Martin Elliott, Fiona Walker, 1976

Une rumeur de sieste flottait sur Monticello. Quelques derniers convives, écrasés de chaleur au sortir du restaurant qui donne sur la place et le jeu de boules, désert à une heure aussi peu humaine, se hâtaient vers les chambres où ils pourraient suer tout à leur aise le blanc d’Orenga de Gaffory, le rosé de Fiumicicoli ou le rouge d’Alzipratu. Il y eut deux ou trois départs de voitures, puis un silence que les cigales rendaient palpables.
Vous traversez la place et prenez, à droite de l’église, le chemin montant qui mène à Saint-François. Tout au long, les oliviers et les chênes verts font une ombre plus chaude encore que le plein soleil.
Arrivé à la chapelle, vous tournez à droite, vers les tennis.

Pensiez-vous la trouver là ? Jupette blanche de rigueur. Tee-shirt bleu ciel. La raquette est appuyée au grillage. Elle est assise à terre, le visage tourné vers le soleil, les yeux fermés. Elle a la lèvre supérieure emperlée de sueur.
Vous êtes déjà tout près d’elle quand elle ouvre les yeux. Vous hésitez un instant entre « Tu bronzes ? » et une formulation encore plus originale, « Fait chaud, hein ? » Alors :
– On t’a posé un lapin ?
– Je commence à en avoir l’impression. » Elle ouvre les yeux, lui sourit vaguement. « Je lui ai donné plus d’un quart d’heure de grâce, ça suffit comme ça. » Et elle ne bouge pas.
– Tu restes ici ?
– Non…
Et elle ne bouge pas. Vous lui tendez la main, elle la prend et se relève en souplesse.
– Allez, viens prendre un bol de poussière sur le chemin. On papotera.

Ne pas en conclure précipitamment qu’il vous suffit de passer pour lever toutes les filles. Depuis presque trois semaines que vous êtes là, vous avez eu tous deux mainte occasion de vous croiser, d’échanger quelques mots, et des regards qui se veulent strictement amicaux mais où brille, feutrée, filtrée, cette lueur particulière à laquelle on se reconnaît, de loup à louve. Quelques mots échangés, bonjour-bonsoir chez l’épicier, fort convenables. Mais si les trajectoires de vos regards étaient matérialisées, elles dessineraient au milieu du village, et d’une fenêtre à l’autre aussi, un réseau si serré que l’on y verrait s’y dessiner le désir. Elle a bien fait, vraiment, de choisir la Corse, cette année.

Juste au-dessus des tennis ont été construites quelques belles maisons, de vedettes ivrognes et d’étrangers aimables. L’une d’entre elles a un vrai gazon, épais et incongru en ces climats de maquis sec, un rêve de troupeaux, miracle des arrosages perfectionnés, sous les ombrages entrelacés.
– Mais qu’est-ce que tu fais ? dit-elle, légèrement perplexe, en le voyant escalader la clôture de pierres sèches.
– Tu vois, je fais le mur. Non, mais il n’y a personne, ils sont repartis ce matin. Et c’est le seul endroit frais de Balagne. Tu viens ?
Derrière les arbustes, une vraie clairière, à l’abri du regard des passants. Vous vous asseyez sur l’herbe. Elle jette un regard autour d’elle, et s’installe, à deux mètres de là, sur une souche aussi sèche que celle sur laquelle, dans l’exercice de diction bien connu, le chasseur laisse sécher ses chaussettes…
– Je ne veux pas de traces d’herbes sur ma jupe, dit-elle.
– Enlève-la. » La voix plaisante, bien sûr, mais le regard est sérieux, sévère même.
– Je crois que tu ne serais pas sage… » Alors elle se relève et dégrafe la jupe qui glisse sur ses chevilles. Le slip est d’une dentelle un peu trop arachnéenne pour une joueuse de tennis.
Comme il arrive toujours quand on passe d’un soleil de plomb à un espace frais, tous deux transpirent bien plus maintenant que tout à l’heure.
Vous vous relevez aussi et vous lui faites face. Deux pas. Vous levez les mains à hauteur des seins, pincez les pointes à travers le tissu, une seconde, relâchez soudain comme si vous la repoussiez et dites d’une voix plus froide, plus dure :
– Enlève ça aussi.
Vous sentez bien, et depuis cinq minutes déjà, qu’elle n’est plus que désir d’obéissance. Il y avait cela aussi dans l’éloquence des regards : une provocation amusée et une promesse de servitude volontaire. Pas de servilité, mais un goût de la douleur et des larmes, et du spectacle de son propre corps.
Vous êtes très près d’elle à présent, et elle est complètement nue. Vous sentez dans ses cheveux retenus par un foulard une rumeur d’huile de coco parfumée à la fleur de tiaré qui évoque davantage Baudelaire ou Bornéo que Balagne.
Votre main remonte vers les seins lourds, qui ont un peu tendance à s’écarter l’un de l’autre. A nouveau vous en pincez les bouts, doucement d’abord, puis plus fort. Vous vous penchez vers elle, vous l’embrassez — une bouche fondante, acquise à toutes les caresses —, vous mordez les lèvres offertes, et revenez vers cette langue chaude et molle.
Vous vous écartez légèrement d’elle, et pensez un instant au contraste du corps nu, très bronzé, sauf au niveau du slip, et vous, tout habillé. Au fond, c’est à cette capacité à se regarder de l’extérieur que vous vous êtes reconnus sans doute.
Votre main descend vers le sexe brun où, épilation d’été oblige, ne subsistent que quelques poils, autour de la fente sombre. Il est comme la bouche – fonte et lave brûlantes. Vos doigts glissent sur le clitoris, écartent les cuisses, et vous en enfoncez dans le vagin trempé.
Elle a un geste vers votre pantalon tendu :
– Non, dites-vous.
Vous ressortez vos doigts du sexe ouvert, remontez la main vers le visage et, de votre index humide, parcourez les lèvres entrouvertes. Elle vous prend la main, et embrasse les doigts qui viennent de la fouiller, les lèche, les suce en vous regardant fixement.
– Tourne-toi, dites-vous.
Puis :
– Mets les mains derrière le dos.
Vous défaites le foulard qui retenait les cheveux, qui se répandent en tresses lourdes et noires, presque crêpues, sur les épaules satinées – une peau de brugnon, et la même chair ferme. Et vous attachez, bien serré, les mains aux ongles courts.
Vous êtes tout contre elle à présent. Vous l’embrassez dans le cou, vous grignotez la chair de fruit. La peau est un peu salée par la sueur, un peu sucrée par l’huile de coco. Et comme elle a certainement lu Baudelaire, vous mordez « les tresses lourdes et rebelles »…
Vous murmurez alors :
– Mets-toi à genoux. » Puis vous l’aidez à s’allonger au dessus de la souche morte, qui exhausse ses reins de trente bons centimètres. La peau, tendue, luit doucement, d’un éclat laiteux, sous les ombres immobiles. Vous ne voyez plus que ce cul offert dans une position qui induit une disproportion obscène, à cause de la perspective plongeante – le dos et la nuque se perdent, de l’autre côté, en courbes fuyantes, jusqu’aux cheveux répandus sur le sol.
Vous ôtez votre ceinture, et en caressez lentement les épaules, le dos et les fesses, ramenant le cuir à vous, puis l’insinuant entre les cuisses écartées, encore et encore. La fille a un frémissement qui devient un frisson quand la lourde boucle froide glisse entre les lèvres du sexe entrouvert.
– Choisis un chiffre entre dix et vingt…
Hésite-t-elle ?
– Quinze, murmure-t-elle.

Vous n’avez frappé que sur les fesses, mais un coup s’est un peu égaré sur la cuisse droite, où l’on peut lire l’arrondi de la ceinture sur la peau qui se boursoufle. Elle trouvera bien une explication la prochaine fois qu’elle ira à la plage – de toute façon, demain il n’y aura probablement presque plus rien. Peut-être un léger bleu là où s’est arrêté, à chaque fois, l’extrémité en biseau de la ceinture.
Elle n’a pas crié, sauf à la fin, quand sur les trois derniers coups votre main s’est faite plus lourde.
Elle est toujours couchée en travers du tronc d’arbre. Les jambes, qui s’étaient resserrées à chaque coup, se rouvrent doucement. Du visage on ne voit toujours que des cheveux.
Vous êtes assis à côté d’elle, et vous plongez votre main entière vers le sexe rose comme un bonbon sous les poils très noirs. Elle est encore plus mouillée que tout à l’heure.
Vous y enfoncez vos doigts — tous les doigts, sauf le pouce. Exploration. Domination. Possession. Vos doigts sortent du sexe qui bâille comme un kaki cassé, et plongent plus loin pour caresser le clitoris. A nouveau elle gémit – la caresse si précise lui arrache le même gémissement étouffé que lorsque vous la fouettiez. Vous revenez au sexe béant, y enfoncez à nouveau vos doigts, et, du pouce, vous forcez l’anus offert. Alors elle jouit. Son sexe et son cul se resserrent autour de vos doigts en spasmes rapides, peu à peu s’espaçant. A nouveau elle crie quand vous retire vos doigts. Et elle reprend son souffle tandis que vous effleurez de vos doigts humides les globes de chair striés de marques rougeâtres, réseau de signes illisibles mais parfaitement clairs.

Jean-Paul Brighelli

Lucien Clergue, 1968

415 commentaires

  1. « Ces billets sont une galerie de portraits de femmes « hors normes » ; ils nous font connaître mainte nuance du camaïeu féminin. »,
    disait Lormier…

    Changement de décor, mais encore retour aux années 70,
    avec possibilités illimités de scènes et d’actes reproduits à l’infini,
    toujours plus ou moins dans le même tempo.

    « hors normes » ; ça dépend ; *
    ici, des petites fesses de tenniswoman… à une bascule sur les fesses de Clergue (cf nude zebra, coquilles…).

    « Prenez le temps de relever les maximes dont ils sont émaillés; c’est d’une sagesse, d’une profondeur… »
    (disait Lormier) ; nous n’y manquerons pas…

    * L’héroïne aux « seins lourds » : une tenniswoman pas comme les autres, donc, et qui en plus aurait lu Baudelaire – on se rappelle aussi que le maestro a lu « Les derniers jours de Federer ».

    • Les ceintures compriment les bides.
      Les ceinturons avec coussins, c’est plus confortable.
      Oui…
      (deux)

  2. Mise en musique (France) –
    De « fais moi mal, Johnny » … à ah que coucou « les coups, ouais… »

  3. WTH 17 juin 2024 At 15h16
    « …
    disait Lormier… »

    En le citant,vous faites rougir le timide et modeste Lormier.

  4. « quand la lourde boucle froide glisse entre les lèvres du sexe entrouvert…

    là où s’est arrêté, à chaque fois, l’extrémité en biseau de la ceinture. »

    Il y a eu changement de côté.

  5. Ce qui intéresse le Maestro, c’est de faire jouir,plutôt que de jouir;c’était perceptible dans le précédent billet;ici c’est patent.

    Dire qu’il y en a qui le traitent d’égoïste !

  6. Butor se présentant à ses étudiants :
    « Je m’appelle Butor…
    Je sais… Au début, on rit… »

  7. Je suis stupéfait qu’ABC et Lormier n’aient pas encore parlé de tennis en pension…

  8. Pas de bol (suite)

    Les seins de l’asiate dans l’assiette.

    Le couteau c’est pour couper les pois chiches en tout petits morceaux ou pour escagasser les doudounes avec des coupures soigneusement incisées ?

    Les petites mains en arrière plan, esclavage sexuel ? mise sous enveloppe pour le rn ? Autre ?

    • Ils pourront toujours débiner des sites !
      Oui…
      (facile pour Gérard ou le lointain, accessible pour Lormier)

    • J’ai vu — mais j’ai vu aussi que les signatures manquaient… De Gauche, pédagos, mais pas téméraires.
      Et effectivement, c’est un sujet.

      • Se retrouver instit à Bléhu le Vicomte à 50 balais. Ce n’est pas pire que de ne pas avoir de Rolex…

      • S’il n’obéissent plus à leur hiérarchie, ces résistants obéiront-ils encore à la loi d’Ohm ?

      • Premiers signataires (d’après change.org) : David Afonso (perdir) Jean-Michel Ankri (perdir), Emmanuel Constant (perdir), Christelle Dinarque (perdir), Alain-Philippe Gauzi (perdir), Olivier Gil (perdir), Emmanuelle Goulard (IEN), Fabienne Lajaunie (perdir), Ingrid Pinchon (perdir), Jean-Charles Ringard (IG)…

    • Cyrano @ 7h35

      Des cadres de l4EN adeptes du pas de vague qui entrent en résistance?…Hum, hum…Comment dire que c’est assez peu crédible…Que ne sont-ils entrés en résistance contre les complices des assassins de leurs collègues et leurs thuriféraires?

  9. 41 cadres faisant seppuku sur les marches du Moloch, ça aurait de la gueule et ça réconcilierait avec la hiérarchie (dans la colle)

    • Site peu fiable.
      Lormier le sait et ne se laisse plus si facilement berner par les sites.
      Oui…
      (facile pour le lointain)

      • Lormier, je pense, aime être cerné(e) par des phallus…cerné(e) soit dans le sens d’entourer, d’encercler….soit sans le sens se réveillée cerné(e) après une trop longue nuitd’extase…

  10. Il y a un intervenant d’ici célèbre puisqu’il est dans les mots croisés du Monde de ce jour !

  11. – Mais qu’est-ce que tu fais ? dit-elle, légèrement perplexe, en le voyant escalader la clôture de pierres sèches.
    – Tu vois, je fais le mur… Tu viens ?
    … Vous vous asseyez sur l’herbe. Elle jette un regard autour d’elle, et s’installe, à deux mètres de là, sur une souche…
    ——————————————————————————————————-

    Elle aussi a escaladé le murde pierres sèches. Certes elle est sportive…ce mur a quelle hauteur ?
    Si les pierres sèches sont posées l’une sur l’autre en un assemblage savant,il exoste malgré tout un risque de faire s’écrouler le mur.

    En Angletterre on trouve des murets de pierres superposées qui séparent des prés;ces murtes sont là depuis mille ans;pas question de monter dessus;il faut trouver les petits « escaliers » qui permettent de les franchir.

  12. – Je ne veux pas de traces d’herbes sur ma jupe, dit-elle.
    – Enlève-la. »
    ——————————————————————————————————–
    Conseil pratique, logique.
    Et les traces d’herbe sur sa culotte,ça ne la dérange pas ?

  13. J’ai une question sérieuse pour les experts en relations SM, et j’en connais au moins un ici.

    Dans les couples établis (et j’insiste sur cette restriction) dont la sexualité est résolument orientée vers le sadomasochisme, existe-t-il en parallèle une sexualité plus classique ?
    Dans le même cas de figure, la tendresse, les caresses, les cajoleries ont-elles une place dans les relations physiques ?

    Je parle d’une tendance forte semblant se dégager et non pas de cas particuliers marginaux.

    Merci par avance de satisfaire ma curiosité.

      • Les herbes de Corse, ça tache moins que les herbes des montagnards des Vosges authentiques.
        C’est mieux , comme ça ?

  14. Muret de pierres sèches en Angleterre…photo proposée par la’associataion des constructeuurs de murs en pierre sèche…J’irais pas grimper là-dessus.

    Ces murs exigent de l’entretien,ils ont tendance à s’écrouler.

    https://www.dswa.org.uk/

  15. What we do
    Dry stone walls have been part of the landscape of the UK for thousands of years. The DSWA is the country’s only organisation dedicated to protecting this rich history.
    It is estimated that there are approximately 200,000 km of dry stone walls in the UK but only a small percentage of these are in good condition, with many in an advanced stage of decay and/or derelict.

    The DSWA is committed to raising awareness of the importance of our dry stone walls and their heritage to both the general public, land owners and the government. The Association, both nationally and through its network of local branches, runs numerous training courses throughout the year. This ensures the skills required to maintain and build new walls are passed down to the next generation of dry stone wallers.

    https://www.dswa.org.uk/about-us/

  16. THE DRY STONE WALLING ASSOCIATION ARE DELIGHTED TO HAVE PATRONAGE OF HIS MAJESTY, THE KING
    May 9, 2024

    We are delighted to report that His Majesty, The King has reaffirmed his patronage of The Dry Stone Walling Association, following a review of Royal patronages conducted after His Majesty’s accession to the throne.

    His Majesty became patron of the Dry Stone Walling Association in 2006 and since then, he has helped raise awareness and visibility of our heritage craft, that is so intrinsic to the iconic British landscape.

    Paul Clayton, Chair of The Dry Stone Walling Association says:

     “It is a great honour that His Majesty, The King has agreed to continue with his Patronage of The Dry Stone Walling Association.

    We are very grateful for his support, and the message it sends about the importance of conserving and restoring our precious dry stone walls.” 

    https://www.dswa.org.uk/the-dry-stone-walling-association-are-delighted-to-have-patronage-of-his-majesty-the-king/

  17. Importance des murs de pierre sèche dans le paysage anglais;présentation à la Chambre des Communes par Helen Jackson, député.

    Dry Stone Walls
    Volume 346: debated on Tuesday 14 March 2000
    MAR
    14
    2000

    The text on this page has been created from Hansard archive content, it may contain typographical errors.

    Helen Jackson
    (Sheffield, Hillsborough)

    This is the first time that I have had an Adjournment debate, and spoken in, the new Chamber at Westminster Hall. I am delighted to raise a subject dear to my heart. Thousands of people, including the Minister, share my love of the Pennine hills and other upland areas, where the landscape is traced with walls that climb up to the horizon, fringed with foxgloves in the spring and harebells in the summer.

    The walls vary hugely. Some are white in limestone areas, others are grey gritstone in the southern Pennines and others are blue slate. Depending on which side the wind blows, lichen and mosses cover them. They were built with great skill many years ago, to mark a boundary, to clear stones from the fields, or to shelter new-born lambs and livestock and keep livestock safe and within a field’s parameter. Some walls are very old—pre-Romano-British. As the Government acknowledge in their response to the report of the Select Committee on the Environment, Transport and the Regions, there is little data on exactly how old and dilapidated they are, but they are important. They are home not only to lichen, mosses and wild flowers, but to insects and many species of birds. Wrens and little owls nest in them. The centres of dry stone walls are very warm, so they are also home to hibernating reptiles. The great crested newt likes to spend the winter there. They are intersected by many other important stone features: big stone posts at gateways, step stiles, squeeze stiles and sheep creeps—an expression I did not know until I started to research the subject. I can enlighten hon. Members later if they are interested.
    For years, dry stone walls have been mapped. They are used on Ordnance Survey maps for guidance. They are an integral feature of the upland countryside, and are loved by local farmers as well as walkers, riders and the urban population of the north of England who, in the words of the song, may be wageslaves on Mondays, but are free men on Sundays. At present, dry stone walls have no statutory protection. They are disappearing and crumbling at an alarming rate.
    The House has been concerned about hedgerows for many years. A private Member’s Bill is proceeding, but we are waiting for firm proposals from the Government on how to respond. Of all traditional field boundaries, dry stone walls are especially vulnerable because they have a market value. There is a price on their heads, so to speak. The Countryside and Rights of Way Bill receives its Second Reading on Monday, but the Government have missed the opportunity to include a clause about field boundaries and possible protection for dry stone walls.
    The Countryside Commission survey of May 1995 showed that 50 per cent. of the 112,000 km of dry stone walls in the country are derelict or not stock-proofed. South Yorkshire has the fifth highest density of dry stone walls in the country: only 5.4 per cent. of its walls are classed A or B which means sound; 54 per cent. are classed C, which means semi-derelict and in need of restoration; and 44 per cent. are so derelict that they consist only of remnants.
    Dry stone walls crumble for many reasons, some of them perfectly natural. Rabbits burrow around and underneath them so that they collapse. They need Toggle showing location ofColumn 32WHconstant repair. Road works often damage dry stone walls along the highways. They are often demolished to improve access for farmers to fields or even woodlands and forests. Bodies that should know better, such as the Forestry Commission and Severn Trent Water, have demolished walls to gain access to woodlands. Stones are also taken by members of the public, who go along in cars on Sundays and think that putting a few stones in the boot to improve their gardens and rockeries will not do much harm.
    More worrying is the damage done when larger topping stones or copes are taken in a fairly systematic commercial way to garden centres, possibly all over the country, for their market value. Once a wall loses its heavy topping stone, deterioration is more rapid. They also crumble away, as farmers use other barriers such as electric fences or netting to keep livestock in. Most worryingly, in my area they are often simply sold—and that it why I have asked for this debate. One week a wall is there, the next week it has been taken away to be sold. The current cost of local stone is about £40 per tonne, and it is going up. That adds up to £6,200 for 100 m of stone wall. Hill farmers in my constituency have had a rough time over the BSE crisis and the general crisis in stock farming, and there is a huge temptation for them to sell off a wall to bridge a short-term crisis or financial problem.
    Farmers are also put under pressure by planning rules which, in areas such as mine to the north of Sheffield, increasingly and rightly insist that any rebuilding ought to be done in local stone. The frequent transformation of farm buildings into residential accommodation puts up demand for local stone, which puts up the price—the vicious circle that puts pressure on the farmers. The increasingly common transfer of agricultural property to residential or holiday home use often means that walls lose their purpose as stock boundaries, fall into disrepair and crumble, because the people living there are not keeping sheep or cattle. As the Environment, Transport and Regional Affairs Committee said in the excellent, thorough inquiry that it carried out two years ago, the situation is worrying.
    The answer is twofold—there should be incentives and disincentives. There must be not only an extension of the incentives to protect dry stone walls, but a clear disincentive, backed by legislation if possible, to prevent the removal of the whole or part of any dry stone wall without good reason. That is especially necessary in areas of outstanding natural beauty, conservation areas and national parks.
    The disincentives could include a requirement to get permission from a national park or a local authority, or consult a local conservation body. The Minister might consider that that work could come within the remit of the local access forums, when they are established. I am not calling for a rigid ban on the removal of the whole or part of any stone wall; such removals are part of the evolutionary process in the countryside. However, the key phrase in the new legislation, which is central to the Government’s policy, is « good countryside management ». The laissez-faire attitude cannot continue.
    Moves by the Ministry of Agriculture, Fisheries and Food to put countryside management and stewardship schemes at the heart of its grant regime are to be wholeheartedly welcomed, as is the recent Toggle showing location ofColumn 33WHannouncement that the money going into the schemes will be increased. Local farmers in my constituency often talk to me through the NFU, the Dry Stone Walling Association and the Council for the Protection of Rural England. They say that, although they are committed to restoring and maintaining walls on their land, the countryside stewardship grant schemes insist on their being part of an integrated countryside management structure, while farmers are often looking for something simpler. They want to be able to say, « I want a programme of restoration for the walls on my land, which would take three or four years, and some grant aid would help me do the work over one or two years. » The proposal is supported by the Council for the Protection of Rural England and the Dry Stone Walling Association and was included in their briefings on the Countryside Bill and their response to the Select Committee’s report. I understand that the Yorkshire dales, which I am sure the Minister knows well, runs a programme of countryside protection in which barns and walls are given extra European money. That category in the grant regime has stemmed the deterioration of the limestone walls and miles of walling have been renewed and restored. That is an example of how the grant regime can be improved.
    I am discussing not just walls, but the traditional skill of walling and the people with that skill. The inhabitants of Dungworth in my constituency always know that walling is taking place when they hear the beautiful baritone voice of a farmer called Hector, who sings hymns as he mends walls.
    In that context I pay tribute to the efforts of the Dry Stone Walling Association, which has pressed wallers’ arguments strongly. I agree with the officers of that association that it is not good enough to allow grant schemes to go forward without any check on whether the work is being done by skilled or expert wallers. If it is not, walls will continue to crumble, which would not be good value for money.
    As well as the wallers’ skills, voluntary conservation groups play a key role. In another part of my constituency a volunteer group goes out on Sunday mornings under the guidance of a trained wailer to tidy up and strengthen walls around woodland areas. The volunteers learn a skill, increase the community’s appreciation of the environment and improve the look of the woodlands and the strength of the walls.
    If the House is serious about looking after the countryside in our overcrowded islands, action is needed. The public will not forgive us if we simply watch in the hope that our country’s heritage remains. Without action, it will be too late. I urge the Minister to talk seriously to his colleagues. A major Bill is passing through the House with the protection of the countryside at its heart, and I support its principles. Today, I want to raise awareness of one small element of the countryside field boundaries, which are a crucial part of our upland countryside. The public and those who love the countryside would not forgive us if we missed this opportunity to prevent deterioration in dry stone walls, which will inevitably occur if we do not take steps to prevent it.

  18. Scores –
    « Coté tennis… » fera-t-il aussi bien que « … de maux et de pleurs… » 2 ?
    En l’absence de pugilat(s), vraisemblablement pas.
    Les deux agités du bocal semblent être aux abonnés absents – (dont celui qui a été jusqu’à donner son e-mail.) *
    IAL arrivera-t-il à meubler ?
    zat is the question…

    * Complètement à l’ouest ? Le maestro lui ne perd (jamais) le nord : sur « l’art pompier », il est passé d' »Abraxas » à « Soleil noir »…!

  19. cette lueur particulière à laquelle on se reconnaît, de loup à louve.

    loup/louve et pas enclume/marteau ?

    • Presque tout le monde avait compris, mais l’illustration est bienvenue pour les incultes et puis Lormier, c’est le monde de l’image.
      Oui…
      (facile pour le lointain, assez facile pour WTH)

  20. Elle a un geste vers votre pantalon tendu…
    ———————————————————————————————————-

    Elle a joué au tennis, en pension ?

  21. Les murs en pierres sèches, c’est un truc de bergers qui s’emmerdent (quand la pignole lasse et le projet de rédaction d’un précis d’enculation des brebis s’étire en longueur).

  22. Goldsworthy a lancé le land art à Vassivière et, peut-être, inspiré Muray dans « Après l’histoire » :
    Voir page 143, sa diatribe à propos de l’implantation de l’art dans les prairies (prièries ?) à vaches :

    « En Limousin, si on veut s’en sortir, il nous faut passer du cul des vaches à la modernité »

    http://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/9dece31235bdd10a13e8e2a469ddcb45.pdf

    Conserver un mur en pierres sèches est plus facile que de conserver une bouse fraîchement splatchée au sol…

    • Le Landart, est encore une invention – très petite invasion en vérité – américaine, et Goldsworthy, bien « indigne » d’une quelconque œuvre d’art.
      (Je me revois avec quelques élèves et leur prof histoire-de-l’art-, fascinés par ce landart – si loin de l’Art dans et de la Nature – et ricanant parce que j’avais fait erreur en prononçant Baquiast, au lieu de Basquiat – pas du « land » ni même du « art », que du coup de pinceau dans toute sa laideur -).

      On ne dira jamais assez l’intelligence de Ph. Muray… !
      Cet extrait a plus de 20 ans, et la « festivisation », « l’homo festus » sont toujours présents, même si nous sommes en guerre(s), que la dégradation générale s’est grandement accélérée et que les « rassemblements festifs » ne sont plus tout à fait les mêmes, voire même bien plus conflictuels (jusqu’au festival… de Réïm, Israël, le 7 octobre qui a très mal fini)

      Le « bougisme » demeure, et les « tribus » ont plus que jamais la cote.
      Les croisières du 31 décembre 1999 ont peut-être capoté, mais celles d’aujourd’hui ont le vent en poupe – même si, dans quelques endroits, certains locaux ne supportent plus, quand ils n’ont pas déjà fui (on a même vu quelques orques s’agacer ; pour ce qui est de la nouvelle folie des croisières en Antarctique, les manchots, pour le moment, restent paisibles).

      Le « parc touristique mondial » continue donc sur sa lancée ; les croisières autour du monde (d’au moins trois mois !) sont réservés deux ans à l’avance ;
      à l’opposé (de la croisière… au très long cours), s’est développé le tourisme-ouikind-, ou comment par ex, j’ai fait telle ville en même pas 48 h et (mais) ramené 200 photos !

      Et le touriste, ne sachant plus lire, ne peut même plus « aller en, pèlerinage rue de Belleville parce qu’il voulait connaître le quartier de Pennac » …
      « pélerinages séculiers », « rituels »… – idée chère à Muray ;
      Reste juste l’instinct grégaire ; une religion de bien piètres moutons.

      … Lesquels nous ramènent aux terres, et donc aux agriculteurs – La Voynet (qui, espérons-le, se prendra une belle avoinée) et qui racontait alors « ses démêlés avec les paysans du coin, les chasseurs, ses cons » !…

      … Ces agriculteurs, que l’on retrouve e 2023-24, en lutte…,
      car il est question, et même plus que jamais, de se « passer du cul des vaches » *, de passer de leurs culs  » à la modernité » ,
      et, évidemment, pas que dans le domaine des z’arts ! – bien que la Rachida ait lancé « le printemps de la ruralité » et le « design des territoires ».

      Il faut, à tout prix détruire les « survivants de l’ancien monde », « asservir », « dresser » les cerveaux » à « un monde qui change ».

      Depuis donc cet an 2000, « slogans tonitruants », comme « falsificateurs », ou « récupérateurs » – en mode (crétin) Mafesoli, déjà bon suiviste des modes, maintenant vieux prédicateur à noeud pap’ – s’évertuent à mener la danse, de désastres en désastres…

      *refrain : vive les vaches et vive les culs noirs !

      •  » j’ai fait telle ville en même pas 48 h et (mais) ramené 200 photos ! »

        Le cri du « touriste » performant qui performe avec sa tablette !

      • Merci Dugong de nous avoir passé cet article.
        Je me souviens, du coup, de la surprise mêlée de mépris de mes anciens collègues lorsque je leur disais que j’allais en vacances en Italie : « Encore ? Mais tu l’as déjà faite ! » Parce ces gens-là « font » la Thaïlande, le Mexique, et l’Indonésie.
        Et la même année des Italiens qui me disent : «  Ma lei non è una turista per niente ».
        Ce qui manque aussi à l’article de Muray est l’analyse du « complexe de la modernité » qu’ils ont fini par refiler à certains paysans. Et ça c’est franchement crade.
        Par ailleurs, si vous ne l’avez pas déjà lu, il y a un bouquin intéressant sur la manière dont le système agro-alimentaire tue certains paysans à petit feu, à lire absolument: « Silence dans les champs » Nicolas Legendre aux éditions Arthaud.

        • Merci !
          Terrifiant que ce mot « faire »…
          (petit polar, avec le gourmand commissaire Soneri – de Parme :
          . « un verre de Sburlon, vieille liqueur de Parme »
          . « sanglier ou chevreuil » ? Ils optèrent pour le sanglier, accompagné de pollenta » et de « gutturnio »
          . « nous avons des pansotti, des scrtafin et des testaroli de Pontremoli au pesto »
          . « les tortelli à la courge »
          . « le serveur apporta le siacchetra »
          .« Alceste apporta la soupière fumante d’anolini… Pas trop de bouillon, ou bien arrosés ?…Les deux aimaient les ensevelir sous une épaisse couche de grana »…

      • Des manchots qui attaqueraient un gros promène-couillons en Antarctique, ça aurait de la gueule…

  23. Dugong 19 juin 2024 At 7h35
    Les murs en pierres sèches, c’est un truc de bergers qui s’emmerdent (quand la pignole lasse et le projet de rédaction d’un précis d’enculation des brebis s’étire en longueur).
    —————————————————————————————————–
    En réponse aux sarcasmes nihilistes et ricanants de Dugong-qui-n’y-comprend-rien:

    BND1: Maintain dry stone walls
    What you must do to get paid for this action and advice on how to do it.

    From:
    Department for Environment, Food & Rural Affairs and Rural Payments Agency
    Published
    21 May 2024

    Action’s aim
    This action’s aim is that there are dry stone walls maintained in good condition.

    En réponse aux sarcasmes nihilistes de Dugong-qui-n’y-comprend-rien:
    The purpose of this is to:

    help manage livestock
    provide habitats for lichens, mosses, ferns and wildlife
    maintain landscape and historic features

    https://www.gov.uk/find-funding-for-land-or-farms/bnd1-maintain-dry-stone-walls

    • Quand je monte un mur en pierre, j’utilise de la chaux (éventuellement colorée). S’il y a des contraintes mécaniques, j’utilise un mélange chaux-ciment (Jusqu’à 25% de ciment).

      Rien de sarcastique là-dedans.

      Basta cosi !

      • C’est pas de la pierre sèche;en Angletrre ils font des murs de pirre sèche depuis 3000 ans.

        • En nangleterre, ils font ce qu’ils veulent depuis le brexit. Si leurs murs finissent par se casser la gueule, c’est leur problème.

          Et puis, ça occuperait les chômeurs et improductifs notoires.

      • Dugong 19 juin 2024 At 16h05
        Quand je monte un mur en pierre, j’utilise de la chaux (éventuellement colorée).

        Quelle tronche peut bien avoir sa colle ? Mystère (il fait peur parfois)

      • Dugong!!!

        Sans dékhonner chaux+ciment? Vous si cultivé?

        Pour le fils de maçon italien que je suis c’est le suprême anathème! Ceux qui mélangent chaux et ciment sont les pires créatures infernales que porte la terre. Moins que des pédophiles sidaïques ou que ces immondes créatures trans. Vous êtes la honte de ce blog!

  24. Ne pas en conclure précipitamment qu’il vous suffit de passer pour lever toutes les filles.
    ——————————————————————————————————-

    Ben ça c’est le délire des gens qui se prennent pour Brighelli.

  25. il n’y a personne, ils sont repartis ce matin. Et c’est le seul endroit frais de Balagne. Tu viens ?
    Derrière les arbustes, une vraie clairière, à l’abri du regard des passants.
    ——————————————————————————————————-
    Comme déjà remarqué,le Maestro est écologiste;un autre aurait emmené la meuf dans la chambre climatisée d’un hôtel; le Maestro chosit une clairière ombragée,fraîche naturellement.

    Deuxièmement, il recommancde à la meuf de retirer sa jupe,pour ne pas la salir-ce qui économisera l’eau et la lessive.

    D’ailleurs,pour des taches d’herbe,la lessive ne suffirait pas;il faudrait un détachant spécifique,chimique, polluant.

    https://www.dr-beckmann.fr/nos-produits/detail/herbe-et-cosmetiques/

  26. L’une d’entre elles a un vrai gazon, épais et incongru en ces climats de maquis sec, un rêve de troupeaux, miracle des arrosages perfectionnés, sous les ombrages entrelacés.
    ——————————————————————————————————–
    On peut percevoir une pointe critique dans cette description (arrosage perfectionné,certes,mais qui consomme beaucoup d’eau.)
    En tout cas, puique le gazon est là et les propriétaires absents, que ce gaspillage ne soit pas en pure perte:installons nous et baisons.

    NN l’entrelacs des ombrages préfigure peut-être celui des mebres…ou le remplace;

  27. Un écologiste (estampillé tel) peut-il enculer une meuf du même bord sans nuire à la biodiversité ?

    Je pose la question.

    • Ariane ma soeur, de quel amour blessée vous mourûtes au bord où vous fûtes laissée

  28. Votre main remonte vers les seins lourds, qui ont un peu tendance à s’écarter l’un de l’autre.
    ——————————————————————————————————-
    i) comment ça ? en position statique ? l’écart est présent en permanence ? c’est la configuration d’origine ? ou bien c’est le mouvement qui déplace les lignes ?
    ii) donc,a priori peu propice à la compression d’une bite? Il faudra forcer…

    Pour bien comprendre le concept:
    (contenu explicite)

    https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQDIbnXBEYeBtX5zLMZdb3Uno-KgzyjfgCIOQ&s

  29. Chemetov, roi du béton (pas ciré), auteurs de moult clapiers à prolos, vient de clamser.

    C’est bien comme ça. Il pourra, avec son pote Corbu, analyser le bien-être des gens obligés à vivre là-dedans. Si ces deux-là avaient calenché avant Jean Renaudie, ce dernier aurait pu construire plus d’immeubles un peu moins cons que les autres…

    https://www.caue-idf.fr/content/renaudie-gailhoustet-2024

    • Dugong,

      Combien est-on sur ce blog à savoir qui était Chemetov? En plus ce khon est mort entre Françoise Hardy et Anouk Aimée et en plein d’un pataquès électoral…Quel manque de savoir-vivre!
      Faut voir le dithyrambe de l’Huma…

       » Cet alliage de culture, de raffinement, d’humanisme a produit des plans de logements parmi les plus beaux, les plus innovants, les plus confortables, à Villejuif, à Pantin, à Saint-Ouen, à Bagnolet… »

      Les cocos faut les buter n’en déplaise au croate.

  30. (En conseil des sinistres, il est maintenant conseillé d’éviter l’expression « vous allez bien » ?
    Ce qui ne saurait empêcher Lormier de faire de la pub pour les chaises percées ?)

  31. « Manger tue » : revue (pas encore lue) de Front Populaire (celui de M. Onfray, ouaf) ;
    avec à peu près toujours les mêmes chroniqueurs –
    dont J. Sapir, et son agréable pondération, Frank Lanot et ses quelques titres en Littérature, en rapport avec le sujet,
    et, pour une fois… Périco Légasse !

  32. Est-ce que Jean-Pierre Petit mélangerai de la silice et du calcaire pour obtenir un mortier ékilé pas hermétique ékilé pas solide en même temps ?

    Je pose la question…

    • ékilé hermétique ! *

      (Vous avez le droit de ma vanner autant de fois qu’il vous plaira, Monsieur Papy, sur mes fautes; Votre fin de semaine risque d’être douloureuse)

  33. GG,

    Le mortier de JPP comme dans les pyramides électriques de Gimms?

    JPP est un naufrage, pourtant de belles études, mais taré complet.

  34. JPB était en direct sur CNews il y a qqes minutes et WTH ne nous l’a même pas signalé!

    • Je n’étais pas en grande forme — réveillé en sursaut pour être présent à l’antenne 10 mns plus tard…

      • Ach! Sonderbar ! Réveillé en sursaut ? Le Tarzan des partouzes, Musclor en personne, n’était pas à cette heure-là, la bave aux lèvres, les yeux exorbités, tous muscles tendus en train de fouetter avec acharnement, les fesses de sa chère et tendre qui, ça va de soi, en redemandait ?

      • Parfaitement clair, chez Clémence et sa Matinale,
        (à 1 :24 :26) –

        « La ‘communauté éducative’ », alors je vous le dis très franchement, j’emmerde la ‘communauté éducative’, j’ignore tout à fait ce que sont les communautés ;
        il y a un peuple français ;
        il y a une Education Nationale,
        et si demain il y avait des enseignants qui ne veulent pas enseigner l’orthographe et la grammaire, et bien ma foi ils ont toujours des places chez les flics… »

        « Faire classe c’est ‘l’enseignement de l’ignorance’…
        le ‘choc des savoirs’ : le mot ‘savoir’ les fait frémir d’angoisse, tellement ils en sont éloignés depuis des décennies… »

        …En attendant le « foutoir absolu »… !

  35. Ok, I’m just poking the bear… You know…

    Si vous revenez, Papy, j’efface tout !

  36. Dugong 19 juin 2024 At 17h06
    Jean Renaudie, ce dernier aurait pu construire plus d’immeubles un peu moins cons que les autres…

    Il a mis les porcs en parc ?

  37. WTH 20 juin 2024 At 11h58
    citant le Maestro:

    « La ‘communauté éducative’ », alors je vous le dis très franchement, j’emmerde la ‘communauté éducative’, j’ignore tout à fait ce que sont les communautés ;

    Le mari de Madame Mazeron, lui, n’emmerde pas la communauté éducative.

    « La communauté éducative s’est affrontée durement sur la question des méthodes de
    lecture. Cela a pu donner lieu à de l’idéologie, fondée sur des idées généreuses qui
    relevaient d’intuitions, de concepts, de considérations politiques parfois, mais
    rarement de la science.  »

    extrait de
    Séminaire national « 100% de réussite au CP » 22 juin 2017

    Discours de Christophe KERRERO
    directeur de cabinet du ministère de l’éducation

    https://cpd67.site.ac-strasbourg.fr/ed_prioritaire/wp-content/uploads/2017/06/Intervention-C-Kerrero.pdf

  38. Dugong 19 juin 2024 At 16h26
    En nangleterre, ils font ce qu’ils veulent depuis le brexit…
    ________________________________________________________________________

    Lormier vient de recevoir un message des Anglais-dont il juge utile de vous faire part:

    « Les Anglais emmerdent Dugong et lui suggèrent d’aller se faire foutre. »

  39. L’expression  » COMMUNAUTE EDUCATIVE » apparaît 25 fois dans « La Laïcité
    à l’École Vademecum », brochure de 148 pagesavec sur la première des citations des illustres Blanquer, N’Diaye,Attal.

    La laïcité interdit à quiconque de se prévaloir de ses croyances
    religieuses pour s’affranchir des règles communes régissant
    les relations entre collectivités publiques et particuliers. La loi
    démocratique prime les lois religieuses.
    À l’école, ces dispositions reposent sur la distinction ducet des croyances laissées
    à la liberté de chacun.

    Fiche 2. Mobiliser la COMMUNAUTE EDUCATIVE

    Le projet d’école ou d’établissement définit les objectifs généraux
    et les axes de développement du projet éducatif pour la réussite
    des élèves en fonction du contexte et du territoire. Il est élaboré
    avec les représentants de la COMMUNAUTE EDUCATIVE et adopté
    par le conseil d’école ou le conseil d’administration, sur proposition de l’équipe pédagogique de l’école ou du conseil pédagogique de l’établissement (article L. 401-1 du Code de l’éducation).
    ——————————————————————————————————-
    NB L’expression « savoir assuré par la COMMUNAUTE EDUCATIVE » est étrange mais on comprend quand même que le « savoir » enseigné à l’école n’est pas enseigné uniquement par les professeurs mais par l’ensemble de la COMMUNAUTE EDUCATIVE .

    Fiche 2. Mobiliser
    la communauté
    éducative
    Le projet d’école ou d’établissement définit les objectifs généraux
    et les axes de développement du projet éducatif pour la réussite
    des élèves en fonction du contexte et du territoire. Il est élaboré
    avec les représentants de la communauté éducative et adopté
    par le conseil d’école ou le conseil d’administration, sur proposition de l’équipe pédagogique de l’école ou du conseil pédagogique de l’établissement (article L. 401-1 du Code de l’éducation).

    • Une citation était tronquée:
      À l’école, ces dispositions reposent sur la distinction du savoir
      assuré par la COMMUNAUTE EDUCATIVE et des croyances laissées
      à la liberté de chacun.

  40. Jean-Paul Brighelli 16 juin 2024 At 17h37
    Longue discussion avec la proviseur d’H-IV samedi a-m.
    Affelnet, elle adore — et ça se passe très bien, me dit-elle.
    ——————————————————————————————————-

    Le Maestro était l’invité du couple Kerrero-à qui,moyennant redevance, certaines parties du Lycée Henri IV avaient été « prêtées ».
    Quand le lycée est ainsi mis à la disposition de personnes privées, en général le personnel et l’administration se font discrets,restent cachés dans leurs appartements.
    Mais là c’était différent:pas impossible que le proviseur se soit mêlée aux invités de l’ex-recteur,qu’elle connaït bien.

    Une question:en pareilles circonstances,quelles consignes sont données aux élèves internes ?
    Confinés dans les dortoirs ? Ou bien, autorisés à sortir et rentrer …mais la porte de service ?

    • Du tout — ils vaquaient à leurs occupations avec baucoup de discrétion : ces jeunes gens sont hébitués, et ils savent vivre.

      • C’est ça l’éducation bougeoise,chez les privilégiés du 5ième;même chose, que vous aviez observée à Stanislas,dans le 6ième.

        • Le « savoir vivre » … comme chacun sait n’a plus le droit de cité(s) !
          Il faudrait donc (à défaut d’espérer mieux, pour le moment) encourager l’admission dans une bonne école, pour qu’un plus grand nombre en (re)découvre l’impérieuse nécessité.
          et qu’elle ne soit plus réservée à quelques « privilégiés »…
          L’essentiel étant aussi de garder longtemps ces « bonnes manières » et « vaquer » à des « occupations » qui redonneraient, par ex, (bon) sens à l’expression vivre en société.

  41. Blanquer se gargarisait avec la « communauté éducative »;le Maestro lui a-t-il jamais dit: »moi, la « communauté éducative »,je l’emmerde . »

    • « Chez Clémence », on peut se permettre quelques écarts de langage – acceptables, seulement en mode boutade, dans les locaux (quel vilain mot) de Stan’ ou H-IV.
      (le maestro a précisé, un peu plus haut, qu’il avait été pris, au saut du lit ; on connaît ce genre d’excuse : « M’sieur, j’ai pas entendu le réveil » !)

  42. « hébétués »… (JPB, 12H12) :
    Des jeunes habitués aux bonnes manières ; ils n’iraient pas, par ex, photographier quelques uns des hauts personnages présents, y compris le maestro, romancier (« c’est lui, tu crois ? » …)

    Le maestro – un défaut difficilement corrigible à un certain âge – s’est cependant autorisé à quelques photos-souvenirs.
    « Passage mairie du Ve », et « raout dans les jardins de H-IV, » rejoindront le « faire-part »…

    • J’étais officiellement chargé de couvrir l’événement, photographiquement parlant…
      Je fais ça bien, figurez-vous…

      • « officiellement » :
        C’est lui le meilleur ! se sont-ils exclamé en choeur.
        Mais nous n’avons jamais douté de vos performances en photographie, Maestro (la majuscule s’impose).
        D’ailleurs reste-t-il encore, en ce bas monde, quelques domaines où vous ne pourriez dire « je fais ça bien, figurez-vous » !
        Et bien vous semblez pourtant parfois vêtu comme l’as de pique ; il est vrai de peu d’importance pour certains ; un peu plus pour d’autres.

        • Moi qui suis vieux jeu, je trouve un peu curieux qu’une ex du Maestro se fasse photographier par lui lors de son mariage… Et le mari,il est au courant ?
          Sûrement,car Madame Mazeron n’a pu lui cacher qu’elle avait une fille et qui était son père.

          Que le Maestro défende Madame Mazeron quand on l’attaque me paraît noble et indique que le lien avec elle n’est pas complètement rompu; mais
          qu’il soit désigné photographe de la cérémonie…m’intrigue.
          Je suppose qu’il ne se fait pas payer (alors qu’un professionnel…) mais ce n’est quand même pas l’unique raison.

  43. Jean-Paul Brighelli 21 juin 2024 At 13h51
    Eh oui.

    Eh ben voilà…quand on aura importé suffisamment de cailleras à Henri IV, ce sera fini.

    • C’est à doses homéopathiques. Ils copient les manières du groupe majoritaire.

  44. Jean-Paul Brighelli 21 juin 2024 At 19h27
    Je suis très ami avec K.

    Super!Vous pouvez le tuyauter sur CM.

    • (il y en a des qui montent, plus ou moins vite – dans l’échelle sociale s’entend… Le reste on s’en ouf.
      Et ce n’est pas parce qu’ils sont passés par la mairie of the Vth et par H-IV, qu’ils finiront au Panthéon ! Poil au’)

  45. Quittons les petits fours un instant, Monsieur Brighelli.

    On vit une époque formidable, voilà une personne qui était de tous les combats à vos côtés, affrontant, toujours avec vous, les humiliations fomentées de Najat votre meilleure ennemie. Dont le fameux épisode du lycée professionnelle dans le Jura dont vous vous vîtes interdits d’accès à la dernière minute suite à un coup fil de Sourire. Une âme qui ne craignait pas de soutenir les regards suspects quand ils se portaient sur vos mœurs, vos casseroles quand vous étiez viré du Point pour vous être prononcé en faveur de la caissière. Anne fut toujours là, à vos côtés, le mors aux dents et le poing levé.
    Dites-nous, Monsieur Brighelli, comment doit-on interpréter cette versatilité soudainen cette pudibonderie dont fait montre cette amie votre, Anne Genevard, à se pincer le nez sur Ciotti, criant à l’outrage quant à son alliance avec le RN, à dévoiler cette nature que nous lui connaissions pas.

    Ne serait-ce pas le camembert qui dit au roquefort : « tu pues » ?

    • (ouaf !… Allons, allons, n’en faites pas tout un fromage – qui pue, et comment ; faut dire que la droite n’est plus qu’une vieille croute…)

    • Plagiaire !
      J’ai le souvenir d’avoir rapporté en ces lieux les propos de mon voisin et ami instituteur à Bamako (années ’80).

      Il m’expliqua un jour :
      « Tu comprends nous les noirs, avons beaucoup plus de mérites que vous. Nous avons besoin d’apprendre à lire et à écrire, et c’est vraiment difficile. Pour vous, c’est inné, vous n’avez donc pas d’éloge à recevoir sur ce sujet.
      La preuve, tous les blancs savent lire et écrire. » (*)

      C’est le même qui donna lieu à cet échange :
      – Bonjour, ça va ?
      – Ça va un peu (**)
      – Ah, que t’arrive-t-il. (***)
      – Ma femme est morte.
      – Houlala, ça c’est grave.
      – Oui, d’autant que je n’en avais qu’une. (****)

      (*) Nous étions au XXème siècle et ce n’était pas loin d’être vrai. Aujourd’hui …
      (**) Ce qui est le signe d’un immense trouble puisque dans les salutations interminables en bambara, tout est strictement codé selon une étiquette précise, cette réponse étant totalement hors champ.
      (***) C’est à présent moi qui sort des codes.
      (****) Implacable de tragédie. Qui se rendra au marché, pilera le mil, préparera le repas, lavera le linge, s’occupera des enfants, etc.

    • Merci.(abcmaths 19 juin 2024 At 23h27
      JPB était en direct sur CNews il y a qqes minutes…TOCSIN, ce n’est pas CNews.)

      On voit un peu le nouveau fauteuil Conforama.

  46. Un lointain lecteur 19 juin 2024 At 18h03
    Dugong!!!
    …Vous êtes la honte de ce blog!

    Dugong dit qu’il s’en fout;moi,j’veux bien.

    Et ça,il s’en fout aussi ?

    « Les Anglais emmerdent Dugong et lui suggèrent d’aller se faire foutre. »

    • Tous les Anglais ? il en reste qui ont autre chose à faire que de réparer des murs de pierres sèches qui, de toute façon, finiront par se dégrader.

      Je maintiens le mélange chaux ciment et, si ça grattouille des « puristes », nonka se passer de la pommade

  47. Elle a bien fait, vraiment, de choisir la Corse, cette année.

    i) Elle ne vient pas en Corse chaque année.
    ii) Pourquoi « bien fait » ? C’est une chance pour lui; et pour elle ? Oui,on le sait quand on a lu la suite (fustigation+homardisation+orgasmisation)

  48. Un être à part,singulier;tout le monde essaie d’échapper à la chaleur;lui,il l’affronte

    Quelques derniers convives, écrasés de chaleur … se hâtaient vers les chambres …le jeu de boules, désert à une heure aussi peu humaine… un silence que les cigales rendaient palpables.

    Vous traversez la place et prenez, à droite de l’église, le chemin montant qui mène à Saint-François. Tout au long, les oliviers et les chênes verts font une ombre plus chaude encore que le plein soleil.

  49. Arrivé à la chapelle, vous tournez à droite, vers les tennis.

    Pensiez-vous la trouver là ?
    ——————————————————————————————————–
    Vous l’espériez,sans doute,ou,à tout le moins,vous vouliez voir si par hasard… Sinon, pourquoi être venu là ?

    Et si le partenaire de la meuf était venu au rendez-vous ?

  50. « Dugong!!!
    …Vous êtes la honte de ce blog! »

    Je sais et j’assume. Notamment demain quand j’irai veauter…

  51. https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2024/06/22/dans-la-peau-d-un-vendeur-de-sextoys-ce-que-nous-faisons-c-est-de-l-education-sexuelle_6242189_4497916.html

    D’un côté, cette lecture m’a rassuré :
    « « Est-ce que c’est recyclable ? », s’inquiète un couple de jeunes femmes en scrutant la notice d’un jouet avant de finaliser l’achat. « Oui ? Génial ! » Les voilà soulagées : Passage du Désir collecte en effet les toys usagés, qui seront recyclés en meubles de jardin : il existe des jouets sexuels en paille de blé, entièrement biodégradables. »

    De l’autre elle m’a inquiété :
    « « On m’a volé mon Womanizer », soupire la cliente quinquagénaire en jaugeant les modèles à disposition dans la boutique, bien décidée à remplacer l’objet dérobé. Le vendeur, compatissant, renchérit : « Ce n’est pas la première fois que j’entends ça. Une autre cliente s’est fait cambrioler : ils ont emporté tous ses sextoys, mais pas ses bijoux. »  »

    Inquiété ?
    Encore que … Je vais placer en évidence des sex-toys à côté des lingots d’or dans la table de nuit.

  52. « Samedi, veille du funeste scrutin, nous entrons dans la forêt vierge…
    Votez dur ou votez mou mais votez dans le trou (de l’urne) »

    Le sirénien s’est trompé de ouikind : le passage dans la fente (et non le trou), c’est la semaine prochaine.
    Voilà ce que c’est que de trop abuser, lors de la grande fête du solstice…

  53. En novembre dernier, Roger Chudeau, le Monsieur Education de RN, m’avait proposé un débat qui devait lui servir à trouver des idées…
    Il a mis longtemps, très longtemps, à le mettre en ligne.
    Alors, si vous voulez savoir quel genre d’insuffisant serait ministre RN… Ou qui est le meileur des deux…

    https://www.youtube.com/watch?v=Vvo4iUq1I7E

        • Sans doute vain d’espérer autre « chose » que des nul(lité)s, d’autant que le pas encore Loqueàterre de l’Elysée surnommé (par Rougeyron) « CaiusDetritus », compte bien encore jouer le roi de la Zizanie !

    • « Ça a commencé avec la Fabrique du crétin en 2005. C’est vous dire à quel point j’avais de l’avance »

      2005 ? Ce n’est que 20 ans après Milner et tous les autres… Quelle clairvoyance !

      • Plus que malséant de toucher à un seul cheveu de Michéa et du Maestro ;
        (avec le peu qu’il leur en reste…)

    • En parlant de clairvoyance, on se rappellera ce bon mot de Laurent Lafforgue dans sa célèbre lettre ouverte au SNALC (« l’affaire de la préface » : « M. Brighelli avait trouvé dans la ruine de l’école une mine d’or à exploiter au moyen de livres faciles » – belle anticipation du jour où Brighelli allait donner son fion à Blanquer pour se faire enfiler comme une grosse truie !) :

      « Dans son éditorial, M. Kuntz [compatriote d’obésité présidant le SNALC de l’époque] cite M. Brighelli parmi les plus grands défenseurs de l’instruction, au côté de Jean­-Claude Milner et de Jean­-Claude Michéa, comme s’il existait une commune mesure entre le niveau intellectuel des seconds et celui du premier. »

        • Brighelli, je vous aime et je vous admire mais faut pas déconner. Votre Fabrique ne vaut pas De l’École de Milner. Les deux ne jouent littéralement pas dans la même catégorie : pamphlet grand public vs essai systématisant. Quant à votre dernier ralliement à Blanquer…

          • En revanche, vous avez raison de dire que Chudeau est un âne. Le seul talent de ce type est son attachée parlementaire (– que je connais… très bien).

          • Et c’est pour cela (entre autres) que je vous admire. Mais il ne faut pas prétendre jouer dans la même cour que Milner. Chaque genre a ses mérites – et ses limites.

          • La question est plutôt de savoir pourquoi vous avez choisi l’un plutôt que l’autre. L’opinion charitable est de dire qu’il y avait une plus grande nécessité d’alerter le grand public. Mais les méchants esprits, éclairés par vos derniers reniements blanqueriens, ne pourront s’empêcher de penser qu’il était plus facile (et plus rémunérateur !) de faire un pamphlet qu’un essai.

          • Mais j’ignorais que nous tirerions à 100 000 exemplaires ! LA Fabrique a été tirée à 5000 exemplaires, et nousnnousn sommes trouvés en panne au bout de huit jours. Chez un minuscule éditeur.

          • Vous comptiez construire une piscine, vous avez eu une villa… Bravo mais ne poussez pas Sansev dans les orties !

  54. Sex & toys (suite) –
    Dès le Moyen-Âge, Trotula de Salerne signalait déjà le « défaut de chaleur  » (absence de désir), tout comme le « défaut d’esprit » (trouble de l’érection) ou encore le « défaut d’humidité » (faiblesse du sperme)…
    Comme quoi, rien de nouveau sous le soleil (ou plutôt la pluie).

    • Tarentula ?

      Bientôt un peplum « Tarentula de Salerno contre Scrofula de Napoli » ?

  55. (sanglant mais pas sans gland).
    Revenons à des choses plus sérieuses : « il commanda du bonarda. Il moussait comme le fortanina, mais il avait plus de corps… si riche en tanin qu’on eut dit de l’encre »

  56. Tory & bb (bigger breasts ?) :
    Le Labour est dit en tête, et Sunak dépassé par Farage (j’ai horreur du gin).
    Le Labour, lui aussi veut « repenser l’impôt sur la fortune » (« redrawing wealth taxes » – the Guardian).

    Si seulement Il pouvait grapiller ne serai-ce qu’un tout petit peu du « Crown Estate  » :

    – Le « Crown Estate » est l’un des plus importants propriétaires terriens du Royaume-Uni avec un portefeuille dépassant les 14,3 milliards d’euros ;
    – détient plus de 110 000 hectares de forêts et terres agricoles, plus de 55 % des estrans britanniques et détient nombre de droits et participations ;
    – détient le littoral et les fonds marins (dans la limite des 12 milles nautiques, déterminée par la Convention des NU sur le Droit de la Mer) ;
    Ce qui lui donne droit également d’explorer et d’exploiter les ressources naturelles présentes sur le plateau continental du RU (y compris pétrole, gaz et charbon) ;
    . possède également à peu près la moitié des estuaires et deltas.

  57. Je vais m’en mettre une bonne ce soir. Kiss WTH !

  58. Le Prince des boomers à propos d’une récente coalition : « C’est pas ça le Front populaire, ça a un sens dans notre histoire »

    Eh bien il a raison ! Le Front populaire version 36 est un ramassis de centristes élus sur un programme bourgeois, qui, une fois dépassés par leur base prolétaire gréviste, se sont contentés de jouer les négociateurs avec un patronat trop heureux de céder ce qui était déjà la norme depuis 20 ans de l’autre côté du Rhin. Et cette raclure de Léon Blum enjoignant aux travailleurs de reprendre leur boulot une fois les dix kopeck lâchés… Rien à voir, en effet, avec le programme de gauche de la présente coalition.

  59. Dugong 22 juin 2024 At 8h52

    Votez dur ou votez mou mais votez dans le trou (de l’urne).
    ——————————————————————————————————-

    Thème anarchiste ?
    https://placard.ficedl.info/IMG/logo/arton975.jpg?1548428166

    ou simplement obsession scatologique souvent observée?

    Dugong 19 juin 2024 At 17h27

    On devrait avoir une loi qui empêcherait un constipé notoire d’accéder au trône…

    NB Lormier a repensé à une une de Charlie Hebdo (époque Giscard ?) « Votez trou qui pue ou votrez trou qui pète »;pas retrouvée,malheureusement;quel était le message ? Bonnet blanc et blanc bnnet ?

  60. – Je crois que tu ne serais pas sage… »

    conditionnel;tu ne serais pas sage …si je l’enlevais (semble sous-entendu);et pourtant,elle l’enlève;

  61. Dugong 22 juin 2024 At 17h14
    M’étonnerai qu’un lingot puisse servir efficacement de sex-toy. Rapport à la grande conductivité thermique du métal dit précieux.

    Mais s’il a été préchauffé ? Et puis ça dépend des meufs;y en a des qui refusent absolument un truc en plastique mais qui diraient pas non à un bel objet en or…le genre de meufs qu’on ne peut inviter que chez des chefs étoilés,par exemple.

  62. Un lointain lecteur 22 juin 2024 At 18h20
    Les clitos des fichées, facile pour Lormier!

    Ne serai-ce pas plutôt:
    Les clitos des fauchées ? (il y a deux « o » dans photo,un seul « i » dans « cliché »)

  63. Vive le fion ! Mon dieu, vive le fion !

  64. Chalef (suite)

    L’opuscule de Millner n’est pas destiné au grand public : aucun exemple, aucune situation examinée en détail, aucun nom de pédagos « de terrain » (en 2009, date de la réédition, Meiriol a déjà 60 ans et une production conséquente) . Des considérations générales sur « le triple aggiornamento » (p 75 et suivantes dans l’édition de 2009 chez Verdier poche).

    Bon, d’accord, Millner fustige le sgen mais Mimile n’en à rien à faire (en quoi les deux ou trois Kevin(a) qu’il a engendrés sont-ils concernés ? Ils passent automatiquement dans la classe suivante donc tout va bene).

    Et, peut-être le plus grave, aucun humour…

      • Et dire que Victor Hugo ne parle même pas de Badinter dans la dernière édition GF du Dernier jour d’un condamné…

        • Milner a écrit son texte en 84. À cette époque, Mitterrand avait déjà ouvert le ministère aux démocrates chrétiens mais Meirieu n’avait pas encore été élu grand chef de la pédagogie renouvelée.

  65. Il y a d’abord ce ton d’une rare douceur qui ouvre à toutes les attentions de nos cerveaux en en potentiel vagabondage comme le sont les enfants, une introduction annonçant la force tranquille d’un homme dans un bon sens absolu faisant passer la pilule du « le bac c’est mal, le bac c’est morrrrt, le bac c’est cherrr »(accent marseillais) en milieu d’entretient. Et puis il y a ces interruptions intempestives qui cassent le rêve de la douceur distillée par sa sonnerie de portable (et nous ne saurons pas si c’est Lulu qui réclame sa punition en urgence) et par un son de fanfare à plusieurs reprises. Enfin, on le découvre en alpha, l’autorité faite homme. Le regard soudainement sombre face caméra, la voix replacée dans les graves par un « reposez la question » sec et froid à un Éric Verhaeghe qui ne démérite pas quant aux angles pointus de ses questions ou par le choix de faire silence aux réponse de notre Sérénissime Altesse kilnoufaibienmarrer …

    https://www.youtube.com/watch?v=uSrHWs0iK_s

    PS : Les commentaires sont pas mal non plus, ne participent pas à calmer l’ego du Maestro.
    PS’ : JPB nous a repartagé une vidéo pour nous rappeler à sa supériorité, cette évidence qu’il incarne parmi la concurrence. Qui d’autre que lui, enfin ?! ; celle-ci est vieille de huit mois, elle est inédite sur le blog.

    Bon dimanche à tous

    • La question que n’aura pas posée Eric et que nous regrettons : l’économie faite sur le bac oblige l’administration à mettre ne place autant de séries d’examens d’admissions qu’il y a de services publics… Ce qui reviendrait à l’Etat de devoir payer finalement aussi cher afin de mesurer, par ses propres moyens, les compétences et acquis de ses futurs fonctionnaires que ce que coûte, aujourd’hui, un bac.
      Parce qu’en effet, monsieur Brighelli, un certificat délivré dans le neuf cube ne pourra pas jamais avoir la même valeur que celui qui serait délivré dans le 16ème à Paris, vous le savez et l’Etat le sait aussi par avance…

      Mais n’aviez-vous pas fait l’aveu de vous situer, aujourd’hui, comme un ultra libéral ?

      • Dans les années cinquante, l’Égypte s’arrêtait de vivre toutes les nuits du premier jeudi du mois pour écouter son récital à la radio.

        Je n’ai pas de peine à les imaginer réunis autour d’un poste crachotant, vautrés sur une natte dans les riad autant que dans les demeures modestes, en ville ou en campagne, fumant le narguilé et buvant du thé avec les larmes aux yeux dans la tiédeur nocturne. Parfois l’un d’entre-eux sortait de sa torpeur méditative pour un « Allah ! » ou un « Hamdulillah » d’admiration ou d’émotion.

  66. Dugong 23 juin 2024 At 8h53

    IAL a toujours des solutions simples à des problèmes imbitables.
    _________________________________________________________________________

    Des gens qui proposent des « solutions » compliquées à des problèmes simples,on en ramasse à la pelle.
    Mais des gens qui ,tel Lormier, trouvent des solutions simples à des problèmes compliqués, ceux-là sont rares et précieux.

      • Moins grave que ceux qui proposent des solutions compliquées à des problèmes simples (et qui feraient mieux de se taire.)

  67. Un lointain lecteur 19 juin 2024 At 18h03
    …Ceux qui mélangent chaux et ciment sont les pires créatures infernales que porte la terre. Moins que des pédophiles sidaïques ou que ces immondes créatures trans…
    ___________________________________________________________________________
    Moins que ? ou pires que ?

  68. Dugong 22 juin 2024 At 17h14
    M’étonnerai qu’un lingot puisse servir efficacement de sex-toy.

    Lormier… ça dépend des meufs;y en a des qui refusent absolument un truc en plastique mais qui diraient pas non à un bel objet en or…le genre de meufs qu’on ne peut inviter que chez des chefs étoilés…

    Prenons un exemple:vous n’emmènerez pas dîner Sanseverina dans un routier,elle qui fait son ordinaire de Rollinger.

    De même je doute fort qu’elle accepte de se faire enfoncer dans le trou de balle un plug en plastique.

    Supposons maintenant qu’un célèbre orfèvre-joailler italien, Bucellati par exemple, en fabrique un en or massif…Cela pourrait changer la donne, non ?

    https://www.buccellati.com/fr_fr/silver/collections/rosso-maraviglia.html

  69. Elle est assise à terre
    ——————————————————————————————————-
    Elle craint les taches d’herbe mais pas celles que pourrait causer la terre battue…Ca tache,la terre battue ?

    « … la fameuse « terre battue » : une fine pellicule ocre rouge, 2 à 3 mm d’épaisseur seulement, fabriquée à partir des déchets des briquetteries du nord de la France. Les briques défectueuses sont pilées et concassées dans l’Oise, au nord de Paris. Jusqu’à 80 tonnes de cette poudre rouge sont livrées porte d’Auteuil, quelques jours avant le début du championnat. »

    https://www.rfi.fr/fr/emission/20190531-terre-battue-roland-garros-doit-son-rouge-brique-nord

  70. Jupette blanche de rigueur. Tee-shirt bleu ciel.

    Fut un temps où le polo blanc était de rigueur.

  71. Gégé, entre 11h et 12h (JPB chez Eric V.) –

    Eric (encore par le prénom) – il est vrai que son nom n’est pas facile à écrire ; il n’est pas détestable le Eric (ex énarque !), au contraire, mais depuis pas mal de temps il est payant… et donc je ne m’y promène plus.

    Comme chez Onfray – chez lequel le plus intéressant reste sa « revue trimestrielle », que l’on peut acheter ailleurs.

    En fait, plus ça va, plus ils se répètent les uns les autres… à l’image des mainstream,
    puisqu’il s’agit, pour eux aussi,
    de … convaincre,
    et donc qu’ils invitent les mêmes têtes, presque à tour de rôle, (en mode mainstreams).
    J’exagère un peu, parce que ces autres « têtes » sont indispensables pour avoir des perspectives et analyses autres que celles de ces mainstreams – eux d’ailleurs pour la majorité, incapables d’une « simple » analyse… puisque, chargés de reprendre en boucle la voix de son (ses) maître(s).

    Onfray est girondin… et (surtout) athée ; crucial (si j’ose dire) pour moi.
    Entre TV liberté catho, et les leçons de certains autres, par moment, on finit par se lasser.

    Je pense à Aberkane, comme à Rougeyron : les qui savent tout ! mais vraiment, vraiment, tout !
    Donc, forcément, du grain à glaner, mais qui demande un peu… d’effort – d’autant que le ton de Rougeyron, qui cause du haut de sa chaire, soit parfois difficile à supporter *…

    « La gestion de l’ignorance », dont la « gestion de l’islam » ; je n’y vois pas grand-chose à redire.

    Et oui, en effet, la faillite de l’Ecole va de pair avec la faillite de la Nation.
    C’est « voulu », on le sait bien ; c’est ce qu’il est facile de constater, jour après jour, dans ce pays, et depuis bien des années.

    Quant à revenir à un examen, type Bac, suppose, d’abord,
    et avant tout,
    – que l’Ecole Primaire fasse son travail, tel qu’il était : apprendre à lire, écrire, compter… –
    – qu’on en revienne aux classes de niveau,
    – que les Programmes soit entièrement revus (quand on lit qu’un Terminale C « d’autrefois » pourrait réussir le Capes de Maths, c’est quand même hallucinant !)
    – que soient formés des enseignants dignes de ce nom (ce qui suppose qu’au départ, l’Ecole Primaire, etc…) –
    autrement dit, il en faudra… du temps.

    (je reconnais que les sonneries de tél sont agaçantes… de la part de quelqu’un qui voudrait bien les voir disparaître… à l’école !)

    * selon moi, rien à voir avec le ton et la manière de dire de JPB…

    • Faudra remettre des retraités au taf mais y seraient incapables de les payer. Alors, marner pour la France…

  72. superbes polos activaient leurs longs pieds

    superbes Lolos activaient leurs Pompiers

      • Une de ces petites gloires dont on est fier et qui font le bonheur d’une journée :

        Ce printemps, j’étais chez un réparateur de pneumatiques dans une petite ville du sud marocain.
        Comme toujours, la radio braillait en arrière plan. Soudain interrompant le raï, L’Astre de l’Orient surgit comme un ange.
        Dès les premières notes, je m’exclame « Um Khalsum ! ».
        Tous se sont retournés vers moi, ébahis. Sans besoin d’un mot, une complicité et une fraternité ont surgi dans cet atelier minable.

        • (J’ai évidemment tout de suite pensé à Oum Kalsoum, quand vous vous êtes mélangé les pinceaux plus haut, sur le « lien »)

          • Bien sûr !
            Et merci pour votre lien.

            Je ne suis hélas jamais allé en Égypte. Il est très compliqué d’y faire du « tourisme » tel que je l’entends. Impossible d’y rentrer en voiture (et de toute façon, en pratique …), à peu près impossible d’y louer un véhicule sans chauffeur et donc difficile d’échapper aux agences de voyage et au tourisme de masse.

            Le lien, c’était celui-ci :
            https://www.youtube.com/watch?v=elXoPhR6P-o&list=PL3gYmz2lqVMHjw6cqvcriQtXML1ImkhHy&index=4

          • Vous voudriez partir combien de temps en Egypte, Zorglub ?
            Parce que j’ai une offre sous les yeux pour un beau SUV, model luxe, avec climatisation pour une durée d’une semaine avec une prise en charge au Caire, au prix de 470 €.
            Les voitures de la première gamme sont louées à partir de 16 €. Mais attention : pas de grosses marrades dans les dunes.

  73. Jean-Paul Brighelli 23 juin 2024 At 14h39
    Vous avez une idée de ce que pèserait un gode en or ?

    Une idée précise ,non…et puis ça dépend de la taille,et puis,il pourrait être creux, et puis qu’est-ce que ça peut faire ?

    Je me souviens d’un ami philosophe qui refusait de manger avec des couverts légers;il lui fallait du lourd. Un outil léger,ça a des avantages et des inconvénients.

  74. Lormier 23 juin 2024 At 13h41
    Jupette blanche de rigueur. Tee-shirt bleu ciel.
    ——————————————————————————————————-
    Fut un temps où le polo blanc était de rigueur.

    Le tennis est un sport éprouvant pour les lolos (moins que le volley,sans doute, mais quand même…)

    Aujourd’hui, on fait des polos de sport pour meufs avec soutif intégré;ça maintient en place.
    Mais il y a un demi-siècle, comment ça se passait ? Vous me direz,il y avait peu de meufs sur les courts.

  75. « Le tennis est un sport éprouvant pour les lolos »
    Pas de chape pour les courts de tennis ?
    Oui…

  76. Quand on se fait insulter comme l’a fait Lormier le Suisse, de façon totalement gratuite et inattendue, il y a deux solutions : on la boucle et on fait comme si de rien n’était, ou on l’ouvre pour répondre au connard, abruti qui vous a injuriée alors que vous ne vous occupiez absolument pas de lui . Je vais donc choisir la deuxième, j’ai un petit peu de temps. On prend le thé. Un thé japonais fa-bu-leux.
    Hein, Lormier le Suisse, on part faire une petite randonnée avec la wholy family, et vous en profitez pour m’insulter ? Et grassement, grossièrement, vulgairement. Quel monstre vous êtes. Pire que AVC junior, qui reste dans des injures plus génériques, lui.
    C’est dire.
    Cela vous déplaît à ce point-là que je ne réponde qu’à Dugong, WTH et quelques autres ? Vous êtes bien jaloux ? Mais brave Lormier, je réponds à ceux qui disent des choses intéressantes, pas à ceux qui viennent par leur bêtise crasse, leur ego boursouflé, et leurs obsessions pathétiques, gonfler les torche-culs habituels.
    Retournez-donc vous occuper de vos domaines de prédilection : délires médicaux, pneus de VTT, gamelles à rata ( c’est sûr qu’on hésiterait à s’afficher avec une personne aussi ordurière que vous, chez un chef étoilé, et laide, de surcroît, vous êtes sûrement très très moche, j’en suis sûre ) et je ne sais pas quoi d’autre puisque je ne vous lis plus que rarement. Ce sera désormais, plus du tout. Il faut le piquer, me dit-on. Bah ! Il ne vaut pas la seringue qu’on utiliserait pour lui.
    Rassurez-vous, calmez-vous, Lormier le Suisse, l’été arrive, je serai très occupée et débarrasserai le terrain assez vite. I miei ironicissimi saluti.

    • Je crois qu’ils sont deux (au moins) à poster Lormier.
      L’autre a manqué d’oxygène à la naissance.

      • Oui, Dugong. Je pensais trois. Mais bon, je suis très défavorisée, n’étant pas dans le secret du off ( et ne tenant aucunement à l’être d’ailleurs ) .
        Au passage, merci pour votre humour et vos jeux sur les mots. C’est toujours un vrai plaisir de vous lire et de regarder les liens que vous donnez. Le blog est chiant quand vous n’écrivez pas.
        Aucune flatterie et vous le savez. Et j’emmerde Cerbère bi/ tricéphale.

        • « chiant » : merci pour les autres ! J’osais espérer donner quelques liens…
          Tant pis pour moi !
          Et bonne fortune, quand même !…

    • Ses obsessions sexuelles, le plus souvent anales, laissent envisager qu’il n’ait plus de pratiques autre que virtuelles ou numériques.
      Le pauvre …

  77. Egypte, Le Caire précisément : souvenir (vraiment lointain) d’une longue balade (entre « amis ») à la « Cité des Morts »… avant de siroter un coquetèle au bar (en hauteur) du Hilton (un seul à l’époque), au dessus du Nil…
    D’un extrême à l’autre…

    • Maroc, Marrakech précisément : souvenir… (etc) dans la medina et arrêt chez un marchand – de bimbeloteries, de bien meilleure facture (!) à l’époque –
      partage de sebsis et rigolade à propos de la visite annoncée d’un petit groupe de touristes américains, qui ne se sentiraient aucunement amers, du fait que les prix des dites bimbeloteries seraient très largement révisés à la hausse…

  78. Le club des tartines is back

    – Et que j’taime.
    – Et que moi aussi que j’t’aime à mort.
    – J’te kiffe, ton humour, tes bons mots, tout j’prend tout tout tout.
    – Moi aussi, à donf’ !
    – Ta plume si tu savais le bonheur…
    – Et toi aussi ta plume en voyage, ta plume à Paris, ta plume où tu veux, quand tu veux.
    – Tu es sûre ? Moi j’suis pas sûr, tu l’aimes vraiment ma plume que tout le monde aime ?
    – Tellement mais tellement.

    – On est beaux, non ?
    – On est super beaux… Mais sans Lormier (kss kss)

  79. Que de fatuité et de mauvais goût il y a dans cette séance de congratulations entre boomers macronistes… Asinus asinum fricat !

    • (Tory bb, ne faites pas vot’ mauvaise langue… qui doit être encore chargée, vu vot’ état à 3h du mat’ !)

      • Que voulez-vous… c’est la première fois que je sodomisais une suissesse !

  80. « Quand on se fait insulter comme l’a fait Lormier »

    Le vote Meirieu en 81 a aussi niqué le niveau de l’agrégation de lettres…

  81. Pourvu qu’il y ait très peu de socialistes dans la prochaine Chambre !
    ——————————————————————————————————
    Rappel
    TRIBUNE
    Vaccination : les socialistes doivent être les défenseurs de la gauche des Lumières

    par un collectif
    publié le 6 mai 2023 à 7h39

    La proposition de loi sur la réintégration des soignants non vaccinés va à l’encontre des valeurs portées par la gauche, celle qui croit à la science et non celle qui se lie aux populistes de tous bords, pointent des personnalités socialistes.

    L’obligation vaccinale, c’est le respect de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. C’est pourquoi dès le début de la crise sanitaire, les parlementaires socialistes ont soutenu la mise en place de la vaccination obligatoire pour l’ensemble de la population, et en particulier les soignants, notamment dans une tribune publiée dans le Journal du dimanche. En refusant cette vaccination obligatoire généralisée, le gouvernement avait déjà pris le risque d’accroître la défiance envers la vaccination et de fragiliser l’immunité collective attendue urgemment pour nous permettre de sortir de la crise sanitaire que nous traversions. »

    Socialiste français= néo-nazi

    https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/vaccination-les-socialistes-doivent-etre-les-defenseurs-de-la-gauche-des-lumieres-20230506_YEBJQ7BQQFAGRPUVDKYCYXYKQA/

    • Oui, on aimerait bien qu’ils disparaissent dans les poubelles… (de l’histoire).
      Merci Lormier I, Lormier II, ou Lormièr.e ? (quelle histoire !)

  82. Vivement dimanche prochain, que je puisse revoter Macron. Le seul qui défende mes intérêts, mon fric et mon patrimoine !
    Mardi soir, soirée à Bagatelle : les banquiers régalent. Les jardins sont magnifiques et le buffet super. On vous embrasse, les gueux ! Et il fera beau !

    • Et bien tant mieux pour vous, Sanseverina !
      La vie n’est pas aussi tendre pour certains autres gueux…

      • … Et ne comptez surtout pas sur Macron-Mozart de la finance pour défendre vos intérêts…
        Il s’en moque bien.
        Mais enfin, bien pourvue (quelle chance !) et pour quand la bise sera venue, je suppose que vous suivez sagement les conseils d’un autre financier… j’ai nommé Ch. Gave.

  83. Oui, Dugong est de loin le meilleur sur ce blog surtout doublé de Zorbug 🙂
    Et merdre au Cerbère quadri alors ? Le baveux, le vieux, le fils et la sans -esprit ? Mais le fils n’en a pas non plus. Et dire qu’ils ont besoin de se mettre à autant pour pondre des nullités.
    Sera a tutti !

    • Je suis bien marri…je n’avais pas conscience de vous avoir « insultée » (et je ne parviens toujours pas à me convaincre que mon raisonnement avait quelque chose d’insultant.)

      Pour illustrer mon propos,j’ai eu besoin d’une référence, que tout le commentariat puisse reconnaître:une femme raffinée,à laquelle on ne peut proposer que l’extrême raffinement.

      Vous êtes apparue comme un exemple concret dans un raisonnement théorique,par lequel je tentais de répondre à une question difficile de Dugong.

      (Là où vous avez été très perspicace, me révélant à moi-même mes profondes motivations inconscientes, c’est dans cette interrogation: »Cela vous déplaît à ce point-là que je ne réponde qu’à Dugong, WTH et quelques autres ? Vous êtes bien jaloux ? « )

      Et je ne suis pas « très moche » ! Je suis très vieux ,donc plutôt moche,comme tous les très vieux,mais plus jeune,je n’étais pas moche du tout !

        • (… qui ne fait guère dans le « second degré », hors EN – j’ose – sauf… sirénien au p’tit déj, journée sympa jusqu’à demain).

  84. abcmaths 23 juin 2024 At 20h55
    courts de pénis.

    J’avais écrit « cours » parce que je pensais que cela avait un peu plus de sens. On pourrait dire à la rigueur qu’à ces femmes dont il est question dans les billets du Maetro,il a donné des « cours de pénis ».

  85. Pas impossible que les macronistes gagnent.

    Comment ?

    Grâce aux procurations;ils ont mis en place une « plate-forme numérique » grâce à laquelle vous pouvez trouver dans votre commune quelqu’un qui votera à votre place et mettra dans l’urne le bulletin que vous lui aurez demandé de mettre,à condition que ce soit le bulletin macroniste.

    Si vous voulez voter pour un autre, ce serqa quand m^me le bulletin macroniste qui sera mis dans l’urne.

    Voilà!

  86. Sanseverina 23 juin 2024 At 20h58
    « Mardi soir, soirée à Bagatelle : les banquiers régalent. Les jardins sont magnifiques et le buffet super. On vous embrasse, les gueux ! Et il fera beau ! »

    Qui lance l’ashtag sur le réseau LFI, accompagné du petit mot de Sansèv en introduction, hein, chiche ? :
     » Toute la banlieue à Bagatelle le Mardi 25 à 21 h, parce que c’est notre projeeeet  » ?

    • (Elle rentre chez elle tardivement et transformée : elle a oublié l’italien, elle est devenue bilingue verlant/reubeu… au minimum 🤣)

    • Elle aussi elle m’avait manqué… Purée !

      Bisou, Sansev’, bisou (j’ai mal aux côtes, 🤣🤣🤣)

    • Je le relis et le relis, il n’y a rien à y redire : son commentaire est tout en délicatesse, ils vont adorer. 🤣🤣🤣

    • Tiens, je vous avais zappé. C’est plutôt drôle. Vous êtes encore plus bête que je ne croyais. Vous vous imaginez que je vais balancer des infos de ce genre sur ce blog ?

    • … Certes ; également grand amateur du cérémonial religieux : depuis le Panthéon, jusqu’au pèlerinage annuel à la Roche de Solutré, fidèlement suivi par ses disciples – sans rose à la main.
      Quant aux épines, les gueux ont fini par s’y piquer…

      • À propos du terme de gueux, je n’ai fait que proposer une variante de ce que Brighelli à l’époque où il était confortablement installé avec maison et piscine, et dont il se vantait allègrement, nous avait dit ici et qui à l’époque me choqua beaucoup : «  on n’est pas obligés de vivre comme des gueux ! » C’était l’époque où il « défendait corps et âme » les gueux de profs en écrivant des livres sur la pédagogie qui arrondissaient ses fins de mois difficiles.
        Et que je sache, cela n’avait pas ému grand monde.

          • Allons bon ! Avec tous ces mensonges, et ces petites vengeances on ne sait plus sur quel pied danser !
            Il n’y aurait donc pas pire que ces Dames ?!
            Et Lormier alors ? I, II, ou ier.e ?
            Quel suce pince !

          • On s’en moque. Vous le dites pourtant et en ces termes. Ne vous en déplaise.

    • « Projet de réforme » (!) : il n’est donc encore nullement question que les « professeurs des écoles » participent à la formation « d’un citoyen éclairé »…
      Ni « citoyen », ni (surtout pas) « éclairé », si ce n’est des diktats habituels ;
      volonté bornée, acharnée même, de ne s’en tenir qu’au médiocre ?
      le « choc des savoirs » ?!
      Ceci étant… peut-on en demander plus aux candidats, dans l’état actuel du système (dit) éducatif ?

      • « formation « d’un citoyen éclairé »

        Il était une fois des programmes de lycée en sciences physiques qui faisaient référence à un idéal de formation de futurs « citoyens consommateurs ».

        La lumière n’était pas fournie…

  87. Intéressant. J’ai regardé les épreuves de français. On est au niveau du BEPC que l’on passa jadis et encore, pour l’orthographe et les questions de grammaire, c’était largement plus exigeant.

    • Cruel tel que vous me connaissez, il m’est arrivé de faire corriger par les meilleurs élèves de la classe les fautes d’orthographe traînant sur un tableau que mon prédécesseur avait oublié d’effacer.

  88. Sanseverina (13h27) –

    Piscine : le nec moins ultra de quelques plus que moyennement « enrichis »… les petites mares que l’on voit, ici et là, rattachées à un morceau de maison d’maçon… en mode « do-mi-si-la-do-ré »

    Et oui, quand il s’agit de payer les pensions alimentaires (quelle sale expression !).
    Et à propos d’alimentaire, j’ai souvenir d’une phrase de JPB : au moins 400 euros par mois pour la bouffe… Le pauvre !

  89. (La moquerie a toujours ma préférence, et je n’ai jamais montré – et c’est peut-être malheureux – une quelconque jalousie, par ex, de qui que ce soit .
    car même les plus remarquables ne sont pas exempts de quelques failles, un peu lourdes, parfois…)

  90. Pour le sujet capes de sciences physiques, le candida IAL serait probablement ravi de se voir proposer l’étude de l’hémisynthèse du Remdesivir (page 6)

  91. On ne dira jamais assez les bienfaits de la pédagogie renouvelée sur l’intelligence des foules…

  92. On ne dira jamais assez le flair politique des boomers…

  93. On murmure le nom de JPB comme futur ministre de l’instruction publique de Bardella…

  94. Le Maestro a la larme à l’œil… et on le comprend… (si bien).
    Mais, c’est le Maestro, donc il termine par ces mots :
    « J’ai récemment écrit l’intégralité de mon adieu à ce monde et aux gens qui seront là — peut-être. À charge à eux de trouver un diseur qui ne soit pas tributaire de ses émotions. Un acteur professionnel m’ira très bien : moins on est impliqué, et mieux on le dit. »
    Je pose la question : une femme avertie en vaut-elle deux ?

    https://www.causeur.fr/pierre-mari-guerroyant-285802

  95. Jean-Paul Brighelli 24 juin 2024 At 13h51
    À cette époque là le blog n’était pas encore ouvert…
    ——————————————————————————————————
    Dans mon souvenir la sentence « on n’est pas obligé de vivre comme des gueux » avait été écrite en réponse à des commentaires sur un brunch d’une valeur de 100 euros (?) auquel vous aviez été invité (dans un hôtel genre Sofitel ,sur le vieux port (?)).

    Et vous aviez ajouté:c’est dingue qu’on me demande de me justifier sur un truc comme ça

    • Si c’est sur le vieux port, tout s’explique:
      On trouve beaucoup de gueux sur les quais.
      Oui…

  96. Sanseverina 24 juin 2024 At 13h57
    Tiens, je vous avais zappé. C’est plutôt drôle. Vous êtes encore plus bête que je ne croyais. Vous vous imaginez que je vais balancer des infos de ce genre sur ce blog ?

    Me faire traiter d’imbécile de votre part ne pose aucun problème.
    Et vous avez balancé des informations plus délicates par le passé. Ne m’obligez pas à sortir les vieux dossiers, vous seriez perdante.
    La technique assez minable d’aller vous réfugier dans un commentaire qu’aurait fait JPB datant de Mathusalem pour justifier votre comportement abject dans un commentaire aussi peu glorieux, le même que vous aviez eu envers le GJ, vous correspond parfaitement. C’est tout vous
    Vous êtes parfaitement prévisible… Mais drôle !

  97. Hémisynthèse d’un antiviral à base de ribose, le Remdesivir.
    La molécule nommée Remdesivir (figure FC4) est le principe actif d’un médicament
    antiviral, commercialisé en Europe depuis juillet 2020 et qui a fait l’objet durant l’année 2020
    d’études sur son utilité potentielle pour certains patients atteints d’infection sévère à SARSCoV-2.

    « principe actif d’un médicament antiviral »

    Si c’est un anti-viral, il est efficace contre un ou des virus; lequel ou lesquels ?

    « son utilité potentielle pour certains patients atteints d’infection sévère à SARSCoV-2. »

    Donc on ne sait pas s’il est efficace contre le corona virus responsable de SARSCoV-2…

    Si au moins on nous avait dit contre quel(s) virus il était efficace, on pataugerait moins.

    Mais ça risque pas car, en fait, ce » médicament » n’est efficace contre aucun virus. Le lendemain du jour ou Van Der Leyen en a acheté pour 1 milliard 2, l’Agence européenne de santé l’a déconseillé.

    A part le Professeur Lacombe, personne en France n’y a cru me semble-t-il.

    Aux Etats Unis les infirmières, qui voyaient les malades perfusés au Remdesivir tomber comme des mouches lui avaient donné un surnom: « Run, death is near. » [Fuyez,la mort approche.]

    https://www.devenirenseignant.gouv.fr/exemples-de-sujets-et-notes-de-commentaires-des-epreuves-des-concours-de-recrutement-d-enseignants

  98. Les électeurs de Bardella bernés par des sites ?

    Les électeurs de Bardella Cernés par des Bites ?

  99. Le slip est d’une dentelle un peu trop arachnéenne pour une joueuse de tennis.
    ——————————————————————————————————

    Peut-être n’a-t-elle pas de culottes de sport,spécifiques tennis …

    Elle aime la dentelle et ne porte que ça…

    Ou bien ,ou bien…elle avait prévu quelque chose après la partie de tennis.
    ( et dans la formulation du Maestro, je crois détecter un soupçon de soupçon.)

  100. Et vous attachez, bien serré, les mains …au pylone.

    Ben non! vous attachez… les mains aux ongles courts.

    On n’attache pas des mains à des ongles; il faut lire « mains aux ongles courts » comme un ensemble.

    A la première lecture,on était parti sur une fausse piste.

  101. Dugong 24 juin 2024 At 6h56
    « je n’avais pas conscience »

    IAL dans tout son être profond…
    ——————————————————————————————————–
    Dugong= Truncator

      • Facile de rigoler alors que le pays « joue sa peau » ! (dixit mon Tattal).
        Et déjà de l’eau dans le gaz avec un Guedj soutenu par Gluglu en rupture avec la Mélenche.
        Et jusqu’à l’Arditi qui parle d’une « alliance contre nature, désespérante » et qui, à bientôt 80 ans, ne soutient plus sa gauche si fidèlement et tendrement aimée.
        aïe, aïe, aïe !… Quelle épopée !

  102. Bardeaula est un déjà vieux canasson alourdi de bimbeloterie électorale qui refuse l’obstacle.

  103. Guère civil (prols et gomènes)

    Bardeaula, idolâtré par IAL et sa clique complotiste échappée du service neurologie proctologique du CHU de Bergère-sur Lez, n’assume pas l’inéluctable : pointer des canons César sur le Conseil Prostatitutionnel, organe des refuzniks même pas de gauche

  104. On peut l’italianiser, Bordello ou le spagnoliser, Bordolé . Bon, je trouve pas mieux.

  105. Marrant le conseil prostatitutionnel. Un peu long, mais marrant. Évidemment, si on enlevait une syllabe, prostitutionnel.

    • Il ne sera jamais plus drôle que lorsqu’il vous fait avaler qu’ils sont plusieurs sous le pseudo de Lormier. J’en recraché mon kawa lorsque je l’ai lu. Du très grand Dugong.

      • Mais qu’est-ce qu’elle a la Flo-Cunégonde. C’est son morceau de fesse en moins à force de se faire fouetter qui la rend aussi hargneuse?

    • Whaou… on se bidonne à l’EHPAD !

      • Je soupçonne Sanseverina de se foutre quand même un peu de la gueule de Dugong…

        • Pour mémoire, elle voulait quand même porter plainte pour harcèlement contre… contre un autre pseudo… Si, si… qui avait porté atteinte à son pseudo (!)
          Tu te sens moins seul ?

          • On peut imaginer une scène particulièrement cruelle en imaginant l’agent chargé de prendre sa plainte lui poser la question de savoir s’ils n’étaient pas plusieurs sous le pseudo…

    • Vérification faite, il y a bien une petite sauterie musicale à Bagatelle.
      Au programme ce soir : un mélange des genres, J.S. Bach/Booba.

  106. Barbatruc 25 juin 2024 At 11h34
    Mais qu’est-ce qu’elle a la Flo-Cunégonde. C’est son morceau de fesse en moins à force de se faire fouetter qui la rend aussi hargneuse?

    Reply
    Sanseverina 25 juin 2024 At 11h39
    Allons, allons, Barbatruc. Fais comme moi. Ne la lis pas . Idem pour AVC junior. Lascia stare . Stronzi.

    Barbatruc ?Nouveau pseudo qui fait soudainement son apparition. Mais qui cela peut-il bien être ?
    (Indice : Lorsque Sansèv’ s’autorise le tutoiement, c’est uniquement quand elle s’adresse à elle-même)

  107. L’humour boomer, c’est quelque chose…

  108. In Tacoma, Washington, having a reliable plumber is essential due
    to the city’s unique infrastructure and climate. Bob Larson Plumbing offers a
    range of plumbing services, from emergency plumbing to water heater installation, ensuring that residents in neighborhoods like North End and Proctor District have access to top-quality service.
    Proper plumbing is crucial in Tacoma, a city where seasonal changes and historical buildings require specialized knowledge and prompt attention to avoid costly damages and ensure efficient water
    usage.

    Bob Larson Plumbing is located in Tacoma, a city founded in 1872.
    Tacoma is a vibrant city with a population of 221,776 as of 2022 and 87,
    379 households. The city is conveniently connected by Interstate 5, a major highway
    that facilitates easy travel and commerce. An interesting
    fact about Tacoma is its nickname, the «  »City of Destiny, » » which reflects its historical significance as the western terminus of the Northern Pacific Railroad.

    Today, Tacoma is known for its cultural attractions,
    scenic waterfront, and rich history, making it a dynamic place to live and work.

    The cost of plumbing repairs in Tacoma can vary
    widely depending on the type of service needed.

    Basic services like faucet repair or drain cleaning might cost
    between $100 and $300, while more extensive work such as pipe repair or water heater installation can range
    from $500 to $2,000. Tacoma experiences a range of temperatures, with summer highs around
    80°F and winter lows averaging 35°F. These temperature variations
    can impact plumbing systems, making regular maintenance and timely repairs essential
    to prevent issues like frozen pipes and water line bursts.

    Tacoma is home to numerous points of interest that highlight
    the city’s cultural and natural beauty. The Museum of Glass features stunning glass art and interactive exhibits.
    Point Defiance Park offers miles of trails, gardens, and waterfront views,
    along with the Point Defiance Zoo & Aquarium, which provides educational experiences and animal exhibits.

    LeMay – America’s Car Museum showcases an extensive collection of classic and vintage cars.
    The Tacoma Art Museum presents a diverse collection of art, emphasizing Northwest artists.
    The Washington State History Museum offers engaging exhibits on the state’s history and heritage.

    Each of these attractions provides unique
    experiences that reflect Tacoma’s diverse cultural landscape.

    Choosing Bob Larson Plumbing for plumbing services
    in Tacoma is a wise decision for residents and businesses seeking reliable
    and efficient solutions. The company offers a comprehensive range of
    services, including plumbing maintenance, sewer repair, and sump pump installation. Bob Larson Plumbing’s commitment to quality workmanship and exceptional customer service ensures that all plumbing needs
    are met promptly and professionally. For those living
    in Tacoma, Bob Larson Plumbing is the trusted partner for maintaining a safe, functional, and comfortable home, providing peace of mind and excellent service throughout the year.

    In Tacoma, Washington, having a reliable plumber is
    crucial due to the city’s infrastructure and weather conditions.
    Bob Larson Plumbing offers a comprehensive range of services,
    from emergency plumbing to toilet repair, ensuring that residents in neighborhoods
    like Downtown Tacoma and Hilltop receive top-notch care.
    Reliable plumbing is vital in Tacoma, where seasonal changes and historic homes require expert attention to
    prevent costly damage and maintain efficient water systems.

    Bob Larson Plumbing is based in Tacoma, a city founded in 1872.
    Tacoma has a population of 221,776 as of 2022
    and 87,379 households. The city is well-connected by Interstate 5, a major highway that supports easy travel and economic activity.
    Known as the «  »City of Destiny, » » Tacoma earned this moniker as the terminus of the Northern Pacific Railroad.
    Today, Tacoma is renowned for its vibrant cultural scene, waterfront beauty,
    and historical significance, making it an exciting
    place to live and visit.

    Plumbing repair costs in Tacoma can vary depending on the
    service required. Simple repairs like faucet or toilet fixes might
    range from $100 to $300, while more significant
    tasks such as sewer repair or water heater installation could cost between $500 and $2,000.
    Tacoma experiences a wide range of temperatures, with summer
    highs reaching around 80°F and winter lows averaging 35°F.

    These fluctuations can affect plumbing systems, highlighting the importance of regular maintenance and timely repairs
    to avoid issues like frozen pipes and water damage.

    Tacoma offers numerous points of interest that showcase its rich
    cultural and natural heritage. The Museum of Glass features impressive
    glass art and interactive exhibits. Point Defiance Park provides beautiful gardens, trails, and waterfront views,
    alongside the Point Defiance Zoo & Aquarium, which offers diverse animal exhibits and educational programs.
    LeMay – America’s Car Museum displays an extensive collection of classic and vintage
    automobiles. The Tacoma Art Museum focuses on Northwest artists and presents a varied collection of artworks.

    The Washington State History Museum provides engaging exhibits
    on the history and heritage of the state. Each of these attractions
    offers unique experiences that highlight Tacoma’s diverse and vibrant community.

    Choosing Bob Larson Plumbing for your plumbing
    needs in Tacoma is a smart decision for homeowners
    and businesses seeking reliable and efficient service. The
    company provides a wide array of services, including plumbing inspection, burst pipe repair, and bathroom plumbing.
    Bob Larson Plumbing’s dedication to quality craftsmanship and exceptional customer service ensures that all plumbing needs are addressed quickly and professionally.

    For residents of Tacoma, Bob Larson Plumbing is the trusted choice for maintaining a safe and
    comfortable home, offering peace of mind and superior service all year round.

    In Tacoma, Washington, having a dependable plumber is essential due to the city’s infrastructure and climate.
    Bob Larson Plumbing offers a variety of services, from emergency plumbing to leak detection, ensuring that residents in neighborhoods like Stadium District and South Tacoma receive the best
    care. Effective plumbing is critical in Tacoma, where seasonal changes and
    historical structures demand specialized attention to prevent
    expensive damages and ensure optimal water usage.

    Bob Larson Plumbing is located in Tacoma, a city founded in 1872.
    Tacoma has a population of 221,776 as of 2022 and 87,379 households.
    The city is easily accessible via Interstate 5,
    a major highway that promotes convenient travel and trade.
    Tacoma’s nickname, the «  »City of Destiny, » » reflects its historical role as the western terminus of the Northern Pacific
    Railroad. Today, Tacoma is celebrated for its cultural landmarks,
    picturesque waterfront, and historical depth, making it an attractive place to reside and explore.

    The cost of plumbing repairs in Tacoma can vary based on the type of service required.
    Basic repairs like drain cleaning or faucet fixes might cost between $100 and $300,
    whereas more extensive work such as water heater installation or
    pipe repair could range from $500 to $2,000. Tacoma’s climate features summer highs
    around 80°F and winter lows averaging 35°F.

    These temperature variations can impact plumbing systems, underscoring the need for regular maintenance and timely
    repairs to avoid problems like frozen pipes and water line bursts.

    Tacoma is home to numerous points of interest that highlight its cultural and natural
    allure. The Museum of Glass offers fascinating glass art
    and interactive exhibits. Point Defiance Park provides extensive
    trails, gardens, and waterfront views, along with the Point Defiance Zoo & Aquarium, which offers educational animal exhibits.
    LeMay – America’s Car Museum displays an impressive array of classic and vintage
    cars. The Tacoma Art Museum showcases a rich collection of art, emphasizing works from
    Northwest artists. The Washington State History Museum features engaging exhibits on the state’s history and culture.
    Each of these attractions provides unique experiences that reflect Tacoma’s diverse and vibrant
    community.

    Choosing Bob Larson Plumbing for plumbing services in Tacoma is a wise choice for
    residents and businesses seeking dependable
    and efficient solutions. The company offers a comprehensive range of services, including plumbing maintenance, sewer repair, and sump pump installation.
    Bob Larson Plumbing’s dedication to quality workmanship and outstanding customer service ensures that all plumbing needs are met promptly and professionally.
    For those living in Tacoma, Bob Larson Plumbing is the
    trusted partner for maintaining a safe, functional, and comfortable home,
    providing peace of mind and excellent service year-round.

    In Tacoma, Washington, reliable plumbing is crucial due to the city’s unique infrastructure and seasonal climate
    changes. Bob Larson Plumbing provides a wide range of
    plumbing services, from emergency plumbing to water heater installation, ensuring that residents in neighborhoods like West End and Lincoln District have access to exceptional service.
    Proper plumbing is vital in Tacoma, where historical buildings
    and varying weather require expert care to avoid costly damages and maintain efficient water
    systems.

    Bob Larson Plumbing is based in Tacoma, a city founded
    in 1872. Tacoma boasts a population of 221,776 as
    of 2022 and 87,379 households. The city is conveniently connected by Interstate 5, a major highway
    that supports easy travel and commerce. Known as the «  »City of Destiny, » » Tacoma earned this nickname as the
    western terminus of the Northern Pacific Railroad.
    Today, Tacoma is known for its rich history, cultural attractions, and scenic waterfront, making it a dynamic place to live and work.

    Plumbing repair costs in Tacoma can vary
    widely depending on the service needed. Basic services like faucet repair or toilet fixes might
    range from $100 to $300, while more significant tasks such as water heater installation or pipe repair could cost between $500 and $2,000.

    Tacoma experiences a range of temperatures, with summer highs
    around 80°F and winter lows averaging 35°F. These fluctuations can affect plumbing
    systems, making regular maintenance and timely repairs
    essential to prevent issues like frozen pipes and water damage.

    Tacoma offers numerous points of interest that highlight the
    city’s cultural and natural beauty. The Museum of Glass features stunning glass
    art and interactive exhibits. Point Defiance Park offers miles of trails, gardens, and
    waterfront views, along with the Point Defiance Zoo & Aquarium,
    which provides educational experiences and
    animal exhibits. LeMay – America’s Car Museum showcases an extensive collection of classic and vintage cars.
    The Tacoma Art Museum presents a diverse collection of art, emphasizing Northwest artists.

    The Washington State History Museum offers engaging exhibits on the state’s history and heritage.

    Each of these attractions provides unique experiences that reflect Tacoma’s diverse cultural landscape.

  109. In Buffalo, New York, proper insulation is crucial due to the city’s varied climate
    and the need for energy efficiency. Insulation Depot USA
    provides top-notch insulation services, including attic insulation, wall insulation, and spray foam insulation, ensuring homes and businesses in neighborhoods like Allentown and Elmwood
    Village are well-insulated and comfortable year-round.
    The importance of reliable insulation cannot be overstated
    in Buffalo, where temperatures can fluctuate significantly, making energy-efficient insulation critical
    for reducing energy costs and maintaining a comfortable indoor environment.

    Insulation Depot USA is located in Buffalo, a city founded in 1801.
    Buffalo is a historic city with a population of 276,486 as of 2022 and 118,071 households.
    The city is conveniently connected by Interstate 190, a
    major highway that facilitates easy travel to and from the area.

    An interesting fact about Buffalo is its rich history in the development of
    the electric power industry, famously associated with Nikola Tesla and
    the harnessing of power from Niagara Falls.
    Today, Buffalo offers a blend of residential, commercial, and recreational opportunities, making it an attractive place to
    live and work.

    The cost of insulation repairs and installations in Buffalo can vary depending on the
    type of service required. Basic services like attic or wall insulation might range from $1,000 to $3,000, while more extensive work such
    as spray foam insulation or insulation removal can cost between $2,000
    and $5,000. Buffalo experiences a wide range of temperatures, with summer highs reaching around 80°F and winter lows dropping to approximately
    20°F. These temperature variations necessitate reliable and efficient insulation to ensure homes remain comfortable and energy-efficient throughout
    the year.

    Buffalo boasts numerous points of interest that cater to
    a variety of tastes and preferences. Niagara Falls
    is one of the most famous natural wonders in the world, attracting millions of visitors each year.
    The Buffalo and Erie County Botanical Gardens offers a stunning display of plant life in beautiful conservatories.
    The Buffalo Zoo, one of the oldest in the country, provides a fun and educational experience for families.
    The Albright-Knox Art Gallery showcases an impressive collection of modern and
    contemporary art. Lastly, Canalside is a vibrant waterfront district with
    a variety of activities, including boating, concerts, and festivals.
    Each of these attractions offers unique experiences that highlight Buffalo’s cultural and natural heritage.

    Choosing Insulation Depot USA for insulation services in Buffalo is a wise decision for residents and businesses seeking reliable and efficient solutions.
    The company offers a comprehensive range of services, including insulation installation, soundproofing, and thermal insulation. Insulation Depot USA’s commitment to quality workmanship and exceptional
    customer service ensures that all insulation needs are met promptly and professionally.
    For those living in Buffalo, Insulation Depot USA is the trusted partner for
    maintaining an energy-efficient and comfortable living environment, providing peace of mind
    and comfort throughout the year.

    In Buffalo, New York, maintaining proper insulation is crucial due
    to the city’s changing seasons and the need for energy efficiency.

    Insulation Depot USA offers essential insulation services such as attic insulation, wall insulation, and blown-in insulation, ensuring homes and businesses in neighborhoods like North Buffalo and South Buffalo stay
    warm in the winter and cool in the summer.
    The significance of having a reliable insulation contractor in Buffalo cannot be overstated, as proper insulation is
    vital for reducing energy costs and maintaining a comfortable indoor environment throughout the year.

    Insulation Depot USA operates in Buffalo, a city founded in 1801.
    Buffalo is a historic city with a population of 276,486 as of 2022 and 118,071
    households. The city is well-connected by Interstate 190, a major highway that facilitates easy travel across the region. An interesting fact
    about Buffalo is its role in the early development of the
    electric power industry, famously associated
    with Nikola Tesla and the harnessing of power from Niagara Falls.
    Today, Buffalo is known for its vibrant community and diverse recreational opportunities,
    making it a great place to live and work.

    The cost of insulation repairs and installations in Buffalo can vary widely depending
    on the type of service required. Basic services like
    attic or wall insulation might range from $1,000 to $3,000, while more extensive work such as
    spray foam insulation or insulation removal can cost between $2,000 and $5,000.
    Buffalo experiences a range of temperatures, with summer highs reaching around 80°F and
    winter lows dropping to approximately 20°F. These temperature variations necessitate reliable
    and efficient insulation to ensure homes remain comfortable and energy-efficient throughout
    the year.

    Buffalo offers numerous points of interest that cater to a
    variety of tastes and preferences. The Buffalo and Erie
    County Botanical Gardens provide a stunning display of plant life
    in beautiful conservatories. The Buffalo Zoo, one
    of the oldest in the country, offers a fun and educational experience for families.
    The Albright-Knox Art Gallery showcases an impressive collection of modern and contemporary art.

    Canalside is a vibrant waterfront district with a variety of activities, including boating, concerts, and festivals.
    The Buffalo Museum of Science offers engaging
    exhibits and educational programs for all ages.
    Each of these attractions offers unique experiences that
    highlight Buffalo’s cultural and natural
    heritage.

    Choosing Insulation Depot USA for insulation services in Buffalo is a wise decision for residents and businesses seeking reliable and efficient
    solutions. The company offers a comprehensive range of services, including insulation installation, soundproofing, and thermal insulation. Insulation Depot
    USA’s commitment to quality workmanship and exceptional customer service ensures that all insulation needs
    are met promptly and professionally. For those living in Buffalo, Insulation Depot USA is the trusted partner for maintaining an energy-efficient and comfortable living
    environment, providing peace of mind and comfort throughout the year.

    In Buffalo, New York, proper insulation is essential due to the city’s varied climate and the need for energy efficiency.
    Insulation Depot USA provides top-notch insulation services, including attic
    insulation, wall insulation, and spray foam insulation, ensuring homes and
    businesses in neighborhoods like West Side and Downtown Buffalo are well-insulated and comfortable year-round.
    The importance of reliable insulation cannot be overstated
    in Buffalo, where temperatures can fluctuate significantly, making energy-efficient insulation critical for
    reducing energy costs and maintaining a comfortable indoor environment.

    Insulation Depot USA is located in Buffalo,
    a city founded in 1801. Buffalo is a historic city with a population of 276,486 as of 2022 and 118,071 households.
    The city is conveniently connected by Interstate 190, a
    major highway that facilitates easy travel to and from the area.
    An interesting fact about Buffalo is its rich history in the development of the electric power industry, famously associated with Nikola Tesla and the harnessing of power
    from Niagara Falls. Today, Buffalo offers a blend of residential, commercial, and recreational
    opportunities, making it an attractive place to live and
    work.

    The cost of insulation repairs and installations in Buffalo can vary depending on the type of
    service required. Basic services like attic or wall insulation might
    range from $1,000 to $3,000, while more extensive work such as spray
    foam insulation or insulation removal can cost between $2,000
    and $5,000. Buffalo experiences a wide range of temperatures, with summer highs reaching around 80°F
    and winter lows dropping to approximately 20°F. These temperature variations necessitate
    reliable and efficient insulation to ensure homes remain comfortable and
    energy-efficient throughout the year.

    Buffalo boasts numerous points of interest that cater to a
    variety of tastes and preferences. The Buffalo and Erie County
    Botanical Gardens provide a stunning display of plant life in beautiful conservatories.

    The Buffalo Zoo, one of the oldest in the country, offers a fun and educational experience for families.
    The Albright-Knox Art Gallery showcases an impressive collection of modern and contemporary art.

    Canalside is a vibrant waterfront district with a variety of activities, including boating, concerts,
    and festivals. The Buffalo Museum of Science
    offers engaging exhibits and educational programs for all ages.

    Each of these attractions offers unique experiences that highlight Buffalo’s cultural and natural heritage.

    Choosing Insulation Depot USA for insulation services
    in Buffalo is a wise decision for residents and businesses seeking
    reliable and efficient solutions. The company offers a
    comprehensive range of services, including insulation installation, soundproofing, and thermal insulation. Insulation Depot USA’s commitment to quality workmanship and exceptional
    customer service ensures that all insulation needs are met promptly and professionally.
    For those living in Buffalo, Insulation Depot USA is the trusted partner for maintaining an energy-efficient and comfortable living
    environment, providing peace of mind and comfort throughout the year.

    In Buffalo, New York, maintaining proper insulation is crucial
    due to the city’s changing seasons and the need for energy efficiency.
    Insulation Depot USA offers essential insulation services such as attic insulation, wall insulation,
    and blown-in insulation, ensuring homes and businesses in neighborhoods like East Side and Black Rock stay warm in the winter and cool in the summer.
    The significance of having a reliable insulation contractor in Buffalo cannot
    be overstated, as proper insulation is vital for reducing energy costs and maintaining a comfortable indoor environment throughout the year.

    Insulation Depot USA operates in Buffalo, a city founded in 1801.
    Buffalo is a historic city with a population of
    276,486 as of 2022 and 118,071 households. The city is well-connected by
    Interstate 190, a major highway that facilitates easy travel
    across the region. An interesting fact about Buffalo is its role
    in the early development of the electric power industry, famously associated with Nikola Tesla and
    the harnessing of power from Niagara Falls. Today, Buffalo is known for its vibrant community
    and diverse recreational opportunities, making it a great place to live
    and work.

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