Herbert James Draper (1863-1920 — Ulysse et les Sirènes, c.1909)

Andersen l’avait emporté sur Homère, et quand j’ai lu l’Odyssée, un certain temps après La Petite sirène, j’ai eu beaucoup de mal à me représenter ces fatales séductrices comme les femmes-oiseaux de la tradition grecque. Je ne connaissais alors ni le tableau superbe de John William Waterhouse (1849-1917 — Ulysse et les Sirènes, 1891), ni le stamnos à figures rouges du British Museum.
J’avais des excuses. La tradition picturale, dans ses représentations de l’épopée odysséenne, n’a pas hésité à tirer la scène vers les mythologies d’Europe du Nord. Voir Herbert James Draper ci-dessus, ou Arnold Böcklin (1827-1901 — Les Sirènes, 1886). Je suis loin d’être le seul qui se soit allègrement représenté les sirènes selon le schéma d’Andersen. J’écoutais passionnément Brassens, quand j’étais gosse, et le poète sétois n’hésite pas, dans la « Supplique pour être enterré sur la plage de Sète ». J’avais 13 ans quand est sorti l’album, je grattais déjà de la guitare, et j’ai trouvé sans peine les accords qui me permettaient de m’accompagner en fredonnant :

« Et c’est là que jadis à quinze ans révolus
À l’âge où s’amuser tout seul ne suffit plus
Je connus la prime amourette
Auprès d’une sirène, une femme-poisson
Je reçus de l’amour, la première leçon
Avalais la première arête »

J’adorais cette métaphore filée, sirène / femme-poisson / arête. Et j’eus à cœur de devancer cette limite des « quinze ans révolus », et dès l’année suivante — but that’s another story

Je dois à Andersen un autre schéma libidinal, celui de la cruauté associée à l’amour. Il m’est arrivé plusieurs fois de renvoyer les élèves ou les étudiants au texte du conteur danois, afin de les déniaiser, eux qui ne connaissaient souvent de l’histoire que la déplorable version Walt Disney, sortie en 1989. Entre la bleuette produite par les studios d’animation et l’œuvre d’Andersen, il y a un gouffre (pour ceux qui n’ont pas eu à confronter des enfants à ce sous-produit de la niaiserie américaine, le résumé est là). La voix de l’héroïne y est confisquée par la méchante sorcière, qui la conserve dans une coquille de nautile, pendue à son cou. On se souvient que chez Andersen la sirène ne se change en jeune fille qu’au prix de souffrances inouïes :

« « Je sais ce que tu veux, s’écria [la sorcière] en apercevant la princesse ; tes désirs sont stupides ; néanmoins je m’y prêterai, car je sais qu’ils te porteront malheur. Tu veux te débarrasser de ta queue de poisson, et la remplacer par deux de ces pièces avec lesquelles marchent les hommes, afin que le prince s’amourache de toi, t’épouse et te donne une âme immortelle. »
À ces mots elle éclata d’un rire épouvantable, qui fit tomber à terre le crapaud et les serpents.
« Enfin tu as bien fait de venir ; demain, au lever du soleil, c’eût été trop tard, et il t’aurait fallu attendre encore une année. Je vais te préparer un élixir que tu emporteras à terre avant le point du jour. Assieds-toi sur la côte, et bois-le. Aussitôt ta queue se rétrécira et se partagera en ce que les hommes appellent deux belles jambes.
Mais je te préviens que cela te fera souffrir comme si l’on te coupait avec une épée tranchante. Tout le monde admirera ta beauté, tu conserveras ta marche légère et gracieuse, mais chacun de tes pas te causera autant de douleur que si tu marchais sur des pointes d’épingle, et fera couler ton sang. Si tu veux endurer toutes ces souffrances, je consens à t’aider.
— Je les supporterai ! dit la sirène d’une voix tremblante, en pensant au prince et à l’âme immortelle.
— Mais souviens-toi, continua la sorcière, qu’une fois changée en être humain, jamais tu ne pourras redevenir sirène ! Jamais tu ne reverras le château de ton père ; et si le prince, oubliant son père et sa mère, ne s’attache pas à toi de tout son cœur et de toute son âme, ou s’il ne veut pas faire bénir votre union par un prêtre, tu n’auras jamais une âme immortelle. Le jour où il épousera une autre femme, ton cœur se brisera, et tu ne seras plus qu’un peu d’écume sur la cime des vagues.
— J’y consens, dit la princesse, pâle comme la mort.
— En ce cas, poursuivit la sorcière, il faut aussi que tu me payes ; et je ne demande pas peu de chose. Ta voix est la plus belle parmi celles du fond de la mer, tu penses avec elle enchanter le prince, mais c’est précisément ta voix que j’exige en payement. Je veux ce que tu as de plus beau en échange de mon précieux élixir ; car, pour le rendre bien efficace, je dois y verser mon propre sang.
— Mais si tu prends ma voix, demanda la petite sirène, que me restera-t-il ?
— Ta charmante figure, répondit la sorcière, ta marche légère et gracieuse, et tes yeux expressifs : cela suffit pour entortiller le cœur d’un homme. Allons ! du courage ! Tire ta langue, que je la coupe, puis je te donnerai l’élixir.
— Soit ! » répondit la princesse, et la sorcière lui coupa la langue. La pauvre enfant resta muette. »

Effroi dans la salle de classe. C’est assez plaisant de voir s’effondrer en direct live les rêves édulcorés d’une quarantaine de crétins incultes. Mais nous sommes là pour ça, nous autres en/saignants, comme dit plus ou moins Ionesco dans La Leçon. On obtient le même effet en lisant à ces victimes de la niaiserie anglo-saxonne et du Bossu de Notre-Dame — Disney encore — la mort d’Esmeralda dans Notre-Dame de Paris.

Bien sûr, Andersen était plus porté sur les garçons que sur les jeunes filles. Bien sûr, dans la société luthérienne danoise, il était hors de question de l’avouer. Bien sûr, il se sentait beau cygne, mais tout le monde aurait vu en lui le vilain petit canard. Et cette créature muette, qui souffre à chaque pas, c’est lui.
Il est remarquable que la sirène homérique, qui est prédatrice, ait finalement fait place à une sirène masochiste. C’est cela, le bouleversement que le christianisme (Hans-Christian Andersen, hein…) a imposé au libre désir antique. Lire Le Sexe et l’effroi, l’essai fort stimulant de Pascal Quignard (1994) sur la castration générale que les religions du dieu unique ont infligée à l’Eros des Anciens. Ou Elisabeth Finch, de Julian Barnes : article à venir sur Causeur.

Je me trouvais fort laid, enfant, et Andersen, vilain petit canard, me parlait à l’oreille. Et comme Ulysse j’étais bien décidé à m’attacher au mât du navire pour résister à la tentation sirénienne. Cette bonne résolution, formulée à un moment où la nature n’avait pas encore parlé clairement, et si conforme à mon éducation catholique et aux cours de catéchisme, ne tint pas dix secondes quand, à 8 ans, je tombai raide amoureux de la monitrice de la colonie de vacances où je passais le mois de juillet. L’idée de Dieu, d’ailleurs, n’y résista pas non plus.

Mais par un cheminement obscur, je restai convaincu que l’amour ne pouvait exister qu’accompagnée de grandes souffrances — à infliger à l’autre. N’est pas Andersen qui veut.

Les touristes qui s’extasient à Copenhague devant la petite sirène de bronze posée sur son rocher dans une pose presque pudique devraient savoir que le sculpteur, Edvard Eriksen, utilisa comme modèle pour le visage la danseuse Ellen Price, qui avait joué La Petite sirène en cette même année 1909, et pour le corps, sa propre épouse, Eline, qui fut son modèle pour nombre de ses œuvres. Je n’insisterai pas sur l’indécence curieuse (et fréquente chez les artistes et tous les candaulistes) consistant à exhiber le corps de son épouse ou de sa maîtresse — le pompon étant décerné à Auguste Clésinger et à sa Femme piquée par un serpent, qui permit au tout-Paris d’admirer les formes suaves de sa maîtresse, Apollonie Sabatier. Il est vrai que la moitié masculine du tout-Paris, ou peu s’en faut, la connaissait déjà — voir la fameuse « Lettre à la Présidente » que lui écrivit Théophile Gautier, et qu’elle prenait plaisir à déclamer à ses invités :

« De Milan à Venise, je n’ai rien de priapique à dire, si ce n’est une atroce érection, causée par la masturbation d’une voiture mal suspendue, dont les coussins me branlaient l’entre-cuisses d’une façon dépravée ; figurez-vous un os à moelle, une corne de cerf, tout ce que vous pourrez imaginer de plus dur. On eût dit un vit antédiluvien, pétrifié dans une grotte de stalactites, un phallus de bronze, tombé des aines du dieu de Lampsaque, un Lingam indien, voulant faire la conjonction mystérieuse avec l’Ioni sacré, un symbole générateur, sorte de van symbolique des processions d’Éleusis, une colonne napoléonienne, dressée sur la place Vendôme de mon pubis, un pupitre pour lire l’Évangile d’amour, dans la messe de Vénus.
Oh ! qu’une main s’introduisant par l’interstice de ma culotte effondrée, et s’arrondissant autour de ce bâton de chair, comme un con idéal, m’eût été agréable, dans cette dure situation ! Comme une langue, m’argentant d’une salive luxurieuse ce filet de prépuce, qui est le clitoris de l’homme, m’eût fait lancer, au plafond de la voiture, un jet de purée spermatique ! Pourquoi un cul sphérique et blanc, entr’ouvrant ses cuisses rondes, élastiques et fraîches, n’a-t-il pas fait déboucher dans le centre des délices, dans le paradis vermeil, dans le casse-noisette d’amour, ce maître Jean Chouart, ce champignon de braguette, ce pilon du mortier de Cythère ? C’eût été un fier carillon de couilles, et un rude brimbalement de choses et d’autres. »

On mesure l’effet sur les invités ordinaires du salon de Madame Sabatier, Alexandre Dumas père, Ernest Feydeau, Flaubert, Musset — et j’en oublie, qui tous passèrent à un moment ou un autre dans « ce cul sphérique et blanc, ces cuisses rondes, élastiques et fraîches… »

Apollonie, qui tenait salon avec une grande intelligence, consentit même à coucher avec le pauvre Baudelaire — ils apparaissent tous deux dans la toile de Courbet, l’Atelier du peintre, Baudelaire lit le journal, en bas à droite, Mme Sabatier est devant lui, drapée dans un châle d’indienne. Le poète dédiait à sa muse poème sur poème — mais il resta coi et fort empêché, à l’instant fatal, devant cette créature statuesque qui ressemblait si fort à sa mère. Ce qui aurait fourni un supplément d’âme à certains noua l’aiguillette du poète — tant pis pour lui. Mais de cette concupiscence refoulée est sortie « Harmonie du soir » (et ce n’est pas rien), dont les vers sont peut-être susceptibles de doubles sens allusifs :

« Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige ! »

Cette idée de fleur vibrant sur sa tige ne vous ouvre-telle pas des abîmes interprétatifs ?

Jean-Paul Brighelli

466 commentaires

  1. Joyeux Noël à tous !

    J’appartiens à une culture où l’on se souhaite Joyeux Noël le 25 décembre — au moment où l’on ouvre les cadeaux.

    Et en cadeau, une nouvelle chronique !

  2. « Comme une langue, m’argentant d’une salive luxurieuse ce filet de prépuce, qui est le clitoris de l’homme… »

    i) Qu’appelle-t-il « filet de prépuce » ?
    ii) « le clitoris de l’homme… » Chez les androcentriques, la comparaison se fait en sens inverse. Gautier féministe ?

  3. Une sirène est une femme avec une queue: à l’heure de la fluidité du genre, c’est furieusement tendance!

  4. Ah la Supplique ! C’est bizarre, j’aurais toutes les raisons de détester Brassens, l’idole de beaucoup de cons… mais non. Il n’y a guère que Les Copains d’abord que je trouve franchement gnangnan ; le reste, quel bonheur !

  5. « Apollonie… consentit … à coucher avec le pauvre Baudelaire … Le poète…resta coi et fort empêché, à l’instant fatal, devant cette créature statuesque … »

    Du « fiasco » de la nuit d’août 1857 (probablement la dernière semaine) beaucoup de baudelairiens sont convaincus.

    Voici cependant un fragment qui subsiste de la lettre écrite à Baudelaire par Madame Sabatier peu après cette fameuse nuit:

    « Aujourd’hui, je suis plus calme. L’influence de notre soirée de jeudi se fait mieux sentir. Je peux te dire, sans que tu me taxes d’exagération, que je suis la plus heureuse des femmes, que jamais je n’ai mieux senti que je t’aime, que je ne t’ai jamais vu plus beau, plus adorable, mon divin ami, tout simplement. Tu peux faire la roue, si cela te flatte, mais ne va pas te regarder, car, quoi que tu fasses, tu n’arriveras jamais à te donner l’expression que je t’ai vue une seconde. Maintenant, quoi qu’il arrive, je te verrai toujours ainsi, c’est le Charles que j’aime ; tu pourras impunément serrer tes lèvres et rapprocher tes sourcils sans que j’en prenne souci, je fermerai les yeux et je verrai l’autre… »

    J’ai du mal à croire qu’une femme qui était disposée à faire l’amour mais n’a pas été pénétrée du tout puisse écrire une telle lettre.

  6. Il nous manquait le cadeau de Noël de Bd ; nous l’avons ; « bien joli » ;
    et beau morceau que la « lettre à la Présidente » de T. Gautier. Qu’ Apollonia ait inspiré « Harmonie du soir » à Baudelaire laisse songeur – seul poème marqué de 4 cœurs, sur mon vieux « Les fleurs du mal », reçu à 14 ans, en cadeau de Noël… (et encore moi, moi, moi).
    Onfray dans « Traité d’athéologie », parle de ce « dressage du corps » inhérent aux « monothéismes » ; cette « association systématique du corps à l’impureté » :« corps libidinal, corps de fluides et de liquides, corps sodomique »… ; « Les femmes sont trop : trop de désir, trop de plaisir, trop d’excès, trop de passions, trop de débordement, trop de sexe, trop de délire… »
    (Flo : « Art pompier » – Waterhouse et Alma-Tadema, entre autres, sont vraiment un pur délice.)

    • C’est terrible. En observant l’illustration d’ouverture, je vous pose la question, WTH : Comment Caravage aurait traité cet épisode de l’Odyssée. Souvenez-vous lorsque vous étiez encore enfant, comment vous vous étiez figuré Ulysse, les oreilles bouchées de cire. Est-ce que le bateau qu’avait dessiné votre imaginaire correspondait à cette chaloupe de 7 m de long où les compagnons ne semblent pas souffrir de l’effort que demandent les rames… ? Alors oui, c’est académique mais c’est aussi inerte que le suppose ce style. Ça ne vibre pas.

      • « A chaque âge son art, à chaque art sa liberté ».
        Aucune envie de discourir ; moi j’aime ; point.

        • Oui ne discourons point, allons à l’essentiel : Annie Ernaux est à la littérature ce que l’art pompier à la peinture.

        • Je me suis offert, il y a peu, l’oeuvre d’un maestro ayant passé l’arme à gauche, connu pour le traitement revisité du prisme nocturne, un grand bonhomme pas encore trop côté. Un caprice qui m’a coûté moins cher que ne le serait une toile de H. J. Draper.
          Quand je pose mes yeux sur les harmonies de cet artiste ingénieur que j’ai constamment à porter de regard dans mes moments de pose, je ne ressens aucun ennui, et je sais comme une certitude que jamais je ne m’en lasserai…

  7. Dugong 25 décembre 2022 At 9h39
    ON n’a pas gardé les durits ensemble !

    On fera des trucs tous les deux plus dégoutants encore. Si !

    Dugong 25 décembre 2022 At 9h39
    ON n’a pas gardé les durits ensemble !

  8. Mille mercis à Cyrano pour « Rencontre avec Juan Asensio, la littérature dans tous ses états ».
    Quelques courts aperçus :
    (1) Annie E. : « une espèce d’indigence verbale… récemment nobélisée pour des raisons qui sont strictement d’ordre sociétal » ;
    le « littéraire est une quête du langage »…
    « si je suis A. Ernaux, compte-rendu de cet entretien : ‘Ascensio est méchant. Il est venu. Il est parti’ ; Proust, Céline en auraient fait des tonnes »…

    Aucun critique littéraire ne peut encore dire « c’est de la merde » ! (Jean-Edern Hallier, tout comme…JP Coffe) ; (et il n’aime pas du tout A. Trapenard).

    « De nos jour il faut TE-MOI-GNER ! »
    cf : « l’universel reportage » et Karl Krauss (pour moi de l’inédit).

    (2) Littérature américaine : « démesure, souffle »…. – « pas de phénomène de consanguinité comme en France » (!).
    Traduction(s) : « que peut donner du Céline en traduction ? »
    « Il y a autant de traductions possibles de ‘La divine comédie’, que de sensibilités, d’une certaine manière, … et c’est la marque d’une grande oeuvre »…, comme Shakespeare, « torrent langagier ».
    2 romans français :
    Lloys Masson « Les tortues », Maurice Pons « Les saisons » (?)
    2 étrangers :
    Ernesto Sabato (trilogie) ; Roberto Bolano « 2666 » (?)…
    … « Et si on se faisait un petit peu d’Annie E. » ?

    • Je vous invite à consulter Stalker, le blog de Juan Asencio: des mois de lecture et des quantités de choses à apprendre.

  9. « La seule façon de s’en sortir, c’est de supprimer le bac »

    Souriez, Jean-Paul ! Votre examen à l’américaine ne devrait pas tarder à s’imposer. Il y a déjà les remises de prix de fin d’années d’étude dans le privé où les jeunes étudiants français sont habillés de toges et de coiffes amerloques, avec lancement de la coiffe, toussa. On voit déjà la main sur le coeur pour l’hymne national, à l’américaine…C’est ce que vous voulez, non ? C’est ce que vous voulez.
    Vous voulez une disparité entre les établissements à l’entrée en fac. Vous voulez que ce même certificat de fin d’étude n’ait pas la même valeur selon la zone géographique où il a été décerné. Vous souhaitez mettre en place la politique que le ministre de l’EN s’est appliquée à lui même en collant sa progéniture dans le privé.
    « Combien coûte un redoublant ? » vous questionnez-vous. Vous introduisez dans ce sanctuaire une notion économique qui n’a rien à y foutre (pas plus que dans le sanctuaire de la santé. On manage aujourd’hui un lit d’hosto comme on manage le coût d’un élève. Graveleux mais tellement new age californien) … Il y a un moyen très simple de rétablir un niveau de Terminal à 65% de réussite : On sélectionne l’entrée en seconde.

  10. Se tournage de talon après le « merci » sec et fermé façon ne-me-faites-pas-ièch est digne de l’Actor Studio. Impecc’.

    • Ultra millimétré, du grand art : En intro et en conclusion : il calle son projet américain. Avec entre les deux, le discours des vérités que personne ne conteste.

      FUCK OFF Jean-Paul !!!

      • Et bien, je trouve qu’il a raison de continuer avec son bâton de pèlerin, et de relier l’histoire de l’Enseignement à celle de « l’histoire » (l’évolution) du monde d’après guerre – et d’expliquer, encore et toujours, le fonctionnement du « mammouth »,
        deux choses qui restent loin d’être évidentes pour « bon nombre de gens » (encore une fois)…
        qui n’ont pas plus conscience de ce qui se passe à l’Ecole, qu’ils n’ont conscience (compris) ce qui s’est passé pendant deux ans, et ce qui risque de continuer…
        « Le facteur économique est déterminant en dernière instance » ; ben oui ; à supposer que vous n’avez jamais eu de problèmes au boulot… et que vous ne vous être jamais mise en situation très périlleuse…

        Et bien, oui, il est « sur scène », mais avouez qu’il en fait quand même nettement moins qu’ Arditi !

        Au fond, ne seriez-vous pas un brin jalouse de ne pas pouvoir, vous aussi, monter sur scène, et en faire autant, au lieu de vous contenter de Bd ?

        Et au fait, vous connaissez quoi, au monde de l’Ecole ? Je veux dire le connaissez-vous, ne serait-ce qu’un petit peu, de « l’intérieur » ?

  11. Viens de lire quelques commentaires sous l’article de JPB dans Causeur. Le nombre de vieux cons infoutus de déplorer la baisse du niveau sans faire trois fautes d’orthographe par message est assez savoureux.

  12. « Le poète…resta coi et fort empêché, à l’instant fatal, devant cette créature statuesque … »

    toujours l’instant fatal viendra pour nous distraire

    (R.Queneau)

  13. Il faudrait que le dénommé Brighelli Jean-Paul, grand défenseur des savoirs disciplinaires, avertît un certain Jean-Paul Brighelli des méfaits d’une des réformes Blanquer sur la place desdits savoirs disciplinaires au CAPES…

      • Ces pêcheurs ont ramené dans leur filet la « vierge de la mer » et leurs regards disent assez leurs intentions;quant à la vierge, elle est terrorisée… Oui,la légende dit qu’ils la baisent,mais à la fin,c’est elle qui gagne:ils meurent tous.
        (Le tableau s’inspire d’un poème tragique de Swinburne…mais je n’ai pas réussi à trouver le texte de la légende à laquelle le poète se réfère.)

  14. Sirènes:

    “…les Sirènes possèdent une arme plus terrible encore que leur chant, et c’est le silence. Il est peut-être concevable, quoique cela ne soit pas arrivé, que quelqu’un ait échappé à leur
    chant, mais sûrement pas à leur silence.”

    Le silence des Sirènes Franz Kafka

  15. « …le pompon étant décerné à Auguste Clésinger et à sa Femme piquée par un serpent, qui permit au tout-Paris d’admirer les formes suaves de sa maîtresse, Apollonie Sabatier. »

    Sommes-nous absolument sûrs que Clesinger ait couché avec Madame Sabatier ?

    En tout cas,c’est le riche Mosselman,amant officiel (et durable) d’Apollonie qui commanda l’oeuvre.

    (La tête n’est pas celle de Madame Sabatier.)

  16. « …désireux d’oublier le vocable arbitraire qui désigne les morts

    Le poète…resta coi et fort empêché, à l’instant fatal, devant cette créature statuesque … »

    « …tu veux revivre enfin la mémoire plénière qui t’éloigne des morts

    louable effort! juste tâche! conscience exemplaire dont sourient les morts car

    toujours l’instant fatal viendra pour nous distraire. »

    Queneau

  17. Les résultats des évaluations nationales et internationales montrent clairement que le niveau de nos élèves baisse. Le ministre Ndiaye l’a reconnu dans sa récente tribune.
    Les contempteurs du « pédagogisme » ont été prompts à y voir confortée la légitimité de leur combat. « Si le niveau baisse, c’est la faute à Meirieu, il faut d’urgence revenir à l’instructionnisme! »
    Le problème est que d’autres pays ont un enseignement fondé sur le « pédagogisme », et que ces pays obtiennent dans les évaluations des résultats largement meilleurs que la France. La corrélation pédagogisme/baisse du niveau ne va pas de soi, elle mérite d’être questionnée. Dans le cas de la France, la baisse du niveau est peut-être imputable à bien d’autres facteurs que les méfaits de Meirieu, et qui pèsent peut-être même d’un poids beaucoup plus lourd que les méfaits en question.
    Si l’on veut redresser la barre, peut-être faut-il éviter de concentrer le tir sur le malheureux Meirieu, et ouvrir grands les yeux sur les causes les plus profondes de l’écroulement de notre système éducatif.
    Va-t-on ici me traiter d’hérétique et me brûler en place publique?

    • Meirieu a fourni les arguments pédagogiques aux logiques libérales. Pour un soi-disant type de gauche, ce n’est pas malin.

    • Près d’un milliard d’euros aux cabinets conseils, des millions à l’Ukraine mais que voulez-vous un redoublant coûte douze mille euros…

      • Et puis les profs coûtent encore cher mais ayant déjà les salaires les plus bas de l’Europe, tapons dans les effectifs des élèves… à l’américaine !

      • Calculez ce que ça représente si l’on repassait à 65% de reçus au Bac — sur 670 000 candidats.
        Certificat de fin d’études, et laissons le Supérieur décider. Comme en prépas / BTS / IUT et autres.

        • Mais pourquoi vous acharnez-vous à maintenir ce chiffre de 670 000 candidats ?
          Pourquoi ne pas diviser ce chiffre par deux en réduisant, comme en 80, l’accès à la Seconde ?

          • Comme nos élites europhiles ont désindustrialisé la France et qu’il n’y a plus beaucoup d’emplois dans le secondaire, il faut envoyer tous les élèves se fracasser sur le mur des études supérieures, afin de gagner quelques années avant le chômage ou l’ubérisation.
            J’en reviens toujours à la même conclusion: 1793 vite!

          • Si, Cyrano, il y a du boulot. Il y a des secteurs pro en attente de développement, mille et un savoir-faire que ces salopards s’ingénient à foutre en l’aire, mille et une usines à relocaliser, une indépendance économique et énergétique à reconstruire. Ils assassinent délibérément notre tissu économique. Après avoir littéralement pourri la langue, le bac est le dernier bastion à flinguer et c’est un boulevard ultra libérale qui les attend avec une main d’oeuvre sans plus aucune valeur : Il y a ceux qui iront été en fac (25%) et le reste constitué de zombis…

          • Madame Flo, pour appliquer votre programme (auquel je souscris), il faut d’abord purger (au sens stalinien du terme) la France de ses pseudo-élites libérales, mondialistes, europhiles et adeptes du multiculturalisme.
            Donc, 1793 d’abord; reconstruction démocratique (au sens athénien du terme) ensuite.

        • J’aimerais que vos féaux (pas celles et ceux amourachés sans cerveau) me disent : « Flo, tais-toi ! Ferme ta bouche, non, Jean-Paul ne souffre pas de macronite aigüe ! ». Mais l n’y a PERSONNE ! Silence radio !!!

          Mais qu’est-ce qui vous prend ?

        • Cela coûterait certainement moins cher que de faire la guerre par procuration pour le compte de Wall Street.

          • Vous m’accusez d’être un suppôt du libéralisme alors que je suis l’un des derniers marxistes en exercice.

          • Vous m’en voyez la première surprise. Comment pouvez être complice de cette réforme ? VOUS ?!!!
            Vous savez que j’ai raison pour les 75% de zombis en devenir contre 35% de fils à papa dans les facs, le pire des systèmes aristocratique !

  18. Je termine. Depuis quatre ans, on vous sent en mission commandée.
    Toute, je dis bien toute la fonction publique est adossée au bac, ça n’est pas un simple accès à la fac, Jean-Paul-en-même-temps, nan, nan. La disparition de cet examen et c’est le pays entier qui s’écroule. Ça ne prend qu’une année pour réduire l’accès en Seconde et rétablir un système de notation acceptable. Plus de carabistouille !

      • Jean-Paul Brighelli 26 décembre 2022 At 14h49
        Parce que les parents ne le tolèreraient jamais.

        Ne vous inquiétez pas, ça fait parti de la réforme 1) que les parents ferment leur bouche sur le pourquoi du comment d’un cours, sur les les raisons d’une punition. 2) qu’il ne foutent plus les pieds dans un conseil de classe.
        Ou ils vont dans le privé, s’ils ne sont pas contents…

      • Depuis quand les parents font peur ?!
        Vous vous fichez de moi ? Vous êtes le premier à dire qu’ils n’ont pas idée de la pauvreté du bac actuel comparé au leur. Les parents ont largement approuvé la tentative réforme de l’apprentissage alpha-syllabique de G. de Robien. Non ce ne sont pas les parents qui freinent les réformes parce qu’on ne les a jamais consultés et ce ne sont pas non plus les succursales politiques déguisées en assoc’ parents d’élève qui se sont chargées de le faire. Ne soyez pas complice de cette mise à mort sociale que promet la disparition du bac.

  19. Jean-Paul Brighelli
    26 décembre 2022 At 12h50
    Meirieu a fourni les arguments pédagogiques aux logiques libérales. Pour un soi-disant type de gauche, ce n’est pas malin.

    Tout le discours brighellien sur l’éducation vise à mettre en évidence la nocivité du pédagogisme, mis au service de logiques libérales elles-mêmes encore plus nocives.
    Et ce Brighelli-là va tenir ce discours-là sur Cnews, propriété de Bolloré, la logique libérale en personne.
    A ce compte-là, on pourrait bientôt voir Brighelli chez Hanouna. C’est un peu comme si Henri Maler se faisait interviewer par Valeurs Actuelles…
    Le discours brighellien ne gagnerait-il pas en cohérence à s’exprimer plutôt sur France-Culture, Mediapart et dans l’Humanité ?

    • Une grande partie de la gauche et de l’extrême-gauche a oublié les valeurs républicaines (dont la laïcité) et s’est mise au service du libéralisme:
      -par le pédagogisme qui fabrique des cons sots mateurs (d’écrans) plutôt que des citoyens dotés d’esprit critique
      -par l’immigrationnisme qui fournit le moloch capitaliste en chair fraîche à ubériser et met en concurrence le prolétaire de souche avec le prolétaire immigré

    • Heureusement, Messeguiche, que JPB sait vous répondre avec un brin d’humour (ou d’ironie).
      Etes-vous à ce point « borné » (sans vouloir vous vexer, je m’en excuse d’avance) sur l’organisation du monde ?
      Vous croyez que la « logique libérale » n’a pas étendu ses tentacules (on revient à la pieuvre) sur à peu près tout, et partout – y compris Mediapart ! – hormis quelques libertés accordées hors mainstream.

      Rappelez-vous que vous avez dû imprimer un ausweis, le signer, tout cela pour aller promener, une heure, le moins loin possible, votre chien (si vous en avez un), et cela, à l’air libre (!).
      Il n’y a rien de pire que l’auto-censure ; elle est partout ; elle a même gagné un immense terrain, et pas seulement dans les media…

  20. Flo : Merci pour le « sans cerveau » ! – on ne sait toujours pas ce que vous faites dans la vie (à part faire pousser des salades – à prendre au 2d degré, oeuf corse) – : connaissez-vous « de l’intérieur » un brin du système éducatif ? (vous n’avez pas répondu à ma question d’hier soir).

    Mais vous débordez d’idées géniales pour tout changer – comme un exam pour rentrer en 2de ;
    Bravo, voilà qui changera(it) tout !

    Tout vient de beaucoup plus haut (et loin) ; il me semble que JPB l’a maintes fois clairement expliqué : seuls l’Omc et consoeurs décident du sort de l’Occident, dans absolument tous les domaines.
    Seuls les financiers y font la « Loi », y fixent les « règles » de « Droit ».
    Et ces règles sont peu ou prou les mêmes dans l’EN, que celles qui s’appliquent ailleurs, tous domaines confondus – que vous avez, par ailleurs, très bien analysées quant au covid ou la guerre Otan vs Russie.

    Gauche et Droite sont main dans la main, depuis des décennies, pour se faire – faire et surtout défaire !
    Un sosie de Touf’ n’y changerait rien.

    A ce propos, je vous conseille la lecture du récent numéro de la « revue » de FP : « la Gauche (im)morale – de Robespierre aux islamo-gauchistes » ;
    Ainsi peut-on y lire « comment la gauche a transformé l’EN en MacDo », « le PS et la fin de l’industrie en France », etc…

    A part ça, Vous pourriez confectionner vous-même « l’abat-jour » – j’ai fait ça pour m’amuser, un été d’antan – ça vous ferait une corde de plus à votre arc (!).

  21. « Mais vous débordez d’idées géniales pour tout changer – comme un exam pour rentrer en 2de ; »

    Où avez-vous lu que je proposais un examen pour la Seconde ? Dans les années 80 même un BEPC ne conditionnait pas l’entrée en Seconde, il se faisait sur l’avis collégial du conseil de classe. Sur l’effectif d’une classe de troisième 40% était dirigé sur le secteur pro (hors redoublant).

    • Meat – « on sélectionne » avez- vous dit.
      Rappel : Les « fils à papa » ne vont pas dans les facs.
      Ils ne sont pas idiots à ce point là.
      Sauf peut-être en fac de Droit, ou en médecine (!) ; le reste de ce que « proposent » (!) les facs, en matière « d’études », c’est du caca – d’oie, avec lequel ont sans-doute été fabriqués certains foies gras, puisque j’ai lu que quelques « marques » (!) ont été « rappelées », comme ils disent -.

      Je doute d’ailleurs que les « fils à papa » tolèrent cette bouffe, qui, à l’image de tout ce que le peuple ingurgite, sans broncher, n’est rien d’autre que de la daube empoisonnée (et comment !) ; Garbit et William-Saurin ferment presque leurs portes, ce qui n’est pas plus mal.

      Rien ne sera plus difficile et plus long qu’une « réindustrialisation », après plus de 40 ans d’acharnement à tout détruire (cf « le PS et la fin de l’industrie en France » – J. Sapir).
      D’ailleurs, pour le moment, ce qui reste d’entreprises est invité à s’installer… aux EU (cf. l’Allemagne !).

      J’en connais, deux, près de moi, qui sont sortis et de la rue d’Um et de Centrale ; devinez où ils bossent ; aux EU ; et ben oui, évidemment.

      Quant à leur gaz de « shit », n’exagérons rien : il manque çà l’Europe, des milliers de méthaniers et des dizaines de ports ad-hoc ; et ça aussi, ça ne se construit pas du jour au lendemain.

      • La France n’a pas besoin du gaz US car elle dispose des plus grandes réserves de gaz de schiste d’Europe occidentale: de quoi assurer notre indépendance énergétique pendant plus d’un siècle, de quoi exporter chez nos voisins (et suppléer au gaz russe), et de quoi créer des dizaines de milliers d’emplois. Mais Macron -le fondé de pouvoir de Mc Kinsey pour la province française de l’empire étasunien- ne lancera pas cette exploitation car ses patrons y sont opposés.

  22. Jean-Paul Brighelli 26 décembre 2022 At 14h49
    Vous m’accusez d’être un suppôt du libéralisme alors que je suis l’un des derniers marxistes en exercice.

    La fin de la classe moyenne. Ne subsistera que deux classes : les 35% aristos et les autres, voilà ce que signe la fin du bac ! Et vous le savez !!!
    Je vous jure qu’avec mes moyens de canards boîteux je ne laisserai pas faire, Brighelli !

    • Pour votre gouverne, votre système moïste de merde s’effondre : la population chinoise se mobilise, les autorités lâchent du leste. On n’en veut pas de votre système moïste !!!

      • Face aux confinements (c’est-à-dire à la privations des libertés de circulation et de réunion), les chinois se sont révoltés et le gouvernement a lâché du lest.
        Face à la même situation, les français qui ont veauté Macron se sont soumis et ont accepté le couvre-feu, comme durant le régime de Vichy, ainsi que les diktats enfermistes de l’ordre des médecins (fondé aussi par le régime de Vichy).
        Nous ne sommes plus un peuple révolutionnaire et nous avons renoncé à défendre nos valeurs et les Droits de l’Homme (comme la liberté menacée par le gouvernement, comme la laïcité menacée par l’extrême-droite musulmane, ou comme la sûreté menacée par les criminels et les magistrats militants du laxisme compassionnel). Par conséquent nous sommes sortis de l’Histoire, comme en témoigne notre statut militaire et diplomatique actuel de supplétif des Etats-Unis.

    • « La fin de la classe moyenne » est plus que actée ; elle est bel et bien installée ; et non pas « 35 % » « d’aristos » (!), mais plutôt dans les 10 à 15 % ; nous n’en sommes pas loin.
      Les facs, en l’état, ne valent rien, ou presque ; là aussi le système devrait être reconstruit, de fond en comble, en fonction de… VRAIS besoins.
      Et ce n’est pas demain la veille ; Bac ou pas, ne change(rait) pas grand chose à mon sens : avoir une VRAIE mention bien, par ex, pour aller perdre son temps en « socio » ou en « psycho »…

      • … Et d’ailleurs, comme le dit très justement JPB, à + de 95 %, le Bac a disparu « de fait » !
        Une fac, digne de ce nom, offrant des enseignements, des formations, de qualité, débouchant sur des métiers itou (et surtout « utiles »), exigerait, peut-être plutôt, une note d’excellence dans la matière choisie, ou visée.
        Id pour les lycées « professionnels », puis Cap, Bep… : le manque de personnes REELLEMENT QUALIFIEES se fera, se fait d’ailleurs déjà, lourdement ressentir.

      • Si, justement si des aristocrates ! qui se tiendront en place de génération en génération. Des salopards qui auront les codes scolaires et universitaires, des enfants d’agrégés qui eux-mêmes dispenseront le même passes droit par leur savoir. Des invertébrés immoraux sans une once du sacré dans les veines qui dans leur sophisme vous expliqueront qu’ils sont aristotéliciens. Des grosses merdes érudites se rêvant dans les oripeaux de l’élite.

  23. Une bande de perv’ narcissiques aux manettes mondiales qui ont tendance à penser qu’aimer c’est forcément faire souffrir.
    Il y est allé, à fait montre de docilité votre copain Jean-Michel chez les complotistes Bilderberg — complotistes puisqu’ils se refusent à nous dire ce qui peut s’échanger — et puis bim ! Plus rien, si une tarte à la crème de la part d’un enseignant durant sa campagne électorale échouée. Vous voyez, il n’y rien gagné.
    Les perv’ narcissiques ne gagnent JAMAIS.

  24. Flo 26 décembre 2022 At 15h24
    Jean-Paul Brighelli 26 décembre 2022 At 14h49
    Vous m’accusez d’être un suppôt du libéralisme alors que je suis l’un des derniers marxistes en exercice.

    Je vais faire mienne une réponse de mon père faite à un des deux frères Joxe, réponse qui lui a coûté cher mais qu’il n’a jamais regretté de lui avoir dit : Des marxistes comme vous j’en fais tous les matins aux chiottes.

    Bonne chance aux féaux qui auraient enfin ouvert les yeux, quant aux autres : il n’est jamais trop tard pour les ouvrir.

    • [Un des frérots a fait « effacer » ce qui pesait sur moi et d’autres ; ce qui ne m’a pas empêché de ne (surtout) pas voter « marxiste » (!) en 81.]

    • Je vais faire bref : si vous ne me donnez pas raison, vous travaillez pour le libéralisme, Macron et Meirieu. Vous voyez, c’est simple.
      Choisis ton camp, camarade ! Mais dis-toi qu’à l’arrivée, nous ne ferons pas de prisonniers.

    • Open AI, qui a mis au point ChatGPT (!) se propose, en effet, rien de moins que « transformer les domaines des soins de santé, du changement climatique et de l’éducation ».
      Ils sont encore, heureusement, très, très loin, d’arriver à leurs buts.
      Hallucinant que des humains ne trouvent rien de plus intelligent à faire… vendus comme ils le sont aux mêmes délires.
      Et sur TV Lib, pol. éco. d’aujourd’hui, il en est un qui n’hésite pas à démontrer que, Jancovici, lui aussi… :
      « J-M Jancovici : lobbyiste d’un réseau mondial ? »…

  25. Terrible épidémie de grippe en cette fin d’année, y compris chez les plus jeunes.
    Surtout, NE PAS établir de rapport entre le port obligatoire du masque pendant deux ans et l’affaiblissement des défenses immunitaires, notamment chez les jeunes scolarisés.
    Et pendant ce temps, les africains subsahariens rigolent de cette « maladie de blancs ».

  26. Grande émotion à entendre JPB évoquer (lors de sa conférence sur « Place d’armes ») les bastons homériques entre les jeunes des Tarterêts et ceux de Montconseil à Corbeil-Essonnes. C’était un peu comme « La guerre des boutons », mais en plus viril: souvent, cela finissait par un séjour aux urgences pour un peu de couture. Certains (qui avaient vu Rambo) tentaient de se recoudre eux-mêmes pour faire le bonhomme, ce qui différait le passage aux urgence avec, en bonus, une sale infection et une affreuse cicatrice. On disait aux parents (qui n’étaient pas dupes) qu’on s’était blessé au foot. Et, pour compléter le témoignage de JPB, j’ajoute que le cutter n’était pas le seul équipement guerrier: la batte de base-ball était assez répandue. Déjà, la sous-culture américaine irriguait l’imaginaire banlieusard…
    Membre de la bande de la « rue de la mort » aux Tarterêts (à dominante maghrébine à l’époque), je m’étais offert un remake shakespearo-banlieusard de « Roméo et Juliette » en sortant avec une fille de Montconseil (à dominante noire africaine à l’époque). Pour se voir, il fallait user de ruses dignes d’un agent triple durant le Guerre froide.
    Une fois passé de l’autre côté du bureau, j’ai eu une paix royale car les plus féroces lascars savaient que leurs aînés avaient été mes frères d’armes. A cette époque, on respectait encore les anciens combattants. Je pense que ce n’est plus le cas aujourd’hui. Tout fout l’camp, comme dirait Jeanne Bécu…

  27. cyrano58 25 décembre 2022 At 21h32
    https://youtu.be/3bCPbKf1xWA

    Une intervention-bilan de JPB…qui actionne (en vain) la sirène depuis 30 ans.

    Au premier rang,sur la droite (du point de vue de l’orateur) Dugong,très appliqué, prend consciencieusement des notes.

    • toi-même (suite)

      C’est plutôt un affidé de Lormier que ce dernier utilise pour étoffer ses articles dans Vaemag.

  28. « …je restai convaincu que l’amour ne pouvait exister qu’accompagnée de grandes souffrances — à infliger à l’autre. »

    Quand Althusser étrangla son épouse,certains intellectuels de ses amis décrivirent cet acte comme un « suicide altruiste ».

  29. L’une des manifestations les plus spectaculaires de la baisse de l’intelligence, c’est aussi la tendance systématique à ne pouvoir analyser un problème sans aller voir ce que fait le voisin. Minable logique de suivisme mais surtout escroquerie intellectuelle, les comparatistes se contentant de juxtaposer les situations en omettant bien souvent de constater des différences structurelles. Phénomène large, hein, puisqu’il va du boomer macroniste acclamant la retraite à 67 ans « comme nos voisins européens » mais oubliant de comparer le niveau des pensions… jusqu’à cette tourte de cyrano imputant la sous-mortalité covisdesque en Afrique à l’usage de la potion raoultienne plutôt qu’à la démographie (âge médian chez les bamboulas : 25 ans ; âge médian chez les morts de la crypto-grippe : 80 ans) — en passant, donc, par cette abrutie de Messeguiche, qui nous pond la Finlande et PISA… oubliant, d’une, la dynamique récente, de deux, la sursélectivité des systèmes scandinaves, de trois, la nullité absolue de ce genre d’enquêtes du point de vue de la méthode en général (v. Loys Bonod à chaque enquête) et de la philosophie qui les sous-tend (v. maths et ébénisterie – Dug’ : Guy Morel (encore) ?).

    • Comme si j’avais besoin d’une étude en double aveugle pour comprendre que « Emma Bovary mange-t-elle équilibré ? » est de la daube !

      • La prétention des items Pisa à coller au réel « interroge » :

        http://educmath.ens-lyon.fr/Educmath/ressources/etudes/repertoire-d-etudes/eval-math/evapm-pisa/com_pisa_ff_matheduc.pdf

        Voir, notamment, page 10 où il est question de menuiserie :

        « PISA, dans son souci de coller au réel, ne peut pas éviter d’utiliser abondamment le langage courant pour présenter ses questions. Dans certains cas, la compréhension de textes qui ne peuvent, en aucune façon, être qualifiés de textes mathématiques, devient la principale difficulté que les élèves ont à affronter. r. Bien sûr cela fait partie de l’activité mathématique normale, mais le vrai travail mathématique ne commence qu’une fois cette étape franchie. Ici, il n’est jamais sûr que l’habillage des questions où le type de langage utilisé ne soit pas ce qui empêche nombre d’élèves de résoudre
        des questions qui, sur le plan mathématique, peuvent apparaître comme tout à fait triviales. »

    • Pour info, il y a beaucoup d’immuno-déprimés en Afrique subsaharienne: par ex les personnes atteintes de drépanocytose (très sensibles aux infections), les porteurs du VIH ou du Bacille de Koch, sans oublier les victimes de malnutrition. Autant de personnes fragiles et de victimes potentielles pour le Covid, et peu importe leur âge. Seulement les africains ont un secret: ils se soignent. C’est un procédé révolutionnaire qui a fait ses preuves puisque le continent le plus pauvre est aussi celui qui compte le moins de victimes.
      Je pense que la France devrait demander l’aide humanitaire et médicale du Sénégal ou du Cameroun, des pays bien plus avancés que nous dans la lutte contre le Covid: les chiffres des morts en témoignent.

  30. La « réaction » provoquée par le nom de Bolloré sur l’esprit du gaucho de base est quand même à mourir de rire ! Remplacez ça par Drahi ou, mieux, Soros, et vous auriez tous les youpins de Conspiracy Watch pour vous expliquer, mal mais pour une fois à peu près à bon droit, que vous êtes dans un joli délire.

  31. Brighelli ! si j’étais vous, je m’inquiéterais quand même de voir ma thèse du grand complot contre l’éducation adoubée par un tocard comme cyrano ! Les zététiciens citant à tout-va le rasoir de Hanlon sont des blaireaux mais les BigPharmatistes ne le sont pas moins…

    Vous ne disiez pas cela à l’époque de la première Fabrique.

    • « elle mérite d’être questionnée »

      Rien que cette expression montre la stupidité des pédagogistes ! Peut-on parler plus mal ? Le dénominativisme est un furoncle de l’esprit. En bon français, on ne « questionne » pas plus qu’on ne « solutionne » : on interroge et on résout – quand bien même les concepteurs de PISA s’en branlent. Et, de grâce, on S’interroge, on n’interroge pas une question : vous vous attendez à ce qu’elle vous réponde ?

      • « le malheureux Meirieu »

        C’est qu’il est à plaindre ! Une carrière universitaire entière construite sur du vent… il faut au moins le panthéoniser.

      • Plus généralement, le verbe « questionner » fait partie du vocabulaire (exclusif ?) de « gauche ».

  32. Pour Charlie Pasqua : comparer = « Minable logique de suivisme mais surtout escroquerie intellectuelle, les comparatistes se contentant de juxtaposer les situations en omettant bien souvent de constater des différences structurelles. »

    Les Cassandre du déclinisme (y compris Brighelli) sont les premiers à mettre en avant le classement catastrophique de nos élèves dans les évaluations internationales, très loin de nos voisins : minable logique de suivisme mais surtout escroquerie intellectuelle, ces classements comparatifs se contentant de juxtaposer les situations en omettant bien souvent de constater des différences structurelles.
    Il faut donc n’accorder aucun crédit à ces évaluations. Brighelli est donc un escroc intellectuel omettant de constater les differences structurelles qui pourraient expliquer que d’autres pays réussissent mieux que nous. CQFD?
    Résumons : Charlie Pasqua a dit une très très grosse bêtise.
    PS: traiter ses contradicteurs d’abrutis, de tocards, de nullités et autres noms d’oiseaux, c’est déjà reconnaître les insuffisances et la défaite de sa propre « pensée ». Pensez-y, Charlie Pasqua.

    • Nuance: les Cassandre annoncent (par temps calme) une future catastrophe. Concernant l’effondrement scolaire, économique, sécuritaire, civique, anthropologique -bref l’effondrement civilisationnel- de la France, le déclin est déjà amorcé. Et Cassandre la République sera contrainte d’accorder au Miséricordieux ce qu’elle avait refusé à Apollon. C’est d’ailleurs déjà le cas.

    • J’adore…
      Constater que les petits Chinois se présentent aux Olympiades de maths à 12 ans, et y réussissent très bien, pendant que nos grands élèves de Terminale s’affalent, c’est de la mauvaise foi ? Voir que la génération du baby-boom savait lire et écrire à la fin du CP, et que nombre d’entrants en Sixième sont aujourd’hui illettrés, c’est mentir ? Allons donc ! Vous défendez qui, là ?

      • Je vois que vous n’avez pas saisi l’ironie de mon message. Vous n’étiez pas visé.
        C’est Charlie Pasqua qui l’était. Je compte sur votre patience pour expliquer à ce benêt qu’il y a quelque intérêt à établir des comparaisons, et que comparer n’est pas, comme il le prétend, une « escroquerie intellectuelle, les comparatistes se contentant de juxtaposer les situations en omettant bien souvent de constater des différences structurelles. »
        Bon courage !

    • Apprenez à lire ! La « minable logique de suivisme… », ce n’est pas comparer, c’est être intellectuellement incapable de régler un problème par lui-même, sans aller voir ce que font les uns et les autres au-delà de trois juxtapositions. S’il vous faut une étude PISA pour vous rendre compte qu’apprendre à lire sur des cartons à pizzas est de la daube…

      Alors, certes, un épistémologue pourrait rétorquer qu’au fond il en est toujours ainsi, que le soleil se lève par induction, bla-bla-bla, bla-bla-bla. Mais l’induction doit s’opérer sous un certain rapport de similitude entre les situations, qui n’est jamais présent avec PISA ou plus exactement avec le marigot journalistico-madamemichesque qui se fend de commentaires sur PISA : « on » compare les meilleurs élèves de Finlande et le tout-venant français, et « on » en déduit que la différence de niveau s’explique par l’absence de rouge sur le drapeau des scandinaves. Ça doit être ça, hein ? Après tout, ça ne fait que quinze ans que Loys Bonod l’explique… encore faut-il avoir appris à lire sans Domino’s !

      PISA, c’est très bien quand on sait s’en servir, quand on sait ce qu’il y a derrière, mais c’est une intarissable source à commentaires débiles pour les neuneus qui n’y ont jamais réfléchi – pardon, pour les apprenants qui ne l’ont jamais questionné.e. C’est à peu près intéressant pour les comparaisons – ressemblances et différences – au cours du temps pour un même pays, c’est très généralement stupide pour les comparaisons internationales. Si vous voulez scientifissiser votre propos en fondant les allégations de déclin, scientifissisez-le bien.

    • « traiter ses contradicteurs d’abrutis, de tocards, de nullités et autres noms d’oiseaux, c’est déjà reconnaître les insuffisances et la défaite de sa propre ’’pensée‘‘ »

      Eh oui ma grosse, c’est ce qu’on appelle le mème de la gaussienne !

  33. « (Si on pouvait euthanasier Flo… C’est de l’acharnement sadique à ce stade !) »

    Il est peut-être temps que le responsable de ce blog recrute un modérateur, pour bloquer des posts aussi ignominieux que celui-là, ci-dessus.
    Sur ce blog on peut donc révéler l’identité de quelqu’un sans son consentement , et souhaiter la mort de quelqu’un sans que personne ne réagisse ?…

    • Disons que ce sont des hyperboles. Regrettables, mais je ne vais pas m’occuper de la gestion de la rhétorique.
      Quant à révéler l’identité… À qui faites-vous allusion ? Qui s’est plaint ?
      Enfin, un commentaire écrit il y a trois jours a déjà disparu de la mémoire du blog — sauf paranoïa aiguë. Moi-même je n’ai pas mémorisé tout ce qui s’écrit ici — il m’arrive même de survoler les commentaires d’un œil distrait.

  34. Si l’on pouvait un peu moins questionner-les-représentations et un peu plus la méthode et la philosophie qui sous-tend PISA…

  35. Allez scoop : PISA nous expliquera à la prochaine livraison que la baisse du niveau de la France est due à CNews et donc à Bolloré !

  36. Charlie Pasqua s’adressant à moi :
    « Eh oui ma grosse »

    Si vous connaissiez mes mensurations, vous remueriez tout Paris pour avoir le plaisir de me rencontrer.
    N’essayez même pas : je ne fréquente pas les petites bites.

  37. La multifactorialité, c’est une merveille quand ça dédouane « ce pauvre Meirieu », c’est un scandale quand ça pourrait ne pas le soutenir…

    • Plan à trois? Mais non. Un bi-plan (un plan à deux, par définition, avec un partenaire masculin ou féminin, peu importe) est largement suffisant pour décoller vers le septième ciel.
      Mais je pressens que le partenaire ne devra surtout pas être Charlie Pasqua : un bon vieux vibromasseur aura beaucoup plus de talent et de conversation que ce benêt mal équipé dans l’entrejambe et doté d’un humour de représentant de commerce (ceci expliquant cela). Le maladroit serait capable de confondre au moment critique la vaseline avec le tube de gomina qui lui sert d’échantillon dans ses démarchages à domicile.

  38. Voeux personnels

    En 2023, continue bravement ton blog, JP. Ecris ! Bien sûr, si j’étais méchant jusque dans l’outrance(tu me connais, ça ne me ressemble pas), je devrais dire que prétendre écrire quand on n’en a pas le talent est presque aussi ridicule que de biaiser pour fabriquer des bébés.
    Mais c’est le chemin qui compte, JP, pas le résultat. Ce sera toujours le fruit d’une interaction à géométrie variable entre ce que tu sais et ce que tes lecteurs croient découvrir à chacun de tes billets.
    Un des aspects les plus intéressants de ton blog – en dehors de tes chroniques et de tes conseils obsessionnels sur les meilleures biaiseuses dans la Littérature ou la Peinture(mais dans le fond, ami JP, toutes les convictions ne sont-elles pas obsessionnelles pour ceux qui sont sujets de leurs passions ?) est la richesse caractérielle des familiers qui commentent.
    La virtualité permet d’extraire le pire des individus. On y voit toute la moisissure idéologique de gens un peu instruits qui peuvent enfin s’exprimer librement. Il y aurait le dixième de ce qui est dit ici, proféré face à face dans une supérette, les boites de conserves périmées voleraient bas. J’avoue que même moi, je dévore à belles dents(… il nous faut apprendre à manger de tout, les temps sont durs …) les posts de Floraline, car je l’aime toujours, cette garce!
    Mais les trolls de ton blog, JP, c’est sa respiration. C’est un peu comme ces sortes d’oiseaux miteux dont j’ai oublié le nom, qui se promènent sur le museau des crocos… Ils doivent leur faire les ratiches… Ils sont pas rendus ! Notre devoir est de les aider à retrouver le bon chemin. Ce sera difficile tant une mauvaise habitude nous attache à l’arbre du péché.
    Evidemment, si nous échouons –dans le cadre du budget réduit c’est possible– ils auront droit au napalm…ou au doigt là(Cameroun)(*) où ça fait mal(cf Pedro à qui tu l’as mis bien profond, ce qui n’a pas été pour lui déplaire, pour pouvoir enfin te débarrasser de ce loquedu)(**)
    Bon, faut que j’y aille, quel dommage! J’avais une belle driouterie à jeter aux chiens. L’an prochain peut-être…
    Bonne année.

    (*)copyright Dudu
    (**)Quand je pense qu’il y a des bolos ici qui sont derrière lui(euh…à ses côtés)pour le faire revenir. Au feu les non-conformes, vive la normalité!

    • C’est dommage, ça partait splendidement et ça se finit en eau de boudin : « Quand je pense qu’il y a des bolos ici qui sont derrière lui pour le faire revenir ». Pauvre type ! tu n’as pas le quart de la moitié du talent de Driout.

      Crève, couille molle qui s’est dégonflée au défi que je lui ai lancé ! P’tite bite !

      • Une virtualité qui t’arrange bien, trou de balle ! Je te pète les ratiches dès que tu ramèneras ta gueule faisandée en face de moi. Ou je te mettrai la misère à qui baise le plus loin – grand seigneur, je te laisse le choix des armes (numéros (option tout petite bite), pipes dans les toilettes, classiques ou même les cinq bases si tu veux). Mais t’es un dégonflé, gros laideron !

    • Eco fut les derniers des vrais aristotéliciens, un géant équipé d’une colonne vertébrale en tungstène pour de cent mille mètres carré de voilure d’érudition. Trop intelligent pour verser dans la vulgarité de la politique, pas assez con, pas assez faible pour se faire manipuler. Un vrai bonhomme.
      Je sais également, j’en suis convaincue, qu’il serait entièrement d’accord avec moi.

    • (Boîtes de conserve esquivées, le tenant à distance respective de dix mètres qui franchie le condamnait à un kick dans les glaoui (un seul mais bien placé) qu’il ne verrait pas venir, me donnant ainsi la marge de temps pour me délester de quelques cacahuètes sur sa figure crispée de douleur avant de partir en courant)

    • On savait que la dissidence était infiltrée. Et l’autre que tu découvres en grouillot de Klauss le maoiste… Doit-on être vraiment surpris quand tu t’interroges également sur les affinités fraternelles qu’il nourrit avec le seul boomer toufréquiste du blog.

      Les deux, là, vous vous êtes crus malins, plus malins que tous le monde ?
      Tu peux dire à ton chef Klauss que ce n’est pas gagné, mais pas du tout.

  39. C’est par leur mélodie que les sirènes attirent les marins;voilà pourquoi jamais elles ne décalent leurs sons.

  40. Pour ceux qui croient encore au Bac…

    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/les-eleves-doivent-avoir-le-bac-coute-que-coute-pourquoi-les-francais-ne-croient-plus-en-l-ecole-20221227

    «Les élèves doivent avoir le bac coûte que coûte» : pourquoi les Français ne croient plus en l’école
    Par Eugénie Boilait

    «Un Français sur deux ne fait pas confiance à l’institution scolaire, bien que les trois quarts d’entre eux fassent confiance aux professeurs». C’est le constat négatif dressé par Pap Ndiaye dans une tribune publiée dans Le Monde , jeudi 22 décembre. Les mots du ministre de l’Éducation nationale s’appuient sur un sondage réalisé pour le Sénat par l’institut CSA selon lequel professeurs comme parents d’élèves pensent effectivement que l’école fonctionne mal. Cette méfiance concerne 53% des Français, et grimpe à 76% chez les enseignants. Les raisons sont multiples.

    «À l’heure où pourtant le système scolaire conduit 80% des élèves au bac, les Français doutent encore massivement de notre école», a déclaré le ministre de l’Éducation nationale. Pour beaucoup de professeurs, toutefois, le pourcentage d’élèves que l’on amène jusqu’à l’examen et le taux de réussite qui en découle importe peu. Ils déplorent en revanche la perte de valeur du diplôme.

    «Le bac est un mensonge»
    «Les élèves doivent traverser la scolarité coûte que coûte, parfois sans travail ni mérite, et ça n’a pas de sens», estime Béatrice, professeure de français à Bordeaux. «On surnote les élèves, surtout au bac, où l’on exige trop peu, s’insurge-t-elle. C’est pour ça que les gens se méfient. Durant le Covid, on frôlait le ridicule. C’est l’administration qui imposait les notes, elles n’avaient aucune espèce de valeur !».

    L’académicien Jean-Marie Rouart est offensif : «Aujourd’hui, le bac est un mensonge». «Les gens qui ont été formés avec le certificat d’études (le certificat d’études primaires, supprimé en 1989, était un diplôme nécessaire pour entrer au collège, NLDR) connaissaient beaucoup mieux la langue française et la culture générale que ceux qui ont le bac aujourd’hui», affirme-t-il. Pour lui, l’institution scolaire et l’ensemble des pouvoirs publics participent à ce qu’il qualifie d’«imposture» : «On fait croire à tous les élèves qu’ils sont aptes à faire des études supérieures».

    Le sondage du CSA tend à confirmer cette critique : 40% des Français seulement considèrent que l’école prépare bien les élèves aux études supérieures. Stéphanie, mère d’un étudiant en première année de biologie qui présente de grandes difficultés en fait l’amer constat. «Il avait plus de 14 de moyenne en terminale et il a obtenu mention bien au baccalauréat, explique-t-elle. Aujourd’hui, je ne sais même pas s’il va avoir son année, et pourtant il travaille». Elle aurait souhaité davantage d’exigences, dès le collège, pour que son fils se confronte à la difficulté. Et de conclure : «Résultat, il va redoubler son année, j’espère qu’il ne va pas déprimer».

    Une école défaillante sur les fondamentaux
    Toujours selon le sondage, seuls 44% des Français estiment que l’école permet l’acquisition des savoirs fondamentaux (lire, écrire, compter, respecter autrui). Et les chiffres confirment cette inquiétude. D’après l’étude TIMSS de 2019, les élèves français en CM1 affichent les pires résultats de l’Union européenne en mathématiques (485 pour la France, la moyenne internationale étant à 527). La situation est encore plus critique au collège : le niveau des élèves de quatrième en maths en 2019 est le même que celui des élèves de cinquième en 1995. Les petits Français ont perdu un an. De l’autre côté, le nombre moyen d’erreurs sur une même dictée en CM2 a presque doublé en 34 ans, selon une enquête du ministère de l’Éducation nationale.

    «Les professeurs ont ma confiance, je sais qu’ils font de leur mieux, mais je trouve que l’Éducation nationale part à vau-l’eau car elle ne donne pas les moyens nécessaires pour offrir une éducation de qualité», tranche Isore, mère de deux enfants. Pour elle, l’Éducation nationale consacre trop d’heures à des matières qui ne permettent pas l’acquisition des «bases» : «Et cela ne va pas en s’améliorant».

    L’enseignement du français et des mathématiques a effectivement été progressivement réduit depuis des années au profit d’une diversification des matières : arts plastiques, musique, technologie. «À chaque fois qu’on a ajouté des enseignements, à tort ou à raison, on a diminué le nombre d’heures d’orthographe ou de calcul mental», explique Béatrice. À cette diminution d’horaires s’ajoutent des facteurs conjoncturels. «Entre les absences, les formations des professeurs, les interventions (prévention ou autres), les cours de civisme… Les élèves n’apprennent plus à faire de multiplication», grogne Isore.

    En outre, le remplacement des professeurs absents semble faire défaut. Seuls 19% des Français et 12% des enseignants considèrent qu’il est efficace. «Ma fille a manqué quatre semaines de classe l’année dernière, s’agaçait déjà une habitante de Villejuif, Amandine, dans nos pages en septembre dernier. Sur toute la ville, ce sont 1300 jours d’absence, rien que pour le primaire, qui n’ont pas été remplacés». Dans le même temps, certains titulaires remplaçants n’ont toujours pas été affectés à Noël. «J’attends toujours une affectation malgré mes relances au rectorat», souffle Paul, certifié d’histoire dans l’académie de Tours.

    «L’école ne doit pas être idéologique»
    Au-delà des problèmes structurels, c’est aussi une certaine vision de l’éducation promue par le ministère qui est mise en cause par les Français. Cette inquiétude, difficilement mesurable, tire sa source dans la nature même de l’enseignement. «Un petit Français a “juste” besoin de savoir lire, écrire, compter et de connaissances sur la société, et on ne lui donne pas ces outils. À la place, on lui assène des informations moins utiles», affirme Isore, en faisant référence à des interventions qui font parler d’elles depuis plusieurs années, comme sur le genre par exemple.

    «Au lieu de construire, l’école fragilise parfois», renchérit-elle. Et la nomination de Pap Ndiaye en mai dernier n’a fait qu’aggraver les inquiétudes de certains, du fait de son profil idéologique et politique. Les plus sceptiques craignent que le nouveau ministre, qui ne remporte pas non plus l’adhésion de la profession, n’améliore pas la situation : «L’idéologie et la politique n’ont pas leur place à l’école». «Ainsi, s’il y a un manque de confiance, c’est surtout envers ceux d’en haut», explique Julien, jeune parent.

    La crise de l’autorité à l’école est également un sujet d’inquiétude. 66% de la population française pense que les violences sont en augmentation au sein des établissements scolaires, et près d’un tiers des enseignants a déjà été victime d’insultes, de menaces ou de comportements violents (entre septembre et décembre 2021). Pour parents d’élèves et professeurs, l’école semble désarmée face aux incidents qui empêchent le bon déroulement des heures de cours. Cette crise n’est pas homogène sur le territoire : 63% des enseignants en REP+ (réseau d’éducation prioritaire) ont déjà constaté des incidents violents entre élèves et personnels de l’Éducation nationale, contre 44% en moyenne.

    Les inégalités au cœur du malaise français
    Ainsi, en dépit de la volonté politique, les dysfonctionnements et violences varient considérablement en fonction des villes, des secteurs et parfois même des quartiers, selon plusieurs études. Et seuls 31% des Français pensent que l’école résorbe les inégalités.

    Le fonctionnement général de l’institution est attaqué pour cela. «On envoie les jeunes au casse-pipe», estime Marc, jeune professeur qui a finalement préféré l’enseignement privé. «L’Éducation nationale n’assure pas un enseignement de qualité en envoyant de très jeunes professeurs dans des collèges et lycées de zones prioritaires, en banlieue». Pour lui, le calcul est simple : les jeunes professeurs ne parviennent pas à gérer leurs classes et, par conséquent, le niveau des établissements difficiles continue de s’effondrer. Dans cette perspective, les Français sont majoritairement favorables à d’importantes réformes : 75% du grand public considère qu’il serait efficace d’interdire l’affectation d’un enseignant débutant dans «une zone difficile».

    Pour les parents, les solutions sont alors diverses. Le choix de l’établissement se fait en fonction de sa réputation. «Mon collège de secteur était réputé pour être compliqué, explique Caroline, mère d’un petit garçon à Montpellier. J’avais peur qu’il échoue dans ces circonstances, j’ai donc décidé de le mettre dans le privé : ils sont plus sévères là-bas. Moins dépassés, surtout». D’autres déménagent pour dépendre d’un meilleur établissement de secteur.

    Aujourd’hui, sur plus de 12 millions d’élèves, près de 17% sont scolarisés dans l’enseignement privé sous contrat. Ce dernier offre une certaine marge de liberté aux établissements : recrutement des professeurs, règlement plus strict… Deviendrait-il une solution ? «L’enseignement public aurait intérêt à s’inspirer du privé», affirmait Jean-Paul Brighelli dans nos pages, en octobre dernier. Pap Ndiaye lui-même a scolarisé ses enfants à l’école Alsacienne… un établissement privé du 6e arrondissement de Paris.

    • « Un Français sur deux ne fait pas confiance à l’institution scolaire »: le pap fait partie de ceux-là, effectivement, puisqu’il a scolarisé sa progéniture à l’école Alsacienne. Par conséquent, il n’est pas audible ni crédible. Qu’il retourne à ses réunions en non-mixité raciale!

    • La campagne médiatique est organisée sur tous les fronts. Vous nous en direz tant…

      Quand bien même vous réussiriez à détruire cet examen qui ne vaut plus tripette en l’état actuel. NOUS, vos ennemis, nous rétablirons : et le niveau scolaire et la disparité sociale qu’offrait le bac comme seul référent dans l’échelon professionnel. Faudra-t-il attendre cent ans. On appliquera les mêmes méthodes que votre chef Klauss qui est celle de la patience ou alors il faut nous tuer. Et si toutefois, la victoire arrivait plus rapidement, préparez-vous. Oui, vous ! à finir vos jours en faisant la manche… Condamnation bien plus kiffante que la balle dans la nuque destinée aux traîtres et payée par la famille et pour respecter la façon de faire de ceux qui vous inspirent tant.

      • Il fut aussi un temps où le Brevet fut un « référent dans l’échelon professionnel », un 1er sésame ;
        le Bac n’est plus un sésame… pas plus d’ailleurs que le Bac + 4 ou 5.
        L’urgence est en effet non seulement de « rétablir le niveau », tous échelons confondus,
        mais encore !
        proposer des filières… dignes de ce nom, et non pas des voies de garage (!) qui ne peuvent que mener à l’aide sociale.

        • Mais c’est ce qu’il veulent !!!
          Une masse informe en lieu et place du tissu socio-professionnel riche en courants et contre-pouvoir flinguée dans l’illusion d’être disparate par le courant woke !

          • Ben, faire venir des Américains et Canadiens pour « réparer » les centrales…
            D’ailleurs, pour qu’Edf, et d’autres, « montent » leur centres de formations, c’est bien qu’à l’Ecole, y aurait comme un défaut…

    • Hein, Brighelli… Brighelli qui manifestait sa déception à l’annonce de milliers de morts au Bengladesh du fait d’inondations, exprimant son désarrois par  » Il n’y en a pas assez ! ».
      Saloperie d’aveu qui le met une fois de plus en accord avec Klauss.

      (Vous savez que je me retiens d’une force inouïe pour ne pas sombrer dans le chapelet de noms d’oiseaux de compèt’)

    • Parfait. On sait au moins à quel camp vous appartenez selon que vous soyez pour ou contre la suppression du bac…

      • Le Bac n’existe plus, « dans les faits » (comme l’a dit la « merde érudite », et plutôt que d’essayer, à toute force de le rétablir,
        ne vaudrait-il pas mieux (re) construire (de A à Z ?) une Ecole, avec des filières post-lycées,
        techniques et professionnelles
        tout comme littéraires et scientifiques,
        dignes de ce nom,
        enrichissantes, utiles.

          • Pourquoi alors vous « acharner » sur le Bac ?! Sa disparition (programmée) confirme l’échec de tout un système… La reconstruction du dit système ne passera pas forcément par un Bac « sanction » ; il sera trouvé, on l’espère, d’autres solutions.

          • Le bac est une épreuve, les épreuves forment les jeunes esprits à la discipline et à l’effort. Le contrôle continu comme il est suggéré ouvre la porte à toutes les iniquités et les magouilles.
            Ça a très bien fonctionné pendant plus d’un siècle, c’est bien ce qui les emmerde.

          • Vous êtes complètement à côté de la réalité. Aucun effort pour le Bac. C’est acquis d’avance.
            Le contrôle continu (en fait, le livret scolaire) est en place depuis des années pour les prépas, et c’est encore ce qui marche le mieux dans le système scolaire.

  41. Cité par Brighelli :
    « D’après l’étude TIMSS de 2019, les élèves français en CM1 affichent les pires résultats de l’Union européenne en mathématiques (485 pour la France, la moyenne internationale étant à 527). »

    Charlie Pasqua vous a déjà repondu par anticipation :
     » Minable logique de suivisme mais surtout escroquerie intellectuelle, les comparatistes se contentant de juxtaposer les situations en omettant bien souvent de constater des différences structurelles. »
    Puisqu’il vous le dit ! Et nous persisterions tous dans l’erreur s’il n’était pas là: les évaluations, PISA, TIMSS, tout ça, c’est de l’escroquerie intellectuelle! Merci Charlie Pasqua !

    • Si c’est vraiment ce que vous avez compris, vous m’ôtez mes derniers scrupules à vous apprendre votre sottise : la « minable logique de suivisme », c’est dire qu’il faut supprimer le rouge du drapeau sous prétexte qu’il n’y en a pas dans le drapeau de la Finlande, devant nous à PISA. La multifactorialité, ce n’est pas que quand ça vous arrange. Le problème n’est pas tant PISA que les abrutis de votre espèce qui commentent les enquêtes sans trop savoir ce qu’elles évaluent ni comment elles sont faites. Vous avez lu Loys Bonod ?

    • Mais si vous voulez me faire dire que Brighelli n’est pas très malin quand il cite PISA pour un classement international… je le fais quand vous voulez ! Il utilise un indicateur qui a été conçu précisément pour faire appliquer les politiques qu’il dénonce.

      • OK. Mais si je dois expliquer en quoi PISA est déficient, on n’en finit pas. En public, je prends les critères du public.

        • Je me doute. Mais ça reste, me semble-t-il, un jeu dangereux : si vous allez sur le plateau de C à vous en citant PISA pour la baisse du niveau, on va immanquablement vous le citer pour la hausse des inégalités. Et faire comprendre que tout ce qu’on a fait au nom de la lutte contre les inégalités n’a fait que les renforcer… c’est assez sportif ! M’enfin, c’est vous le polémiste de talent, vous connaissez votre métier. 😉

          • Le problème, c’est qu’ils ne m’invitent plus, à C’est à vous. Depuis longtemps. C’est sidérant de constater combien les fossés médiatiques se sont creusés en 15 ans. Le début de la guerre civile est là.

    • 1) Si vous avez besoin d’une enquête pour vous rendre compte de la baisse du niveau des élèves français dans le temps, c’est que vous êtes conne.

      2) Si vous avez besoin d’une enquête pour le prouver… prenez-en de meilleures que PISA ! Vous gagnerez en crédibilité scientifique. Et il y en a quelques-unes.

      3) Si vous vous intéressez, dans une logique politique, à la baisse du niveau des élèves français par rapport à « nos voisins de Singapour »… c’est que vous êtes dans une minable logique de suivisme, incontestablement. Votre cerveau est-il si atrophié pour ne pouvoir penser à la France dans sa dynamique propre ? Vous manquez à ce point d’imagination et d’intelligence pour avoir besoin de PISA pour juger « Emma Bovary mange-t-elle équilibré » ? Un peu d’audace, que diable !

  42. « Différences structurelles » (suite) –

    Toufisme, maoïsme & co (!…) (cf Flo), que des billevesées.
    La (une des) réalité est la suivante : « la clé de la prospérité dans l’avenir est l’attractivité » (…) « un territoire où les entreprises peuvent prospérer parce que
    le niveau d’éducation,
    l’environnement légal et fiscal et la qualité du dialogue social permettent l’efficacité » (…)
    « Il s’agit de reconnaître que nous faisons fausse route depuis cinquante ans avec l’idée d’un Etat-providence qui affirme protéger alors qu’il désindustrialise ».
    (lefigaro, 22/12/22)

    • Foutaises! L’Etat-Providence issu du CNR a réindustrialisé la France. Ce sont les directives européennes et notre inféodation au Reich économique allemand qui ont détruit notre industrie.

      • L’idée m’a semblé pourtant assez juste – même si je suis évidemment d’accord avec « l’inféodation » à l’UE, autrement dit au « Reich », et aux… EU (cf Alstom, dernier en date – rappel : plan Marshall, rachat de Bull par GE, rachat Alcatel, échecs du « Rafale » et du « Naval group », etc, etc…).
        Je manque (totalement) de connaissances en ce qui concerne le tissu industriel dans d’autres pays communautaires.
        N’empêche que cette « désindustrialisation » de la France semble si profonde qu’une remise en marche de la machine (des machines, et de parlons pas des hommes !) suppose de tels remaniements, de tels bouleversements, qu’on a de la peine à l’imaginer, du moins à relativement court terme.

  43. Manque de formations et de compétences (!) –

    « la France, qui se trouve confrontée à une grave pénurie de main-d’œuvre dans les métiers industriels, a dû se tourner vers l’Amérique en… 2023.
    Sur les 600 ouvriers spécialisés mobilisés en 2022, une centaine de soudeurs/tuyauteurs qualifiés, américains et canadiens, ont participé aux opérations de maintenance… »

    « On manque de bras parce que l’on n’a pas assez d’équipes formées. Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux-trois ans pour le former. »

    « La filière nucléaire estime à 1 000 professionnels à former chaque année d’ici 2030.
    EDF envisage par ailleurs la création d’une filière de soudeurs en interne ».
    … et tente de s’organiser. En partenariat avec Orano, CMN et Naval Group, elle a lancé Hefais, un centre de formation en soudage spécialisé dans le domaine du nucléaire. »

    « La ‘crise’ aura eu le mérite de dévoiler au grand jour
    la crise de la main-d’œuvre stratégique
    corrélée avec la prise de décisions politiques… »

    https://frontpopulaire.fr/economie/contents/derriere-la-crise-du-nucleaire-se-cache-celle-du-manque-de-soudeurs_tco_18272493

    • C’est incompréhensible qu’on manque de soudeurs avec tous les ingénieurs sous OQTF qui sont présents sur le territoire français!
      C’est vrai qu’ils sont davantage qualifiés pour dessouder que pour souder…

  44.  » …ce filet de prépuce, qui est le clitoris de l’homme… »

    Jean-Paul Brighelli 25 décembre 2022 At 11h48
    1.[filet de prépuce=] Le frein.

    Donc :frein de l’homme ,analogue du clitoris féminin.

    (Bien sûr,ce que Gautier appelle clitoris, c’est la partie visible du clitoris).

    Du point de vue thomo-morphogénétique, cette analogie est-elle recevable ?

  45. Du point de vue thomo-morphogénétique, cette analogie est-elle recevable ?

    Si l’analogue de (la partie visible) du clitoris est le frein, de quoi le frein du clitoris est-il l’analogue ?

  46.  » La femme, armée d’un clitoris qui faisait relever sa robe, comme un bout d’épée, ou une pine en érection, avait un organe trombonnant, un contralto poilu, genre Crapobiska, dans le goût d’Ernesta, et le mari, une voix flutée, genre Abeilard, après l’opération… »

    Gautier Lettre à la présidente

    On voit que les analogies gautiériennes varient.

  47. WTH 28 décembre 2022 At 16h01
    L’idée m’a semblé pourtant assez juste …

    WTH 28 décembre 2022 At 16h03
    (m’a sembléE !)

    Mais non;votre premier jet était correct.

    • (merdrealors ! c’est aussi « ça » le vieillissement… – heureusement que ma grand-mère n’est plus de ce monde : « les fleurs QUE j’ai cueilliEs », entendu moult fois.)

      • Rien de tragique, le vieillissement n’est pas en cause;plutôt un manque de confiance en vous,qui vous pousse (parfois) à douter de vos rédactions spontanées.

        Vous avez gagné l’estime du Maestro;cela devrait vous rassurer.

  48. Jean-Paul Brighelli 27 décembre 2022 At 16h46
    J’adore…
    Constater que les petits Chinois se présentent aux Olympiades de maths à 12 ans, et y réussissent très bien, pendant que nos grands élèves de Terminale s’affalent, c’est de la mauvaise foi ?

    « nos grands élèves de Terminale s’affalent »

    Pas tous !

  49. « Et j’eus à cœur de devancer cette limite des « quinze ans révolus », et dès l’année suivante — but that’s another story… »

    Il est ici question du traumatisme irréparable que fut le viol subi à l’âge de 14 ans;le Maestro ne cesse de récrire (enjoliver) son auto-biographie pour tenter de rendre supportable l’insupportable.

    Nous en sommes tous là, n’est-ce pas ?

  50. « The Odyssey is a strange, adventurous tale of a grown man trying to get home after fighting in a war.
    He’s on that long journey home, and it’s filled with traps and pitfalls.

    You too have had drugs dropped into your wine. You too have shared a bed with the wrong woman. …

    You too have been spellbound by magical voices, sweet voices with strange melodies.  »

    Bob Dylan conférence Nobel

    • Arrêtez de déconner ! Ulysse était un grand Irlandadais qui cherchait à rentrer chez lui après des nuits de beuverie (et il en faut des paddys pour qu’un irlandais roule sous la table) et de débauche en gueulant à tue-tête « It’s a long way to Tipperary »

      Il se souvient être entré à donf dans un maul de buveurs (mais sur le côté). Après c’est le trou noir.

      • Du point de vue thomo-morphogénétique, cette analogie est-elle recevable ?

        Si l’analogue de (la partie visible) du clitoris est le frein, de quoi le frein du clitoris est-il l’analogue ?

        • Si on veut chercher un analogue anatomique masculin du clitoris, ce serait le gland, pas le frein.

          A noter que si le gland et le clitoris comptent chacun le même nombre de terminaisons nerveuses, chez la femme, la zone est beaucoup plus dense et donc beaucoup plus érogène.

          Tirésias avait raison.

          • « ce serait le gland »

            C’est ce qui est généralement admis (mais pas nécessairement exact du point de vue de la morphogenèse thomiste).

            NB Je me demande aussi s’il ne serait pas plus intéressant de rechercher une homologie plutôt qu’une analogie.

    • Le commentaire de JPB était relatif à un article concernant le bac.
      Le bac et les Olympiades internationales de mathématiques n’ont strictement aucun rapport.
      S’agissant du bac, j’ai personnellement publiquement dénoncé ( entre autres)les trucages des barèmes des épreuves il y presque quarante ans. C’est effectivement un « gros mensonge » depuis bientôt une quarantaine d’années.

  51. cyrano58 28 décembre 2022 At 15h22
    Foutaises! L’Etat-Providence issu du CNR a réindustrialisé la France.

    Rien n’est simple;le Figaro tend à avoir une pensée simpliste.

    Qu’est-ce qui a fait passer la Russie du quasi-Moyen Age au statut de grande puissance industrielle, sinon le communisme ?

    A tout le moins,le communisme n’a pas empêché l’industrialisation.

    • Le plan quinquennal stalinien était impératif et reposait en grande partie sur le travail forcé des zeks (cf le Belomorkanal, 1/4 millions de morts selon Soljenitsyne qui exagère probablement), tandis que la planification française (à son apogée sous la direction du grand économiste Jacques Rueff) était incitative et ce fut une réussite. Bref, aucun français n’a été déporté pour accomplir les objectifs du plan!
      C’est au cours du 6ème plan -initié par de Gaulle mais mis en oeuvre par Pompidou- que fut lancé notre programme de production d’électricité nucléaire, saboté depuis par les gougnafiers Hollande et Macron en échange de quelques voix des intégristes écolos qui souhaitent le retour au paléolithique.
      Je crois que dans une optique de reprise en main souverainiste de la politique économique de la nation, il faudrait revenir au plan incitatif. Pour cela, Frexit indispensable!

      • « quelques voix des intégristes écolos qui souhaitent le retour au paléolithique »

        Pas mieux.

      • Planification(s) :
        Dans plusieurs entretiens sur FP, juillet 2022, J. Sapir « retrace le grands modèles internationaux de planification, leurs nécessités et leurs bilans, avant de s’attarder sur le cas français (FP, juillet 2022).
        « retour au paléolithique » :
        Pas pour JM Jancovici. Revenir à une consommation raisonnée, ou raisonnable, oui, évidemment.
        Mais entre « sobriété et rationnement », son propos n’est pas toujours clair… Il oublie peut-être que nombre de pays en sont réduits à une « sobriété » qui tient du « rationnement »…
        https://www.youtube.com/watch?v=Pm98Xi8PN7M

        • Rappelons (à la suite de ce qu’a dit plus haut Cyrano), qu’il est utile – pour ceux que ça peut intéresser- de lire « L’ami américain – Washington contre de Gaulle », d’Eric Branca, tout comme « Le piège américain » de Frédéric Pierucci » (affaire Alstom/Ge).
          Pour la petite histoire, Pierucci, un cadre (très) sup d’Alstom, dans ses remerciements, n’oublie pas ses « compagnons d’infortune, qui par leur soutien, leur générosité, leur profondes qualités humaines, m’ont permis de passer ces 25 mois de détention dans les meilleures conditions possibles : Niko, Greg, Jimmie, Herbbie, Renato, Sanchez, Andrej, Vladimir, Sasha, Sam, Tim , Kay… et beaucoup d’autres ; je ne les oublierai jamais ».
          C’est assez rare pour être signalé.

  52. Comme Laurent Lafforgue et abcmaths,je pense que l’école publique est foutue.

    Une transmission est-elle encore possible ?

    Oui,à toute petite échelle et d’une façon clandestine;dans Fahrenheit 451,certains continuent à lire-en se cachant soigneusement.

    Des parents instruits s’organisent,de petites structures se constituent (écoles hors-contrat);comment se financent-elles ?
    Je ne sais pas.
    On enseignera en cachette.

    Les jeunes parents,s’ils sont bien renseignés,savent que confier des enfants aux instituteurs ignares de l’école publique (ou privée sous contrat),c’est les condamner.

  53. « Je crois que dans une optique de reprise en main souverainiste de la politique économique de la nation, il faudrait revenir au plan incitatif. »

    Le « retour » de la planification, c’est une arlésienne depuis au moins Sarkozy… Lire François Blanc.

  54. « Ce sont les directives européennes et notre inféodation au Reich économique allemand qui ont détruit notre industrie. »

    Car, comme chacun sait, la France ne s’est pas desindustrialisée avant 1992… La mondialisation est un épiphénomène ! Vite une étude de juxtaposition pour nous le montrer !

    • Vous vous prenez pour un Sapir (de Noël) ?

      Quant aux « manoeuvres américaines d’affaiblissement de l’Eco française », elle remonte à loin : « manoeuvres historiques structurantes » (plan Marshall), « manoeuvres juridiques » (législation financière US, embargos unilatéraux), et les qques ex que j’ai donnés plus haut… sans compter l’espionnage (pas spécifiquement US bien sûr) et… le dit « soft power », à commencer par l’accord Blum-Bymes, jusqu’aux… « young leaders », etc.
      « A la niche le caniche » !

      • Je ne prétends à rien, je suis – comme dit l’Espagnol !

        Je crois plutôt que votre historique conforte mon propos, non ? WTH, vous valez quand même beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux que Flo !

  55. « Tout croyant à une quelconque superstition souffre d’arthrose du cerveau: la preuve en est une totale absence de souplesse intellectuelle. »

    De la part du dernier croyant au grand druide en chef ! Le méta est une escroquerie, en voici la plus belle illustration.

  56. Les comparatistes veulent copier l’Allemagne pour l’âge légal de départ à la retraite, jamais pour le niveau des pensions. Ils veulent copier la Finlande pour la grande garderie meirieusienne, jamais pour la sélectivité des élèves qu’on y opère. Ils veulent copier le Danemark pour le niveau des prestations sociales, jamais pour sa politique d’immigration. Un hasard sans doute !

    • Un tel comparatisme – et l’adjectif se justifie, bien sûr que la comparaison est un art noble utile à l’esprit, mais à l’esprit bien fait – est toujours au service de ceux qui ont lancé les comparaisons, à savoir les libéraux ! Ça se pignole sur sa gauchitude en se pinçant le nez à l’évocation du nom CNews mais ça reprend les éléments de langage et de pensée de la droite la plus libérale… Dieu ne cesse de se bidonner.

  57. « Un tel comparatisme – et l’adjectif se justifie… »

    Je ne pourrai jamais faire confiance à quelqu’un qui pense que comparatisme est un adjectif.
    Charlie Pasqua me fait penser à des tas de mecs que j’ai connus, qui se la jouent intello en pensant compenser par leur pseudo intellect leurs insuffisances au niveau de la braguette.
    Rien à attendre de ces oiseaux-là.

      • Allez, je suis charitable, je vous mets sur la voie.

        À votre avis, dans « un tel comparatisme », qu’est-ce qui peut être adjectif si ce n’est pas « comparatisme » ? Indice : « un » est ici un article !

        Et le contexte peut vous aider, aussi, des fois qu’il ait un rapport le sens et la grammaire. Charlie Pasqua ne rejette pas « le comparatisme », il rejette « un tel comparatisme », le comparatisme… messeguichien – c’est-à-dire non pas le comparatisme en général mais le comparatisme… qualifié par un certain… adjectif !

        • Et je vous défends, bien entendu, de dire que vous jouiez l’ironie ! Vous avez trop montré d’exemples de votre stupidité pour qu’on puisse croire que vous jouiez faussement à la stupide.

  58. Avant que le bon et pauvre Meirieu ne fît* ses basses œuvres, on ne déconsidérait pas le latin. Et les latinistes, en troisième, connaissaient la nature de « talis », l’adjectif qui a donné le français « tel »… Que Messeguiche soit jeune, n’ait pas obtenu son brevet ou soit complètement conne… je vous laisse maîtres de vos déductions !

    * Si, si, Messe, c’est bien français, je t’assure. Ouvre un Bled, lis la partie consacrée aux adjectifs, puis celle qui traite du subjonctif. Tu verras, t’auras l’air un peu moins conne à ne pas savoir repérer un adjectif dans un segment de trois mots !

  59. Si ma mémoire est bonne, les petits Finlandais, dont la langue n’est pourtant pas indo-européenne, ont accès chaque semaine à une émission de radio… en latin ! Allez savoir pourquoi, c’est toujours la grande garderie que les Meirieusiens préfèrent conserver après la grande juxtaposition plutôt que l’enseignement d’une langue qui permettrait aux abrutis de l’espèce de Messeguiche de repérer un adjectif dans un segment de trois mots… dans leur langue natale !

    Sic transit gloria sciendi…

  60. Charlie Pasqua, un mec qui donne des leçons de grammaire entre 2h17 et 2h49 du matin (à l’heure ou moi je m’envoyais en l’air avec un bel étalon plutôt doué) sur un blog confidentiel et qui pense sans doute que ça va bouleverser l’ordre du monde. On l’imagine avec ses petits poings serrés sous l’effet de la rage et des aigreurs d’estomac. Dans la vraie vie je le vois bien petit fonctionnaire martyrisé par son supérieur hiérarchique.
    Charlie Pasqua, la tyrannie de l’impuissance. Le pauvre. Je compatis.

    • « Dans la vraie vie je le vois bien petit fonctionnaire martyrisé par son supérieur hiérarchique. »

      Voilà qui doit bien faire rire ceux qui, ici, savent ce que je fais IRL ! Quelle finesse dans l’analyse, vraiment…

    • « On l’imagine avec ses petits poings serrés sous l’effet de la rage et des aigreurs d’estomac. »

      Eh bien vous imaginez mal – encore ! Il ne doit pas y avoir plus d’un message sur dix que j’écris sans glousser devant mon portable…

  61. Quelle différence entre Messeguiche et votre serviteur ? La tourte se fait tringler et ne connaît rien à la grammaire… alors que je tringle la gueuse grâce à la grammaire !

      • Un des jolis coups m’ayant valu la réputation de serial baiseur dans ma prépa vient tout droit d’une leçon de grammaire ! Que de souvenirs…

        Nous étions sortis avec deux de mes camarades en littéraire pour nous pinter la tronche au bar. De retour à l’internat (snif !), nous tombons sur trois charmantes créatures en ECS et, par un cheminement que je ne me rappelle plus bien faute du temps et de l’alcool, je me mets à disserter au milieu de la cour, à minuit, avec l’accent qui est le mien, de la question de savoir si le conditionnel est un temps ou un mode… Évidemment, ça fait rire tout le monde et ça emballe les gonzesses (même si la lucidité me fait dire que mon physique y a sans doute plus joué que ma fréquentation du Grevisse). Bref, la logique aurait été que chacun reparte avec une gonz – il y avait une blonde, une brune bouclée et, tant pis pour les Totally Spies, une aux cheveux noirs en carré. Sauf que… sauf que nous sommes en prépa ! Un de mes acolytes du moment est homosexuel et l’autre est du genre poète fleur bleue… Résultat : je me fais la corbeau le soir même, la blonde deux semaines après et la dernière, après l’avoir travaillée au corps pendant des mois, pendant les grandes vacances !

  62. Non, mais vraiment, Messeguiche, vous n’avez aucune espèce d’amour propre ou quoi ? Je me prendrais une baffe aussi énorme que la vôtre en ne sachant pas repérer un adjectif dans un segment de trois mots mais… on ne me verrait plus paraître pendant cent ans ! J’irais expier ma faute et mon ignorance dans je ne sais quel monastère ! Là, vous revenez comme si de rien n’était, après avoir étalé à la face du monde la merde que vous avez dans le cerveau… Un peu de dignité, bon sang ! Où est l’honneur – comme disait le croate ?

    • Bon, remarquez, moi ça m’arrange : on peut se foutre de votre gueule sans trop chercher !

  63. « alors que je tringle la gueuse grâce à la grammaire »
    Vos partenaires doivent un peu rester sur leur faim, mon gros : la grammaire ne remplacera jamais une bonne grosse bite bien raide, personne ne vous l’a jamais dit?
    Vous venez encore de passer 10 minutes de votre vie à répondre à mon post qui n’en demandait pas tant. Qu’est-ce que vous devez vous faire chier dans votre vie, mon pauvre!
    Moi, non. D’ailleurs j’ai à faire. Ciao, Pasqua la demi-molle grammairienne !

    • « personne ne vous l’a jamais dit? »

      Dieu sait que j’ai tout un tas de complexes et de problèmes avec mon corps (au nombre desquels figure, sans doute, mon anorgasmie chronique)… mais la taille de mon sexe n’en est pas un ! D’où sortez-vous cela ? Cela vous console-t-il de croire que ceux qui vous mouchent en grammaire sont mal membrés ? Hélas la vie est injuste ! Il y a des thons stupides comme vous et des sex symbols qui ont le niveau brevet en grammaire…

      « Qu’est-ce que vous devez vous faire chier dans votre vie, mon pauvre! »

      Eh oui… je suis un homme simple ! Me foutre de votre gueule me ravit d’un tendre plaisir que je dédaigne pas, je l’avoue. Des que je peux rire, je prends !

  64. @Charlie Pasqua
    Anorgasmie chronique, vraiment? Voilà qui explique souvent bien des caractéristiques de comportement. Tant de frustration accumulée.

    Je peux peut-être faire quelque chose pour vous. Vous habitez en région parisienne? Vous m’apprendriez la grammaire, et moi je m’occuperais de votre problème…

  65. Charlie Pasqua
    29 décembre 2022 At 11h01
    « Vous habitez en région parisienne ? »
    Bien sûr !

    Pas moi, Ducon ! Comment avez-vous pu penser que je puisse gâcher mes talents à résoudre les problèmes d’une baltringue comme vous? 🤣🤣🤣

    Votre connaissance de la grammaire ne vous a visiblement pas mis à l’abri de la duplicité féminine. Grande leçon qui vaut bien un fromage sans doute.

    Et à part ça, j’ai cru comprendre (peut-être à tort?) que votre kif, c’était les gamines de moins de 15 ans? Admirateur de Matzneff? Petit canaillou !

    • On se sauve comme on peut, hein… Ne misez pas si c’est pour ne pas payer !

      « Admirateur de Matzneff? »

      Non, ça c’est un délire de Flo – un de plus ! J’ai déjà dit ici même et à plusieurs reprises combien je trouvais ridicule, et pathétiquement ridicule, la figure du vieux beau. Accessoirement, les filles qui ne sont pas encore formées ne m’attirent pas.

      • Et pour information, Flo, j’ai sniffé mon premier et unique rail de coke très récemment. Je n’ai pas eu l’impression que ça m’ait fait un effet particulier (j’étais certes ivre). Et je n’ai pas prévu de recommencer !

        • Charlie Pasqua 29 décembre 2022 At 12h41
          Et pour information, Flo, j’ai sniffé mon premier et unique rail de coke très récemment.

          🤣🤣🤣

          • Oui, alors ce genre de poncif, c’est le slogan des abrutis ! On n’est légitime à parler du PQ qu’à partir du moment où on a le cul propre. Sinon.. ça pue son ressentiment : les raisins étaient trop verts !

  66. Flo s’imagine que tous les gens qui sont plus intelligents qu’elle sont attirés par les gamines de treize ans. Alors évidemment ça fait 60 millions de pédophiles !

  67. Charlie Pasqua
    29 décembre 2022 At 12h38
    On se sauve comme on peut, hein…

    J’ai toujours trouvé terriblement vulgaire et dénué d’élégance le fait de foutre des hein dans des phrases écrites.
    Je suis sans doute très insuffisante en grammaire, mais les mecs suffisants qui nous donnent du hein en veux-tu en voilà ne sont pour moi que des ploucs qui se la pètent.

    • Et raconter sa vie sur internet en général et sur ce blog en particulier, c’est certainement un sommet de plouquitude et de plouc-attitude.
      Là oui, il y aurait de quoi mourir de honte. Et le mec vient parler de dignité. Ouaf ouaf.

      • Mais oui, mais oui… Apprenez donc à repérer un adjectif dans un segment de trois mots, et vous viendrez me donner des leçons de dignité !

        • Pour vous la dignité est affaire de grammaire? D’étalage de culture?
          Raconter ses problèmes sexuels de peine-à-jouir à des inconnus, c’est digne?
          Pauvre mec…On a compris : votre vraie jouissance, c’est prendre les gens de haut.

          • « Pour vous la dignité est affaire de grammaire? D’étalage de culture? »

            Non.

            « Raconter ses problèmes sexuels de peine-à-jouir à des inconnus, c’est digne? »

            Ça ne me paraît pas indigne. Je place ma dignité là où j’estime qu’elle doit être. (Et il n’y a « problèmes » que pour vous ! Je le vis très bien et, j’ose le dire, j’en suis même assez content.)

            « On a compris : votre vraie jouissance, c’est prendre les gens de haut. »

            Pas particulièrement, mais j’avoue que vous voir prétendre me donner des leçons de grammaire alors que vous ne faites qu’exposer vos propres insuffisances est un plaisir que je ne dédaigne pas. Flo fait une faute d’orthographe toutes les trois lignes. Je ne relève pas, ça ne m’intéresse pas. Mais si elle venait me faire une leçon de grammaire bourrée de fautes, oui, là je pourrais en rire. C’est pire que l’arroseur arrosé ; c’est l’imbécile qui ne se rend pas compte de sa stupidité. Moi, je suis de ceux qui ne sont qu’en deuxième lame : ce n’est pas les conceptions ou les erreurs premières qui m’intéressent, ce sont les contradictions, l’hypocrisie, la critique.

            (Et il va de soi que, si l’imbécile partageait ma conception de l’honneur, après s’être aperçu de sa faute qu’il imputait à autrui, il ne viendrait pas comme si de rien n’était, il se terrerait, mort de honte, pour expier, expier à jamais. Comment voulez-vous être crédible après avoir prétendu m’expliquer que je ne sais pas ce qu’est un adjectif alors que c’est vous qui ne l’avez pas repéré ? Comment ? Mais comment pouvez-vous être crédible dans quelque domaine que ce soit après cela ? Vous êtes grillée à jamais au royaume de la crédibilité !)

          • il fallait lire « où il t’arrive » tête de —

            Je fais des fautes et oublie aussi d’écrire les mots auxquels je pense.

  68. Qu’on appelle dédaigneusement « culture » le fait de savoir repérer un adjectif en dit long sur l’effondrement du niveau intellectuel de ce pays. N’y aurait-il pas une enquête PISA pour nous dire qu’en penser ?

  69. Rébellion féminine : la Pasquette s’en prend plein le caleçon ; des oiseaux (de nuit), dans son genre, il y en a toujours eu (rue Royer-Collard et ailleurs) ; quant à ce que je vaux (ou plutôt valais, soyons raisonnable), en quoi ? (dollars, chameaux… le choix est vaste).

        • My reflection, dirty mirror
          There’s no connection to myself
          I’m your lover, I’m your zero
          I’m the face in your dreams of glass
          So save your prayers
          For when we’re really gonna need them
          Throw out your cares and fly
          Wanna go for a ride?
          She’s the one for me
          She’s all I really need, oh yeah
          She’s the one for me
          Emptiness is loneliness, and loneliness is cleanliness
          And cleanliness is godliness, and God is empty
          Just like me
          Intoxicated with the madness
          I’m in love with my sadness
          Bullshit fakers, enchanted kingdoms
          The fashion victims chew their charcoal teeth
          I never let on
          That I was on a sinking ship
          I never let on that I was down
          You blame yourself
          For what you can’t ignore
          You blame yourself for wanting more
          She’s the one for me
          She’s all I really need, oh yeah
          She’s the one for me
          She’s my one and only

  70. « Je suis sans doute très insuffisante en grammaire »

    Non. L’insuffisance en grammaire, c’est croire que le conditionnel est un temps. Ne pas savoir repérer un adjectif, c’est du même tonneau que « questionner une problématique » : c’est une insulte à l’intelligence et à l’Évolution !

    • Mais… pour être tout à fait honnête, je ne crois pas que ne pas savoir repérer un adjectif soit si blâmable. Ma mère ne le sait pas, ça n’en reste pas moins la femme la plus admirable que je connaisse. Non, le ridicule, c’est venir prétendre donner des leçons de grammaire… avant de se prendre un soufflet monumental exposant à la face du monde la merde (qu’on est et) qu’on a dans le cerveau !

      • Votre mère n’est pas si admirable : la preuve en est qu’elle n’a pas pratiqué l’IVG, et voilà le résultat : vous. Pauvre mec.

    • Étaler en place publique ses problèmes de peine-à-jouir est une insulte à la dignité.
      A moins que vous n’ayez décidé de convoiter le Nobel de Littérature.

      • Mais vous n’y êtes pas du tout… Vous êtes atteinte d’un esprit de sérieux qui croit que je raconte mes frasques sexuelles comme on se confesse à son psychanalyste. J’écris cela par dérision, parce que cela me fait rire !

        Du reste, vous n’êtes pas obligée de me lire, HEIN…

  71. Charlie Pasqua : « Et il va de soi que, si l’imbécile partageait ma conception de l’honneur, après s’être aperçu de sa faute qu’il imputait à autrui, il ne viendrait pas comme si de rien n’était, il se terrerait, mort de honte, pour expier, expier à jamais. »

    C’est beau comme un sermon de télé-évangéliste, genre Mormon ou Adventiste du 7ème jour. Vous n’auriez jamais dû quitter votre secte. Faute, expiation, mais allez donc vous faire foutre, pauvre mec !

    • Quelle est la différence entre l’Ancienne France et la Modernité ? La Princesse de Clèves, consciente de sa faute (pourtant vénielle), se retire dans un couvent pour laver sa réputation et se racheter un honneur. Messeguiche étale à la face du monde sa bêtise, fière comme Artaban de ne pas savoir repérer un adjectif après avoir prétendu donner une leçon de grammaire, se faisant un honneur de persévérer dans la stupidité et de la communiquer à son prochain… Oui, décidément, cette époque n’est pas la mienne.

  72. Charlie Pasqua : »Vous êtes atteinte d’un esprit de sérieux qui croit que je raconte mes frasques sexuelles comme on se confesse à son psychanalyste. J’écris cela par dérision, parce que cela me fait rire ! »
    Parce que cela me fait rire, dites-vous. Tiens tiens. Intéressant. J’ai connu quelques partenaires chez qui l’éjaculation était accompagnée d’un énorme éclat de rire. En fait, comme vous avez du mal à éjaculer, vous écrivez sur ce blog. Vos posts, c’est votre foutre. C’est sur ce blog que vous déchargez! 😄😄😄

    • Décidément il faut tout vous apprendre… ouvrez un dictionnaire, bon sang ! L’anorgasmie, ce n’est pas la difficulté à éjaculer, c’est la difficulté à éprouver un orgasme PENDANT l’éjaculation (ou éventuellement avant). Dit autrement, c’est le fait de replacer à sa juste mesure l’éjaculation dans un simple contentement des sens (comme manger une entrecôte ou des asperges, à la Fontenelle) – indépendamment de toutes les conneries dont la littérature érotique pour ménagères de plus de cinquante ans fait son commerce. Il n’y a que les faibles d’esprit pour se monter le bourrichon avec le sexe, c’est l’asile de tous les médiocres se faisant une tripotée d’idées infalsifiables sur leur plaisir : vous ne savez plus sur quel sujet faire des chroniques à cause de « tous » les commentaires négatifs qu’on y poste ? Mais faites des chroniques sur le sexe, voyons ! Tout le monde vous approuvera, chacun y ira de son petit mot de-ci de-là et de sa petite expérience personnelle qu’évidemment il ne pourra accepter comme médiocre, personne ne voudra perdre la face en baillant. La physique nucléaire, les laryngales indo-européennes ou le repérage des adjectifs (enfin, avant Meirieu, ce n’était pas le cas pour cette troisième catégorie), c’est sûr que c’est moins bandant, chacun ne peut pas y aller de son petit commentaire, il y a un critère de vérité, ce ne sont pas des activités de bavards.

      Ce qu’il perd pendant l’acte, l’analytique peut le gagner avant et après. Écoutez Brassens !

  73. Lecture(s) –
    Lu, au milieu de la nuit, « En attendant Eden », recommandé par C-A Narducci ; on se rendort difficilement, tant on en sort, glacé, anéanti – difficile d’éviter le cauchemar.
    Comme si souvent, les critiques se sont arrêtées à une « histoire d’amour et de fidélité » – il faut faire vendre ; alors qu’il s’agit, en effet, de bien autre chose : « destruction du mythe du guerrier », destruction du « mythe entier de l’Amérique »…
    Je vais, sous peu, me pencher sur « Elizabeth Finch » de Julian Barnes, et cette Angleterre qui semble, elle, « s’accrocher encore à ses mythes » (ce qui peut encore faire nation et identité).

    https://www.causeur.fr/il-etait-une-fois-les-rosbifs-et-les-froggies-mythes-249774

  74. Le pauvre mec ne sait même pas nommer correctement le mal qui le ronge? Et il rejette la faute de l’ignorance sur autrui? Et il me conseille de consulter un dictionnaire?

    Alors voici :
    « L’anorgasmie se définit généralement par l’absence d’orgasme et d’éjaculation pendant les rapports sexuels. L’homme a une érection tout à fait normale. Il ressent du plaisir, mais il n’arrive pas à éjaculer et à atteindre l’orgasme. Les rapports peuvent durer. En vain. Au bout d’un moment, les partenaires abandonnent et la verge retrouve naturellement sa flaccidité ».

    Chez Charlie Pasqua, la flaccidité de la verge est vite suivie de la psycho-rigidité de la plume.

  75. J’avoue, j’ai ri de bon cœur en lisant les posts mis en ligne aujourd’hui.
    Cette Messeguiche m’a l’air délicieusement délurée. Merci à elle d’avoir mis un peu d’animation sur ce forum de vieux barbons – et de jeunes barbons aussi mais déjà tellement vieux dans leurs têtes…Rien que pour cela on lui pardonnera ses approximations en grammaire.
    Dans un de ses posts elle faisait allusion à ses alléchantes mensurations. Soit ! Que l’animation continue alors de façon anatomique, et nous aurions alors des seins animés, bien mieux que les bluettes de Disney.

  76. « Phelps and her wife took the Pfizer vaccine in July of 2021 and fell ill shortly after.

    ‘I have had CT pulmonary angiogram, ECG, blood tests, cardiac echogram, transthoracic cardiac stress echo, Holter monitor, blood pressure monitoring and autonomic testing. In my case the injury resulted in dysautonomia with intermittent fevers and cardiovascular implications including breathlessness, inappropriate sinus tachycardia and blood pressure fluctuations.’

    Yesterday’s news.com.au exclusive titled: Dr Kerryn Phelps reveals ‘devastating’ Covid vaccine injury, says doctors have been ‘censored’ has come as a shock to the luvvie media.

    https://www.spectator.com.au/2022/12/kerryn-phelps-vaccine-injuries-the-silence-is-deafening/

    • Phelps c’est miction impossible

      On l’a mené à l’hôpital
      Pour le soigner où il avait mal
      Il s’était fait mal dans la rue
      Mais on l’a soigné autre part
      Et il est mort !

    • Complotiste! Vous remettez en cause le traitement prescrit par la plus grande autorité médicale du monde: Wall Street!

  77. Le Vespéral titre : « En Italie, Giorgia Meloni déclare la guerre aux sangliers »

    Tant qu’il reste des bersangliers et qu’on ne les confondent pas avec les ongulés…

  78. Harold Painter
    29 décembre 2022 At 19h05

    « Cette Messeguiche m’a l’air délicieusement délurée. Merci à elle d’avoir mis un peu d’animation sur ce forum de vieux barbons – et de jeunes barbons aussi mais déjà tellement vieux dans leurs têtes… »
    Délurée non. Mais sans complexes. Et pour mettre de l’animation, toujours prête !

    « Dans un de ses posts elle faisait allusion à ses alléchantes mensurations. Soit ! Que l’animation continue alors de façon anatomique, et nous aurions alors des seins animés, bien mieux que les bluettes de Disney. »
    Espèce de vieux libidineux qui voudrait se rincer l’œil en douce !
    Bon, à part ça, ce blog aujourd’hui c’est un EHPAD à l’heure de la sieste, ou quoi ou qu’est-ce ?

    • Une de mes voisines, plus angliche, tu meurs, possédait une club de jazz à Londres que son mec animait.

      • « plus angliche, tu meurs » : c’est ce qu’aimerait bien Flo.
        Mon boy-friend d’une lointaine époque m’avait fait découvrir le Ronnie Scott’s…

  79. Lormier : mission(s) impossible(s) –
    Il y a ceux qui s’en sortent très mal, comme Kerryn Phelps, et ceux qui s’en sortent toujours très bien, comme Jim Phelps.

  80. « Dire que « j’aurais pu voter pour lui si » a un sens assez précis, je crois. En tout cas jamais pour la caissière ni pour Nonoss… »

    C’est presque décevant. Il y a quelque temps vous assumiez fièrement le boomer que vous êtes devenu par inertie du mitterrandisme – et c’était beau. Là, ça donne un effet sud-sud-ouest et bourgeois se pinçant le nez moins intéressant. Rooooh !

    • Ça a passé sa vie à se moquer de l’observatoire pédago… et ça a voté Mitterrand. Ça a passé sa vie à appeler à une grande révolution instructionniste… et ça se pince le nez devant Zemmour.

      Y en a des qui seraient bien malheureux si on se mettait à réaliser leurs vœux !

  81. Dugong 30 décembre 2022 At 17h29
    « Mais ça c’était avant… »
    Avant quoi, triple connasse ?

    Mais plus personne t’écoute, Papy, ou peut-être encore le suce-bite du blog et son acolyte parti faire un Paris/Dakar.
    il y aurait Louis XX ou Roussel face à une salope de ton acabit sortie de LR ou LREM au second tour des prochaines présidentielles, je vote Louis XX ou Roussel, espèce de grosse merde…

    • Ravi de constater que votre carte de khonne est à jour avec tous ses timbres. Il en faut car l’entretien du colonel Fab coûte cher et ce n’est pas avec quelques défilés de mode que les enfilé(e)s du secteur pourront retrouver leur splendeur stalinienne.

  82. 1+1=2
    1)
    « J’avais 8 ans et je ne laisserai personne dire que ce n’est pas le plus bel âge de la vie…. je fis avec mon père plusieurs kilomètres pour aller voir Gérard Barray incarner mon héros préféré. C’était au Chambord, Rond-Point du Prado, à Marseille… quand, dans les premières minutes du film, à la portière d’un carrosse, Mylène Demongeot passa la tête, ce fut comme une apparition.

    Elle m’apparut ce jour-là comme la concrétisation de l’idée un peu floue que je m’étais faite de Milady, blondeur, cruauté, perfidie. Je fus conquis – et je le suis toujours…

    j’avais huit ans…j’étais amoureux, …je les ai encore, et que je le serai toujours. »

    https://www.marianne.net/culture/cinema/jean-paul-brighelli-jetais-amoureux-de-mylene-demongeot-et-je-le-serai-toujours

    2)

    à 8 ans, je tombai raide amoureux de la monitrice de la colonie de vacances où je passais le mois de juillet.

    Deux amours,la même année,l’un « virtuel » (en 2D),l’autre « réel » (en 3D).

    a) que reste-t-il de la monitrice ?
    b) des ressemblances entre les deux ?

    • Sirènes ? Les deux aussi moches l’une que l’autre (évidemment rien à voir avec les deux sirènes vues par JPB à huit ans)

  83. La vieille peau Westwood est dead. Chrissie Hynde a perdu sa maman…
    L’Annie Ernaux de la fringue !

    C’est plus connerie que méchanceté de la part de mon larbin … Il voudrait mais y peut pas … Ne jamais perdre de vue que ce blog est bourré d’illusionnistes se prenant pour des magiciens, d’ânes se prenant pour des cavaliers … uhuhu !
    Sérieux Dudu, tu as parfaitement le droit de ne pas avoir d’appétit pour Vivienne W. et Annie E. Mais tu as aussi le droit de ne pas en être fier. Un post comme ça à deux doigts de la fin de l’année, c’est tout à fait pénible. Et sache également que JPB ne te rémunérera plus en bons d’achat Edouard Pasclerc toutes tes avan(n)ies sur Ernaux à partir du 1er janvier. Trouve autre chose pour gagner ta vie.

    Bref. Je veux bien admettre que quelques créations de VW étaient importables même sur des mannequins aux gueules de décapités hurlant des psaumes gothiques:
    https://textileaddict.me/wp-content/uploads/2020/10/westwood_textileaddict.jpg

    Mais elle, iconique avec ses cheveux roux, ses dents à air corsaire, elle a aussi gratifié les femmes d’étoffes grunge, de chapeaux Vidocq et bandeau sur l’oeil, de robes Pompadour à sa sauce à la mante religieuse. Elle a corseté les hommes en les enrubannant, fait scandale au début de leur relation en vivant une love-story avec Andreas Kronthaler, 22 ans de moins qu’elle, à une époque où l’écart était mieux vécu dans l’autre sens. Alors que moi en 2022 avec Floraline, je ratisse encore le Champ de Mars après un apéro géant…
    Evidemment après tu vas dire que j’ai des obsessions..Fastoche!

    • Femme cultivée, elle tenait la dragée haute à Satanas et Diabolo* en histoire de l’art.

      *(les féaux se souviendront du dessin animé éponyme, de son pilote portant la moustache et de son clebs trapu et co-pilote qui se manifestait uniquement par des « kss kss » et sauront attribuer ces deux caractères aux justes personnes)

      • Homonyme, pas éponyme.

        Quand on voit la masse de conneries que vous déversez quotidiennement, on se dit que vous devriez passer professionnelle.

        Au championnat du monde de la connerie vous seriez fichue d’arriver deuxième.

        • Jusqu’à maintenant, on a réussi à éviter de lui mettre une tyrolienne à bullshit dans les pattes.

          Ca ne durera pas, des copycats sont prêt(e)s à prendre le relais.

          • Non.

            Mais le Z a raison : « éponyme » signifie « qui donne son nom à », non « qui a même nom que ».

          • (il réapparaît aussi sec ! 😄😄😄… Et l’autre qui t’explique qu’en réalité il a une bande qu’il manage en privé pour la bonne tenue du blog… J’te jure)

            Salut les pipelettes !

          • « Satanas et Diabolo est un titre de dessin animé et sont deux personnages.
            Fin de l’histoire. »

            🤣🤣🤣🤣

            Même à un dîner de cons, on doit vous garder une gamelle dans la cuisine.

    • Vous nous en faites un beau de représentant de la superstition, vous le raoultien au mépris des faits, de la science et de l’intelligence !

      • Les faits sont plus de 160000 morts en France et moins de 2000 morts par pays d’Afrique subsaharienne qui applique le protocole Raoult. Le militantisme macronien n’est pas une science, au contraire il s’apparente à une foi.

        • Et 0 aux Kerguelen qui ne l’appliquent pas ! Le militantisme raoultien n’est pas une science, au contraire il s’apparente à une foi.

          • Vous êtes grossier et immature, comme tous les macroniens. Finalement, vous ressemblez à ces boomers obèses qui ont permis la réélection de l’employé de Mc Kinsey en soutenant sa politique sanitaire.
            Les chiffres des morts du Covid sont irréfutables. Vos éructations puériles et vos trépignements ne changeront pas cette cruelle réalité des chiffres.
            La France macronienne devrait demander l’aide humanitaire et sanitaire au Sénégal, au Tchad et au Cameroun.

          • Peut-être croyez-vous que m’accuser d’être macronien me touche, voire me met hors de mes gonds ? Une chose est sure : pour en arriver là, vous montrez que vous n’avez aucune espèce d’argument. C’est le niveau zéro de l’argumentation comme on dit. La démarche serait (et est) assez grossière à propos de Dugong – du niveau d’une dingue comme Flo quoi –, elle en est passablement ridicule à mon propos.

            Vous êtes un croyant, mon bon cyrano, et au sens où vous (ne) l’entendez (pas) – ce qui est terrible.

          • « Chaque mort est un argument. »

            Con, con, con !

            1°) parce que ce n’est pas un argument mais un exemple.
            2°) parce que cet exemple n’a pas valeur de preuve.
            3°) parce que c’est moralement répugnant.

            Mais quel con !

  84. https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/ales/sabotage-dans-le-gard-des-militants-ecologistes-revendiquent-avoir-voulu-scier-un-pylone-electrique-a-tres-haute-tension-2682840.html

    Les néanvertaliens font vraiment tout ce qu’ils peuvent pour retourner au paléolithique.
    Je rêve qu’ils réussissent: ce sera amusant de voir Sardine Ruisseau confrontée au patriarcat de type préhistorique. Sardine s’accroupit pour puiser de l’eau au ruisseau, comme dans une fameuse scène de « La guerre du feu » de JJ Annaud. Et là…

    L’écologisme, c’est les soviets moins l’électricité.

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