Cet ouvrage, qui devait être signé par mon ami l’avocat Paul Lombard, était achevé quand un AVC l’a privé pendant un temps de ses capacités — avant qu’un second ne l’expédie dans un monde d’autant meilleur qu’il n’existe pas; Il était complètement rédigé, il ne sortira jamais, tant pis.
Ce qui suit était le début de ce récit de vie ultime intitulé
Les Prolongations.


Jeudi 23 septembre. Il s’apprête à déjeuner quand un brouhaha, dans la rue, attire son attention. Il jette un œil par les grandes baies vitrées : un groupe de jeunes gens descendent la rue Guynemer, le long du jardin du Luxembourg. Ils sont peut-être une dizaine, bras dessus bras dessous — il fait beau, les jupes des filles volent, c’est fort plaisant à voir. Ils parlent haut, et, à mieux y regarder, sont encombrés de pancartes et de banderoles à demi déployées.
L’idée, soudain, s’impose : ils se rendent à la manifestation prévue ce jour, contre la proposition de loi faite par le gouvernement d’imposer à tous une retraite à 62 ans.
Il n’en revient pas. Le plus âgé de la bande, là-dessous, a tout au plus 25 ans. Bon sang, que faisait-il, lui, à 25 ans ? C’était au début des années 1950, il venait de finir son Droit, il travaillait comme un fou — il travaille toujours, d’ailleurs, presque 60 ans plus tard. La retraite ?
Le mot, pense-t-il, évoque des Anabases douteuses, des Bérézina douloureuses. « Sonner la retraite », comme disent les militaires, a quelque chose de honteux — un sentiment de fuite, de découragement. Mettre bas les armes, et partir en courant, tout au long de la steppe russe. Est-ce que Roland, à Roncevaux, a pensé sonner la retraite ? Bon sang, il n’a même pas voulu céder aux objurgations d’Olivier, et sonner du cor pour appeler Charles, là-bas, à l’avant-garde… Et il y avait, dit le chroniqueur, encore plus de Maures autour du roi Marsile dans le défilé de Roncevaux que de cosaques dans l’armée de Koutouzov.
Les images qui lui viennent sont presque toutes martiales. C’est qu’il appartient à une génération pour laquelle Léonidas était bien le héros qui avait, avec trois cents Spartiates, affronté Xerxès aux Thermopyles — et non une marque de chocolats belges. « Ils sont jeunes, maugrée-t-il en regardant la bande qui remonte la rue de Vaugirard en direction du Sénat, ils devraient vivre à 200%, au lieu de réclamer une « retraite » — quelle horreur ! »

C’est alors que l’image lui est venue — non plus guerrière, mais sportive. « La retraite, pense-t-il, c’est le retour définitif aux vestiaires, quand l’arbitre a sonné la fin du match : voilà, il n’y a plus rien à faire, plus de buts à marquer ni à encaisser, il n’y a plus à courir, on peut laisser le cœur redescendre à l’étiage. Qu’on ait gagné ou perdu, il n’est plus temps ! »
Plus temps… Quel temps ?
Il n’a jamais eu conscience de son âge — ni à 25 ans, quand il vivait trois vies en même temps, ni à 45, quand il était déjà un avocat connu et reconnu, ni maintenant. Et il vit toujours avec autant d’intensité, il travaille toujours. Moins d’acharnement, mais peut-être plus de finesse. Il aime toujours les beaux objets — sa maison en est remplie —, il aime toujours les femmes. « La vieillesse, pense-t-il, ça n’arrive qu’aux autres. Un naufrage ? Mais je suis insubmersible ! »
Alors, bien sûr, il rencontre parfois des vieillards moins âgés que lui, cassés sur leur canne, l’œil vitreux, déjà ailleurs, lorgnant vers quelque fosse insondable, la démarche hésitante, le pantalon en berne. Oui, ceux-là ont pris leur retraite il y a déjà vilaine lurette. C’est ce qui les a détruits, certainement : il y en a tant, et en grand nombre, qui meurent dans les mois qui suivent leur départ à la retraite, cassés dans leur élan, désormais inutiles, des malheureux qui ont cru qu’ils feraient enfin quelque chose de leurs loisirs, et que la vacuité soudaine de leur existence tue. Ils meurent de désœuvrement, de la vanité de l’otium, comme disaient mes maîtres latinistes, ce temps du loisir infini qui s’oppose au negotium, le temps des échanges, et du travail, torture délicieuse. Cela fait bien les affaires des caisses de retraite en particulier et de la Sécurité sociale en général, autant de pensions que l’on ne versera plus…
Est-ce vraiment cela, l’ambition de ces jeunes gens qui s’en vont manifester ? L’une des jeunes filles si pressées de prendre sa retraite avait, en surplomb, une poitrine de déesse — septembre est chaud, cette année, et autorise tous les dévoilements.
Quand même ! « Nous ne voulons pas d’un monde où la certitude de ne pas mourir de faim s’échange contre la certitude de mourir d’ennui » : il se souvient comme si c’était hier de cette boutade soixante-huitarde, il avait quarante et un ans à l’époque, la crinière au vent, les cheveux aile-de-corbeau, il travaillait encore à Marseille, à l’époque, et il venait d’apprendre que son ancien lycée, le lycée Thiers, avait été rebaptisé « lycée de la Commune de Paris » par une bande de chevelus hirsutes qui l’occupaient — ils avaient bien raison, Thiers était un être répugnant, quoique Marseillais lui aussi. « Mourir d’ennui » ! C’est tout à fait cela…
« Heureusement, pense-t-il soudain, que l’arbitre a sifflé les prolongations. Des prolongations à vie. « The sky the limit », disent les Anglo-saxons.
Même chose en amour. Il n’y a pas de « dernier amour », sauf dans les romans à deux balles et à l’eau de rose. Toute passion appelle une nouvelle passion. Au fond, il a toujours été amoureux. Sauf que sa passion a très souvent changé d’objet.
Mais justement, pense-t-il soudain, peut-être faudrait-il enfin choisir — à l’aube de la toute dernière mi-temps…
Et deux ombres passent dans le soleil de cette belle journée. Il a un geste de la main, comme pour les chasser. Mais les fantômes familiers s’accrochent à ses prunelles du dedans avec l’obstination du désir.

Jean-Paul Brighelli

221 commentaires

      • Je ne sais pas si c’est être intelligent que de ne pas comprendre qu’avoir le cul vissé sur une chaise face à un bureau toute la journée ne renvoie pas à la pénibilité du monde du travail dans sa globalité.
        Qu’en penserait un infirmière qui doit gérer 15 malades, aujourd’hui, dans un service hospitalier quand il y a encore vingt ans ce nombre était divisé par trois ?

          • Mais que vous occupiez un poste dans la fonction publique quand vous avez atteint l’âge de la retraite n’est pas normal.
            Parce que vous occupez une place qui revient normalement à un autre normalien dans la pleine force de son âge, débutant ou pas.

          • Mais j’ai pris ma retraite à l’âge légal — 67 ans, après 49 années de cotisations. Vous trouvez que je n’en ai pas fait assez ?
            J’aimerais, moi, que ce soit la norme — surtout quand j’entends nombre de profs quinquagénaires se plaindre.

          • Ces gens qui ont la chance immense d’avoir ces dispositions (intellectuelles et relationnelles et/ou familiales) qui leur permirent d’exercer une activité rêvée en mourraient, enfin, vous voulez dire, qu’ils mourraient comme un agriculteur qui se flingue par jour actuellement parce que l’obésité de l’Etat et de l’UE font le contre-poids de la corde qui l’a au cou ?
            Merdre alors, vous n’imaginez pas comme ça me peine… (oui, je déconne)

          • Ce n’est pas « Prolongations » mais « Les enfants gâtés de la République »…

          • Mais vous en avez déjà trop fait ! La législation vous a autorisé de pouvoir pousser la chansonnette jusqu’à 67. Mais parce que vous le désiriez ! Ne vous imaginez pas simplement que tous les actifs de ce pays partagent votre point de vue.

  1. Lormier,

    Je vous trouve bien sévère avec cet avocat. Bien sur je ne le connaissais pas personnellement, mais les fois où je l’ai lu, entendu, il ne m’avait pas semblé mériter un tel opprobre. Il était d’une autre trempe que Me Collard.
    Que vous a-t-il fait pour s’attirer ainsi votre foudre?

  2. Gérard
    Je ne sais pas si c’est être intelligent que de ne pas comprendre qu’avoir le cul vissé sur une chaise face à un bureau toute la journée ne renvoie pas à la pénibilité du monde du travail dans sa globalité.

    Oui mais je crois que le distinguo fondamental, que des gens même intelligents ont du mal à saisir, c’est entre des emplois gratifiants et des emplois qu’on exerce seulement pour vivre. Il doit y avoir beaucoup d’avocats qui soupirent après la retraite . Par contre des avocats de premier plan, des hommes politiques, dopés au succès et à l’agitation d’une vie trépidante et rémunératrice, ce qui est toujours omis par bienpensance – affectent de parler avec mépris de la retraite, se donnent en exemple de la possibilité de travailler jusqu’à 70 ans et plus …
    On voit ainsi des Barnier et des Bayrou devenir premier ministre à 70 ans passés, travail difficile mais compensé largement par la gloriole qui s’y attache et le fait de l’exercer entouré de collaborateurs ( jeunes en général) qui se coltinent à leur place la plupart des désagréments..

    • Lombard travaillait encore à 80 ans passés.
      Quant à ceux qui croient que défendre Ranucci (et les autres) était une sinécure…

    • Je connais trop d’avocats, amis et connaissances, qui n’ont jamais réussi à vivre de leurs plaidoiries comme se l’imagine l’inconscient collectif qui perçoit le bavard comme pouvant rouler en 911. Ils étaient obligés pour la plupart de faire le pied de grue au Palais, en commis d’office payé à coup de lance pierre. Ils gagnaient le smic. Ils n’avaient pas les moyens de prendre des parts, au montant très élevé, dans un grand cabinet, beaucoup ont mis leur robe au placard se sont tournés vers d’autres activités.
      Quant à Bayrou, il visait la gloriole de lire son nom dans le Larousse et puis l’appât du gain qui augmenterait très confortablement sa retraite et tous les joujous qui vont de paire que connaissent tous les anciens premiers ministres : bureau, voiture de fonction avec chauffeur, malabars etc…

  3. En fait, un mot manque à mon message précédent et c’est le mot pouvoir. On s’accroche volontiers à un travail qui vous donne du pouvoir.
    Ensuite il y a les emplois qui correspondent à un goût, à une  » passion  » comme on dit souvent ( je n’aime pas trop cette facilité) et que peu de gens ont la chance d’exercer. Un universitaire spécialiste incontesté d’un domaine, un expert en art, un antiquaire. etc conjuguent souvent goût personnel et travail. Ce n’est pas donné à tous.
    Et généralement ces emplois s’exercent dans de bonnes conditions extérieures ( pas de parcours d’une heure ou une heure 30 aller et idem retour avec métro RER pour se rendre à son lieu de travail etc).

  4. JPB
    Quant à ceux qui croient que défendre Ranucci (et les autres) était une sinécure…

    Certes mais Ranucci c’était en 76, il avait donc environ 50 ans.
    Mais à 80 ans je parie que la partie la plus déplaisante ou fastidieuse du boulot d’avocat était faite par des assistants de 25 , 30 ans.

  5. Habile plaidoirie. Leçon de vie. Celle de JPB : être et toujours rester… désirant.
    « mourir d’ennui », jamais !

    Passion(s) de la vie d’où ont été exclus (voire pardonnés, pas même de « sursis ») les possibles dérapages.

    Et quel bien triste… dérapage, que celui d’aller défendre… en pleine jeunesse ce triste mot de… « retraite ».

    (Paul Lombard, évidemment connu de nom, mais jamais ni entendu, ni lu)

    • Je n’ai pas eu (voulu avoir) la même lecture que Gérard,
      à qui on ne peut évidemment pas donner tort,
      pas plus qu’à ECHO.

      Je crains que pour beaucoup « l’activité » ne soit de moins en moins rêvée…
      y compris « le cul vissé sur une chaise »,
      ou devant certains jeunes… apprenants.

      Et j’en connais qui, après une vie de dur labeur, sont rongés… par l’ennui.
      Rester actif et « désirant ». Voilà !

      • Les « enfants gâtés  de la République » (Gérard) :
        la « République », qu’en reste-t-il ?
        Et les « enfants » ? de nos jours de plus en plus abîmés…
        Les enseignants, comme beaucoup d’autres « cadres », sans parler du menu peuple, n’ont jamais été aussi mal payés !

        « normes » Retraite (JPB) :
        la fin de « l’Etat-providence * » et en cours, semble-t-il.
        On risque fort d’en venir aux « normes » qui sont appliquées ailleurs…

        * en GB, démantèlement prévu du NHS.

  6. J’ai lu trop vite le chapeau  » récit de vie ultime « ;j’ai pensé qu’il s’agissait d’une fiction, que l’auteur avait voulu créer un personnage archétypal:l’hyperkhon bourgeois.

    Dans le fond, ça ne change rien.

    Que ce soit auto-biographique ou fictif, nous avons bien sous les yeux un hyperkhon bourgeois.

    quelques exemples:

    i) « ils se rendent à la manifestation prévue ce jour, contre la proposition de loi faite par le gouvernement d’imposer à tous une retraite à 62 ans.
    Il n’en revient pas. Le plus âgé de la bande, là-dessous, a tout au plus 25 ans. L’une des jeunes filles si pressées de prendre sa retraite avait, en surplomb, une poitrine de déesse »

    Pure khonnerie:un jeune qui manifeste ne manifeste que pour lui-même ? Il ne pense pas à ses parents Pas de vision prospective ?

    ii) Un jeune de 25 ans qui réfléchit ne serait pas capable de comprendre quel type de société le gouvernement veiut mettre en place ? Pas capable de voir que la réforme des retraites est un élément d’un vaste plan de réforme sociale ?

    Ce type est aussi khon que Woerth disant à Manès Nadel de passer son bac d’abord.

    iii)« Sonner la retraite », comme disent les militaires, a quelque chose de honteux  »
    L’hyperkhonnerie va bien avec le sophisme;quand on use du sophisme dans une dispute,c’est malhonnête, mais pas forcément khon; en revanche, se repaître soi-même de sophismes c’est être très khon. (Sophisme reposant sur une « syllepse de sens » comme dit savamment ===========)

    iv) « Ils meurent de désœuvrement, de la vanité de l’otium, comme disaient mes maîtres latinistes, ce temps du loisir infini qui s’oppose au negotium… »

    Alors là, ce khon n’a pas dû bien écouter le professeur de latin .

    Dans neg-otium, neg est un préfixe négatif.

    Et l’otium, pour les Latins, c’est tout sauf le « désoeuvrement », la « vanité »;l’otium ce n’est pas rester en pyjama toute la journée à boire des Ricard,c’est le loisir intellectuel, celui qui crée de la connaissance et des oeuvres.
    Le negotium, c’est l’affairement, le commerce, choses nécessaires mais qui ne doivent pas absorber tout le temps de vie.
    v) « du travail, torture délicieuse. »
    En cours de latin ,ce khon comprenait de travers.
    Et en philo ? Il dormait le jour où le cours portait sur l’aliénation ? Parce que l’aliénation au travail, c’est un concept assez fort.
    vi)  » Il n’y a pas de « dernier amour », sauf dans les romans à deux balles et à l’eau de rose. Toute passion appelle une nouvelle passion. Au fond, il a toujours été amoureux. »

    L’impossibilié d’aimer va souvent de pair avec la khonnerie.
    Etre amoureux, ce n’est pas aimer.

    Abuser de sa secrétaire ou de jeunes stagiares quand on est patron, ce n’est pas aimer.

    Ne percevoir l’autre que comme une proie ou un objet de plaisir, ce n’est pas être intelligent.

    Le prédateur sexuel n’est qu’un individu peu abouti.

    etc.

    • « Le prédateur sexuel n’est qu’un individu peu abouti »

      En tout cas, s’il est du bon côté du manche, il peut aboutir…

  7. ECHO 30 mars 2025 à 12h40

    « … je crois que le distinguo fondamental, que des gens même intelligents ont du mal à saisir, c’est entre des emplois gratifiants et des emplois qu’on exerce seulement pour vivre. Il doit y avoir beaucoup d’avocats qui soupirent après la retraite .  »

    Une infirmière croise Delfraissy (cvous avez ,le criminel, membre du « conseil de défense ») et l’interpelle sur les retraites

    Il lui dit: »eh bien moi,j’ai 67 ans et je travaille toujours. »

  8. Les jeunes gens qui passaient sous les fenêtres de l’hyperkhon , rue Guynemer (beau quartier,vue sur le Luxemboiurg) ,nous ne savons pas grand chose d’eux.

    Imaginons qu’ils étaient intelligents, capables de comprendre ce qui se tramait avec la réforme des retraites:une transformation socialemajeure.

    Aujoiurd’hui, les khons ne sont pas capables de voir que ce qui s’est passé avec la plandémie est une tentative de prise de pouvoir sur le corps du citoyen.

    Ils disent:passons à autre chose, alors qu’on est en plein dedans et que le pouvoir néo-nazi est loin d’avoir battu en retraite.

    A partir du moment où on estime qu’il ya des gens « qui ne sont rien », à partir du moment où la valeur d’un individu est mesurée uniquelent par la plus-value qu’on peut en extraire en l’exploitant, il est logique d’euthanasier les vieux, il est logique de ne plus soigner les gens,mais de les considérer comme un troupeau qu’on vaccine à la chaîne.

    Les propos du Professeur Fontanet (« on peut bien tuer 2500 personnes si ça permet d’en sauver 250 000 ») ne se comprennent que parce qu’ils s’inscrivent dans cette conception néo-nazie de l’être humain.

  9. Diable Lormier, avec vous Lombard est habillé – même s’il n’en a plus besoin.

    En effet les anciens tenaient en grande estime l’otium. Le negotium n’était que le moyen de se procurer le temps venu ce que Ciceron appelait otium cum dignitate, le repos dans la dignité.

    Ce qui est désagréable dans ce texte est qu’il fait écho aux discours des politiciens et responsables patronaux sur la valeur travail etc. discours généralement adressé sur un mode sermonneur à ceux dont le travail est le moins gratifiant par ceux qui ont un travail qui leur procure satisfaction et avantages.

    • On ne saurait mieux dire.

      Vous savez, Lombard ne m’intéresse pas plus que ça;ce qui m’intéresse c’est son discours qui en effet rejoint celui des puissants d’aujourd’hui.

  10. ECHO 30 mars 2025 à 13h39
    En fait, un mot manque à mon message précédent et c’est le mot pouvoir. On s’accroche volontiers à un travail qui vous donne du pouvoir.

    Et ce pouvoir,c’est-en particulier- celui d’intimider des jeunes meufs et de les baiser.

    Depardieu, sur un tournage, pouvait agresser les costumières parce que la production s’inclinait devant lui et laissait faire .

    • ECHO 30 mars 2025 à 13h39
      « En fait, un mot manque à mon message précédent et c’est le mot pouvoir. On s’accroche volontiers à un travail qui vous donne du pouvoir. »

      Oui, tout est là. Le pouvoir, c’est essentiel !
      Au jourd’hui, Depardieu a perdu son pouvoir.
      Il se plaint et répète sans cesse ni fin :
      « Je gémis sans pouvoir lutter »
      Oui…
      (deux)

  11. Je me demande si les commentateurs qui traitent régulièrement de… malcomprenants ceux qui ne pensent pas comme eux ne sont pas tout simplement « compacts » au sens mathématique du mot.

    • « Compact » a un sens en mathématiques;si vous voulez transposer dans un autre contexte,il faut expliciter.

      (NB Culioli l’imposteur a saupoudré ses articles de « linguistique » de remmes vaguement mathématiques -tels que « continu-compact, continu-dense »; ses petits camardes mathématiciens lui ont dit en toute franchise et gentillesse que-mathématiquement- cela n’avait aucun sens.)

  12. Euthanasie des vieux inutiles;rappel quelques données chiffrées. Bien que les macronistes aient tout fait pour cacher le maximum de choses, l’analyse statistique des données dispoibles a permis d’évaluer l’étendue du scandale.

    Evidemment, les moutons lobotomisés et les khons n’ont vu que du feu.

    https://www.youtube.com/watch?v=E2I6Q9wyWf0

  13. « « compacts » au sens mathématique du mot. »
    Là, ça vole trop haut (sauf pour Lormier peut-être) je me sens obligé d’intervenir:

    Un sous-ensemble de l’espace euclidien est dit compact s’il est fermé et borné

  14. Hcc1.
    (PCC de JG ? – à voir)

    Hcc1 aurait-il l’obligeance de nous dire ( si je comprends bien le sens de son intervention) quelle substantifique moëlle certains intervenants n’ont pas perçue dans le texte de Lombard ?

  15. « compact » : « ça vole trop haut »… –
    et la chute est donc vertigineuse avec « juter ».

    Voler haut, sans tomber dans le vulgaire ; ainsi en ont convenu bien des parvenus (😁) :
    A 50 berges, si t’as pas ta Rolex :
    (article de 2012) *

    « Si à 67, t’as pas une 911 » (Dugong) –
    pas forcément :
    « , Le ministre de la Justice s’est offert en janvier 2013… un bolide de luxe italien… une Maserati… (Libé, 7 fév 22)

    *
    https://www.challenges.fr/economie/ces-socialistes-cahuzac-moscovici-dray-fabius-qui-apprecient-les-montres-de-luxe_6479

  16. WTH 30 mars 2025 à 16h36
    (génial ! merci Lormier.)

    Ce serait bien mal connaître Lormier que d’imaginer (fût-ce un instant) qu’il puisse se laisser troubler par un peu de poudre aux yeux .

  17. WTH 30 mars 2025 à 16h09

    « , Le ministre de la Justice s’est offert en janvier 2013… un bolide de luxe italien… une Maserati… (Libé, 7 fév 22)
    =========================================================

    Je ne sais pas quel modèle de Maserai Dupont Moretti s’est offert…mais si c’est celui-ci, c’est de la merde.

    (Exemple:les vitres arrières ne descendent pas jusqu’en bas…les commandes de clignotants sont placées de telle manière qu’en général,quand on les actionne on touche aussi aux manettes d’accélération-au volant…)

    https://www.youtube.com/watch?v=nOZnqnB6xDo

  18. Dugong 30 mars 2025 à 14h42
    Si à 67, t’as pas une 911, …

    Porsche 911…faiseuse de veuves

    https://www.youtube.com/watch?v=rjd9VUGPSLk

    PS Je me souviens,il y a bien des années,d’avoir emmerdé un mec qui promenait sa pute en Porsche,sur une route de montagne sinueuse,avec une petite Peugeot pas très puissante.
    J’accélérais puis ralentissais,il n’osait pas essayer de me doubler; à chaque fois qu’il aurait voulu,arrivait un virage sans visibilité.
    J’ai fait ça pendant des km, espérant lui casser son coup.La meuf a dû lui dire qu’il était nul.

    Aujourd’hui, je ne le referais pas.

  19. Dugong 30 mars 2025 à 15h01
    Nous avons eu la chance d’être étudiant salarié…

    Et dans votre cas, bien plus que ça.

  20. Porsche (suite) –

    ça ne vole pas haut, et la chute n’en est pas moins spectaculaire.

    La 911 ne faisant plus guère recette *,
    voilà-t-il pas qu’une start-up allemande, Isar Aerospace, « s’inspirant de space X » (!) »
    a lancé « la 1ère fusée européenne » « Spectrum » (!)  
    qui s’est écrasée 30 secondes après le décollage » (le figaro).

    * « Un panel d’investisseurs et de fonds de capital-risque l’accompagne, d’Airbus Venture à Earlybird » (fonds de capital risque),
    en passant par Porsche SE, holding qui détient des participations dans les groupes automobiles, tels que Porsche et Volskwagen (le figaro) (😁)

  21. Dugong 30 mars 2025 à 19h54
    La meuf ne s’est pas cassée avec IAL pour autant.
    i) j’ai fini par me laisser doubler;le petit jeu avait cessé de m’amuser
    ii) j’en aurais pas voulu

  22. ECHO 30 mars 2025 à 16h09

    Hcc1 aurait-il l’obligeance de nous dire ( si je comprends bien le sens de son intervention) quelle substantifique moëlle certains intervenants n’ont pas perçue dans le texte de Lombard ?
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Vous pouvez vous brosser.

  23. « Cet ouvrage, qui devait être signé par mon ami l’avocat Paul Lombard… »

    Ecrit par un nègre ? Quel nègre ?

  24. Jeudi 23 septembre.

    i) en quelles années le 23 septembre est-il tombé un jeudi ? (C’était un petit jeu de l’algébriste Conway:il se promenait avec vous dans un cimetière,regardait les dates sur les tombes et calculait le jour,y compris pour des dates fort anciennes. Y a une méthode pour ça.Le faire de tête,pas facile.)
    ii) Comme chacun sait ,le Maestro est né le 23 septembre 1953,dans un cabanon qu’il avait construit de ses mains.

  25. « Il aime toujours les beaux objets — sa maison en est remplie —, il aime toujours les femmes. »

    Contigüité révélatrice:objets,femmes, femmes-objets.

    Typique du bourgeois-prédateur qui profite de son argent et de son pouvoir pour contraindre à la baise des femmes qu’il dégoûte.

    Pour être dégoütant, ça oui, il l’est!

  26. « C’est alors que l’image lui est venue — non plus guerrière, mais sportive. « La retraite, pense-t-il, c’est le retour définitif aux vestiaires… »

    Le mec,y pense par « images » ;aucun dispositif conceptuel pour controler la dérive.

    Un khon, vous dis-je.

  27. ECHO 30 mars 2025 à 14h15
    Diable Lormier, avec vous Lombard est habillé…

    J’aurais mis une virgule (entre « Diable » et « Lormier »)

    • Oui c’est plutôt l’usage. Mais si la voix ne fait pas de pose, la virgule est à mon sens, facultative. L’inconvénient est de paraître faire de Diable Lormier un groupe nominal…

  28. « L’une des jeunes filles si pressées de prendre sa retraite avait, en surplomb, une poitrine de déesse — septembre est chaud, cette année, et autorise tous les dévoilements. »

    i) incapable de comprendre qu’on peut, à 25 ans, se préoccuper du long terme,ainsi que du sort de ses parents.Et si cette jeune fille avait compris que la réforme des retraites était un élément d’une politique visant à un changement social complet ? Un khon est incapable de se poser ce type de question.
    Surtout un khon égocentrique qui voit le monde à travers le prisme de son expérience personnelle.( « Bon sang, que faisait-il, lui, à 25 ans ? » )

    ii) » une poitrine de déesse  »
    Le prédateur sexuel considère la femme comme un objet dont il détaille les particularités;
    vous imaginez ce mec capable d’une conversation avec cette jeune femme ?

    • Oui, chaque mot ou groupe de mots renvoyant au khul-entité comme dans le Grand Tafanari (texte révélé où sont exposés les éléments essentiels de la cosmogonie Malgache (sous forme de sagas)

  29. L’échec en littérature…peut être un grand succès:

    Balzac vu par Emile Zola

    « Le cas est curieux. Voilà un homme qui, pendant les trente années d’une production incessante, s’est incliné chaque jour devant la royauté et le catholicisme. Voilà un homme qui a peut-être cru en mourant qu’il laissait un magnifique plaidoyer en faveur des rois et des prêtres. Et aujourd’hui, quand nous lisons les milliers de pages qu’il a écrites, nous n’y sentons plus souffler qu’un large souffle révolutionnaire. Ses agenouillements devant les trônes et les autels nous semblent une manie que nous lui pardonnons. A genoux, il brûle ce qu’il adore, sans même paraître s’en apercevoir.

    Il fit ses dévotions en homme dont chaque prière devient un blasphème. Lorsqu’il a affiché solennellement une profession de foi catholique et monarchique, le voilà qui écrit une oeuvre purement démocratique, dont la lecture conclut contre son credo.

  30. Si je ne me trompe, le Maestro rédige, à la demande de son ami Lombard (riche avocat) une autobiographie célébrant sa gloire.

    Le résultat: le saisissant portrait d’un hyperkhon bourgeois.

    Comme Balzac, qui pensait célébrer la monarchie.

  31. Jean-Paul Brighelli 30 mars 2025 à 13h37
    Mais j’ai pris ma retraite à … 67 ans…J’aimerais, moi, que ce soit la norme …
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Polpotisme typique des « boomers ».

  32. Lombard a-t-il profité de l’argent de Mussolini ? Non olet…

    « Il jette un œil par les grandes baies vitrées : un groupe de jeunes gens descendent la rue Guynemer, le long du jardin du Luxembourg. »
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    Le Vatican aussi a des cagnottes immobilières à Paris. La structure, qui gère l’ensemble de ses biens à travers le monde, s’appelle l’Apsa, l’Administration du patrimoine du siège apostolique. Elle a été créée en 1929, grâce aux 1 750 millions de lires (66 millions d’euros) versés par Mussolini au pape Pie XI, dans le cadre des accords dits de Latran, pour compenser les confiscations de biens de l’Eglise par l’Italie. « Une partie de cet argent a été placée en actions et le reste dans l’immobilier, en Angleterre, en Suisse ou en France », écrit l’historien John Pollard, dans une publication de l’université de Cambridge.

    De Mitterrand à Ockrent

    A Paris, les propriétés du Vatican sont gérées par la Sopridex, une société domiciliée 4, rue de Rome. Antoine Chappuis, son PDG, nous a confirmé que la société « est toujours détenue par un Etat souverain, le Vatican » et qu’elle possède une dizaine d’immeubles haut de gamme. L’un d’entre eux est situé au 4, rue Guynemer, donnant sur le jardin du Luxembourg. « J’adore cet endroit, je l’habite depuis soixante ans. On a eu beaucoup de célébrités ici. François Mitterrand, surtout et, maintenant, Bernard Kouchner et Christine Ockrent », indique l’une des résidantes. »

    https://www.leparisien.fr/archives/les-locataires-celebres-du-vatican-16-04-2009-480585.php

  33. Vaticanerie et Mitterranderie;on n’est pas étonné d’apprendre que Mitterrand (qui fit ses études chez les Jésuites et chez les Maristes) ait habité rue Guynemer, dans un immeuble appartenant au Vatican (acheté avec l’argent de Mussolini);

    Il est plus amusant d’apprendre que le gangstérisme corse a aussi ses entrées au Vatican.

    Un autre de ces immeubles [propriétés du Vatican] est situé au 8, boulevard du Montparnasse. Un locataire a raconté au « Parisien » y avoir bénéficié d’un logement de 80 m 2 à un loyer favorable. « Je l’ai occupé de la fin des années 1990 jusqu’à 2003. Il était au quatrième étage, bien disposé. Le loyer était de 1 800 euros, charges comprises, nous a-t-il expliqué. C’était une très belle affaire. Il fallait être coopté pour rentrer dans ce club. Je l’avais obtenu grâce à une amie, qui m’avait présenté un Corse qui avait lui-même ses entrées au Vatican. »

    https://www.leparisien.fr/archives/les-locataires-celebres-du-vatican-16-04-2009-480585.php

  34. abcmaths 30 mars 2025 à 17h19
    Ruhestand en allemand.

    J’ai consulté un dictionnaire; »Ruhestand « , semble-t-il, veut dire « retraite » et non retraité;
    (« Ruhe », le repos…le nombre d’hôtels qui sont « sehr ruhig » en Suisse alémanique!)

    « jubilador » en espagnol:le retraité.

    • Mieux : jubilación pour retraite.
      un mot qui signifiait originellement « chant d’allégresse ».
      du latin jubilare, «pousser des cris de joie »
      En allemand, on dit « en retraite » , im Ruhestand ( en état de repos).
      C’est quand même plus bandant en espagnol (ou même en allemand)qu’en français où les stars à la retraite, comme Depardieu n’ont plus de résidence permanente.
      Oui…
      (assez difficile pour Lormier car le texte est un peu long)

  35. Lormier
    Si je ne me trompe, le Maestro rédige, à la demande de son ami Lombard (riche avocat) une autobiographie célébrant sa gloire.

    Le résultat: le saisissant portrait d’un hyperkhon bourgeois.

    Comme Balzac, qui pensait célébrer la monarchie.

    Mais, en ce cas, comment savoir si les réflexions, réactions qui sont prêtées à Me Lombard sont bien les siennes, ou celles de JPB ? De façon générale, je suppose que le ghost writer s’entretient avec le personnage pour qui il tient la plume, et restitue ce que ce dernier lui confie, mais il a sans doute une certaine liberté d’invention.
    Ainsi, on peut penser que Me Lombard refusait effectivement l’idée de la retraite à un âge prédéterminé (d’ailleurs un avocat « retraité » peut parfaitement poursuivre son activité, comme beaucoup d’autres professions, mais il y a des règles de cumul emploi-retraite) mais que le récit de Me Lombard regardant par sa fenêtre des jeunes qui vont manifester contre la retraite à 62 ans – c’était quand ?) tel jour, et l’admiration pour la poitrine d’une jeune fille, sont en fait à attribuer au ghost writer. C’est une hypothèse.

  36. « Bon sang, que faisait-il, lui, à 25 ans ? C’était au début des années 1950… »

    Chez les hyperkhons, la notion de devenir historique est absente;années 50, 2010,aucune différence.

  37. Paul Lombard,apparemment n’a pas habité dans un immeuble acheté par le Vatican avec l’argent de Mussolini.

    Sauf erreur,il a habité au 58 rue de Vaugirard, quasiment à l’angle avec la rue Guynemer;donc il pouvait voir de sa fenête la poitrine de la jeune meuf.

    https://www.google.com/maps/place/58+Rue+de+Vaugirard,+75006+Paris/@48.848686,2.3298869,17z/data=!3m1!4b1!4m6!3m5!1s0x47e671d07f1874b1:0xcb8ee6b78a9ec97a!8m2!3d48.8486825!4d2.3324618!16s%2Fg%2F11snpzmdrf?entry=ttu&g_ep=EgoyMDI1MDMyNS4xIKXMDSoASAFQAw%3D%3D

  38. Lormier 31 mars 2025 à 9h29
    abcmaths 30 mars 2025 à 17h19
    Ruhestand en allemand.

    J’ai consulté un dictionnaire; »Ruhestand « , semble-t-il, veut dire « retraite » et non retraité;
    (« Ruhe », le repos…le nombre d’hôtels qui sont « sehr ruhig » en Suisse alémanique!)

    « jubilador » en espagnol:le retraité.

    Répondre
    abcmathsabcmaths 31 mars 2025 à 10h39
    Mieux : jubilación pour retraite.
    un mot qui signifiait originellement « chant d’allégresse ».
    du latin jubilare, «pousser des cris de joie »
    En allemand, on dit « en retraite » , im Ruhestand ( en état de repos).
    C’est quand même plus bandant en espagnol (ou même en allemand)qu’en français où les stars à la retraite, comme Depardieu n’ont plus de résidence permanente.
    Oui…
    (assez difficile pour Lormier car le texte est un peu long)

  39. « L’idée, soudain, s’impose : ils se rendent à la manifestation prévue ce jour, contre la proposition de loi faite par le gouvernement d’imposer à tous une retraite à 62 ans. »

    Ce doit être en 2010

    La rédaction « contre la proposition de loi faite par le gouvernement d’imposer à tous une retraite à 62 ans » pourrait être comprise comme décrivant une opposition « lombardienne » à la fixation d’un âge de retraite du style : on veut nous empêcher de travailler après 62 ans alors qu’on est prêt à travailler jusqu’à 82 ans – au moins !)

    En fait, dans ce récit où Me Lombard (ou le ghost writer ?) feint l’incompréhension devant des jeunes gens rassis qui pensent déjà à la retraite, il manque un facteur d’explication : et si ces jeunes gens manifestaient non pas tant contre le relèvement de l’âge de la retraite, qui n’est pas, on peut le penser, leur préoccupation première, mais contre le gouvernement de droite (on est sous Sarkozy) – ils sont à l’âge où – pour une partie de la jeunesse s’entend- tout prétexte est bon pour manifester et surtout manifester contre un gouvernement de droite.
    L’opposition à la réforme des retraites peut alors n’avoir été qu’un prétexte pour ces jeunes, alors que pour les personnes plus âgées, pour les syndicats, c’était une opposition plus motivée.

  40. abcmaths 31 mars 2025 à 10h40
    C’est quand même plus bandant en espagnol (ou même en allemand)qu’en français où les stars à la retraite, comme Depardieu n’ont plus de résidence permanente.
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    Quel est l’antécédent de « où » ?

  41. ECHO 31 mars 2025 à 9h48

    « … comment savoir si les réflexions, réactions qui sont prêtées à Me Lombard sont bien les siennes, ou celles de JPB ?  »

    On ne peut le savoir.

    Le nègre tente d’être fidèle à son commanditaire, mais il n’est pas en lui,il interprète.

    Là où on peut avancer davantage, c’est sur ce point:dans quel but le Maestro nous sort-il aujourd’hui ce texte ?

    Et surtout,nous devons tenir compte des propos qu’il tient en commentaire.

    Jean-Paul Brighelli 30 mars 2025 à 13h37
    Mais j’ai pris ma retraite à l’âge légal — 67 ans, après 49 années de cotisations. Vous trouvez que je n’en ai pas fait assez ?
    J’aimerais, moi, que ce soit la norme — surtout quand j’entends nombre de profs quinquagénaires se plaindre.

    Comme beaucoup d’ex-maoïstes soixante-huitards boomers, le Maestro est devenu un polpotiste macroniste qui aimerait imposer ses normes à autrui.

  42. Dugong 31 mars 2025 à 10h18
    le Grand Tafanari (texte révélé où sont exposés les éléments essentiels de la cosmogonie Malgache (sous forme de sagas)
    #########################################################

    Les anciens contavan que Servòlas, aquò èra un ostau que i aviá ajut de nòbles. Aquelas domaisèlas avián la crinolina e lo grand capèl. Lo cocher las portava a la messa granda a Sent-Amans. Un jorn, davant la pòrta de la glèisa, lo vent d’altan se leva e se confla dejost aquelas raubas e aquelas domaisèlas… Òi, iai, iai ! “Ma virginité !”
    E lo cocher n’aviá un sadol de las suportar, que duvián pas èstre bien agreablas, lor di(gu)èt :
    “Ches nautres, o apelèm lo tafanari !”
    Aquò d’aquí aquò’s vertat !

  43. Merci (une fois de plus) à Lormier qui,
    sautant aisément du coq à l’âne * (normal sur BdÂ),
    a l’art de titiller mon intérêt et ma curiosité – cf « Just Beware Eye Contact With Rosin Dust »… suivi de James Cagney in « city for conquest ».

    Après avoir tout appris du mot « jubilar » (abcm’),
    voilà que tombe dans mon escarcelle le mot « tafanari » (Dugong) – y en a des que Marseille a très nettement et même profondément marqués –

    … suivi un peu plus loin de la mystérieuse phrase :
    « Vous reprendrez de la salade ? »

    Presque aussi prestement que Lormier, je tombe sur **
    indice que tout est encore (?) possible aux quatre coins de France.

    Presque aussi prestement : pas si sûr.
    J’en arrive au point de me persuader que Lormier s’est attaché les services d’une mystérieuse IA,
    dont le commun des mortels n’a encore aucune idée…

    * autrefois le coq… toujours prêt à tout… pouvait même sauter (sur) une cane.
    Ne surtout pas confondre avec la canne, dont tout âne doit se méfier,
    de même que donzelles et damoiseaux de celles des vieux pourceaux.

    **
    https://www.theatre-lichtenberg.com/vous-reprendrez-bien-un-peu-de-salade/

    • Dugong est alsacien…Enfant gâté, il trôna à 13 ans sur le Massey Freguson de son oncle viticulteur (fut-il un alcoolique précoce ?)

      Mais…
      ce n’est pas parce qu’il est alsacien qu’il a forcément pensé à la trouope de Lichtenberg.

  44. « …il rencontre parfois des vieillards moins âgés que lui, cassés sur leur canne, l’œil vitreux, déjà ailleurs, lorgnant vers quelque fosse insondable, la démarche hésitante, le pantalon en berne. Oui, ceux-là ont pris leur retraite il y a déjà vilaine lurette. C’est ce qui les a détruits… »

    Lombard, fils de médecin, devait bien savoir que la santé et le vieillissement n’ont rien à voir avec la volonté.

    Il y a une expression populaire « il a lutté jusqu’au bout contre la maladie »; on ne lutte pas contre la maladie; et ce n’est pas parce qu’on a cesssé de lutter qu’on meurt.

    Amusant de voir ce grand bourgeois reprendre à son compte des bêtieses populaires.

  45. Fafounet trépigne d’impatience. Ah, Il le veut son article 16. Tout de suite, maintenant !
    Le drama à deux balles : elle va faire appel, elle obtiendra la levée de l’inéligibilité.
    Entre Sarko et la caissière, autant de feux allumés qui détournent les regards de la perquisition dont l’associé de sa belle-fille Typhaine a fait l’objet la semaine dernière sur le motif de « Blanchiment d’argent » (russe, un proche de Vald’).
    Comment ce jeune bavard aurait-il pu être mis en relation avec cet oligarque russe, on s’le demande ?

    •  » Vous reprendrez de la salade ?  » (suite) –

      Ça en fait des « salades » * 
      après la costumière qui a montré du doigt Depardieu et monté l’affaire en épingle.

      Ça n’arrête pas ; on ne s’ennuie jamais !

      * de nos jours est préférée l’expression « faire du buzz »

      • … Ce n’est pas des salades : si tu n’as pas ta Rolex à dix-huit ans… :

        New York Post (30 mars) :
         » Barron Trump was spotted Sunday afternoon, as he arrived at Trump Tower,
        sporting a Rolex,
        a gold Daytona model which can cost about $ 50,000. « 

  46. abcmaths 31 mars 2025 à 12h20
    Oui, c’est mal dit.
    Je corrige:
    ….qu’en français.
    En France, les stars à la retraite …

    Rectification acceptée.

  47. « Aquò èra una Parisiena qu’èra venguda a la campanha e, de l’epòca, las carrèiras èran pas tant plan entretengudas coma duèi, amai portavan pas de cauças barradas. Fa que lisèt sus una flaca e fotèt los quatre fers en l’èrt.
    E i aviá un òme que vegèt lo tablèu.
    Ela se levèt vistament e di(gu)èt :
    “Oh, monsieur, vous avez vu mon agilité !
    – Apelatz aquò de l’agilité, vos ? Chas nautres, apelam aquò lo tafanari !” »

  48. « Tafanario es una corrupción de « antifonario« , un libro de regulares dimensiones que figura en el coro de las catedrales, donde se recogen los textos de las antífonas o cantos rituales. Quizá sea la magnitud del objeto y sobre todo su índole solemne y sagrada lo que determina que, por antífrasis, se pueda aplicar al culo. Recuérdese una expresión que recoge ese mismo juego de la antífrasis: « confundir el culo con las témporas ».

  49. – Maire de Tulle,
    – Conseiller général,
    – Député,
    – Ministre,
    – Président de la République,

    Pas de retraite à 62 ans et environ 350 000 euros de retraite par an…

    • Ministre,
      – Président de la République
      – Jedi
      – empereur
      – empereur galactique
      – générateur d’énergie noire
      – ?

  50. ECHO 31 mars 2025 à 10h48

    En fait, dans ce récit où Me Lombard (ou le ghost writer ?) feint l’incompréhension devant des jeunes gens rassis qui pensent déjà à la retraite, il manque un facteur d’explication : et si ces jeunes gens manifestaient non pas tant contre le relèvement de l’âge de la retraite, qui n’est pas, on peut le penser, leur préoccupation première, mais contre le gouvernement de droite (on est sous Sarkozy) – ils sont à l’âge où – pour une partie de la jeunesse s’entend- tout prétexte est bon pour manifester et surtout manifester contre un gouvernement de droite.
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    On ne sait pas qui sont ces « jeunes »,ni même s’ils ont existé.

    Ce qui me semble très khon, c’est de ne pas pouvoir imaginer l’hypothèse qu’ils aient compris ce qui se trame derière cette réforme .

    C’est la khonnerie affichée d’un Woerth disant à Manès Nadel d’aller ranger sa chambre…alors que ce garçon a démontré, par son discours structuré et argumenté, qu’il comprenanit beaucoup de choses.

    « ils sont à l’âge où – pour une partie de la jeunesse s’entend- tout prétexte est bon pour manifester et surtout manifester contre un gouvernement de droite. »

    Il y a aussi des jeunes qui manifestent contre des gouvernements de gauche.

    • Oui, mais parce qu’ils ne le trouvent pas assez à gauche ou qu’il fait une politique de droite, comme lors des manifestations contre la loi El Khomri en 2016.
      Depuis plusieurs décennies je ne me souviens pas d’une manifestation significative avec une forte représentation de jeunes, à l’ initiative d’autre que la gauche ou mieux l’extrême- gauche.

  51. Vaticanerie et Mitterranderie;on n’est pas étonné d’apprendre que Mitterrand (qui fit ses études chez les Jésuites et chez les Maristes) ait habité rue Guynemer, dans un immeuble appartenant au Vatican (acheté avec l’argent de Mussolini).

    Maître Lombard a été élève de Thiers et aussi des Jésuites (comme beucoup de bourgeois.)

  52. Maître Paul Lombard

    « Commandeur de la Légion d’Honneur et de l’Ordre national du Mérite, Paul Lombard était promis au poste de Garde des Sceaux. Cependant, il fait face à un coup dur lorsqu’il est impliqué le 21 décembre 1988 dans un dossier de transaction frauduleuse, l’affaire Suzanne de Canson, suite à laquelle il bénéficie d’un non-lieu. »

    non-lieu:soit il était innocent,soit il a été impossible de démontrer qu’il était coupable.

    https://www.decideurs-magazine.com/droit/30866-deces-du-tenor-paul-lombard.html

  53. Les avocats sont parfois mêlés à des affaires de succession et d’oeuvres d’art:

    En 1985, le musée du Louvre acquiert dans des circonstances rocambolesques Le Gentilhomme sévillan, un magnifique portrait en pied signé Murillo, le maître espagnol du XVIIe siècle. Trois ans plus tard, le scandale éclate: l’héritière du tableau, Suzanne de Canson, est morte quelque temps après la transaction, dépouillée de tout, dans des conditions affreuses et fort suspectes. Le jeune juge toulonnais Jean-Pierre Bernard, chargé de l’enquête, met très vite en cause la responsabilité de plusieurs personnalités en vue dans ce qui devient alors l’affaire Canson, notamment le conservateur du Louvre Pierre Rosenberg et le célèbre avocat marseillais Paul Lombard, tandis que d’autres acteurs du drame, comme Jack Lang, Jacques Vergès et Georges Kiejman, s’affrontent devant les médias.Mark Hunter, journaliste américain vivant à Paris, est tout de suite frappé par l’épaisseur balzacienne de l’affaire, ce télescopage unique entre l’art, le pouvoir et le crime, cet univers de sombres passions où une ancienne tenancière de bar traite d’égal à égal avec le Louvre. Dès janvier 1989, il se met au travail. Cinq années d’enquête et des centaines d’interviews lui permettront de se glisser dans la peau de chacun des principaux acteurs du drame, de débusquer des faits qui avaient  » échappé  » à la justice, et de montrer à travers ce récit implacable que le verdict rendu par la cour d’assises du Var, en octobre 1991, n’a pas répondu à toutes les questions. Loin s’en faut.

    https://halldulivre.com/livre/9782213592633-le-destin-de-suzanne-la-veritable-affaire-canson-mark-hunter/

  54. Les avocats sont parfois m^lés à des histoires de succession et d’oeuvres d’art. Roland Dumas (autre « ténor du barreau et amateur de femmes -dont des putes) fut,lui, condamné:

    Roland Dumas condamné dans l’affaire de la succession Giacometti

    Publié le 11 mai 2007 à 01:01
    L’ex-ministre Roland Dumas a été définitivement condamné à douze mois d’emprisonnement avec sursis et 150.000 euros d’amende pour complicité d’abus de confiance, dans le cadre de la succession du sculpteur Alberto Giacometti. La Cour de cassation a rejeté son pourvoi et elle a également confirmé la condamnation du commissaire-priseur Jacques Tajan à quinze mois d’emprisonnement avec sursis et 200.000 euros d’amende.

    https://www.lesechos.fr/2007/05/roland-dumas-condamne-dans-laffaire-de-la-succession-giacometti-529783

    • P. Lombard ne semble pas dans les petits papiers de Lormier – surtout après « l’affaire Canson ».

      Pas plus que ne l’est J.M. Blanquer – qui a lancé en 2023 « Terra Academia »,
      avec l’entreprise Veolia,
      pour « former à la transition écologique d’ici à 2030 » (😁).

      Seuls (ou presque) les toubibs, en particulier américains (le Dr Zizi vit là-bas),
      reconnus comme fervents complotistes anti-vax, sont encensés par Lormier…

      Et là il reste encore pas mal de grain à moudre.
      De quoi jouer les prolongations…

  55. Dugong 31 mars 2025 à 17h19
    Pierre NINEY…s’en prend à une de ses anciennes professeurs
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    « s’en prend à… »

    Si on lit attentivement on peut se demander si dans ses déclarations, il n’y a pas aussi un hommage à ce professeur;par son appréciation sévère elle l’a poussé à se dépasser.

    Pierre Niney ou la revanche du comte de Monte-Cristo ?

    « Je lui avais dit que je voulais être acteur, que j’aimais les grands textes, la littérature et que je voulais en faire quelque chose. » Mais, visiblement, l’enseignante ne croyait pas vraiment en l’adolescent. « Avec les résultats comme les vôtres, il ne faut pas trop commencer à vous projeter sur ce genre de choses, pas trop rêver, vous êtes quand même assez médiocre… », lui avait-elle dit.

    Un avis tranché qui a marqué le jeune Niney et même nourri son envie de réussir à tout prix. « Pendant longtemps, j’ai eu envie de prendre ma revanche, juste de lui montrer d’une manière ou d’une autre qu’elle avait tort », explique-t-il dans la vidéo.

    https://www.lepoint.fr/people/si-vous-regardez-cette-video-pierre-niney-repond-a-sa-prof-qui-l-avait-traite-de-mediocre-18-03-2025-2585002_2116.php#11

  56. Paul Lombard

    Premières pages (pas les toutes premières) de son livre Mon intime conviction, 1977

    Quelques thèmes en commun avec le début du livre qui ne paraîtra jamais, ci-dessus ?
    Et l’auteur était-il déjà un ghost writer?

    « Donc, Marseille était en fête. Le Maréchal était dans les murs. Marius recevait le vainqueur de Verdun ; quant à l’incertain personnage de Montoire à la poignée de main facile, il n’y avait que M. Brun pour s’en souvenir.

    Face à ma fenêtre, le pont transbordeur déroulait sa lourde dentelle. Le Vieux-Port était noir de monde et les pierres roses des forts scintillaient au soleil. De mémoire de Marseillais, on n’avait jamais vu foule aussi dense.

    Des vieux quartiers, de la Charité aux Acoules, montaient des hurlements tricolores : « Pétain! Pétain!»

    Eliette, la plus jeune de mes sœurs, était sortie pour apercevoir de plus près le sauveur de la patrie. Je la distinguais, coincée entre les enfants des écoles et une délégation de la Légion française des anciens combattants.
    Son chapeau blanc au bord interminable faisait une tache insolente au milieu des bérets basques. Sa poitrine charmante était la seule à ne porter aucune décoration. C’était elle pourtant que l’on regardait le plus.

    Tout à coup, une ondulation agite la multitude. Le chapeau suit le rythme, ondule comme un nénuphar. Le Maréchal, debout dans sa voiture découverte, fend la foule délirante. Les cris fusent de toutes parts. Masochiste et orphelin, le bon peuple s’incline devant le père et hoche respectueusement la tête sur son passage. Je perds Eliette de vue, mais la retrouve bientôt gigotant au-dessus de la foule au bout des bras interminables d’un vieux brave sur le retour. Il tend la jeune fille vers l’auguste militaire dans un geste d’offrande, prenant cependant soin de placer ses mains à la naissance des seins.

    La chorale y va de son refrain :
    Une flamme sacré-ée
    S’élève du sol nata-ale
    Et la France enivré-ée
    Te salue Marécha-ale

    Le rêve passe. Le Maréchal aussi.

    Je le retrouve à la préfecture. Il fait une chaleur de comice agricole. L’enthousiasme est à son comble. Tout est oublié : la débâcle, le cross-country à travers l’Alsace, la Beauce, l’Aquitaine, les prisonniers sans armes, sans famille, l’étoile jaune hideuse comme une croûte de fièvre.

    J’ai un peu honte. Bien plus tard, je retrouverai cette atmosphère, lors du triomphe romain que la ville réserva à son équipe de football, l’O.M., et à son bon président Leclerc quelques semaines avant son inculpation.

    Au balcon de la préfecture, un homme harangue la foule. Je ne me souviens plus de son nom—il était médecin aussi, je crois. Il attaque son discours à la baïonnette : « C’est sur les champs de bataille, de Bouvines à Tolbiac, que s’est forgée l’unité française. Cette unité, monsieur le Maréchal, vous en êtes le garant et le dépositaire… »

    Malgré moi, j’écoute cette voix de bronze un peu semblable à celle de Tixier-Vignancourt vieillissant. La suite de son propos se perd dans les méandres de ma mémoire. Ce dont je garde le souvenir, c’est que, tout en l’écoutant, une sorte de mauvaise conscience s’emparait de moi. N’avais-je pas tort de refuser la grandeur de cet instant historique? Après tout, Tolbiac c’était quelque chose! Et Verdun, donc? Avais-je le droit d’opposer à tant de solennité mon dérisoire persiflage?

    Et l’orateur poursuivait de plus belle : « On n’emporte pas la France à la semelle de ses souliers… Les émigrés ont toujours tort. Pétain, c’est la France!… La France, c’est Pétain!… »
    Face à cette dialectique exaltante, la foule bondissait de joie, applaudissait à tout rompre.
    Cerné par les mots, saisi par la panique d’être vaincu par eux, j’abandonnai la place.
    C’était ma première rencontre avec l’éloquence. Bien que sa qualité fût discutable, un moment elle avait fait trébucher ma certitude. Pour la première fois de ma vie, je venais de mesurer la redoutable puissance de la parole, l’importance du verbe, ce verbe que la nature adonné à l’homme pour masquer la réalité. »

    • Sa poitrine charmante était la seule à ne porter aucune décoration. C’était elle pourtant que l’on regardait le plus…
      Il tend la jeune fille vers l’auguste militaire dans un geste d’offrande, prenant cependant soin de placer ses mains à la naissance des seins.

      La poitrine dévoilée, dans Les Prolongations, c’est bien une idée de Lombard, pas de son nègre.

    • WTH 31 mars 2025 à 18h08
      P. Lombard ne semble pas dans les petits papiers de Lormier
      ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
      Détrompez vous.

      Je n’ai rien contre ce « ténor ».

      J’ai juste relevé les khonneries dont il est rendu compte dans la page de les Prolongations,khonneries qui sont d’actualité.

      • C’était juste pour faire rimer dans les « petits papiers » et « Canson ».
        Quand on s’occupe de « successions – voire même d’une seule – avec des centaines de millions à la clé, c’est qu’on est loin d’être rassasié, côté brouzouf.

    • C’est le minimum qu’elle puisse faire, non ?
      C’est une économie non négligeable que nous participons tous à lui offrir, celle d’une amniocentèse qui est hors de prix en Californie.
      On se fait soigner, on accouche et on s’rebarre : les exilés fiscaux sont la bienvenue !

      • Et bien il est toujours et encore Français.

        Ce qui me gêne vraiment, c’est le cas suivant :
        « la Justice annule l’expulsion d’un demandeur d’asile au motif qu’il a entamé une transition de genre  et que son transfert constituerait un traitement inhumain et dégradant. » (lefigaro, 29 mars)

        • Absolument, il est encore Français et il a surtout le bon goût de revenir au moment même ou Touf’ fait une campagne « La Patrie à besoin de vous ».

  57. WTH 31 mars 2025 à 18h08
    P. Lombard ne semble pas dans les petits papiers de Lormier
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    Détrompez vous.

    Je n’ai rien contre ce « ténor ».

    J’ai juste relevé les khonneries dont il est rendu compte dans la page de les Prolongations,khonneries qui sont d’actualité.

  58. LormierLormier 31 mars 2025 à 18h45
    WTH 31 mars 2025 à 18h08
    P. Lombard ne semble pas dans les petits papiers de Lormier
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    Détrompez vous.
    Je n’ai rien contre ce « ténor ».

    Faux, on vous connaît.
    Quand on lui parle de ténors, Lormier en perd le ton!
    Oui…
    (facile)

  59. ECHO 31 mars 2025 à 18h13

     » l’auteur était-il déjà un ghost writer? »

    Lombard a écrit plusieurs livres et avait l’ambition d’entrer à l’Académie française; je doute qu’il ait tout fait écrire par des nègres.

    Quans Les prolongations fut-il écrit ?

    Peu de temps avant la mort de Lombard (d’après le chapeau).

    Il était sans doute déjà très affaibli, ce qui pourrait expliquer qu’il ait eu recours à un nègre.

    Dans les fims d’Hitchcock, sa silhouette apparaît toujours ,brièvement;c’est une signature.

    Le fait que la page commence par une date -23 septembre -qui se trouve être la date de naissance du Maestro, c’est peut-être la signature du nègre.

    • « 23 sept », « c’est une signature »…

      Au jeu des petits cailloux semés par JPB, aucun Bd ne serait capable de rivaliser avec IAL !

  60. WTH 31 mars 2025 à 19h20
    C’était juste pour faire rimer dans les « petits papiers » et « Canson ».
    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    Suzanne de la Lombardière de Canson est bien une descendante du papetier Canson …

    Lombard fut inculpé de recel,puis disculpé.

    Ce qui est étrange,c’est qu’il ait traité avec Joël Pesnel, gouvernante, amante et

    séquestratrice de Suzanne de la Lombardière de Canson, qui réussit àfaire croire à l’avocat

    qu’elle était la propriétaire d’un tableau de Murillo (volé, en réalité à Suzanne) et ce en

    produisant des faux.

    Bizarre ,pour un avocat, de n’y avoir vu que du feu!.

    Joêlle Pesnel fut condamnée à la prison;elle avait séquestré et affamé la femme dont elle

    avait la garde.

  61. Cette femme, Suzanne de Canson, a, en fait, succombé sous les sévices de son bourreau, Joëlle Pesnel.
    Les témoignages sont accablants. Joëlle Pesnel n’a
    jamais été une gentille dame de compagnie, encore
    moins une garde-malade prévenante. Elle a précipité
    la fin de celle qui l’avait choisie en toute confiance…
    Deux des employés de maison livrent des détails
    ahurissants sur les derniers moments de la richissime
    Suzanne de Canson. L’une l’a décrite comme absente,
    hésitante, terrorisée, enfermée jour et nuit dans cette
    chambre calamiteuse où elle hurlait et tapait sur les
    murs. Privée de nourriture ou alimentée au compte-
    gouttes, elle était maigre « comme les Africains du
    Sahel », abandonnée à elle-même sans soins médicaux.
    L’autre témoin révèle que dans son délire, « la prisonnière » atteinte d’incontinence, mangeait ses couches culottes ; les excréments avec.

    L’Affaire Canson,par Laura Fairson et Alauzen de Genova.

  62. Maître Lombard, qui eut affaire à de grands criminels (comme Fournirel-dont,dit-il, il ne put jamais « extraire une brindille d’humanité ») s’est facilement laissé abuser par Joëlle Pesnel.

    Manque de finesse ?

  63. abcmaths 31 mars 2025 à 21h44
    157=6^2+11^2

    78! est congru à 28 (mod 157)…sauf erreur

    (5 est une racine primitive de 157;5^39 congru à 129 (mod 157))

  64. Je me souviens de cette invraisemblable histoire ….en conclusion Madame Pesnel a été condamnée pour séquestrations, mauvais traitements, vol etc …….à 16 ans de réclusion ; Maitre Boissonnet lui a écopé de quelques années de prison dont une il me semble avec sursis ….les responsables du Louvre n’ont pas été reconnus coupables …donc rien pour eux ! Maitre Lombard aussi a été mis hors de cause !!! pensez-donc, toucher à l’époque à ce médiatique avocat fréquentant ce qu’on appelle le « beau monde » !!!!!!!!!!!!! jet-set …monde des affaires ….monde politique …….!VOUS N’Y PENSEZ PAS VOYONS ….!

    http://jeunea60ans.unblog.fr/2012/11/13/le-gentilhomme-sevillan-quelle-histoire/

  65. LOMBARD, dit PAULO-le-fourgue—

    Si vous y comprenez quelque chose…Jack Lang fut aussi dans le coup.
    =========================================================
    C’est pour un de ces tableaux, un MURILLO, expatrié clandestinement dix ans auparavant et rapatrié tout aussi clandestinement, « une affaire très em…brouilli, que Jack LANG écrivait à Joelle PESNEL : « Mais oui, vous aurez vos 500 millions à la fin de l’année, dès que mes commissions indépendantes auront rendu mes décisions ». C’ est donc le Ministre de la Justice, ARPAILLANGE, l’homme qui veille sur l’intégralité des dossiers, qui va saisir le Conseil des Ministres de la demande d’audition de son collègue LANG par le juge RAJBAUD. Naturellement, Jack LANG sera présent pour expliquer au Gouvernement que son audition est inévitable, sinon c’est la perquisition puisqu’il a chez lui un tableau provenant du musée personnel de Suzanne de CANSON, un « Léopold ROBERT », régulièrement acheté à un prix très intéressant.

    Ce qui n’était pas prévu non plus, c’était cette demande d’audition de Jack LANG dans l’affaire CANSON, juste en ce moment, et avec tout ce qu’elle entraîne maintenant de défiance envers son avocat, Me KIEJMAN. La technique du saucissonage avait pourtant là aussi été mobilisée. D’abord la rondelle BERNARD, ce juge fils de gendarme, qui inculpe Joelle PESNEL, puis un, deux, trois avocats— le troisième c’est LOMBARD, dit PAULO-le-fourgue—, qui inculpe un expert ROSENBERG, et qui regarde fixement vers le Ministère de la Culture. Hop, la rondelle BERNARD, direction Dunkerque ( à défaut d’Hazebrouck). Ensuite, la rondelle VERGES, l’avocat de Joelle PESNEL, qui après avoir tapé sur le juge, déclare vouloir prendre le relais pour remonter de plus en plus haut. Hop, la rondelle VERGES, policiers et magistrats ont pu convaincre Joelle PESNEL , qui reste au trou, de changer d’avocat. Quant à la rondelle RAJBAUT, c’est une rondelette apprivoisée, pas de souci à se faire. RAJBAUT, c’est le juge d’instruction de l’affaire BALANDRAUX , autre affaire célèbre à Toulon : huit ans sans bouger, ça rassure. Mais là encore le saucission s’est avéré à ressort. Et c’est la faute de KIEJMAN. C’est lui qui devait driver le fusible idéal, son confrère LOMBARD. Mais pourquoi LOMBARD ne fait-il plus écran et laisse-t-il la route si dégagée entre Jack LANG et le juge RAJBAUD ? KIEJMAN n’était-il donc plus crédible en présentant LOMBARD comme con mais honnête ( c’est juste le contraire) , en lui faisant nier contre toute évidence ses contacts avec Joelle PESNEL ? Le Monde et le Canard Enchaîné , habituels faire-valoir de l’avocat gouvernemental KIEJMAN , ne s’y sont pas trompés, eux qui criaient haro sur LOMBARD pour planquer l’étage au-dessus. Mais non, encore une fois, KIEJMAN a été nul. Et du coup, le juge RAJBAUT se déploie : l’actualité lui donne des idées, il met en prison l’ex-chauffeur de Joelle PESNEL, un ancien rugbyman qui doit savoir des choses comme le chauffeur-confident de l’ex-avocate CONS-BOUTBOUL. Et maintenant, il veut entendre Jack LANG, sans voir qu’il ouvre la voie à d’autres auditions d’autres ministres pour les affaires de fausses-factures.

    https://syndicatdesjusticiables.wordpress.com/2014/04/14/le-coup-du-saucisson-a-ressort/

    • Ajoutez à ça que Lombard est de ceux qui se sont occupés de la succession Picasso… Il m’en a raconté, à ce sujet…

      • i) Maître Vergès,qui a été appelé par Joëlle Pesnel accabla son confrère Lombard,l’accusant d’avoir participé à la spoliation de Suzanne de Canson.

        ii) Il est assez bizarre que Maître Lombard ait demandé à son associée (ou collaboratrice) Maïtre Pestel de Bord de prêter sa machine à écrire à la secrétaire de Pesnel. C’est avec cette machine qu’ont été tapées les fausses donations.

        iii) Il est assez bizarre que Maître Lombard n’ait pas vu que l’acte par lequel Pesnel pouvait se dire héritière du Murillo était un faux.

  66. Mon ami Paul Lombard
    Jean-Paul Brighelli -18 janvier 2017

    Paul Lombard, qui vient de mourir, était devenu un ami — ou pas loin. J’avais été chargé de l’aider à écrire ce qui devait être son testament — un livre qui a été écrit jusqu’au bout, et que de sérieux ennuis de santé, en 2011, l’empêchèrent d’amener au stade éditorial, puisqu’il ne pouvait plus le défendre. Je tiens, en hommage à un « ténor du barreau », comme dit la Presse, et à un homme de cœur, comme je dirais moi-même, à vous en livrer une page.

    Fifi n’était peut-être pas très maligne, mais c’était une créature voluptueuse, et elle aimait les hommes — elle les aimait beaucoup. Jusqu’au jour — en 1942-43 — où elle rencontra Otto (ou Fritz, ou Wolfgang, bref, un soldat allemand). Coup de foudre trans-national. Du jour au lendemain, Fifi fut fidèle. Elle accoucha même, neuf mois plus tard, d’un joli bébé blond comme son père — une rareté, à Marseille, à cette époque.

    Puis vint la Libération. Tous les résistants de la onzième heure émergèrent pour libérer une ville qui l’était déjà. Et, pire encore, leurs vertueuses épouses se mirent de la partie.

    On alla chercher Fifi chez elle (Otto avait été déplacé sur le front russe, elle était sans nouvelles, elle était dans les affres et ne pensait à rien d’autre), on la traîna dehors, et avec la délicatesse que l’on imagine, on la tondit.

    Ce n’était pas encore assez. On l’amena à la Plaine (un quartier qui, comme son nom ne l’indique pas, domine la Canebière et le lycée Thiers où j’étais lycéen), et on se proposa de la faire baiser par l’âne qui baladait les enfants. « Puisqu’elle avait baisé avec un Allemand, elle pouvait bien baiser avec une bête… »

    On avait déjà déshabillé Fifi, on l’installa sous l’animal, qui, terrorisé, menaçait de l’écraser, on commençait à exciter manuellement la bête, pour la mettre en état, quand Louis Rossi, un vrai résistant celui-là, porte-flingue de Defferre qui venait de prendre d’assaut le Petit Provençal, journal collaborationniste, fendit la foule, tua l’âne d’un coup de revolver, et pointant son arme sur la foule :

    – Le premier qui bronche, dit-il, je l’abats.

    Lisez la suite de l’article sur le blog de Jean-Paul Brighelli

    https://www.causeur.fr/paul-lombard-avocat-mort-142258

    • « Inéligibilité à vie pour des faits commis grâce à, ou
      à l’occasion de leurs mandats », c’est ce qu’elle demandait pour les autres. Bah voilà, c’est presque fait, pour elle.

    • Les battus cocus super contents.
      Elle avait 37% d’intentions de vote officiels ; vous pouvez lui accorder à présent un bon 45% en basse estimation en direct de la majorité silencieuse.

    • La condamnation du traitre, ratificateur du Traité de Lisbonne à sept ans ferme sur aucune preuve ne devrait réjouir personne. Et pourtant.
      Vous méritez la merde grandiose qui vous arrive en pleine face.

  67. Maître Lombard et l’affaire de la succession Canson;pour y comprendre quelque chose (mais pas tout) l’émission « Faites entrer l’accusé »
    A la fin, vous y verrez Maître Lombard, très émouvant, parler des cicatrices que lui a laissées l’affaire (même si son honneur a été lavé).
    Mais vous ne saurez pas pourquoi le juge Benrard fut dessaisi, ni pourquoi il reçut des menaces de mort.
    Et vous vous demanderez pourquoi Maître Lombard a demandé expressément à sa comllaboratice de prêter à la secrétaire de Madame Pesnel sa machine à écrire,machine sur laquelle furent tapées les fausses donations par lesquelles Madame Pesnel capta l’héritage Canson.

    Madame Pesnel est un sacré personnage, une mythomane qui,au tribunal, continua ses affabualations, au grand dam d’un de ses avocats (Maître Giudicelli-beaucoup de noms en « i » dans cette affaire,comme par hasard.)

    D’ailleurs Brighelli est un nom en « i ».

    Elle me rappelle Cons Boutboul, autre mythomane.

    Quel talent, ces femmes mythomanes!

    Elles embobinèrent des hommes aussi avisés que Maître Lombard.

    Pour Maître Vergès,qu’on voit brièvement dans l’émission avec ses verres épais, Lombard est coupable. Les deux confrères ne devaient pas s’aimer beaucoup.

    https://www.youtube.com/watch?v=lhlK1K_VRWg

  68. Jean-Paul Brighelli 1 avril 2025 à 0h21
    Ajoutez à ça que Lombard est de ceux qui se sont occupés de la succession Picasso… Il m’en a raconté, à ce sujet…
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Roland Dumas, lui, se fit prendre dans la succession Giacometti et condamer à une lourde amende. (prison avec sursis aussi ?)

  69. Les rapports dangereux entre l’art et le droit :
    Charles Debbasch, doyen de la faculté de droit d’Aix Marseille, fut condamné pour des détournements dans la gestion de la Fondation Vasarely à Aix, dont il était le curateur (de mémoire).
    Ce fut la chute ( justifiée ?) d’un homme considéré comme une sommité de l’enseignement du droit.

  70. Touche pas au « talbin » !

    — Pour la livraison ?
    — À domicile, comme toujours : talbin contre talbin. Je te prépare ça en francs français, coupures de dix mille ?
    — J’aimerais mieux une monnaie plus sérieuse : dollars, coupures de 100. — (Le Cave se rebiffe, Audiard, 1962,)

  71. Procès Le Pen
    Réflexions de Me Jakubowicz:

    L’inéligibilité immédiate de Marine Le Pen est un coup porté à l’État de droit »
    INTERVIEW. Ancien président de la Licra, l’avocat Alain Jakubowicz, opposant historique au Rassemblement national, dénonce la décision du tribunal, y voyant une atteinte aux principes fondamentaux de la justice.
    (…)
     » Alain Jakubowicz : Je suis abasourdi. Les critères usuels pour une exécution provisoire, comme le risque de récidive ou la dangerosité, ne me semblent pas ici clairement réunis. Cela prive Marine Le Pen d’un second degré de juridiction, ce que je trouve choquant.

    Je vois pourtant la limite de mon raisonnement : les faits semblent avérés, et il paraissait inéluctable que Marine Le Pen soit condamnée au final, probablement avec une inéligibilité. Les juges ont estimé qu’il fallait trancher immédiatement. Je considère que cela porte atteinte à la présomption d’innocence, même dans un dossier accablant. Je comprends pourquoi le RN, Marine Le Pen et ses proches parlent d’une décision politique. Leur mise en cause de l’État de droit n’est pas totalement illégitime, et c’est ce qui me rend triste. Cette situation questionne l’État de droit d’une manière que je ne peux pas ignorer, et c’est ce qui me perturbe le plus. »
    https://www.lepoint.fr/politique/l-ineligibilite-immediate-de-marine-le-pen-est-un-coup-porte-a-l-etat-de-droit-31-03-2025-2586158_20.php

    Réaction de Josip Charb o’Neil
    Ce Jakubo est un facho, c’est évident. Il critique l’État de droit…

    • Attention Echo, dans les domaines sensibles du droit et d’éthique, Josip Charb o’ Neil me semble plus fort que vous.
      Oui…
      (difficile pour Lormier qui a beaucoip régressé )

    • « Je considère que cela porte atteinte à la présomption d’innocence… »

      La présomption d’innocence subsiste-t-elle après que la culpabilité a été établie ?

      Ou alors, veut-il dire qu’il faudrait attendre l’appel ?

      • Lormier
        1 avril 2025 à 14h06
        La présomption d’innocence subsiste-t-elle après que la culpabilité a été établie ?

        Excellente question de Lormier dont la réponse est contenue dans la question. Et A. Jakubowicz affirme lui-même que le dossier est accablant…

  72. abcmaths 1 avril 2025 à 12h12

    (… Lormier…a beaucoup régressé dans le décryptage)

    J’en ai conscience;la question se pose donc:ne ferais-je pas mieux d’abandnner?

  73. ECHO 1 avril 2025 à 11h47

    « …Charles Debbasch, doyen de la faculté de droit d’Aix Marseille, fut condamné pour des détournements dans la gestion de la Fondation Vasarely à Aix… »

    Pourtant pas un nom corse, Debbasch.

  74. Un spectre hante ce blog….

    A part ça :
    https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/avant-marine-le-pen-d-autres-elus-ont-ete-condamnes-a-des-peines-d-ineligibilite_7162779.html
    La justice politique a condamné lourdement Cahuzac, Cambadélis, Guérini, Emmanuelli… Cette justice politique est donc acharnée à condamner la gauche socialiste. CQFD. Protestations d’A. Jakubowicz? Aucune.
    Depuis hier, le personnel politique de droite et d’extrême-droite ainsi que la majorité des organes de presse mettent en cause la justice. Cette mise en cause est d’une gravité extrême.
    Il faut donc rappeler à cette bande de faux-culs deux choses simples :
    – Marine Le Pen n’est pas une victime, mais quelqu’un qui a été jugé coupable. Preuves à l’appui. Dossier accablant. Dura lex sed lex, et si les préconisations de MLP elle-même avaient été suivies, c’est A VIE qu’elle serait inéligible, et pas seulement cinq ans.
    – le prétendu « déni de démocratie » : les électeurs du RN ne sont privés de rien du tout. Que je sache, personne n’interdit au RN de présenter un.e candidat.e autre que MLP, qui portera les idées de ce parti.
    La droite et l’extrême-droite de notre pays se grandiraient en arrêtant de chouiner. Dura lex sed lex, et eadem lex est apud omnes.

    • « Protestations d’A. Jakubowicz? Aucune. »

      Peut-être parce qu’il aura été donné de pouvoir faire appel, contrairement à MLP, non ?
      Peut-être que dans cette idée de la justice que vous défendez ici, aucune décision rendue ne devrait pouvoir être soumise à une autre autorité qui casserait ou confirmerait ce premier jugement ? Et on vous reconnaît bien là, Josip… Un atavisme qui perpétue ce vieu réflexes de pensées staliniennes viscéralement ancrées.

  75. Les Corses n’ont pas le monopole de la délinquance (en col blanc ou autre), non, ils ne l’ont pas (réminiscence giscardienne)…
    Et dans l’affaire Canson, à part un des avocats, y a t-il d’autres noms à consonance corse ?

  76. « Et si l’essentiel était passé sous silence » : JPB in Causeur *

    « Un immigré ne transporte pas son code judiciaire inhumain et arriéré à la semelle de ses babouches. Il s’adapte… »
    « S’il veut vivre selon des traditions assassines, il peut repartir… »

    (l’autre jour à deux doigts de me faire taper dessus par une – petite trentaine – en noir des pieds à la tête, qui sortait d’une hénaurme Audi (noir) flambant neuf, dans le centre ville.
    « Casse-toi » ai-je osé !
    Plusieurs solutions : je ne sors plus seule, je force sur les tisanes-camomille,
    je ne regarde plus que mes pieds – à défaut d’un écran de smartphone –
    je déménage, hors Europe, mais le courage me manque, etc…
    Ils-elles sont de plus en plus nombreux ; sans vouloir rentrer dans le « c’est le grand remplacement », il s’agit néanmoins de visions de plus en plus envahissantes, et de plus en plus glaçantes.
    Où est donc passée la « République » « laïque » ?

    *
    https://www.causeur.fr/les-nouveaux-feminicides-306690

  77. ECHO 1 avril 2025 à 11h47

    Ce fut la chute ( justifiée ?) d’un homme considéré comme une sommité de l’enseignement du droit.
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    Sommité, sommité…voilà un mot sur lequel il faudra revenir;

    Pendant la plandémie, certaines « sommités » de la médecine se sont comportées d’étrange façon;on a vu des sommités venir à la télévision inciter la population à se faire injecter une substance expérimentale;ies sommités avaient oublié le serment d’Hippocrate. Le Professeur Grimaldi est allé jusqu’à proposer de ne plus rembourser leurs soins aux non-injectés.
    Le Professeur Raffi a téléphoné de nuit, anonymement, un confrère pour le menacer de mort…

  78. Josip Gavrilovic 1 avril 2025 à 14h17

    personne n’interdit au RN de présenter un.e candidat.e autre que MLP, qui portera les idées de ce parti.

    Oui. Si ça pouvait être Virginie Joron, par exemple.

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