Le Titien, Vénus d’Urbino, 1538

Pierre de Ronsard

Sonnets pour Hélène, pièce inédite

Hélène, tes regards ont enchanté Pâris,
Et allumé la guerre à la rive achéenne.
Dix ans de durs combats ont allumé de haine
Les peuples de ces bords, déchirés et marris.

Hélène, que ce soit à Blois ou à Paris,
Je suis l’esclave heureux d’une amour souveraine
Qui me plie sous son joug et sans cesse m’enchaîne.
À force de pleurer, mes larmes ont tari.

Si je n’ai plus de pleurs, si je n’ai plus de larmes,
Il ne me reste plus qu’à mourir de tes charmes.
Sans hésiter pourtant je repars au combat,

Et réduit à l’état de cité enflammée,
Pour célébrer Hélène obstinément aimée,
Je dégaine ma plume et t’inonde ici-bas.


Charles Baudelaire

Ce que taisait la femme de Loth

A la pâle clarté d’un cierge mortifère,
La jeune femme offrait à mon œil indiscret
La fleur mauve où l’abîme expose son secret
– L’accès au gouffre obscur où se perd la Matière !

Je crus y lire, avant d’y plonger ma mentule,
L’énigme dévoilée des marbres de Paros,
Camouflant de blancheur la gaine de cet os
Surnuméraire osant le désir majuscule !

« Viens, dit-elle tout bas, viens sonder l’ineffable,
Viens poignarder ma chair qui t’appelle et te craint,
Viens goûter à mon âme à l’orbe de mes reins… »
Et moi je contemplais ses courbes admirables !

J’osai enfin, j’osai affronter son mystère.
La frêle fleur forcée s’ouvrit à mon soleil,
Suicidé dans la nuit de ce puits sans pareil…
– Et le cierge glorieux l’inonda de lumière !


Victor Hugo

Chanson du rut et des doigts

Ce soir, je t’étendrai sur cette couche antique
Où Putiphar rêvait aux vertus de Joseph,
Et d’un battement sûr de ma main frénétique,
Je châtierai ta peau de marbre. Et derechef,

Quand le sang sourdra sur tes fesses d’Aphrodite,
Quand le cri jaillira de ta lèvre crispée,
Entonnant la chanson de l’extase inédite,
– Et que tu m’aimeras par onomatopées,

Je te fustigerai sans jamais me lasser,
Pour punir la passion qui embellit ma vie.
Le marbre de Paros, de soleil enlacé,
Prend des tons rougeoyants qu’Aurore lui envie ;

Ainsi ton sang ému de caresses brutales
Et tes reins affolés par le patient travail,
Transmutant la douleur en humeur génitale,
Feront jaillir la source au buisson de corail !

Mallarmé

Tombeau pour une absente

Nulle éblouie de sang sur la tombale nue
Ne déchiffre le sens du poème infusé
Sous la mousse, occultant cette langue inconnue
Page en attente d’encre où le style musait.

Nulle offrande de Moi dans sa chair devenue
L’espoir de vie déçu du ventre mésusé.
Le serpent se dérobe et crache vers la nue
Le venin d’encre pâle au gouffre refusé.

Lente, d’un ongle las, elle cueille la prose
Jetée au marbre blanc de son sein haletant,
Et goûte au Verbe amer qui chante toute chose

– Et l’amour, et l’absence, et l’envie, et le temps…
La femme de papier quête d’autres caresses,
Seule au tombeau désert où ses doigts la confessent.


Edmond Rostand
Cyrano de Bergerac, Acte III, scène 10, tirade inédite

Baiser ! Le mot est doux. Votre lèvre ne l’ose.
S’il la brûle déjà, que sera-ce la chose ?
Quand mon membre, irrité d’un désir turgescent,
S’enfilera au cou le collier de vos dents ;
Quand votre bouche offerte à cet abricot fauve
Fera, en se fermant, la nuit sur le mont chauve ;
Ou quand ce suc amer viendra battre le roc
Tendre de votre langue où s’enfonce ce soc !
Baiser, cela n’est rien : c’est tout ce qu’on y range,
Le premier frisson qui vous prend et vous démange,
La fraise froufroutant sous le frais cresson blond,
Le sexe qui s’éveille et redevient un con,
La main qui se défend et qui s’offre aux caresses,
Les reins qui n’osent pas tout en donnant leurs fesses,
Ce spasme du vagin qui veut et ne veut pas
Le doigt qui le bascule entre vie et trépas…
Baiser ! Le mot n’est rien : le désir majuscule
Invente mille noms pour cet animalcule.
Baiser ou forniquer, ou prendre du petit,
Avaler du sirop pour s’ouvrir l’appétit,
S’initier à la bête à deux dos sur le ventre,
Crier, prier, gémir, et jusqu’à ce qu’il rentre,
Maudire l’olisbos de chair impénitent
Qui frappe à votre porte ­ et quand ce pénis tant
Redouté parvient au tréfonds des entrailles,
Pleurer de pur plaisir, fauchée par la mitraille
D’un orgasme géant qui vous laisse baba
D’un autre et d’un suivant qui vous mettent à bas !
Baiser, et rebaiser, et rebaiser encore,
Oser les positions les plus crûment hard-core,
Consentir à aller jusqu’au bout du désir,
S’y enfoncer, s’y perdre- et mourir de plaisir !



Apollinaire

Pièce envolée d’une tranchée, en 1915, et récemment récupérée chez les Prussiens

Le Temps Le temps s’en va la Seine se délite

Tes reins Tes reins sont ivres où s’amarre ma bite

Ecoutez la chanson lente du sodomite
Qui prétendait avoir en sept jours et sept lunes
Fiché son dard moussu dans l’orbite orpheline

Sur ta peau déchirée s’imprimait ma fortune

Ivres du vin clairet de ta vulve enfantine
Ivre du sperme blond agaçant tes gencives
Le cœur au bord des lèvres engluées de cyprine
Avalant jusqu’au cœur cette larme rétive

Ivres confusément l’un sur l’autre ils voguaient

Et la Seine roulait nos cœurs extravagués
Et l’ivresse roulait nos corps sur cette plage
Les draps confusément autour de nous tanguaient
J’étais le Hollandais volant à l’abordage
De ce lit de haut bord où l’Amour divaguait

Sur le papier fouetté d’un style convaincu
Je pleure la nausée des houles de ton cul
Style plat calme plat ô nostalgique ivresse
Attaché à ce mat planté entre tes fesses.


Claudel

Fragment d’une 6ème Ode de Claudel, revue par Charles Péguy


Sainte-Marie-aux-Liens, tissée de mille plaies ! Plus souriante de souffrir par Lui que jamais amoureuse ne s’alanguit de sa crucifixion païenne,

Haletante, brisée d’extase, elle ne parle plus que la langue du cri – sans cesse renaissant d’elle-même, elle s’enfante au monde où elle s’engloutit, sans cesse délicieusement neuve – sans cesse à nouveau déchirée !

Je vous salue, Mystère de la Virginité mille fois revenue, mille fois sacrifiée, Pucelle dévorée d’un bûcher immanent, brûlant des mille feux de la Passion perpétuée – Amante !

Amante ! Vouée au seul Seigneur, haletant sa prière en sa langue adamique, ses lèvres s’ouvrent au verbe incessamment jailli, fontaine qui apaise et attise la soif – éponge de douce amertume !

Amante ! Ecartelée, offerte sur l’autel, elle ouvre son âme d’ambre ruisselante de joie à toute inquisition de l’œil et de la main !

Amante ! Elle boit la parole opalescente du Seigneur !

Etre la plaie d’un tel couteau…

Les chaînes dont Il l’enserre sont le pâle reflet des plaies qui l’enclouent contre Lui, et leurs signes incrustés dans sa chair sont l’écho assourdi, dérisoire, des stigmates divins imprimés dans son âme

Elle donne ses larmes, elle donne son sang.

Une pluie d’or soudain l’irrigue et l’humilie — elle est ce Rien défait dont Il fait son Amante.


Francis Ponge

1. Le fond et la forme

Trente-deux formules de nacre cernent le style dépouillé, tendu vers cette forme avide, trouée de promesses tues. Elles achèvent de lui donner un sens. Elles polissent et repolissent et travaillent inlassablement le corps du poème, délire organisé de joie et de douleur – autrement dit extase. (Ici, la chair se fait Verbe, la page blanche encore de désirs tus se couvre de proférations savantes et de cris dont le rythme soudain plus haletant pousse le style au sémantisme). La phrase coule par propositions brèves. Un sourire distend l’arrondi des lèvres où s’imprime une rumeur salée. Une perle ultime se fige en pointe du poème, dont la Langue trouve aussitôt à s’orner.

2. Le savon

Le savon ne pourrait sans scandale ignorer le savoir, qui en quelque façon le constitue. Les secrets les plus intimes se dévoilent à ce parallélépipède parfumé. Comme le voile de Poppée, il tisse sur la peau sa transparence, pour souligner ce qu’il occulte. Le sein à son contact s’agace, le ventre se conclut de bulles, et tel sillon livre au savon sa fleur la plus secrète, prélude à l’exercice linguistique. Le savon sait les sinusoïdes, les courbes et les volumes qui font d’Elle un corps de dunes ordonnées. Et aucune surface ne se soustrait à sa connaissance, sinon quelque muqueuse celée sous la mousse, trop vierge pour ne pas s’ulcérer d’une telle inquisition. Et si le savon n’est pas sans jouissance, le plaisir de savoir se clôt sur un désastre : à force de butiner des mystères, le savon perd si bien sa substance qu’il glisse au néant – tentant parfois de fuir sa désincarnation en échappant à la main qui inlassablement s’en frotte jusqu’à l’extase.


Saint-John Perse

Amers, Strophe oubliée par le copiste…

De grandes houles bercent le paysage blanc.

Une source murmure aux falaises de marbre, où le printemps précoce ose un premier bouton. Langue, professe le plus doux déduit que tu connaisses : silence ! Silence du corail où rôde une étrange morsure, une algue de velours conjointe au bloc fendu.
Du trou de la Sibylle où se quête le sens, monte un Mot de varech et de vague : la bouche d’ombre esquisse un discours d’écume et de sang.
La pointe de corail s’ouvre en rose des sables, et le Mot retenu accède enfin au cri : dire, dire le sel qui étanche la soif, et l’extase de la brûlure !

Sur la plage éblouie il pose un baiser blond.






316 commentaires

  1. Les psychanalystes ne peuvent jamais dire à leurs patients qu’ils ont du talent, même quand c’est le cas.
    Je transgresse ici cette règle déontologique et j’affirme: Brighelli a du talent à revendre.
    Ici Brighelli a même le culot de contredire Brassens qui disait dans « Misogynie à part » :
    « Elle m’emmerde elle m’emmerde, à la fornication
    Elle s’emmerde, elle s’emmerde, avec ostentation
    Elle s’emmerde vous dis-je !
    Au lieu de s’ecrier « Encore! Hardi Hardi! »
    Elle déclame du Claudel, du Claudel j’ai bien dit!
    Alors ça, ça me fige !

    Elle m’emmerde elle m’emmerde, j’admets que ce Claudel
    Soit un homme de génie, un poète immortel
    J’reconnais son prestige
    Mais qu’on aille chercher dedans son œuvre pie
    Un aphrodisiaque, non ca c’est de l’utopie !

    En bien avec Brighelli, même Claudel peut devenir aphrodisiaque.
    Chapeau l’artiste.

  2. Flo, c’était du buis béni et non du gui qui est fort toxique.
    Parfois ma grand-mère, pour plus d’efficacité, complétait avec un peu d’eau bénite qui était conservée dans une petite bouteille en forme de vierge de Lourdes.
    Elle n’était en aucun cas bigote, bien trop libre d’esprit.
    Il lui arrivait d’aller à la messe pour voir ses copines et renouveler le stock.

    Mon grand-père a vécu avec l’horreur des tranchées ancrées à l’esprit. Il a « fait » Verdun à 18 ans et ne s’en est jamais remis. Aujourd’hui, au même âge on « fait » le Maroc ou les Canaries.

    Il est allé sous le feu chercher un camarade blessé et prisonnier des barbelés dans le no man’s land.
    Médaillé pour cet acte d’héroïsme au front, il a vécu une vie en état de choc post traumatique. Proche de la mort, il hurlait encore dans son sommeil.

    Sa santé mentale était altérée au point qu’il a rendu ma mère à moitié folle.
    Quant à moi …

    • Au temps pour moi, Zorglub. (Et le pire, je savais que le gui était toxique… pff). mais je me souvenais tout de même de votre talent.
      Je me faisais la réflexion sur ces témoignages de guerre que ma génération a encore connu. Des hommes esquintés, les poumons, la gorge, brûlés par les gaz aux témoignages fascinants, que nous écoutions jeunes avec la plus grande solennité. Des rescapés qui nous ont permis d’entrevoir ce versant du genre humain qui est la Guerre mais de comprendre également la force, le courages et la peur qui les accompagnaient et alors que le débat se porte, actuellement, sur la réelle nécessité d’expliquer la Guerre autrement que par immersion, autrement dit : sans image pouvant heurter la sensibilité d’un jeune public qui, comme moi, n’a pas connu la guerre.
      Dans sa grande bonté, Jean-Paul nous a fourni un lien qui nous permet de vous suivre. Je ne m’en priverai pas.

    • Ben oui ; classique, si j’ose dire ; mon grand-père, père de mon père est mort, dans les tranchées, deux mois avant la naissance de ce dernier ; on comprend pourquoi mon père en a porté des traces…
      Quant à l’autre grand-père, légion d’honneur, pour blessures et sauvetage de camarades, en 14-18 ; puis, à la cinquantaine, début années 40… vidé de l’EN, membre de « l’armée secrète », et fusillé en 43 au mont-Valérien.
      (oui, je sais je me répète).
      Et bien, chez moi, on s’est abstenu de parler de toutes ces horreurs…et c’est tant mieux.
      On s’intéressait plutôt au présent, sachant que les guerres se suivent et se ressemblent, encore et toujours, dans la même horreur.

      Quant à « faire les Canaries »… à l’exception de la petite île de El Hierro qui…déborde de migrants, et devient une autre Lampedusa !
      Là aussi, l’histoire se répète.
      Mais personne ne bouge.
      Le complexe militaro-industriel est toujours puissant, et les religions itou – tant qu’il y a un islam, il n’y a pas d’espoir.

      • Je connais un peu Zorglub pour savoir qu’il n’a pas évoqué les faits d’arme de son grand-père pour lancer un débat à qui mieux-mieux. Les Français de souche ont tous un parent figurant sur un monument au mort ou médaillé de la grande guerre. Après c’est une question pédagogique : doit-on présenter les effets (et ils sont vastes !) en esquivant leurs causes ?

        • Les deux guerres dites mondiales – ce qui est faux en soi – marquent rien moins que le début de… la fin de l’Europe, sa destruction (semble-t-il actuellement assumée ?!) malgré quelques années de prospérité, voire d’apparente renaissance.
          Et cela, au profit de, on pourrait même dire, par la volonté de, … des EU.
          Outre que La 1ère a permis d’en finir avec les Empires (russe, austro-hongrois, et même, malgré les apparences, Britannique) ,
          elle a surtout permis aux EU … de booster leur économie ; ils deviennent le « poumon financier de l’économie mondiale » ( in « l’Empire américain », cité par N. Markovic dans « l’Amérique empire » : aide à l’industrie et au réarmement… allemands, par ex.

          Après la 2ème, le plan « Marshall », les réseaux « Stay behind – qui s’étendent bien au-delà de l’Europe, et fomentent les pires exactions, des années 50 aux années 80 –
          la création de l’OTAN, de l’OMC-FMI-OMS… et bien sûr… de l’UE.
          C’est ça la leçon ; c’est cela qui doit être reconnu, rappelé ; les causes et les effets.
          Au nom de la défense de la démocratie, des droits de l’homme, de la liberté : des millions de morts, pour que vive (et triomphe) un complexe militaro-industriel et financier.

  3. Pour espérer pouvoir entrer dans la postérité et puis dans le cœur des gens, il ne s’agit pas d’avoir 10/10 aux yeux des hommes de lettres, mais dépasser la moyenne, simplement, dans un certain nombre de domaines, à savoir est-ce que mon poème a quelque chose à dire de vraiment actuel, ou d’universel… est-ce qu’il est suffisamment pop, populaire, acidulé… et d’autres critères de ce type. En plus des exigences habituelles (musicalité, métrique, magie de la langue). Voilà mon petit Brighelli. Bonne continuation et sachez que vous êtes un pur produit de votre époque, vous en êtes le jouet un peu amélioré… (ne pas confondre intelligence et sagesse) Et sachez aussi que les jeunes ne sont pas spirituels et croyants pour vous embêter, mais qu’ils sont eux aussi le produit de leur époque joyeusement satanique et qu’ils essaient de composer avec ça, de réagir, d’avancer sur le chemin de la vérité. Avec vos expériences extrêmes, dans les années 80 et 90, vous avez ouvert la voie à une époque tout à fait spéciale, vos partouzes en tout genre et vos blasphèmes n’était qu’un dernier soubresaut, un dernier braquage des forces du Mal avant la grande époque sombre et décomplexée que nous traversons aujourd’hui, déshumanisée et pervertie à l’extrême. Un peu comme lorsque les islamistes ont accompli des tueries en France avant la grande islamisation sereine à laquelle nous assistons aujourd’hui, bien que j’apprécie l’Islam en soi. PS : je trouve très étonnant que chaque fou dans mon genre, en France, veuille faire valoir ses droits et persuader le reste de la population que ses lubies et autres problématiques personnelles tiennent lieu de canon et de norme en puissance, alors qu’il est le premier à en souffrir, viscéralement, à moins d’être un démon fini ! Saupoudrez un peu vos textes d’autodérision et de morale, cela ne fera pas de mal, Maestro.

    • « Avec vos expériences extrêmes, dans les années 80 et 90, vous avez ouvert la voie à une époque tout à fait spéciale… »

      Si vous saviez ce que les professeurs de cette génération, réformés P4 pour la plupart, ont inculqué à leurs élèves….

    • « Pour espérer pouvoir entrer dans la postérité et puis dans le cœur des gens, il ne s’agit pas d’avoir 10/10 aux yeux des hommes de lettres, mais dépasser la moyenne, simplement, dans un certain nombre de domaines, à savoir est-ce que mon poème a quelque chose à dire de vraiment actuel, ou d’universel… est-ce qu’il est suffisamment pop, populaire, acidulé… et d’autres critères de ce type. »

      Que voilà des critères bien définis et faciles à évaluer.

      Les artistes qui passent à la postérité comme vous dites ont généralement une grande maîtrise technique de leur médium qu’il mettent au service d’une vision du monde à la fois universelle et profondément originale. Le talent et le génie, en somme.

      Le premier est le fruit d’un long travail (la fameuse théorie des dix mille heures), le second est inhérent à l’expérience de chacun.

      Loris, je suis allé sur votre blog et j’ai lu vos poèmes. Je vous donne mon avis : vous tenez quelque chose de personnel mais continuez à travailler la forme. Et si ça vous fait plaisir d’écrire, ne tenez pas compte des critiques trop virulentes. Persévérez. Un poème est une bouteille à la mer qui finit toujours par rencontrer son lecteur.

      Bien à vous,

  4. « Maestro », magicien des mots ; peaux, libido et surtout brio.
    Quant au « savon », amusante leçon.

    • « Saboter des pipelines », qu’il a écrit le Suédois !
      Mais alors, les essplications relatives à « l’affaire Nord-Stream » : que du pipeau (façon d’parler) ?
      On nous aurait menti ? Juste lui, aidé de La Greta, munis d’un masque, de palmes et de cisailles ?

      De quoi nous plonger dans la perplexité, surtout quand on lit :

      « Considérer que la nature est dotée d’une agentivité peut conduire à voir dans le réchauffement climatique une forme de vengeance des puissances telluriques, une révolte de la Terre contre l’humanité ».

      • L’agent de peaulisse sera anionique (ta mère) ou ne sera pas.
        Le malmousquetaire de pacotille réintroduit de la religion là où on a mis des siècles à l’éradiquer (ta mère aussi).

        Que la terre l’avale jusqu’au tréfond.

      • Saboter les pipelines…Ce sont les méthodes du gang de la clef à molette d’Edward Abbey!

        •  » Bien que fictif dans sa forme, ce livre se fonde sur des faits strictement authentiques.
          Tout ce qu’il contient est réel ou s’est vraiment passé. Et tout a commencé il y a exactement un an de cela… »
          A. Abbey (Wolf Hole, Arizona)

  5. Ecologogogie (suite) –

    Mon Âne Hidalgo est partie 3 semaines… en Polynésie … pour resserrer les « liens très forts qui nous unissent » à ces territoires lointains, qui ne sont pas « des externalités ».

    D’abord, à Tahiti. Cause : les J.O. ; c’est là qu’auront lieu les épreuves de surf ;
    pour se faire, va être construite, sur le lagon, une tour de 14 mètres, « qui fait des vagues » dixit la Presse, toujours mal intentionnée.
    Puis, Petit tour à l’ïle des Pins : « lien historique entre Paris et la Nouvelle-Calédonie à travers l’Île des Pins où des communards sont enterrés, ces révolutionnaires qui ont été exilés ».

    Mon Âne et son causement, on ne s’en lasse pas ; mais, ni photos, ni paréos, ni fleurs ; je suis très déçue.

    • LES COURS D’EAU SOUTERRAINS qui sont constitués d’eau physique en mouvement dont la largeur, la profondeur par rapport à la surface de la terre et le débit sont variables en un lieu donné.

      Les frottements dus à l’écoulement de l’eau sur ses rives créent une tension de type électrique qui induit des énergies, équivalentes à des courants électriques. Ainsi, au niveau du cours d’eau souterrain, il y a alors une modification du champ magnétique terrestre le long de ce cours d’eau. Et, par suite, cela se traduit par la création d’énergies perturbantes qui vont se propager à la verticale de ce cours d’eau jusqu’en surface.
      __________________________________________________________________________
      C’est pourquoi il est nécessaire de les repérer à l’aide du procédé mis au point par Yves Rocard,célèbre physicien (et ,accessoirement, père de Michel.

  6. Jean-Paul Brighelli 30 octobre 2023 At 16h48
    Ah, ça vous plaît, « inculquer », hein, vieux pervers…
    _________________________________________________________________________

    Ca,c’est de la dérision altruiste;merci Maestro.

  7. Dugong 30 octobre 2023 At 17h23
    Un des apports de la modernité est d’avoir généralisé le poisson sans arêtes.
    ___________________________________________________________________________

    Si vous croyez ça ,c’est que vous n’avez pas compris comment sont fabriqués les surgelés Findus !

  8. P4 et experts-psychiatres,rappel et suite:

    Rappel
    Un grand nombre de jeunes gens,classés P4 par les experts-psychiatres de l’armée (c’est-à-dire inaptes au service militaire pour raisons psychiatriques) ont ensuite été jugés aptes à enseigner par les experts-psychiatres de l’Education Nationale.

    En matière de santé mentale,tout est relatif.

    Suite
    Récemment,un docteur en médecine, Denis Agret, ayant été jugé atteint de maladie psychique et donc interdit d’exercice par le Conseil de l’Ordre de l’Héraut.

    Une nouvelle expertise « blanchit » le médecin qui va pouvoir retrouver ses malades.

    Voici une déclaration de Denis Agret ,faite après cette décision:

    « 40 millions de personnes ont eu les trois doses et tous les jours on me raconte des histoires de gens victimes de myocardites. Des problèmes qui concernent aussi des personnes âgées de 15 à 35 ans. On devrait organiser un dépistage national, cibler les gens vaccinés et sportifs qui lors d’un effort important décèdent brutalement ».

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/je-ne-suis-pas-fou-le-dr-denis-agret-oppose-au-vaccin-contre-le-covid-autorise-par-le-conseil-national-de-l-ordre-a-exercer-la-medecine-2865017.html

    Pour les experts-psychiatres,ce type de raisonnement ne semble plus délirant.
    Qu’est-ce qui a changé ?

  9. « homo deus sapiens » (Harari) –

    Y’a les « organic life forms » qui ont culminé dans l’homo (dit sapiens) et dont les rêves – le cerveau reste en mystère – gardent encore un parfum néandertalien ? (« je t’aime, je te mange »).*

    Aucune référence de ce genre (!) chez le 1er spécimen de « non organic life form » dont nous avons la primeur sur Bd ;
    j’ai nommé l’IAL, qui non seulement n’écrit jamais « je », ni « nous », mais Lormier dit, pense, et.. propose…
    aux « humans » toute sorte d’instruments, d’images et de publicités, capables de donner « forme » à toutes leurs fantaisies…
    … fantaisies, payantes, bien sûr ; pas besoin de boussole pour l’IA ; une IA ne perdra jamais le nord ?

    *
    https://www.52-insights.com/wp-content/uploads/2016/09/206390-animal-rights-protests-in-2011.jpg

  10. Un(e) participant(e) à ce blog, qui s’appelle et se fait appeler indifféremment « gerard » ou « Flo » (nous verrons peut-être dans une autre étude ce que l’analyste a à dire sur cette double dé-nomination) a laissé entendre que le participant Lormier – qu’apparemment tout désigne comme un individu de sexe masculin – était en réalité une femme. Une telle affirmation, qui plus est émise par un flo-gerard féminin-masculin, ne pouvait qu’attiser la curiosité de votre serviteur.
    Voici donc une psychanalyse sauvage plus ou moins drôlatique de Lormier, fondée sur ce que ce blog peut fournir comme indices.

    Lormier ne dit jamais « je ». Lormier ne s’auto-désigne que par la 3ème personne du singulier. Comme Jules César, comme De Gaulle, comme Alain Delon. Ce combiné d’enallage et d’illéisme s’interprète généralement comme une marque de mégalomanie et/ou de désir d’introspection. Lormier, quand en tant que narrateur il observe son Lormier personnage – bref quand il s’écrit – s’écrie qu’il n’est pas lui-même. Lormier prend ses distances avec Lormier. Le «je » de Lormier est un autre. Le « je » inexprimable de Lormier est un double jeu.
    Evidemment. Lormier est-il lormier ? Ou bien l’ormier ?
    Dans le premier cas, il est un artisan qui fabrique les accessoires requis pour équiper un cheval (harnais, selle, éperons…). Il équipe le cheval, il ne le monte pas. Il le prépare à être monté, mais par d’autres. Il est en quelque sorte, très précisément, à l’image du boute-en-train, le cheval castré qui excite la jument pour préparer l’arrivée de l’étalon qui va la saillir.
    Dans le second cas, s’il est l’ormier, il est un fruit de mer gastéropode (à la fois mâle et femelle) qui fait les délices des gastronomes. On le déguste, on l’assaisonne finement avant de le mettre en bouche.
    Dès cette analyse du nom Lormier (dont on ignore s’il s’agit d’un nom subi – on ne choisit pas sa famille – ou d’un nom choisi, un pseudonyme) et de l’usage que Lormier en fait, on voit apparaître nettement la thématique de l’identité, sexuelle mais pas seulement, et celle de l’impuissance et de la frustration. Il semble bien en effet que ce soit là le nœud (si j’ose dire) du problème, comme le montre un série d’indices concordants :
    – Lormier apprécie les mots-valises que produisent certains autres intervenants. Mais celui qui emporte tous ses suffrages, c’est « climatoridien ». Le caractère masculin-féminin de l’organe mis en avant (si j’ose dire) est suffisamment évident pour que je m’en tienne là.
    – Lormier lit et écrit indifféremment en anglais et en français. Il semble posséder à la perfection les deux langues. La précision, la rapidité et l’exhaustivité de ses recherches lui a valu le surnom de IAL. IAL, c’est le suffixe que l’on trouve en anglais dans des adjectifs tels que « essent-ial », « confident-ial », « president-ial » etc. Que deviennent ces adjectifs, transposés-traduits en français ? « Essent-iel », « confident-iel », « president-iel » etc. Evidence aveuglante : IAL devient iel. L’intelligence artificielle est non-genrée, hybride.
    – quand Lormier écrit sur son clavier, en l’absence d’espacements (après les virgules par exemple) son écriture est comme resserrée, comprimée, corsetée, insuffisamment aérée, au bord de l’asphyxie, comme ces corps de femme littéralement emprisonnés dans des vêtements de nature quasi-carcérale, si représentatifs du vêtement féminin de la deuxième moitié du XIXème siècle. Et c’est le même Lormier qui met parfois en ligne des clichés de femmes dans le plus simple appareil. Comme pour sur-marquer l’anachronisme du corset en 2023, comme pour sur-marquer l’insupportable vérité du gouffre entre la réalité et le désir,
    – Militant invétéré de l’anachronisme ? Peur de la modernité ? Lormier est un expert de la grammaire la plus traditionnelle qui soit, mais les recherches plus contemporaines sur le langage, même si elles ne le laissent pas totalement indifférent, peinent à le convaincre. Mais les questions sans réponse le laissent souvent dans un état de grande frustration.

    En conclusion, Lormier semble être le lieu d’au moins deux conflits insolubles : masculinité/féminité, mais aussi tradition/modernité. Lormier se pose inconsciemment deux questions qui sont vouées à rester sans réponse : suis-je bien dans mon sexe ? Et suis-je bien dans mon siècle ? Le tout sans jamais dire « je ». Dès lors il n’est guère étonnant de voir certains, comme gerard-flo, spéculer sur les éventuels problèmes d’identité d’autrui…surtout si iel se sent concerné.e également…

    Note 1 :
    « Ce qui fait l’être pour la psychanalyse, ce n’est pas l’identité, mais la perte dans l’identité. Soit la façon de se confronter à une perte et d’y répondre par un effort de récupération. Si Marx a nommé plus-value la part récupérée par le capitaliste qui exploite le travailleur, Lacan a nommé « plus-de-jouir » cette part récupérée par le sujet confronté à ce qu’il a perdu dans le rapport à l’Autre. C’est cette dialectique entre perte de jouissance et plus-de-jouir qui définit la singularité de chacun. Le symptôme est alors défini par Lacan comme la façon dont chacun souffre dans son rapport à la jouissance, en tant qu’il n’y a accès que par le plus-de-jouir. La perte est l’effet structural du rapport à l’Autre. » 
    Note 2 :
    « Ce « Je », auquel se réfère la psychanalyse freudienne et lacanienne, c’est le « Je » de la parole et du langage, le « Je » qui en parlant fait une place à l’inconscient, soit le « Je » de la parole détachée de tout effort de maîtrise. Comme l’énonçait Lacan en 1954, il s’agit de lâcher les amarres de la parole et de voir ce que cela produit. Or, lâcher les amarres de la parole a d’emblée un effet qu’on pourrait considérer comme éthique et politique. Car en lâchant les amarres de la parole, c’est-à-dire en laissant les signifiants s’enchaîner selon la logique de l’association libre, ce sont aussi les amarres de l’identité que l’on lâche. »
    Clotide Leguil, in « Le sujet lacanien, un « je » sans identité ». (note 1, même source)
    Note 3 :
    Jamais l’écriture inclusive n’aura été plus justifiée que par cette psychanalyse sauvage plus ou moins drôlatique.

    • « quand Lormier écrit sur son clavier, en l’absence d’espacements (après les virgules par exemple) son écriture est comme resserrée, comprimée, corsetée, insuffisamment aérée, au bord de l’asphyxie, comme ces corps de femme littéralement emprisonnés dans des vêtements de nature quasi-carcérale, si représentatifs du vêtement féminin de la deuxième moitié du XIXème siècle.  »

      C’est ça !

      Vous avez tout bon.

    • « – Lormier lit et écrit indifféremment en anglais et en français. Il semble posséder à la perfection les deux langues. »

      Voici un indice que vous négligez. Les démonstrations dont Lormier nous gratifie quasi quotidiennement ne sont pas celles auxquelles les agrégés d’anglais fréquentant le blog se livrent habituellement. Jamais. Du reste, nous découvrons souvent au hasard d’une réponse qu’ils le sont (Mendax de mémoire. Souvenez-vous). L’approche de Lormier pour cette langue fait montre d’un sentiment masqué par une maturité qui serait comparable à la candeur d’un enfant découvrant une géométrie parfaite et variable et redécouverte chaque jour. L’anglais n’est pas son premier savoir… Disons qu’il y a de fortes chances qu’elle se doit — pour croûter — de maîtriser les finesses de cette langue, et que son ego, véritable religion de son Maestro chéri, l’oblige à nous les faire savoir.

      • véritable religion de son Maestro chéri qu’elle a fait sienne*

        Lormier est une femme sous influences

      • D’où sortez-vous l’idée saugrenue que je serais agrégé d’anglais ?

        Je ne suis pas agrégé, encore moins en anglais, et d’ailleurs je ne suis même pas enseignant.

  11. Un Prophète, dont les apparitions sur ce blog relèvent du génie.
    (Qu’en pensez-vous Gé-Flo : encore un.e agrégé.e ?)

  12. Gé-Flo :
    « celles auxquelles les agrégés d’anglais fréquentant le blog se livrent habituellement » ? Ah bon ? Lesquels (ce qui comprend lesquelles).
    « Mendax » ?
    « Une femme sous influenceS » ? Lesquelles ? Hormis son « maestro chéri » (oeuf corse).
    Lormier.e : « l’absence d’espacement » etc… ; « IAL est un essai qui a foiré… » selon le sirénien.
    … That’s all ! (folks)

    • Le Maestro ne se contente pas de lui délivrer une seule influence. Elle peuvent-être sexuelle, religieuse et politique. Elle se prend assurément et de plein fouet (si j’ose dire) les deux premières.

  13. « Verbe est génie » : traduction par Gé-Flo ;
    Pas très sympa de la part d’un.e concurrent.e !

  14. Cas psychiatriques, suite:

    (On a vu ,dans les paragraphes précédents que les réformés P4 nés dans les années 50 avaient été bien accueillis à l’Education Nationale)

    Une femme entièrement voilée a proféré des menaces dans un train de la banlieue parisienne,tout en criant Allahou Akbar;des voyageurs l’ont signalé…finalement,à la station Bibliothèque François Mitterrand (tiens!) la police lui a tiré dessus et l’a envoyée à l’hôpital.

    On apprend que cette femme souffrait de troubles mentaux, qu’elle avait déjà été examinée par des psychiatres pour avoir menacé des passants avec un tournevis en criant « Allahou Akbar ».

    Faute de place dans les hôpitaux psychiatriques on tire sur les fous.

    Son cas était-il si grave qu’on ne puisse l’embaucher comme professeur ?

  15. Jean-Paul Brighelli 31 octobre 2023 At 13h12
    J’étais déjà prof…

    Voilà:apte à enseigner,inapte à porter les armes, réformé P4.

  16. Dugong 30 octobre 2023 At 17h23
    Un des apports de la modernité est d’avoir généralisé le poisson sans arêtes.
    ___________________________________________________________________________

    Comment fait-il ce poisson pour se mouvoir ? Thom a-t-il tenté de modéliser son développement ?

  17. À force de pleurer, mes larmes ont tari.

    Le pasticheur peut très bien se permettre une telle rupture syntaxique.
    et Ronsard ?

  18. Dugong 31 octobre 2023 At 17h01
    IAL est silicium made.

    En anglais « silicium » se dit « silicon ».

  19. WTH 31 octobre 2023 At 20h58
    « Maîtriser les finesses de cette langue » : Vous en connaissez quoi pour en juger ? Vous avez récemment dit « je m’adapte » ! Mais encore ?

    Bien sçay, se j’eusse estudié
    Ou temps de ma jeunesse folle
    Et a bonnes meurs dedié,
    J’eusse maison et couche molle.
    Mais quoy ! je fuyoië l’escolle
    Comme fait le mauvaiz enffant
    En escripvant cette parolle
    A peu que le cueur ne me fent !

    (Et au passage : en hommage à Villon que l’illustre agrégé, hôte de ce lieu, à négligemment oublié… Pff)

    • Et bien, Gé-Flo, il m’est souvent arrivé, en vous lisant, d’avoir du mal à simplement vous… comprendre !
      Il va donc, presque de soi, que je salue, par ex… Sanseverina… avec laquelle vous vous êtes montrée on ne peut plus odieuse, que vous avez fait régulièrement fuir – du moins d’après ce que j’ai pu lire, depuis environ 3 ans,
      et ce, d’une façon puérile (maladive ?!) pour ne pas dire plus, de la même façon que vous me traitez, encore, de khonne, etc…

      … et de la même façon que vous traitez celui à qui, tantôt vous crachez à la figure, tantôt l’appelez par son prénom !

      Féliciter Z. ou le Prophète, oui, parce que j’ai apprécié ce qu’ils ont pondu !
      Je n’appelle pas ça de l’obséquiosité.

      A propos de JPB : je l’ai dit cent fois (comme vous d’ailleurs), c’est un plaisir de le lire.
      Et j’admire le travail qu’il a accompli, pendant tant d’années, en tant qu’enseignant et défenseur de notre langue, de notre histoire, etc…
      C’est une chose assez rare ; j’ai assez bourlingué, ici et ailleurs, pour le savoir.

      Quant à sa critique du Bac(ho)… et ses propositions pour l’EN…
      je pense qu’il faut être du « milieu » pour s’en faire une idée précise – ce qui est le cas, par ex, de Sanseverina,
      et personnellement, je n’en n’ai justement pas, d’idées très précises.

      Je vais même plus loin : ça m’intéresse mais… pas plus que ça ! Ou plutôt je m’intéresse à des tas de choses, et je participe aussi (et vous ?!).

      Mais « l’avenir » ne m’importe, en réalité, que peu !
      Il est, sera, construit par les plus jeunes, par ceux qui viennent ; je tente juste de profiter de ce court temps qu’il me reste ; c’est tout (that’s all, comme dit l’autre).

      Je n’ai aucune illusion sur cet avenir ; il n’y a aucune « raison » que le monde (les humains) s’améliore; ce sera déjà bien que d’échapper au pire…

      Et donc, parmi les quelques plaisirs qu’il me reste, ce blog, dont j’apprécie particulièrement l’intelligence et… l’humour. Point !

        • Il faudrait que l’on ait pitié de Sansèv’ la Toufriquétiste, qui a pourri ce blog et Pierre D. accessoirement, durant des années. Qui ne faisait des apparitions éclaires pour vanter la politique de son demeuré d’élu de chez Rothschild. Alors oui, je l’ai parfois un peu chiffonnée. Et je le ferai à nouveau très volontiers…
          @ Brighelli : ça vous arrangerait sans doute que les parents ne mettent pas leurs nez dans ce projet de certif’ qui concerne en premier lieu leur progéniture ? Ça ne concerne pas seulement les parents mais tout bonnement l’Economie de ce pays. Et ce n’est pas aux profs de décider de la fonction d’un diplôme, de sa valeur dans le marché du travail privé, ce n’est pas aux profs de décider si l’enseignement sera payant ou gratuit. Que les profs restent dans leur prérogatives qui se bornent à inculquer les savoirs.

          • Les parents n’ont rien à dire, ou juste à la marge. Le chirurgien leur demande leur avis quand il opère leur progéniture ?

          • Vous n’êtes pas un politique ! Vous n’êtes pas un gestionnaire ! Vous ne connaissez rien aux contraintes économiques qui régissent ce pays, votre compétence est seulement pédagogique ! Tenez-vous à cette compétence de la transmission des savoirs, les diplômes sont destinés au marché du travail, ne vous en déplaise !

          • Les parents n’ont rien à dire sur l’enseignement en tant que tel. Mais ce sont eux qui vous paient ! Ce sont eux qui votent pour un gouvernement, c’est à eux qui revient de savoir s’ils souhaitent un enseignement privé ou non !!! Si les parents ne veulent pas d’un système privé, vous n’avez rien à dire que de la fermer !
            Pour qui vous vous prenez, Brighelli ?!!

          • Vous n’êtes même pas convaincu que le bac n’a comme unique raison que celle d’être un passeport pour l’enseignement supérieur… Vous le savez. Vous savez pertinemment que votre réforme ouvre un nouvel endettement aux familles pour la plus grande joie des puissances financières. Vous participez en parfaite connaissance de causes à oeuvrer pour le futur rêver de Klauss le mao de chez Davos grand amateur de la religion de l’ego et d’eugénisme  » il y a les 80 d’esclaves et nous « . Et ne faites pas semblant d’ignorer les ambitions du Grand Reset. Elles se voient sur votre tronche, elles clignotent sur votre front

            Vous avez déjà perdu, Brighelli. Nous, les riens et les sans dent, nous allons morfler, nous le savons mais je peux vous assurer que votre bande de malades mentaux, les très contents d’eux, ne s’en sortiront pas indemnes.

        • @ Brighelli,
          Si vous vous appuyez sur ce genre d’énergumène pour délivrer la bonne parole selon votre évangile, foie jaune et suce-boule qui s’émeut du traitement d’une toufriquétiste à peine repentie et qui vous lynchait encore il y a peu… Comment dire…
          C’est la fin Séraphin !

  20. peauésie,peaurneaugraphie:

    Naguère,ici,les commentateurs ne pouvaient écrire les mots « porno », »pornographie », »pornographie » parce que le robot-censeur les rejetait.

    Lormier inventa alors la graphie « peaurneaugraphie » -que le Maestro eut la bonté d’approuver et d’apprécier:n’est-il pas beaucoup question de peau dans la pornographie ?

  21. mousse:
    Nulle éblouie de sang sur la tombale nue
    Ne déchiffre le sens du poème infusé
    Sous la mousse,

    Ecoutez la chanson lente du sodomite
    Qui prétendait avoir en sept jours et sept lunes
    Fiché son dard moussu dans l’orbite orpheline

    On aurait tendance à associer la mousse aux poils de la chatte…

    • Scande ta métrique (suite)

      Pour éteindre le feu au cul de Marilou
      Un soir n’en pouvant plus de jalousie
      J’ai couru au couloir de l’hôtel décrocher de son clou
      L’extincteur d’incendie
      Brandissant le cylindre je frappe paf
      Et Marilou se met à geindre
      De son crâne fendu s’échappe un sang vermeil
      Identique au rouge sanglant de l’appareil
      Elle a sur le lino, un dernier soubresaut, une ultime secousse
      J’appuie sur la manette, le corps de Marilou disparait sous la mousse

  22. Apollon fut berger, & le Troyen Paris :
    Et le jeune amoureux de Venus, Adonis,
    Ainsi que toy porta au flanc sa panetiere,
    Et par les bois sonna l’amour d’une bergere.
    Mais nul des pastoureaux en l’antique saison
    Comme toy n’a basty des Muses la maison.
    Tousjours tout à l’entour la tendre MOUSSE y croisse,

    Chant pastoral sur les nopces de Monseigneur Charles Duc de Lorraine, & Madame Claude Fille du Roy.Par P. de Ronsard

  23. Ronsard:paysages peaurneaugraphiques (mousse etc.)

    Ciel, air et vents, plains et monts découverts,
    Tertres vineux et forêts verdoyantes,
    Rivages torts et sources ondoyantes,
    Taillis rasés et vous bocages verts,

    Antres moussus à demi-front ouverts,
    Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes,
    Vallons bossus et plages blondoyantes,
    Et vous rochers, les hôtes de mes vers,

    Puis qu’au partir, rongé de soin et d’ire,
    A ce bel oeil Adieu je n’ai su dire,
    Qui près et loin me détient en émoi,

    Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines,
    Taillis, forêts, rivages et fontaines,
    Antres, prés, fleurs, dites-le-lui pour moi.

    Pierre de Ronsard, Premier livre des Amours

  24. Seul fut déçu Pygmalion,
    Qui, forant sa Nymphe sculptée,
    N’avait pas feutré Galatée.
    Mais d’un frottis de vermillon
    Il mit de la mousse au sillon.

  25. WTH 31 octobre 2023 At 21h15
    Le Mendax, celui que vous ne portiez pas vraiment dans vot’ coeur !
    merdrealors !
    Il a d’ailleurs disparu, de la même façon que l’attention (et la tension), après l’Ukr-Ru est déviée vers Israël !

    Quoique nous ayons de sérieux désaccords politiques, Mendax est plus intelligent que vous ne l’êtes. On ne s’étonnera pas que l’objectivité de cette confidence fournie dans un échange vous échappe… Je vous dis pas « ta gueule » comme le fait parfois l’expatrier, je vous recommande de vous imaginez autrement qu’en redresseuse de torts dans des échanges qui ne vous concerneraient pas.
    Prophète Mao mais. a produit une analyse amusante en s’inspirant de mes doutes sur Lormier. Je lui répond : qu’est-ce que ça peut vous faire ? En quoi ça vous concerne ?!
    Vos questions sont cons de surcroît. « L’est agrégé, vous croyez, Prophète Mao mais. ? » (Comme si Stendhal, Proust ou Mauriac l’étaient » et c’est bien qui fait chier ces techniciens de la langue qui se la pètent… En complète souffrance de complexe d’infériorité, tu es ma grande !). Aucun agrégé, ne me nourrit ou paie mes factures et j’ai plus d’admiration pour un entrepreneur équipé d’un CAP qui crée des emplois que pour un agrégé content de lui, persuadé de sa valeur inestimable, les dents rayant le parquet pour gratter un peu de pouvoir, se rêvant être consulté avant chaque décision politique, l’ego de mikado boursouflé à bloc, persuadé d’incarner l’élite quand un simple boulanger, un petit agriculteur à plus de valeur utile qu’il n’en aura jamais.

    Occupez-vous de votre boule ou proposez un sujet qui inspire Prophète Mao mais.
    Ou, plus difficile encore, acceptez de ne pas être le centre des conversations…

    • Suite : Quand ils ne sont pas appelés, après avoir quitté l’enseignement et gagné l’administration par le biais du syndicalisme ou par les plus dégueulasses compromis, pour faire un sale boulot, une réforme administrative délétère et dégueulasse figurant dans l’agenda mondialiste en échange d’un poste dans un ministère en récompense… Petite bourgeoisie étriquée, tendant ses fesses à la merci de n’importe quelle puissance politique ou financière, encrassée dans son mépris de classe qui se voit plus aristo que l’aristo par la grâce d’une agrégation.

      Des cacahuètes en attendant les rizières…

    • « Acceptez de ne pas être le centre » : Moa le centre ? Une « externalité », mais pas dans vot’ « genre » !

  26. mousse et éponge
    Il y a certainement une « affinité » chimique entre certaines éponges (synthétiques) et certaines mousses (synthétiques) . Le porte-savon de chez MUJI en est un exemple;c’est de la mousse de polyuréthane « solidifiée ».
    A ma connaissance,le seul porte savon qui évité l’accumulation de liquide savonneux pourrissant;quand l’éponde du porte-savon est complètement gorgée on peut facilement récupérer le liquide savonneux et ainsi sauver la planète.

    Hélas, plus distribué en France

    Sponge Soap Tray
    4550182202595

    Soap dish made from well-draining urethane foam.
    £2.95

    https://www.muji.eu/product/sponge-soap-tray-12661.muji

      • … Comme Gé.Flo : ni Bac(cho), ni fac (en ces temps, très facultative et frelatée),
        et, de plus, « sans dents » ! ce qui l’empêche de rayer le parquet, mais ne l’empêche pas de mordre.

        « Des cacahuètes en attendant les rizières » : aurait-iel compris que le « grand remplacement », outre les punaises (et pas que de lit),
        c’est le grand Xi et consorts, et donc, pour iel, la « rizi-re », et la retraite : macache !
        Comme d’ici là, Bd aura disparu, iel ne pourra plus qu’utiliser tictoc ou autre jeudekhon, à usage strictement limité, et où toute tentative d’opposition sera très durement réprimée, par les grands timoniers.

        • « votre compétence est seulement pédagogique » : comme on ne connait par celle (celles ?) de Iel – c’est même pas que le peuple voudrait savoir, y’ S’EN FOUT ! –
          rien ne dit que iel serait compétent.e, donc d’un rendement acceptable, dans les rizières, selon les normes des grands timoniers !

          • ON S’EN FOUT de ton commentaire de daube, de ta ponction exibo qui colle des migraines et qui n’est pas du niveau de ton supposé enseignement supérieur. TA GUEULE !

  27. ne pas confondre expatrié et ex plâtrier. Ils touchent tous les deux des plaques mais pas de la même nature.

  28. Extrudez Gaza !

    Un mot d’ordre qui vise à laisser le champ libre en surface pour faire des parkings.

    • A force de manquer de churrasco, ils finissent par manquer de cervelle, et sont prêts à entendre absolument n’importe quelle(s) formule(s) = du « en même temps » fanatique.
      Il organise même « des tombolas pour faire gagner son salaire de député « ; en voilà une idée qu’elle est bonne – à transmettre à qui de droit.
      Une gueule (quand il avait qques années de moins) qui rappelle celle d’Emmett Grogan (mais ce n’était du tout le même délire)

  29. Pour finir, j’ai revu ma copie sur l’utilité des parents dans l’EN. Un prof m’expliquait les conseils de classe sans la présence de parent, il m’expliquait les sorties de prof sur certains élève « Alors lui, il a été fini au pipi ». Il m’expliquait un conseil de discipline où si un parent délégué n’avait pas été présent, l’élève incriminé avec l’aide de sa mère invectivait le conseil au complet, se posait en victime devant une assistance de profs qui la fermait de peur des retombées administratives. Il a fallu que ce parent d’élève hausse sérieusement le ton, en tapant du poing sur la table, pour rappeler à l’élève qu’il allait devoir par s’excuser et de se taire. Les profs l’ont remercié à la sortie du conseil. CQFD

    • Et vous voudriez, Brighelli, que la politique de l’EN soit confiée à des profs. On a vu comment furent gérés la pédagogie et la transmission des savoirs, on s’est déjà fait une idée.

      L’affaire est trop grave pour la confier etc, etc, comme dirait l’autre..

        • FERME ta bouche. Tu es naze !
          Tu passes ton temps en faire des caisses pour gratter un compliment, à gratter une remarque. Tu fais pitié à te mettre dans le sens du vent. Tu fais pitié, on te l’a déjà dit. Pas moi mais un autre. Tu t’es pris un commentaire lapidaire sur ta façon d’être, d’intervenir ; parce qu’à la différence d’une Dobo, même d’une Sansèv’, d’un Hervé, d’un Zorglub, d’un Lormier, de TOUS, tu es la seule à n’avoir jamais remis en question l’idéologie parfois douteuse de Brighelli.

          Bref, ton « On s’en fout » ne vaut rien sur ce fil », il pourra valoir quelque chose quand tu auras réagir Brighelli que pour gratter une autre réponse qui te met dans cet état : »Oooh il m’a remarquée, Oooh OUI ! je moui**e, je MOUI**E!!! »

  30. Pour bloquer l’entrée des tunnels (qui peut aussi servir de sortie) couler du béton, ça ne suffit pas ?

  31. Toussa fait un passionnant remplissage pour les ceusse qui rentrent de leur BA au cimetière.
    Allez, ciao !

    • pour les ceusseS ! AbrutiE !

      (Normalement Brighelli arrive sur son cheval blanc, me tance, m’interdit de blog… Et comme d’hab’, j’aurais beau tenter de lui expliquer qu’elle n’a pas arrêter de venir m’emmerder, il prendre son parti… Elle, en foie jaune, au bord de la petite mort à la vue de son intervention :  » Oui M’sieur, elle est méchante avec mooâââ… sniff… Je souffre affreusement. »)

        • (Psst WTH ! Il n’y a que Sansèv’ qui a le droit au body gard avec descente punitive et musclée pour qui l’aurait bousculée. Toi tu es trop naze)

    • Zemmour comprend-il l’hébreu ? On l’a vu écoutant le récit,par un militaire israélien,des atrocités commises le 7 octobre;il hochait la tête,avant d’avoir entendu la traduction .

      Mais sa réponse fut digne:nous ne pouvons répondre que par le silence,nous sommes sidérés.

  32. Et sous mes yeux l’adolescence pétrissait
    Ce très féminin bosselage,
    Fanfreluchait de mousse un joli coquillage,
    De myrrhe exaltait le gousset.ousse,suite:

    • XVe siècle ! Quel régal !

      « Un c.. baveux, rogneux, landieux et peautreux,
      Renfrogné, découpé, marmiteux et chancreux… »

      « Un c.. démesuré qui dévore, goulu…
      Un c.. toujours puant comme vieille marée …
      Ne peut faire roidir cette couarde peau.
      Adieu, et jamais plus ne t’avienne entreprendre
      De faire le raillant, toi qui ne saurait tendre ;
      Adieu, contente-toi, et ne pouvant dresser,
      Que le boyau ridé te serve de pisser. »

          • Il ne doit pas y avoir beaucoup de poèmes sur l’impuissance…
            C’est drôle, la première fois que j’avais rencontré ce Belleau, c’était dans Lolita;paresseux,je n’étais pas allé voir la source et j’étais à mille lieux de me douter qu’il s’agissait d’impuissance (le vers cité enduit d’erreur).

            Checking Ronsard and Belleau, in « Lolita »: « Friday. I wonder what my academic publishers would say if I were to quote in my textbook Ronsard’s « la vermeillette fente » or Remy Belleau’s « un petit mont feutré de mousse délicate, tracé sur le milieu d’un filet escarlatte » and so forth. I shall probably have another breakdown if I stay any longer in this house, under the strain of this intolerable temptation, by the side of my darling — my darling — my life and my bride. » ( AL, p. 47) … »and I felt adolori d’amoureuse langueur, to quote dear old Ronsard, as I reached the cottage where I had left my Dolores. » (AL, 214) Cf. also Appel’s notes on p.359
            https://www.thenabokovian.org/sites/default/files/2018-01/NABOKV-L-0020916___body.html

  33. IAL a-t-il détecté du cul (éventuellement sublimé) chez Miyazaki ?

    Totoro a-t-il, oui ou non, défloré la princesse Mononoké ?

  34. Je disais récemment que la double identité Flo-gerard avait quelque chose de singulier qui réclamait analyse.
    Voici donc la psychanalyse sauvage drôlatique de l’intéressé.e.

    Flo-gerard, au commencement était une pièce d’identité : deux prénoms ordinaires, neutres, in-signifiants. Car tout débute avec une dé-nomination. Il faut prendre ici le préfixe « dé » dans son sens annulant/annihilant, comme dans défaire ou déconstruire. Flo-gerard se dé-nomme ainsi et ainsi (se) dé-signe : refus de (se) nommer, refus de signer, refus d’apposer sa signature, refus de se dévoiler, de se mettre à nu.
    Mais l’Inconscient veille, et le choix des prénoms dit tout : de Flo à gerard, on passe des flots au jet rare, on passe de l’inondation à la sécheresse : thématique du tarissement, de l’assèchement. Evocation mal voilée de la ménopause, cela va de soi. La ménopause, signe objectif de l’avancée en âge et de l’imminence/immanence de la vieillesse. La peur des rides, la peur déride, comme jadis elle Derrida (avec le préfixe de « déconstructionnisme ») et comme elle « tradéridérera » encore longtemps le genre humain : la peur de la vieillesse et de la mort nous impose son chantage au méchant âge, nous fait chanter, nous conduit à tout tourner en dérision – et nous-mêmes avant tout – pour ne pas nous faire tourner au dérisoire. Mais de même que la marée basse met à jour les scories naguère charriées par la marée haute, le tarissement des secretions rend visibles les secrets, y compris les plus enfouis.

    Flo-gerard, telle qu’elle apparaît dans ce blog, est l’incarnation du syndrome de la trahison et du dévoilement. Quand un nouvel intervenant apparaît, Flo-gerard envisage aussitôt que ce nouveau soit en réalité le masque d’un ancien, et attend l’indice qui le trahira. Flo-gerard redoute en permanence d’être trompée – sur la marchandise. Flo-gerard remet en question la véracité, l’authenticité, la sincérité de l’identité d’autrui. Flo-gerard est en permanence dans le doute et la peur d’être trahie.

    Traditore/traduttore : la crainte de la trahison se traduit dans le langage. Le langage écrit. Pour Flo-gerard, la langue écrite est la traîtresse par excellence, le terrain mouvant où elle ne peut assurer ses arrières, où les certitudes se dérobent sous ses pas. Syndrome de la trahison, syndrome de l’abandon : la langue écrite – l’orthographe – laisse tomber Flo-gerard plus souvent qu’à son tour, Grevisse et Bescherelle lui font sa fête. Mais Flo-gerard est une femme puissante : elle transforme sa dé-fête en atout . Ortho ? Au diable les « ortho », lents ou pas. Ortho ? Non. Marcher droit ? Non. Flo-gerard mise tout, tous ses atouts, all-in, sur le non-conformisme. Flo-gerard est une « maverick ». Une franc-tireuse.

    Alors elle tire. Avec elle, l’ « ortho » fait place à son jardin secret, l’« horti ». Et avec elle, l’horti, c’est l’ortie. (Qui s’y frotte s’y pique. Elle semble parfois – métaphoriquement, bien sûr – équipée de ces ceintures de chasteté médiévales, hérissées de piques et de pointus totalement dissuasifs. Métaphoriquement. Je reviendrai sur le « méta », concept définissant ici)
    Elle tire sur les femmes, comme si elles étaient des rivales, traîtresses, félones (félones trop félines ? Jacques Tourneur à l’appui ?). Flo-gerard tire sur les intervenantes de ce blog, mais aussi sur celles qui se sont fait un nom – précisément en tant que femmes puissantes – dans le who’s who (who’s who, toujours cette recherche obsessionnelle des identités cryptées) : Flo-gerard tire en particulier sur les militantes médiatisées du néo-féminisme, pourtant a priori ses alliées. En analyse, ce genre de propos fait immédiatement écho à l’expression de la haine de soi.
    Elle tire sur les hommes. Les intervenants masculins de ce blog l’ont éprouvé. Mais elle dégaine de façon plus subreptice, moins frontale. Flo-gerard est sensible au charme des hommes qui savent faire preuve de finesse. Elle a plusieurs fois regretté le retrait de Pierre Driout. Si on lit bien ses propos, elle ne serait pas loin de succomber à un quelconque Matzneff si elle tombait entre ses mains. Ses mains fines, élégantes, soyeuses, féminines. Féminines. Ses mains manipulatrices. Manipulation. « Mani pulite », en italien, mains propres. Flo-gerard ne se remet qu’en main propre, sans intermédiaire, sans filtre.

    Mais chez les hommes, pour Flo-gerard sans filtre, le Traître Suprême auquel elle semble bien vouer un culte, c’est Brighelli. Elle dit n’aimer que son talent de plume. On sait à quoi renvoie la plume, de Brighelli et chez Brighelli (« Pour célébrer Hélène obstinément aimée/Je dégaine ma plume et t’inonde ici-bas », dans le pastiche brighellien de Ronsard. Tout est dit…). Hypothèse hardie: il n’est pas abusif d’envisager que Flo-gerard admire de Brighelli les œuvres d’art, pour n’avoir pas pu admirer son dard à l’oeuvre. Dans un moment d’expression libre sans filtre, Flo-gerard a lancé à Brighelli : « Vous n’avez pas eu mon cul ». Notons que hors-contexte, cette affirmation peut-être l’expression d’un regret aussi bien que d’une fierté farouche.

    Flo-gerard tire sur les femmes. Flo-gerard tire sur les hommes. Flo-gerard et le syndrome de la trahison. Flo-gerard « voudrait-elle un grand mal à la nature humaine ? Aurait-elle conçu pour elle une effroyable haine » ? Bon sang, mais c’est bien sûr ! Flo-Gerard, c’est le Misanthrope, c’est Alceste ! Et dans une relation inversée, à fronts renversés – à affronts renversés – Brighelli est la Célimène de Flo-gerard ! Flo-gerard reproche fréquemment à Brighelli ses trahisons et sa duplicité, comme Alceste à Célimène. Flo-gerard note avec amertume les relations de Brighelli avec les petit.e.s marquis.es avec qui il peut être en contact dans les cercles littéraires, médiatiques ou politiques, comme Alceste en fait le reproche à Célimène. Le drame d’Alceste, c’est que Célimène est une femme libre, qui a décidé de vivre en femme libre. Pour Alceste, Célimène ne peut être que celle qui scelle l’Hymen. Mais Célimène en a décidé autrement. Et Flo-gerard/Alceste est frappé d’impuissance.

    Pour en terminer, retour sur le concept définissant « méta ». Flo-gerard, c’est du méta. Méta, à côté. La femme d’à côté (après Jacques Tourneur, François Truffaut). Il y aurait matière à creuser la référence.
    – Certains intervenants traitent Flo-gerard de folle. L’analyste ne sait pas ce qu’est la folie, c’est pour lui un concept non-pertinent. Flo-gerard est loin d’être aliénée au sens le plus commun du terme, elle est dans une méta-rationalité. Une rationalité décalée. Son combat incessant avec l’orthographe en est le signe : elle se corrige toujours, mais avec décalage.
    – Méta, (presque) comme dans methadone. Psycho-trope. La methadone, substitut à l’héroïne. Quelle héroïne ? L’héroïne du Misanthrope, Célimène bien sûr. S’exprimer sur ce blog est de toute évidence la methadone de Flo-gerard . Un substitut.
    – Et enfin, métalepse. Si l’on veut bien considérer ce blog comme une fiction re-créée jour après jour par ses intervenants habituels, le personnage de Flo-gerard en franchit les frontières à intervalles réguliers. Comme Alceste menace de quitter Paris pour un lieu « où d’être homme d’honneur on ait la liberté », Flo-gerard annonce régulièrement, sa décision metaleptique de quitter le navire-blog. Mais elle y revient toujours, quitte à changer d’identité – mais pas d’âme : métempsychose. Elle n’est pas du tout aliénée, mais elle a en elle deux aliens, un Philinte et une Eliante, qui la persuadent d’y revenir.
    Métaphore, métempsychose, méthadone, métalepse : une authentique mise en tropes.
    La pièce d’identité de départ est devenue l’identité mise en pièce, et par le génial Molière, excusez du peu.

    Merci de votre attention.

    • « les œuvres d’art, pour n’avoir pas pu admirer son dard à l’oeuvre. »

      Joli !

      PS : Texte copié et précieusement gardé. Merci !

    • « Certains intervenants traitent Flo-gerard de folle »

      Sans oublier « con(n)asse »

      C’est selon

      • Mesquin dans sa prise de risque, petit matérialiste qui voue une adoration pour des profils talentueux et authentiques de bravoure pour être lui-même dans l’impossibilité de pouvoir en faire la démonstration autrement que sur un terrain de rugby ou sur ce fil. Gainsbourg en mikado ? Jamais ! Un petit planqué craignant la faim comme Serge les exécrait, de piètre envergure, fort de sa mathématique comme on en trouve des pelles dans la fonction publique.
        Insultez-moi autant qu’il vous en plaira. : )

          • Et si je vous dis que Driout ou Hervé sont bien mieux équipés que vous ne le serez jamais ?

            Si à la lecture de cette interrogation vous ressentez avoir la gerbe, c’est tout à fait normal.

          • On ignore si Prophète Mao s’attèlera à nous conter votre portrait, j’ose seulement espérer que si il cédait à cette tâche, il insiste sur ce trait qui est le votre en pourrissant systématiquement ces profils qui lui rappellent douloureusement qu’il aurait été bien incapable de prendre un seul risque. Une véritable petite bite.

  35. Ravi que ça vous ait amusée, ça n’était destiné qu’à ça.
    J’avoue m’être amusé à l’écrire.
    Écrire m’amuse.
    Écrire, ma muse.
    (On n’est jamais si bien servi que par soi-même…)

    • Vous avez saisi, en vous amusant, le fond de l’affaire, qui remonte à fort longtemps. Alors que je venais tout juste de découvrir ce blog, naïve et mal dégrossie, un Lormier, après moult échanges sur sa matière de prédilection, me dit pour conclure que je suis parfaite. Ce qualificatif n’avait pas lieu d’être, était déplacé pour conclure notre conversation. Ce « parfaite » m’interrogeait, me faisant pressentir une manoeuvre parce que Lormier se parlait à lui-même… ou plus exactement à un tiers silencieux témoin de l’échange. Et je pense l’avoir été.

      Rien n’est gratuit dans ce bas monde, vous le savez bien. Encore bravo pour votre expertise.

  36. « Même vos votes sont à l’image de votre ambition… »

    Même une pendule cassée…

  37. Cette brelle a le verbe leste pour insulter une femme (BingBing prend cher). Pourtant, on se souvient d’un Brighelli mettant en garde Hervé après qu’il AIT (LE GRAMMAIRIEN BEAUZE TE FAIT PIPI DESSUS, LORMIER) eu des propos peu glorieux au sujet de Josette, épouse de Dugong…

    (Tu vas finir par t’en manger une bonne, in real life, par une bonne femme entourée de vrais bonhommes face à laquelle tu acquiesceras la remontrance sans piper mot de peur d’aggraver ta sentence)

    • J’assume tout même de me faire traiter de folle. Il y a une époque où c’est Sansèv’ qui se faisait traiter de folle et je le pensais sincèrement sans savoir que j’étais déjà moi-même un jouet. Il va falloir aussi qu’ils assument.
      (Brighelli. J’ai encore ce portable intact sur lequel figure l’historique des appels…)

      • Postez donc des trucs intéressants au lieu de vous la jouer femme – minette plutôt – blessée.

        Que pensez-vous de la youpinocratie par exemple ?

        • Rhooo, arrêtez vos provoques, deux minutes. Vous posez le principe en connaissant parfaitement les réactions urticantes qu’il génère. Vous vous complaisez dans cette provoque et vous vous étonnez encore de votre mise au ban.
          Je n’ai rien d’autre dans ma besace que le discours de Villepin sur Europe 1 face à cette Apolline de la posture-on-me-l’a-dit-une-fois-j’y-ai-cru sur le conflit du proche orient. .

          • Il a vieilli (mieux que Brighelli – faut bien que je casse un peu d’ sucre !), et toujours bon dans la tirade, en mode ONU.
            Quant à l’Apolline, à peau-nulle, au bûcher !

        • Du haut de votre Tour, en vérité, z’y connaissez quoi aux femelles, Sergent ?
          Il se dit que pas mal de Youp… pourraient fuir et revenir ; sera(it)-ce suffisant pour vous changer un peu de spectacle dans le RER ?

          • « z’y connaissez quoi aux femelles »

            Les femmes, c’est un peu mon métier, voyez-vous…

            « sera(it)-ce suffisant pour vous changer un peu de spectacle dans le RER ? »

            C’est le malheur de la France ! Les youpins – et en particulier les youpins juifs (quoique pas exclusivement) – ont milité pendant quarante ans pour importer tout le tiers monde en France. Et s’ils commencent, bien tardivement, à se bouger le cul depuis dix ans, c’est uniquement parce qu’ils découvrent que ça commence à chauffer pour leur cul avec l’importation du conflit israélo-arabe en terre de France. Mais sans ça les mamadous dans le métro leur importeraient peu : ils prennent le taxi, comme l’a brillamment montré le père Clavreul, sergent chef ès youpinie.

        • (C’est pas mal de faire diversion sur Apolline. Elle aussi urticante dans ses minauderies nazes et calculées, le regard travaillé agressif en biais, la bouche en cul-de-poule dans l’espoir de faire apparaître un trait intelligent, tellement naze dans ses questions à-la-botte-de, aussi naze que la provo de Tournelle, c’est dire…)

      • « Jouets » : sans aucun doute…
        N’oubliez pas que, quoi qu’ils écrivent, envoient (n’est-ce-pas JPB ?!).
        Ils ont passé l’âge, de jouer de la sorte ; ils ne sont plus que vieux et décatis.
        Il leur reste la maîtrise (plus que ça même, l’agrégation !) des mots, pour notre plaisir, reconnaissons-le !

      • Je ne parle pas des Juifs, d’Israël ou d’ailleurs, je parle des youpins, de France.

        • Trouvez un autre vocable, bordel !
          Comment faut-il vous le faire comprendre que ce vocable fut utilisé par des corbeaux pour balancer des gens à la gestapo ?

          • Les chougneries façon Adorno, ça va bien cinq minutes. Les nazis parlaient allemand. Faut-il brûler Goethe ?

            Ceux qui veulent savoir sauront, et les idiots tonneront, comme d’habitude.

          • « Youpin » a existé avant les nazis et avant les années 30. C’est précisément dans ce sens originel que je l’utilise, celui des Arabes, celui de la triade antique.

            Ils n’auront pas ma haine… et ils n’auront pas nos mots ! Halte aux effets du nazisme sur le langage.

          • Bon, cela dit, comme je l’ai déjà dit, si vous avez quelque chose à proposer, dans ma lâcheté – parce que pour être dévot… –, je suis prêt à réfléchir à autre chose. Proposez-moi, il sort toujours quelque chose des f(êl)ées !

          • Le mot arabe de la triade antique signifie Juif.

            La suite du programme, je vous prie, non n’en sort pas… Faites un effort.

          • Henry Tournelle 2 novembre 2023 At 15h08
            Ils n’auront pas ma haine…

            Je vous relis sous toute les coutures et vous êtes en plein dedans…

          • « Le mot arabe de la triade antique signifie Juif. »

            Plus précisément : Juif par opposition aux Occidentaux (Romains et Grecs par exemple), qui forme un autre pôle. Le dernier, ce sont les chrétiens primitifs, dont la pensée woke n’est pas une pensée si infidèle.

        • Trouvez un autre vocable, bordel ! Comment faut-il vous le faire comprendre que ce vocable fut utilisé par des corbeaux pour balancer des gens à la gestapo ?

        • Henry Tournelle 2 novembre 2023 At 15h10
          Proposez-moi, il sort toujours quelque chose des f(êl)ées !

          Niet ! Vous vous débrouillez tout seul comme un grand sur ce coup. (Quoique… Si vraiment vous trouvez pas un qualificatif pour désigner une raclure de bidet, Bah, j’ai « un Dugong », c’est pas mal… )

          • Dugong est un boomer, pas un youpin ! C’est un autre type. Unique. Et non représenté dans l’Antiquité, à ma connaissance.

  38. Bien – il arrive enfin le temps – il était temps – où je devrais finir par comprendre ? Temps de « fermer ma bouche », « manque d’ancienneté »…
    Que le retour des anciens soit ?! Fort à parier que non ; et comme nous ne sommes ici, même pas une poignée,
    le Prophète, qui en sait long
    – iel qui révèle les vérités, au son desquelles on pourrait même supposer qu’iel serait agrégé.e. –
    a peut-être été prié.e. de s’adonner à un, semble-t-il, de ses passes temps favoris, tout autant que réussis –
    « joli », répondra(it) le taulier, l’homme des concessions, et qui aime passer… à confesse (ce qui en dit long sur ses « je ne mens jamais ! »).
    Temps que la paix revienne ? Que nenni ; on tourne la page ; on passe d’une scène à l’autre ; mais ce n’est pas pour de vrai ; ce n’est qu’un jeu (parfois violent),
    et qui change de la vraie vie, là où les lancers de balles (même à coup de sarcasmes) peuvent faire très mal, mettre à (et même sous) terre.
    Alors, autant continuer, et profiter de ces joutes, gratuites (sauf, bien sûr quand l’IAL y met du sien).

  39. Un tapis de mousse dans un sous-bois peut être assez confortable;il est assez étonnant que les touffes de poils autour d’une chatte soeint assimilés à une mousse (dont la structure est bien différente.)

    Les Anglais et les Américains, quand ils argotisent, parlent de barbe à papa; du point de vue physico-chimique cela me paraît assz juste.

  40. La distinction entre « froth » (mousse légère) et « foam » (mousse moins légère n’est pas aisée; la mousse qui se forme à la surface d’un verre de bière,c’est plutôt « froth »…mais si c’est de la Guinness,e dirais plutôt foam.

    Le quidam qui ,au bar ,demande une ‘tite mousse rêve-t-il d’une chatte poilue ?

    • Tout comme la Tour, se disant spécialiste es femelles – sur ce blog donc, un psy et peut-être un gynéco, c’est du lourd ; mais un gynéco qui fuirait certains uks étrangers… il pourrait donc se le permettre, à la différence de Timsit qui disait ne pas pouvoir se passer de 25 % de son public,

      tout comme lui, donc, l’IA revient à ses anglicismes préférés ; sauf que « foam» et « froth » il me semble l’avoir déjà lu.

      Mais ne demandons pas la lune : peu de progrès sont attendus, côté IA ; veulent tous y mettre un frein, les chercheurs sachant chercher ; juré, craché ! Et ce d’autant qu’ils vont créer un « groupe d’experts inspiré du GIEC ».
      On n’a donc pas fini de rigoler.

      https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/les-usa-la-chine-l-ue-et-une-vingtaine-d-autres-pays-signent-une-declaration

  41. « …il est assez étonnant que les touffes de poils autour d’une chatte soeint assimilés à une mousse… »

    chatte poilue, mousse à la pistache, il y a pourtant un lien.
    Oui…

  42. WTH 2 novembre 2023 At 15h49
    « foam» et « froth » il me semble l’avoir déjà lu.

    Qu’avez-vous retenu ?

  43. gérard (à Dugong)
    2 novembre 2023 At 12h47
    On ignore si Prophète Mao s’attèlera à nous conter votre portrait

    Les sémanalyses de Prophète Mao sont la meilleure chose qui soit arrivée sur ce blog depuis très longtemps.
    Une psychanalyse sauvage de Dugong, même pour rire ? On souhaite bien du courage à Prophète Mao : Dugong ne dit jamais rien, rien qui vaille, il verrouille tout, refermé comme une huître. Rien à en tirer, même pour un psy professionnel aguerri.

    • Une posture de gros bras dans le virtuel, physio de BDÂ filtrant les entrées et les sorties qui, dans sa stricte véracité, ne dépasse celle d’Apolline de M. dans le réel. Abuse d’une stature « meilleur pote du maestro » pour dissuader les attaques frontales ou les sémanalyses, mais également comme méthode sournoise pour se procurer les quelques bénéfices du vedettariat de Brighelli. « Ch’ui le pote à Jean-Paul » fonctionne aussi bien que « tu veux être mannequin, ch’ui photographe » dans sa tronche de petit joueur…. Après une petite bite reste une petite bite toute sa vie, entendons-nous.
      Si toutefois Prophète Mao se décidait à le choisir pour cet exercice, souhaitons seulement qu’il ne verse pas dans la flagornerie qui sied à la groupie novice de bdâ (ce que je fus! je l’admets volontiers ) au risque de me voir apporter les éléments manquants en n’y allant pas avec le dos de la cuillère.

      • Il n’est pas seulement avare c’est aussi et surtout Dugong-la-gratte comme toute flipette qu’il est, et qui se respecte…

    • Vous êtes féroce, PMF-M : j’ai pourtant souvent donné qques titres dignes d’intérêt ; quid d’Eric Branca, par ex. ?
      Dans le prolongement, quant aux méfaits de l’Amérique-que, je vous conseille « L’Amérique empire » (N. Mirkovic) ; depuis « la conquête sur les Indiens », rien ne lui a échappé ; vraiment rien, et il s’appuie sur de nombreuses « sources * ».

      * Mais peut-on faire confiance même aux « documents déclassifiés »… de la CIA ? Allez-savoir !

  44. La pauv’ chatte, prostatique et ménopausée, a parlé pour montrer qu’elle est très loin de la réalité. S’aperçoit-elle que, ce faisant, elle dévoile ses propres turpitudes.

    • Elle dévoile ? Allons, vous connaissez toutes mes turpitudes, sous tous leurs angles.

      En premier lieu, je suis beaucoup plus folle que vous, Tournelle a raison… J’admets que vous ne l’ayez pas envisagé. Dans l’mur, on va aller. Ensemble !

  45. Toujours aucune nouvelle de Maurice et Virginie ? Et toujours personne pour s’en plaindre ? C’était si merdique ? Lormier ? WTH ? Dugong ?

    • Je ne trouve pas le Prophète très drôle (désolé, on ne peut pas plaire à tout le monde…) mais au moins il a le bon goût de déchaîner les foules !

      • Z’êtes jaloux, c’est tout ! Et si ça s’trouve, le Prophète est une femelle, pas youp’ et même peut-être encore jeune.
        Tant pis pour vous, la Tour !

        • Jaloux ? Peut-être. En tout cas je ne le trouve pas assez « rentre dedans » pour me complaire tout à fait. Mais les goûts…

  46. Henry Tournelle 2 novembre 2023 At 16h43
    Dugong est un boomer, pas un youpin ! C’est un autre type. Unique. Et non représenté dans l’Antiquité, à ma connaissance.

    Cette façon de pardonner l’impardonnable (vote Touf’) laisse penser que 1) vous êtes un peu pédé. Ce « Unique » laisse penser que 2) vous êtes foncièrement passif tendance buccale que l’on qualifierait de « très très gentil ».

    • 1) Dugong, me semble-t-il, n’a jamais voté Touf’.

      2) En quoi Dugong serait-il youpin et en quoi ne serait-il pas boomer (ce qui n’est pas tout à fait un compliment dans ma bouche) ?

      3) « Unique » est légèrement – mais très, très légèrement – ironique.

      4) Amène ta sœur, on verra si je suis un pède.

      • @ Dugong
        « 1) Dugong, me semble-t-il, n’a jamais voté Touf’. »

        Alors là, moi je dis : bravo Papy! (Mais pourquoi Driout n’est plus là !)

        Même s’il est un peu pédé, le gonze le croit mordicus. Il est con-vain-khul (pour vous Prophète)

        • Pourquoi faudrait-il ne pas le croire ? Il a suffisamment avoué cette sympathie honteuse pour ne pas avoir de pudeur à l’endroit de son vote.

          • Pourquoi faudrait-il ne pas le croire ?

            Parce qu’il s’en est vanté pour le premier quinquennat, la bonne blague ! Récidivant pour le second mandat sur sa position toufriquétiste au second tour, craignant la victoire de la caissière. Et que JAMAIS, JAMAIS la caissière serait au château. Noir sur blanc.
            Parce qu’un boomer vote Touf’, on vous a pourtant suffisamment entendu les railler, il me semble. Vous n’avez plus de mémoire ?

            Parce que, comme Brighelli, il ne ment jamais…

          • « Parce qu’un boomer vote Touf’, on vous a pourtant suffisamment entendu les railler, il me semble. Vous n’avez plus de mémoire ? »

            C’est bien ce que je dis depuis le début : Dugong est un boomer… mais n’est pas la quintessence du type. Il appartient au genre sans en être l’absolu représentant : même pas le courage de voter directement pour Touf’ !

  47. Pourquoi le Maestro pastiche-t-il Ronsard,le Ronsard des Sonnets à Hélène ? Pour approcher ce mystère:l’amour sans récompense, l’amour dont la belle ne veut pas,n’a que faire ?

    (L’écrivain s’intéresse aux situations qu’il n’a pas connues et qui lui sont inconcevables.)

  48. Dans le magasi de porcelaine,lourdement se meut l’éléphant

    Le serpent se dérobe et crache vers la nue
    Le venin d’encre pâle au gouffre refusé.

    Lente, d’un ongle las, elle cueille la prose
    Jetée au marbre blanc de son sein haletant,
    Et goûte au Verbe amer qui chante toute chose

    Alors,le serpent=la bite;l’encre pâle=le foure=l’encre=le verbe=la prose

    il a éjaculé vers le haut,c’est retombé sur les nibards et elle recueille un échantillon qu’elle goüte:c’est amer.

    • L’IAL fait vraiment preuve d’un « esprit » analytique hors du commun !
      Si les chercheurs sachant chercher décident de « réguler », il nous restera Lormier ; une fois de plus, merci à BdÄ !

  49. Sincèrement, Flo, vous n’avez jamais pensé à consulter de votre vie ? Je vous le dis en admirateur.

    • Et vous ?
      Je suis isolée sur ce blog parce que je suis en guerre (pas contre tous) mais il y a une raison.
      Mais vous ? Pourquoi, à l’exception de WTH, personne ne vous parle ?

    • Vous vous attendiez à quoi, Henry ? Avec elle, c’est toujours : « Toi-même, céçuikidikilé ! »

      J’aurais pu vous prévenir en faisant une HYPOPHORE à ce sujet mais vous avez argué que ce n’était pas un argument.

      • Ce message me fait croire que mon modeste passage sur terre n’a peut-être pas été totalement inutile. Merci pour ce petit plaisir de bon matin, mon cher Mendax ! 😊

        • Henry, mon cher Henry, le moment semble opportun pour lui posiez votre question habituelle, laissée sans réponse :

          Henry Tournelle 2 novembre 2023 At 14h09
          Que pensez-vous de la youpinocratie par exemple, Mendax ?

          • C’est-à-dire que ne partant point continuellement dans des délires de bonne femme blessée, Mendax n’a point besoin d’être stimulé pour produire des interventions intéressantes.

          • Serait-ce le Tournelle à la jolie bouche qui pointerait son nez ? Mais oui, c’est bien ça.

            On ne sait lequel des deux se vautre le plus dans cette compromission d’une nature tout à fait pornographique, nauséeuse à souhait, j’avoue en restée coi. 🤣🤣🤣

        • Dites-vous que vous pouvez la poser en toute confiance, Mendax le pro ukrainien ne se froisse pas sur ce genre de considérations. Point d’HYPOPHORE mais la bonne vieille technique de l’inversion accusatoire selon laquelle les Russes seraient les nazis. Si si.

        • Bon, il faut comme même que vous soyez averti, Tourenlle. Kissinger disait  » Il ne faut pas être l’ennemi des USA… Et encore moins son ami ». CQFD

          • (Ce n’est pas le fait d’un AVC, mais celui d’être pétée de rire. Pardon à tous pour ces impairs. Je me corrigerai une autre fois)

      • Ça, ce n’est pas la figure de style de tout le monde — même si c’est la préférée de Sarko.

      • (Un Tournelle au bord des larmes, plein de gratitude envers Mendax qui deigne lui donner l’heure ! L’espoir d’une amitié américano-russe. Mais que c’est beau. Ce blog est définitivement plus dingue que je ne le suis)

  50. Dugong 2 novembre 2023 At 15h36
    Ouaf ! Même pas foutue de menacer en français correct…

    Y’a pas d’ règle pour menacer un p’tit service trois pièces modèle dinette…

    Hè, vas donc, Patate !

    • « p’tit service trois pièces modèle dinette » :
      Voilà ! ça c’est du super Gérard ! On se rentre dans l’lard, abraracourcix ; n’empêche que parfois on lui jouerait bien d’la lyre…

      • … Sans oublier un autre presque Agecanonix qui a très récemment écrit :
        « Rappelez-vous, dans Astérix en Hispanie : « Chaque année les Ibères deviennent plus rudes… » Nous étions écroulés… »
        Eh oui !…

  51. « L’énigme dévoilée des marbres de Paros, »

    De quelle énigme s’agit-il ? Seul le marbre de Paros peut imiter la blancheurd’une peau féminine. Alors,l’énigme de Paros c’est peut-^tre l’énigme qu’est la femme tout entière.

    (voir Théophile Gautier Le Poème de la Femme (Marbre de Paros) )

  52. La flole veut croire que j’ai déjà voté Touf’. C’est une forme de dépit a priori, dû essentiellement à une absence de graissage trop prolongée pour qu’existe une solution simple à ses pathologies multiples et intriquées.

    Le CEA lui-même se déclare incompétent.

    Elle se fatiguera. C’est écrit.

    • Litanie matinale indigeste et flanquée d’une faute (les pilules contre l’AVC Papy, allez hop ! on se bouge fissa) qui ferait pleurer JP Petit, son aîné de 15 ans, en faisant le constat.

      • On vous souhaite de ne jamais vous trouver en rupture de stock pour d’éventuels pilules que vous auriez à prendre. On ne vous souhaite ni AVC, ni cancer…
        Dites vous que les JP Petit, les plus de 80 ans, se font rares ; de + en + d’avis d’obsèques autour des 50 ans ; on en parle très peu… mais la résistance au temps qui passe (la « résilience » comme ils osent dire), se fait de + en + difficile.
        Etonnant non ? Sans compter les ceusseS en âge de procréer, qui grâce (!) au vax se tapent des myocardites.
        Ainsi, la Tour échappera, peut-être – on ne le lui souhaite certes pas – à l’horreur des pensions de retraite !

        • Aucune retenue sur la médications de Papy. Zéro ! Au temps de sa grande forme, il n’en avait aucune pour celle de Pierre, le rappelant sans cesse à sa sérologie et ses traitements. De l’empathie pour Papy ? Tss…

        • Sans compter aussi, ces (heureusement encore rares) très jeunes qui, en manque de « résilience » (?!), incapables de se battre, de faire face, ne voient plus d’autres solutions que… d’en finir.
          Comme tant de Grecs * (depuis dix ans) et comme tant d’Américains qui eux, se finissent à l’aide d’opioïdes et autres encore pire joyeusetés.

          * ça me rappelle ma soeur me racontant qu’ils avaient rencontré, il y a qques années, à Hambourg, un couple de Grecs et leurs gamins, ravis d’avoir pu fuir la Grèce et de s’être installés là. Ben voyons ! Quant on a du brouzouf, y’a toujours une solution !

    • « Elle se fatiguera. C’est écrit. »

      Je ne crois pas, non… Je me marre trop depuis ce matin.

      🤣🤣🤣🤣🤣

      • Z’en avez de la chance de pouvoir vous amuser à guerroyer !
        Ma sœur a reçu la « prise en charge de soins palliatifs » pour son bonhomme (at home) ; accrochez-vous pour la suite, parce que c’est ce qui nous attend, et même en pire, dans un avenir très proche ; je m’explique :
        1) à la pharmaga, elle entend pas mal de « c’est en rupture de stock » ; pour le 2ème médoc demandé, sur l’ordonnance, après un tapotage frénétique sur ordi, on lui annonce « on peut le trouver, mais ça va coûter 400 euros » ; la bataille a déjà commencé …
        2) L’oncologue trouve que son bonhomme n’ « est pas assez conscient de son état » * – traduction d’une lettre en allemand ( ! – ils sont au Luxembourg) envoyée à la responsable des soins palliatifs dont ma sœur a eu connaissance !
        On en est là, camarades : pousser à l’euthanasie, au dit suicide assisté… en attendant « la » loi.
        Une bonne mesure, pour en finir avec la surpopulation (des gueux), un « risque » souligné depuis des années par la bande à Rockefeller, tout en disant que nous ne faisons pas assez d’enfants…
        Je n’ai plus tant de force, du moins bien loin de celle que j’avais, mais je crois que je vais finir… les armes à la main.

        * il a encore, par moment, la force de lire ; après « Les trois mousquetaires », il est dans « Le conte de Monte-Cristo »

        • Désolée pour votre beau frère qui ne doit hélas pas être le seul dans cette situation. Oui, le  » c’est en rupture de stock » est un classique en pharmacie à présent.
          400 euros pour une alternative ? Un système de santé officieux d’outre-Atlantique qui s’inocule à petites doses dans les habitudes, jusqu’au jour où l’allergie aura laissé place à l’acceptation complète sous forme de normalisation d’une couverture privée, comme si elle avait toujours été là. .

          Ils le paieront un jour, très chèrement.

          • NON, c’est NOUS qui en ferons les frais (!) Gérard ; ne vous faites aucune illusion !
            QUI POURRA SE PAYER une couverture privée ? C’est bien pour cela qu’aux EU ils crèvent plus et plus vite.

            Les « méchants » ne sont pas qu’aux EU (si seulement !). Ils sont aussi…
            en Chine, là où, comme par hasard, le virus a pris forme (et pas celle du pangolin),
            et où Xi est le roi en matière de CONTRÔLE SOCIAL, lequel s’appliquera, forcément (!) à toute la planète.
            Je répète, ne vous faites aucune illusion !
            Ils oeuvrent de concert, même si ça passe par de violentes oppositions (ou pseudo), des guerres (Ru-Ukr, Moyen-Orient, mer de Chine, etc…) !
            Du moment qu’ils tuent, qu’ils vendent leurs armes, et qu’ils fassent du business…

            Le contrôle social ce sera, de la naissance à la mort (programméeS), en passant par… l’Ecole, et… l’esclavage, comme ça l’a presque toujours été… (boulot ou « revenu universel »°.

            Ce n’est pas « le peuple », en état de moindre résistance (résilience !) qui serait capables de faire grand chose.
            D’autant que tout est fait pour nous monter les uns contre les autres (et ça marche, très bien même),

            et que,
            les réseaux sociaux… bouh c’est mal, qu’ils disent, mais « en même temps », vaut mieux crier sa colère de la sorte, que dans la rue…

            Sont très forts, vous dis-je, et je crains que nous ne fassions jamais le poids…

          • Où avez-vous lu que nous n’en paierons pas les frais ?
            Tout doux, WTH.
            La trois quart de ma famille n’est plus de ce monde, je n’ai plus rien à apprendre du deuil et de leurs turpitudes, ce qui me pousse d’autant à compatir avec vous.
            Je suis encore désolée que ma bonne humeur vous emmerde, mais je ne vais pas, et nous n’allons pas TOUS s’arrêter de vivre, de rire au motif que vous seriez dans un autre état dont aucun ici n’est responsable. Non ?

  53. Et oui, Gérard, « il n’est pas le seul » ! ils sont des centaines de millions !
    Tout comme … un sirénien et un « Pierre ».

    • Ils sont beaucoup (heureusement) moins nombreux à déjà s’écharper pour… 2027 ; mais, en accord avec PY Rougeyron, qui voit la fine (?!) manoeuvre « en marche » de la part de mon Ange Gab (et de ses pol potes), on peut très bien imaginer ce dernier sur la liste ; d’autant qu’il approchera de la quarantaine…

  54. Henry Tournelle, à propos de votre serviteur :
    2 novembre 2023 At 20h18
    (…) je ne le trouve pas assez « rentre dedans » pour me complaire tout à fait.

    Ce reproche est pour moi dénué de sens, et de portée.
    Quand je me livre à mes « psychanalyses sauvages plus ou moins drôlatiques », il n’y a de ma part aucun désir d’agresser, de polémiquer, de « rentrer dedans » quiconque.
    Je ne revendique aucun esprit de sérieux dans ces « petits pâtés ». Il peut arriver que ça ne soit pas drôle du tout, et pourtant mes maîtres sont Raymond Devos et surtout Stéphane De Groodt. Si de temps en temps mes astuces langagières provoquent ne serait-ce qu’un petit sourire, je m’en satisfais volontiers.
    Bien évidemment, je connais un peu Freud et Lacan. Il se peut donc qu’à l’occasion, mes élucubrations recouvrent (pour finalement les mettre à jour !) des vérités inédites. Si c’est le cas et quand c’est le cas, c’est que la voix de l’Inconscient aura été plus forte que tout et aura couvert tout le reste.

    • Et v’là que le Proph’ (Prof’) s’la pète : « je connais un peu Freud et Lacan ». En voilà un qu’il est drôle ! Et d’ailleurs avoir pour maître Devos, c’est un signe (des dieux). Ah les Belges…

    • Voilà. C’est la différence entre l’humour et l’esprit. Je préfère le second mais conçois très bien qu’on puit ne jurer que pas le premier.

  55. « n’allons pas TOUS s’arrêter de vivre, de rire au motif que vous seriez dans un autre état dont aucun ici n’est responsable ».
    ??
    Vous ne COMPRENEZ donc rien ! Je ne parle pas de mon petit cas familial et des qques peaux de z’ qui subsistent ici !

    JE VOUS PARLE DU MONDE DANS LEQUEL NOUS VIVONS !
    Désolée, pour une fois, de ne pas faire d’humour, mais ça reviendra !

    Il me semble que vous-même avez fait preuve de bcp de « sérieux » à propos du vax et de la guerre à l’Est !

    D’ailleurs vous n’êtes qu’extrêmement rarement drôle ; à part vos fixettes sur le sirénien, qui ont fait long feu…
    Oui je sais, konnasse et toussa ; M’EN FOUS !

    Réfléchissez un peu à L’INTERÊT que représentent les réseaux sociaux ; ils permettent AUSSI un parfait contrôle social, de monter les gens les uns contre les autres, de laisser les rues vides (!)…
    A tout outil son bon et son mauvais côté !

    • Oui, bof, bon, bah si vous voulez… Non, je ne me fritte pas avec vous, aujourd’hui.
      Ce sera pour une autre fois, hein. Voilà.

      Une tempête sévère a ravagé mon jardin, je pars de ce pas foutimasser en vous recommandant la très très chouette dernière chronique de JPB qui comme chacun le sait n’a pas que des défauts
      Désolée, je n’arrive pas à vous détester, WTH… Vraiment désolée.

      • Comme a dit une fois le sirénien, « lisez, lisez et lisez » et essayez de réfléchir et de comprendre.
        Si vous en êtes capable ! That is the question !

        • Et « se fritter » sur un blog ça n’a rien à voir avec « se friter », pour de bon, en face à face, en COMMUN, dans la rue, ou ailleurs !
          C’est ça la REALITE, Gérard, et elle nous échappe, petit à petit…

        • WTH 3 novembre 2023 At 14h55
          Comme a dit une fois le sirénien, « lisez, lisez et lisez » et essayez de réfléchir et de comprendre.

          Je ne suis qu’une pauvre femme sous une influencE, vous savez.
          Comment ferais-je sans vous ?
          (Une autre tempête se prépare, ça souffle déjà : ça va friTTer !)

  56. WTH
    3 novembre 2023 At 14h53
    Et v’là que le Proph’ (Prof’) s’la pète : « je connais un peu Freud et Lacan ».

    Un champion cycliste se fait fort d’avaler les cols les plus pentus, les plus raides des côtes.
    Mais moi, dérailleur railleur totalement inconscient qui ne connaît que l’eau plate, je rame pour avaler les pentes les plus rudes, les côtes Devos. Et à l’instar de Bernadette Soubirous dans sa grotte lourdaise/lourdingue, j’espère toujours un miracle De Groodt.
    A force, on pourrait croire que je vais finir par me péter une durite.
    Mais au bout du conte, sachez-le, je ne me la pète jamais.

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