Dans un film à sketches hilarant de 1973, Sessomatto (le Sexe fou), Dino Risi met en scène deux jeunes mariés (Giancarlo Giannini et Laura Antonelli, ah, lLaura Antonelli) qui ne parviennent pas à concrétiser leur passion durant leur voyage de noces à Venise. Ils découvrent qu’à la suite d’un trauma d’enfance et d’expériences d’amours à la sauvette dans divers modes de transport inconfortables, l’époux ne peut avoir d’érection que dans un lieu qui bouge et qui secoue (in english : « Shake me, baby ! »). Ils parviennent à se mettre à l’unisson dans l’ascenseur de leur immeuble, en appuyant sans cesse vers le bas puis vers le haut, tandis qu’elle pousse des cris enamourés.

Les modes de transport ont évolué au fil des siècles, mais leurs effets sur des organismes sensibles restent les mêmes.
Bien entendu, il faut encore remonter à Flaubert. Dans le premier chapitre de la troisième partie de Madame Bovary, Emma et Léon s’enlacent dans un fiacre — et le rusé Normand, au lieu de nous montrer l’étreinte difficile au milieu des froufrous de la robe et des jupons, s’obstine à nous décrire l’errance de la voiture, qui comme le furet (cette chanson qui explora la première la contrepèterie classique curé / fourrer, en se moquant de l’abbé Dubois — dont on fait les pipes) est passée par ici et repasse par là :

« La lourde machine se mit en route.
Elle descendit la rue Grand-Pont, traversa la place des Arts, le quai Napoléon, le pont Neuf et s’arrêta court devant la statue de Pierre Corneille.
— Continuez ! fit une voix qui sortait de l’intérieur.
La voiture repartit, et, se laissant, dès le carrefour La Fayette, emporter par la descente, elle entra au grand galop dans la gare du chemin de fer.
— Non, tout droit ! cria la même voix.
Le fiacre sortit des grilles, et bientôt, arrivé sur le Cours, trotta doucement, au milieu des grands ormes. Le cocher s’essuya le front, mit son chapeau de cuir entre ses jambes et poussa la voiture en dehors des contre-allées, au bord de l’eau, près du gazon.
Elle alla le long de la rivière, sur le chemin de halage pavé de cailloux secs, et, longtemps, du côté d’Oyssel, au-delà des îles.
Mais tout à coup, elle s’élança d’un bond à travers Quatremares, Sotteville, la Grande-Chaussée, la rue d’Elbeuf, et fit sa troisième halte devant le jardin des plantes.
— Marchez donc ! s’écria la voix plus furieusement.
Et aussitôt, reprenant sa course, elle passa par Saint-Sever, par le quai des Curandiers, par le quai aux Meules, encore une fois par le pont, par la place du Champ-de-Mars et derrière les jardins de l’hôpital, où des vieillards en veste noire se promènent au soleil, le long d’une terrasse toute verdie par des lierres. Elle remonta le boulevard Bouvreuil, parcourut le boulevard Cauchoise, puis tout le Mont-Riboudet jusqu’à la côte de Deville.
Elle revint ; et alors, sans parti pris ni direction, au hasard, elle vagabonda. On la vit à Saint-Pol, à Lescure, au mont Gargan, à la Rouge-Mare, et place du Gaillardbois ; rue Maladrerie, rue Dinanderie, devant Saint-Romain, Saint-Vivien, Saint-Maclou, Saint-Nicaise, — devant la Douane, — à la basse Vieille-Tour, aux Trois-Pipes et au Cimetière monumental. De temps à autre, le cocher sur son siège jetait aux cabarets des regards désespérés. Il ne comprenait pas quelle fureur de la locomotion poussait ces individus à ne vouloir point s’arrêter. Il essayait quelquefois, et aussitôt il entendait derrière lui partir des exclamations de colère. Alors il cinglait de plus belle ses deux rosses tout en sueur, mais sans prendre garde aux cahots, accrochant par-ci par-là, ne s’en souciant, démoralisé, et presque pleurant de soif, de fatigue et de tristesse. »

À nous d’imaginer, dans cette géographie hagarde des environs de Rouen, la gymnastique des deux amants. J’ai bien dit « imaginer », la décrire serait hors de propos, et forcément limitatif. C’est cela, la beauté de l’hypotypose.
Maupassant, le disciple préféré, est moins discret, trente ans plus tard :

« Et Duroy se trouva seul avec Mme de Marelle dans un fiacre qui roulait.
Il la sentait contre lui, si près, enfermée avec lui dans cette boîte noire, qu’éclairaient brusquement, pendant un instant, les becs de gaz des trottoirs. Il sentait, à travers sa manche, la chaleur de son épaule, et il ne trouvait rien à lui dire, absolument rien, ayant l’esprit paralysé par le désir impérieux de la saisir dans ses bras. « Si j’osais, que ferait-elle ? » pensait-il. Et le souvenir de toutes les polissonneries chuchotées pendant le dîner l’enhardissait, mais la peur du scandale le retenait en même temps.
Elle ne disait rien non plus, immobile, enfoncée en son coin. Il eût pensé qu’elle dormait s’il n’avait vu briller ses yeux chaque fois qu’un rayon de lumière pénétrait dans la voiture.
« Que pensait-elle ? » Il sentait fort bien qu’il ne fallait point parler, qu’un mot, un seul mot, rompant le silence, emporterait ses chances ; mais l’audace lui manquait, l’audace de l’action brusque et brutale.
Tout à coup il sentit remuer son pied. Elle avait fait un mouvement, un mouvement sec, nerveux, d’impatience ou d’appel peut-être. Ce geste, presque insensible, lui fit courir, de la tête aux pieds, un grand frisson sur la peau, et se tournant vivement, il se jeta sur elle, cherchant la bouche avec ses lèvres et la chair nue avec ses mains.
Elle jeta un cri, un petit cri, voulut se dresser, se débattre, le repousser ; puis elle céda, comme si la force lui eût manqué pour résister plus longtemps. » (Bel-Ami, I, 5)

Cette séquence de prédation est peut-être la source d’une scène parallèle, quoique plus mièvre et moins hardie, dans Un amour de Swann — pardon pour la longueur du passage, mais Proust, vous savez, fait rarement dans la concision :

« Il monta avec elle dans la voiture qu’elle avait et dit à la sienne de suivre.
Elle tenait à la main un bouquet de catleyas et Swann vit, sous sa fanchon de dentelle, qu’elle avait dans les cheveux des fleurs de cette même orchidée attachées à une aigrette en plumes de cygne. Elle était habillée, sous sa mantille, d’un flot de velours noir qui, par un rattrapé oblique, découvrait en un large triangle le bas d’une jupe de faille blanche et laissait voir un empiècement, également de faille blanche, à l’ouverture du corsage décolleté, où étaient enfoncées d’autres fleurs de catleyas. Elle était à peine remise de la frayeur que Swann lui avait causée quand un obstacle fit faire un écart au cheval. Ils furent vivement déplacés, elle avait jeté un cri et restait toute palpitante, sans respiration.
– « Ce n’est rien, lui dit-il, n’ayez pas peur. »
Et il la tenait par l’épaule, l’appuyant contre lui pour la maintenir ; puis il lui dit :
– « Surtout, ne me parlez pas, ne me répondez que par signes pour ne pas vous essouffler encore davantage. Cela ne vous gêne pas que je remette droites les fleurs de votre corsage qui ont été déplacées par le choc ? J’ai peur que vous ne les perdiez, je voudrais les enfoncer un peu. »
Elle, qui n’avait pas été habituée à voir les hommes faire tant de façons avec elle, dit en souriant :
– « Non, pas du tout, ça ne me gêne pas. »
Mais lui, intimidé par sa réponse, peut-être aussi pour avoir l’air d’avoir été sincère quand il avait pris ce prétexte, ou même commençant déjà à croire qu’il l’avait été, s’écria :
– « Oh ! Non, surtout, ne parlez pas, vous allez encore vous essouffler, vous pouvez bien me répondre par gestes, je vous comprendrai bien. Sincèrement je ne vous gêne pas ? Voyez, il y a un peu… Je pense que c’est du pollen qui s’est répandu sur vous ; vous permettez que je l’essuie avec ma main ? Je ne vais pas trop fort, je ne suis pas trop brutal ? Je vous chatouille peut-être un peu ? Mais c’est que je ne voudrais pas toucher le velours de la robe pour ne pas le friper. Mais, voyez-vous, il était vraiment nécessaire de les fixer, ils seraient tombés ; et comme cela, en les enfonçant un peu moi-même… Sérieusement, je ne suis pas désagréable ? Et en les respirant pour voir s’ils n’ont vraiment pas d’odeur, non plus ? Je n’en ai jamais senti, je peux ? Dites la vérité. »
Souriant, elle haussa légèrement les épaules, comme pour dire « Vous êtes fou, vous voyez bien que ça me plaît ».
Il élevait son autre main le long de la joue d’Odette ; elle le regarda fixement, de l’air languissant et grave qu’ont les femmes du maître florentin avec lesquelles il lui avait trouvé de la ressemblance ; amenés au bord des paupières, ses yeux brillants, larges et minces, comme les leurs, semblaient prêts à se détacher ainsi que deux larmes. Elle fléchissait le cou comme on leur voit faire à toutes, dans les scènes païennes comme dans les tableaux religieux. Et en une attitude qui sans doute lui était habituelle, qu’elle savait convenable à ces moments-là et qu’elle faisait attention à ne pas oublier de prendre, elle semblait avoir besoin de toute sa force pour retenir son visage, comme si une force invisible l’eût attiré vers Swann. Et ce fut Swann qui, avant qu’elle le laissât tomber, comme malgré elle, sur ses lèvres, le retint un instant, à quelque distance, entre ses deux mains. Il avait voulu laisser à sa pensée le temps d’accourir, de reconnaître le rêve qu’elle avait si longtemps caressé et d’assister à sa réalisation, comme une parente qu’on appelle pour prendre sa part du succès d’un enfant qu’elle a beaucoup aimé. Peut-être aussi Swann attachait-il sur ce visage d’Odette non encore possédée, ni même encore embrassée par lui, qu’il voyait pour la dernière fois, ce regard avec lequel, un jour de départ, on voudrait emporter un paysage qu’on va quitter pour toujours.
Mais il était si timide avec elle, qu’ayant fini par la posséder ce soir-là, en commençant par arranger ses catleyas, soit crainte de la froisser, soit peur de paraître rétrospectivement avoir menti, soit manque d’audace pour formuler une exigence plus grande que celle-là (qu’il pouvait renouveler puisqu’elle n’avait pas fâché Odette la première fois), les jours suivants il usa du même prétexte. Si elle avait des catleyas à son corsage, il disait : « C’est malheureux, ce soir, les catleyas n’ont pas besoin d’être arrangés, ils n’ont pas été déplacés comme l’autre soir ; il me semble pourtant que celui-ci n’est pas très droit. Je peux voir s’ils ne sentent pas plus que les autres ? » Ou bien, si elle n’en avait pas : « Oh ! Pas de catleyas ce soir, pas moyen de me livrer à mes petits arrangements. » De sorte que, pendant quelque temps, ne fut pas changé l’ordre qu’il avait suivi le premier soir, en débutant par des attouchements de doigts et de lèvres sur la gorge d’Odette, et que ce fut par eux encore que commençaient chaque fois ses caresses ; et bien plus tard, quand l’arrangement (ou le simulacre rituel d’arrangement) des catleyas fut depuis longtemps tombé en désuétude, la métaphore « faire catleya », devenue un simple vocable qu’ils employaient sans y penser quand ils voulaient signifier l’acte de la possession physique – où d’ailleurs l’on ne possède rien, – survécut dans leur langage, où elle le commémorait, à cet usage oublié. »

J’ai souvent donné cet exemple aux étudiants, pour les inciter à tester le niveau culturel de leur partenaire — mot épicène s’il en fut. Ne dites pas « on baise ? », mais dites « et si nous faisions catleya ? ». Et si l’autre ouvre de grands yeux comme devant une incongruité majeure, partez, on ne fait bien l’amour qu’entre gens pareillement civilisés.

Texte à peu près contemporain de Proust, cet autre témoignage de l’effet des vibrations :

« Le prince Mony et Cornabœux avaient pris place dans l’« Orient Express » ; la trépidation du train ne manqua point de produire aussitôt son effet, Mony banda comme un Cosaque et jeta sur Cornabœux des regards enflammés. Au dehors, le paysage admirable de l’Est de la France déroulait ses magnificences nettes et calmes. Le salon était presque vide, un vieillard podagre, richement vêtu, geignait en bavant sur le Figaro qu’il essayait de lire.
Mony qui était enveloppé dans un ample raglan, saisit la main de Cornabœux et, la faisant passer par la fente qui se trouve à la poche de ce vêtement commode, l’amena à sa braguette. Le colossal valet de chambre comprit le souhait de son maître. Sa grosse main était velue, mais potelée et plus douce qu’on n’aurait supposé. Les doigts de Cornabœux déboutonnèrent délicatement le pantalon du prince. Ils saisirent la pine en délire qui justifiait en tous points le distique fameux d’Alphonse Allais :
La trépidation excitante des trains
Nous glisse des désirs dans la moelle des reins. » (Les Onze mille verges, chap.IV)

La scène ferroviaire qui suit n’est pas à mettre entre toutes les mains. Mony Vibescu, hospodar héréditaire comme chacun sait, ayant rencontré la grande actrice Estelle Ronange et sa soubrette dans la voiture-restaurant, organise dans son compartiment une partie carrée qui se termine dans un paroxysme.

Dans les films américains inspirés des années 1950, type American Graffiti, l’initiation amoureuse dans la voiture est un passage obligé. L’exiguïté des modèles français, où un levier de vitesse s’insinue toujours entre les côtes, nous a gênés, nous Français, pour développer une mythologie parallèle. Restent les trains : un que je connais avait des souvenirs très vifs d’une séance pharamineuse entre Toulouse et Paris dans un compartiment bondé, à la lumière violette de la veilleuse, pendant que deux couples et un curé dormaient et qu’un permissionnaire feignait de ne rien voir en se branlant mélancoliquement. Le même m’a raconté ses amours violentes avec des partenaires diverses dans le train qui chaque jour l’amenait de Saint-Lazare à Evreux, ville près de laquelle il travaillait. Ceci n’est pas une pipe, mais y ressemble assez. La possibilité d’être aperçu ajoutait d’ailleurs, m’expliquait-il, un charme particulier à ces étreintes limitées par le dieu SNCF à 50 minutes. Mais si la liaison survivait à l’intermède ferroviaire, c’était souvent avec une intensité moindre : avoir le temps et une literie confortable incite moins à la performance qu’à une paresse alanguie.
Le même ami décidément incorrigible réitéra un jour en première classe, entre Rennes et Marseille, avec une certaine M*** — un trajet assez long pour explorer dans l’ordre toutes les figures de l’Arétin, et quelques autres.

Mais point besoin de passer par de telles anecdotes scabreuses pour comprendre l’infraction majeure au Code Hays que constitue la dernière image de la Mort aux trousses, choisie pour illustrer cette chronique bien trop copieuse. Remember ? Cary Grant, dans le wagon-lit, tire à lui Eva Marie Saint, blonde hitchcockienne par excellence, le feu sous la glace — et la caméra passe à l’extérieur pour nous montrer le train entrant dans un tunnel.

Jean-Paul Brighelli

765 commentaires

  1. Ne dites pas « on baise ? », mais dites « et si nous faisions catleya ? ». Et si l’autre ouvre de grands yeux comme devant une incongruité majeure, partez, on ne fait bien l’amour qu’entre gens pareillement civilisés.

    De la même manière si celui qui vous en fait l’offre ne vous inspire guère, ouvrez de grands yeux, il vous fichera la paix.

    • Un homme sa s’empêche suite – Monsieur Jean-Paul en affaire avec Charlize Theron (sa grande chérie devant l’éternel) se prend à lui poser la question piège au plus chaud de leur échange et plante sans prévenir la pauvrette après qu’elle lui ait fait de grands yeux en réponse.

      Qui le croit ?!

      • Je n’ai jamais rêvé de coucher avec Charlize Théron. Pas mon genre. Cela dit, je la trouve très bonne actrice.

        • Non, de grâce, nous sommes tous témoins.
          Il fut une époque où nous ne pouvions pas échapper à aucun de ses films servis en chronique. Même Atomic Blond, une bouse sans nom, a eu le droit à un retour et pour lequel vous vous étiez deversé en commentaire, vous répendant sur sa plastic, expliquant qu’on pouvait la voir à poil dans le film et de conclure « Quelle beauté! ».
          Mais admettons, la question est de savoir si vous rétropédaler au moment T alors que vous êtes dans les bras d’une femme qui serait votre genre ?
          Je vous en crois incapable… comme la plupart, la chair est faible.

  2. En ce moment c’est plus facile de trouver une érection que de l’argent ! Alors faire catleya vous pensez sur un banc ou dans un transport aérien !

    • Et dire qu’il peut-être réélu. Honteux. Honte à tous ceux qui lui donneront leur vote. HONTE !

  3. A chanter dans les diners en famille, sur l’air de Findus : « Heureusement, qu’on a Macron ! ».
    Fâcheries garanties….

  4. Super pouvoirs, supers devoirs…conjugaux.

    Bon, JP, je comprends que vous ayez glissé dernièrement un post sur ‘Maigret’ pour honorer Gérard Depardieu, notre héros national, parfaite incarnation de la France dans toutes ses imperfections, grâce auquel ce film finira par être projeté dans des sessions de cardio-training, mais vous ne devez pas abandonner ‘The Batman’ pour autant. Je l’ai vu tout à l’heure. C’est un blockbuster ultra stylisé, à la direction artistique presque irréprochable, au parti pris esthétique(tout y est sombre, tout) presque radical. Robert Pattison est convaincant et charismatique en Batman emo post-adolescent ; beaucoup d’autres acteurs sont en roue libre (Paul Dano, Colin Farrell sous des tonnes de maquillage, tout droit sorti d’un Dick Tracy – il faudra m’expliquer un jour pourquoi embaucher un comédien pour ensuite le rendre méconnaissable), ou peinent à exister(Zoë Kravitz). Les scènes d’actions sont bien foutues – mieux que chez Nolan – même si elles sont largement répétitives(Batman qui avance à pas lourd et résonnant, au contraire de la furtivité Nolanienne, et qui se déchaîne dans une accumulation de coups ultra violents). Le problème c’est que ça dure 3 putain d’heures, ce que rien ne justifie. Aucun film de superhéros ne devrait durer aussi longtemps, car malgré le talent de toute l’équipe (et on sait à quel point ce type de cinéma est une œuvre collective), ça reste des films de fictions manichéo-puériles où un mec en collants et cape combat des super-méchants. Le film veut se départir un peu de ce substrat fondamentalement fantaisiste en misant sur une noirceur outrée(chemin déjà emprunté par Nolan mais qui était allé moins loin dans ce registre en termes de mise en scène) et une intrigue policière de film sombre tendance Seven/Zodiac (le tueur fou laisse des devinettes et cryptogrammes à Batman pour trouver sa prochaine victime).
    Le problème c’est que cette intrigue a déjà été racontée mille fois avec autrement plus de talent. Les devinettes sont souvent risibles, l’enquête est laborieuse, on en devine les tenants et aboutissants beaucoup trop rapidement. Mais surtout, nombre de scènes ont un goût de déjà-vu et un déjà-vu très récent. Matt Reeves emprunte beaucoup à la trilogie de Nolan mais aussi aux films de Burton : scène de meurtre en plein jour devant un Bruce Wayne impuissant ; le méchant arrêté aux 2/3 du film mais qui en réalité a prévu son arrestation pour mener à bien son plan ; vidéos du tueur fou en train d’exécuter sa victime apeurée qui sont envoyées au média ; voix du méchant trafiquée pour le rendre plus irréel et menaçant ; Catwoman qui préfère quitter la ville car elle pense que celle-ci est foutue. Les thèmes et dialogues sont également tout sauf singuliers : la vengeance comme façon imparfaite et dangereuse de rendre la justice avec le risque de provoquer des copycat psychopathes (toujours cette même hypocrisie à faire semblant d’interroger la légitimité de Batman alors que tout le film milite dans son esthétique pour le héros et ses interventions musclées) ; les inégalités sources de chaos ; la corruption qui règne sur Gotham City avec les dialogues de Batman qui veut, malgré tout, croire en cette ville et ses habitants(par ailleurs inexistants) ; aussi les sempiternels dialogues autour du trauma familial et les mises en garde d’Alfred…C’est évidemment le principe du genre d’être un éternel retour du même et le film du superhéros est du genre au carré mais le rapport au spectateur induit par ce type de film est un peu problématique : soit on considère que le spectateur est amnésique et qu’il n’y verra que du feu, ce dont je doute ; soit on considère qu’il recherche justement ce même, cet identique sous une autre forme, comme une petite variation – auquel cas on pourrait dire qu’il y a autant de différences entre les différents Batman qu’entre l’iphone 12 et l’iphone 13. Rien n’est vraiment nouveau dans ce constat, certes, mais ce qui ne laisse pas de m’étonner c’est l’accueil critique. Ce film-ci est pris très au sérieux par toute une partie de la critique française: les Inrocks (coutumiers du fait, toujours prompts à porter aux nues des « blockbusters où à chaque plan hurle le contemporain », ce genre de conneries), les Cahiers du cinéma et Libération ont aussi très sérieusement aimé le film (cf la critique délirante de Chessel).
    C’est là JP qu’il vous faut intervenir. Vous devriez revêtir cape et collants pour un mettre un terme à cette orgie(‘transports en commun’ dans les mots croisés)de compliments et sortir tout ce beau monde de son sommeil dogmatique, comme dirait l’autre. Vous pourriez rester dans l’esprit du blog et gloser par exemple sur la vie sexuelle des super-héros(en ont-ils vraiment une ?) ou sur les combats qu’ils se livrent en face à face avec leurs super organes génitaux, pour leur gloire de mourir les armes à la main, si j’ose dire.

    Je compte sur vous.

    Salut amical.

    • Batman et Robin c’est toujours une affaire qui roule ou c’est complètement has been ? Toute cette testostérone elle trouve où à s’écouler sinon ?

    • Merci pour l’analyse; Pas sûr d’aller le voir, j’ai un blocage sur Pattinson et sur Farrell.

      • (Ah Farell, celui qui ferait de grands yeux à la question mais à qui on s’en voudrait d’avoir à refuser quoique ce soit, même déguisé de façon hideuse)

        • Un Irlandais qui boit sec ! Il a commencé danseur mondain de boysband … enfin bon ! il faut un début à tout …

          • Absolument, danseur mondain comme le fut Rudolph Valantino ! Un port de tête et une largeur d’épaule à qui aussi je me serais sentie bien incapable de lui tenir la moindre rigueur. Oui, Je lui pardonnais tout.

  5. Transports en commun célestes

    Au CCCP(*) de l’Institut Saint-Émilion Bartabacs délocalisé, la rumeur enfle.
    L’absence de Dudu au BDÂ(*) depuis quelques jours s’expliquerait par une hospitalisation en urgence liée à un grave accident du travail alors qu’il effectuait des plantations de semis d’oliviers de la paix russo-ukrainienne au Couvent des Perruches.
    Au crépuscule, il aurait subi douze assauts coordonnés de nonnettes en rut dans le jardin du couvent, les nonnes le prenant pour le Christ réincarné, tant il élevait sa pensée et son beaupré à des sommets rarement atteints. Le supplice aurait duré jusqu’à l’aube.

    Informations à vérifier…

    (*)Bureau Démocratique des Ânes
    (**)CCCP : Comité Central des Camarades Palabreurs

    • C’est la démocratie populaire mon gars ! On envahit le corps d’autrui avec des slogans-à-la-khon et ensuite on fait catleya toute la nuit à tête reposée !

  6. Macron ayant une chatte de cocu, la rumeur enfle : Stéphane Bern aurait couché avec Brigitte !

  7. Au sujet des brioches vous savez que le cours du blé explose depuis le début de la guerre ukraino-russe ? En trois mois ma baguette est passée de 48 cents à 68 cents dans mon supermarché avant cette guerre – d’ici trois mois elle aura doublé de prix !

    Conséquences ? Enormes en Afrique et au Moyen-Orient …

    • Trump est le seul président depuis WW2 qui n’a pas déclenché de guerre – le complexe militaro-industriel ne le lui pardonnait pas ! Quand les Français comprendront que la guerre russo-ukrainienne a été voulu par les Américains pour être le tombeau de l’Europe il sera trop tard … il est déjà trop tard !

      • Il paraît que ces andouilles de Frenchies portant Macron à 30% dans les sondages ! C’est leur apocalypse qu’ils signent des deux mains …

      • En admettant que le conflit figure sur le calendrier du Futur si cher à Klauss (écrit noir sur blanc) même s’il est fort à parier que nous mordions la poussière, peut-être que cette guerre produira le grain de sable que redoutait Touf’ à Davos.

  8. Poutine fait de la diplomatie comme un homme d’État du XIXe siècle : il défend les intérêts de son pays, vaille que vaille, en mentant ou en pissant sur le droit international (qui ne demande que ça) s’il le faut. Comme BoJo. Que puit y comprendre un laborieux comme Macron, qui nous promettait*, torse bombé comme dans les lieux interlope(tte)s du Marais, qu’il avait convaincu Vladimir de ne pas attaquer ?

    *Silence médiatique, encore…

  9. Batmania et quatrième âge (suite)

    Dans l’Uhc qui retransmettait madame Butterfly nous avisames une petite vieille perdue dans les sombres couloirs menant aux innombrables salles obscures où le spectre des choses projetées est plus large que celui du soleil. Nous l’amenames dans la salle puis nous installames.
    L’écran diffusait des bandes annonces inhabituelles dans ce genre de projection et lorsque trois reubeux aux doigts popcorneux vinrent s’installer à grand bruit non loin, le doute n’était plus permis,nous assistions au début de Batman2. Nous changeammes promptement de salle sans avoir réapercu la vioque qui se tapa probablement tout le blocmachin sans moufter.
    Une révélation tardive pour elle ?

  10. La chatte à Macron (épisode 2346)

    Les Giles jaunes, le Covid et maintenant la guerre en Ukraine… Mais quel chatteux ce séducteur de boomers. Manquerait plus qu’il réchappe à un attentat pour que Charbonnel parvienne de nouveau à bander !

  11. La classe politique française ? A jeter sans plus attendre ! Entre Macron le oiseux, la Mémère à chats, Zemmour-qui-ne-voit-rien-venir et Philippot qui ne se sent pas concerné !

    Il reste … personne !

    • Sureau est un pompier pyromane. Il peut bien aller se faire foutre – par Manu, naturellement.

    • Il s’est acheté une villa à 34 ou 35 millions de dollars près de Miami en Floride !

    • Photo de la table des négoc. Ukr /Ru et « liquide » : dans les bouteilles, de l’Atomik, plutôt que de l’eau (ferrugineuse) (?)

      • La perspective des débris de ce pont jusu’à la population réfugiée sous le tablier est puissante. Très belle photo.

  12. Vous oubliez la Cendrine, moi pas.
    Après son (d)éjection par le boss (non déconstruit), on comprend enfin le pourquoi du comment : elle est née un 8 mars ! « Je suis comme Obélix, je suis tombée dedans que j’étais petite ». (lefigaro.fr)

    « Ça me déprime de faire de la politique dans des groupes du Ku Klux Klan. Je veux faire de la politique avec des visages de toutes les couleurs ».

    Elle peut toujours aller virer sa cuti chez Mélenche, où on ne mange pas de ce pain-là, avec l’Obono & co.

  13. On ne nous dit pas tout (suite) :

    Chapitre I – Les ukrainiens doivent pouvoir disposer de leurs droitspar eux mêmes. (si si)
    Assistance macro financière (aide géopolitique de plusieurs milliards d’euros, provenant essentiellement de la france et l’Allemagne et à moralité à géométrie variable selon le pays qui l’émettrait, ne nous trompons pas) de l’Ukraine par l’UE depuis 4 ans. En échange de quoi… (non, ce n’est pas gratuit) Supervision anti corruption du fonctionnement de la justice ukrinienne par l’intervention de juges « étrangers » (Canadiens, Britaniques, Danois, Autrichiens) siègeant dans les structures du conseil ukrainien de la magistrature supérieure pour décider de la nomination à la commission disciplinaire, en passant par les sanctions des magistrats ukrainiens… Pas que : les grandes entreprises publiques ukrainiennes disposent d’un conseil de surveillance des décisions stratrégiques dont 50% des membres sont issus des pays du G7…

  14. Les intervenantes et intervenants de ce blog auront beau chercher par tous les moyens à déconsidérer le pouvoir ukrainien, ils ne pourront jamais oblitérer la réalité : on sait qui est l’agresseur et qui sont les agressés. On sait qui balance les bombes et les missiles et on sait qui les reçoit en pleine tronche.
    Il y a de plus en plus de nauséabonderie par ici.

    • « on sait qui est l’agresseur et qui sont les agressés. »
       » Je me vaccine pour protéger l’autre »; « La liberté c’est la sécurité »; « Pensez Printemps »…
      What else ?

    • « On sait qui balance les bombes et les missiles et on sait qui les reçoit en pleine tronche. »

      Vous évoquiez le Donbass ? 13 000 morts…

      • Réaction d’une stupidité et d’une puérilité pathétiques.
        Vous jouez morts contre morts. Massacre contre massacre. Vous légitimez un massacre en fonction d’un autre massacre. Rien de mieux pour créer la spirale de la terreur.
        Tous les morts se valent. Le prix d’une vie en Ukraine est aussi élevé qu’au Donbass. Pas plus et pas moins.
        Dans la situation actuelle on sait qui est l’agresseur et qui sont les agressés. Sauf si on est sourd, aveugle et sans doute un peu limité.

        • Walord, je ne souhaite pas me soumettre à votre émotion sur commande qui ne s’affecte pas des morts du Donbass mais qui ne réagit uniquement qu’à ceux de l’Ukraine comme si une vérité vous était insupportable à entendre…
          Ce qui me chagrine aussi, voyez-vous, et sans aller jusqu’aux chars russes sur Paris, c’est de savoir qu’on puisse se prendre un missile à notre tour par la faute d’un conflit qui aurait pu être évité, que les banques françaises s’apprêtent à dévisser par la faute de sanctions qui n’ont aucun effet sur Poutine. Qu’aucune solutions de cesser le feu n’a été proposées…
          Ce conflit, que l’on est en droit de penser organisé, arrange qui au juste ?

          • Les Etats-Unis, qui ont toujours eu à cœur de réduire l’Europe, et qui avec une Russie en panne économique pourront se consacrer au Pacifique et à la Chine.

          • On est d’accord Jean-Paul, je faisais une tentative de « great reset » sur le cerveau de Warlord par le biais d’une question.

          • Si vous pensez que la Russie va se trouver en panne économique, même un reset de votre cerveau n’y pourra rien car vous êtes débranchés depuis lurette.

          • Heu… Du tout, je vous parlais d’une crise d’ores et déjà annoncée pour la France et vous ne semblez pas inquiet.
            La Russie va tenir sur une jambe les deux bras dans le dos dans la tempête qui se prépare. Que ce soit en blé ou en énergie, ils sont bordés.

        • Et vous n’êtes pas sans me rappeler les mêmes qui s’emballaient sur le candidat LREM, en avaient plein la bouche de ses promesses « Pensez printemps » et revenus tête basse un an après son élection.
          À ce jour, vous avez le ventre plein, peut-être un compte bancaire au vert, pourquoi pas un bas de laine mis de côté pour vos vieux jours, vous êtes de ceux qui n’avez qu’à traverser la rue pour trouver un job : pourvu que ça dure dans le meilleur de ce monde dans lequel vous êtes et qui est aux mains de 20% de la population, je vous le souhaite. Attention toutefois au retour de bâton.

          • Discours de communiste revanchard et aigri. Qui l’eût cru? Ce blog est un repaire de marxistes désoeuvrés.

          • Vous oubliez : Ce blog est un repaire de marxistes désoeuvrés hébergé par Causeur, tout de même. Excusez du peu.

    • Il n’y a pas de pouvoir ukrainien, mais un pouvoir otanisé ; point barre !

  15. « Je ne suis pas un numéro au service de l’Otan, je suis un homme libre ! » dixit Patrick McGohan alias Le Prisonnier !

    • Libre comme une blatte ferrière sa plinthe après avoir reçu une bonne giclée de Baygon vert

      • Les Blattes Fermières sont toutes aux Salon de l’agriculture de Paris cette année où elles se frottent les pattes car elles y font d’excellentes affaires !

        La hausse des cours c’est bon !

        • « La hausse des cours c’est bon ! »
          Attention, vous êtes à la limite du contrepet .

  16. « la Russie en panne éco » ?! De quoi vivre deux ans, même sans rien vendre, et la France… deux mois !
    « Que ce soit en blé ou en énergie, ils sont bordés » : ben oui !
    Qu’attend le seigneur de la guerre pour se précipiter en Ukraine et défendre ses petits camarades ?!

      • Tout le pipot de nos médias fait autour d’une parano que développerait le chef du kremlin depuis quelques temps (et à laquelle j’ai cru ! je l’avoue) pour justifier la farce, le super camouflet que fut son accueil.

      • Voilà un chef d’Etat, Poutine, qui se maintient au pouvoir 35 ans (7 quinquennats…) au minimum, qui écrase sans pitié la Tchétchénie, qui maintient par les armes Bachar El Assad à la tête de la Syrie en rasant au passage la ville d’Alep et en ayant dans ce pays un peu plus que les 13000 cadavres du Donbass sur les bras (mais après tout les syriens c’est des arabes alors on s’en fout), qui annexe la Crimée par les armes, qui refait le même coup avec l’Ukraine, et il y a sur ce blog des aveugles pour y voir la responsabilité de l’OTAN. Magnifique.
        L’esprit munichois a encore frappé.

        • (Macron est peut-être convaincu de s’entretenir avec Poutine au téléphone, d’être au centre des décisions stratégiques internationales comme ça le laisse croire mais peut-être a-t-il aussi un russophone imitant la voix de Poutine à l’autre bout du fil — je n’ose pas imaginer Macron inventant ces conversations —, parce que je doute du moindre intérêt que lui porterait la Kremlin après l’accueil honteux qui lui a été réservé qui est une forme de déclaration de guerre, j’ai du mal à le croire)

  17. Warlord, avez-vous lu l’article de Brighelli à Causeur ? Si oui… Meirieu a fait encore plus de mal en compréhension de texte qu’il n’y paraît. À moins qu’il ne s’agisse de Carl Friedrich ?

    • En géopolitique ma bibliothèque c’est Pif le chien, Placid et Muzo, Modeste et Pompon, et occasionnellement Tanguy et Laverdure pour l’aspect militaire. Sinon, rien d’autre, et surtout pas Brighelli.
      Votre pseudonyme tronqué est incorrect, la bonne forme aurait dû être Niky Takroucht. Mais il manquera toujours le chev, le chef que vous ne serez jamais car vous n’êtes évidemment qu’un suiveur.

      • 1) Quand on juge la pertinence des analyses des uns et des autres… il pourrait être intéressant de les lire. Mais bon.

        2) « Votre pseudonyme tronqué est incorrect, la bonne forme aurait dû être Niky Takroucht » : une raison à cette orthographe ou c’est seulement une transition lourdingue ?

        3) « le chef que vous ne serez jamais car vous n’êtes évidemment qu’un suiveur » : en effet.

        4) Vos références et votre transition mal faite me rappellent quelqu’un… Mais qui ?

  18. Le virus est de retour in HK ! (signalé par Dug, 16h07).

    Un énième tour de vis : Xi resserre l’emprise, fait tout pour mater la contestation latente ; et quoi de mieux qu’un bon confinement ?!
    Malin le Xi ! Et pour Taiwan, que manigance -t-il ?!

    • Va te faire foutre, Travello-la-Visqueuse. C’est un objectif qui te va comme un gant…Tout ce fatras que tu débites sans arrêt n’occulte pas ton immense khonnerie. Minable sotte !

      • Affirmer, comme le fait l’intervenant Traveller qu’il n’y a pas de pouvoir ukrainien et qu’il ne s’agit que d’un pouvoir otanisé, ne méritait sans doute pas autre chose que ce déversement d’insultes.

  19. Contrairement à vous tous ici, je n’ai pas beaucoup d’avis pertinent sur le conflit russo-ukrainien, mais je trouve que cette chasse aux biens des oligarques est complètement idiote, car c’est sans compter le plaisir de prendre un télé-siège à Courchevel à côté d’un mannequin russe. Je me souviens qu’il y a quelques années ils avaient failli y emprisonner un oligarque russe parce qu’il avait fait livrer par un camion autrichien un régiment de ces « mannequins » ravies de venir y passer le jour de l’An. Faut dire que comme les gonzesses passaient d’un hôtel 5 étoiles à un autre, les gendarmes avaient vite compris que les filles n’étaient pas venues là que pour glisser dans la neige, même si à Courchevel, elle est super bonne.
    En plus, ça sert à quoi de frapper fort les portefeuilles des oligarques roublards ? T’imagines un peu l’injustice : un pauvre portefeuille qui n’a rien demandé à personne se promène tranquille à Courchevel, et vlan, des types se rappliquent et boum, ils le frappent fort à coups de matraque, ils le piétinent, ils le dépècent, jusqu’à ce qu’il ne ressemble plus à rien. Et ils le laissent là, sanguinolent et gémissant dans le ruisseau. Et ensuite JP, il fait venir le commissaire Maigret(de canard) pour qu’il trouve qui a tabassé le portefeuille…
    Si ça se trouve, après ils vont même s’en prendre aux oligarques français…les types ils ont rien compris à la comptabilité : si on prend les richesses de la Russie ou de la France et qu’on les partage entre tous ses habitants on obtient une classe bourgeoise à peine moyenne. Alors que si on refile ce pognon à une vingtaine de types on les rend heureux. Vaut mieux avoir une petite poignée de gens heureux qu’une majorité de frustrés, non ?
    En tout cas c’est le principe de la comptabilité actuelle. La comptabilité c’est le seul truc qui tienne à peu près la route dans notre monde : si on la modifie, sûr que le monde s’écroule.
    Ursula, elle ferait bien de penser à ces fondamentaux.
    BJ à toussent !

    • « tout ce fatras que tu débites sans arrêt » !
      blablabla, zzzzzzzzzzzzzzzzzz ! le roi du baratin, le roi de la tartine, le tartineur en chef a déroulé, as usual, son long parchemin ! mais qu’attend-il pour prendre la plume (la vraie, et pas celle qu’il a dans le cul) et se mettre à pondre, pour de vrai !
      il restera nezàmoins à 10 000 kms d’un Abel Quentin, un ex, parmi d’autres.
      Méchant et sentencieux ! j’en ai assez ! les meilleures choses ont une fin !

  20. On croyait que l’injection de cocktails létaux était une spécialité bulgare. On voit maintenant que les russes en maîtrisent (même mal) la technologie. Le visage altier du caucasien du Kremlin pourrait bien à l’avenir se couvrir de boutons purulents.
    Observons.

  21. Si Pout’ est acculé à Moscou, il pourra toujours envisagé une exfiltration sur l

  22. Se mêler de ses oignons… c’est déjà beaucoup trop demander à notre gouvernement.

  23. Les ministres allemands des Finances et des Affaires étrangères se sont prononcés dimanche contre une interdiction des importations de gaz, pétrole et charbon depuis la Russie dans le cadre de nouvelle sanctions liées à l’invasion de l’Ukraine.

    «Il faut pouvoir tenir les sanctions sur la durée», a expliqué la cheffe de la diplomatie, Annalena Baerbock, à la chaine ARD. «Ca ne sert à rien si dans trois semaines on découvre que nous n’avons plus que quelques jours d’électricité en Allemagne et qu’il faut donc revenir sur ces sanctions.»

    «Nous sommes prêts à payer un prix économique très très élevé» mais «si demain, en Allemagne ou en Europe, les lumières s’éteignent, ça ne va pas arrêter les chars», a ajouté Annalena Baerbock lors d’une interview à la chaine ZDF. Si ces sanctions mettaient un terme à cette guerre, je les prendrais immédiatement».

    > LIRE AUSSI – Guerre en Ukraine : coupure totale du gaz

    • Je vous résume la chose dans ses grandes lignes : tous les courageux bourgeois européens sont prêts à faire la guerre à la Russie sauf évidemment si cela les faisait souffrir !

    • Est-ce à dire que le gaz liquide de Joe B. n’est plus vraiment sexy ?
      Est-ce à dire que le « Fuck UE » de V. Nuland résonnerait enfin au fin fond de leur mémoire ?
      Et comment Joe B. va prendre ce changement de programme ? Mal, très mal.

      • Il est surtout très largement insuffisant ! Rien ne peut remplacer Nordstream ! – d’où le n°2 en attente.

        • Oui, et les infrastructures ne permettent pas non plus le traitement de gaz liquide.
          Et puis Joe s’est très honorablement refait sur notre dos avec pfizer et quelques autres, qu’il se garde de chouiner, qu’il se fasse discret ou on le rappelle aux textos d’Ursulla.

    • Rétropédalage suite : La France ommet de faire figurer une dénonciation de la Russie dans un projet… Mais que se passe-t-il ? On veut connaître la teneur de la discussion entre Poutine et Manu !

      AFP :

      Initialement envisagée mardi, la mise au vote au Conseil de sécurité de l’ONU d’un projet de résolution franco-mexicain sur l’aide humanitaire en Ukraine envahie par la Russie s’est heurtée cette semaine à des complications, venues paradoxalement des Etats-Unis et d’alliés européens de Paris.

      Selon des diplomates, un scrutin n’est plus imminent et pourrait même n’intervenir que la semaine prochaine.

      La question de « couloirs humanitaires », soulevée jeudi par les négociateurs russes et ukrainiens, pourrait modifier la réflexion du Conseil de sécurité (quant à leur mise en place et leur éventuelle protection), même s’il est probable que la Russie mettra son veto à toute implication de l’ONU pouvant gêner ses plans. Les Nations unies sont absentes des pourparlers russo-ukrainiens.

      Le projet franco-mexicain pour le Conseil de sécurité, visant à « garantir un accès humanitaire sans entrave », avait été annoncé dimanche par la présidence française. Il avait été suivi d’une réunion d’urgence lundi à l’initiative d’Emmanuel Macron.

      Cette « précipitation », ainsi qualifiée par un diplomate demandant l’anonymat, n’a pas été du goût des Etats-Unis, ont confié plusieurs sources à l’AFP. Un projet américain de résolution condamnant l’invasion russe, co-rédigé avec l’Albanie, s’était heurté le 25 février à un veto de la Russie.

      Washington, soutenu par Londres, a trouvé que le « timing » n’était pas bon et voulait attendre le vote d’une résolution — exigeant l’arrêt de l’offensive russe — à l’Assemblée générale de l’ONU. Intervenu mercredi, celui-ci s’est traduit par 141 votes pour et 5 contre.

      Plus grave, de vives critiques ont été portées par des membres du Conseil de sécurité à l’égard du projet franco-mexicain jugé « faible » et ne comportant, semble-t-il, pas de dénonciation de la Russie. Après plusieurs révisions, le texte a été « durci », selon des diplomates, refusant tout détail.

  24. Vous imaginez on pourrait faire la guerre et en mourir dans d’atroces souffrances !

    • L’étau se resserre là bas, les taux se resserrent ici ( à la bourse) les sots se reterrent partout.
      Terrez- vous Driout !
      S’agissant de souffrance, êtes-vous capable de souffrir de la délation des femmes ?
      Oui…

      • Vous n’êtes pas le Pape quand même ! Donc avec ou sans votre autorisation je vais m’abstenir de souffrir pour les beaux yeux de l’Otan !

        • Votre remarque signifie-t-elle qu’il faudrait soumettre nos dires au Pape ?
          Oui…

  25. Vous savez que ce sont les gouvernements anglais et polonais qui menaçaient de faire une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine en réponse Poutine leur a répondu nous avons des missiles nucléaires ! Du coup les Anglais et leurs alliés Polonais ont retiré leurs menaces illico presto …

    La France n’a aucun espèce d’intérêt personnel à être dans l’Otan – ce sont les bourgeois français qui ont soutenu Sarkozy l’américain puis Hollande l’américain puis Macron l’américain qui nous ont mis dans une position désastreuse pour notre situation diplomatique !
    Les bourgeois français sont des débiles profonds en ce qui concerne la géopolitique … qu’ils s’occupent donc de leur portefeuille !

  26. On sait à quoi sert l’ONU : à rien.
    La Russie propose 6 couloirs humanitaires pour évacuer les civils ukrainiens : ces couloirs ont tous pour point d’arrivée la Russie et la Biélorussie. L’humour de Poutine est sans limite.
    Sans doute encore une manoeuvre inadmissible de l’ OTAN ?

    • (Il est khon ou bien ?)
      C’est un peu la Russie qui décide en ce moment, elle ne demande la permission au cas où vous n’auriez pas saisi. Après que Poutine ne souhaite pas établir de lien territoriaux avec des puissances ennemies susceptibles d’être des brèches d’interentions peut se comprendre. Non ?

        • En mai-juin 1940, vous auriez proposé aux civils de notre pays fuyant les attaques de Stukas d’aller se réfugier au sein du Reich?
          Remarquez, peut-être bien, vous me semblez capable de toutes les stupidités.

  27. Jouer les demeurés – style Warlord – en se jetant sur Poutine comme la vérole se jette sur Dugong est particulièrement grotesque : on ne peut ignorer la géopolitique ricaine des quinze dernières années. Mais tout mettre sur le dos de l’OTAN est aussi ridicule. Poutine est un homme d’État qui défend ses intérêts nationaux avant la moraline occidentale – il faudrait l’attaquer sur son terrain. Écoutez donc BoJo.

    •  » il faudrait l’attaquer sur son terrain. »

      Ce n’est pas un peu tard, non ? J’ai un doute.
      En fait, son pays est gros comme ça et nous, nous sommes petits comme ça.

      • L’attaquer sur son terrain, id est la défense des intérêts nationaux, revient à s’abstenir ou à frapper très fort – tout l’inverse des demi-mesures actuelles qui font bâiller Poutine d’ennui. Mais pour cela il nous faudrait des dirigeants, qui connaissent le monde et ses caractères, qui aient un peu vécu. Là(s)… nous n’avons que des énarques de bonnes familles qui ne connaissent pas les gens. Macron n’est pas idiot, il est même assez intelligent. Mais on n’apprend pas la vie comme on réussit l’ENA.

        • Vous êtes dans une logique qui est annoncée perdante : le conflit.
          L’humilité n’est pas le fort de nos politiques. Poutine fait ce qu’il veut à présent, et il ne va pas se priver de le faire. C’est une gabegie européenne à tous les niveaux, du grand n’importe quoi — ce que la crise du covid à un niveau moindre nous avait déjà démontré : et que je te pique les masques en provenance de Chine durant une escale, et que je te laisse crever, chacuns ses respirateurs artificiels, chancun sa merdre etc etc — La situation excelle dans la démonstration du bien fondé de cette Union qui est en réalité « chacun sa merde ». Ils ne vont pas pouvoir se retenir bien longtemps… Et l’autre en mode mariachi à l’ONU. Pff. C’est la mort annoncée de l’UE.

        • Apprendre à parler en public, ça s’apprend aussi, ça se patine, ça se cultive ! cf. le 1er oral de la valoche, chronique d’une mort annoncée.

    • Niky Takrout est la copie conforme du barde Assurancetourix. Il est persuadé d’être génial, mais tout le monde n’a qu’une envie : qu’il la ferme.

    • Bientôt la formation du Front national de libération de l’Ukraine dont Poutine fait tout pour favoriser l’émergence.

      Bon courage aux russes qui demanderont peut-être l’expertise vietnamienne des cow boys.

  28. Il y a le bon troll et il y a le mauvais troll… N’est pas Fregoli qui veut ! (Des nouvelles d’ailleurs ?)

  29. Vous connaissez tous la formule : quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console. Merci Warlord !

  30. Poutine défend d’abord et avant tout les intérêts russes… Mais qui l’eût cru, qui l’eût cru ?

  31. Niky Takrout :
    Et un gagnant à <-3σ, et un !

    Les sigmagrées ne vous suffisent plus, vous avez maintenant rejoint Sigmaringen. Restez-y.

    • Question intéressante : être à >3σ à Sigmaringen ou à <-3σ en Transcendentalie… ? Il faut que j’y réfléchisse.

      • Les contes philosophiques de Voltaire ne sont pas ce que je préfère de lui. Mais il y en a un sympa sur l’imbécile heureux (l’êtes-vous au moins W. ? heureux, hein, imbécile je n’ai pas trop de doute) et le sage sous Prozac (moi pas concerné donc) : Histoire d’un bon bramin.

        Hélas il faut savoir lire… Et en plus d’être compliqué, cela représente un horrible danger – comme chacun sait.

      • Vous vous Gaussez sans doute avec vos sigmas de cocagne.
        J’ignore quelle est la capitale de la Transcendantalie, mais je sais que Sigmaringen est la capitale de l’Infamie. Sans doute en êtes-vous un résident permanent, un hôte d’honneur pour ainsi dire (façon de parler bien sûr).
        Bon, assez ri, j’ai du boulot.
        Embrassez bien des part, à la russe, et en mettant la langue, les canons de Guerassimov.

        • C’est tout le problème des langues ! Évidemment que dans l’idiome des Transcendentaliens de l’Ouest Sigmaringen se situe en Infamie. Mais certains parlent la langue d’Heisenberg : Sig’ peut ou peut ne pas être en Infamie – puisque la mappemonde axiologique subit une immanente tectonique !

          Rah là là… vous ne connaîtriez pas un bon linguiste pour nous expliquer cela ?

          • Utilisez la vôtre, de langue, pour tailler une pipe aux missiles intercontinentaux et aux SS20 de Poutine, ça lui mettra du cœur au ventre pour défendre sa Russie injustement attaquée par l’OTAN ukrainisée.

          • Vous êtes long à la détente… Poutine pense faire une « guerre préventive » que, du haut de mon mètre quatre-vingt-cinq, je ne soutiens pas. Parce que je ne suis d’aucun camp (si ce n’est, éventuellement, le camp français). Devant PSG-OM quel besoin de nécessairement soutenir l’OM ? Au mieux je regarde le beau jeu (enfin en ce moment…), au pire j’éteins la téloche et trousse ma gueuse.

  32. … Et ainsi, ne restera-t-il qu’une seule « voix »  » féminine » sur ce blog, une pour qui je garde de l’estime ? Quant à certains autres, d’une peur à l’autre, ils continue(ro)nt d’observer les narratifs, divers mais non variés, et iront sans doute bientôt pousser un ouf (mais non, le ciel russe ne leur tombera pas sur le pif), dans l’attente de jours – meilleurs ? ; peu d’espoir en ce sens – m’enfin, ils s(er)ont encore en vie, bien à l’abri (?!).
    (et les vrais bons havanas se feront de plus en plus rares !)

    • Laissez donc les idiots jacasseurs où ils sont…

      (Et demandez à Warlord son répertoire, au cas où…)

  33. La mort annoncée de l’Union est l’arlésienne des serpents de mer… Increvable qu’elle est ! Même le Menhir y passera avant elle.

  34. @ Traveller,

    Bdâ c’est apprendre à accorder à une émotion d’un instant une valeur relative à sa durée, c’est à dire à peu près rien.
    So what, vous souhaiteriez la faire durée infiniment ? Tss, allons…

  35. Est-ce que vous croyez à l’amitié éternelle ? Moi c’est moyen-chaud …

    « La Chine réaffirme son « amitié éternelle » avec Moscou
    Lors d’une conférence de presse, le ministre des affaires étrangères chinois, Wang Yi, a dénoncé, lundi 7 mars, la « mentalité de guerre froide » des Etats-Unis, tout en se disant prêt à « faciliter le dialogue » dans le conflit russo-ukrainien. »

    • Avec les Chinois tout est toujours éternel ! Les fils du ciel éternel … c’est un gimmick non ?

    • Auusi éternelles que ne le sont les importations chinoises en Russie. Elles ont explosées en 2022. Ils le bichonnent le Vlad. Que voulez-vous, lui paie rubis sur ongle quand d’autres ont du mal à joindre les deux bouts : suivez mon regard à l’Ouest…

      • Tellement « rubis sur l’ongle », que les banquiers d’ici ont demandé un rétropédalage urgent : suppression de Swift ?! Et puis quoi encore ?!

  36. J’ai toujours un peu de mal à ne pas rire quand j’entends le langage diplomatique !

    • « et LVMH et Chanel ont provisoirement fermé leurs boutiques dans la capitale russe. »

      Précisons que la décision n’est pas forcément et uniquement politique mais aussi technique puisque le réapprovisionnement des boutiques est pour le moins délicat en ce moment : les cieux sont fermés.

  37. Toujours cette tartine de niaiserie selon laquelle la culture ou la civilité rendrait meilleur…

  38. L’ONU a la même utilité que les gardiens de Fort Knox : elle ne sert à rien mais la quitter serait suicidaire pour un membre permanent du CS.

  39. Macron dénonce le « cynisme moral et politique » des Russes. Poutine doit trembler.

  40. Non mais vous voulez vraiment cinq ans de plus avec cette petite frappe ? Poutine envahit un pays, bombarde des civils, déplace des centaines de milliers de personnes, et Macron ne trouve rien de mieux que ouin-ouin-le-méchant-cynique ? Au secours, sortez-moi de là !

    • Le choix dans la date, toujours essentiel.
      On peut se demander si Putin, qui est très bien renseigné et qui sait donc qu’il n’y a plus en Europe de dirigeants capables de lui résister, n’a pas trouvé la période très favorable pour réaliser ses fantasmes.
      Oui…
      PS:
      Je ne veux froisser personne, c’est juste une question que je me pose.

      • Ben oui ! sauf que ce n’est plus un « fantasme » ! On (« l’Europe » !) reçoit dans la gueule le boomerang que l’on (qu’elle) mérite et
        c’est le pauvre peuple qui trinque ! toujours la même rengaine.
        Après le peuple du Donbass, le peuple ukrainien. C’est ainsi que les hommes vivent !

  41. Des guerres aux trous : pour l’un « niquer, niquer, niquer » – à intervalles (ir)réguliers – pour un autre « trousser ma gueuse « (et les gueuses de ricaner), et j’en passe, et des meilleurs ! C’est ainsi que les hommes vivent. 😊

    • Jamais encore une ne m’a crié bravo… mais aucune ne s’est plainte !

    • Guerres et trous, certes, mais ce qui fait le propre de l’homme, c’est le rire.
      Et là, rire jaune ?
      Russie-Chine – Xi vient de dire : « une amitié solide comme un roc » – « les perspectives de coopération future sont immenses ».

  42. Sanction (suite 2) – Les blagues du petit commis à l’économie (suite) :

    sur Bfmtv : « Guerre en Ukraine : Bruno Le Maire appelle tous les Français à « faire un effort » sur leur consommation d’énergie »

  43. Quelques coups de mitraille sur les pièges à kons de « Sarlat » 🤣 auraient peut-être leur utilité ; heureusement les Azov ne s’intéressant qu’à l’Atomik, Sarlat peut continuer à vendre ses produits made in, en toute tranquillité.

  44. La « primaire Populaire ™ » soutient maintenant merluchon.
    Tout ça pour ça !

      • Vous ne préferiez pas connaître son nombre d’adhérents (dont je ne suis pas), non ?
        Que voulez-vous, la gamelle qu’offre l’AFP à ses chiourmes a de sérieux relants de déjà-lu outre-atlantique.

      • (Bollo est un petit joueur, un autre aurait suivi les traces d’un Maxwell. La base…)

      • Ass et ses très bonnes 13′, c’est vrai ; c’est aussi un amateur de jeunes ass ; ça déplait peut-être à certains.

  45. La bourgeoisie française cherche à se recentrer : id est à trouver qui est le plus fort ! En 40 c’était les Allemands on collaborait activement ; à partir de juin-décembre 41 entrée en guerre des Russes et des Américains, basculement, on est du côté des Alliés !

    Pour le moment à l’heure actuelle 8/3/22 on est du côté des US … bon ! évidemment si les Russes coupent le gaz on se ravisera … on coupera la poire en deux ! Un peu pour les Russes et Poutine et un peu pour les Américains et Biden !
    La bourgeoisie ne fait pas de chichi : là où sont les intérêts et la mangeaille là sont ses valeurs ! Pour les principes … on verra dans une autre vie meilleure !

    • Si cela se trouve et si Poutine gagne haut la main cette guerre on lui trouvera un air de petit saint !

      • On est fièrement Français avant tout ! Tout pour le vainqueur qui ramasse tout !

      • Un nouveau Saint Vlad, alors – le premier, portant longue barbe, et surtout Prince de la Russie Kievienne.

        • Certes, mais en attendant des jours meilleurs, réduisez votre consommation et faîtes la traque à la vie chère !
          Oui…

          • Le Lacq n’est plus en feu ; quant au Lorrain, il peut assurer « cinq années de consommation hexagonale » (pas abonnée, je n’ai pas tout lu).
            Bon dieu, cinq années, mais ça tombe pile poil !
            Voici donc la question du gaz réglée ; en avant toute pour un Touf’2, en suivant sagement les conseils du petit commis en matière d’Economie(s). 😊

          • « Pas abonnée, je n’ai pas tout lu »

            Un triste sir avec qui j’échangeai l’été dernier, se targuait d’être une flèche en math, en cinoche, en meufs, toussa , bref un super malin dont les capacités se limitaient à être l’entière lecture d’un article abonné sans l’être… Et c’est vers moi, canard boiteux du blog, qu’il venait quémander sa pitance brighelienne quand celle n’était pas en libre lecture, moi-même qui, comme vous, n’étais pas abonnée. Pas si malin le cador.

          • Ouch, c’est parti en vrille, je recommence :
            « dont les capacités se limitaient à ne pas pouvoir dépasser le texte accordé d’un article accessible aux abonnés. »
            PS : la totalité étant obtenu dans les règles autorisées, je ne suis hacker.

    • J’ai ouï dire que quelques-uns étaient attendus ici, et ça déplaît à certains terrrriblement racistes (Ivan était russe, pas ukrainien). Et puis, qui sait, ils vont peut-être lancer du neuf, côté bouffe : pizzas, kebab, sushis… on finit par se lasser 😊

  46. L’objectif des anglo-saxons c’est de rattraper leur échec en Syrie – faire de l’Ukraine un abcès de fixation pour la Russie de Poutine ! Donc à priori si Poutine ne remporte pas une victoire décisive sur le régime pro-américain de Zelensky la guerre durera un temps illimité …

    Intérêt de la France ? S’extraire du piège otanesque, récupérer le maximum d’indépendace énergétique, laisser les Allemands se débrouiller avec leurs contradictions et reprendre ses billes dans l’industrie militaire.

    • Que la France fasse cavalier seul est conforme à sa mission émancipatrice !

      PS Evidemment l’actuel président est tout à rebours de cette position ! Il veut effacer toute trace d’indépendance de la France !

    • P. Driout, voit tout juste ! Driout grand sratège ! Driout au pouvoir ! Un Driout sinon rien (et je suis très sérieuse) ; et en plus, toujours aimable et courtois, il serait donc inestimable sur le plan diplomatique.

  47. Qui va faire le sale boulot c’est toute la question ? Y a pas un Corse de disponible ?

    • Si à 50 ans tu n’as pas été accusé de comportements inappropriés t’as raté ta vie ?

    • Tout le monde sait bien que Zemmour est un serial niqueur.
      Que ça sorte maintenant et chez Mediapart — qui au fond roule pour Macron — c’est le signe que Z devient un postulant sérieux au second tour. Ce qui me contriste fort, parce qu’il se fera laminer à la fin, il roule pour sa pomme, pas pour la République.

      • C’est sorti depuis un certain temps déjà. Ce qui est récent, c’est les témoignages à visage découvert.
        Et que Zemmour le serial niqueur se passe apparemment du consentement des niquées, est-ce que ça contriste Brighelli?

        • Le sérial queutard va sa faire bananer par les femmes moitié-harpies moitié-groupies ?

        • Vous le connaissez ? Il fait 50 kilos tut habillé et mouillé. Pour se passer, comme vous dites, du consentement des dames, il faudrait qu’il les choisisse dans le mini-mini-mini. N’importe quelle fille ordinaire lui en colle deux et ça s’arrête là.

      • « Ce qui me contriste fort, parce qu’il se fera laminer à la fin, il roule pour sa pomme, pas pour la République. »

        On peut en savoir plus sur cette partie ?

        • Venant de Brighelli (qui soutient « incompréhensiblement » Pécresse), ça vaut son pesant de cacahuètes !

        • Il me semble que j’ai tout dit. Zemmour est obnubilé par sa personne. L’état de la république arrive loin derrière son nombril hypertrophié. Dommage, c’était un garçon charmant. Il se prend désormais pour un prophète.

  48. Je me souviens que Sophie Darel s’était fait bousculer sur son lit par Claude François et l’avait victorieusement repoussé – il lui avait dit : tu ne sais pas ce que tu manques ! Et effectivement elle l’avait regretté, trop bête s’était-elle dit !

    Il fut un temps où les femmes appréciaient les bousculades des vedettes de l’écran malgré tout !

  49. Régime sec (suite) –
    Sondage Figaro : pétrole, gaz, êtes-vous prêt à réduire votre consommation :
    Oui : 67.75 %
    Non : 32.25 %
    Ben voila ! nous pouvons donc nous passer des Russes ! on co-voiture à donf et l’hiver prochain on se réchauffe serrés les uns contre les autres – une excellente raison pour ne surtout pas en revenir au « distanciel ».😊

  50. Les ascenseurs et nous –

    Du temps très lointain, où on pouvait s’y trouver coincés, tout était possible – ainsi, les pannes à NYC pouvaient être suivies d’un léger regain de naissances.

    Avec un Nosferatu, même pas besoin d’une tresse d’ail ; un léger coup de pied bien placé et basta ; rien qu’à voir ses petits bras ra(t)bougris, avec sa copine (photo Paris Match de l’été dernier, me semble-t-il) suffit à rassurer n’importe quelle jeune damoiselle. 😊

  51. J’ai une explication de la haine rabique pour Poutine des Européens !

    Les Européens se prennent tous pour des clones des citoyens-du-monde !
    Ils sont persuadés d’avoir dépassé leur européanité et d’être les fanaux de l’humanité future !

  52. Zemmour a-t-il jamais défendu la République ? Il est juif certes – mais pas vraiment tendance francmac’ du Printemps républicain. Et heureusement !

    • Il est même un grand pourfendeur de l’État de droit, fatras intellectuel justifiant le pouvoir judéo-juridictionnel…

  53. Il n’y a plus un mot de français prononcé dans le RER… et certains veulent réélire Macron ! Boomers, je vous hais.

    • (Des cristaux d’ecstasy ? Ah, oui ?… des barrettes de coke et des lignes de poppers ?)

  54. La République… un autre fatras définitionnel auquel il faudrait faire un sort. Je suis sûr que Jojo/Warlord apprécie !

    • Je l’ai déjà dit et je le répète : je ne sais pas qui vous appelez Jojo, mais moi je suis moi et je ne suis que moi. Ça vous déplaît peut-être mais qu’y puis-je? Je ne pratique pas la schizo.

    • Le « foutriquet » (Thiers, ainsi nommé par les Communards), cf Hébert et son « père Duchesne »…

      • Foutriquet, Touf’… – c’est quand j’ai lu relu des trucs sur la Commune, il y a un an environ… que j’ai fait un lien avec la création spéciale Dgng…

  55. Zemmour a déclaré un patrimoine de 4,2 millions d’euros ! Un bon petit gars qui bosse … pas comme Poutou 122.000 euros fainéant !

  56. Je ne prends pas tout chez Gave, loin de là mais sa dernière analyse me paraît juste : il est plus intéressé par les 67 % qui sont contre Touf’ que le restant en sa faveur. Il prévoit un bel absentéisme au premier tour mais pense que beaucoup se déplaceraient au second tour pour voter contre Touf’, tour tant il est détesté. Je fais le même constat. Wait and see.

  57. Trouvé sur Wikipedia à propos de Gave soutien de Zemmour 2022 :
    Lors d’un entretien avec Paris Match en juillet 2021, Charles Gave déclare que la campagne d’Éric Zemmour ne « coûtera pas cher, on lancera une chaîne YouTube depuis la Russie et on se débarrassera des sangsues, des brigands, de cette haute fonction publique »

    Depuis la Russie? Je note, je note…

  58. Ici il y a le clan des millionnaires – celui de Dugong – et le clan des mal-intentionnés, c’est à dire tous les autres : les pauvres, les salauds de pauvres !

    • Je dis cela … c’est pour faire avancer le schmilblick ! C’est pas pour la lutte des classes … d’autant qu’il y a longtemps que j’ai quitté ma classe !

    • Foutre ! Je suis millionnaire en anciens francs. Je ne ferai pas une déclaration de patrimoine pour autant…

      Vous êtes un parasite entretenu par le système, c’est pas joli, joli.

  59. Où est l’argent ? C’est Jean-Michel qui a pillé son compte en banque pour se payer des fanfreluches ?

  60. Embargo sur le pétrole russe : les Etats-Unis se heurtent aux exigences de l’Arabie Saoudite.
    Parmi les conditions posées par Riyad, il y a la demande d’immunité pour se rendre aux Etats-Unis pour le prince héritier Mohamed ben Salmane , où plusieurs plaintes ont été déposées contre lui après l’assassinat en 2018 en Turquie du journaliste saoudien réfugié aux Etats-Unis Jamal Khashoggi. (Reuters)

      • Bel homme mais ça n’empêchera pas l’indignation sélective des US. Il y a les méchants et il y a les méchants, et ce n’est pas du tout la même chose.

        • « Il en ressort que les Saoudiens ont posé leurs conditions pour augmenter leur offre pétrolière : un appui technologique et le partage d’informations pour soutenir leur intervention militaire dans la guerre civile au Yémen, où ils affrontent des rebelles houthis soutenus par l’Iran, une aide technologique pour développer leur propre programme nucléaire et, last but not least, l’immunité pour le prince héritier Mohamed ben Salmane pour se rendre aux Etats-Unis. Sur le sol américain, plusieurs plaintes ont été déposées contre lui après l’assassinat en 2018 en Turquie du journaliste saoudien réfugié aux Etats-Unis Jamal Khashoggi. A l’époque, le prince héritier avait fait l’objet d’une réprobation internationale sauf par Vladimir Poutine. » La Tribune

  61. Tiens… ça fait longtemps que Brighelli ne nous a pas parlé des Liaisons dangereuses… Quelqu’un a des nouvelles ? Il est malade ?

  62. Pierre, accepteriez-vous d’être président de l’Union nationale des moisissures, raclures et autres débris rueillois ?

  63. Quid des escargots ?
    Je constate que l’affaire reste en suspens.
    Ah, la France, ses escargots et ses grenouilles, ces « frogs »…

    … « en 1790-1791, non seulement les indigènes de La Grenouillère mais encore, par assimilation, l’ensemble du peuple de Paris étaient appelés «les grenouilles» par la noblesse proche de la cour ».

    cf. la « véritable histoire des froggies » :

    https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/2016/09/02/37003-20160902ARTFIG00067-la-veritable-histoire-des-froggies.php

      • Races bovines : Entre le charolaise et l’angus, ça peut s’accrocher dur.

        Dans l’Oise, « Le bruit et l’odeur des vaches » ont conduit les voisins d’un éleveur de l’Oise au Tribunal, qui l’a finalement condamné en appel à verser 102 000 euros à ses voisins – certes, 260 bovins, au cœur d’un village…

        N’empêche : La protection du « patrimoine sensoriel des campagnes françaises » est en marche.

  64. Faut-il envoyer un corps expéditionnaire en Corse pour libérer les Corses malgré eux ? Je pose la question sérieusement à un expert JPB ! Il nous faut peut-être un Poutine corse ou marseillais ?

  65. La guerre réussit au teint ! Je vous demande mesdames d’y réfléchir ! N’auriez-vous pas envie d’accueillir chez vous un beau guerrier retour du front de Corse tout bronzé et sentant le sable chaud ?

  66. « On crée des situations, on mobilise des ressources, on accompagne des personnes pour qu’elles comprennent ce qui leur arrive et mobilisent leur liberté. »

    Mobilisez votre liberté ! Deux lignes après une pique aux technocrates…

  67. Oui, Pierre, autant renoncer à la Corse que de s’équiper d’un paire de crevettes aux pieds pour songer à faire quelques brasses. Ici, dans le même genre : on me suggère la tenue néoprène pour pouvoir nager pourme protéger du froid, ils ne comprennent pas que je ne conçois pas de devoir m’habiller pour me baigner !

  68. Lire Benoît Coquard : les représentations dominantes de la campagne sont issues des villes. L’odeur du fumier, le cigales qui chantent, le vert pâturage – tableaux peints depuis les métropoles. Bien souvent ce sont les néoruraux qui se piquent d’avoir un jeune coq et l’installent sous les fenêtres du voisin, emmerdant absolument tout le monde. Eh oui, les gens des campagnes sont gens normaux : ils aspirent plus au calme qu’à satisfaire l’imaginaire du bourgeois. À Dieu ne plaise que les méridionaux veulent imiter Pagnol !

  69. Se balader avec une plume, difficile dans les temps à venir ; l’été, réchauffement clim’, ok. Mais l’hiver sans gaz (russe), ça sera dur.

    Cendrine a LA solution : « Il faut se passer du gaz russe » et « baisser le chauffage de deux degrés »,
    et, surtout, lancer « une sorte d’effort de guerre français sur l’isolation des logements ».

    Encore, la guerre, pfff !

  70. À quoi reconnait-on un imbécile ? Il dit « ruralité » en lieu et place de « campagne ». La ruralité, c’est le mode de vie rural, pas le lieu, patate. Seul un obscur géographe chargé de mission, trouvant sans doute le doux mot de campagne trop plouc, a pu imposer une daube pareille : « entendez-vous dans la ruralité mugir ces féroces soldats »… Que ne dirait-on pas si dame Hidalgo parlait de Paris comme d’une urbanité !

  71. Il faut faire la guerre pour gagner quelque chose sinon autant se mettre un pagne et agiter son truc en plume comme Zizi Jeanmaire !

  72. Question d’un candide:
    Pourquoi la traduction en français d’un récit d’un tel auteur a-t-elle tant tardé ?

    • Je pense que ça heurtait le mythe installé par l’OTAN sur la guerre de Serbie.

        • L’idée qu’il y avait des méchants — les Serbes — et des bons — tous les autres. Après avoir vu des massacres perpétrés par tous les protagonistes, Perez Reverte est un peu revenu de l’idée…
          Pour être encore plus clair : la France a été entraînée à bombarder Belgrade par des Allemands qui n’ont pas jamais pardonné aux Serbes d’avoir combattu les Oustachis — comme ils n’on t pas pardonné aux Grecs d’avoir vaincu l’armée nazie sans aide extérieure : d’où le traitement immonde qu’ils ont infligé au pays ces dernières années; Rien ne s’oublie, dans la mémoire collective.
          Perez Reverte explique très bien que nos grands conflits remontent au moins à deux siècles. En ex-Yougoslavie, c’était il y a soixante ans. Les grands-parents pouvaient témoigner des exactions turques ou croates.

          • Qu’est ce qui vous permet d’affirmer que les Allemands n’ont pas pardonné aux Serbes et aux Grecs pour les raisons que vous signalez? Les Allemands, qui ont assez largement fait leur examen de conscience post-hitlerisme, garderaient une rancoeur envers ces deux peuples pour avoir fait la guerre au nazisme? Ça ne tient pas debout.
            Les Français gardent-ils une rancoeur envers les Espagnols pour avoir lutté avec acharnement contre Napoléon? Envers l’Autriche pour Metternich et le Congrès de Vienne? Absurde.

          • Justement. Nos mauvais souvenirs sont loin. Ceux des Balkans sont très frais.
            Et il fallait voir les déclarations du ministre de l’Economie allemand, Wolfgang Schaüble, lors de la mise sous tutelle de la Grèce. Il n’avait pas oublié qu’il avait dû fuir sa ville en 44 ou 45 sous les bombes.

          • Warlord vient de nous confirmer qu’une pendule cassée donne l’heure deux fois par jour ! En l’état la thèse de JPB est faiblarde : l’ordolibéralisme explique (aussi ?) l’attitude teutonne lors de la crise de la dette grecque – et avec plus… d’économie ?

          • Ah oui ? Il explique l’intervention en Croatie ou celle d’Ukraine ?

          • @ Walord
            Disons que la rancune des français envers les Anglais est la plus tenace. Quant à la germanophobie qui s’affiche sans retenue depuis quelques temps dans la classe intellectuelle, politique, et journalistique, si vous pensez que les évènement de la seconde guerre ne participent pas à l’alimenter… La dernière vanne en date concernait K. Schwab, quelques uns s’inquiétaient considérant que quand un Allemand a un projet pour l’humanité, il faut le prendre au sérieux.

  73. Encore une livraison ! Perez-Reverte, je ne laisserai pas passer,
    ni d’ailleurs… celle de notre hôte (24 mars), ce qui laissera le temps (?) à tout candida(t) sérieux de s’informer (au cas où) 😉

    « Comme ils n’ont pas pardonné » et « Rien ne s’oublie, dans la mémoire collective » : encore et toujours, et jusqu’à la fin des temps…

  74. Appelez-moi le Grand horloger, je vous dirai quand les pendules sont à l’heure !

  75. Ça n’enlève rien au fait qu’il faut soumettre l’Allemagne, sous-peuple de sous-race à la sous-culture chiante à laquelle nous n’aurions jamais dû nous soumettre ! Que les génocidaires d’hier soient les leaders européens d’aujourd’hui devrait nous alerter.

    • La France éternelle, celle du général de Gaulle et d’Éric Zemmour, n’a pas gazé des millions de personnes !

      • L’existence même de ce pays est une infamie historique… Et vous connaissez mon antisémitisme !

      • « La France éternelle » change à toute vibure. Nonos n’y peut rien. Normal, l »est pas cosmiste.

        • O-u-i, Mon-sieur ! La France éternelle ! La France ! Et pas n’importe laquelle, celle du général de Gaulle et d’Éric Zemmour.

          Vous auriez été juriste (perpétuité = 18 ans), on aurait pu discuter… mais vous êtes physicien : pour vous l’infini n’est jamais qu’à quelques mètres… Chaussez vos lunettes, Dug !

  76. On ne dira jamais assez le mal que Mitterrand a fait à la France ! Macron est un petit joueur à côté. Sur la deuxième marche certes…

  77. Blague à part, l’historicisme du Z est un des aspects qui me plaisent le moins chez lui. Au fond je suis comme Brighelli : plus révolutionnaire que réactionnaire !

  78. Brighelli, qui décidément doit avoir une sacrée pension alimentaire à payer pour nous faire une énième resucée de la Fabrique, me rappelle ce lieu commun de la courtisane de haut vol obligée de faire le trottoir comme une vulgaire pute pour payer les dernières traites de son amant avant liquidation… Splendeurs et misères des profs de prépa ! À vot’ bon cœur, M’sieur-dame !

    • Parce que ce n’est pas comme si on ne savait pas ce qu’il allait y avoir dedans : le salopard de Meirieu, le génial Jean-Mi, ces salopes de féministes… Voilà je vous ai fait économiser vingt balles.

  79. Le plus impressionnant est qu’il y ait encore des pigeons pour que ça marche !

  80. Idée cadeau pour Brighelli : lorsque vous retenterez votre chance, envoyez votre manuscrit sous le vrai nom d’Hervé. Ça fera une belle jambe à ce petit enculé s’il est accepté.

    • Heureusement il y a Warlord, qui me rappelle que ma vie aurait pu être minable…

  81. Je recommande l’article de dingue de Messire à 18h41. (Dépêchez-vous de télécharger, le lien a une durée de temps limité)

  82. Si un jour vous déprimez… pensez à Warlord : dites-vous que votre vie pourrait être la sienne !

    • Gastibelza le bien-nommé : le vent qui vient à travers la montagne l’a rendu fou.

      • Ah, c’est agréable d’avoir des commentateurs qui connaissent Hugo et Brassens…

    • Ils sont dingues. Et sinon, déclarer la guerre à la Russie, ça irait plus vite, non ?
      La CIA travaille bien.

        • Sur les dix mesures proposées dans ce texte, une seule est d’ordre militaire et ne concerne que l’aspect défensif. Les neuf autres n’ont rien à voir avec l’armée.
          Personnellement j’approuve ce texte sans réserves. Si BHL dit qu’il fait jour à midi, je ne le contredirai pas.

          • La seule mesure que Poutine serait prêt à entendre est d’accorder un statut de neutralité à l’Ukraine et que l’OTAN se désengage des pays de l’ex bloc de l’EST. Point.
            Ce sont de purs inconscients conjuguant leurs incompétences respectives au mépris des risques réels et graves que ces quatre héros qui se sont accaparé une parole, qui ne leur appartient pas, font courir à toutes les populations européennes et d’Afrique du Nord (Du blé nous avons en France, il s’avère qu’il pousse moins bien au maghreb). Poutine ne restera pas à subir sans répondre.
            Jean-Paul a parfaitement raison, ces mesures ne sont ni plus ni moins qu’une déclaration de guerre.

          • « Sur les dix mesures proposées dans ce texte, une seule est d’ordre militaire  »
            Et bien ça ne fait pas d’eux des politiques; ce que réclame comme compétence la gestion d’une guerre selon Clémenceau.
            Souffrez que la geste de BHL le confirme.

      • Il n’y a plus – et ce n’est pas nouveau – de « gouvernement » français, ni de « France » ; le seul qui les défendait encore n’a pas, étonnant zazard, obtenu les 500 parrainages ; par contre, ceux qui ne sont aucunement gênants, tels les Poutou, Arthaud, Lassalle… les ont obtenus.

  83. « Oui, ils sont dingues », et ça continue (après 2 ans) – Nouvelles des fronts (Ukr, covid).

    Les infections repartent à la hausse, et les hôpitaux se remplissent de nouveau… (« rebond » signale, discrètement, le méd’ chef !).

    En Ecosse, le Health Service a décidé de ne plus donner de stats : ce serait faire le jeu des « anti vax » disent-il !

    Mais ici, où on ose tout, irons-nous vers une 4e dose ? de Valvena, pour changer (kif kif Pfizer, sous des airs plus inoffensifs).

    ici encore, dans mon coin, pas encore d’Ukr, mais au Lux, sont arrivées des familles, certaines avec chiens et chats ( « on ne peut pas vivre sans eux » ; mais ni poissons rouges, ni canaris, c’est moins facile à transporter) : le Prem, Bettel (Xav pour les intimes) plein de prévenance, leur a réservé un hôtel, loué pour… 6 ans.

    Virus, armes biologiques, manque de matières 1ères, inflation… : phénoménale propagande, harassement des cerveaux (et des corps) ; usant, vraiment !

    C’est comme dans « l’épidémie » de Asa Ericsdotter, écrit en 2018 (je n’irais pas lire ce genre d’histoire (!), la réalité me suffit) ;
    on m’a parlé de copie conforme saisissante de notre réalité : facilité avec laquelle une partie de la population peut être ostracisée (là ce sont les obèses), passivité des gens, engrenage fou, et qui s’emballe, de la répression, apathie de l’opposition politique et des médias…

    • BHL est une imposture sur pattes. Aucun doute. Mais quand il dit qu’il fait jour à midi, allez-vous le contredire? S’il se lave les fesses tous les jours, allez-vous abandonner toute hygiène uniquement pour vous opposer à lui? Absurde.

      • Evoquer les fesses BHLesques ! vous êtes fou ! vous voulez me rendre malade ?
        On se fiche de BHL ! inconnu de 90 % des peuples !
        Et quand il s’invite aux EU, pour présenter livre(s) ou autre(s) film(s), c’est le flop total – sauf à LA, bien sûr !

    • Quelle puissante organisation ! Ce qui prouve bien que le monde se divise en deux : les fripouilles qui font des affaires et les imbéciles qui les regardent et les applaudissent !

  84. Lu plus haut :
    « Jean-Paul a parfaitement raison, ces mesures ne sont ni plus ni moins qu’une déclaration de guerre. »
    La guerre, Poutine, lui, ne la déclare pas. Il la fait. Avec tout son arsenal, blindés, missiles, aviation, artillerie, infanterie et tout le toutim.
    Qu’on me cite une seule action militaire de l’OTAN qui ait constitué une attaque de la Russie, ou même simplement une réelle menace pour la Russie.
    Les mesures de rétorsion proposées par Rushdie, BHL, Sting et Sean Penn sont parfaitement adaptées, elles tapent fort là où ça fait mal. Comment peut-on dire « ils sont dingues »? Le dingue on sait où il est : au Kremlin.

    • On peut vous citer toutes celles en violation du droit internantional de l’OTAN qui ont inspiré Poutine dans ce méfait…
      Sean Penn est un immense acteur, j’ai en mémoire sa performance dans She is so lovely pour laquelle il avait eu le prix d’interprétation à Cannes, il ne l’a pas volé. Il y a cette scène stupéfiante, où il incarne un homme au profil reptilien, interné en HP pour faits de vilolence, devant prouver à un collège d’experts psychiatres qu’il n’a plus une once de colère sous jacente, qu’il ne représente plus aucun danger. Il se font alors, par tous les pores de la peau, dans tous les versants d’un ange, pas une seule faute note dans son jeu, pas un stigmate sur son visage émacié à la morphopsychologie si parlante ne trahissent sa nature impulsive. Phénoménal.

      • Oui, excellent interprétation aussi du maire homo de San Francisco.
        Ce qui ne l’empêche pas d’être un crétin hollywoodien, parmi tant d’autres !
        rappel : également fervent défenseur de la vax !

        • Bah oui…Mais bon, je suis cliente. Métamorphosé, le cheveux bouclé, on ne le reconnaissait pas non plus en avocat véreux dans L’impasse (avec A. Paccino), quelquechose d’assez fou.

    • « La guerre, Poutine, lui, ne la déclare pas. Il la fait. »

      Mais pas à nous, patate. Quel besoin de s’y engager encore un peu plus ? À jouer avec des allumettes on se brûle parfois les doigts : il serait temps de comprendre.

      « Qu’on me cite une seule action militaire de l’OTAN qui ait constitué une attaque de la Russie, ou même simplement une réelle menace pour la Russie. »

      Jurisprudence Cuba ?

      « Le dingue on sait où il est : au Kremlin. »

      Justement pas : Poutine agit en homme d’État des temps passés, défendant ses intérêts nationaux avant la moraline occidentale. Ça peut choquer le Français enkysté dans son petit confort atemporel mais ça n’en fait pas un fou. Grave erreur de le croire – et, heureusement, nos dirigeants en sont conscients : il n’y a qu’une presse paresseuse et stupide pour professer une telle sottise.

      Mais êtes-vous intellectuellement en mesure de le comprendre ?

      • Français enkysté

        Hop hop hop,Tout doux. 70% de sondés n’approuvent pas, ni les sanctions ni l’action de l’OTAN (je constate que 100% de mon entourage constitué de toutes les couleurs politique désaprouve). Mais les 30% restant sont aux ordres de l’espace médiatique, comme notre camarade Walord qui se refuse à comprendre les tenants et les aboutissants de ce conflit.
        C’est un peu comme la propagande actuelle qui dit que la Russie serait isolée alors qu’en réalité elle a la Chine, l’Inde, le Brésil, les émrirats et plusieurs pays africains en soutien.

        • J’ai dit : « ça peut choquer le Français enkysté ». L’homme moderne prend Poutine pour un fou… mais n’a pas le courage de ses opinions. Pourquoi donc ne pas attaquer ?

      • « mais pas à nous, patates » : le problème est que le « nous », n’est pas la France… mais l’UE, l’Occident…
        Si seulement « nous » pouvions tourner le dos à toutes ces horreurs, cultiver notre blé, ré-industrialiser, etc… Bref, revivre en tant que « nation », pour « nos » propres intérêts !

        (je commence « l’Ami américain, Washington contre de Gaulle, 1940-1969 », d’E. Branca ; je suis déjà atterrée par les 100 1ères pages ! quelle saloperie que ce Jean Monnet…)

    • « Réelle menace pour la Russie » ?!
      Vous faites quoi des personnels installés (américains comme européens), à tous les niveaux des instances publiques, comme privées !
      et des labos de recherche, financés par le Pentagone ?!

  85. Mais, au fait… pénuries & co à venir et à gérer : Peuple, entends-tu ton Haut Commissaire au Plan s’exprimer ? que nenni !

    • … se gargariser d’« État stratège » tout en flinguant la méthode de Poutine ne manque pas de sel. Quoi ? L’État stratège serait la souveraineté de l’État profond ? Pas croyable !

  86. Y en a des ici qui aimeraient bien chevaucher un missile Hadès en partance pour le champ de bataille. Bon vol à eux.

    • Certains montent au septième ciel, d’autres font leur catabase… Hélas les pensionnés restent sur le plancher des vaches. Meuuuh !

      • Qu’avez vous contre « les vaches, les tendres vaches traînantes au doux mufle tremblant, avec leur bonne odeur de boue et de lenteur, leurs mugissements mélancoliques et la rondeur de leurs énormes flancs et leur élégance gargantuesque » ?

        • Ce qui m’a aussi permis de remonter à « Ph. Muray, l’incorrect » (JPB)… et aux « quelques formules qui firent mouche » (comme le « nettoyage ethique »)…

        • Quand j’avais une dizaine d’années un jour que je pêchais les vairons dans un parc, une vache m’a léché la main de sa grosse langue baveuse… et j’ai marché dans une grosse bouse bien fraîche en m’enfuyant… Véridique. Depuis, je ne sais pas pourquoi, je me contente de regarder les ruminants de l’autre côté des barbelés quand je vais courir.

    • En effet, le maître des enfers (à la française) est mort depuis longtemps ; mais y’en a qui y croit encore !

  87. Warlord illustre parfaitement la thèse d’Emmanuel Todd sur les crétins diplômés. Que ma mère, le fleuriste du coin ou Madame Michu prennent Trump et Poutine pour des fous… passe encore : ils ne savent pas placer les États-Unis sur une carte et ignorent la différence entre URSS et Russie. Mais que des gens qui savent écrire et ont des références historiques puisse le croire… c’est profondément inquiétant. Et là, désolé, il n’y a plus de circonstances atténuantes : les cerveaux lents devraient bien se rendre compte que Biden mène peu ou proue la même diplomatie que Trump, les tweets en moins : America First mais avec une communication bien léchée. Nouvelle preuve de la déconnexion de l’élite autocentrée d’avec les psychés communes.

    Décidément de Gaulle avait raison : j’te leur ferais lire Plutarque, La Bruyère et Balzac – et j’te leur ferais faire du foot avec les 3eB d’un collège de Mende en Lozère.

  88. Apprenez donc à lire, tous tant que vous êtes.
    J’ai dit : aucune action MILITAIRE contre la Russie de la part de l’OTAN. J’attends des exemples me contredisant.
    J’ai dit RUSSIE. Pas URSS. Cuba, c’était du temps de l’URSS.
    J’ai dit : Poutine fait la guerre. J’admets: pas directement contre nous. Mais indirectement oui. Avez-vous tous le QI requis pour capter ça ?
    En 1939, après tout, Hitler n’envahissait que la Pologne. Etions-nous directement menacés ? Non. Pas à très court terme. Mais indirectement, oh que oui.
    Et à part ça, j’adore les patates. Pour moi c’est tout sauf une insulte.

    • Aucune action MILITAIRE ?

      Comment appelez-vous l’adhésion des pays du bloc de l’Est qui avaient été promis restés en dehors de l’Alliance à Gorbatchev, à la chutte du mur ? Si ce n’est pas une action militaire contre la Russie qu’est-ce donc ?
      Comment appelez vous les stratégies dévoilées de Brizinski qui appelle clairement, dans son Grand échiquier, à bouziller la Russie par le biais de l’Ukraine (cela a été suffisament rappelé sur le fil) ?

      • Brzezinski* (une précipitation malheureuse doublé dune envie de bâcler l’individu, pardon)

    • « Cuba, c’était du temps de l’URSS. »

      Trouble de la comprenite aiguë… Jurisprudence Cuba = danger potentiel aux frontières (fusées en 62, adhésion à l’OTAN en 22) implique réponse immédiate et ferme (menace de guerre nucléaire, « invasion préventive »). Dans les deux cas, la menace « MILITAIRE » initiale n’a pas eu lieu. Quelle découverte…

      C’est une mauvaise politique d’entrer dans un bar, insulter le gérant et croire que tout le monde vous adore tant que vous n’avez pas pris de patate dans la gueule. Ça s’appelle la diplomatie, agir avant la patate. Patate.

      « Mais indirectement oui. »

      Uniquement dans l’esprit bourgeois occidental, qui est un impérialisme qui s’ignore. Je n’ai RIEN à voir avec les Ukrainiens et le citoyen français que je suis se contrefout absolument de leur sort : ce n’est pas ma guerre et ce ne le sera jamais. À quoi s’ajoute qu’il est évident que Poutine veut créer un État tampon, pas former un empire en Europe de l’Ouest… Vous croyiez un seul instant qu’il compte envahir la France à long terme ?! Mais comment peut-on être à ce point aux fraises dans la psychologie du quotidien ?

      Bref, nous n’avons que des coups à prendre et je ne suis pas masochiste.

      « En 1939, après tout, Hitler n’envahissait que la Pologne. Etions-nous directement menacés ? »

      La grande erreur des Français et Britanniques fut de s’être tus après le réarmement de l’Allemagne. L’Anschluss, la Pologne, osef. Seul le réarment comptait. Il faut déclarer la guerre tout de suite ou jamais. L’authentique esprit munichois, ce sont les demi-mesures de BHL. Chiche pour attaquer la Russie ? Oh…

      Et comme, de toute façon, nous ne sommes ni directement ni indirectement menacés…

    • Y aura toujours des pigeons sur terre, faites-vous une raison ! Et en plus maintenant ils voyagent …

  89. Action militaire: annexer la Crimée, masser des troupes à la frontière est de l’Ukraine, et à la frontière nord faire appel aux supplétifs biélorusses. Ça c’est de l’action militaire.
    Un pays de l’OTAN a-t-il annexé la Moldavie? Massé des troupes à la frontière ouest de l’Ukraine? Vous redéfinissez à votre gré le terme « militaire ». Moi qui suis un pauvre français enkysté, je m’en tiens à la définition courante.

    Mais votre plus grave erreur, votre plus grave aveuglement, c’est de ne pas voir que Poutine redoute plus que tout la contamination démocratique. C’est pour cela qu’il se maintient au pouvoir depuis 23 ans et pour encore 14 ans. Les pays satellites de l’ex-URSS ont tous choisi la démocratie parlementaire malgré ses imperfections (cf. la phrase célèbre de Churchill). La plus grande menace pour Poutine, elle est là. Pensez donc, si jamais ça donnait des idées au peuple russe…Et redoutant cela comme la peste, il ne veut pas attaquer la France, bien sûr que non. Mais s’il peut attaquer les fondements de notre système, il le fera. Il l’a fait, il le fait, et il le refera.
    Peut-être suis-je un Français enkysté, après tout. Mais je lis ici des posts dont les auteurs ne peuvent être que de sacrés hypocrites, crachant dans la main qui les nourrit et dans la soupe que des gens comme moi s’acharnent à faire mijoter pour leur plus grand profit.

    • Contamination démocratique (génial) par l’agent US qui a tellement réussi à Libye, L’Iraq, L’Afghanistan… La Syrie, j’oubliais… Que de victoires sur des combats pour la démocratie.

      • Les pays que vous citez sont ceux où les pays occidentaux ont voulu instaurer la démocratie par les armes. Connerie magistrale.
        Réfléchissez donc aux cas de la Pologne, de l’Allemagne de l’Est, de la Tchéquie, de la Roumanie, de la Slovaquie, de la Hongrie, tous des ex-satellites de l’URSS, tous proches géographiquement de la Russie. Bien sûr, tous ne sont pas des démocraties parlementaires irréprochables. Mais pour leurs peuples consultés électoralement, c’est tellement mieux que Ceaucescu, Ulbricht, Honecker, Husak et les autres…

        • Touf’ annonçait, hier, à Versaille, que nous n’étions pas en guerre contre la Russie, les américains refusent une aide aérienne par la livraison d’avions réceptionnant 5/5 les menaces de Poutine et lui obéissant. Joe B a beau s’être échigné à la mise en place d’une série de sanctions, rien n’y a changé.
          Bilan : Après avoir été manipulée, l’Ukraine se retrouve seule.
          Si Joe B. s’entête dans les sanctions je crains que l’Allemagne, qui a deux jours de stock en gaz devant elle (usine et chauffage, clé sous la porte), paie très cher le retour de bâton. Il s’en fiche Joe B, comme le disait sa secrétaire d’état Victoria, « Fu** l’UE ! »
          Si vous ne comprenez toujours pas, arrêtons là, je vous prie.

    • « Vous redéfinissez à votre gré le terme « militaire ». Moi qui suis un pauvre français enkysté, je m’en tiens à la définition courante. »

      Je ne vois pas en quoi. En 62 comme en 22, une action militaire a été engagée pour éviter l’installation potentielle d’armements hostiles à la frontière d’un État : une guerre pour empêcher la guerre, c’est le principe des guerres froides… Je ne vous cite pas Cuba pour dire que Vlad a bien le droit d’agir comme il agit, je vous cite cette jurisprudence pour vous proposer une explication à son action un peu plus commode que « oh là le méchant russe fou mangeur d’enfants ». Vous êtes libre de la refuser et d’en proposer une autre (il y a le choix, hein : panslavisme, reconstitution de l’URSS, diversion extérieure, etc.) mais rien de ce que j’ai lu de vous n’est convaincant.

      Et je ne vois pas non plus pourquoi vous parlez de la Crimée – ou alors je le vois trop bien. En fait vous comptez les points pour savoir qui sont les méchants et qui sont les gentils, vous faites de la morale (qui plus est petite, mais c’est accessoire). Ce n’est pas ma perspective puisque je fais, à mon modeste niveau, de l’analyse politique ou géopolitique. Notez d’ailleurs que moi, je ne vous ai jamais parlé du Donbass contrairement à mes camarades, qui, eux, occupent le même terrain que vous.

      « Mais votre plus grave erreur, votre plus grave aveuglement, c’est de ne pas voir que Poutine redoute plus que tout la contamination démocratique. C’est pour cela qu’il se maintient au pouvoir depuis 23 ans et pour encore 14 ans. »

      Bla-bla-bla, c’est un vieux disque – un chouïa meilleur que la folie mais pas beaucoup plus. Parce que, excusez-moi, mais Vlad prend plus de risques d’être renversé par un coup d’État à la suite de l’invasion de l’Ukraine qu’en s’en abstenant. Ça ne tient pas debout cette histoire. À moins qu’il ne s’agisse, là encore, de compter les points, et de juger avec des bons gros sabots d’occidental les mœurs étrangères – et avec des peaux de saucisson devant les yeux aussi, comme si les « dictateurs » étaient toujours des tyrans détestés de toute leur population et que les révolutions étaient faites par le petit peuple prenant les armes – veilles lunes des naïfs. Putain mais qu’est-ce que vous devez comprendre à avant le XIXe siècle… ?

      Bref, donc : ou bien bêtise, ou bien paternalisme *et* bêtise.

      « (cf. la phrase célèbre de Churchill) »

      Apocryphe. Même si Churchill n’est pas à une daube près.

      « Et redoutant cela comme la peste, il ne veut pas attaquer la France, bien sûr que non. »

      Vous pensez sérieusement que Poutine, s’il en avait la possibilité à moyen terme, envahirait la France ?! Mais vous délirez… Il s’agirait quand même de sortir d’un manichéisme étroit sur fond d’aveuglement psychologique. Comme si Poutine était un enfant voulant être le roi du monde en conquérant tout les pays… La politique, ce n’est pas une partie de Risk. Vous ne devez rien comprendre à l’Histoire non contemporaine, c’est dingue.

      « Mais je lis ici des posts dont les auteurs ne peuvent être que de sacrés hypocrites, crachant dans la main qui les nourrit et dans la soupe que des gens comme moi s’acharnent à faire mijoter pour leur plus grand profit. »

      À quoi faites-vous allusion ?

      • Inutile que je vous réponde, vous ne comprenez rien à ce que je dis. La meilleure preuve étant que vous ne voyez pas la relation entre Crimée 2014 et Ukraine 2022. A partir de là, je ne peux rien pour vous.
        Vous pensez que je compte connement les points. Vous, vous ne voyez pas qu’il y a un match.

        • « La meilleure preuve étant que vous ne voyez pas la relation entre Crimée 2014 et Ukraine 2022. »

          On vous propose une explication de pourquoi Vlad attaque l’Ukraine, et vous nous dites « ouin-ouin-ouin, il a aussi attaqué la Crimée auparavant le méchant ». Franchement… ou bien vous n’êtes pas capable de faire un lien évident (géostratégie + nationalisme) ou bien vous comptez les points (mal en plus).

          « Vous, vous ne voyez pas qu’il y a un match. »

          Sauf que ce n’est pas le mien. Le petit paternalisme bourgeois, très peu pour moi : j’aspire à ce que mon gouvernement s’occupe exclusivement des intérêts français, pas qu’il fasse le gendarme de l’occidentalisme bourgeois partout dans le monde. Dieu a inventé d’autres choses que la (petite) morale dans la pensée : l’analyse stratégique, la psychologie, l’Histoire… – choses surfaites sans doute.

  90. Un pays qui s’est arrogé le droit de nommer « champagne » un vague mousseux devrait être mis au ban des nations

    • Oser dire « méthode champenoise » pour un sparkling californien ! enfoirés !

  91. Lu plus haut :
    « Warlord illustre parfaitement la thèse d’Emmanuel Todd sur les crétins diplômés. »
    Le comique de l’affaire étant que Todd est pour moi le parfait exemple du crétin diplômé. Je ne suis pas du tout surpris qu’il soit cité ici en référence : parfait exemple du marxiste désoeuvré qui peut un jour brillamment annoncer la chute de l’URSS et le lendemain délirer gravement sur les catholiques zombies manifestant après le massacre de Charlie Hebdo.
    Gastibelza ressemble sur bien des points à Todd. En beaucoup beaucoup moins documenté et, en conséquence, beaucoup plus arrogant.

    • Nous voilà au fond du problème… Que Warlord peut-il y comprendre ? Ça sent son petit-bourgeois à la petite semaine : Ce canard n’a qu’un bec et n’eut jamais envie, ou de n’en plus avoir ou bien d’en avoir deux. Question d’esthétisme.

      Je serais curieux de connaître votre état social. Vous nous dites ?

      • Ecoutez, Gavrilovic, retirez votre masque, on vous a reconnu. Citations de Brassens, de Todd, attaques hautaines contre les petits bourgeois frileux et enkystés, et cette sale manie de toujours ramener les oppositions à des oppositions d’état social…c’est bon, on a compris. Un doute tout de même : Gavrilovic me semblait assez courageux et capable d’empathie, et je doute que cela soit votre cas.

        Mon état social n’a rien pour vous intéresser : vous le dites vous-même, mener ma vie aurait tout pour vous déprimer, n’est-ce pas? Quelque chose me dit que la vôtre doit être marquée par une grande solitude et un besoin permanent de montrer à quel point vous êtes le plus fort. Grand bien vous fasse.

        • Gavrilovic vous même ! Josip était un esprit fin – de mortuis nihil nisi bonum –… mais il était souvent aux fraises dans le psychologie du quotidien – un peu comme vous ! Du genre à moraliser des questions cognitives, à se repaître de termes à forte valeur morale ajoutée (« démocratie parlementaire », sic) ou à prendre les rationalités [ding-ding] alternatives pour de la folie. Mais… c’est votre portrait craché en fait ! Et contrairement à ce que vous affirmez, Jojo ne voyait pas toujours derrière les oppositions intellectuelles des oppositions d’état social : il était aux fraises dans la psychologie du quotidien que j’vous dis ! Les oppositions d’état social étaient pour lui prétexte à morale – manifestement comme pour vous, vu votre embarras sur cette question.

          Ah, Josip… Combien de fois il a pris de la déconne pour un débat de gens sérieux comme il faut… Combien de fois nous avons joué le match morale catho réfoulée – morale nietzschénoïde… Combien de fois il voyait du qui à la plus grosse derrière le fun… Snif. Il me manque le Jojo.

          « Un doute tout de même : Gavrilovic me semblait assez courageux et capable d’empathie, et je doute que cela soit votre cas. »

          En effet, je mange des chats au petit déj !

          « Mon état social n’a rien pour vous intéresser : vous le dites vous-même, mener ma vie aurait tout pour vous déprimer, n’est-ce pas? »

          Encore une fois vous ne comprenez rien. La perspective est purement cognitive : il s’agit de voir si le portrait qu’on peut se faire de vous d’après vos positions est conforme à la réalité. Jeu intellectuel gratuit. Les salauds de bourgeois et le merveilleux peuple manipulé par les zestrêmes, je laisse cela aux amateurs de morale de l’autre côté de la rue. Décidément…

          « Quelque chose me dit que la vôtre doit être marquée par une grande solitude et un besoin permanent de montrer à quel point vous êtes le plus fort. »

          Solitude intellectuelle, oui, un peu (vous facturez pas, dites ?). Sinon je suis toujours bien entouré et je croule sous les invitations les plus diverses : d’ailleurs si vous êtes parisien on peut se voir au Flow à minuit ! Quant au reste… si ça peut faire chier les moralineux incapables de saisir une esthétique différente de la leur… pourquoi se priver ?

  92. Ça compte, ça compte en Warlordie. Des petits points, des petits points, toujours des petits points…

  93. Les marxistes désoeuvrés et les crypto-trotskystes de ce blog joignent leurs forces pour encenser Emmanuel Todd. Bientôt le panégyrique de Frédéric Lordon et un éloge appuyé d’Alain Badiou. Je me marre.
    Ce blog est maintenant le lieu géométrique d’ABC : Association des Bras Cassés.
    Quelle pitié!

    • Il n’est pas interdit de réfléchir ! C’est à ça qu’on reconnaît le bon du mauvais troll.

      • Réfléchir? C’est en effet ce que vous demandez quotidiennement à votre miroir devant lequel vous vous admirez.

    • Il y a eu Alain… mais le Badiou sévit encore (en espérant qu’il ira moins loin que le Morinos).

    • Lordon et Badiou sont depuis longtemps bloqués dans le tunnel de l’évolution. Si on y fourre Todd, personne ne sait ce qui pourrait se produire.

      • Ces trois-là brassent beaucoup d’idées et surtout beaucoup d’air. Ils produisent à eux trois beaucoup de textes. C’est tout ce qu’ils sont capables de produire. En clair, ils sont inoffensifs. Au mieux ils peuvent être amusants.

  94. Comment voulez-vous que la France ne sombre pas ? Nous croulons sous les Warlord et Pierre se fait si rare…

  95. Tout ce merdier pourrait se résoudre dans un crunch contre les russes. Pout’ à l’ouverture (!) cisaillé par une troisième ligne à deux lames.

    On ramasserait les morceaux de russes après le match (un ossuaire serait prévu). Dans la foulée, on y caserait le crâne de durit.

  96. 23h00, 51°F, temps dégagé

    Science et conscience: l’Homme est-il un gros porc du futur ou un gros con du présent à perpétuité ?

    L’échec de la xénogreffe pratiquée à l’UMMC me semble d’autant plus inexplicable que la plupart des hommes sont équipés d’un cœur de porc depuis leur naissance. Et quand je parle des hommes, je les globalise dans une entité qui embrasse la femme. Il n’y a qu’à observer certains spéci(wo)men de cette boutique même, pour ne pas dire son arrière-boutique(car je confirme qu’il existe un monde parallèle à ce site, bourré de saloperies, et depuis de nombreuses années; j’ai des preuves écrites et dûment signées au cas où..), dont une particulièrement, emmerdeuse finie, qui n’arrive pas à décoller du varech merdeux de son persiflage ontologique où elle se complait bruyamment, et dont la délirante obsession pour Jean-Paul, qu’elle adore haïr au point où elle ne peut s’empêcher de poster sur son site malgré la détestation secrète qu’il lui inspire, l’amour étant la forme la plus exquise de l’inconfort de vivre, relève de la psychonévrose de celle qui navigue entre deux choses qui s’excluent mutuellement.
    On ne va prier pour elle, car on ne comprend pas grand chose à la compassion –sans doute un blocage– on va simplement lui souhaiter que sa souffrance névrotique se transforme définitivement en malheur ordinaire.

    Bye

  97. FRANCE 13 – WALES 9

    En route vers le grand chelem si les Bleus battent ces voyous d’Anglais le 19 mars prochain.
    C’est effectivement la seule nouvelle importante du jour…Les jeux guerriers des « frères » slaves me laissent froid comme un moscovite qu’il faudrait écorcher vivant pour lui donner du sentiment, comme disait je ne sais plus qui. Dernier acte d’une pièce tragique à la soviétique, perdue par ces khouillons d’Européens, il y a longtemps.

    Bye Bye

  98. Pendant ce temps, les Chinois font une raffle sur les réserves de blé ukrainien…

      • Question pertinente à la quelle le papier répond indirectement en chiffrant le montant de la transaction en dollars.

        Extrait (Ô pas vous, ça ne vous concerne pas, notre doux seigneur, nous savons que vous l’avez déjà lu. bah oui…) :
        « Alors que la Chine est en train de perdre son grenier à blé, elle s’apprête à faire main basse sur celui de l’Europe. Bruxelles, Paris ou Berlin demeurent aux abonnés absents. Alors que les Occidentaux avaient su se montrer intraitables à l’égard des Russes et de leur influence en Ukraine, ils sont étrangement passifs quand il s’agit d’une vassalisation économique sous pavillon chinois. La menace que cela fait peser sur notre souveraineté alimentaire est pourtant beaucoup plus grave. »

        https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/la-chine-fait-main-basse-sur-le-ble-ukrainien-dans-l-indifference-europeenne-895618.html

    • « pas un écrivain depuis Camus »
      C’est oublier un peu vite Michel Butor et Le Clézio.

      • Des faiseurs.
        Si je sauvais quelqu’un de vivant parmi les écrivains, ce serait Jean Echenoz.

    • (JPB, Causeur) Je plussoie – dans « ma délirante obsession », « incapable « de décoller de mon varech merdeux » ; blablabla habituel de basse voltige (c’est trop sot, avec un tel talent de perdre son temps en écritures déformatiques) –

      Comme disait un chauffeur de taxi NYorkais, il y a bien longtemps, « Paris, ville lumière » ! Aujourd’hui, Paris ville éteinte, ville musée, et la France à l’avenant.

  99. Les artilleurs russes sont un peu couillons (suite)
    Poutine leur a dit : « Avec leurs sanctions, les pays occidentaux nous refont le coup de la guerre froide ».
    Alors les artilleurs ont bombardé un entrepôt de produits surgelés. (authentique)

  100. « Il est loin le temps où De Gaulle se payait le luxe de ne pas intégrer l’OTAN parce qu’il tenait à une France forte et indépendante du bouclier des grands frères (ou supposés tels) d’outre-Atlantique. »

    On voit la crédibilité de JPB…

      • De Gaulle est sorti du commandement intégré de l’OTAN, pas de l’OTAN lui-même… La France n’a jamais dénoncé le traité.

        Revenir sur la décision de Sarkozy aurait aujourd’hui seulement une portée symbolique ou presque.

        • Une sortie du commandement intégré est tellement du gaullisme à peu de frais que c’est une des rares choses conservées de Philippot dans le programme du RN !

  101. Je conseille très vivement « l’ami américain – Wash contre de Gaulle… » ;
    pas fini encore, mais le luxe de détails qui m’étaient inconnus est à peine croyable (du moins à mes yeux innocents) ;
    du « cher vieil ami » (Pétain) de Roosevelt (et sa haine de de Gaulle), qui prévoyait une « occupation » de la France, après 1944 (la France l’a connu, mais bon…),
    aux « arrières- cuisines de Jean Monnet »,
    de la CIA passant des « fellaghas à l’OAS »,
    de « l’Elysée, nid d’espions » pour le compte de l’URSS,
    du « casus belli atomique »…
    TOUT a été tenté, outre-Atlantique, contre de Gaulle, et contre la France…

    Depuis, avec la corruption grandissante de la classe politique, au Sarkome qui a redit oui à l’OTAN, la domination totale de l’UE, ça va de mal de pis,
    avec dernier en date, le Touf’,
    qui a détruit les ultimes restes d’une puissance industrielle, y compris en vendant à nos amis Américains tous les secrets d’Alstom – rien que pour ça, il mériterait la cour martiale, pour haute trahison !

  102. La description brighellienne de notre pays aujourd’hui est en tous points exacte: un pays de 3ème rang et voué à le rester.
    Il est temps de passer à une vraie fédération européenne, des États-Unis d’Europe, une Europe supranationale, avec un exécutif fort doté constitutionnellement de pouvoirs réels, sur le modèle des USA.
    Faute de cette révolution copernicienne, la France et l’UE resteront menu fretin. Leur poids restera en l’état : proche de zéro.

      • Continuez à vous lamenter sur la faiblesse de la France. D’ailleurs je vois sur ce blog des gens qui se lamentent sans arrêt à tout propos, sur tout, et qui ne proposent jamais rien.
        Des cyber-Calimeros, des Jérémies numériques.
        Des inutiles. Et même pas drôles.

        • Un éminent camarade a proposé un délicieux programme il y a un mois. Certes il a bien ajouté « mais les boomers et autres bourgeois frileux plus ou moins demeurés comme Warlord n’en voudront jamais ».

          • Sur un pannel de 40 000 personnes, Touf’ passe des 30% d’intentions de vote bombardés par les médias à un petit 16% dans la réalité des cyber-Calimero. Ces 16% chantent vraiment juste et sont en adéquation avec ce que j’entends.
            Si, si, il peut ne pas être au second tour ! Que de bonnes nouvelles !
            Clap ! clap ! clap !

        • But alors ? Ce serait un possible Z vs Merluche, ou Merluche vs la caissière … plus dingue encore : Z vs la caissière au second tour ? Rhooo.
          (Valérie est un peu plus dans les choux à chaque qu’elle ouvre la bouche…)

    • Vous vous voyez vraiment un destin commun avec les Cypriotes, les Roumains, les Slovènes et les Irlandais ? Pas moi. Surtout si le gain escompté est nominal.

      • Gain nominal – suite. Les fédéralistes sont des petits joueurs. Pourquoi ne pas faire une grande confédération internationale à exécutif fort ? L’union fait la force. Et ainsi « nous » ne serons plus du menu fretin.

  103. Cette belle truffe de Rimbaud était encore plus malvoyant qu’il ne le pensait ! Aux temps de l’UE ce n’est pas « Je » mais « nous » qui est un autre.

      • Pour ma part je vois ici une philosophie péniblement acquise sur les bancs d’une fac quelconque (très quelconque) ou d’une modeste prépa de province, philosophie totalement inopérante, qui prend l’eau de toutes parts, et qui sombrera sous peu victime de son inanité et de son inutilité.
        RIP.

  104. Qu’y a-t-il de commun entre un universitaire bostonien, un sidérurgiste du Minnesota, un agriculteur de la cotton belt et un noctambule californien ? Rien.
    Pourtant les USA, ça marche pas trop mal.
    Mais on va sans doute me traiter d’americanophilie enkystée.

    • L’appartenance à une même nation, au hasard ? Genre ils parlent la même langue et sont capables de s’intercomprendre ?

        • Mais encore ?

          Ces gens ne font pas partie de la même nation ? Ils ne s’intercomprennent pas ?

        • Non ! les EU, ça ne marche pas si bien que ça, loin s’en faut !
          Entre l’Ohio ou les Appalaches ou le Mississippi et… le Delaware, c’est le jour et la nuit,
          tout comme ici, entre la « capitale » et les « territoires ».
          Des fossés qui se creusent un peu plus, au fil du temps.

    • Qu’ont-ils en commun ? 34 millions de personnes en dessous du seuil de pauvreté sur une population sur 329 millions et 63% de la richesse du pays détenue par seulement 10% d’entre eux. Next !

  105. Très fort « gain escompté » de l’UE avec le Pfizer plan ! Une union très réussie, grâce à Mme VDL et consorts ; c’est ça, et uniquement ça, l’UE ; C’est incapable d’être autre chose qu’une destruction des nations et des peuples la composant, dans l’unique but d’enrichir cette caste qui les domine et les manipule.

  106. *Discours de Seguin*

    De Gaulle disait : “La démocratie pour moi se confond exactement avec la souveraineté nationale.” On ne saurait mieux souligner que pour qu’il y ait une démocratie il faut qu’existe un sentiment d’appartenance communautaire suffisamment puissant pour entraîner la minorité à accepter la loi de la majorité ! Et la nation c’est précisément ce par quoi ce sentiment existe. Or la nation cela ne s’invente ni ne se décrète, pas plus que la souveraineté ! Le fait national s’impose de lui-même sans que personne puisse en décider autrement ; il n’est ni repli, ni rejet, il est acte d’adhésion.

    –––

    Un Auvergnat peut se plier aux décisions voulues par une majorité composée de Corses, de Bretons ou de Franciliens car il appartient à la même nation que ces gens, il aspire à un destin commun avec eux. La minorité française peut-elle consentir à se plier à une majorité teutonne, slovaque, lettone ou portugaise ?

    • Des Etats-Unis d’Europe dotés d’un exécutif fort avec à sa tête un Waclav Havel ou une Merkel élus au suffrage universel par les électeurs de tous les états fédérés, je signe. Vous préférez Hollande ou Sarkozy ou Zemmour dirigeant une France impuissante? Incompréhensible pour moi.

      • Eh bien moi pas. Car indépendamment de la politique menée je ne pourrais me résoudre à ce que mon bien collectif soit défini par des gens à qui, pour l’essentiel, je suis incapable de demander l’heure. J’accepte que mes impôts financent les routes des gens du Cantal ou viennent en aide aux indigents français parce que nous faisons partie de la même nation, parce que je crois à un destin commun avec eux, parce que j’accepte ce sacrifice entre nationaux, considérant de plus qu’ils pourraient le faire pour moi si j’étais à leur place. Qu’ai-je à voir avec la Slovaquie ou la Pologne ? Rien. Même pas la langue… Vous voudriez que j’accepte que mes impôts financent les projets de gens avec qui je ne peux avoir la moindre conversation ?! C’est une question de principe, d’axiomatisation de la politique si vous voulez. Alors évidemment ce sont des paroles en l’air pour tous les tenants des métaphysiques transcendantes – pour qui les fins individuelles justifient les moyens collectifs. L’esthétique et la sociologie sont là où on les attend.

        Quant au couplet rebattu sur le plus-fort-ensemble… il devrait vous amener aussi à la crise des fondements. Le « nous » se définit par opposition au « eux ». Vous sentez-vous foutrement plus proche d’un Slovaque que d’un Suisse ? d’un Suédois que d’un Norvégien ? Et encore une fois, j’attends ma réponse : pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Pourquoi ne pas intégrer les pays du Maghreb ou de l’ex-URSS ? Avec eux on serait plus fort, plus puissant, non ? Et pourquoi être si petits bras ? Allez, hop, on crée une grande Union mondiale de tous les pays du monde avec un chancelier du monde omnipotent ! Alors, oui, peut-être qu’avant certains se seront rendu compte que les unions nominales supposent des entités aux intérêts antagonistes et que la minimalité de l’acceptation de l’intérêt collectif sur l’intérêt individuel réside dans… surprise, surprise… la nation ! Mais d’ici-là…

        • vous pouvez toujours leur parler en globish ou en français (comment ne pas parler français ?)

          • J’ai le malheur de ne pas savoir parler même le globish. Quant au français…

    • Je me contrefous du discours de Séguin.
      Ce qui cimente les Américains n’est ni la nation ni la langue commune. C’est la croyance en l’économie de marché en tant que promesse d’une vie matérielle convenable. Croyez-vous que les Américains rêvent du marxisme? Pourquoi les chicanos veulent-ils franchir la frontière mexicaine dans le sens sud-nord, à votre avis? Pourquoi sont-ils attirés par ce pays comme les Européens déshérités l’étaient au XIXème siècle ? Votre philosophie souverainiste néglige les réalités économiques. Elle est donc inopérante, inutile.

      • « C’est la croyance en l’économie de marché en tant que promesse d’une vie matérielle convenable » : euh, allez donc faire un tour dans les Etats (dont j’ai cité le nom (parmi beaucoup d’autres)… La classe moyenne s’effondre elle aussi ! Vous raisonnez avec des années de retard !

      • « Ce qui cimente les Américains n’est ni la nation ni la langue commune. C’est la croyance en l’économie de marché en tant que promesse d’une vie matérielle convenable. »

        Des croyances économiques font partie de l’identité des nations, oui. Mais pas elles seules. Croates et serbes partagent l’économie de marché. Dites-leur qu’ils sont nationaux.

        « Votre philosophie souverainiste néglige les réalités économiques. »

        Oui, oui, les réalités écô-nô-mi-ques c’est le prétexte à tous les renoncements et à toutes les gogoteries qu’on lit sous la plume des papas droitards commentateurs du Figaro en ligne dont vous êtes un assez médiocre représentant. Bon, en même temps, de la part de quelqu’un qui fait du marxisme un anathème à jeter à la tête de tous les contradicteurs qui ne l’invoquent pourtant pas… hein, nous ne sommes pas trop étonnés. Santé mon gros !

        • Vous scellez la grande victoire posthume de Gavrilovic, à supposer que vous ne soyez pas sa réincarnation. Je me marre.

          • Que vous puissiez me confondre avec Jojo en dit long sur vous, qui que vous soyez.

  107. Actuellement, ce sont tous les peuples des « nations » de l’ouest, du sud, et en partie de l’est du continent européen, à qui il est imposé de se soumettre aux décisions d’une stricte minorité (caste), dirigée par…la teutonne – décideurs non élus, libres de toute entrave, au pouvoir quasi discrétionnaire, puisque tous les contre pouvoirs ont été muselés.

    • Notre impuissance n’a rien à voir avec la souveraineté. Une France recouvrant sa souveraineté serait encore plus impuissante que notre France membre de l’UE. Le Brexit a-t-il rendu le Royaume-Uni plus puissant?Certainement pas.
      Le problème n’est pas « trop d’Europe ». Le problème est « pas assez d’Europe réellement efficace, pas assez de supranationlité assumée ».

      • « Le Brexit a-t-il rendu le Royaume-Uni plus puissant?Certainement pas. »

        Vous trouvez qu’il l’a rendu moins puissant ?

        • Oui. La promesse du « Global Britain » est vue aujourd’hui pour ce qu’elle était : une arnaque géante.
          Je ne donne pas dix ans au Royaume-Uni pour se rapprocher de l’UE de façon significative. Sans le crier sur les toits, évidemment.

          • On a vu. L’apocalypse annoncée n’a pas eu lieu, la vaccination sans l’UE a été un succès total et l’économie a la plus forte croissance des pays développés au premier trimestre 2022.

            Mais si Warlord prophétise…

      • (Propos incensés qui nous rappellent aux 35h de Martine Aubry qui promettaient une baisse du chômage par le partage de l’emploi. Les mêmes…)

  108. La course à toujours plus de puissance et autres bigoteries d’un libéralisme assez poussif seraient enthousiasmantes si elles n’étaient pas nominales. Flûte. Heureusement BoJo nous a montré que les prédictions apocalyptiques des économistes comme il faut sont aussi fiables que celles des épidémiologistes de l’Institut Pasteur. D’ici à ce qu’un glaciologue nous prédise la fin du monde pour la fin du siècle…

  109. Que j’aimerais voir Wawa et Jojo débattre… Les joutes entre transcendentalistes, toujours un régal les mercredis soir !

    • Il a préféré disparaitre avant les résultats – moins de 2%, pendant des décennies, ça use.

  110. Cours, camarade Gastibelza, cours! La réalité économique est derrière toi, et elle te rattrape !

    • Quand le Brexit avance et que Warlord recule, comment veux-tu, comment veux-tu ?

  111. Pourquoi voulez-vous que je recule? Quant au Brexit qui avance, j’ose espérer que c’est une blague de votre part. Johnson a sodomisé son peuple, à sec, en saupoudrant l’acte avec du gravier made in Scotland.

    • Mais parfaitement ! L’indépendance d’un pays sodomise toujours à sec certaines catégories de sa population.

      • Indépendant, le Royaume-Uni ?
        Vous venez d’entrer au Guinness Book of records dans la catégorie « Best jokes ».
        Dans nos économies (oh le gros mot!) interconnectées, l’indépendance est une blague que seuls des gogos comme vous peuvent avaler. Même la Chine est dans une interdépendance globale, jeune padawan !

        • Indépendance au sens politique, ducon. Oui, le Royaume-Uni n’est pas indépendant des lois de la physique non plus.

          • Genre la politique primerait sur l’économie…
            Qu’est ce qu’on vous a appris dans vos études?
            Comment Reagan a-t-il terrassé l’URSS?
            Quand on ne sait pas, on se tait.

          • Circularité logique. Vous jouez au jeu du libéralisme (un pays ne vaut que lorsqu’il « terrasse » un autre – quoi que cela veuille dire) et vous vous étonnez que le 21 soit maître carte (l’économie est le moteur du libéralisme). Quelle découverte.

            Mais il y a d’autres jeux possibles. Demandez donc à nos amis « européens », Suisse ou Norvège. Sûr que leur but dans la vie est de « terrasser ». Ô vie heureuse du philistin.

          • « le Royaume-Uni n’est pas indépendant des lois de la physique non plus »

            Ô mânes de Maxwell et de Newton, puissiez vous éclairer les âmes sombres des brexiteux !

        • Et il n’y a pas de gros mots ! Il n’y a que les gros sabots de ceux qui psalmodient sottement quelques expressions qui justifient littéralement tout à leurs yeux. Certains aiment douiller pour se sentir gens sérieux et responsables – ce n’est pas mon cas.

          Syndrome de la sous-préfecture dont j’ai tant parlé ici…

  112. Que fait donc Pierrot ? Un destin commun avec les Roumains ça devrait l’inspirer.

    • Il balaie quelques rogatons de moisissures dans son conapt dans l’espoir de lendemains meilleurs…

  113. En 2004, une étude de l’Insee estimait que les créations d’emploi s’établissaient à 350 000 postes entre 1998 et le 31 décembre 2001 sans déséquilibre financier apparent pour les entreprises[4].

        • « 1998-2002, selon les estimations, à un rapide enrichissement de la croissance en emplois de près de 350 000 postes, et ceci, semble-t-il, sans grand déséquilibre financier pour les entreprises. »

          Ils ne disent pas si ces créations de poste furent pérennes…
          Mais reprenons :Absolument, il n’y eu aucun déséquilibre pour les entreprises, for sur, et pour cause. L’Etat avait mis en place une aide substantielle non négligeable pour les PME appliquant la réforme. Les PME encaissaient les subsides en échange de quelques CDD qui ne mangent pas de pain, après quoi, à la fin de la période d’embauche les contrats n’étaient pas renouvelés. Pif paf, dans la poche.
          Warlod, plus sérieusement, si les 35h avaient été une réussite, ce se serait su. Aucune boîte étrangère ne voulaient plus investir en France, ou alors il fallait être débile profond.

  114. Un petit bijou que le court « tract en ligne » de R. Debray – « des musées aux missiles » – gratuit, en ligne (site Gallimard, ou autre).

  115. Suisse et Norvège : deux petits pays ; l’un, le coffre-fort « neutre », et l’autre, qui a su investir là où ça le valait bien : on trouve le Norges Bank Investment Management chez Pfizer (après Vanguard + BlackRock + StateStreet), et ailleurs dans le domaine de la Santé…
    « Le fonds pétrolier norvégien est l’un des plus grands fonds mondiaux, le plus important fonds souverain au monde : plus de 1000 milliards de dollars à fin 2017, soit 2,7 fois le PIB norvégien

  116. Retournons à l’âge des cavernes et surtout jamais plus jamais de journaux ! On s’éclairera à la lumière du jour …

  117. Et l’autre qui gueule « chauffe, Warlord, chauffe ! »; ne contribue-t-il pas à la victoire de Poutine

  118. J’en connais un qui fait tout ce qu’il peut pour faire élire Macron ici !

    Certains disent qu’il pourrait pisser sur la tête de Brigitte devant les caméras et être élu quand même ! Je demande à voir …

  119. Que faut-il penser de la science aujourd’hui ? Pas grand chose j’en ai peur …

    • Tant que la science s’occupait des astres on pouvait la prendre au sérieux, maintenant qu’elle s’occupe des virus elle devient facétieuse !

    • Vous avez un cul trop parcouru pour qu’il retienne vos considérations épistémologiques nourries par une vaste ignorance des (vraies) sciences.

      • La frontière entre la vraie science et la fausse science est entretenue dans un flou artistique par les soins méticuleux de ceux qui y ont le plus grand intérêt !

        PS Faisons semblant d’organiser ces mystères qui nous dépassent tel semble être le slogan du vieux Ducong.

  120. J’ai trouvé le slogan de campagne d’Emmanuel Macron :
    « Je vous mentirai avec franchise ! »

    Vous voyez il faut cultiver le côté « en même temps » pour être élu président en plaisant à tout le monde !

  121. Plus la science acquiert du pouvoir – plus elle devient une technologie capable de transformer l’infiniment petit et plus elle échappe à notre entendement car ses produits ont leur vie propre à force de complexité !

    Le complexe bouscule le simple et a une vie autonome – le vivant modifié crée du vivant modifié !

    PS Ceci dépasse le niveau d’un agrégé de physique circa 1970.

    • Oui, oui, parlez nous de la vie propre de l’électron dans son atome d’hydrogène.

  122. Lu plus haut:
    « Car indépendamment de la politique menée je ne pourrais me résoudre à ce que mon bien collectif soit défini par des gens à qui, pour l’essentiel, je suis incapable de demander l’heure. J’accepte que mes impôts financent les routes des gens du Cantal ou viennent en aide aux indigents français parce que nous faisons partie de la même nation, parce que je crois à un destin commun avec eux, parce que j’accepte ce sacrifice entre nationaux, considérant de plus qu’ils pourraient le faire pour moi si j’étais à leur place. Qu’ai-je à voir avec la Slovaquie ou la Pologne ? Rien. »

    Réponse d’un certain Montesquieu : « Je suis nécessairement homme alors que je ne suis Français que par hasard. »

    Verdict de l’arbitre : victoire par KO de l’intelligence sur la franchouillardise.

  123. Science en conscience :
    enfin rassurée avec ces bonnes nouvelles : du gaz à l’est, du lithium à l’ouest ; que nos chères zélites continuent prospection et bientôt extraction 😊

  124. Assimiler sa citoyenneté à son humanité… c’est le propre de la dame-patronat ! Les athées du dimanche sont des croyants en la transcendance qui ne s’assument pas.

    L’être humain que je suis a toute la compassion du monde pour les migrants traversant la Méditerranée au péril de leur vie : je serais à leur place*, je ferais la même chose. Mais le citoyen que je suis pense qu’il faut refuser ce chantage odieux. Ainsi se fait la politique, par le citoyen. Je n’ai rien contre les migrants, j’ai tout contre ceux qui veulent les accueillir pour se faire mousser sans y participer.

    *Si ma tante…

    • « Assimiler sa citoyenneté à son humanité… c’est le propre de la dame-patronat !  »
      Montesquieu appréciera. C’est lui qui a commencé, alors débrouillez-vous avec lui.

      • Je ne suis pas certain que ce soit ce que fait Montesquieu. Je ne lis rien de programmatique dans la citation – dont le contexte fait défaut.

        Et quand bien même. Une autorité de plus dont il faut se défaire : ô joie !

        • A refuser de se jucher sur les épaules des géants, on se condamne à un horizon forcément rétréci. On se condamne à n’être que…Gastibelza.

          • Les colosses aux pieds d’argile, ça existe.

            Moi aussi j’t’aime mon Jojo !

  125. Et la question (mais non, la problématique !) du gaz de schiste va forcément se reposer. A croire que presque tout est cousu de fil blanc, ou du moins, s’enchaîne (presque !) parfaitement.

  126. Les connards du Printemps républicain sont des athées de pacotille ! L’universalisme, concept nébuleux, suppose une nature de l’homme – moyen de réintroduire la transcendance labellisée des Lumières. Et on s’étonne qu’il n’y y ait que des Juifs…

  127. La nuit ne lui porte pas conseil : Gastibelza, bavard creux le samedi, logorrhéïque vide le dimanche. Les grands mots n’ont jamais suffi à légitimer des concepts sans substance.
    Gastibelza, alias « Je fais le beau mais ma seule expertise est le bla bla bla bla. »

    • Substance, substance… tout le problème est là ! Aristotélisme qui s’ignore – encore.

  128. Chez Onfray, Sapir s’inquiète d’une rupture de la coopération scientifique (?) franco-russe.
    En ce qui concerne le franco-russe (dessert), il a, depuis lurette, pâti d’une désaffection qui égale celle de la tête de nègre (autre cause, mêmes effets).

    • C’est une scène du « Dîner de cons » ? Mais ils ont changé les rôles, dans ma version c’est Jacques Villeret qui joue le rôle de Lino Ventura !

    • ceinture Jadot, rien de chaud.

      Le peanuts doit être chiffré. Dans les conditions tarifaires actuelles, rien de motivant au tarif de nuit. D’autant qu’on va avoir du mal à faire fonctionner les nocturnes à laver avec du solaire…

  129. Je pleure beaucoup depuis que je sais que les double-rideaux de maman ne seront pas lavés ce dimanche à cause de Jadot ! SVP pouvez-vous faire quelque chose ?

  130. La nuit je fais des cauchemars où je vois mes double-rideaux tomber en lambeaux et tout crasseux à cause du méchant Yannick !

  131. IN MEMORIAM: ALAIN KRIVINE

    « Né le 10 juillet 1941 à Paris, Alain Krivine est issu d’une famille de juifs ukrainiens émigrés en France après les pogroms antisémites de la fin du XIXe siècle. Entré à 17 ans aux Jeunesses communistes, l’organisation de jeunesse du Parti communiste français (PCF), où militent également ses quatre frères, il exprime son désaccord avec la ligne politique d’un parti qui rejette l’indépendance de l’Algérie. Il rejoint une organisation clandestine, Jeune résistance, qui multiplie les actions pour inciter les jeunes soldats à refuser d’aller faire la guerre en Algérie. C’est sa première expérience du militantisme radical, qui va rapprocher de la IVe Internationale trotskiste ce militant modèle…bla..bla..» (Le Monde)

    Repose en paix, camarade. Nous t’oublierons, toi et tes rêves communistes infantiles…
    sauf les rêveries mathématiques de ton frère Jean-Louis, ton semblable à un isomorphisme près.

  132. INCREDULITE

    Consacrer une vie à croire aux élucubrations d’un gourou politico-religieux comme le fit notre camarade défunté, il faut vraiment être khon. J’en connais…Ici même.

  133. DOUTE

    Impossibilité pour les adeptes d’une secte collectiviste de douter. Il n’y a pas plus fasciste qu’un antifasciste enfermé à vie dans sa petite cellule aux murs de soie rouge.

  134. FLATTERIES: PLAISIR DE LES DISPENSER, JOIE DE LES RECEVOIR.

    Ayant inscrit notre chef-d’œuvre en preschool à la Montessori House of Children de la ville pour la rentrée prochaine, nous venons de commander, pour nous faire les dents, « À bonne école…» de Jean-Paul Brighelli, un écrivain de qualité. Nous ne devrions pas être déçus; son amour dépité de l’école nous fait penser à l’érection de l’homme que l’on pend.

    That’s all, folks !

    • Mntessori est une marque trombinée par des tas de gens plus ou moins recommandables. Mais roquet, en l’absence de paternel, saura reconnaître une bonne maternelle pour son chiard dégénéré.

  135. Montesquieu, citation complète et en contexte: « Si je savais une chose utile à ma nation qui fût ruineuse à une autre, je ne la proposerais pas à mon prince, parce que je suis homme avant d’être Français, parce que je suis nécessairement homme, et que je ne suis Français que par hasard ».
    « Si je savais quelque chose qui me fût utile, et qui fût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciable à l’Europe, ou bien qui fût utile à l’Europe et préjudiciable au Genre humain, je la regarderais comme un crime ».
    « Je suis un bon citoyen, mais dans quelque pays que je fusse né, je l’aurais été tout de même ».
    (Pensées, 350 et 741).
    Montesquieu Président !

    •  » ou bien qui fût utile à l’Europe et préjudiciable au Genre humain, je la regarderais comme un crime »

      Et bien je vous le dis : au regard des décisions, iniques et corrompues prises par l’UE Montesquieu regarderait cette union comme un crime.

    • Merci.

      Mais poussons jusqu’au bout : pourquoi pas un chancelier mondial, voire intergalactique ? La hiérarchie des dilections inverse est une affaire de petits bras, cathos couillemollards refoulés.

      • Peucher ! Gatstibelza ne serait pas averti du combat qui se déroule actuellement entre le transhumanisme et le cosmisme. Deux trains de retard.

      • Pourquoi pas un chancelier intergalactique ? C’est extrêmement simple : on commence les alliances de façon modeste, petitement, avec ses plus proches voisins et amis.
        Même les nains ont commencé petits. La croissance, l’expansion, c’est une affaire e moyen/long terme.

        • Croissance nominale – autrement dit jeu à somme nulle. Le « nous » européen n’existe pas.

          J’espère d’ailleurs que, conformément à votre hiérarchie des dilections, vous avez prévu de léguer vos biens non pas à vos enfants mais aux Tatares de l’autre bout du monde.

  136. Ben c’est à dire faut voir ! Si je sais fabriquer secrètement un virus à l’étranger et si je le fais répandre pas des mains indiscrètes et qu’ensuite les produits pour le soigner me rapportent des milliards de dollars je vais quand même y réfléchir à deux fois, vous ne trouvez pas ?

      • Montesquieu avait des rentes ! Il est né comme on dit avec une cuillère d’argent dans la bouche … si’l avait dû gagner sa vie petitement comme le cas Dugong il aurait moins fait l’idéaliste !

        • Montesquieu était trop vieux pour me connaître. Du coup, il n’a pas connu ce bonheur.

  137. Je veux dire par là que n’est pas l’argent c’est l’argent quand même ! C’est pas Macron et Pécresse qui diront le contraire quand même …

  138. Bon d’accord ! Il y aura quelques millions de personnes qui iront garnir les cimetières mais dans un sens on rend service à cette bonne vieille Terre ! C’est pas Jadot et les écolos qui diront le contraire quand même !

  139. N’oublions pas une chose ! S’il y a une guerre en Ukraine en ce moment c’est qu’il y a d’énormes enjeux coloniaux derrière !

    • Hola ! L’Ukraine a vocation de devenir un protectorat. De qui ? C’est toute la question.

  140. Assez fascinante propension des rebelles à se coucher devant la moindre autorité.

  141. Le JT sur la 2 exhibant la couverture du NY times sur laquelle paraît plein pot la photo de civils tués par balle, le corps de femmes et enfants gisant sur le sol, dans leur sang. Le rédacteur en chef se justifiant, expliquant que cette image est la définition même du journalisme.
    Un journalisme à géométrie variable, quand on se souvient du papier à charge de Rony Brauman paru dans le Monde, au lendemain du 11/9 faisant par de sa surprise devant l’attitude des américains soudainement pudiques, refusant que l’on photographia les victimes de l’attentat quand ces mêmes américains ne se posaient aucun problème de conscience à diffuser les photos de victimes des guerres du continent africain.

  142. La presse : « Accident de train en RDC : 75 morts, 125 blessés »
    RDC 1 – Nigeria 0

  143. Montesquieu et les petites bites (suite).

    Si je savais une chose utile à mon espèce qui fût ruineuse à une autre, je ne la proposerais pas à Dieu, parce que je suis mammifère avant d’être homo sapiens, parce que je suis nécessairement mammifère, et que je ne suis humain que par hasard.

    Bref, laissez-vous bouffer par les lions ou les hippopotames, c’est Montesquieu qui vous le dit.

      • Jojo, jugez donc les textes avec les critères adéquats. Ça ne se veut pas drôle, ça nique votre argument. Nuance.

        • Votre ego est décidément sans limite, votre besoin d’avoir le dernier mot est dingue. Et ça vous conduit à des erreurs d’appréciation assez cocasses, finalement !

  144. Josip Gavrilovic, vexé comme un pou d’avoir été sévèrement mouché avec l’OCDE et soucieux de préserver sa e-réputation, revient donc, tel Fregoli, sous le pseudonyme de Warlord. Las ! tous les trolls ne se valent pas.

    • Tout ça pour voir si vous étiez attaqué en tant que Jojo ? Rassurez-vous : seule la médiocrité est pourfendue, d’où qu’elle vienne.

    • Par manque de personnel dans les ehpad (2022 est le code d’ouverture le plus usité de la porte automatique), les déambulants alzheimerisés se retrouvent sur les grands boulevards.

  145. Gastibelza, vous êtes un grand malade de vous monter des films pareils. Ainsi donc ce Jojo dont vous parliez, c’était Gavrilovic ? Je me perdais en conjectures. En tout cas je vais finir par croire que ce Gavrilovic gagne à être connu : occuper vos pensées à ce point est le signe d’une personnalité plutôt impactante.
    Mais non, je suis au regret, lui c’est lui, et moi c’est moi. Je ne sais rien de cette histoire d’OCDE. Peut-être daignerez-vous m’expliquer, nous expliquer. Tout ce que je sais, pour avoir lu certains de ses posts, c’est qu’il a une certaine culture et que ses positions politiques sont, dans mon souvenir, diamétralement opposées aux miennes et assez proches des vôtres. J’ai d’ailleurs cru un instant que vous étiez lui….amusant, n’est ce pas ?
    Allons, croyez ce que vous voulez, je n’y peux rien, et vous non plus. Mais qu’on ne s’y trompe pas : je ne suis pas un autre.

    • « Irrésistible de drôlerie. Pour les admirateurs de Patrick Sébastien. »
      « Gastibelza, bavard creux le samedi, logorrhéïque vide le dimanche. »
      « Votre ego est décidément sans limite. »
      « Verdict de l’arbitre : victoire par KO de l’intelligence sur la franchouillardise. »

      Du Gavrilovic tout caché ! Même style, même moraline, même gentillesse.

      • Amusant, je lisais un très chouette roman — vraiment chouette — qui expliquait dans un de ses chapitres comment un texte anonyme pouvait difficilement l’être en réalité. La signature de l’auteur sera toujours trahie par l’utilisation des mêmes mots issus de son inconscient, construction personnelle et comparable dans sa singularité à clles de nos empreintes digitales, qui encadreront toujours un même substantif.

        • Sans parler de la confusion Warlord/Gavrilovic (qui me gonfle au plus haut point mais que je ne peux pas empêcher), renseignez-vous sur l’affaire de « La Chasse Spirituelle », manuscrit attribué à Rimbaud par des spécialistes du poète qui avaient reconnu son style à coup sûr, et qui était en fait un canular génial. Le style, ça peut aussi tromper…et personne n’est à l’abri.

  146. Ce Gavrilovic, c’est le duc de Guise : il est encore plus grand mort que vivant.
    Ce blog est saisi d’une douce folie : voila-t-i pas qu’il y a des gens qui savent mieux que moi qui je suis. Génial.
    OK. Puisqu’on parle de style, de moraline (?) et de gentillesse, allons-y gaiement.
    Style : à vrai dire l’idée que j’en avais un ne m’avait jamais effleuré. Pas assez narcissique sans doute. Mais si j’ai du style, un style, pourquoi voulez-vous que ce soit celui de quelqu’un d’autre? Pourquoi pas simplement le mien, moi, l’individu qui se fait appeler Warlord?

    Moraline : voilà un mot que je n’ai jamais vraiment compris. J’y vois une attaque moqueuse contre la bisounours attitude, les bons sentiments mielleux. Alors, dans ce cas, la moraline ça ne me correspond pas du tout. Quand on est comme moi un adepte de l’économie de marché, de la libre entreprise, de la communauté européenne, de la supranationalité (oh la la, voir plus loin que l’Hexagone, quelle horreur! Ce Montesquieu, quelle plaie!), on se fait plus souvent traiter de salopard, de traître immoral vendu à Bruxelles que de père-la-vertu moralisateur! C’est bien un peu ce qui se passe ici, d’ailleurs. Alors la moraline et moi, hein…

    Gentillesse : allons allons Gastibelza. Quand on prend comme vous le faites les gens de haut, quand on utilise à l’envi des termes pompeux censés impressionner les lecteurs, quand on traite les contradicteurs de ducon, de demeuré, d’attardé etc., on doit bien s’attendre à se prendre en retour quelques baffes, claques et taquets dans la figure. De ce côté-là avec moi vous n’avez pas été déçu. Mais ne venez pas couiner, chouiner, pleurnicher.

    Je l’ai déjà dit : je me suis inscrit sur ce blog à l’automne et suis longtemps resté silencieux, quelques interventions sporadiques tout au plus. Je me suis fait beaucoup plus présent depuis l’invasion de l’Ukraine. Pourquoi? Parce qu’à lire un grand nombre d’interventions sur ce blog, l’Ukraine devait sa situation à l’OTAN. C’est l’OTAN par ses manoeuvres qui aurait précipité l’Ukraine dans la guerre. Je suis d’ordinaire assez patient et indulgent, mais ça, non, ça ne pouvait pas passer.
    J’ai dit. Je laisse maintenant les Bernadette Soubirous de ce blog guetter fébrilement la prochaine apparition de Gavrilovic déguisé en Vierge Marie dans la sainte grotte de Bonnet d’Ane.

    • L’OTAN ET l’UE. Suffisamment d’éléments ont été apportés pour désigner le deuxième responsable. Deux entités qui par bonne conscience agitent leur bras dans le vide comme le sont leurs sanctions aussi inefficaces que délétères pour l’économie mondiale et se refusent à accorder à l’Ukraine un statu de neutralité qui, se faisant, lui permettrait d’adhérer à l’UE et seulement à l’UE. Si ces deux entités s’entêtent dans l’application de sanctions sans résultat effectif quand une solution est toute trouvée, c’est que cette solution ne les satisfait pas, elles prouvent, toutes deux, que leur objectif n’est pas de sauver les civils par un cesser le feu, mais que l’Ukraine n’est que le pion en passe d’être sacrifié d’une stratégie à visée moscovite.

    • Vous avez, du reste, une démonstration en couverture du New York Time de toute la considération qu’ils portent aux Ukrainiens…

    • Bien, bien, mon Jojo. Je vous répondrai ce soir ou demain. Bises en attendant !

  147. Le discours poétique c’est de dire que l’on fait la guerre pour de nobles motifs – mais on a toujours fait la guerre pour le butin !

    On trouvera toujours de jeunes gens qui ne savent rien faire de particulier qui s’engageront contre une forte solde pour aller au combat dans des pays lointains !
    Maintenant si on est le fils d’un riche rentier on s’amuse autrement !

      • Les supplétifs-mercenaires des armées professionnelles sont recrutés dans les bas-fonds, dans les geôles et autres lieux mal-fâmées.

        Ce sont en général des hommes intellectuellement limités mais qui n’ont pas de scrupules et souvent utilisent des drogues qui atténuent le sens moral.

        Les drogues style cocaïne sont réputées effacer les réactions morales normales d’un homme du quotidien – un homme de la rue pour qui tuer n’est pas anodin.

        • encore une giclée d’a priori à l’arrache de la vieille durit qui ne sort pas de son conapt mais récolte la khonnerie qui drageonne chez rl.

    • La vieille Pout’ chercherait-elle déjà un moyen de reculer sans perdre sa face de khul merdeux ?

      • Un maître aux échecs peut établir jusqu’à 30 coups d’avance quand le 9 pro au go peut établir jusqu’à 300…

    • Conte chinois : le sceau impérial d’après Fan Hui
      Il y a très longtemps en Chine, le pouvoir central ne fut plus assez fort pour contrôler les seigneurs des provinces et prélever l’impot. Les seigneurs commencèrent à ourdire un plan pour construire leur propre royaume et détrôner l’empereur. Cette période historique est appelée « Les trois royaumes » se déroule à la fin de la dynastie Han (184-280 après JC).
      Alors qu’un seigneur fut tué après avoir livré bataille contre un autre seigneur, son orphelin de fils, Sun Ce, réussit à fuir et trouva refuge chez le seigneur Yuan ami de son défunt père. Et le jeune seigneur de demander immédiatement, à son arrivée, au seigneur Yuan le prêt d’une armée afin de venger son père. Le seigneur Yuan ne lui refusa pas son aide mais lui recommanda de se reposer avant de livrer bataille et avant d’envisager toute discussion. N’ayant pas le choix le jeune seigneur obéit et alla se reposer.
      Quelques jours plus tard, le jeune seigneur réitéra sa demande : »Messire, je me repose depuis plusieurs jours, je suis en pleine forme, je vous prie de bien vouloir m’accorder cette armée » Mais le seigneur Yuan répondit : « C’est vrai, tu es reposé mais le seigneur Liu m’a insulté, je dois lui livrer bataille. Peux-tu m’aider dans cette guerre ? Une fois gagnée, je te promets de te prêter une armée ». Ayant compris que s’il n’acceptait pas, il n’aurait jamais son armée, le jeune seigneur lui donna son aide. La guerre fut gagnée mais à la demande réitérée de Sun Ce, le seigneur Yuani opposa à nouveau un refus au motif qu’il était à nouveau fatigué.
      Ainsi, le seigneur Yuan avait toujours une excellente raison pour ne pas accéder à la demande du jeune Sun Ce.
      Sun Ce ne perdit pas espoir et se souvint le le seigneur Yuan aimait l’argent et les objets précieux. Or, Sun Ce possédait un bien inestimable : le sceau impérial fabriqué par le premier empeur de Chine. Selon la légende, celui qui le détiendrait pourrait à son tour devenir empereur. Sun Ce hésitait à proposer cet objet comme caution contre le prêt d’une armée, craignant que le seigneur ne lui rendit jamais.
      Les mois passèrent jusqu’à ce que Sun Ce reçoive la visite du moine Lu, vieil ami de son père, un homme sage auprès de qui il espérait obtenir conseil. Et avant que Sun Ce ne lui ait posé une question, le vieux moine l’interrompit et lui dit : » J’ai entendu la nouvelle concernant ton père. C’est bien triste. J’ai aussi entendu dire que tu étais venu ici. C’est pourquoi j’ai voulu te rendre visite ». Puis après une courte pause, Lu proposa une partie de go auquel ils avaient eu souvent l’occasion de jouer. Sun Ce n’était pas enclin à jouer, il avait l’esprit occupé à la vengeance de son père mais accepta la partie par correction. La partie fut remportée par le moine, qui avait bâti des territoires sur le goban quand Sun Ce ne réussit à ne rien construire. Le moine partit et Sun Ce resta seul et observa le goban.
      Le lendemain Sun Ce se décida et alla voir le seigneur Yuan. Il lui montra le sceau impérial, lui fit laproposition de caution à laquelle il avait pensé. Le seigneur Yuan, fou de joie devant l’objet inestimable, accepta la proposition et lui prêta immédiatement une armée.
      Avec l’aide de ces mille soldats le général Sun Ce construisit un vaste royaume. S’il y réussit c’est parce qu’il avait compris cette maxime importante : « Si tu veux quelque chose, il faut d’abord savoir donner ; si tu ne veux rien donner, tu ne peux évidemment rien obtenir de ce que tu veux ».

        • Et alors ? Ce qui vous plaîra, my dear Jean-Paul.
          Plusieurs grilles de lecture pour vous y aider :
          1) Qu’à la Russie de si particulier pour que les Chinois lui viennent en aide ?
          2) Ou seraient-ce les Chinois qui donneront, dans le respect de la maxime, pour obtenir ce qu’ils souhaitent.
          3) Ou serait-ce adressé à un vieil enfant gâté qui s’imagine que tout lui est dû sans avoir à donner, même une amabilité ?
          C’est comme vous voulez… : )

  148. Si on me paye bien je suis prêt à faire un rapport à la McKinsey : cent pages de bla-bla sur la guerre en Ukraine !

  149. Je peux même vous pondre un rapport à la Xavière-Tibéri avec de vraies fautes d’orthographe dedans en sous-traitant tout à une plume de l’ombre !

  150. Je ne suis pas Florence Nightingale (1820-1910) experte en camemberts-statistiques et qui envoyée en Crimée pour y apporter son zèle éclairée en rapporta de beaux graphiques !

  151. La guerre en Ukraine aura fait au moins une victime en France c’est Eric Zemmour !

    • Même Florian Philippot a rejoint Nicolas Dupont-Aignan solidarité énarchique ou bien alors la queue de la poële est meilleure ?

      « Qui tient la poêle par la queue, il la tourne là où il veut. »

  152. « Plus on caresse un chat, plus il dresse la queue. » Franchement ! Si Lormier était là il en ferait des gorges chaudes …

  153. Et si la guerre en Ukraine était un coup de Pfizer et BigPharma (comme disait le non regretté cyrano) pour faire réélire Macron ? Hein, vous y avez pensé vous autres ?

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