Mon amie Maïna Lecherbonnier est une « escorte » (ou escort si vous tenez à le dire à l’anglaise) depuis quelques années. Auteur, par ailleurs, de récits à caractère érotique, auxquels j’ai un peu mis la main. Il était donc logique qu’elle s’adressât à moi pour lui donner un coup de main pour rédiger ses Mémoires professionnels, un livre intitulé L’Utile et l’agréable et paru en 2020 sous les auspices de mon ami Franck Spengler. J’en extrais un chapitre consacré à la loi sottement vertueuse votée en 2016 qui prétendait réprimer la prostitution, qui pose assez bien les termes du débat.

Le 14 avril 2016 était promulguée la loi sur la lutte contre le proxénétisme et la traite des êtres humains. Un petit chef d’œuvre d’ambiguïté et d’hypocrisie, aux conséquences terrifiantes.
A priori, cette loi ne me concernait pas : je n’ai pas de souteneur, et je ne suis donc esclave de personne. Personne ne m’oblige à faire ce métier que j’adore — et qui est raisonnablement rémunérateur. Après une série d’articles portant sur l’accompagnement des prostituées, arrive le fameux « chapitre V » interdisant « l’achat d’un acte sexuel ». :
« Le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe. »
Soit 1500 € d’amende, somme portée à 3750 € en cas de récidive — alors même que la prostitution, en soi, continuait à ne pas être un délit. Dissuasif, n’est-ce pas… Et je passe les stages sur la « sensibilisation à la lutte contre l’achat d’actes sexuels » — j’aimerais assez être petite souris pour y assister, à ces stages. Et pour connaître la sexualité cachée (c’est un pléonasme, non ? Nous exhibons assez rarement nos petites manies, je suis une exception, au fond) des organisateurs et des animateurs de ces stages… Alors, coco, tu n’es jamais allé aux putes de ta vie ?

Après l’Autriche, le Danemark, la Lettonie, les Pays-Bas et la Suisse (tous des pays protestants, avez-vous remarqué ?), la Gauche française versait donc dans la pudibonderie, l’hypocrisie, la moraline, comme disait Nietzsche. Au lieu de se battre contre les bas salaires qui amènent tant d’honnêtes travailleurs à se résigner à être « sans dents », comme disait finement François Hollande en se moquant, on se décidait à faire plaisir…
Plaisir à qui ? Aux féministes coupeuses de couilles ? Aux imams pourfendeurs du vice ? Aux curetons qui savent pourtant en confession ce que sont les faiblesses humaines ? C’est avec ça que les socialistes espéraient se faire réélire l’année suivante ?
Et dans les faits, comment ça se passe ? Eh bien il faut du flagrant délit, forcément — parce qu’avant l’acte, il n’y a rien : en droit français, l’intention du délit n’est pas un délit, sinon les 4/5ème du pays seraient en taule. Visualisons la scène : des inspecteurs pénètrent (ah ah !) de force dans les appartements des prostituées, visitent brutalement les voitures et les lieux isolés, se saisissent des fautifs, les conduisent au poste pour les verbaliser, les ficher en relevant leur ADN – tandis que les prostituées sont poussées à les accuser — et on a des moyens de pression sur elles, n’est-ce pas… C’est toute l’hypocrisie de la position abolitionniste qui prétend ne pas pénaliser les prostituées, mais dans les faits mène à les harceler.
Un magistrat (serait-ce celui qui n’arrive pas à jouir si on ne lui met pas trois doigts dans le cul — un bon client, croyez-moi, mais qui m’oblige à me couper les ongles à ras) prétend que les flics savent mener ces investigations. Ils sont même, dit-il, capables « d’infiltrer les sites de rencontres » et les services d’annonces en ligne. Cela va faire beaucoup de monde à contrôler : en 2012, 300 000 hommes cherchaient des contacts sur Meetic, 224 000 sur Grindr (gay), 120 000 sur Attractive World. Et aujourd’hui ? Multipliez au moins par trois.
Le magistrat prévient encore : on arrive aujourd’hui à retrouver les clients par l’argent, en surveillant les paiements par carte bancaire. Tout cela donne à penser qu’une surveillance de masse pourrait s’installer. Cet énorme travail de police, précise le pénaliste, réclamera des moyens : « Au moins 200 millions d’euros par an ! ».
J’ai lu ça dans Le Monde, qui hésitait entre se féliciter de la loi et la déplorer… Attendez, le rédac-chef du « quotidien de référence », serait-ce ce journaliste qui ne parvient à jouir qu’en me regardant me faire enfiler par des Antillais très musclés, qui après m’avoir enculée viennent décharger dans sa bouche ?
La fin de l’article est plus rassurante : avant que l’on débloque 200 millions d’euros pour la seule lutte contre la prostitution, les poules auront des dents et vous rayeront finement le casque, messieurs !
D’ailleurs, les policiers eux-mêmes ne sont pas chauds-chauds. Dans Le Figaro, Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie Officiers (CGC — les cadres de la police), s’inquiétait déjà en octobre 2014 : « Il est illusoire de penser que l’on asséchera la prostitution, le plus vieux métier du monde, en s’attaquant aux clients. » Il prévenait : « On prend le problème à l’envers. » Ah-ah à nouveau. J’en connais un, de commissaire de police, qui aime bien, lui aussi, prendre le problème à l’envers — et c’est moi, le problème !

Que croyez-vous qu’il arriva ? Les associations d’aides aux prostituées constatèrent très vite que ces dernières désormais se cachaient pour travailler, ce qui avait une incidence terrible sur leur santé, en accentuant leur précarité : Médecins du monde, qui en connaît plus que le législateur sur les conditions de vie des putes, témoignait d’un bilan terrible. En janvier 2019, les flics pouvaient se targuer d’avoir verbalisé 250 clients, et d’avoir, presque à chaque fois, détruit leur couple, lorsqu’ils étaient mariés. Finalement, on s’est interrogé sur la constitutionnalité de la loi.

Comprenez-moi : personne n’a plus que moi horreur des réseaux de prostitution, de ces malheureuses Roumaines, ou Guinéennes, ou Chinoises forcées de se prostituer, de ces toxicos qui vendent leur cul pour une seringue, et n’hésitent pas à vous refiler gratos des maladies dont elles meurent déjà. Sévir contre les macs, c’est de salubrité publique. Mais il faut croire qu’enfoncer une porte pour surprendre un père de famille en position du missionnaire entre les cuisses d’une sœur de charité sexuelle est plus facile que de démanteler un réseau balkanique, africain ou asiatique.

Les soutiens au plus vieux métier du monde (je sais, c’est un cliché, mais ô combien parlant !) ne tardèrent pas à se manifester. Antoine — le chanteur, pas le coiffeur — lança le premier une pétition contre cette loi abjecte, immédiatement signée par de grands noms du show-biz, Catherine Deneuve, Alain Souchon, Mickey 3D, Mireille Darc, Chantal Goya, Raphael, Thomas Dutronc, Florence Arthaud ou encore Line Renaud. Puis suivit, sur Causeur, le Manifeste des 343 salauds — copié sur le manifeste des 343 salopes de 1971, qui toutes affirmaient avoir avorté, un comportement alors passible des tribunaux. Parmi les premiers signataires, Frédéric Beigbeder, Rodolphe Bosselut, Pascal Bruckner, Renaud Camus, Philippe Caubère, Jacques de Guillebon, Basile de Koch, Jean-Michel Delacomptée, David di Nota, Claude Durand, Benoît Duteurtre, Roland Jaccard, Guy Konopnicki, Philippe Karsenty, Alain Paucard, Périco Légasse, Jérôme Leroy, Richard Malka, Marc Cohen, Gil Mihaely, Christian Millau, Dominique Noguez, Ivan Rioufol, Luc Rosenzweig, Stéphane Simon, François Taillandier, Marc Weitzmann, Eric Zemmour. Puis bien d’autres. Alain Finkielkraut eut un peu de peine et employa beaucoup de casuistique pour expliquer pourquoi il n’avait pas signé ce manifeste, qui ne signifiait pas stricto sensu que l’on avait eu recours aux services d’une prostituée, mais que l’on était solidaires des filles et de leurs clients, injustement pourchassées par d’affriolantes caricatures du Bien version Gauche. Tout ça pour conclure qu’il aurait dû signer le manifeste. Ma foi, l’hypocrisie n’a pas d’étiquette politique, n’est-ce pas…

L’un de ceux qui s’engagea le plus avant (ah ah !) dans la défense des prostiputes, comme dit San-Antonio, fut le comédien Philippe Caubère. Dès 2011, il avait fait paraître une tribune dans Libé s’insurgeant contre un projet de loi identique, émanant cette fois de la Droite (alors au pouvoir) et de Roselyne Bachelot en particulier. « Cette proposition, je cite, « ne fait guère débat chez les parlementaires, à gauche comme à droite. Elle est soutenue par la plupart des associations féministes… etc ». C’est donc sous la bénédiction générale et dans le silence de tous qu’une telle abjection va s’abattre sur nous, — huit ans après celle qui, interdisant toute forme de racolage, consista à jeter dans la clandestinité, la précarité, la misère et l’enfer toutes les personnes se prostituant et au désespoir, ainsi que dans cet autre enfer, celui de leur solitude ou de leur propre couple, tous ceux qui profitaient de leur secours, de leur savoir, de leurs «services». »

Merci, Philippe ! Merci de tout cœur ! Tu es beau gosse, tu as un talent fou, aussi bien sur scène qu’au cinéma, et je te fais tout ce que tu veux gratuitement, en souvenir de ton engagement. Parce que, comme tu l’as dit en 2011, « je ne représente pas vraiment le prototype du mec frustré, sexuellement ou sentimentalement. Je n’ai pourtant jamais cessé depuis l’âge de 24 ou 25 ans d’avoir des relations — et des rapports — avec des personnes se prostituant. Serait-ce que je serais doté — ou affligé — d’une sorte de libido hors-normes? Je ne le crois pas (hélas, pourrais-je rajouter…). »
Et en péroraison de sa diatribe, ce comédien de génie se lance dans un chant d’amour que je prends pour moi, et qui me remue encore la petite cuillère, quand j’y pense :

« Je ne finirai pas cette chronique sans redire aux « filles » combien je les aime et les respecte, qu’elles sont mes sœurs, mes frangines, mes pareilles, — j’en suis une : sur la scène, la mienne, celle du théâtre (à une époque ce fut aussi celle de la rue), moi aussi je fais jouir. Avec mon corps, avec ma voix, avec mes mots ; et même avec ma vie. Pour un prix dont je m’efforce qu’il soit toujours le plus bas possible, quand j’essaie de donner en échange la prestation la meilleure. Autrement dit, j’essaie d’être une bonne pute, et si possible la meilleure sur le marché. Je ne finirai pas non plus sans leur redire que ce n’est pas cette loi scélérate qui m’effraiera, me culpabilisera, ni ne m’empêchera de revenir les voir où qu’elles seront, se planqueront, se terreront, pour les aimer encore et les payer pour ça. Il est un film qui, mieux que tous les autres, incarne la France dans le monde entier, son cœur et son esprit. Il raconte une histoire d’amour, la plus belle, la plus ancienne, éternelle, entre un acteur et une putain. Joué par Jean-Louis Barrault et Arletty, il s’appelle Les Enfants du Paradis. »

Moïse Kisling (1891-1953), Arletty, 1933

393 commentaires

  1. Un écrit qui me réconcilie avec ce blog qui partait en… Sans oublier l’énormité logique : un service dont la vente est autorisée et l’achat interdit !

  2. Le passage « moi aussi je suis une pute quand je suis sur scène » est une insulte au bon goût et à l’intelligence.

    • Eh Philippe, va donc te faire dauffer au bois par trois demi-clodos et on verra si tu es une pute. Quelle honte mais quelle honte ces bourgeois qui se donnent des petits frissons de prolétariasation.

      Se pignolant sur sa propre prose (médiocre : « prototype » pour « archétype », même pas un relecteur ?) cet abruti s’était même enfoncé dans un truc comme « toutes les relations tarifées sont les seules vraiment gratuites ». Pffff. Connard.

  3. La petite partition entre la gentille prostitution sans proxo et le méchante avec est un credo de gros porc cherchant des prétextes. Tu parles ! Il y a des putes sous la protection d’un mac qui sont bien contentes de se faire deux à trois fois le salaire d’un prof, et il y a des indépendantes totalement clochardisées. Pfff… Gros porcs !

  4. @Dugong
    Comme on peut le voir, ce blog n’est ni dévérolé, ni déverrouillé, et en guise de poésie nous n’avons ici que des vers rouillés.
    Merci de votre attention.

  5. Ce que la culture rap a pu faire comme tort à Lacoste les éditions Blanches se charge de le faire à Louboutin.
    Dans vingt ans, nous découvrirons peut-être que Maïna Lecherbonnier est un énième pseudo de Brighelli.

    PS : Hello, Papy !

  6. Deux cents millions de l’argent du contribuable possiblement dédiés à la lutte contre la prostitution sur les trois cent cinq milliards récoltés annuellement…
    À la question : Où va le pognon ? Une réponse d’une heure quarante bien ficelée et indispensable (à écouter en deux temps, en podcast, par exemple)

    Trois mille milliards : les secrets d’un État en faillite :

    https://www.youtube.com/watch?v=hcKZ6lXvy-I

  7. Faute de Goncourt ou de Nobel, à vouloir essayer de détrôner le score des ventes internationales du best-seller de Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée… Spengler devrait aussi essayer les recettes de cuisine de ukh illustrées (cadeau pour Noël rigolo qui fera son petit effet) pour tenter de plier Albin Michel.
    C’est pourtant simple… Je me propose en co-écriture avec Papy.

    • « Je me propose… »

      La contraction « proprose » siérait mieux à une adepte de la profession du prose.

      Devra-t-on un jour faire un virement par IBAN(DE…) pour tirer un coup ?

      • (En avant première, et si toutefois Papy était bien luné, nous proposerons la recette de la tarte aux poils à base de pâte brisée de rigueur en mémoire au célèbre pot qui subit jadis connu le même sort)

    • 😉- JPB ne pense plus qu’à vendre (et faire vendre). Plus rien qu’une vieille canaille !

      C’est bientôt la trêve (de Noël) ; et après d’âpres luttes (loin d’être finales), il n’oublie pas la gaudriole ; et quand, en plus, elle est à portée de bourse(s) :

      « Pour un prix dont je m’efforce qu’il soit toujours le plus bas possible », et ce, pour du boulot bien fait.

      Songez au nombre de « prestations » nécessaires à la travailleuse pour pouvoir s’offrir ces semelles rouges.

      ((nb : Frank S. fiston de Régine D. – bon sang ne saurait mentir)

  8. La prostitution est un truc pour gros lards alopéciques et pour petites bites. Les Apollon généreusement pourvus par mère nature comme moi n’ont qu’à aller dans le premier bar venu pour tirer leur coup. Gros porcs !

  9. Ça aussi se passe aussi à Marseille ! ça donne le ton sur la réalité de la prostitution loin des clichés tellement bidons selon lesquels il existe des prostituées « libre », ne souffrant d’aucune addictions (le trio : héroïne, cachets et alcools) exerçant par choix et sans souteneur.

    https://www.youtube.com/watch?v=-05OxZA9xh0

    • Rien de bidon. Ça existe, et j’en connais plusieurs, comme amies — et pas prestataires de services !

      • C’est ça ! Osez dire qu’elles sont nettes de troubles psy pendant que nous y sommes ! Même celles qui n’auraient que pour seul vice celui de l’argent (on n’imagine mal le risque d’addiction que le fric procure mais il existe bel et bien, il est aussi violent dans sa capacité d’abnégation pour l’obtenir que celle d’un toxicomane pour obtenir sa dose) ne finissent pas leur vieux jours sans béquille médicamenteuse avec un foie au format d’un ballon de rugby.

        Vous allez en vendre dix exemplaires, M’sieur Spengler, une réédition du bréviaire des carabins en édition luxe vous rapportait plus de fric.

      • Allez raconter ça à la Mondaine, Brighelli, et observer les effets que sont ceux de se faire passer pour un clown.

      • Moi, Zézette X, prostituée de mon état et fréquentant Brighelli, fils de keuf, qui a ses entrées à l’Evêché et lui ai raconté que j’avais un maqu’.

        MAIS BIEN SÛR !!! Vous savez tout Brighelli, vous êtes le premier informé.

      • Une prostituée n’a jamais de souteneur : c’est la règle numéro UN et qu’elle se répète tous les jours.
        « On ne balance pas son souteneur qui lui risque 15 ans fermes » quand elle ne s’en tire qu’avec une simple prune.

        On ne le balance pas et encore moins à Brighelli !

      • Elles sont malgré elles, OBLIGEES d’avoir un souteneur pour des raisons de sécurité évidentes !
        Pff !

        • Si elles n’en n’ont pas : elles le recrutent, Monsieur-je-sais-tout ! Les pros n’exercent jamais sans souteneur parce qu’elles connaissent les tarés sur lesquels elles peuvent tomber ou les autres qui s’imposeraient comme souteneur avec des relevés de compteurs salés.
          Bisounoursland…

          • çayest ! 48h de remontée (et pas mécanique – ta mère), v’là Gégé remonté.e à bloc !
            (à prendre au 2d degré, merci !)

          • La vie rêvée de Brighelli… ou /où les putes vivraient sans maqu’…
            Et on dirait que ce serait pour de vrai…

          • Ah, vous savez tut, n’est-ce pas…
            Je maintiens ma proposition : to be fisted or not fisted ?

          • Ce n’est certainement pas dans les alcôves des Chandelles où vous auriez croisé, armé d’un string et de votre indéfectible fouet, de drôles de spécimens que vous seriez pour autant averti, aujourd’hui, sur les règles et les usages d’un milieu underground fermé. Chez Castel ou n’importe quel dealer d’héro, vous récoltiez déjà plus d’informations.

          • Jean-Paul Brighelli 9 novembre 2023 At 14h14
            Si cela vous excite, je vous donnerai ses coordonnées — elle se fera un plaisir de vous effectuer un double fist pour 300 € de l’heure.

            Mais que vous êtes nul… Mais nul !
            Il n’y a que vous que cela excite, vous ne comprenez pas. Vos délires carnaval/donjon de chez Disneyland à 300 euros de l’heure ne font courir que vous (et p’t’être Papy aussi, soyons justes).

          • Jean-Paul Brighelli 9 novembre 2023 At 14h14
            Si cela vous excite, je vous donnerai ses coordonnées — elle se fera un plaisir de vous effectuer un double fist pour 300 € de l’heure.

            Mais ce n’est pas elle qui se fait fister par vos soins ?
            Et quand on sait votre nature, permettez-moi de vous dire, que 300 euros la passe suivie de 10 jours de convalescence ce n’est pas vraiment pas cher payé.

          • (Mais peut-être louer ses services pour fister Papy en lui disant bien que c’est de ma part, j’y songe…)

  10. a) Les libraires indiquent trois auteurs pour ce livre:L’utile et l’agréable -Mémoires d’escort
    De Franck Spengler, Jean-Paul Brighelli, Maïna Lercherbonnier
    Blanche

    Donc,on peut estimer que Maïna Lecherbonnier n’est pas un pseudonyme derrière lequel se cacherait le Maestro.

    b) escort (girl ), escorte et pute
    En Angleterre,une escort ce n’est pas exactement une pute;un homme d’affaires arrive dans une ville;il est seul;pour traiter,il va y avoir des déjeuners, des dîners…mieux vaut une présence féminine, une meuf pas moche, avec du vernis à ongles et un vernis culturel, une meuf assez distinguée qui ne jure pas avec le décor; Elle pourra éventuellement et sur demande offrir la baise en supllément (moyennant finances) mais ce n’est pas systématique.

    Donc une escorte n’est pas une pute;

    c) L’escorte,au sens premier, c’est militaire:des soldats qui vous protègent. Curieux que ce mot ait été choisi pour une dame de compagnie par intérim.

    d) Affinités du Maestro avec la putasserie.

    i) On se souvient de la première colle de philosophie (avec Gourinat père); n’ayant pas fait de terminale, le Maestro n’avait aucune base sérieuse pour traiter du « mode » (je crois) ;il improvisa un baratin complètement fumeux;au terme de la passe, Gourinat le regarda de derrière ses besicles et lui dit: »philosophiquement parlant, c’est nul, mais c’est tellement PUTE que ça pourrait presque passer ».

    Le mot était lâché,qui définissait un comportement.

    ii) On ne s’interroge pas suffisamment sur le psychisme du gigolo (y en a que pour les putes). Et pourtant la vie du gigolo est plus rude que celle de la pute:suffit pas d’écarter.

    Mauzi, qui aimait à se faire enkhulationner, fit au jeune cloutard la proposition suivante: »vous enfoncez votre grosse bite dans mon trou de balle, je dirige votre thèse et je veille sur votre destinée universitaire. »

    Le Maestro ne voulut pas prostituer son corps, déjà souillé par un viol (dont,selon Lormier, il ne s’est jamais remis.)

    Et oui, faire le gigolo,c’est aussi dégradant que faire la pute.

    iii) Qu’est-ce que « faire la pute » au sens figuré ?

    C’est, par exemple, écrire de petits articles putassiers et bien lécheurs sur Blanquer pour que celui-ci favorise la nomination à Thiers de l’hypostase qu’on veut garder au logis-alors que selon la règle commune, elle devrait partir pour Thionville.

  11. Dugong fait l’idiot (cela faisait unmoment que ce n’était pas arrivé).

    Dugong 9 novembre 2023 At 10h02
    « Comment les Américains font-ils pour connaître la bonne profondeur »

    L’important est d’exploser au bon moment…
    __________________________________________________________________________
    Evidemment;pour déterminer le « bon moment » il faut savoir à quelle profondeur se situe l’objectif.

  12. Dugong 9 novembre 2023 At 10h16
    Les réponses sont dans le site qu’il nous a communiqué.

    En effet, et c’est très bien de ne pas s’être contenté du résumé fourni par Lormier qui ne peut que féliciter Dugong d’y être allé voir.

    De même qu’une portière de bavaroise peut servir aussi bien à entrer qu’à sortir, de même un accéléromètre permet de mesurer aussi bien une décélération qu’une accélération.

    Il est peu du-bit-able que la bombe décélère quand elle pénètre dans le sol.

    Faut quand même que tous ces appareils soient rudement solides et protégés pour résister au choc.

    • « Faut quand même que tous ces appareils soient rudement solides et protégés pour résister au choc »

      Pour sûr ! Des trucs de militaires mais quand même pas façon Folamour…

    • des trucs de miltaires…alant trouver un ornithologue pour qu’il fournisse des vautours.

      «Quand la guerre a commencé, j’ai été approché par des réservistes…. On m’a demandé si mes oiseaux pouvaient aider en quelque chose», a dit à l’AFP Ohad Hatzofe, directeur du programme sur les oiseaux en voie d’extinction à l’Autorité israélienne de la nature et des parcs.

    • Clystère, clystère !
      Et merci pour vos essplications, toujours passionnantes !
      L’escort girl, à l’anglaise, ça me rappelle Christine Keeler, mais c’est une vieille histoire…

      • Je ne suis pas sûr que Christine Keeler puisse être considérée comme une exscort avant la lettre.

    • Faites une recherche. Maïna Lecherbonnier existe bel et bien, et a écrit plusieurs livres.
      Au passage, elle est mariée.
      Vous savez tout mais vous ne savez rien.

      • Sur un ton plus sérieux, Brighelli : Que voulez-vous que je fasse des confidences d’une bonne femme qui place une paire de Louboutin dans ce que l’Agréable peut-être à l’Utile, qui pratique son exercice dans un cercle ultra confidentiel qui la met à l’abri du véritable enfer quotidien de la profession.
        Vous savez où elle peut se la mettre sa paire de Louboutin au nom de toutes les gamines qui considèrent leur labeur comme ni agréable ni utile ?

  13. Rhoooo, ne nous dites pas qu’elle est aussi agrégée d’espagnol.
    Noooon, ne nous dites pas que c’est Margaux-les-bons-tuyaux !

      • Xanax vraiment ? Vous n’avez jamais écrit de roman érotique avec une agrégée d’espagnol, une ancienne élève, placée depuis dans une maison d’édition par votre entremise ?
        C’est un oubli qui vous place au stade 4 d’Alzheimer, vous savez.

        • Vous avez tout faux.
          Et ce à quoi vous faites allusion est oublié depuis dix ans.

  14. Si Margaux rêve de me fister ?… Et bien dans ses rêves, elle n’en a pas les moyens dans tous les sens du terme.

  15. Margaux-les-bons-tuyaux & Brighelli : on ne change pas une équipe qui gagne ?

    Pas cette fois, Jean-Paul

    • Elle, elle a fait comme ce vieil Hofmann et a trempé son doigt dans sa soupe de substances récréatives, et pas qu’un peu!

  16. Jean-Paul Brighelli 9 novembre 2023 At 18h40
    Plus aucun rapport avec elle depuis dix ans. The times they’re changin’
    _______________________________________________________________________

    De toute façon ,cette meuf ne vous a jamais plu:une bourge qui faisait partie de la bande qui tenait la créature à l’écart; et votre générosité envers elle n’a pas été récompensée ni même saluée.

      • Oui, oui, bourse malgré les 8 000 euros mensuels du compagnon de la mère (qui,bien entendu, ne faisait pas état de cette ressource).

        Et Margaux a séjourné en Espagne, grâce à Erasme, et elle a décroché l’agrégation d’espagnol.

        Mais ça ne fait rien;de toute façon elle est moche,alors que Jennifer… mamma mia …

  17. Jean-Paul Brighelli 9 novembre 2023 At 14h14
    « Si cela vous excite, je vous donnerai ses coordonnées — elle se fera un plaisir de vous effectuer un double fist pour 300 € de l’heure. »

    Pour un double fist, faut-il avoir deux anus?

    • La règle des trois doigts était très utilisée par ceux qui ne pouvait visualiser un produit vectoriel.

      Le contenu sexuel explicite de la règle des trois doigts n’était pas abordé en cours.

      PS les plus sagaces d’entre vous auront deviné que le produit vectoriel de l’éjaculation c’est le sperme.

  18. Mon amie Maïna Lecherbonnier est une « escorte »

    Pourquoi Maïna Lecherbonnier consacre-t-elle un chapitre à la loi sur la prostitution qui ne la concerne pas puisque elle est escorte ?

  19. Tiens, tiens… Le Maestro,avec ses copains, persuada Magnard de publier leurs bouquins de littérature;ces jeunes damèrent le pion à un auteur confirmé qui ne leur a jamais pardonné.

    Qu’est-ce qui avait fait la fortune de Magnard ? Le Maestro nous a appris que c’étaient les cahiers de vacances, invention des années 30, due à un représentant en papeterie.

    Et Maïna Lecherbonnier ? Son père vivait de ça, des cahiers de vacances.

    Coïncidence ?

    https://www.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2022/08/db79b282-3ed6-4cf8-bd25-71a9ee25d19c/860_80.webp

    • Quand je vous disais que le soir du 7 octobre ce fut la fête à VLG. Faut rester positif il reste au moins un juif à VLG, le grand remplacement est un mythe.

  20. Imbroglio One milite pour l’appauvrissement de la teneur en oxygène de nos fleuves et rivières. Les poissons inside viennent à la surface pour y crever et les cadres de la multinationale papiste célèbrent cette pêche miraculeuse en arborant une coiffe qui rappelle le sacrifice de la poissecaille sous les yeux de leurs maquereaux :

    https://img.lemde.fr/2023/10/29/0/0/7087/4725/664/0/75/0/76bf855_2023-10-29t111311z-69023264-rc2924aszbov-rtrmadp-3-pope-synod.JPG

    * la griffe Findus imprimée sur les coiffes a été supprimée faute d’accord financier sur les recettes

      • Il faudra bien se pencher sur la question de ces bilans carbone en explicitant en détail les procédures…

        Les traces de misogynie ne sont qu’un épiphénomène ainsi que les enculeries durant les mesures…

        • A 8h52 : enculade
          A 9h50 : enculerie
          Y a-t-il pour vous une nuance qui les différencie?
          Sinon, avec l’arsenal des suffixes nominalisants que notre langue vous fournit, il vous reste enculage, enculement, et enculation. Faites votre choix !

  21. Dugong 10 novembre 2023 At 9h59
    La règle des trois doigts était très utilisée par ceux qui ne pouvaient visualiser un produit vectoriel.
    __________________________________________________________________________

    Aidiez-vous ceux de vos élèves qui étaient dans ce cas ?

    Apparemment, cette règle s’enseigne encore (voir petit film signalé plus haut.)

    • Au lycée, cette règle permettait de déterminer la direction et le sens de la force de Laplace créée par un champ magnétique sur un courant. Ce n’est plus aux programmes (sauf prépas) depuis lurette…

  22. L’expression (si j’ose dire) « Ca sent l’enculerie » signifie un soupçon de manœuvre(s) dila(ta)toire(s) destinée(s) à infléchir * le cours désiré des choses.

    * encore les vecteurs !

  23. Henry Cochet 9 novembre 2023 At 21h44
    Eh ma grosse ! on attend toujours ta reconnaissance sur l’espace public !

    – Explique la raison pour laquelle le burkini est interdit dans les piscines publiques mais autorisé sur les plages publiques.

    – Donne-nous, le descriptif précis du foulard religieux dans un texte de loi visant à interdire son port dans la voie publique, ( et sans t’appuyer sur un texte appliqué dans une période d’ état d’urgence qui autorise l’application de mesures exceptionnelles et limitées dans un temps précis, imbécile !)

    • Pendant que tu y es, tu nous donnes aussi la raison pour la quelle une nonne à l’obligation de retirer son voile dans l’enceinte de l’assemblée Nat. quand la liberté lui est faite de le porter dans la rue. Bref, fais-nous la leçon sur ce qu’est un état de droit !

    • Il va de soi que tu fournisses le texte de loi dans lequel figure le terme de « burkini » interdisant son port dans les piscines publiques.

      Vas-y Ducon, trouve-le !

      • (Tu pourras toujours demander un coup de main à la caissière qui forte de sa formation juridique, elle est avocate, avait fait la promesse dans son programme présidentiel d’interdire le voile religieux islamique dans l’espace public.)

    • « la raison pour laquelle le burkini est interdit dans les piscines publiques mais autorisé sur les plages publiques »

      Quel rapport ? Le burkini ne dissimule nullement le visage.

      Et votre affirmation de départ est fausse : si la décision est habillement motivée, il est tout à fait possible d’autoriser le port du burkini dans une piscine publique – ce qui se fait déjà, de mémoire, à Nantes.

      « le descriptif précis du foulard religieux dans un texte de loi visant à interdire son port dans la voie publique »

      Le « descriptif » ? C’est Josip qui vous a appris le français ?

      Et sinon, vous avez le droit de me lire, avant de me répondre : si vous considérez que la loi de 2004 cible « le foulard religieux » dans une école, pourquoi donc la même expression (à savoir « signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse ») ne pourrait-elle pas le cibler tout autant… mais dans l’espace public (à transformation d’« élèves » en « individus » près) ? Encore une fois : l’argument technique est mauvais – parce que les musulmans sont globalement moins hypocrites que les demi-habiles.

  24. Roger Magnard,inventeur des Cahiers de vacances,décédé en 1973.

    Mïna Lecherbonnier née en septembre 1973.

  25. Dugong 10 novembre 2023 At 9h59
    La règle des trois doigts était très utilisée par ceux qui ne pouvaient visualiser un produit vectoriel.
    __________________________________________________________________________
    Il va sans dire (et encore mieux en le disant) que Maïna Lecherbonnier,quand elle enfonce trois doigts dans le trou de balle d’un magistrat afin de le faire jouir, n’applique pas la règle des trois doigts.

  26. Surprise, surprise –

    Le sirénien ayant forcé sur l’enc- (terminaison au choix), à défaut de rate, c’est son causement du matin qui s’dilate.

    Outre (glouglou, et surtout pas d’eau ferrugineuse, d’où ses deliriums), son attachement viscéral aux chapeautés du Vatican, on retrouve son attachement à Reporterre – le magazine, tellement qu’il est drôle, qu’il vous redonne même la pêche.

    Et d’ailleurs, la faune marine est cette fois à l’honneur, depuis « poiscaille », « corail *» , « saumon », jusqu’à « morues » et « maquereaux »…

    * Ce n’est pas dans Reporterre que l’on lirait un article signé d’un scientifique australien, spécialiste de la « grande barrière », récemment vidé de son labo, après avoir osé dire qu’elle «n’allait pas si mal », cette « grande barrière », alors que tous ses collègues dénoncent sa dégradation accélérée due, bien sûr, au réchauffement clim’.

    Quant à « la montée des eaux », partageons, avec le Figaro, cette excellentissime nouvelle neuve :

    https://www.lefigaro.fr/nice/face-aux-dangers-de-la-montee-des-eaux-pour-les-villes-cotieres-estrosi-chargee-d-une-mission-par-macron-20231109

  27. Dugong 10 novembre 2023 At 11h31
    Le père Lecherbonnier aurait piqué l’idée au père Magnard (?)

    Ce sont les cahiers de vacances qui ont permis la naissance des éditions Magnard,aujourd’hui propriété d’Albin Michel.

    Lecherbonnier,est-ce le nom de jeune fille de Maïna ?

    (Il est possible que le père de Maïna soit un héritier de Magnard Roger.)

  28. Un jour, le Maestro pondit un billet intitulé: »Comment j’ai écrit certains de mes livres ».

    Maïna va au bistrot pour écrire:elle a besoin de gens autour d’elle, qu’elle imagine à poil. Quand l’inspiration lui manque,elle va aux chiottes se masturber avec un godemichet;une meuf qui écrit avec sa chatte.

    On sait que Pierre Driout se mettait une plume dans le khul pour composer.

    Quant au Maestro,lui arrive-t-il de demander à son assistante de lui insérer un « plug » anal ?(prière d’insérer).

    Nous n’en savons rien;d’ailleurs le Maestro nous parle souvent de sa bite, jamais de son trou de balle.

    • Ainsi apportez-vous la preuve, IA Lormier, que le « Grok » de Musk, supposé tout faire « en profondeur », n’est que rien par rapport à vous !

  29. Voilà!
    Le père de Maïna, c’est bien Bernard Lecherbonnier,agrégé,auteur (y compris d’un manuel de lecture !), né en 1942.

    « Je vous avais prévenu : Bernard Lecherbonnier sait à peu près tout sur tout. C’est un gars épatant. Et encore, je n’ai pas dit le plus beau : il est le père d’une fille magnifique, Maïna, qui fait preuve, comme son papa, d’un éclectisme époustouflant : après avoir conçu des ouvrages scolaires pour les élèves de Djibouti, importé du café d’Ethiopie, vendu des livres neufs à prix d’occasion, écrit quelques romans pornos et usé quelques montures, la voilà partie chercher du pétrole quelque part, je crois, dans les sables de la Mauritanie. Quelle famille ! »

    https://www.lecheval.fr/article/leclectisme-decoiffant-de-bernard-lecherbonnier/2749

    (PS Les felmmes mariées qui conservent leur nom de jeune fille emmerdent le monde:elles achètent leur billet d’avion sous leur nom martital, puis se présentent à l’aéroport avec un passeport à leur nom de jeune fille et évidemment, elles ne peuvent monter dans l’avion.)

    • Il est interdit de changer de nom.

      Rien n’oblige la femme à prendre le nom de son mari. Au contraire, la loi du 6 fructidor an II, toujours en vigueur, prévoit que nul(le) ne peut porter d’autre nom que son nom de naissance.

  30. A quand une « grande marche civique » contre l’islamisme ?

    Jean-Luc Mélenchon, non content d’avoir fait sanctionner hier pour insoumission la députée (LFI) Raquel Garrido comme aux plus belles heures du stalinisme, a ainsi justifié par tweet sa rupture : « Dimanche, manif de « l’arc républicain » du RN à la Macronie de Braun-Pivet. Et sous prétexte d’antisémitisme, ramène Israël-Palestine sans demande de cessez-le-feu. Les amis du soutien inconditionnel au massacre ont leur rendez-vous ».

    Jean-Marie Le Pen avait son « détail », Mélenchon a son « prétexte » : de mêmes signaux qui entretiennent l’antisémitisme d’atmosphère constitué désormais, presque exclusivement, par la haine anti-juive de la culture islamique. Ceux du chœur des effarés qui ont accusé les « populistes » d’antisémitisme ont en réalité craché sur des lanceurs d’alerte. Honte à eux.

    • Je ne sais pas si JMP est antisémite mais il est certain qu’il a toujours montré un goût prononcé pour la provocation la plus outrancière, et contrairement à méchankhon il a fait preuve de courage en quittant les bancs de l’Assemblée pour le djebel. Ses états de service sont autrement plus étoffés que ceux de méchankhon qui depuis 30 ans vit des prébendes de la République ou du gonflage de ses frais de campagne quand il n’est pas occupé à sucer les babouches du hamas.
      JMP a bien fait quelques saillies provocatrices il y a dix ou vingt ans, mais cela me semble péché véniel à côté de l’antisémitisme forcené qui prévaut chez LFI, dans les banlieues du 93, ou celui plus soft de l’AFP.

      • JMLP fut surtout un homme de goût et d’intelligence, que la petite coterie de rue de la Victoire a voulu faire taire à grandes doses de moraline. Si demain ils se mettent à raser les murs à cause du déferlement migratoire qu’ils ont eux-mêmes produit, je ne bouderai pas mon plaisir.

  31. Pour la musique du gars du sud-ouest, vous saurez vous débrouiller seuls.

    Leïla si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs
    Leïla si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs

    Pas la peine de mentir
    Leïla sait ce que veut dire
    Ce feu sous les paupières blanches
    Qui fixe le dessous de ses hanches

    Ces mots humides de pluie
    Qui meurent aussitôt dits
    Ces corps tendus immobiles
    Après les éclairs faciles

    Leïla, elle les connaît trop
    Faux nez et faux numéros
    Même par terre, même morts
    Et quand même les plus forts

    Leurs phrases pleines de détours
    Qui craignent la lumière du jour
    Ils cachent tous quelque chose
    Ils chassent tous quelque chose

    Leïla, si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs
    Leïla, si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs

    Y a ceux qui pleurent de joie
    En ajoutant une croix
    Ceux qui l’aiment à tout jamais
    Et qui ont un avion juste après

    Ceux qui ont des barques sur la Seine
    « Trop loin pour que je t’y emmène »
    Ceux qui ont de l’or plein les châteaux
    Ceux qui ont des ports plein de bateaux

    Ils parlent tellement fort
    Ils sont tellement nombreux
    Qu’un soir de fatigue elle s’endort
    Contre la peau de l’un d’eux

    Pour peu qu’il soit d’une autre sorte
    Un peu moins menteur que les autres
    Elle aura le gris du matin
    Et les fleurs du papier peint

    Leïla, si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs
    Leïla, si tu savais les yeux qu’elle a
    Quand elle voit s’approcher les chasseurs, les chasseurs

    Leïla n’y peut pas grand chose
    Si elle a la fraîcheur des roses
    Elle est la cible de vos flèches
    Mais c’est pas vous qu’elle cherche

    Elle rêve d’un fragile, d’un fou
    Qui l’embrasse au quinzième rendez-vous
    Qui tremble en lui prenant la main
    Et surtout qui ne dise rien

    Leïla, elle les connaît trop
    Faux nez et faux numéros
    Même par terre même morts
    Et quand même les plus forts
    Ils cachent tous quelque chose
    Ils chassent tous quelque chose

  32. Dugong 10 novembre 2023 At 11h30
    Trois doigts qu’il faut positionner deux par deux à angle droit.
    ________________________________________________________________________

    Précisons que deux doigts sont dans un même plan, le troisième dans un plan qui lui est orthogonal.

    Tout dépend de la longueur des doigts et de l’élasticité du trou de balle.

    • @anti-abjects : Vous avez bien raison. bande de salopards, de fumiers, d’ordures.
      Toutes ces pauvres nanas, esclaves sexuelles. Ces gros bourges bien gras qui pleurent sur les Gilets Jaunes mais qui exploitent la misère sociale de pauvres filles pour satisfaire leurs gros appétits. Et en plus qui se font du fric avec des torchons de bouquins.

      Elle rêve d’un fragile, d’un fou
      Qui l’embrasse au quinzième rendez-vous
      Qui tremble en lui prenant la main
      Et surtout qui ne dise rien

      • Z’ont qu’à changer de bizeness les « esclaves sessuelles », pauvre exploitées, victimes de la « misère sociale » !

        Etait-ce si différent dans l’temps, avec les « maisons closes » ? Déjà, dans « le » (et il n’était pas le seul !) « Lupanar » de Pompéi, on pouvait choisir sa « prestation » ; il y en avait pas mal, sans compter les graffitis… de ces dames et de ces messieurs ;

        ça attire d’ailleurs les foules de visiteurs curieux… et pour cause !

        Au nom de quoi ça aurait changé ?! Toujours Et des clients Et donc de l’Offre ; c’est ainsi que les hommes vivent !

        https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/13/Pompeii_-_Lupanar_-_Erotic_Scene_-_MAN.jpg/440px-Pompeii_-_Lupanar_-_Erotic_Scene_-_MAN.jpg

        • C’est vrai ça, WTH. Les gilets jaunes, c’est tout pareil. Ils n’ont qu’à changer de métier pour avoir plus de fric. Dans l’ temps, comme vous dites, c’était déjà comme ça. Hein ma bonne dame ?
          Salauds de pauvres, faut bien qu’on les exploite.
          C’est ainsi que les hommes vivent !
          Du moment qu’elle a ce qui faut la grosse avec sa retraite de profession libérale et que ses gosses soient bien à l’abri. Sale connasse !

          • « L’égout séminal », ce n’est pas pour tous les goûts mais est-ce pour autant l’amer à boire ?

  33. Pas facile…
    Y en a qui ont essayé et qui, après leur échec, se sont déclarés peinés en se tordant les doigts.
    Oui …

  34. Un lointain lecteur 10 novembre 2023 At 19h30

    « …péché véniel à côté de l’antisémitisme forcené qui prévaut chez LFI »

    Sauf erreur, vous vous êtes récemment présenté comme « anti-sémite forcené. »

    • Lormier vous êtes infaillible! Et je crois pas que vous êtes une IA juste un prof à l’ancienne, que l’âge n’a pas atteint.
      Certes je suis anti-sémite à la façon des années 20/30, je conteste le poids des israélites dans notre société. Pas chez les médecins ou pharmaciens dont je suis, mais dans le spectacle, dans les médias, dans les émimences grises de nos présidents, dans les délires de nos sociétés il est rare de ne y trouver un théoricien juif…Drucker 50 ans, Elkabbach aussi, et BHL, Attali, Entovhen, Dray…
      Mais là-dedans rien de racial ni de folie, je ne désire ni Zyklon ni balle. Mais mon agacement est total lorsque qu’une vieille juive ayant fait fortune dans la fripe de luxe (Mme Cohen de Bonpoint) qui vit dans un hôtel particulier au pied de la tour Eiffel se met en tête de dynamiser Callac avec 50 familles de bougnouls.
      Quant à Israël c’est, pour moi, la nouvelle Sparte que je vénère.

  35. Qu’une meuf décide de conserver son nom de jeune fille après le mariage, d’ac. Mais qu’elle fasse pas chier en réservant son Paris Dakar sous son nom marital pour ensuite se présenter à l’aéroport avec un passeport établi à son nom de naissance!

    Et qu’elle fasse pas une crise parce qu’on lui refuse l’accès à l’avion;elle n’a à s’en prendre qu’à elle-même cette KHONNE !,cette abrutie

    C’était pourtant simple:elle n’avait qu’à réserver le billet sous son nom de jeune fille-celui qui est écrit sur son passeport cette abrutie !

    • On sent bien que IAL a loupé un week-end de baise à Marrakech parce que la meuf qu’il avait levée avait un passeport inadéquat.

      Rester en France aurait amélioré son empreinte carbone et contribué à la sauvegarde de la petite hôtellerie bordelière.

  36. @Dugong
    Dévérolage de ce blog…où l’on peut lire ceci au sujet de Le Pen père:
    « Je ne sais pas si JMP est antisémite »
    « il a fait preuve de courage en quittant les bancs de l’Assemblée pour le djebel. »
    « JMP a bien fait quelques saillies provocatrices il y a dix ou vingt ans, mais cela me semble péché véniel »
    « JMLP fut surtout un homme de goût et d’intelligence »

    Etes-vous bien certain que BdA est désormais dévérolé ?
    Alors ce blog a dû oublier de se laver le cul à la betadine rouge.

  37. Josip, « maintenant » que vous avez eu six mois pour réfléchir, le peuple attend toujours de savoir si l’on peut être français en dépit des Français…

    • Le peuple français que je connais a largement et intelligemment répondu à cette question. Répondre intelligemment à une question idiote est un signe de grande maturité.
      La preuve : le peuple sait qu' »on » peut être un gros connard en dépit du fait qu’ « on » se la pète en se croyant intelligent.
      Pour votre prochain pseudo, je vous propose Henry Dicule.

          • C’est l’histoire d’un juif qui a fuit les pogroms d’Europe centrale pour venir en France. Il souhaite changer de nom afin d’échapper à l’antisémitisme et s’explique auprès de l’administration française.
            « Comment vous-appelez-vous » lui demande le fonctionnaire?
            « Katzmann » répond le réfugié…
            « Très bien Monsieur! Nous allons franciser votre nom: désormais vous vous appelerez Chalom! »

  38. La presse : « Yahya Sinwar, ennemi numéro un d’Israël et chef du Hamas à Gaza? »

    Avec ou sans chef de guerre ?

  39. Dugong 11 novembre 2023 At 8h43
    « L’égout séminal », ce n’est pas pour tous les goûts mais est-ce pour autant l’amer à boire ?
    __________________________________________________________________________
    Dugong a suivi l’excellent lein aimablement proposé par WTH-que je remercie au passage

    En effet, le besoin sexuel masculin est considéré comme irrépressible et exige d’être assouvi. C’est le rôle de la prostituée qui assure de la sorte la fonction d’égout séminal (c’est l’expression de l’époque). Elle doit être « bonne travailleuse, automate, et surtout mauvaise jouisseuse » (Alain Corbin, Les Filles de noce, Misère sexuelle et prostitution au XIXème siècle).

    Est-ce une coincidence ? abcmaths parle aussi d’égout:

    abcmaths 10 novembre 2023 At 20h28
    « ….Précisons que deux doigts sont dans un même plan… »

    Le plan des égouts ?
    Oui…

  40. Dugong 11 novembre 2023 At 8h49
    On sent bien que IAL a loupé un week-end de baise à Marrakech…
    ___________________________________________________________________________

    Marrakech, et même Djerba, c’est fini depuis longtemps pour Lormier;quel dommage ! Les terroristes fréquentent ces lieux,les rendant impropres à la pérégrination touristique.

  41. Bernard Lecherbonnier,père de Maïna, est de onze ans plus âgé que le Maestro. Il semble qu’ils aient eu des idées voisines sur l’enseignement du français et des ennemis communs:

    Pourquoi veulent-ils tuer le français ? Tel est le titre de l’ouvrage récent de Bernard Lecherbonnier (2005), qui ne craint pas d’user des procédés rhétoriques les plus éculés, dans ses moyens d’expression comme dans sa thématique1. Puisant à la veine conspirationniste du pamphlet2, il veut dénoncer le fruit des agissements de la « cinquième colonne » – titre du premier chapitre – ou l’effet de la « trahison des clercs » – titre du deuxième chapitre3. Dans celui-ci, l’auteur s’en prend à Alain Viala (l’un des concepteurs principaux des derniers programmes de français pour le lycée) et donne à juger de la rigueur de sa propre pensée par cette envolée à relents révisionnistes :

    L’objectif d’Alain Viala est clair : émasculer la littérature, en faire une catégorie de la communication, supprimer toute référence à la notion de style, évacuer toute idée d’esthétique. Aucun régime totalitaire n’a eu l’audace de pousser la censure jusqu’à cette limite. On a vu des régimes expurger la tradition littéraire de leur pays, expulser des écrivains à cause de leur origine ethnique ou religieuse – ainsi des nazis condamnant les écrivains juifs à l’oubli –, à cause de leurs opinions politiques ou de leurs convictions morales, mais on n’a jamais vu, à l’instar des talibans, des censeurs à ce point altérés de haine contre l’humanisme condamner la littérature au motif qu’elle est littéraire, pour ce qu’elle contient de littérature.

    https://journals.openedition.org/lidil/51

    Quant à Bernard Lecherbonnier « inventeur des cahiers de vacances », c’est une blague de sa fille-qui n’est pas à un bobard près. Je vois très bien cette meuf,qui est marié, mais a gardé son nom de jeune fille, se présenter à l’aéroport avec un billet pour Munich au nom du mari et son passeport au nom de Lecherbonnier, faire un scandale parce qu’évidemment on ne la laise pas monter dans l’avion.
    elles sont comme ça, les bourges, elles croient que tout leur est dû,elles font des khonneries mais ensuite s’en prennent aux petits employés qui eux sont tenus à des règles.

    elles nous font CHIER,ces abruties !

  42. Josip Gavrilovic 11 novembre 2023 At 8h54
    @Dugong

     » ce blog a dû oublier de se laver le cul à la betadine rouge. »

    Pierre Driout se plaint d’être forcé par Dugong à s’appliquer ce traitement;ça pique !

    • @Lormier
      Non justement la bétadine rouge ne pique pas surtout si l’infirmière a pris la précaution de la diluer, non pas dans de l’eau douce, mais dans du salé à 0,9%, 9 pour mille,….

      • (Et Maïna : on dirait quoi ? Petit chaton aux yeux aussi charmants qu’elle n’est menteuse, dans la contradiction constante, en proie à une apparition de surmoi pour se convaincre qu’elle n’a jamais fait la pute trahie par sa difficulté à ne pas pouvoir s’adresser de face :
        https://www.youtube.com/watch?v=nbvJBQY0RNU
        Et quand Maïna se défend de faire de la prostitution, expliquant que cette dernière pratique n’est pas jolie, on se rappelle à Madame Clause qui avait repris une nouvelle pensionnaire persuadée de cette même différence et de lui rappeler que s’il venait à un client l’envie de la traiter de pute, ça n’était en rien une insulte mais un fait )

  43. Lormier 11 novembre 2023 At 13h27
    Bernard Lecherbonnier,père de Maïna, est de onze ans plus âgé que le Maestro. Il semble qu’ils aient eu des idées voisines sur l’enseignement du français et des ennemis communs:
    Et oui !
    La Fabrique du Crétin
    La mort programmée de l’école
    De Jean-Paul Brighelli
    Préface de Bernard Lecherbonnier
    Folio

    Je vois le topo:le Maestro rencontre le père qui a des idées voisines;chez le père,il voit la fille et en profite pour la draguer.

    Un tout petit monde.

  44. « Aux curetons qui savent pourtant en confession ce que sont les faiblesses humaines ?  »

    Ce n’est pas parce qu’ils les connaissent qu’ils les approuvent.

  45. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 14h12
    Mais non !

    OK,j’ai dit « il est possible »…Auriez-vous la bonté de nous expliquer pourquoi votre Maïna raconte que son père a « inventé les cahiers de vacances  » alors que l’invention date des années 30 et est due à Roger Magnard ?

    Une affabulatrice ?

    • J’ai dit:il est possible et j’ai ajouté:à vérifier.

      ( Quant à la carrière d’escorte de Maïna, là aussi,je pense qu’il faudrait vérifier.Ce ne serait pas la première fille à papa qui s’invente des canailleries pour vendre des bouquins.)

  46. Moi,une meuf qui raconte qu’elle se balade toujours avec un vibro et que,quand elle n’a plus d’inspiration, elle va dans les toilettes du bistrot se passer un petit coup de vibro pour que l’écriture reparte…ça me fait doucement rigoler et ça ne me donne pas envie de la lire.

    Est-ce que le Maestro se fait mettre une plug vibrante dans le trou de balle pour écrire ses billets et ses manuels de littérature ?

    Et en plus,elle dit:comme ça, c’est comme si je me faisais baiser par un mec:l’homme-objet, réduit à sa pine.

    • Oui mais elle a des excuses, son père était parfois en pleine confusion, c’est pour ça .
      Oui…

  47. Monde de plus en plus incompréhensible: en Angleterre les pro-palestiniens ont choisi le 11 novembre pour manifester…et les hooligans ont prévenu:qu’ils ne s’approchent pas du cénotaphe,sinon,ils auront affaire à nous!

  48. La préposition « par » (RAPPEL:les prépositions sont des putes)

    On dit par exemple:

    Je l’ai baisée trois fois cette nuit; par Jupiter,quel bon coup !

    Je l’ai connue par hasard.

    Je l’ai étudiée par le menu

    « … je l’ai connue par Spengler dix ans plus tard. »

    On voit que dans ces quatre exemples « par » n’a pas du tout le même sens.

    Le quatrième est intéressant : ici , »par » semble être un peu elliptique;on serait tenté d’ajouter quelque chose: « par l’intermédiaire de », « par l’entremise de »… seulement voilà on glisse vite vers « entremetteur », ce que , certainement le Maestro veut éviter à tout prix.

    Il y a aussi « par le truchement »,expression que Lormier trouve grotesque et n’utilise jamais.
    (Par curtiosité ,il a cherché l’étymologie:lustucru, ça vient du turc « dragoman » !)

    Il aurait pu écrire:je l’ai rencontrée chez Spengler, c’eût été neutre, trop neutre. Non , Spengler a bien été l’intermédiaire; il a présenté le Maestro à la jeune femme…qui aussitôt s’est mise à minauder comme une adolescente.

  49. Minaudant comme une ado d’accord, c’est assez banal mais s’occupait-elle aussi des poules chez Spengler ?
    Oui…

  50. Maïna Lecherbonnier,qui est mariée, garde son nom de jeune fille. Par esprit d’indépendance,nous dit-on.

    Mon khul!

    Quand on est une fille à papa et que le nom de papa vous ouvre des portes,on a tout intérêt à le garder.

  51. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h39
    Mais vous êtes jaloux ET libidineux, dites-moi…
    ________________________________________________________________________

    Jamais je n’aurais cru que mes remarques sur la préposition « par » pussent révéler tant de secrets!

    Maestro,vous êtes extra-lucide.

    • IAL / « Jamais je n’aurais cru que mes remarques sur la préposition « par » pussent révéler tant de secrets! »

      Même quand vous vous prépositionnez en disant « Je l’ai baisée par trois fois cette nuit » ?

  52. Dugong 11 novembre 2023 At 18h47
    « Je l’ai baisée trois fois cette nuit »

    Ca ,c’est un exmple qui pourrait figurer dans une grammaire. 3Je » ne désigne personne en particulier.

  53. Lormier 11 novembre 2023 At 16h45
    Vous envoyez vos contrepèteries trop rapidement;prenez votre temps.

    Résultat: ce garnement d’abcmaths les envoie encore plus vite.

  54. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    Les filles venaient aux Editions Blanche par dizaines, sans que j’aie besoin de les y introduire… L’idée d’être éditée pour raconter leurs histoires de cul les faisait bicher. Elles sont ainsi.
    __________________________________________________________________________

    Tiens.

    Certaines histoires devaient être plus publiables que d’autres.

    • …Moins de 500 habitants ! Ces salopards sont partout ! qu’ils soient « maudits » !
      J. Fourquet montre très bien (chiffres à l’appui, évidemment, c’est Fourquet !), sur FP il me semble, que ce sont eux l’électorat de LFI.
      Ruffin est d’une bêtise crasse ; les autres sont du même tonneau – de la piquette – voire pire encore !

  55. « l’histoire d’un juif qui a fuit les pogroms d’Europe centrale pour venir en France. Il souhaite changer de nom afin d’échapper à l’antisémitisme »

    Tout est dit. Le type ne veut pas s’assimiler, il veut éviter le pays qui l’accueille.

  56. Ruffin est à mourir du rire : un mongolito incapable d’aligner trois mots sans bégayer mais qui fait se pâmer les bourgeois qui croient sans doute qu’il incarne le peuple. Une sorte de détecteur à bourgeoillons finis à la pisse. Hâte de le voir se prendre la branlée qu’il mérite à la présidentielle !

  57. Je sors horrifié de la lecture de ce billet. Comment JP peut-il encore se livrer à des incitations à la débauche pareilles, sachant que son blog était encore il y a peu parcouru à la récré par de jeunes créatures à peine nubiles avides de savoir !?

    Je renouvelle la résiliation de mon abonnement à Bd avec la plus grande détermination car comme me le chuchote à l’oreille mon cher Euripide:

    « Heureux ceux qui, ignorant les excès d’Aphrodite, goûtent les plaisirs de la déesse avec modération et dans un calme étranger à ses violents transports, alors qu’Eros à la chevelure d’or décoche le double trait des voluptés, l’un pour nous procurer un heureux destin, l’autre pour bouleverser notre vie »

    Le regard exalté tourné vers les cieux infinis, j’interroge alors les dieux à qui j’ai confié l’écriture de ma success-story:

    -Ô dieux qui régnez là-haut sur mon âme impuissante et tourmentée, pourquoi m’avez vous doté en même temps d’un cerveau sur-dimensionné et d’une mentule de taureau ?!

    -C’est pour mieux te faire apprécier la geste brighelienne, mon gros bébé couillon …

  58. Jean-Paul Brighelli
    11 novembre 2023 At 18h39
    (…) le Sigmund de service qui fait la psychanalyse de tout le monde ici…

    A ce jour, ont été drôlatiquement décryptés : Brighelli, Flo-gerard, Lormier, Dugong, Gavrilovic.
    Celles et ceux qui ne sont pas encore passé.e.s dans mon service de scanner/IRM/échographie/radiographie ne perdent rien pour attendre.

    PS : « Sigmund de service »? Plutôt de serre-vices (au sens policier de « serrer » quand ils « serrent » les délinquants…).
    Merci de votre attention.

  59. Je suis curieux de savoir comment réagiraient JPB et tous ses lecteurs si leurs filles (ou leurs fils) leur annonçaient qu’elles ont choisi la profession de prostituée.
    C’est le test imparable pour évaluer la qualité d’une profession.

    Autre sujet: je suis étonné du nombre de commentaires générés par ce blog, la fesse est vraiment un sujet qui passionne.

  60. @d’Artagnan
    Tu vois ce que je t’avais dit ? Retourne-donc à ta thèse. Ils sont gâteux ici.
    Ça radote, ça ressasse. Des vieux qui n’ont plus de filtres, plus de barrières, plus de dignité. Ça s’étale sans vergogne. Je suis vieux, j’ai le droit de tout. Tu sais, souvent, ils te doublent sans gêne dans une file d’attente. Je suis vieux, tout m’est permis. Il n’y a que moi qui compte. Ils ont perdu toute générosité, tout altruisme ( pour ceux qui en avaient avant ), toute empathie ( envers ces pauvres gamines prostituées et envers ceux qui souffrent ) ils sont concentrés sur eux seuls, obsédés par eux-mêmes, leur petite santé, leurs petits vaccins, et surtout leurs petits plaisirs ou leurs fantasmes de plaisirs. Gâtisme ou retour à l’enfance. Ils tournent avec quelques mots de vocabulaire et toujours les mêmes, s’amusant avec trois ou quatre mots comme font les enfants en bas âge. “Trou de balle”. Ah, celui-là, ils peuvent se le renvoyer de réplique en réplique sans jamais se lasser. Cela les émerveille à chaque
    fois. On dirait des personnages de Beckett. Laisse tomber, d’Artagnan. Ils ont déjà un pied dans la tombe et ont perdu toute humanité. Ils attendent la dernière Prestation : elle sera gratuite celle-là et ne fera souffrir qu’eux-mêmes.

  61. Dugong 12 novembre 2023 At 7h41

    Même quand vous vous prépositionnez en disant « Je l’ai baisée par trois fois cette nuit » ?

    J’avais écrit: » Je l’ai baisée 0 trois fois cette nuit  »

    « par trois fois » est différent de « trois fois » .

    Quelle est la nuance ?

    A prmière vue, je dirais que « par trois fois » suggère une difficulté et peut-être l’échec.

    « Par trois fois,ils montèrent à l’assaut des remparts et par trois fois les assiégés les repoussèrent par des salves de grille-pains. »

    • « A prmière vue, je dirais que « par trois fois » suggère une difficulté et peut-être l’échec. »

      Foutaises projectives…

  62. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    Les filles venaient aux Editions Blanche par dizaines, sans que j’aie besoin de les y introduire… L’idée d’être éditée pour raconter leurs histoires de cul les faisait bicher. Elles sont ainsi.
    __________________________________________________________________________

    Je crois percevoir dans ce propos un soupçon de mépris, de misogynie.

    • « Je crois percevoir dans ce propos un soupçon de mépris, de misogynie. »

      @Prophète Mao
      Il faut être une femme qui pour relever la misogynie de la remarque, il n’y a qu’une femme pour être aussi jalouse que ne l’est Lormier du ravissant chaton en objet… Si Lormier devait se montrer jaloux de JPB en tant qu’homme, il s’en prendrait directement à JPB. CQFD

      • Amusant. Ce n’est pas la première fois que je fais la remarque : mais dès qu’un soupçon est porté sur votre « complice », vous sortez du bois pour démentir.
        Lormier serait-elle jalouse que vous n’ayez pas seulement écrit un manuscrit avec elle mais aussi avec une autre, et ravissante de surcroît ?
        Ça y ressemble fort…

      • Oups, au temps pour moi, Brighelli vous répondiez à Lormier… Mais vous abondiez dans mon sens.

        Oui, un homme y voit du réalisme quand une femme y verrait plus facilement une attaque misogyne.

  63. Quand on est à Paris,dans le métro,à la station Etoile, on peut rejoindre la station Nation en empruntant la ligne 2 (au Nord) ou la ligne 6 (au Sud). Il y a un panneau pour cette ligne qui dit:

    Nation PAR Denfert. Le métro passe PAR la station Denfert-Rochereau.

    Elle, je l’ai connue PAR Spengler. Je suis passé PAR Spengler pour la rencontrer.

  64. A Londres, les hooligans avaient prévenu:si les pro-palestiniens s’approchent du cénotaphe,on les butera.

    Mais,finalement, il n’y a pas eu d’incident;la police était nombreuse; elle eut à calmer les hooligans,qui cherchaient la bagarre. Les pro-palestiniens ne firent pas mine de vouloir souiller le cénotaphe;

    Quant aux pro-palestiniens certains portaient des keffiehs, ou même des serre-têtes portant des inscriptions en arabe ,qu’on a prises à tort pour des signes d’allégeance au Hamas.(Ce n’était que la chahada.)

    Je pose quand même une question:est-ce qu’un athée, choqué par le massacre d’enfants palestiniens , peut défiler afin de manifester sa désapprobation sans pour autant singer les musulmans ?

  65. Il y a bien sûr le cas de figure où la prestation se transforme en Prestation.
    Félix pourra vous en parlera le moment venu. Vous pourrez “échanger”.

  66. Comme Mélenchon, Macron demande à l’armée israélienne de ne plus attaquer le Hamas.
    Comme Mélenchon, Macron refuse de participer à la manifestation contre l’antisémitisme.

    Puisque Macron s’aligne scrupuleusement sur la position de Mélenchon, pourquoi ne l’appelle-t-il pas comme premier ministre?
    Mieux, pourquoi ne lui cède-t-il pas sa place à l’Elysée?
    De la cohérence!

  67. Henry Cochet
    11 novembre 2023 At 22h48
    Ruffin est à mourir du rire.

    La suite du message ci-dessus n’ayant pas le moindre intérêt, je m’abstiens de la citer.
    Ruffin est bourré de défauts, c’est certain. A mes yeux il a une qualité qui lui vaut mon respect : il est un député qui se préoccupe réellement (et pas uniquement en paroles) des citoyens de la circonscription où il a été élu. Ils ne sont pas nombreux, au Palais Bourbon, à pouvoir en dire autant.
    Le post de Fregoli montre bien hélas que « voici le temps des Assas-sins ». C’est un post qui manque de sobriété. C’est un post de mec bourré.
    « Voici le temps des assassins », c’est la dernière phrase du poème en prose de Rimbaud intitulé « Matinée d’ivresse ». Avec Fregoli, un samedi soir à 22h48, c’est plutôt « Nuit de cuite ».

    • « La suite du message ci-dessus n’ayant pas le moindre intérêt, je m’abstiens de la citer. »

      Vu comme ça…

      « il est un député qui se préoccupe réellement (et pas uniquement en paroles) des citoyens de la circonscription où il a été élu »

      Ruffin permet surtout à trois bourgeois qui n’ont jamais vu un plouc de croire qu’ils sont du bon côté de la barrière. Une énième métamorphose du duel entre gauche bourgeoise et gauche marxiste. Il faut ne jamais avoir vu un pauvre de sa vie pour croire que « la fête à Macron » fut une marque de préoccupation à l’endroit des prolos.

      « Ils ne sont pas nombreux, au Palais Bourbon, à pouvoir en dire autant. »

      Oh ! il y en a d’autres. Meyer Habib par exemple, défenseur de la cause juive devant l’Éternel.

      « Avec Fregoli, un samedi soir à 22h48, c’est plutôt « Nuit de cuite ». »

      Que c’est poussif ! Deux paragraphes et dix phrases pour en arriver là…

    • « il est un député qui se préoccupe réellement (et pas uniquement en paroles) des citoyens de la circonscription où il a été élu »

      Dans la tradition RéPubLIcaInE, un député est représentant de la Nation – et non de sa circonscription. Ruffin n’est donc pas RépUbLiCaiN.

      • « Dans la tradition RéPubLIcaInE, un député est représentant de la Nation – et non de sa circonscription. »
        Ai-je dit le contraire ?
        Un député est un représentant de la Nation, au sein de laquelle il est également un représentant du peuple.
        Les citoyens de sa circonscription sont en droit de lui demander des comptes. Ils le font. Et Ruffin rend compte de ce qu’il a FAIT.

        • Dans cette mythologie, le député, représentant de la Nation, ne se préoccupe pas plus des citoyens de sa circonscription que des autres, et il ne leur rend pas plus de comptes. La tournure de votre phrase laissait entendre que ce n’était pas tout à fait le cas pour Mongolito.

          Cela étant, on peut aussi ne pas se laisser abuser par les mythes, surtout quand ils ont la lourdeur du républicanisme classe sixième.

  68. Dugong 12 novembre 2023 At 13h30
    « A première vue, je dirais que « par trois fois » suggère une difficulté et peut-être l’échec. »

    Foutaises…

    __________________________________________________________________________

    D’ac.

    Alors quelle est la nuance ?

  69. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    Les filles venaient aux Editions Blanche par dizaines…

    Les « filles »;certaines avaient la trentaine.

  70. « par trois fois »;il y a une idée d’insistance.

    Il a tenté l’Everest par trois fois;la troisième fois,il faillit perdre la vie.

    Par trois fois,elle s’est rendue au commissariat pour dire que son mari la battait;on n’a pas voulu enregistrer sa plainte. Finalement,elle est morte sous les coups. (Son mari était très costaud et il n’avait pas de sur-moi,seulement un survêtement.)

  71. Lormier
    12 novembre 2023 At 14h17
    Comment caractériseriez-vous la nuance entre : »trois fois » et « par trois fois » ?

    Il me semble que « par trois fois » est à rapprocher de : « il est toujours par monts et par vaux » et de « la nouvelle se répand par le monde.
    Dans « par trois fois » comme dans les deux exemples à l’instant cités, « par » introduit l’idée de déplacement.
    Déplacement spatial d’un endroit à l’autre du monde : la nouvelle se répand par le monde
    Déplacement spatial d’un mont à l’autre et d’un val à l’autre: être par monts et par vaux
    Déplacement temporel d’un moment à un autre : par trois fois. Par introduit l’idée d’une dynamique, absente dans le statique « trois fois », selon moi.

    • Hum…j’ai du mal à vous suivre; »trois fois », c’est forcément successif;ça ne peut pas être « statique ».

      « Mediapart met en ligne une transcription de la fameuse réunion du 8 novembre dans les bureaux de la fédération française de foot, où des propos discriminatoires auraient été tenus. Les intervenants ont franchi la ligne jaune par deux fois. La première par Laurent Blanc, sélectionneur des Bleus … »

      https://www.liberation.fr/sports/2011/05/02/blacks-et-binationaux-laurent-blanc-a-bien-franchi-la-ligne-jaune_732706/

      « par deux fois »;la deuxième est plus grave que la première:ils aggravent leur cas.

      Brighelli s’est montré misogyne par deux fois:la première ,en parlant des « filles » qui adorent raconter leurs histoires de cul et les faire éditer, la seconde en niant qu’il y ait de la misogynie dans le propos; »simple réalisme ».

      En somme,il en remet une couche.

  72. Elle ne vit pas d’inconvénient à ce que je lui introduise l’index puis le majeur dans la chatte et même elle aimait ça;par trois fois,je tentai aussi de glisser mon pouce dans son trou de balle pour lui faire la célèbre pince de homard brighellienne ;par trois fois elle serra les fesses pour empêcher la manoeuvre.

    Hélas je n’ai le doigté ni la force de persuasion du Maestro.

    • Si vous faites ça dans le métro (voire le RER B), je vous garantis que vous allez vers de graves ennuis.

  73. Lormier
    12 novembre 2023 At 15h20
    Hum…j’ai du mal à vous suivre; »trois fois », c’est forcément successif;ça ne peut pas être « statique ».

    « Trois fois » est plus statique que dynamique dans la mesure où l’énonciateur se limite à faire le compte, se contente de compter ou de donner le résultat chiffré d’un compte.

    « Par trois fois » : « par » ajoute qqch. Je vous suis quand vous y voyez de l’insistance, i.e. une valeur modale. Cette valeur modale n’est pas incompatible avec l’idée de « dynamique » que j’y vois : on ne se contente pas de faire le compte, on décrit un parcours (déplacement temporel) qui aboutit à un sentiment d’accumulation/insistance (valeur modale).

    • « ‘‘Par trois fois’’ : ‘‘par’’ ajoute qqch. »

      Quel fin limier…

      « de l’insistance, i.e. une valeur modale »

      Réinventons la grammaire, tiens !

  74. « de l’insistance, i.e. une valeur modale »
    Réinventons la grammaire, tiens !

    Réflexion stupide, caractéristique de l’ignare fier de l’être. Alors lisez et apprenez :
    A. Culioli propose une typologie des modalités réduite à quatre grands types, numérotés de 1 à 4 :

    – Modalité de type I : modalité de l’assertion (positive ou négative), qui inclut également l’interrogation, l’injonction (ou impératif) et l’ assertion dite “ fictive ”.
    – Modalité de type II : modalité épistémique, qui établit une relation entre l’énonciateur et le contenu propositionnel de son énoncé; il s’agit d’évaluer quantitativement les chances de validation de la relation prédicative.
    -Modalité de type III : modalité appréciative, qui renvoie au jugement qualitatif de l’énonciateur.
    – Modalité de type IV : modalité intersubjective par laquelle l’énonciateur essaie d’influer sur autrui ; cette modalité s’exprime notamment dans la valeur dite déontique des auxiliaires modaux.

    L’insistance, au sens où l’entend Lormier, est une modalité de type 3, modalité appréciative.
    Si vous pensez que seuls les auxiliaires modaux véhiculent de la modalité, oubliez la grammaire, oubliez la linguistique, et tournez-vous vers la natation ou le macramé, vous y serez plus à votre aise.
    Guignol !

    • Vous confondez la valeur et le procédé. L’insistance n’est pas une modalité, ça ne voudrait rien dire ; l’insistance est le moyen d’expression d’une modalité.

      L’appréciation (au sens culiolien) qu’a l’énonciateur n’est pas « j’insiste » ; c’est plutôt parce que l’énonciateur a telle appréciation qu’il insiste.

      Le cratylisme illogique a de beaux jours devant lui.

        • « l’insistance est le moyen d’expression d’une modalité »
          Phrase d’une stupidité abyssale, qui montre que dans ce domaine vous ne maîtrisez rien, que dalle, nada, nothing.
          Dans l’énoncé : « elle a déposé plainte par trois fois », « par » indique de la part de l’enonciateur un jugement qualitatif.
          Ce jugement qualitatif – dont le moyen d’expression est « par » (l’insistance n’est pas un moyen d’expression, pôvre benêt d’ane ! le moyen d’expression, c’est « par »…) – entre dans la catégorie « modalité appréciative » telle que définie par Culioli.
          L’insistance est UNE – parmi d’autres – valeur modale appréciative dont ici le moyen d’expression est « par ».
          Quand vous dites « l’insistance est le moyen d’expression d’une modalité », vous montrez que vous ne captez strictement rien au technolecte culiolien. En soi, ça n’aurait rien de déshonorant si vous ne preniez pas la posture de celui qui sait, mieux que tout le monde…
          Guignol !

          • « Dans la phrase, ‘‘le petit chat est rouge’’, comment exprime-t-on la couleur ?
            — Par un adjectif ?
            — Non, par ‘‘rouge’’, abruti ! »

          • C’est comme si vous me disiez que la répétition ou l’accentuation tonique d’un terme était une valeur modale… Non, ce sont des modalisateurs d’une certaine valeur modale définie par le contexte. Il n’y a que chez Cratyle qu’on confond les deux.

          • Autre exemple : le conditionnel n’est pas une valeur modale ; c’est un modalisateur d’une certaine valeur modale (ici de type II), à savoir la potentialité ou l’irréalité par exemple.

            Après, si vous n’êtes pas capable de faire la différence entre « conditionnel » et « il irait », ce n’est plus vraiment mon affaire.

        • Je vous sais assez peu saussurien, mon cher Josip, mais faire la différence entre signifiant et signifié, procédé et valeur n’est quand même pas le bout du monde.

          • Continuez à ramer, votre terre promise n’est pas encore en vue.
            Avec vos connaissances très généralistes et souvent vagues*, vous pouvez impressionner votre famille, vos amis, vos potes d’Assas, vos collègues apprentis juristes qui souriront à vos blagues à deux balles. Avec eux, vous pouvez faire illusion. Mais avec ceux qui savent un peu de quoi ils parlent, ça ne marche pas.

            *Si vous voulez être un minimum crédible, confrontez-vous à de vrais phénomènes linguistiques (comme Lormier l’a fait avec « par ») et proposez-en une analyse fondée en théorie (quelle que soit la théorie), en évitant les paillettes, la poudre aux yeux, le « m’as-tu-vu-isme » qui vous caractérisent trop souvent.
            Par exemple : « Il a BEAU être expert, là il se trompe ». Que vient faire l’adjectif « beau » ici ?
            Autre exemple où vous pourriez exercer vos supposés talents : « She says she is innocent. I DO believe her. » Pourquoi DO? Et pas simplement « I believe her » ?
            Allez, un petit dernier pour la route : pourquoi la question « May this be the satisfactory explanation ? » n’est-elle pas recevable ?
            Allez, Fregoli, sortez de votre zone de confort où c’est votre phraséologie qui vous donne ce sentiment illusoire de maîtriser le truc. Confrontez-vous à la langue, et aussi à la parole !
            Sinon, faites l’économie des leçons que vous prétendez donner.

          • Partie 1 : vous êtes incompétent.
            Partie 2 : que pensez-vous de… ?
            J’aurais préféré « Partie unique : vous avez tort sur notre sujet parce que x, y, z ».

            Quand on vient de prendre une volée, on évite d’accuser les autres sans démonstration ou de changer de sujet.

          • Et puisque ma vie a l’air de beaucoup vous intéresser, j’ai quitté Assas en fin d’année dernière. Soutenance prévue en fin d’année prochaine.

          • Fregoli face à la langue et à la réalité de la parole, face à l’analyse linguistique, c’est ce guitariste inspiré à l’air extatique dont les doigts virtuoses courent sur le manche et qui, une fois le morceau terminé et l’instrument remis dans sa housse, dit : « La prochaine fois, j’essaie avec les cordes. »

          • Bla-bla-bla… Toujours aucun début de démonstration. Vous aurez remarqué que lorsque je me permets certains scuds gratuits, il y a toujours à côté une démonstration (bonne ou mauvaise, ce n’est pas la question).

            Il faut arrêter le méta-bloquant !

          • Quand on en est réduit à affirmer l’incompétence de quelqu’un, c’est qu’on est incapable de la prouver… Las !

          • « Quand on vient de prendre une volée, on évite d’accuser les autres sans démonstration ou de changer de sujet. »
            Parole de spécialiste : prendre une fessée et affirmer avoir l’avoir donnée à votre interlocuteur, c’est votre signature.
            Mais au cas où vous n’auriez toujours pas compris, personne n’est dupe, mon pôvre.
            Vous avez BEAU persister, vous êtes percé à jour.

            Alors, Fregoli, que vient faire ce BEAU ?
            Nous attendons votre soutenance.

          • Henry Cochet
            12 novembre 2023 At 18h17
            Partie 1 : vous êtes incompétent.
            Partie 2 : que pensez-vous de… ?
            J’aurais préféré « Partie unique : vous avez tort sur notre sujet parce que x, y, z ».

            Non.
            Partie 1 : je sais que vous êtes incompétent car vous nous l’avez déjà montré
            Partie 2 : l’évaluation à laquelle je vous soumets le démontrera de façon irréfutable.

            On attend vos analyses des trois phénomènes linguistiques que je vous ai proposés.
            Je ne vous cache pas que je n’ai aucun doute sur l’issue du test. Mais ça ne vous dispense pas d’essayer. Voyez ce que pouvez faire avec modalité/valeur modale/jugement qualitatif appréciatif/signifiant-signifié/modalité assertion et tout le tintouin. (Vous voyez, je suis loin de changer de sujet.)
            Essayez quand même, sur un malentendu ça peut marcher, qui sait ?
            Si vous n’essayez même pas, vous serez probablement traité de couille molle.

          • Vous n’avez pas l’air de comprendre que nous ne jouons pas au même jeu vous et moi. Votre objectif à vous est de tartiner sur la linguistique, vous émerveiller de phénomènes banalement affligeants et proposer des explications clinquantes. Soit, c’est un objectif qui n’a rien de condamnable en soi, nous le partageons tous plus ou moins. Mais en ce cas, il faut être impeccable. Aucun problème à pontifier… tant que c’est bien fait. Mon objectif à moi est tout autre : je suis rarement sérieux, je ne cherche qu’à me payer la tronche des incompétents et des gogos comme vous qui tartinent toujours mal. Moi, je ne sais rien faire, rien proposer, je suis une nullité, je ne suis qu’un critique, j’interviens toujours en deuxième lame. Et il faut juger un homme à ses prétentions, si vous voyez ce que je veux dire.

            Proposez donc une explication de tous vos phénomènes, et je vous montrerai très probablement à quel point vous êtes un couillon. En deuxième lame. Petite prétention, petit mérite. (Mais grosse bite !)

          • « je sais que vous êtes incompétent car vous nous l’avez déjà montré »

            Nous aurions tant aimé que vous ne vous payassiez pas de mots mais que vous produisissiez des preuves, des exemples, ce genre de choses…

            À ce petit jeu de gamins, j’aurais bien Saussure, Jakobson, Zadeh-Culioli et quelques autres à faire valoir, mais mon insondable générosité me pousse à ne pas développer.

          • « phénomènes banalement affligeants »
            Je me suis dispensé de lire la suite, j’ai simplement parcouru en diagonale les âneries que vous ressassez quand vous êtes en difficulté.

            Parler de « phénomènes banalement affligeants », c’est exhiber en pleine lumière votre totale incompréhension de ce qu’est une linguistique de la langue orale.
            Pour le reste, vous vous présentez comme une éternelle « deuxième lame », mais vous n’êtes certainement pas assez (af)futé pour être un troisième couteau.
            Votre seul intérêt est narcissique : miroir mon beau miroir…
            En fait, je crois que vous êtes plus à plaindre qu’à blâmer. Être à ce point ego-centré ne doit pas être facile à vivre tous les jours.
            Et prétendre jouer les redresseurs de torts épistémologiques tout en se comportant en couille molle de l’analyse, ça doit être très très dur, mon pôvre.

          • Fregoli : « Moi, je ne sais rien faire, rien proposer, je suis une nullité, je ne suis qu’un critique, j’interviens toujours en deuxième lame. »

            Je me fous pas mal des critiques,
            Ce sont des ratés sympathiques.
            (Robert Charlebois, « Ordinaire »)

            « The artists create the culture, not the critics ».

          • Fregoli :
            « A ce petit jeu de gamins, j’aurais bien Saussure, Jakobson, Zadeh-Culioli et quelques autres à faire valoir »
            Sur tous les points que vous évoquez (certains remontent à plus de 3 ans !), j’ai répondu sans me dérober. Faut-il que je recommence ?
            Vous ressortez ces polémiques régulièrement et pitoyablement quand vous êtes dans les cordes, coincé. Vous tournez en rond, vous radotez, et vous pensez vraiment convaincre de votre supériorité intellectuelle avec de si minables artifices ?
            Le pervers narcissique psychopathe qui sommeille en vous est pour vous un très mauvais conseiller.

  75. Josip Gavrilovic 12 novembre 2023 At 15h32

    « Trois fois » est plus statique que dynamique dans la mesure où l’énonciateur se limite à faire le compte, se contente de compter ou de donner le résultat chiffré d’un compte.

    Oui,là je suis entirèrement d’accord;j’avais mal compris le mot « statique ».

    La dame qui, par trois fois,s’est rendue au commissariat pour dire que son mari la battait espérait être entendue;elle effectuait chaque visite dans un esprit un peu différent.

    (Ce n’est pas comme quelqu’un qui mettrait trois cuillérées de sel de Guérande dans sa soupe aux courgettes.)

    Elle est venue par trois fois et finalement, faute d’intervention de la police,elle est morte sous les coups de son mari-une brute en survêtement mais sans sur-moi.

    celui qui nous fait ce récit déplore l’absence de réaction de la police,qu’il désapprouve. « Si c’est pas malheureux! »

  76. Dugong 12 novembre 2023 At 13h30

    Foutaises projectives…
    _________________________________________________________________
    Espace projectif,notion fondamentale,me disait naguère un ami mathématicien.

    Trop vieux pour m’y mettre.

  77. Trop vieux pour m’y mettre.

    Ben, voilà ! Un peu de réalisme. C’est sûr qu’avec le déambulateur en plus, les désirs restent à l’état de fantasmes et deviennent difficiles à réaliser. Tant mieux pour les pauvres gamines.

  78. « une typologie des modalités réduite à quatre grands types, numérotés de 1 à 4 »

    « numérotés de 1 à 4 » : quelle audace !

  79. Lormier, qui a plus d’humanité que nombre de ses frères humains membres du commentariat, pleure les victimes palestiniennes innocentes.

    En Angleterre,on a assisté à d’impressionnants défilés en soutien à la Palestine;beaucoup de manifestants avaient ceint leur front de tissus où était inscrite la chahada.

    Etait-ce opportun ?

    Un chrétien, un athée ne peuvent-ils éprouver une peine sincère ? Doivent-ils absolument singer les musulmans ?

    • « Lormier… pleure les victimes… »
      Oui, ça on le sait bien depuis toujours:
      C’est votre peine qui vous mine. Mais est-ce une preuve d’humanité ?
      Oui…

      • ça dépend jusqu’où ? Si c’est chez un éditeur… Surtout quand certaines ont « du talent » !

        • Voilà ! « Enchanté », c’est peut-être un peu fort ; mais c’est ainsi que l’on peut espérer remonter ce blog, au dessus de la ceinture – sans aller jusqu’à la chasteté, oeuf corse.

          • Je retire « enchanté », surtout s’il s’agit de la copine du cinglé du cea. Je me contenterait donc de « sale co(n)nasse »

          • Vous êtes parfois un vieux khon. Vieux khon et gamin.

            (WTH n’aura pas à répondre à votre chantage qui serait de ne plus communiquer avec moi au risque de se voir évincée de vos échanges. Je faisais un dernier passage pour m’assurer d’aucun regret et fichais le camp, et non à cause de vous, mon très cher Papy qui m’aura tout même bien fait marrer — vous êtes un régal quand vous n’êtespas ce vieux khon — mais parce que tel est mon plaisir. SMAC !)

  80. Josip Gavrilovic 12 novembre 2023 At 14h51
    Je n’ai pas ça sous la main. Je vais faire des recherches.
    _________________________________________________________________________
    J’allais oublier;il y a aussi le « par » dans cette phrase du Maestro.

    Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 14h11
    Elle, je l’ai connue par Spengler dix ans plus tard.

    Ce n’est (évidemment) pas le « par » de « Nation par Denfert ».

    J’ai cru pouvoir gloser ainsi: »par l’intermédiaire de « , »par l’entremise de » que le Maestro aurait voulu éviter,parce que ces expressions évoquent trop l’entremetteur.

    D’un autre côté,pourquoi ne pas avoir écrit: je l’ai rencontrée chez, je l’ai connue grâce à … ? Trop neutre ?

    Finalement ce « je l’ai connue par Spengler » est scabreux: je suis passé par Spengler,il me l’a refilée ou même:nous lui avons fait la double.

  81. Dugong 12 novembre 2023 At 18h40
    Si vous faites ça dans le métro (voire le RER B), je vous garantis que vous allez vers de graves ennuis.
    ________________________________________________________________________
    a) Je me souviens que dans le Choix de Sophie,l’héroïne est très choquée qu’un inconnu lui mette un dogt dans l’anus,lors d’un trajet dans le métro de New York;c’est presque pire qu’un viol.
    b) Je répète:il s’agit d’exemples destinés à l’anlyse linguistique;dans ces phrases « je » ne désigne personne en particulier.

  82. Methodiquement 12 novembre 2023 At 17h06
    Père-maquereau c’est exactement ça.

    Il ne faut pas exagérer, il est seulement le DRH des Editions Blanche…

  83. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    Elles sont ainsi.
    __________________________________________________________________________

    Ca meparaît peu différenciateur,ce propos.

  84. Josip Gavrilovic
    12 novembre 2023 At 18h20
    Fregoli face à la langue et à la réalité de la parole, face à l’analyse linguistique, c’est ce guitariste inspiré à l’air extatique dont les doigts virtuoses courent sur le manche et qui, une fois le morceau terminé et l’instrument remis dans sa housse, dit : « La prochaine fois, j’essaie avec les cordes. »

    🤣🤣
    Je ne sais pas qui est ce Fregoli, mais il est certain qu’il ne souffrira pas du froid qui s’annonce, puisque le voilà habillé pour l’hiver.

  85. Je connais un guide d’alpinisme qui,en 48 heures est allé trois fois au Mont Blanc.

    On ne dira pas :

    Je connais un guide d’alpinisme qui,en 48 heures est allé PAR trois fois au Mont Blanc.

    Pourquoi ?

    • « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures est allé PAR trois fois au Mont Blanc ».
      Êtes-vous sûr que cet énoncé n’est pas recevable ? J’ai un doute.
      J’accepte sans hésiter ces deux-ci:
      – « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures, est arrivé par trois fois au sommet du Mont Blanc. »
      – « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures, a gravi par trois fois le Mont Blanc. »

      Par ailleurs, toutes les occurrences que je trouve sur le modèle « par trois fois » comportent le substantif « fois ». On trouve « à trois reprises », « à de nombreuses occasions », toujours avec « à » et jamais avec « par ».
      Autres données intéressantes : il semble que la séquence « par x fois » doive obligatoirement comporter un numéral précis. Avec une quantification imprécise ça ne marche pas :

      – par plusieurs fois
      – par quelques fois
      – par bien des fois
      – par de nombreuses fois
      – par de multiples fois,
      tout cela est irrecevable.
      Je me pose en outre sérieusement la question de savoir si on accepte TOUS les adjectifs numéraux :
      Accepte-t-on :
      par deux fois
      par quatre fois
      par cinq fois
      par dix fois etc. ? Je n’en suis pas sûr du tout.
      Lormier, vous avez soulevé un sacré lièvre, à partir d’un « phénomène affligeant de banalité » (selon certains).
      Affaire à suivre !

  86. En revanche,on dira bien:

    Par trois fois il a tenté l’ascension du Mont Blanc,avant d’admettre que ce n’était pas pour lui.

  87. Matthieu 26,34

    34 Ait illi Jesus: Amen dico tibi, quia in hac nocte, antequam gallus cantet, ter me negabis.
    34 Jésus lui dit: Je te le dis en vérité, cette nuit même, avant que le coq chante, tu me renieras trois fois.

    NB 1 tu me renieras et non, tu m’auras renié (pas de visée rétrospective;prédiction qui suit l’ordre du temps
    2 corrélativement, c’est un pur décompte (voir analyses gavriloviciennes)

  88. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    Elles sont ainsi.
    __________________________________________________________________________

    Le Maestro n’a PAS écrit: »toutes les mêmes. »

  89. Dugong 13 novembre 2023 At 9h16
    Je retire « enchanté »…

    Mais alors,ce n’est plus tout-à-fait du Chirac.

  90. Malin dans la cour . C’est une nécessité pour éviter la plainte d’une femme déçue .Le Maestro, fort de sa grande experience, le sait.
    Oui…
    (deux)

  91. Ô manes du garnd René (suite)

    https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-galthie-prend-les-gens-pour-des-cons-dourthe-allume-le-selectionneur-du-xv-de-france-1211231108.php

    Galthié est fana des data. On mesure des tas de trucs mais pas grand chose pour les relier.
    Tout ça a peut-être à voir avec l’irruption dou(r)t(h)euse du « qualitatif » dans les causements sportifs. On entend ainsi que telle équipe est « qualitative » pour dire qu’on y trouve des joueurs de qualité…

    Va-t-on bientôt placer un gps dans le cul de Jamoinet et de Ramos ? Pour savoir quel est celui qui se lève le plus le cul ?

  92. Alain Esteve ancien deuxième ligne de la grande équipe de Bézier a écroulé le maul. C’était l’époque du rugby « amateur » où on récompensait la loyauté d’un joueur avec une place d'(in)employé municipal ou une licence4 pour bistroter avec les copains…

  93. Josip Gavrilovic 13 novembre 2023 At 16h45
    « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures est allé PAR trois fois au Mont Blanc ».
    Êtes-vous sûr que cet énoncé n’est pas recevable ? J’ai un doute.
    J’accepte sans hésiter ces deux-ci:
    – « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures, est arrivé par trois fois au sommet du Mont Blanc. »
    – « Je connais un guide d’alpinisme qui, en 48 heures, a gravi par trois fois le Mont Blanc. »
    __________________________________________________________________________
    Merci pour vos analyses éclairantes.

    Oui,comme vous, tout compte fait, j’accepte les deux versions ci-dessus, la seconde mieux encore que la première.

    Votre « gravir » implique bien l’effort,le caractère exceptionnel de la chose,un quasi-exploit.

    Entre guides,on ne parlerait pas comme ça:

    « Tu sais, le Paulo, la semaine dernière,il a fait trois Mont-Blanc en deux jours.

    C’est sûr,il a besoin de pognon pour son expé. »

    Oui, à partir de quatre,ça commence à être tangent… Il a tenté l’agreg par quatre fois . Hum ?

    Pour le « par deux fois », j’ai donné un exemple tiré de Libération, plus haut:ils ont franchi la ligne jaune par deux fois.

    Vous parlez de « lièvre » que j’aurais soulevé. En fait tout est parti d’un recopiage inexact d’un de mes commentaires par Dugong;comme ce physicien ne s’intéresse guère aux questions subtiles de langue, j’écarterai l’hypothèse qu’il ait fait cette modification à dessein.

    D’ailleurs sa réaction quand Lormier a commencé à émettre des hypothèses a été « Foutaises ».

    Je n’oublie pas non plus que cet homme a été capable d’afficher une photo de cochons remuant des ordures en disant que c’étaient des grammairiens débattant d’une question de langue.

  94. Jean-Paul Brighelli 11 novembre 2023 At 18h38
    L’idée d’être éditée pour raconter leurs histoires de cul les faisait bicher.
    ______________________________________________________________________

    Quand des « filles « publient leurs histoires de cul, ce ne sont que des histoires de cul.

    Quand le Maestro publie ses histoires de cul, c’est de la littérature.

  95. Dugong 13 novembre 2023 At 16h10
    Ô manes du grand René (suite)
    __________________________________________________________________________

    Ne pas confondre « grand René « et « roi René ».

  96. Dugong 13 novembre 2023 At 16h12
    Tout est écrit ?

    Au moment où Jesus parle,non. (Sauf si on prend « c’est écrit » au sens figuré; Jesus ne se trompe pas dans ses prédictions.Jesus « lit » l’avenir.)

  97. On entend ainsi que telle équipe est « qualitative » pour dire qu’on y trouve des joueurs de qualité…

    Certians primeuristes vantent leurs tomates en les disant « gustatives ».

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