Jacques Joseph Coiny (1761-1809) et Agostino Carracci (1557-1602), Messaline dans la loge de Lisisca, 1798

Si le bon docteur Krafft-Ebing avait eu à nommer la nymphomanie, sans doute aurait-il eu recours, sur le modèle de ce qu’il a fait pour sadisme et masochisme, à l’archétype de toutes les possédées du feu utérin, comme on disait autrefois. Nous aurions eu certainement droit au messalinisme, tant l’impératrice romaine, femme de Claude, est passée dans l’histoire pour ses débordements sexuels. On se souvient que Baudelaire, pour caractériser la furie érotique de Jeanne Duval, avait intitulé l’un de ses poèmes « Sed non satiata », citation directe d’une satire sanglante de Juvénal dont la traduction complète est la suivante :

« « Dès qu’elle sentait son mari endormi, préférant sans vergogne une couchette à son lit d’apparat, la Pute Imperiale [meretrix Augusta] s’encapuchonnait et s’évanouissait dans la nuit, sans autre compagnie qu’une servante. Camouflant ses cheveux noirs sous une perruque blonde, elle gagnait un bordel moite aux rideaux rapiécés où un box lui était affecté, elle s’y exhibait nue, les seins pris dans une résille d’or, sous son pseudonyme affiché, ‘Lycisca’, et proposait la matrice qui t’a porté, noble Britannicus ! Elle faisait goûter ses caresses à qui entrait, se faisait payer sa passe, renversée, ouverte, une foule la besognait et y déchargeait, et quand le bordelier libérait enfin ses filles, elle s’en allait tristement, n’ayant pu qu’être la dernière à fermer boutique, brûlante encore de la tension de sa vulve raide, elle rentrait, fatiguée du mâle mais toujours pas repue, les paupières ignoblement battue, crasseuse de la suie du lumignon, rapporter dans l’alcôve auguste le remugle du bordel ! » (Juvénal, Satires, VI, v. 115-132, traduction O. Sers).

Pure médisance, disent nombre d’historiens. Billard indirect : en salissant l’impératrice, Juvénal ou Suétone, l’autre grand colporteur de ragots de l’époque impériale, disqualifiaient l’époux affligé d’une telle « mégère libertine »., comme dit Baudelaire. C’est d’autant plus facile qu’après sa mort ordonnée par Claude, Messaline a été frappée d’une damnatio memoriae : tout ce qui la concernait a été effacé, de sorte que les portraits qu’en ont donnés les peintres sont par définition des œuvres d’imagination.
Elle est le sujet d’un nombre important de tableaux, qui tous renvoient à cette insatiabilité légendaire — et peut-être mythique. Voir Gustave Moreau, Aubrey Beardsley (Messaline retournant chez elle), Jacques-Joseph Coiny (voir en tête de chronique), Enrique Bernardelli, (Messaline, 1886 — l’un des plus lascifs, voir ci-dessous). Sans oublier des épisodes fameux de la légende noire de l’impératrice, son mariage avec Caius Silius (Nicolaes Knüpfer, 1607-1655, vers.1645),

ou sa fin tragique — tuée sur l’ordre de Claude : de Francesco Solimena (1657-1747), la Mort de Messaline, c.1704-1712.

Ou, dans le genre marâtre romaine, la Messaline (1881) de Peder Severin Krøyer (1851-1909).

Le cinéma n’a pas été en reste. Voir Carmine Gallone (1885-1973), Messalina, 1951, avec Maria Félix ;

Vittorio Cottafavi, Messaline, 1960, avec Belinda Lee ;


Caligula et Messaline, 1981, avec Betty Roland — filmé pour profiter de la manne érotico-antique ouverte pas le Caligula de Tinto Brass.

Au péplum musclé succédait ainsi le péplum turgescent.

La dernière étude en date de haut niveau est celle de Jean-Noël Castorio, Messaline, la putain impériale, (Payot, 2015). L’érudit a d’ailleurs été sollicité pour parler de l’impériale collectionneuse sur Arte.

La nymphomane et la nymphomanie existent depuis le Dictionnaire de Trévoux (1721), et, à en croire les étymologistes, les deux mots seraient formés d’un élément « nympho– » (en grec, épousée, jeune fille en âge de se marier) et du suffixe -manie. La composition du mot, précise le Tilf, « s’expliquerait comme une formation à partir de nympholèptos , « emporté par les nymphes », d’où « rendu fou » (cf. nymphiao , « être saisi de fureur amoureuse, en parlant des chevaux »), ou bien, en partant du sens de « clitoris » qu’a nymphè (cf. pour la composition gr. méd. (IIIe s. apr. J.-C.), nymphotomia, « ablation du clitoris »), comme une sorte d’euphémisme pour fureur utérine (att. dep. Furetière. 1690). »
Et on se rappelle qu’on (si je puis dire) appelle « nymphes » les « replis membraneux placés de chaque côté de l’orifice vaginal sous les grandes lèvres. Synon. petites lèvres », précise encore le Tilf, auquel il faut avoir recours chaque fois qu’on a une incertitude langagière en français. La nymphomanie, à ce stade, serait l’appel des petites lèvres s’ouvrant et se gonflant frénétiquement pour attirer à elles le membre immarcescible qui les contentera — pour un temps.


La première étude quasi-psychiatrique remonte elle aussi au XVIIIe siècle — et je n’exclus pas que sous l’apparente austérité de telles études se dissimulent des allusions très contemporaines aux grandes putains de la Régence et du règne de Louis XV. Il s’agit de La Nymphomanie, ou Traité de la fureur utérine, du Dr Bienville, 1771. Lisible ici. Mais c’est à la fin du XIXe siècle que le sujet a véritablement passionné les foules. D’où l’étude de Cesare Lombroso, La Femme criminelle, la prostituée et la femme normale, 1893. Lombroso a recyclé les hypothèses fantaisistes des phrénologues et des physiognomonistes, et son livre n’est que littérature à sensation. Mais le frontispice est intéressant. La femme qui est représentée est identifiée comme Messaline, alors que c’est Agrippine (d’âne). On commençait déjà à traiter l’Antiquité « en gros », quitte à confondre les choix dans les dates.

J’ai un doute sur la réalité même de la nymphomane. Les actrices soumises au rythme stakhanoviste des tournages pornographiques s’oignent le frifri de pommades anesthésiantes. Elles ne ressentent rien, mais elles simulent pour le plus grand contentement des imbéciles. Alors s’enfiler trente ou quarante gladiateurs en une nuit…
Le record mondial serait détenu par une prostituée vietnamienne qui aurait épongé cent-vingt Gi’s à la suite (ou à la queue leu leu, comme on voudra). Mais il s’agissait probablement d’une espionne viet cong en mission commandée par l’Oncle Hô.
Pensez-y
« Quand elle a des besoins tyranniques
Qu’elle souffre de nymphomanie chronique
C’est elle alors qui fait passer à ses adorateurs
De fichus quarts d’heure »
reprenez mentalement le vieux slogan des manifs des grandes années, lorsque nous montions à l’assaut du vieux monde en scandant des « Ho Ho Hô Chi Minh / Che Che Guevara » : un coup de reins à chaque syllabe, et voici bientôt la gourgandine sur or / bite.

Les seules que j’ai connues étaient en fait des malheureuses anorgasmiques, qui cherchaient à chaque fois un point culminant qu’elles n’atteignaient jamais. Musset a magnifiquement décrit ce genre de situation dans Gamiani. La nymphomanie est trop souvent le cache-misère de la frigidité.

Jean-Paul Brighelli

Enrique Bernardelli, Messaline, 1886

620 commentaires

  1. Le Trouduc Tho aurait bien aimé se taper la Mespascâline mais il a une petite bite à un seul coup.

  2. 1ère lecture ; pioche (et pas au hasard) –
    seins : « dans une résille d’or »,
    monts : (et plus ou moins merveilles) via pinceaux et plumes,
    mots : « nymphes et clitoris », Uncle Hô, « hô, hô, hô » (après Lê « Đức Thọ « ), ou encore « Agrippine (d’âne) » et même « or/bite »;
    quant à « immarcescible » (ahaha !).

  3. « Nous aurions eu certainement droit au messalinisme, tant l’impératrice romaine, femme de Claude, est passée dans l’histoire pour ses débordements sexuels.  »
    A sa décharge, le nom de l’impératrice incite aux vilains jeux de mots.
    Exemples:
    Messaline passive.
    Messaline, vous adorez les popes .
    Oui…
    ( deux)

    • « est passée dans l’histoire pour ses débordements sexuels. »

      Autrefois : J’vous fait le plein comme d’hab ?

      Aujourd’hui : Souhaitez vous que j’amorce la procédure de remplissage ?

    • Pas de séide mais de bouffon. Chérir les Mitterrand dont on déplore les Meirieu.

      • Oh le revoilà le Dugland…déjà en manque de CH4N2O? T’as besoin de ta dose de reniflard de culs de vioques de maison de retraite ?
        Tes 200 conquêtes (tout de même, tenir un compte pareil, faut être d’une connerie et d’une fatuité…), elles ont pas la même saveur qu’un cul du 3ème âge ?

      • Le Trouduc Tho se fatigue pour rien. Tout le monde se fout de savoir ce que j’ai voté en 81. D’autant que beaucoup ont fait la même chose que moi…

        • On a tous voté pour Mimit en 81 et moins pire que d’avoir voté Sarko ensuite comme le maître des lieux qui nous faisait la retape à l’époque parce qu’il allait avoir des susucres entre autres la légion d’honneur.

  4. « …nous montions à l’assaut du vieux monde en scandant des  » Ho Ho Hô Chi Minh  » …

    Hô Chi Minh symbolisait l’hérésie en action.
    Oui…

  5. « …La femme qui est représentée est identifiée comme Messaline, alors que c’est Agrippine … »

    L’impératrice Aggripine, la fée ?
    Oui…

  6. Pute Imperiale [meretrix Augusta] traduction O. Sers).

    Le mot « meretrix »,en latin , n’est pas (sauf erreur) un mot vulgaire. Pourquoi O.Sers a-t-il choisi le registre vulgaire pour le traduire ? S’en est-il expliqué quelque part ?

  7. « …la dernière à fermer boutique, brûlante encore de la tension de sa vulve raide… »

    La forme « brûlant » est possible aussi.

  8. ça tombe du ciel ! (suite) –

    De nos jours, rien est exclu.
    Et c’est, en vérité, la faut’ à Pesquet et ses sacs poubelles lancés depuis l’ISS (re-suite).
    La NAS(A) enquête…

    … Et l’Australie accuse aussi la concurrence : un « débris spatial carbonisé tombé dans un enclos à moutons provenait d’un appareil de SpaceXSpaceX ».

    Bon, il s’agit juste de moutons ; tout le monde s’en fout ; d’autant que l’Australie n’est pas le plus brillant des Five Eyes.
    Et à Sydney, comme dans toute ville normalement constituée, la préférence va actuellement au couteau.

    https://www.parismatch.com/actu/insolite/aux-etats-unis-un-debris-spatial-eventre-le-toit-dune-maison-un-drame-evite-de-justesse-236568

    • (rien N’est exclu – un seul space X ; c’est suffisant, bien que le Musk s’acharne à lancer des brigades de satellites.
      En l’attente donc de futures chutes de débris.)

  9. La composition du mot, précise le Tilf, « s’expliquerait comme une formation à partir de nympholèptos , « emporté par les nymphes », d’où « rendu fou » (cf. nymphiao , « être saisi de fureur amoureuse, en parlant des chevaux »), ou bien, en partant du sens de « clitoris » qu’a nymphè (cf. pour la composition gr. méd. (IIIe s. apr. J.-C.)…

    Nabokov détourne le mot « nympholepte » de sos sens;chez lui ,le nympholepte est celui qu’attirent les nymphettes. ( et ce dernier mot est lui aussi détourné de son sens…Nabokov prétend avoir inventé le mot.)

    Of all the forms of erotic behavior evoked in Nabokov’s novels, there is one which obviously takes precedence, the love of a mature man, a nympholept, for a special kind of young girl, a nymphet. The word “nympholept” is not Nabokov’s neologism; here is how it is defined by The New Shorter Oxford Dictionary: “A person inspired by a violent enthusiasm, esp. for an unattainable ideal.” Swinburne, in his poem entitled “The Nympholept,” invokes Pan (“O thou the God who art all”), showing how the poet seeks to attain that God by communing with nature. Curiously, Nabokov never makes reference to that poem, though he mentions Swinburne on some occasions. Never does he use the word in its dictionary definition, either.

    Nymph-Hunting
    Maurice Couturier
    https://link.springer.com/chapter/10.1057/9781137404596_8

  10. « J’ai un doute sur la réalité même de la nymphomane. »

    Evidemment, toutes les nymphomanes qui sont passées à la casserole brighellienne ont joui.

    • « la casserole » : rien ne dit qu’il y a (forcément !) une suite, après le dessert – et encore, sans passer par la case lecture.

      • Méat coule pas: je croyais que « passer à la casserole » signifiait « se faire baiser »;je vois que ce n’est pas exactement ça.

        Je voulais dire:le Maestro a baisé des nymphomanes, mais il n’a pas pu se rendre compte qu’elles l’étaient car elles ont toutes joui.

        D’où ses doutes sur l’existence de la nymphomanie.

  11. Défense du territoire (suite) – chacun chez soi !

    Après l’aigle royal, les surmulots parisiens (en grand nombre) s’insurgent, via mon Ân(n)e, contre « Un défilé de dromadaires, chameaux et lamas prévu à la tour Eiffel. »
    Il s’agit du soutien d’une noble cause, celle du « dromadaire dans la capitale française des droits de l’Homme. »

    https://www.lefigaro.fr/animaux/un-defile-de-dromadaires-chameaux-et-lamas-prevu-a-la-tour-eiffel-cree-la-polemique-20240417

  12. La chronique de Jean-Paul Brighelli sur Messaline me paraît constituer le support idéal pour une nouvelle séance de psychanalyse sauvage et drôlatique de l’intéressé.

    Le choix de Brighelli se portant sur Messaline est révélateur à plus d’un titre. Nous reviendrons le moment venu sur le signifié, mais il convient tout d’abord de s’attarder sur le signifiant : dans « Messaline », il me semble impossible de ne pas voir (un peu comme Barthes avec les rondeurs du S de Sarrasine opposées au tranchant anguleux et castrateur du Z de Zambinella) que le deuxième « s » appelle la question « est-ce assez » ? « S » à « C » ? Ce « s » n’est-il pas un « c » masqué? Messaline, un substitut déguisé de Mescaline/Masqualine ?

    Mescaline (que j’emploie ici sans article, à dessein, comme un nom propre) trouble la perception et brouille les repères. Mescaline ouvre des portes insoupçonnées, comme l’a montré Aldous Huxley (The Doors of Perception), repris par Jim Morrison, comme l’ont montré, entre autres, Henri Michaux et Antonin Artaud. Mescaline révèle la vérité des êtres.
    Brighelli a-t-il besoin de Mescaline pour se révéler sa vérité ? J’ai déjà démontré qu’avec Brighelli et dans ses écrits, l’homosexualité est toujours latente, présente de façon souterraine (que l’on se souvienne de son attention attirée par les dentelles de Najat Vallaud-Belkacem et du côté « garçonne » plus qu’ambigu de cette dernière, que l’on se souvienne également de sa bi-sexualité virtuelle dévoilée par sa chronique sur la lettre retrouvée de Cécile de Volanges). Eh bien nous y revoilà : car grâce à Mescaline et ses pouvoirs troublants, Brighelli nous fait savoir que derrière le féminin se cache le masculin, et que Messaline c’est Messala.

    Messala, l’ami d’enfance de Ben-Hur, son très cher ami devenant ensuite son plus farouche ennemi. Pour qui a vu le film de William Wyler, les pulsions homosexuelles qui animent ces deux personnages ne font aucun doute et sont tout sauf une surprise. Mais allons plus loin dans l’exploration de l’inconscient de Brighelli : Messala, c’est à n’en pas douter « Mets « ça » là », « mets le « ça » là ». Qu’est-ce que c’est que « ça » ? Qu’est-ce donc que le « ça » ? Le « ça », dans la théorie psychanalytique, c’est le pôle pulsionnel de la personnalité, le siège des désirs et des pulsions refoulées. Peut-on être plus clair ? Brighelli refoule Messala. Brighelli tente de congédier Messala, mais inévitablement il lui faudra l’affronter…
    Mais Brighelli, comme Ben-Hur, sublime et transcende l’affrontement. Après les galères, après l’expérience de la violence subie puis infligée, vient l’expérience de la grâce. Pour Ben-Hur, la grâce viendra par déplacement, de la rencontre avec le Christ. Pour Brighelli, par un déplacement analogue, elle viendra de la littérature et de l’écriture.
    Eh bien oui, Mesdames et Messieurs, le doute n’est plus permis : Jean-Paul Brighelli est un avatar christique : il est à la fois Cassandre et Jésus, il est à la fois la Pythie et Prométhée. Tel un grand prêtre – ou plus exactement une Grande Prêtresse – , Brighelli, à longueur de chroniques érotico-cultu(r)elles, célèbre la Messe Aline (pour qu’elle revienne, évidemment), il célèbre Mescaline à qui il doit de voir Messala en Messaline.
    J’ai démontré en quoi Messala devait obligatoirement se lire « Mets « ça » là », « mets le « ça » là ». Là ? Mais de quel lieu est-il question ? Quel est ce lieu-là ?
    Réponse évidente : « là », ce lieu-là, c’est le lieu de la rencontre entre Eros et Thanatos, c’est l’éternelle histoire de l’Amour et de la Mort, Amour Amor, Amour à mort…car Ben-Hur finit par provoquer/obtenir la mort de Messala, lors de la célèbre course de chars. Alors, ce lieu ? Eh bien la mort y sonne, comme Jim, un des amants de Mescaline (voir note 1)…
    Eros et Thanatos, voilà bien un appariement qui fonctionne à plein chez Brighelli, au-delà des figures les plus éculées…- oui, oui, éculées (sans haine et sans « n »).
    Une nouvelle dualité (oserai-je dire « une bien lourde nouvelle paire »?) à ajouter au palmarès brighellien.
    Merci de votre attention.

    Note 1 : La mort y sonne aussi pour Marat interprété par un autre amant de Mescaline, un Artaud illuminé, dans le Napoléon d’Abel Gance. Marat, assassiné par Charlotte Corday, une Charlotte Corday morte vierge, qui était donc l’antithèse de Messaline. Gance et Artaud ne manquaient pas d’humour (inconscient?).
    Note 2 : Chacun sait que Jean-Paul Brighelli vit à Marseille, a fait ses études à Marseille, a enseigné à Marseille. Je n’ai pas cru devoir insister sur la quasi-homophonie Massalia/Messala, qui à elle seule en dit long….

  13. Un lointain lecteur 17 avril 2024 At 16h23
    Lormier vous vieillissez!

    Hélas! Et ce n’est pas d’hier.

  14. En vérité je vous le dis, tout un grand blabla,
    étalage, as usual, du savoir inégalé et inégalable du maestro, en matière sessuelle – moult références littéraires & artistiques à l’appui –
    … pour nous convaincre que le « membre immarcescible » ne l’a jamais concerné, et que les supposées nymphos « étaient en fait des malheureuses anorgasmiques »…
    lui qui avait déjà écrit « Elle s’était évanouie après le huitième orgasme enchaîné aux sept autres »…
    Et mon kul c’est du poulet, comme dit IAL !

    • 18h37 : çaYest : le vieux prof au « membre immarcescible » a distribué les bons points : PFM (qui, sous d’autres cieux, s’en est pris plein la gueule) et IAL – avec tout le mal(âle) qu’il se donne, c’est normal.

      A qui, au final, dans un avenir plus ou moins lointain, seront attribués les prix d’excellence et d’honneur ?
      On se le demande, hein, GG, sans tenir compte de l’ancienneté, bien sûr, et entendu que le vieux polpote aura forcément droit à un prix spéc’ du jury (= du maestro) pour indéfectible présence sur le Front !)

      • Savoir inégalé :
        Le concours d’entrée de science po dans les années 70 était réputé pour exiger de ses candidats une culture générale à large spectre. L’érudition ne faisant pas tout. Ainsi pouvait-on poser la question de savoir, et en dehors de celle qui interrogeait sur la contenance en litre d’un baril de pétrole, quels étaient les dessous féminins à la mode du moment.
        Il est regrettable que ne soient pas glissées dans cette remarquable chronique quelques expressions en patois définissant le mal, en est une qui faisait marrer dans les chaumières tourangelles : « Y’a la paille de sa chaise qui brûle ! »
        Qu’est-ce que l’érudition sans un peu d’humour ?

  15. Toujours « aucune » nouvelle du délirant… ça en devient inquiétant.

      • Celui qui a fait une dissonance cognitive quand Zorglub l’a taillé.

  16. 6h ,ce matin:15 gendarmes se présentent au domicile d’un quidam,candidat aux européennes sur la liste de Philippot, et l’embarquent;il est placé en garde à vue. Motif:il aurait laissé sur la messagerie téléphonique de Macron des menaces de mort. Les enquêteurs écoutent les messages;il n’y a pas de menace de mort. Affaire classée sans suite. Le quidam est libéré à 17h 45.

    • Les souverainistes, donc les seuls partisans de la liberté, sont très mal vu par les totalitaires zéropéens.

      • Faut demander le ressenti * de Trouduc Tho sur le chevènementisme.

        * il ne s’agit évidemment ni d’avis motivés ni d’opinion

  17. Dugong 18 avril 2024 At 8h11
    Est-ce en garde à vue qu’ils lui ont cassé le pot ?
    ———————————————————————————————————

    L’expression « casser le pot » peut-elle s’employer pour l’enkhulation d’un homme ?

  18. « casser le pot » d’un homme ???

    « …si le lapsus que le héros décode peu après (« se faire casser le pot ») évoque plutôt un acte hétérosexuel, Proust souligne que c’est seulement avec une femme que « même la dernière des grues » « dit cela pour s’excuser de se donner tout à l’heure à un homme » (RTP, III, p. 843). »

    extrait de « Couchage et gougnotage »

    http://www.item.ens.fr/articles-en-ligne/couchage-et-gougnotage-les-jeux-de-lamour-dans-les-cahiers-d/

  19. « La nymphomanie est trop souvent le cache-misère de la frigidité. »

    Une nymphomane frigide ? A première vue,c’est un oxymore. Qu’en pensait Whilelm Stekel ?
    (J’l’ai pas lu mais j’en ai entendu parler.)

    La Femme Frigide

    Product Code: 2070353036

    Auteur : Wilhelm Steke
    Collection : Collection Idées de l’éditions Gallimard
    Date de parution : 1973 [original,en allemand,1937]

    https://www.eldjalis.com/la-femme-frigide#:~:text=humaine%20psychologie%20livre-,Description,la%20frigidit%C3%A9%20relative%20ou%20absolue.

  20. « Les seules que j’ai connues étaient en fait des malheureuses anorgasmiques, qui cherchaient à chaque fois un point culminant qu’elles n’atteignaient jamais. »

    Fréquent chez les nymphomanes. ( Lormier n’avait pas prêté attention à cette phrase qui contredit tout ce que l’on savait du Maestro, le Vauban de la baise.)

    anorgasmie,insomnie.

    Souvent, la peur de ne pas trouver le sommeil empêche de dormir; de même la crainte de ne pas parvenir à l’orgasme peut empêcher de jouir.

  21. Brighelli a-t-il voté pour Mitterrand en 81 ?

    • Et surtout, Brighelli a-t-il voté pour Hollande en 2012 ?

      • pfff !
        Si seulement même « la dernière des grues » (cf citation, Lormier – 11h09) se « donnait » (ouaf, encore faut-il savoir « prendre »),
        peut-être, homme (?) aux mille surnoms changeriez-vous de disque (formule à l’ancienne).

      • Je n’ai pas voté pour le candidat qui a institué les pédagos, ce qui rend déjà mon solde positif – contrairement à vous.

  22. Gardes à vue, et autres réjouissances – (Lormier, 17/04, 23h24)-

    La polisse fait très bien son travail : menacer et faire peur (sauf là ou le brave citoyen le voudrait, bien sûr).

    On se rappelle l’histoire assez récente du « retraité de 77 ans », arrêté et condamné à un « stage de citoyenneté » pour avoir affiché une « banderole anti-Macron »,
    tout comme une autre personne, mise en garde à vue, pour avoir insulté le même haut personnage sur les rézos.

    Encore quelques Gaulois réfractaires… et encore un brin de liberté ;
    profitons-en ; les 1ers de cordée ne rêvent que de faire comme chez les grand Xi :
    « Parti, gouvernement, armée, société civile, université ; est, ouest, sud, nord et centre, le Parti dirige tout » – le Secr. du PCC, Xi Jinping.

    Les Anglo-saxons ont récemment testé les… sanctions bancaires : on se rappelle les comptes bancaires bloqués des camionneurs canadiens anti-covid.

    Autre ex, qui prête à rire, mais… la banque Coutts avait clôturé le compte de… N. Farage, sous le prétexte que « ses opinions étaient en contradiction avec leur position en tant qu’organisation inclusive. » *
    Laquelle banque s’est finalement excusée.

    Aux EU, JP Morgan a clôturé les comptes d’un certain Dr J. Mercola, critique des vax. *

    Tout doit être tentée contre toute « désinformation », paroles et écrits contraires à la doxa.
    Et même Paypal aux EU s’y met. *
    Allez courage, camarades !

    https://amerika.substack.com/?utm_source=substack&utm_medium=web&utm_campaign=profile_page

  23. Flipper le dauphin présente ses excuses pour avoir voter Mimit en 81.

    Babar serait sur le point de faire de même.

  24. Abstention et désintérêt pédagogique valent mieux que mitterrandisme et pétition instructionniste…

    • Oui, je n’ai pas peur de l’affirmer : tout prof qui s’est toute sa carrière foutu des questions pédagogiques ET qui n’a pas voté pour Mitterrand et toutes les locomotives de Meirieu a fait moins de mal à la cause instructionniste que Dugong.

      • Elle s’en remettra (la « cause » instructionniste). Avec des gens comme TroudDuc Tho, ça va dépoter du contenu ! Il a les mains propres mais il n’a pas de mains.

        • « Il a les mains propres mais il n’a pas de mains. »

          Justement pas ! Mon approche est précisément conséquentialiste.

  25. Aider à la reconstruction de Notre-Dame n’efface pas qu’on y a foutu le feu !

  26. (Gardes à vue, et autres réjouissances – suite –
    à force, on frôle le ridicule – Marc Doyer raconte chez Bercoff -,
    et pendant ce temps là, des mineurs, dans la rue, en pleine nuit, volent et tuent… – « il s’est fait massacrer, c’est de la barbarie » –
    Mais encore ? Et ben, rien, comme d’hab !)

  27. ‘Reusement qu’il y en a, ici, des qui taquinent le poisson, ce qui permet à d’autres, comme bibi (mais pas Neta’) la plongée en eau trouble.

  28. Brighelli vient de parler… tout est dit, Dugong à la face de fion.

      • Mais oserez-vous l’interroger ? Vous vous êtes lamentablement défilé.

  29. Toussa n’est rien d’autre qu’un mauvais remake :
    Driout était meilleur ; l’obsessionnel de + en + con-vulsif et Dgng itou… no comment.
    Stop ! pas drôle et même plus drôle du tout !
    Vous visez quoi ? Que le peu qui reste se fasse la malle ?!

  30. Pour WTH et qui veut. Cela fait un petit bout de temps que je n’avais pas regardé ce qu’a écrit Annie Le Brun. Lisez donc «  Ceci tuera cela » , c’est vraiment intelligent.

      • vers le haut ?

        _______________________________________________________________

        Merci, bien noté – ma pile s’allonge…

        Merci, bien oLlé – ma piNe s’allonge…

  31. Pourquoi, lorsqu’on met deux points et une parenthèse, après un mot, c’est forcément remplacé par ce machin?

  32. Segurant 9h59 –
    Rajout personnel : JPB fait ici comme devant ses fourneaux ; de temps à autre, il soulève les couvercles, hume, se borne, éventuellement, à rajouter une pincée de sel,
    et soupire de bien-être (sauf très rares exceptions)…
    (il lui arrive parfois aussi de quémander : « tu pourrais nous (!) donner l’article du Monde… »)

  33. « Il a les mains propres mais il n’a pas de mains. »

    Justement pas ! Mon approche est précisément conséquentialiste.

  34. Aider à la reconstruction de Notre-Dame n’efface pas qu’on y a foutu le feu ! (bis)

  35. Dans l’illustration de Jacques Joseph Coiny (1761-1809) et Agostino Carracci (1557-1602), « Messaline dans la loge de Lisisca, 1798 », je remarque que la main qui guide la pine est celle de l’amant, et non celle de Messaline.

    Pourtant,une goulue,une nymphomane aura tendance à précipiter la pénétration,à a
    groppet la pine.

    Quant à l’attitude générale, je la trouve plutôt calme et patiente.

  36. Si le bon docteur Krafft-Ebing avait eu à nommer la nymphomanie, sans doute aurait-il eu recours, sur le modèle de ce qu’il a fait pour sadisme et masochisme, à l’archétype de toutes les possédées du feu utérin, comme on disait autrefois. Nous aurions eu certainement droit au messalinisme…

    Mais le mot « nymphomanie » figure dans Psychopathia Sexualis;Krafft Ebing range la nymphomanie dans la rubrique plus générale de « l’hyperesthésie ».

  37. Pour Krafft Ebing, Messaline est une sadique,pas une nymphomane:

    « On rencontre dans l’histoire des exemples de femmes, quelques-unes illustres, dont le désir de régner, la cruauté et la volupté, font supposer une perversion sadiste chez ces Messalines. Il faut compter dans la catégorie de ces femmes Messaline Valérie, elle-même, Catherine de Médicis, l’instigatrice de la Saint-Barthélémy et dont le plus grand plaisir était de faire fouetter en sa présence les dames de sa cour, etc.  »

    https://psychanalyse-paris.com/1173-Le-sadisme-de-la-femme.html

    • Extrait:
       » …Un homme marié s’est présenté chez moi et m’a montré de nombreuses cicatrices de blessures sur ses bras. Voici ce qu’il m’a raconté sur l’origine de ces cicatrices. Toutes les fois qu’il veut s’approcher de sa jeune femme, qui est un peu nerveuse, il est obligé d’abord de se couper au bras. Elle suce ensuite le sang de la blessure et alors il se produit chez elle une vive excitation sexuelle… »

  38. Messaline…sadique ou Messaline andromane ?

    Observation 16. — Mme V… souffre depuis sa première jeunesse d’andromanie. De bonne famille, d’un esprit cultivé, bonne de caractère, d’une décence allant jusqu’à la faculté de rougir, elle était, encore jeune fille, la terreur de sa famille. Quandoquidem sola erat cum homine sexus alterius, negligens, utrum infans sit an vir, an senex, utrum pulcher an teter, statim corpus nudavit et vehementer libidines suas satiari rogavit vel vim et manus ei injecit. On essaya de la guérir par le mariage. Maritum quam maxime amavit neque tamen sibi temperare potuit quin a quolibet viro, si solum apprehenderat, seu servo, seu mercenario, seu discipulo coitum exposceret.

    Rien ne put la guérir de ce penchant. Même lorsqu’elle fut devenue grand’mère, elle resta Messaline.

    https://psychanalyse-paris.com/1162-Hyperesthesie-ou-exageration.html

  39. « toutes les possédées du feu utérin, comme on disait autrefois. »

    On disait aussi « folie /fureur utérine » . Par exemple , Krafft Ebing écrit: « furor uterinus ».

    De même,M.-D.-T. de Bienville ,Docteur en médecine,auteur de

    La nymphomanie ou traité de la fureur utérine

    Dans lequel on explique avec autant de clarté que de méthode, les commencements et les progrès de cette cruelle maladie, dont on développe les différentes causes ; ensuite on propose les moyens de conduite dans les diverses périodes, et les spécifiques les plus éprouvés pour la curation,

    (Amsterdam, 1771, in-8°)

  40. Sanseverina 18 avril 2024 At 17h38
    Mettez-le au-dessus de la pile 🙂

    Les prépositions sont des salopes, suite…

    On a accroché le portrait de l’aîeul au-dessus de la cheminée… ce n’est pas sur le dessus de la cheminée.

    Mettez-le sur le dessus de la pile… ici, dessus n’est pas une préposition et la phrase est sans ambiguïté.

    Et so on enlevait le trait d’union, ça serait encore correct ?

    (au revers de la veste…au dessus de la pile ???)

  41. Ca doit quand même être vachement bien d’avoir un parlement qui sert à quelque chose !

    Aujourd’hui, à la Chambre des Communes,déclaration d’un député sur l’excès de mortalité observé depuis la campagne d’injection du prétendu vaccin. autre déclaration, d’un autre:le gouvernement est débordé par les demandes d’indemnisation, en très grand nombre.

    (En France,un quidam qui demande au Président quand il va s’intéressr aux effets indésirables est cueilli chez lui par la brigade criminelle .)

  42. À force de s’être fait larguer, JPB piqué au vit se gratte le pu des couilles en mode oscillo battant: ding je suis Gatsby le malheureux, je survis d’uchronie

    « Gatsby believed in the green light, the orgastic future that year by year recedes before us. It eluded us then, but that’s no matter – tomorrow we will run faster, stretch out our arms farther… And one fine morning – So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past. »

    Dong toutes des salopes.

  43. … … A fait exception Olivia G., de l’équipe Tattal,
    qui « prépare des mesures pour renforcer l’éducation alimentaire des Français » :
    elle a sèchement (!) déchiré la photo envoyée par JPB – sous pli confidentiel déposé en main propre (c’est plus chic qu’un e-mail)-

    photo sur laquelle il pose, se pavane plutôt, devant ses fourneaux,
    juste vêtu d’un simple tablier sur lequel gracieusement imprimés (en majus-cule) les mots suivants :
    « Mes meilleures recettes, mon service hô de gamme, à votre disposition ! »

  44. La nymphomanie ou traité de la fureur utérine

    Dans lequel on explique avec autant de clarté que de méthode, les commencements et les progrès de cette cruelle maladie, dont on développe les différentes causes ; ensuite on propose les moyens de conduite dans les diverses périodes, et les spécifiques les plus éprouvés pour la curation,

    (Amsterdam, 1771, in-8°)

    Alors quels remèdes à la « fureur utérine »,autre nom de la nymphomanie ?
    On l’aurait deviné:les saignées, mais pas trop rapprochées et sans prendre beaucoup de sang à chaque fois.

  45. « Le Boeing vole au-dessus des nuages. »

    Ca veut bien dire:plus haut que les nuages,à une certaine distance des nuages , et pas sur « le dessus des nuages », non ?

    Alors expliquez-moi pourquoi « au-dessus de la pile » peut signifier « sur le dessus de la pile ». (On propose d’ajouter un livre à une pile déjà existante).

  46. Quand une pile est déjà constituée,le plus simple, si on veut y ajouter un élément, c’est de mettre cet élement sur le dessus.

    Si on voulait le mettre au milieu ,il faudrait soulever la partie supérieure de la pile,probablement la poser quelque part, poser le nouvel élément sur la pile tronquée,puis remettre par-dessus la partie préalablement déposée.

    Encore plus difficile:mettre le nouvel élément tout en bas.

  47. Jadis, quand on avait déposé un dossier dans une administration et que ça n’avançait pas,il était bon de connaître un ou une employé(e) de cette administration et d’obtenir d’elle ou de lui qu’il mette le dossier sur le dessus de la pile. Cela demandait parfois le versement d’une contribution.

  48. WTH 19 avril 2024 At 0h43

    « …photo sur laquelle il pose, se pavane plutôt, devant ses fourneaux,
    juste vêtu d’un simple tablier… »

    Nu sous le tablier ?

  49. A propos de femmes habitées par la « fureur utérine », Krafft-Ebing parle d' »andromanie ».

    L’équivalent masculin de la nymphomanie est le « satyriasis »; si le Maestro avait été examiné par Krafft-Ebing, il est probable que le diagnostic de l’éminent médecin eût été: « satyriasis ».

    Mais alors quelle est le pendant masculin de l’andromanie ? Je n’ai pas trouvé le terme chez Krafft-Ebing;ce serait peut-être « gynémanie » (qui ne sonne pas très bien).

  50. WTH 18 avril 2024 At 17h35
    Merci, bien noté – ma pile s’allonge…

    C’est une pile horizontale ?

    J’aurais plutôt dit qu’elle monte.

    Quand vous ajoutez quelque chose à votre pile, vous le mettez où?
    Sur le dessus?
    En-dessous ?
    Au milieu ?

  51. Jacques Joseph Coiny (1761-1809) et Agostino Carracci (1557-1602), Messaline dans la loge de Lisisca, 1798

    La main qui guide la pine vers l’orifice est celle de l’amant;on remarque qu’elle couvre presque le gland;il faudra qu’elle recule au moment de l’intromission;ileût été plus pratique (et logique) de saisir la pine plus en arrière. (Cette pine est assez courte,il est vrai.)

  52. « les spécifiques les plus éprouvés pour la curation »

    Bienville n’envisage pas le khul-ratio-nnement; étonnant: c’est en limitant la fréquence des enkhulationnements que Dugong éduque pau à peu Pierre Driout.

  53. abcmaths 18 avril 2024 At 21h16
    Extrait:
    » …Un homme marié s’est présenté chez moi et m’a montré de nombreuses cicatrices de blessures sur ses bras. Voici ce qu’il m’a raconté sur l’origine de ces cicatrices. Toutes les fois qu’il veut s’approcher de sa jeune femme, qui est un peu nerveuse, il est obligé d’abord de se couper au bras. Elle suce ensuite le sang de la blessure et alors il se produit chez elle une vive excitation sexuelle… »
    ——————————————————————————————————-

    Pensez-vous que Paul aurait accepté ?

  54. Dugong 19 avril 2024 At 9h12
    une pile horizontale pourrait s’appeler une file…
    ——————————————————————————————————
    Une file de livres,posée sur une étagère ou un bureau ? Hum…

    Une file d’attente à la poste,oui; elle s’allonge par l’ajout de nouveaux clients qui s’ajoutent de leur plein gré et à l’insu de personne, à la file déjà constituée.

    Des nageurs à la queue leu-leu sur un lac en pente*,ça peut s’appeler une file ? Pas besoin que ce soit horizontal;d’ailleurs au métro de la Grand Motte, la file des skieurs s’allonge dans l’escalier.

    * Dugong a été le premier à me révéler l’existence de lacs en pente.

  55. .La pile qui s’allonge est alors bienvenue.

    La piNe qui s’allonge est alors bien veLue.

  56. Dugong 19 avril 2024 At 9h12
    une pile horizontale pourrait s’appeler une file…

    Pour des livres alignés sur une étagère,on pourrait peut-être parler de rangée ?

    (A mettre au point:la bibliothèque dont les étagères croissent à mesure qu’on y ajoute des livres.)

  57. « pile » (après « file ») –
    Quand on voit ce qu’un simple mot – on peut certes mettre bien des mots à presque toute sorte de sauces * –
    peut générer de commentaires, on en est presque étourdi.

    * « nu sous le tablier » : oui ; long tablier (à l’ancienne) ;
    il n’aurait quant même pas osé jouer à la soubrette.
    – c’est Amazon qui ouvre la série (101 000 résultats) ; à des années lumière du « blanc qui vend de tout »…

    https://m.media-amazon.com/images/I/51xjgqVEjaL._AC_UL640_FMwebp_QL65_.jpg

    • Recyclage possible des fossoyeurs dans la « collecte des ordures ménagères », par ex ?
      Aucune chance d’y trouver de « dents en or ».
      Ainsi s’allonge la « liste » des problèmes et s’étoffe la « pile »de documents y afférant.
      On comprend donc que Touf’, pourtant va-t-en-guerre, renonce à une énième descente sur Marseille.

  58. Les nuances fortes entre « pile » et « file » échappent définitivement aux persécuteurs de diptères.

    • Sans aller jusqu’à « défendre dame moustique », un autre s’est contenté de « no me moleste mosquito… »

  59. Chers féaux,
    Je risque de n’être présent qu’en pointillés, sur la quinzaine à venir. Je pars en vacances, et j’ai un peu envie de faire un break, après quinze jours passés à écrire des horreurs sur les « chers collègues » qui jouent aux dhimmis depuis quelques années, et favorisent l’entrisme islamique. Je vais me faire encore des copains.
    Je pars loin, très loin.
    J’essaierai d’écrire, en fonction des disponibilités wifi.
    N’en profitez pas pour vous écharper…
    JPB

    • Dans l’hémisphère sud ?
      Certaines coupures sont bienvenues (réflexion faite un jour à une personne qui n’avait visiblement pas compris – alors quand il s’agit des nuances entre « pile » et « file » !…).
      Profitez-en bien !

  60. Bon, alors une pile horizontale…hum…n’est pas une pile;une pile,c’est vertical…oui mais entre la verticale et l’horizontale,il y a des trucs qui penchent plus ou moins;jusqu’à quel angle peut-on encore parler de pile ?

    Essayons quelque chose: si ça s’écroule pas, c’est que c’est une pile.

    Quand WTH empile des livres sur son bureau, elle n’est pas obligée de mettre la pile en plein milieu;elle va mettre sa pile tout au bord, pour ne pas encombrer;et si elle a le goût de l’expérimentaion, elle fera peut-être déborder un peu la pile.

    Jusqu’où peut-elle aller ?

    C’est le problème posé (et résolu) dans ce petit film du MIT.

    https://www.youtube.com/watch?v=CdhuVhWTSMI

  61. « Quand WTH empile des livres sur son bureau » (Lormier) :
    Non !
    Pas de pile(s) sur mon bureau – qui est plutôt petit – sur la seule étagère, s’alignent (!) :
    . une lampe (vieux bougeoir cuivre),
    . une superbissime mousmé en porcelaine blanche, années (19)20 – récupérée chez mère-grand ;
    assise en tailleur, visage, cou et avant-bras bruns, coiffée d’un turban doré, une mule dorée (en guise de pied),
    et tenant en son giron une sorte de petit vase rond (doré), que l’on peut ouvrir, et dont le couvercle est percé de quelques trous permettant d’y placer des bâtons (d’encens, par ex) ;
    visage et regard tournés vers le haut, deux touches de noir pour les yeux, deux gouttes rouges pour les pommettes, rouge itou pour les lèvres finement dessinées ;
    parfaite symétrie et accord, porcelaine, dorures – objet, si parfait, si exquis,
    . mon aigle-corbeau, magnifiquement sculpté dans le bois, ramené du fin fonds de l’île de Vancouver – quite a long time ago…
    . …de même que ma « peinture de sables » (du coin de Teec Nos Pos),
    . un coupe papier en bronze (années 1920, récupéré chez mon père),
    . enfin, plus récent, un livret miniature de photos de quelques phares célèbres (« Lighthouses »), trouvé à Mystic, CT ;
    il y a de quoi faire depuis celui… d’Alexandrie – surtout axé sur les côtes Est et Ouest d’Amérique du Nord ;
    et qui se prolonge d’un court ruban, auquel est suspendu… un tout petit phare, au toit rouge.
    (L’évasion m’a toujours été nécessaire, et dans l’espace… et dans le temps.)

  62. « Lighthouses » (suite) –

    De petits textes accompagnent les photos – anecdotes historiques, et quelques citations.
    Ainsi :
    « Oh dream of joy, is this indeed
    the lighthouse top I see ?
    Is this the hill ? Is this the kirk ?
    Is this mine own country ?
    (Coleridge – « Rime of the Ancient Mariner »)

    « A maiden gentle, yet,
    at duty’s call,
    firm and unflinching,
    at the lightouse reared,
    on the highland rock,
    her lonely dwelling place.
    (Wordsworth – « Grace Darling »)

  63. Jean-Paul Brighelli 19 avril 2024 At 13h14
    Je pars en vacances…Je pars loin, très loin.

    Etre retraité et ne pas pouvoir partir hors vacances scolaires ! (Marseille, zone B).

    Ce que c’est de vivre avec une prof !

  64. Sale époque ! vraiment ! Y’a que la nature qui est belle, après les pluies des mois derniers…
    (c’est pas comme à Dubaï, Bahreïn et Oman – ouaf – Du « cloud seeding », qu’ils disent ; et ben soit c’est pas au point, soit c’était essprès !)

  65. Jean-Paul Brighelli 19 avril 2024 At 13h14
    « … quinze jours passés à écrire des horreurs sur les « chers collègues » qui jouent aux dhimmis depuis quelques années, et favorisent l’entrisme islamique. »

    Vous n’avez pas oublié Blanquer, j’espère.

    (Blanquer,c’est l’homme qui a limogé le Recteur Morvan parce qu’il s’opposait à l’ouverture d’un lycée musulman près de Lyon;c’est l’homme qui a constamment protégé l’agitateur professionnel musulman Sefrioui; c’est l’homme qui a maintenu une disposition permettant à un parent d’élève de se faire accompagner dans le bureau d’un chef d’établissement par un dignitaire musulman de son choix etc.)

    • Encore un de ces connards d’évangélistes qui grouillent en Afrique. Bonne digestion au croco qui a happé le messager de dieu !

  66. Araser un centre-ville, des solutions existent :

    https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/08/07/accident-de-train-au-canada-la-societe-americaine-en-cause-fait-faillite_3458751_3222.html

    « La société ferroviaire américaine Montréal, Maine & Atlantic s’est mise mercredi 7 août sous la protection des lois sur la faillite aux Etats-Unis et au Canada, un mois après l’explosion d’un de ses trains dans un village québécois. L’entreprise, dont le déraillement et l’explosion du convoi de 72 wagons-citernes avait fait 47 morts et rasé le centre-ville de la bourgade de Lac-Mégantic le 6 juillet, a expliqué que les obligations découlant de l’accident excédaient maintenant la valeur de ses actifs. »

  67. Les animaux font la Une (suite) –

    Après les crocos gourmands et les laineux, les drom’ :
    « Le défilé de chameaux et de dromadaires à Paris aura bien lieu ».
    Oui, mais, pas au Champs de Mars, sur l’esplanade du château de Vincennes.
    Faut penser * au ramassage de crottes, par ex (et à l’odeur ?).

    Et donc le « président de la Fédération française pour le développement des camélidés en France et en Europe » a déclaré :
    « Il y a des petits indices de racisme avec des connotations de dromadaires arabo-musulmans qui me choquent profondément. »

    Quelques dignes représentants de LFI se joindront peut-être au défilé.

    * si par malchance, un des camélidés a besoin d’être pansé, par ex, qu’il se rassure : trois vétérinaires seront sur place.

    https://i.f1g.fr/media/cms/282x159_crop/2024/04/20/b696adb14f93c5e8b6213cd9b04b3216201c7de4450d8004e06f81600cc2284c.jpg

  68. Dites, Brighelli, pendant vos vacances, vous n’allez quand même pas confier les clés de la boutique à Dugong ? Sinon, avec ce mitterrandiste patenté, je vais finir sous les roues d’une voiture comme Jean-Edern Hallier !

    • Instructions ont été données pour balayer les morceaux de Trouduc Tho qui encombreraient la voie publique dans le caniveau. Pour faciliter l’évacuation par les voies habituelles pour les déchets.

      • C’était mon hommage à Pierre… Paix à son âme.

        Revenons plutôt aux questions importantes : COMMENT OSEZ-VOUS AVOIR VOTÉ POUR LA PÉDAGOGIE RENOUVELÉE ET VOUS DIRE INSTRUCTIONNISTE ?

  69. Je rajoute mon petit grain de sel –
    Non seulement le polpot a  » les clés » mais en plus il est payé – le maestro peut se permettre doré-navant quelques largesses, d’autant qu’il sait que le polpot ne crache pas sur le brouzouf.

    Malheureusement, IAL n’aura droit à rien, s’acharnant comme iel le fait à casser du sucre sur Blanquer – d’où son addiction au placement de produits, ici-même.

    Quant à moi, qui n’ai jamais failli dans mes louanges au maestro, je l’ai aussi dans l’os.
    J’en profite nezenmoins pour révéler que le maestro a beau plastronner, et bien en avion, il a peur – comme au cinéma dans le noir !
    Il a besoin d’être rassuré ; et donc rien ne vaut mieux qu’une main féminine pour lui prendre la sienne (de main) et lui fredonner quelques chansons (paillardes) pour le ramener à, heu, la raison.

    • La dernière fois qu’il est parti en Grèce, il est revenu avec une denture flambante neuve..

      Qui pari qu’il revient de Turquie avec des cheveux, une liposuccion de l’abdomen et un lifting ?

  70. Dugong
    20 avril 2024 At 13h26
    Instructions ont été données pour balayer les morceaux de Trouduc Tho qui encombreraient la voie publique dans le caniveau. Pour faciliter l’évacuation par les voies habituelles pour les déchets.
    —————————————————–
    Papy croasse toujours
    13 avril 2024 At 12h37
    (…) Bd est une vaste fosse d’aisance ! On y entre, on y pose son petit étron pour se soulager et on repart.
    ———‐——‐————————————-
    Alors comme ça,Dugland,t’es encore venu déposer ton étron?C’est bon,on a compris que tu faisais que de la merde!
    « Évacuation par les voies habituelles pour les déchets »,qu’il dit le Dugong.Ben oui,aux chiottes direct,les étrons de Dugland!

  71. WTH 19 avril 2024 At 15h02

    (L’évasion m’a toujours été nécessaire, et dans l’espace… et dans le temps.)
    ——————————————————————————————————–

    Je conçois que votre condition de femme vous pèse.

    Mais n’allez pas croire qu’en vous faisant greffer une pine vous y échapperiez.Les chirurgiens pourront sans doute y connecter votre urètre,ce qui vous permettra d’uriner debout et,à terme de faire l’hélicoptère. C’est l’un des petits plaisirs que s’offre Dugong quand il prend l’autoroute:souiller les sièges avec son urine.

    Mais votre pine ne s’allongera pas,vous n’aurez pas d’érection.

    Renoncez, Lormier vous en conjure.

  72. WTH 19 avril 2024 At 15h02

    (L’évasion m’a toujours été nécessaire, et dans l’espace… et dans le temps.)
    ——————————————————————————————————-
    Vous savez l’anglais;c’est une merveilleuse occasion de vous évader.

    Tenez:pour nous, le concept de « pile » englobe une notion de verticalité.

    Mais un carambolage de plusieurs voiture sur l’autoroute s’appellera « pile-up » ou « pile up »

    « Six-car pile up on smart motorway while entire safety system shut down
    Whistleblower reveals stopped vehicle detection technology crashed, leaving car a ‘sitting duck’ on former hard shoulder on M6

    Steve Bird
    17 February 2024 • 3:18pm

    https://www.telegraph.co.uk/news/2024/02/17/six-car-pile-up-smart-motorway-system-down-m6-coventry/

  73. pile up:un carambolage;les voitures s’accumulent. Pour un anglais l’empilement n’implique pas la verticalité.

    Il y a encore quelques années les pédagols luttaient contre « l’empilement des connaissances »;voyaient-ils une pile (verticale)?

    Le problème est réglé,ils n’en parlent plus:il n’y a plus de connaissances.

    Quand une pile penche trop,elle s’écroule;je propose d’appeler « amas » ce qu’on trouve alors au sol.

  74. Hcc1 19 avril 2024 At 13h35
    LIFO et FIFO sont dans un bateau…
    ——————————————————————————————————-

    On suggère une lecture à WTH;on lui recommande,une fois l’achat fait,de le mettre sur le haut de la pile.

    Mais à quel autre endroit serait-elle tentée de le mettre ?

  75. Dugong 20 avril 2024 At 7h51
    Araser un centre-ville, des solutions existent

    Araser n’est pas vitrifier.

    • « Araser n’est pas vitrifier. »

      Avec une bombe de type A, bien dimensionnée et déclenchée à la bonne altitude, on arase et on vitrifie.

      C’est presque de la dentelle…

  76. C’est chouette un pays où les tribunaux servent à quelque chose:

    « Dr. Hanna Nohynek, serving as the WHO’s chair of the Strategic Group of Experts on Immunization and also holding the position of chief physician at the Finnish Institute for Health and Welfare, delivered the bombshell admission in a Helsinki courtroom. Her testimony unfolded in a lawsuit brought by Finnish citizen Mika Vauhkala, who was denied entry to a café for lacking a vaccine passport.

    During her court appearance, Dr. Nohynek disclosed that despite her warnings to both the WHO and her government against the necessity of vaccine passports, her concerns were disregarded. She told the court that Covid mRNA shots were deemed ineffective in halting virus transmission, rendering the passports and vaccinations essentially ineffective and providing a false sense of security to the public. »

    https://dailytelegraph.co.nz/world/who-official-testifies-vaccine-passports-were-a-scam-to-promote-global-vaccination-agenda/

    • Oui ! A « scam » !
      Mais d’autres guerres ont pris le relais…
      Cet après-midi rencontré quelqu’un que je n’avais pas vu depuis un bon moment ; moi, durant notre bavardage :
       » Et l’épisode covid… pfff !  »
      réponse :
       » Ah oui, tiens, c’est vrai »…
      Autrement dit, « l’épisode » est presque oublié…
      Peut-être leur faudra-t-il un jour, malgré tout, trouver des moyens un peu plus sophistiqués pour faire peur, obtenir l’obéissance de la majorité, au nom de la sacro-sainte « sécurité ».
      Mais pas sûr : les formules « traditionnelles » sont en tout cas toujours parfaitement d’actualité…

  77. … Et pour ce qui est de « l’évasion », Lormier, loin de lectures plus « sérieuses » (comme celle recommandée par Sanseverina), je suis, pour le moment, dans une période « polardisons »…(flemme)

    Après « Krummavisur » (Ian Manook), agréable polar – Manook et ses descriptions de l’Islande valent le détour),
    les deux 1ers de la « trilogie du dark net »de Jakub Szamalek (Polonais); le 1er pas mal, le 2d moins.

    à G. Pitron et ses « enfer numérique »- voyage au bout d’un like », et « la guerre des métaux rares », enquêtes sur le terrain – sur les sols et dans les sous-sols,

    répond ce »dark net », mise en scène trépidante et sans concession, sur d’autres réalités du monde numérique…
    qu’on imaginerait plutôt se dérouler ailleurs qu’à Varsovie ;
    mais la mondialisation est bien installée, surtout dans les capitales.

    Je vais commencer un autre polar : « Le sang des innocents » (S. A. Cosby).
    1ère phrase de la 4ème de couverture :
    « Le Sud n’a pas changé »…
    Autre réalité tangible, elle aussi quelque peu oubliée, semble-t-il.

    L’auteur, noir américain, né en 1973 en Virginie, dans une famille pauvre, et qui a vécu, jusqu’à l’âge de 16 ans, dans une caravane, dépourvue d’eau courante.
    Je jugerai sur pièce…

    • « logique » : la « logique » aux yeux des « colons » israéliens, c’est de prendre le maximum de territoire…

      On ne parle pas, non plus, du Groenland… sauf dans… « Krummavisur »…

      Le Groenland, toujours rattaché au Danemark, et très convoitée par les EU (et particulièrement depuis la guerre froide) – Trump avait même dit vouloir acquérir le Groenland, et pour cause.

      Sans compter que l’Arctique ne laisse pas la Russie de glace, surtout depuis le développement de sa « route maritime du Nord ».
      Les routes maritimes, tout autant que terrestres, les passages, les détroits (cf l’étroitesse du détroit de Malacca) n’ont pas fini de lancer moult conflits ; ce n’est certes pas nouveau…

  78. Source Radio-Canada :
    « La Chambre des Représentants a approuvé samedi une nouvelle aide militaire de plusieurs milliards de dollars pour Israël, en guerre avec le Hamas, malgré les inquiétudes de la communauté internationale sur le sort des civils à Gaza. L’enveloppe totale pour Israël est de 26,4 milliards de dollars. »

    L’Occident ne se contente pas de regarder ailleurs. Il alimente et finance la politique impérialiste et colonisatrice de cet Etat-voyou.
    Honte, honte, honte !

    • « l’Occident regarde ailleurs » !
      Et quid de « l’Etat voyou » ukr, parmi tant d’autres… hein DY ?

      Seule vous importe la (sur)vie des Palestiniens ? Sans dék ?!

      Et bien, les peuples et états-uniens et européens, comme d’hab, ne peuvent grand chose,

      car ils ne sont maîtres de rien… (et que leurs dits « élus » ne les représentent en rien),

      et se contentent donc… de subir la forte augmentation des prix – matières 1ères (gaz, électricité) et autres marchandises –

      victimes des guerres à l’Est Et au moyen-orient,

      après que, les EU (aidés de la GB) aient tout fait pour désindustrialiser l’Europe – en particulier, ces derniers décennies, l’Allemagne avec Siemens, et la France avec Alstom – sommet atteint avec la guerre Ru-Ukr.

      Et pour mémoire : comme d’hab, une large partie des sommes astronomiques votées par le Congrès (américain) va… en priorité à leur complexe militaro-industriel ;
      ce qu’en retiennent et en diffusent les media est une chose, la réalité en est une autre (comme d’hab !)

      • après que, les EU (aidés de la GB) aient tout fait pour désindustrialiser l’Europe
        ___________________________________________________________

        Comment faire comprendre qu’« après que » introduit ce qui s’est passé avant — donc indubitable, donc à l’indicatif ; et qu’« avant que » annonce un fait non réalisé, donc suspect — donc au subjonctif…
        « Après que j’ai dîné », écrivait-elle — la pause prandiale est derrière moi, je suis en pleine digestion, il est certifié que j’ai mangé, ça y est, c’est effectif, désormais, je digère… Seuls des ânes diraient « après que j’aie mangé », le subjonctif renvoyant alors leur dîner dans les limbes de l’inaccompli…

        • Ben oui, hein ! « honte ! honte ! honte ! » à moi de n’avoir pas retenu la leçon !
          Ceci dit, il est normal que des agrégé.e.s de Lettres ne commettent aucune erreur dans leur domaine ;
          car il arrive à bien d’autres (supposés) grands spécialistes d’autres domaines, d’en commettre, et des nettement plus dangereuses.

          • WTH 20 avril 2024 At 14h03
            Quant à moi, qui n’ai jamais failli dans mes louanges au maestro, je l’ai aussi dans l’os.
            _____________________________________________________
            Il ne suffit pas de ne pas faillir dans la louange;il faut retenir les leçons.

          • Non, non et non, vous n’avez pas fait de faute.

            (Va donc te faire cuire un œuf chez Plumo, l’IA !)

            1) L’usage tend aujourd’hui à utiliser le subjonctif après « après que ». Témoignage de l’évolution de l’usage, de grands auteurs du XXe siècle l’on fait suivre du subjonctif. Les exemples suivants sont cités par le TLF :
            – « Telle avait été en tout ceci l’innocence du professeur que beaucoup de Coustous, dont aucun n’avait voulu assister au mariage, affectèrent de répondre à son salut après qu’il eût trahi. » (Mauriac, Génitrix)
            -« Après que tu m’aies abandonnée, j’ai d’abord fui le couvent pour la montagne. » (Camus, La Dévotion à la croix)
            – « Si elle n’osait pas dire quelle place il occupait dans son cœur, ses lettres me le laissèrent apprendre après qu’il l’eût quittée à jamais, et aussi certain éclat de larmes, au lendemain de l’enterrement de mon père. » (Colette, La Naissance du jour)

            2) Un commentaire nous apprend :
            « En fait le grammairien Beauzée (fin 18ème siècle) considérait que la locution « après que » appelait le plus volontiers le subjonctif dans la mesure où l’événement de la subordonnée était plus ou moins hypothétique ou conditionnel par rapport à celui de la principale : «je ne partirai qu’après que tu aies fini tes tâches.» (mais j’ai un petit doute que tu ne les finisses). «Je suis arrivé après que la cérémonie eût été terminée.» (j’ai attendu qu’elle fût terminée). L’indicatif est selon lui permis s’il s’agit d’un simple rapport de temps sans qu’il soit obligatoire, mais selon cet auteur grammatical, dans ce cas, l’usage français le plus facile, le mieux consacré par l’usage populaire et le plus recommandable est d’employer le participe absolu : « Je suis venu (une fois) la cérémonie terminée ». C’est encore le cas aujourd’hui et de fait l’usage fréquent de la locution « après que » n’est pas vraiment populaire mais plutôt caractéristique de l’usage artificiel demi-cultivé du journalisme et des bureaux. »

          • Je m’insurge…
            Après que + subj.,est une contamination d’avant que. Comme se rappeler de est une contamination de se souvenir de.
            Dans les deux cas, des incongruités qui finiront par prendre le dessus parce que l’usage, même fautif, est souverain.
            Après + infinitif est bien plus élégant. Et plus sûr.
            Dommage. Après que + indicatif est une occasion en or d’utiliser passé antérieur ou futur antérieur, deux temps qui sont en voie de disparition. Mais là aussi, on n’y peut rien.

          • « Après + infinitif est bien plus élégant. Et plus sûr. »

            Pas toujours, il y a risque de solécisme par anacoluthe. Du genre : « après être allé à la selle, les promenades sont plus légères ».

          • Jean-Paul Brighelli 21 avril 2024 At 20h33
            Je m’insurge…
            Après que + subj.,est une contamination d’avant que. Comme se rappeler de est une contamination de se souvenir de.
            Dans les deux cas, des incongruités qui finiront par prendre le dessus parce que l’usage, même fautif, est souverain.

            À la fin du XVIII ème — votre siècle de prédilection — Beauzée, grammairien de son état, aurait sans doute pensé la même chose de « après que + indicatif » (que vous le trouvez plus élégant ; et bien d’autres le trouvent très commun) : cette incongruité finit par prendre le dessus.

          • Vous avez des sources pour Beauzée ? Je veux dire, autre chose qu’un commentaire laissé sur un blog par on ne sait qui ?

            Parce que « dans la mesure où l’événement de la subordonnée [est] plus ou moins hypothétique ou conditionnel *par rapport à celui de la principale* [sic] » est une connerie monumentale – c’est tout l’inverse, comme l’a très justement rappelé Lormier : dans « après que X, Y », X est précisément réalisé quand on envisage Y. Indicatif, mode du réel.

        • Non.
          « Tu lui remettras les clés seulement après qu’il t’aies montré son pédigré »
          X ne se réalise que sous condition.

          Et puisque Brighelli n’a que Laclos à la boucle, prenons le comme juge de paix et je me rangerai sur son avis si pas une seule fois, il n’emploie dans Les liaisons après que + subj.

          • « X ne se réalise que sous condition »

            Dans l’absolu peut-être… mais pas quand on envisage Y. C’est même tout le sens de la phrase.

        • rangerais*

          Je regrette mais « il est parti après avoir pris les clés ». et mille fois plus élégant que « il est parti après qu’il a pris les clés ».

          • « je me rangerai sur son avis si pas une seule fois, »

            Conditionnel bouffon…
            Tu es vraiment bidon, en fait.

    • Bis repetita: que les superstitieux monothéistes (pardon pour le pléonasme) continuent à s’entretuer au nom de leur ami imaginaire ne concerne en rien la France.

  79. Et si l’Occident s’occupait de son cul ? Halte à l’Internationale bourgeoise !

  80. A ceux qui voudraient « passer à autre chose »: il y a les conséquences visibles des injections (par exemple les myocardites) et il y a celles qui sont encore invisibles:

    Surg Neurol Int. 2023; 14: 385.
    Published online 2023 Nov 3. doi: 10.25259/SNI_603_2023
    PMCID: PMC10695344
    PMID: 38053715
    Ignored dangers of the COVID-19 injections
    Russell L. Blaylock

    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10695344/

    NB Selon la pensée magique dugonguienne, le Docteur Blaylock souffre d’hallucinations provoquées par la potion diu professeur Raoult-bien qu’il ne l’ait pas prise.

  81. « les superstitieux monothéistes (pardon pour le pléonasme) »

    Il y a d’autres superstitieux ! Par exemple les athées de pacotille qui ont eu une expérience mystique avec la potion qui guérit la maladie qui se guérit tout seule…

  82. Toujours aucune nouvelle officielle du délirant… Quelle couille molle !

    • « couille molle »… Y’en a d’autres qui ont du peps !
      (Pour une Ecologie Populaire et Sociale)

  83. Pensée magique,suite: croire qu’une injection faisant produire par les cellules un pathogène

    (en quantité incontrôlable) peut être bénéfique.

  84. Effets des injections,encore passés sous silence:

    Another thing that is being ignored to a large degree is the effect of activation of latent viruses among the vaccinated. While most of the discussion has been around such infections as herpes zoster (shingles), it is much more serious than that. We know that a large percentage of the public harbors the cytomegalovirus (CMV), which is benign, as long as it is latent.[6] When the immune system (especially the innate immune system) is suppressed, as we see 6 months following COVID-19 vaccination, bad things can happen. In fact, people can die of a generalized CMV infection when immune suppression occurs. We see this with chemotherapy treatments, radiation exposure, and organ transplant immune suppression.
    CMV is a major carcinogenic virus, especially among children, and is linked to medulloblastomas, a very deadly childhood brain cancer.[6] (Blaylock Surg Neurol Inter 2019;10:199) This virus is present from 30% to as high as 90% of the earth’s population. In healthy people, with an efficient immune system, the virus remains asleep (latent). Immune suppression activates the virus, which generates proteins that have a very high cancer-producing potential. In addition, the tumors it induces further suppress immunity, which would be expected to be greatly compounded in COVID-19 vaccinated people. »

    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10695344/

  85. WTH 21 avril 2024 At 19h23
    Lormier l’a dans l’os…

    Lormier n’a fait que citer le précédent billet du Maestro.

    • Jean-Paul Brighelli 21 avril 2024 At 20h33
      Je m’insurge…
      Après que + subj.,est une contamination d’avant que. Comme se rappeler de est une contamination de se souvenir de.
      Dans les deux cas, des incongruités qui finiront par prendre le dessus parce que l’usage, même fautif, est souverain.
      Après + infinitif est bien plus élégant. Et plus sûr.
      Dommage. Après que + indicatif est une occasion en or d’utiliser passé antérieur ou futur antérieur, deux temps qui sont en voie de disparition. Mais là aussi, on n’y peut rien.

  86. Passer à la casserole » – Et si on parlait du viol au sein du couple ?
    27 MARS 2018
    https://dansmontiroir.wordpress.com/tag/passer-a-la-casserole/

    avec une bande dessinée.

    Le sage Dugong nous apprend que l’expression « passer à la casserole » est désuète.

    L’était-elle déjà en 2018 ?

    Si oui, force nous est de conclure que des féministes ,en 2018, discouraient sur des expressions désuètes.

  87. JPB, 20h33 : « loin, très loin »… voui, voui… mais ne peut s’empêcher de poster, surtout quand il est question de langue (française) ;
    en vérité je vous le dis : supporte mal d’être « loin » de ses féaux !

    • Pas beaucoup de lithium en Afrique…

      La RD Congo et ses tueurs périphériques devront faire sans les mannes géologiques.

        • Pffff Du cobalt c’est rien que du fer avec un proton en plus dans le noyau et un électron en plus dans le « cortège électronique » (ta mère)!

  88. Papy croasse toujours
    13 avril 2024 At 12h37
    (…) Bd est une vaste fosse d’aisance ! On y entre, on y pose son petit étron pour se soulager et on repart.
    —–‐————————————————————
    Dis donc Dugland,y a un gros problème avec toi,c’est que t’es toujours con mais jamais stipé,tu veux pas faire un effort pour être les deux à la fois?Ça nous éviterait d’avoir à mettre les pieds sur tes étrons,ça porte même pas bonheur!Sinon tu peux aussi essayer l’occlusion intestinale,ça serait sympa de ta part.Et tu peux aussi soigner ton addiction au cul des vioques,et retourner avec tes 200 greluches,sur les 200 il doit quand même bien avoir quelques-unes de moins de 60 balais,non?

    • Il faut aller prendre ses pilules, Florence…

  89. La RDC et ses pauvres petites mains – les merdia se sont bien gardés d’en parler quand le Touf’ a fait une descente à Kinshasa et s’est offert une soirée bien arrosée.

    La ouature électrique commence à ne plus avoir la cote… d’où le reportage, sans doute.

    On pourrait leur faire lire les enquêtes de Guillaume Pitron (dont j’ai parlé plusieurs fois) : poids des mots, après choc des photos.
    En Chine, le Xi ne prend pas de gants avec ses propres esclaves dans les mines, et c’est nettement plus difficiles à filmer…

    Que les zinternautes commencent donc par restreindre leur deeeeep addiction à leur petites lucarnes et aux résos !
    Mais ça, pour le moment, c’est exclu.

    Qu’on leur parle donc des usines à trolls, de ce qu’est en réalité le « cloud », de ces milliers de satellites, au dessus de nos têtes, etc, etc..

    Qu’on leur dise aussi que les horreurs qu’ils portent aux pieds, c’est aussi du pétrole transformé,
    et qu’on leur rappelle que la part de dioxyde de carbone dans l’atmosphère ne dépasse pas 0.004 %, en qu’en dessous de 0.002 %, la vie disparaît.

    On se rappelle les quelques reportages, il y a des années, sur les « sweat shops » ; sur le coup, « j’y pense »… et puis j’oublie »…
    Encore un pschitt ?

  90. Cocoon 29 octobre 2023 At 11h45
    Les exemples de Colette et de Mauriac sont probablement des coquilles. Il est facile de confondre avec le passé antérieur. Le correcteur n’a pas fait son boulot.

    Cocoon 29 octobre 2023 At 12h19

    La règle concerne la locution « après que », c’est tout. Et cette règle est clairement établie. Ce n’est pas parce que Colette, Mauriac ou Camus l’ont un jour transgressée qu’elle devient caduque.

    Quandoque bonus dormitat Homerus.

    https://blog.causeur.fr/bonnetdane/a-la-maniere-de-3-les-liaisons-dangereuses-4762#comments

    • Il m’est arrivé d’utiliser après que + subj. dans un roman pour marquer l’inculture d’un personnage — surlignée par ailleurs par tout un vocabulaire et une phraséologie.

      Là où je suis il est 21 h.

        • « inculture » : j’ai de sérieuses lacunes… tous azimuts, y compris dans notre langue !
          mais je ne suis pas agrégée…
          M’enfin, a long time ago, quand JPB se proclamait mao, moi j’avais lu « Les habits neufs du président mao » ; donc, sur ce plan, ni inculture, ni lacune…
          (il faut bien qu’il l’ait * un peu dans l’os.)

          *
          qu’il l’aie ?

  91. Verticalité et empilement,suite…

    Comme il n’y a plus de connaissances, les pédagols ne luttent plus contre l' »empilement des connaissances ».

    Cet « empilement » était,dans leur esprit, lié à la « verticalité » du rapport professeur/élève.

    Où en sommes-nous avec la verticalité ?

    Brigitte née Trogneux a inauguré l’ère de l’horizontalité.

    L’horizontalité,horizon indépassable de la pédagogie ?

    • A ce propos, si vous avez un chêne centenaire dans votre jardin, je cherche à me faire un étui pénien sur mesure…
      Dédicace à Abcmaths: est-ce que la canicule vous emballe?

  92. Quelqu’un pour expliquer à la tarée que dans « je me rangerai sur [!] son avis s’il n’emploie… », « rangerai » est un indicatif futur (correctement orthographié) et non un conditionnel présent bien qu’il y ait un « si » ?

  93. Peut-on (d’une manière ou d’une autre) introduire une nuance d’incertitude dans la proposition introduite par « après que » ?

    « La facture définitive de la location du véhicule ne sera établie qu’après que le loueur aura évalué les dommages éventuels (rayures, bosses etc.). »

    Comme on évoque l’avenir, l’évaluation des dommages ne peut être considérée comme un fait établi.

    [Il se peut qu’il n’y ait aucun dommage (euh!le loueur saura toujours en trouver ;les loueurs de voitures sont des crapules;il faut toujours perdre sa carte de crédit quand on rend un véhicule de location.)]

    L’incertitude est bien marquée par l’adjectif « éventuel ». Aucun argument ne plaide pour le subjonctif.

    Il y a belle lurette que j’ai perdu mon latin;me restent quelques brigues, quelques souvenirs de « paradigmes » soigneusement recopiés dans un cahier .

    Ainsi le « quod juventutem corrumperet » sous prétexte (faux) qu’il corromprait la jeunesse.

    C’est le subjonctif qui indique que le prétexte est inventé;ce qui est possible en latin ne l’est pas forcément en français; de plus,dans l’exemple latin, il est question de cause/motif, pas de temporalité.

    • 1) « l’évaluation des dommages ne peut être considérée comme un fait établi »

      Au moment de l’élocution oui, mais pas au moment où se déroule le procès principal. D’où indicatif futur antérieur.

      2) « c’est le subjonctif qui indique que le prétexte est inventé »

      Pas exactement. Le subjonctif indique seulement la cause alléguée, le prétexte. Mais le motif peut être parfaitement valide pour le locuteur : distance n’implique pas nécessairement opposition. Même chose que le subjonctif I allemand.

  94. « Si elle n’osait pas dire quelle place il occupait dans son cœur, ses lettres me le laissèrent apprendre après qu’il l’eut quittée à jamais, et aussi certain éclat de larmes, au lendemain de l’enterrement de mon père. » La Naissance du jour, chapitre IV, p.293 La Pléiade.

    Colette est un bien trop grand écrivain pour faire une faute semblable à celle que vous lui imputez, allègrement relayée par la bêtise d’internet et des sites non moins imbéciles truffés d’exemples grammaticaux souvent erronés et qui de surcroît font dire n’importe quoi à des auteurs qui n’en peuvent mais. Personne ne vérifie et tout le monde répète à qui mieux mieux les mêmes âneries.
    Cette crédulité envers ce qui est écrit sur internet me laisse pantoise.
    Revenez aux livres …

    • Merci de nous avoir fait profiter de votre bibliothèque.
      —————————————————————————————————–
      Cocoon 29 octobre 2023 At 11h45
      Les exemples de Colette et de Mauriac sont probablement des coquilles. Il est facile de confondre avec le passé antérieur. Le correcteur n’a pas fait son boulot.
      —————————————————————————————————
      On peut penser que l’édition de La Pléiade est conforme au manuscrit de Colette. (les éditions avec accent circonflexe sont fautives.)

      Qui a établi l’édition de Colette ? Pichois ? Jacques Dupont ?

      • Beauzée n’a rien d’une coquille ! (Je relis Laclos, et si la locution après que + subj. est plus d’une fois présente afin d’écarter toute possibilité de coquilles, je ne manquerais pas de vous les partager)

        La Danseuse de Mondiano que vous recommandiez fut d’un ennui, mais d’un tel ennui… Je me fiche royalement de savoir si c’est le même roman autobiographique qu’il réécrirait sans cesse, il reste invariablement assommant.
        (Non, j’attends la sortie de Soleil Noir 2.0, j’aimerais savoir comment la maison d’édition à retraiter ce roman. Un peu déçue que la sériculture propre aux Cévennes, une force en devenir de la région et qui se joue actuellement, ne fut pas évoquée une seule fois dans la première version. C’était l’activité économique principale de la région à cette époque. Pfff)

        • « la sériculture propre aux Cévennes, une force en devenir de la région »

          La soie, pour ceux qui veulent péter plus vite, plus haut, plus fort.

          • C’est khon.
            Le mûrier ne demande que très peu d’eau après qu’il ait * atteint l’âge de trois ans, mais craint tout de même les températures trop élevées. Et c’est par un heureux hasard que l’on découvrit que cette parcelle régionale permettait sa culture au XIV ème. Le sens du commerce de Louis Xi fit le reste. Le fil de soie actuel français est de plus belle qualité que celui que vendent les Chinois… Oui, aux bas de soie made in France !

            *(ch’ti merde Bribri)

          • après qu’il a atteint.
            Le reste est un barbarisme.
            Vous devez avoir eu des enseignants extrêmement laxistes.

          • Jean-Paul Brighelli 22 avril 2024 At 18h29
            après qu’il a atteint.

            C’était fait exprès… Pff… Quant à mes enseignants, certains étaient excellents, (certains agrégés mais pas ceux de votre époque, hein, mes profs de français avaient lu La noble histoire de Lusignan et ne se seraient pas compromis en affirmant que Mélusine est une figure indo-européenne. So, barbarisme ou pas Brighelli ?).
            Dumas ? Rien que ça. Ma foi, je vous souhaite son succès.

        • Je ne fais pas de traités d’économie XVIIe.
          J’ai supprimé d’ailleurs plusieurs développements historiques. Dumas n’en fait pas, il juge son lecteur suffisamment instruit.
          Comme disait Stendhal : To the happy few.

  95. Jean-Paul Brighelli 22 avril 2024 At 14h04
    Il m’est arrivé d’utiliser après que + subj. dans un roman pour marquer l’inculture d’un personnage — surlignée par ailleurs par tout un vocabulaire et une phraséologie.
    ——————————————————————————————————-
    Ben oui;et on a le droit quand on est romancier de mettre des insultes dans la bouche d’un grossier personnage! Ca veut pas dire qu’on est soi-même grossier,putain de bordel ! Et si un personnage obtus déteste les homosexuels, il les traitera de « sales pédés »,ce qui ne signifie pas que l’auteur emploie lui-même ce langage.
    Mais c’est facile à comprendre ça,non ?

    Proust fait dire à Françoise: « Faut-il que j’éteinde? » mais lui,il sait conjuguer le verbe « éteindre ».
    ——————————————————————————————————
    Le jour où « l’évolution » de la langue aura rendu possible le subjonctif, l’inculture de votre personnage ne sera plus perçue;il faudra une note savante en fin de volume.

  96. cyrano58 22 avril 2024 At 13h40
    « … je cherche à me faire un étui pénien sur mesure… »

    Dans quel but ?

  97. « Mieux que la foire du Trône » (Lormier, 11h31) – suite :

    « Les boulons sont bien serrés » ? – « la Sécurité dans les manèges et fêtes foraines… »

    questionne lefigaro, après un énième « éjection d’une attraction » (piège à khon).

    Y’a pas que sur les 737, d’où, jusqu’à présent, aucun éjection n’est à déplorer.

  98. Beauzée article de l’encyclopédie

    On dit, après que j’ai eu parlé, verbe qui prend l’auxiliaire avoir ; après que j’ai été arrivé, verbe qui prend l’auxiliaire être ; l’un & l’autre sans la répétition du pronom personnel : mais il est constant que d’après les mêmes points-de-vûe que l’on marque dans ces deux exemples, on peut avoir besoin de les désigner aussi quand le verbe est pronominal ou réflechi ; & il n’est guere moins sûr que l’analogie du langage n’aura pas privé cette sorte de verbe d’une forme qu’elle a établie dans tous les autres. De même que l’on dit, dès que j’ai eu chanté, je suis parti pour vous voir (c’est un exemple du savant académicien) ; dès que j’ai été sorti, vous êtes arrivé : pourquoi ne diroit-on pas dans le même sens, & avec autant de clarté, de précision, & peut-être de fondement, dès que je me suis eu informé, je vous ai écrit ? Au-lieu donc de dire, après que je m’ai été promené long-tems, expression justement condamnée par M. de Dangeau, on dira, après que je me suis eu promené long-tems, ou après m’être eu promené long-tems.

    Il est vrai que je ne garantirois pas qu’on trouvât dans nos bons écrivains des exemples de cette formation : mais je ne désespererois pas non plus d’y en rencontrer quelques-uns, sur-tout dans les comiques, dans les épistolaires, & dans les auteurs de romans …

    https://obtic.huma-num.fr/obvie/critique/doc?q=peinture&start=179&sort=author

      • (Fô y aller mollo sur les compliments… sinon il va quémander du brouzouf au maestro – sans espoir d’atteindre, la fôte à sa blanquerophobie, le montant versé au pol pote.)

        • (Dur « job » que de surveiller de très très près nos conjugaisons…
          Nous sommes sur Bd ; il s’agit d’être impeccables !)

    • De beaux exemples de passé surcomposé. Très chic.
      Mais le passé antérieur l’aurait fait tout autant : après que j’eus parlé, après que je fus arrivé.

      • Attendez un peu, Brighelli, que l’on retrouve le paragraphe consacré à la locution qui nous intéresse. Et vous pourrez mettre du chic autant de fois que vous le souhaiterez. Vous ne serez pas seul, vous serez trois !
        : )

  99. Tous les rois de la planète (il en reste un paquet) vont faire réviser leur trône. Des saboteurs sont partout à l’affut…

      • Il faut absolument que Dugland se nourisse avec les aliments qui constipent comme le riz,les carottes,les pommes de terre,le cacao et le chocolat,sinon on a droit tout les jours à ses étrons pestilentiels.
        Il faut aussi qu’il renonce à renifler le cul des vioques de l’EHPAD Bonnet d’Ane,sinon prochaine étape,nécrophilie.

        • Les vers à soie (cévenols et autres) c’est fini !
          Pour les Parigots (têtes de veaux), il reste les surmulots et les verres à gogo (et sans modération.)

        • Va prendre tes pilules, Florence… Et, si tu as un éclair de lucidité, fous-toi une balle, tu es une honte pour l’humanité.

      • Tu es décidemment bidon.
        Aussi bidon que ne l’est Brighelli qui n’est même pas foutu de me vanner sur la sériciculture. Misère.

        • La culture du mûrier demande un climat singulier, alors on ne demandera pas que son récit se fasse dans des théories fumeuses kabbalistiques à deux balles, à l’instar du titre de ce dernier roman mais il faut être un sacré gland, très imbus de lui-même, pour ne pas prêter à ce phénomène, qui aura fait vivre une région pendant des siècles, rien de très intéressant… Quelqu’un dans ton genre, en fait.

        • (@ Sansèv’
          Tenez ! La culture de la soie est un sujet qui est fait pour vous, Sansèv’. Vous avez cette sensibilité et toute la subtilité que demande la matière pour écrire un très belle fresque sur son implantation en France.)

  100. Dumas (Alexandre) : anecdote qui me revient en mémoire –

    Ici, un rue Dumas ; quelqu’un, de ma connaissance qui avait ajouté :
    – « Alexandre… »
    -« Et bien, non, avais-je rétorqué, Georges, prénom du père (résistant) de l’ancien ministre * Roland… »

    * centenaire et toujours vivant (burn etc …)

  101. Jean-Paul Brighelli 22 avril 2024 At 18h27
    De beaux exemples de passé surcomposé. Très chic.
    Mais le passé antérieur l’aurait fait tout autant : après que j’eus parlé, après que je fus arrivé.
    —————————————————————————————————-
    Ces passés surcomposés, Beauzée lui-même n’y croit pas trop.

    « Il est vrai que je ne garantirois pas qu’on trouvât dans nos bons écrivains des exemples de cette formation. »

    Qui,aujourd’hui s’aventurerait à dire ou écrire:

    « après que je me suis eu promené longtemps  » ?

    Quant au subjonctif que Beauzée recommande après « après que »,je n’ai encore rien trouvé.

  102. Gérard 22 avril 2024 At 11h00:

    « je me rangerai sur son avis si pas une seule fois, »

    Conditionnel bouffon…

    —————————————————————

     » je me rangerai sur son avis si pas une seule fois, il n’emploie… »

    C’est bien « rangerai » et non « rangerais » : la subordonnée est au présent, pas à l’imparfait.

  103. Si Nicolas Beauzée a écrit quelque part que le subjonctif serait préférable après « après que » -ce que je n’ai pu vérifier- il utilise,quant à lui,l’indicatif.

    Le sixieme exercice consiste, selon M. Pluche, (Méch. page 155.) à rappeller fidellement aux définitions, aux inflexions, & aux petites regles élémentaires, les parties qui composent chaque phrase latine. Fort bien : mais cet exercice ne vient qu’après que la traduction est entièrement faite. »

    après que la traduction est entièrement faite;voilà ce qu’il écrit.

    https://obtic.huma-num.fr/obvie//critique/compdoc.jsp?id=beauzee_encyclopedie_001&refid=beauzee_encyclopedie_064

  104. WTH 22 avril 2024 At 18h56

    Nous sommes sur Bd ; il s’agit d’être impeccables !)

    WTH 22 avril 2024 At 19h07
    (impeccable ou impeccables ?)

    A mon avis,les deux peuvent se dire; le singulier donne peut-être à la phrase une teinte plus théorique,plus « absolue ».

    Il s’agit pour nous d’être impeccables;avec le « pour nous » le pluriel s’impose. Et s’il y a seulement le pluriel,le « pour nous » est implicite

    Evidemment;c’est un peu limitatif alors que « (sur BDA) il s’agit d’être impeccable  » s’adresse à tout être putatif qui s’y manifesterait.

  105. Francis Miville a répondu:
    20/07/2021 à 23 h 30 min
    En fait le grammairien Beauzée (fin 18ème siècle) considérait que la locution « après que » appelait le plus volontiers le subjonctif dans la mesure où l’événement de la subordonnée était plus ou moins hypothétique ou conditionnel par rapport à celui de la principale : «je ne partirai qu’après que tu aies fini tes tâches.» (mais j’ai un petit doute que tu ne les finisses). «Je suis arrivé après que la cérémonie eût été terminée.» (j’ai attendu qu’elle fût terminée). L’indicatif est selon lui permis s’il s’agit d’un simple rapport de temps sans qu’il soit obligatoire, mais selon cet auteur grammatical, dans ce cas, l’usage français le plus facile, le mieux consacré par l’usage populaire et le plus recommandable est d’employer le participe absolu : « Je suis venu (une fois) la cérémonie terminée ». C’est encore le cas aujourd’hui et de fait l’usage fréquent de la locution « après que » n’est pas vraiment populaire mais plutôt caractéristique de l’usage artificiel demi-cultivé du journalisme et des bureaux.

    https://www.laculturegenerale.com/apres-que-indicatif-subjonctif/

    Ce Monsieur Miville ne cite pas Beazée, ne donne pas la référence du texte où il aurait énoncé cette « règle ».

    Le plus probable est que Monsieur Miville ait mal lu Beauzée,ou ne l’ait pas lu du tout et se contente de colporter un ragot.

    • C’est un énoncé de belle facture, de fin connaisseur. Est-ce cette conclusion qui vous pique par-dessous tout : « demi-cultivé du journalisme et des bureaux » ? C’est un trait d’esprit typiquement aristo.

  106. Dugong 22 avril 2024 At 16h41
    Autoenculeries, probable…

    Pourquoi avec un étui pénien ? Pourquoi pas avec un plug ou un gode ?

  107. Fast Fashion.

    Les tenues de compols griffées « Boudarel » ont le vent en poupe.

    • D’un Georges à l’autre, mais pas sur le même mode (opératoire).
      Là-bas, le compol est toujours très tendance – à la suite du katorga et du laogai.

    • MS-Dos 3.0 et des fichiers *.bat en pagaille !
      Ce ne sont plus des informaticiens mais des archéologues.

  108. NASA: interrogé par un sénateur, Bill Nelson déclare que la NASA n’explorera pas la face cachée (ou obscure,ou encore-comme le dit le sénateur- la face arrière) de la lune.

    Pourquoi les Chinois se préparent-ils à le faire,demande le sénateur ?

    Je n’en ai aucune idée,répond Bill Nelson.En revanche la NASA s’intéresse au Pôle Sud de la lune.

    NB Une face de la lune n’est jamais visible depuis la terre;cela ne signifie pas qu’elle ne reçoit pas les rayons du soleil. Le sénateur Trone parle de « backside of the moon »;un traducteur facétieux pourrait traduire par « le derrière de la lune ».

    voir à partir de 1h22 environ (le reste est intéressant aussi:par exemple ,on ne sait pas ce qu’il advindra de la coopération avec les Russes)

    https://plus.nasa.gov/video/administrator-bill-nelson-testifies-before-house-appropriations-committee-on-nasas-fiscal-year-2025-budget-request/

  109. grammairiens du 17ième siècle:

    Les Conjonctions composées de Que, qui regissent l’indicatif, sont celles cy. […] Celles qui signifient le temps: Cõme […] Après que vous serez arrivé, que vous fustes arrivé, que vous estes venu icy. (Chiflet 1659 : 123)

    On se sert ordinairement du defini composé [nous eumes achevé, j’eus appris, il eut assemblé] aprês ces Adverbes de temps : Quand, lors que, aussitôt que, d’abord que, dés que, aprês que, dès le moment, l’heure, le jour que. &c. (Vairasse d’Allais 1681 : 204)

    https://journals.openedition.org/linx/8088#tocto2n2

    • L’orthographe du subjonctif (eût, fût) et de l’indicatif (eut, fut) étant bien distinguée dans les tableaux de conjugaison chez Restaut, il faut conclure que après que est suivi du subjonctif dans l’exemple proposé (eût bâti). L’exemple de Restaut (1730, 1732) est issu de Richelet (1680)7, à une différence près : Richelet le consigne sans accent circonflexe (après que Salomon eut bâti un temple à Dieu). Donc, au mode indicatif. Nous émettons l’hypothèse d’une coquille dans Restaut (1730, 1732), passée inaperçue aux côtés du circonflexe réclamé par le verbe bâtir.

      8 À cet égard, les grammaires n’envisagent pas toujours les relations temporelles sous le même angle. (…)
      Hormis de rares signalements (Chiflet 1659, Vairasse d’Allais 1681 et Boinvilliers 1818), le mode requis par après que – soit l’indicatif – ne fait son apparition dans les grammaires qu’au début du XXe siècle. Encore est-ce initialement de manière très générale (Sudre 1907, Calvet et Chompret 1917, Radouant 1922, Lanusse et Yvon 1920, Gaiffe et al. 1936) puisqu’il n’est fait allusion qu’à certaines subordonnées temporelles8, et non précisément au subordonnant après que.

    • Fin de l’histoire, Lormier, j’avais raison.
      Et quand Brighelli explique : « des incongruités qui finiront par prendre le dessus parce que l’usage, même fautif, est souverain », il ne croit pas si bien dire, cette règle qu’il défend bec et ongles ne date que du début du XXème.

      • La foldingue ne sait vraiment pas lire, c’est dingue… Allez, va te suicider, pour l’honneur de l’esprit humain.

          • « Le premier constat issu des grammaires anciennes est tout simplement l’absence d’information à ce sujet. Ainsi, sur les 80 ouvrages consultés, 47 (soit un peu plus de la moitié du corpus) n’ont rien apporté sur la question qui nous occupe. Dans les grammaires les plus anciennes, une moindre couverture des faits linguistiques n’est pas anormale. Par contre [!], l’absence d’information dans les ouvrages à partir du XVIIe et surtout du XVIIIe siècle autorise à conclure que le choix du mode à la suite de après que n’est pas un élément normatif soumis à des tensions d’évolution. Sur les 80 ouvrages du corpus ancien, les 33 qui abordent la question du mode avec après que le font de manières diverses. Une dizaine d’entre eux se contentent d’exemplifier l’usage du mode avec après que (Régnier-Desmarais 1705, Restaut 1730, Vallart 1744, Beauzée 1767, Bescherelle 1834, Landais 1835, Brelet 1899, Bruno et Bony 1908, Grevisse 1936, Wagner et Pinchon 1961), sans énoncer la règle d’emploi. Ils convergent tous vers l’indicatif, excepté Restaut (éditions de 1730 et de 1732).

            L’orthographe du subjonctif (eût, fût) et de l’indicatif (eut, fut) étant bien distinguée dans les tableaux de conjugaison chez Restaut6, il faut conclure que après que est suivi du subjonctif dans l’exemple proposé (eût bâti). L’exemple de Restaut (1730, 1732) est issu de Richelet (1680), à une différence près : Richelet le consigne sans accent circonflexe (après que Salomon eut bâti un temple à Dieu). Donc, au mode indicatif. Nous émettons l’hypothèse d’une coquille dans Restaut (1730, 1732), passée inaperçue aux côtés du circonflexe réclamé par le verbe bâtir. »

            C’est assez limpide, non ?

          • – « Le premier constat issu des grammaires anciennes est tout simplement l’absence d’information à ce sujet. »

            – « Sur les 80 ouvrages du corpus ancien, les 33 qui abordent la question du mode avec après que le font de manières diverses. »

            Relis et réécris autant de fois qu’il le faudra, Ducon :
            Sur les 80 ouvrages, seuls 33 ouvrages du corpus ancien abordent la question du mode avec « après que » le font de manières diverses. « Une dizaine d’entre eux » ( une dizaine des 33 restant sur les 88 au départ !) sans énoncer la règle d’emploi (parce que c’est khomme ça, au doigt mouillé Ducon) convergent vers l’indicatif.

          • Le fait que les programmes de seconde n’abordent pas la question du spin de l’électron n’empêche pas celui-ci d’être égal à 1/2. Surtout lorsque les programmes de première convergent tous vers 1/2…

        • Bonjour Messieurs-Dames,
          Mince alors ! Qu’est-ce qu’elle est mal polie celle là.

  110. C’est fou ce que des gens peuvent inventer pour faire croire qu’ils causent meilleur que les autres.

  111. Et l’autre Dugland,qui continue à déposer ses étrons.Vite,s’il vous plaît,occlusion rectale sur ce petit merdeux!Pierre,si vous lisez ce blog,délivrez-nous,bouchez-lui l’anus,comme vous savez faire!

    • Je crois que vous faites erreur:du temps où Pierre Driout honorait ces lieux de sa présence et nous enrichissait tous par ses commentaires,il nous avait confié: »j’adore me faire enculer »;mais jamais il ne nous avait parlé d’enculer qui que ce soit.

  112. C’est un appel du pied ? La veine mimit’ est épuisée (après avoir été épuisante) ?

    • En voilà un beau suceur !

      Copiez donc les idées politiques du taulier, ça nous évitera une nouvelle vague de pédagogie renouvelée à la Meirieu.

    • Merci ! Agréable surprise…
      … + 7 h ; le maestro sans doute plongé dans un profond sommeil, après s’être régalé de quelques fruits (?) – et sans avoir oublié, évidemment, de citer un grand écrivain (français), ni d’égratigner quelque peu (la France), quand « l’ignorance le dispute à la prétention »…

  113. Trouduc est tellement peu à l’aise avec ses impropres « idées » qu’il craint ce qui, à l’évidence, ne risque pas de se produire.

    • C’est-à-dire ? Je ne crains pas vraiment le retour d’un décoré de la francisque au pouvoir. Grâce à Dieu, les AVC font leur œuvre !

  114. Comme le disait Einstein, la folie, c’est voter « pédagogie renouvelée » en 81, constater son triomphe en 84, ne pas faire le lien en 90 et militer au GRIP en 2000.

    • Trou de balle fait honte à tous les instructionnistes de France. Même son ami Brighelli ne le défend pas dans cette affaire, c’est dire…

  115. … C’était juste une agréable parenthèse – depuis le pays du soleil levant.
    Ici, encore et toujours plus loin du pays du matin calme…
    ou l’insoutenable lourdeur de deux étranges êtres.

  116. La face de fion périgourdine – j’invite tout le commentariat à aller regarder sa gueule, c’est quelque chose – voudrait que je radote moins. Moi j’aurais voulu aller dans une école qui n’aurait pas été défoncée par vingt ans de pédagogie renouvelée et d’ouverture sur le monde. On n’a pas toujours ce que l’on veut.

    • Pauvre minot, tu as souffert de l’ouverture. Il est vrai qu’à sec, ça peut ne pas être indolore.

      • Faut pas jouer au fort, papy ! Tu as une gueule de victime, t’es comme ça, avec tes poils de cul sur la tête, tes sourcils du diable et ton air de ravi de la crèche. Si tu n’as rien trouvé de mieux à exhiber que ce que j’ai vu, je plains bobone jusqu’à l’AVC !

        • Un pédagogiste aurait défoncé le fondement de Trouduc Tho dans une pile renversé d’invendus du Primat des Pédagols. Un rictus permanent a résulté de cette aphasie.

          Je reste une victime consentante du système qui te ponctionne pour payer ma retraite et assumer mes dépenses de santé. Et plus tu gueuleras, plus je multiplierai les visites de confort (l’effet Doppler existe même en mécanique newtonienne).

          La côte où j’hiverne est très bien dotée en structures dispendieuses. Quand tu en auras besoin, elles auront disparu. Pas de bol, petit coprolithe

    • Et la vôtre (de face) ? Récemment à Paris, mais pas eu le temps de faire tous les bistrots où vous tentez (vainement) d’exhiber la vôtre (de face) – comme votre meilleur profil (?)

      • (notez que je fais des efforts pour m’exprimer correctement, au contraire du convulsionné des trous noirs)

      • Vous auriez dû me le dire… je serai venu vous voir ! Là, ça risque d’être difficile, je pars à Lausanne dans une semaine pour six mois. ZzzzzZzzzz…

        • *je serais, voilà que la cinglée me perturbe !

        • La neutralité helvétique !
          Vous n’êtes qu’un pleutre !
          Chic, je ne serai pas un des « mecs envoyés à Odessa »…
          Oui mais, vous ne pourrez pas aussi facilement vous échapper, lorsqu’il sera question d’en envoyer vers Taïwan…

        • Le garderont-ils ? Le foutront-ils dans une fracture de serac ? Réapparaîtra-t-il tel Un Ötzi guenilleux quelques millénaires plus tard ? Le pédagogisme mérieusique sera-t-il généralisé à cette époque ?

          QDPQQRSR

  117. C’est vrai Pierre, que vous seriez une petite flipette, vous seriez trop fièr pour revenir ?
    Vous vous seriez senti trahi ? Mais Brighelli se contrefiche de tous le monde, il n’aime que son nombril (une parabole) comment faut-il vous l’expliquer !

  118. Dugong 23 avril 2024 At 19h00
    Notre hôte est parti pour l’extrême Orient…

    Deuxième voyage au Japon…je m’en doutais un peu,et c’est pratique d’avoir avec soi une meuf qui parle japonais.

    Cette fois-ci, ça y est,il est tombé amoureux du pays. Rappelez-vous:lors du premier voyage,il avait fallu qu’il égratigne,la politesse japonaise lui semblait un peu hypocrite.

    Cette fois-ci, pas la moindre remarque négative:le Japon, c’est la perfection.

    Il a atterri à Okinawa,île des centenaires-que tous les Japonais n’ont pas visitée.

    Qu’est-il allé y chercher ? Le secret de la longévité ?

  119. abcmaths 23 avril 2024 At 20h55
    Parfois un peu bizarres les Japonais

    Chic! On va pouvoir reparler d’Issei Sagawa ! Comment s’appelait déjà la meuf qui habite près de la rue Erlanger ? Elle va peut-être émerger de son cabinet dans terre.

  120. Contexte et re-lecture:il arrive qu’on interprète mal une phrase et qu’en lisant la suivante,on revienne sur elle et la ré-interprète-correctement, cette fois.

    Dugong 24 avril 2024 At 7h44
    Un pédagogiste aurait défoncé le fondement de Trouduc Tho dans une pile renversé d’invendus du Primat des Pédagols.

    A la première lecture , j’ai mal interprété le conditionnel: « [S’il était passé par là] un pédagogiste aurait…

    C’est seulement en lisant la seconde phrase :
     » Un rictus permanent a résulté de cette aphasie. »

    que j’ai compris la valeur du conditionnel de la première: on n’est pas dans la certitude,mais dans l’hypothétique.

    Subsiste un certain « conflit » entre l’hypothétique de la phrase 1 et le certain de la 2.

    Ne pas manquer non plus l’implicite:Trouduc Tho (à ne pas confondre avec Tran Duc Thao) parle avec son cul;la défonciation de ce dernier a provoqué l’aphasie-alors qu’un enkhulationnement serein, ,effectué avec tact et mesure, lui aurait laissé la faculté de parler.

  121. Dugong 24 avril 2024 At 7h44

    La côte où j’hiverne est très bien dotée en structures dispendieuses.

    Lormier s’interroge, Lormier interroge les dictionnaires. Il aurait,spontanément, écrit « coûteuses » et non « dispendieuses. »

    On peut avoir des goûts dispendieux, un train de vie dispendieux, mais peut-on dire d’un hôtel, d’un établissement de cure, d’un restaurant qu’ils sont « dispendieux » ?

    dispendieux:qui occasionne des dépenses (Littré); CNRTL dit la même chose et ajoute « quasi-synonyme » de « coûteux »… Le hic, c’est que ni l’un ni l’autre ne donne d’exemples comparables à la phrase de Dugong.

    Lormier continuera,en ce qui le concerne, à dire « coûteux » en de tels cas mais s’abstirndra (faute de documents) de condamner « dispendieux ».

  122. Qui s’est fichu de Brighelli en lui expliquant que l’étiquette l’invitait à faire livrer des fleurs à une hôte, deux heures avant (!) d’arriver à un diner ? Qui ? C’est vraiment salaud.
    (La seule chose de juste est de livrer des fleurs à la maîtresse de maison)

    • (Serait-ce le mytho Zorglub ? Il aime bien se moquer du monde. Bon… C’était quand même drôle)

  123. Dugong 24 avril 2024 At 7h56
    Le garderont-ils ? Le foutront-ils dans une fracture de serac ? Réapparaîtra-t-il tel Un Ötzi guenilleux quelques millénaires plus tard ?
    ——————————————————————————————————-

    Bizarre:un sérac est un amas de glace « posé » à la surface d’un glacier;si vous êtes pris ou coincé dans une « fracture de sérac »,vous restez visible; et pour que vous soyez coincé ,il faut qu’on vous y ait enfoncé à coups de maillet.(De plus,la fracture pourrait bien s’élargir, car un sérac bouge;vous seriez libéré avant des millénaires.)

    Plus logique de vous jeter dans une crevasse profonde; les humains et les artefacts retrouvés des millénaires plus tard étaient restés enfouis dans des crevasses.

    Voir, par exemple:

    https://www.alpinejournal.org.uk/Contents/Contents_1970_files/AJ%201970%2087-94%20Harriss%20Theodul.pdf

    document aimablement choisi par Lormier;en page 2 un schéma de la région du Cervin, qui pourrait aider Dugong à ne plus confondre Suisse et Italie.

  124. Dugong 24 avril 2024 At 11h32
    Il n’y a pas de hic, les dicos ont un grand retard
    ——————————————————————————————————-
    Retard sur Dugong ? Dugong,partisan de l’effacement des nuances ? De l’affadissement de la langue française ? De l’arasage de son lexique ?
    __________________________________________________________________________

    Différence entre cher, dispendieux, coûteux et onéreux

    https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/22240/le-vocabulaire/nuances-semantiques/difference-entre-cher-dispendieux-couteux-et-onereux

    Même si le sens des adjectifs cher, dispendieux, coûteux et onéreux est proche, ceux-ci ne sont pas synonymes pour autant. Cher implique un prix élevé; dispendieux implique plusieurs dépenses, en parlant de quelque chose d’abstrait; coûteux implique plutôt une dépense élevée, mais en parlant aussi d’un objet concret; enfin, onéreux implique l’existence de frais, mais seulement en ce qui a trait à des motifs de dépenses.

    Cher
    L’adjectif cher signifie « qui est d’un prix élevé ».

    Dans certains pays, l’essence est encore plus chère qu’ici.
    Autrefois, les oranges étaient chères et faisaient, à Noël, la joie des enfants.
    Cette année, les légumes sont chers.
    Cette maison est trop chère pour notre ménage.

    Dispendieux
    L’adjectif dispendieux signifie « qui exige beaucoup de dépenses,
    entraîne de grands frais ». Il s’applique presque toujours à quelque chose d’abstrait.

    Luc admet volontiers qu’il a un train de vie dispendieux.
    Elle a un penchant pour les fantaisies dispendieuses.
    Au Québec, on emploie parfois dispendieux pour signifier « qui est d’un prix élevé », « qui est cher par rapport aux moyens dont on dispose ». Toutefois, pour éviter toute
    ambiguïté mieux vaut ne pas privilégier ce sens, du moins dans la langue soignée.

    Coûteux
    L’adjectif coûteux signifie « qui entraîne une dépense élevée ». Il peut se dire d’un objet abstrait ou concret.

    La vie est coûteuse; une foule de petits luxes sont devenus indispensables.
    Claude croyait avoir fait une bonne affaire, mais son nouveau chalet est plutôt coûteux.
    Nous allons vendre nos deux motos, car elles sont beaucoup trop coûteuses.
    Lucie a fait des choix coûteux.

    Onéreux
    L’adjectif onéreux signifie « qui occasionne des frais, des dépenses ». On ne l’appliquera qu’à des noms désignant des motifs de dépenses.

    Il faut choisir la solution la moins onéreuse pour communiquer avec les membres du réseau.
    L’emballage et la manutention figurent parmi les opérations les plus onéreuses de l’entreprise.
    Selon un économiste, le budget de cet État est menacé par plusieurs engagements onéreux.
    Un tel voyage serait trop onéreux.

    • « le budget de cet État est menacé par plusieurs engagements onéreux. Un tel voyage serait trop onéreux. »

      Y’a pas que le train (et pas non plus que son arrière) de l’Etat -c’est lui, restons polis histoire d’éviter une possible garde à vue – qui coûte bonbon.

      Rappel : Il en est bien d’autres qui « coûtent un pognon de dingue »

      • Livraison de fleurs (suite) –
        Brigitte B. (pas le tas d’os qui accompagne qui vous savez), avait vu, en des temps lointains, une pluie de roses tomber sur la Madrague…
        Ni « cher », ni dispendieux », ni « coûteux, ni « onéreux » pour un Gunter S. amoureux…

        • Il faudrait pouvoir consulter Pierre Driout,dépositaire de la tradition française.

          Quand j’étais jeune, j’avais appris qu’APRES un dîner auquel on avait été convié on remerciait la maîtresse de maison par un petit mot,accompagné de fleurs.

          Au XIXième siècle et encore au tout début du XXième, il fallait apporter soi-même le bouquet et la carte de remerciement.

          Très impoli d’arriver au dîner avec un cadeau, un bouquet de fleurs par exemple.

          Quant à envoyer le bouquet à l’avance, je vois que Le Figaro considère cela comme possible et conforme…mais c’est bien la première fois que je lis une telle recommandation.

          Le Maestro apprécie les fruits japonais;le manuel de savoir-vivre de la comtesse de Boissieu précise qu’un homme bien élevé ne partage jamais un fruit avec une dame.

          Elle ne se pose pas la question de savoir si cette règle s’applique aux amantes.

          J’aimerais beaucoup voir le Maestro dans une foule de Japonais. Pour un Japonais, un homme de cette taille,pesant 100kg (avoués, mais plutôt 105 à mon avis) est quasiment un monstre. Polis,ils s’efforceront de ne pas montrer leur stupeur et leur crainte, mais on les verra s’écarter sur son passage.

          • « Sur la plage abandonnée… » – pas tout à fait, mais ce n’est pas supposé être encore (là-bas comme ici), la foultitude de l’été ; donc le maestro étonne ; peut-être.
            Aucune ressemblance, il est vrai avec un Chichi, par ex, qui fut grand amoureux du Japon, et qui s’était amusé à nommer son petit iench Sumo…

          • « Quand j’étais jeune, j’avais appris qu’APRES un dîner auquel on avait été convié on remerciait la maîtresse de maison par un petit mot,accompagné de fleurs. » Un diner après

            La tradition française vous invite à exprimer une situation sans jamais utiliser « on ». Parce qu’on est un khon qui n’a pas de nom. Ainsi direz-vous : « après un dîner auquel vous auriez été convié(e) » (je vous laisse relire votre horreur qui grammaticalement tient pourtant la route)

            Le bouquet de fleur — le remerciement — s’offre le lendemain, et seulement le lendemain. Un remerciement se fait toujours après un geste, jamais avant.

          • Et pour les geishas, quel modus vivendi ?
            « On » remercie d’un « geste » (plus ou moins « onéreux ») ?
            Offrir un fruit très « coûteux » peut-il faire office de rétribution ?

          • Eh bien figurez-vous que là où je suis, ils sont plutôt dodus, mes Japonais. Ils ont du sang mélanésien probablement.
            Ils ont d’ailleurs un style particulier de sumos qui remonte à l’ère des royaumes Ryukyu (XVe siècle en gros).

  125. abcmaths 24 avril 2024 At 9h35
    Oublié
    _________________________________________________________________________

    Fastoche;elle s’appelait Anne Acrouse:

    Anne Acrouse 20 juin 2019 At 16h46
    La maison de la photo ne se situe pas à la même adresse. Et les petites maisons du quartier ont cédé la place à de grands immeubles, c est bien moche .
    La villa où a été tournée « la grande bouffe » ( dans ma rue, en face du laboratoire Eiffel ) a été remplacée par l Ambassade du Vietnam, horrible .

    https://www.google.fr/maps/@48.8424264,2.2628858,3a,75y,320.86h,84.48t/data=!3m6!1e1!3m4!1syoQrPTebO4mZrwo3vWy1Jw!2e0!7i16384!

  126. Le bon rikishi doit faire 150 kg pour un combat de sumo. Faut pas désespérer, JPB va sûrement y arriver.

    • Jap’ airlines (nippon, ni mauvais ; ce n’est pas de moi ; je ne m’abaisserais évidemment pas à ça ) : mieux que Swiss ?
      Nezenmoins, Interlude (ou -mède *) nippon appréciable.

      *mède et pas Méd : le brouzoufé – de retour dans sa cambrousse et ses vieilles pierres – préfère la côte euskarienne ;
      « on » m’a même confié qu’il avait été aperçu à « Bookstore », Biabia (je n’en crois rien !)

  127. Biarritz…la plage est moche;les Parisiens y regardent de haut les Périgourdins; j’y suis allé une fois (ou deux);je me souviens d’y avoir aperçu Jeann Moreau monter dans une Mercédès Benz, à sa descente d’avion; on m’a dit qu’elle était une habituée du Miramar.

    Ca me fait penser à cette chanson, si douce; comme elle étire certaines voyelles;WTH rêve d’une pine qui s’allonge et moi, ce qui m’enchante ce sont les voyelles allongées de Jeanne Moreau.

    Anne Acrouse, on l’a perdue de vue;la retrouvera-t-on jamais ?

    https://www.youtube.com/watch?v=B4nHBn8zypc

    • En vieille salope qu’elle était aussi, elle descendrait aujourd’hui à l’hôtel du Palais (ex Eugénie, repris par Hyatt). Le Sofitel, cube de béton bien placé, « pas assez cher, mon fils ! »

      https://www.hyatt.com/fr-FR/hotel/france/hotel-du-palais-biarritz/biqub

      La « Grande plage » n’est pas moche. elle est colonisée par les membres de l’espèce marine connus sous le nom « d’otaries surfeuses ». Espèce endémique dans la région.

      • Dans les temps anciens, on arrivait à la gare de Biarritz … la Négresse (aïe) ;
        puis il y eut l’aéroport, et il m’est arrivé, une fois, de voyager dans un… Mercure, derrière une Mireille Darc – qui n’avait pas levé le nez de son bouquin.
        La « grande plage » devint alors un endroit prisé de quelques « otaries surfeuses », et « l’hôtel du Palais » trônait en majesté.
        (Eugénie avait entraîné Napoléon III à Biarritz, lui qui avait un faible pour Vichy…)
        L’épicerie Arosteguy conservait alors un je ne sais quoi
        de l’épicerie Izraël.
        Et ainsi de suite ; un autre monde.

    • Non, Lormier mes rêves me portent plutôt (encore et toujours) vers l’océan…
      (« La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
      Dans le déroulement infini de sa lame,
      Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. »)

  128. Je me demande si le Maestro a prévu d’aller rencontrer à Tokyo son ancien étudiant de Nanterre,Issei Sagawa; il paraît qu’il n’est guère sollicité par la presse, car il ne fait plus recette. Cet étudiant modèle, amoureux de la poésie française, qui posait très respectueusemnt des questions de grammaire subtiles, mais alambiquées, que le Maestro avait la patience de démêler, sera sûrement ravi de recevoir l’ancien « senseï »-qu’il n’a pas oublié.
    (On m’a dit qu’il le mentionnait dans un petit texte:ナンテールの思い出 .)

    • Censier, pas Nanterre !
      Il y était quand j’enseignais là-bas, mais je ne l’ai jamais eu…

      • Simple lapsus,oui Censier;vous parliez assez élogieusement d’Issei Sagawa; irez-vous le voir à Tokyo ? Je suis sûr que cela lui ferait plaisir.

    • L’IA est prise en défaut le jap cannibale est mort, le Maestro ne pourra le rencontrer.

    • Avec les représentants de la bourgeoisie, pas de surprise : on sait toujours qu’ils vont revenir, tôt ou tard, ouvertement ou sous un nouveau pseudo. Il suffit d’être patient, ça finit toujours par arriver.

    • Les représentants de l’extrême-droite finissent toujours par trahir: la collaboration en 39/45 et la soumission à la hyène européiste aujourd’hui, comme Mme Félonie.
      Des traîtres comme les autres.

      • Cyrano vous devriez être moins catégorique pour 39/45…La gôche n’a pas été avare en grandes figures emblématiques de la collaboration, de Laval à Doriot et de Luchaire à Déat, sans oublier Mitterrand et Bousquet.

    • Ce midi j’ai bouffé des nuggets: cela fait-il de moi un aztèque?

      Dialogue entre un conquistador et un précolombien:
      Le conquistador « sans nous, vous seriez encore en train de prier le soleil »
      Le précolombien « le soleil, au moins, il existe »

  129. Oui, ça nous donne une idée de ce qui nous attend aux prochaines élections avec la « caissière » comme le dit si bien Dugong. La Mélonie a aussi fait un grand nettoyage à la RAI en virant un grand nombre de personnes et en plaçant un paquet de crétins à la place. Elle autorise des temps de parole sur les ondes, différents selon qu’on est de son parti ou d’un autre.
    Fête de la libération aujourd’hui en Italie.

    • -Ceci dit, le jeunisme sur France Cul est en plein boum. Objectif : augmenter l’audience chez les 17-25 (ans, pas cm). La niaiseuse Géraldine Mosna-Savoye est à la pointe du combat.

    • Les leçons politiques des boomers macronistes, comment dire… Tu peux crever aussi, Sansev, le monde continuera sa marche. Et nous reprendrons deux fois des moules !

      • Vive le son du canon (et pas dans des duralex).
        De Censier à Nanterre… ce qui ramène à Dany… »le jaune » ! Pas mieux.

    • « La Caissière » encaisse, tout comme les autres.
      Et « La Mélonie » s’entoure d’abrutis, tout comme les autres,
      bien qu’il soit difficile de faire mieux que la France… et son
      sinistre des Relations Int’les qui, par moment, ne parle même pas correctement sa langue.

      La liberté de parole existe encore dans les pays anglo-saxons ; on peut oser exprimer un avis contraire à la doxa.

      Il est vrai aussi que les grands titres de la presse écrite, comme les grandes stations tv, se cassent petit à petit la figure ;
      comme ici d’ailleurs ; sauf qu’ici, on le cache.
      Des media qui survivent à grands coups de subventions,
      quand le peuple américain, lui, paie, en priorité, pour entretenir « son » complexe militaro-industriel.

      Ici, on cache… à peu près tout ; certaines interdictions sont néanmoins fermement assénées.
      Ainsi la Van Reeth affirmant que radio france est une « radio progressiste » ;
      en effet, il est strictement interdit d’y causer de « Transmania » ou de laisser la parole à des qui oseraient contester le réchauffement clim’ ou « la cause écologique » ;
      c’est « contraire à l’intérêt général » (c’est-à-dire ?!).

      Elle ne fait que suivre les traces de l’Enthoven qui avait affirmé :

      « Je suis en guerre contre les antivax… Je suis en guerre contre ces gens qui se font passer pour des résistants … alors que c’est exactement le contraire de la Résistance, ce sont des gens qui sacrifient la vie des autres à la préservation de l’idée qu’ils se font de leur propre liberté. »

      (oui mais bon, c’est un filosofe, comme BHL ; fô s’faire une raison ; et la raison c’est d’abord et avant tout le brouzouf !)

  130. Josip a tellement honte d’avoir été pris en train de délirer une nouvelle fois qu’il n’ose même plus revenir sous son pseudo d’origine… Alors, disons-le haut et fort, pour la postérité et les moteurs de recherche : en plus d’être un abruti, Josip Gavrilovic est une couille molle !

    • Je me demande d’ailleurs pourquoi il s’obstine à ne tromper personne… Sa prose pue tellement la vulgate de la bourgeoisie de gôche qu’il est chaque fois grillé à trois kilomètres.

      Revenez donc en assumant, Josip : vous aurez toujours l’air con mais avec un peu plus d’honneur.

      • Dis donc, minus, t’as encore rien fait, à part, peut-être bouillaver quelques tonnes de pouffiasses et tu la ramènes ?!

        Cache toi sous la commode.

        • Asinus asinum fricat, ou la conjuration des imbéciles…

          Je n’ai pas voté pour la pédagogie renouvelée et l’école ouverte sur le monde. Alors, d’un point de vue conséquentialiste, j’ai déjà plus fait pour la cause instructionniste que vous – qui faites honte à Brighelli.

        • Au fait, Face de fion, sur ta requête, je t’ai donné mon pédigrée académique… j’attends toujours le tien. Tu as honte, peut-être ?

          • L’abruti de service qui se cache derrière un faux curriculum ferait bien de retourner à son clavier puisque c’est tout ce qu’il sait faire ou d’aller sauter sa pouf dont il nous épargne les photos, dieu merci.
            Un normalien! Mais on le sait que tu as raté tes études et que t’es un pauvre technicien juste bon à cliquer. Pauvre type !

          • Non, « Pauvre type » c’est du Sansèv’ tout craché.
            (ils le rendent fou, il voit des Flo partout)

          • Pour le coup, à la relecture, peut-être… Il est vrai que c’est trop bien écrit pour toi, ma Florence. Mais tu restes mon option la plus crédible.

          • Je te rappelle seulement que tu te l’es mise à dos en lui rappelant son vote toufriquétiste.
            Moi-même j’avais fini par oublier ce bel impair, j’avais même fini par oublier sa hargne à défendre l’indéfendable avant et après son élection ; sa furie à s’opposer aux GJ qui s’en étaient pris pris à des élus LRM : trois parpaings placés devant une sortie de parking d’un pavillon de banlieue appartenant à un député, dont le mur clôturant le jardin avait été peinturluré de noms d’oiseaux à l’endroit du parti qu’il représentait, de mémoire.

          • Maintenant, si Saint Antoine s’imagine ne pas être une pedzouille de chez « Mince alors » au motif d’être agrégée, beaucoup se marrent.

  131. Papy croasse toujours
    13 avril 2024 At 12h37
    (…) Bd est une vaste fosse d’aisance ! On y entre, on y pose son petit étron pour se soulager et on repart.
    ———————————————————
    Dis donc Dugland qui croasse,tu crois qu’on a pas compris que Dany le jaune c’était toi?T’essaie de te planquer?
    Alors comme ça tu reviens toujours déposer tes petits étrons et renifler le cul des vioques,hein?
    Seule solution:l’enculage!Par pitié,un volontaire pour lui boucher le rectum et lui fermer l’anus à double tour!Parce que ça pue grave,et de plus en plus!

  132. Baby doll (tu parles !) croasses et croasses… quelle misère !
    Quant au faux euskarien, se passer de son « minus », que nenni !

  133. « Tu n’as rien fait de ta vie, moi si » disait Michel Fourniret à Mananya Thumpong. Vu comme ça…

  134. Chute des ailes du Moulin Rouge ! C’était le dernier des moulins de la Butte…
    C’est la faut’à qui vous savez. Descendu à la station « Blanche », dans un tel état d’ébriété… qu’il n’a rien trouvé de mieux que se suspendre à ses ailes…
    Mais lui n’a rien et il continue… de nous faire boire des coups, jusqu’à la lie !

  135. Dugong 25 avril 2024 At 9h13

    Ses conquêtes passaient-elles à la casserole ?
    ___________________________________________________________________________

    Merci de redonner vie à une expression que vous jugez désuète.

    • J’ai dit que désormais, les femmes passent sur la balance. C’était donc une boutade à destination de Trouduc, le cinglé qui en fait des tonnes pour refaire l’histoire.

      • Plus personne ne fait cela, je vous ai dit… Les années 80, c’est ter-mi-né, mettez-vous à la page. Regarde, ne serait-ce qu’avec ta Josette, on monte de deux tonnes pour un boudin que je ne toucherais pas avec un bâton !

          • Je te rassure, ce sera plutôt ton boudin qui te mettra des cornes que moi qui voudrais l’approcher… Nous verrons bien si elle se trouvera fort dépourvue quand l’AVC sera venu.

  136. Dugong 25 avril 2024 At 14h00
    Les Echos posent une question essentielle et cherche à y répondre :

    Dugong 25 avril 2024 At 14h01
    pose…
    _________________________________________________________________________

    Dugong semble avoir hésité:pluriel ou singulier ?

    Il eût pu (Eric est matheux) contourner la difficulté en écrivant:

    « Le journal Les Echos pose… »

    Pluriel et singulier sont acceptables. (également acceptables ?)

    C’est un débat qui a déjà eu lieu ici .Félicitations aux grammairiens québecois,clairs et précis encore une fois!

    Titre composé d’un déterminant et d’un nom commun
    Si le titre est un nom commun précédé d’un déterminant il est fréquent que l’on accorde le verbe avec ce nom. (L’accord avec un nom générique sous-entendu demeure aussi possible, cependant.)

    La nausée a été publiée en 1938.
    Les invasions barbares ont remporté l’Oscar du meilleur film étranger de 2003.
    Les beaux dimanches ne sont plus diffusés.
    Les Échos du Saint-Laurent sont distribués dans toute la région.
    La Tribune peut être lue sur l’ordinateur.

    https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/23125/la-grammaire/le-verbe/accord-du-verbe-avec-le-sujet/cas-particuliers-daccord-du-verbe/accord-du-verbe-avec-un-titre-doeuvre

  137. Jean-Paul Brighelli 25 avril 2024 At 13h12
    Une au moins.
    ——————————————————————————————————-

    Seulement un petit morceau. Sagawa avait bien préparé l’abattage de sa victime:il l’a tuée d’une balle de fusil dans la nuque-ce qui est étonnant pour un type pas entraîné au tir-mais question couteaux et anatomie,il était très mal préparé;il n’avait pas le matériel adéquat,il est parti en catastrophe acheter un couteau de cuisine à la quincaillerie du coin…et il a été très étonné de trouver de la graisse jaune dans la fesse; de plus la découpe a été difficile.
    Il n’a cuit et mangé que très peu;ce qu’il a réussi à découper,il l’a mis au congélateur;le reste ,il l’a transporté dans une valise pour le jeter dans le lac du Bois de Boulogne. Finalement,il a abandonné la valise sur une pelouse. Le chauffeur de taxi qui l’a amené au Bois de Boulogne, voyant la difficulté qu’il avait à porter la lourde valise lui a demandé facétieusement si elle contenait un mort.

    Ce Japonais était quelque peu atypique;ne pas avoir de long couteau bien aigusié quand on est japonais !

    https://www.couteau-kai.fr/couteau-japonais-kiritsuke-20-cm-kai-shun-premier-tim-malzer-c2x38716489

  138. Petit secret qui n’en est pas un:la créature traduit le petit livre de souvenirs parisiens d’Isséi

    Sagawa :類まれなる教師、サンシエの思い出:ジャン・ポール・ブリゲッリ

    L’un des buts du voyage au japon était de renconter l’éditeur.

  139. WTH 25 avril 2024 At 12h29

    l’Enthoven qui avait affirmé :

    « Je suis en guerre contre les antivax… Je suis en guerre contre ces gens qui se font passer pour des résistants … alors que c’est exactement le contraire de la Résistance, ce sont des gens qui sacrifient la vie des autres à la préservation de l’idée qu’ils se font de leur propre liberté. »
    ——————————————————————————————————-

    Oui Enthoven est abominable, il est nocif, mais il n’est pas député européen…alors que Glucksmann… Glucksmann me semble un ennemi beaucoup plus dangereux.

    Raphaël Glucksmann
    Député européen, essayiste, humaniste : « Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve » (Hölderlin)

    Suivre

    https://www.linkedin.com/posts/raphaelglucksmann_en-voyant-la-r%C3%A9volte-contre-le-pass-sanitaire-activity-6820800296835461120-XYhD/?originalSubdomain=fr

    En voyant la révolte contre le pass sanitaire au nom des « libertés », on comprend qu’il y a un immense malentendu dans notre pays sur la liberté et la contrainte en démocratie.

    Je suis libre tant que ma liberté individuelle ne nie pas celle des autres ou de l’ensemble. Simple.

    Or, dans ce cas précis, ne pas me faire vacciner condamne potentiellement toute la nation au confinement à moyen terme.

    Donc voir mes droits d’accès limités parce que je décide de faire peser un risque sur l’ensemble, ce n’est pas attaquer mes droits, c’est normal. Basique.

    Depuis des mois, j’écoute attentivement les arguments de celles et ceux qui doutent des vaccins anti-covid. Délai d’autorisation de mise sur le marché jugé trop rapide, défiance légitime vis à vis de « Big Pharma », défiance vis à vis des autorités de régulation, etc.

    Le doute n’est pas une mauvaise chose, au contraire: il constitue le point de départ de toute interrogation intéressante sur le monde et la base de la citoyenneté.

    Mais quand le doute se transforme en suspicion généralisée, ce n’est plus du doute. Cela devient un rejet de toutes les contraintes collectives qui nous permettent de faire société.

    Au Parlement européen, je combats les multinationales, « Big Pharma » , le scandale que constitue la privatisation de notre santé… Donc je connais la nocivité de ces labos. Mais je connais aussi le processus de validation scientifique d’un vaccin et je peux vous dire que les vaccins en question ont subi un grand nombre d’essais cliniques et de vérifications indépendantes.

    La vaccination est aujourd’hui la seule manière de nous sortir de la pandémie et de son cortège de morts, de malades, de faillites, de dépressions, d’effondrements. Si nous ne voulons pas d’un nouveau confinement, il n’y a pas d’autre solution.

    Alors s’il vous plaît, si vous êtes en âge de le faire : vaccinez-vous. Pour arrêter la transmission du virus et par souci des autres et de l’intérêt général.

    • « Oui Enthoven est abominable, il est nocif, mais il n’est pas député européen…alors que Glucksmann… Glucksmann me semble un ennemi beaucoup plus dangereux. »

      Depuis quand un candidat PS est-il redevenu dangereux ?
      Le système met le paquet en communication ; Gluglu a le droit à ses quarante couvertures et autant d’articles par semaine ; sa Josette qui officie tous les samedis soirs, tranquille, n’est pas inquiétée par un possible conflit d’intérêt politique ; gonflée par l’idéologie made in elle était allée jusqu’à remonter les bretelles de GG Larcher sur l’inscription dans la Constitution du droit à l’avortement quand ce dernier s’était risqué à expliquer que ce n’est pas l’objet de la Constitution et alors qu’il était englué dans les histoires de vidéos hum-hum au Sénat. Nan, nan, l’ARCOM ne bouge pas une oreille, tout va bien. Et Lormier de rajouter une pièce.

      Et le système pense faire basculer la tendance ? Mais oui, mais oui…

      • La vipère Glu Glu est en effet encore pire dans son discours que le Enthoven :
        c’est l’enveloppage en mode « PS » de la voix de son maître,
        et fort à parier qu’il récoltera les voix des Lfi et autres écologogos qui sont moribonds.
        Encore une fois, quels que soient les scores (!), les députés n’ont aucun pouvoir…
        L’unique solution, pour mettre fin à cette carabistouille qui nous coûte très cher, et ne rapporte strictement rien,
        c’est d’en finir avec cette « union », qui n’en n’est pas une, et ne peut, en aucun cas, en être une !

        (C’est qu’il y en a des qui se verraient bien députés à vie, ou du moins le plus longtemps possible ;
        mais tout le monde n’est pas le Mélenchon !)

        • « Encore une fois, quels que soient les scores (!), les députés n’ont aucun pouvoir… »

          On s’en fiche, Farage non plus n’avait aucun pouvoir.
          Je voterai en Juin… Et certainement pas pour la caissière.

          • Non, en principe les députés sont supposés avoir un pouvoir !
            En tout cas pas au niveau européen…

            Le Brexit c’est une toute autre histoire…
            Et Farage est un des hommes de la City… non dénué d’importance, au contraire de ce que vous croyez.

            Personnellement, je sais que voter ne servira à rien – mais si je vote ce sera pour des qui souhaiteraient en finir avec cette « union » !

        • Idem pour le Jordan et sa tribu…
          Du vent, rien que du vent.
          D’un côté des Alpes, le droit à l’avortement est inscrit dans la Constitution ;
          de l’autre la Méloni se réaffirme contre.
          Encore et toujours place au « sociétal », puisque le « social » semble plus que jamais tombé dans l’oubli…

          • D’un côté des Alpes, le droit à l’avortement est inscrit dans la Constitution

            C’est pipeau, c’est bidon, c’est de la communication politique pour mieux masquer l’état du délabrement médical du pays. Larcher a vainement tenté d’expliquer que l’inscription dans la Constitution ne garantissait pas son accès quand en seulement un an, plusieurs dizaines de centres du planning familial avaient fermé. Et Salami de l’interrompre quand il dressait l’état des lieux, il fallait surtout pas qu’il en parle. Qu’est-ce qu’elle en ont à faire les femmes d’un droit dont elles ne peuvent pas se servir ?
            Le droit dans la Constitution « aux aiguilles à tricoter » : Il fallait seulement qu’ils le précisent.

          • J’ai déjà donné mon avis…
            On devrait avoir (dé)passé le temps de l’avortement, sauf exception, bien sûr.
            Nous ne sommes plus dans les années 70.

          • … Et, de nos jours, le dit « planning familial » s’intéresse de beaucoup plus près au changement de… genre.

    • Quand GluGlu dit « s’il vous plait, vaccinez-vous ! », il pense « veautez pour moi ! »

  140. Quand nous transitionnons de la côte vers le Périgord ou l’inverse, chacun prend sa bavaroise et vogue la galère. Le premier arrivé à mi-chemin a gagné.

    cette année, j’ai gagné parce que ma Germaine a été flashée par un type à képi armé d’un pistolet à effet Doppler.

    C’était pas un con, Doppler…

    • Et bien voilà, Dan’, grâce à moi, vous savez tout !
      Je serai toujours votre bonne fée !
      (remarquez au passage, Dan’, que les Dugong sont vraiment pourris de brouzouf, pour avoir chacun sa trottinette !
      Et donc, ils votent « à gauche » ! ça va de soi (vers à soie ).

    • … Et c’est de vot’faute, le jaune !
      (Et pour en revenir au « délabrement médical » – dont parle, à très juste titre GG – ce n’est pas toujours le cas : le passage de Rémi à Agathe, c’est rien que 100 000 balles…)

      • Je ne sais pas comment ça se passe sur Paris mais dans mon coin, c’est devenu dramatique. Ne s’offre qu’une maison médicale ouverte en semaine et les WE pour les consultations qui ne sont pas prises en charge par les Urgences. Ce sont un vingtaine de gens malades (parfois en attente d’un médecin référant ; les toubibs sont fulls, il ne prennent plus de nouveaux patients) qui attendent une consultation. Il y a tellement de monde qu’une salle d’attente à l’extérieur a été aménagée (en plus de celle existante à l’intérieur qui n’accueille que sept personnes rapidement compète), sous un toit de tôle et de deux bancs vite occupés, parmi eux des vieillards en stade terminal qui patientent des heures dans le froid, avec ceux qui n’ont pas la possibilité de s’asseoir. Nous y sommes…

        Parce que c’était son projet, ma chère, Sansèv !

  141. « Dan » : de même que certains noms se prêtent à l’exercice,
    comme « Glu Glu », « Bri Bri » etc…
    (Bon, pouce ! J’arrête un peu mon « Flo » !

  142. Toujours aucun pédigrée de la couille molle… Alors que je peux prouver la parfaite authenticité du mien.

    • Dugland,si tu as le sens de l’honneur,commence par révéler ton vrai nom.
      Comme Driout.
      Comme Gavrilovic.
      Comme Brighelli.

      • Justement, je me tâte… Il n’y a qu’un googlage à faire pour clouer le bec à Face de fion.

        • T’auras jamais les couilles pour te dévoiler, Dugland. A ta place je me sentirais péteuse et honteuse.Mais la fierté,tu connais pas.

        • Allez Dugland,arrête de te tâter et de te tirlipoter le schmilblick,google-ise tout ce que tu veux,des preuves,des preuves!Pose tes couilles sur la table,si t’en as!Trop curieuse de voir ça!

      • (Le délirant ne porte pas une identité aussi ridicule que « Josip Gavrilovic ». Je vous rappelle qu’il prétendait s’être assimilé à la culture française.)

        • Dugland,t’es complètement cinglé.
          Et tes étrons sont de plus en plus pestilentiels.
          Oublie le cul des vieilles,va voir les jeunes.Si elles veulent de toi.

      • Josip usurpe ; quant à JPB et Driout, vous savez bien que, pour eux, la situation est différente.

  143. GG – suite « Santé » :
    c’est à peu près la même situation, d’après ce que j’en sais… en GB, en Espagne, au Portugal : (grande) insuffisance de « l’offre » face à la « demande »…
    Au Luxembourg, c’est de bonne qualité, du moins sur le plan hospitalier – d’ailleurs tous les travailleurs frontaliers préfèrent, et de loin, l’offre locale, plutôt que, par ex, le Chu de Metz.

    Evidemment, ici, le manque est particulièrement sensible dans les « territoires », hors des grands centres (et encore) qui eux, bénéficient aussi de … « cliniques » et autres « secteurs privés »: tu peux payer, tu seras soigné…

    A noter aussi que les médecins préféreront s’installer, par ex, sur les… « côtes », là où la vie est supposée plus agréable, là où ie brouzouf est supposé plus présent.

    Paris, pléthore de « privé » : près de moi , quelqu’un qui a « consulté » à Paris – lassé de l’attente locale…- coût : 120 euros…

    • S’il y a autant de médecins (et dentistes) à honoraires libres à Paris, c’est évidemment que le pognon est là.

      Avantage:on obtient un rendez-vous dans la semaine et les horaires sont grosso modo tenus.

      De plus, ces médecins et dentistes sont loin d’être mauvais.

      • c’est évidemment que le pognon est là.

        Non, ils fonctionnent sur le principe de l’offre et la demande, savent parfaitement que les patients de la grande couronne finiront par les solliciter. Pas mal de provinciaux sont prêts à se déplacer sur Paris en y mettant exceptionnellement le prix pour pouvoir consulter un dermato. Parce qu’en province, même avec une recommandation médicale, le tri s’impose face au nombre délirant des demandes (mail + courrier du médecin avant obtention d’un rdv) ; nombre de spécialistes paris en retraite ne sont pas remplacés. L’hôpital de Guingamp a fini par faire appel à des médecins cubains, Castro en ayant produit d’excellent à la pelle.

  144. Peut-on confiner tous les injectés ? Cela me paraît impossible. Espérons qu’il suffise de maintenir une distance de sécurité,afin d’éviter la contamination;il s’avère que leur haleine leurs sécrétions contiennent des pathogènes.

    « Now, Dr Thorp [gynécologue-ostétricien] comes forward … with a shocking presentation of new evidence: a study he has prepared, soon to be published, reveals that “shedding” of the mRNA vaccine materials, from the vaccinated to the unvaccinated, is a real phenomenon. Dr Thorp presents evidence that it is due to skin contact or respiration, which again independently confirms what the Pfizer documents reveal: Pfizer describes “exposure” to the vaccine materials as including skin contact and respiration (Pfizer also seems to include the semen of vaccinated men as carrying “exposure” of some kind to vaccine materials, to the unvaccinated women who are their female sex partners)….
    Dr Thorp confirms too that menstrual symptoms can arise in the unvaccinated via the vaccinated, an effect that many women have reported anecdotally. »

    https://naomiwolf.substack.com/p/dr-james-thorp-shedding-is-real-per

  145. Sorbonne:les cours n’ont pu avoir lieu;Macron faisait son discours debvant un parterre de vieux figurants.

  146. Dany le jaune !
    25 avril 2024 At 19h39
    Toujours aucun pédigrée de la couille molle… Alors que je peux prouver la parfaite authenticité du mien.
    ——‐–‐‐‐‐—————————-
    Dugong n’a jamais caché son passé académique.Les familiers de ce blog le connaissent,Dugland.
    Et toi,Dugland,tu peux prouver?Mais vas-y,prouve!

    • Mesdames, Messieurs, Il peut le faire !

      Trouduc n’a aucun des talents du couple Dac/Blanche

      Chez les collabos, le sens de l’humour n’a jamais été cultivé.

      • En tout cas, j’ai toujours trouvé Dac et Blanche d’une incommensurable lourdeur, genre Shirley et Dino. De l’humour de boomers sans doute…

    • Dugong a voulu jouer à qui a la plus grosse avec le pédigrée académique. Il est agrégé, je le suis aussi. Le reste, j’ai, il n’a pas. Il a voulu jouer, il a perdu, il la ferme.

  147. Les multiples pseudos de Trouduc sont connus illustrent la mythomanie du gonzier.

    Par exemple, « Gardien du phare ».

  148. Dany le jaune !
    25 avril 2024 At 19h56
    Justement, je me tâte… Il n’y a qu’un googlage à faire pour clouer le bec à Face de fion.

    Baby Doll
    25 avril 2024 At 20h59
    T’auras jamais les couilles pour te dévoiler, Dugland. A ta place je me sentirais péteuse et honteuse.Mais la fierté,tu connais pas.

    Baby Doll
    25 avril 2024 At 21h51
    Allez Dugland,arrête de te tâter et de te tirlipoter le schmilblick,google-ise tout ce que tu veux,des preuves,des preuves!Pose tes couilles sur la table,si t’en as!Trop curieuse de voir ça!
    ——————————————————–
    Dugland,on savait que tes étrons puaient grave et que tu aimais les culs de vieilles,on sait maintenant aussi que t’as rien dans le caleçon.

    • Y’en a des chez qui l’obsession de la crotte devient plus que lourde, ne fait pas avancer le Schmilblick, et n’est même pas drôle.
      Loin (évidemment) du sirénien, spécialiste du p’tit coup d’caudale moqueur ! (7h11).
      « On » lui rétorquera que l’Alsace est plutôt bien (?) représentée dans certains territoires…
      (petit rappel : ma mère, à la fac de Clermont-F, en avait vu débarquer pas mal depuis la fac de Strasbourg ; ils ont ensuite essaimé…)

  149. WTH
    26 avril 2024 At 13h02
    Y’en a des chez qui l’obsession de la crotte devient plus que lourde, ne fait pas avancer le Schmilblick, et n’est même pas drôle.
    ———————————————
    T’as qu’à expliquer à Dugland qu’il avait qu’à pas commencer:
    Papy croasse toujours
    13 avril 2024 At 12h37
    (…) Bd est une vaste fosse d’aisance ! On y entre, on y pose son petit étron pour se soulager et on repart.
    Quand on avoue dire de la merde,faut pas s’étonner qu’elle te colle aux godasses.

    • Ah tiens,Dugland,tu m’as pris pour Flo,pour Sanseverina,pour Lormier,et maintenant pour Josip.
      Souvent femme varie.
      Moi,je suis Baby Doll.
      Et ton cri de 13h16 qui va chercher très haut dans les aigus est bien le signe que t’as rien dans le pantalon:un castrat.

      • T’es complètement cinglée, Flo… Je te mets au défi de produire un message où je t’aurais pris, toi Baby Doll, pour Sanseverina, pour Lormier ou pour Josip.

  150. Bataille de Mikados :  » Et que j’te pique et que tu m’piques… Et que je t’repique… »

    Pierre, mais que faites-vous ? Vous loupez le meilleur !

  151. WTH 26 avril 2024 At 13h02
    Y’en a des chez qui l’obsession de la crotte devient plus que lourde…
    ———————————————————————————————————

    Oui.

    Madame Bik, spécialiste de la détection des fraudes scientifiques, n’arrête pas de demander:et pour analyser ces crottes, vous avez demandé l’autorisation à celle qui les a produites ? Et le comité d’éthique du Congo, vous l’avez consulté ? Vous seriez pas un peu post-colonialiste,à aller étudier des crottes en Afrique ?

    Des questions comme ça, elle en pose 78 par jour sur un site qui s’appelle pubpeer co-administré par un grand savant normalien , Boris Barbour, qui jure que son site est très bien tenu ,qu’on ne peut pas y déposer n’importe quoi.

    C’est ainsi que la science se fait.

    • « Permettant aux athlètes qui veulent s’exprimer sur ces sujets de trouver une plateforme idéale et un lieu dédié pour pouvoir le faire »

      Un baisodrome ?

      • Dan’ rit jaune : très loin d’être un athlète, il ne pourra pas y mettre les pieds – et encore moins le reste !

        • J’ai prévu de faire une petite coupure dans mon séjour suisse. Une jeune gymnaste ukrainienne traînera peut-être dans les bas-fonds de Paris pendant ce temps…

  152. Baby Doll
    25 avril 2024 At 20h59
    T’auras jamais les couilles pour te dévoiler, Dugland. A ta place je me sentirais péteuse et honteuse.Mais la fierté,tu connais pas.
    ———————————————
    Dis donc,Dugland,on dirait bien que tout est dit,hein?Rien dans le caleçon.

    • Attendu que Dugong écrit lui aussi sous pseudo…

      En revanche, je suis ouvert à toute rencontre IRL. Surtout si c’est pour signer ton arrêté d’hospitalisation sans consentement !

    • Si, dans le caleçon, il y a une chanson d’Enrico Macias: ah, caleçon joli les filles de mon pays…

  153. WTH 26 avril 2024 At 13h42
    Youpi ! Enfin une bonne nouvelle :

    https://olympics.com/fr/paris-2024/les-jeux/celebration/maison-des-fiertes

    a) Il y a « fier » et « fier de » . Si vous êtes issu du sous-contient indien et travaillez comme plongeur au Fouquet’s vous serez soumis à bien des humiliations mais vous pouvez rester fiet si votre âme est fière.

    fier de ? Fier d’une réussite à un concours ? Sans doute, mais le Maestro et Madame Mazeron vous diront que vous avez réussi parce que vous avez les codes qui vous onté ét transmis par votre milieu privilégié et que vous n’avez aucun mérite,n’avez aucune raison d’être fier.

    b) Cette maison des fiertés va accueillir tous ceux qui snt restés fiers,bien qu’appartenant à une minorité maltraitée: LGBT, trans etc.

    Si on n’appartient à aucune de ces minorités mais qu’on est quand même fier,aura-t-on accès à la Maison des Fiertés ? Madame Mazeron s’est-elle arrangée pour que l’accès soit interdit aux éléves de prépa (LLG, HIV) ?

    • Bien joli texte, JPB –
      Je fais un lien avec ce magnifique texte (plus de 550 pages), que je n’ai pas encore terminé, où passé-présent-futur se mêlent et s’entremêlent…
      « Le passé est ce qui ne passe pas » ;
      comment vivre, comment aimer, comment mourir…
      Chef-d’œuvre, oui : « Ton absence n’est que ténèbres », Jón Kalman Stefánsson.

  154. Que hurle un kamikaze israélien au moment de balancer son vieux Mirage sur Gaza ?

    Torah ! Torah ! Torah !

    Je l’avis déjà faite ici mais je n’ai pas pu résister. Rien que faire iech le minus

  155. WTH 26 avril 2024 At 19h07
    (WTH, 23 avril, 21h43, « Okinawa et les ‘marines’ ; avril-juin 1945…)

    JPB, 26 avril – merci à lui
    ——————————————————————————————————-

    Les morts okinawaiens ont été entassés dans des tombes-tortues typiques de l’île (leur forme rappellent, m’a-t-on expliqué, celle de l’utérus, afin que les défunts réintègrent le Grand Tout), cénotaphes collectifs qui tapissent les flancs de ces collines aujourd’hui fleuries d’hibiscus, hier dévastées au lance-flammes.
    _______________________________________________________________________

    Pourquoi « cénotaphes » ? Puisque ils sont pleins de corps ?

  156. Finalement je pense que le monument à la mémoire des lycéens japonaises (étoiles-lis) qui périrent à Okinawa est bien un cénotaphe (même si le nom japonais-tour ou monument ne le dit pas spécifiquement.) Quant aux « tombes » évoquées par le Maestro,il semble qu’elles constituent un ossuaire,sans que je sois sûr du terme approprié. Mais appeler cénotaphe un édifice qui contient des ossements me semble impossible. (L’identification des restes humains se poursuit.)
    Que dit la créature ? Tu as tout vu à Okinawa ?

    Il y a quelques années,il y eut un grand scandale qui conduisit un professeur ou un proviseur à venir présenter ses excuses à des survivantes de ces batailles;en effet des lycéennes, dans un essai qu’elles avaient rédigé après une visite à Okinawa, avaient osé dire qu’à la longue le récit des vieilles dames les avait barbées.

  157. « avec près de 20 000 hommes (que l’on voit peu, mais qui ont enfanté dans les rues de Naha McDo et KFC… »

    Ils ont aussi engrossé des Japonaises…soit qu’il les aient violées soit qu’elles fussent consentantes…

    • Cette « formation » (master 2 sciances de l’éduc) date de 2011 et a donc probablement été suivie par de futurs enseignants…

    • Noble mais très lourde tâche pour Dan’ le jaune : prendre sur soi, « we care, we can »,
      d’accord, mais par moment il n’en peut plus, il bout, il explose ; c’est alors qu’il se déchaîne ;
      oui, mais uniquement sur Bd ; c’est si facile ;
      il donne des coups et ose tout, heureux d’en recevoir en retour ; il aime ça, le pugilat ; un jeu dont il ne se lasse pas.

  158. Dugong 27 avril 2024 At 7h22
    Les ados sont souvent sans empathie avec d’autres qu’eux-mêmes.
    __________________________________________________________________________

    Et l’adolescence peut durer longtemps. Cependant l’empathie (envers autrui) s’enseigne par la méthode vibratoire du Professeur Gendron.

    https://www.youtube.com/watch?v=BXYJcCwq7NM

  159. Bien nommer les choses, c’est ajouter au bonheur du monde:

    突撃雷撃 Totsugeki raigeki 突撃 totsugeki :attaque soudaine 雷撃 éclair ( foudre)

    Il arrive à Lormier de se demander où les Américains puisent leur inspiration pour nommer leurs opérations militaires;influence nipponne ?

    Parce que « Tempête du désert » ,ça fait un peu japonais.

    Evidemment la langue japonaise ,avec ses kanjis, est beaucoup plus évocatoire…et les sens s’y superposent (Tora,abréviation de Totsugeki raigeki, veut dire:le tigre.

    Churchill, paraît-il,s’intéressait aux dénominations;il avait rédigé un guide;il s’était opposé à ce qu’on appela une opération « opération copeaux de savon ».

    • « Tora » : ben oui ! d’où le « tigre de papier »… alias Dan’ le jaune !
      Et Churchill avait toute sa tête quand il a lancé « Fortitude ».

      • hum…l’expression « tigre de papier » nous vient de Chine (rappelez votre jeunesse de bourge révoltée contre l’ordre bourgeaois) et en chinois « tigre » ne se dit pas « tora »

        • Mais je sais Lormier ; c’était just for the fun… (pour rappel : lu, début années 7, « Les habits neufs du pdt Mao » – m’étonnerait que ce fut votre cas).
          Avez-vous noté qu’avec « Hamilton » le Pol pote s’essaye lui aussi à la pub pour de la camelote (suisse) ?
          Il est vrai que l’Helvétie est proche de la Germanie.
          Et puis, ça change du lifestyle BMW.

    • Fascinants causements – Encore mieux que l’époque du « référentiel bondissant » :

      « management capacitant »
      « la bien vivance »
      « rollex – oui pour la liberté de chacun-e, dans le respect du plancher social et des limites planétaires (évaluées à 2 tonnes de C02 par personne par an), sinon on arrive à des situations de domination implicites et délétères sur les autres (dérèglement climatique, disparition des espèces, migrations forcées, guerres) »

      … (Burn, etc !…)

    • Normal ! Chacun de « nos » (?) « grands medias audio-visuels » se doivent de faire allégeance à la Van Reeth, au nom de « l’intérêt général » !

        • (oui, « honte, honte, honte »… – j’ai changé qque chose dans la formulation, et voilà…)

          • Pas de soucis , nous sommes habitués .
            Lormier particulièrement examine ces problèmes, mais il a l’habitude.
            Oui…

  160. examine ces problèmes, mais il a l’habitude.

    examine ces peaux blêmes, mais il a la bite Rude.

Comments are closed.