Terry O’Neil (1938-2019), Raquel Welch sur la croix, 1964

La récente disparition de Raquel Welch et ma connaissance de l’iconographie de l’artiste — dont le cliché ci-dessus — m’ont incité à récupérer dans les archives des représentations de femmes crucifiées, qu’elles le soient par parodie blasphématoire ou par intention lubrique — et, plus souvent, pour les deux raisons à la fois, la lubricité renforçant le blasphème aux yeux des croyants.

En 1985, voyageant en Irlande, j’eus la stupéfaction de tomber, à la porte de chaque église, sur des cahiers suggérant d’ajouter sa signature à une pétition générale pour interdire la projection dans le pays du Je vous salue, Marie de Godard. On ne rigole pas avec l’iconographie sacrée, en terres catholiques. Il y eut d’ailleurs en France des cinémas attaqués (et même, au bas du boulevard Saint-Michel, un début d’incendie volontaire dans une salle aujourd’hui disparue) parce qu’ils avaient osé programmer le film.
Déplorables effets d’une inculture déjà galopante ! Des femmes en croix mimant le Christ, il y en a un certain nombre, et depuis lurette. Voir l’Amour crucifié, de Félicien Rops (et, du même, La Tentation de Saint Antoine, 1878). Ou cette toile magnifique d’Albert von Kelmler intitulée Dans le clair de lune (1894). Sans oublier la Femme sur la croix de Jeanne Mammen (1914), les Femmes crucifiées de František Drtikol (ici et là), l’Ave Maria de Jacques Richard, qui avait précédé Godard d’un an (1984).
Et en aval, Bettina Rheims et son INRI (1997 — mais c’est elle aussi qui avait photographié Isabelle Pasco sur sa croix dans Ave Maria), Siegfried Zademack (né en 1952), illustrant le Démon de la perversité d’Edgar Poe (2010), Harry Holland (né en 1941) élevant une femme en croix dans le ciel (l’image est alternativement baptisée Skyfly ou Falling, 2008, tirez-en la conclusion que vous voulez) ou Thomas Dodd (né en 1961) représentant en photo-montage L’Ascension de la Madeleine (2015). Et je passe sur la Christa LGBT d’Edwyna Sandis, ou sur celles de Jean Barak ou Ramon Martinez, qui s’en sont fait une spécialité.
Des femmes en croix en veux-tu en voilà.

C’est dire que la crucifixion jouée de la sublime Raquel n’était pas d’une originalité absolue. La seule particularité était de lui faire porter le bikini en peau de bête (et même de très bête) dont elle était vêtue dans ce paroxysme du kitsch cinématographique que fut Un million d’années avant Jésus-Christ (1966). Et de lui prêter un air gentiment attentif, voire consentant.

C’est là le point de rupture. Nulle souffrance, sinon consentie, dans ces images. Les Christ classiques offrent des paroxysmes de douleur. Rappelez-vous la réflexion de Dostoïevski sur celui d’Holbein : « Un tel tableau peut faire perdre la foi » — parce que la souffrance à ce point détaillée — et je suspecte Holbein d’avoir pris modèle sur les suppliciés de son siècle — n’est plus promesse de rédemption, mais d’enfer sur terre.
Alors que la crucifiée de Félicien Rops pour La Tentation de saint Antoine sourit, du sourire maquillé, enjôleur, des pierreuses qui en 1880 gagnaient leur vie à s’offrir pour quelques francs aux amateurs derrière les fortifs, comme on disait alors. C’est la Grande Putain de Babylone ramenée au niveau des bourgeois de la Belle Epoque.

Ou prenez Isabelle Pasco. Comme Raquel Welsh, elle a une expression neutre, presque mutine. Peut-être est-ce ce qui offusqua les associations catholiques, qui obtinrent en justice l’interdiction de l’affiche, une décision qui fit jurisprudence et par-delà les décennies, encouragea tous les cinglés du culte à poursuivre en justice les représentations qui ne leur convenaient pas.
Une femme crucifiée n’est pas un homme crucifié. Ce que l’on met en croix n’est pas seulement un être humain, c’est le symbole d’une relation faussée où la femme est mise au supplice — symboliquement.
Pour que sa féminité soit certaine, on la crucifie toujours de face, qu’elle porte ou non un périzonium. En fait, le pagne minimaliste est assez rare, les artistes retrouvant en cela les pratiques de représentations anciennes : ce n’est qu’à partir du VIIIe siècle que l’on cesse de représenter le Christ absolument nu. Dès lors, le chiffon dont on l’affuble, et qui n’a rien d’historique, prend parfois une importance démesurée. Le Christ nu attestait de la masculinité de Jésus ; le périzonium ostensible la souligne, symboliquement — voir les Christ en croix de Zurbaran ou Lucas Cranach l’Ancien.

Bien sûr, toute affirmation suscite immédiatement sa réfutation. Dans les Carnets de Jeanne (1975), remarquable roman de Pierre Lempéty (pseudo cachant paraît-il un universitaire renommé, je n’ai jamais pou découvrir qui) largement comparable à Histoire d’O par son style, sa décence glacée et sa structure implacable, l’héroïne, après une ordalie sanglante, finit crucifiée pour de bon — et en meurt.

On en arrive ailleurs très facilement au supplice réel quand on passe d’une croix christique à une croix de Saint-André. Les amateurs de pornographie BDSM savent que c’est l’un des artefacts obligatoires des « donjons » que des amateurs installent le plus souvent dans leurs caves — c’est bizarre, un donjon en dessous, mais c’est plus facile à insonoriser — et qu’ils louent parfois aux amateurs éclairés. Je vous renvoie à ce que décrivait magnifiquement Katia Ould-Lamara, alias Vanessa Duriès, alias Laïka, dans Le Lien, le plus célèbre des récits SM non fictifs.


(Et merci à Franck S. d’avoir mis son talent de rédacteur au service de cette jeune femme qui avait choisi le masochisme en toute connaissance de cause. Elle est malheureusement morte dans un accident de voiture, et un second récit, L’Etudiante, est sorti peu après, prétendument tiré des brouillons qu’elle avait laissés — en fait écrit par Florence Dugas, mon alias favori.)

Des femmes sur des croix de Saint-André, cela existe quasiment depuis les débuts de la photographie. Je vous renvoie à ces deux clichés, de face et de dos, réalisés vers 1900 par Charles-François Jeandel. On y affiche au tout premier degré l’intention érotique. Le fait que le sujet écarte les jambes sur une croix en X le rend apte à toute pénétration, puisqu’en descendant son centre de gravité on la met à portée de « maîtres » de petite taille — et l’immobilise en vue de fustigations conviviales…
Aucune référence chrétienne au supplice du vrai Saint André, tel que l’a représenté par exemple Murillo. La femme mise en X est très souvent attachée face à la croix — plus facile pour fouetter ou sodomiser — alors que le saint est toujours de face — et haut dressé, son supplice étant une première étape vers le Ciel.

Rien de tel dans les crucifixions évoquées plus haut. L’épiderme de ces demoiselles est inentamé. Aucune d’entre elles n’est réellement clouée, elles sont attachées, conformément d’ailleurs à la pratique romaine courante. J’ai cherché longtemps pour trouver une image réellement sanglante — la Femme crucifiée de Louis-Joseph Raphaël Collin (1890), dont on ne sait trop s’il s’agit d’une œuvre sulpicienne ou d’une illustration sadienne.

Retour à Raquel Welch. Perfection des formes, jambes fuselées et bras interminables qui donnent l’impression que l’actrice était très grande — elle faisait 1,68m. Et un air ambigu de madone affectée d’un ennui existentiel, en train de se demander quand le photographe finira par la détacher. Une distance qui rend la pose encore plus provocante : elle ne joue pas le réalisme de la scène, mais sa mise à distance. Une crucifixion quasi brechtienne, quand j’y pense.

Jean-Paul Brighelli

PS. Je ne quitterai pas Raquel Welch sans vous offrir ce superbe cliché de Terry O’Neill, qui la montre en instance de strip-tease lors du tournage de Myra Breckinridge en 1970 — Huston à gauche (alors qu’elle n’a jamais posé ou tourné nue) devant trois messieurs hilares ou hallucinés —sauf John Huston à gauche, toujours aussi distant. Le périzonium, si j’ose ainsi m’exprimer s’agissant d’une culotte en dentelle, y est très menacé.

767 commentaires

    • Au fond c’est un peu comme Painter : il prend sa volée en épidémiologie, en droit, en histoire et bientôt en mathématiques… mais il en redemande !

      • Cette façon de refaire l’Histoire à sa convenance fait de l’Homme aux mille pseudos le Robert Faurisson de ce blog.
        La comparaison est également valable pour d’autres raisons.
        PS : et toujours, chez lui, cette obsession de vouloir « moucher », inférioriser, voire humilier, si caractéristique des pervers narcissiques psychopathes… En général, dans la vraie vie, les gens comme ça finissent seuls, sans compagne ou compagnon, sans amis – tout le monde prend la fuite – , sans rien d’autre que leur pathologie destructrice, mais aussi auto-destructrice. Triste.

        • D’ailleurs, regardez, à la petite échelle de ce blog, quels sont ceux qui restent : plus grand monde, n’est-ce pas ?
          Un gars comme ça vous nique un blog à lui seul en moins de deux.

          • Je vous lis depuis pas mal de temps sans intervenir (parce que je n’aime pas vraiment ça).
            Néanmoins je suis d’accord avec vous, HP, cet individu qui se baptisait naguère « Gros Zob » est extrêmement répugnant. Il est évident que c’est sa présence constante qui plombe durablement ce blog. Dommage, j’aime bien quand on y défonce Meirieu !
            Alors, avant de repartir, je vais lui faciliter la tâche : « mange ton seum », me dis-je à moi-même. Ce qui na pas grand sens, mais que peut-on attendre d’une vermine pareille qui se vautre dans le « gringoirisme ». Allez, à +, les autres…

    • Vous seriez étonné d’apprendre combien de gens s’y livrent. Allez, dans votre entourage comme dans le mien, au moins 15 à 20% des gens régulièrement, et 40% ont déjà essayé. Regardez vos proches sous cet angle, la réalité prendra une autre coloration.

  1. Brighelli :

    « Les Russes ont disloqué l’armée nazie. Alors l’Ukraine… »

    Oh, la mauvaise foi ! Pas les russes, mais l’URSS – parmi laquelle pas mal d’ukrainiens. Et avec les armes américaines, comme vous avez tendance à l’oublier. Et aujourd’hui on ne parle pas juste de l’Ukraine mais de l’Ukraine soutenue par l’OTAN. Alors vos comparaisons à deux balles…

    • « Régime dictatorial » (M. le m. 9h09) –
      il me semble que nous en avons tâté, même si ça n’a duré que peu de temps ! Mais ça reviendra, n’en doutons pas une minute :
      l’auSweiS – en Urss, il était impossible d’aller au-delà de 70 kms, sans lui ;
      dans la France macronienne, il ne fallait pas dépasser qques kms, et pour un temps très limité.

      Nezenmoins*, on retrouve la bonne époque, de « radio Paris ment, radio Paris, radio Paris est l’OTAN »…

      * celui de cyrano doit être en piteux état, après les litres de sérum phy qu’il s’est envoyé dans les narines

      • Mon appendice nasal a consommé beaucoup de sérum phy; heureusement mon appendice caudal a compensé en en produisant davantage encore.

  2. En bon Français, je suis héritier des Lumières. Et en bon héritier des Lumières, j’applique la science. Et que nous dit la science des organisations ? Que l’appartenance à un groupe social fonctionne toujours par degrés…

    Pour quelle obscure raison en serait-il différent avec les Français ? La morale des curés, voilà l’ennemi !

  3. Le saviez-vous mon cher, Jean-Paul, qu’un Irlandais au XVIII ème avait l’interdiction de posséder un cheval et d’inscrire ses enfants dans une école sous peine de prison dans les deux cas, de parler sa langue ; qu’au XIXème la fiscalité organisée par cette pouriture de colonisateur fut d’une telle iniquité qu’elle produisit la dernière grande famine européenne ?

    Et vous vous étonnez que l’Irlandais ait des réflexes défensifs sur ses bondieuserie ? Vous êtes aussi parfois un vrai curé.

    • Ça relève d’une arrogance pathologique ! De cette même arrogance que cette jeune pisseuse agrégée forte de sa toute fraîche érudition, mais pas à l’abris d’impair dans la construction de ses phrases (si si, Lormier en ferait son miel) qualifiait Steinbeck d’imbécile pour comparer son travail arthurien au sien. L’ a pas peur la jouvencelle. Comment A. de Benoist a pu laisser le paraître ?

      Le canard boiteux vous souhaite à tous un bon WE

  4. Je vous salue, Marie de Godard… Il y eut … en France des cinémas attaqués (et même, au bas du boulevard Saint-Michel, un début d’incendie volontaire dans une salle aujourd’hui disparue) parce qu’ils avaient osé programmer le film.

    De quelle salle parlez-vous, Maestro;en 1988 fut incendié le cinéma du 7 palce Saint Michel,où était projeté La dernière tentation du Christ;et ce ne fut pas qu’un début d’incendie (treize victimes).

    « une salle aujourd’hui disparue » l’Espace Saint Michel existe toujours.

    https://espacesaintmichel.com/

  5. La France nation civique, c’est un peu comme l’Union européenne. Ça plaît au premier de la classe parce que c’est grand, c’est beau, c’est généreux, c’est magnifique et ça écarte les bas instincts des lourdauds… mais dans la réalité ça ne marche pas. Parce qu’Hobbes a tort et Rousseau a raison ! L’homme est programmé pour aimer sa famille et ses semblables. Bien sûr, le bourgeois néolibéral peut regimber contre la nature et se dire citoyen du monde – reste que le bon prolétaire, qui n’est pas assommé par la moraline du siècle, est fidèle à lui-même veut un peu plus de Français et un peu moins de « Français comme vous et moi ».

    Allez savoir pourquoi, ceux qui veulent la démocratie sans le peuple veulent la France sans les Français !

  6. « la sublime Raquel »

    qui pourtant ne tient « aucune place dans l’imaginaire érotique » du Maestro.

    Intéressant, n’est-ce pas ?

    Le Maestro peut apprécier la beauté d’une femme qu’il ne désire pas;il peut accéder à l’Idée du Beau par d’autres voies que sa bite !

  7. Unité tonale:la peau de Raquel Welch est d’une couleur proche de celle de la croix (et du maillot de bain).

    Traitement à l’Ambre solaire ?

  8. Bien qu’athée, un tel Christ me donne envie de me convertir: je lui mettrai bien un dernier clou…

  9. « donjons » que des amateurs installent le plus souvent dans leurs caves — c’est bizarre, un donjon en dessous, mais c’est plus facile à insonoriser

    linguistique: en anglais « dungeon » désigne une prison souterraine; il faudrait connaître l’histoire de l’échange entre les mots donjon (F) et dungeon (E).

  10.  » Le fait que le sujet écarte les jambes sur une croix en X le rend apte à toute pénétration, puisqu’en descendant son centre de gravité on la met à portée de « maîtres » de petite taille — et l’immobilise en vue de fustigations conviviales… »

    Où se situe le centre de gravité d’une meuf ? Ca doit varier d’une meuf à l’autre ,non ?

    Le centre de gravité de la Hottentote stéatopyge était problament plus en arrière que chez la meuf standard ?

    Je veux bien que le centre de gravité soit proche de la vulve, mais, s’agissant de pénétration,c’est la vulve qu’on peut souhaiter abaisser si on est de petite taille.

    le « centre de gravité », on s’en tamponne le coquillard.

  11. JPG : « j’ai cherché longtemps… »… et vous nous comblez !
    Comme quoi une Raquel sur la croix (pas la Garrido, qu’on imagine très mal à oilpé, et qui ferait fuir même cyrano), peut donner matière à de passionnantes… révélations ; encore faut-il être un « maestro » à la hauteur !
    Révélateur aussi, le cliché de Terry O’Neill – Huston narquois, à sa façon.
    In « storyofoblog » on peut lire :
    « A triumph for those feminist critics who wish to condemn all such literature as being the fantasies of male authors is perhaps the unfortunate revelation that Dolorosa Soror is in fact the work of author and teacher Jean Paul Brighelli (…) described as a controversial but talented individual, a teacher and essayist, known for his criticism of the French education system… »
    …« Buy ‘Stories of O’ » :

    https://storyofoblog.files.wordpress.com/2019/06/p1020241-2.jpg?w=4857

  12. « Le fait que le sujet écarte les jambes sur une croix en X le rend APTE à toute pénétration… »

    A priori , une aptitude, c’est la capacité de FAIRE quelque chose: il en est qui sans Viagra ne sont pas aptes à la pénétration, car leur bite reste molle,m^me en présence d’une Raquel Welch;
    On serait tenter de remplacer « apte » par propice, diponible pour.
    Ce serait sans doute précipité;reportons nous au CNRTL

    apte, CNRTL
    2. [En parlant d’un inanimé] Propice (à), propre à, fait pour :
    a) [Se rapporte à un inanimé concr.] :
    8. … un câble constitue (…) une ligne de longueur invariable et de forme indéterminée, incapable de pousser, mais apte à tirer; … Haton de La Goupillière, Cours d’exploitation des mines,1905, p. 514.

    Il est fort possible que le Maestro ait voulu suggérer qu’ainsi ficelée la meuf soit objectifiée,choséifiée…

    Ah!cet art de la nuance! La prose du maestro nous oblige à une lecture attentive.

  13. abcmaths 25 février 2023 At 14h41
    pour faire le lien avec les échanges récurrents sur la guerre qui vont immanquablement suivre

    Vous provoquez la digression en l’annonçant.

  14. WTH 25 février 2023 At 15h39

    In « storyofoblog » on peut lire :
    « A triumph for those feminist critics who wish to condemn all such literature as being the fantasies of male authors is perhaps the unfortunate revelation that Dolorosa Soror is in fact the work of author and teacher Jean Paul Brighelli (…) described as a controversial but talented individual, a teacher and essayist, known for his criticism of the French education system… »
    …« Buy ‘Stories of O’ » :

    pour mémoire,à partir de 18mn 20 environ

    https://www.youtube.com/watch?v=PHHz22cJ1AE

      • C’est la deuxième fois que je poste le lien;l’INA est un trésor.

        La meuf qui lit le texte (et qui est censée l’avoir écrit!) est vraiment peu convaincante;d’ailleurs, Ardisson le lui dit. Elle trébuche sur certains mots…

        D’où sort-elle ? Je me le demande.

        • JPB aime bien vos liens. Si j’en juge par ses chroniques, il aime d’ailleurs beaucoup tous les liens…

        • Ex-étudiante de Censier…
          Comédienne — et dorénavant metteur en scène d’une troupe qui s’en sort pas mal du côté de Nantes.

          • Censier où vous donnâtes des cours de grammaire, sous le haut patronage de Pinchon, la plus grande grammairienne du XXième siècle.

            OK,ok, ça se précise.
            La meuf a sûrement fait des progrès en élocution.

          • Vous qui me faites un pataquès sur l’agreg, cette pauvrette qui en maîtrise au moments des faits se fait lyncher sur son incapacité à lire à voix haute. Vous parliez de délire, vos deux cocottes* en touchent le fond à l’oral et à l’écrit.
            * La seconde espère faire mieux que Steinbeck… On se marre.

          • La flole aspire à devenir récipiendaire d’une agrégation de rien. On voit bien qu’elle y travaille avec acharnement.

    • Des gens qui montrent de la complaisance envers un régime menaçant ouvertement la France peuvent difficile être qualifiés de « pacifistes ».

  15. Cette personne est décédée, elle ne peut donc plus donner son accord quant à la diffusion de cette photo… Moyen, Jean-Paul, très moyen, quand bien même cette photo vous appartiendrait. Qu’elle fut entièrement consentante dans sa pratique SM, n’empêche pas que ce fut avant tout une affaire privée.

    (tu imagines, toi, JPB jambes écartées, le prépuce affublé d’un percing, le cou serti d’un collier à clous « mon chien est méchant » ? Tu t’y refuses et tu as raison)

    • Je vous signale que concernant le vaccin, Macron ne nous pas demandé notre consentement non plus. Mais bon, nous ne sommes pas décédés. Pas encore.

  16. Lormier 25 février 2023 At 15h55
    Quel est l’intérêt d’attacher une meuf sur un plan incliné ?

    Méat coule pas.

    Ce n’est pas un plan incliné,strict aux sangsues;c’est incliné mais ce n’est pas plan;on dirait plutôt un truc avec des marches.

    (L’action de la pesanteur,cependant, est la même.)

  17. L’énigme Jeandel.

    Jeandel aurait voulu être peintre;il n’a pas réussi.
    Une toile de lui est suspendue dans l’escalier de l’hôtel de Villded’Angoulême;un spécialiste affirme que dans cette toile (exemple d’art pompier) se trouvent en germe les photos sado-masochistes qui ont rendu célèbre Jeandel dans certains milieux.

    https://bonobo.net/wp-content/uploads/2010/11/escalier11.jpg

  18. cyrano58 25 février 2023 At 17h39

    « … détention d’images pédopornographiques ».

    Ca provoque des accidents de voiture ?

  19. E.T. : prolongation prévue –
    A passé, avec succès – sans ses fameuses lunettes – tous les tests d’aptitude.
    Extrait (lefigaro.fr) :
    « Le praticien avait noté la démarche plus raide de Joe Biden, l’attribuant à une «légère» affection nerveuse touchant les pieds.
    Il avait aussi fait état d’une toux fréquente, causée par un reflux gastro-oesophagien.
    Joe Biden ne fume pas, ne boit pas, fait du sport, et n’a pas eu de souci de santé majeur,
    depuis une opération du cerveau en 1988. »

  20. Cardinal L. : vous êtes traité « d’individu répugnant » et de « vermine », par une dame (17h05).
    il serait grand temps de vous amender, surtout avec un tel blaze !

    • La conjuration des médiocres, hein…

      Je ne vais pas me mettre à dire que :
      – les antibiotiques ne seraient d’aucun secours en cas de résurgence de la grippe espagnole ;
      – citer sottement Wikipedia sans être capable de fournir des références demandées à maintes reprises est intellectuellement satisfaisant ;
      – un traité peut créer des obligations à un État qui n’y est pas partie (! – qu’on mesure quand même la débilité de ce qui a été professé) ;
      – une décision unilatérale parfaitement légale n’occasionnant « aucun coup de feu, aucun tir de canon » est une « agression armée » au sens du droit international standard…
      pour être agréable à un blaireau déjà mouché ou à une gourde sortie de nulle part.

      Quand on se lance dans une joute, on en accepte le jeu – et parfois on perd. Ouinouiner son ressentiment « le monsieur il est méchant » ne me fera pas fuir, qu’ils se le tiennent pour dit. Je suis un nietzschéen, pas un prêtre.

      • Cette façon de refaire l’Histoire à sa convenance fait de l’Homme aux mille pseudos le Robert Faurisson de ce blog.

        Il ne s’agit pas de le faire fuir, mais de le faire soigner. Car c’est un cas lourd.
        Et depuis que je fréquente ce blog, soit environ un an, son état s’aggrave.
        Vraiment.

          • Ne m’attendez plus.
            Marinez dans votre jus de frustration infantile.
            On connaît la suite : « ouin ouin, vous vous défilez », puis 38563465 posts où l’on pourra lire « Au fait, j’attends toujours ceci ou cela », « et mes bla bla bla, au fait ça en est où ? Toujours rien? » etc etc.
            Stop. Postez vous devant un miroir et débattez avec votre image. Vous aurez un authentique alter ego, le pervers narcissique que vous êtes y trouvera son compte, et basta.

      • Cardinal Lemoine
        25 février 2023 At 20h49
        La conjuration des médiocres

        Rien que cette formulation….
        « Conjuration »…A l’approche des Ides de Mars, le voilà qui se prend pour César…
        « Des médiocres »…Mais tout contradicteur ne peut être que médiocre pour l’Homme aux mille pseudos !
        Encore un coup des youpins ?
        Probablement.

        • Non mais un contributeur qui croit qu’un traité peut créer des obligations à un État qui n’y est pas partie… médiocre, c’est encore aimable !

  21. La seule particularité était de lui faire porter le bikini en peau de bête (et même de très bête) dont elle était vêtue dans ce paroxysme du kitsch cinématographique que fut Un million d’années avant Jésus-Christ (1966).

    Pas la même coupe.

    (Et pas sûr que dans Un Million…ce soit vraiment du cuir.)

    • Dans un million d’années, il est possible (probable ?) qu’il n’y ait plus de peau de bête ici. Ni d’ailleurs de simili issu du traitement physico-chimique du pétrole.

      Tout ça pour offrir un cache sexe à une créature passée au starwax sur une croix en simili-bois pour faire genre…

      • Et il s’y connaît Dug, en bois et en starwax ! Ce n’est pas lui qui irait en gâcher sur quelques souris « pour faire genre » !

  22. Ce sont six ou sept années de travail, ses dernières années durant lesquelles il s’était rendu à Londres pour bosser, traduire, étudier des textes qu’il n’a pas reproduit au doigt mouillé.
    À quoi peuvent bien correspondre dans votre échelle de valeur, Jean-Paul, six ou sept années d’études de textes en vieil anglois ? Parce que vous avez raison de rappeler à la considération que représente une agrèg’. Mais dans ce cas, et par respect, appliquez cette même logique au travail de Steinbeck. Est-ce que cette jeune donzelle très sûre d’elle est allée à Londres poser son derche sur les bancs des archives anglaises ne serait-ce qu’une seule fois ?!!!Une seule ?!!!!
    Je le répète ici : présenter Merlin sans évoquer sa mort (!!!) ; présenter Excalibur en alpha et oméga sans rappeler à la symbolique du glaive entre les dents du Christ et se permettre de n’accorder que DEUX MOTS pour évoquer Steinbeck en bas de page d’une litanie universitaire indigeste de prétention et de suffisance pour le qualifier d’imbécile … Je vous le dis et répète je ne dois pas être la seule à être choquée. Vous savez où elle peut se carrer son agrèg’ ?
    Elle peut se la mettre au même endroit où elle place les six ou sept année de travail de Steinbeck qui fut Nobel et qu’elle n’est pas prête d’obtenir!

    • (Elle posait pourtant la bonne question : qui est Merlin ? Sa mort espice di khounasse, sa mort le définit !!! Et A. de Besnoit qui lui donne l’heure… Par votre entremise ? pfff)

        • Ce qui serait plus ridicule encore, mon cher Jean-Paul; c’est que l’on découvre dans dix ans parle biais d’une photo hum-hum sortie d’un vos tiroirs, qu’elle ne fut pas l’auteur du texte. ; )

    • Où avez-vous pris que la rédactrice dévalue Steinbeck, pour lequel elle a une immense considération ? Vous ne lisez vraiment que ce qui est imprimé dans votre tête — comme l’idée de me voir comme anti-Irlandais parce que je critique leur bigoterie…
      Bon, fin de l’épisode. Vous vous ridiculisez, ma chère.

      • Ah oui !!! « Steinbeck n’a pas compris ». Bordel, la seule phrase où cette cruche évoque Steinbeck c’est pour signifier qu’il n’a pas compris.
        Vous l’interprétez comment, vous ? Je rêve !

        Steinbeck qui étudia les textes en vieil anglois durant plusieurs année n’a pas compris….
        Mais heureusement que cette abrutie est là pour nous le rappeler ! Elle fait bien de se rattraper aux branches en chantant son admiration pour mieux faire oublier qu’elle n’a jamais posé ses yeux sur un texte en vieil anglois.

      • Rendez-lui service, Jean-Paul, expliquez lui calmement qu’elle s’est pris un melon incommensurable pour se permettre cette phrase, qu’elle se ridiculise et épargnez A. de Besnoit à l’avenir.

      • (j’ai fait sciemment l’impasse sur l’absence complète d’un début d’approche qu’est l’élément de l’eau relatif à Excalibur, hein, elle a suffisamment
        mangé pour aujourd’hui…)

    • Pour ceux qui ne lisent pas le russe ou qui ne savent pas utiliser GoogleTrad, voici une version en anglais (un peu plus courte et c’est dommage, car il manque entre autres un passage sur la cécité accablante de notre président qui s’obstine à vouloir parler à proutine comme si c’était une personne normale) :

      https://meduza.io/en/feature/2023/02/25/russia-ends-nowhere-they-say

      A l’attention de notre cyber-nietzschéen, je précise qu’il y est abordé la notion-clé du « ressentiment », une émotion ô combien partagée par les terroristes de tout bord.

      • « pour ceux qui ne savent pas utiiser (?) google trad » – mon pauvre, pauvre M l
        Considérez-vous McRon and « now, ladies & gentlemen, the President of the United States of America » !
        comme des « personnes normales » ?

        • L’adjectif qui vous qualifie le mieux est sans doute « épaisse ».

          Me reprocher régulièrement mon manque d’humour sans pour autant être capable de relever l’ironie a quelque chose d’assez savoureux.

          • Vous êtes, par définition, pas drôle, du tout ; ma réaction vous a donc aussi échappé.
            Quant à « épaisse », ben oui, normal pour une « rombière » !
            Au passage, on se demande ce que vous faites sur un blog, où le ukh est omniprésent – un univers qui, de toute évidence, vous échappe…

          • Madame Bovary fait-elle une fixation sur un personnage précis ? je ne me rappelle plus.

            NB Jean Paul Brighelli est tombé amoureux, à l’âge de huit ans, de Mylène Demongeot ,jouant le rôle de Milady…et, à près de soixante dix ans,il en est toujours amoureux.
            Si Mylène n’avait pas été Milady…

          • Certes, le côté milf chaudasse d’Emma Bovary est excitant, mais elle est vraiment trop cruche!

          • Voyons, BC, la lecture de l’un n’empêche pas celle, heu, de l’autre, surtout pour de vrais mâles, n’est-ce pas ! J’ajouterais même qu’il n’y a que mâles qui m’aillent.

  23. WTH 25 février 2023 At 19h42
    Censier, souvenirs, souvenirs…

    Vous suiviez les séances de Travaux Dirigés du Maestro ?

    • Non ! Meilleur souvenir (17ans 3/4) : une AG, « contre la guerre du Vietnam », dans un amphi bourré, avec largement plus des 3/4 de l’assemblée composés de jeunes mâles ; je fus fascinée – (déjà dit, je crois).

    • Il y en a des qui sont prêtes à tout pour avoir le poil qui brille.

      De fines coulées de sperme peuvent donner ces « effets lumineux »

    • ça me rappelle la Gwynette Paltrow (quel blaze !) qui, après ses bougies senteur vagin, a récidivé avec une fragrance qui doit rappeler l’odeur de ses orgasmes… : un flop !

  24. Mendax 26 février 2023 At 10h11
    Une interview d’un sociologue russe qui avait tout vu venir et qui à mon sens décrit assez bien la société russe d’aujourd’hui …

    Le sociologue s’interroge sur la possibilité d’un mouvement pacifiste d’ampleur à l’intérieur de la Fédération de Russie…et l’article renvoie à un autre sur les mouvements féministes/pacifistes.

    Comme toujours en période de guerre, le seul espoir vient des femmes.

  25. Désirée 25 février 2023 At 17h08
    Je vous lis depuis pas mal de temps sans intervenir (parce que je n’aime pas vraiment ça).

    Dommage;le point de vue féminin est précieux.

    • « le point de vue féminin est précieux » ! mdr
      Quand une « inconnue » (?!) s’exprime ici, ça peut être mauvais signe… cf l’éviction de qui vous savez, suite à la révélation d’un blaze qui, comme l’avait souligné Flo, a mis un certain temps à être remarqué…

  26. Je ne sais de quoi t’est-ce il est question ?! A quoi et à qui vous faites allusion – j’ai dû perdre le fil, quelque part.
    Ce que je sais c’est que JPB (je vérifie 2 fois, à partir d’aujourd’hui) est un enseignant, un essayiste, féru des Arts et Lettres, un défenseur d’une vraie et bonne cause, comme on en fait peu,
    mais il ne sera jamais un romancier, un grand, comme Steinbeck, que j’aime énormément, et qui restera, longtemps encore, sur les étagères des biblios.
    Peut-être y verra-t-on, un jour, le « travail » de « sa » « jeune agrégée »…

    • Jean-Paul rempli parfaitement son rôle et je m’efforcerais de maintenir une même ligne si j’étais à sa place : celui de défendre l’indéfendable par loyauté.

      Il se trouve qu’une jeune oie, fraîchement diplômée et convain-khu de sa science « c’est moi que v’là »; s’est essayée à péter plus haut que son ukh par le biais d’une phrase assassine à l’endroit de John — une seule pour résumer l’oeuvre de Steinbeck —, se rêvant sans doute dans l’armure de celle par qui le Grall arthurien, le VRAI pas celui de John, nous serait révélé parce que « John n’a rien compris »…

    • Que Jean-Paul use et abuse de son carnet d’adresse pour placer les quelques unes qu’il a en vue et comme il l’explique encore une fois dans cette chronique, est une chose naturel. C’est dans la normalité des chose. Mais sans déconner, celle-là elle remporte le cocotier.
      Vous lui coller une agrégation avec des nichons et il bande, c’est ainsi, on le connait.

    • Alors pour être plus précise, la donzelle excelle en linguistique, personne ne lui en fera le reproche régurgite savamment ce que sa mémoire a enregistré de ses lectures sur le sujet dans un verbe ultra soutenu, donne un état des lieux du paysage culturel à large spectre , ciné, jeux vidéos tout y passe par mais fait preuve d’une pauvreté d’esprit quand il s’agit de fournir une analyse personnelle hors des références qu’elle aurait ingurgitées. L’acmé de son culot : définir la mythologie arthurienne comme étant syncrétique et oser écrire  » John Steinbeck dans The Acts of King Arthur and His noble Knights n’a manifestement pas tout compris. » et sans connaître la direction que les études de Steinbeck lui ont fait prendre pour ne pas, elle-même, les avoir lues… Ou comment démonter une oeuvre aux yeux des lecteurs néophytes en la matière par une phrase d’une arrogance inouïe.

          • Cherchez du côté des parutions d’A. de Benoist.

            Et bien c’est ce qui me chiffonne que ce ne soit référencé nulle part, qu’il n’y ait aucune alerte sur l’énormité énoncée, que cette triple buse par sa perfidie (qui pue l’ambition à 100m) réussisse à convaincre quelques lecteurs à ne pas lire Steinbeck pour l’avoir décrédibiliser, m’a mis hors de moi. Et qu’A. de Besnoit laisse paraître sans corriger cette conne ambitieuse me sidère. Je vous assure que ça m’attriste, j’ai un amour immense pour ce petit livre.

  27. Ils bosphorent (brève de comptoir, y compris de l’Assemblée) ; ils ont donc grand besoin d’étancher leur soif, leurs gosiers asséchés par tant de vaines paroles.
    « coupettes » et « rhum » (1er choix, oeuf course) ; ils ne se contenteraient pas d’un vulgaire jeune Fronton, qui ne ferait qu’agresser un peu plus leurs gosiers.

  28. Encore une corde (!) à son arc (!) et pas des moindres :
    in Causeur, JPB nous parle de (bien) manger (et pas de bouffer, comme disait JP Coffe), des prix en forte hausse, et de la qualité en forte baisse.
    Le temps du Salon de l’Agriculture est en effet venu, et « l’appel (de Macron) à « consommer français » est évidemment d' »une hypocrisie majuscule », dans un monde où élevages intensifs et malbouffe tiennent le haut du pavé, à la ville, comme aux champs !
    Article réservé aux abonnés ; le lien donné par JPB est très représentatif de la situation actuelle…

    https://www.fdesouche.com/2023/02/17/volaille-francaise-la-fin-a-venir-des-labels-qualite-comme-le-label-rouge-qui-font-de-lombre-aux-lobbys-industriels-la-commission-europeenne-va-changer-les-regles-avec-laval-de-lelysee/

    • Comme d’hab, la (grosse) commission européenne va détruire notre patrimoine et notre économie, avec l’aval de nos élites européistes. 1793 vite et Frexit vite!

  29. « Je ne quitterai pas Raquel Welch sans vous offrir ce superbe cliché de Terry O’Neill, qui la montre en instance de strip-tease… »

    Dans Quai des orfèvres de Clouzot,il y a une scène où un vieux cochon fait photographier nue une jeune femme dans un studio spécialisé.

    Il insiste pour qu’elle garde ses chaussures (à talons hauts).

    C’est quoi cette histoire de godasses ?

    Les casse-couilles donnent des coups de pied dans les parties avec leurs talons-aiguilles…mais c’est iune autre affaire.

    • Contenu explicite qui ne convient pas aux personnes sensibles.
      (Je vous demande une fois de plus de ne pas omettre les avertissements)

  30. WTH 26 février 2023 At 15h06
    « Meilleur souvenir (17ans 3/4) : … un amphi bourré, avec largement plus des 3/4 de l’assemblée composés de jeunes mâles ; je fus fascinée… »

    Vous éteiz élève d’une institution catholique non mixte ?

    • Je vous rappelle que, sans ressembler aux délicieux portraits que vous donnez ci-dessus, je suis de cette génération qui était au lycée… de filles – en province ; il me semble me rappeler que, juste une année après moi, la mixité s’est installée partout.
      Catho ! avec des arrière grands parents déjà instits ! J’ai tété la laïcité dès le berceau (mettez vos fiches à jour !)
      Vous imaginez donc le plaisir de voir plein de mecs, et de pouvoir faire, comment oserais-je dire, son marché ? En plus, in Paris !

  31. Pas trouvé Flo ; si vraiment ça pose problème ici – il semble que oui – merci de demander mon mail à JPB et de m’en dire plus ; c’est pas pure curiosité ; je m’en garderai bien d’en toucher un mot ici !

    • Oui, ça pose problème.
      Bordel, de savoir que n’importe qui après être tombé sur son article puisse balancer : « Bah, nan, Steinbeck j’ te recommande pas, bah, j’ai lu dans la revue de Benoist qu’il était un peu à l’Ouest sur la mythologie arthurienne » me rend dingo. Mais dingo d’une force.
      Je vous assure que la phrase en bold que je vous cite est strictement identique à celle de son article.
      Mais j’y réfléchis, je ne vous promets rien mais j’y réfléchis.

      (Et si JP pouvait pénétrer ses mystères par l’ouverture de son troisième oeil, si seulement il pouvait lui dire que c’est aussi de ma part, si seulement…)

      • Laissez tomber, Flo ! Ne vous tracassez pas ! C’est aussi par flemme – j’ai pas mal de choses à faire… Quelqu’un d’autre ici, qui n’en fiche pas une, va s’en charger !

  32. Aujourd’hui, les « champignons de Paris » viennent de Pologne.
    Pourquoi ?
    Parce que ceux produits en France,faudrait les vendre 20 euros le kilo.
    Et pourquoi ?
    Parce que l’agriculteur français,maintenant, y veut rouler en Mercédès,aller en vacances, faire du ski.

    La vocation a disparu;c’est fini l’époque où l’agriculteur était heureux dans son champ et cultivait par passion.

  33. WTH 26 février 2023 At 21h25

    Vous imaginez donc le plaisir de voir plein de mecs, et de pouvoir faire, comment oserais-je dire, son marché ? En plus, in Paris !

    Bref un engagement politique précoce et sincère.

  34. Mendax 26 février 2023 At 10h15

    « …je précise qu’il y est abordé la notion-clé du « ressentiment »

    Sauf erreur, le mot russe traduit par « resentment » dans la version anglaise est « обида »; j’avais appris au lycée,et je viens de vérifier dans le dictionnaire qu’il signifie plutôt « offense ».

    On peut éprouver du ressentiment quand on a été offensé, mais l’important est de savoir si l’offense est réelle.

  35. Flo : ça y est ! trouvé ! (il suffit de menacer du fouet) ; JPB en avait parlé ; j’avais pensé acheter le n° de la Revue, et j’ai oublié… S’il s’agit bien de l’article de C-A N.; dont j’ai (et je ne suis pas la seule ici), particulièrement apprécié les articles sur Causeur ; pour être franche, y ai vu une JPB bis…
    Incredible, but true, isnt’it ?!

    • Jusqu’ici, franchement, je n’avais rien à dire. Quand JPB la citait parce qu’elle lui rafraîchissait la mémoire sur des exercices linguistiques, ça me semblait mérité.
      Mais cette petite phrase si parlante sur Steinbeck, tellement dégueulasse, hideuse au regard du travail fourni par ce grand auteur, infâme pour l’ensemble de ce livre édité à titre posthume (Steinbeck n’est pas là pour se défendre) la seule dans son l’article le concernant ! Il n’y en a pas d’autre contrairement à ce que JPB avance, me la fait envisager d’une tout autre manière.

    • Tiens ! Une leçon de plus sur le mythe de l’agrégé(e)… (Moi JE et mes variantes contextuelles. …)

      Une honte !

    • Du reste qu’il produise l’extrait où elle dit toute son admiration pour Steinbeck comme elle le prétend, on l’attend !
      (peut-être est-elle bouffie de jalousie par la beauté de l’oeuvre pour balancer une pareille saloperie qui flingue Steinbeck avec un air de pas y toucher, peut-être sape-t-elle cette oeuvre pour mieux placer celle s’imagine pouvoir écrire dans un futur… Je ne sais pas mais ça y ressemble)

    • Elle ne rend pas service à Eléments, vraiment pas… Je suis fumasse qu’ils aient laissé passer cette phrase infecte.

  36. Il me semble qu’un néologisme « pесентимент » fait (subrpepticement) place au mot russe « обида »

    « Ресентимент укоренился в российском обществе еще до Путина, то есть в девяностые? Или взращивался уже при Путине? »

    J’ai l’impression que pour le sociologue, les Russes en veulent à l’Occident de les traiter de haut.

    N’y a-t-il pas plus grave que ça ?

  37. abcmaths 26 février 2023 At 21h03
    Contenu explicite qui ne convient pas aux personnes sensibles.
    (Je vous demande une fois de plus de ne pas omettre les avertissements)

    Etes-vous une personne sensible ?

  38. Flo :
    N’empêche que ce que j’ai lu (Causeur) témoigne du réel talent de cette personne.
    Qu’elle fut, qu’elle soit, « aidée », peu m’importe – et même tant mieux ;
    ils sont rares, les talents !
    Et l’agrégation n’est pas donnée à tout le monde, ne vous en déplaise !
    Ce thème des mythes fondateurs me plaît énormément ; ayant cette perspective à l’esprit, m’a permis d’encore mieux appréhender les ouvrages qu’elle a présentés dans Causeur – et j’espère qu’il y en aura d’autres !
    En plus, elle n’est pas dénuée d’humour (cf l’Art pompier), et rien que son visage (photo) montre une indéniable bon humeur.

    • C-A a son « approche », si je puis dire, de ce « mythe fondateur » ; Steinbeck a eu la sienne, en tant que… romancier, ce qui me semble passablement différent.
      Encore une fois, je n’ai pas lu l’article « fatal » (!), mais je crois plutôt bien connaître Steinbeck, grand romancier – j’avais d’ailleurs pensé faire un « travail » sur lui, projet abandonné pour, des années plus tard… « manpower & automation » (EU, fin des années 80 !)

      • Faites votre travail sur John ! Je suis certaine que vous en parlerez mieux que Bonne Bouille qui se la pète grave…

        • J’ai passé l’âge !… Je m’intéresse plutôt – entre autre – ces jours-ci, aux problèmes locaux relatifs à l’implantation de CADAs…

    • Je vous l’ai dit je n’avais rien à dire sur sa production avant la lecture de cette phrase. Non, son aisance à l’écrit ne font pas d’elle une JPB.
      Oui, elle a une bonne bouille à laquelle depuis 24h je ne me fis plus.

      L’agrégation n’est pas donnée à tous le monde, elle ne justifie pas de pouvoir se permettre cette phrase quand on ne connait pas la somme de travail que représente The Acts of King Arthur and His noble Knights. Elle a pété un câble. Elle n’aurait qu’une licence, se serait rendu en Angleterre, aurait étudié les textes en vieil anglois passés par les mains de Steinbeck que je concevrais qu’elle ouvre sa bouche, qu’elle émette des critiques. Or ça n’est pas le cas, elle s’adosse pour le flinguer sur les dires d’un auteur. Il ne faut vraiment pas avoir peur d’écrire : « John Steinbeck n’a manifestement pas tout compris ». Mais pour qui se prend-elle ?
      Je maintiens et j’emmerde tous ces agrégés qui exigent un respect mais font preuve d’une arrogance sans nom pour des ainés qui leur moucheraient le nez.

      • Restons en là… Je suis tentée de dire, à la JPB : « Bon, fin de l’épisode. Vous vous ridiculisez » !

        « John Steinbeck n’a manifestement pas tout compris » : ne jamais isoler une phrase de son contexte !
        Je vois cette phrase comme une entrée en matière, une façon de piquer la curiosité du lecteur… ce qui ne sous-entend en rien qu’elle mette Steinbeck plus bas que terre !
        Je suppose qu’ensuite elle développe les arguments à même de soutenir sa « thèse ».

        Encore une fois, nous avons, d’un côté, une personne qui travaille sur les mythes fondateurs, de l’autre un romancier, qui, même s’il a passé du temps en recherches sérieuses (à n’en pas douter !) a produit une oeuvre… de romancier !
        vous refusez de l’entendre, ok !

        Et, au passage, merci de ne pas appeler Steinbeck, John ! Vous vous prenez, ou le prenez, pour qui ?!
        Ce n’est pas votre copain, pas plus d’ailleurs que… Jean-Paul !
        Et je n’arrive toujours pas à comprendre cette haine viscérale à l’égard des agrégé.e.s !

        • Je suppose qu’ensuite elle développe les arguments à même de soutenir sa « thèse ».

          Hélas, cette phrase conclue le paragraphe puis retour à la ligne.

          Dans son entier :

          « D’une mère-patrie maltraitée à une autre, Avalon devient le bastion de résistance au christianisme arthurien. Ce sont les combats féminins qui s’organisent à Avalon, selon l’auteur, tous les événements de la mythologie arthurienne. John Steinbeck dans The Acts of King Arthur and His noble Knights n’a manifestement pas tout compris.

          Parallèlement, l’irréalité de l’île et son caractère mystérieux en font un lieu de choix pour les entités en quête de syncrétismes écologiques médiévalisants : de Tomb Raider aux chansons d’Alan Stivell, l’île perdue symbolise tout autant l’ailleurs féérique, passéiste et régionaliste que « l’île de morts ». Arthur s’y rend en bateau, il est accueilli par Morgane, qui maîtrise comme personne les enchantements curatifs. »

          Non, la connerie est sans appel. Et aucune tentative d’explication ne me fera changer d’avis.
          « médiavalisant » = novlangue d’agrégée qui s’autorise parce que agrégé ? Fuck off. C’est insupportable. « Mais naaan tu comprends pas c’est l’action directe du moyen âge ». Fuck off.

        • Et il faut lire ses mamours qui suivent à l’endroit de Tolkien… Lui a droit aux honneurs. (mérités, nous sommes d’accord).

          Un pète au casque.

        • Ne faites surtout semblant de ne pas comprendre qu’elle pouvait présenter le travail de Steinbeck sous un autre angle que celui de la bêtise, sachant de surcroît qu’elle n’avait pas lu la littérature médiévale sur laquelle il s’était appuyé pour construire le paradigme de son roman : ça lui a pris des années. Qu’elle note une différence de traitement ne signifie pas que Steinbeck soit dans l’erreur, ou peut-être est-elle trop con pour le comprendre.

          • Pour votre gouverne : elle a tout lu sur les mythes arthuriens, du VIIIe siècle au XXIe. Steinbeck était un amateur à côté.
            Bon, fin de l’épisode, vous êtes de mauvaise foi comme d’habitude.

    • (Elle ne se fout pas uniquement de la gueule de Steinbeck et elle ne devrait pas… Je me comprends. Vraiment, je l’ai dans le pif. Dossier terminé, je n’en parlerai plus)

  39. Se croire tout permis par la grâce d’un sésame de troisième cycle, pisser à croupi sur l’oeuvre de Steinbeck, jusqu’à éditer la photo d’une défunte en posture particulière avec les applaudissements de l’assistance ?

    Ce sera sans moi.

  40. Le plus drôle, mon cher Jean-Paul, c’est quand un intervenant émis une critique sur une de vos oeuvres, et sans vous avoir qualifier de malcomprenant, votre réaction fut de fermer votre blog. Alors là c’était inadmissible !

    C’est une conne.

    Mais quelle farce vous êtes tous !

  41. La flole, groupie à croupi *, tenancière autoproclamée du sanctuaire steinbeckiste, branle le manche d’Excalibur qui tient bon. Que faire d’une « logomâchie » qui mâche ses propres mots ?

    * la croupe au ras du sol en mode « goutte à goutte », suivant la saga arthurienne si pleine de pisseuses diverses

  42. Jean-Paul Brighelli 27 février 2023 At 8h21
    Pour votre gouverne : elle a tout lu sur les mythes arthuriens, du VIIIe siècle au XXIe. Steinbeck était un amateur à côté.
    Bon, fin de l’épisode, vous êtes de mauvaise foi comme d’habitude.

    « Steinbeck était un amateur à côté. »

    Voilà, on y est ! Enfin ! Elle ne se sent plus pisser dites-moi. (accroupie, ça va, il était tard, dyslexie complète)

    Elle n’a jamais lu de vieil anglois mais John Steinbeck serait un amateur en comparaison… Et je serais de mauvaise foi ?
    Êtes-vous sûr que Steinbeck n’a pas tout avalé sur le mythe arthurien, Jean-Paul ?
    Je l’avais bien pressenti, une morveuse qui ne supporte pas l’ombre de Steinbeck sur ses ambitions.

    Vous savez quoi : Je lui lance des cacahuètes plein la tronche. Pardon, je *médiavalise* sa tronche en lui lançant des cacahuètes.
    Mais quelle conne … quelle grosse conne…

    • (Je peux comprendre qu’elle vous fascine, je n’ai pas le souvenir que vous ayez été aussi imbu de vous-même que cette jeune radasse l’est d’elle-même et que le commentariat de Causeur n’attend pas spécialement avec impatience… Le commentariat de Causeur doit sans doute être de mauvais foi lui aussi.)

    • En deuz, Jean-Paul

      Je peux vous assurer que le dossier n’est pas fermé même si je ne l’évoquerai plus sur bdâ. Il y a du beaucoup plus lourd que cette connasse aux dents qui rayent le parquet dans le mythe arthurien, auprès de qui il faudra peut-être un jour qu’elle réponde de son arrogance (médialivasante ?)… Qui sait…

    • elle a tout lu sur les mythes arthuriens, du VIIIe siècle au XXIe.

      Résumons : agrégée de Lettres et d’espagnol. Qu’elle nous dise comment elle a trouvé le temps d’étudier la linguistique, passer l’agreg’ de français et d’espagnol et lire parallèlement toute la littérature sur le mythe arthurien du VIIIe siècle au XXIe alors qu’elle a moins de trente ans ?
      Qu’elle nous dise qu’elle magie arthurienne s’enfile-t-elle dans les narines pour encaisser autant d’informations ? Qu’elle fasse tourner !!!

      Et vous ne devriez pas, vous et cette mytho, prendre les gens pour de cons, ce n’est pas bien.

      • Et pourquoi n’a-t-elle pas fait l’ ENS avec un son cerveau magique ?

        Pardon, peut-être l’ENS l’a-t-elle refusée, elle et son son cerveau magique ? Steinbeck est un nain, l’ENS sont des cons ? J’ai bon…

  43. Extrait de la réponse du gouvernement:

    « OHID analysis shows that, in England, for the week ending 28 October, the leading causes of death contributing to the excess were deaths involving cardiovascular diseases; the highest levels of excess mortality were for deaths involving heart failure (21% higher than expected), and ischaemic heart diseases (17% higher than expected). »

    Evidemment les complotistes vont se jeter là-dessus pour dire:problèmes cardio-vavsculaires, ce ne serit pas le « vaccin  » ?

  44. Jean-Paul Brighelli 27 février 2023 At 8h21
    elle a tout lu sur les mythes arthuriens, du VIIIe siècle au XXIe. Steinbeck était un amateur à côté.

    C’est comme ça que vous avez introduite Dame cerveau magique j’ai deux agrèg, et j’ai encore le temps d’avaler toute la mythologie arthurienne à moins de trente ans à Eléments… et A de Besnoit à avaler sans poser de question ?

    C’est bô, je vous jure, que c’est bô. Vous êtes trop fort Jean-Paul .
    (et au passage si elle pouvait nous passer l’adresse de son Merlin à weed magique ce serait chouette)

    • Nan, que son grand cerveau magique n’ait pas la reconnaissance de l’ENS, je trouve ça….
      Je trouve ça médialavisant que voulez-vous, c’est trop dég’.

  45. @ WTH

    Aucune haine à l’endroit des agrégés, disons que celles qui l’ont obtenue par la fréquentation d’un sugar daddy n’ont pas spécialement mon respect…, et pourvu qu’elles n’aient en plus un melon qui leur ferait penser qu’elles peuvent tout s’autoriser, dire tout et n’importe quoi sur Steinbeck en comparant leur travail au sien. Voilà tout.

  46. WTH 27 février 2023 At 1h44
    Je m’intéresse… aux problèmes locaux relatifs à l’implantation de CADAs…

    Vasistas ?

    • Sophistique imbécile habituelle ne tenant aucun compte de la chronologie ni des rapports de cause à effet. Tout ça pour aboutir de manière prévisible au relativisme moral habituel lui aussi sur le mode « finalement les torts sont partagés ». Et comme d’habitude, on ne tient aucunement compte de ce que voudraient les ukrainiens en osant parler de « statut neutre de l’Ukraine ».

      La vérité, c’est que la ruSSie est un état prédateur qui ne peut pas s’empêcher d’aller grignoter son voisin. Sans ça, les ukrainiens ne seraient pas allés voir les américains.

      Je me demande si je ne préfère pas encore les mensonges de Cyrano.

      Tenez, le discours de Spaak à l’ONU en 1948. Il n’a pas pris une ride :

      « La base de notre politique, c’est la peur.
      La délégation soviétique ne doit pas chercher d’explications compliquées à notre politique.
      Je vais lui dire quelle est la base de notre politique. Je vais le lui dire, dans des termes qui sont un peu cruels
      peut-être et dans des termes que seul le représentant d’une petite Nation peut employer.
      Savez-vous quelle est la base de notre politique ? C’est la peur. La peur de vous, la peur de votre
      Gouvernement, la peur de votre politique.
      Et si j’ose employer ces mots, c’est parce que la peur que j’évoque, n’est pas la peur d’un lâche, n’est pas la
      peur d’un Ministre qui représente un pays qui tremble, un pays qui est prêt à demander pitié ou à demander
      merci.
      Non, c’est la peur que peut avoir, c’est la peur que doit avoir un homme quand il regarde vers l’avenir et qu’il
      considère tout ce qu’il y a peut-être encore d’horreur et de tragédie, et de terribles responsabilités dans cet
      avenir.
      Savez-vous pourquoi nous avons peur ? Nous avons peur parce que vous parlez souvent d’impérialisme.
      Quelle est la définition de l’impérialisme ? Quelle est la notion courante de l’impérialisme ? C’est celle d’un
      peuple – généralement d’un grand pays – qui fait des conquêtes et qui augmente, à travers le monde, son
      influence.
      Quelle est la réalité historique de ces dernières années ? Il n’y a qu’un seul grand pays qui soit sorti de la
      guerre ayant conquis d’autres territoires, et ce grand pays c’est l’U.R.S.S. C’est pendant la guerre et à cause
      de la guerre que vous avez annexé les pays baltes. C’est pendant et à cause de la guerre que vous avez pris
      un morceau de la Finlande. C’est pendant et à cause de la guerre que vous avez pris un morceau de la
      Pologne. C’est grâce à votre politique audacieuse et souple que vous êtes devenus tout-puissants à Varsovie,
      à Prague, à Belgrade, à Bucarest, à Sofia. C’est grâce à votre politique que vous occupez Vienne et que vous
      occupez Berlin, et que vous ne semblez pas disposés à les quitter. C’est grâce à votre politique que vous
      réclamez maintenant vos droits dans le contrôle de la Ruhr. Votre empire s’étend de la mer Noire à la
      Baltique et à la Méditerranée. Vous voulez être aux bords du Rhin et vous nous demandez pourquoi nous
      sommes inquiets…
      La vérité, c’est que votre politique étrangère est aujourd’hui plus audacieuse et plus ambitieuse que la
      politique des Tsars eux-mêmes.
      Nous avons peur aussi à cause de la politique que vous suivez dans cette Assemblée. Nous avons peur à
      cause de l’usage et surtout à cause de l’abus que vous faites du droit qui vous a été reconnu à San Francisco :
      le droit de veto. »

  47. Covid-19 : la primovaccination pour la population générale n’est plus recommandée par … la Haute Autorité de santé, qui préconise une campagne de vaccination à l’automne pour les personnes les plus à risque.

    Par Delphine Roucaute
    Publié le 24 février 2023 à 12h56, mis à jour le 25 février 2023

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/02/24/la-haute-autorite-de-sante-recommande-une-nouvelle-campagne-vaccinale-contre-le-covid-19-a-l-automne_6163162_3244.html

    Réponse de Lormier,personne à risque, à la Haute Autorité de santé:

    Ta dose, tu te la fous au khul.

  48. Flo : « Aucune haine à l’endroit des agrégés, disons que celles qui l’ont obtenue par la fréquentation d’un sugar daddy… »

    Les fréquentations ne servent pas à grand-chose quand au jour J et à l’heure H, vous êtes devant votre feuille blanche pour les épreuve écrites pour rendre des copies qui seront anonymées, puis, après avoir franchi le cap de l’admissibilité, quand vous vous retrouvez devant vos commissions de jury de 3 spécialistes pour vos épreuves orales.

    Quand vous êtes agrégé.e, externe et interne, vous avez gagné votre agrégation à la sueur de votre front, vous devez votre succès à vos qualités intellectuelles et à votre maîtrise de votre discipline.

    Il faut vraiment ne rien savoir du fonctionnement d’un jury d’agrégation pour croire qu’on peut devoir son agrégation externe ou interne à un « coup de piston ».
    Pour les agrégés par liste d’aptitude, c’est un peu différent.

      • « Quand vous êtes agrégé.e, externe et interne, vous avez gagné votre agrégation à la sueur de votre front… »

        Et pour une thèse ?
        Peut-on soutenir une thèse rédigée par quelqu’un d’autre,sans que le jury s’en aperçoive ?
        https://www.theses.fr/2021AIXM0387

      • Oui, litote.
        Les agrégés par liste d’aptitude le deviennent sur coup de pouce des Recteurs d’académie et des corps d’inspection.
        De la part des corps d’inspection, c’est sur la base des qualités d’enseignant et des « services rendus ».
        De la part des Recteurs, c’est encore plus opaque, le soupçon de copinage n’est pas illégitime.
        « Le soupçon de copinage n’est pas illégitime », litote? Oui.

    • Comment expliquez-vous que une grande majorité d’agrégés soient fille ou fils d’agrégés si ce n’est pas une question de codes auxquels on serait initié et comme le rappelait Gus qui a le mérite de l’avoir obtenue sans qu’il n’ait aucune filiation familiale pouvant le justifier ?
      Vous pouvez être beaucoup mieux préparé que d’autres à ce qui vous attend à l’examen, ce sont des informations très précieuses pour son obtention.

      • Flo, vous parliez de « fréquentation d’un sugar daddy ».
        « Sugar daddy » ne recouvre pas la même réalité que « daddy » ou autre relation familiale proche.
        Être issu d’un milieu familial propice, oui bien sûr que c’est un atout considérable.
        Mais la fréquentation d’un « sugar daddy », elle, ne sert à rien pour décrocher une agreg.

        • Pour les révisions, vraiment ?
          Les réflexes d’analyses qu’un jeune cerveau peut acquérir en fréquentant un esprit rompu à l’exercice, est une possibilité qui, je pense, n’est pas à négliger.

      • Que l’on ait accordé cette agrég à une —- qui qualifie l’auteur d’un ensemble de textes parus après sa mort, sur lesquels il n’a eu aucun regard, de crétin quand ce même auteur a étudié, LUI, véritablement des textes anciens durant plusieurs années n’est pas de bonne augure pour l’examen.

        • On ne parle pas de la lecture de cinq ouvrages maxi, entre deux balades à la Fnac à glander au rayon Manga …

        • Et Causeur qui donne l’heure à celle-là… Quand d’autres agrégés seraient bien mieux disposés à partager les savoirs avec autant de talent, avec respect et considération comme leur diplôme les enjoint à se comporter.

          • Je vous plains Flo ! Vous devez en passer du temps à ronger votre dépit, votre jalousie, votre haine…

            « konne, kon (en nombreux exemplaires) ; triple buse, saloperie, bêtise, pisser ‘à croupi’, morveuse, dame caca, ‘myto’, s’enfiler dans les narines »..
            ne sont pas des….arguments.

            Personne ne vous empêche de reprendre des « études » et… de lire !
            vous devez bien avoir un peu de temps ? – il m’est arrivé de suivre des cours à la Sorbonne, Et de lire et travailler pour se faire, en plus de 8h de boulot, des copains, des amants, des discuss et tout et tout – certes, j’étais (plus) jeune, et ça n’a duré qu’un temps.
            Quand on veut, on peut !

            On attend donc quelque chose de votre part, à propos de ce « mythe », ou d’un autre, qui soit bien écrit, construit, raisonnée, qui nous apporte autre chose que… des mots d’oiseau !

          • Arrêtez de me plaindre deux secondes… de vous répandre ne suce-bitage, vous vous ridiculisez autant que cette khonne.

      • J’aimerais que d’autres agrégés prennent la défense de cette morue, d’autres que Jean-Paul dont l’objectivité la concernant est vraiment relative.
        Manifestez-vous, faites-moi savoir que son avis sur l’oeuvre de Steinbeck parue après sa mort (!!!) est largement fondé sachant qu’elle n’a pas lu le début d’un mot des textes qu’il a étudié en vieil anglois à Londres et qu’elle n’a pas pu consacrer autant d’années à cette même étude.
        Dites-le, s’il vous plait, dites-moi que je me trompe.

        • Pour entrer dans ce débat, encore faudrait-il connaître le nom de « l’accusée » et les références du texte évoqué.
          Donnez les infos SVP.

          • L’extrait incriminé, l’auteur de ce texte ( que l’on nommera Camille Médialavisant pour la circonstance) qualifie Steinbeck ne malcomprenant au motif qu’ Avalon ne serait pas considéré comme le théâtre de combats exclusivement féminins, et alors que la parution de l’ensemble des textes étudiés par Steinbeck auquel il consacra plusieurs années et que Camille Médialavisan n’a pas pu lire pour ne pas maîtrisé le vieil anglais furent éditer après la mort de Steinbeck sans que l’écrivain n’ait pu apporter de précision sur le paradigme qu’il accorde à Avalon.
            Voici l’extrait :
            « D’une mère-patrie maltraitée à une autre, Avalon devient le bastion de résistance au christianisme arthurien. Ce sont les combats féminins qui s’organisent à Avalon, selon l’auteur, tous les événements de la mythologie arthurienne. John Steinbeck dans The Acts of King Arthur and His noble Knights n’a manifestement pas tout compris.

          • Et si toutefois, surtout, Avalon dans la mythologie arthurienne fut toujours et exclusivement considéré comme un théâtre de combat exclusivement féminin !

          • auxquels, maîtriser, édités, (fatigue, désolée)

            Si vous ne répondiez pas, j’interpréterais votre geste comme étant une belle délicatesse faite à l’endroit de JPB. J’aurais ma réponse.

        • Mais Camille qui a TOUT lu de la très vaste mythologie arthurienne. Anglaise dans le texte, et française, elle a TOUT lu. Et en enquillant les agrèg’ est formelle : John Steinbeck est un con.

          • ‘suce-bitage » : pauvre Flo, elle aimerait bien, mais, non ; personne n’en veut !
            JPB, « Camille », le Mam’ marin & co, doivent se bidonner… presque comme des baleines !

          • Je réponds à votre question sans y répondre, car sur le sujet que vous abordez je me déclare a/ignorant b/incompétent.
            Deux remarques néanmoins :
            1/ Steinbeck est un immense romancier et un intellectuel de haut vol. Sans le moindre doute. Mais ça ne le rend pas infaillible. (Même JS Bach n’était pas à l’abri d’une erreur de contrepoint, que certains musiciens ont relevées, rendez-vous compte…)
            2/ Parmi les intervenants de ce blog, il en est un qui est omniscient, omnicompétent, qui juge que Montesquieu, Céline et Rimbaud (entre autres) sont sur-estimés, et qu’il traite de fausses gloires. Alors sur ce malheureux et insignifiant Steinbeck, pensez donc, il aura qqch à dire. Demandez-lui son avis, et, n’en doutez pas, il Saura (majuscule volontaire). A condition qu’il accepte de s’abaisser à vous répondre, vous qu’il juge de la façon que vous savez.

          • Merci de rappeler l’envergure de Steinbeck dont l’intellect épouse si mal une incompréhension aussi énorme. Peut-être aurait-il été plus prudent, et par humilité disons-le, de parler de choix de paradigme dont la motivation qui resterait inconnue pour Avalon et si en effet, TOUS les textes relatifs anglais/français définissent l’endroit comme étant exclusivement féminin plutôt celui que de qualifier cet homme de con. Parce qu’il suffirait d’un seul des textes anciens étudiés par Steinbeck, ou d’autres se rapportant à la mythologie arthurienne contredisant la supposée bêtise mais confortant son choix, pour que l’auteur de cette accusation ne soit pas considérée comme n’étant pas simplement et également infaillible mais définitivement très puante et con.

            Merci encore pour vous être abaissé à me répondre. Vous êtes trop bon.

          • Pourquoi cette dernière pique? Vous répondre n’est en rien s’abaisser. J’aurais voulu être moins ignorant pour vous répondre mieux, mais je ne suis pas omniscient…

          • Non. Ce n’était pas une pique, une simple déconnade pour reprendre la votre visant celui-dont-on-ne-prononce-jamais-le-nom, et j’apprécie votre considération pour Steinbeck. Je vous assure que ça me fait du bien fou que la valeur de cet homme se soit matérialisée dans votre commentaire.

          • En fait ce livre de Steinbeck est sorti en 1976, et depuis près de cinquante ans et malgré l’intérêt que cet ouvrage suscita dans la presse littéraire à l’échelle mondiale, drainant l’avis d’une floppée de spécialistes comme la préface de Christopher Paolini spécialiste du genre d’une édition américaine indiquant : « Fascinated by Arthurian tales of adventure, knighthood, honor and friendship, in addition to the challenging nuances of the original Anglo-Saxon language, Steinbeck set out to render these stories faithfully and with keen animation for a modern audience.  » Je répète  » faithfully ».

            Et bien, nous ne savions pas que Steinbeck était un con… Allez, j’arrête.

  49. @WTH
    « Et, au passage, merci de ne pas appeler Steinbeck, John ! »

    Quand Flo appelle Steinbeck par son prénom, vous vous offusquez.
    Quand le mot « youpin » est utilisé plusieurs fois par jour sur ce blog, avec vous ça passe crème.
    Un jour, peut-être, vous nous expliquerez vos indignations à géométrie variable, et les raisons profondes qui les motivent, ou pas.
    « Youpin », accepté par vous sans état d’âme, mais « John » pour Steinbeck considéré par vous comme un excès de familiarité…N’y a-t-il pas de quoi s’étonner ?

    • Le « Cardinal » et ses obsessions – elles semblent très lourdes et il s’obstine toujours à en rajouter…
      mais ce n’est peut-être que pour la galerie (BdÂ, par ex) ;
      en tout cas, certains savent bien mieux que d’autres mettre en mots leur(s), heu, névrose(s)…
      une dame est d’ailleurs montée au créneau ; il s’est peut-être fait clore le bec ;
      par contre personne ne s’est manifesté contre les précédentes divagations de Flo – est-ce à dire qu’on ne les prend pas au sérieux ; que ce sont de simples objets de moquerie ?
      Je n’ai jamais entendu quiconque parler d’un écrivain, romancier, en l’appelant par son prénom !
      C’est sans doute beaucoup moins malsain que youpin, mais c’est, comment dirais-je, dérangeant.
      Bravo, au passage, de vous comporter en gentleman, si tant est qu’elle le mérite sur ce coup là.

  50. Jugement de probabilité et baratin
    Lab Leak Most Likely Origin of Covid-19 Pandemic, Energy Department Now Says
    U.S. agency’s revised assessment is based on new intelligence

    [Origine du virus:très probablement un accident de laboratoire,déclare le département de l’énergie]

    Oui, mais dans le corps de l’article,on lit que le déparetement de l’énergie émet cette estimation de haurte probabilité avec un faible taux de confiance.

    Si je dis:il est très probable que votre grand-mère ait volé les diamants et je n’ai que faiblement confiance en ce que je viens d’énoncer, que comprenez-vous ?

    https://www.wsj.com/articles/covid-origin-china-lab-leak-807b7b0a?mod=e2tw

  51. « Un jour, peut-être, vous nous expliquerez vos indignations à géométrie variable, et les raisons profondes qui les motivent, ou pas. »

    Mais quel curé…

    • Pas fou HP (!) – 15h07 – Il lâche le morceau… et renvoie la balle au Cardinal – sa préférence à lui.
      Hello dear ! Je vous espère revigoré, après ce chaud ouikind sur BdÂ

      • Merci WTH pour le 15h07, je n’avais même pas vu, et j’ai bien ri. Toujours ce ressentiment, toujours cette confusion entre jugement de goût et jugement de fait, toujours ces piques en se cachant derrière son petit-doigt… (Et, HP, comme je suis certain que vous me lisez : pas d’avis sur Steinbeck. Mes connaissances en littérature américaine sont à la mesure de mon intérêt pour la matière – nuls.)

        Sinon, week-end assez particulier sans être totalement déplaisant (voir post ci-dessous). Et vous ? Racontez-moi !

  52. Flo, vous qui fantasmez toujours un peu ma vie… je tiens à voir faire savoir que j’ai sniffé mes premiers rails de coke samedi soir ! Juste avant d’aller dans une soirée branchée. Expérience incroyable… dont je n’ai aucun souvenir, black out total. Mes amis m’ont raconté que j’avais été particulièrement déchaîné : très drôle, encore plus insupportable que d’habitude, pris de spasmes par moment au visage, avec les yeux qui ont viré « au vert fluo » (!)… Bon, ça ne s’est pas trop mal terminé : j’ai émergé dimanche midi dans un appartement cossu à deux pas de l’Arc de Triomphe et le lit d’une demoiselle avec laquelle j’avais déjà fait un coup d’un soir !

    • Et elle n’a pas été rebutée par votre petit zizi ? Parce que quand on s’autobaptise « grozob », on peut soupçonner un léger problème de ce côté-là…
      Bouh j’arrête, j’en ai la vulve toute gonflée !

      • Désirée rappelle un peu Messeguiche, ne trouvez-vous pas?
        Je laisse aux fins limiers (!!!) – Flo et L’homme-aux-mille-pseudos-qui-sait-tout – le soin de mener l’enquête.

      • « on peut soupçonner un léger problème de ce côté-là »

        C’est la seule explication possible, assurément !

        • Comme je vois que mon sexe fait toujours autant phosphorer et fantasmer ces dames, je me sens obligé à faire cet aveu : je suis l’un des rares premiers de la classe dont la taille du sexe est supérieure à leur moyenne au bac !

    • Vous savez ce que l’on a coutume de dire sur le sujet ? Il suffit d’une fois pour avoir envie de recommencer, et si vous avez de recommencer, vous êtes foutu. Cet adage m’a été professé par un aîné, aujourd’hui disparu, inquiet de me voir parfois naviguer en eau trouble, et vous n’imaginez comme il m’a été utile. Je vous en fais cadeau, aujourd’hui. Un dernier truc que vous savez déjà certainement, vous savez tellement de choses, : La coke n’est pas la drogue la plus difficile à décrocher, dit-on… Efforcez-vous peut-être de décliner d’autres propositions vous offrant une autre substance identique dans sa forme à la première mais nettement plus dangereuse dans les dégâts physique et mentaux qu’elle provoque.

        • Cela dit, c’est peut-être le meilleur antidote, parce qu’il est vrai que j’avais envie de réessayer. Merci, Flo ! 🙂

          • Ce ne sont pas les six mois qui espaceront chaque prise qui vous mettent à l’abris de réduire, à chaque fois un peu plus, l’espace temps entre chaque nouvelle prise. Vous me suivez ? il faut en moyenne trois ans pour qu’un toxico arrive à maturité, celle où de son réveil jusqu’à son couché, il soit le mec d’une femme qu’il n’a pas comme le chante la chanson.
            En l’espèce, je vous accorde d’être vraiment flippante.

    • « Mes amis m’ont raconté… »
      Vous avez des amis, vous ?
      Rassurez-vous, ça ne durera pas.
      Dans la vraie vie, il y a toujours un moment où Philinte renonce.

      • Mais plein ! Enfin, ça dépend ce que vous appelez « amis »… Des confidents, peut-être pas. Des personnes avec qui il y a une relation de confiance mutuelle totale, je les compte sur les doigts d’une main. Mais des gens qui m’adorent et m’invitent à chaque soirée, une incalculable palanquée !

  53. Painter, lorsque vous lancez des piques que je suis censé lire, essayez de les mettre au début de vos messages… Quand je vois que vous vous lancez dans un débat sérieux avec Flo, généralement je passe mon tour !

      • Nous en sommes, aujourd’hui, à la troisième ou quatrième version de sa première ligne de coke…

        Véritable déni de son addiction ? P’t’être bien…

        • Mais vous êtes folle ! Je vous mets au défi de citer une de ces versions.

          Justement, j’ai toujours dit que, malgré un tempérament de flambeur et une vie nocturne agitée, je n’avais jamais touché à ce genre de choses… Vestige d’une époque (lointaine !) où je ne buvais pas d’alcool.

          • J’ai pourtant le souvenir d’une première fois, au moins une, que vous nous auriez déjà raconté ; mais j’admets peut-être avoir fait la confusion sur le sujet. Mea culpa.

          • Je ne parlais que de la cocaïne là ! Il y a six mois j’ai dû fumer un pétard, ça ne m’avait absolument rien fait. 🙂

    • Ah ! Je savais que vous m’aimiez, en vrai de vrai.

      « ‘Hein, mais c’est le petit affreux jojo de qui ? Hein, de qui ? Mais c’est le mignon petit affreux jojo à sa mémère …. Mais oui, il aime ça. Mais oui, grand fou ! »

      • Merci de la fermer Flo ! On vous assez entendu pour aujourd’hui ! Et encore, je reste très polie, loin des paroles du Mam’ de mer…

  54. « Et, HP, comme je suis certain que vous me lisez »…
    La réciproque n’est-elle pas vraie?

  55. Flo – 15h50 : en quoi Christopher Paolini, amateur – et auteur, sans rire – de fantasy, est -il plus crédible que…
    Z’avez très mal choisi, votre critique, ma pauvre ; allez, au boulot, trouvez-nous un critique, digne de ce nom !
    Et, au fait, en vérité, vous y connaissez quoi à Steinbeck, alias John ?!

  56. Pourquoi l’invasion de l’Ukraine en 2022 et pas avant ?
    La question mérite d’être posée.

    Quant à la réponse…

    • Parce que la Tchétchénie, parce que la Géorgie, parce que l’Ossétie du Sud, parce que la Syrie, parce que la Crimée, parce que le Donbass, et surtout, parce que la communauté internationale ne réagissait pas plus que ça et que l’autre ordure putride a dû se dire que, bon, alors pas de problème, pourquoi se priver.

      Ou bien vous pouvez croire que c’est la faute de l’UE qui aurait été pas sympa avec la ruSSie. Et bien sûr, celle des américains. C’est une explication tellement plus logique.

      • parce que la Syrie

        Ca c’est un intrus.
        La Syrie n’a pas été absorbée dans l’empire russe.
        Il me semble qu’existait (et qu’existe toujours) un traité d’alliance entre la Russie et la Syrie.
        Quand Assad a eu un problème de guerre civile, il a fait appel à son allié; je crois d’ailleurs que pour vaincre les islamistes, les Américains, les Français y sont allés aussi…du même côté que les Russes.

        • Malheureux ! ça vous amuse, hein, d’appâter M. le gd stratège !
          Nous aurons donc droit à une bafouille d’un (1) (ouaf) km de long !

      • Très juste, très bien vu (pas tjrs très bien dit) :

        « l’Amérique a un DROIT MORAL MILITAIRE ; La Russie, elle, doit faire la guerre ‘en gants’  » ;
        « la Russie ne veut pas de la guerre totale, car elle sait qu’elle serait immédiatement condamnée… moralement » ;
        « l’Occident utilise encore l’arme morale ds son dispositif militaire ; Il ne se rend pas compte que ça coagule les Occidentaux entre eux et que ça coagule le monde dans la distance vis-à-vis de l’Occident, aujourd’hui : qu’on l’accepte ou pas, 80 % des gens vivent ds des pays qui n’ont pas pris de sanctions »… « Et quand ils entendent dire ‘tu avez violé de Droit int’l’, ils se disent ‘tu ne manques pas de souffle de dire ça’ »…
        A un moment, il va falloir que nous rentrions ds un monde qui est déjà bcp plus nombreux que nous…»

        Et le reste, à l’avenant… A écouter, vraiment !

    • Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile :
      (wiki) :
      « CADA migrant -Les Cada sont des établissements sociaux et sont soumis à la règlementation du code de l’action sociale et des familles (article L. 312-1, al. 13). Ils ont pour mission d’héberger et d’accompagner socialement et administrativement les demandeurs d’asile admis au séjour…3

  57. Parce qu’il est temps de mettre un terme à des invectives absurdes sur un article que personne n’a lu, le voici in extenso tel qu’il a paru en juillet dernier — et le lecteur voudra bien garder en tête qu’il s’agit d’un article pour Eléments, avec des contraintes fortes de longueur — pas pour le Bulletin des études romanes…

    Mythe et histoire de la Table ronde

    Un étudiant demandait récemment l’origine de l’expression « se faire appeler Arthur ». Impensable pour lui que le héros de Disney qui retire l’épée du rocher ait subi un jour des remontrances… Ses camarades l’interpellèrent, non pour sa méconnaissance de l’allemand et du « acht uhr » du couvre-feu, mais pour l’image mobilisée. Chacun avait son roi Arthur : roi zombiesque dans le dernier jeu vidéo de stratégie King Arthur : Knight’ Tale, roi féminin Artoria Pendragon en armure et cape bleu du manga Fate / Stay night.
    Autant d’Arthur que d’images. Le mythe est fragmenté en dizaines d’œuvres et de noms emblématiques. Excalibur, la Table Ronde, Merlin ou Avalon, motifs du cycle arthurien, proposent malgré la continuité de leur nom des discontinuités symboliques. La charge véhiculée est une variable combinatoire. Autant de mythes arthuriens que de manières de faire du strip-tease en province, n’en déplaise à Barthes.
    Pourtant, la matière arthurienne, issue de la matière de Bretagne, se codifie tôt. Jean Bodel, dans la Chanson des Saisnes (i.e. des Saxons) explique au XIIe siècle sa classification tripartite des matières :

    « De France et de Bretaigne et de Rome la grant…
    Li conte de Bretaigne sont si vain et plaisant…»

    Si cette classification est trop restrictive, même pour l’époque, les notions de plaisir et d’irréalité sont déterminantes dans ce qu’est devenue la matière de Bretagne. Encore aujourd’hui les légendes arthuriennes séduisent et alimentent la Fantasy ou plus largement le courant médiévaliste par l’imbrication de thèmes guerriers, courtois et folkloriques.
    Dès le XIIe une tradition écrite monte la mystification arthurienne : Geoffroy de Monmouth, son Historia Regum Britanniae et sa Vita Merlini offrent au public la plupart des noms avec lesquels les adolescents d’aujourd’hui, peu médiévistes, sont pourtant familiers : Arthur, Merlin, ou Guenièvre. Lancelot est légèrement plus tardif — et français ! Ils ignorent la source majeure des légendes arthuriennes, leur contexte de rédaction (la conquête normande de l’Angleterre, de Guillaume le Conquérant à Henri II Plantagenêt, résonne avec les luttes entre tribus saxonnes et empire breton, dont il est prédit qu’il renaîtra), et pourtant ils revendiquent telle ou telle de ses résurgences contemporaines.
    Le roi Arthur des jeux vidéo ou des mangas vaut-il moins que celui de L’Historia Brittonum de Nennius — l’une des premières références à un chef de guerre en guerre contre les Saxons entre le Ve et le VIe —, ou celui de la Morte d’Arthur de Thomas Malory (1485), à la fois réécriture, réinterprétation et compilation de sources antérieures pendant la Guerre des Deux Roses ? Le roi Arthur en français du manuscrit de Lyon est-il différent du roi Arthur du XVe via le texte gallégo-portugais de A Demanda do Santo Graal ? Est-ce toujours le même mythe ?
    Ce qui unifie les matériaux arthuriens, médiévaux ou contemporains, est la mort du roi. D’où le titre du poème inachevé de Tolkien, La Chute d’Arthur. Mais le roi est supposé revenir, dit Carlos Reigosa dans « La Muerte del Rey Arturo » : « Y el Rey Arturo, ausentado por las fatigas de esta vida, volverá muy pronto. Porque el mundo cada vez se parece más a como era poco antes de que él llegara.»
    Revendiquer tel ou tel Arthur, guetter son retour, est-ce pour chaque lecteur le même horizon d’attente — lorsqu’Arthur est incarné par Richard Burton en 1960 dans la comédie musicale Camelot, ou par un chevaucheur de varan attendant sur un île perdue de pouvoir regagner les rivages du monde, dans la trilogie Bankgreen de Thierry di Rollo ?
    Voici douze items arthuriens qui, travaillés au cours des siècles, désignent ce qu’ils ne désignaient pas et qui, malgré ce remplissage syncrétique parfois contradictoire, continuent à faire sens. Dis-moi quel Arthur tu attends, je te dirai qui tu es.

    Arthur, roi fainéant

    Artu ou Artus pour les textes médiévaux en langues d’oc ou d’oïl, Arthwys pour les variantes en gallois, Artvr, Arturus ou Arturo pour le latin des Annales Cambria et de l’Historia Regum Britanniae… Autant de patronymes que d’adaptations symboliques pour celui que T. H. White nomme The Once and Future King.
    Qu’Arthur provienne de la famille romaine Artorius ou d’une racine indo-européenne *arto-wig (l’ours / guerrier / roi) est-il essentiel ? Chef de guerre, empereur des Bretons, vainqueur des Anglo-Saxons au Mont Badon pour les Gallois, ou chef de guerre britannique soutenant les Gallo-Romains en Gaule contre les Wisigoths, dernier souverain d’une Angleterre unifiée avant les Dark Ages des Ve-Xe siècles… Seule certitude, son armure ne brillait pas autant que celle de Nigel Terry dans l’Excalibur de John Boorman. Le flou permet la richesse mythique. « Arthur » est un objet syncrétique, dont les traits sont tout aussi parlants pour le joueur de golf qui s’achète un putter lames de la marque Argolf que pour le féru d’astronomie qui cherche avidement dans son télescope l’astéroïde 2597.
    Paradoxe de cette plasticité : une fois intronisé, Arthur disparaît. Sa biographie s’étale entre deux statuts opposés : un tout jeune homme prouvant sa légitimité en pacifiant et unifiant le royaume de Logres, et un roi usé mourant face à Mordred qui l’a évincé. Entre ces deux instants, le roi Arthur n’est jamais personnage principal de sa propre légende. Sinon dans le Chevalier au Papegau, curiosité de la fin XIVe ou début XVe, où le roi voyage incognito, à la manière des chevaliers errants.
    Comment faire de l’arthurien après l’arthurien ? Arthur n’est plus dans Arthur, il est là où nous sommes. Les aventures des chevaliers de la Table Ronde intéressent seules le public médiéval : les réflexions sur le statut de guerrier, sur le statut d’individu sont illustrées par l’amour courtois et la quête du Graal. Camelot est un centre où les chevaliers reviennent pour les tournois de Pentecôte. L’arthurien est donc un paradoxe incarné : Arthur est l’organisateur à la manière du deus absconditus — il est un roi caché.
    Il est pourtant l’un des neuf preux de l’idéal de chevalerie édicté par Jacques de Longuyon. Quand le modèle est mis à mal, à partir du XIIIe et de la Quatrième croisade, les fautes d’Arthur s’accentuent. Dans le Lancelot-Graal ou Pseudo-Gautier Map (nombre d’auteurs médiévaux sont anonymes, ils ne laissent connaitre d’eux-mêmes que ce qu’ils écrivent dans le colophon de leur œuvre), il commet un inceste avec sa demi-sœur, Morgane, et cédant à l’esprit revanchard, quitte son royaume et son trône pour se venger de son cocufiage. Il devient un mauvais roi. Seul son dernier combat contre Mordred lui rend sa superbe.
    Pour les textes médiévaux, Arthur assène le premier coup et Mordred fend le crâne du roi en retour ; pour nombre de textes contemporains, c’est l’inverse : le roi déjà blessé à mort trouve assez de force pour occire son adversaire. Le mythe tourne et retourne — mais peut-il dès lors rester fondateur ? L’illustration d’Arthur Rackham de 1917 montre aussi, plus qu’Arthur et Mordred, un no man’s land et un ciel chargé : la chevalerie arthurienne, mythe de l’Occident, meurt à Camlann comme l’Europe est morte à Verdun.
    La conséquence de ce combat en fait un motif potentiellement mondial. Glastonbury a beau revendiquer le tombeau d’Arthur, son corps reste caché en Avalon, et le roi convalescent dans un lieu inconnu peut être revendiqué par n’importe quel pays en décadence ou qui en a la sensation. Que le mythe arthurien soit flou explique son extension, de l’Angleterre au Japon, en passant par le Canada.
    L’un des éléments déterminants est son retour projeté ou espéré. L’Aragorn de Tolkien ne vient pas de nulle part. Le roi est appelé à revenir, en homme providentiel, quand son royaume aura besoin de lui. L’un de ses plus grands admirateurs, le roi Sébastien Ier dit le Désiré, s’arme chevalier en soulevant l’épée d’Afonso Ier de Portugal dit le Conquérant. Le corps de Sébastien disparaît un temps après sa défaite à la bataille d’Alcacer-Quibir ; ainsi naît le sébastianisme, croyance messianique en un retour du roi pour libérer un pays asservi — le Portugal sous la monarchie espagnole, le Brésil contre sa république athée ou encore le Mensagem de Pessoa au début du Portugal salazariste.

    Avalon, île enchantée

    Avant d’être un modèle de Toyota, le lieu dit « Avalon » est « l’île des pommes » ou « l’île Fortunée ». Un univers de Cocagne dans le mythe arthurien.
    Dès le XIIe, les moines compilateurs de Glastonbury identifient l’Avalonis de Geffroy de Monmouth à leur abbaye — bon moyen aux XIIe et XIIIe siècles pour attirer le pèlerin. Avalon, qui n’est pas forcément une île, est déjà légendaire. Chrétien de Troie y associe un roi dont le nom rappelle la Cornouaille alors qu’à l’image des auteurs médiévaux dont le patronyme reposait sur une localité, John George Woodroff (1865-1936) choisit le pseudonyme d’Arthur Avalon et appelle Avalon l’île du Château, sur la Seine, début XXe.
    L’île est associée à Morgane la fée, qui s’y rend après avoir quitté le royaume de Logres. Site d’exil volontaire ou forcé, c’est un lieu féminin, avec lequel certains font fusionner le motif celtique des Gallicènes de l’île de Stein. Le New Age féministe — à l’inverse des auteurs qui continuent à privilégier le modèle héroïque et guerrier — font d’Avalon une utopie matriarcale. Le cycle d’Avalon de Marion Zimmer Bradley propose ainsi un centre politico-religieux opposé à la cour d’un Arthur qui renie « la Déesse », résurgence des forces telluriques païennes de l’Atlantide. D’une mère-patrie maltraitée à une autre, Avalon devient le bastion de résistance au christianisme arthurien. Ce sont les combats féminins qui trament à Avalon, selon l’auteur, tous les événements de la mythologie arthurienne. John Steinbeck dans The Acts of King Arthur and His noble Knights n’a manifestement pas tout compris.
    Parallèlement, l’irréalité de l’île et son caractère mystérieux en font un lieu de choix pour les entités en quête de syncrétismes écologiques médiévalisants : de Tomb Raider aux chansons d’Alan Stivell, l’île perdue symbolise tout autant l’ailleurs féérique, passéiste et régionaliste que « l’île de morts ». Arthur s’y rend en bateau, il est accueilli par Morgane, qui maîtrise comme personne les enchantements curatifs. L’Avallach, région symbolisant l’enfance saine d’esprit chez Justine Niogret, ou l’elfe Avallac’h capable de passer d’un monde à l’autre avec Ciri l’héroïne de The Witcher ne viennent pas non plus de nulle part. Avalon est le lieu hors temps, qui n’a pas subi les outrages des désenchantements du monde, loin de la capitalisation des relations humaines et des guerres : Tolkien utilise son nom pour nommer un port du Silmarillion Avallonë, et ses attributs merveilleux dans le Seigneur des anneaux pour créer l’île de Tol Eressa où se réfugient les derniers elfes, Gandalf et Frodo porteur de l’anneau alors que l’âge des Hommes débute. Avalon High est enfin le nom d’un collège américain que Meg Cabot choisit pour centre d’une réécriture à destination des adolescents.
    Alors, back to Avalon ?

    Camelot, centre du pouvoir

    Arthur y est couronné dans le Chevalier au Papegau. Les auteurs médiévaux sont moins unanimes que nous pour associer Arthur à Camelot, qui éclipse aujourd’hui les autres cours d’Arthur, Carduel, Cardigan, Tintagel, ou Wincestre. En France, la série Kaamelott (2005) redonne une popularité certaine au cycle arthurien et au cœur géographique du mythe.
    Si Camelot est le château d’Arthur par excellence, le toponyme symbolise le centralisme du pouvoir arthurien. Camelot ou ses avatars sont un point de départ ou d’arrivée dans plusieurs œuvres arthuriennes. De cet épicentre rayonne tout le système arthurien via l’errance des chevaliers, méthode administrative qui en vaut bien une autre. Nombre de guerriers vaincus par les vassaux d’Arthur s’y rendent pour symboliser la pacification du royaume de Logres. Pourtant Camelot devient progressivement le centre d’un pays en perdition : chez Mark Twain, dans A Connecticut Yankee in King Arthur’s Court, c’est sur l’association entre Camelot et la folie que débute le roman : « Camelot, Camelot, said I to myself « I don’t seem to remember hearing of it before. Name of the asylum, likely ».
    S’opposent à Camelot les périphéries dont sont issus les chevaliers : Gauvain et son dernier frère Mordred viennent d’Orcanie (les îles Orcades), Lancelot d’Armorique : deux lignées géographiquement opposées de part et d’autre du centre arthurien, destinées à s’opposer idéologiquement et physiquement, pour le plus grand malheur du roi.

    Excalibur, l’épée et le fourreau

    Caledfwlch en gallois, l’épée magique est latinisée en Caliburnus par Geffroy de Monmouth. Chrétien de Troyes modifie le nom en Excalibur avec une nouvelle étymologie : de “dure entaille” on passe à “l’épée extraite du rocher” (ex calce liberatus). L’étymologie fait tout dire aux mots et aux mythes.
    Charlemagne, l’empereur de la matière de France, a Joyeuse, Roland a Durandal ; le roi mythique de Bretagne, ancêtre supposé des Plantagenet conquérants, doit avoir une épée emblématique.
    Excalibur absorbe ainsi la symbolique de l’épée du rocher. Pour Malory, Arthur a brisé cette dernière, qui l’a désigné comme le successeur légitime d’Uter, et se voit offrir par la Dame du Lac Excalibur et son fourreau. Merlin demande un jour au jeune roi celui qui est, de ces deux cadeaux, le plus précieux. L’inconscient, hanté — c’est de son âge — par les totems phalliques, répond “l’épée”, sans se rendre compte que tout est dans le fourreau. Si l’épée est incassable, le fourreau protège le roi de toute blessure. Arthur le perd et c’est ce qui, avant l’inceste avec sa soeur, avant la jalousie de Mordred, avant l’adultère de Guenière, motive sa mort.
    Excalibur est l’alpha et l’oméga du système arthurien. Si l’on représente Arthur à Camlann la brandissant, la majorité des légendes arthuriennes et des réécritures n’attribue pas à Mordred d’épée magique personnalisée par un nom, symbole de l’opposition entre le populaire profane et le royal sacré. Le fétichisme d’Excalibur correspond au Mythe immuable ; la mort d’Arthur et le retour à l’eau d’Excalibur traduisent la victoire de l’Histoire, dans laquelle l’objet est un instrument et non plus un emblème. Excalibur récupérée par les eaux, c’est la perte définitive du dernier artefact transcendant. C’est la condamnation des hommes à l’Histoire.
    Excalibur a enfin la capacité de se désarthurianiser totalement. Que des centaines d’enfants et d’adultes recherchent une épée virtuelle nommée Excalibur dans des jeux vidéo, Assassin’s creed Valhalla ou Final Fantasy, pour renforcer leur personnage, en dit assez sur le besoin de regalia.

    Guenièvre, dame publique

    Ava Gardner, bien sûr. On résume trop la reine à son amour adultère pour Lancelot, alors que pour les auteurs médiévaux, elle est une femme volage. Marie de France en fait probablement la reine jalouse et calomnieuse dans son lai « Lanval » ; dans Ly Myreur des histors au XIVe, elle aime et épouse Mordred, qui survit à sa bataille avec Arthur : Lancelot assassine la reine volage avant d’emmurer son corps avec un Mordred vivant qui dévore le cœur de son ancienne amante. Les conteurs médiévaux n’ont pas attendu Games of Thrones pour conter des histoires saignantes.
    Guenièvre est généralement la fille du roi Léodagan et apporte en dot à Arthur la fameuse Table Ronde. Elle a elle aussi un substrat celtique, Gwenhwyfar, et une sœur, Gwenhwyfach. Pour certaines traditions galloises, leur rivalité provoque la bataille de Camlaan. D’où l’amour de Mordred pour l’épouse d’Arthur : « Deux coqs vivaient en paix, une poule survint »…
    Morgane est brune, les Préraphaélites la représentent blonde ou rousse. Elle est la source de plusieurs rivalités. Jalouse de Morgane puis d’Elaine, elle intrigue à la cour et ce n’est qu’au XIIIe que son personnage se fixe dans un couvent où elle se fait nonne, après la bataille de Salesbières. Elle mobilise le mythème du personnage féminin enlevé (Chevalier à la Charrette de Chrétien de Troyes) ou substitué (le fragment de La Fausse Guenièvre). Elle symbolise très tôt le trône de Bretagne et le royaume du cœur. Natsume Sōseki, pour traduire l’hésitation du Japon entre tradition et modernité lors de l’époque Meiji, choisit de travailler, dans sa nouvelle Kairo-ko, le triangle Lancelot-Guenièvre-Mordred.

    Graal, objet non identifié

    Holy Graal ! disent les Monty Python : il se dérobe dès que l’on cherche à le définir. Il y a un graal pour le philatéliste ou le numismate. Le Graal est protéiforme.
    La première mention du Graal est dans le Perceval ou le Conte du Graal de Chrétien de Troyes, roman inachevé. Dans le château du roi Pêcheur, blessé à l’aine, Perceval assiste à une procession : un jeune homme tient une lance où perlent des gouttes de sang, une jeune femme tient un graal. Perceval ne pose aucune question et cela lui sera reproché amèrement. Le graal est étymologiquement une assiette, un plat, il rappelle les motifs de la corne d’abondance ou du chaudron du dieu celte Dagda.
    Ce n’est qu’avec Robert de Boron et l’Estoire dou Graal qu’il devient le Saint Graal, associé au calice où Joseph d’Arimathie recueillit le sang du Christ. L’artefact, quête majeure des chevaliers de la Table Ronde, montre que l’orientation même de la matière arthurienne change : il ne s’agit plus de prouesses guerrières ni d’équilibre entre amour et virilité, mais d’une quête initiatique. Galaad seul le trouvera parce que supra-humain, robot dans le Graal-Théâtre de Jacques Roubaud et Florence Delay, et disparaîtra après l’avoir contemplé. Sa découverte met fin dans la mythologie arthurienne à l’ère des Temps Aventureux : la perfection est hors d’atteinte, il ne reste plus aux chevaliers et aux hommes que l’échec.

    Logres, centralisme non démocratique

    Logres ou la Loegrie est le royaume d’Arthur, correspondant au sud et au centre-est de l’île. Nommé d’après Locrinus, fils de Brutus, premier roi des Bretons qui peuplèrent Albion après la fuite de Troie d’Enée. Décrit par Chrétien de Troyes comme la terre des Ogres, c’est un pays imaginaire où le merveilleux règne mais qui intègre des régions réelles : au côté de la Cornouaille et du pays de Galles, sont associés Lyonesse ou encore Corbenic. On l’associe à tort à une utopie : il y a très vite quelque chose de pourri dans le royaume de Logres.
    Les régions représentées par leur meilleur chevalier dans la Confrérie de la Table Ronde finissent par être rivales, les tensions menacent et Logres devient une entité menacée par les schismes politico-identitaires. Les rivalités entre une périphérie et le cœur logrien trouvent écho dans les identités régionalistes des chevaliers. Pablo Mané explique la chute d’Arthur par les intrigues du clan excentré de Mordred et des îles Orcades. L’identité régionaliste de Lancelot, associé non plus à l’Armorique mais au pays Basque, incite le clan d’Orcade à utiliser politiquement sa liaison adultère avec Guenièvre. Pareillement, dans le Sir Mordred catalan d’Imma Mira Sempere, l’Arthur logrien est une sous-mouture de Mariano Rajoy, président du gouvernement centralisé madrilène, et Mordred est le héros luttant pour la liberté et la régénération de l’Avalon-Catalan. La carte de Logres est un calque que les auteurs superposent au gré du contexte de leur œuvre.

    Merlin, enchanteur pourrissant

    L’une des répliques de Graal Théâtre illustre toute sa complexité : « Le conte dit toujours vrai. Ce que dit le conte est vrai parce que le conte dit vrai. Certains disent que le conte dit vrai parce que ce que dit le conte est vrai. D’autres que le conte ne dit vrai parce que le vrai n’est pas un conte. Mais en réalité ce que dit le conte est vrai de ce que le conte dit que ce que dit le conte est vrai. Voila pourquoi le conte dit vrai. » Alors, qui est Merlin ?
    Fils sans père, fils du diable, bâtard, stratège, bâtisseur de Stonehenge, il est omniscient. Il sait le passé autant que le futur : pourquoi n’a-t-il pas empêché l’échec arthurien ? Pourquoi avoir créé et laissé dépérir Logres ? Vieux magicien au chapeau bleu et pointu il devient Ermite, « l’enchanteur pourrissant » d’Apollinaire devient un enfant chez Walt Disney. Personnage aussi protéiforme que son rôle, sa morale, son ambition et son but restent flous. Il aide à la conception et à la formation d’Arthur, mais il apprend aussi au roi qu’il a couché avec sa sœur et que l’enfant de son inceste est amené à le destituer. Arthur organise alors le massacre des enfants nés le 1er mai, comme un nouvel Hérode. Fatalité oblige, seul Mordred survit. Merlin connaît les rouages de la machine infernale arthurienne. Il symbolise ainsi tout autant la fatalité que le libre-arbitre. Chaque auteur devient un Merlin, un metteur en scène des légendes arthuriennes, un marionnettiste — et si son œuvre lui échappe, Merlin est un bon enchanteur.

    Mordred, méchant exemplaire

    Medrawt, puis Mordret et enfin Mordred, sans compter Mordaunt dans Vingt ans après. Il est le personnage-clef le plus méconnu. Les Annales Cambriae notent seulement qu’il est mort à Camlaan en même temps qu’Arthur. La nécessité littéraire et mythique du traître en fait le félon de la matière de Bretagne, comme la matière de France avait Ganelon. Le Mordred des comics américains est tout entier dans le Mal, alors que les auteurs médiévaux avaient tissé autour de lui un entrelacs de prophéties plus tragiques.
    Pour resserrer le tissu arthurien et dramatiser le thème de l’échec, les auteurs font progressivement de Mordret un vassal, un neveu puis le fils d’Arthur. Celui-ci l’a engendré avant même d’être roi en couchant avec sa sœur Anne ou Morgause, femme du roi Lot d’Orcanie, en se faisant passer pour lui auprès d’elle — réplication du tour joué par son père Uter à Ygraine. Le bâtard d’Arthur problématise les relations entre vassaux et suzerains. L’affrontement père / fils (ou oncle / neveu) est un invariant indo-européen particulièrement fécond : de l’histoire de Rostam et Sorhab à celle d’Amleth the Northman, en passant par Shakespeare et le Roi lion, le motif traduit autant un affrontement individuel de rivalité virile qu’un affrontement générationnel de chronologie culturelle. Le mythe tué, place à l’Histoire.
    La réhabilitation de Mordred est illustrée par l’heroic fantasy ou la dark fantasy aux Etats-Unis : que l’un des pays les plus jeune au monde s’intéresse à un fils bâtard est-il anodin ? Héros victorien luttant pour la liberté face à un Arthur sclérosé dans la tragédie d’Henry Newbolt, héros de la culture geek et gay amoureux de son ordinateur Apple, nouveau fétiche du capitalisme, dans The Prince and the Program, héros nationaliste des Confederation Poets de la fin du XIXe canadien ou héros opposé, sous fond de schisme allemand, à la gérontocratie arthurienne dans le Die Ritter del Tafelrunde de 1981, Mordred est l’Autre. Le moins arthurien des chevaliers, dès le XIIe, est très tôt associé aux Pictes et aux Saxons, ennemis historiques d’Arthur. Cette colllusion avec les tribus païennes et asservies par le christianisme arthurien en fait, dans les réécritures les plus modernes, un défenseur des contre-cultures, allant du lycéen tatoué d’Avalon High à l’amant de Lancelot dans The Bastard Son de Douglas Clegg. Si Arthur est le martyr du christianisme dominateur et viril, Mordred est celui d’un néopaganisme à l’écoute des cris d’agonie de la planète et de la culture woke.
    Les lois arthuriennes provoquent le désenchantement du monde. En rapprochant Mordred de Morgane et d’Avalon, en développant un Œdipe inversé, Mordred est au service du merveilleux, un espion envoyé par la fée à la cour du roi pour la noyauter et la détruire de l’intérieur. Si Imma Mira Sempere en fait le hijo de Avalon, Marion Zimmer Bradley le nomme originellement Gwidion et c’est à la cour d’Arthur que son nom est dénaturé en Mordred.

    Morgane, fée et sorcière

    Morgwen, Morgue, Morgaine, Morgane… Elle est rarement mentionnée sans son épithète homérique « la fée » ou « le Fay ». Elle est la Fata Morgana. Demi-sœur d’Arthur, élève de Merlin, rivale de Guenièvre et châtelaine dont les amants s’effacent à son profit. C’est à Morgane qu’Arthur doit la perte de son fourreau protecteur — c’est elle qui le jette dans un lac.
    La fée absorbe progressivement un autre personnage médiéval : Anna ou Morgause, autre sœur d’Arthur, femme du roi Lot et mère de Gauvain, Agravain, Gareth, Gaheriet et Mordret. Entre la fée et l’Erinye, c’est un personnage ambigu pour le Moyen Âge car elle a beau révéler au premier intéressé les desseins érotiques de Lancelot, le représentant en train de cocufier Arthur avec Guenièvre, elle dirige les fées qui emmènent loin de Logres le corps du roi pour le soigner. Progressivement mue par la vengeance et par son amour pour son frère, elle tisse dans l’ombre les fils pour la chute d’Arthur. Si Merlin est le démiurge de l’univers arthurien, Morgane en est le deus ex machina.
    Pour les réécritures les plus contemporaines, elle n’est plus fée mais sorcière, opposée le plus souvent à la bonne fée Nimue ou Viviane, la Dame du Lac. Comme Mordred son caractère s’harmonise et se manichéise, d’où son appartenance, dans les comics de DC ou de Marvel à la catégorie des « supervillains ». A tout Cosmos, il faut un Chaos.

    Salesbières, fin de partie

    Plaine où se déroule la bataille de Camlaan, en 537 selon le manuscrit A des Annales Cambriae, dernière bataille à laquelle prennent part Arthur et Mordred et où ils meurent tous deux. Salesbières problématise l’identité et l’unicité religieuse de la Grande-Bretagne : Malory y transpose la guerre civile des Deux Roses.
    Salesbières dès le XIIe siècle devient un lieu littéraire à forte charge testimoniale. Geoffroy de Monmouth fait s’entretuer Mordred et Arthur et les auteurs postérieurs travaillent l’imminence de la fin. Les armées de Mordred et d’Arthur se font face, aucune épée ne doit être tirée lors des pourparlers, un serpent surgit aux pieds d’un soldat. Le combat est inéluctable. Arthur et Mordred se rencontrent sur le champ de bataille, Girflet voit passer un rayon de soleil à travers la plaie que le père inflige au fils. Le Lancelot-Graal inscrit le duel de Salesbières comme un motif incontournable, mais les réécritures les plus contemporaines inversent la chronologie de certains événements qui s’y déroulent. Si c’est Arthur qui pourfend le premier Mordred dans les textes médiévaux, dans nombre d’œuvres postérieures, c’est Mordred qui assène le premier coup. Le motif mythologique fonctionne-t-il toujours, pris à l’envers ?

    Table Ronde, kilomètre zéro

    Si l’expression « table ronde » désigne aujourd’hui une rencontre entre penseurs qui n’aboutit le plus souvent à rien, il en est tout autrement quand le roi Arthur en conçoit l’idée. Il y a deux précédents à la table d’Arthur : celle de la Cène et celle de Joseph d’Arimathie qui, après avoir recueilli le sang du Christ dans le Graal, a gagné la Bretagne. Et en aval de la Table arthurienne, dans la récupération du mythe de Camelot par Jacqueline Kennedy pour désigner les années de présidence de son époux, la Table Ronde correspondait au salon ovale. Rien ne se perd, tout se transforme.
    Tankred Dorst dans son Merlin oder Das wüste Land caricature la volonté d’Arthur de créer une table ronde, grande, légère et portative via un menuisier chargé de la fabriquer : « Ça débarque et ça tient des discours sur une table et ça ne sait même pas ce que ça veut en faire ! … Petite ! Grande ! Ronde ! Représentation du monde ! … Et il faut qu’elle soit sacrée par-dessus le marché ! » La Table Ronde devient un lieu transcendant, capable lui aussi de se désarthurianiser totalement.
    La rotondité symbolise l’égalité des chevaliers « Tous siégeaient aux places d’honneur, aucun ne se trouvait relégué à l’écart », est-il écrit dans le Brut de Wace. Mais la rotondité de la Table est aussi celle du monde, et du mythe fonctionnel qui, à l’instar du cosmos, est cyclique. Alors, la Table, la Table toujours recommencée ?
    Oui et non, car lorsque le siège périlleux (le dernier siège supposé rester vide en mémoire de Judas) est attribué au meilleur chevalier du monde, Galaad, les chevaliers n’ont plus de quête et la cyclicité du mythe devient synonyme d’ennui ou de leurre ; les derniers artefacts merveilleux ou miraculeux ont disparu.

    • « Ses camarades l’interpellèrent, non pour sa méconnaissance de l’allemand et du « acht uhr » du couvre-feu… »

      Ah! ces jeunes qui n’ont pas connu l’occupation!

    • Grand merci à vous JPB ! C’est exactement ce qu’il fallait faire, pour mettre fin à tous ces « délires » et ces injures… particulièrement intolérables.
      Je vais lire cet article avec beaucoup d’intérêt (je sais que je vais me délecter !) – et peut-être me permettrai-je d’en dire deux mots.
      J’ai bien tenté de dire que les deux approches entre le « roman », relaté par le « romancier » et une « analyse » étaient difficilement comparables ; les buts ne sont évidemment, par définition, pas les mêmes…
      Merci encore !

    • On se doutait que cette éruptive querelle d’agrégés ou de wannabe n’était que tempête dans un verre d’eau, ou plutôt d’alcool pour la folle Flo, et la lecture de l’article le confirme magistralement. Cette bonne femme est raide dingue et relève de la psychiatrie soviétique la plus féroce.

  58. La table, toujours recommencée » (suite)

    « au fond maintenant les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d’action… l’époque serait aux tables rondes et à la détente hein? »

    Mais,

    « quand les hommes parlent, les gonzesses (se)taillent »

  59. « Holy Graal ! disent les Monty Python  »

    Il me semble qu’ils disent plutôt,comme tous leurs compatriotes: « Holy Grail »…

  60. Jean-Paul Brighelli 28 février 2023 At 8h11
    « …il est temps de mettre un terme à des invectives absurdes… »

    Le monde étant absurde, il ne sera mis fin à l’absurde qu’à la fin du monde.

      • Futurant ; futurer ; moderner ? Wè, l’est pas mal moderner… J’aime bien moderner. MOrdernail avec maj et le « ail’ de holy Grail, il est pluss mieux comme ça, très chouette.

      • Restons sur une note amusante avant de passer à autre chose. Celle qui suit a provoqué, hier, une crise de rire en discontinue, suivie de quelques fous rires jusqu’à mon sommeil. C’est toujours bon de s’endormir en se marrant.

        [ Flo 27 février 2023 At 19h35
        Bah, rester dans la logique de mettre en opposition Steinbeck et un auteur New âge, sans donner aucune info sur l’oeuvre de Steinbeck et offrir une conclusion peut amène sur l’illustre qui inspire même un agrégé et intervenant du blog, lui faisant dire que tout grand homme peut avoir des failles.

        Je suis dans le ton. (Pardon, Harold, Pardon)]

        Bonne journée à vous, Jean-Paul, je ne vous remercie jamais assez de m’avoir fait économiser 8 €.

  61. extrait:

    Cette démarche serait-elle le préalable à une nouvelle obligation vaccinale, qui plus est avec un vaccin controversé, voire plus dangereux plutôt qu’utile ? Le rôle des papillomavirus dans les cancers n’étant pas bien établi et l’efficacité du vaccin l’étant encore moins vu les délais de développement de la maladie.
    Pour information, la députée indienne Brinda Karat et le Conseil Indien de la recherche Médicale ont exigé l’arrêt immédiat après le décès de sept jeunes filles et d’au moins 120 cas d’effets indésirables. Si ni vous personnellement, aucun agent de la Fonction Publique, aucun élu, aucun membre du gouvernement, aucun laboratoire pharmaceutique n’ont à assumer de responsabilités des effets secondaires, pourquoi vouloir imposer l’administration de substances prétenduement préventives à nos adolescentes ?

    Le consentement libre et éclairé des parents et de l’intéressée sera-t’il recueilli ? Comment sera préservé le secret médical ?
    Pourquoi le milieu médical autre que le médecin scolaire entre dans les établissements scolaires ? Pourquoi déplacer les fonctions des uns pour les donner aux autres ?

    • McRon, vaccinolâtre, avec tout ce que ça implique… tente de relancer la machine.
      Légalisation de la zoophilie en Espagne : « les relations sexuelles avec un animal ne seront punies que si l’animal est blessé » ;
      faudra-t-il envisager qques vax, contre d’éventuelles transmissions de virus malins entre hommes et animaux ?

  62. Macron,colporteur de substances vénéneuses:

    Gardasil May INCREASE the Risk of Cervical Cancer

    Contrary to Merck’s representations, Gardasil may increase the risk of cervical and other cancers, not prevent them. Several studies (including one from the CDC which has still stood by the vaccine so far) have found that by suppressing certain HPV strains, Gardasil vaccines may promote mutagenetic changes in the virus that can lead to cancer.

    Public health data seems to support the conclusion that Gardasil may be increasing the rate of cervical cancer. After the introduction of the HPV Vaccine in Britain, cervical cancer rates among young women aged 25 to 29 increased by 54%.

    In Australia, 13 years after Gardasil was released and pushed upon teenagers, there has been a 16% increase in women 25-29 and a 30% increase for women 30-34. Meanwhile, rates are decreasing for older women (who have not been vaccinated).

    In other words, Gardasil may increase the risk of cancer. This will be the crux of the claim for some victims who file a Gardasil vaccine lawsuit.

    https://www.millerandzois.com/products-liability/gardasil/#:~:text=The%20Gardasil%20lawsuits%20accuse%20Merck,that%20can%20prevent%20cervical%20cancer.

  63. Jean-Paul Brighelli 28 février 2023 At 9h45
    il y en a qui surenchérissent sur l’absurde du monde…

    Comment est-ce possible ?

  64. Dans un appel diffusé le 20 mars 2019 par la société LJ communication sous forme de communiqué de presse, 50 médecins, sociétés savantes, sociétés professionnelles, sociétés privées, syndicats médicaux et associations de patients, appellent à la généralisation du vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) et à l’extension de son indication aux garçons afin, disent-ils, d’éliminer les cancers dont ces virus seraient responsables.
    Nous, médecins et pharmaciens indépendants de l’industrie pharmaceutique, dénonçons le nonrespect de la loi par les signataires de cet appel et nous opposons à la généralisation de ces vaccins en raison des incertitudes majeures qui pèsent sur leur rapport bénéfice-risque et coût-efficacité.

    La loi fait peser sur les professionnels de santé une obligation de déclaration de leurs liens et conflits d’intérêts lorsqu’ils s’expriment publiquement sur des produits de santé (article L.4113-13 du Code de la santé publique) sous peine de sanctions disciplinaires.
    La déclaration de liens d’intérêts relève bien d’une responsabilité individuelle et personnelle de la part des signataires et ne peut être déléguée à des tiers.
    Or, sur l’«appel des 50», aucune mention n’est faite des liens d’intérêts des professionnels et des sociétés ou associations avec les trois fabricants des vaccins contre le HPV… »

  65. Mendax 27 février 2023 At 20h53
    Parce que la Tchétchénie, parce que la Géorgie, parce que l’Ossétie du Sud, parce que la Syrie, parce que la Crimée, parce que le Donbass…

    Le territoire de l’ex URSS était-il plus grand ou plus petit que celui de la Fédération de Russie ?

  66. Gentes Dames, Damoiseaux

    Monsieur Brighelli, vous nous partagez un article d’un auteur spécialiste de la légende arthurienne, cette personne qui aurait tout lu de la mythologie arthurienne dites-vous,. Elle présente une erreur de taille. Cela me navre au plus haut point.
    Le Cycle d’Avalon de Marion Zimmer Bradley présente le lieu comme découlant de la mythologie arthurienne ; l’Avalon dont il est question dans ce roman est issue de ma mythologie, elle n’a rien à voir avec la mythologie arthurienne !
    On ne saurait confondre Mélusine et Morgane ma cousine, je vous offre mon roman d’Avalon.

    « Au royaume d’Albanie, ancêtre du comté d’Albany en Écosse, le roi Elinas chassait dans la forêt et rencontra, près d’une fontaine, une magnifique jeune femme qu’il salua bien humblement. À son souhait de la prendre pour épouse, celle-ci accepta en lui demandant de jurer à ne jamais chercher à la voir au temps de ses couches. La fée Persine (ou Presine) épousa Elinas et ils eurent trois filles, toutes aussi belles que leur mère. L’aînée s’appelait Mélusine, la deuxième Mélior et la dernière Palestine. Mataquas, fils du premier lit d’Elinas, jaloux du bonheur de sa belle-mère, poussa son père dans la chambre où Persine baignait ses filles. Celle-ci s’exila avec ses trois filles au sud, sur l’île magique d’Avalon , où elles montaient chaque matin sur la colline d’Elénos, la montagne fleurie, d’où elles pouvaient apercevoir la lointaine Albanie. La fée Persine leur dit qu’elles y étaient nées et que la fausseté de leur père les avait réduites à une misère sans fin. Chaque fois elle répétait son malheur, si bien que Mélusine poussa ses sœurs à enfermer leur père en la merveilleuse montagne de Northumberland, appelée Brumblerio, d’où il ne sortirait plus jamais. Leur mère s’en montra fort courroucée, et condamna Mélusine à devenir serpent au-dessous du nombril chaque samedi. Si toutefois elle trouvait un homme qui veuille l’épouser, à la condition de ne jamais la voir le samedi, elle vivrait le cours naturel d’une vie de femme et mourrait naturellement, enfantant une très noble et très grande lignée qui accomplirait de belles et hautes prouesses. Mais si jamais elle se séparait de son mari, elle retournerait, sans fin, au tourment d’auparavant. Mélior fut condamnée à garder un épervier merveilleux dans un château en Arménie. Quant à Palestine, elle fut enfermée, avec un lutin, dans le mont Canigou et dut garder le trésor de son père jusqu’à ce qu’un preux chevalier la délivrât. »

    Je vous remercie de bien vouloir transmettre et d’avertir cette personne, insistez, mettez la en garde sur l’envie qu’elle aurait de piocher des sources glanées sur wikipédia, ça lui éviterait de commettre l’irréparable.

    Comptant sur vous

    Fée Mélusine

  67. Vous devez commencez à me connaître, je garde toujours le meilleur pour la fin…

    fee.mélusine@orange.com

    Next !

  68. Avoir tout lu de la mythologie arthurienne mais être d’une ignorance crasse sur la mythologie *médiévalisante* française…. C’est trop khon.

  69. la Table Ronde correspondait au salon ovale

    Phrase d’une excentricité un brin laconique…j’dis ça, j’dis rien, c’est juste pour meubler.

  70. « quand les hommes parlent, les gonzesses (se)taillent »

    « quand les hommes parlent, les gonzesses ne pipent mot» (proverbe corse)

  71. Je vais lire cet article avec beaucoup d’intérêt (je sais que je vais me délecter !)

    les vieilles merdes et les clous rouillés surjouant l’authenticité sur le dos du travailleur.

  72. WTH 28 février 2023 At 11h17
    Légalisation de la zoophilie en Espagne

    Grâce au Brexit, les Anglais sont préservés de ce genre de folie

    14 mis de prison pour rapports (ou tentative de rapport) sexuel avec un cheval.
    Man jailed for sexually assaulting horse
    This article is more than 7 years old
    Alan Blackman, 31, convicted of trespass with intent to commit sexual offence and attempted intercourse with horse after being caught on CCTV

    https://www.theguardian.com/uk-news/2015/oct/23/man-jailed-sexually-assaulting-horse-alan-blackman-cctv

  73. Futurant ; futurer ; moderner ? Wè, l’est pas mal moderner… J’aime bien moderner. MOrdernail avec maj et le « ail’ de holy Grail, il est pluss mieux comme ça, très chouette.

    Floraline contente de ratiociner des raisons imparables pour qu’on lui dépleuge pas la poutre qu’elle a au cul..
    – En quel honneur msieu ljuge?
    – Ni dieu ni maitre!

    • Jean-Paul Brighelli 28 février 2023 At 9h45
      Mais il y en a qui surenchérissent sur l’absurde du monde…

      Je ne faisais que prendre exemple, mon bon maître…

    • Je proteste ! C’est Monsieur Brighelli qui est victime de sodomie dite « à sec et sans farine », suite une rencontre malheureuse…. Une agrégée… qui aurait tout lu de la mythologie arthurienne lui avait-elle dit… Une agrégée avec une bonne bouille…

  74. Un mot quand même ! Allez, Jean-Paul ! Vous allez avoir la correction de répondre à la fée Mélusine.
    Ne restez pas cloîtré dans la provocation du silence, les magiciennes les ont en horreur.

  75. Vous avez raison, on se tait. On se démerde pour qu’Alain n’en sache rien. Ecrivez une nouvelle chronique, illico macias. On se dépêche !

  76. Et ça con-tinue ! Ah les gens k’ont pas fait d’études et ki brûlent d’être reconnus, par tous ces affreux agrégés, en gavant les autres de vide – sans compter les mots d’oiseau – : d’une telle lourdeur, que ça dépasse même le stade du ridicule.

    • (Vous voyez Jean-Paul, consolez-vous, tout n’est pas perdu. Celle-là n’a toujours rien compris à la bourde monumentale de votre agrégée qui a tout lu de la mythologie arthurienne…)

    • Faites l’effort de lire avec attention ce qui suit, efforcez-vous de comprendre, comprendre une seule fois pas plus, cela devrait vous suffire pour prendre la mesure de l’escroquerie. Celle-ci n’est pas en rapport avec le raccourci malheureux faisant de Steinbeck un grand homme à failles. Il s’agit d’une toute autre supercherie, d’un tel niveau qu’elle efface toutes les autres.
      Vous qui vous défendez d’être ridicule, avec passion et acharnement, agissez, lisez au calme avec une tasse de thé peut-être, avant de verser dans le grotesque.
      C’est Monsieur de Benoist qui est à plaindre personne d’autre.

      Fée Mélusine 28 février 2023 At 12h24
      Gentes Dames, Damoiseaux

      Monsieur Brighelli, vous nous partagez un article d’un auteur spécialiste de la légende arthurienne, cette personne qui aurait tout lu de la mythologie arthurienne dites-vous,. Elle présente une erreur de taille. Cela me navre au plus haut point.
      Le Cycle d’Avalon de Marion Zimmer Bradley présente le lieu comme découlant de la mythologie arthurienne ; l’Avalon dont il est question dans ce roman est issue de ma mythologie, elle n’a rien à voir avec la mythologie arthurienne !
      On ne saurait confondre Mélusine et Morgane ma cousine, je vous offre mon roman d’Avalon.

      « Au royaume d’Albanie, ancêtre du comté d’Albany en Écosse, le roi Elinas chassait dans la forêt et rencontra, près d’une fontaine, une magnifique jeune femme qu’il salua bien humblement. À son souhait de la prendre pour épouse, celle-ci accepta en lui demandant de jurer à ne jamais chercher à la voir au temps de ses couches. La fée Persine (ou Presine) épousa Elinas et ils eurent trois filles, toutes aussi belles que leur mère. L’aînée s’appelait Mélusine, la deuxième Mélior et la dernière Palestine. Mataquas, fils du premier lit d’Elinas, jaloux du bonheur de sa belle-mère, poussa son père dans la chambre où Persine baignait ses filles. Celle-ci s’exila avec ses trois filles au sud, sur l’île magique d’Avalon , où elles montaient chaque matin sur la colline d’Elénos, la montagne fleurie, d’où elles pouvaient apercevoir la lointaine Albanie. La fée Persine leur dit qu’elles y étaient nées et que la fausseté de leur père les avait réduites à une misère sans fin. Chaque fois elle répétait son malheur, si bien que Mélusine poussa ses sœurs à enfermer leur père en la merveilleuse montagne de Northumberland, appelée Brumblerio, d’où il ne sortirait plus jamais. Leur mère s’en montra fort courroucée, et condamna Mélusine à devenir serpent au-dessous du nombril chaque samedi. Si toutefois elle trouvait un homme qui veuille l’épouser, à la condition de ne jamais la voir le samedi, elle vivrait le cours naturel d’une vie de femme et mourrait naturellement, enfantant une très noble et très grande lignée qui accomplirait de belles et hautes prouesses. Mais si jamais elle se séparait de son mari, elle retournerait, sans fin, au tourment d’auparavant. Mélior fut condamnée à garder un épervier merveilleux dans un château en Arménie. Quant à Palestine, elle fut enfermée, avec un lutin, dans le mont Canigou et dut garder le trésor de son père jusqu’à ce qu’un preux chevalier la délivrât. »

      Je vous remercie de bien vouloir transmettre et d’avertir cette personne, insistez, mettez la en garde sur l’envie qu’elle aurait de piocher des sources glanées sur wikipédia, ça lui éviterait de commettre l’irréparable.

      Comptant sur vous

      Fée Mélusine

      • Une petite précision qui complétera la manoeuvre ici dévoilée. La fiche wikipédia de Marion Zimmer Bradley évoque Avalon, lui consacre un important paragraphe mais hélas, se fait l’économie d’indiquer que la mythologie dont il est question n’est pas d’origine arthurienne… CQFD.

      • Au Moyen Age, la Bretagne ne se distinguait pas de l’Angleterre, pauvre cruche ! Voir Lancelot.
        La France d’ailleurs se distinguait mal de l’Angleterre — on a même fait un e longue guerre à ce sujet.

        • Pardon ? Le roman d’Avalon appartiendrait à la mythologie arthurienne ? Je suis une cruche ?

          Bravo !

          Que les monarques anglais aient parlé français au moyen n’autorise pas à confondre la mythologie française à la mythologie arthurienne. Pour votre gouverne, Mélusine aurait véritablement existée. (J’ose le : consultez wiki sur lequel figure son arbre généalogique)
          Je veux bien admettre que vous n’ayez jamais tort. Mais pour le coup, vous vous couvrez de ridicule.

          Honte sur vous, plus encore que sur tous les autres.

          • Vous êtes décidément un pur amateur. Mélusine a une filiation gréco-latine, et elle est passée par l’Allemagne. Rien de français sinon par appropriation.
            Laissez tomber les questions mythologiques, vous n’êtes pas au niveau.

          • « Laissez tomber les questions mythologiques, vous n’êtes pas au niveau. »

            Ecoutez, je veux bien admettre de grosses lacunes mais celles de votre copine sont plus handicapantes encore pour elle… Et en effet, que ce soit quelqu’un de mon niveau qui soit obligée de le lui rappeler, me navre autant que vous ne l’êtes pour moi.

          • Peut-être aurais-je dû ne rien dire… Vous imaginez, vous, un matin au téléphone avec Alain. Lui vous faisant part de sa très très grosse déception suite à des courriers reçus de lecteurs se plaignant e, faisant part de la supercherie wiki qu’ils auraient constatés, supercherie qui n’est pas digne de sa revue. Vous, l’écoutant en silence, submergé par la honte…
            Mais tant mieux s’il a beaucoup apprécié l’article…

          • M’insultez ne vous fera pas effacer la supercherie, la belle arnaque. Je pense sincèrement que beaucoup d’agrégés étaient capables de fournir un article d’une trempe supérieure sans rien connaître spécialement à la mythologie arthurienne. Google est notre ami.

            De renvoyer un niveau de connaissance en mythologie à celui de mon orthographe ne me réjouit pas.

            Mais si ça vous soulage de m’insulter… Faites. Et que vos féaux absents de cet échange vous soutiennent en y prenant part, ça ne changera rien : j’ai raison.

        • (J’avais prévu votre sentence… Je maintiens et multiplie mon jet de cacahuète sur la bonne bouille jusqu’à l’avis d’un juge de paix… Disons celui de A. de Benoist himself et d’autres vrais spécialistes de la mythologie française et anglaise. Qu’en pense-t-il ?)

          Mélusine ne figure sur aucun manuscrit anglais de la mythologie arthurienne, vous ne la trouverez nulle part dans les archives de Londres. Tenez-le vous pour dit ! Même si Steinbeck n’a pas tout compris !

          • Alain — qui est un ami — a adoré cet article. Voilà.
            Et Mélusine est une figure indo-européenne — rien de spécifiquement français.

          • C’est heureux, ça se finit bien. Franchement, tant mieux pour vous !
            Parce que ça craint vraiment !

        • Vous ramez et touchez la falaise,

          Vous oubliez une chose fondamentale : Mélusine ne connait pas Arthur.

          Non, Monsieur, Mélusine n’ a jamais entendu parlé du King. Le king ne figure nulle part dans son roman. La noble histoire de Lusignan n’appartient pas à la mythologie arthurienne. Non.
          Marion Zimmer Bradley, grande allumée new âge s’est chargée de composer une fiction, de fondre les deux mythologie en changeant les prénoms. Votre copine s’est plantée en beauté.

          Et c’est moi la cruche dites-vous ?

  77. Nomdedieu : quel coup de maître ! vax, Ru-Uk, le Cardinal, etc… presque oubliés !
    C’est de la vengeance de haute voltige !
    Encore eux 😎 ?

  78. À tous
    Comme vous l’avez compris, je fourni à Jean-Paul l’adresse mail de la fée Mélusine relative à son pseudo.
    Je m’afflige qu’aucun agrégé de français ne connaisse la mythologie française et n’ait pas réagit à l’énormité qui est de la confondre à la mythologie arthurienne. Et moi, canard boiteux du blog ! La flole, bordel ! Je fus dans l’obligation de le faire.
    Je ne fais aucune illusion, je connais le traitement qui est réservé aux lanceurs d’alerte.
    Vous mériteriez que je ne m’attache plus à corriger mes fautes…

    • Honte sur vous tous !

      HONTE !!!

      Je me garderais toutefois de confondre le niveau de cette triste conne avec celui qu’il faut pour obtenir l’agrégation et pour qui je garde, quoi que vous en pensiez, un profond respect.

      • La flole, agrégée de rien, enjoint son entourage : Avalon couine-t-elle !

        Elle a tellement sucé qu’elle espère encore une récompense pour son labeur
        (avec l’argent du labeur)

        • Pas autant que vous ! Quand on connait la propension qu’a votre bouche à fréquenter les braguettes de LREM et l’usure de vos genoux à maintenir la position sur le lino des couloirs, des bureaux et celui des chiottes du CEA.

    • ça y est y, tu la tiens ta vengeance ! aux poteaux les agrégés ! Vas tu finir à la « corbeille » ? ou pas ? et quid de la Mélu ? Y aura-t-il un vote ? le Cardinal sera-t-il de qque utilité (la Loi et le Droit), complétés par des jurisprudences en anglais, allemand – russe, non – dénichées par l’IA Lormier ?
      ‘dedieu, comment disait Coluche ! quelle aventure !

      • Mais ta gueule ! Ferme là deux secondes
        Quelle vengeance ? Tu es con ou tu es con ? Sérieusement. Et puis arrête avec la jalousie. Tu n’as que ce mot là à la bouche. Mets toi dans le crâne que les femmes de ce blog ne sont pas toutes amoureuses comme tu l’es de ce vieux Monsieur.
        Sérieusement fais-toi oubliée si tu n’as pas toujours compris dans quelle position très très indélicate se trouvait JPB vis à vis d’Eléments.

        • « mais ta gueule, ferme là deux secondes » !
          Et vous ?!
          Merci de ne pas me tutoyer ! et j’ai ce qu’il me faut, côté « vieux monsieur » (argh !).

          Quelles « femmes » de ce blog ? Vous avez fait fuir Sanseverina, que vous avez traitée comme moins que rien, par pure jalousie !
          et moi, que ne me suis-je pris dans la figure ?
          « fais-toi oubliEE !! »
          « Eléments » et son vieux libidineux, sans déc ?!
          Tout le monde s’en fout et même s’en contrefout !
          Vous êtes sujette à « criseS », c’est clair, mais à ce point ! ouahou !
          Allez-vous faire soigner et n’oubliez pas vos médocs !

          • Parfait, tu commences par ne pas tutoyer, hein, tu veux, j’avise par la suite. (« ça y est y, tu la tiens ta vengeance ! »)

            Tu sais ce que j’en fais de ton avis ? Je fais comme tous le monde qui s’en fout royalement. Je ne sais pas, échange avec Lormier, par exemple mais arrête de psychoter sur moi, change de sujet (au passage : évite de partager des images qui nous renvoie au sujet. Bref, tu me lâches…
            PS : Je suis certaine que ta critique sur Eléments consolera Jean-Paul.

  79. Mais, à partir de dorénavant (!), je ne vous lâcherai pas, jusqu’à ce que vous disparaissiez !
    Et même que je vais montrer à notre ami psy, vos derniers mails ; je pense que ça va pas mal, euh, l’intéresser!
    Malheureusement, Jojo n’est plus de ce monde ; c’est dommage ; lui aussi ça l’aurait amusé, qu’une bouffonne comme vous, se prenne à ce point au sérieux !

  80. Lu dans Wikipedia:
    « Selon Julien d’Huy, Mélusine appartiendrait au type mythique de la ménagère mystérieuse. Dans de tels récits, « une femme-animal apparaît mystérieusement et s’occupe en cachette du foyer d’un homme célibataire ; celui-ci la prend comme conjointe. »

    Brassens en a fait une strophe magnifique de sa Non-demande en mariage :
    « On lui ôte bien des attraits
    En dévoilant trop les secrets
    De Mélusine
    L’encre des billets doux pâlit
    Vite entre les feuillets des li –
    – vres de cuisine. »

    Une chose est sûre : entre Flo et Brighelli comme entre Flo et WTH, l’hypothèse du mariage est plus qu’incertaine…

    • Je l’avais annoncé : je connaissais la sentence qui m’attendait.
      Vous aurez tout de même eu l’explication pour laquelle Steinbeck ne pouvait manifestement pas tout comprendre à la vision de Marion Zimmer Bradley… Et pour cause ! ; )

  81. Y’en a un qui n’hésite pas à enfoncer le clou, entre la revue « E », et le CEA ; trop fastoche !

  82. AVERTISSEMENT

    Suite à la demande de WTH me faisant savoir qu’elle souhaitait un échange mail, j’ai indiqué par mail à Jean-Paul Brighelli que je ne souhaitais pas qu’il communique ni mon adresse mail ni mon identité.
    Le commentaire de 17h04 de WTH m’indique qu’il n’a pas respecté ma demande, me faisant savoir qu’il lui aurait communiqué des mails mais plus grave :il n’a pas tenu ses obligations relatives quant à mon anonymat.
    C’est donc devant la justice que Jean-Paul Brighelli devra répondre de cet acte.
    Sachez tous, que votre anonymat n’est pas garantie sur ce blog contrairement à ce que la législation concernant internet oblige.
    Ainsi, intervenants de passage êtes-vous avertis.

        • Soyez remerciez de vous laisser allée et de n’avoir aucune retenue sur vos confidences. Il vous dira peut-être en privé à quoi il s’expose grâce à vous. Je vous garantie que c’est très sérieux.

          Vous pouvez me répondre d’un smiley « sourire jaune »

  83. On sent confusément que la parole est libérée… et le souffle récupéré, après un violent catch féminin.

    De nouveau, les appétits sont aiguisés, et même féroces, y compris chez Lormier, qui n’oublie pas, pour autant, qu’il doit continuer à vendre – coûte que coûte (19h41).

    • (Lormier, qui a failli révéler l’indicible à 19h10 ; n’aurait plus manqué que ça pour attiser la colère de qui vous savez)

  84. L’origine de la photo de Raquel Welch crucifiée:le vocabulaire.

    Terry O Neil était allé voir Raquel sur le tournage de 1000 000 years BC; l’actrice s’inquiétait un peu des réactions de la presse quand on la verrait en bikini préhistorique. Je vais me faire agonir, descendre en flamme…ils vont me crucifier « I’ll be crucified ».

    C’est le mot,pris à la lettre, qui a fait naître l’idée de la photo.
    She told me she thought she’d be crucified by the press for it. And I thought, ‘That’s it!”

    “I somehow got 20th Century Fox studios to set up a giant crucifix for me and I took a series of shots, in colour and black and white, from different angles. They are beautiful shots but we both looked at them once the film was developed and we both got a little nervous. I was brought up Catholic and I did study to become a priest for a while. I feared people might think the wrong thing, so I decided not to publish the photos.”

    Et elles sont restées dans une boîte pendant trente ans.

    Bonne réaction des meufs quand la photo est sortie: »c’est féministe. »

    https://iconicimages.net/news/iconic-spotlight-raquel-welch-cross-terry-oneill/

  85. Flo :
    « Et que vos féaux absents de cet échange… »
    Qu’on sache bien ici que je ne suis le féal de personne.

    • Je le savais, Harold.
      Je suis obligée de vous laisser. Des choses trop sérieuses ont été commises ici. Je regrette que Brighelli prenne avec tant de légèreté les obligations qui lui sont faites en tant que modérateur du blog et étant hébergé par Causeur, il y a une législation assez ferme sur les échanges d’internet… (Une adresse IP par le passé avait déjà été balancée, dois-je vraiment m’étonner ?). Mais j’admets toute fois que cette de donner des mails privés à WTH que je ne connais pas, est une méthode particulièrement et assez dégueulasse pour me faire déguerpir. efficace.
      J’ai fait l’erreur de vouloir interroger Brighelli en privé sur cet article ne voulant pas faire trop de bruit, rester discrète. Mais vraiment. Du reste, ce n’est que le lendemain après avoir partagé mes interrogations sur bdâ et après enquête de WTH que l’article et le nom de cet auteur furent révèles.

      Mais enfin, je vous recommande vraiment la prudence, à vous et aux autres également, de ne pas enregistrer une adresse mail nominative au moment de l’envoi d’un commentaire. Et éviter surtour les échanges privés avec l’hôte. Si ça peut servir d’exemple…

      Bye !

      • Je viens d’envoyer un mail* à JPB, pour lui dire que ça commence à bien faire !
        Si je revoie encore une fois vos MENSONGES, je peux m’agacer, et moi, POUR DE BON !
        J’espère que c’est clair !

        le 3ème depuis 3 ans que je connais ce blog !
        2 fois pour le remercier de ses envois par mail de quelqu’uns de ses cours de Littérature,
        et 1 3ème pour, déjà, chouiner à la suite de vos inadmissibles mots d’oiseaux à mon encontre ;
        il s’agit ici de la 2ème « plainte », qui là, s’accompagne de mensonges ;
        vous voilà prévenue : il n’y en aura pas 3 !

        • revois et quelques uns !
          on me dit de me calmer et de quitter pour de bon cet blog ; ce serait sans doute préférable.

        • WTH 28 février 2023 At 17h04
          Mais, à partir de dorénavant (!), je ne vous lâcherai pas, jusqu’à ce que vous disparaissiez !
          Et même que je vais montrer à notre ami psy, vos derniers mails ; je pense que ça va pas mal, euh, l’intéresser!

          Tous le monde jugera de la valeur de votre parole. De quels mails parlez-vous donc si ce n’est pas JPB qui vous les a envoyés. Je n’ai pas votre adresse mail et vous n’êtes pas supposée avoir la mienne !
          Et je vous conseille de vous faire très discrète et de baisser d’un ton.
          Vous avez fouiné pour connaître l’auteur de l’article, vous avez donné ses initiales, vous vous êtes vanté d’avoir mis une pression sur JPB pour l’obtenir, alors, FERMEZ LA.

        • Je vous fait un copié/collé; petite menteuse, du commentaire d’hier dans lequel vous vantez de savoir manier le fouet avec JPB en privé pour obtenir et l’article et le nom de l’auteur ?
          TAISEZ-VOUS, vous vous enfoncez et vous ne lui rendez encore une fois pas service.

          • Ce n’est plus drôle, plus du tout !
            Vous voulez que je parte moi aussi ? ok pas de problème !
            comme ça, vous resterez là seule à vous faire moquer de tous…
            (je vois que vos pills commencent à faire effet ! plus de faute d’ortho !)

            Je me demande comment un mec a pu vous supporter ! et j’espère que vous n’avez pas d’enfants !!

            Ce qui ne m’empêchera pas de contacter qui j’ai dit demain matin !
            ça vous pouvez y compter !

          • Attention, je fais un copié/collé, vous allez encore avoir honte. (pour que tous le monde réalise votre trouble obsessionnel compulsif au mensonge)
            Je l’édite, il vous arrive en pleine figure comme une tarte à la crème.
            Et aucun bavard ne vous sera d’aucune aide.

          • Qui vous a fourni les initiales de l’auteur ?

            Qui ?

            Im-bé-ci-le… Vous êtes stupide.

  86. WTH
    28 février 2023 At 17h04
    « Mais, à partir de dorénavant (!), je ne vous lâcherai pas »

    Every breath you take
    Every move you make
    Every step you take
    Every bond you break
    I’ll be watching you….!

    • C’était juste une phrase, balancée sur le ring : catch 23, déjà oublié… et je n’aime pas du tout cette musique !

    • merci ; toujours des choses intéressantes à glaner ici ;
      mais supporter une malade mentale, totalement dénuée d’humour, et qui prend tout au pied de la lettre, ça finit par fatiguer.

  87. Très bien ! et bien moi aussi, j’avais prévenu ; le petit jeu a suffisamment duré ; je ne suis plus dans L’HUMOUR !
    outre l’ami psy, auquel évidemment je n’irais pas parler de vous, un de nos meilleurs est un bon avocat –
    il sera contacté dès demain matin !
    il faut savoir s’arrêter Flo ; les plaisanteries les moins longues, sont les meilleures !

    • Vous avez raison de flipper pour vous et JPB.
      Il est dommage que vous preniez seulement maintenant la mesure de votre irresponsabilité à parler, menacer sans réfléchir.
      Je n’attends plus votre smiley « sourire jaune », non ? Non, plus de smiley moqueur dans une réponse ?
      Vous n’avez plus l’air d’avoir envie de rigoler : normal, vous venez de réaliser à quoi vous aviez exposé JPB…

      • Et bien, nous verrons ce qu’il adviendra ; JPB devra faire un choix – cornélien !

        • Vous pourrez préciser à votre conseil que j’attends toujours que vous me disiez de quels mails il s’agit dans le commentaire de 17h04 et dire qui vous fourni les initiales de l’auteur puisque vous hurlez à qui veut l’entendre que vous n’avez eu que trois échanges en trois ans (deux remerciements, une plainte).

  88. Il vous paie bien JPB, pour faire du remplissage, et jouer à l’imbécile ?! J’espère que oui ! et pas en monnaie de singe !
    (l’autre fou, à côté de moi, est plié en deux – dans la mesure de ses moyens – et se marre…)

    • Allez vous coucher, Flo ; il est tard…
      Laissez tomber ; il se passe des choses bcp plus graves que les konneries échangées ici ; assez rigolé !

      • GROSSIERE ERREUR DE MA PART ; j’ai fini par vérifier ce… 17h04 ! j’échange bcp par mails (presque toute ma famille est à l’étranger) – c’est POST que j’aurais du employer ; donc là, en effet, je vs dois des excuses…

        • Qui vous a envoyé les initiales et l’article ?

          Vous comprenez ? Je ne vous crois plus. Trop tard.

        • Ce 17h 04 vous a été adressé encore il y a quelques instants, et vous évitiez déjà de répondre. Vous ne vérifieriez que maintenant ? Sans décc’…

          J’arrête et je ne réponds plus.

        • Mais c’est bien, c’est génial, votre réponse alambiquée qui ne tient pas la route une minute – pas une minute ! – est pièce supplémentaire au dossier.

          Je devrais encore vous remercier !

          • Ah ah ah.
            Vous oubliez votre art de manier le fouet pour obtenir ce que vous vouliez auprès de JPB. Je vous fais un copié/collé ? (capture d’écran. Elle est magnifique, dans un tribunal elle te flingue son équipe de défense, ils la supplient de se taire)

            Vraiment, JPB peut vous remercier, vous l’avez mis dans une sauce magistrale à vouloir frimer, soyez en consciente.

          • Et au passage : »elle » ne désigne pas un nom propre, ça ne désigne personne…

          • Mais bon, si « elle » veut de la pub, en faire à Eléments par la même… Bah Allons-y ! Elle gagne à être très connue !

          • Et puis si vous connaissez une personne se nommant Camille Médiévalisant, faites-le moi savoir et présentez la au tribunal, pourquoi pas.

  89. Je suis fatiguée, Flo, bien plus âgée que vous, sûrement, et vraiment d’autres soucis…

  90. Je préfère prévenir. Mon endurance à la paranoïa ayant ses limites, je supprimerai désormais tout post qui prendra à partie tel ou telle.

  91. Je n’ai absolument pas compris l’objet du litige.

    Est-ce que quelqu’un a suivi et peut m’expliquer ? Vu de l’extérieur ça a l’air marrant.

    • Non. On arrête.
      On retiendra seulement Steinbeck n’était pas ce grand homme à failles et malcomprenant qu’une vraie ignorante à dans un enchaînement malhabile et malheureux fit passer.

      Et c’est le plus important.

      • (Pardon, je suis une vraie victime de la méthode globale… il fallait lire : On retiendra seulement QUE Steinbeck n’était pas ce grand homme à failles et malcomprenant qu’une vraie ignorante, dans un enchaînement malhabile et malheureux, fit passer.)

    • « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » – déclarait McRon (juill. 2022) ;
      17 millions c’est presque une broutille pour Uber – on n’est pas au même niveau que Pfizer.

  92. Je préfère prévenir…je supprimerai désormais tout post qui prendra à partie tel ou telle.

    JP rappelle que Floraline et Dobeulyou quand elles sortent des plates-bandes à rosier sont bien moins bonnes que le Père Dudu au lance-flamme dans les allées.

  93. Je pense que ça vous ferait du bien de partager des poèmes de temps en temps dans ce blog.
    Voici un sonnet de Charles Cros pour JP:

    Dans la clairière

    Pour plus d’agilité, pour le loyal duel,
    Les témoins ont jugé, qu’elles se battraient nues.
    Les causes du combat resteront inconnues.
    Les deux ont dit : Motif tout individuel.

    La blonde a le corps blanc, plantureux, sensuel ;
    Le sang rougit ses seins blancs et ses lèvres charnues.
    La brune a le corps d’ambre et des formes ténues ;
    Les cheveux noirs-bleus font ombre au regard cruel.

    Cette haie où l’on a jeté chemise et robe,
    Ce corps qui tour à tour s’avance ou se dérobe,
    Ces seins dont la fureur fait se dresser les bouts,

    Ces battements de fer, ces sifflantes caresses,
    Tout paraît amuser ce jeune homme à l’œil doux
    Qui fume en regardant se tuer ses maîtresses.

    • Pauvre Charles Cros — dépossédé de ses propres inventions (le phonographe) par ce salopard d’Edison qui se les appropria.

    • « Il fonctionne à l’essence et peut lancer une flamme à 7,5 mètres. »

      Soyons précis !

      • Ca vient de sud-Afrique où on sait que les auteurs présumés de car-jackings ne sont pas toujours blancs comme neige.

    • « En vente libre », aux EU, sauf en Californie – où l’arbre s’est faire rare – et dans le Maryland, terre de Marie, épouse de Charles Ier, mort tragiquement, comme on le sait.
      Mais l’adage, jamais deux sans trois, ne semble plus d’actualité.

  94. Jean-Paul Brighelli 1 mars 2023 At 6h09
    « … je supprimerai désormais tout post qui prendra à partie tel ou telle. »

    Hélas! Maestro à quoi vous en êtes réduit !

    J’ai entendu Villani dire un jour qu’à l’Ecole Normale ils ont eu (bien avant internet) une espèce de réseau électronique d’échange; très vite,c’est devenu un champ de bataille par insultes graves d’où il est rapidement sorti.
    (Les jeunes normaliens,ces êtres si brillants, se détestent ardemment les uns les autres.)

    Comment se fait-il que les réseaux sociaux soient si a-sociaux ?

    Dans la vie réelle, nous ne pouvons exprimer notre haine de l’Autre; nous sommes soumis à une auto-censure permanente;alors le clavier nous libère (quelque peu).

    • Parce que tout se joue à distance, et anonymement. En direct live, comme vous diriez, on sortirait tout de suite la boîte à claques.

  95. Lance-flammes,suite…

    En voici un (en provenance d’Afrique du Sud) qui a une réelle utilité;installé sur une voiture,c’est une excellent défense contre le « car jacking »;l’essence vient directement du réservoir de la voiture.

    Peut-être Dugong devrait-il en installer un sur sa bavaroise .

    https://www.youtube.com/watch?v=aLhWzMOccTg

      • Ca m’est arrivé une fois de rouler dans l’herbe;ensuite,j’ai appris que j’aurais pas dû,; le pot catalytique étant très ,très chaud, j’aurais pu déclencher un incendie (heureusement ,l’herbe était trop verte;)

    • Quelle bonne idée !
      On pourrait reparler des accords en catimini egypto-israeliens (traité non, accords oui) qui régulaient le trafic maritime dans le détroit de Tiran entre 1956 et 1967?
      Accords rompus unilatéralement par Nasser…
      Mais le boss, sentant venir le choc des titans et les risques d’invectives, y mettrait fin très vite…
      Le boss étant ici non pas Bruce Springsteen mais John-Paul Seeks-and-Reads.

      • Une référence pour ces « accords » ?

        PS : le droit international se fout des dénominations officielles. S’il y a « accord(s) », il y a traité.

        • (Et le retrait unilatéral d’un traité, sous les réserves de la Convention de Vienne, est parfaitement légal. Ce que n’est pas le recours à la force en dehors du droit de légitime défense à… une « agression armée ».)

          • « a complex set of tacit understandings and arrangements »
            Je crois que vous et moi savons ce que ça signifie.

          • Tt-tt, vous attigez : une référence officielle, pas universitaire. Histoire de voir la force contraignante de « l’accord »…

          • La preuve officielle est dans les faits, rien que les faits, tous les faits : entre 1956 et 1967, les navires israéliens ont eu libre accès au détroit de Tiran.
            Si ça ne vous suffit pas…

          • Mais ces faits-ci ne répondent pas à la seule question qui vaille en matière de légalité – question au demeurant indépendante de la totale illégalité de la guerre des Six Jours – : le libre accès relevait-il d’une tolérance affirmée comme telle ou d’un accord même tacitement donné ? Dans le premier cas, la révocation unilatérale est par définition légale. Dans le second cas, la suspension ou l’extinction unilatérale de l’accord pourrait, éventuellement, être soumise aux règles coutumières du droit des traités en vigueur avant la Convention de Vienne.

          • La question posée au tout début était : « La fermeture du détroit de Tiran était-elle un acte de guerre ? »
            Sur le plan juridique – où vous avez des lumières que je n’ai pas – votre réponse négative peut emporter l’adhésion de certains.
            Vous avez sans doute raison au regard du Droit, mais tout montre qu’au regard de l’Histoire vous vous trompez : la fermeture du détroit de Tiran est l’acte inaugural de la guerre des 6 jours, un « casus belli » en bonne et due forme en tant que rupture des accords tacites dont parle l’étude du Middle East Journal.

            Selon vous, qui est responsable de l’entrée en guerre de la France en septembre 1939 ? Est-ce la France parce que c’est la France qui a déclaré la guerre à l’Allemagne ? (regard du Droit)
            Ou bien est-ce l’Allemagne pour tout ce que le 3ème Reich a fait entre 1935 et 1939, en particulier l’invasion de la Pologne ? (regard de l’Histoire)

        • Jstor, d’accord ; mais le Middle East Institute, le narrateur, sis in Washington, dit-il toute le vérité, rien que la vérité ?

          • Le Middle East Institute n’est que l’organisme de publication.
            L’étude a été écrite pour le Middle East Journal.
            Ne trouvez-vous pas qu’instiller le doute sur la fiabilité des sources est un peu facile?
            Car à ce compte-là toutes les sources – oui, toutes – sont contestables.

          • En effet ; difficile de se frayer un chemin vers la « vérité », d’autant que je suis très ignorante sur le Détroit de Tiran – pas tout lu, ici (!), et autres intérêts (et priorités).

            Eitan Barak, auteur de l’article, ai-je lu, fait partie du programme SDS israélien (Strategy, Diplomacy, Security), et a beaucoup travaillé – études (doctorat), recherches… – aux EU.

            « He has published numerous articles, on the possibility of implementing the Chemical Weapons Convention (CWC) in the Middle East, Israel’s policy towards the CWC, the feasibility of peacekeeping forces in the Israeli-Palestinian conflict and Israel’s freedom of navigation and overflight over the Straits of Tiran. »

            Difficile de mettre en doute, au moins, une connaissance sérieuse du sujet.
            Et donc, en vérité, je vous le dis, je me contenterai de rester neutre, au regard… d' »Eitan » !

    • « si vous regardez » : vous avez d’excellentes trouvailles Lormier ! mais 42 min., c’est long ; quelques sauts dans le temps s’imposent peut-être.
      Jusqu’à la nonne, à la voix douce, derrière sa grille…

        • Manquant, de très loin, des capacités d’attention – et de flegme – d’une I.A., j’ai zappé…Scusi, Lormier.

  96. WTH 1 mars 2023 At 1h22
    Il vous paie bien JPB…

    Oaf,ouaf!
    Ici,il n’y en a qu’un qui est payé .

    • « …conformément au standard médiéval, Fleming décide presque systématiquement que les méchants seront roux … »

      Fleming lu à dix ans…âge où l’on est presque aussi impressionnable qu’à huit ans.

      D’où l’impossibilié de baiser une rousse qui s’était fait passer pour blonde ?

    • Je me demande ce que ces « sensitivity readers » vont faire de Quantum of Solace:

      Bond interrupted the rather solemn narrative « The only trouble with beautiful Negresses is that they don’t know anything about birth control. I hope he managed to stay out of that sort of trouble. »

      • C’est vrai que c’est dans une nouvelle — rassemblée avec d’autres dans Bons baisers de Paris.

    • Lormier nominé pour les futurs I.A. awards – Gpt enfoncé, très loin derrière.

  97. Jean-Paul Brighelli 1 mars 2023 At 12h28
    Parce que tout se joue à distance, et anonymement. En direct live, comme vous diriez, on sortirait tout de suite la boîte à claques.

    i) oui, et il y a aussi le sur-moi
    ii) ça n’explique pas le besoin

  98. https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/je-suis-dangereux-a-cause-de-la-drogue-ce-qua-dit-pierre-palmade-lors-de-son-audition-2151043

    Non, tu es dangereux parce que tu prends de la drogue, parce que tu as fait le choix délibéré de prendre de la drogue. Personne ne t’a forcé à en prendre. Personne ne t’a contraint à conduire après en avoir pris. Il faut être un magistrat-militant laxiste français (cf massacre de Sarah Halimi) pour penser que la drogue excuse un carnage.
    Ce fait divers tragique est aussi un fait de société: les élites françaises (médiatiques, artistiques, politiques) regorgent de camés, de pédophiles et autres dégénérés. 1793 vite!

    • Je n’émets aucun jugement… mais cet extrait de l’article interroge :

      « Le 18 février 2023, lors du sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, en Éthiopie, le ministre des Affaires étrangères de l’Ouganda, Jeje Odongo, s’est exprimé ainsi : « Nous avons été colonisés et avons pardonné à ceux qui nous ont colonisés. Maintenant, les colonisateurs nous demandent d’être les ennemis de la Russie, qui ne nous a jamais colonisés. Est-ce juste ? Pas pour nous. Leurs ennemis sont leurs ennemis. Nos amis sont nos amis. »

      https://lesakerfrancophone.fr/la-guerre-dukraine-vue-par-les-pays-du-sud

  99. Dans l’édition expurgée de Bond,on a conservé certaines expressions choquantes,par exemple:
    « the tang of rape » [approximlativement: l’odeur âcre/puissante du viol]

  100. Painter, votre message est un aveu. « Au regard de l’Histoire », ça ne veut rien dire, c’est une expression de curé. L’Histoire ne parle pas, elle est. Le Droit, lui, parle, soit à travers les normes positives si vous êtes normativiste, soit à travers l’interprétation qui en est faite si vous êtes un réaliste : il y a un corpus, des textes qui *posent* des critères. La Morale aussi parle, par la bouche d’énoncés *posés pour ce qu’ils sont* ou par la bouche des prêtres dont on sait ce qu’il y a à penser. Mais l’Histoire est comme la Nature, elle ne parle pas. Ou plus exactement, elle ne parle qu’aux exaltés et aux curés qui pratiquent la divination.

    Appliquons. Pour parler d’« acte de guerre », il faut une définition. Et cette définition, il n’y a pas cinquante mille moyens de l’obtenir :
    – Par induction, et vous avez alors le choix de la source. Soit vous essayez d’objectiver un peu, et vous prenez le droit reconnu par chacune des parties. Vous vous y refusez manifestement. Soit vous partez de l’affirmation israélienne (« casus belli »). Et là… il faut savoir ce que vous en faites. Ou bien vous la maintenez dans son statut de morale israélienne subjective – et la belle affaire ! Il y a acte de guerre selon Israël, point. Il y a acte parce qu’Israël l’a décidé, point. Il y a acte de guerre parce qu’Israël légitime ainsi son opération, point. Ou bien vous reprenez la morale israélienne à votre compte et au compte de tous en la posant comme *vérité*, et là vous faites du cognitivisme moral. C’est tout à fait possible intellectuellement, hein, – et c’est typiquement youpin – mais il faut seulement assumer que vous allez à l’encontre de l’épistémologie traditionnelle, héritée des Lumières.
    – Par stipulation, et, à supposer que vous stipuliez un peu mieux que précédemment (en assumant un acte de guerre sans « coup de feu » et « tir de canon »), c’est la deuxième partie du modus ponens qui fait défaut : oui, il y a acte de guerre, mais pour quelles conséquences ? Les conséquences au regard desquelles vous avez convenu d’une définition sont à stipuler elles aussi directement ou à déduire d’axiomes (notamment moraux) eux-mêmes stipulés. Et on retombe alors sur l’alternative de l’induction subjective : ou bien vous ne parlez qu’en votre nom propre et ne dites finalement rien, ou bien vous faites le curé et cocufiez les Lumières…

    • Sur le reste :

      « Selon vous, qui est responsable de l’entrée en guerre de la France en septembre 1939 ? Est-ce la France parce que c’est la France qui a déclaré la guerre à l’Allemagne ? (regard du Droit) »

      Décidément, arrêtez de parler du droit. La « responsabilité » est un concept qui n’existe pas, à date et en ce sens, en droit international.

      Il y a deux questions intéressantes :
      – l’attaque de l’Allemagne contre la France était-elle légale ? ;
      – l’entrée en guerre de la France était-elle légale ?

      À la première question, la réponse réaliste est non (Nuremberg), la réponse normativiste sans doute non (La Haye, 1907, III, art. 1). À la seconde question, la réponse réaliste est plutôt oui (par l’absurde), la réponse positiviste sans doute oui (coutume du droit à la légitime défense).

      « Ou bien est-ce l’Allemagne pour tout ce que le 3ème Reich a fait entre 1935 et 1939, en particulier l’invasion de la Pologne ? (regard de l’Histoire) »

      « Regard de l’Histoire »… selon un curé, pas en épistémologie traditionnelle (selon laquelle la morale ne se fonde pas en nature). Mais si vous voulez.

    • L’homme-aux-mille-pseudos : « Au regard de l’Histoire », ça ne veut rien dire.

      Je n’ai pas lu plus loin que cette phrase.
      Car cette phrase est aussi un aveu.
      Mais vos limites actuelles ( pour vous, le monde = Droit + Maths, pas exclusivement certes, mais essentiellement ) vous empêchent d’en avoir conscience.
      En prenant de la bouteille (au sens figuré !), vous comprendrez que c’est un peu plus compliqué que ça.
      L’exemple que je vous donne (France/Allemagne 1939) en est une bonne illustration.

        • (Ce qui n’est pas un mal en soi, hein. C’est un peu plus dérangeant quand on tartine sur l’épistémologie des Lumières…

          Deuxième lame.)

    • Le discours moral m’ennuie parce qu’il est infalsifiable : le premier idiot venu peut pontifier autant qu’il lui plaît…

  101. Cardinal Lemoine :
    Il y a deux questions intéressantes :
    – l’attaque de l’Allemagne contre la France était-elle légale ? ;
    – l’entrée en guerre de la France était-elle légale ?

    À la première question, la réponse réaliste est non (Nuremberg), la réponse normativiste sans doute non (La Haye, 1907, III, art. 1). À la seconde question, la réponse réaliste est plutôt oui (par l’absurde), la réponse positiviste sans doute oui (coutume du droit à la légitime défense).

    Soit vous êtes ignorant, soit votre mémoire vous trahit.
    Aucune invocation de légitime défense possible pour la France. A la suite de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes début septembre 1939, dans la foulée, le 3 septembre 1939 si mes souvenirs sont bons, c’est la France qui déclare la guerre à l’Allemagne. Eh oui, l’Allemagne n’a jamais déclaré la guerre à la France…
    L’attaque allemande sur la France intervient en mai 1940, 8 mois plus tard ! Je ne vois pas en quoi cette attaque pourrait être illégale, puisque au regard du Droit, c’est la France ayant déclaré la guerre à l’Allemagne qui devrait être considérée comme ayant déclenché les hostilités !
    Tout cela montre les limites du Droit, que vous semblez déifier ou béatifié.
    Ce qui est sûr, c’est que votre post en réponse à ma question sur la « responsabilité » est nul et non avenu : en septembre 1939, l’Allemagne a agressé la Pologne, pas la France ! En septembre 1939, c’est la France qui a déclaré la guerre à l’Allemagne, pas l’inverse !

      • Et je ne béatifie rien, je cherche à objectiver un peu les définitions pour raisonner sans aller vers la curetonnerie ou, trop, vers le moulin à vent.

    • Parce que vous appliquez les standards de la Charte de l’ONU pour le droit à la légitime défense : « agression armée » du territoire. Mais le droit à la légitime défense au sens coutumier – et c’est d’ailleurs un des arguments défendus actuellement par la Russie –, le seul valable ratione temporis, pourrait ne pas exiger l’attaque du territoire lui-même, typiquement l’agression d’un pays allié, de surcroît au mépris de traités antérieurs. Mais là nous avons affaire à la fois à du droit international et à du droit coutumier, hein, les interprétations sont très ouvertes, même pour les positivistes – d’où mon « plutôt oui ».

      Quant à la première question, je ne vois pas ce que ça change : si déclaration de guerre il n’y a pas eu… l’attaque reste illégale.

      • Vous faites exprès ou quoi?
        « si déclaration de guerre il n’y a pas eu… l’attaque reste illégale. »
        La déclaration de guerre de la France en septembre 1939 fait de l’attaque allemande de mai 1940 un acte de légitime défense.
        En Droit je ne sais pas, même si ça me paraîtrait logique.
        Mais dans les faits, à coup sûr ! L’Allemagne attaquant la France en mai 1940, c’est une réponse à la déclaration de guerre de la France en septembre 1939.
        Vous êtes nettement moins à l’aise en Histoire événementielle qu’en Droit !

        • « En Droit je ne sais pas, même si ça me paraîtrait logique. »

          En droit – seul domaine où je me place – ça ne me paraît pas évident : la France a déclaré la guerre… mais n’a attaqué personne, comme vous le savez. Parler de « légitime défense » dans le cas d’une invasion d’un pays sur la défensive est, disons, audacieux.

          • Finalement, d’une certaine façon, vous vous rangez à mes raisons.
            France, septembre 1939 : « Allemands, nous vous déclarons la guerre. »
            Allemagne, mai 1940 : « Français, message reçu 5 sur 5. Nous, la guerre que vous nous avez déclarée, nous la faisons. »
            Quand on prend le recul nécessaire pour analyser le tout, on se rend compte que devant de tels événements, il y a une lecture par le Droit, dramatiquement insuffisante. La lecture par l’Histoire (qui selon vous n’existe pas…) permet de remettre les choses en perspective, et de les remettre un peu mieux en place.

          • Vous dites : « Parler de « légitime défense » dans le cas d’une invasion d’un pays sur la défensive est, disons, audacieux. »

            Un pays sur la défensive déclare-t-il la guerre ?
            Une déclaration de guerre, ça signale officiellement le déclenchement des hostilités.

          • La circonstance que A déclare la guerre à B n’implique pas par elle-même une déclaration de B à A. Ne prenez pas vos propres insuffisances pour les insuffisances du droit.

          • Au reste, vous n’avez pas répondu à ma question implicite : d’où sort votre définition d’acte de guerre ? « De l’Histoire » n’est qu’une formule pour légitimer l’action d’Israël.

          • Vous dites :
            « La circonstance que A déclare la guerre à B n’implique pas par elle-même une déclaration de B à A. Ne prenez pas vos propres insuffisances pour les insuffisances du droit. »

            Alors, dites le Droit : selon le Droit, qui a déclenché la guerre franco-allemande lors de la deuxième guerre mondiale ?
            Est-ce la France, parce qu’elle a déclaré la guerre à l’Allemagne dès septembre 39?
            Ou bien est-ce l’Allemagne, qui a pris la France au mot, et porté la première offensive en mai 1940 ?
            Dites le Droit pour répondre à ma question. Mais cette réponse ne pourra être que pointilliste, circonscrite, limitée à une période donnée (septembre 39 – mai 40). Mais dites le Droit, la seule chose qui vous intéresse ici. Et qui limite votre réflexion au point de vous rendre aveugle à tant de choses…Le Droit vous fait porter des œillères. Mais allez-y, dites le Droit.

            Nous pourrons ensuite voir ce que dit la lecture de l’Histoire. Qui vous otera vos œillères.

          • Ce que vous n’arrivez pas a comprendre, malgré dites et redites, c’est que le concept de « responsabilité du déclenchement » n’a aucune existence en droit. Vous me demanderiez de vous donnant « la couleur de l’ensemble des réels » en « disant les mathématiques », toutes les mathématiques, rien que les mathématiques que je ne pourrais pas plus vous répondre… Votre question n’a aucune réponse, faute d’avoir un sens.

            En droit, il y a un acte – la déclaration de guerre – qui implique un régime particulier pour les actes afférents – l’attaque militaire, le traitement des prisonniers, etc. Une attaque sans déclaration de guerre est illégale aux termes de la Convention de Vienne. La seule question intéressante est « la déclaration de guerre de la part de A à l’encontre de B crée-t-elle tacitement une déclaration symétrique ? ». Et à cette question je vous ai répondu qu’un positiviste analysant la coutume répondrait vraisemblablement par la négative.

            La « responsabilité dans le déclenchement de la guerre » est une notion morale, que certains historiens contemporanéistes, toujours bien inspirés, ont repris à leur compte en parfaits youpins. Sans l’assumer, qui plus est.

          • (Et toujours pas de réponse à : d’où sort votre définition d’acte de guerre – si tant est que vous ayez au moins la finesse et l’hypocrisie d’en avoir une ?)

          • « Votre question n’a aucune réponse, faute d’avoir un sens. »
            Merveilleuse déclaration d’impuissance de votre part, et d’affirmation des limites du Droit.

            Le Droit ne trouve aucun sens à ma question. Dont acte.
            L’Histoire, quant à elle, trouve ma question tout à fait sensée, et elle a même la vision d’ensemble nécessaire pour y répondre.

            Si cela vous convient, gardez les œillères que le Droit vous fait porter. Mais forcément votre horizon intellectuel s’en trouve limité.
            Mais peut-être pourriez-vous cesser de traiter de curés moralistes ceux qui comme moi préfèrent voir un horizon élargi.

          • Certainement pas « l’Histoire », mais les curés moralistes qui pratiquent la divination moralisante dans les faits historiques.

          • Parce que la responsabilité est une notion soit morale, soit physique. Si elle est morale, CQFD. Si elle est physique, elle est universelle, par le fait du déterminisme. Donc CQFD.

          • La façon dont vous avez erré dans cette discussion est du reste tout à fait révélateur. Vous voulez imputer la responsabilité d’une guerre à l’Égypte, donc vous vous mettez à interpoler un concept de droit, l’acte de guerre, comme justification. On vous fait remarquer que c’est du grand n’importe quoi, et vous changez de pied en vous drapant derrière la mantique historique – « au regard de l’Histoire ».

            Libre à vous de le faire. Mais il faut assumer que :
            – si vous maintenez la prétention à la science historique, vous êtes un curé qui va à l’encontre de l’épistémologie issue des Lumières ;
            – si vous vous rangez derrière l’essayisme moral… vous ne faites que brasser un vent sans aucune valeur que la vôtre propre – vent qui peut d’ailleurs faire rire quand on voit que vos stipulations de l’agression changent en fonction de « l’agresseur » (un coup il faut des canons, un coup non).

          • Votre insistance à bramer CQFD sans avoir rien démontré a un côté risible qui visiblement vous échappe.

            Il est évident qu’avec vos œillères de juriste, à vos yeux je ne peux qu’errer. J’accepte la notion d’errance. Mais ici, je récuse la notion d’erreur.
            Sur la définition de l’acte de guerre, je vois bien qu’au regard du Droit, il ne peut s’agir que d’une agression armée. Définition très limitative, qui oublie qu’il existe des agressions non armées. (Eh oui, le Droit est limité, borné à tous les sens du terme).
            La fermeture du détroit de Tiran en mai 1967 est une agression non armée : pour la x-ième fois, elle empêchait l’approvisionnement du port d’Eilat en pétrole et autres produits, elle coupait l’oxygène à tout le sud d’Israël. (Cette fermeture était d’ailleurs assurée par la marine de guerre égyptienne. Marine de guerre.)
            Que le droit international soit impuissant à qualifier ce genre d’acte montre à quel point il est limité, borné.
            Si vous êtes juriste spécialisé dans le droit international, faites qqch. Créez le concept d’
             » agression-non-armée-mettant-en-danger-la vie d’autrui-et-constituant-une menace-de mort », ou qqch de ce genre. Rendez-vous utile ailleurs que sur ce blog !
            Je crois que nous nous sommes tout dit sur ce sujet.
            Mais bon sang, qu’est-ce que le Droit peut être borné…

        • Vous êtes libre d’emprunter un concept au droit pour ensuite stipuler comme vous le souhaitez mais en bonne rhétorique on attend les raisons de ce choix original. Et quand, précisément, vous faites varier la définition en fonction de l’agresseur (« combien de coups de feu, combien de coups de canons ? »), on ne les perçoit que trop, ces raisons – justifier moralement une guerre par du droit naturel malhabilement inspiré du droit positif.

          Tout cela montre que vous ne faites que de la morale qui n’a même pas pour elle d’avoir été un peu rationalisée. Lorsque Brighelli a soumis un article développant le concept d’une agression non-armée, vous vous êtes gaussé en demandant combien de coups de feu pour cette « agression ». Et lorsqu’un contradicteur a suggéré qu’il pouvait y avoir des précédents d’agression non-armée dans la guerre des Six Jours, vous avez récusé le parallèle… tout en défendant dix posts plus tard le concept d’agression non-armée ! Cette schizophrénie est révélatrice du fait que vous décidez d’abord en morale (petite qui plus est), vous justifiez ensuite en fait. J’ai tendance à penser que c’est ce que l’on fait toujours, mais en ce cas il ne faut pas se palucher sur le positivisme des Lumières !

  102. La presse : « De nouvelles aurores boréales aperçues dans le ciel français lundi soir »

    Ont-elles au moins des papiers en règle ?

  103. Quand on prêche le rationalisme, il faut accepter les discours de l’objectivation, qu’ils soient mathématiques, juridiques, physiques ou… esthétiques et moraux.

    Ensuite, dans les deux derniers cas (et dans le cas du droit, voire de la physique, pour pas mal de monde quand même), il faut assumer son côté curé ou moulin à vent !

    Et personnellement je préfère les moulins à vent aux curés.

  104. Interrogé par Bercoff sur l’origine du virus (laboratoire ou nature) le Professeur Raoult s’est déclaré très prudent.
    Pourquoi ?
    Grosso modo, les Etats Unis sont en bisbille avec la Chine,ils l’accusent de livrer des armes à la Russie;ils ont intérêt à exciter l’opinion contre les Chinois, dire que le virus est probablement né dans le labo de Wuhan peut contribuer à faire monter le sentiment anti-chinois.

    Raoult oublie un détail: les Etats Unis finaçaient les recherches à Wuhan.
    https://twitter.com/i/status/1630940387786276864

      • (principale sans e…)
        Un article récent du figaro du 21/02 – titre forcément aguicheur : « la dérive de SF, dévastée par la drogue » – avec 4 000 sdf toxicomanes, downtown.

        J’avais noté la conclusion :
        « Un agent de police ne porte aucune attention à la femme qui vient d’enlever sa chaussette pour se piquer entre les orteils…
        Le policier accepte de me parler :
        – que voulez-vous que je fasse ? manque de personnel, on a perdu le contrôle de la situation… Une industrie de plusieurs millions de dollars autour de cette misère…
        – Et là-bas, l’homme allongé, les bras en croix, devant une voiture ; vous n’allez pas voir s’il est tjrs vivant ?
        – Il est vivant ; il cuve juste son fentanyl…

    • oui, Lormier, « clystère, clystère… »
      A quoi jouent-ils EU et Chine ? Que cachent-ils que nous ne saurons jamais ?!

  105. Parce que se prétendre médiéviste et ne pas connaître Jean d’Arras… Pfiouu.
    Elle n’a pas peur et elle a franchement tort. Ça sortira, (pas par moi, je vous le promets), mais ça sortira : c’est o-bli-gé.

    Fin de l’histoire

  106. Un dur à cuire… Ce patient anglais cancéreux de 67 ans a chopé le covid;évolution peu favorable, mais traitement quand même; finalement ,soins palliatifs au midazolam… Il devait mourir, mais ,au bout du compte,il a survécu.

    NB Les Anglais ont fait une razzia sur le midazolma,ont piqué dans nos stocks, ce qui nous a obligés à recourir au Rivotril pour liquider les vieux.

    https://spcare.bmj.com/content/early/2020/07/03/bmjspcare-2020-002477

  107. MAM 1 mars 2023 At 22h48
    oui, Lormier, « clystère, clystère… »
    A quoi jouent-ils EU et Chine ? Que cachent-ils que nous ne saurons jamais ?!

    Ce qui est maintenant officiel concernant Wuhan et le manque de surveillance des recherches effectuées dans ce laboratoire subventionné par les Etats Unis:

    Department of Health and Human Services
    OFFICE OF
    INSPECTOR GENERAL
    THE NATIONAL INSTITUTES OF
    HEALTH AND ECOHEALTH ALLIANCE
    DID NOT EFFECTIVELY MONITOR
    AWARDS AND SUBAWARDS, RESULTING
    IN MISSED OPPORTUNITIES TO
    OVERSEE RESEARCH AND
    OTHER DEFICIENCIES

    https://themainewire.wpenginepowered.com/wp-content/uploads/2023/01/52100025.pdf

  108. Jean-Paul Brighelli 28 février 2023 At 17h36
    Alain — qui est un ami — a adoré cet article. Voilà.
    Et Mélusine est une figure indo-européenne — rien de spécifiquement français.

    Tant va le cruchon à l’eau qu’à la fin il se casse.

    • Elle fait tout bien comme il faut. La hors classe bientôt, à l’occasion de la culture citoyenne des salades ?

    • Les enseignants gagneront-ils des liens d’intérêt à faire de la pub pour bigpharma?

      • Je me souviens que naguère (avec naguère <30 ans), l'industrie chimique a voulu faire de l'entrisme dans les classes de lycée via "du matériel pédaggogique" aimablement fourni par la société chimique de France (on a eu droit aussi à la construction du concept de "citoyen consommateur" et autres fadaises.

        Tout ce branlotage a fini rapidement à la poubelle.

        De temps à autres, il y a des soubresauts qui restent de l'ordre du velléitaire. Attention cependant de ne pas en déduire que les profs sont majoritairement contre ces actions; ils sont plus prosaïquement opposés à la surcharge de travail qu'elles entraînent sans contreparties…

    • 43 min. ! ça recommence ! Sans Raquel, et surtout sans R. Burton ; 1 seul min avec la voix de Mc Ron : c’est suffisant pour n’avoir qu’une idée : sortir un Knife !

  109. Faire l’article pour un « vaccin » ? Cet essevétiste estime que ce n’est pas son rôle.

    C’est ce mot « ambassadeur » qui fait tiquer Jérémy Destenave, professeur de SVT en Dordogne. « Ça fait un peu VRP et publicité, s’agace-t-il. On n’est pas porte-parole du gouvernement. Si on vient me dire de faire plus, par exemple de prendre les élèves en grand groupe pour leur dire d’aller se faire vacciner, j’estimerai que ce n’est pas mon rôle. »

    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-enseignants-appeles-a-parler-de-la-vaccination-a-leurs-eleves-si-on-se-met-a-faire-de-la-propagande-ce-sera-contre-productif_4756109.html

  110. cyrano58 2 mars 2023 At 9h24
    Les enseignants gagneront-ils des liens d’intérêt à faire de la pub pour bigpharma?

    Madame CHRISTELLE FAUCHER-MOUZAY ne touchera rien de Merck…mais voyez le commentaire de Dugong: sa récompense, ce sera la hors-classe,voire un « détachement », une « mission »…que sais-je encore ?

    L’ordre des médecins va-t-il réagir ,rappeler que les questions médicales se traitent en privé, avec le médecin ?

    Ca m’étonnerait: en effet il s’est montré parfaitement servile, aux ordres de Macron, pendant la crise du covid.

    Une exception: ils n’a pas sanctionné le Professeur Perronne et a même approuvé sa démarche…mais peut-être avait-il reçu des ordres de l’Elysée. S’attaquer à Perronne était politiquement trop dangereux.

    En plus, Perronne, qui est malin, s’était bien arrangé pour être inattaquable;il n’avait mis personne en cause et ses critiques s’appuyaient sur des sources incontestables.

    • Propagande (suite) –
      l’Ordre ne bougera évidemment pas (il est aux ordres) –
      Voilà donc les SVT casés – du moins un partie d’entre eux, cellesZetceux qui aiment s’engager pour les bonnes causes… : minute Pap avait promis un petit supplément de brouzouf, si investissements ad hoc.

      Suite donc, et pas fin – on en est loin – de la propagande vaccins.
      C’était le coup de Jarnac (ouais, je sais).

      Nous avons noté (cf Lormier, ci-dessus) que la Faucher s’investit à donf (et elle ne doit pas être la seule), dans la vente obligatoire du prêt à penser : Faut-sauver-la-planète-Ecolo-citoyen… et j’en passe,

      comme l’illustre cette photo, où l’on note son écoute attentive et son regard admiratif, ainsi que le geste étonnant de Mc Kron ; on ne sait comment l’interpréter ; fait-il, en même temps, de la pub pour les fortes poitrines ?

      https://media.sudouest.fr/14242535/1000×500/20230228174050-fabc9546.jpg?v=1677613011

  111. Au fond, Painter n’a pas connu le crépuscule des idoles ! Il est en plein dans la mystique positiviste – dans sa pire version qui soit, le positivisme moral – qui n’est rien d’autre à notre époque que ce que fut le catholicisme au XIXe siècle.

    Il est temps de grandir et de ne plus croire aux dieux !

    • Je veux bien être un blasé de la science… Mais je préfère cela à être un naïf d’icelle !

      • Je vous ai répondu plus haut.
        J’ajoute cette question : la strangulation ou tentative de strangulation est-elle une agression non-armée?
        Parce que, voyez-vous, interdire l’accès au port d’Eilat, c’était tout bonnement une tentative de strangulation, une privation d’oxygène stricto sensu.

        • Voilà… vous transformez une décision relative au territoire égyptien en décision relative aux intérêts israéliens. Prendre les conséquences touchant A d’une décision prise par B sur un objet exclusif de B, c’est adopter le point de vue de A. Vous faites de la morale israélienne. Et un positiviste se fout de la morale.

          • Le youpin se prend toujours pour le centre du monde et se plaint quand on le prend comme tel…

          • Votre post est un exemple canonique de ce que le Droit peut produire comme analyse à courte vue, ignorant totalement le contexte spatio-temporel, la prise en compte du passé lointain et récent, de la situation de la région, et des aspects humains et psychologiques de la situation de départ ,(Egypte/Israël/Tiran/Eilat), en particulier des objectifs à court et moyen terme des uns et des autres.
            C’est même stupéfiant d’inadéquation technocratique dans le domaine de l’ignorance de l’Histoire.
            Là, vous êtes à une épaisseur de papier à cigarette du déni pur et simple de l’Histoire.

          • Moi, je regarde les faits, rien que les faits, tous les faits – comme dirait l’autre. Les gloses infalsifiables, je laisse aux attentistes.

          • Non, justement, vous ne regardez pas tous les faits.
            Dans votre approche de la fermeture du détroit de Tiran, vous ignorez sciemment les conséquences de Suez 1956, vous ignorez sciemment les visées d’unification des politiques des pays Arabes voulue par Nasser (le « panarabisme » nasserien), vous ignorez la violente campagne de presse anti-israelienne avec des relents d’antisémitisme menée au Caire au cours du printemps 1967 etc.
            Vous ignorez tout ça dans une posture a-historique de technocrate du Droit.
            Mais vous ne voulez toujours pas comprendre.

          • Jusqu’à preuve du contraire, une conséquence non-advenue n’est pas un fait… Ou alors il faut développer votre épistémologie.

            Dans tous les cas, vous considérez que l’Egypte ne peut moralement léser les intérêts d’Israël sans commettre d’acte de guerre – à la différence des États de l’UE à l’encontre de la Russie. Je veux bien que les Juifs soient le peuple élu mais en ce cas il faut abandonner tout l’imaginaire de la justice impartiale, bla-bla-bla. Et là…

        • Et pour vous répondre (parce que moi je réponds toujours aux questions qu’on me pose) : stipulez comme vous voulez pour définir la décision de Nasser comme une agression non-armée. Ma question : avec ces stipulations, qualifieriez-vous les sanctions européennes contre la Russie, qui ont le but avoué d’asphyxier son économie, d’« agression non-armée » ? En ce cas, avec votre morale, il faudra admettre qu’une entrée des chars russes à Paris sera légitime…

          • « qualifieriez-vous les sanctions européennes contre la Russie, qui ont le but avoué d’asphyxier son économie, d’« agression non-armée » ?
            Je les qualifie de ce qu’elles sont : la réponse à l’agression armée de l’Ukraine par la Russie. En d’autres termes, une action de légitime défense de l’Ukraine.

          • Voilà… aucune cohérence. On juge en morale, ensuite on raisonne en fait en tordant toutes les définitions qu’on a soi-même posées…

    • Et gardez vos cours de philo à la petite semaine pour vos amis qui vous trouvent drôle.

  112. « Je veux bien être un blasé de la science… Mais je préfère cela à être un naïf d’icelle »
    Voilà maintenant que le Droit est une science…Je ne sais pas si vous êtes juriste, mais je sais que vous essayez d’être humoriste.

    « Plaisante justice qu’une rivière borne ! », ça vous parle ?

    • Il faut apprendre à lire… La « science » en question, si elle a un référent (!), réfère à la science historique, pas au droit. 🙄

      • Référent ?
        Quel rapport ? Un référent, c’est une personne qui assume une fonction de relais d’information entre plusieurs instances…Par exemple dans mon académie il y a des membres des corps d’inspection qui sont « référent REP », ou bien « référent réforme du bac »…quel rapport avec le Droit ?
        A cette heure de la journée, vous en êtes à votre quantième vodka ?

        • Vous auriez laissé pisser, j’aurais eu encore des doutes. S’appesantir aussi malhabilement, c’est un aveu !

          Pour les plus lents : « référent » au sens linguistique.

          • Vous voyez des aveux partout, décidément.
            En fait, vous êtes flic, dans la vraie vie ?
            Et ici, aveu de quoi ? De quoi donc viens-je de reconnaître que j’étais coupable ?

  113. « Mystique positiviste »
    Comme le dit si bien ma concierge, « L’Histoire jugera ». Comme elle a déjà jugé dans bien des cas, en se foutant allègrement du Droit.
    Car le Droit est, selon les cas, myope, presbyte, astigmate, et qui plus est affublé d’œillères.
    Quiconque se fie aveuglément au Droit ne peut décemment pas soupçonner un contradicteur de « mystique positiviste » !

    • Trouver une morale dans l’histoire, définir les torts « au regard de l’Histoire », c’est l’exemple même d’un positivisme moral, c’est-à-dire d’un positivisme mystique. Lisez Comte !

    • Et le fait même que vous puissiez qualifier une discipline de « myope » ou « astigmate » à appréhender des notions qu’elle ne se propose pas d’appréhender montre que votre métaphysique est le réalisme transcendantal – truc de curés !

      Painter : cela vous choquerait-il qu’on employât le mot « biais » pour parler d’un jugement moral ? Du genre, X est mal placé pour parler de Y car il ne l’aime pas, il y a un « biais » dans son jugement ?

  114. Lorsque Brighelli a soumis un article développant le concept d’agression non-armée, Painter s’est gaussé en demandant « combien de coups de feu pour cette agression ». Et lorsqu’un contradicteur a suggéré qu’il y avait peut-être des précédents de la doctrine de l’agression non-armée, Painter a récusé les parallèles… tout en défendant dix posts plus tard le concept d’agression non-armée ! D’où cette question : existent-elles ou n’existent-elles pas, ces agressions non-armées ? Et question subsidiaire : une agression non-armée peut-elle concerner un autre État qu’Israël ?

    • Dans la controverse, le débat, la polémique, mon maître est Georges Marchais, qui, à un journaliste lui faisant remarquer qu’il venait de répondre à côté de la question initialement posée, répondit : « C’était peut-être votre question, mais c’est ma réponse « .

      Cessez de pontifier, le-moine-qui-se-veut-cardinal.
      Tout le monde sur ce blog a compris depuis des lustres que la seule chose qui vous intéresse, c’est avoir le dernier mot. Vous le voulez ? Je vous le laisse. Ça ne va rien changer aux diverses responsabilités de 1939, 1940, 1967, et 2022 pour la guerre russo-ukrainienne.

  115. Le principe de l’impartialité, c’est : je n’adopte « aucun » point de vue… sauf celui d’Israël !

    • Le principe du juriste c’est : quelle que soit la guerre dont on parle, personne ne peut être tenu pour responsable de son déclenchement !

      Aucun doute possible : Ponce Pilate était juriste.

        • D’anglais. (Aujourd’hui retraité.)
          Agrégation 1986, option Civilisation.
          Je n’irai pas plus loin dans les confidences d’ordre privé.

          • Vous avez raison de refuser d’aller plus loin.
            Toute illustration, par exemple, est de toute façon, prohibée sur BdÂ, sauf pour Lormier, qui a toute latitude pour aller aussi loin qu’il le veut, puisque sa survie financière en dépend largement (entretien Vtt, etc…

        • Et vous ? D’où parlez-vous?
          Pur produit d’Assas, me semble-t-il.
          Et dans quelle fonction actuellement ?

          Aucune curiosité malsaine : j’essaie de faire la relation entre votre rôle social et le type de discours que vous tenez.

          • Euh… j’ai fait pas mal de choses dans ma vie. Académiquement, j’ai commencé par un peu de maths/physique, puis j’ai vrillé vers le latin/grec. Aujourd’hui je suis fonctionnaire stagiaire dans une école de formation de la fonction publique où, entre autres, je fais un soupçon de droit public, non sans lien avec Assas, en effet – mais depuis peu.

          • Assas ! Damned ! Le Cardinal vise-t-il la place de Blanquer ? Tout est envisageable (se méfier des Cardinaux.)

  116. Etat de l’Union –

    Un article qui reprend les mots du Washington Post (le lien est donné dans l’article), et qui donne « quatre ‘Pinochhios’ dans l’une de ses séances de fact-checking à Joe Biden », pour un (énorme) « mensonge », parmi d’autres ;
    s’il n’y avait que les « mensonges »… – tradition universelle ; Il trébuche, balbutie, a du mal à lire son prompteur…

    Le New York Times va dans le même sens.
    Une seconde civil war aux EU, avec la guerre en Europe ?

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/etats-unis-le-discours-de-l-union-de-biden-sous-les-moqueries-et-les-huees-0

  117. Harold Painter 2 mars 2023 At 15h56
    (Aujourd’hui retraité.)
    Agrégation 1986 (Aujourd’hui retraité.)

    Mais pas retraité de tout ,je suppose ?

    • Que voulez-vous dire?
      J’ai cessé toute activité professionnelle rémunérée, mais je reste intellectuellement aussi actif que possible.

  118. recension d’un livre sur Stendhal dans le Canard Enchaîné de ce jour

    SFCDT:  » Se Foutre Carrément De Tout « 

    • Même au bout d’une pique, on n’en voudrait pas ! Ou à la rigueur, pour faire peur aux petits enfants (!), avant qu’elle ne commence à pourrir… pour de bon.

      • Sinon, il pourra se recycler dans le cinéma: on pense à lui pour un remake de « règlement de comptes à OK Coral ».

  119. Pierre habite depuis très longtemps une jolie maison dans une résidence. Gilles, un nouveau propriétaire au sein de cette résidence, demande à Pierre s’il peut emprunter un chemin en bordure de sa propriété car cela lui faciliterait considérablement la vie : il n’aurait pas à faire un grand détour, emprunter des escaliers ou attendre l’ouverture d’un portail pour entrer chez lui. Pierre, bon prince, accepte et le signale même au Syndic.

    Sauf qu’un beau jour Pierre et Gilles se brouillent. Pierre demande alors à Gilles de ne plus emprunter le chemin sur sa propriété, sans quoi il appellera la police. Gilles l’avertit que s’il fait cela, il brûlera sa maison. Pierre maintient sa décision. Et Gilles déboule sur le terrain de Pierre, renverse trois jerricans d’essence sur le sol et craque une allumette. Trois pièces de la maison sont détruites.

    Harold Painter, qui n’habite pas dans la résidence, est alors convoqué pour donner son avis sur la situation. Après avoir tenté de faire intervenir le droit et s’être pris un nombre incalculable de gadins, il déclare qu’« au regard de l’Histoire » :
    – la décision de Pierre de ne plus autoriser Gilles à entrer sur sa propriété est une déclaration de guerre ;
    – Pierre est *responsable* du déclenchement des hostilités ;
    – Gilles a bien fait de faire ce qu’il a fait et Pierre n’a eu que ce qu’il mérite.

    Bien, bien…

    • Vous avez l’obligation d’être gentil avec votre voisin… Pour quelqu’un qui se réclame du libéralisme, c’est furieusement drôle !

  120. Alors, elles existent ou elles n’existent pas ces agressions non-armées ?! Le peuple aimerait savoir !

  121. Je tiens à faire savoir que l’Histoire m’a murmuré à l’oreille ce matin que la pizza à l’ananas, le costume trois pièces ou employer sa belle-mère comme femme de ménage, c’est mal !

      • Je vous accorde le crédit du fait que vous n’avez jamais peur de vous ridiculiser.
        Et qu’en dépit de tout, vous continuez à vous ridiculiser sans crainte.
        Tant de sens du sacrifice ne peut que vous rapprocher de la sainteté.
        Pour votre prochain pseudonyme, essayez Sainte Blandine.

          • Vous êtes juriste dans l’âme.
            Mais l’art du conte philosophique ou parodique vous est totalement étranger.
            N’est pas Montesquieu qui veut.

          • Mais j’ai passé une bonne partie de la journée à vous répondre, l’ami.
            Soyez à ce qu’on vous dit, enfin !

      • L’homme-aux-mille-pseudos, qui voudrait ignorer l’Histoire et qui tôt ou tard sera rattrapé par elle…

        • Le principe du juriste c’est : quelle que soit la guerre dont on parle, personne ne peut être tenu pour responsable de son déclenchement

          Votre contribution à la fois au Droit et à l’histoire est colossale : on sait désormais que les guerres se déclenchent par hasard, sans aucune intervention humaine. Un mauvais karma, quoi.
          Une sorte d’auto-combustion légèrement explosive ?

    • « Je n’ai jamais vu beaucoup de bien fait par ceux qui affectaient de commercer pour le bien public. »
      Adam Smith

      commercer, ou s’affairer ,travailler à

    • Pour un souverainiste, oui, la trahison a un sens. Pour un macroniste aussi: la trahison est une vocation.

  122. « One forest summit » (Libreville, 01 et 02/03/23) –

    Pour « la protection des forêts du bassin du Congo, en Afrique centrale, à cheval sur le Congo-Brazzaville, la RDC, le Cameroun, la Centrafrique, la Guinée équatoriale et le Gabon »…
    pays auxquels se rajoute…
    Arrivera-t-il à ainsi à… regrimper dans les sondages, ici, et la France, là-bas ?! ça ne va pas être facile…

    https://www.parismatch.com/lmnr/f/webp/r/1440,960,FFFFFF,forcex,center-middle/img/var/pm/public/media/image/2023/03/02/14/sipa_01104799_000001.jpg?VersionId=o6aRVeq1wvbngttljOLCuELBpmmryrk_

  123. Protection animale –

    Elle donne de leurs nouvelles ; je sais bien que tout le monde s’en moque ici, mais j’insiste (attention, triche : le roux des cheveux c’est du pipeau – teinture)

    https://www.instagram.com/p/CpQbt_ju6fR/embed/captioned/?cr=1&v=14&wp=1238&rd=https%3A%2F%2Fwww.parismatch.com&rp=%2Froyal-blog%2Fque-deviennent-les-corgis-delizabeth-ii-sarah-ferguson-donne-de-leurs-nouvelles-222686#%7B%22ci%22%3A0%2C%22os%22%3A1338%2C%22ls%22%3A842%2C%22le%22%3A1211%7D

  124. Harold Painter 2 mars 2023 At 20h43

    Ne me dites pas que ma vie vous intéresse dans ses moindres annuités…

    Ce serait excessif.

    je vous avais pris pour un historien.

    • Historien, non.
      Passionné d’Histoire, oui.
      Les deux grands anglicistes civilisationnistes qui ont marqué mes études et ma génération, Monica Charlot et Roland Marx, étaient aussi des historiens respectés. Ça laisse des traces.

      • Petit détail insignifiant:connaissez-vous le surnom que ses collègues de la Sorbonne avaient donné à Madame Charlot (surnom qui n’enlève rien à ses qualités) ?

  125. MAM 2 mars 2023 At 21h43
    « …attention, triche : le roux des cheveux c’est du pipeau – teinture) »

    Et mon khul, c’est du poulet ?

    Sarah Ferguson feels for the minority from her personal experiences of being judged.

    Prince Andrew’s ex-wife told the Metro: « I’ve always felt judged, which is why I support the LGBTQ+ community.

    « I know what it’s like to be segregated.

    « I’m 62 now and it still hurts, even now, when someone has a pop at me. »

    In October last year, Fergie confessed that she was bullied because of her hair colour at school.

    She said: « To be a redhead is quite difficult.

    https://www.geo.tv/latest/417536-sarah-ferguson-supports-transgenders-due-to-trauma-of-red-hair-bullying

  126. Scoop ! La pyramide de Kheops a un trou du cul dont on a détecté l’orifice grâce à une technique endoscopique, de capteurs à muons avec l’aide du CEA que certains verront d’un bon œil s’occuper d’autre chose que de fusion nucléaire :

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/03/02/premieres-images-d-un-corridor-detecte-en-2016-dans-la-pyramide-de-kheops_6163937_1650684.html

    On s’en bien que le du CEA va nous sortir une petitrerie magnétoïde montrant l’origine extraterrestre de l’ensemble.

  127. Justin Bieber annule ses concerts,car il souffre du syndrome de Ramsay Hunt.

    Justin Bieber a-t-il été inoculé ?

    C’est extrêmement probable, puisque il n’admettait à ses concerts qu’un public vacciné.

    Sa maladie (Ramsay-Hunt, paralysie d’un côté du visage) est-elle une conséquence de l’injection ?
    Tout à fait possible:
    i) les « fact-checkers » disent que non
    ii) Le syndrome de Ramsay-Hunt est provoqué par une inflammation de certains nerfs,laquelle est causée par le virus « herpes-zoster »;or, parmi les effets néfastes du prétendu vaccin répertoriés dans les bases de données officielles figure en bonne place le réveil de ce virus.

    https://petermcculloughmd.substack.com/p/signature-injury-syndrome

  128. Les vendeurs de papier ont une fois encore gagné; leur mensonge (ou légende ) s’est imposée;chaque fois qu’il est question de Sarah Ferguson, on parle de « toe sucking » [suçage d’orteils] alors que J. Bryan a seulement embrassé ses doigts de pied (et aussi ses plantes de pied,ce qui est moins connu.

  129. Lormier
    3 mars 2023 At 0h01
    Connaissez-vous le surnom que ses collègues de la Sorbonne avaient donné à Madame Charlot ?

    Non, je ne connais pas ce surnom.
    Je crains le pire !

    • Il n’est pas méchant…il montre surtout qu’on peut avoir cinquante ou soixante balais, être professeur à la Sorbonne et affubler une collègue d’un surnom salace.

      Ces messieurs si dignes, ces messieurs à lorgnons et montres à gousset…s’amusent comme des chenapans de collège.

      • Little wonder.
        Mais maintenant que la curiosité du commentariat a bien été attisée par vos soins (chenapan vous-même !), donnez-nous donc ce surnom…

          • Je pense pouvoir encaisser le coup.
            Et si c’est vraiment trop dur, je prendrai sur moi.

  130. Dugong 3 mars 2023 At 8h45
    différentier sa base de données ?

    Différence, différance (Derrida), différentielle… ces mots ne sont pas innocents; quel rapport entre différenCe et différenTielle ? et qu’est-ce qui pousse Dugong à écrire différenTier ? et…et… la « table des diiférences  » de Newton (je crois) est-elle une des bases du calcul différenTiel ?

  131. Langue de tous les jours et langue scientifique: est-ce qu’un vaporisateur (de parfum,par exemple) produit de la vapeur ?

  132. Lors des prochaines 72 heures je vais être dans l’incapacité de pointer le bout de mon nez sur ce blog. Tout le monde s’en fout – du moins le supposé-je – et tout le monde a bien raison de s’en foutre.

    En attendant, en guise de devoir de vacances, je laisse à « L’homme-aux-mille-pseudos-technocrate-du-Droit » le loisir d’essayer de répondre à la question suivante : « Qui peut-être tenu pour responsable du déclenchement de la guerre du Kippour d’octobre 1973? »
    L’Histoire a une vision d’ensemble du problème qui lui donne des éléments de réponse très précis.
    Mais notre homme, en technocrate du Droit, répondra sans doute, comme précédemment, que la question n’ayant aucun sens, il n’y a pas de réponse.
    Le commentariat jugera.

  133. A force d’adopter les idées des complotistes, les non-complotistes finiront par pousser les complotistes modérés tels que Lormier vers les franges extrêmes du complotisme.

    Il existe une tradition eugéniste aux Etats Unis (qui remonte à Rockefeller); Bill Gates, qui a souvent appelé à la réduction de la population mondiale est-il dans cette mouvance ?

    Et comme le prétendu vaccin a MRNA tue …

    https://twitter.com/i/status/1631549284402200576

  134. Harold Painter 3 mars 2023 At 12h52
    Je pense pouvoir encaisser le coup.
    Et si c’est vraiment trop dur, je prendrai sur moi.

    Monica no knicks.

    • L’IA Lormier : la 1ère, sur terre, à pratiquer l’humour – et même multilingue – et française en plus ! Gloire à Bd !

  135. Dugong 3 mars 2023 At 8h32

    « …un trou du cul dont on a détecté l’orifice … »

    L’orifice d’un trou ?

    • Oui parce qu’un trou a une structure qui ne se limite pas à l’ouverture (paroi, notamment)

  136. J’ai trouvé un alignement de femmes nues en croix — dans un film d’Oscar Apfel (1878-1938), Âmes aux enchères, 1919, inspiré par un essai d’Aurora Mardiganian paru l’année précédente et intitulé Ravished Armenia. On n’oserait pas le diffuser, de peur de froisser nos alliés turcs de l’OTAN :
    https://www.youtube.com/watch?v=P3oZiTTubjw

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