Larousse, 1939

On connaît le poème de Baudelaire intitulé justement « Sed non satiata » :

Bizarre déité, brune comme les nuits,
Au parfum mélangé de musc et de havane,
Oeuvre de quelque obi, le Faust de la savane,
Sorcière au flanc d’ébène, enfant des noirs minuits,

Je préfère au constance, à l’opium, au nuits,
L’élixir de ta bouche où l’amour se pavane ;
Quand vers toi mes désirs partent en caravane,
Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.

Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme,
Ô démon sans pitié ! verse-moi moins de flamme ;
Je ne suis pas le Styx pour t’embrasser neuf fois,

Hélas ! et je ne puis, Mégère libertine,
Pour briser ton courage et te mettre aux abois,
Dans l’enfer de ton lit devenir Proserpine !

On sait, bien sûr, que le titre est emprunté à la sixième Satire de Juvénal, décrivant Messaline, épouse de l’empereur Claude, rentrant du bordel où elle allait épuiser ses partenaires et ses charmes, « Et lassata viris, sed non satiata, recessit ». On n’a jamais posé le diagnostic de la nymphomanie en termes si concis et pertinents. « Epuisée mais non encore satisfaite » : tel est le dur destin de la nymphomanie.

Eugène Brunet (1828-1906), Messaline, 1884.


Brassens pouvait faire semblant de rire :
« Quand elle a des besoins tyranniques
Qu’elle souffre de nymphomanie chronique
C’est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d’heure… »
La réalité de la nymphomanie, c’est l’impossibilité de jouir. Musset a magnifiquement illustré ça (en pensant à Sand, peut-être) dans Gamiani :
« La comtesse délirait. Le plaisir la tuait et ne l’achevait pas. Furieuse, bondissante, elle s’élança au milieu de la chambre, se roula sur le tapis, s’excitant par des poses lascives, bien follement lubriques, provoquant avec ses doigts tout l’excès des plaisirs… »
On apprendra un peu plus loin que la comtesse Gamiani souffre de ne pas souffrir, après une initiation musclée :
« Au bout d’une heure, je me vis dans une vaste salle, tendue en noir, éclairée par une seule lampe suspendue au plafond.
Au milieu, s’élevait un prie-Dieu environné de coussins.
— Agenouillez-vous, ma nièce ; préparez-vous par la prière et supportez avec courage tout le mal que Dieu veut nous infliger.
J’avais à peine obéi, qu’une porte secrète s’ouvrit, un moine vêtu comme nous, s’approcha de moi, marmotta quelques paroles ; puis, écartant ma robe et faisant tomber les pans de chaque côté, il mit à découvert toute la partie postérieure de mon corps.
Un léger frémissement échappa au moine ; extasié sans doute à la vue de ma chair, sa main se promena partout, s’arrêta sur mes fesses et finit par se poser plus bas.
« C’est par là que la femme pèche, c’est par là qu’elle doit souffrir », dit une voix sépulcrale…
Ces paroles étaient à peine prononcées, que je me sentis battue de verges, de nœuds de corde garnis de pointes de fer. Je me cramponnai au prie-Dieu, je m’efforçai d’étouffer mes cris, mais en vain, la douleur était trop forte. Je m’élançai dans la salle en criant : Grâce ! grâce ! je ne puis supporter ce supplice, tuez-moi plutôt. Pitié ! Je vous prie…
— Misérable lâche, s’écria ma tante indignée, il vous faut mon exemple !
À ces mots, elle s’exposa bravement toute nue, écartant les cuisses, les tenant élevées.
Les coups pleuvaient ; le bourreau était impassible. En un instant, les cuisses furent en sang.
Ma tante restait inébranlable, criant par moments : plus fort… ah ! plus fort encore !
Cette vue me transporta, je me sentis un courage surnaturel, je m’écriai que j’étais prête à tout souffrir.
Ma tante se releva aussitôt et me couvrit de baisers brûlants, tandis que le moine liait mes mains, plaçait un bandeau sur mes yeux.
Que vous dirai-je enfin ! Mon supplice recommença plus terrible : engourdie bientôt par la douleur, j’étais sans mouvement, je ne me sentais plus. Seulement à travers le bruit de mes coups, j’entendais confusément, des éclats, des mains frappant sur des chairs. C’étaient aussi des rires insensés, rires nerveux, convulsifs, précurseurs de la joie des sens. Par moment la voix de ma tante, qui râlait la volupté, dominait cette harmonie étrange, ce concert d’orgie, cette saturnale de sang.
Plus tard, j’ai compris que le spectacle de mon supplice servait à réveiller des désirs, chacun de mes soupirs étouffés provoquait un élan de volupté.
Lassé, sans doute, mon bourreau avait fini. Toujours immobile, j’étais dans l’épouvante, résignée à mourir. Cependant, à mesure que l’usage de mes sens revenait, j’éprouvai une démangeaison singulière : mon corps frémissait, était en feu.
Je m’agitai lubriquement comme pour satisfaire un désir insatiable. Tout à coup deux bras nerveux m’enlacent ; je ne savais quoi de chaud, de tendu, vint battre mes cuisses, se glisser plus bas et me pénétrer subitement. À ce moment je crus être fendue en deux. Je poussai un cri affreux que couvrirent aussitôt des éclats de rire. Deux ou trois secousses terribles achevèrent d’introduire en entier le rude fléau qui m’abîmait. Mes cuisses saignantes se collaient aux cuisses de mon adversaire ; il me semblait que nos chairs s’entremêlaient pour se fondre en un seul corps. Toutes mes veines étaient gonflées, mes nerfs tendus. Le frottement vigoureux que je subissais et qui s’opérait avec une incroyable agilité, m’échauffa tellement que je crus avoir reçu un fer rouge.
Je tombai bientôt dans l’extase, je me vis au ciel. Une liqueur visqueuse et brûlante vint m’inonder rapidement pénétra jusqu’à mes os, chatouilla jusqu’à la moelle… oh ! c’était trop… je fondais comme une lave ardente… Je sentais courir en moi un fluide actif, dévorant, j’en provoquai l’éjaculation par secousses furieuses et je tombai épuisée dans un abîme sans fin de volupté inouïe.
Fanny
Gamiani, quelle peinture ! vous nous mettez le diable au corps.
Gamiani
Ce n’est pas tout.
Ma volupté se changea bientôt en douleur atroce. Je fus horriblement brutalisée. Plus de vingt moines se ruèrent à leur tour en cannibales effrénés. Ma tête retomba de côté, mon corps brisé, rompu gisait sur les coussins, pareil à un cadavre. Je fus emportée morte dans mon lit. »



C’est sans doute une amplification de La Philosophie dans le boudoir, où Eugénie est soumise à un traitement identique. Mais elle jouit, elle — Sade n’était pas si méchant que ça.

J’ai connu deux ou trois nymphomanes dans ma vie. La première, et la plus fidèle, toute sa vie durant, à cette incapacité d’atteindre l’orgasme, fut F***, ma cousine germaine. Elle trouva opportun de se précipiter sur ma queue encore ardente (j’avais vingt ans), alors que nous remontions, de nuit, dans la voiture de son père, des Pyrénées-Orientales vers Paris. Mille kilomètres de tripotage, et bientôt, tandis que sa mère somnolait à l’avant et que son frère dormait tout de bon à l’arrière à côté de nous, tandis que son père, au volant de sa 504, trouait parfois le silence avec des sentences bien senties du genre « Moi, je roule Peugeot », elle se lança dans une pipe étourdissante à laquelle j’eus la méchanceté de longtemps résister.
Elle avait mon âge, et passa sa vie à draguer, en boîte, des adolescents juste pubères qu’elle s’envoyait entre deux voitures — et dont elle m’apprit qu’ils n’avaient aucune résistance et lui éjaculaient dans la main avant même qu’elle se les enfile. Son tableau de chasse, m’apprit-elle quand elle arrivait à la soixantaine, montait à cinq ou six mille manœuvres d’amour, comme dit Laclos, dont aucun ne lui avait procuré de sensation vraiment vive.
Elle aimait tout — autant dire qu’elle n’aimait rien. Nous avons couché deux ou trois fois ensemble, seul l’aspect scabreux des situations la suscitait un peu, sans jamais la satisfaire.

Je dois à la vérité que sa vocation profonde était de se faire nonne, et de réaliser en Dieu la sublimation nécessaire à une vraie extase. Mais inconséquence ou désir de se châtier interminablement de quelque faute forcément imaginaire, elle n’a jamais franchi la porte des Carmélites — les seules dont la règle féroce aurait satisfait son désir d’annihilation.

Alors oui, plaignons les nymphomanes, qui tentent en vain, via le sexe, d’apporter une vraie réponse à une question métaphysique. Plaignons-les, et ne les consommons pas — personne n’y trouverait son compte.

Jean-Paul Brighelli

157 commentaires

  1. « Plus de vingt moines se ruèrent à leur tour en cannibales effrénés » : à ceux-là, que n’aurait-on fait sans eux ?!
    Et dire que le pauvre abbé Pierre s’est vu durement flagellé, bien après sa mort.

    « Je dois à la vérité que sa vocation profonde était de se faire nonne » ; ce qui n’était malheureusement pas la solution pour… la « cousine ».

    Et merci pour les superbes illustrations, JPB.

    J’en profite pour réitérer mes louanges à propos de « Antoine Dupont s’ennuie » : tout à fait inattendu… du moins sur Causeur ; brillant !

  2. L’adverbe « encore »:

    « Et lassata viris, sed non satiata, recessit ».
    « Epuisée mais non encore satisfaite »

    Le texte latin ne dit pas « encore »…et cet « encore » autorise un certain espoir.
    Si ce n’est cette fois-ci, peut-être la prochaine fois…

    « Toujours pas » serait beaucoup moins optimiste.

    « Cela fait des heures que je cherche, mais je n’ai toujours pas réussi à démontrer le théorème de Lormier.

    Alors, ça y est,mon loulou, tu l’as démontré ton théorème ?

    Non, pas encore, mais je suis sur une bonne piste,je crois. »

    Elle trouva opportun de se précipiter sur ma queue encore ardente (j’avais vingt ans)

    « Encore »… en quel sens ? Par rapport à quelle période de temps. Encore ardente parce que récemment sortie d’une chatte, elle n’avait pas encore ramolli ? A 20 ans ça arrive.

    • Il s’agissait pour moi de traduire la valeur exacte de « sed », qui oppose en latin un groupe positif d’un groupe négatif — ce qui est clairement le cas ici.

  3. Le Maestro se rapprocherait-il du rousseauisme ? Si aberrante que la question puisse paraître, Lormier estime qu’elle peut (et même doit) être posée.

    En effet, le Maestro vient de reconnaître un devoir envers la vérité !
    Je dois à la vérité que sa vocation profonde était…

    Rousseau:
    Je devrais plutôt un remerciement qu’une réplique à l’auteur anonyme qui vient d’honorer mon Discours d’une réponse : mais ce que je dois à la reconnaissance ne me fera point oublier ce que je dois à la vérité ; et je n’oublierai pas non plus que, toutes les fois qu’il est question de raison, les hommes rentrent dans le droit de la nature, et reprennent leur première égalité.

    https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Rousseau_-_Philosophie,_1823.djvu/128

    Certes on n’en est pas encore au « vitam impendere vero » mais un mouvement est esquissé qui peut-être éloigne du « vitam impendere copulatione »-devise du Maestro depuis tant d’années

  4. Aux femmes qui se plaignent de ne pas joiur et imputent leurs déconvenues à leurs partenaires,Lormier a toujours donné ce même conseil.

    Bien souvent l’insomnie provient de la crainte de ne pas s’endormir; de la même façon , la crainte de ne pas jouir peut provoquer l’anorgasmie.

    A la question: « vais-je jouir? » substituez cette autre: a-t-il du plaisir ? Va-t-il jouir ? Que faire pour lui en donner davantage ?

  5. Le Larousse de 1939 indique comme traitement de la nymphomanie : mariage.
    C’est d’une irrésistible drôlerie, non ?

    • La définition de la nymphomanie que donne le Larouse de 1939 est assez éloignée de celle contemporaine (et totalement différente de la défintion brighellienne).

      « Excitation sexuelle excessive chez la femme. »

      Si on pense vraiment que l’excitaion sexuelle peut être excessive proposer le mariage comme traitement n’est pas très sympa. Pauvre mari !

      Les calmants, c’est mieux, mais quels calmants ?

  6. « La réalité de la nymphomanie, c’est l’impossibilité de jouir. »
    Apparemment Brighelli n’envisage pas un seul instant que chez certaines femmes l’impossibilité de jouir soit imputable à l’inefficacité et à l’incompétence du partenaire masculin…
    Hypothèse que dans sa grande sagesse, Brassens évoquait dans sa chanson citée par Brighelli :
    « C’est parce que tu n’es qu’un malhabile, un maladroit
    Qu’elle conserve toujours son sang-froid »
    Cette chanson intitulée « Quatre-vingt quinze pour cent » a pour refrain les lignes suivantes :
    « Quatre-vingt quinze fois sur cent,
    La femme s’emmerde en baisant.
    Qu’elle le taise ou le confesse,
    C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses »….

    On attend avec impatience et intérêt l’avis de la partie féminine du commentariat !

    PS : Sur Brassens, jamais de polémique : l’immense talent et l’humour de tonton Georges font l’unanimité.

    • La vie privée des animalkules étiquetés (comme on pouvait s’y attendre) « partie féminine »,
      ne regarde en aucun cas le genre (qui se dit) masculin de ce blog – y compris par le trou de la serrure.

    • On attend avec impatience et intérêt l’avis de la partie féminine du commentariat !

      Vous attendrez longtemps.

      • « Vous attendrez longtemps. »
        Hélas, vous avez probablement raison.
        Sur ce forum on ne peut jamais évoquer les choses de la vie vraiment importantes. Quelle tristesse…

        • Allez donc sur les forums de meufs ;y a pléthore (il vous faudra parfois femer les yeux sur les barbarismes et solécismes…

          Renjen
          1h
          How’s your pelvic floor ? That can play a huge part in orgasm intensity if that is lax in can effect it , I’m in my mid 40s and have had a lot of children and my pelvic floor needs work atm as it does take me a little longer to O atm then it used to
          I do get emsela chair therapy which really helps def worth the money I’m about to have revision lot done as I have had a baby since my last lot .

          def try toys if you haven’t already to experiment with few types till you find one that works .

          https://lovehoneyforum.com/t/difficulty-achieving-orgasm-for-a-woman/315981/3

        • Et quid des exploits de la gent maskuline ?
          – JG restera muet, ECHO aussi, par discrétion.
          – les Lormier – Dugong – abcmaths… se kontentant de crapuleuses remarques, jeux de mots, et illustrations itou.

          • Réponse de Brassens, encore et toujours :
            « Qu’on me comprenne bien j’ai l’âme du satyre
            Et son comportement mais ça ne veut point dire
            Que j’en aie le talent le génie loin s’en faut
            Pas une seule encore ne m’a crié bravo »

  7. Rappel

    Lormier 20 février 2025 At 21h40
    Il faudrait à Lormier quelques techolectes supputexiens pour tenter une métaanalyse de ces fragments…car il s’agit bien de fragments.

    Une remarque: dans aucune des histoires de copulationnement,il n’y a échec:la fille jouit toujours et jouit bien.

    Voilà qui n’est plus vrai.

  8. Pour ne point heurter les susceptibilités et ménager les pudeurs offensées, je reformule ma question de 13h49 :
    La partie féminine du commentariat de ce forum estime-t-elle que le refrain ci-après de la chanson de Brassens ainsi libellé…:
    …..
    « Quatre-vingt quinze fois sur cent,
    La femme s’emmerde en baisant.
    Qu’elle le taise ou le confesse,
    C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses »….
    …..recouvre une réalité objective observable ?

  9. Il n’est pas mauvais qu’à l’occasion, la meuf vienne se le chercher en se bougeant le popotin, son gasm.

  10. Un point qui semble discutable : la nymphomane le serait par insatisfaction, exactement parce qu’elle ne jouit pas. Alors qu’il me semble qu’on confond les questions. On peut parfaitement jouir et être insatiable.
    Est ce qu’on est alcoolique parce qu’on n’arrive pas à être ivre? Probablement pas…
    Quel est l’équivalent masculin de la nymphomane ? L’erotomane? ( désolé pour certains accents).

    Je trouve ceci sur un site:
     » La nymphomanie, l’hypersexualité ou sexualité compulsive se traduit par la recherche continue du plaisir sexuel. Le sujet présente une libido exagérément active pouvant être décrite comme obsessionnelle : une fois le rapport sexuel terminé, ils veulent recommencer et le choix du partenaire importe peu. Un comportement qui peut impacter négativement la vie sociale car il peut nuire aux relations qu’elle entretient avec les autres. Plus précisément, on parle de nymphomanie chez la femme, et de satyriasisme chez l’homme, deux termes tirés de la mythologie. »
    ( il, elle, alors qu’on parle du  » sujet » le rédacteur se fiche de bien écrire apparemment) – on doit pouvoir trouver mieux…

    • Il y a la femme qui n’arrive pas à jouir et il y a celle qui croit à chaque fois que ça aurait pu être (encore) mieux.

      Comme l’a si bien dit le Maestro:c’est méta-physique.

      Un absolu:comme la mort (d’où l’idée d’aller copuler sur une tombe)

  11. Dugong 13 mars 2025 At 15h09
    Il n’est pas mauvais qu’à l’occasion, la meuf vienne se le chercher en se bougeant le popotin, son gasm.

    Intéressant.

    On parle encore d' »étoiles de mer » ?

    NB « maguro » Je n’ai jamais piu obtenir d’explication défintive de ce mot japaonais (thon) (sens argotique);les uns disent:meuf trop facile à pécho,les autres :meufs avec qui on se fait chier au plumard parce qu’elle se contente d’écarter.
    en

  12. Jean-Paul Brighelli 13 mars 2025 At 15h08
    How do you translate « atm » in the precedent sentence ?
    Can’t be « ass to mouth »…

    at the moment

  13. de la nymphomanie et autres perturbations périphériques
    =========================================================

    perturbations telles que celles mentionnées par Larousse (proximité alphabétique) ?

    C’est l’urologue qui traite les causes organiques de l’anorgasmie;comme le dit cette Américaine,un solide plancher périénéen est un pré-requis; d’où le traitement sur chaise emsella.

    « I do get emsela chair therapy which really helps def worth the money… »

    https://lovehoneyforum.com/t/difficulty-achieving-orgasm-for-a-woman/315981/3

  14. Dugong 13 mars 2025 At 15h09
    Il n’est pas mauvais qu’à l’occasion, la meuf vienne se le chercher en se bougeant le popotin, son gasm.

    Chez les babilogues, le remuement du popotin est souvent une compétence en cours d’acquisition;Dugong en sait quelque chose.

  15. Josip Gavrilovic 13 mars 2025 At 13h49
    « La réalité de la nymphomanie, c’est l’impossibilité de jouir. »
    Apparemment Brighelli n’envisage pas un seul instant que chez certaines femmes l’impossibilité de jouir soit imputable à l’inefficacité et à l’incompétence du partenaire masculin…

    Et si elle change de partenaire ?
    Comme la cousine germaine qui en connut plusieurs milliers.

  16. 53 à été sauté: Je change également de salon.
    Je vais chercher un salon où on mate les autos.
    Oui…

  17. Après l’avoir baisée, une meuf m’a dit en souriant : « Tu est trop sûr de toi ». J’affectais l’étonnement et le l’ai rebaisée iliico presto.

    • Après l’avoir baisée, une meuf m’a dit en souriant

      C’est ce qu’on appelle une anacoluthe ?

      « iliico presto. » sans transition ? Sans temps de repos ? La bite était restée à l’intérieur ?

      (Il va sans dire que c’était avant le trponème.)

      La fille de Jean Nocher demanda au Maestro:vous parissez sûr de vous,l’êtes-vous toujours autant ?

      A quoi le Maestro répondit (avec cet esprit de répartie qu’on lui connaît et qui force l’admiration) « c’est de vous que je suis sûr. »

      Et sur ces mots, basculement sur la solide table de chêne.

    • Attention à l’empressement :
      « tu est »…
      Et il est allé tellement vite, que « d’illico », il est passé à « iliico » –
      (on peut aussi s’amuser avec le mot anacoluthe).

  18. Jean-Paul Brighelli 13 mars 2025 At 15h03
    Il s’agissait pour moi de traduire la valeur exacte de « sed », qui oppose en latin un groupe positif d’un groupe négatif — ce qui est clairement le cas ici.

    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Je suis allé voir le texte;en fait il y a en plus un « necdum »

    https://www.loebclassics.com/view/juvenal-satires/2004/pb_LCL091.245.xml

    adhuc ardens rigidae tentigine volvae,
    et lassata viris necdum satiata recessit,

    (NB « adhuc ardens rigidae tentigine volvae » … « la verge encore ardente » serait-elle un écho de ce passage ?)

    • En poésie, on retrouve souvent « la verge encore ardente  »
      Exemple:

      L’hommage de leurs vers qu’à l’envi les poètes
      À la femme déçue offrent toujours ardent
      Flatte certes le but, mais n’apaise la quête
      L’attente a des plaisirs qu’on ne fait qu’un moment…

      Oui…
      (quatre)

      Première des onze strophes de « Plaintes d’une femme déçue » poème d’un universitaire ayant tenu à conserver l’anonymat.

  19. Ils sont déchaînés. Ça s’annonce éreintant, je vais vers d’autres salons.

    Flo, enlève la carotte que t’as dans le uc, surtout que c’est toi qui t’la mise. Fais comme dobeul, carre toi une botte !
    Surtout que j’ai refait les divisions Flo, t’restes pus beaucoup de temps pour écrire ton bouquin de cul….aprés tu vas devoir froncer les sourcils pour te souvenir..c’est pas bon.

    • Une page bien léchée sur « Mon cul et moi » et jipé qui te donne le coup de main..tu vois ça s’écrit tout seul.

  20. Tromp vire des unidiversitaires dont certains pourraient se réfugier en France. Gageons qu’on accueillera plus de socio-babiologues libé-rateurs de foufounes dominées que d’Einsteins en production…

  21. On murmure qu’à Colombey (d’Alger), une tombe vibrerait très fortement. SOS fantômes serait déjà sur les lieux

  22. Dugong
    14 mars 2025 At 8h04
    Tromp vire des unidiversitaires dont certains pourraient se réfugier en France. Gageons qu’on accueillera plus de socio-babiologues libé-rateurs de foufounes dominées que d’Einsteins en production…

    Dugong, psycho-rigide dans son mépris des sciences sociales, fait semblant d’ignorer que quand un Ubu-Roi est au pouvoir, même les Einsteins en production ont besoin des analyses des socio-babiologues pour les aider à comprendre le sens de leur travail, le sens de leur fonction sociale, et même, parfois, le sens de leur vie.
    (Si réponse de Dugong il y a, une absence totale d’hydrure de potassium serait appréciée. Mais à l’impossible nul n’est tenu.)

      • Eh bien faites comme Ubu-Roi : ajoutez l’expression « sciences sociales » à la liste des 200 mots et expressions bannis par l’administration Trump.
        (Soit dit en passant, elle est formidablement révélatrice, cette ubuesque manifestation d’exclusion linguistique. Avec Ubu-Roi, on ne s’ennuie pas…)

      • En général, ici, quand j’agace, on me donne du « pauvre KHon » avec des « théories alaKH ».
        Je préfère donc éviter tout contact avec l’hydrure de potassium.

  23. Je suis allé voir le texte;en fait il y a en plus un « necdum »

    https://www.loebclassics.com/view/juvenal-satires/2004/pb_LCL091.245.xml

    et lassata viris necdum satiata recessit,

    Ce « necdum » m’intrigue;j’aimerais savoir plus de latin…

    Juvenal veut-il laisser entendre que Messaline pourrait un jour, avec le partenaire adéquat par exemple, connaître l’orgasme ? Se rangerait-il à l’avis du corps beau croassien ?

    Le traducteur de Loeb classics a traduit « necdum » par « not yet » et pas par « yet not » (qui eût d’ailleurs effacé la notion temporelle -« yet not » = pourtant pas.

    • rectificatif:

      il ne faut pas dire « necdum en plus »;Baudelaire a remplacé « necdum » par « sed » qui n’est pas dans le texte de Juvenal.

  24. une pipe étourdissante à laquelle j’eus la méchanceté de longtemps résister.
    i) méchanceté ?
    ii) résister par quel moyen ? Par l’apnée, déjà, à 20 ans ? Comme disait cyrano: »aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des apnées ».

  25. Mille kilomètres de tripotage,

    à quelle vitesse moyenne ?

    De toute façon des PO à Paris,ça a pris des heures… sans solution de continuité ?

    Il a bien fallu que la voiture s’arrête quelques fois:le plein (était-ce un diesel ?);le père (et la mère, et la cousine et le frère et le sucé ) ont bien dû aller pisser quelques fois.

  26. Jean 14 mars 2025 At 10h34
    C’est joli l’accent circonflexe dans les maths… Quel rapport avec l’article ?

    Vous n’êtes pas au courant ? abcmaths a lancé une nouvelle pratique:une forme de méta-commentaire;quand un commentaire porte un numéro qui se trouve être un nombre premier pythagoricien,il faut en donner une décomposition en somme de carrés (deux ou plus,le cas échéant.)

    Sauf erreur, le prochain est 89;voulez-vous vous lancer ? Il faut poster à 88.

  27. L’hommage de leurs vers qu’à l’envi les poètes
    vits envers
    À la femme déçue offrent toujours ardent
    dame fessue

    Flatte certes le but, mais n’apaise la quête
    khul bête

    L’attente a des plaisirs qu’on ne fait qu’un moment…
    fente tait

  28. Lormier :
    « Comme disait cyrano: »aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des apnées « .

    Tt-t. On imagine Lormier baillant au Corneille en attribuant à tort à Cyrano ce qui revient de droit à Rodrigue.
    – Lanson serait cruellement déçu d’une telle confusion, perpétrée par un de ses disciples.
    – Starobinski et Barthes, eux, en profiteraient plutôt pour décoder le sens crypté de l’assimilation Cid/Cyrano, pour enchaîner ensuite sur l’analyse de la frustration sexuelle éprouvée de façon differenciée par Rodrigue-désirant-Chimène et Cyrano-désirant-Roxane, pour conclure sur le rôle libérateur de l’épée en tant que substitut imaginaire de virilité, destiné à compenser l’impuissance réelle de nos deux héros.

    • cyrano, c’est cyrano58,le brillant commentateur du Maestro;il se fait rare car maintenant,il se consacre à son oeuvre.

      • Ah OK. Je comprends mieux.
        Il y a donc une analyse à mener sur le sens crypté de votre omission volontaire du « 58 » qui aurait dû faire suite à cyrano.
        L’affaire se révélant plus complexe que prévu, il faudrait peut-être confier ce dossier à Barthes, Starobinski et Prophète Mao mais……

        • Je crois que cyrano58 signe maintenant simplement « cyrano » (quand il vient).

          Ne cherchez pas midi à quatorze heures.

          • Lanson ne cherche jamais midi à quatorze heures.
            Barthes, si. Et c’est bien là en quoi il exaspérait l’anti-intellectualisme poujadiste.

  29. Dugong 14 mars 2025 At 8h04
    Tromp vire des unidiversitaires
    ——————————————————————————————————-

    Il a fait annuler des crédits de recherche anti-scientifique alloués à des manipulateurs qui travaillaient sur « l’hésitation vaccinale » et les moyens de passer outre.

    A partir du moment où il est avéré que les complotistes ont fondé leur refus de l’ARN artificiel sur de la science, les cohortes de psychologues cherchant à duper les populations ,à les lobotomiser afin qu’ils acceptent des injections délétères, apparaissent clairement comme des anti-science.

    Aucune raison de financer l’anti-science.

  30. Dugong 14 mars 2025 At 10h57
    « hydrure de potassium »

    Akwassa ?

    Josip Gavrilovic déteste la graphie KHul.

    • A vrai dire, je contournerais lâchement le problème en traduisant par « still unsatisfied », en ayant donc recours à la négation prise en charge par le préfixe « un-« .
      (Ma maîtrise du latin est notoirement insuffisante. Je pense néanmoins que necdum correspond beaucoup plus à « not yet » qu’à « yet not ». En passant par « still », je m’évite une fatale congestion cérébrale !)

      • Pas forcément un lâche contournement.

        « still not » est très différent de « not yet » (encore plus net que pas encore/toujours pas).
        Je suis tombé sur un site anglais donnant plusieurs traductions du poème « Sed nont satiata »;ça s’intitule « never satisfied »

        https://fleursdumal.org/poem/123

        Une trad donne pour titre « Unslakeable lust »

  31. « Lormier 14 mars 2025 At 10h47

    abcmaths a lancé une nouvelle pratique:une forme de méta-commentaire;quand un commentaire porte un numéro qui se trouve être un nombre premier pythagoricien,il faut en donner une décomposition en somme de carrés (deux ou plus,le cas échéant.) »

    Pour ceux qui veulent jouer, j’offre une calculette 4 opération :

    * Vérifier que le nombre premier p est de la forme 4k+1 (pour les littéraires, suffit de faire une division et d’observer si le reste est 1). Si ce n’est pas le cas, laisser tomber (chais plus d’où ça sort, merci à abc de le rappeler)
    * Chercher un entier a tel que (p – a)^2 soit un carré parfait. (Comme les nombres utilisés ici sont toujours petits, y’a pas beaucoup de boulot)
    * Déterminer b comme (p – a)^1/2 ie la racine carrée de (p – a)

    • Je propose un autre jeu :
      Chaque fois qu’un commentaire porte un numéro qui est une contrepèterie, la dévoiler.

      Par exemple : 38 est la contrepèterie de 83.

      Tout le monde peut participer.

      • Pour ceux qui auraient des difficultés (et se sentirait humiliés), je peux fournir gracieusement une routine en Python ou tout autre langage.

        • Enfin la contrepèterie à la portée de tous, même de moi.

          Saluons cette avancée qui prend place après  » 80 % d’une classe d’âge pourra accéder au bac (vieille promesse de qui déjà ? Lang, Jospin ?)

  32. Je préfère au constance, à l’opium, au nuits,
    L’élixir de ta bouche où l’amour se pavane ;

    « AU constance »;le constance, masculin :un vin (muscat) d’Afrique du Sud-qui connut une certaine vogue à l’époque de Baudelaire ?
    (explication glanée sur un site de préparation au bac…qui ne parle à aucun moment de nymphomanie et n’explique pas le titre ! Etdier ce poème en classe, au lycée, poiur le bac !!!!)

  33. La brelle anonyme : ========================================================================== 13 mars 2025 At 20h43
    l’opération russe dans le pipeline s’est soldée par un désastre.
    ================================================================================ 13 mars 2025 At 20h43
    Cons à crever. D’ailleurs ils crèvent :

    https://news.sky.com/story/russian-forces-creep-through-disused-gas-pipeline-in-attempt-to-launch-surprise-attack-on-ukrainian-soldiers-13324938

    Que l’UE continue, comme vous le faites, à mentir ostensiblement par le biais de vos deux médias encore aux ordres, à nier les 2000 soldats morts par semaines sur ce front.
    Un désastre selon vous quand tous les médias, même BFM c’est dire, reconnaissent que c’est une victoire pour les Russes à Koursk. Et ce n’est pas un hasard si elle fut opérée au moment où se négociait le cessez-le-feu.
    Les charognards dont vous vous faite l’ardent défenseur n’auront pas eu gain de cause, cette guerre est terminée et on s’en félicite. Il y a autre une guerre qu’il reste à mener, elle est interne à l’Europe, elle sera silencieuse et sans mort. Les abus d’autoritarisme en dehors de tout cadre légitime et légal, les extorsions de fonds par conflit d’intérêt de cette haute fonctionnaire, élue par aucun peuple, mue cette institution que l’on ne voulait pas en en une véritable entreprise totalitaire.
    Dans le désastre économique qui nous attend dans les prochains mois nous avons toutefois cette bonne nouvelle : Fafounet ne sera jamais Rei di Tutti, son royaume s’est fissuré cette semaine par l’utilisation de l’art.122 et l’annulation des élections roumaines.

    C’est le début de la fin.

  34. Y’a pas que les carottes dans le Uk : Y’a aussi l’Ukr ! Gégé remet donc le couvert.
    La « brelle anonyme » sortira-t-elle de son silence ?
    JG de son amour des sciences molles ?
    Sommes-nous partis encore dans une course folle jusqu’à largement dépasser les 1000 commentaires ?
    Encore une Q qui ne saurait rester sans R.

  35. Jospip (sed non anonymus)

     » même les Einsteins en production ont besoin des analyses des socio-babiologues pour les aider à comprendre le sens de leur travail, le sens de leur fonction sociale, et même, parfois, le sens de leur vie. »
    J’aimerais connaître quelles analyses de sociologues sont connues pour avoir aidé les spécialistes des sciences exactes, voire les découvreurs comme Einstein, à comprendre « le sens de leur travail etc », et quels sont lesdits spécialistes qui en ont reconnu l’importance ? Sinon j’ai l’impression qu’on reste dans la pétition de principe (on pose une affirmation non démontrée).

    • Parfois, moins simple.
      Pour ce qui est de la sociologie, j’adhère, trop facile.

      Question : la philosophie est-elle une babiologie ?

      Si oui (et j’ai tendance à le penser), peut-on nier son incidence sur le travail des théoriciens de la physique ?

      Voir à ce sujet le remarquable entretien d’Étienne Klein avec Alain Aspect au sujet de la controverse entre Niels Bohr et Albert Einstein.
      https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-conversation-scientifique/vertiges-quantiques-7654418

      (Accessoirement, c’est aussi un exemple de ce que peut être un débat profond entre des êtres possédant un minimum de rigueur intellectuelle et morale alors qu’il s’opposent sur un sujet fondamental. D’aucun(e)s ici /…/)

  36. « Cette guerre est terminée. »

    Leitmotiv des collabos depuis février 2022.

    L’Amérikkke trumpienne sontinue de trahir, la Russie continue de tuer, détruire et mentir, mais l’Europe n’a pas du tout l’air de croire que cette guerre est terminée.

    https://suspilne.media/970399-posli-evrosouzu-shvalili-prodovzenna-individualnih-sankcij-proti-rf-se-na-piv-roku/?utm_source=copylink&utm_medium=ps

    • « l’Europe n’a pas du tout l’air de croire que cette guerre est terminée. »

      Non pas l’Europe mais celle qui à la tête de l’UE. Il y a l’UE et il y a l’Europe.
      La dernière décision qu’elle s’est autorisée de prendre en dégainant cet art.122 aggravant la dettes des Européens de 850 milliards, sans considérer préalablement un accord collégial donné par les états membres ne restera pas sans réponse.
      On en vous rappellera pas que la probité de la tête pensante dirigeant l’institution se doit d’être moralement irréprochable ; on ne vous rappellera pas qu’elle fait l’objet de plusieurs assignations que le parquet européens, qui ne représente aucun état que lui-même, un juge et parti sorti des méandres de la constitution européenne, avait soigneusement fait échouer pourrait à présent se voir destituer de ses prérogatives au regard des décisions iniques qu’il a rendus et devant le tollé qu’entraîne l’utilisation de cet art. 122. En d’autre terme : Ou c’est cette tête pensante qui tombe ou c’est l’UE… Et l’UE sans cette tête pensante n’est plus l’UE pour notre plus grand plaisir.

      • C’est si beau de rêver.

      • Pastichons Molière et Le Misanthrope :
        Josip Gavrilovic :
        « Vous voulez un grand mal à la Von der Leyen »
        Flo/Gerard:
        « Oui, j’ai conçu pour elle une effroyable haine. »

        Flo/Gerard semble voir l’affaire russo-ukrainienne uniquement à travers le prisme de sa détestation d’Ursula.
        Je ne vois que deux hypothèses sérieuses :
        – soit Ursula et Flo/Gerard se sont connues toutes petites et un jour Ursula a piqué à Flo/Gerard son choco BN et son Yop de 4 heures,
        – soit il y a entre elles un contentieux non réglé d’ordre sentimental.

  37. Marrant, j’ai posé la question à Grok, l’IA (mon cul) de Musk.
    Ce boulet cherche en bourrin, sans utiliser l’algo proposé ci-dessus ! C’est très coûteux pour un grand nombre.

    Sub DecompositionPythagoricienne()
    Dim nombre As Long
    Dim i As Long, j As Long
    Dim trouve As Boolean

    ‘ Récupérer le nombre entré dans la cellule A1
    If Not IsNumeric(Range(« A1 »).Value) Then
    MsgBox « Veuillez entrer un nombre valide en A1 »
    Exit Sub
    End If

    nombre = Range(« A1 »).Value

    ‘ Vérifier si le nombre est positif
    If nombre <= 0 Then
    MsgBox "Veuillez entrer un nombre positif"
    Exit Sub
    End If

    ' Vérifier si c'est un nombre de la forme 4n + 1
    If (nombre Mod 4) 1 Then
    MsgBox « Ce nombre n’est pas un premier pythagoricien (doit être de la forme 4n + 1) »
    Exit Sub
    End If

    ‘ Vérifier si c’est un nombre premier
    If Not EstPremier(nombre) Then
    MsgBox « Ce nombre n’est pas premier »
    Exit Sub
    End If

    ‘ Recherche de la décomposition en somme de deux carrés
    trouve = False
    i = Int(Sqr(nombre)) ‘ On commence par la racine carrée

    Do While i >= 0 And Not trouve
    j = Int(Sqr(nombre – i * i))
    If (i * i + j * j) = nombre Then
    trouve = True
    Else
    i = i – 1
    End If
    Loop

    ‘ Affichage du résultat
    If trouve Then
    Range(« B1″).Value = nombre &  » =  » & i & « ² +  » & j & « ² »
    Range(« C1 »).Value = i
    Range(« D1″).Value = j
    MsgBox nombre &  » =  » & i & « ² +  » & j & « ² »
    Else
    MsgBox « Erreur dans la décomposition »
    End If
    End Sub

    ‘ Fonction pour vérifier si un nombre est premier
    Function EstPremier(n As Long) As Boolean
    Dim i As Long

    If n <= 1 Then
    EstPremier = False
    Exit Function
    End If

    If n = 2 Then
    EstPremier = True
    Exit Function
    End If

    If n Mod 2 = 0 Then
    EstPremier = False
    Exit Function
    End If

    For i = 3 To Int(Sqr(n)) Step 2
    If n Mod i = 0 Then
    EstPremier = False
    Exit Function
    End If
    Next i

    EstPremier = True
    End Function

    • ChatGPT fait mieux :

      Sub DecompositionPythagoricienne()
      Dim nombre As Long
      Dim i As Long, j As Long
      Dim trouve As Boolean

      ‘ Récupérer le nombre entré dans la cellule A1
      If Not IsNumeric(Range(« A1 »).Value) Then
      MsgBox « Veuillez entrer un nombre valide en A1 »
      Exit Sub
      End If

      nombre = Range(« A1 »).Value

      ‘ Vérifier si le nombre est positif
      If nombre <= 0 Then
      MsgBox "Veuillez entrer un nombre positif"
      Exit Sub
      End If

      ' Vérifier si c'est un nombre de la forme 4n + 1
      If (nombre Mod 4) 1 Then
      MsgBox « Ce nombre n’est pas un premier pythagoricien (doit être de la forme 4n + 1) »
      Exit Sub
      End If

      ‘ Vérifier si c’est un nombre premier
      If Not EstPremier(nombre) Then
      MsgBox « Ce nombre n’est pas premier »
      Exit Sub
      End If

      ‘ Recherche de la décomposition en somme de deux carrés
      trouve = False
      i = Int(Sqr(nombre)) ‘ On commence par la racine carrée

      Do While i >= 0 And Not trouve
      j = Int(Sqr(nombre – i * i))
      If (i * i + j * j) = nombre Then
      trouve = True
      Else
      i = i – 1
      End If
      Loop

      ‘ Affichage du résultat
      If trouve Then
      Range(« B1″).Value = nombre &  » =  » & i & « ² +  » & j & « ² »
      Range(« C1 »).Value = i
      Range(« D1″).Value = j
      MsgBox nombre &  » =  » & i & « ² +  » & j & « ² »
      Else
      MsgBox « Erreur dans la décomposition »
      End If
      End Sub

      ‘ Fonction pour vérifier si un nombre est premier
      Function EstPremier(n As Long) As Boolean
      Dim i As Long

      If n <= 1 Then
      EstPremier = False
      Exit Function
      End If

      If n = 2 Then
      EstPremier = True
      Exit Function
      End If

      If n Mod 2 = 0 Then
      EstPremier = False
      Exit Function
      End If

      For i = 3 To Int(Sqr(n)) Step 2
      If n Mod i = 0 Then
      EstPremier = False
      Exit Function
      End If
      Next i

      EstPremier = True
      End Function

    • Ceci dit les deux utilisent une routine particulièrement inefficace pour déterminer si le nombre est premier.

      • Si on exige une routine optimisée, ils proposent tous deux ce qui suit.
        Déjà moins stupide, mais très loin d’être le meilleur.

        Function EstPremierOpt(n As Long) As Boolean
        Dim i As Long
        Dim limite As Long

        ‘ Cas particuliers
        If n <= 1 Then
        EstPremierOpt = False
        Exit Function
        End If

        If n 3 est de la forme 6k ± 1
        i = 5
        Do While i <= limite
        If n Mod i = 0 Then
        EstPremierOpt = False
        Exit Function
        End If
        If n Mod (i + 2) = 0 Then
        EstPremierOpt = False
        Exit Function
        End If
        i = i + 6
        Loop

        EstPremierOpt = True
        End Function

    • Toujours prêt à rendre service :

      5 = 2² + 1²
      13 = 3² + 2²
      17 = 4² + 1²
      29 = 5² + 2²
      37 = 6² + 1²
      41 = 5² + 4²
      53 = 7² + 2²
      61 = 6² + 5²
      73 = 8² + 3²
      89 = 8² + 5²
      97 = 9² + 4²
      101 = 10² + 1²
      109 = 10² + 3²
      113 = 8² + 7²
      137 = 11² + 4²
      149 = 10² + 7²
      157 = 11² + 6²
      173 = 13² + 2²
      181 = 10² + 9²
      193 = 12² + 7²
      197 = 14² + 1²
      229 = 15² + 2²
      233 = 13² + 8²
      241 = 15² + 4²
      257 = 16² + 1²
      269 = 13² + 10²
      277 = 14² + 9²
      281 = 16² + 5²
      293 = 17² + 2²
      313 = 13² + 12²
      317 = 14² + 11²
      337 = 16² + 9²
      349 = 18² + 5²
      353 = 17² + 8²
      373 = 18² + 7²
      389 = 17² + 10²
      397 = 19² + 6²
      401 = 20² + 1²
      409 = 20² + 3²
      421 = 15² + 14²
      433 = 17² + 12²
      449 = 20² + 7²
      457 = 21² + 4²
      461 = 19² + 10²
      509 = 22² + 5²
      521 = 20² + 11²
      541 = 21² + 10²
      557 = 19² + 14²
      569 = 20² + 13²
      577 = 24² + 1²
      593 = 23² + 8²
      601 = 24² + 5²
      613 = 18² + 17²
      617 = 19² + 16²
      641 = 25² + 4²
      653 = 22² + 13²
      661 = 25² + 6²
      673 = 23² + 12²
      677 = 26² + 1²
      701 = 26² + 5²
      709 = 22² + 15²
      733 = 27² + 2²
      757 = 26² + 9²
      761 = 20² + 19²
      769 = 25² + 12²
      773 = 22² + 17²
      797 = 26² + 11²
      809 = 28² + 5²
      821 = 25² + 14²
      829 = 27² + 10²
      853 = 23² + 18²
      857 = 29² + 4²
      877 = 29² + 6²
      881 = 25² + 16²
      929 = 23² + 20²
      937 = 24² + 19²
      941 = 29² + 10²
      953 = 28² + 13²
      977 = 31² + 4²
      997 = 31² + 6²
      1009 = 28² + 15²
      1013 = 23² + 22²
      1021 = 30² + 11²
      1033 = 32² + 3²
      1049 = 32² + 5²
      1061 = 31² + 10²
      1069 = 30² + 13²
      1093 = 33² + 2²
      1097 = 29² + 16²
      1109 = 25² + 22²
      1117 = 26² + 21²
      1129 = 27² + 20²
      1153 = 33² + 8²
      1181 = 34² + 5²
      1193 = 32² + 13²
      1201 = 25² + 24²
      1213 = 27² + 22²
      1217 = 31² + 16²
      1229 = 35² + 2²
      1237 = 34² + 9²
      1249 = 32² + 15²
      1277 = 34² + 11²
      1289 = 35² + 8²
      1297 = 36² + 1²
      1301 = 26² + 25²
      1321 = 36² + 5²
      1361 = 31² + 20²
      1373 = 37² + 2²
      1381 = 34² + 15²
      1409 = 28² + 25²
      1429 = 30² + 23²
      1433 = 37² + 8²
      1453 = 38² + 3²
      1481 = 35² + 16²
      1489 = 33² + 20²
      1493 = 38² + 7²
      1549 = 35² + 18²
      1553 = 32² + 23²
      1597 = 34² + 21²
      1601 = 40² + 1²
      1609 = 40² + 3²
      1613 = 38² + 13²
      1621 = 39² + 10²
      1637 = 31² + 26²
      1657 = 36² + 19²
      1669 = 38² + 15²
      1693 = 37² + 18²
      1697 = 41² + 4²
      1709 = 35² + 22²
      1721 = 40² + 11²
      1733 = 38² + 17²
      1741 = 30² + 29²
      1753 = 32² + 27²
      1777 = 39² + 16²
      1789 = 42² + 5²
      1801 = 35² + 24²
      1861 = 31² + 30²
      1873 = 33² + 28²
      1877 = 41² + 14²
      1889 = 40² + 17²
      1901 = 35² + 26²
      1913 = 43² + 8²
      1933 = 42² + 13²
      1949 = 43² + 10²
      1973 = 38² + 23²
      1993 = 43² + 12²

    • Des fois chuis trop con.
      Pour un peu je me serais mis au travail pour l’écrire en Python …

      L’IA (mon cul) m’a fait gagner beaucoup de temps. Je file au sauna qui doit être à température optimal bine qu’il ne soit pas encore piloté par une IA.

      • Déso :
        « optimalE »
        et
        Oubli de « (mon cul) » dans la dernière invocation (et non évocation) de l’IA.

    • J’en apprends une belle :

      « Selon le théorème de Legendre-Gauss un entier peut être écrit comme la somme de trois carrés si et seulement s’il n’est pas de la forme 4^k(8m + 7). »

      Je tiens la démo à votre disposition. N’hésitez pas elle est étrangement à la portée de tous.

      • Si quelqu’un en a l’usage :
        (j’ai imposé une somme de nombres distincts et non nuls en excluant les permutations)

        29 = 4² + 3² + 2²
        41 = 6² + 2² + 1²
        53 = 6² + 4² + 1²
        59 = 7² + 3² + 1²
        61 = 6² + 4² + 3²
        83 = 7² + 5² + 3²
        89 = 8² + 4² + 3²
        101 = 9² + 4² + 2²
        107 = 9² + 5² + 1²
        109 = 8² + 6² + 3²
        113 = 10² + 3² + 2²
        131 = 11² + 3² + 1²
        137 = 10² + 6² + 1²
        139 = 9² + 7² + 3²
        149 = 12² + 2² + 1²
        157 = 12² + 3² + 2²
        173 = 12² + 5² + 2²
        179 = 13² + 3² + 1²
        181 = 12² + 6² + 1²
        197 = 12² + 7² + 2²
        211 = 11² + 9² + 3²
        227 = 13² + 7² + 3²
        229 = 12² + 9² + 2²
        233 = 14² + 6² + 1²
        241 = 14² + 6² + 3²
        251 = 15² + 5² + 1²
        257 = 14² + 6² + 5²
        269 = 16² + 3² + 2²
        277 = 15² + 6² + 4²
        281 = 16² + 4² + 3²
        283 = 15² + 7² + 3²
        293 = 16² + 6² + 1²
        307 = 15² + 9² + 1²
        313 = 14² + 9² + 6²
        317 = 16² + 6² + 5²
        331 = 15² + 9² + 5²
        337 = 18² + 3² + 2²
        347 = 17² + 7² + 3²
        349 = 18² + 4² + 3²
        353 = 18² + 5² + 2²
        373 = 16² + 9² + 6²
        379 = 17² + 9² + 3²
        389 = 18² + 8² + 1²
        397 = 18² + 8² + 3²
        401 = 19² + 6² + 2²
        409 = 18² + 9² + 2²
        419 = 19² + 7² + 3²
        421 = 18² + 9² + 4²
        433 = 18² + 10² + 3²
        443 = 19² + 9² + 1²
        449 = 18² + 11² + 2²
        461 = 21² + 4² + 2²
        467 = 21² + 5² + 1²
        491 = 21² + 7² + 1²
        499 = 21² + 7² + 3²
        509 = 22² + 4² + 3²
        521 = 22² + 6² + 1²
        523 = 21² + 9² + 1²
        541 = 21² + 8² + 6²
        547 = 21² + 9² + 5²
        557 = 22² + 8² + 3²
        563 = 23² + 5² + 3²
        569 = 23² + 6² + 2²
        571 = 21² + 11² + 3²
        577 = 21² + 10² + 6²
        587 = 23² + 7² + 3²
        593 = 24² + 4² + 1²
        601 = 24² + 4² + 3²
        613 = 24² + 6² + 1²
        617 = 24² + 5² + 4²
        619 = 23² + 9² + 3²
        641 = 24² + 8² + 1²
        643 = 21² + 11² + 9²
        653 = 22² + 12² + 5²
        659 = 25² + 5² + 3²
        661 = 24² + 9² + 2²
        673 = 24² + 9² + 4²
        677 = 25² + 6² + 4²
        683 = 25² + 7² + 3²
        691 = 21² + 15² + 5²
        701 = 26² + 4² + 3²
        709 = 23² + 12² + 6²
        733 = 24² + 11² + 6²
        739 = 27² + 3² + 1²
        757 = 24² + 10² + 9²
        761 = 26² + 9² + 2²
        769 = 27² + 6² + 2²
        773 = 26² + 9² + 4²
        787 = 27² + 7² + 3²
        797 = 28² + 3² + 2²
        809 = 28² + 4² + 3²
        811 = 27² + 9² + 1²
        821 = 28² + 6² + 1²
        827 = 25² + 11² + 9²
        829 = 28² + 6² + 3²
        853 = 24² + 14² + 9²
        857 = 28² + 8² + 3²
        859 = 27² + 11² + 3²
        877 = 27² + 12² + 2²
        881 = 29² + 6² + 2²
        907 = 27² + 13² + 3²
        929 = 30² + 5² + 2²
        937 = 30² + 6² + 1²
        941 = 30² + 5² + 4²
        947 = 29² + 9² + 5²
        953 = 30² + 7² + 2²
        971 = 31² + 3² + 1²
        977 = 29² + 10² + 6²
        997 = 30² + 9² + 4²

  38. Josip Gavrilovic 14 mars 2025 At 11h24
    Ah OK. Je comprends mieux.
    ——————————————————————————————————-
    Plus exactement:vous vous étiez fourvoyé et aviez commencé à battre la campagne.
    Lormier vous a ,charitablement, remis sur la bonne voie.

    Maintenant,vous commencez à comprendre.

    • « Plus exactement:vous vous étiez fourvoyé »

      Objection votre honneur : VOUS m’aviez induit en erreur en mutilant le pseudo cyrano58, l’amputant de sa partie numérique.
      Mais tout est bien qui finit bien.

      • Et voilà…toujours imputer l’erreur aux truies. Will you ever grow up ?

        Vous n’êtes pas très assidu:la blague de cyrano a fait du bruit ici,elle a même été saluée par le Maestro.

        Vous n’avez pas remarqué le « c » minuscule de « cyrano » ? Vous ne saviez pas qu’il n’ajoute plus systématiquement le numéro 58 ?

    • Fustigat ridendo mores?
      Un article du Larousse en ligne nous apprend:
      Fustigation
       » Action de fustiger quelqu’un. (Infligée dans toutes les armées de l’Antiquité pour les fautes graves, la fustigation fut supprimée en France en 1789 ; elle resta encore longtemps en vigueur en Grande-Bretagne.) »
      Évidemment selon les usages des dictionnaires, on ne saura pas, sauf à se reporter à fustiger, en quoi consiste la fustigation. Et Larousse se garde de parler de l’usage privé de la fustigation.
      Vers 1900, l’Angleterre ( terme alors employé de préférence par les Français) passait pour la terre classique du fouet et de la fessée dans l’usage erotique. Il n’est pas tellement étonnant que l’armée britannique ait conservé cet usage plus longtemps que les autres.

  39. @ECHO
    Dans la question que vous me posez, vous oubliez la clause restrictive ou définitoire que j’incluais dans ma « pétition de principe » : à savoir « quand un Ubu-Roi détient le pouvoir « . Cette clause a une importance certaine, je suppose que vous n’en disconviendrez pas : quand se trouve aux manettes un pouvoir quasi-dictatorial qui flirte avec l’absurdie, la fonction sociale du physicien pose encore plus de problèmes que dans une bonne vieille démocratie parlementaire un peu ronronnante
    Néanmoins votre question reste en l’état passionnante, et je vois que Zorglub s’est lui aussi emparé de la question.
    Je lui emboîte le pas lorsqu’il considère la philosophie comme une babiologie à part entière.
    Sur l’imbrication entre philosophie et sciences dures, sur la relation dialectique entre les deux, chacune nourrissant l’autre et vice-versa, on peut sans hésiter évoquer en préambule le bien-connu « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » de Rabelais. On enchaîne ensuite avec des Leibniz et des Newton, pas vraiment du menu fretin. Puis on continue avec Husserl, et plus près de nous B. Russell et Jean Cavaillès. Dira-t-on que ces grands esprits étaient des scientifiques-philosophes? Ou bien des philosophes-scientifiques? L’important est que chez eux les deux activités sont inséparables.

    – Pour l’interaction entre sociologie et sciences dures, une saine lecture :
    https://shs.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2009-2-page-351?lang=fr
    – Intéressez-vous également aux travaux de Bruno Latour
    Il me semble également que les travaux de Bourdieu ont eu un impact sur le monde des sciences dures, mais il faudrait que je retrouve les sources.

    J’ai le sentiment que le parcours de vie – admirable et tragique – de Jean Cavaillès est en grande partie déterminé par l’imbrication des sciences dures et de la philosophie.

    • Bruno Latour était une vieille pute relativiste (et pas au sens d’Einstein). A fuir.

      Vosu citez Cavaillès mais on peut aussi citer René Thom…

    • A l’époque où Bourdieu était appelé dieu tout court, De jeunes chercheurs comme Lévy-Leblond y allait de leur contribution. Voir, par ex « Idéologie de et dans la science » et «  »(Auto)critique de la science ». C’était l’époque où les labos étaient à gauche…

      • Dugong dit le plus grand mal de Bruno Latour, ce que je peux comprendre. Bourdieu lui non plus n’était pas tendre (euphémisme de l’année) avec Latour.
        Pour ma part je suis partisan de juger sur pièces, et de le lire.

  40. J’ai le sentiment que le parcours de vie – admirable et tragique – de Jean Cavaillès est en grande partie déterminé par l’imbrication des sciences dures et de la philosophie.

    Pas les sciences dures en général;les mathématiques seulement.

    S’il n’avait été fusillé par les Allemands la face de la philosophie française eût été changée complètement.

    (Quelques décennies après sa mort, Cartan-qui fut son camarade proche à l’Ecole Normale-
    lui rendit hommage dans une nécrologie; Cartan, mathématicine célèbre, avait une grande estime pour l’intellect de son ami Cavaillès.)

  41. Merci beaucoup Josip.
    Je vais faire mon miel de fe que vous conseillez – à mon rythme.
    A propos de J. Cavailles ( désolé pour l’accent grave) il est extrêmement intéressant de regarder le parcours des philosophes ( même si Cavailles est plus mathématicien que philosophe stricto sensu) durant la période troublée que vous citez.
    Combien ont résisté, combien ont été séduits par l’ordre nouveau ( ou l’ont vu comme réalisation de leurs espoirs ) et combien ont attendu que le destin décide, gardant leurs préférences ou leur absence de préférence pour leur for intérieur, surtout lorsqu’ils avaient un âge déjà propice à l’immobilisme
    Les noms d’Alain ou de Jacques Chevalier, dans des positionnements différents et pourtant opposés au choix de Cavailles, viennent à l’esprit.

    • Jankelevitch à propos de Merleau-Ponty:on est allé le voir pour essayer de l’enrôler dans la résistance: »non, tu comprends, je fais ma thèse… »

      Cela dit, je ne fais pas de l’héroïsme sur le dos des autres;personnellement, j’approuve entièrement le choix de ceux qui se sont réfugiés aux Etats Unis.

  42. Dugong 13 mars 2025 At 15h09
    Il n’est pas mauvais qu’à l’occasion, la meuf vienne se le chercher en se bougeant le popotin, son gasm.
    ——————————————————————————————————-

    On a bien tort de comparer la meuf passive à une étoile de mer:
    i) L’étoile de mer serait tout à fait capable de vous enserrer et serrer dans ses branches
    ii) L’étoile de mer se déplace;c’est une prédatrice qui bouffe des moules et pourrait vous enkhuler.

    https://www.youtube.com/watch?v=9rxf_2EgwfE

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