
Hans Baldung (1484-1545), Les Trois âges et la mort, 1543
J’ai connu M*** en 1974. C***, avec qui je vivais, me l’avait présentée comme sa plus vieille amie. Puis, comme nous projetions d’aller dîner, elle ne s’est pas sentie bien — et de fait elle couvait une grippe de qualité —, et je suis parti avec M***, avec l’idée de rentrer tôt.
Il bruinait sur Paris, nous nous sommes promenés sur les bords de la Seine, rive gauche, et une chose entraînant une autre…
Elle était farouchement jolie, et vivait dans une minuscule chambre de la Cité U de Nanterre — d’où est parti le mouvement de 1968 : le règlement empêchait les garçons d’aller visiter les chambres des filles et réciproquement ; Cohn Bendit, alors étudiant, a trouvé que c’était une offense à sa libido de rouquin tombeur de demoiselles. Le « Mouvement du 22 mars », qui devait accoucher de Mai 68 a trouvé là sa source et son prétexte — même qu’un ministre a cru malin de conseiller à ces messieurs dévorés de désir de se calmer en faisant un saut dans la piscine.
La nuit que j’y passai fut fort inconfortable. Elle était fort mince, je n’étais pas gros, mais dans un petit lit de 90 cm de large, l’un de nous était en trop. Pour jouer à la bête à deux dos, passe encore, mais pour s’affaler « dans la poussière, les bras en crois », c’était insuffisant.
Nous avons entretenu une liaison éphémère pendant quelques mois, dont je rendais un compte exact à C*** — ainsi était l’époque.
Puis la vie nous a séparés. Diplôme en poche, elle est partie enseigner en Nouvelle-Calédonie, s’y est mariée, et y a fait des enfants…
Nous nous sommes revus quarante ans plus tard, à Marseille — où elle était passée juste pour me voir — et sans doute espérait-elle confusément autre chose que ce qu’elle trouva. Longue promenade dans les rues pittoresque de la ville, jusque sur l’esplanade de Notre-Dame-de-la-Garde, avec une femme que je ne reconnaissais pas, sous son bronzage tropical, sinon les yeux, toujours fort beaux, mais étrécis par l’âge. C’est le lot commun, comme si une méfiance s’était glissée en nous en vieillissant.
J’ai incidemment revu E***, grande amie des années 7O — mais comme dit Retz à propos de Mme de Chevreuse, « elle n’avait plus même de restes de beauté quand je l’ai connue ». Et son insuffisance intellectuelle, dès lors qu’elle n’était plus camouflée par un joli minois, des formes suaves et une docilité exemplaire, éclatait aux yeux de tous — et aux miens particulièrement.
Même scène avec B***, rencontrée sur les bancs d’une fac quand nous préparions l’agrégation. Fort aimée quand elle vivait en Charentes, fort aimée quand elle est rentrée des Antilles, avec qui j’aurais pu vivre si j’avais été moins paresseux. Je l’ai revue, elle m’a expliqué qu’elle avait « fermé boutique », je m’en suis poliment désolée — mais avions-nous encore quelque chose à nous dire ? L’image ancienne peinait à se superposer aux désastres présents – les siens et les miens.
Parce que le choc que j’ai éprouvé à chaque fois, en revoyant d’anciennes amies, était bien sûr le même, mutatis mutandis, en ce qui les concernait. Etais-je bien celui qu’elles avaient aimé, avec mes cheveux clairsemés par l’abus de testostérone, pas mal de kilos en plus, des taches sur les mains, le cou moins ferme, la bouche de plus en plus fine, décidément plus apte à dire des méchancetés qu’à échanger des baisers… On se surprend à regarder en soi-même en voyant l’autre — et ce que l’on constate alors n’est pas bien enthousiasmant.
Seul l’esprit peut, jusqu’à un certain point, servir de masque à la déchéance — jusqu’à ce que le désastre intime ne soit plus camouflable.
Le hic, c’est cet espace de temps pendant lequel on ne voit plus l’autre — quinze ou vingt ans, parfois plus, c’est un gouffre. Quand on vit avec quelqu’un, qu’il vieillit sous nos yeux en accord avec notre propre déchéance, le décalage est insensible. Il faut se plonger dans les archives et les vieilles photos pour penser soudain que le temps n’a pas fait de cadeau.
On connaît le poème de Villon, « Celle qui fut la Belle Heaulmière », qui a inspiré à Rodin la sculpture impitoyable qui clôt cette page. Tout le génie de l’artiste ne peut occulter longtemps le fait qu’il s’est lui-même décati, abîmé, et que ce qui tenait fièrement toutes ses fibres en l’air les précipite désormais vers la terre, qui commence à s’ouvrir. J’ai eu souvent des envies de remettre le couvert avec telle ou telle, et comme dit Ronsard, de « rassiéger Ilion pour conquérir Hélène » — non plus une Hélène pimpante et fraîche, mais une Hélène d’autrefois, dont la beauté a fondu comme les neiges d’antan. La vieillesse de l’autre est toujours le reflet de la sienne. Et dans cette chair qui ne tient que grâce à son emballage de peau, dans ce désastre annoncé, on hume sa future fumée.
Jean-Paul Brighelli

« … et comme dit Ronsard, de « rassiéger Ilion pour conquérir Hélène … »
Vas-y, Hélène le veut !
Et ça vaut le coup, les filles de Troie offrent leurs deux joues !
Oui…
(deux, assez faciles)
On voyage en lisant JPB.
Les ballades des mythes, cela va ravir Lormier.
Oui…
Troie : coup double ?
Hélène ne se vautre pas dans la fange (première solution).
Certains aimeraient bien le pouvoir (seconde solution)
Voyage : peut être un vaccin existera-t-il un jour ?
La première solution aurait été plus précise avec la formulation :
Hélène le veut, vas-y !
(sous réserve d’accepter de ne pas marquer de pause à la virgule)
Passer la septantaine : déclin implacablement amorcé…
Rassurez-vous maestro : si le comte de Monte-Cristo, version 2024 et bientôt césarisé, arrive à la septantaine, il atteindra inévitablement un bien pire degré de mocheté.
(et abcm’ pète la forme)
Pour évoquer le naufrage de la vieillesse, Brighelli a choisi le mode sépulcral et crépusculaire.
Il y avait mieux à faire : c’est précisément ce que firent, en leur temps, ces fous géniaux d’Odeurs, nommés Ramon Pipin et Costric 1er.
https://youtu.be/W2VVU3poI8w?si=vArk0UWeiKj2vZTU
Gloire et gratitude éternelle à ces deux grands malades !
Ils n’étaient pas bien vieux, à l’époque…
Quel est le sexe du personnage/narrateur qui dit « je » ?
et je suis partie avec M***, avec l’idée de rentrer tôt.
Je l’ai revue, elle m’a expliqué qu’elle avait « fermé boutique », je m’en suis poliment désolée
Faute de frappe…
Je l’ai revue, elle m’a expliqué qu’elle avait « fermé boutique »
C’est la seconde fois qu’on lit cette expression sous la plume du Maestro;retrouver la première au-khul-rance n’est pas aisé.
Lormier conjecture qu’il s’agit de la même personne.
La grande absente du billet,c’est Irène Théry née Noizet, la meuf connue en hypo ou en khâgne avec laquelle le fils de clochards Brighelli passait des nuits plus belles que ses jours dans le studio que ses clochards de parents louaient pour lui.
Le Maestro avait levé les sourcils lorsque Lormier avait montré la laideur actuelle de cette personne, laideur soulignée par ses robes à 5000 euros.
Et surout:quelle khonne!
Mais nous ne nous sommes jamais revus !
les filles de Troie offrent leurs deux joues !
les filles de Joie offrent leurs deux TRous !
ballades des mythes
Malades des Bites
Cette buse d’IAL est précieuse, s’il m’arrivait de douter de moi face aux contrepèteries, il me rassurerait.
Une sorte d’assistante de vie …
J’ai souvenir d’un camarade au collège qui trépignait d’impatience le doigt levé lorsqu’il savait répondre à une question du maître. Passés quelques instants, il ne pouvait s’empêcher de crier à haute voix la solution quand bien même on ne l’y invitait pas.
Un besoin irrépressible d’être admiré pour une sagacité qu’il n’imaginait pas partagée ? Un doute de soi tel qu’il se sentait obligé de se rassurer sur sa valeur ? Un besoin d’être aimé par le maître ? La quête de reconnaissance ?
Tant d’autres hypothèses …
https://fr.wikipedia.org/wiki/Contrep%C3%A8terie
(j’y ai découvert une anecdote historique cocasse)
Citation : « L’usage veut qu’on ne donne jamais la solution d’une contrepèterie, chacun devant la trouver lui-même. On dit qu’il faut être trois pour apprécier une contrepèterie : celui qui l’énonce, celui qui la comprend, et celui qui ne la comprend pas. »
😃!
» Fermé boutique » » fermer boutique »
La même chose que » clôre fenêtre » dans Villon ?
Ballade de la belle Heaulmière
Aux filles de joie.
» Tous vous fauldra clorre fenestre,
Quand deviendrez vieille, flestrie ;
Plus ne servirez qu’un vieil prebstre,
Ne que monnoye qu’on descrie. »
( la heaulmiere conseille à plusieurs jeunes filles de profiter de leur jeunesse).
A propos de la vaine idée de revoir quelqu’un qu’on a aimé autrefois et qui forcément n’est plus le même ( la même) il y a un passage de Proust que je ne retrouve pas, mais qui souligne bien l’importance de l’aspect physique dans notre souvenir ( et notre amour): nous voudrions bien revoir Une telle, mais telle qu’elle était en 19…
… seule la science-fiction permet d’envisager ce rêve.
Jean-Paul Brighelli 30 janvier 2025 At 14h27
Mais nous ne nous sommes jamais revus !
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Remarque pertinente;donc Irène Théry,née Noizet, n’aurait rien à faire dans le billet du jour.
Il y eut au moins un autre billet où le souvenir d’une femme (pas très belle et baisée presque par charité) était évoqué- souvenir « presque ému ».
Qu’est-ce qui nous empêche,ou nous interdit de nous remémorer ? Puisque vous citez Proust,après tout notre existence rélle,c’est notre mémoire.Et notre mémoire transcende peut-être « cette plaisanterie douteuse qu’on appelle la vie ».
Un sujet que ce tombeur irrésistible qu’est le Maestro ne pourra traiter,faute d’expérience: les filles qu’on a profondément désirées mais qu’on n’ a pas eues et auxquelles,arrivés aux portes de la mort on pense parfois ou souvent; souvenirs lumineux qui nous aident à entrer dans les ténèbres.
Et Irène était fort jolie à 18 ans.
Et remarquablement intelligente. Agrégée de Lettres qui a dévié vers la sociologie de la famille. A fait un beau livre intitulé Le Démariage au temps où elle était très proche de mon ami Christian biet, avec qui je l’avais mise en relations au début des années 1980? quand nous élaborions les fameuses anthologies parues chez Magnard.
Je raconterai la suite quand elle sera morte — si je suis encore vivant.
Plus que jolie, I. Théry est une femme lumineuse. Un sourie sublime.
sourire *
Il est tellement navrant que vous ne voyez finalement qu’une valeur charnelle à ce couple que vous composiez avec Théry dans votre prime jeunesse et que vous ne compreniez toujours pas que le couple que vous formeriez aujourd’hui avec cette femme d’une si belle qualité et tellement assortie à votre esprit qu’il vous rendrait à ce jour infiniment plus beau que si vous aviez rajeuni de trente ans.
(Les Apollons, du type JPB – 😁 – fuient évidemment les laiderons, sauf par « charité », dixit jaloux.se Lormier. Et en plus qu’en s’y rajoute une cervelle digne d’intérêt !…)
(QUAND au lieu de qu’en ! meu deus !)
« fermer boutique »
boutique mon cul ! dit la gueuse
souvenirs d’Afrique.
Je les entends encore déambuler lascivement dans la cour du campement en chantonnant : « C’est l’amour qui passe … »
« …mais une Hélène d’autrefois, dont la beauté a fondu comme les neiges d’antan… »
C’est ainsi. Il est vain de vouloir renouer avec les joies d’antan.
Oui…
renouer avec les joies
reJouer avec les Noix
Vas-y , Hélène le veut!
(Dernier rappel )
Vas-y , Hélène le veut!
Le vIt va,Hélène!
N’importe quoi !
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/se-revoir-5261#comment-548830
Hahaha !
Ceci fait ma soirée (expression destinée que je maitrise une part du vocabulaire djeun).
Vas-y élève le noeud…
VasEUX,le vIt,Hélène!
Accepté, mais il y a une autre solution, meilleure .
Jaloux.se, Lormier : Y. Théry et « ses robes à 5000 euros » ;
si j’avais eu du brouzouf, et bien avant le septantaine, j’aurais bien aimé m’habiller en C. Lacroix !
Haute-Couture (suite) –
Plus rien à voir avec ce qu’elle fut ; on l’a déjà dit ici.
D’ailleurs on en voit plus grand-chose… si ce n’est le 1ier rang des piple !
Ainsi Carla B. chez machin-truc, en total « look noir », dont robe fendue sur le devant,
… via paire de ciseaux de couturier.
Rien à voir donc avec les terrifiants coups de… couteaux,
contre lesquels la Mairie de Paris
vient de pondre un « Plan Couteau » :
distribution de flyers à la sortie des collèges,
et médiateurs formés à la rencontre des djeuns.
Toujours un coup d’avance la mairie de Paris !
De quoi donner du peps à sa « stratégie parisienne de prévention des rixes » ?
Ou rien qu’un (coûteux) coup d’épée dans l’eau ? 😁
La caissière se fait-elle toujours troncher ?
Faudra qu’elle réponde jusqu’en 2027.Avant de voir du sang occuper les creux des escaliers de l’Elysée, le peuple veut qu’il y ait du sperme
Marseille — où elle était passée juste pour me voir — et sans doute espérait-elle confusément autre chose que ce qu’elle trouva.
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Qu’espérait-elle ?
Elle tenait à le voir…puisque elle a fait le « détour » . Mais alors,déçue par quoi ? Par le physique avachi qui ne correspondait plus en rien à ce qu’elle avait connu ?
Par un manque d’appétit ? De son côté ? De part et d’autre ? C’était quoi son film ?
Aurait-elle voulu une resucée de pratiques sexuelles sauvages,bien différentes de ce qu’elle connaissait avec son époux, ving fois épousseté ? Epoussetez-le sans cesse …
Allez savoir.
on hume sa future fumée.
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Encore cette alluison au Cimetière marin,que cita Myriam Néferfiti-la sublime porte arrière-,lors d’un entretien qui ravit son Maître.
Aux âmes bien nées,point n’est besoin d’aller se balader sur des tombes pour humer sa future fumée.
même qu’un ministre a cru malin de conseiller à ces messieurs dévorés de désir de se calmer en faisant un saut dans la piscine.
Ce même ministre a aussi dit à l’infâme Cohn-Bendit qu’avec sa tronche il ne devait pas beaucoup pécho.
Nous avons entretenu une liaison éphémère pendant quelques mois, dont je rendais un compte exact à C*** — ainsi était l’époque.
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i) pour le compte rendu,OK,c’était l’époque, peut-être. Encore que…
ii) Mais pour la baise vagabonde, cela continua toute une vie;pas une question d’époquue. Voyez Mitterrand. Y a des gens comme ça.
Sur le tard, le Maestro nous sort: « soyez vous l’un à l’autre un monde toujours nouveau, toujours beau. »
« Sur le tard, le Maestro nous sort … »
Dure lutte sur le tard ?
Oui…
Lormier vous donne tant d’occasions.C’est trop facile!
Dure lutte sur le tard ?
Turlutte sur le Dard ?
https://www.ladepechedubassin.fr/actualite-3903-la-turlutte-au-cap-ferret-et-son-ambiance-bistrot-branche
Hélène le veut pour la turlutte.
(dernier rattrapage)
Ziva,Hélène le veut!
gordien.
Et toussa pour un noeud !
Vas-y, Hélène le veut !
Vas-y, élèVe leS Noeuds !
le noeud
Élève le noeud pour la turlute, c’était pourtant cohérent.
Il vous a fallu(sse) l’aide de Zorglub et celle de WTH pour être quitte au but, c’est désespérant .
Je vous soupçonne de le faire exprès.
Je vais quitter le bateau moi aussi.
Oui…
(deux)
avec qui j’aurais pu vivre si j’avais été moins paresseux.
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Paresseux ? Ce n’est pas vraiment l’idée que l’on se fait du Maestro (Lormier y reviendra).
De quel paresse s’agit-il ? De celle qui empêche le couple de survivre;par exemple une incapacité à perdre de mauvaises habitudes,de celles qui,à la longue (ou assez rapidement) sont insupportables à la femme.
En exagérant à peine,je pourrais dire que des couples se sont brisés parce que l’homme ne pouvait renoncer à sa manie de retirer ses chaussettes et de les abandonner au milieu du salon.
« avec qui j’aurais pu vivre »
Combien de temps ? Se marier,en principe, c’est décider de vivre ensemble sans se fixer de terme,c’est laisser la mort décider (until death do us part).
« renoncer à sa manie de retirer ses chaussettes et de les abandonner au milieu du salon. »
ca se défend s’il s’agit d’une tentative de culture de chaussettes in vivo (veritas).
Peu de meufs sont prêtes à accepter ce type de défense. (mais beaucoup de meufs arrivent à vivre avec et n’en font pas une maladie;le divorce pour chaussettes reste assez rare.)
Hans Baldung (1484-1545), Les Trois âges et la mort, 1543
On voit plus de choses sur le site du Prado (et on comprend un peu mieux le tableau)
https://www.museodelprado.es/en/the-collection/art-work/the-ages-of-woman-and-death/d5ef2c3e-48d1-40a8-8bb7-745314a1197c
Mais passons.
La troisième figure est laide;en vieillissant,personne n’embellit;il y a quand même de « beaux vieillards » et de vieilles femmes belles aussi à leur manière.
La physionomie du vieux (et de la vieille) révèlerait son caractère de manière impitoyable. La méchanceté qui n’apparaissait pas à l’oil nu jusque là,s’exprime-une fois la vieillesse venue-par un rictus , la forme des joues, le regard.
Et quelquefois,il suffit de peu d’années, comme si la vieillesse accélérait. Voyez par exemple Jacinda Ardern.
Merci Lormier pour nous avoir aiguillé vers le site du Prado !
Et dire que je n’ai pas tilté au titre « Les trois âges et la mort. »
On comprend donc votre « troisième figure » :
triste vision du bébé endormi dont la main gauche… Allez voir.
De même que celle de cet arbre décharné,
de la quelque peu inquiétante chouette qui nous regarde fixement,
et du Ciel… bien lointain.
(the « Tower of Hell » est devenu un… game)
Qui peut penser que l’Amérique viendra à bout de l’obésité en consommant massivement de l’Ozempic ?
Pour Kennedy, si on veut guérir les obèses,il faut leur faire manger des repas moins copieux et plus équilibrés et leur faire faire de l’exercice.
Qui peut être contre cette idée ?
Seulment des sénateurs qui touchent des centaines de milliers de dollars d’Ozempic.
«… qui touchent des centaines de milliers de dollars d’Ozempic » : les… bons coups (suite) que ceux de Big Pharma –
Lormier aviez-vous entendu parler de « operation warp speed » ?
(moi non).
Wiki (qui n’est pas la Bible) en donne néanmoins un aperçu assez intéressant.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Warp_Speed
Il faut bien regarder la troisième figure pour se rendre compte que les nibards sont toujours présents,réduits à un pli. A première vue, on pourrait croire que,tout de suite en dessous c’est un diapphragme creusé. A cet égard le site du Prado est précieux.
Retour sur votre fibre d’échec :
« Élève le noeud pour la turlutte », c’était pourtant cohérent.
Il vous a fallu(sse) l’aide de Zorglub et celle de WTH pour être quitte au but, c’est désespérant .
Je vous soupçonne de le faire exprès.
Je vais quitter le bateau moi aussi.
Oui…
(trois)
Zorglub par devant et conjointement WTH par derrière pour aboutir piteusement, c’est comme les excès répétés d’une insurrection, c’est déprimant.
Oui…
(une de plus)
« Le divorce pour chaussettes reste assez rare » (Lormier)
Quid lorsqu’il s’agit des grosses chaussettes de ces Scots en mode kilt, qui les balancent régulièrement au milieu du living-room, en rentrant du pub – et après avoir éclusé quelques scotchs ?
Les chausses grattent, c’est justifié de les retirer au salon .
Oui…
Images des âges de la femme
Compte tenu de l’âge moyen de mortalité à l’époque, on peut penser que les » vieillardes » de Baldung Grien seraient aujourd’hui d’assez alertes cougars.
Baldung s’est spécialisé dans des représentations à portée morale qui étaient, on peut le penser, des prétextes à montrer des jeunes filles dénudées plus ou moins largement.
Ici dans les sept âges de la femme il montre plusieurs corps désirables et même les deux derniers ne sont pas dans un état catastrophique, le dernier n’etant qu’esquissé ( pourquoi ?)
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Les_Sept_%C3%82ges_de_la_femme
Notons si je ne le trompe pas que Baldung était un ami de Luther.
* Je ne me trompe pas…
Autre époque, et une vision très 19 ème des 4 âges de la femme, le dernier âge étant seulement celui où les espérances de séduction ont fui – sans doute la raison pour laquelle » la femme » est montrre de dos ?
Le côté bourgeois ( Émile Augier plus que Flaubert ) de cette oeuvrette ravit les âmes simples ( comme la mienne).
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Les_quatre_%C3%A2ges_de_la_femme.jpg
* montrée
« oeuvrette » et « âmes simples » : images néanmoins reposantes, encore plus après le passage de l’ouragan abcm’… !
Et en plus, la postérité ne retiendra rien des prétentions littéraires de ces grenouilles vieillissantes. Plus de 40% des bouquins publiés finissent au pilon sous forme de pâte à papier qui ressert à publier la prose des suivants. Jeunes et vieux cons, moches ou pas qui participent à l’abrutissement général en espérant, vaste blague, laisser une trace.
WTH
« oeuvrette » et « âmes simples » : images néanmoins reposantes, encore plus après le passage de l’ouragan abcm’… !
Comme il en faut pour tous les goûts et dans un but de culture désintéressée, bien sûr, une autre reproduction de Baldung, dit Grien, qui fut citoyen de Strasbourg ( ce qui n’en fait pas un Français…)
https://app.fta.art/fr/artwork/d7f23de2e19a0c2641358caa7f9ae924a19cac09
Avec l’indication suivante tirée de l’article Wikipedia consacré à ce peintre excitant à plus d’un titre :
» La peinture de Baldung La Mort et la Jeune fille de 1517 est considérée comme la première représentation picturale des poils pubiens dans l’Europe moderne »
Tout à fait étonnant que ce Baldung !
cf. en particulier : « vœux du nouvel an avec trois sorcières » :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b5/Baldung_hexen_ca1514.jpg
Un petit chef d’œuvre. On s’est interrogé sur ka fascination de Baldung pour les sorcières. La réponse pourrait être décevante pour qui y voit la marque d’une époque tourmentée, en proie aux terreurs et maléfices: » Baldung [traite] ses sorcières avec humour, une attitude qui reflète le point de vue dominant des humanistes de Strasbourg à cette époque qui considéraient la sorcellerie comme lustig (drôle), une question qui était plus amusante que sérieuse » ( Gert von der Osten, art Wikipedia Hans Bakdung). On peut ne pas adhérer à cette hypothèse.
Un « petit chef-d’œuvre », oui. Et que certains, à l’époque, aient considérés la sorcellerie comme « lustig » !…
ou loustic, tout comme les drôles de loustics que ceux de BdÂ.
…un « s » de trop !
excès répétés d’une insurrection
INSUccès répétés d’une Erection
chausses grattent
GRosses CHattes
quitte au but,
Bite au Cul
WTH 31 janvier 2025 At 10h28
la quelque peu inquiétante chouette qui nous regarde fixement
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symbole de la sagesse…qui nous prévient de ce qui nous pend au nez si nous tombons dans le péché
https://www.museodelprado.es/en/the-collection/art-work/the-ages-of-woman-and-death/d5ef2c3e-48d1-40a8-8bb7-745314a1197c
Quid des étranges excroissances sur l’arbre?
Plus direct que Baldung, son quasi contemporain Niklaus Manuel Deutsch , peintre, citoyen et homme d’état bernois qui servit je crois un temps comme mercenaire :
La mort habillée en lansquenet embrasse une jeune fille – Der Tod als Landsknecht umarmt ein Mädchen
musée de Bâle
https://de.m.wikipedia.org/wiki/Niklaus_Manuel#/media/Datei%3ANiklaus_Manuel_Deutsch_003.jpg
Pas quasi contemporain mais exact contemporain ( meme année de naissance
Baldung 1484- 1545
Niklaus Manuel surnommé Deutsch 1484- 1538
L’observation concernant la mort habillée en lansquenet vient du fait que le squelette est vêtu d’une culotte à » crevés » (mais cela laisse un peu sceptique).
La « sagesse » « qui nous prévient de ce qui nous pend au nez si nous tombons dans le péché. » (Lormier)
Surtout ne pas abuser de « quitte au but ».
Parfaite illustration que ce tableau de Niklaus Manuel ; une fois de plus, tout à fait étonnant (1517).
WTH 31 janvier 2025 At 10h09
Quid lorsqu’il s’agit des grosses chaussettes de ces Scots en mode kilt, qui les balancent régulièrement au milieu du living-room, en rentrant du pub – et après avoir éclusé quelques scotchs ?
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a) du vécu ?
b) Les Ecossais ne boivent pas de whisky au pub,ce serait trop cher;ils en boivent à la maison.
» Les Ecossais ne boivent pas de whisky au pub »
Préjugé de classe… D’accord, ils n’en boivent pas du meilleur mais c’est comme le Paddy en Irlande, quand faut y aller, faut y ailler ! Surtout si un étranger (un Français !) est présent.
Ce soir, étripage de gallois pour affiner la recette
ailler profond…
Encore une recette du maître queux !
😅 :
https://media.larepubliquedespyrenees.fr/23068442/1000×625/20250129190710-88195212.jpg?v=1738317153
Les trois âges …est le pendant d’un autre tableau:Les Trois Grâces (ou Harmonie)
https://www.museodelprado.es/en/the-collection/art-work/harmony-the-three-graces/e909e7a1-1591-4bc1-a357-119c9b9d8eaa
abcmaths 31 janvier 2025 At 10h42
c’est déprimant.
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Allez repeindre vos piles de boîtes,ça vous remontera le moral.
Quitter le bateau . Fibre de l’échec.
Encore deux contrepéteries ignorées aujourd’hui.
Vous avez raison, la poésie ou les toiles en peinture, c’est un passe-temps moins ingrat.
Oui…
Se va enredando, enredando
Como en el muro la hiedra
Y va brotando, brotando
Como el musguito en la piedra
Como el musguito en la piedra, ay si, si, si
Quitter le bateau
Biter le Catho
la poésie ou les toiles en peinture, c’est un passe-temps moins ingrat.
Il ya aussi:les tracas mathématiques.
Oui…
Oui quoi ?
Fibre d’échecs.
Chibre des cheFs
(avec l’article je ne peux rien faire)
au fait la version initiale était bien « fibre d’échec »
Oui, j’me suis emmêlé les pinceaux.
Tracas mathématique ?
Oui… Rappel
T’as qu’a mater ma trique.
qu’à
toiles en peinture
Poils en Teinture
ECHO 31 janvier 2025 At 16h38
La mort habillée en lansquenet embrasse une jeune fille – Der Tod als Landsknecht umarmt ein Mädchen
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Il y a deux tableaux (l’un au recto,l’autre au verso).
Kriegsknecht ou Landsknecht ?
La mort embrasse la jeune fille;à mon avis,elle TENTE de l’embrasser (et de lui metre la main à la chatte) mais la meuf l’arr^te (mollement,peut-être,car le soldat alias la mort a déjà remonté la robe assez haut)
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Niklaus Manuel gen. Deutsch
Bern um 1484–1530 Bern
Bathseba im Bade (Vorderseite); Der Tod als Kriegsknecht umfasst ein junges Weib (Rückseite), 1517Bathsheba Bathing (front). Death as a Mercenary Embracing a Young Woman (back)
Le bain de Bethsabée (recto). La mort, serviteur de la guerre embrassant une jeune femme (verso)Mischtechnik auf Tannenholz38.2 x 29.2 cmSigniert auf beiden Seiten jeweils unten rechts mit dem Monogramm NMD[ligiert] und dem Dolch-Signet mit Schleife, auf der Vorderseite zwischen beiden datiert 1517. Über der Hauptfigur der Vorderseite weisse Beischrift PERSABE. Auf der Rückseite schwarze Inschrift KISN [?] auf der Säule rechts.Kunstmuseum Basel, Amerbach-Kabinett 1662Inv. 419
Schon Basilius Amerbach beschreibt die doppelseitig bemalte Tafel als « mit falschen farben erhecht » (Landolt 1991), spielt also auf die monochrome Wirkung der Malerei an. Tonalität und Pinselführung ahmen den Effekt einer Hell-Dunkel-Zeichnung auf getöntem Papier nach. Das Werk ist also offenbar ein Trompe-l’œil, dessen wahre Materialität sich erst entpuppt, wenn man es in die Hand nimmt. Dies empfiehlt sich, auch um die bemalte Rückseite zu goutieren: Die Kombination der biblischen Ehebruch-Episode (2. Sam. 11,2–4) mit der radikalen Neuformulierung des zeitgenössischen Sujets « Tod und Mädchen » (vgl. Inv. 18, 19 von Hans Baldung Grien; Koepplin 1978 zur Genese des Themas) soll offensichtlich überraschen und den erotischen Kitzel zweistufig steigern. Die gemalte Rahmung nur der Bathseba-Szene bestätigt ihren Charakter als Vorderseite. Das dem Werk zugrundeliegende ästhetische Kalkül des Werkes könnte auf die Bestimmung für eine Kunst- und Wunderkammer hindeuten.
Im Frühjahr 1516 nahm Niklaus Manuel höchstwahrscheinlich selber als Reisläufer an Feldzügen in Oberitalien teil (Ausst.-Kat. Bern 1979, S. 116). Die dort gewonnenen Eindrücke könnten ihn zur Interpretation des Todes als Landsknecht und seiner Buhle als Trosshure angeregt haben.
https://sammlungonline.kunstmuseumbasel.ch/eMP/eMuseumPlus?service=ExternalInterface&module=collection&objectId=4547&viewType=detailView
Lansquenet ou lansquineur ?
« …jusqu’à ce que le désastre intime ne soit plus camouflable. » (jipé en larmes)
C’est pourquoi il vaut mieux se raconter « plus que tout » dès le début d’une relation amoureuse, surtout lorsque l’on est capable de mentir(*) comme nous le faisons tous par peur d’être encore plus séduisant.
Avis aux athées comme des phoques: dans le Talmud, on prétend qu’avant Abraham les signes de vieillesse n’existaient pas. En sorte que, Abraham ressemblant à son fils Isaac, on ne savait pas auquel des deux on s’adressait.
Abraham a prié, et la vieillesse lui fut accordée.
(*)il n’y a pas plus menteur qu’un intellectuel littéraire occidental.
So what ?
Welsh cawl mitonné hier avec les lambeaux de chair récupérés sur le terrain de (Montjoie) Saint Denis parmi les crachats et les goutte de sang. Parait que ça donne un fumet inimitable.
Prochaine sortie de la broyeuse : le crunch. Il y a maintenant une version féminine (?) qui semble installer une tradition où les perfides albionnes sortent du boudin (noir) et des tripes au pied (0,3048 m) dont elles ornent les poteaux des malheureuses adversaires.
gouttes
Quand les Français survitaminés tombent sur le râble de malheureux iliens septentrionaux, ils en font du rachis parmentier. Difficile de se faire à l’idée que ce qu’on ramasse sur le terrain après le match a appartenu à un être humain…
Le XV de France : « collectif huilé » (en titre, le Garofi) – loin donc de la ragougnasse.
ECHO 31 janvier 2025 At 16h38
Plus direct que Baldung, son quasi contemporain Niklaus Manuel Deutsch , peintre, citoyen et homme d’état bernois qui servit je crois un temps comme mercenaire :
La mort habillée en lansquenet embrasse une jeune fille – Der Tod als Landsknecht umarmt ein Mädchen
_________________________________________________________________________
La jeune fille qu’embrasse (ou tente d’embrasser) la mort est-elle une putain ?
Lormier avait noté que,si elle avait l’air de repousser la main de la mort cherchant sa motte,elle ne le faisait que mollement;en effet on voyait bien que la robe avait été remontée
à la limite de la ligne de flottaison.
Le commentaire de ce tableau par Schon Basilius Amerbach,reproduit par le Musée de Bâle, semble corroborer l’hypothèse:
Die dort gewonnenen Eindrücke könnten ihn zur Interpretation des Todes als Landsknecht und seiner Buhle als Trosshure angeregt haben.
hure=putain (Google)
(Pourquoi Trosshure ? abcmaths,Lorrain germanophone et germanophile nous l’expliquer peut-être; Tross=entourage,selon Google)
Putain malgré elle ?
En allemand malgré c’est trotz, mais s’il s’agit de Suisses, …
ECHO 31 janvier 2025 At 16h38
Plus direct que Baldung, son quasi contemporain Niklaus Manuel Deutsch , peintre, citoyen et homme d’état bernois qui servit je crois un temps comme mercenaire :
La mort habillée en lansquenet embrasse une jeune fille – Der Tod als Landsknecht umarmt ein Mädchen
_________________________________________________________________________
La jeune fille qu’embrasse (ou tente d’embrasser) la mort est-elle une putain ?
Lormier avait noté que,si elle avait l’air de repousser la main de la mort cherchant sa motte,elle ne le faisait que mollement;en effet on voyait bien que la robe avait été remontée
à la limite de la ligne de flottaison.
Le commentaire de ce tableau par Schon Basilius Amerbach,reproduit par le Musée de Bâle, semble corroborer l’hypothèse:
Die dort gewonnenen Eindrücke könnten ihn zur Interpretation des Todes als Landsknecht und seiner Buhle als Trosshure angeregt haben.
hure=putain (Google)
(Pourquoi Trosshure ? abcmaths,Lorrain germanophone et germanophile nous l’expliquer peut-être; Tross=entourage,selon Google)
Die dort gewonnenen Eindrücke könnten ihn zur Interpretation des Todes als Landsknecht und seiner Buhle als Trosshure angeregt haben.
Traduction google:
Les impressions qu’il y a recueillies l’ont peut-être inspiré à interpréter la Mort comme un mercenaire et son amante comme une prostituée bagagiste.
« prostituée bagagiste » ??? je me tape des barres.
Même scène avec B***, rencontrée sur les bancs d’une fac quand nous préparions l’agrégation. Fort aimée quand elle vivait en Charentes, fort aimée quand elle est rentrée des Antilles…
« aimée » et non « baisée »,le lecteur attentif l’aura noté et s’en sera peu-être étonné.
Symétriquement:
Etais-je bien celui qu’elles avaient aimé…?
Le Maestro nous a souvent parlé de baise;d’amour,c’est la première fois.
Même scène avec B***, rencontrée sur les bancs d’une fac quand nous préparions l’agrégation…
Pas une auditrice libre à Saint Cloud ?
Parce que ,normalement Saint-Cloud organise une préparation dans ses murs…ou alors, le Maestro a estimé que certains cours en fac étaient meilleurs.
La démocratie en Amérique:qu’est-ce que le Sénat ?
En exagérant à peine,on pourrait dire que le Sénat américain est une mosaïque de lobbyistes au service de diverses entreprises privées.
Quand on voit,lors de l’audition de Kennedy, que ses farouches opposants sont les sénateurs les mieux rémunérés par BigPharma (Bernie Sanders:150 ou 200 000 dollars par an selon les estimations) ,on est tenté de se dire que ce que ces sénateurs défendent,ce n’est pas la santé des Américains mais leur portefeuille à eux.
Et prétendre que c’est le médicament Ozempic qui va guérir les obèses (et pas une alimentation plus saine) faut le faire!
abcmaths 1 février 2025 At 12h49
Putain malgré elle ?
Comment justifieriez-vous cette interprétation ?
J’avais pas vu:
abcmaths 1 février 2025 At 12h56
En allemand malgré c’est trotz, mais s’il s’agit de Suisses, …
Faut que j’aille voir si ce Schon Basilius Amerman est suisse ou allemand.
Amerbach
Schon Basilius Amerbach est bien un bâlois (du 16ième siècle);c’est lui qui a répertorié les oeuvres du cabinet Amerbach (dont fait partie le tableau de Deutsch).Cette collection est un legs d’Erasme.Erasme était très lié à Boniface Amerbach,légiste bâlois.
La question est de savoir si Amerbach écrivait l’allemand germanique pur ou bien un allemand helvétique-auquel cas Tross pourrait ,selon abcmaths, être une déformation de Trotz..
Quoi qu’il en soit,selon Amerbach,la meuf est une putain (hure) et ça c’est renversant.
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[Erasme] est l’ami de Boniface Amerbach, Le légiste bâlois Boniface Amerbach est l’un des amis les plus proches d’Érasme dans les dernières années; il sera l’exécuteur testamentaire d’Érasme.
https://bude.univ-tours.fr/php/search.php?PLACE=SEARCH_PERSO&SPLACE=AFF_PERSO&PERSONNAGE_ID=5669/9125&SESSIONID=-1
« Trotz Sie » raccourci donne Tross.
Attention : Putain malgré elle n’est pas putain !
Peut- on se passer des lutins involontaires ?
Oui…
Sur Niklaus Manuel quelques interprétations sur un site en français
https://artifexinopere.com/blog/interpr/themes/figures-de-la-mort/les-deux-faces-de-la-bethsabee-de-bale/
Un autre dessin de Niklaus Manuel sur ce site, montre la mort, accoupie, qui regarde sous les jupes d’une fille, l’air très consentante.
Epatant, merci ! Le Manneken-Pis, à côté, rien que du pipi de sansonnet !
https://artifexinopere.com/wp-content/uploads/2019/08/Niklaus-Manuel-dit-Deutsch-1517-Bethsabee-au-bain-Musee-des-BA-Bale-detail-putti-1.jpg
* accroupie, et non accoupie , mais bientôt accouplée avec la jeune fille apparemment…
Niklaus Manuel Deutsch était aussi célèbre ( tout est relatif.. ) pour une danse macabre dans le couvent dominicain de Berne qui a disparu ( dans quelle circonstances ? ) mais qu’on connaît par une copie à la gouache faite au 17 ème siècle.
https://blog.nationalmuseum.ch/fr/2020/11/danse-macabre/
Destruction de l’œuvre de Deutsch au couvent dominicain de Berne ( sa danse macabre sur le mur du cimetiere du couvent) : à la suite de la décision de la ville en 1660 d’abattre le mur pour élargir une rue. Les fresques étaient à l’époque en mauvais état. Elles avaient pu être copiees par au moins deux peintres.
https://www.erudit.org/fr/revues/fr/2007-v19-n2-fr1990/017491ar.pdf
Note 3
Etonnant.
Pour les passionnés…
Peindre sa mort et celle des autres, la Danse macabre de Niklaus Manuel Deutsch
Hans-Jürgen GreifVolume 19, Number 2, Spring 2007
https://www.erudit.org/fr/revues/fr/2007-v19-n2-fr1990/017491ar.pdf
L’auteur est très laudateur sur Niklaus malgré quelques manquements techniques notamment des erreurs anatomiques.
Nikolaus Deutsch ( de son nom de naissance, Alaman, qu’il » germanisa » en Deutsch, né à Berne d’un père apothicaire originaire du nord de l’Italie – mais sans doute d’origine allemande d’où son nom?) fut aussi un magistrat de Berne et un littérateur. » En 1529, après la Réforme, il devint membre du « petit conseil » de Berne, qui fit promulguer des lois sévères contre les soudards, le port d’arme, l’adultère et la danse » (Wikipedia) – toutes choses qu’il avait sans doute pratiquées plus jeune sans compter les relations avec les prostituées.
Pourquoi Erasme acquit-il une oeuvre (au moins) de Deutsch ?
* Niklaus et non Nikolaus
Sur Niklaus Manuel quelques interprétations sur un site en français
https://artifexinopere.com/blog/interpr/themes/figures-de-la-mort/les-deux-faces-de-la-bethsabee-de-bale/
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Citons:
la femme porte un vêtement de prostituée : décolleté et jarretières ;
elle ne cherche pas à échapper au baiser, bien au contraire.
Plutôt que tenter de ménager sa pudeur, elle laisse la main de la Mort relever sa jupe, dans un geste d’une très grande crudité. Et sa posture d’abandon accompagne les avances de la Mort, plutôt qu’elle ne lui résiste.
L’un des intérêts du site est la possibilité d’agrandir telle ou telle parie.
Avec la loupe on voit bien que la main de la meuf ne retient pas le bras du lansquenet mais au contraire le guide vers sa motte, et-dirait-on même,elle gude la main vers le clito !!!
Nous savons que Dieu ne s’est jamais pris pour Brighelli; la mort,si, peut-être. En tout cas elle ne farfouille pas dans la foufounette comme un pourceau (ce que le Maestro réprouve) mais se laisse tranquillement guider.
passer des lutins
pUcer des LAtins
Hahaha !
Peut-on se pucer des latins …
Un maître de la langue vous dis-je !
Pour les conneries, il n’est jamais fatigué.
Pour le reste, oui, il peut. Que pourrait-il en faire ?
Le jeune camarade de classe dont je parlais tantôt nous faisait hurler de rire lorsqu’il hurlait à la cantonade (*) une réponse fausse. D’autant qu’entre temps, il faisait étalage de son savoir directement issu de Wikipédia et ChatGpt.
(*) « Cantonade » est un mot qui a été forgé avant l’apparition du personnage éponyme emblématique. Si le lexique peut voyager dans le temps pourquoi les personnes ne le pourrait-elles pas ?
avec « ent » c’est plus chic.
La cantonade est, comme chacun sait, une poensée forte de CAntona.
Par exemple :
http://evene.lefigaro.fr/citations/eric-cantona
Pour les amateurs de botanique (virer le « involontaire » qui n’est pas indispensable en fin de phrase) :
« Peut-on se passer des lupins ? »
Y aviez-vous pensé ABC ?
Non, j’étais au cinéma cet apres- midi.
Un film brésilien ;
« Je suis toujours là »
Cela se passe en 1971 pendant la dictature brésilienne.
Pas gai mais très bon film.
passer des lutins
Lasser des Putains
Comment la jeune fille et le lansquenet est-il entré dans la collection d’Erasme ? quel intérêt trouvait-il à cette oeuvre ?
Portrait de Niklaus Manuel Deutsch,tel que vu par Dr. Hefner-Alteneck (1811 – 1903)
Portrait of the painter and writer Niklaus Manuel Deutsch (1484-1530) in colorful Swiss clothes, like those of a German mercenary or Landsknecht. He wears a floppy hat, an embroidered doublet over white shirt, elaborately slashed culottes with codpiece, and striped odd stockings. He holds a brush…
https://www.album-online.com/detail/fr/N2NiODZmMA/portrait-painter-writer-niklaus-manuel-deutsch-1484-1530-colorful-swiss-alb2238054?sT=NIKLAUS+MANUEL+DEUTSCH+
Il s’agit d’un » portrait imaginaire » ( il y a peut être terme plus adequat, je ne le retrouve pas ) , fait au 19 eme siècle.
Wikipedia offre un portrait contemporain de Niklaus Manuel par son frère.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Niklaus_Manuel#/media/Fichier%3ANiklaus_Manuel_1553.jpg
S’agissant de la question pourquoi Erasme etc…j’ai peur qu’il faille se contenter de suppositions..
Et une autre image de N Manuel , cette fois on pende qu’il s’agut d’un autoportrait dans sa fresque de la danse macabre, détruite mais relevée au 17 eme par deux peintres. La mort enlevé sa baguette au peintre…
https://www.mediastorehouse.com/fine-art-finder/artists/niklaus-manuel/death-pulling-brush-painter-death-group-pagans-22597700.html
* pense
s’agit, enlève…
Sa baguette – je confonds avec un chef d’orchestre ! Sa brosse, dit le texte.
Au passage, ce pourrait être la première apparition d ‘ un thème ( ou d’une représentation) de l’artiste, lui même peint parmi ses personnages, en train de les peindre …
Pourquoi tant de putains dans l’oeuvre de Niklaus Manuel Deutsch et de son contemporain Urs Graf ?
D’après cet intéressant article (richement illustré),en tant que mercenaire,il en voyait beaucoup:au 16ième,les filles de la campagne,après les batailles dévastatrices,n’avaient guère d’autre moyen de survivre que d’accompagnant les soldats et de faire la pute (+ramasseuses de champignons et cuisinières etc.);
https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9789048534982-006/html?lang=en&srsltid=AfmBOoqmtpVWsuVG3-5_aKhh-jrNp2m213SV7_-xnGbnCroxnfrEyxMC
La jupe relevée indique:perte de la virginité+disponibilité.
https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9789048534982-006/html?lang=en&srsltid=AfmBOoqmtpVWsuVG3-5_aKhh-jrNp2m213SV7_-xnGbnCroxnfrEyxMC
Pourquoi tant de putains dans l’oeuvre de Niklaus Manuel Deutsch et de son contemporain Urs Graf ?
D’après cet intéressant article (richement illustré),en tant que mercenaire,il en voyait beaucoup:au 16ième,les filles de la campagne,après les batailles dévastatrices,n’avaient guère d’autre moyen de survivre que d’accompagner les soldats et de faire la pute (+ramasseuse de champignons et cuisinière etc.)
https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9789048534982-006/html?lang=en&srsltid=AfmBOoqmtpVWsuVG3-5_aKhh-jrNp2m213SV7_-xnGbnCroxnfrEyxMC
La jupe relevée indique:perte de la virginité+disponibilité.
Dessin génial d’Urs Graf (vieille peau examinant une jeune peau en sandales Birkenstock)
https://www.researchgate.net/publication/350250625/figure/fig5/AS:1003981681733634@1616379294206/Urs-Graf-Old-Fool-Observing-a-Nude-Young-Woman-c-1515.ppm
L’article Wikipedia en anglais sur Niklaus Manuel présente deux autoportraits de lui – celui de 1520 ne ressemble pas au portrait peint par son frère ( le visage est devenu plus rond) , celui dec1515 en est un peu plus proche …
Urs Graf, autre peintre et surtout dessinateur et graveur suisse , qui servit comme mercenaire
https://www.lesauterhin.eu/wp-content/uploads/2017/11/Urs-Graf-Liebesqualen.jpg
L’image précédente extraite de cet article
https://www.lesauterhin.eu/images-de-femmes-autour-de-lan-1500/
Remarquable article…
abcmaths 1 février 2025 At 21h31
Un film brésilien ;
« Je suis toujours là »
Cela se passe en 1971 pendant la dictature brésilienne.
Pas gai mais très bon film.
Vous avez vécu au Brésil…peut-être un peu plus tard,n’est-ce pas ?
N’avez-vous pas raconté qu’il fallait toujours avoir un billet de 10 dollars dépassant de la poche du veston,pour éviter de se faire poignarder par un quémandeur ?
Oui, exact. Ce n’est pas encore le cas en France, mais on y vient tout doucement.
Le film se passe en grande partie là où j’habitais, quelques années après la dictature.
Le premier président a été destitué pour corruption aggravé .
( avec la complicité, entre autres, de la famille d’un de mes élèves franco- brésiliens du lycée français de Rio)
Mais je ne regrette pas d’avoir trainé mes galoches dans le Brésil, ce fut très instructif.
Oui…
aggravée
(premier Président élu démocratiquement après la dictature)
Erreur de ma part, le Président a démissionné afin d’échapper à une destitution.
FOOTAISES
La cantonade est, comme chacun sait, une poensée forte de CAntona (jipé)
Je dirais même plus, une cantonade est une pensée forte qu’entonna Cantona à la cantonade.
La honte m’empourpre le visage en constatant que mon commentaire précédent est gravement discourtois par l’absence de la majuscule à jipé.
JPB, ne l’oublions pas, est un catcheur émérite, un auteur violent, un critique fin, un maître à penser littéraire qui garde la tête haute malgré le bruit du couperet de la guillotine médiatique, laquelle les yeux fermés raccourcit les meilleurs d’entre eux.
« …guillotine médiatique, laquelle les yeux fermés raccourcit les meilleurs d’entre eux…. »
Cette guillotine virtuelle sépare -t-elle le coup du tronc ?
Oui…
galoches dans le Brésil
Balloches dans le Grésil
sépare -t-elle le cou du tronc ?
sépare -t-elle le cON du trOU ?
ECHO 2 février 2025 At 9h28
S’agissant de la question pourquoi Erasme etc…j’ai peur qu’il faille se contenter de suppositions..
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Il a séjourné plus d’une année à Bale;c’est un élément d’explication.
Niklaus Manuel Deutsch était aussi écrivain;il s’intéressait à la question religieuse,était quelque peu critique à l’égard du catholicisme, a écrit sur les indulgences.
C’est un autre élément d’explication;
Je pense que le goût de collectionneur d’Erasme n’était pas forcément lié à ses options morales mais par le plaisir visuel ou esthétique.
Pour en savoir plus il faudrait sans doute lire – et donc traduire ( par exemple) l’étude de Panofsky , Erasmus and the visual arts ( pas de mention de Niklaus Manuel à priori… )
https://edoc.hu-berlin.de/bitstreams/dfb7dded-023a-447a-9c55-e6556f3e0e88/download
Niklaus Manuel semble s’être rallié complètement à la Réforme ( au sens de rupture avec l’Eglise de Rome) mais il y a eu nécessairement une période d’entre- deux.
* mais par : dicté par, ou lié à…
Urs Graf Putain minaudant (1525)
https://www.researchgate.net/figure/Urs-Graf-Simpering-Harlot-1525_fig3_350250625
Etais-je bien celui qu’elles avaient aimé, avec mes cheveux clairsemés par l’abus de testostérone, pas mal de kilos en plus, des taches sur les mains, le cou moins ferme, la bouche de plus en plus fine, décidément plus apte à dire des méchancetés qu’à échanger des baisers…
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» l’abus de testostérone »
L’abus, pas l’excès.
Doit-on comprendre que le Maestro se faisait (se fait) injecter de la testostérone ?
Putains de militaires,suite…
The lives of young women in northern Switzerland during the early years of the sixteenth century became caught up in the economic turmoil and rapid societal change of a new era. The Swiss Confederacy during the period around 1520 had developed into a society largely based on mercenary warfare. A culture of ongoing war redefined work life, politics, religious habits, social norms, and the gendered experiences of women as well as men. Even art itself developed in new ways that ref lected the importance of military prowess in society. This was especially true in the two major centres of Basel and Bern, where the two most important Swiss artists of the period, Urs Graf and Niklaus Manuel Deutsch, worked
as mercenary soldiers in numerous campaigns, and their artwork naturally ref lected those powerful experiences. In the case of Graf ’s drawings, the resonance of war coupled strikingly with the imagery of sexually alluring young women as harlots and camp followers.As always in circumstances of war, women’s lives were caught in the crossfire and young women’s experiences took particular turns. Having become the victims of pillage, plunder, and rape, as recorded in the Swiss chronicles,many young women in the countryside were forced to abandon their scorched f ields and destroyed farms and join their marauding attackers in order to survive. Often members of the lowest social class,4 they became camp followers and prostitutes who accompanied the campaigns, where they provided a variety of services for the mercenary soldiers.They foraged for food: in the winter they collected snails; in the summertime mushrooms, herbs, and kindling wood; and they often stole vegetables from nearby f ields.6 As in civilian life they cooked, washed, mended clothes, and cared for the sick and injured. They sometimes took on commercial roles, like Brecht’s Mother Courage, who sold shoes, alcoholic beverages, bread, pistols, and other necessary items. And many of them also performed sexual services.
The Youth of Early Modern Women
Christiane Andersson
https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9789048534982-006/html?lang=en&srsltid=AfmBOoqmtpVWsuVG3-5_aKhh-jrNp2m213SV7_-xnGbnCroxnfrEyxMC
Putains de militaires,suite…
Bon alors d’ac, au 16ième, les meufs dont le village et la ferme avaient été dévastés lors d’une bataille, se retrouvaient,par nécessité vitale à faire la pute pour le régiement dont elles accompagnaient les pérégrinations.
Cette pratique a duré jusqu’à quand ?
Un conte de Marcel Aymé, « Légende poldève » nous parle de « la catin du régiment »;ça existait peut-être encore du temps de la Grande Guerre.
D’un artiste anonyme identifié par son monogramme :
Un soldat et une » suiveuse de camp »
Belle image tranquille de deux compagnons des bonnes et des mauvaises chances
https://www.artnet.de/k%C3%BCnstler/monogrammist-mmh/landsknecht-mit-dirne-73uUv9ApVZT5zP8ulVuBdA2
Le titre allemand dit
Landsknecht mit Dirne, 1523
Dirne : putain…
Kurtisane, Bordsteinschwalbe (ugs.), Prostituierte (Hauptform), Freudenmädchen, Professionelle (ugs.), Metze (geh., historisch), Straßenmädchen (ugs.), Hure (derb), Nutte (derb), Edelnutte (derb), Hetäre (geh.), Musche (ugs.), Horizontale (ugs.), Strichmädchen (ugs.), Callgirl, Straßendirne, Lusche (ugs., regional), Kokotte (veraltet)
https://en.langenscheidt.com/german-english/dirne#google_vignette
Mise au point sur les différentes catégories de femmes connues sous le nom de kampfrau ou trossfrau
» The tross were made up of women, children, and some craftsmen.
The name of the women traveling with the landsknecht came be known as kampfrau or trossfrau. »
Tross : équipage
https://whiljascorner.wordpress.com/2013/06/04/an-overview-of-the-trossfrau/
je ne sais pas ce que signifient les abréviations du Langenscheidt.
Hans Baldung (1484-1545), Les Trois âges et la mort, 1543
3+1=4
Il n’y a que trois personnages;la femme la plus à droite,c’est la mort.(mort-vivante)
Sur le site du Prado, on voit la totalité du tableau:la mort tire la femme à sa droite par le bras;et cette deuxième femme fait de même avec la plus jeune.
https://www.museodelprado.es/en/the-collection/art-work/the-ages-of-woman-and-death/d5ef2c3e-48d1-40a8-8bb7-745314a1197c
Abréviations
ugs.
(Linguistique) Umgangssprachlich : « Familier, fam. ».
Geh. ???
Selon un forum
geh. usually stands for gehoben (elevated).
Lormier 2 février 2025 At 1h27
Dessin génial d’Urs Graf (vieille peau examinant une jeune peau en sandales Birkenstock)
https://www.researchgate.net/publication/350250625/figure/fig5/AS:1003981681733634@1616379294206/Urs-Graf-Old-Fool-Observing-a-Nude-Young-Woman-c-1515.ppm
La bite physiologique n’est pas visible,mais combien y a-t-il de substituts ?
Pas plus que dans vot’ froc…
Mais putain de bordel de merde,regardez le dessin! Vous voyez pas la dague ? Vous voyez pas le pli de la cape ? vous voyez pas les trucs qui pendouillent au-dessus du sac à dos ?
Vous êtes bigleux ou quoi ?
Et la meuf,kècekè tient dans sa main droite ?
« les trucs qui pendouillent au-dessus du sac à dos »
Des glands de corbillard
Lisez plutôt ça :
https://www.caminteresse.fr/histoire/quels-sous-vetements-portait-on-au-moyen-age-11198918
C’est pas 3,c’est 7.
Baldung:les sept âges de la femme.
On ne voit pas la septième, cachée derrière la sixième.
Stabilité structurelle et morphodynamie:reconnaît-on des traits communs au visage;
Nibards:subtile évolution depuis la jeune fille prépubère jusq’au stade 6,avec un net saut de 5 à 6.
http://ww.ciudadpintura.com/Obra.html
Lien inopérant sur ma tablette ( un de plus)
La routine …
Si yapa de sodomie, les liens d’IAL ne fonctionnent souvent pas.
À croire qu’il n’en a pas assez profité lorsqu’il en était encore capable.
Faudrait peut être qu’il pense à brancher son lien de temps en temps
(Sinon c’est de la maltraitance)
Oui…
peut-être
On avait dit pas la zoophilie !
Et si L réclame une petite fête à Sion à une belle ?
Oui…
abcmaths 2 février 2025 At 19h12
Lien inopérant sur ma tablette ( un de plus)
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Sur mon ordinateur le lien fonctionne…
Essayez celui-ci;ou bien faites une recherche « Ciudad de la Pintura. The seven ages of woman.Hans Baldung ».
(Le tableau est présent sur divers sites;ciudad de la Pintura, moyennant quelques manipulations et tatonnements,permet un agrandissement X2)
http://ww.ciudadpintura.com/SearchProducto?Produnum=9083
Là ça marche.
Vous arrivez à voir le tableau en grand ?
Oui
brancher son lien
branLer son CHien
fête à Sion à une belle
feLLation à une bêTe
ECHO 2 février 2025 At 19h00
Mise au point sur les différentes catégories de femmes connues sous le nom de kampfrau ou trossfrau
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Ca colle: je comprends pourquoi Google avait traduit Trosshure par « putain bagagiste ».
Tross, c’est je pense à peu près ce qu’on appelait jadis « le train des équipages ».
La Trosshure est en somme à la fois marchandise (munie de trous bien pratiques) et agent de transport,car elle a une autonomie et se rend utile de manières diverses.
L’interprétation d’abcmaths tenait la route…
https://en.langenscheidt.com/german-english/tross#sense-1.1.1
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L’auteur du texte que vous citez semble être une costumière suédoise vivant désormais en Californie (mariée à un Californien).
Quelques fautes d’anglais dans son texte:
« came be known as kampfrau or trossfrau. »
» came TO be known as kampfrau or trossfrau. »
Dessin génial d’Urs Graf (vieille peau examinant une jeune peau en sandales Birkenstock)
https://www.researchgate.net/publication/350250625/figure/fig5/AS:1003981681733634@1616379294206/Urs-Graf-Old-Fool-Observing-a-Nude-Young-Woman-c-1515.ppm
Bien que ça ne ressemble pas à une étrille moderne,l’objet que la meuf à poil tient dans sa main droite en est une…avec une signification sexuelle évidente pour les gens de l’époque via un jeu de mots cochon.
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Un cheval aime qu’on l’étrille;abcmaths a une étrille de petite taille, spéciale qui lui sert à bien aligner ses poils de bite.
(Et pour éviter aux fellatrices de se prendre un poil sur la langue,il les enroule sur des bigoudis miniatures spécialement conçus pour cet usage.Ensuite les bigoudis sont soigneusement rangés dans des piles de boîtes)
Comment se fait-il qu’étriller signifie au figuré fustiger,engueuler ?
Oui ce n’est pas un site universitaire mais d’amateur de reconstitution de costumes.
En naviguant sur internet on s’aperçoit qu’il existe un certain nombre de » reconstituteurs » passionnés par le thème lanqsquenets et suiveuses de camps, qui aiment revêtir ces costumes. Pas tellement en France sauf erreur ( quoiqu’on trouve un groupe Lothringen Landsknecht, basé… dans le Vaucluse)
Au XVIème donc,il y avait des putains dans le train des équipages.
Et au XVIIème ?
Y en a-t-il dans la suite de Solei Noir (à paraître en juin 25) ?
Les nuits de Topkapi
« toute la verve, l’humour et l’érudition de Jean-Paul Brighelli. »
Les nuits de Topkapi Format Kindle
de Jean-Paul Brighelli (Auteur) Format : Format Kindle
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1688. Balthazar, médecin de Louis XIV, est dépêché en mission secrète auprès du Grand Turc pour nouer une alliance militaire contre l’Autriche. Il devra éliminer le chef des Haschischins et soigner l’impuissance du sultan. Il s’apprête à vivre mille aventures, dignes à la fois desMille et une nuitset… d’OSS 117!
Mission secrète à Constantinople : la nouvelle aventure de Balthazar, médecin du roi
1688. Balthazar Herrero, qui a si bien soigné Louis XIV dansSoleil noir(L’Archipel, 2024), se voit confier une mission secrète auprès du Grand Turc dans son palais de Topkapi. Il s’agit de solliciter une intervention militaire de la Sublime Porte pour prendre en tenaille les Autrichiens, que le Roi-Soleil attaquera à l’ouest (guerre de la Ligue d’Augsbourg). Secondé d’un bon géant, Gaspard, huguenot arraché aux galères de Sa Majesté, Balthazar aura fort à faire dans un Empire ottoman en pleine révolution de palais, où les grands vizirs sont éliminés l’un après l’autre et où le sultan Mehmed IV lui-même a été renversé par son demi-frère impuissant, Soliman II. L’un des exploits de Balthazar sera de permettre au sultan de copuler enfin une fois dans sa vie, grâce à une petite pilule bleue qu’il a dans sa pharmacopée…
Sur le plan diplomatique, Balthazar obtient du nouveau vizir, Bekri Mustafa, l’envoi d’une armée, à condition d’éliminer le Mahdi, un illuminé, chef des Haschischins, qui menace le pouvoir central et fomente des assassinats. Aidé de Gaspard, du bibliothécaire de l’ambassade de France, un certain Antoine Galland, et d’une ravissante jeune fille, Haydée, rachetée au marché aux esclaves, Balthazar descend vers le sud accomplir la besogne, fournissant au passage à Galland la fin qui manquait au conte d’Ali Baba…
Un tremblement de terre à Smyrne, un voyage à Alexandrie en compagnie d’une houri trouvée dans l’hérétique Paradis d’Allah reconstitué par le Mahdi dans sa forteresse de Baghras, dans le nord de la Syrie, un embarquement final pour la France en compagnie d’Haydée… Voilà quelques-unes des péripéties de ce roman d’aventures foisonnant, à mi-chemin entre Dumas, lesMille et une nuitset…OSS 117, racontées avec toute la verve, l’humour et l’érudition de Jean-Paul Brighelli.
Eh oui — je vous rappelle que vous avez refusé de le lire en avant-première.
Brighelli conseil de Brigitte ?
Un tapis choisi par Brigitte pour habiller le bureau de Manu 1er au château, et retiré depuis, était une œuvre de l’artiste Claude Leveque — en ce moment même derrière les barreaux pour viol sur mineur — intitulé Soleil Noir et dont les diamants s’enfilaient par ordre grossissant sur chacun des rayons en arc de cercle formant l’astre et au centre duquel se trouvait LA pierre philosophale. Bien plus petite que ses comparses l’entourant mais qui la distinguait de toutes, placée comme épicentre de la perspective, elle semblait marquer la fin d’une quête. Aucun doute possible sur ce que pouvait suggérer ce motif si particulier d’une pure veine brighelienne si familière aux féaux du blog.
Y’a pas pas de mauvais buzz, Brighelli, ça craint mais ça peut être payant. Peut-être…
Après Soleil Noir, heu… chat Noir ?
Oh, ça va, on rigole un peu…
Night night !
qui SE distinguait de toutes *
https://pbs.twimg.com/media/EreJAZcXUAYsADL?format=jpg&name=small
bonne floraline elle veut dire que jipé l’est controlabe que quand elle met ses bottes de chval et qu’elle le balade dans un salon en laisse a 4 pattes avec une muselière et une schlag..t’es qu’une poupée d’ancien régime floraline ! jipé tu lui mets un don perignon dans une main un cul dans l’autre ou prés d’une bouteille de bandol et d’une pompe à l’huile et c’est un système autostable…pas au zout à coté d’un kipper et d’une duvel..c’est un sadien vrai de vrai notre jipé !
» un don perignon dans une main un cul dans l’autre ou prés d’une bouteille de bandol »
Ou plutôt, comme le signale un article de causeur, un château Briand (ou rien)
https://www.causeur.fr/je-veux-etre-chateau-briand-ou-rien-301019
Y en a des qui préfèrent encore un chat’ Haut Brion…
Les nuits de Topkapi
« toute la verve, l’humour et l’érudition de Jean-Paul Brighelli. »
Bien sûr,il y a des eunuques dans ce roman. L’un d’eux est en quelque sorte une extrapolation à partir du (pol) pote du Maestro.
Que se serait-il passé si ?
On se souvient que les (pol)pote en question est allé vivre en nabab dans une ex-colonie française d’Afrique: années comptant double pour la retraite, primes exorbitantes etc. D’où: armada de servieteurs,fréquentes virées dans de lupanars…avec pour résultat des chaudes-pisses à répétition et une syphilis particulièrement récalcitrante (prolifération de chancres)-qui aurait inéluctablement nécessité une amputation de la bite si le nabab n’avait bénéficié d’un rapatriement sanitaire (en avion militaire) et d’une hospitalisation au Val de Grâce. Soigné par les plus grands spécialistes, sous la conduite du Professeur Dermatopoulos, le (pol) pote put conserver sa bite. 6 semaines de soins aintensifs quand même (dont une antibiothérapie drastique.)
(On ne put lui éviter quelques séquelles cérébrales.)
Voilà le personnage de l’eunuque cental.
Une bonne capote c’est no pasaran !
« Une bonne capote c’est no pasaran »…
Très loin des deux nouveaux tomes de JC Grangé !
Très loin des pissotières (encore en activité), au temps des furieuses folies sexuelles de ces messieurs(dames), début années 80… et quand le sida s’en vint à frapper.
Scènes de très haute densité à la poursuite (traque) du « mal », de Paris, en passant par Tanger et au plus profond du continent Africain, pour s’achever en Haïti.
Violence(s) exacerbées – rares moments de respiration – qui finissent dans, par le feu (et pas d’artifice).
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Josipovici
elle couvait une grippe de qualité —, et je suis parti avec M***, avec l’idée de rentrer tôt.
Il bruinait sur Paris, nous nous sommes promenés sur les bords de la Seine, rive gauche, et une chose entraînant une autre…
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i) drôle d’idée d’aller se promener sous une bruine,quand on couve une grippe
ii) drôle d’idée d’aller baiser ,quand on couve une grippe et qu’on ne se sent pas bien;( idée fumeuse:femme fièvreuse jouit plus fort)
Vous n’avez pas bien lu ou je me suis mal exprimé. La grippée est restée at home.
Il doit bien exister une règle qui fait que le « elle » de « elle ne s’est pas sentie bien » se réfère à C* et non à son amie M*…Cette règle (si tant est qu’elle existe) je ne la connais pas) . (Et je n’aime pas non plus « celle-ci/celle-là »)
Il doit bien exister une règle qui fait que le « elle » de « elle ne s’est pas sentie bien » se réfère à C* et non à son amie M*…Cette règle (si tant est qu’elle existe) je ne la connais pas . (Et je n’aime pas non plus « celle-ci/celle-là »)
un petit lit de 90 cm de large, l’un de nous était en trop. Pour jouer à la bête à deux dos, passe encore, mais pour s’affaler « dans la poussière, les bras en crois », c’était insuffisant.
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Curieux détournement de citation…
NB:on se souvient que:
i) jeune, le Maestro chanta du Johnny, devant des queues de cinéma,au Quarier latin
ii) rencontra un soir Johnny lui-même ,au Requin chagrin (q.v.)
Les bras en croix
Johnny Hallyday
Dans la vallée de l’Oklahoma
Ton coup de fusil fait mouche toutes les fois
Mais attention un jour tu finiras
Dans la poussière les bras en croix
Tu triches au jeu et dans le pays
On te surnomme partout « le maudit »
Mais attention, un jour tu finiras
Dans la poussière, les bras en croix
Avec insolence, tu défies les hommes
Tu chipes leur femme
Mon Dieu, il faut voir comme
A ce petit jeu, tu t’amuses trop
Et t’y laisseras ta peau
Dans la vallée de notre enfance
Tu as commis les pires des offenses
Mais attention, un jour tu finiras
Dans la poussière, les bras en croix
Avec insolence, tu défies les hommes
Tu chipes leur femme
Mon Dieu, il faut voir comme
A ce petit jeu, tu t’amuses trop
Et t’y laisseras ta peau
Même l’amitié pour toi n’a pas de nom
Et tu t’es joué de moi sans façon
Voilà pourquoi ce soir tu finiras
Dans la poussière, les bras en croix
Je t’aimais bien pourtant mon ami
Tu as volé la femme de ma vie
Voilà pourquoi d’une balle je t’envoie
Dans la poussière, les bras en croix
Dans la poussière, les bras en croix
Adieu l’ami, tant pis pour toi.
So what ?
Bien sûr que c’était une citation.
So what ?
chez Halliday, on est « dans la poussière,les bras en croix » quand on est mort.
Ça tombe bien, c’est de la petite mort dont il s’agit. Pff
Voir Valéry, qui a dit ça plus élégamment — c’est le poème qui m’a fait réussir le concours d’entrée à Saint-Cloud :
https://fr.wikisource.org/wiki/La_Fausse_Morte
Château Briand (Dugong – 8h16) –
« un homme pas très sein, mort du cancer des eaux… » :
Un.e djeun.e quelque peu inquiet.e du changement de genre ?
Lormier
Au XVIème donc,il y avait des putains dans le train des équipages.
Et au XVIIème ?
Des femmes et des enfants ont suivi le train des équipages pendant longtemps, donnant aux troupes une curieuse allure familiale ( cas de dire que l’armée était une grande famille…)
Watteau ( gravure de Cochin d’après) le camp volant
https://www.mahmah.ch/collection/oeuvres/camp-volant/e-2014-1690
Il y en avait aussi au XIXe — voir la « cantinière » dans La Chartreuse de Parme.
Oui , bien sur. Mais la cantinière qui perdure pendant le 19 ème ( mais semble disparaitre avant la guerre de 14) était une professionnelle, tandis que les armées d’ancien régime comportaient à leur suite des familles complètes y compris les enfants. Les épouses et compagnes des soldats gagnaient leur vie par des petits services. Elles furent chassées des armées modernes au profit de quelques professionnelles du » soutien » comme on devait dire ensuite.
Une jolie cantinière/ vivandiere de fantaisie à la fin du 19 ème siècle.
https://www.meisterdrucke.fr/fine-art-prints/Henri-Meyer/792654/Mlle-Delna,-incarnant-une-vivandi%C3%A8re-dans-l%27op%C3%A9ra-comique,-La-Vivandi%C3%A8re,-1895.html
Théâtre des Nouveautés (Oct 1880), « La Cantinière » :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90086886/f1.highres
Musique de Planquette, connu principalement pour les Cloches de Corneville…
(« Les cloches de Corneville » : au « répertoire courant », saison d’opérette 1930-31, « Cirque-Théâtre de Limoges » !
– quelques « programmes » récupérés il y a longtemps dans le grenier de ma grand-mère maternelle ; ses parents étaient très assidus – leur fils, trombone, à l’orchestre !)
Jean-Paul Brighelli 3 février 2025 At 18h32
Voir Valéry, qui a dit ça plus élégamment — c’est le poème qui m’a fait réussir le concours d’entrée à Saint-Cloud :
https://fr.wikisource.org/wiki/La_Fausse_Morte
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Elle était fort mince, je n’étais pas gros, mais dans un petit lit de 90 cm de large, l’un de nous était en trop. Pour jouer à la bête à deux dos, passe encore, mais pour s’affaler « dans la poussière, les bras en croiX », c’était insuffisant.
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Si orgasme=s’affaler bras en croix dans la poussière et si c’est impossible avec petit lit de 90cm …alors ça veut dire: à Nanterre copulationnement oui,satisfactionnement jouissif non
Vous savez, un lit peut être simplement un point d’appui…
ECHO 3 février 2025 At 9h26
on trouve un groupe Lothringen Landsknecht, basé… dans le Vaucluse)
abcmaths est Lotaharingien et germanophone .
Les nuits de Topkapi
« toute la verve, l’humour et l’érudition de Jean-Paul Brighelli. »
« L’un des exploits de Balthazar sera de permettre au sultan de copuler enfin une fois dans sa vie, grâce à une petite pilule bleue qu’il a dans sa pharmacopée… »
Fort ce Balthazar! Qu’y at-il das cette pilule ?
NB Sur un document du musée de la médecine de Montpellier figure le nom Balthazar Herrero.
Jean-Paul Brighelli 3 février 2025 At 21h24
Vous savez, un lit peut être simplement un point d’appui…
Et voilà…nous arrivons à l’explicite.
cette chair qui ne tient que grâce à son emballage de peau
Je me souviens, en classe de troisième peut-être d’avoir vu, au microscope, l’éclatement d’une paramécie. De quoi est faite l' »enveloppe » d’une paramécie ?
WTH 3 février 2025 At 12h55
« Une bonne capote c’est no pasaran »…
Dand le psychisme dugonguesque, le fasciste est assimilé au tréponème.
Entre assimiler et sucer, IAL ne veut pas choisir.
L’intérieur et l’extérieur:
les yeux, toujours fort beaux, mais étrécis par l’âge. C’est le lot commun, comme si une méfiance s’était glissée en nous en vieillissant.
la bouche de plus en plus fine, décidément plus apte à dire des méchancetés qu’à échanger des baisers…
On se surprend à regarder en soi-même en voyant l’autre
regarder EN soi-même et non pas SE regarder
Pourtant ce qu’on voit de l’autre c’est l’enveloppe…estimons que cette enveloppe (car nous sommes physionomistes et attentifs à l’autre) nous renseigne sur l’intérieur.
Etrille médiévale:elle ne ressemble pas à celle que tient dans sa main droite la meuf à poil que suit un vieux con:
https://suffolkinstitute.pdfsrv.co.uk/customers/Suffolk%20Institute/2014/01/10/Volume%20XXIX%20Part%202%20(1962)_A%20Mediaeval%20curry-combe%20from%20Rickinghall%20Superior%20G%20M%20Knocker_222%20to%20223.pdf
En effet.
On trouve en vente des etrilles anciennes pas forcément très anciennes (le bon coin etc) qui ressemblent à celle présentée ici. Mais quel est l’objet que tient la femme dans le dessin d’Urs Graf?
Et pourquoi devrait ce être une etrille ?
https://www.bfmtv.com/politique/front-national/ca-n-est-pas-vrai-marine-le-pen-estime-que-la-colonisation-n-a-pas-ete-un-drame-pour-l-algerie_AN-202501290973.html
C’est mot pour mot le discours que tient Brighelli sur la colonisation de l’Algérie.
On assiste donc de la part de la fachosphère à une apologie décomplexée d’une entreprise armée qui au XIXeme siècle a fait passer en quelques années la population locale de 3 millions d’habitants à 2 millions après avoir fait passer un million de locaux de vie à trépas…Un million de victimes… »Ouais OK, mais bon, c’était des bougnoules arriérés, hein ? »
Est-ce Marine Le Pen qui se brighellise ? Ou bien Brighelli qui se lepénise ? Quand on lit attentivement le programme du RN – ce que j’ai fait -, force est de constater que les convergences sont très nombreuses avec les positions de Brighelli. Brighelli murmurerait-il à l’oreille de « la caissière » ? A moins que ce soit Brighelli qui se soit laissé séduire par le potentiel érotique de la fille du tortionnaire borgne ?
Nous vivons vraiment une époque formidable.
« Nous vivons vraiment une époque formidable » à l’image des actions du grand démocrate actuellement au pouvoir en Algérie
Vous souvenez-vous que le Maestro avait appelé à voter Marine le Pen (contre Hollande ?)?
;il avait même participé à un « meeting » du Front National,lors duquel il prononça un discours; pour se référer à la candidate,il dit « Marine ».
Brandir le Pen comme un épouvantail pour faire voter Macron, c’est fini. On aura beau exhiber le poignard du père (comme d’autres ressortent le piolet anti-trotskyste à manche coupé),ça ne marche plus,ça ne prend plus,nous ne sommes pas si cons.
Les néo-nazis, on ne les trouve pas au RN,on les trouve au PS (sénateur Jomier,par exemple) ou chez les macronistes:ce sont eux qui ont recommandé l’expérimentation mengeléienne sur cobayes humains,cependant que Virginie Joron (RN),à Bruxelles, se battait contre.
Encore cette histoire de diminution de la population. est-elle actée historiquement (je veux dire par des spécialistes non engagés) ?
Yaka incorporer les harkis dans le score des victimes de la colonisation.
Dugong, émérite demi de fermeture, botte en touche, com’dab.
Dans le technolecte rugbystique de nos amis anglophones, le « coté fermé » se dit « blind side ».
Chez les demis de fermeture, il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
« Sous son vrai blaze » irait-il (bientôt) jusqu’à cracher sur la tombe de B. Sansal qui n’a fait que dévoiler (!) et même plus le pitoyable état de cet Etat islamisé, après « décolonisation » ?
La plupart des « décolonisés » ne sont plus sur une voie de garage (ex l’Inde).
Pour les « colonisés », façon ricaine, c’est une autre histoire…
Déclarez la guerre à la France. Pas sûr que Tebboune vous suive, trop occupé à compter les morts comptant double ou triple.
Plus que jamais d’actualité, remis sur le devant de la scène par Marine Le Pen :
La Charte du Colonisé, les Dix Commandements du Colonisé, en vigueur sur le blog Bonnet d’Ane :
Article 1 :
Le colonisé acceptera de bon cœur de se faire voler ses terres et tous ses biens par une troupe armée qui a la grandeur d’âme de venir le civiliser.
Article 2 :
Le colonisé, rompu à l’humour et au double-entendre, voudra bien comprendre que le colonisateur ne veut que son bien. Au besoin la troupe armée saura faire preuve de pédagogie.
Article 3 :
Le colonisé, flatté qu’on veuille l’instruire, bénéficiera, gratuitement et dans la bonne humeur, de la Pédagogie Militaire, qui est à la Pédagogie ce que la Musique Militaire est à la Musique.
Article 4 :
Le colonisé applaudira avec enthousiasme le colonisateur qui créera tous les emplois dont il a besoin. Le colonisé bénéficiera, dans l’extase, d’un ruissellement d’emplois.
Article 5 :
Le colonisé comprendra que la rémunération de son travail sera laissée à la discrétion du colonisateur.
Article 5 bis :
Rémunération ? Faut quand même pas déconner.
Article 6 :
Le colonisé comprendra que la France, pays des Droits de l’Homme, peut avoir une conception élastique des Droits, variables en fonction des Hommes. Il comprendra que son vote n’aura pas le même poids que le vote du colonisateur.
Article 7 :
Le colonisé qui aurait la prétention de manifester son désaccord veillera néanmoins à rester courtois et à ne pas oublier de dire merci.
Article 8 :
Le colonisé, si pour une raison ou pour une autre le colonisateur venait à repartir, sera tenu de manifester ostensiblement sa gratitude pour les bienfaits civilisateurs du colonisateur.
Article 9 :
Le colonisé, s’il veut que les colonisateurs lui rendent les biens qu’ils lui ont volé, veillera à le demander poliment et avec un sourire bienveillant.
Article 10 :
Le colonisé, si un jour il devait continuer sa vie sans le secours civilisateur de son colonisateur, lui psalmodiera jour après jour ce doux refrain : « Je vous ai compris! » .
Par hasard, j’ai divers copains qui ont séjourné au Vietnam indépendamment les uns des autres, ces derniers temps. Longtemps, et de long en large.
Leur avis à tous est que le Vietnam finira par dévorer l’Occident.
C’est drôle, non, qu’ils ne cultivent pas ma geignardise des ex-colonisés… Ni eux, ni les Chinois, ni les Indiens, etc. Ni les Marocains, pas même les Tunisiens.
Juste les Algériens.
J’ajoute que les boat people que j’ai eus en classe dans les années 70 rattrapaient le n iverau des élèves européens en un an, e tles dépassaient l’année d’après.
Ils bossaient.
Tiens le r’voilà (sous son vrai blaze) le piquousé et ses deux dadas :
le caca Al Djezaïr (beurk) et les nanas (uniquement celles du chaud biz’) violées (pouah).
(et toujours sans nouvelle du violeur-assassin de Philippine ; Dahbia B. elle, sera bientôt jugée.)
Quelle hauteur de vue, chère amie…
Jusqu’où ne tomberez-vous pas ?
https://www.bfmtv.com/police-justice/agressions-sexuelles-sur-adele-haenel-christophe-ruggia-condamne-a-4-ans-de-prison-dont-deux-ferme_AN-202502030534.html
Spécial dédicace à Flo/Gérard.
Sans rancune !
Un jour j’ai cherché l’origine de l’expression « to curry favour « ; c’est une déformation du français « étriller Fauvel » (ou,dans une autre version:favelle).
Aucune rancune, je me range sur le verdict condamnant un homme tombé amoureux d’une actrice mineure et des gestes déplacés qu’il n’avait pas à avoir. Le terme de viol n’est pas prononcé dans la décision, terme équivoque par excellence à ce jour, vous en conviendrez. Un viol sur mineur est puni par 15 ans de réclusion.
À quoi correspondent ces quatre ans de prison dont deux fermes d’une décision qui ne parait ne pas être claire sur la gravité des faits reprochés ?
Adèle Haenel témoigne et nous donne le motif de la condamnation :
« Chez lui sur son canapé, il vient vite « se coller ». Pour « faire comme si c’était normal, comme s’il ne se passait rien », il « intercale » des mots entre ses gestes, a expliqué à la barre l’actrice de 35 ans, qui s’est depuis mise en retrait du cinéma.
« C’est vraiment trop mignon ce que tu fais ma puce », a-t-elle imité. Il l’embrassait dans le cou. « Ah t’es vraiment trop drôle », a encore poursuivi Adèle Haenel. Une main dans le col sous le t-shirt, puis une autre dans son pantalon. »
Deux ans ferme…
Un agresseur répond en général à des pulsions que sa nature déviante ne pourra jamais réprimer, réitérant ad vitam ses méfaits, augmentant inlassablement le nombre de ses victimes au fil de sa vie. Où sont les autres victimes de Ruggia ?
Il se dit que cette actrice ne tournera plus jamais, qu’elle est détestée par ce milieu qui ne lui pardonnera jamais son ego démesuré et tout ce qu’implique cette détestable disposition, entre autre.
Eh bien je suis tout à fait d’accord.
Quant aux preuves…
Merci, Jean-Paul
Je rajoute, Josip, que nous avons affaire à un profil extraordinaire, celui d’un homme qui aurait le cran de glisser sa main dans le pantalon de sa victime et qui s’arrêterait pile avant d’entreprendre la recherche géographique qui normalement figure dans la suite de son programme, et s’inscrit dans un viol. Chauffé à blanc, plus haut en température qu’une barraque à fritte, il arrive à se stopper net dans la progression inhérente à son geste, à retirer sa main de ce pantalon.
Ou présentez-moi, Josip, une amie qui témoignerait avoir connu ce goût de trop peu, cette frustration intense, ce début de préliminaire stoppé net dans son élan. Pour ma part, je ne connais aucune femme qui aurait rapporté ce fait étrange, le geste préliminaire sans entreprise plus sérieuse qui suit inévitablement derrière. Seul un homme détaché ou un homme à tendance sadique peut en effet glisser et retirer sa main d’un pantalon pour s’amuser de l’effet escompter sur une femme qui l’aurait laissé faire et espérant une suite.
Que Ruggia change d’avocat…
@Brighelli et Gérard
Êtes-vous en train de suggérer que le tribunal a rendu son verdict sans avoir le moindre début de commencement d’élément à charge ?
Êtes-vous en train de dire que le tribunal a rendu un verdict hors-sol ?
J’ose espérer que vous galéjez.
Vous m’expliquerez quelles preuves étaient des accusations remontant à trente ans. Quant à la condamnation, c’est une demi-mesure qui prouve que justement il n’y avait rien de tangible dans le dossier. Sinon, il risquait vraiment 15 ans de tôle minimum.
Je ne parlerai pas au nom de JPB mais au mien : Le tribunal a rendu une décision politique.
PO-LI-TIQUE, Josip.
« PO-LI-TIQUE »: ben oui, JG, vous qui croyez encore à la séparation des pouvoirs (en particulier exécutif et judiciaire !).
D’ailleurs le « hors-sol » est une spécialité bien française, tous domaines confondus
Ce blog est vraiment un lieu où l’on défend bec et ongles les prédateurs, dans tous les domaines.
Quand on ne les porte pas aux nues.
Il y a vraiment des gens bizarres.
ECHO 4 février 2025 At 9h02
« … quel est l’objet que tient la femme dans le dessin d’Urs Graf?
Et pourquoi devrait ce être une etrille ? »
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C’est pas moi qui le dit,c’est Christaine Andersson (spécialiste de l’art de cette époque);
étrille:en anglais, »curry comb »
Voici son commentaire de la gravure D’Urs Graf
« she is shown wearing a braid down her back and a jaunty beret decorated with a feather, and carrying a curry comb in her right hand. In this image, however, the young woman is shown full length and nude. Wearing only slippers, a beret and some jewellery, and holding the symbolic curry comb, the artist has reduced her to a wholly sexual being. »
Harlots and Camp Followers
Swiss Renaissance Drawings of Young Women circa 1520
From the book The Youth of Early Modern Women
Christiane Andersson
PAGE 127
https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/9789048534982-006/html
page 123 de ce même livre se trouve une explication de la signification sexuelle de l’étrille
p. 123 (😁) :
» The comb and curry comb under the inscription play a role here as erotic symbols expressing the artist’s sexual desire for the young woman portrayed.
In Basel dialect the verb strälen, to comb or brush, was a slang expression for sexual intercourse, and, in some cases, for sexual assault.
A popular expression from 1525 describes a victim of a gang-rape as having been thoroughly ‘brushed’ (gnuog gestrält).
In the typically raucous language of German f ifteenth-century carnival plays, a pun on the literal versus the sexual meaning of curry combing (strigeln) describes a sexually satiated man as having had ‘his horse amply curry-combed’.
Here the horse signifies the penis. The expression indicates that the erotic connotations of this instrument evolved from the suggestive movement of brushing down a horse with a curry comb. »
il ya les peigne-girafes, les peigne-zizi et les peigne-poils de bites (qui rangent l’instrument dans des piles de boîtes).
Merci à WTH pour la citation exacte, mais si on observe l’objet on voit mal en quoi il pourrait étriller un cheval (quoique ?) L’interprétation de l’article semble peu convaincante…
In Basel dialect the verb strälen, to comb or brush, was a slang expression for sexual intercourse, and, in some cases, for sexual assault.
brosser est il me semble un mot utilisé même en français (mais désuet) pour décrire l’acte sexuel, comme limer,
mais l’ objet du dessin ne ressemble ni à une étrille ni a une brosse …
Votre (quoique?) est une marque de prudence.
dis
Après l’autre forme d’étrille, le crabe nettoyeur de chez ClearSpace (c’est pour rassurer Dugong – 😁)
https://www.parismatch.com/lmnr/f/webp/r/960,640,FFFFFF,forcex,center-middle/img/var/pm/public/styles/paysage/public/media/image/2025/02/03/23/capture-decran-2025-01-20-a-16.31.07.jpg?VersionId=UUtUt3tlCPWcL0Vl563Q_I.gA0G4af_W
Et comment se débarrasser de l’ordure orbitante ?
(ClearSpace 🙂 « Pionneering sustainability beyond earth » -😁
Tout est dans le slogan…
Y’a la solution (très provisoire : manque de place et peu écolo) de transformer l’ISS en poubelle – quand seront débloqués les deux as-tronautes.
pioneering
Jean-Paul Brighelli 3 février 2025 At 14h04
So what ?
Bien sûr que c’était une citation.
Peut-être « Les bras en croix » était-elle une des chansons que chantait,jeune, le Maestro pour gagner quelques pièces en distrayant une queue au Champo (ou ailleurs).
Qui sait ?
Pourquoi faut-il qu’il lui en souvienne ?
Et par quel chemin tortueux lui évoque-t-elle le linoleum d’une piaule de Nanterre ?
Allez savoir…
Se revoir…et se revoir
Il se revoit commentant Valéry à l’oral de Saint-Cloud.
Iréne et lui ne se sont jamais revus.
« en classe de troisième peut-être d’avoir vu, au microscope, l’éclatement d’une paramécie »
IAL ne s’est jamais remis du trauma associé à l’éclatement d’une paramécie. Depuis il se sent assailli par toutes les paramessies du monde et nous fait des délires mystiques à tout propos.
J’vous en foutrais moi des « délires mystiques ».
et pourtant !
Une étrille datant de 1771 (Victoria and albert museum)
https://collections.vam.ac.uk/item/O91488/curry-comb-unknown/?carousel-image=2006AN6275
Etrille armoriée, style argenterie georgienne, very smart –
Garçon d’écurie « ensorcelé » Hans Baldung . Il est allongé par terre,près du cheval,son étrille à côté de lui.
https://www.royalacademy.org.uk/art-artists/work-of-art/bewitched-groom
Effectivement l’étrille parait recourbée, comme un cylindre en partie ouvert
Pas contente du tout la mégère (au téton pendant ?), qui brandit l’espèce de grand martinet, sous l’emblème d’une licorne…
» Although it is known as The Bewitched Groom, the print was not given a title by the artist himself and its ambiguous subject matter has puzzled generations of scholars. »
Cela devient obsessionnel, cette histoire d’étrilles !
Lormier serait-t-il devenu un vrai fou de balle incapable de se passer d’étrilles ?
Allez savoir…
Oui…
ECHO
4 février 2025 At 11h08
Encore cette histoire de diminution de la population. est-elle actée historiquement (je veux dire par des spécialistes non engagés) ?
Mahfoud Bennoune, The Making of Contemporary Algeria, 1830-1987, (Cambridge University Press, 2002) p.42: « as a direct consequence of this kind of colonial war of conquest the total urban and rural population declined from an estimated three million in 1830 to 2,462,000 by 1876. »
Autre question ?
« Autre question » ?! Les guerres entraînent, en général, une déclin de la population, quelles qu’en soient les motivations.
à noter (wiki) :
« Bennoune a joué un rôle dans la fondation du Parti de la révolution socialiste (PRS) avec Mohamed Boudiaf, reflétant son engagement en faveur d’un changement politique progressif dans l’Algérie post-coloniale.
Cependant (!) il a rapidement quitté le pays pour poursuivre ses études, à Paris et à Londres avant d’obtenir un doctorat en anthropologie à la Wayne State University de Détroit en 1976 », aux EU, donc, où il s’est installé et a enseigné ;(étonnant, non ?!)
Wikipedia dit que c’est à cause des famines et des maladies européennes :
« La population algérienne diminue sensiblement de 1856 à 1872, selon le chercheur et démographe Kamel Kateb :
« En 1872, avec 2,1 millions de personnes recensées, la population indigène est inférieure à l’effectif dénombré en 1856 (2,3 millions), en 1861 (2,7 millions) et en 1866 (2,6 millions) »36 soit une régression annuelle de -3.6 %. Cette régression est due notamment aux famines organisées par la gestion coloniale mais également par l’émergence de maladies européennes alors inconnues en Afrique… »
« chercheur et démographe Kamel Kateb »
Quand il ne cherche pas, il est démographe ?
3 millions d’ habs est une hypothèse, aucune statistique n’existait à l’époque de la conquête…
Famines » organisees »… ou endémiques ( et certes pas combattues par un pouvoir colonial encore embryonnaire ou jemenfoutiste)
… succedant aux famines bien répertoriées de l’époque des deys.
(« dey » : mot utile dans les croisés, pour placer facilement le « y » – 😁)
Bon. Disons alors qu’entre 1830 et 1875 quelques centaines de milliers d’autochtones sont décédés suite à une succession stupéfiante de morsures de vipères entraînant une mort foudroyante.
Comme ça, ça vous va ?
Le déni, plus ou moins habilement caché derrière une prétendue recherche de rigueur au niveau des sources statistiques, a tout de même ses limites, non ?
Vos propos :
« …passer en quelques années la population locale de 3 millions d’habitants à 2 millions après avoir fait passer un million de locaux de vie à trépas…Un million de victimes… »
laissent entendre qu’il y aurait eu des chambres à gaz là-bas.
C’est insultant pour les braves français dont les parents ont été envoyés se battre contre leur gré.
Cavaignac connaissait l’Algérie où il avait servi comme colonel. En 1844, il y avait eu recours aux enfumades : il avait fait allumer des feux aux entrées de grottes où s’étaient réfugiés les membres de la tribu des Sbéhas afin de les asphyxier. Bugeaud, l’année suivante, l’avait donné en exemple au colonel Pélissier : « Si ces gredins se retirent dans leurs cavernes, lui avait-il écrit, imitez Cavaignac aux Sbéhas, fumez-les à outrance comme des renards. » Le colonel Pélissier suivit l’exemple de Cavaignac et, le 19 juin 1845, fit allumer d’énormes feux aux entrées de la grotte où s’était réfugiée la tribu des Ouled-Biah, avec ses troupeaux. Au matin, on dénombra sept cent soixante cadavres, hommes, femmes, enfants, mêlés, morts d’asphyxie.
https://shs-cairn-info.acces.bibl.ulaval.ca/un-reve-algerien–9782130521549-page-15?lang=fr
@abcmaths : comme le rappelle Lormier ci-dessus, les enfumades dans les grottes étaient bel et bien des proto-chambres à gaz.
Je sais, ça déplaît, ça agace, mais c’est un fait. Si vous êtes réellement attaché aux vérités historiques non-hystériques, il faudra bien que vous l’admettiez.
JG : ? Rien de nouveau sous le soleil ?!
Une étude de 1974 du CICRED ( organisation
internationale) sur la population de l’Algérie écrit
» D’une manière générale, le sous-dénombrement et l’extension progressivedu territoire concerné tendent à grossir ces taux jusque vers 1911. Ainsi,l’accroissement considérable de la population (2,9 % par an) entre 1856 et1861 s’explique en grande partie par l’annexion de la Kabylie en 1857. De1861 à 1866 au contraire, le taux est négatif, traduisant une légère diminution de la population, qui n’est peut-être qu’apparente en raison de l’imprécision desrecensements.
De 1866 à 1872, la chute est trop forte pour n’être attribuée qu’à deserreurs de dénombrement. Elle est étroitement liée à la série de calamités quiont marqué l’Algérie au cours de ces cinq années, épidémie de choléra de1867, famine de 1868, typhus de 1869 à 1872 et soulèvement de 1871, suivid’une violente répression. Cette révolte a également provoqué un refus généralde certaines populations de se faire recenser en 1872. La chute enregistrée estdonc surestimée ; le recensement suivant le prouve bien puisque de 1872 à1876 le taux d’accroissement très fort (3,9 % par an) ne peut s’expliquer quepar la conjugaison d’une forte sous-estimation en 1872 et d’une améliorationdes dénombrements ultérieurs. Il en est de même pour les accroissementsconsidérables de 1876-1881 et 1881-1886 (cette dernière période est en outremarquée par l’annexion du Mzab en 1882). »
http://www.cicred.org/Eng/Publications/pdf/c-c1.pdf
Voilà comment on s’exprimait avant la mode d ‘ hysteriser les débats sur la colonisation …
» tendent à grossir ces taux »
Il s’agit des taux d’accroissement de la population.
Merci Écho de rétablir la vérité.
Gavrilovic confond historique et hystérique.
Oui…
(contrepéterie belge )
C’est fou comme les vipères étaient agressives en Algérie entre 1830 et 1875.
JG : la « décennie noire » (!), 1992-2002 : 100 à 200 000 victimes –
de l’armée à l’islam… Y’en a des qui n’ont vraiment pas de chance…
« des erreurs de dénombrement »
Du comptage de niveau école primaire. Cela a peut-être occasionné un envoi d’instits avec pour mission civilisatrice de numériser le peuple…
Politique, phonétique, et inconscient plus ou moins conscientisé :
La tête de gondole du parti allemand d’extrême-droite Afd se nomme Alice Weidel.
Ses partisans font donc campagne avec le slogan « Alice für Deutschland »
La réalisation phonétique de ce slogan est rigoureusement identique à celle de « Alles für Deutschland » (Tout pour l’Allemagne)
Heureux hasard : « Alles für Deutschland » était la devise des SA….
Il y aurait par ailleurs beaucoup à dire sur la montée de l’AFD en Allemagne.
Un autre jour, peut-être.
Tout comme … « America First » ?! 😁
Aucun politique français n’a été invité à l’intronisation de Trumpy – au contraire de ce qui a été raconté ; seule la famille B. Arnault l’a été !
Seuls ont été présents Meloni, Milei, ainsi que le vice-président chinois.
Trumpy (via l’Elon) a fait du rentre-dedans à l’Allemagne et à la GB (la France n’intéresse personne)…
GB où Farage pointera vraisemblablement, un jour ou l’autre, le nez.
« la France n’intéresse personne »
Pfff Des excités monolingues…
(C’est le sale peuple qui a voté Trumpy… espérant ainsi retrouver un peu de dignité, i.e. du travail, correctement payé.
Ce peuple, que de l’extrême-droite, des fachos ; quelle horreur)
Des cons qui se tirent dans les pieds!
Peut-être, mais quand même dans un premier temps, préférable à la démocrature.
On verra bien sûr à l’usage !…
(au moins, un répit côté vax : le prof. Perronne, invité de R. Kennedy jr)
Bonne année, Josip !
J’apprécie votre humour…
(JPB ne manie le fouet que dans sa sphère très privée – 😁)
La coalition – qui se dessine lentement mais sûrement en Allemagne – entre la CDU et l’AFD, existe déjà en Croatie : le HDZ, parti démocrate conservateur, a été contraint de faire alliance avec le DP, parti d’extrême-droite qui tient un discours nationaliste anti-immigrants.
Dans un cas comme dans l’autre, c’est l’union des droites dont rêve Zemmour.
Nous vivons une époque formidable.
Pas besoin « d’immigrants » sinon pour des besognes… mal payées !
Les locaux végètent, et les ceusses sortis de grandes (comme on dit) Ecoles préfèrent évidemment bien d’autres marchés du travail à l’étranger, dont bien sûr les EU.
Quant à B. Arnault, il (a) fait comme les autres : il délocalise…
Pas tout.
Ca,c’est fabriqué en France.
https://fr.louisvuitton.com/fra-fr/produits/gamelle-pour-chien-nvprod5840012v/GI1223
1800 euros : prix spécial St Valentin ? – pour une chienne bien aimée ?
fou de balle incapable de se passer d’étrilles ?
TRou de balle incapable de se passer des Filles ?
ECHO 4 février 2025 At 13h06
» Although it is known as The Bewitched Groom, the print was not given a title by the artist himself and its ambiguous subject matter has puzzled generations of scholars. »
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Nule hésitation de la part de l’auteur pour désigner l’étrille.
Nulle
« l’espèce de grand martinet » une torche,putôt.
Sorcière ( ?) assez Walt Disneyenne.
Assez loin de là jeune sorcière du même Baldung Grien, qu’il fallait bien reproduire ici ( ou du moins mettre en lien) tant l’œuvre est saisissante
Jeune sorciere er dragon
https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Hans_Baldung_Nackte_junge_Hexe_und_fischgestaltiger_Drache.jpg
ouahou ! 😁
ECHO 4 février 2025 At 12h30
Effectivement l’étrille parait recourbée, comme un cylindre en partie ouvert
Le bord visible est dentelé. (Pour agrandir l’image,cliquez dessus.)
Le palefrenier est en slip. Erection ? On voit nettement le trou de balle du cheval. Zoophilie ?
(En Angleterre,de temps en temps des condamnations assez sévères.)
Le palefrenier est en slip. Erection?
En fait je pense qu’il porte son pantalon ( chausses) avec une braguette amovible, comme on en voit sur de nombreuses œuvres de l’époque…
ECHO a vu juste, la mode de l’époque voulait que l’on souligna les attributs masculins, quelquefois avec excès. Voir les armures de Charles Quint, celle de son frère Maximilien (cousin?), les toiles de Brueghel…
La croate est revenu, c’est formidable!
LA Croate? LA ?
A propos d’attributs masculins, j’ai les moyens de convaincre quiconque avec mes arguments-massue.
…arguments-massue…
Jacques Massu ?
Le cheval réclamant l’étrillage:
https://cloudfront.horsenetwork.com/wp-content/uploads/2022/04/06153516/Screen-Shot-2022-03-27-at-3.24.58-PM.png
😁! « une torche plutôt » : oui !
« les enfumades dans les grottes étaient bel et bien des proto-chambres à gaz. »
IAL utiliserait plutôt le terme de chambres à fumée…
Dugong,
Fallait y penser, une grotte, un bon feu de bois et on a une chambre à fumée. Pourquoi Charpak s’est-il autant emmerdé à faire des bulles…
Enfumades expérimentées pendant la guerre de Vendée par les braves soldats bleus..
Au passage aussi horrible que que ce soit, pour les exemples cités pour l’Algérie, 700 morts plus 700 morts cela n’arrive probablement pas à 1 million…
Ah, c’est vrai.
Seulement 400 000 morts, c’est déjà beaucoup plus acceptable.
Je ne savais pas que la chutzpah était une pratique nationale croato-algérienne.
Le révisionnisme, lui, est une pratique qui connaît visiblement un regain de faveur en Dordogne.
Toutes choses égales par ailleurs, la remarque de Echo me fait penser à ces « journalistes » qui, évoquant les événements de Gaza, annoncent 50000 morts en précisant toujours « SELON LE HAMAS ».
Ces mêmes « journalistes » ne précisent jamais que l’ONU – oui, oui, l’ONU – donne des chiffres très proches de ceux du Hamas…Mais bon, c’est bien connu, l’ONU est une organisation terroriste antisémite.
Venant d’Algérie, tout est bidon (de pétrole)
Un lointain lecteur 4 février 2025 At 16h57
ECHO a vu juste, la mode de l’époque voulait que l’on souligna les attributs masculins, quelquefois avec excès…
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Il y a aussi l’angle de vue et la perpective
Baldung’s bold use of foreshortening and perspective seems designed to disconcert rather than convince the viewer and creates a general sense of eeriness and unease in the composition.
https://www.royalacademy.org.uk/art-artists/work-of-art/bewitched-groom
Gavrilovic confond historique et hystérique.
Oui…
Cette fois J’AI TROUVE !
LA SOLUTION EST : Gavrilovic confond historique et hystérique.
J’ai bon ?
Lormier, lui, n’a rien déchiffré.
Il y travaille et m’a fait savoir qu’il envisage :
« Gavrilovique confond historic et hystérique. »
Vous l’avez mis sur la piste en parlant de contrepèterie belge.
Parler de 1 million de morts entre 1830 et 1875 alors que les statistiques existantes aussi défectueuses soient elles, enregistrent des augmentations de population ?
Sauf sur une periode 1866- 1872 marquée par des épidémies et une famine, plus la répression du soulèvement de Mokrani qui entre parenthèses semble avoir été assez peu meurtrière ( toutes choses égales par ailleurs) :
» Pendant deux ans, les tribunaux jugèrent un grand nombre d’accusés, souvent avec incohérence mais, dans l’ensemble, selon Rinn, avec indulgence : pour les jurés, sans doute, les véritables coupables étaient moins les révoltés que le régime militaire, les Bureaux arabes, et on parla du « procès des témoins militaires ». Les exécutions furent rares. Condamné à mort, Bou Mezrag eut sa peine commuée en transportation à la Nouvelle-Calédonie et fut gracié après avoir participé à la répression de l’insurrection canaque de 1878.
Au point de vue militaire, on a sans doute exagéré l’importance de l’insurrection. La majeure partie de l’Algérie refusa de suivre le mouvement et les Indigènes restés fidèles prirent une part importante à la lutte contre les insurgés. Si ceux-ci totalisèrent 200 000 combattants beaucoup n’étaient pas armés de fusils et, pour l’emporter, la France ne fit intervenir dans ses colonnes que 22 000 hommes y compris les troupes régulières indigènes. Si on dénombra plus de 340 combats, du côté français on enregistra 2 686 décès dont plus de la moitié imputables aux maladies. Les pertes civiles s’élevèrent à une centaine d’hommes chez les Européens mais ne peuvent être précisées pour les Indigènes.
Au point de vue politique et social, ce fut cependant un événement majeur. Dans le Constantinois, la répression porta un coup décisif à la féodalité indigène qui cessa d’être une force véritable. »
Encyclopédie berbère ( en ligne)
Ce texte est du à X Yacono, un historien sérieux d’autrefois.
Je suppose que réécrit aujourd’hui, on indiquerait au moins 200 000 morts Algériens, et on supprimerait la mention de la feodalite, il serait évident que cette révolte a été faite par les masses populaires et non par l’aristocratie kabyle.
En enfet , il est déconseillé de citer le berbère.
Oui..
(facile pour Lormier)
enfer
Tant qu’on a du chien …
Aucun risque de confondre :
https://fr.louisvuitton.com/images/is/image/lv/1/PP_VP_L/louis-vuitton-gamelle-pour-chien–GI1223_PM1_Worn%20view.png?wid=730&hei=730
Ne ratez pas ces instants de poésie :
Eric Debarbieux, spécialiste de la violence en milieu scolaire : « Protéger l’école contre la société est une illusion »
Le professeur d’université émérite en sciences de l’éducation revient, dans un entretien au « Monde », sur l’ouvrage qu’il vient de publier sur l’« histoire politique de la violence à l’école », dans lequel il analyse la réponse politique à cette question.
Propos recueillis par Violaine Morin
Publié aujourd’hui à 06h30.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/02/04/violences-en-milieu-scolaire-proteger-l-ecole-contre-la-societe-est-une-illusion_6530566_3224.html
Comme disait C. Taubira : que des petits chenapans !…
Josip Gavrilovic 4 février 2025 At 20h27
Ce blog est vraiment un lieu où l’on défend bec et ongles les prédateurs, dans tous les domaines.
Quand on ne les porte pas aux nues.
Il y a vraiment des gens bizarres.
« Prédateur » sur une mineure de moins de quinze ans qu’il n’avait pas souhaité figuré dans son dernier film, qui ne présente pas d’antécédents judiciaires, qui n’a pas fait l’objet d’autres plaintes mais dont la décision de justice bancale qui le condamne se déroule justement au moment où le wokisme dont est issu metoo s’annonce mort et enterré de l’autre côté de l’Atlantique et que leur dignes représentants en France pourraient chercher tous les moyens possibles et inimaginables pour se justifier de la probité de leur action passée y compris par des décisions de justices iniques ; un futur ils n’en n’ont déjà plus.
Autant vous dire, Josip, de la dite Cocotte, ce que retiendra ce milieu qui ne veut plus d’elle, c’est le grand courage de son immense ingratitude, comme dirait R. Char.
« Défendre les prédateurs »… « dans tous les domaines » :
JG a défendu (!) « son » toubib – en qui il a toute confiance – et donc… les grands « prédateurs » que représente Big Pharma (et ses serviteurs, grassement payés) ;
dans un domaine qui n’est pas rien – qui pèse même très lourd – celui de la Santé…
Oui, il y a en effet des « gens bizarres », qu’intéressent en priorité les viols (uniquement) chez les people et les tristes aventures d’El Djezaïr – uniquement (encore) durant la colonisation française –
Avant cela, il n’y avait simplement point de Djezaïr, et après, JG s’en désintéresse complètement…
WTH vient de s’attaquer avec succès au record mondial du ratio « contre-vérités + contresens »/ »nombre de mots ».
Le nouveau record est désormais porté à des hauteurs qu’on estimait hors d’atteinte.
On applaudit bien fort la prouesse et son auteure.
L’abus de testostérone:
» Etais-je bien celui qu’elles avaient aimé, avec mes cheveux clairsemés par l’abus de testostérone, pas mal de kilos en plus, »
« Abus » et non « excès »:pensez-vous que Brighelli s’injectait de la testostérone (en quantités excessives )?
Respectez le parenthésage, bordel !
Jean-Paul Brighelli 4 février 2025 At 14h20
Par hasard, j’ai divers copains qui ont séjourné au Vietnam indépendamment les uns des autres..l
C’est drôle, non, qu’ils ne cultivent pas la geignardie des ex-colonisés…
Pourquoi les Vietnamiens ne détestent-ils pas les Français ?
Combien de temps avons-nous occupé le Vietnam ? comment cette occupation s’est-elle passée ?
Ils n’ont pas eu que nous à subir; pendant la guerre les Japonais ont chassé le gouvernement vienamien et installé un gouvernement fantoche…puis il y eut les Américains.
Oncle Ho c’était autre chose que Larbi Ben M’hidi. D’ailleurs il est mort plus tard…
Reconnaissons-le humblement : ce post de Dugong est littéralement foudroyant d’intelligence.
Le Vietnam actuel résulte de l’unification ou réunification de deux pays, les anciens Vietnam nord et sud. Bien que le nord communiste ait gagné et impose toujours une idéologie au départ communiste, devenue communisto – capitaliste a la chinoise, les habitants du sud n’avaient rien contre l’occident et donc la France. Eux ne s’étaient pas soulevés contre la France mais avaient accepté une indépendance un peu » protégée » par la France sous l’autorité de l’empereur Bao Dai ( sauf évidemment la monorite communiste du sud. mais il est vraisemblable qu’il y avait au nord une minorité – n’allons pas chercher le pourcentage – hostile au communisme).
C’est une des explications possibles ( non exclusive d’autres) de la non- détestation des Vietnamiens pour les Français.
* minorité
Possible. Et puis il est des peuples capables d’aller de l’avant, et d’autres pas…
citer le berbère.
Biter le Cerbère.
Vérifiez chaque au-khul-rance:dans ce texte « amie » signifie toujours « maîtresse ».
Nous avons entretenu une liaison éphémère pendant quelques mois, dont je rendais un compte exact à C*** — ainsi était l’époque.
…
Nous nous sommes revus quarante ans plus tard, à Marseille — où elle était passée juste pour me voir — et sans doute espérait-elle confusément autre chose que ce qu’elle trouva.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Une relation de quelques mois…mais qui l’avait marquée suffisamment pour que 40 ans plus tard elle fasse spécialement un détour par Marseille,juste pour revoir le Maestro…qui semble,pour sa part, n’avoir rien fait pour qu’une rencontre ait lieu.
Quant à M*,la régulière de l’époque,nous ne savons pas ce qu’elle devint.
JG (22h43) :
Mieux vaut être porté à des hauteurs estimées hors d’atteinte, qu’être bas de plafond !
Jusqu’où ne descendrez-vous pas ?
« La colonisation n’a pas été un drame pour l’Algérie ».
29 janvier 2025, Marine Le Pen, pcc Jean-Paul Brighelli.
« (…) Les indigènes algériens étaient, pendant l’occupation française, considérés comme des citoyens de second ordre : le droit de vote leur était interdit, malgré leur nationalité française. Un texte de loi, promulgué en 1865, précisa le statut de l’indigène en Algérie ainsi que la question de la naturalisation et, en 1874, une liste de vingt-sept infractions spécifiques à l’indigénat fut établie. Parmi elles, les réunions sans autorisation, les départs du territoire de la commune sans permis de voyage ou encore les actes irrespectueux.
Au-delà de ces mesures, la colonisation fut, à plusieurs reprises, marquée par des actes brutaux. Lors de l’arrivée des Français, d’abord. Après le débarquement de janvier 1830, et malgré une annexion officielle en février 1834, une longue guerre opposa les Français et les Algériens, jusqu’en 1848, coûtant la vie à près de cinq cent mille soldats français et à cinq cent mille Algériens, selon des estimations d’Ismaÿl Urbain dans L’Algérie française : indigènes et immigrants (1862) » .
(Le Monde, 17 février 2017)
Fixation sur El Djezaïr (qui ne s’est pas relevée de la colonisation, au contraire de tant d’autres, sauf l’UE des EU) : suite, sans fin ?
Et à quand une bafouille sur la colonisation de la patrie de vos ancêtres (pas les Gaulois, s’entend) ?
. « pcc » : Bd n’est pas une succursale administrative !
. La Marine prête à tout pour effacer la mauvaise image (2017).
Fallait bien tenter le tout pour le tout contre le candidat des multinationales-banques-media-UE…
La guerre d’Algérie ne dit strictement rien à la plupart des djeuns – pas plus d’ailleurs que le nom de Hitler, bien qu’ils se gargarisent des mots « fachos » et extrême-droite », étant incapables d’en éructer plus –
ce qui n’a pas empêché les fils de bobos parisiens d’aller sabrer le champ’ , à la mort du père !
Pauvre Bastoche, qui en a tant vu…
500 000 soldats tués dans les deux camps sur la période de 1834 à 1848, selon des estimations d’Ismaÿl Urbain ?
En 1830, la population française s’élevait à 25 millions d’habitants, et à la même époque, l’Algérie faisait état de 2 millions d’habitants, grand max.
Urbain, convertit à l’Islam en 1836, était plus doué pour la poésie que pour l’histoire. Indéniablement, et si toutefois les chiffres qu’avance ce journaliste ne sont pas tronqués, citant ce personnage comme caution morale à son propos mais en déformant allègrement sa source, exagérant le nombre d’engagés et de tués pour mieux incriminer l’état français et finalement abonder dans un dédommagement que l’Algérie actuelle réclame mais n’obtiendra jamais. À vérifier. ^^
Il y a quelque chose de stupéfiant – et en même temps de très facilement explicable – dans les réactions que suscitent ici mes évocations de la colonisation de l’Algérie.
A chaque fois, quel est mon sujet ? De quoi parlé-je ? De ce qu’a été le processus de colonisation, de l’utilisation de la force, des massacres, des humiliations.
Sur quoi portent les réponses qui me sont faites? Jamais sur ce que j’évoque. Jamais. On me répond sur le gouvernement actuel de l’Algérie (Dugong), on me répond sur la façon dont l’après-colonisation a été organisé, sur la résilience d’autres ex-colonisés – Vietnam, Tunisie – jugée supérieure à l’attitude des Algériens (Brighelli, WTH, Echo). Bref, on me parle d’AUTRE CHOSE. On botte en touche, on fait du hors-sujet, systématiquement.
Et c’est facilement explicable : le processus de colonisation, particulièrement en Algérie – oui, oui, M’sieur Brighelli, particulièrement en Algérie – a été une horreur. Alors on préfère botter en touche, s’aveugler, jouer petit côté, « blind side ».
Un jour, peut-être, un intervenant de ce blog me répondra sur ce dont je parle : le processus de colonisation, et rien d’autre. Cet intervenant n’est pas encore né.
Parce que vos sources sont bidonnées, mon cher.
Toutefois, reviendriez-vous avec un dossier sérieux que rien ne justifierait que l’Algérie touche un kopec d’indemnisation, compte tenu des milliards en infrastructures (hôpitaux, ouvrages d’art courant et non courant, maritimes et fluviaux, réseaux électriques et d’eau) que la France à laissé sur place.
Je constate par ailleurs que ma ré-apparition hier a quelque peu fait sortir ce blog de sa torpeur…Désolé d’avoir perturbé votre sieste !
« 500 000 soldats tués dans les deux camps sur la période de 1834 à 1848, selon des estimations d’Ismaÿl Urbain ? »
À vérifier, à vérifier, Josip, mais quelque chose me dit que vous allez à votre tour disparaître un moment vérification faite….
Nous nous occupions d’artistes germaniques (Baldung Grien) ou germano-suisses (Niklaus Manuel Deutsch, Urs Graf), de landsknechten, de marketanderin, de sorcières. Grâce à vous nous retombons dans les si délectables ornières de l’Algérie et de ses « martyrs », en attendant la Palestine.
Le domaine artistique – hormis le ciné-club en VO – n’intéresse guère JG.
« Les si délectables ornières de l’Algérie et de ses « martyrs », en attendant la Palestine » : bientôt « Côte d’Azur du Moyen-Orient » ? -😁
(ni les pays du Golfe, ni l’Egypte, ni la Jordanie ne veulent de Palestiniens ; ça se saurait, sinon, depuis le temps…)
WTH
5 février 2025 At 12h10
Le domaine artistique – hormis le ciné-club en VO – n’intéresse guère JG.
WTH, insatiable, s’attaque déjà à son record mondial de ratio « nombre d’inepties/nombre de mots ».
Quel appétit !
Non,on s’amuse et on se kulture très bien sans vous JG !
Et la COLONISATION -ou plutôt les – est aussi vieille que le monde, que les hommes !
L’Histoire en est saturée !
La guerre d’Algérie a été épouvantable, sans aucun doute,
tout comme… les autres !
A vot’ place, je n’en serais pas fier !
« 500 000 soldats tués dans les deux camps sur la période de 1834 à 1848 »
C’est la blague josipienne du jour, et j’avoue que je la trouve assez amusante.
Il écrit ça crème, les yeux fermés fidèle à sa source, à son dieu Le Monde.
Justement, chère amie, ce n’est pas moi qui l’écrit. Moi, je cite. Tout comme Echo cite.
Vous avez le droit – tout comme moi – de contester ce qu’écrit Le Monde.
Vous citez ? Mais ce ne sont pas des citations mais des sources que vous avancez.
Je ne vous expliquerais pas leur différence sémantique. Il est d’usage de les vérifier avant de les faire paraître, et Le Monde ne vous garantit aucunement que les siennes ne furent pas falsifiées.
Pire, votre main n’a pas tremblé pour recopier cette ânerie :
« 500 000 soldats tués dans les deux camps sur la période de 1834 à 1848 »
Je n’ai rien recopié. J’ai cité. Vous comprenez vite, mais il faut vous expliquer longtemps.
Vous avez cité un sacrée bêtise que vous n’avez pas mise en doute convaincu que vous étiez, ou devrais-je dire en bon croyant qui ne remet jamais en doute les inepties du Monde.
« 500 000 soldats tués dans les deux camps sur la période de 1834 à 1848 »
ECHO
5 février 2025 At 11h57
Nous nous occupions d’artistes germaniques (Baldung Grien) ou germano-suisses (Niklaus Manuel Deutsch, Urs Graf), de landsknechten, de marketanderin, de sorcières.
Des sujets congestionnants d’intérêt, à n’en pas douter. Et qui vont durablement influer sur les cours mondiaux des matières premières, et peut-être aussi sur la production de soja.
Vous paraissez peu enclin à admettre les préoccupations culturelles des autres
Dites vous la même chose des films que vous présentez à votre ciné club?
J’ai (eu) plusieurs vies, voilà tout…
Ben oui, comme beaucoup… !
Comme nous tous…
On ne voit pas en quoi El Djezaïr va « influer sur » quoi que ce soit.
A noter qu’El Djezaïr ne fait toujours pas partie des Brics ; ils s’en méfient ; on les comprend !
WTH
5 février 2025 At 12h00
Non,on s’amuse et on se kulture très bien sans vous JG !
Je n’en doute pas.
ECHO
5 février 2025 At 11h57
Grâce à vous nous retombons dans les si délectables ornières de l’Algérie et de ses « martyrs », en attendant la Palestine.
Grâce à moi? Non. Grâce à Marine Le Pen et sa déclaration sur la colonisation de l’Algérie « pas un drame », mot pour mot ce qu’écrivait Brighelli il y a peu. Sans cela je n’aurais pas perturbé vos assoupissements.
Vous rêvez par ailleurs d’un retour de la problématique palestinienne? Ne rêvez plus, Trump l’a fait :
https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/donald-trump-veut-prendre-possession-de-gaza-a-long-terme-et-en-ejecter-les-palestiniens-2146745
Oui, vraiment, merci Marine, merci Donald !
Cher ami –
Rappel : « Les si délectables ornières de l’Algérie et de ses « martyrs », en attendant la Palestine » : bientôt « Côte d’Azur du Moyen-Orient » ? -😁
(c’est du Trumpy !)
(« ni les pays du Golfe, ni l’Egypte, ni la Jordanie ne veulent de Palestiniens ; ça se saurait, sinon, depuis le temps »…).
Autre rappel :
Une langue de Palestine (Gaza) le long de la mer, de même que l’enclave de Cisjordanie : difficilement viables… C’était une mauvais idée ;
et ça l’est toujours, encore plus avec l’implantation des « colons », et les gisements de gaz offshore Gaza…
Remarque : la Marine n’est qu’une pouffe ; le Donald est… ce qu’il est, mais avec « America first », forcément respecté par des autocrates en mode Poutine ou Xi !
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