Jacques-Louis David, Sappho, Phaon et l’Amour, 1809


Au départ il y avait Sappho. Elle était, dit Platon, le plus grand poète de Grèce…

(Remarquez que Platon dit « poète », terme générique. S’il écrivait « poétesse », cela restreindrait aux seules femmes de Lettres le qualificatif, alors qu’en utilisant un terme épicène, il couvre l’ensemble de la production grecque, ce qui n’est pas rien. Pauvres filles qui s’imaginent aujourd’hui qu’en féminisant à toute force elles étendent le champ du féminin !)
Reprenons.

Sappho, raconte Ovide dans les Héroïdes, était connue que pour sa compagnie féminine. En fait, plus que d’homosexualité au sens moderne du terme, il faut parler de pédérastie : il était normal pour un philosophe ou un poète d’avoir des relations avec les jeunes gens, de l’un ou l’autre sexe, qui goûtaient à son enseignement. Socrate et Alcibiade, Sappho et l’une ou l’autre des jeunes lesbiennes (i.e. habitantes de Lesbos), ce sont là des relations pédagogiques normales. Le savoir passe par l’amour, nous savons tous cela.
Sappho tomba amoureuse de Phaon, doté d’une beauté plus qu’humaine. Il se permit des infidélités avec les jolies filles de Sicile, où les deux amants avaient été exilés. Sappho, ulcéré, de retour en Grèce, se suicide en se jetant du haut du cap Leucade — une île de la mer ionienne.
J’ai dans l’idée que ce Phaon est une invention des hommes, ulcérés de voir une si belle et si succulente femme se consacrer comme la déesse Artémis à des jeunes filles subtilisées de fait aux désirs masculins. Sauf qu’Artémis / Diane ne couche pas avec ses suivantes : la déesse, qui a obtenu de Zeus de rester éternellement vierge, cultive davantage la libido dominandi que la libido sentiendi, si vous voyez ce que je veux dire. Lorsque le jeune Actéon la surprend au bain et en tombe amoureux, elle le transforme en cerf et le fait dévorer par ses propres chiens. Et quand la nymphe Callisto est violée par Zeus (qui avait pris les traits d’Artémis, une combinaison qui préfigure ce qui arrivera l’un de ces jours à l’espèce mâle) et se retrouve enceinte, elle la chasse immédiatement. La malheureuse est ultérieurement transformée en Ourse — la Grande, celle que Zeus a placée dans le ciel.

Ce qui compte dans l’histoire de Sappho, c’est son talent. Nous n’avons pas gardé grand-chose de sa production, et Brasillach, dans son Anthologie de la poésie grecque, n’a pas eu de mal à citer les quelques vers que l’on lui attribue. Et c’est bien ce qui compte — les mœurs, elles, sont un détail corrélé. Seul ce farceur de Pierre Louÿs, dans les Chansons de Bilitis — une hypostase de Sappho, à qui il inventa une biographie imaginée et assez convaincante pour être crue, l’une des jolies supercheries de la littérature française —, conjugua à l’usage des voyeurs de son temps pratiques amoureuses et talent poétique :

« Je me jetai dans ses bras en pleurant, et longtemps elle sentit couler mes larmes chaudes sur son épaule, avant que ma douleur me laissât parler :
« Hélas ! je ne suis qu’une enfant ; les jeunes hommes ne me regardent pas. Quand aurai-je comme toi des seins de jeune fille qui gonflent la robe et tentent le baiser ?
« Nul n’a les yeux curieux si ma tunique glisse ; nul ne ramasse une fleur qui tombe de mes cheveux ; nul ne dit qu’il me tuera si ma bouche se donne à un autre. »
Elle m’a répondu tendrement : « Bilitis, petite vierge, tu cries comme une chatte à la lune et tu t’agites sans raison. Les filles les plus impatientes ne sont pas les plus tôt choisies. »

Penser que des érudits des années 1900 ont pu croire qu’il s’agissait là d’un texte grec antique inédit me renverse. Etait-ce crédulité ou fantasme ?

C’est ce talent particulier pour la création — un type d’enfantement qui vaut bien celui qu’impose la nature —que les plus intelligentes des lesbiennes historiques et contemporaines ont privilégié.
Dressons la liste des lesbiennes qui ont marqué l’histoire des arts et de la littérature, depuis Madeleine de Scudéry, dont le sobriquet chez les Précieuses était justement Sappho. George Sand était à voile et à vapeur — rappelez-vous que Musset l’a peinte à travers Gamiani — « une tribade », dit-il, qui ne parvient jamais à jouir tout à fait, ce qui était paraît-il la caractéristique frustrante d’Aurore Dupin / Sand / Clélie :

« Une tribade ! Oh ! ce mot retentit à l’oreille d’une manière étrange. Puis il élève en vous je ne sais quelles images confuses de voluptés inouïes, lascives à l’excès. C’est la rage luxurieuse, la lubricité forcenée, la jouissance horrible qui reste inachevée.
Vainement j’écartai ces idées ; elles mirent un instant mon imagination en débauche. Je voyais déjà la comtesse nue, dans les bras d’une autre femme, les cheveux épars, pantelante, abattue, et que tourmente encore un plaisir avorté. »

À la même époque l’alpiniste anglaise Anne Lister contracte le premier mariage lesbien — eh oui, les LGBT contemporaines n’ont rien inventé.

Le XIXe siècle et le début du XXe foisonnent de lesbiennes enfin sorties du placard. Elles œuvrent dans le champ pictural (Rosa Bonheur ou sa compagne Anna Klumpke) ou littéraire. Voyez déjà toutes celles qui ont orbité autour de la tribade en chef de ces années 1880-1930, Natalie Clifford Barney : Liane de Pougy (lire son Idylle saphique), Renée Vivien, Colette et « Missy » de Morny, Elisabeth de Clermont-Tonerre, Vita Sackville-West, Virginia Woolf, et j’en passe.
Sans omettre Winaretta Singer, Violet Trefusis, Romaine Brooks, Ida Rubinstein, Djuna Barnes, Thelma Wood, Henrietta Alice McCrea-Metcalf, Radclyffe Hall, et j’en passe aussi.
N’oublions pas que c’est une lesbienne, Gertrude Stein, qui a donné son nom à la « génération perdue », ces écrivains américains des années 1920 revenus de toutes les illusions après un passage plus ou moins long dans les champs d’horreur de 14-18.

Le monde anglo-saxon, corseté de principes rigides, en produisit peut-être davantage que la France, aux mœurs plus libres. Après tout, la première histoire de vampires lesbiens est anglaise — la Carmilla de Joseph Sheridan Le Fanu en 1871.
N’oublions pas pourtant que Baudelaire, avant de trouver « les Fleurs du mal », avait pensé intituler son recueil « les Lesbiennes » — alors même que bien peu de poèmes sont consacrés à ce thème précis :

« Étendue à ses pieds, calme et pleine de joie,
Delphine la couvait avec des yeux ardents,
Comme un animal fort qui surveille une proie,
Après l’avoir d’abord marquée avec les dents.

Beauté forte à genoux devant la beauté frêle,
Superbe, elle humait voluptueusement
Le vin de son triomphe, et s’allongeait vers elle,
Comme pour recueillir un doux remercîment.

Elle cherchait dans l’œil de sa pâle victime
Le cantique muet que chante le plaisir,
Et cette gratitude infinie et sublime
Qui sort de la paupière ainsi qu’un long soupir. »

Mais c’est là rêverie d’homme sur une réalité féminine dont il ne saisit pas la profondeur — comme dans le tableau de Courbet, le Sommeil ou les Deux amies.

Bien sûr le XXe siècle a multiplié le « corps lesbien », pour parler comme Monique Wittig. De Beauvoir à Hélène Cixous en passant par Anaïs Nin, Ella Maillart et Annemarie Schwarzenbach, Carson McCullers, Christiane Rochefort, Patricia Highsmith, Marguerite Yourcenar, Violette Leduc et j’en oublie certainement, une longue théorie de lesbiennes plus ou moins exclusives a alimenté la littérature contemporaine. Elles sont à tout prendre nettement plus nombreuses que les écrivains mâles homosexuels de renom — Gide ou Montherlant, bien sûr, Aragon aussi, Foucault ou Barthes — et puis ?
Non ! Pas Edouard Louis ni Geoffroy de Lagasnerie ! Notre époque n’enfante plus que des nains.

Cela dit, il ne suffit pas d’être gouine pour avoir du talent. Mais l’énigme tient à cette sur-représentation dans le champ littéraire et artistique, bien au-delà de ce que représentent les lesbiennes dans la vie réelle — la moitié des 4,5% de ceux qui n’aiment que le même. Savoir si c’est la résultante d’un supplément d’âme ou si la création compense un sentiment de manque dépasse mon petit jugement. Mais je ne vous empêche pas d’échafauder de belles théories.

Jean-Paul Brighelli

335 commentaires

  1. « Ci-gît, qui pour avoir par trop aimé les gaupes,
    Descendit jeune encore au royaume des taupes. »

    Y avait une morale syphilitique à cette époque-là ! Je me demande si la multiplication des cas de lesbianisme au tournant du XIXe et du XXe siècles n’est pas liée à la crainte d’attraper des maladies névropathiques avec des hommes licencieux ?

    • Les considérations prophylactiques ne rentrent pas dans le mécanisme amoureux, lui-même pouvant être parfois considéré comme une pathologie incurable quand il est au féminin et selon son degré d’attachement.

      • Oui enfin comme vous le disiez vous-même quand on a goûté à l’orgasme on y revient volontiers !

        La vierge n’est pas la demi-vierge titre d’un roman célèbre de Marcel Prévost vers 1900 !

        • Le jeune homme qui jetait sa gourme était dominé par la hantise de la maladie ! La jeune fille qui rêvait d’être déflorée aussi peut être ?

          La manualisation était un recours fréquent contre la hantise de la maladie !

        • Que la crainte lui ait traversé l’esprit, sans doute.
          Les moeurs de l’époque n’étaient pas aussi permissifs pour la femme qu’ils ne le sont aujourd’hui, d’une part. D’autres part, les unions étaient arrangées — quelques soit le milieu — et rien ne permettait de savoir si le prétendant au mariage s’était déniaisé ou non dans un bordel, il ne s’en vantait pas. Par ailleurs, une jeune fille, dans la grande majorité des milieux sociaux, avait été éduquée dans un carcan moral qui lui interdisait un choix contraire à l’avis de ses parents.

          • qu’elles ne le sont **

            Bref, le corset moral d’une jeune fille était suffisamment ficelé par un long travail commencé depuis son enfance, pour qu’elle ne puisse pas envisager de goûter à la petite mort si facilement, et si toutefois elle parvenait à s’en défaire, c’est que l’envie était si forte qu’elle ne se serait pas encombrée, dans sa naïveté ou son ignorance, à des précautions sanitaires.

  2. Que se passe-t-il si on parvient à un orgasme perpétuel par des moyens manuels ? C’est une bonne question ne trouvez-vous pas ?

  3. Que se passera-t-il quand un laboratoire – bien ou mal intentionné là n’est pas la question – inventera une pilule à avoir des orgasmes à répétition ?

    • Je crois que quand on donne aux rats ou aux souris de laboratoire la possibilité de jouir par excitation cérébrale électrique ils en oublient même de s’alimenter ! Ils deviennent des drogués du plaisir … et ils meurent !

    • On leur suggère de traiter en prévention les risques d’infarctus qui y seraient liés…
      Le mythe des trois ou quatre orgasmes féminins successifs ne sera crédible que pour une frigide.

  4. Par exemple on notera chez la candidate Valérie Pécresse une excitation sexuelle intense provoquée par sa cupidité – d’où la monomanie qu’on lit dans son regard ! C’est une droguée … sans le savoir mais tout le monde le lit !

    Le cas Emmanuel Macron est plus ambigu. Il est probable que la cupidité réelle est mitigé par un orgasme à répétition obtenu par les moyens d’une drogue synthétique comme la cocaïne.

    Il faudrait au fond énumérer le principe du plaisir qui est à l’oeuvre dans chacun des douze candidats à la présidentielle.

    Quelle est la source de ses orgasmes ?

  5. « Elle était, dit Platon, le plus grand poète de Grèce…

    (Remarquez que Platon dit « poète », terme générique.) »

    D’où vous sortez cela ? Sappho avant Homère ? Ça me paraît très improbable chez Platon.

    • Rappel : lorsque Lormier disait « le Maestro », c’était Brighelli ! Pour un Grec, « le Poète » c’est Homère…

      Homerus dicitur caecus fuisse.

    • Dans une épigramme funéraire, Platon l’appelle « la dixième muse ».

  6. J’ai forcé le trait ! Mais il est évident que Brighelli lui aussi force le trait avec ses lesbiennes de choc qui envahissent la littérature en 1900 !

    Brighelli et moi on fait de la littérature – pas de la sociologie avec de savants tableaux statistiques comme Florence Nigthingale ! Ou si vous voulez on arrange à la sauce du fait-divers journalistique.

    PS Le divorce introduit en France dans les années 1880 – contre le code civil de 1816 à 1884 – a modifié considérablement la condition féminine ! La femme avait un outil pour se libérer d’un mari envahissant !

  7. La femme divorcée pouvait se laisser aller à de libres amours saphiques alors qu’avant …

    • Il y a ce que la loi autorise mais il n’était pas bon d’être une femme divorcée à cette époque, … ou avait-elle encore les moyens financier de l’être.
      L’autorisation d’indépendance financière d’une femme ne date que de 1963, avant quoi, elle était sous la tutelle de son époux …athée ou non, c’était une excommunication sociale garantie.

      • J’ai trouvé récemment un couple dans le Limousin divorcé avant 1912 ! Lui instituteur laïque retraité à Ladignac (1848-1931) et elle sage-femme à Limoges !
        Leur fille aussi sage-femme à Limoges.

        Donc vous voyez dans les milieux de la laïque même à la campagne le divorce commençait à prendre pied ! Y avait-il des cas d’institutrices lesbiennes à l’époque ? Probablement …

        • Beaucoup d’institutrices ne se mariaient pas vers 1900 ! Pourquoi ? Certaines sans doute par la difficulté de trouver un mari de leur niveau intellectuel à la campagne et d’autres sans doute préférant les amours saphiques.

        • Je vous livre le glossaire gracieux utilisé à l’époque pour désigner l’infréquentable, tirez les conclusions qu’il vous plaira :
          Il y avait des demi-mondaines, des filles en cheveux* , des filles-mère et des divorcées…

          *Je vous laisse chercher ce que cela signifie.

          • On m’a envoyé un commentaire disgracieux au sujet de ma sage-femme de Limoges : elle aurait eu la réputation d’appartenir à une dynastie de faiseuses d’anges !

            PS On imagine bien les ragots en 1900 à la sortie de l’église cathédrale de Limoges devant le métier de sage-femme laïc !

          • … sage-femme laïque alors que j’imagine qu’il y avait aussi des bonnes soeurs qui faisaient le métier d’accoucheuse en Limousin.

          • Le fait même qu’elle ait un savoir — autre que celles des aiguilles à tricoter dont vous parlez — un métier (des études ?), classe cette femme dans une catégorie bien à part pour l’époque.
            Combien de femme sur les bancs de l’université, par exemple ?

          • Vous le dites, cette sage-femme avait des revenus qui lui permirent de s’assumer et donc de divorcer.
            Vous n’imaginez pas le nombre de veuves qui ont dû proposer leur service seulement en tant que femme de ménage pour subvenir aux besoins d’une famille qu’elles avaient encore à charge parce qu’elles n’avaient pas de formations ou d’autres diplômes que le certificat d’étude.

  8. Si vous voulez que je fasse chier avec des stats n’hésitez pas à me demander !

  9. Par exemple Brighelli dit que Zemmour est un niqueur frénétique et compulsif alors que moi je pense que c’est un romantique tardif ! Ceci dit l’un n’exclut pas l’autre … il peut aussi être frénétique !

    • Lui et Zemmour sont deux cas de chroniqueurs.
      Et tout le monde sait que les lectrices adorent ces gars qui sont des chroniqueurs .
      Oui…

  10. Mythologie grecque et mystères du masculin-féminin.

    Dans « Le lac de nulle part », après la disparition du père, les jumeaux finissent par retrouver le dur chemin du retour…une sorte de retour dans l’utérus.

    Et, bien sûr, avec quelles difficultés !

    (A l’ouest du lac Supérieur, dans l’Ontario, entre Int’l falls et Thunder Bay, autour d’Atikokan– sur des milliers de miles – des centaines de lacs, pour ne pas dire plus.)

    Fascinante nature quasi hivernale ; le lecteur y succombe, s’y perd, d’un lac à l’autre, d’un coup de pagaie à l’autre, du froid intense aux rougeoiements des feux de camps…
    Une aventure allégorique très réussie.

  11. Littérature (suite) –

    « Calqué » sur le « Goncourt des lycéens », Roselyne B. et Eric DM ont lancé, hier, depuis une maison d’arrêt, le « Goncourt des détenus ». 😊

  12. Pour en revenir à ma sage femme de Limoges elle avait seize ans en 1878 quand elle a accouché de sa fille qui deviendra sage-femme comme elle ! Donc cela veut dire qu’elle a épousé son mari à 15 ans et demi âge légal.
    Pas étonnant qu’ensuite elle ait envie de divorcer et de retrouver sa liberté perdue depuis l’âge de 15 ans !

    • Vous vous précipitez peut-être sur les raisons du divorce… Nombre de ménages, officieusement déclarés une première fois par une procédure d’émancipation, peuvent se targuer d’avoir vécu des jours heureux jusqu’à ce que la mort les sépare.

      • Je viens de regarder l’acte de mariage à La Meyze le 26/4/1877, visiblement un mariage arrangé par le père qui était veuf & propriétaire-cultivateur très heureux que l’instituteur du village – 28 ans – le débarrasse d’au moins une de ses filles âgée de tout juste 15 ans et demi !
        J’imagine bien la scène ! L’instituteur du village qui est un petit notable vient demander la main de la fille aînée au paysan trop content d’avoir une bouche de moins à nourrir ! Et voilà on se tope dans la main on débouche une bouteille de gros cidre et l’affaire est conclue pour l’instituteur qui aura de la chair fraîche dans son lit ! Quant au souhait de la gamine …

        Ou alors c’est une histoire d’amour ! De longues fiançailles romanesques entre la petite paysanne et l’instituteur qui folâtrent dans les champs sous la houlette du bienveillant père de famille ! C’est Tess d’Uberville …

        • Vous faites une autre erreur, Pierre : agriculteur à l’époque ne signifiait pas paysan mais propriétaire terrien. Posséder des terres n’était pas à la portée de toutes les bourses.

          • Vérifiez, vous trouverez pas mal de noms à particules ayant comme activité « propriétaire-cultivateur ». Ces terres étaient avant tout louées, leur propriétaires vivaient des rentes qu’elles produisaient.
            Quel est le nom du père ?

          • Propriétaires terriens, exerçant éventuellement un métier, avec quelques manants pour exploiter les dites terres…

  13. Pierre, auriez-vous en réserve un livre de patrick Leigh Fermor « Enlever un général » par le plus heureux des hasards ?

    • Non ! Le père cultivateur donc avait 70 ans en 1880 donc né en 1810 ! Autant dire qu’en 1877 à 67 ans il était bien content d’être enfin débarrassé de la petite dernière …

      • L’instit’ n’aurait pas bradé son statu social si la donzelle n’avait de jolis yeux et aussi jeune soit-elle (entendre une jolie dote).

          • Bah… Une grossesse non désirée suivi d’un mariage cauchemardesque pourraient être à l’origine de sa vocation professionnelle, non ?

          • Avez-vous les actes de naissance de la descendance ainsi que la date du mariage ? Si la première naissance est prématurée de cinq mois après le mariage, c’est signé.

  14. Non pas de grossesse prématurée deux filles en 1878 et 1880. Mariage classique entre un instituteur qui a des besoins d’amour et une jeune pucelle ignorante des choses de la vie ! Dans les villages français en 1880 il y avait encore des pucelles de 15 ans même si cela se fait rare de nos jours …

  15. « Dugong président » ?! propriétaire terrien, profiteur (manants, foie gras, etc…) ; et puis quoi encore ?
    Sauf que « moi président », n’est jamais suivi du conditionnel mais du futur !

    • Je retire ma couche confiance pour te compisser avec la plus grande générosité.

        • Très classe ! Tu me connais pour m’insulter ainsi ?
          Qui es-tu espèce de trou du cul malodorant ?
          JPB, vous me pardonnerez cet écart, mais puis-je rester marmoréen face à un tel résidu ?
          Ne vous inquiétez pas : je n’intervenais déjà plus, désormais, je ne lirai plus rien des saloperies que d’aucuns se permettent ici ! Restez entre vous, si vous tolérez ce type d’agression gratuite.

          • MAIS OUI ON S’CONNAÎT, boomer de mes deux qui se croit artiste parce qu’il expose ses daubes à sa belle-sœur pendant que les actifs triment pour lui payer sa pension. Mais oui je te connais, TROU DE BALLE, tu es la maladie de la merde qui a niqué mon pays, mon beau pays ! Mais tire-toi, tire-toi, TIRE-TOI, et va rejoindre les fientes que tu n’aurais jamais dû quitter ! Sous-merde !

  16. De Gastibelza à Comme un ouragan, étonnant saut dans l’espace-temps musical.

    • J’ai fait karaoké jeudi soir à l’Enchanteur (encore eu un succès fou…). Estimez-vous heureux, vous avez échappé à Manhattan-Kaboul !

      • WTH, vous qui êtes une femme avec beaucoup de jugement, quels sont vos goûts musicaux ?

          • Euh, faut dire que les sommets ont été atteints avec Steph de Monac’ !
            Dernière à s’être teinte en brune pour faire chanteuse ;
            dernière brunette, mais 1ère princesse-chanteuse.

            Ça me rappelle Frank McCourt (« teacher man » et « les cendres d’Angela » ) interviewé par Sarah Ferguson (un très très court temps journaleuse), il y a une vingtaine d’années : « vous êtes mon 1er écrivain » ; et lui de rétorquer « vous êtes ma 1ère duchesse » !

  17. Moisissure contre nourriture (suite)

    La presse : « Touf’ pourrait conditionner le RSA à un minimum d’activité »

    Le débris rueillois devra s’ôter les doigts.

  18. La propagande pour la gousse à l’ail se porte bien !
    Quand l’islamisme aura gagné, on verra bien le sort réservé aux LGBT. Et les islamo-gauchistes
    feront une autre gueule.
    Car quand toutes les lesbiennes se verront imposer la burqa, il leur sera plus difficile de se rouler des pelles sur les chariots de la Gay Pride.

  19. Mon cher Dugong,

    Macron n’est pas assez riche pour se payer un Pierre Driout !

  20. Les amours homosexuelles sont-elles évolutives? Il y a peu, Poutine et Erdogan n’étaient pas loin de s’embrasser goulûment sur la bouche, à la russe.
    On dirait bien qu’aujourd’hui Erdogan tourne casaque, et lorgne sur les avantages affriolants de l’OTAN. Après le baiser à la russe, place à l’american way of life, et pourquoi pas le french kiss?…
    Les suites de la guerre en Ukraine n’ont pas fini de nous étonner.

  21. Talleyrand dit que l’argent est le nerf de la diplomatie … donc je suppose qu’Erdogan reçoit des dollars en nombre pour réchauffer ses amitiés américaines !

    • On comprend bien pourquoi tous les gens de Bruxelles qui sont payés par la CIA et qui ont des comptes dans je ne sais quels paradis fiscaux serrent les rangs autour de Biden qui va venir présider leur réunion otanesque dans quelques jours !

      ….

    • Il y en un qui sera de toutes les manières gagnant c’est Zelensky qui pourra se retirer avec son pactole dans sa villa de Floride à 35 millions après avoir fait tuer je ne sais combien de pauvres Ukrainiens !

      • Dugong ex-petit fonctionnaire de rang subalterne qu’on ne songerait même pas à acheter ! Il ne vaut rien sur le marché de la corruption …

  22. Les grands industriels ne se font pas tuer sur le front des troupes pas plus que les banquiers Rothschild !

    • Quand Guy de Rothschild est arrivé à Londres, De Gaulle l’a reçu et lui a demandé que comptez-vous faire ? J’attends vos ordres mon général lui répondit-il. De Gaulle n’a pas insisté … il avait compris !

  23. la presse : « Deux journalistes d’une équipe de Fox News tués près de Kiev »

    durit inconsolable, le « journalisme » détritique amputé de ses meilleurs éléments…

    • Laurent Ruquier reste mobilisé sur le front c’est le principal ! Dans le journalisme il y a la piétaille qui se fait massacrer et il y a les généraux en chef qui commandent depuis leur GQG !

      • Et votre bête noire (le conseil d’état, pas les escorts que vous vous payez avec la thune à Pout’), comment opère-t-il dans cette « opération spéciale » ?

        • Il a l’air d’être un peu dans les cordes … ça ce passe plutôt à l’Otan à Bruxelles les distributions de valises de billets ! Les conseillers d’Etat ont reçu un peu de thunes pour le passe vaccinal mais c’est tout – pour la guerre en Ukraine il n’y a rien pour eux. C’est mort …

          • Le Conseil d’Etat il est dead – pour reprendre la célèbre expression de l’intellectuelle de la Macronie quand Simone Veil était défunctée !

        • « Le Conseil d’Etat il est dead »
          😂😂😂😂.
          Vous avez raison, Pierre, l’institution ne mérite rien d’autre.

  24. « La meuf elle est dead » c’est comme cela qu’on s’exprime dans les hauts rangs de l’Etat français en pleine décomposition !

    • Le tsar Vlad « conservateur et néo-slavophile », dixit l’auteur (encore un grand géo-politicard). « Marianne » aime l’Ukr – comme Natacha ? –
      Ici, conservatisme, niet ; européanisme et & américanisme, da.

        • Si, si, je pousse encore un peu plus :
          « Il suit avec obstination une politique de revanche, qui a d’ailleurs poussé les pays d’Europe centrale et orientale à adhérer à l’OTAN. C’est bien la menace russe qui les y a encouragés et non le fait de vouloir menacer la Russie. Peut-être l’Union européenne et les États-Unis ont-ils commis des erreurs, notamment dans la gestion de l’après-guerre froide en Europe orientale, mais la situation dramatique en Ukraine aujourd’hui trouve son origine, avant tout à Moscou et non à Bruxelles ou à Washington. A nous maintenant d’être à la hauteur de cette crise, de ne pas abandonner les Ukrainiens à leur sort. »

          • Non, pas ça peut-être !
            Pas après les visées géostratégiques clairement expliquées noir sur blanc de Kissinger et de Brzezinski, du non respect de la promesse faite à l’URSS par l’OTAN, en 91, de ne pas établir de bases dans les pays du bloc de l’Est.
            De qui se moque ce Frédéric Munie avec son conte pour enfant nous servant une soupe otanesque pour faire passer la pilulle des violations de droit du bombardement sur Belgrad et les autres et aux ordres d’un patron Tchèque… ?

          • C’est le minimum qu’ils puissent faire (l’UE et l’OTAN) que d’assister l’Ukraine, de ne pas la laisser tomber.
            Les sanctions ? Les Chinois (2ème importateur mondial) ont déjà fait leur commande, ils achètent le pétrole russe et paient en or. L’inde est sur les rang, bonne cliente des Russes, ce sera du roupie/rouble.
            Pff… US = roi nu.

  25. Autonomie régionale à vendre ! Qui en veut, qui en veut ?

    Hâte de voir ce qu’en diront cette vieille gousse de Chevènement et les connards du PR.

  26. Et r’gardez-moi cette vieille merde ! Comme un lapin pris dans les phares d’une voiture ! Mais CRÈVE, Charbonnel, CRÈVE !!!

  27. Fin de la chronique de h16 (contrepoints.org) :

    « Signalons que Poutine pourrait avoir l’idée de vendre son pétrole à un prix discount (mettons 50 % ou 60 % du prix de marché) en imposant un paiement en or, ce qui pourrait fort bien convenir à une bonne partie de la planète, non inféodée à l’OTAN ou aux intérêts de l’Union européenne ou des Américains.
    On laissera au lecteur l’exercice de dresser les conséquences de ce retour à l’étalon-or implicite pour la Russie (qui dispose de réserves d’or importantes) et pour la Chine (elle aussi prête à une telle éventualité). L’effondrement du dollar, façon Weimar, n’est pas à écarter.
    En choisissant les sentiments, l’émotion et l’affichage virtuel sur la raison et la réflexion de long terme, l’Occident a fait une grosse erreur, un peu dans le style « Get Woke, Go Broke » (tentez le wokisme et devenez ruiné).
    À force d’essayer d’être woke, l’Occident va être broke. »

    https://i0.wp.com/h16free.com/wp-content/uploads/2015/10/putin-mildly-amused.gif?resize=250%2C188&ssl=1

      • La « vilaine émotion » est irrésistible ; nous sommes tous gouvernés par elle, beaucoup plus que par la « Raison » ; nous sommes ainsi faits.

        On aimerait pourtant que la « Raison » prenne parfois un peu plus d’importance.
        Le manque de « Raison » continue de nous mener, nous pauvres peuples, là où nous stagnons,
        tandis que les gouvernants,
        ceux qui savent (plus ou moins bien) doser « vilaine émotion » et « Raison raisonnante » nous régentent plus que jamais.

  28. C’est qui Charbonnel ?
    Il mérite sans doute d’être connu pour déclencher un tel ouragan de haine.

    • Une raclure ! C’est l’électeur type macroniste : un boomer pensionné, mi-couille-molle mi-connard, qui peint des croutes pendant que je trime pour lui payer ses expos merdiques !

      https://ibb.co/pwyyDjh

    • Dis-moi qui te déteste, et je te dirai ce que tu vaus. Tous les espoirs sont permis à ce Charbonnel.

        • Vous changez de pseudonyme à quelle fréquence ? Vous n’êtes donc jamais fatigué de vous ridiculiser? Votre persistance dans l’erreur est un défi au bon sens. Bernadette Soubirous, elle, a un jour cessé de voir ses apparitions…mais chez vous l’hallucination est un art de vivre.
          Continuez à nous amuser. Toujours bon à prendre.

          • Mais tout le monde t’a reconnu Jojo ! Cherche pas, la star du jour c’est la vieille peau de Charbonnel !

          • Le pire étant que tu dis presque plus de conneries sous pseudo que sous ton (vrai) nom !

  29. Lu plus haut : « je suppose qu’Erdogan reçoit des dollars en nombre pour réchauffer ses amitiés américaines »
    Possible, mais je crois plus vraisemblable qu’Erdogan ait jugé bon de ne s’aliéner ni l’UE ni l’OTAN. L’UE, c’est les devises du tourisme, qui pèsent lourd dans la balance commerciale de la Turquie. Et l’OTAN c’est la sécurité par rapport au voisin iranien.

  30. Les boomers sont des gens à qui la France a tout donné et ils nous la rendent dans un état lamentable, infestée de mahométans, endettée jusque pas possible, avec un système productif étatique niqué et vendu au privé et une école pourrie jusqu’au trognon. Et ils en redemandent cinq ans de plus : crève Charbonnel !

    • Au niveau local y a qu’à voir l’état de la ville de cette tête de Bite : c’est Bagdad !

  31. Quand on pense qu’un prof retraité gagne deux fois plus (!) qu’un ACTIF entrant dans le métier… alors que l’un a eu tout le temps pour se constituer un patrimoine et que l’autre est propulsé à Créteil ou à Kaboul avec des loyers hors de prix…

    • Votre durée de cotisation va augmenter, ce serait bien le diable si vous ne pouviez pas mettre 2 ou 3 euros de côté

      • Justement ! Je vais devoir travailler dix ans de plus que mon grand-père (parti à 55 ans) à cause des macronistes ! Et l’autre demeuré qui pensait qu’l’immigration allait pouvoir changer ça…

        • Allez pantoufler dans un lycée français à l’étranger (ce que je n’ai jamais fait, on a sa dignité). Vous aurez parfois des coups d’état mais vous serez payé en conséquence…

          • À ce compte-là, autant pantoufler en CPGE en Lettres cla – à moins que ce ne soit pas le même tarif…

            Plus le temps passe plus j’ai envie de passer l’ENA. En un sens c’est désespérant.

    • Dans de nombreuses villes, il y a d’agréables campings avec une rivière qui passe non loin, garantie de brouillards hivernaux qui donnent une touche mystérieuse, propice à introspection (et plus si aff)

      • Vous rigolez ? Même par chez moi, la France la plus profonde qui soit, on commence à voir débouler les chances-pour-la-France à ne plus savoir qu’en faire et les câssos qui toute honte bue s’exposent et emmerdent leur brave travailleur de voisin ! Tout le monde n’a pas les moyens d’être muté au pays des résidences secondaires. Quant à devenir propriétaire…

        • Pour me faire muter en périgord j’ai d’abor dû changer d’académie en aveugle. Faut savoir ce qu’on veut (et sans enculerie syndicale)

  32. Les boomers ont tout flingué : l’hôpital, l’école, l’identité nationale, les campagnes, le système de retraite, la justice… Tout, tout, tout.

    • Toutes les générations en âge de voter y ont participé. De reporter sur une partie de la population la grande escroquerie organisée depuis plus de 40 ans n’est pas recevable.

      • Non. L’OPA des boomers sur la richesse est sans équivalent dans l’histoire de France. Et quand je pense que je viens d’être privé de fêtes pendant deux ans pour sauver des semi-débiles profonds qui ne voulaient pas se vacciner, alors que tous les actifs ne craignaient rien… Putain !

        • Toi, tu m’as l’air d’être un vrai de vrai…Syndiqué à Sud, le petit chignon en noeud de sac poubelle, pas rasé de trois jours…Tu as été privé de fêtes ! Je t’enverrai bien faire un stage chez Vlad…

  33. Amélie – ministre de la Transformation (!) et de la FP – parle aux fonctionnaires :
    « le point d’indice sera dégelé (!) avant l’été » ;
    il ne s’agit « pas d’une décision électoraliste ni politique, mais économique » 😊
    Non mais, quelle chance ! Merci Jeune Amélie !

  34. Comme un ouragan : faut tenir bon, parce qu’après les Kabouliens, bientôt les Kyïviens – un autre genre ; mais tout est simplement question d’habitude… 😊

  35. Les lycées français à l’étranger ne sont plus – ni ce qu’ils étaient…
    Maghreb :
    Fouad Laraoui (« une année chez les Français »), petit gosse du bled, remarqué par son instit : lycée français de Casa, puis école d’ingé Paris

    Karim Duval, Lycée français de Meknès, puis école Centrale, Paris

    Encore plus, loin et lointain – et dommage que l’Europe n’ait prêté aucune attention à ses paroles…- le commandant Massoud, lycée français de Kaboul.

    • Moi président de la République, les fosses d’aisance seront renommées « station d’épuration Jean-Pierre Chevènement ».

  36. L’hurluberlu qui se fait appeler Comme un ouragan est en train de niquer ce blog à lui tout seul. Une tête à claques pareille, jamais vu ça ici.
    Quelqu’un pour l’arrêter, par pitié?

    • J’en connais qui vont avoir mal au fondement à force de (ré)introduction :

      «J’ai l’intention de réintroduire les maths et d’introduire les sciences de la vie et de la terre comme matières à part entière dans le tronc commun en première et en terminale»

    • Lu ce commentaire au causement du réchauffiste :

      « Quant aux programmes dans les enseignements de bases on pourrait y ajouter les sciences économiques ce qui permettrait de comprendre le monde dans lequel on vit. »

      Bien sûr, bien sûr…

  37. Le monde dans lequel on vit ? Tu as le plus gros calibre et c’est l’autre qui creuse …

  38. On peut même persuader n’importe quel crétin qui regarde la télévision tous les jours que les journalistes sont payés pour dire la vérité !

  39. Avoir du pouvoir quel qu’il soit c’est avoir le droit d’exercer ses facultés à mentir !

    • Marseille reine de Provence, principauté de la crasse et du pétard ! Milliardaire en rats …

      • Ca sonne bien ! Au fond on commence par donner l’indépendance à Marseille comme labo d’essai et on voit après pour les Corses de Marseille !

      • Marseille vous conchie par tous ses ports. Votre durée de vie là-bas est de l’ordre de la nanoseconde.

    • Les hauts-fonctionnaires sont les meilleurs au monde … seulement pour l’évasion fiscale !

    • Ami de Balladur autant dire la probité incarnée !

      « Ce volet sombre de la vie du brillant énarque, inspecteur des finances passé par le cabinet d’Edouard Balladur au ministère des finances en 1987, sur lequel le Parquet national financier enquêtait depuis 2015 en toute discrétion, n’aurait jamais été ébruité si deux de ses complices n’avaient pas été condamnés, le 24 juin, pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale ».

      • Comme disait Muselier à Marseille on est tous honnêtes depuis le Vieux-Port jusqu’aux Baumettes !

    • « Jean-Marc Forneri,(…) est décédé brutalement à l’âge de 61 ans, le 28 décembre 2020. »

      Un accident de voiture ? De chasse lors d’une ballade dominicale au bois de Boulogne (le sieur habitait Neuilly) ? … Suicidé de deux balles dans la nuque ? Impossible de connaître la cause du décès.

  40. Il y a une solidarité de classe entre fonctionnaires !

    Un fonctionnaire jugé par des fonctionnairs aura forcément droit à l’indulgence plénière de ses coreligionnaires !

    • Merci Flo –
      ça se corse ! McKinsey : « résultat fiscal négatif », en France ! (enquête sénatoriale).
      (fiston Fabius n’y est bien entendu pour rien).

  41. Les ïles –

    Méconnaissance personnelle de la Corse, et de son Histoire, sinon celles de ma mère, laquelle vouait une admiration sans borne – ou presque – à l’Empereur.

    Quant à Sicile, Sardaigne, Baléares et « l’indépendance » ? A part l’envahissement touristique… à la mode du reste du monde.

    La côte nord Sarde fut réservée aux gros yachts et à leurs proprios ; plus au sud, on pouvait, dans un passé pas si lointain, louer une petite maison, et profiter des largesses du jardin – cueillir les pêches par ex – et aller chercher le poisson (aux alentours d’Arbatax). C’est bel et bien fini.

    Et les Baléares – comme les Canaries, côtes férocement bétonnées depuis lurette, à l’image du sud Andalou – désertées par leurs habitants, et largement occupées… par l’Allemagne – en particulier Majorque, à l’image de son aéroport.

    Méconnaissance (ou presque) du centre de ces îles – hormis un peu, Sicile et Majorque – il reste à espérer que ce qui reste de « locaux » continuent de vivre leur vie, à leur façon.

  42. Kadhafi voulait racheter la Corse à Mitterrand mais malheureusement il a fini comme on sait ! Qui va bien vouloir payer pour nous débarrasser des Corses ?

  43. Un bébé corse qui gigote dans son berceau c’est un chef mafieux en puissance !

  44. Quant au sieur Pécresse, qui « n’est pas résident fiscal français… gains entre 500 000 et
    1 million de $ par an, chez GE … sans compter les stock-options, entre 1 et 20 millions de $ par an… »
    (source : TVL, Sam. Pol. 19/02/22)

  45. Je trouve quand même Zemmour d’une immense bêtise ! Il aurait dû sangloter à la télévision devant le spectacle des réfugiés ukrainiens, ça lui aurait donné pour pas cher une réputation d’homme d coeur et il prenait dix points dans les sondages ! Au lieu de cela il fait une lçon professorale sur l’affrontement de deux empires comme Brighelli sur Causeur ! Alors que chacun sait que la téléivision c’est le média par excellence de l’émotion immédiate !

    Trente ans de télé pour n’y rien comprendre ! Quel idiot …

    • Vous connaissez sans doute « Le masque et la plume » c’est une émission de radio fondée dans les années cinquante par Polac et Bastide – Bastide était un bourgeois très pincé très comme-il-faut – l’émission ronronnait dans le style « culturel officiel » pompeux voix haut perché etc – un jour Charensol et Bory se mettent d’accord : on va faire du spectacle, on va faire semblant de se disputer dru ! Et nos deux compère de mettre le bordel dans l’émission : ça y était elle était lancée !

      Polac a repris le principe sur TF1 avec « Droit de réponse » il disait que quand il présentait l’émission le samedi soir il ne débandait pas de toute la journée tellement il était excité à la perspective d’enfumer les gens !

  46. Zemmour croit qu’on l’écoute à cause de son intelligence ou de sa culture alors que ce que les gens apprécient c’est la polémique ! C’est le ton les éclats de voix … pas la substance !

    Encore un qui a la grosse tête parce qu’il passe à la télé !

  47. Le « machin » (suite) : « l’Onu décrète que le 15 mars sera désormais la Journée contre l’islamophobie » (bvoltaire.fr)

  48. Je crois que Zemmour illustre le principe de Peter : il se gobe tellement lui-même qu’il en est arrivé à son point d’incompétence majeure !

  49. « J’en connais qui vont avoir mal au fondement à force de (ré)introduction » (le trou du QI)

    C’est la fâcheuse conséquence de celles qui ont une vie intérieure très riche. Comme quoi, la pénétration, il faut en sortir au plus vite, comme disent les goudous.

  50. Savez-vous comment reconnaît-on Satan quand il copule ? Il a le sperme froid …

    • Merci Dugong. Je doute que cet article de fond ouvre les yeux des poutolâtres qui traînent par ici, mais les faits sont là, c’est tout ce qui compte.

        • Vous en êtes un autre.

          Quant votre antienne sur les faits-qui-n’en-sont-pas-parce-qu’ils-sont-le-produit-d’une-construction-intellectuelle, elle devient fatigante, crétin. On parle de gens qui se font assassiner. Tant pis si ce n’est pas assez factuel pour vous.

          • Si pour vous la critique de la factualité se résume à la « construction intellectuelle », il y a en effet erreur sur la personne : c’est plutôt monsieur Dugroscon ! On ne lutte pas contre l’arstitoto-platonisme avec les épées en bois du luckmannisme. M’enfin…

          • Quant à « assassiner », hein, telle est un peu la question… L’oncle vespéral fournit un exemple de réponse – après il faut savoir lire ce qu’écrit Dugong.

          • Si parler de platonisme suffit à faire de vous un cuistre… La bêtise fière d’elle-même, c’est du propre.

          • J’en aurais d’autres bien moins courtois mais j’ai déjà assez perdu mon temps. A jamais.

          • Si au moins vous avez relu Dugong… peut-être pas tant que ça. Mais était-ce bien ce que vous étiez venu chercher ?

  51. Mendax nous offre ici un bel exemple de l’utilité du platonisme. Pas complètement faisandé… tant qu’on se l’applique un peu à soi-même. Hypothèse lourde.

    Exemple : on se gausse, après trois larmichettes d’une commisération bien tapageuse, de la finesse de la communication du Vlad, qui fait passer les Ukrainiens pour des nazis – et on emploie le mot-tirelire de propagande. Bien. Mais il ne faut s’arrêter là, il faut regarder si le cul des Occidentaux est propre. Et là… Parce que psychiatriser le cas Poutine ne relève pas d’une rhétorique tout aussi peu fine ? Parce que l’unanimisme des médias français n’est pas suspect à lui seul (paraît même qu’y a des petits drapeaux ukrainiens à la télé) ?

    Un mot tirelire, on a l’humilité de ne pas se le revendiquer.

  52. Tout le problème des accusations en jargonnage et autres critiques en complexité est de supposer la bêtise de l’interlocuteur… avant sa propre faiblesse intellectuelle. À ce compte-là, Meirieu jargonne – tout comme Perelman. Dans la classe de cinquième de Madame Michu, Flaubert est un cuistre, pas Gilles Paris (l’Autobiographie d’une courgette).

    De sorte que le Meirieutron est une réponse ô combien plus pertinente à Meirieu que le « ouinouin méchant jargonneur » – sauf à considérer que la seconde est dépourvue stricto sensu d’argument. Les mots-tirelires sont commodes entre amis, contreproductifs entre débatteurs : pas de définition rigoureuse de la rigueur, etc. Et ce n’est pas de la coquetterie, hein, c’est fondamental.

    Où l’on voit l’immense supériorité de Dugong sur pas mal de ses zélateurs.

  53. Partager le monde entre d’un côté la propagande et de l’autre l’information fiable ne rassure que les esprits médiocres !

  54. L’humilité criée sur tous les toits… que de prétentions intellectuelles on cache en ton nom !

  55. Vous connaissez tous ce mème internet, j’espère ?

    https://ibb.co/6mpRkcV

    Du genre :

    1 – lEs tRAnS soNt DEs mAlAdES MeNto.
    2 – Les trans sont des gens normaux.
    3 – Les trans sont des malades mentaux.

  56. Chaque bombe, chaque obus, chaque salve de katiouchas qui tombe sur les Ukrainiens est une claque dans la gueule de tous les faux mineurs isolés, une claque dans la gueule de ceux qui paradent sur les chars de la gay Pride, une claque dans la gueule de tous les partisans de la GPA, une claque dans la gueule de tous les barbus et de toutes les femmes voilées, une claque dans la gueule pour tous les Traoré, pour tous les Bouhafs, pour tous les Plenel, BHL, Cohn-Bendit et consorts.

    • Ici, s’opposer à nos gogols, n’est pas besogne facile – Illustration

      Une copine, entre autres lubies, furieusement anti UE, aime bien refaire l’Histoire, avec son petit-fils.
      Dernière : après la « leçon » de sa prof d’histoire(s) sur l’UE, il a levé le doigt, pris la parole et tenté de démonter tout l’exposé.

      Réaction : « il ne faut pas écouter et croire l’histoire racontée par une grand-mère, qui n’est pas une spécialiste ; seul le professeur d’histoire sait et connaît la vérité ».

      • « il ne faut pas écouter et croire l’histoire racontée par une grand-mère, qui n’est pas une spécialiste ; seul le professeur d’histoire sait et connaît la vérité »
        D’après ce que j’ai lu de lui, Jean-Paul Brighelli aurait pu réagir mot pour mot de la même façon.
        Ce gamin a la chance d’avoir une enseignante instructionniste, et vous vous plaignez ?
        Incohérent.

  57. 60 ans après les « accords » d’Evian (ô propagande si pure, si légère), Alger (la blanche) trombine encore l’histoire à l’envi. Alors quelques jours après le début de « l’opération spéciale » en Ukraine…

    PS : vu l’ost-racisme entretenu, notamment dans le milieu cultureux français, envers les russes parce qu’ils ne sont pas ukrainiens, il devient urgent de protéger nos gogols.

  58. Lu plus haut :
    « pas de définition rigoureuse de la rigueur. Et ce n’est pas de la coquetterie, c’est fondamental. »
    Et il n’y a pas de définition mathématique des mathématiques, aussi?
    Pirouette pseudo-intello qui illustre la vacuité d’une pseudo-pensée. On dirait du BHL ou du Raphaël Enthoven.
    Il y a, fort heureusement, des définitions empiriques de l’absence de rigueur (souvent appelée amateurisme) et des illustrations par l’exemple de ce que sont la rigueur et l’absence de rigueur.
    Pareil pour la philosophie à la petite semaine, la logique de niveau CM1 pour les nuls, genre « Minos disait que tous les Crétois étaient menteurs etc. », dont on trouvera des illustrations par l’exemple sur ce blog même.

    • Non, Jojo, pas vous, pas après tout ce que vous avez fait…

      « Et il n’y a pas de définition mathématique des mathématiques, aussi? »

      Les mathématiques étant un objet du monde et les mathématiques n’ayant pas pour objet le monde, non, je ne vois pas comment une telle chimère pourrait exister. Suis preneur si vous avez quelque chose à proposer.

      « On dirait du BHL ou du Raphaël Enthoven. »

      Pif le chien si vous voulez – mais Enthoven ?! Ledit est spécialiste des mots-tirelires, toujours à vous expliquer qu’il est du côté de la rationalité. L’exact opposé de Bouveresse (qui se pouvait vaguement se désigner comme rationaliste et passait rapidement à autre chose).

      « Il y a, fort heureusement, des définitions empiriques de l’absence de rigueur (souvent appelée amateurisme) et des illustrations par l’exemple de ce que sont la rigueur et l’absence de rigueur. »

      Sauf que, du côté de l’empirisme, il y a fort à parier que les vertus associées au mot valdingue avec l’eau du bain : du gernre factualité devient synonyme de consensualité avec toutes les qualités qui vont avec (notule pour l’autre abruti de Mendax : merveilleuse illustration du fait que ma critique est analytique et pas constructiviste ; les faits existent sans être construction intellectuelle autant que vous le voulez mais ils n’ont, jusqu’à démonstration du contraire, pas la valeur de vérité qu’on prétend leur donner par nature (outre que la factualité d’un prétendu fait restera aussi à démontrer – problème d’économie de la démonstration à prévoir) – soit je m’exprime très mal, soit vous êtes une truffe !). Autrement dit, définition empirique pour définition commode, entre amis ou gens déjà convaincus – mais pas définition capable de preuve.

      Un exemple à proposer pour me convaincre sinon ?

      « des illustrations par l’exemple »

      C’est auto-référentiel, dans le genre absence de rigueur ?

      • Vrai spectacle (assez pervers) que de vous voir sodomiser les diptères. Vous avez l’air d’y prendre du plaisir. Vous aimez tellement avoir le dernier mot que je vous le laisse volontiers.

        Et sinon, à force de vous voir me prendre pour un autre dès que vous vous sentez mis en cause, je vais finir par trouver ce Gavrilovic très sympathique. Et pourtant, au départ, avec un marxiste ou marxisant pur porc, c’était pas gagné. Miracle genre Bernadette Soubirous, probablement.

        • Vous êtes gentil, Jojo, vous allumez des feux un peu partout mais vous les ignorez ensuite…

          Je serais très preneur d’une définition mathématique des mathématiques par exemple, sincèrement.

          • Vous tombez dans tous les pièges (pourtant assez grossiers) qu’on vous tend. Votre orgueil si mal placé vous a déjà perdu. Les lecteurs de ce blog vous voient pour ce que vous êtes : Vadius et Trissotin en une seule et même personne. L’homme qui se prenait pour le roi est nu comme un ver.

          • Oui, oui, c’est comme le coup de l’OCDE : vous jouez à l’imbécile pour nous prouver que vous ne l’êtes pas ! Ça trompe ceux que ça doit tromper.

            Et ma définition mathématique des mathématiques ?

  59. Mon ami Jean-Pierre Demailly, éminent mathématicien et président du GRIP, qui a tout tenté pour remettre l’Ecole sur les rails, est décédé hier 17 mars.
    Ça commence à bien faire…

  60. Curieux ce choix de « spongieux » ; spontex, puis mao spontex me sont immédiatement venus à l’esprit ! c’est dire à quel point le (mon) cerveau est encombré de bien des scories inutiles…

  61. Factualité, propagande, fake news, post vérité etc. :
    on verra bientôt sur ce blog un certain intervenant nous démontrer (avec une flopée de mots de plus de 5 syllabes se terminant en -isme) que l’attaque des Stukas sur une petite ville basque du nom de Guernica n’était rien d’autre qu’une opération pré-promotionnelle menée de façon habile par un obscur peintre espagnol émigré à Paris en quête de gloire.

    • « avec une flopée de mots de plus de 5 syllabes se terminant en -isme »

      Platonisme, ouh là là… C’est ce qu’on m’a appris dans ma fac de province, quelconque très quelconque !

  62. Ouin-ouin-ouin, le méchant jargonneur qui use de termes que tout le monde connaissait en Term il y a vingt ans !

    À ce compte-là, Perelman jargonne. Meirieu aussi, certes.

  63. Le papa droitard, c’est comme les costumes camel : ça ne va pas à tout le monde !

    • Quand on s’amuse avec vous comme les chats avec une souris, vous prenez ça pour de l’esquive, c’est hilarant. Et votre incompréhension du second degré est un plaisir de gourmet.
      Tout en vous est tellement français…Le coq chantant à tue-tête les pieds dans la merde, c’est tout à fait vous. Surtout, continuez, ne changez rien, c’est vraiment trop drôle, merci, vraiment.
      Bon je vous laisse, j’ai du travail en retard.

      • C’est donc un 69 ! Nous nous faisons du bien mutuellement.

        Quand vous reviendrez, n’hésitez pas à me donner une définition mathématique des mathématiques !

        • Je peux déjà vous donner une illustration par l’exemple de l’incapacité à admettre l’erreur et de la certitude insensée d’une prétendue supériorité intellectuelle : cet exemple, c’est vous. Demandez donc à votre miroir qui, lui, réfléchit.

          • « la certitude insensée d’une prétendue supériorité intellectuelle »

            Ce ouin-ouinage pourrait être discuté s’il commençait par se fonder sur quelque chose d’un peu solide. Où avez-vous lu que je prétends à la supériorité intellectuelle ? Je joue plus ou moins au Socrate – avec infiniment moins de talent que l’original si vous voulez – mais je ne prétends pas dire des choses plus divinement interessantes, voire vous convaincre. Vous voyez du discours sérieux là où il n’y a que de la déconne. Aux fraises complètement une fois de plus.

  64. « L’homme qui se prenait pour le roi »

    Encore un grand moraliste aux fraises. Si je me prends pour quelque chose, c’est pour le bouffon, pas pour le roi.

  65. Sémantoc – pour en revenir à des notions plus terre à terre –
    Le plein empoi dans 5 ans, juré, promis, grâce au passage de « Pôle Emploi » à « France Travail » : McKinsey, toujours le plein d’idées !

    • Bah tiens, avec un RSA conditionné contre 20h de travail hebdomadaires minimum quand il n’y a qu’à traverser la rue pour trouver un job. Fastoche.

  66. Répéter encore et encore « le roi est nu, bla-bla-bla » ne peut s’expliquer que par trois manières.

    Ou bien geste de charité pour inviter le dindon à se rhabiller – mais vous me permettrez de douter d’autant de bienveillance de votre part.

    Ou bien c’est un sujet comme un autre, une nudité au carré, et tout le monde y trouve son compte : le roi (nu) se fait plaisir à trôner et l’audience rit encore plus fort.

    Ou bien on essaie de se persuader : quand on fait savoir que le dîner est un dîner de con, c’est peut-être parce que ledit dîner n’a pas aussi bien marché qu’on le voudrait… « Mais parce que j’te dis qu’c’est un dîner de con et que tout le monde te trouve comme ça ! »

    • « Où avez-vous lu que je prétends à la supériorité intellectuelle ? Je joue plus ou moins au Socrate »
      🤣🤣🤣
      Celle-là est à mettre sous verre, faut surtout pas qu’elle s’abîme, elle est trop magnifique !
      Voyez-vous mon pôvre, à trop vouloir y revenir sans cesse pour avoir encore et toujours le dernier mot, vous finissez par écrire des trucs à la hâte, qui vous trahissent, vous et votre ego de malade.
      Le Roi n’est plus seulement nu, on commence à voir l’os.

  67. Vous l’avez peut-être répété depuis longtemps à Gavrilovic, mais moi c’est la première fois que je lis aussi magnifique oxymore de votre part !
    « Moi, prétentieux ? Je ne fais que jouer à Socrate. »
    Non mais vous vous rendez plus compte, ou quoi?
    🤣🤣🤣

    • Jojo, lisez donc : « Je joue plus ou moins au Socrate – avec infiniment moins de talent que l’original si vous voulez – mais je ne prétends pas dire des choses plus divinement interessantes, voire vous convaincre. »

  68. L’abeille butine mais elle ne drague jamais, elle est trop laborieuse pour se distraire ainsi !

  69. N’essayez pas de me rendre zinzin avec vos bzz ! bzz ! y a déjà Macron qui essaye …

  70. Merci à Warlord de rabattre son caquet au boulet qui s’incruste ici. Ça fait du bien.

      • Et si, vous aussi, vous avez une définition mathématique des mathématiques à nous donner…

        • Sans sombrer dans la définitionite, il est peut-être bon de rappeler la saillie de Russel (Bertrand, pas Finn) :

          « La mathématique, science où l’on ne sait pas de quoi on
          parle, ni si ce qu’on dit est vrai »

          C’est pas faux…

      • Oui alors vous… des trois couillons en présence, vous remportez la palme !

        Painter est un suiveur couillemollard, espèce vilaine mais globalement inoffensive. Jojo est vexé comme un pou mais il se bat avec vigueur et, surtout, il nous a déjà montré qu’il valait (beaucoup) mieux que ça. Mais vous… suffisamment con pour transformer une critique analytique de la factualité en critique constructiviste – champion hors catégorie !

  71. Ce soir c’est Crunch. Dans ce jeu d’arcade (sourcillère), du sang (impur) d’anglois abreuvera ceux qui ne sont déjà plus des moussaillons.

  72. N’essayez pas de me rendre zinzin avec vos bzz ! bzz !

    Pedro, au lieu d’épancher tes sentiments sur l’épaule du trou du qi, tu devrais plutôt raconter tes histoires de cœur à Floraline. Elle sera sincèrement à ton écoute, car à ma connaissance, elle n’a pas d’autre vie amoureuse.

  73. Relu l’article sur le corps littéraire des goudous. Ce bouquet d’aristolesbiennes avec leurs poèmes de fleurs de lit sans e-pines sont ahurissants de niaiseries.
    Je les ai fait lire à un de nos intellectuels de l’Institut Bartabacs déraciné(il sait lire, écrire et compter) qui me disait tantôt :
    « Le culte des lesbiennes ? Ça m’en touche une, sans faire bouger l’autre. »

    Mais où va t il chercher tout ça ?

  74. Parcouru aussi l’article de JP sur l’homme chauve-souris dans Causeur(le magazine des bourgeois-bourrins où s’étalent leurs préjugés, leurs haines et leurs peurs qui se donnent des airs virils), j’en déduis donc que le film a suscité chez lui autre chose que l’ennui poli qu’il a suscité en moi. Je ne me suis pas ennuyé. Je me me suis pas éclaté non plus. Perso, j’en aurais fait une critique de type théorique-neutre. Ce n’est pas du niveau de ceux de Nolan mais ça s’élève bien au-dessus du tout venant hollywoodien de ces dernières années. Après, pas sûr que ce Matt Reeves soit un immense metteur en scène mais un très solide artisan, ça oui ! Du bon artisanat de fabrication de film, impeccable, satisfaisant, pile poil dans le cadre, à un millimètre près. De ce point de vue, nous avons été comblés…et le fait d’avoir perdu Alfred en cours de route nous a bien fait rire.

  75. Nouvelles du(bas du) Front

    Pensant aux épouses russes injustement délaissées par leurs maris engagés sur le front ukrainien, je songeais à me former en accéléré à la langue russe dans ce qu’elle a de plus délicat pour aller les consoler(car je sais d’expérience qu’il n’y a pas de contrariété qu’un cunnilingus secourable ne dissipe), quitte à passer pour un traître à l’Occident.
    A ce propos, j’ai un aveu intime à vous faire qui touche au ‘cœur’ de ma famille … mon grand-oncle.
    Grand-Tonton, un homme d’une beauté farouche et saisissante, un Hercule de bureau, avait pendant l’Occupation, comme maîtresse, une splendide Walkyrie travaillant à la Kommandantur, aux courbes teutoniques(ta tatie, ça te changera de l’ordinaire) revues et corrigées par Bézier et aux cheveux d’Or du(coup de)Rein.
    Il se plaisait à dire : « Pendant l’Occupation, je m’occupe ! Uhuhu… » …. Ah, le brave homme !
    A la Libération, de maigrelets résistants, des minables nervis, tentèrent de le tondre, le prenant pour un traître à la Patrie (alors qu’il n’était idéologiquement soumis qu’à un instinct mentulaire d’amitié entre les peuples tout à fait honorable).
    Sentant le ciseau arriver, Grand-Tonton prit les devants : il sacrifia sa crinière de Centaure, paya grassement les résistants, et la guerre bien finie, retourna vivre avec Grand-Tatie, une sainte femme, à la madame de Sade, qui aimait farouchement son époux.
    À suivre…
    Il m’est impossible de continuer ce récit aujourd’hui car le souvenir de la geste de Tonton le Grand m’envahit d’émotion à un point tel que je dois vous quitter. En larmes !

  76. – Qui c’est qu’a gagné la guerre au fait ?
    – Les marchands de canons comme d’hab !

  77. Ce qui me fait penser qiue le fils du policier-nazi autrichien vous savez le bel Arnold tout-en-muscles s’est fendu d’une video de propagande pro-US et anti-Poutine !

    • Sa spécialité en-dehors du champ des caméras c’est de copuler avec la bonne latino … vous voyez le genre !

  78. T’en veux du René ? (suite)

    « Sur le statut des êtres mathématiques, on n’a jamais fini de décider entre
    Platon et Aristote. En tant que mathématicien, je suis platonicien. Je crois
    à l’existence autonome des entités mathématiques. Plus exactement, je crois
    à l’unicité foncière des mathématiques. Si dans notre Univers, en quelque lointaine galaxie, des êtres pensants venaient à créer leur mathématique, tout donne à penser que, mis à part quelques détails dus à des contingences historiques, elle ne devrait pas différer substantiellement de la nôtre. Une certaine forme d’autonomie sémantique ne peut guère être refusée aux objets mathématiques. Savoir si cette existence peut être détachée – séparée – des cerveaux humains qui la pensent, est un problème typiquement métaphysique, très probablement indécidable. On est là dans le domaine de la foi. »

    • Oui c’est cela ! Si nous étions des dieux nous ne ferions pas des mathématiques nous serions les mathématiques !

      Ouaf ! ouaf ! J’ai toujours pensé que les profs de maths se prenaient pour des petits dieux … et que les profs de physique étaient leurs servants obséquieux !

  79. A force de se caresser le nombril qu’est-ce que deviennent les géomètres ? Des cercles vicieux …

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