14 octobre 2024 At 7h14

    Cékoi une « courbe parfaite » ?

    ——————————————————————————————————-
    Judith la tueuse-vendeuse se regarde dans la glace ,après son crime et déclare:seins absolumnt parfaits;

    Cékoi des seins absolument patfaits ?

    Réponse:quand on en voit on sait qu’ils sont parfaits.

    (« Demande à Brighelli;lui,il sait »)

    Dans le présent billet il y a une méditation sur la notion de perfection.

    C’est cette méditation qu’il faudrait reprendre.

    Pour plus de concentration,plantez des bégonias, et allez déféquer dessus.

    Vous tomberez, en relisant le billet, sur le mot « miracle ».

  55. Dugong 13 octobre 2024 At 20h11
    Question mal posée…

    Reply
    abcmaths 13 octobre 2024 At 20h42
    Très mal posée
    ——————————————————————————————————-

    Les deux piranhas, les deux ex-profs-tox sortent presque en même temps.

      • Enfin…est le terme correct,car j’en ai mis un temps à découvrir qui vous étiez.
        Remarque: le Maestro est bien plus retors,pervers et doué que vous,car il s’arrange pour me faire humilier (traiter d’imbécile et de bâtard) par un personnage de roman.
        Ca, c’est du grand art.

  56. Lormier 14 octobre 2024 At 10h06

    c’est par la trempe qu’on obtenait la courbure.
    ________________
    Hahaha !

    Restez dans la linguistique vous éviterez de vous ridiculiser. Tout au moins à mes yeux. Sur ce sujet auquel je ne connais rien et qui m’indiffère faute d’usage pratique, je laisse les experts trancher (avec un katana).

    Oui, une lame (un objet) est susceptible de subir une déformation lors de la trempe. Elle n’est en AUCUN cas prévisible.
    Tout au plus peut-on s’escrimer (hahaha !) à l’éviter par le choix de la température, de la nature du fluide de trempe (huile, eau, etc.), par la gestion du mouvement de l’objet dans le fluide (et donc de la rapidité des transferts thermiques), etc.

    Quand bien même, une lame déformée par la trempe présenterait une courbure perpendiculaire au plan médian de celle-ci, en aucun cas DANS ce plan pour des raisons structurelles évidentes à tout autre qu’un cuistre.

    Mais si la question métallurgique (cristallographique en fait) de la trempe vous passionne, je suis prête à en dire plus (moyennant finance, évidemment). C’est assez fascinant puisqu’à la bas des problématiques énergétiques fondamentales sont à l’origine du phénomène (transition de phase cristalline et instabilité). Tout n’est d’ailleurs pas entièrement compris, tant le phénomène, à la base, relève de processus partiellement théorisés.

    En complément, sachez qu’une trempe est, en général (hors coutellerie), suivie d’un revenu, au minimum d’une maturation. Et qu’il est par ailleurs possible de procéder à des trempes partielles ou superficielles (cémentation).

    Vous trouverez les tarifs de mes cours sur le web. Cependant, je choisis mes clients.

  57. A l’attention de Lormier: non seulement Chuck Norris est né par césarienne (il avait un couteau à la naissance), mais de plus il n’a pas de père, car personne ne nique la mère de Chuck Norris.

    • Chuck Norris connaît déjà ça : quand il écarte les bras, il est sensible à toutes les formes d’ondes, notamment gravitationnelles…

    • (Le sieur en question vantait dans un article précédent, les activités d’un symposium nouvellement constitué censé traquer le manque d’intégrité des publications scientifiques, parmi lesquelles figurent celles de Raoult en cible principale et prioritaire)

      Mon sieur à moi sait aussi de quoi il parle et nous savons aussi d’où il parle. Tiendez, puisque vous nous faites la grâce de partager des écritures estampillées Ministère de la Vérité, soyez en remercié en recevant en échange ce modeste cadeau :
      https://www.youtube.com/watch?v=sPl1JyIp1R8&t=15s

      Bien à vous

  58. Le Figaro:
     » Paris : Anne Hidalgo débaptise l’avenue Bugeaud pour la renommer Hubert-Germain
    Par Le Figaro avec AFP
    mis à jour à 15h41
    Il s’agit du cinquième lieu débaptisé depuis 2001 dans la capitale. Le dernier compagnon de la libération prend la place d’une figure de la colonisation de l’Algérie au XIXème siècle.
    Ce lundi, la maire de Paris Anne Hidalgo inaugure une avenue Hubert-Germain, dernier Compagnon de la Libération, dont le nom remplacera dans le XVIe arrondissement celui du maréchal Bugeaud, figure de la colonisation de l’Algérie par la France au XIXe siècle. Hubert Germain, né dans le XVIe arrondissement, s’était engagé dans les Forces françaises libres dès juin 1940 et a participé au débarquement de Provence en 1944.
    (…)
    La maire PS avait annoncé son intention de débaptiser l’avenue Bugeaud en novembre 2023, en raison du «rôle éminemment néfaste» joué par le maréchal. En Algérie, dans les années 1830-1840, il s’était «rendu coupable de ce qui serait aujourd’hui qualifié de crimes de guerre». Il a aussi commis des «exactions» en France, «en particulier lors de la répression de l’insurrection république de 1834», soulignait la mairie pour justifier son choix. »
    Etc
    L’insurrection république? Style Hidalgo ou AFP? Il s’agit du fameux massacre de la rue Transnonain ( dans le cadre de la répression d’une émeute républicaine, tous les habitants d’un immeuble avaient été massacrés sans raison par la soldatesque de Bugeaud).

    • C’est un commencement. Il faudra débugeauder le nord de la Dordogne et le limousin (sa terre natale) qui restent largement imprégnés du souvenir du sabreur.

    • Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! sombres rues !
      Je ne foule jamais votre morne pavé
      Sans frissonner devant les affres apparues.

      Toujours ton mur en vain recrépit et lavé,
      Ô maison Transnonain, coin maudit, angle infâme,
      Saignera, monstrueux, dans mon coeur soulevé.

      Quelques-uns d’entre ceux de Juillet, que le blâme
      De leurs frères repus ne décourage point,
      Trouvent bon de montrer la candeur de leur âme.

      Alors dupes ? – Eh bien ! ils l’étaient à ce point
      De mourir pour leur oeuvre incomplète et trahie.
      Ils moururent contents, le drapeau rouge au poing.

      Mort grotesque d’ailleurs, car la tourbe ébahie
      Et pâle des bourgeois, leurs vainqueurs étonnés,
      Ne comprit rien du tout à leur cause haïe.

      C’était des jeunes gens francs qui riaient au nez
      De tout intrigant comme au nez de tout despote,
      Et de tout compromis désillusionnés.

      Ils ne redoutaient pas pour la France la botte
      Et l’éperon d’un Czar absolu, beaucoup plus
      Que la molette d’un monarque en redingote.

      Ils voulaient le devoir et le droit absolus,
      Ils voulaient « la cavale indomptée et rebelle »,
      Le soleil sans couchant, l’Océan sans reflux.

      La République, ils la voulaient terrible et belle,
      Rouge et non tricolore, et devenaient très froids
      Quant à la liberté constitutionnelle…

      Aussi, d’entre ceux de juillet, que le blâme
      Ils étaient peu nombreux, tout au plus deux ou trois
      Centaines d’écoliers, ayant maîtresse et mère,

      Ils savaient qu’ils allaient mourir pour leur chimère,
      Et n’avaient pas l’espoir de vaincre, c’est pourquoi
      Un orgueil douloureux crispait leur lèvre amère ;

      Et c’est pourquoi leurs yeux réverbéraient la foi
      Calme ironiquement des martyres stériles,
      Quand ils tombèrent sous les balles et la loi.

      Et tous, comme à Pharsale et comme aux Thermopyles,
      Vendirent cher leur vie et tinrent en échec
      Par deux fois les courroux des généraux habiles.

      Aussi, quand sous le nombre ils fléchirent, avec
      Quelle rage les bons bourgeois de la milice
      Tuèrent les blessés indomptés à l’oeil sec !

      Et dans le sang sacré des morts où le pied glisse,
      Barbotèrent, sauveurs tardifs et nasillards
      Du nouveau Capitole et du Roi, leur complice.

      — Jeunes morts, qui seriez aujourd’hui des vieillards,
      Nous envions, hélas ! nous vos fils, nous la France,
      Jusqu’au deuil qui suivit vos humbles corbillards.

      Votre mort, en dépit des serments d’allégeance,
      Fut-elle pas pleurée, admirée et plus tard
      Vengée, et vos vengeurs sont-ils pas sans vengeance ?

      Ils gisent, vos vengeurs, à Montmartre, à Clamart,
      Ou sont devenus fous au soleil de Cayenne,
      Ou vivent affamés et pauvres, à l’écart.

      Oh ! oui, nous envions la fin stoïcienne
      De ces calmes héros, et surtout jalousons
      Leurs yeux clos, à propos, en une époque ancienne.

      Car leurs yeux contemplant de lointains horizons
      Se fermèrent parmi des visions sublimes,
      Vierges de lâcheté comme de trahison,

      Et ne virent jamais, jamais, ce que nous vîmes.

      Paul Verlaine.

  59. Dugong 15 octobre 2024 At 7h48
    Melon Musk maîtrise la trempe des lames géantes :

    i) Il serait plus exact de dire:les ingénieurs et les techniciens travaillant pour Musk maîtrisent …
    ii) Dugong est trop modeste:le système qui permet la récupération du booster (qui est monté à 70km de distance de la tour de lancement) fonctionne comme un lance-grille-pain inversé; c’est bien l’invention de Dugong qui,fondamentalement, a permis cette prouesse.

    https://www.youtube.com/watch?v=5zd7pXoYXZg

  60. Dugong 14 octobre 2024 At 11h27
    « ex-prof-tox » Enfin reconnu à sa juste valeur !
    ———————————————————————————————————-

    Il en est fier,en plus.

  61. ECHO 15 octobre 2024 At 9h17
    Le Figaro:
    » Paris : Anne Hidalgo débaptise l’avenue Bugeaud pour la renommer Hubert-Germain
    ——————————————————————————————————
    Renommer les rues,est-ce ajouter au bonheur du monde ?
    En 2002,la rue Richepance (esclavagiste) a changé de nom,elle est devenue rue du Chevalier de Saint George (anti-esclavagiste).

    L’hôtel Richepanse garde son nom mais change d’adresse;il est plus difficile à trouver pour les clients.

    https://richepanse.com/chambres/

  62. A deux pas de la rue du Chevalier de Saint George,Toraya. Quand je monte à la capitale,j’y passe parfois;lieu exquis:on vous rend la monnaie sur un plateau. L’accent japonais des officiantes parlant français est délicieux.(La pâtisserie japonaise,c’est comme les katakans,on adlmire sans comprendre,et les explications qui vous sont données vous embrouillent encore plus…vous passez de l’état de vigilance au rêve sensuel.)

    Toraya Paris
    Toraya, l’une des plus anciennes pâtisseries du Japon, a ouvert sa boutique parisienne en 1980 dans le but de promouvoir la tradition des wagashi en France.
    Notre boutique-salon de thé propose un large choix de pâtisseries japonaises traditionnelles en harmonie avec les saisons, et des gâteaux spécialement créés pour Toraya Paris.
    La boutique a réouvert ses portes après une rénovation basée sur le concept « Savoir-Faire Artisanal » qui partage sa philosophie avec la confection de la pâtisserie japonaise. À travers la couleur ivoire du plâtre et le ton clair du bois, la décoration intérieure met en valeur la technique artisanale. Les tables, appelées « YOKAN TABLE », sont faites en chêne français peint de la même couleur que l’azuki rouge et revêtues de résine rappelant le brillant naturel de l’agar-agar. Nous avons ainsi créé un espace japonais avec des matériaux français. Les contours arrondis des murs et du plafond, sans angle aigu, représentent le « cœur de l’harmonie » japonais, doux et respectueux.
    La boutique a été conçue par Mr. Tsuyoshi TANE de Atelier Tsuyoshi Tane Architects.

    https://paris.toraya-group.co.jp/

  63. « Renommer les rues, est-ce ajouter au bonheur du monde ? »

    Non mais lorsqu’il s’agit de massacreurs notoires, c’est le moins qu’on puisse faire

  64. L’Opinion :
     » Dans la capitale, les changements de noms de rues sont exceptionnels – cinq depuis 2001 – et motivés par le fait que « le maintien de la dénomination en cause heurte nos valeurs communes », selon le Conseil de Paris. Ainsi le collège Vincent d’Indy avait été débaptisé à cause de l’antisémitisme du musicien, de même que la rue Alexis Carrel, à cause des thèses eugénistes du biologiste. Le jardin Abbé Pierre, dans 13e arrondissement, sera bientôt débaptisé, à la suite des révélations sur les agressions sexuelles de l’ecclésiastique. »

  65. « Ainsi le collège Vincent d’Indy avait été débaptisé à cause de l’antisémitisme du musicien ».
    Attention, il y a les bons antisémites et les mauvais antisémites…
    Ainsi le collège Nassan Nasrallah ou autres du même genre , serait sans doute trouvé acceptable par certains membres de la majorité municipale.

  66. Marcel Paul, ancien déporté, député et ministre communiste.
    Extrait de Wikipedia :

     » Deux ans après sa mort, une polémique autour de sa mémoire est provoquée par quelques lignes publiées par Laurent Wetzel, conseiller municipal CDS de Sartrouville et agrégé d’histoire, dans un article du Courrier des Yvelines. L’auteur y explique pourquoi il refuse de s’associer à l’inauguration d’une rue Marcel-Paul dans sa municipalité. Il écrit : « Déporté à Buchenwald, Marcel Paul entra à la direction interne du camp. Il disposa alors du sort — c’est-à-dire de la vie et de la mort — de nombreux camarades. Dans ses fonctions, il tint compte essentiellement de l’intérêt de son parti. »
    Les deux associations que Marcel Paul présida, l’Association Dora-Buchenwald et la FNDIRP, portent plainte pour diffamation. Le procès, devant le tribunal de Versailles, voit défiler de nombreux anciens déportés. Le 17 janvier 1985, Laurent Wetzel est relaxé, la cour refusant de statuer sur la vérité historique.

    L’ancien résistant Pierre-Henri Teitgen dénonce en janvier 1985 l’attitude pour le moins ambiguë de Marcel Paul à Buchenwald dans un article de Ouest France intitulé « L’engrenage ».
    Un autre ancien français déporté pour des faits de résistance, Pierre Nivromont, témoigne contre Marcel Paul en 1986 : « A Buchenwald, les communistes faisaient la loi. Tous les bons postes étaient pour eux. Quand un convoi arrivait, les communistes étaient tout de suite sortis des rangs pour être mis dans les bonnes planques (…) Marcel Paul a dit à mon père « t’es pas de chez nous, tu peux crever et ton fils avec !  »

    Il existe une place Marcel Paul à Paris 14 ème.

  67. Lormier 15 octobre 2024 At 9h35
    Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! sombres rues !
    (…)
    Ils moururent contents, le drapeau rouge au poing.

    (…)
    Ils voulaient le devoir et le droit absolus,
    (…)
    La République, ils la voulaient terrible et belle,
    Rouge et non tricolore, et devenaient très froids
    Quant à la liberté constitutionnelle…

    Ce poème de Verlaine (Des morts) parut en 1864. Verlaine s’affirme alors républicain de gauche, rouge.
    Il a eu des fidélités politiques (et religieuses) changeantes.
    En 1879, il célèbre le prince impérial, fils de Napoléon III, mort de façon plutôt incongrue sous l’uniforme britannique en combattant les Zoulous :

    Prince mort en soldat à cause de la France*
    * [« à cause de la France », qui a obligé la famille impériale à l’exil et donc est cause indirectement, de la mort du prince]

    Prince mort en soldat à cause de la France,
    Âme certes élue,
    Fier jeune homme si pur tombé plein d’espérance,
    Je t’aime et te salue !

    Ce monde est si mauvais, notre pauvre patrie
    Va sous tant de ténèbres,
    Vaisseau désemparé dont l’équipage crie
    Avec des voix funèbres,

    Ce siècle est un tel ciel tragique où les naufrages
    Semblent écrits d’avance…
    Ma jeunesse, élevée aux doctrines sauvages,
    Détesta ton enfance,

    Et plus tard, cœur pirate épris des seules côtes
    Où la révolte naisse,
    Mon âge d’homme, noir d’orages et de fautes,
    Abhorrait ta jeunesse.

    Maintenant j’aime Dieu dont l’amour et la foudre
    M’ont fait une âme neuve,
    Et maintenant que mon orgueil réduit en poudre,
    Humble, accepte l’épreuve.

    J’admire ton destin, j’adore, tout en larmes
    Pour les pleurs de ta mère,
    Dieu qui te fit mourir, beau prince, sous les armes,
    Comme un héros d’Homère.

    Et je dis, réservant d’ailleurs mon vœu suprême
    Au lys de Louis Seize :
    Napoléon qui fus digne du diadème,
    Gloire à ta mort française !

    Et priez bien pour nous, pour cette France ancienne,
    Aujourd’hui vraiment « Sire »,
    Dieu qui vous couronna, sur la terre païenne,
    Bon chrétien, du martyre !

    • Nina est un personnage;je suis tenté de la considérer comme une héroïne,car elle défend une certaine idée de la femme,elle défend sa liberté,elle vous un culte au plaisir et par là se libère des chaînes avec lesquelles des professeurs toxiques veulent l’entraver.

  68. Ayant jeté un coup d’oeil sur le roman d’abcmaths,je constate avec stupeur et un profond découargement qu’une lamentable faute de conjugaison, pourtant soulignée par Lormier à l’époque, n’a pas été corrigée.

    “Et une jeune fille de quinze ans ne dis pas  » Je te veux « 

  69. L’invraisemblable ligne — parce que la beauté est dans les lignes, et pas ailleurs.
    Lou, par exemple, était belle …
    ——————————————————————————————————-

    La beauté du sabre est indissociable de celle de Lou. Ce cadeau de Lou scelle et symbolise leur amour.

    Met-il ce katana entre eux,dans le lit?

    S’il lui prend l’envie de l’enculer, le katana le dissuade-t-il ?

  70. Elle avait dû faire des économies pendant des mois, sûrement !

    N’était l’adverbe « sûrement »,on pourrait hésiter sur l’interprétaion de « avait dû ».

    (Et c’est drôle,parce qu’un changement de modalité change aussi le statut de la phrase,du point de vue narratologique. Me manque le technolecte pour en parler.)

  71. Mais ça, c’était ornemental.

    Vieille distinction art/ornement. ( Pour GlennGould, la musique de Schubert est « ornementale »; rien de plus faux dit Richetre en russe et en haussant les épaules car il connaissait les deux langues.)

    Me vient une question: un entrelacs très réussi de motifs purement ornementaux,ne peut-il être une oeuvre d’art ? L’expression »art de l’ornement » est-elle une contradiction dans les termes ?

    Escher ?

    Plafonds à Grenade ?

    • Jdd:
      Indre-et-Loire : des élèves scandent «Allah Akbar» lors des hommages à Dominique Bernard et à Samuel Paty
      Des hommages à Dominique Bernard et à Samuel Paty ont été rendus dans les établissements scolaires de France lundi 14 octobre. D’après le directeur académique d’Indre-et-Loire, plusieurs incidents ont eu lieu dans le département.

      Le Figaro
      78 incidents ont été relevés à travers la France lors de la minute de silence en hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard, indique le ministère de l’Éducation nationale ce mardi 15 octobre. Un chiffre à prendre «avec précaution», car «les remontées académiques ne sont pas encore stabilisées», précise la Rue de Grenelle. L’an dernier, au lendemain de l’hommage rendu à Samuel Paty, 230 incidents avaient été signalés, mais le nombre de faits recensés s’était finalement élevé à 618. Ce chiffre de 78 incidents devrait donc encore augmenter ces prochains jours.

    • « Former des électromécaniciens par exemple, avertis sur la transformation écologique, c’est utile sur une station d’épuration, ou une usine d’incinération… »

      Les électro-mécaniciens formés dans les lycées professionnels publics n’ont pas cette compétence « utile ».

      Quand il était ministre (il l’est resté 5 ans) T^te de Noeud n’a rien fait pour améliorer ce type d’enseignement.

      La situation s’est encore aggravée pendant ces cinq ans.

      Le complotiste modéré vous dira, qu’en réalité, l’action de Tête de Noeud en tant que Ministre visait à couler l’enseignement public (général et professionnel).

      Le compotiste radical vous dira que cela faisait partie de son plan:couler le public et favoriser l’implantation du privé.

  72. ECHO 16 octobre 2024 At 8h57
    Jdd:
    Un chiffre à prendre «avec précaution», car «les remontées académiques ne sont pas encore stabilisées»
    ——————————————————————————————————-

    Non, ce chiffre n’est pas à « prendre avec précaution ».

    Il ne veut absolument rien dire;c’est un « chiffre  » fabriqué par le ministère.

    Exactement comme pour les morts du covid. A l’arrivée du covid,on constate,dans les statistiques officielles, une chute brutale des décès ayant pour cause cancer et infarctus (les deux principales causes de décès depuis des années).

    Cela s’explique simplement par le fait qu’un grand nombre de morts du cancer ou de crise cardiaque ont été classés morts du covid,parce que leur test PCR était positif.

    C’est le gouvernement qui,pour les besoins de sa propagande, décide ,dans « comorbidité » ce qui est co et ce qui est morbidité.

  73. Courbure du katana,suite:

    Sur quoi le forgeron peut-il jouer pour obtenir la courbe souhaitée ? Certainement sur le profil de la lame,car le fil de la lame ne réagit pas,à la trempe comme la partie épaisse; certainement aussi sur la répartition des divers types d’acier. Durée de la trempe ? Et encore ?
    Et peut-il d’un sabre à l’autre obtenir la même courbure ?
    Il existe sûrement des traités sur la fabrication des sabres,en langue japonaise, où trouver des réponses à ces questions.

    Guillaume ne peut les lire;il n’y a pas accès;et d’ailleurs,voudrait-il savoir ?

    Petite vidéo,très pédago et sympa:

    https://www.youtube.com/watch?v=dpHT6YPBFgI

      • Je ne sais pas si les spécialistes japonais eux-mêmes comprennent tout ce qui se passe au cours de la fabrication;parce que là on est au niveau atomique.
        D’autre part ,on peut très bien rater,provoquer des fissures dans la lame…

        Et comment ils ont pu élaborer leur technique,sans connaissance scientifique est un mystère.

        • « Je ne sais pas si les spécialistes japonais eux-mêmes comprennent tout ce qui se passe au cours de la fabrication;parce que là on est au niveau atomique. »

          Ca c’est du lourd. Le « niveau atomique » serait une sorte de brouillard qui empêcherait de voir les lignes (?). Marteler peut-il être un acte quantique (avec un hamiltonien en bon uniforme et tout le toutim ?

          J’en connais des qui aimeraient bien quelques éclaircissements.

  74. « Le tsuba, cette rondelle insérée qui sert de garde et que les amateurs collectionnent depuis toujours… »

    Comment ces collections se constituen-elles ? Trouve-t-on des « tsubas » séparées des sabres ?

    Sont elles retirées de vieux sabres endommagées ?

    En tout cas en Europe,s’il y a des collectionneurs d’épees,il n’y a pas de collectionneurs de pommeaux.

  75. Depuis ses soixante ans,Guillaume sait reconnaître le beau,et le beau parfait.

    Pour lui ce katana est d’une beauté parfaite.

    Est-ce parce qu’il n’y comprend rien ?ts.

    Un Japonais,spécialiste du katana,y trouverait peut-être quelques défauts.

  76. Une mesure simple pour faire baisser la menace islamiste dans les établissements scolaires:

    abroger la disposition qui autorise un parent d’élève à se faire accompagner chez le chef d’établissement par un imam,un pseudo-imam (ou n’importe qui d’autre.)

    L’affaire Paty a commencé comme ça:le père menteur s’est fait accompagner chez le princpal par un pseudo-imam, bien connu des services de police et protégé de Blanquer,Monsieur
    Abdelhakim Sefrioui.

    C’est ce faux imam et vrai agitateur professionnel qui a organisé sur Internet une cabale contre Samuel Paty.

    Au tribunal, où Sefrioui doit s’expliquer,ses avocats (bien financés) présentent la défense suivante:rien ne prouve que l’assassin avait vu les films diffusés par Sefrioui.

    • Avec des avocats financés par les pétrodollars des théocraties et des magistrats très politisés, le mec ne risque pas autre chose qu’une peine symbolique.

  77. La fabrique des martyrs.

    En célébrant le professeur qui,à Tourcoing, a demandé à l’élève voilée de retirer son voile, la Ministre la désigne à la vindicte musulmane;

    Elle a dû estimer que cette personne ferait une bonne recrue pour le martyrat.

    La célébration des martyrs de la République,rituel qui commence à être bien maïtrisé, coûte peu et rapporte gros.

    • Martyrs de la République d’autrefois : Marat, Chalier , Bara, Viala et quelques autres.

      Le Chant du départ:
      De Bara, de Viala le sort nous fait envie ;
      Ils sont morts, mais ils ont vaincu :
      Le lâche accablé d’ ans n’a point connu la vie ;
      Qui meurt pour le peuple a vécu.

      Déjà beaucoup de trucages. Bara meurt tué par des Vendéens en criant : Vive la république !
      Mais quels témoins alors qu’il était seul en face des ennemis ? Les Vendéens eux mêmes? Pure invention probablement.

    • Er la ligne du parti ? a-t-elle une épaisseur ? Peut-on améliorer une « ligne épaisse » avec un katana ? Plus précisément, un katana tend-il vers la perfection en tranchant ?

      TDPQQRSR

    • Depuis que mon chien et moi avons failli nous faire écraser par une trottinette électrique roulant en sens inverse au trafic mais en toute légalité (une invention des écolos marseillais) et qui brûlait un feu (ce qui est aussi légal ici, merci monsieur le maire), je ne me prononcerai pas sur qui est le plus gros con, de l’automobiliste ou du cycliste.

  78. Dugong 17 octobre 2024 At 7h31

    J’en connais des qui aimeraient bien quelques éclaircissements.
    ——————————————————————————————————
    Moi aussi,j’aimerais des éclaircissements;regardez la vidéo et dites nous en davantage: kècequi font les atomes de carbone ? Et cette analogie avec les vêtements bien ou mal pliés,qu’en pensez-vous ?

    Quels instruments vous seraient nécessaires pour bien comprendre ce qui se passe au niveau atomique ? C’est « niveau atomique » qui vous fait rigoler ?

    Allez y,le Nobel est en jeu.

    https://www.youtube.com/watch?v=dpHT6YPBFgI

    Pour mémoire:pour définir la courbe du sabre ,vous avez claironné qu’il suffisait d’un coup de Bézier. Alors,où en êtes-vous Tartarin-piranha-prof-tox-polpotiste ?

    PS Je comprends très bien que vous n’ayez aucune envie de bosser et préfériez dire des inepties. Ca ne me dérange absolument pas.

    • Aucune tartarinade. Je n’ai aucune info sur un éventuel suivi des atomes de carbone dans les aciers katanoïques…
      Envoyez moi votre surin et je vous le bézifie dans l’heure…

  79. Dugong 17 octobre 2024 At 7h14
    Er la ligne du parti ? a-t-elle une épaisseur ? Peut-on améliorer une « ligne épaisse » avec un katana ? Plus précisément, un katana tend-il vers la perfection en tranchant ?

    TDPQQRSR

    Très drôle.

  80. cyrano58 17 octobre 2024 At 13h00
    Avec des avocats financés par les pétrodollars des théocraties et des magistrats très politisés, le mec ne risque pas autre chose qu’une peine symbolique.

    Oui,je pense qu’il est très bien défendu.

    Mais, de toute façon, si Anzorov n’a jamais vu les vidéos du protégé de Blanquer, je ne vois pas comment on pourrait considérer ce dernier de complicité.

    Le protége de Blanquer,ça fait des années et des années qu’il sévit;il est dans tous les fichiers de la police.

    On ne peut pas l’expulser,car il est français,ayant épousé une Française.

    Peut-être pourrait-on le condamnre pour « apologie du terrorisme » ou quelque chose du genre…mais je n’en suis pas du tout sûr; Le mec est très rusé ;en plus Blanquer (prof de droit) le conseille certainement sur ce qu’il peut dire ou ne pas dire.

  81. comment on pourrait considérer ce dernier de complicité.

    comment on pourrait condamner ce dernier pour complicité.

  82. Bragg wasn’t a braggart.

    Les Bragg (Nobel 1915 pour Use of X-rays to determine crystal structures /Utilisation des rayons X pour déterminer des structures de cristaux) n’étaient pas des profs toxiques ni des polpotiste piranhaïques .

    Dans le petit film ci-dessous on peut voir l’aîné expliquer pour le grand public la nature et les résultats de ses travaux.

    Oui ce grand physicien ne se gaussait pas de son public et oui, il a mis en évidence des structures « au niveau atomique »,comme il est expliqué dans la vidéo.

    Et l’expression « niveau atomique » n’a rien de ridicule.

    Et oui, les recherches des Bragg sont un point de départ.

    Et oui aujourd’hui des physiciens sérieux qui s’y intéresseraient pourraient nous expliquer ce qui se passe lors de la fabrication d’un sabre japonais.

    Je suis d’ailleurs certain qu’il y en a eu.

    ( En 2014,année de la cristallographie, ce petit film a beaucoup intéressé un couple de physiciens de mes amis suffisamment bons en anglais pour le comprendre .)

    https://www.youtube.com/watch?v=z-ZnLtFgGwY

  83. Jean-Paul Brighelli 17 octobre 2024 At 14h08
    je ne me prononcerai pas sur qui est le plus gros con, de l’automobiliste ou du cycliste.

    Question oiseuse.

    Ecraser volontairement un cycliste ce n’est pas de l’ordre de la connerie.

  84. « Et l’expression « niveau atomique » n’a rien de ridicule. » Ai-je jamais dit ça ?

    Je dis quand même que si la descente vers le niveau atomique dans la matière a permis à la physique statistique de beaux succès, le réductionnisme atomique mène souvent à des complications inextricables.

    • Qui a dit:

      « Ca c’est du lourd. Le « niveau atomique » serait une sorte de brouillard qui empêcherait de voir les lignes (?). Marteler peut-il être un acte quantique (avec un hamiltonien en bon uniforme et tout le toutim ? »

      Réponse,c’est Dugong se gaussant de Lormier et feignant d’interpréter les pensées dudit.
      Mais Lormier n’a rien dit qui puisse justifier semblable extrapolation.

      C’est juste que le piranha toxique est sorti de sa tanière pour venir casser du sucre sur le dos de Lormier.

  85. Dugong 17 octobre 2024 At 15h29
    On ne bézifie pas comme ça. Faut faire des offrandes rituelles aux dieux concernés

    Je veux bien payer cher pour qu’on me change un robinet,à codition qu’on me mette du Grohé et que le travail soit proprement fait.

  86. Bragg wasn’t a braggart.

    Pas besoin de faire des offrandes pour avoir une explication;Lormier aime son prochain et ne lui demande rien.

  87. « Je dis quand même que si la descente vers le niveau atomique dans la matière a permis à la physique statistique de beaux succès, le réductionnisme atomique mène souvent à des complications inextricables. »

    Encore une perversion linguistique lourdingue de Dudu la science sortie de la moisissure noble de ses vieux polys de physique que rien qu’à la prononcer elle te laisse l’encre de tes stabilos sur les doigts. Tu dis ça au café du commerce de Lunéville, tu passes pour un individu prophète de malheur.
    Faut dire que le populo croit encore aux mots..hurkhurkhurk !

  88. Panier-Runachier nous soupèse :

     » Six cents millimètres, c’est plus de soixante centimètres d’eau qui sont tombés en quarante-huit heures. C’est absolument massif. »

    Et au kilogramme, ça fait combien ?

  89. Dugong 18 octobre 2024 At 13h26
    IAL c’est le Padre Pio de BdA
    ——————————————————————————————————-
    J’aime mieux ça.D’ailleurs,nous sommes à peu près de la même génération.

    On peut aimer son prochain sans être religieux,ni même chrétien.

  90. la beauté est dans les lignes, et pas ailleurs.
    Lou, par exemple, était belle comme un paysage toscan…

    Ou bien plutôt:
    Lou était belle comme un sabre japonais
    Un paysage toscan était beau comme Lou.

    A moins qu’on ne considère le paysage toscan comme le fruit du travail de l’homme-ce qui ne serait pas trop hardi.

    Le paysage toscan n’est pas né du hasard. Quand la nature produit quelque chose,elle le fait toujours au hasard…et il arrive que par hasard elle fasse quelque chose de beau.

    « … la nature peut vous produire des milliers de couchers de soleil lamentables, des millions d’arbres sans intérêt. Elle travaille au hasard. »

    • Le hasard, c’est pour les paresseux de la cabèche :

      « Toute espèce (E) est variable, à partir d’un état initial à une date donnée, l’espèce peut connaître toute une foule d’évolutions virtuelles s(t) au cours du temps. Sur cet ensemble
      (s) d’évolutions virtuelles à partir de l’état initial E0, la « pression de sélection » P va déterminer l’évolution effectivement suivie pour un environnement e(t) lui-même éventuellement variable. Il s’agira donc de maximiser le nombre P(t, e(t)) de représentants de l’espèce à l’instant final t1 de l’intervalle de temps considéré. Ainsi défini, l’apport théorique du darwinisme n’est pas tautologique : il consiste à dire que l’évolution effectivement subie par une population d’individus est déterminée par un principe variationnel à l’intérieur d’un ensemble (S) d’évolutions possibles. C’est là une affirmation qui, dans un cadre mathématique de type Équations Différentielles, peut parfois
      être effectivement testée, qualitativement ou quantitativement…
      L’appel à cet ensemble (S) d’évolutions virtuelles – entité quasi-platonicienne pourra surprendre le biologiste, qui préférera parler, sans plus, de la variabilité de l’espèce. Une certaine dérive génétique, caractérisée par un certain taux de mutation (pour les allèles d’un même locus) suffira à son imagination. C’est dans l’introduction de cet espace fictif (S) d’évolutions virtuelles que réside à la fois la grande force, et l’extrême faiblesse de la
      théorie darwinienne. »

      Ca c’est sérieusement pondu ! Le hasard à la cuvette !

      • Le darwinisme s’applique-t-il aux paysages ? aux formes apparues en surface sur les sabres japonais ?
        ————————————————————————————–
        « la « pression de sélection » P  »

        par exemple celle qu’on introduit parmi des milliards de virus appartenant à l’espèce E en vaccinant des populations contaminées par ce virus – pression qui accélère l’apparition de variants ?

  91. Un dessin de dunes tout le long de la lame, ou une perspective de corps délicieusement allongés.

    Allez savoir…dunes ou corps allongés…

    Et ces formes naissent du processus de fabrication lui-même…Elles sont imprévislbles,même pour le Maître forgeron.

    Ce que nous appelons hasard, c’est ce qui advient sans que nous en ayons la maîtrise.

  92. Dugong 18 octobre 2024 At 15h40
    J’ai lu sur ouiki que le PP était sujet à la transverbération. Est-ce votre cas aussi ?
    ___________________________________________________________________
    Lormier n’est pas mystique;ce que Sainte Thérèse nous bnarre ici,il ne l’a jamais ressenti:

    «  »C’est alors qu’il plut au Seigneur de m’accorder parfois cette vision : je voyais près de moi un ange (…) dans ses mains un long dard en or dont la pointe de fer portait, je crois, un peu de feu. Parfois, il me semblait qu’il me l’enfonçait dans le cœur plusieurs fois et qu’il m’atteignait aux entrailles. Lorsqu’il le retirait, on eût dit qu’il me les arrachait, me laissant tout embrasée d’un grand amour de Dieu. La douleur était si vive, qu’elle me faisait pousser ces plaintes dont j’ai parlé, et la douceur qu’elle me procure est si extrême, qu’on ne saurait désirer qu’elle cesse et l’âme ne peut se contenter de rien moins que de Dieu. Ce n’est pas une douleur corporelle, mais spirituelle, bien que le corps ne manque pas d’y participer un peu, et même beaucoup. Ce sont de si doux échanges entre l’âme et Dieu, que je le supplie de bien vouloir les faire goûter, dans sa bonté, à quiconque penserait que je mens… »

  93. Patience !
    Un jour peut-être, Lormier dira :
    « J’aime ressentir l’abîme en toi !  »
    Oui…

  94. Transverberation:
    la religieuse d’origine probablement palestinienne Myriam Baouardy, morte en 1878 à Bethleem, fut aussi sujette au phénomène ( si on peut dire) de transverberation.
    Née dans une famille catholique de rite melkite, dans un village qui se trouve actuellement en Israël, puis apres la mort de ses parents, recueillie par un oncle qui vint s’installer a Alexandrie, elle avait connu des tribulations dans sa jeunesse :

     » A l’âge de 13 ans, son oncle veut la marier. Elle refuse car elle se sent appelée à consacrer sa vie à Dieu. Elle refuse car elle se sent appelée à consacrer sa vie à Dieu. Elle s’enfuit. Un musulman la recueille, mais comme elle refuse de renier sa foi catholique, cet homme lui tranche la gorge. Il la croit morte et la dépose dans une rue d’Alexandrie. Mariam se réveille dans une grotte où une sœur vêtue en bleu la soigne pendant plusieurs mois. Mariam racontera plus tard, à ses sœurs religieuses, avoir reconnu en cette femme la Vierge Marie. »

    Elle devient novice dans un ordre religieux à Marseille mais prononce ses vœux à Pau chez les Carmélites. Elle participe à la fondation d’un carmel à Bethleem et meurt prématurément d’une chute qui a causé une gangrène.

     » Le 6 décembre 2014, le pape François a reconnu un miracle obtenu par l’intercession de la bienheureuse Mariam Baouardy, ce qui permet sa canonisation. Elle a été canonisée le 17 mai 2015 en présence de Mahmoud Abbas, président de l’État de Palestine »

  95. Guillaume qui aimait se raconter des histoires

    On va pas s’raconter d’histoires

    On va pas s’mentir

    J’vais pas me cacher derière mon p’tit doigt

  96. « Ho pensato a lei: che lei possa essere un angelo della pace. »

    C’est ce que le Pape Frnçois a dit à Mahmoud Abbas en lui remettant un cadeau à Mahmoud Abbas,le 17 mai 2015,jour de la canonisation de Mariam Baouardy.

  97. UN MESSAGE DE L’ÉVÊQUE DE ROME
    QUATRE RELIGIEUSES DONT MARIAM BAOUARDY ONT ÉTÉ CÉLÉBRÉES
    CE 17 MAI À ROME.
    DANS SON HOMÉLIE, LE PAPE FRANÇOIS A SOULIGNÉ LA RADICALITÉ DE LEUR ENGAGEMENT À LA SUITE DU CHRIST GRÂCE À LA CONDUITE DE L’ESPRIT OU, DANS LE CAS DENOTRE PETITE SŒUR DE PALESTINE, PAR LE DIALOGUE AVEC L’ESPRIT

    « […] Nous aussi, aujourd’hui, nous fondons
    notre foi au Seigneur ressuscité sur le témoignage des Apôtres parvenu jusqu’à nous par
    la mission de l’Eglise. Notre foi est liée solidement à leur témoignage comme à une chaîne
    ininterrompue déployée au cours des siècles,
    non seulement par les successeurs des
    Apôtres, mais par des générations et générations de chrétiens. A l’imitation des Apôtres,
    en effet, tout disciple du Christ est appelé à
    devenir témoin de sa résurrection, surtout
    dans les milieux humains où l’oubli de Dieu
    est plus fort ainsi que le désarroi de l’homme.
    Pour que cela se réalise, il faut demeurer
    dans le Christ ressuscité et dans son amour
    […] C’est le secret des saints : demeurer dans
    le Christ, unis à lui comme les sarments à la
    vigne, pour porter beaucoup de fruit (cf. Jn
    15, 1-8). Et ce fruit n’est autre que l’amour. […]
    Un aspect essentiel du témoignage à rendre
    au Seigneur ressuscité est l’unité entre nous,
    ses disciples, à l’image de celle qui subsiste
    entre Lui et le Père. Et la prière de Jésus à
    la veille de sa passion résonne encore aujourd’hui dans l’Evangile : « Qu’ils soient un
    comme nous-mêmes » (Jn 17, 11). De cet
    amour éternel entre le Père et le Fils, qui se
    répand sur nous par l’Esprit Saint (cf. Rm 5, 5),
    notre mission et notre communion fraternelle
    prennent de la force ; de là jaillit toujours nouvelle la joie de suivre le Seigneur sur la voie
    de sa pauvreté, de sa virginité et de son obéissance ; et ce même amour appelle à cultiver la
    prière contemplative. Sœur Marie Baouardy
    l’a expérimentée de manière très élevée, qui
    humble et illettrée, a su donner des conseils et
    des explications théologiques avec une grande
    clarté, fruit du dialogue continuel avec le Saint
    Esprit. La docilité à l’Esprit Saint l’a rendue aussi
    instrument de rencontre et de communion avec
    le monde musulman. […] .
    Demeurer en Dieu et en son amour, pour annoncer avec les paroles et avec la vie la résurrection de Jésus, en témoignant l’unité entre
    nous et l’amour envers tous. C’est ce qu’ont fait
    les quatre saintes proclamées aujourd’hui. Leur
    exemple lumineux interpelle aussi notre vie chrétienne : comment suis-je témoin du Christ ressuscité ? C’est une question que nous devons nous
    poser. Comment est-ce que je demeure en lui,
    comment est-ce que je demeure en son amour ?
    Suis-je capable de « semer » en famille, dans le
    milieu de travail, dans ma communauté, la semence de cette unité qu’il nous a donnée, nous
    y faisant participer par la vie trinitaire.
    Retournant aujourd’hui à la maison, portons avec
    nous la joie de cette rencontre avec le Seigneur
    ressuscité ; cultivons dans le cœur l’engagement à demeurer dans l’amour de Dieu, restant
    unis à lui et entre nous, et suivant les traces de
    ces quatre femmes, modèles de sainteté, que
    l’Eglise nous invite à imiter. »

    http://www.betharram.net/fr/nouvelle-en-famille/nef-2015/nouvelles-en-famille-14-juin-2015/nef-14-juin-2015

  98. ECHO 18 octobre 2024 At 18h49

    Un musulman la recueille, mais comme elle refuse de renier sa foi catholique, cet homme lui tranche la gorge.
    ——————————————————————————————————-
    La docilité à l’Esprit Saint l’a rendue aussi instrument de rencontre et de communion avec
    le monde musulman.

    • Je suis en train de lire l’autobiographie de John French, Through the eyes of Magic. Je vous la recommande fortement si vous ne l’avez pas déjà lue, mais DVV n’en sort pas grandi. Même si le quart de ce que raconte French est vrai, le Captain était d’une violence ignoble avec ses musiciens et d’une improbité constante à ce qu’ils apportaient à la musique, même si French admet que c’est bien Vliet qui était le compositeur. Et la dimension anthropologique fantasmée par Zappa a plutôt l’air d’être dans ce livre que dans l’album Trout Mask Replica.

      • Sont quasiment tous morts aujourd’hui. Peuvent plus s’inscrire en faux (bien aiguisée). Savaient pas jouer (sauf peut être Zoot Horn Rollo)

        • En fait, le livre est pour moitié constitué d’interviews de tous ces gens (sauf Don) qui sont d’ailleurs presque tous encore vivants (sauf Don). Et ils sont unanimes par rapport à la personnalité du Captain.

  99. ECHO 18 octobre 2024 At 18h49

    Un musulman la recueille, mais comme elle refuse de renier sa foi catholique, cet homme lui tranche la gorge.
    ——————————————————————————————————-
    La docilité à l’Esprit Saint l’a rendue aussi instrument de rencontre et de communion avec
    le monde musulman.
    Lormier a omis de préciser que cette phrase est tirée de l’homélie prononcée par le Saint Père lors de la cérémonie de canonisation de la carmélite.

    http://www.betharram.net/fr/nouvelle-en-famille/nef-2015/nouvelles-en-famille-14-juin-2015/nef-14-juin-2015

  100. A l’époque de la religieuse et indépendamment de son histoire personnelle, la communion avec le monde musulman était probablement le dernier des soucis de l’ Église catholique (et vice versa). Le Saint Père, comme les hommes politiques actuels, refait l’histoire aux couleurs des normes et des valeurs du temps présent.

  101. Un musulman la recueille, mais comme elle refuse de renier sa foi catholique, cet homme lui tranche la gorge.
    ——————————————————————————————————-
    La religieuse « palestinienne »,nous enseigne le Saint Père, est devenue l’instrument de « la rencontre et de la communion entre le monde chrétien et le monde musulman ».

    Je ne sais avec quel instrument le représentant du monde musulman lui avait tranché la gorge . Un instrument tranchant,certainement,mais sans doute pas un sabre.

    Plutôt un couteau;et comme c’est avec ce couteau que tout a commencé,nous tiendrons ce couteau pour le symbole de la communion entre deux fois également respectables.

    (« Symbole »,du grec σ́υμϐολον, σ́υμ+ϐολον jeter+ensemble)

    Parallèlement le katana,dans le récit du Maestro symbolise (mieux qu’un joug) l’amour conjugal (et par conséquent béni) qui lie Guillaume à Lou.

    Le Maestro a-t-il écrit d’autres chapitres ?

    Saurons-nous si ce couple dormait séparé/réuni par le katana ?

    Lormier fait l’hypothèse que oui et que ce symbole d’amour préservait Guillaume de la

    tentaion démoniqaque de l’enkhulationnement.

  102. Dugong 19 octobre 2024 At 6h54
    Elle aurait pu le sucer…
    __________________________________________________________________________

    Peut-être,mais cela n’eût rien changé car le musulman eût exigé qu’elle abjurât AVANT la fellation.

  103. Le ski-hors piste a-t-il précédé le ski de piste ?

    Lors d’une conversation avec une skieuse, Lormier avait (non sans quelque légèreté-défaut dont ils s’est partiellement corrigé depuis) affirmé que oui,bien sûr, le ski hors-piste existait depuis bien plus longtemps que le ski de piste:les Scandinaves, les habitants des pays de neige,n’ont pas attendu les pistes de ski pour skier.

    A quoi la skieuse,logicienne implacable, avait répondu par dirimationnement: »Pour qu’il y ait hors-piste,il faut qu’il y ait piste. »

    En 1846, pouvait-il exister une religieuse « palestinienne » (née dans l’empire ottoman) ?

  104. Palestine ottomane, une approche :
     » Tout au long de ces quatre siècles de domination ottomane la Palestine partage le sort des autres régions d’Orient incorporées à l’Empire turc. Celui-ci est divisé en provinces qui servent de cadre à l’administration de l’empire. Ce découpage n’est pas resté inchangé au cours des quatre siècles. Il a subi des remaniements, mais à aucun moment la Palestine ne forme une entité administrative distincte. Elle est le plus souvent partagée entre deux provinces rivales selon un découpage qui reflète assez bien la géographie humaine du territoire.

    La plaine côtière, devenue peu à peu une région répulsive du fait de l’extension des marécages est rattachée administrativement au Sud-Liban au sein de la province de Saïda, tandis que la région centrale des collines de Galilée, Samarie et Judée qui concentre la majeure partie de la population, appartient à la province de Damas qu’on appelle le « Bilad al Sham » (ou grande Syrie).
    (…)
    L’armée égyptienne conquiert la Palestine et la Syrie en 1832. Cette domination égyptienne dure neuf ans, mais sous la pression des grandes puissances européennes, l’Egypte doit renoncer à ses ambitions territoriales (1841). La Palestine repasse alors sous l’autorité de l’Empire Ottoman qui se maintient jusqu’à la première guerre mondiale.
    (…)
    Au XIXe siècle, l’administration provinciale est réorganisée par une loi de 1864 qui divise l’Empire Ottoman en vingt sept vilayets eux-mêmes subdivisés en un certain nombre de sandjaks. Le territoire de la Palestine est réparti entre le vilayet de Beyrouth (avec les sandjaks d’Acre et de Naplouse) et la circonscription indépendante (mutessariflik) de Jérusalem directement rattachée au pouvoir central, tandis que les sandjaks de Transjordanie sont rattachés au vilayet de Damas.

    La Palestine n’est donc qu’une expression géographique maintenue surtout par les écrivains occidentaux et dont les contours ne sont pas déterminés.

    Ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècles que les circonstances politiques commencent à faire naître une entité palestinienne.  »

    Palestine, une terre deux peuples, chapitre la Palestine ottomane
    https://books.openedition.org/septentrion/48740?lang=fr#:~:text=En%201841%2C%20la%20Palestine%20repasse,en%20ordre%2C%20r%C3%A9organisation%20%C2%BB).

    • La canonisation de sœur Marie-Alphonsine Danil Ghattas, qui vécut de 1843 à 1927 et fonda la Congrégation des soeurs du Saint-Rosaire de Jérusalem, et de Mariam Baouardy (1846-1878), qui fonda un couvent de carmélites à Bethléem, n’est pas directement liée à la conclusion, mercredi entre le Vatican et l’Autorité palestinienne, d’un traité portant sur les activités de l’Église catholique dans les territoires palestiniens.
      Ce traité reconnaît pour la première fois formellement l’existence d’un État de Palestine.

      https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/721149/canonisation-pape-francois-religieuses-palestiniennes
      ——————————————————————————————————-
      En mai 2015,il s’est donc passé deux choses au Vatican,deux choses qui « ne sont pas liées »mais concomitantes:l’une est du domaine sprirituel,l’autre du temporel:canonisation , signature d’un traité.

      Je ne possède pas le technolecte nécessaire pour parler correctement des salamlecs et simagrées diplomatiques.

      Je crois comprendre que,si on ne peut pas dire que l’Etat du Vatican a reconnu l’Etat de Palestine,il a traité avec une « entité » dite « palestinienne » qui est dirigée par un chef.

      De ce fait, il peut accorder rétroactivement la « nationalité palestinienne » à une femme née dans l’empire ottoman.

    • L’article de Radio Canada a fait lobjet d’une plainte d’un lecteur (M.Proulx) ,plainte à la suite de laquelle l’article a été partiellement révisé.

      Les échanges d’arguments (qui ne sont pas des échanges d’arguties,même s’ils en ont l’air)
      manifestent l’épinosité du sujet.

      Il y a certes du pinaillage:la rédaction souligne que si l’article parle de « religieuses palestiniennes » il ne dit nulle part « de nationalité palestinienne ».

      Mais dans l’ensemble la discussion n’est pas biaisée.

      M.Proulx n’est pas complètement satisfait par la révision qui a été faite de l’article

       » La compréhension de M. Champoux n’est malheureusement pas celle de tout le monde. Le lecteur qui ne s’attarde qu’au titre et au premier paragraphe comprend que le pape a canonisé deux Palestiniennes en présence du « président palestinien » Mahmoud Abbas. M. Champoux appelle ça un « symbole ». Et quel symbole, oui. Ce lecteur conclura qu’il existait donc au XIXe siècle un État arabe indépendant nommé Palestine avec tous les attributs que l’on reconnaît aux États souverains aujourd’hui (institutions politiques propres, monnaie, langue, etc.) et que les Juifs ont volé leur pays à ce peuple. Cela donne de l’eau au moulin des contempteurs d’Israël et des « antisionistes ». Surtout quand, je cite l’article, on mentionne tout de suite après ce « symbole », le traité dans lequel le Vatican « reconnaît pour la première fois formellement l’existence d’un État de Palestine » sans oublier le bijou en guise de conclusion que sont les propos politiques de Mahmoud Abbas : « Dans un communiqué, le dirigeant palestinien a déclaré que ces canonisations « exprimaient notre détermination à construire une Palestine souveraine, indépendante et libre en s’appuyant sur les principes d’une égalité entre les citoyens. » Mahmoud Abbas a appelé les chrétiens de Palestine à ne pas émigrer, « mais à rester avec nous et à profiter des droits d’une citoyenneté pleine et égale, et à partager le poids des difficultés de la vie jusqu’à parvenir à la liberté, la souveraineté et la dignité humaine ». »

      https://cbc.radio-canada.ca/fr/ombudsman/revisions/2015-05-26

    • Non démentie sur le moment, la fuite selon laquelle le chef de l’Etat invitait Benjamin Netanyahu à ne pas oublier que son pays avait été créé « par une décision de l’ONU »
      ——————————————————————————————————

      1+1=2
      Ce qui a fuité ce n’est pas une mais deux phrases.

      1)Monsieur Netanyahu ne devrait pas oublier que son pays a été créé « par une décision de l’ONU »
      2) PAR CONSEQUENT (c’est Lormier qui souligne) il ne devrait pas s’affranchir des décisions de l’ONU.

      Les équipes de « démineurs-obfuscateurs » qui ont été dépêchés pour atténuer la déflagration ont passé sous silence la deuxième phrase,concluson de la première.

      On doit croire donc qu’en Conseil des Ministres, Macron donne des cours d’histoire.
      Ainsi sa pensée (Quand on est né d’une décision de l’ONU,on se tient à carreau et on ne la ramène pas) n’a pas été diffusée;pas de grand scandale.

  105. Dugong 20 octobre 2024 At 14h05
    Les ottomen roulent en suv diesel

    otto=auto (voiture)
    men= pluriel de l’anglais « man »;men= hommes

  106. Palestiniens, autrefois.
    L’existence d’un gentilé Palestinien applicable aux habitants d’ une région (ainsi nommée dans les textes occidentaux au 19 eme siècle) n’implique pas forcément la nationalité au sens juridique.
    Ainsi on parle de Belges bien avant que la Belgique devienne en Etat (1830).
    Mais une rapide recherche ne permet pas de trouver le mot Palestinien appliqué aux habitants, dans les récits de voyage de Chateaubriand, Flaubert ou d’autres voyageurs moins connus de la 1ere moitié du 19 ème siècle comme George Robinson, Voyage en Palestine et en Syrie, 1838, alors qu’ils utilisent le nom Palestine pour le territoire.

    J’en profite pour signaler une étude d’un grand intérêt :
    Georges Bensoussan, Les pogroms en Palestine avant la création de l’État d’Israël (1830-1948), Fondapol, avril 2024
    https://www.fondapol.org/etude/les-pogroms-en-palestine-avant-la-creation-de-letat-disrael-1830-1948/

  107. ECHO 20 octobre 2024 At 15h58

    J’en profite pour signaler une étude d’un grand intérêt :
    Georges Bensoussan, Les pogroms en Palestine avant la création de l’État d’Israël
    ——————————————————————————————————-
    Il est interdit de vendre sous le nom de « feta » un fromage qui n’a pas été fabriqué en Grèce. Si le pogrom est une spécialité russe,a-t-on le droit de désigner sous le nom de « pogrom » un mssacre effectué hors de Russie par des non-russes ?
    Je pose la question.

    « Pogrom est un mot russe signifiant « dévaster, démolir violemment ». Historiquement, le terme désigne des attaques violentes commises sur des Juifs par des populations locales non-juives dans l’Empire russe … Le premier incident à avoir été appelé pogrom serait l’émeute anti-juive d’Odessa en 1821. Le terme entra dans l’usage courant avec les grandes émeutes antijuives qui balayèrent le sud de l’Ukraine et la Russie, entre 1881 et 1884, à la suite de l’assassinat du tsar Alexandre II.  »

    https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/pogroms

  108. appropriation culturelle,suite:

    Il en avait été question ici,chacun s’en souvient:les Japonais détestent qu’on parle de « terroristes kamikazes »;le kamikase est assimilé à un dieu du vent (rappel d’une bataille navale,où le vent,en tournant,a chan,gé la donne et permis la victoire de la flotte japonaise); parler de « terroristes kamikazes », c’est salir les dieux et les héros en détournant un mot de sons sens.

    Parler de « pogrom » hors terre russe et pogromistes russes est une appropriation moins grave puisque le mot n’est pas détourné de son sens.

  109. Mais la nature peut vous produire des milliers de couchers de soleil lamentables
    ——————————————————————————————————–

    Je me demande si j’en ai déjà vu.

    Soit, vous êtes dans un endroit où vous ne voyez pas le soleil se coucher…(un endroit plein de bâtiments qui vous bouchent la vue) soit vou sêtes « dans la nature »,ou derrière une baie vitrée avec zéro bâtiment entre vous et l’horizon et là,dans mon expérience,ça ne peut pas être lamentable.

    Je connais par exemple un endroit,face aux Grandes Jorasses d’où on voit bien le soleil se coucher sur cette chaîne;je ne peux pas imaginer en ce lieu un coucher de soleil « lamentable ».

    • Grâce aux écologistes français, on sait désormais qu’il suffit d’augmenter les impôts pour lutter contre le réchauffement climatique.

      • Pour moi,les faux de Verzy (voir lien ci-dessus) pourraient bien être une représentaion concrète du psychisme brighellien.

        Tout ainsi qu’un paysage toscan est l’analogue du complexe khul/nibards de Lou, les faux de Verzy figurent la tortuosité enchevêtrée du psychisme brighellien.

  110. commentaire de commentaire ou(en langage cuistre) « méta-analyse ».

    Que fait Dugong ici ? Principalement,il balance de grosses inepties (qui nous font nous poiler).

    (Les bons jours,il y a aussi des cocasseries langagières -pas tant de bons jours ces derniers temps).

    Prenons une ineptie
    Dugong 18 octobre 2024 At 15h40
    J’ai lu sur ouiki que le PP était sujet à la transverbération. Est-ce votre cas aussi ?

    Regardez ce qui a suivi , ce qui est parti du mot « transverbération », vous serez étonné : ce sont des commentaires sérieux,argumentés,réfléchis (canonisation, Palestine, Vatican etc.

    Finalement, les amuseurs irresponsables stimulent à leur manière les bons esprits.

    N’est-ce point merveilleux ?

  111. Dugong 21 octobre 2024 At 9h07
    Si vous convoquez les Grandes Jorasses…

    Elles ne se déplacent pas sur un coup de sifflet ni même sur un ordre écrit apporté par des gendarmes à moto

  112. Lormier 20 octobre 2024 At 14h29
    Ce sabre,il n’aurait pas la forme d’unbout d’ellipse ?

    (Combien de courbes non serpentantes,uniformes, symétriques par rapport à leur « milieu » peuvent passer par deux points éloignés de 71 cm,avec une distance max de 1,6 cm entre la courbe et le milieu de la sécante ? Une,je crois)

  113. Dugong 21 octobre 2024 At 9h07
    vous mettez la barre du lamentable très bas…

    C’est-à-dire ?

  114. Dugong 21 octobre 2024 At 11h50
    Vous êtes pourtant en plein dedans.

    Au point de ne pas m’en rendre compte ?

  115. Dugong 19 octobre 2024 At 11h49
    Dès que quelqu’un pisse dans la neige, il y a piste;

    Et quand une ottomane chie par terre,ça crée la Palestine ?

  116. Dugong 21 octobre 2024 At 12h43

    « la notion de symétries axiale et ponctuelle. »

    Ca fait deux notions.

  117. Dugong 21 octobre 2024 At 9h07
    vous mettez la barre du lamentable très bas…

    Qu’est-ce que ça signifie ?

    Que le même pas tellement lamentable sera considéré comme lamentable,ou bien qu’il faudra que ce soit terriblement lamentable pour être considéré comme tel ?

  118. (voir les deux citations ci-dessus)

    Le piranha-tox est sorti de sa tanière pour casser du sucre sur mon dos,mais il s’emmêle les pinceaux et excrète du charabia.

  119. Dugong 21 octobre 2024 At 12h36
    Satanique (ta mère et ta maire)
    ——————————————————————————————————-
    Il y a la « porte des ténèbres;et il y a « l’abîme des ténèbres »,encore pire.Mieux vaut rester sur le « chemin de lumière ».

    Discours du ministre,après 9mn5à env

    https://www.youtube.com/watch?v=HCZpWYXbH4A

  120. Dugong 21 octobre 2024 At 15h33
    Vous pouvez mettre symétrie en facteur.
    En facteur de quoi ?
    « la notion de symétries axiale et ponctuelle. »
    Il y a DEUX notions.
    Encore du charabia pour tenter de sauver du charabia.

    Ca arrive à tout le monde de mal construire une phrase,c’est pas une catastrophe,vous savez. Faut pas vous entêter.

    • Une tournure correcte,mais un peu lourde:

      Les notions de symétrie axiale et de symétrie ponctuelle.

        • Tiens, tiens…quand un physicien se met à parler mathématiques,il n’est pas rare qu’il ne trouve pas les termes exacts.

  121. Le pékin (ouaff) qui se prenait un tel riflard sur la tronche ne calculait plus longtemps.

    Quant aux considérations sur les symétries…

  122. Guillaume se prit à penser soudain que ce sabre avait en lui quelque chose de féminin.

    Qu’est-ce qui amène cette pensée soudaine ? Il « se prit à penser »…presque comme s’il s’étonnait d’avoir eu cette idée.

    D’ailleurs tout ce monologue sur le sabre (ou à partir du sabre) est-il vraiment le monologue de Guillaume ?

    Le discours si savant sur les katanas, les rapières…a-t-il besoins de se le tenir à lui-même ?

  123. Très haut,très bas…orientation

    Si un bureau a 5 tiroirs et qu’un Anglais vous dise:votre document est dans le deuxième tiroir, vous vous méprendrez et n’ouvrirez pas le bon; Car l’Anglais compte en partant du bas. (Ce qu’il appelle deuxième est pour un Français le troisième).

    T’as vu cette meuf avec le string rouge ? Vachement bandante,non ?

    Ben toi, on peut dire que tu mets pas la barre très haut;baisable sans plus.

    Kèce qui te faut ? Moi je me la ferais bien;tu mets la barre trop haut,mec.Attends,j’y vais.

    C’est drôle, quand l’épithète est positive,on n’a pas de mal avec barre haute et barre basse.

    Mais quand l’épithète est négativen on ne s’y retrouve plus.

    Dugong 21 octobre 2024 At 9h07
    Si vous convoquez les Grandes Jorasses, vous mettez la barre du lamentable très bas…

    PS La voiture A d’un train anglais,c’est la voiture de queue. Et pour y accéder à partir du quai, vous aurez peut-être à monter dans la C,ou la D,si la longueur du quai est insuffisante.
    Ensuite, vous progresserez (lentement) dans les couloirs)

    • De même, il me semble qu. aux USA,  » the second floor » est le 1er étage, et non le second- car le rez de chaussée compte pour le first floor.

      • Non, ça c’est en Russie,où, en effet, ce que nous appelons rez-de-chaussée est le premier étage.
        De plus,dans les beaux bâtiments (les grands hôtels par exemple) il peut y avoir ,intercalé entre deux étages , un « Bel Etage », qui,lui ne porte pas de numéro.
        Une espèce d’etresol d’apparat.
        (Dans l’ascenseur, pour aller à cet étage,on appuie sur le bouton B.E. -en cyrillique évidemment, car Bel Etage se dit Bel Etage en russe.)

        • Second floor
          Cambridge dictionnary
          the second floor

          in British English, the floor of a building that is two floors above ground level, or in American English, the floor that is directly above ground level:

          Bel étage en Russie : est ce la même chose que le piano nobile, en Italie? Mais je crois que le piano nobile, étage noble, est le 1er étage d’un immeuble et surtout d’un palazzo.
          A vérifier.

  124. Extrait de la notice Pfizer Cominarty pour 2024-25
    Vaccination providers must report all vaccine administration errors, all serious adverse events, cases of myocarditis, cases of pericarditis, cases of Multisystem Inflammatory Syndrome (MIS), and cases of COVID-19 that result in hospitalization or DEATH following administration of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine (2024-2025 Formula) to the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)

    https://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=19542#S5.2

    Le fabricant reconnaît que sa mixture peut provoquer la mort,si après la vaccination on attrape le covid.

    Il n’en est pas encore à admettre que l’injection à elle seule peut tuer…

    Je pense qu’il ne l’admettra jamais,mais de toute façon son truc va prochaiement être retiré du marché.

    cases of COVID-19 that result in hospitalization or DEATH following administration of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine (2024-2025 Formula)

    OK,c’est la maladie qui tue,pas l’injection…oui mais alors l’injectin n’empêche pas les « formes graves »

    Les moutons lobotomisés liront-ils cette notice ? Poseront-ils des questions à leur médecin ?

    Non, s’ils ont « revendiqué l’ignorance » et «  »décidé » de suivre les recommandations de Conspiracy watch-4 clampins dont aucun n’a la moindre compéténce médicale.

  125. Lormier 22 octobre 2024 At 1h04
    Extrait de la notice Pfizer Cominarty pour 2024-25

    « Vaccination providers must report… cases of Multisystem Inflammatory Syndrome (MIS)… »

    [Les vaccineurs doivent faire des rapports sur les syndromes d’inlammation multisystème…]

    Le risque de tels syndromes avait été prédit par au moins un spécialiste pédiatre immunologue, AVANT la mise sur le marché, après étude du processus de fonctionnement du prétendu vaccin;

    Nom du spécialiste:Docteur Whelan;il avait exprimé ses inquiétudes dans une lettre à la Food and Drug administration,dont Lormier avait rendu compte ici.

    Plus tard, le même Lormier, revenant sur le sujet, avait énoncé un apophtegme: « la théorie peut permettre de prévoir et de prévenir. »

    Pour une fois le piranha-tox avait approuvé.

  126. Dugong 22 octobre 2024 At 7h57
    Les chemins de fer brexiteux sont un désastre. Que vous comptiez dans un sens ou dans l’autre, avec Great British Railways vous êtes certain que quelque chose va merder.
    ———————————————————————————————————

    Pour appuyer cette affirmation fausse (née d’un parti pris imbécile) Dugong se réfère à Wikipedia !

    Qui plus est la notice de Wikipedia ne parle que de faits pré-Brexit.

    Le lance-grille-pain a été mal dirigé;le projectile a atteint le pied du piranha-tox !

  127. Il est vrai qu’à une certaine époque (bien avant le Brexit) les trains britanniques marchaient très mal. Pannes de signalisation notamment;vieux wagons etc.

    Ceci était le contre-coup du thatchérisme et de la privatisation à tout va. Les entreprises privées n’avaient aucun intérêt à entretenir le réseau;Thatcher n’avait pas compris que le transport ferroviare nécessite une « synergie » efficace rails/trains…

    Depuis les choses se sont grandement améliorées;l’Etat a fait quelques efforts de réorganisation et travaillé à améliorer la sécurité, au détriment de la « création de richesses ». Moins ,beaucoup moins de déraillements ,nettement moins de morts.

    Cela dit,ça reste privé,avce quelques conséquences.

    Vous pouvez réserver votre place longtemps à l’avance, mais voyager quand même debout ,si l’opérateur, au dernier moment et sans vous avertir, a décidé de supprimer des voitures…

    Il vous dédommagera si vous lui écrivez en précisant le temps passé debout. Il ne vous demande pas de justificatif,il vous croit sur parole. ( Que vos affirmations soient plausibles.)

  128. abcmaths 13 octobre 2024 At 23h06

    La courbe n’est pas un arc de cercle !
    ——————————————————————————————————-

    Peut-on en être sûr,sans calcul ?

    Certes,on « voit bien » que ce n’est pas un demi-cercle, ni un quart de cercle, ni un huitième de cercle,ni même,ni même…

    Mais qu’est-ce qui me prouve que ce n’est pas l’arc d’un cercle de (très) grand diamètre ?

    • cyrano58 22 octobre 2024 At 10h43
      Heil marché!
      ——————————————————————————————————-

      Il existe une théorie (dont Lormier n’a pas étudié les détails) selon laquelle la plandémie a été planifiée et organisée de manière à répondre à la crise du marché du produit pharmaceutique .

      Les médicaments anciens ne rapportent pas assez ,la recherche pour en inventer de nouveaux coûte très cher et le retour sur investissement est trop faible car le médicament « innovant » est trop vite « obsolète ».

      Il en va différemment du « vaccin » à ARN messager; la technique de production est peu coûteuse, l’industrie pharmaceutique travaille de concert avec, les gouvernements, qui décident des virus à fabriquer et à mettre en circulation, et l’industrie du vaccin n’a plus qu’à mettre au point l’ARN messager qui va  » coder pour » l’antigène. C’est l’affaire de quelques jours ou quelques semaines;

      Production peu coûteuse, gains énormes grâce à l’appui des gouvernants qui forcent des milliards de gens à se faire injecter.

      Ce nouveau modèle économique est viable.

      • Raoult ne dit pas autre chose. Véreux tente de le détruire car le condisciple de JPB est partisan de l’utilisation des molécules déjà existantes.

    • Pourquoi voulez-vous à tout prix que cette courbe soit mathématiquement pure ?
      La plupart des courbes ne l’est pas.(courbe d’un sein, d’une hanche, etc.)

      • Ouais, ces derniers temps, Lormier semble de plus en plus « à l’Ouest » même s’il tente parfois de nous parler de la pine à l’Est

        Oui…
        (difficile)

  129. La mise en place du nouveau modèle éconoqmique (production de maladies/production de prétendus vaccins) suppose bien sûr un soutien politique et une mutation anthropologique des populations.

    i) Politique:c’est la pinochetisation des chefs (Macron est un cas d’école). Elle permet l’abrogation des lois protégeant la personne humaine et la promotion de politiciens néo-nazis à la Glucksmann ou Jomier.
    ii) Mutation anthropologique: la masse, complètement abrutie dès le départ, ne pose aucun problème. C’est la minorité des gens capables de réflexion qu’il faut lobotomiser.
    Le macronisme, avec l’aide de l’ordre des médecins est parvenu à de magnifiques résultats.

    Des esprits aussi aig uisés qu’unMendax ou un Josip Gavrilovic,après lobotomie, non seulement consentent à abdiquer toute capacité de réflexion intelligente, mais encore « revendiquent l’ignorance ».

  130. L’essor de la pensée néo-nazie:Obama, avril 2022:

    Selon Obama,l’être humain a été utilisé comme cobaye et c’est une bonne chose:

    « … we have essentially ,clinically tested the vaccine on billions of people… »

    […essentiellement, nous avons effectué un test clinique sur des milliards d’individus…]

    à partir de 27 mn environ

    https://www.youtube.com/watch?v=l-QuQc_E2rI

  131. ECHO 22 octobre 2024 At 13h48
    Second floor
    Cambridge dictionnary
    the second floor

    in British English, the floor of a building that is two floors above ground level, or in American English, the floor that is directly above ground level:

    EXACT
    Dans la conversation, l’Maéricain dira « first floor » (premier étage) pour parler du rez-de -chaussée.

    Mais dans l’ascenseur,sauf erreur, le bouton du rez-de-chaussée n’est pas marqué 1

    Floor selection buttons: A lot of elevator buttons are numbered, but there are some variations…The button for the floor that the lobby* (*i.e. RdC) is on may be labeled with an “L.” Another common variation for the lobby button is a star.

    NB Un truc que les professeurs toxiques aiment faire consiste à numéroter des phrases ou des chapitres en commençant par zéro;ça emmerde tout le monde. Le coup du chapitre zéro est un coup de maître. C’est une astuce de prof-de-maths-tox

  132. Il y a aussi le chapitre premier sans chapitre 2… dont on a ici quelques echantillons. On pourrait faire un livre composé seulement de chapitres premiers ( mais peu vendable).
    Et dans le même ordre d’idées (?) les monarques ou papes qui, premiers de leur nom refusent d’adopter un numéro d’ordre : le pape François, le roi des Belges) Philippe. Cette attitude semble dictée non par un esprit exagérément logique, mais par une volonté de simplicité ou, ce qui n’est pas pareil, le refus d’apparaître comme un simple élément d’une suite.
    Louis-Philippe , premier et seul du nom ( jusqu’à présent…) était- il officiellement Louis- Philippe Ier?

    • « On pourrait faire un livre composé seulement de chapitres premiers ( mais peu vendable). »

      J’y ai pensé, figurez-vous. Les chapitres 1 de romans d’un genre différent. d’un écrivain incapable d’écrire le chapitre 2. Combinés de façon à faire en fait une histoire qui se suit — sur le modère de Si par une nuit d’hiver un voyageur, d’Italo Calvinon.

      • J’avais idée que le livre de Calvino était quelque chose dans ce genre mais je ne l’ai pas lu. Si j’en ai l’occasion, je le ferai.

    • « Louis-Philippe Ier » est possible;Louis-Philippe 0 (zéro) me paraît impossible.

      Et pourtant l’appeler ainsi ne contredirait pas le fait qu’il est premier du nom.

      « Chapitre zéro », ce n’est pas trop perturbant; si le dernier chapitre porte le numéro 10, on saura que le livre compte onze chapitres… et de toute façon,on n’a guère besoin de dénombrer les chapitres;

      En revanche, le professeur de mathématiques toxique prend un malin plaisir à indexer une somme en attribuant l’index zéro au premier terme. Ainsi,une somme dont le dernier terme a l’indice 10 comporte 11 termes.

      On voit immédiatement les erreurs et perplexités que cette indexation va engendrer chez les malheureux élèves; ( tout bêtement,pour calculer la moyenne de cette somme,il faut diviser par 11 et non par 10).

      Le prof-tox compte bien là-dessus;il se réjouit par avance des points qu’il va pouvoir retirer pour erreurs de calcul; plus encore,il sait que certains s’embrouilleront dans leurs raisonnements, n’arriveront pas à mettre au point leurs récurrences et finalement rendront un brouillon exsangue qui sera gratifié de la note zéro.

      Déjà au moment de la distribution des sujets, sur les lèvres du piranha toxique , se dessine ce sourire sardonique si caractéristique des profs de maths.

  133. abcmaths 22 octobre 2024 At 13h01
    Pourquoi voulez-vous à tout prix que cette courbe soit mathématiquement pure ?
    ——————————————————————————————————-
    Jamais Lormier n’a eu une telle volonté;jamais il n’ a dit quoique ce fût qui pût faire soupçonner l’existence d’une telle volonté.

    Lormier a posé cette question:avec les données dont on dispose peut-on démontrer que cette courbe n’est pas un arc de cercle ?

    • Si vous le dites. Je me contrefous de ces histoires de vaccination. Je ne me suis pas vacciné contre le Covid et apparemment vous non plus. Personne ne vous force à le faire. Vous devriez donc vous en foutre aussi.

  134. Mendax 22 octobre 2024 At 19h49
    Je ne me suis pas vacciné contre le Covid …

    Quelle bonne nouvelle!

    • Je l’avais déjà mentionné. Personne ne m’a obligé à le faire ou à ne pas le faire. Chacun fait ce qu’il veut.

  135. Dugong ,comme David Lisnard ?

    Lisnard, persuadé que les professeurs sont tous des gauchiasses, s’est ridiculisé en prétendant que le manuel d’histoire (Hatier classe de troisième) de son fils ne mentionnait nulle part le pacte germano-soviétqique;

    Des personnes sont allées voir et ont trouvé tout de suite,page70. Ils lui ont mis le nez dans son caca.

    Dugong 22 octobre 2024 At 15h42
    Les imbéciles ont brexité. Leurs trains sont toujours aussi lamentables.

    Affirmation du Père Hamptoire,aveuglé par sa haine du Brexit.

    Oui, il y a quarante ans, les trains anglais marchaient très mal.

    Mais aujourd’hui,ça roule et c’est confortable.

    Rien à voir avec le Brexit;d’ailleurs si le Brexit change quelque chose ce ne peut être que dans un sens positif.

    Les Brtanniques n’ont pas saccagé leurs paysages pour avoir des lignes à grande vitesse, il ne faut pas être pressé, mais on peut voyager très confortablement en train au Royuame Uni.

    • IAL fait l’article mais le prol britaneux prend le train pour aller bosser, pas pour bader devant le paysage verdoyant de la campagne anglaise où des vaches conséquentes fabriquent lentement leur méthane…

  136. Dugong 22 octobre 2024 At 17h50
    Je dirais même plus « la théorie doit permettre de prévoir et surtout d’expliquer »
    ——————————————————————————————————-
    Whelan, grâce à la théorie, a très bien expliqué(avant le début de la campagne d’injections) comment l’injection d’ARN m pourrait enclencher le processus menant au syndrome inflammatoire multi-systémique.

    Son explication avait une valeur prédictive.
    Il y a eu de ces syndromes ,provoqués par l’injection exactement comme Whelan l’avait prévu,expliqué,décrit;

    Dans la nouvelle notice de Pfizer,ce risque est maintenant mentionné.

  137. Dugong 22 octobre 2024 At 15h48
    Je l’ai fait aussi. Ca permet aux élèves de déterminer ce qu’ils doivent savoir avant d’oser aborder le chapitre 1 (un)
    __________________________________________________________________________

    Si c’est du préliminaire,on pourrait envisager d’attribuer à ce chapitre le numéro (-1); on réserverait alors le numéro zéro au liminaire.

    Tout est ouvert;aucun tabou.

  138. Dugong 23 octobre 2024 At 7h51
    Il y aurait plus fourbe encore : le chapitre demi-entier.
    ___________________________________________________________________________

    Lormier prend bonne note du mot « fourbe ».

  139. Dugong 23 octobre 2024 At 8h26
    Dugong 23 octobre 2024 At 8h26
    IAL fait l’article mais le prol britaneux prend le train pour aller bosser…
    __________________________________________________________________________
    i) A quantifier
    ii) Pour aller bosser,il ne fait pas 400 km;peut lui chaut que le train fasse du 60km/h de moyenne. Je dirais même plus:il s’en contrecague
    iii) Lormier ne « fait pas l’article »,il rétablit les faits: les trains britanniques aujourd’hui roulent, la signalisation ferroviaire marche et quand on monte dans un train, on a de fortes chances d’arriver à destination avec un retard faible ,voire nul.
    C’était pas comme ça après le saccage de la mère Thatcher.

    • « peut lui chaut que le train fasse du 60km/h de moyenne. Je dirais même plus:il s’en contrecague »

      Allez beugler ça dans un wagon où ils sont entassés (en vue de leur conditionnement en corned beef ?)

  140. Tout le monde ici vous croit lorsque vous vous plaignez rétrospectivement d’avoir été au four et au moulin pour régler les sémaphores de sa majesté (ou café ?)

  141. cyrano58 22 octobre 2024 At 18h00
    Raoult ne dit pas autre chose. Véreux tente de le détruire …
    ——————————————————————————————————-
    Il serait plus juste d’écrire: Véreux A TENTE…

    Véran n’est plus rien;il n’a plus la capacité de nuire.

    N’avez-vous pas remarqué, d’ailleurs, qu’il est le seul salaud macroniste à ne pas avoir été recasé par la macronie ?

    Bien possible que la macronie ait décidé d’en faire le bouc-émissaire, la victime expiatoire lorsque l’heure des comptes sonnera…

  142. Mendax 22 octobre 2024 At 19h49
    Je me contrefous de ces histoires de vaccination… Vous devriez … vous en foutre aussi.
    __________________________________________________________________________
    Je m’étonne de votre indifférence
    i) Il me paraît gravissime que le gouvernement,en imposant les injections aux personnes qui sont susceptibles de me soigner,de nous soigner ait violé la loi sur le consentement libre et éclairé
    « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

    Hier les soignants,demain qui ?

    https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056

    ii) Qui s’intéresse quelque peu à la géopolitique ne peut manquer de suivre les débats que suscite l’affaire,aux Etats Unis notamment. Parce que l’établissement du bio-pouvoir,là-bas comme ici,ce n’est pas rien.

    • Si la question du bio-pouvoir vous interpelle tant que ça, je vous conseille l’excellent essai de Céline Fontaine, « Le Corps-Marché ». C’est plus facile à lire et beaucoup plus factuel que les astucieuses théories de Michel Foucault.

  143. Dugong 23 octobre 2024 At 7h51
    Il y aurait plus fourbe encore : le chapitre demi-entier

    Aucune chance que Lormier vous suive dans votre démarche;Lormier n’est pas toxique, Lormier ne le sera jamais,Lormier ne fait pas la queue pour aller faire chier les gens;c’est ouf.

    https://scontent-cdg4-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/463732900_951111357051371_1211372367052883270_n.jpg?_nc_cat=105&ccb=1-7&_nc_sid=127cfc&_nc_ohc=022Gg3aifQ0Q7kNvgFwvN0X&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent-cdg4-1.xx&_nc_gid=AgBkZRX-2rUOKBg98Iv8Mqv&oh=00_AYBG3p5XPrOQ1MG11ehST6t0_8D5GF96l6xYglyC9BkurQ&oe=671DB614

  144. Dugong 23 octobre 2024 At 8h26
    la campagne anglaise où des vaches conséquentes fabriquent lentement leur méthane…

    La vache a deux produits:la bouse et le lait… (j’ai oubliéla suite).

      • La vache a deux sous-produits… le lait et la bouse
        Le lait, aucune importance,
        La bouse… de deux choses l’une,
        Soit elle tombe dans le pré, soit elle tombe sur le chemin
        Si elle tombe dans le pré, aucune importance
        Si elle tombe sur le chemin… de deux choses l’une,
        Soit elle est sèche, soit elle est fraiche
        Si elle est sèche, aucune importance
        Si elle est fraiche… de deux choses l’une,
        Soit on la voit, soit on ne la voit pas
        Si on la voit, aucune importance
        Si on ne la voit pas… de deux choses l’une,
        Soit on ne marche pas dedans, soit on marche dedans
        Si on ne marche pas dedans, aucune importance
        Si on marche dedans… de deux choses l’une,
        Soit on ne s’en aperçoit pas, soit on s’en aperçoit
        Si on ne s’en aperçoit pas, aucune importance
        Si on s’en aperçoit… on s’écrie :
        « Oh la vache… » a deux sous-produits… le lait et la bouse

  145. « Pas les beautés de la nature. Un coucher de soleil, un arbre, bon. Si on veut. Mais la nature peut vous produire des milliers de couchers de soleil lamentables, des millions d’arbres sans intérêt. Elle travaille au hasard. Mais ça ! Ça ! »

    Guillaume, c’est l’anti-Ruskin (qu’il n’a probablement pas lu) et ça, eh ben, ça ne passe pas.
    Voilà, comme dirait le Maestro.

  146. La pédagolie s’empare de l’ia et délire à donf comme chaque fois qu’ils ramassent une nouveauté qu’ils voient comme une opportunité de survie.

    Napalm !

  147. Sans écran point de news. Ben si, inévitablement avec quelques vieux retraités du MI5 et du Shin Bet… au soleil, à coups de mojitos – et des vrai de vrais ; pas de la daube.
    Mais je suis tenue au botus et mouche cousue. Ce sidi, j’ai du retard – #3 et#4…

    • «J’ai été extrêmement déçu» par Emmanuel Macron, a-t-il[Nrenyahou] poursuivi,

      J’espère que Macron a encore des amis sur Facebook.

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