Antonio Rizzi (1869-1940), Nu sur des draps jaunes, 1906

Lisant pour la rentrée littéraire le dernier roman d’Emma Becker, L’Inconduite, et le trouvant médiocre, j’ai eu la curiosité de jeter un œil sur ce qu’elle avait publié précédemment. Et dans Mr. (2011 — sans doute le meilleur de ce qu’elle a écrit, quoique…), je tombe sur cette phrase, qui n’est pas dénuée de profondeur : « On s’était demandé, avec Babette, quelle question muette nous posaient les hommes pour que l’on répète Oui, Oui, Oui pendant l’amour. »
Et d’expliciter :
« Comme il y a des questions oratoires, il y a des réponses strictement ornementales, qui n’assermentent et n’approuvent rien en particulier : le Oui qui naît à ce moment précis, de cette gorge précise, est une approbation totale — est l’Approbation même, son essence. Ce n’est pas dire oui à des doigts ou à une queue, de toute façon interchangeables à merci, même s’ils sont l’axe de rotation de cet éphémère univers parallèle. C’est accepter en bloc un moment t, le plaisir, le sens véritable du fait d’être heureux, au-delà de tout ce qui se passe avant et après cet instant de grâce. Il n’y a rien d’autre à dire que Oui. »

Passons sur le fait que Mr. est une histoire de gamine qui couche avec un homme beaucoup plus âgé qu’elle (une combinaison qu’Emma Becker reprendra dans Alice en 2015). On n’en manque pas, surtout depuis que Pieyre de Mandiargues a conseillé à l’une de ses héroïnes : « Tu pourrais écrire tout cela, devenir une romancière, tu aurais du succès peut-être et tu gagnerais de l’argent. Le public aime les petites putes qui racontent leur histoire. » (in Tout disparaîtra, 1987). Je me suis fait l’écho, il a y déjà plus de dix ans (« the times they are a changin », comme disait Bob Dylan) d’un roman que j’avais quelque peu patronné, Latex etc., paru la même année que Mr., et écrit par une post-adolescente qui finalement, après un vrai succès d’estime, n’a rien fait de ses dons.
Mais là n’est pas la question.

« Quelle question muette », dit très bien Emma Becker. L’allitération en K renvoie au Quoi enfantin — le « Qu’est-ce que c’est » dont ce grand fou du langage que fut Jean-Pierre Brisset (1837-1919 — lire absolument la Grammaire logique, parue en 1883) prétendait qu’il exprimait, en fait, la question primordiale « Qu’est-ce que ce sexe que j’ai ». Rappelez-vous que Brisset, analysant la Queue, notait :
« Les queues réelles causaient des querelles.
Tu ma queue use, tu m’accuses.
La queue use à sillon, l’accusation.
Qui sexe queue use, sa queue use. »
Première association logique (non morale) du sexe et de la culpabilité — et de l’angoisse du taille-crayon.

Le Oui de la dame répond à cet acte d’accusation. Oui, elle est coupable — de désir exaucé, de jouissance effective, de déprise de l’esprit sur le corps. Emma Becker, quelques lignes auparavant, note : « Je me tordais comme un asticot sur le lit, balbutiant des débuts de mots absolument incompréhensibles (cette langue presque primitive de l’amour). » Si elle était dirigée par un agent plus féroce qu’Olivier Rubinstein, si un éditeur la soumettait aux contraintes que Max Perkins imposa à Thomas Wolfe (rappelez-vous Genius, film rare et exemplaire), elle finirait par sortir un très bon livre.
Parce qu’il est évident que cette jeune femme est hantée de culpabilité, et que l’aveu de ce Oui répété répond à une accusation majuscule¬… Et oui, moi aussi je peux travailler l’allitération, non plus seulement en K, mais en Cu : c’est la différence entre la femme qui prend en recevant et l’homme qui donne en pénétrant.

Aveu qui bouleverse l’ancien ordre moral. Je ne sais quelle faute Emma Becker — dont les autofictions, ou présentées comme telles, sont pour l’essentiel des récits d’étreintes variées et nombreuses, puisque la dame explique dans La Maison qu’elle a travaillé deux ans dans un bordel berlinois — pense avoir commise, mais ce qui suinte de ses récits, c’est une culpabilité diffuse, un masochisme à fleur de peau, un désir d’anéantissement jamais exaucé. Et, comme dans Gamiani, l’incapacité à jouir vraiment :

« Vous avez compris que c’était perdre trop de plaisir pour une insensible. Que voulez-vous ? J’ai la triste condition d’avoir divorcé avec la nature. Je ne rêve, je ne sens plus que l’horrible, l’extravagant. Je poursuis l’impossible. Oh ! c’est affreux. Se consumer, s’abrutir dans des déceptions. Désirer toujours, n’être jamais satisfaite. Mon imagination me tue… »

Le Oui avoue une faute immémorielle, celle d’Eve qui s’abandonne au serpent d’Adam. Qui cesse d’être douée d’une âme, et se revendique dotée d’un corps. Jeu de dupes, ou Qui perd gagne, au choix. Les deux en même temps, peut-être. C’est l’aveu que dans la dialectique de la surface et de la profondeur, la femme a choisi. « Ce qu’il y a de plus profond en l’homme, c’est la peau », dit très bien Valéry — qui a choisi lui aussi.

Quand on lit le remarquable Journal de Catherine Pozzi, qui fut la maîtresse du poète dans les années 1920, on ne peut s’empêcher de penser que l’amour que la jeune femme éprouve alors pour le vieux poète est de l’ordre de la Faute. Voir « Ave », l’un des six poèmes de Catherine Pozzi publiés en 1935, après sa mort :

« Quand je serai pour moi-même perdue
Et divisée à l’abîme infini.
Infiniment, quand je serai rompue,
Quand le présent dont je suis revêtue
Aura trahi.

Par l’univers en mille corps brisée,
De mille instants non rassemblés encor,
De cendre aux cieux jusqu’au néant vannée,
Vous referez pour une étrange année

Un seul trésor

Vous referez mon nom et mon image
De mille corps emportés par le jour,
Vive unité sans nom et sans visage.
Cœur de l’esprit, ô centre du mirage
Très haut amour. »

Je cite ces vers pour donner à Emma Becker, si jamais elle passait par ici, l’idée de ce qu’est vraiment la littérature, à son plus haut point de fusion. Mais je crois qu’elle le sait : elle cite sans cesse des maîtres en littérature — tous des hommes —, en déplorant de ne pas écrire comme eux.

Le Oui dit la perte — de l’innocence, de la conscience sans tache. Renoncement à l’immaculée dans l’inoculation du venin vipérin. Baudelaire, dont toute la poésie est ce champ de ruines résultant du conflit entre le Bien et le Mal, a bien senti l’aspect inquisitorial de l’amour :

« Ainsi je voudrais, une nuit,
Quand l’heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne,
Comme un lâche, ramper sans bruit,

Pour châtier ta chair joyeuse,
Pour meurtrir ton sein pardonné,
Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,

Et, vertigineuse douceur !
A travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T’infuser mon venin, ma sœur ! »

C’est la fin de « À celle qui est trop gaie » : l’amour est à la fois la Faute et le Châtiment. Et le bourreau n’est pas satisfait si sa victime, sur l’échafaud du lit, n’avoue pas : le Oui est le dernier don, la phrase averbale absolue, l’acceptation du supplice, dont chaque instant est délice, ce qui augmente la Faute et appelle un jugement encore plus radical — du latin radix, la racine, et je vous laisse imaginer de quelle racine il s’agit ici.

Il y a un en-deçà et un au-delà du Oui sacrificiel. L’en-deçà, c’est le silence, l’inquiétant silence — une façon de garder le pouvoir, ou de tenter de le prendre. Le Monsieur (pour reprendre le vocabulaire d’Emma Becker), devant le refus obstiné de répondre à la question globale, posera alors des questions plus circonstanciées : « Dis-moi que tu aimes te faire enculer, petite pute… » Pitoyable.
L’au-delà, c’est le gémissement, le cri, le langage ramené à son état le plus archaïque — la langue même du foutre. La voix de la petite mort, juste avant l’anéantissement.

Donc le prochain roman de Becker, à paraître ces jours-ci, n’est pas une grande réussite. La Maison, qui fut un beau succès, n’est jamais qu’une dissection clinique — quasi sociologique — des mœurs du bordel : dans la série « La Vie quotidienne », ce grand succès d’Hachette au siècle dernier, elle nous offre la vie quotidienne dans un bordel de Berlin au XXIe siècle. Ouais. Bof. Quant à Mr., il y a de jolies choses sur la psychologie des hommes — mais beaucoup de bavardage. « Pourquoi douterais-je une seconde de l’intérêt qu’ont mes histoires de fesses ? » écrit-elle à la fin de L’Inconduite : le fait même de se poser la question prouve assez qu’elle y a répondu — mais qu’il lui faut encore du temps pour accepter la réponse.
Quand elle aura appris à ne pas être fascinée par sa faconde, à ne pas considérer que toute phrase sortie de son stylo est une perle irremplaçable, comme celle qui goutte au bout du gland après le dernier spasme, elle écrira le très bon livre dont elle est capable — sur la Faute première qui lui a donné une « chatte schizophrène » (c’est dans Alice) et l’a jetée dans tant de lits sans parvenir vraiment à y jouir, sinon de façon mécanique, comme dirait justement Calaferte. Et sur le vrai châtiment qui la tirera de la spirale répétitive des amours décomposées.

Alors — et alors seulement — sa prose, qui est à la rigueur texte de plaisir, deviendra texte de jouissance. Tant il est vrai que la lecture et l’amour sont des activités somme toute parallèles.

Jean-Paul Brighelli



563 commentaires

  1. « d’un roman (de petite pute) que j’avais quelque peu patronné, Latex etc., paru la même année que Mr., et écrit par une post-adolescente qui finalement, après un vrai succès d’estime, n’a rien fait de ses dons.
    Mais là n’est pas la question. »

    Quelle délicate et sympathique attention !

    PS : Vous devriez, à l’inverse de ce conseil fait à la donzelle, considérez votre propre jet caligraphique aussi précieux que ne l’est la dernière goutte au bout du gland et établir une distance raisonable avec ce Moi trop surestimé qui vous en empêche.

    • Il ne l’a peut-être pas encore pris et si toutefois JPB avait un goût immodéré pour la drague par l’humiliation… Auquel cas tous les ingrédients sont réunis (exception faite sur l’argument de la grandeur légendaire de son appendice) y compris celui de la promesse d’un canevas bien torché dont il a le secret pour un prochain succès de librairie.
      « Si tu t’imagines, petite, petite, si tu t’imagines que tu pourrais écrire sans moi… C’est que tu te goures petite, petite, c’est que tu te goures. »

  2. « je tombe sur cette phrase, qui n’est pas dénuée de profondeur : « On s’était demandé, avec Babette, quelle question muette nous posaient les hommes pour que l’on répète Oui, Oui, Oui pendant l’amour. » »

    Phrase qui n’est pas dénuée d’humour pour celles qui ne sont ni dan l’en-deça ni dans cet au-delà et qui considèrent le Oui comme une forme d’usage comptable et médiocre, replaçant au centre d’une fusion (et donc sans de prise de pouvoir) avec sa moitié (cf « Ne faire qu’un ») une distance qui n’a pas lieu d’être.

  3. Un court instant,j’ai pensé écrire: »le Maestro s’est surpassé,…. »

    Mais ce serait idiot;mieux vaut reconnaître que je suis loin de savoir de quoi il est capable.
    D’où ma stupéfaction,ma sidération.

  4. « L’au-delà, c’est le gémissement, le cri, le langage ramené à son état le plus archaïque … »

    « Nightlong, in the granite yard, invisible cats
    Have been howling like women, or damaged instruments. »

    Sylvia Plath

    quand on n’est pas partie prenante…

  5. « il y a des réponses strictement ornementales, qui n’assermentent et n’approuvent rien en particulier … »
    Sens bien vieilli,inusité ?
    (De toute façon il nous manque,à nous autres Français, un verbe pour traduire l’anglais « to assert »)

    Rare, vx. Assermenter qqc.Attester quelque chose par serment :
    1. dymas. − La Révolution vint qu’on n’y comprit pas grand chose, jusqu’à la mort du Roi qui nous fit deuil (…). Après on nous envoya en Vendée (…). Seulement je puis dire, vous assermenter que moi, caporal Babot! j’ai jamais touché ni femme ni enfant. J. de La Varende, Nez-de-Cuir, gentilhomme d’amour,1936, p. 236.

    (CNRTL)

  6. « Cœur de l’esprit »

    L’expression est quelque part* dans Valéry;je ne serais pas étonné que Pozzi l’a lui ait piquée.

    *où ?

  7. Si cette jeune femme a un passé de tapin à Berlin, je suis curé.
    Ça commence à être sérieusement pénible que de voir débarquer de jeunes autocentrées « Moi-je » s’arrogeant des expériences underground de la trempe des allés simples dont elles ne soupçonnent pas un dixième de la souffrance qu’elles génèrent, qu’elles ne connaissent que par personnes interposées ou par lecture ou par tv, et venir nous faire la leçon.

    • Elles se présentent toutes maintenant en s’inventant un passé sulfureux pour se démarquer de la masse et complexée par une éducation trop lisse comme le ferait un connard qui montrerait ses fesses sur scène en fin de concert à son public.

      Par ailleurs, vous expliquiez qu’une écriture se retrouve aussi bien à l’oral qu’à l’écrit, et bien cela permet de repérer les supercheries. Il est des finesses d’auteur qui se pompent, mon cher…
      Elle m’énerve plus encore que P’tit Louis l’écrivaine, c’est dire…

  8. Albert Cohen répondant à un journaliste lui demandant s’il prépare un autre livre (après Belle du seigneur), d’abord par un silence puis : « je ne parle pas des rapports intimes ».

  9. J’ai lu récemment les « Mémoires » de Jean Rigaux (1909-1991) que vous ne connaissez probablement pas et qui était un humoriste de cabaret – et un acteur de cinéma – qui racontait des histoires graveleuses – j’en ai plus appris sur l’hétérosexualité en trois cent pages qu’en 60 ans de fréquentation assidue des hétéros !
    Malgré un physique anodin, sa bonne humeur et ses obsessions sexuelles lui valaient un grand succès auprès des dames – mêmes des couples de lesbiennes !
    Enfin j’avoue qu’au bout de mes 300 pages lues jusqu’à la dernière j’en avais un peu assez de toutes ces turlutes à répétition …

    https://www.youtube.com/watch?v=m649BhRMAfI

  10. Ce qui est curieux c’est qu’il y a des gens qui sont issus d’un milieu distingué comme Jean Rigaux dont le père était baryton à l’Opéra de Paris – deuxième créateur du rôle de Pelléas après Jean Périer et qui a chanté Amfortas à Bayreuth et qui sont extrêmement cru pour ne pas dire vulgairement obsédé !

    Prenez Guy Lux par exemple … disant d’une chanteuse italienne dont il avait écorché le nom : de toutes façons qui la connaît cette salope ?

    https://www.youtube.com/watch?v=GpWD2mGrOhU

    https://www.youtube.com/watch?v=GpWD2mGrOhU

  11. Ce qui est curieux c’est qu’il y a des gens qui sont issus d’un milieu distingué comme Jean Rigaux dont le père était baryton à l’Opéra de Paris – deuxième créateur du rôle de Pelléas après Jean Périer et qui a chanté Amfortas à Bayreuth et qui sont extrêmement cru pour ne pas dire vulgairement obsédé !

    Prenez Guy Lux par exemple … disant d’une chanteuse italienne dont il avait écorché le nom : de toutes façons qui la connaît cette salope ?

    https://www.youtube.com/watch?v=GpWD2mGrOhU

    • Parce que le comble de la vulgarité est dans l’usage du commun, le mesquin et l’étriqué.

  12. J’en ai conclu en lisant Jean Rigaux que pour être un tombeur auprès des femmes il faut et il suffit :
    1 Aimer bien boire
    2 Aimer bien manger
    3 Aimer faire la fête et raconter des histoires drôles
    4 Et vogue la galère au plumard

    Ca doit marcher je suppose aussi avec la plupart des garçons – il faut dire qu’il y a tellement de chieurs sur Terre que quand on rencontre un type de bon aloi qui ne se pose pas de questions on saute sur l’occasion.

        • L’après n’est qu’un superflu au regard de ce qui a été fait et à moins d’être un bi polaire perv’, emmanché, ou peu habile en caresse et en douces sucreries dites à l’oreille.

  13. « une perle irremplaçable, comme celle qui goutte au bout du gland après le dernier spasme… »

    Et comme la goutte séminale féconde la figure mathématique, départissant
    L’amorce foisonnante des éléments de son théorème,
    Ainsi le corps de gloire désire sous le corps de boue,
    et la nuit
    D’être dissoute dans la visibilité !

    Comme c’est grand, Claudel !

  14. « 60 ans de fréquentation assidue des hétéros ! »

    Un besoin, une curiosité ? Mystère.

    • Je sens que je vais bientôt me reposer – il n’est si bonne compagnie qui ne se quitte !

  15. Les hétéros posent beaucoup de lapins aux pauvres homos déconfits mon cher Lormier !

  16. « Je me suis fait l’écho, il a y déjà plus de dix ans … d’un roman que j’avais quelque peu patronné, Latex etc., … écrit par une post-adolescente qui finalement, après un vrai succès d’estime, n’a rien fait de ses dons. »

    Qu’est devenue Margaux Guyon, ancienne hypokhâgneuse ?

    Elle a fait la Kedge School ? Elle donne de ses nouvelles à son vieux maître ?

    https://www.youtube.com/watch?v=gbaXnPUZv2I

    • Le patron s’est désintéressé de sa protégée:

      La femme aux doigts bleus
      Margaux Guyon
      Albin michel 3 Février 2021 9782226460400
      Avant de la quitter, Simon a demandé à Iris de lui dessiner un tatouage sur le torse, comme une empreinte indélébile. Désormais seule face au vertige de la rupture, Iris cherche désespérément le souvenir et le goût de sa peau. Multipliant les rencontres, elle plonge dans le monde de la nuit au risque de s’y noyer. N’était cette obsession : s’approprier le corps des hommes, parfois contre leur gré, pour graver de ses doigts bleus des signes qu’elle est la seule à pouvoir interpréter…
      Après Latex etc, un premier roman écrit à vingt ans, Margaux Guyon signe un suspense psychologique sensuel et troublant sur notre rapport au corps dans un monde dématérialisé, et sur la violence taboue du désir féminin.

  17. Au-dessus de vingt ans elles deviennent des chieuses paraît-il les khâgneuses !

    • C’est le côté Margaux ou le côté Madame Guyon qui s’émancipe alors depuis le départ du maître tant révéré et tant craint ?

      • Margaux Guyon ,ancienne élève du Maestro, est agrégée…et elle écrit beaucoup de « cochonneries »;le Maestro y est sûrement pour quelque chose, non ?
        Que s’est-il passé ?
        D’où vient cette « répudiation » ?
        La petite doit bien souffrir.

        • La pauvre petite ne toucherait que 1700 euros par mois si elle devenait prof. L’est-elle devenue ? Peut-elle compter sur ses ventes pour se constituer un bas de laine, acheter un appartement afin de s’économiser un loyer ?
          Si elle avait accepté de se faire enculer par F. Spengler et s’il le lui avait proposé, dirigerait-elle aujourd’hui une collection dans sa maison d’édition ?

          • Qu’elle se console de ne pas avoir eu une telle proposition, elle aurait pu se faire enculer sans rien obtenir en échange… Enfin… avec ce passé de pute et puisque elle ne s’en cache pas, elle aurait certainement su s’éviter ce type de désagréments, n’est-ce pas.

  18. Mon idée personnelle c’est que si l’on veut faire un best-sellers il faut raconter des conneries grosses comme des montagnes !
    Plus c’est gros mieux ça passe … je pensais à ce brave Christophe Rocancourt qui arrivait à hameçonner des gens riches en leur vendant du vent qui allait les rendre encore plus riches eh bien c’est exactement le principe du bon livre ! Vendre du vent mais cher …

    • La crédulité du lecteur c’est la cupidité chez l’homme riche : un fonds inépuisable !

  19. En somme un livre qui se vend c’est une escroquerie réussie ! Comme « Papillon » de Charrière … 10 millions d’exemplaires ! Et un film tout autant célèbre.

  20. Le Mali balaie le prix du sang d’un revers de manche :

    « Ces dernières [les forces françaises ] se voient notamment reprocher des « actes d’indiscipline caractérisés par des refus d’obtempérer aux instructions des services de contrôle aérien », de falsification de documents de vols ou encore d’entrave à la circulation de l’aviation militaire malienne et ce, « tout au long du processus de transfert aux autorités maliennes de l’espace aérien du nord, depuis l’annonce du retrait de Barkhane [au mois de février 2022]. »
    « Les accusations vont beaucoup plus loin que ces actes supposés d’indiscipline aérienne. Le gouvernement du Mali affirme en effet qu’il « dispose de plusieurs éléments de preuve que ces violations flagrantes (…) ont servi à la France pour collecter des renseignements au profit des groupes terroristes opérant au Sahel et pour leur larguer des armes et des munitions ». Sans toutefois avoir, pour l’heure, livré une seule preuve au Conseil de sécurité. En guise de conclusion, Abdoulaye Diop prévient qu’en cas de « persistance de cette posture qui porte atteinte à la stabilité et à la sécurité du pays [le Mali se réserve] le droit de faire usage de la légitime défense ». »

    Tremblons ! L’aviation malienne, c’est un cessna déglingué avec un pilote bourré 24/24 ?

    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/08/18/la-junte-malienne-accuse-la-france-de-livrer-armes-et-renseignements-aux-groupes-armes-terroristes_6138312_3212.html

      • Il y avait un paquet de pilotes Ukrainiens qui faisaient voler des choses improbables et dont l’œil n’était pas des plus frais à toute heure. existent-ils toujours ?

        PS avec le réchauffage climatoridien, je parierais plus sur les AOC Pétersbourg que sur les coteaux de Gao…

    • Mauvais aiguillage : les Hlm (habitations non latines mélangées), c’est beaucoup mieux que les townships, qui continuent d’afficher « complet » !

  21. « La petite doit bien souffrir. »

    En réalité, il se pourrait que ce soit le Maestro (éconduit ?) qui souffre pour l’évoquer de la sorte.
    Entre Margaux et Emma, je gage sans hésiter sur la sensibilité et l’intelligence de Margaux encore en but avec ses propres ressorts ; que son intérêt se porte ailleurs que sur son nombril et les histoires salaces déjà mille fois racontées et elle n’aura pas dit son dernier mot…

  22. Jean-Paul Brighelli 17 août 2022 At 23h57
    500 exemplaires au mieux de chacun…

    Elle n’a plus votre patronage.

    • Elle n’a pas le génie des titres ! « Cher connard » ça vous pose une femme …

      • Combien de femmes se reconnaissent dans ce mot qu’elle n’ose pas dire à leur cher et tendre ? Tu es un connard adorable ?

      • L’esprit du temps est depuis vingt ans au charismatique. Ayant appris à écrire sans savoir écrire, et contrairement à Emma et Margaux, Despente a pour elle ce vécu qui n’a rien d’inventé. Ah, vous n’aimez pas l’entendre… Des tronches plus avisées que la sienne issue du même tonneau n’ont qu’à se faire entendre et afin d’éteindre l’intérêt de ce produit d’édition à obsolescence programmé … C’est écrit.

  23. Alors que les hommes entre eux n’hésitent pas à parler de leur « chères salopes » !

    • Merveilleux qu’une agrégée d’espagnol ait de précieuses traductions, des centaines de pages d’anglais que bien des agrégés de cette langue échangeraient contre leur poste à 1 700 balles. Mais quel fut son césame ?
      Il y a une morale pour Margaux. Après cette somptueuse victoire que représente l’aveu formulé par écrit… L’énorme, la principale, celle à laquelle elle ne cru jamais et ce durant des années. Sa réussite est double.

      • (C’est une victoire pour pas mal de femmes en réalité, que de découvrir qu’un demi-dieu n’est qu’un simple mortel comme les autres…)

  24. Tombeau pour Don Juan
    Margaux Guyon (Auteur)

    Retraçant les souvenirs de sept femmes à propos de leur amant disparu, une réécriture subtile des Liaisons dangereuses.

    « Un homme vient de mourir –; peut-être l’y a-t-on aidé. Il était à la fois un mari heureux, un père attentif, un amant infatigable, un financier sans scrupule et quelque peu pervers, mystérieux pour les uns, transparent pour les autres. Ne restent de lui que les discours croisés des femmes qui ont traversé sa vie, qu’il a toutes marquées de diverses façons : nostalgie, bonheur ou cravache. Le puzzle s’agence pour composer le profil perdu d’un homme passionné, passionnant, cruel un jour, plein de douceur le lendemain, manipulateur cynique et sentimental, et le portrait des sept femmes qui l’ont aimé, haï parfois, mais jamais oublié, greffant sur lui leurs fantasmes en friche ou leurs désirs assouvis. »

    Don Juan… Les Liaisons Dangereuses;qu’on ne me raconte pas que la petite n’a pas su assimiler la semence du Maestro !

    Ses dons ?

    Elle a ,au moins, décroché une agrég,ce qui n’est pas donné à tout le monde;en plus elle n’avait pas, pour sa préparation, ce précieux mentor que nous connaissons .

    • Mouai… Tout doux. Elle a décroché des traductions qui ne sont pas tombées du ciel… Et elle a bien fait de ne pas s’en priver !

    • « ..elle n’avait pas, pour sa préparation, ce précieux mentor que nous connaissons  »
      Elle aurait dit – je cite :
      « J’ai incité ce vieux mentor à reculer. »
      Oui…

      • J’ai incité ce vieux mentor à reculer.

        J’ai incité ce vieux retors à m’enculer.

        Un contrepet ne vise personne.

  25. informations à vérifier (ça vient de Midi-Libre…):

    Littérature, La Roque-sur-Cèze
    Publié le 01/02/2021 à 05:06

    La liste est longue des écrivains célèbres qui ont séjourné et écrit à La Roque. La jeune Margaux Guyon, tout juste 30 ans, a déjà une belle carrière avec la publication, à 21 ans, chez Plon, de Latex, qui l’a fait remarquer du grand public. Elle publie ce début février, chez Albin Michel, son tout nouveau livre, La Femme aux doigts bleus.

    Ancienne élève de Normale Sup, agrégée d’espagnol, elle vit entre la France et le Mexique mais La Roque reste pour elle un point d’ancrage familial avec Isabelle, sa mère.

    « En automne, la quiétude et le charme mystérieux des vieilles pierres m’ont beaucoup apporté pour cette création littéraire », précise Margaux, native d’Avignon.

    Dans cet écrit féministe, elle signe un suspense psychologique sensuel et troublant sur le rapport au corps dans notre monde dématérialisé et sur la violence taboue du désir féminin. « C’est un roman générationnel et sensoriel à travers la vision d’Iris, l’héroïne, qui entraîne le lecteur dans un univers où les relations amoureuses sont reconfigurées par les réseaux sociaux, où il n’y a presque plus de contact physique du fait de la pandémie. Seule face au vertige de la rupture, Iris recherche désespérément le souvenir et le goût de la peau en multipliant les rencontres… au risque de se noyer. Mon texte interroge et dissèque les relations amoureuses hommes-femmes de ma génération. »

    https://www.midilibre.fr/2021/02/01/margaux-guyon-jeune-talent-9345366.php

    • C’es le « Télémaque » au féminin ! Ce que c’est que d’être agrégé de lettres …

      • Elle se cherchait un mentor et elle ne trouva qu’un vieux pervers aigri par ses défaites ! Exilée au Mexique elle apprit l’art des petits pois sauteurs et se mit à faire des romans où l’on saute d’un site porno à un site me-too de rencontres violentes et désespérées !
        A la fin elle partit vivre avec sa vieille maman qui l’attendait dans un mas de Provence !

        • Peut-être aussi : Elle ne cherchait rien dans sa contemplation demi-divine. La pauvrette fut trouvée et prise ; le snipper profitant des derniers rayonnements de sa superbe et avant l’extinction totale de ses feux quand viendra l’heure où le sentiment étrange des regrets, qui lui étaient jusqu’alors inconnus, se feront sentir et à mesure que la faiblesse de sa chair, qui fut qu’un apanage de son bel esprit, se muera en une affligeante réalité.

      • Pub :
        « Télémaque, un nom pour symboliser la jeunesse éclairée par le mentorat  » !

        « Dans l’Odyssée, Télémaque est le fils d’Ulysse. De timide adolescent, il devient un homme assuré et ingénieux grâce à l’accompagnement d’un sage conseiller : Mentor.
        Capable d’agir seul et d’affronter tous les dangers, Télémaque est un jeune garçon curieux, talentueux, intrépide et inventif qui suit un voyage initiatique qui le transformera en un citoyen juste et compétent.

        Aujourd’hui, des milliers de jeunes ont besoin de
        mentors des temps modernes pour s’orienter, avoir en confiance en eux et trouver leur voie. Comme Télémaque, fils d’Ulysse ! »
        (telemaque.org)

  26. Riss, directeur de Charlie Hebdo:
    « Au nom d’un respect du fait religieux, que rien ne justifie qu’on le place au-dessus de toutes les autres manifestations de l’esprit humain, nos sociétés pourtant démocratiques donnent l’impression de se coucher devant la moindre revendication de nature religieuse ».
    Tellement vrai. Tellement inquiétant. Tellement dangereux. Tellement suicidaire.

  27. Les deux écri-vaines ont commis un « beautiful bastard » suivi de 9 autres « beautiful ».
    Virago Despentes, à elle seule, pourrait-elle pondre un second « (cher) connard » ?
    (encore une QQRSR et dont d’ailleurs on se fout éperdument).

  28. « Là, Termosiris, prêtre d’Apollon, adoucit la rigueur de son exil en lui apprenant à imiter le dieu, qui, étant contraint de garder les troupeaux d’Admète, roi de Thessalie, se consolait de sa disgrâce en polissant les mœurs sauvages des bergers. »

    Margaux essaye de polir les moeurs des Béotiens d’Internet qui ignorent les Belles-lettres ! Elle y met du sien la salope comme dirait Guy Lux ..;

  29. Question :
    pour les demi-dieux, ce n’est pas toujours facile ; vaut-il mieux être satyre et faune, ou nymphe et ménade ?

  30. Margaux Guyon a été l’élève du Maestro, on le sait; quels exercices (autres que la dissertation ) a-t-elle pratiqués au cours de son année d’hypokhâgne ?

    « J’ai au fil des ans accumulé quelques dizaines de pastiches, productions d’élèves issus de ce que la culture scolaire propose de plus élitiste. Tous, allez savoir pourquoi, à tonalité érotique. Si un éditeur de passage veut en prendre connaissance… »

    C’est d’elle,ça ?

    « Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée.
    Mon âme fond du dur désir d’être […] (1)
    Mais non point d’une étreinte achevée dans l’instant :
    Non, je voudrais qu’il prît avec moi tout son temps (2),
    Comme une femme en rêve au plus brûlant du songe,
    Comme un homme en promet par quelque pieux mensonge,…

    Quoi que l’on puisse penser de la curieuse inspiration de ces pastiches, et de la teneur des cours qui sans doute les inspirèrent…

    https://blog.causeur.fr/bonnetdane/ecriture-dinvention-disaient-ils-2213

  31. Jean-Paul Brighelli 18 août 2022 At 15h24
    Non, ça, c’est de moi !

    Ce n’est point ce que vous disiez le 23 mai 2018

    En fait, l’écriture d’invention devrait être réservée aux étudiants de fac, et après une étude sérieuse du modèle. Il m’est arrivé d’en demander en hypokhâgne, il y a quelques années (ce serait aujourd’hui impensable). Invitée à s’amuser avec l’Horace de Corneille, une élève avait imaginé le retour d’Horace et de Curiace à Brokeback Mountain — le film d’Ang Lee était sorti trois ans auparavant — en pimentant son inspiration avec le final (grandiose) du Spartacus de Kubrick. Ça donnait ça :…

    UN AUTRE [ELEVE] proposa la combinatoire racinienne suivante …

    Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée.
    Mon âme fond du dur désir d’être […] (1)
    Mais non point d’une étreinte achevée dans l’instant :
    Non, je voudrais qu’il prît avec moi tout son temps (2),
    Comme une femme en rêve au plus brûlant du songe,
    Comme un homme en promet par quelque pieux mensonge,

    https://blog.causeur.fr/bonnetdane/ecriture-dinvention-disaient-ils-2213

  32. Au fond,qu’est-ce qui empêche de considérer les disciples du Maestro comme autant d’œuvres ?

    Et comme il est si sévère avec lui-même,comme il brûle les manuscrits dont il n’est pas satisfait, on peut penser que la répudiation de Margaux Guyon est l’équivalent de ces autodafés.

    Longtemps elle se consumera.

    Cécile B.,quant à elle, ne se risque pas à écrire.

  33. Les Américaines disent: » Yes,Yes, just like that… »;comment traduire ?

    Selon Brisset,cité par le Maestro, le genre humain est issu des batraciens.

    Y a-t-il des meufs qui coassent quand elles sont bien ?

  34. Question naïve: si les livres de Margaux Guyon ne se vendent qu’à 500 exemplaires,comment se fait-il que des éditeurs-et non des moindres (Plon, Albin Michel) la publient encore ?

  35. Dugong 18 août 2022 At 14h12
    Y’en a des qui faute de savoir lire, lisent de travers (dialysent)

    Que penser de la lecture en diagonale ?

  36. Il y a une élève contre laquelle le Maestro avait une dent;sa mère,séparée du père, vivait avec un homme touchant 8 000 euros mensuels;avisée,la maman cachait bien cet apport.

    Ainsi la fille put elle jouir de tous les avantages,dont ceux offerts par l’Etat aux gens modestes:bourse, Erasme etc. Bien sûr avant cela, elle eut droit à de nombreux voyages linguistiques.
    Pendant ce temps-là, Cécile B.,la brillante Cécile B.n’eut droit à rien ;de plus ses camarades la snobaient:trop mal sapée, trop peu le genre pour aller en boîte avec les petits bourges.

    Et le Maestro,trouvant ça dégueulasse,compensa,consola.

    Plus tard le jury de l’agrégation d’espagnol colla CécileB. qui, n’ayant pas beaucoup fréquenté la péninsule, ne maîtrisait pas la phonologie hispanique ta mère .

    On rappelle que Margaux Guyon décrocha aisément l’agrégation d’espagnol.

    Est-ce que par hasard cette Margaux ne serait pas la fille dont le « beau-père » touchait 8000 ?
    Nous manquons de données de base.

  37. « Nous manquons de données de base »
    Oui, oui, oui, il faut de bonnes bases pour le dire.
    Oui…

  38. « Régente à la mort de Thoutmosis II, en 1485 avant J.-C., Hatchepsout, la « Première des premières » persuade le clergé et l’élite de la laisser s’installer sur le trône. Bien entendu parée des symboles de la royauté, dont la barbe postiche avec laquelle le souverain préside les cérémonies »

    Virginie D. cherchant à détrôner Phimosis III et ne parvenant qu’à se faire détester de Conchita W. , première Vizirette.

    https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2022/08/19/la-barbe-d-hatchepsout-attribut-royal-d-un-pharaon-au-feminin_6138403_3451060.html

  39. Dans les films pornos américains les filles ne disent jamais « yes, yes, yes » mais « fuck, fuck, fuck ». J’en déduit déduis qu’en Amérique on pose moins de questions pas de questions.

  40. Pierre Driout 18 août 2022 At 19h43
    Ah là là les vieux couples à la recherche d’une petit culotte ça fait tapage nocturne !

    Dans votre coin, il y a beaucoup de cathos.

    Connaîtriez-vous un catho qui déplisse des culottes ? Peu imorte qu’elles soient de Miyake ou d’un autre .

  41. Lormier 18 août 2022 At 17h18
    Elle a intégré, Margaux ?

    Jean-Paul Brighelli 18 août 2022 At 21h02
    Non.

    Voilà une donnée intéressante.
    Midi Libre raconte des bobards;je m’en doutais.

    Dans sa classe d’hypokhâgne, comment se comportait Margaux vis à vis de ses camarades ?
    Faisait-elle partie d’une bande de petits bourges allant ensemble en boîte ?

    • Quelque peu.
      Ce qui m’a choqué, en dehors de ses tentatives ratées d’entrer dans la vie littéraire, c’est qu’après avoir fait des études payées par une bourse très généreuse de l’ordre de 1500€ par mois, elle a démissionné après l’année de stage, jugeant que ce n’était pas assez bon pour elle. Les trados que je lui avais trouvées chez Spengler lui assuraient des revenus confortables, elle ne voyait pas pourquoi elle se ferait suer avec des lycéens.

      • (Jean-Paul découvrant l’eau chaude )
        – Une prostituée n’aime que le fric ou que l’héro, rien d’autre.
        – Kuâââ ?!

        • Mais elle faisait call-girl dans la vie auprès de riches émirs pétrolifères la Margaux ou c’est juste du chiqué ?

          • Escort auprès de vieux bourgeois, elle ne faisait pas le trottoir. Elle l’a couché sur papier, sous la supervision de notre hôte… ce dernier n’était alors pas non plus choqué à ce moment là de ses tentatives à vouloir se faire un nom dans l’édition. Mais qu’il s’étonne qu’elle aime le blé, à son âge… Pauvre histoire…

          • C’était une fiction, vous savez…
            Il ne faut pas croire tout ce qui est écrit.

        • Toutes des salopes (ou presque) ; et y’en a des (type JPB) qui remettent ça, remettent ça, jusqu’à l’os ; c’est dans leur nature.

  42. Je ne veux pas me vanter outrageusement mais j’ai beaucoup fréquenté les prostitués ! Et vous ?

    • Enfin quoi la Margaux est-elle passée des bras vigoureux de JPB à ceux langoureux de Jeffrey Epstein ? Qu’elle puisse enfin nous raconter quelque chose de croustillant sur le prince Edward ou sur Bill Gates …

      • Les fesses très flasques qu’elle a pu tripotées n’ont rien de croustillant, vraiment pas.
        Ce supplice ! Beurk…

        • J’adore ce film des années soixante-dix « Le téléphone rose » où Pierre Mondy petit-patron de province en faillite se fait racheter sa boîte par le moyen de sa bistouquette tenue par Mireille Darc en salope au grand coeur !

          Dans la vie le Mondy aurait été lessivé financièrement et plus si affinités !

        • Entre les coups de pouce, tout en délicatesse de JPB, et les mauvais coups de l’île aux croquemitaines, y’a d’la marge (pour la correction).

  43. Je suis un peu snob ! Tant qu’à se baigner dans le stupre je préfère que ce soit au milieu des piscines remplies de billets verts des junkies de Wall Street plutôt que dans le galetas d’un artiste à la manque de la banlieue d’Avignon-sur-Vilar !

  44. Au sujet de Mireille Darc vous connaissez sans doute cette histoire qui se passe sous le septennat de VGE ?
    Un jour Alain Delon rentre à l’impromptu chez lui, époque où il vivait maritalement avec la grande sauterelle et voit Giscard prenant le thé avec la douce Mireille. Il ne fait ni une ni deux et lui dit :
    – Monsieur je vous prierai de sortir de chez moi où je ne reçois que les gens que j’ai invité.

    Et Giscard s’en fut la queue basse porter son d’Estaing de baiseur intègre dans d’autres lieux plus propices !

    • (tout est bon pour faire vendre ; il n’est pas dit que ce sera suffisant, dans le cas de la belle, passée des bêtes de bordel… à la maternité et réfugiée chez maman – ouaf)

  45. Phimosis : encore un mot savant, du grec « lien » ; entre les liens et les nœuds, de plus en plus difficile de se détacher de BdÂ…

  46. « Faisait-elle partie d’une bande de petits bourges allant ensemble en boîte ? »

    En khâgne ?

  47. Jean-Paul Brighelli 19 août 2022 At 12h22

    Ce qui m’a choqué…

    Toucher une telle bourse quand le compagnon de sa mère touche huit mille euros par mois et qu’on en profite…

  48. Pierre Driout 18 août 2022 At 15h02
    Elle se cherchait un mentor et elle ne trouva qu’un vieux pervers aigri par ses défaites !

    Un mentor bien mentulé avec qui elle aurait fumé des Peter Stuyvesant mentholées.

  49. Jean-Paul Brighelli 19 août 2022 At 12h22
    … elle a démissionné après l’année de stage.

    On lit ici ou là qu’elle s’est dévouée,a fait de la ZEP.

    Encore un bobard ?

    Une ingrate,de toute façon.

  50. 40% des gosses qui naissent aujourd’hui ont au moins un grand-parent immigré… Mais à part ça le Grand Remplacement n’existe pas !

    • Pas plus d’espingoin que de beurre en broche
      Hypokhâgne
      Lettres classiques avec option Histoire de l’Art
      2006 – 2007
      Classe préparatoire littéraire au Lycée du Parc de Lyon.
      Préparation aux concours de l’Ecole normale supérieure.

      IESA arts&cultureIESA arts&culture
      Bachelor Expert of ArtBachelor Expert of Art
      2007 – 20102007 – 2010
      Passionnée d’art, je me tourne vers une formation de commissaire-priseur.
      Expertise ; cours d’Histoire de l’Art ; spécialisation en peintures et dessins anciens.
      C’est un stage chez Artcurial, la célèbre maison de vente aux enchères que je fais la connaissance de Laurie Matheson et Luc Dabadie, experts vins.
      Stage à la clé, je découvre un univers passionnant et choisi d’y consacrer ma carrière.

  51. Si elle avait accepté de se faire enculer par F. Spengler …

    Cette question me semble de nature extrêmement spéculative;nous ne disposons d’aucune donnée.
    Ma question concernait le Maestro;nous savons que Mauzi lui a proposé de l’enculer,lui promettant un poste d’assistant s’il acceptait.

    Brighelli,nul ne le contestera, est un impulsif:il ne s’est pas donné le temps de la réflexion,il a refusé catégoriquement,d’emblée.

    Partant de ces données, n’est-il pas permis de s’interroger sur ce qu’eût pu être sa carrière ?

  52. Dugong 19 août 2022 At 10h50
    Pas tout à fait 6 chiffres sur l’année, c’est trop moche…

    Et converti en Nm,ça fait combien ?

    • Ben « de mon temps » les ENS n’étaient pas mixtes. Ni les agrégation d’ailleurs — sauf philo.

  53. Jean-Paul Brighelli 19 août 2022 At 14h01
    C’était une fiction, vous savez…
    Il ne faut pas croire tout ce qui est écrit.

    Elle ne se contente pas de l’écrire, elle le maintient également en interview. Il est plus insupportable de savoir qu’elle ait menti plutôt que de savoir qu’elle l’ait véritablement vécu.

    « et comme c’est largement inspiré de ma vie privée » Margaux Guyon à ,0’59
    https://www.librairiebanse.fr/personne/margaux-guyon/1769790/

    Question Jean-Paul : Vous ne l’avez pas mise en garde contre ce type de carabistouilles et si se sont des carabistouilles parce qu’on ne compte plus les étudiantes se prêtant à l’activité pour arrondir les fin de mois ?

    • Q’une jeune morveuse mente effrontément face caméra sur un sujet aussi grave avec les responsabilités que cette petite conne endosse par son exemple ne vous posait strictmenet aucun problème en 2011. Zéro. Vous en aviez plein la bouche des traces que votre muse s’apprêtait à laisser, elle était for-mi-da-ble. Alors on ignore l’objet de la brouille qui vous oppose (elle a assurément vous mis carpette) mais votre retournement de veste de Père la Morale au bord de l’apoplexie laisse perplexe, mon très cher et toujours talentueux, Jean-Paul.

      • Parce que l’habit ne fait pas le moine. De grâce, Jean-Paul : ne me dites surtout pas que je vous l’apprends également.
        (Vous avez fréquenté essentiellement des profs ou des élèves… malgré vous, certes… Mais votre méconnaissance du genre humain me sidère)

      • De toutes façons, c’est très simple : ou cette jeune femme est d’une inconséquence sans nom,( et vous également pour avoir 60 ans ou 40 ans de plus qu’elle et de ne pas l’avoir freinée dans ce mensonge) ce qui ne colle absolument pas avec son CV ou ce qu’elle avance est vrai.
        Mais qu’est-ce que vous vous imaginiez sérieusement tous les deux ? Vous pensiez que se vanter d’avoir ce types d’activités s’efface d’un trait, hop, on efface tout on recommence ?
        C’est détestable, c’est à vomir que de s’inventer du sordide dans sa vie pour vendre. Shame on you !
        Vous ête autant responsable que cette morveuse irresponsable, Jean-Paul, et je me fiche des réactions de groupie land.

  54. Après Margaux, Margot pour le pinard…
    Dommage que Giacobetti soit trop vieux ; il aurait peut-être pu les convaincre de quelques photos – entre filles s’entend :

    « C’est 100% féminin, des femmes de 30-35 ans qui travaillent dans le secteur de la communication, dans des grandes maisons de luxe, des femmes qui aiment la gastronomie, l’art et qui aiment boire, qui ont tout le temps une bouteille à la main dans des dîners… » (lefigaro, avril 20vin)
    wouahou !

  55. Margaux aime les… « tortas de chilaquiles » ?! c’est une mauvaise blague de journaleux local ; JPB lui a forcément appris à se sustenter correctement ; les tortas, c’est comme la poutine, ça ne passe pas, même avec le meilleur rougeauxlèvres de Margot.

  56. Il faut une certaine trempe pour pipoter de la sorte en public, ou bien être au top de sa connerie, état typique de l’amoureuse raide dingue.
    Bref, ça annonce une suite dont on ne doit surtout pas s’étonner. Pas de chouinne, surtout pas.

  57. ean-Paul Brighelli 19 août 2022 At 20h16
    Ben « de mon temps » les ENS n’étaient pas mixtes. Ni les agrégation d’ailleurs — sauf philo.

    Le Figaro:

    « C’est de l’internat qu’il s’agit.

    Celui-ci était jusqu’ici indistinctement ouvert aux normaliens des deux sexes, sans séparation géographique entre les couloirs des filles et ceux des garçons… »

  58. J’écoutais une jeune femme de trente ans, hier soir, belle comme tout dans une simplicité sans maquillage, elle m’expliquait qu’elle avait eu un retrait de permis de six mois alors qu’elle est mère célibataire de trois enfants il y a de cela plusieurs années, quand sa voiture lui était indispensable parce qu’enchaînant plusieurs boulots pour faire vivre sa famille de trois enfants, elle me le racontait cela en me précisant que ce fut un mal pour un bien, assumant sa faute… Et je lis les fadaises de grosses connasses qui ne connaissentt rien de la souffrance que peut-être la prostution, se sont tout au plus fait tourner en partouze ou s’e sont pris des coups de cravache sur leur trop gros boule, tellement laid, tellement gras, aussi adipeux que leurs yeux de veau, s’autoriser à d’infâme mensonge parce qu’au nom de leur appartenance à l’élite, ces somptueuses saloperies se pensent hors de portée de toutes accusations, leurs diplômes les en préservant, elles seront d’avance pardonnées ( c’est le fond du problème).

  59. ll peut y avoir des modulations du oui,oui,oui…une musicalité.

    Mais… »L’au-delà, c’est le gémissement, le cri, le langage ramené à son état le plus archaïque — la langue même du foutre. »

    Sylvia Plath (Insomniac) compare ces sons à des miaulements de chats ou à ceux qu’on tire d’instruments de musique abîmés.

    « Nightlong cats have been howling like women or damaged instruments… »

    Evidemment ,quand on est pas partie prenante…

    Brisset nous apprend que le genre humain est issu des batraciens.

    Ils se trouve que les Américains (et plus encore les Américaines) se mettent à produire des sons de grenouille à la fin de leurs phrases.

    C’est une nouvelle mode.

    Et au lit ? On coasse ?

    https://www.youtube.com/watch?v=UsE5mysfZsY

  60. 18 pages de Latex etc. sont disponibles sur Google books.

    J’y ai trouvé une trace de l’enseignement du Maestro: « comme dans l’Ouest ,j’imprime la légende « (je cite en substance) puis une référence à Liberty Valance; dans le roman, c’est un copain de l’héroïne qui lui parle de westerns (auxquels elle ne connaît rien,dit-elle).

    Il y a aussi un peu de latin, suivi de cette remarque:si les profs de latin enseignaient que le latin, ça sert aussi à baiser,ils auraient plus de clients…
    Ça me semble être assez dans l’esprit du Maestro.

  61. Jean-Paul Brighelli 19 août 2022 At 20h15
    Aucune brouille. La vie. La distance géographique. L’usure.

    Pas de rancune, donc;l’ingratitude, le Maestro y est habitué,il n’attend pas grand chose de la nature humaine.

    Que Margaux se soit servie du Maître pour avoir des trads et n’ait pas remercié…passe encore;
    Mais que dans les nombreux entretiens qu’elle a eus avec la presse elle n’ait pas trouvé l’occasion de dire:c’est en hypokhâgne que grâce à un maître sublime,j’ai découvert la littérature -voilà qui peut choquer.

    A moins qu’elle n’en soit pas encore consciente.

    En tout cas les thèmes qu’elle a choisis pour ses livres sont un reflet évident des cours du Maestro.

  62. « Les trados que je lui avais trouvées chez Spengler lui assuraient des revenus confortables,… »

    Quand elle parle de sa rencontre avec l’éditeur, Margaux ne dit pas qu’elle lui a été présentée par Brighelli;on dirait que ça s’est fait tout seul.

    ingrate !

    Par ailleurs,elle laisse entendre qu’elle commence à en avoir marre de traduire ces bouquins de « romance » pimentés de scènes de khul.

    De quoi vit-elle au Mexique ?
    Je ne sais pas.

  63. Dugong 19 août 2022 At 17h54
    « climatoridien ©™ »

    Tôt ou tard,le mot passera dans la langue.
    Quelle consécration!
    Littré saura-t-il en indiquer exactement la première au khul rance ?

    • Le mot est libre de droit pour ceux qui ont oublié d’être con. Du coup, l’autocensure est de mise.

  64. Tant que Brighelli ne sera pas réduit à quia Flo ne sera pas heureuse ! Elle veut sa reddition complète, à genoux, dans la sciure, implorant sa miséricorde et telle Madame de Sévigné lardant son cousin Bussy-Rabutin de traits redoublés peut-être condescendra-t-elle à la toute fin à lui laisser quelque répit !

  65. Madame de Sévigné écrivait très bien mais quelle connasse quand elle parle des huguenots … des misérables qu’il faut exterminer dans leurs trous dit-elle comme de la vermine !

  66. La passion religieuse se confondait avec la passion politique en ce temps-là ! Et les passions politiques ne sont jamais le lieu d’une raison bien éclairée …

  67. Quand vous songez que même le doux La Fontaine pour faire sa cour aux puissants du royaume – le roi et ses séides – se met dans la peau d’un dragon persécuteur d’hérétiques vous vous dites que les passions politiques obscurcissent toute raison comme tout sentiment humain !
    Cf lettre au duc de Vendôme en 1689 et à M de Bonrepaux ambassadeur à Londres en 1687.

    • L’immense majorité des universitaires français a une mentalité de laquais devant Wall Street et la City !

      « In courts a mean, in camps a generous band »
      Troupe vile à la Cour, héroïque à la guerre.

      • Qu’est ce qu’il connaît de l’unidiversité française le certifié d’étude primaire de rueil ?

    • Je suis un peu choqué qu’il paraisse normal à ces jeunes gens payés par l’Etat (voire davantage, si l’on compte les années d’études antérieures) pendant trois ans de quitter comme ça le service de l’Etat…

      • D’un autre côté si l’Etat français est dirigé par le cabinet de conseils McKinsey autant travailler directement pour ces Américains et aller pantoufler dans cette boîte n’est-ce pas ?

        • Bien vu.
          Quand un fonctionnaire quitte la fonction publique il soulage l’Etat (quand bien même celui-ci aurait financé ses études.

    • Article torche-cul !

      « ou faire face à l’hostilité de l’administration » : tu parles ! Le service des carrières envoie trois mails par semaine pour annoncer afterworks, meetings et conférences avec des gens de Veolia, Capgemini, BNP ou carrément les membres du Club des normaliens en entreprise. Et la direction a appuyé il y a deux ans la création d’une Junior Entreprise d’audit…

  68. La loyauté s’arrête où commence mon confort quand on a le choix !

    Il faut être réaliste : les militaires professionnels – ils le sont tous aujourd’hui – font la guerre pour l’argent ! Alors pourquoi les fonctionnaires iraient-ils se casser le cul pour un patron qui ne paie pas suffisamment ?

  69. Dans les écoles publiques de la 3ème république on ressassait le discours du devoir patriotique ! Mais c’est une vague foutaise … tous les militaires professionnels de tous les temps ont toujours fait la guerre pour le butin !

    Rien ne choquait quand un militaire passait d’un camp à un autre en fonction de la paye ! Même les plus grands comme le connétable de Clisson, Turenne et Condé sont bien passés d’un camp à un autre … pas d’or pas de Suisse disait-on !

    • Le résultat du discours insensé de la 3ème ? Le pacifisme d’après 14/18 et la défaite de juin 40 !

      Au lieu de tenir un discours réaliste : la guerre c’est pour défendre nos intérêts et pas pour les beaux yeux de la marquise !

  70. J’ai lu récemment l’autobiographie de Pierre Goubert (1915-2012) historien qui fit Saint-Cloud comme Brighelli mais qui ne passa sa licence et son agrégation que très tardivement après guerre et ensuite une thèse en 1958 à 43 ans !

    Je me suis dit que JPB en snobant la dite thèse avait fait un mauvais calcul – il dira si ma mémoire est bonne ; je ne voulais pas devenir toute ma vie le spécialiste du point-virgule chez Saint-Simon – soit ! Mais son agreg’ en-dehors des frontières n’ayant aucune valeur il ne fut jamais contrairement à Goubert invité dans des colloques internationaux ou des séjours très agréables dans des université étrangères. Goubert raconte avec délices toutes ces conférences bien payées et bien considérées !

    Je suis étonné que Brighelli n’ait pas réfléchi à l’avantage d’être docteur es-lettres – ce qui n’aurait rien changé à sa valeur intrinsèque mais aurait modifié son confort de professeur !

    • Pour Goubert issu d’un milieu très modeste le changement de vie fut tout à fait considérable !

    • Mauzi était prêt à diriger sa thèse et lui offrait sur un plateau un poste d’assistant à la fac,à condition qu’il se laissât enculer par lui.

      Sans réfléchir (comme vous dites) Brighelli refusa tout net;c’est un être éminemment impulsif.

      A l’époque (les années 70) vous n’étiez pas né,vous n’auriez donc pu le conseiller sur les pièges à éviter et la bonne méthode pour préparer son anus.

      • C’est compulsif chez vous ces histoires d’enculage ! Vous avez songé à consulter un psychanalyste ?

      • Mauzi était récepteur, pas émetteur…
        Le vrai problème a été qu’il a été massacré par deux types qu’il avait ramenés chez lui, et plongé dans un coma de longue durée dont il n’est pas revenu bien vaillant. J’étais passé à autre chose.

  71. PS Je raconte cela parce que Dugong me fait un mauvais procès, qu’étant certifié des études primaires je ne sais rien des universitaires ! C’est pas vrai d’abord j’ai pas passé le certificat d’études primaires et ensuite il m’arrive de lire des autobiographies de professeurs fameux qui aiment s’étendre sur le divan !

    PPS Il y a aussi des professeurs tout à fait modestes qui n’aiment pas qu’on parle d’eux ! Mais évidemment je ne le connais pas …

    • « j’ai pas passé le certificat d’études primaires »

      N’a pas été considéré au niveau pour le passer avec succès…

  72. Jean-Paul Brighelli 20 août 2022 At 13h14
    Je suis un peu choqué qu’il paraisse normal à ces jeunes gens payés par l’Etat (voire davantage, si l’on compte les années d’études antérieures) pendant trois ans de quitter comme ça le service de l’Etat…

    Et moi je suis « un peu choqué qu’il paraisse normal » à des professeurs de prépa d’enfumer leurs élèves,de leur mentir sur les vrais débouchés de leurs études, de leur vanter la « recherche » en leur cachant la réalité.

    Le Figaro:

    Pour Antoine*, intégrer le master d’économie de l’ENS Paris-Saclay était une évidence. «Les professeurs de prépa nous vendaient l’école comme le Saint-Graal. On nous parlait de débouchés incroyables sans nous expliquer la réalité de la recherche.»

    • J’ai expliqué — chaque année — qu’une grande école est une clé. Plus l’école est grande, plus la clé ouvre de serrures (idem pour les masters d’exception). Encore faut-il savoir s’en servir. Il est des écoles très spécialisées — certaines écoles d’ingénieurs par exemple — qui n’ouvrent qu’une serrure — mais la bonne. Une ancienne élève de prépa-IEP, originaire des quartiers Nord de Marseille, a préféré s’orienter vers le concours d’élève-officier de la marine marchande — et elle est aujourd’hui officier sur les lignes de Corse. Une autre — même origines, en pire — est aujourd’hui avocate en droit financier dans un grand cabinet, après le Master 2 réservé à 24 élèves d’AMU.

      • Antoine* ,normalien, économiste se plaint des ses professeurs de prépa qui l’ont complètement enfumé sur la « recherche » publique ,lui ont caché que quand bien même il décrocherait un poste au CNRS ou un autre machin (ce qui est hyper-difficile) il serait clochard.

        Peut-on lui en vouloir d’envoyer paître l’Etat ?

        Il a vingt-cinq ans et donc pas de temps à perdre;si une banque,une institution financière privée quelconque veut de lui, qu’il y aille.
        Si l’Etat sourcilleux lui réclame le remboursement de ses salaires d’élève fonctionnaire (des clopinettes) la boîte paiera.

        De plus l’Etat macroniste sera trop content de se débarrasser d’un fonctionnaire.

        J’espère que quand vous étiez prof de prépa vous dissuadiez vos élèves d’envisager l’enseignement.
        Il ne faut pas mentir aux jeunes.

  73. Pierre Driout 20 août 2022 At 10h58

    « In courts a mean, in camps a generous band »

    Citation d’un certain Lyttleton,poète aujourd’hui bien oublié mais qui connut et honora une ancêtre de Driout.

  74. Dugong 20 août 2022 At 10h24
    Le mot est libre de droit pour ceux qui ont oublié d’être con. Du coup, l’autocensure est de mise.

    Quand il sera entré dans la langue commune,vous ne pourrez rien pour lui.
    Certains l’emploieront à contresens.

    Il y en aura qui croiront qu' »une climatoridienne », c’en est une qu’on n’a pas encore déplissé sa culotte que déjà on pourrait se faire cuire un oeuf sur son clito.

    Vous n’y pouvez rien , Lormier non plus (d’ailleurs y aura-t-il un nouveau Lormier pour défendre la langue française ?)

    Voyez: achalandé, coupes sombres,épicentre,omnibus….

    • C’est le Tout-à-la-baille ! ou alors le Tout-à-la-balle ? D’éminents linguistes se penchent sur ce trou du sens …

  75. Pierre Driout 20 août 2022 At 14h37
    C’est compulsif chez vous ces histoires d’enculage !

    Pas du tout.

  76. Je ne pense pas que JPB ait « enfumé » ses élèves sur de quelconques (!) débouchés ; son souci a été de les mener au mieux, et au plus loin, dans la connaissance des belles lettres (et des beaux arts), autrement dit vers une partie des trésors de notre monde, indispensables pour en faire des êtres humains dotés de goût et de raison.

  77. WTH 19 août 2022 At 15h01
    Phimosis : encore un mot savant, du grec « lien » ; entre les liens et les nœuds, de plus en plus difficile de se détacher de BdÂ…

    Peut-être finirez-vous dans la bibliothèque du Maestro; reliée pur porcs ou bien en cordovan,savamment travaillé par les tanneurs de fesses (Maroc).

    De temps en temps il vous feuillettera,vous annotera…

    • Je préciserai donc, dans mes dernières volontés, qu’il est absolument exclu que mes fesses finissent dans les tanneries de Fès, exposées à la puanteur, et finissant de sécher au côté d’une peau de mouton ou de chameau.

  78. « In courts a mean, in camps a generous band »…

    A quoi Voltaire a répondu :
    (« les Anglais reprochant aux Français de servir leurs maîtres gaiement »)
    « Tel est l’esprit français, je l’admire, je le plains
    Dans son abaissement, quel excès de courage !
    La tête sous le joug, les lauriers dans les mains,
    Il chérit à la fois la gloire et l’esclavage.
    Ses exploits et sa honte ont rempli l’univers ».

    (« sur l’administration publique »)

  79. Lormier : « Quand un fonctionnaire quitte la fonction publique il soulage l’Etat (quand bien même celui-ci aurait financé ses études «)

    Bien loin de là quand il intègre un Mc Kinsey – et il semble qu’ils aient été nombreux à suivre la voie – ce qui revient diablement plus cher à l’Etat !

    Une voie (au passage) pas forcément tranquille : il faut en faire du vent chez Mc Kinsey, pour avancer (à moins, sans doute, d’être un Fabius ou un van der Leyen).

  80. Jean-Paul Brighelli 20 août 2022
    Mauzi était récepteur, pas émetteur…

    Merci pour cette donnée précieuse.
    Je changerai donc mon excursion fictionnelle (si le nez de Cléopâtre…).

    • Un certain nombre des 490 romans parmi lesquels celui citant Sade et Nabokov lui vaut un soulèvement de paupière demie divine.
      Vous n’avez vraiment rien lu de valable et au-dessus de la moyenne qui mérite autant de signes sur deux articles quasi identiques ?

      • Oui, tout à fait d’ac ; et Anaïs Nin itou (pour se taper le Henry Miller, malheur !) ; mais on ne se défait pas de ses obsessions, l’âge venu…
        … puisque je viens de m’échauffer (au grand dam d’autrui) face à deux jeunes corbeaux « mais nous sommes françaises » ! NON ! des siècles à se battre contre les religions, et il faut que ces merdeuses la ramènent ; ça suffit ! et ça finira mal (un jour je me laisserai aller au pire).

        • Tiens, moi c’est avec un barbu et se tenant à une distance respectueuse m’a dit que j’avais de la chance, j’avais eu l’audace de le rappeler à une règle de civilité. Il ya deux jours.

    • « J »ai écrit deux papiers pour Emma, j’espère qu’elle va le savoir… J’ai mis le paquet, tu crois qu’elle l’a su, hein, tu crois ? » ,gnagnagna
      Téléphonez-lui, écrivez-lui, épargnez-nous vos turpitudes ! ça saoule !

    • Personne ne vous le dira ici, mais je vous le dit :
      Deux papiers pour nous dire au sujet d’un auteur n’en vaut pas vraiment la peine, peut mieux faire, réveillez-vous Jean-Paul.

      Allez bon WE à tous, j’t » jure, il part en cacahuète.

  81. Jean-Paul Brighelli 20 août 2022 At 16h14

    Une autre — même origines, en pire — est aujourd’hui avocate en droit financier dans un grand cabinet…

    Boursière,je suppose,cette brillante étudiante?
    Mais elle ne doit rien à l’Etat elle ?

    Donc si je comprends bien,une fille comme Margaux qui a bénéficié d’une bourse puis a été payée comme stagiaire d’ agrég doit rester dans l’enseignement,même si ça ne lui plaît pas et qu’elle a les capacités nécessaires pour faire autre chose.

    Mais celle qui n’ a pas passé un concours de la fonction publique est parfaitement libre de faire du fric dans un cabinet d’avocats (je croyais qu’elle était un peu fiscaliste…) et elle n’a pas à rendre l’argent de sa bourse ?

    Si vous me dites que Margaux n’a jamais songé à enseigner et qu’elle a donc truandé l’Etat,je vous réponds qu’elle a eu bien raison,qu’il n’y a pas de honte à truander un truand.

    • « Si vous me dites que Margaux n’a jamais songé à enseigner »

      Un crime par intention ! Burn ! Burn ! Burn !

    • « Si vous me dites que Margaux n’a jamais songé à enseigner et qu’elle a donc truandé l’Etat,je vous réponds qu’elle a eu bien raison,qu’il n’y a pas de honte à truander un truand. »

      Étrange conclusion. L’Etat ne se livre à aucun truandage quant à la condition enseignante. Les grilles de rémunération sont connues de tous. Les conditions de travail (horaires etc.) sont connues de tous. Les conditions d’affectation et de mutation sont connues de tous. Qu’on m’explique où est le truandage.
      La réforme Fillon des retraites de 2003, qui faisait passer la durée de cotisation des enseignants de 37 ans et demi à 42, ça oui, c’était du truandage. S’engager avec un contrat X et voir l’employeur changer les règles au milieu du gué et obliger les salariés à signer un nouveau contrat Y, c’est du truandage. Sans le moindre doute.

      • « S’engager avec un contrat X et voir l’employeur changer les règles au milieu du gué et obliger les salariés à signer un nouveau contrat Y, c’est du truandage. »

        Dans les écoles d’épiciers, on appelle ça de la bonne gestion…

      • « S’engager avec un contrat X et voir l’employeur changer les règles au milieu du gué… »

        Il n’y a pas eu que la réforme Fillon.
        Deuxième point.
        Margaux a touché une bourse pour ses études; cette bourse n’était pas versée sous condition de servir l’Etat.
        Elle a été reçue à l’agrégation:cela ne l’oblige nullement à enseigner.
        Elle a touché un salaire comme stagiaire; pendant son stage, elle a donné des cours,elle a travaillé.
        Pourquoi devrait-elle rembourser ce qu’elle a gagné,comme le laisse entendre Brighelli ?
        Si elle a rusé-sachant dès le départ qu’elle n’enseignerait pas, elle a eu bien raison.
        On ment constamment à la jeunesse,on lui vole son avenir;elle a raison de se défendre.
        Un professeur de khâgne qui serait honnête devrait dire à ses élèves:surtout pas l’enseignement et voici pourquoi.
        Troisième point:l’Etat veut moins de dépense publique, moins de fonctionnaires;cependant il maintient des écoles normales où il rémunère des élèves-fonctionnaires.
        C’est un peu bizarre… mais ce qu’il souhaite le plus ardemment,c’est que ces élèves ne deviennent jamais fonctionnaires et construisent la « start-up né-cheune. »
        Alors, déplorer que des normaliens se fassent embaucher par des entreprises privées…

        • Elle a touché un salaire comme stagiaire; pendant son stage, elle a donné des cours,elle a travaillé.
          Pourquoi devrait-elle rembourser ce qu’elle a gagné,comme le laisse entendre Brighelli ?

          Parce que former des effectifs n’est pas gratuit. Dans le privé, notion qui échappe à la plupart des lecteurs de bdâ, les heureux stagiaires ayant décroché la possibilité de se former au sein d’une entreprise, ne touchent rien et si toutefois un salaire leur était versé, ils s’engagent par clause de non concurrence à ne pas proposer leur services ailleurs durant une période définie dans le contrat qu’ils auront signé.
          1 300 euros par mois pour se former… Pff, ce n’est même pas le salaire que touche une aide de vie.

        • (mentalité d’assisté qui seront dans l’incapacité de se bouger en cas de pépins autrement qu’ne recherchant de nouvelles béquilles sociales, planquée dans une prise en charge du statu de dépressif, cachet et rdv mesuel chez le psy comme nouvelle raison sociale plutôt que d’enseigner)

          • Elle n’a pas honte, elle vient déposer sa petit pipi de pétasse d’un niveau de conscience d’un niveau de celui d’une starlette de téléréalité :
            « Mais c’est mon corps, c’est ma tête, c’est mon khul, j’en fais ce que j’veux d’aboooord… »

          • « Naaaan mais naaan j’ai pas fais la pute, c’était pas vrai, mais naaaan, c’ était pour rigoler. »

            TA GUEULE

    • Ils s’achèteront des F 117 nighthawks.
      Hum… en 1999, les Yougoslaves en ont descendu un et,remuant le couteau dans la plaie,ils commentèrent: »on ne savait pas qu’il était invisible. »

  82. Le Maestro est riche de ses contradictions.

    D’un côté il explique (de manière très convaincante) que les gouvernants ont transformé l’école en une machine à produire des crétins,des cons-sommateurs ,de l’autre il voudrait que ses meilleurs khâgneux entrent dans ce système.

  83. WTH 20 août 2022 At 16h05
    Lormier : « Quand un fonctionnaire quitte la fonction publique il soulage l’Etat (quand bien même celui-ci aurait financé ses études «)

    Bien loin de là quand il intègre un Mc Kinsey …
    i) il n’y a pas que Mc Kinsey
    ii) « Il soulage l’Etat »: c’est le point de vue de Merdifiez-Voslignées et des dirigeants pour qui un fonctionnaire,c’est seulement un coût,de la dépense publique qu’il faut réduire.

  84. Messeguiche
    « Qu’on m’explique où est le truandage. »

    vous n’avez pas besoin d’explications;il vous suffit de regarder les faits.

  85. On ne saura jamais s’il faut des professeurs compétents pour bourrer le crâne des enfants ou au contraire complètement incompétents et lunatiques !

  86. C’est quand même dans les ascenseurs qu’on trouve les plus belles idées neuves – prenez-vous l’ascenseur qui monte ou celui qui descend, tout est là !

    • Einstein a eu recours à des expériences de pensée où on se plaçait dans un ascenseur en chute libre pour imager sa théorie de la gravitation.

      Une démarche qui atteint rapidement ses limites…

  87. La seule célébrité c’est quand on quitte BdA sous une haie d’honneur ?

    Ce qui me fait penser que Brighelli ne nous a toujours pas dit s’il veut qu’on fasse des discours plein d’encens sur sa tombe ou s’il préfère rédiger lui-même son éloge funèbre ?

  88. La fille d’Alexandre Douguine qui avait trente ans et était journaliste-politologue a sauté avec sa voiture piégée près de Moscou.

    En voilà une belle mort bien nette et sans bavure ! On imagine déjà de superbes éloges post-mortem par Poutine et ses camarades-amis du Kremlin !

    • C’était peut-être une fieffée salope…

      Selon le Vespéral : « Daria Douguina était, quant à elle, journaliste et analyste politique, selon le communiqué des enquêteurs russes. Elle a plusieurs fois soutenu l’invasion de l’Ukraine par Moscou. Elle a été sanctionnée, plus tôt cette année, par les autorités britanniques et américaines pour « désinformation » en ligne en lien avec la guerre en Ukraine. La BBC rappelle qu’elle l’avait décrite comme un « conflit de civilisations » dans un entretien et s’était dite fière de figurer parmi les personnes sanctionnées par l’Occident. »

    • C’est son père qui était visé – pas elle – personnage sulfureux aux idées très confuses mais porteur du projet poutinien semble-t-il ! Un Raspoutine de notre ère …

      • « C’est son père qui était visé. »

        Nous n’en savons rien – et n’en saurons probablement jamais rien, comme c’est souvent le cas dans cette charmante contrée où l’assassinat politique ressemble parfois à un sport national.

          • … qui au dernier moment, a décidé de « prendre la route seul ».

            Article du Monde de ce matin :

            « C’est l’explosion d’une bombe placée dans le SUV qui a tué Daria Douguina, a précisé la branche moscovite du comité d’investigation russe. Un proche de la jeune femme de 29 ans, Andreï Krasnov, a confirmé sa mort à l’agence de presse TASS. Il a précisé que le véhicule appartenait au père de la jeune femme, lequel aurait été la cible première de cette attaque.

            C’était le véhicule de son père. [Daria] avait une autre voiture, mais elle a pris celle de son père aujourd’hui, pendant qu’Alexandre se rendait ailleurs. Il est revenu, il était sur les lieux de la tragédie. D’après ce que j’ai compris, Alexandre ou probablement tous les deux étaient la cible.

            Des images, qui n’ont pas pu être vérifiées de manière indépendante, sur les réseaux sociaux semblent montrer Alexandre Douguine, la tête entre les mains, se tenant devant le véhicule en flammes. Le père et la fille venaient de participer à un festival culturel, près de Moscou. Selon des médias russes, citant des témoins, ils devaient rentrer ensemble, mais M. Douguine aurait décidé de prendre la route seul au dernier moment. »

  89. Si on doit faire sauter toutes les salopes – voire même toutes les saintes nitouches – on va manquer de dynamite !

    • O peut n’utiliser qu’un bâton de dynamite pour un paquet de salopes réelles ou supposées, rangées comme des asperges en paquet. Ca devrait suffire.

  90. Jean-Paul Brighelli 21 août 2022 At 12h03
    Franchement… Vous savez ce qu’est une fiction ?

    On va le toucher du doigt tous les deux, ensemble, Jean-Paul :

    Le fait même que vous insistiez pour rétablir une autre vérité indique la gravité que pourrait engendrer de pipeau de Nabilla Guyon. Vous prenez conscience seulement maintenant du problème. Comprenez que tous les lecteurs de
    votre starlette ne vous lisent pas et s’en tiendront son premier témoignange.
    mais vous vous fichiez de savoir, à l’époque où elle avançait le contraire quelles conséquence et quels impacts sur de jeunes esprits et surtout sur elle en premier lieu.
    J’espère que ça va lui coller aux basques pour un bon bout de temps et que ça serve de leçon.

    • Ce qui me révolte de votre part, à l’heure où des usines à ventre fleurissent, cette merdeuse à qui vous avez inculqué le mensonge (Oui, Jean-Paul, vous êtes complice et responsable) participe à la démocratisation, par sa banalisation, de ce qu’il y a de pire : du matériel par la facilité.
      Et vous osez vous étonner des réflexes malheureux et profiteurs de Guyon ?
      Mais vous êtes son géniteur !

      • Vous pourriez me posez la question en quoi M. G. participe à la banalisation de la prostitution ?
        Et bien voyez-vous, quand une jeune femme se présente avec aussi peu de séquelle, physique et mentaux de son supposé passé sulfureux elle incite à faire croire que la facilité ne présente aucun danger. Ça voyez-vous, Jean-Paul, c’est inadmissible.
        Demandez donc à la Mondaine les caractéristiques d’une prostituée…

          • Elle ne l’a pas présentée comme telle !!!
            Non, non et non, ce n’était pas une fiction.

            S’il vous reste un tant soit d’éthique, faites un mea culpa, vous n’en mourrez pas ; un demi-dieu ça s’empêche et ça s’excuse.

          • Vous avez le sujet d’une prochaine chronique, vous avez tout le talent de présenter les dangers analogues de la pratique du kinbaku et de la prostitution ; il est des abnégations dangereuses qui vous conduisent à la folie. J’ai toute confiance sur votre génie.

    • Ah, si certains ne savent pas lire, ce n’est pas ma faute : on ne peut pas être le prof de tout le monde.

      • Nul. Outre le fait que je ne mets pas un euro dans l’oeuvre de Nabilla Guyon pour m’exercer à la pratique et de savoir ce qu’elle a bien pu écrire, mes oreilles en revanche fonctionne parfaitement, elle l’a dit :
        – DES FAITS LARGEMENT INSPIRES DE LA REALITE.*

        *En maj’ puisque vous savez lire et que vous avez plus de diffultés à entendre semble-t-il.

  91. Vous allez me dire un attentat personnel ce n’est rien ! Oui enfin l’attentat de Sarajevo a conduit à la guerre de 14/18 ! Qui elle-même a conduit à la guerre de 39/45 !

    • Oui… Et quand l’Eternel a préféré les moutons du berger aux fruits du cultivateur, on sait comment ça s’est terminé.

  92. Je suis désolé les amis-professeurs mais il va falloir bientôt se mettre au Russe voire au Chinois !

    Même l’Arabie Saoudite lâche le sacro-saint dollar ! Elle vient de conclure un accord avec la Chine pour se faire payer en yuans.

    La bourgeoisie française qui avait voté Otan-Wall Street en avril-juin 2022 va devoir arborer bientôt de petits drapeaux rouges flamboyants aux fenêtres !
    C’est pas grave ..; la souplesse d’échine est dans sa nature !

    • On va faire une refonde des programmes de l’éducation nationale : on enseignera la gloire de la révolution russo-chinoise !

  93. Exercice d’application pour économiste en herbe (à la Piketty) :

    – Si le dollar perd son rôle de monnaie d’échange international qu’il a acquis depuis Bretton-Woods en 44/45 combien de temps faudra-t-il pour que l’économie US s’écroule ?

  94. Je ne vois pas le rapport entre le carambar et le dollar ! Désolé … mais votre génie va nous l’expliquer sans doute !

    Les Etats-Unis dépensent 700 milliards de dollars chaque année pour leur armée et entretenir une multitude de bases à travers le monde – ils essayent de maintenir leur domination mondiale militaire et économique – c’est un fait historique et pas autre chose depuis 1945 !
    Sans le dollar les 700 milliards deviennent de la poussière !

  95. Dugong me fait penser à ces pauvres Français de l’année 1973 qui ne savaient même pas que l’on achetait le pétrole de leur voiture en dollars !
    Eh oui ! La culture des Français de base n’est pas trop élevé ! Braves gens mais ignares comme pas deux !

  96. Normalement le niveau éducatif du Français devrait être plus élevé en 2022 qu’en 1972 ! Malheureusement on leur apprend ea vivre-ensemble surtout par la lutte pour la survie du plus apte !

  97. Les Etats-Unis ont une clientèle captive ! Mais sans leur monnaie ils la perdront ! C’est pas difficile à comprendre quand même ?

  98. Comment voulez-vous qu’un pauvre type OS chez Renault au Mans comprenne les enjeux de la géopolitique ? En juin 36 il est tout content ce con : il a ses quinze jours de congés payés !

    Je vous en parle parce que moi j’ai connu la France prolétaire d’avant mai-68 ! Je sais la modestie de ses ressources intellectuelles !

  99. Ce que je pense de Dugong ? La fierté d’être le premier de sa famille à être sorti de l’état prolétarien – mais envahi d’une soudaine bouffée d’orgueil il croit comprendre la conduite des Etats et le reste des choses alors que ses réflexes intellectuels sont ceux du milieu dont il est sorti. Vous savez cette naïve supériorité orgueilleuse du manuel sur l’intellectuel !

  100. Il crâne tout le temps ! Il a gagné trois francs sur le champ de foire en grugeant le fermier son voisin en lui vendant une bête avariée ! Il est le roi du monde : ses économies font sa fierté de maquignon !

    La gloire du paysan entêté de ses sous et de ses arpents de terre ..; il me fait aussi bien penser au livre de Cronin « Le chapelier et son château », le petit commerçant enrichi et très-orgueilleux de sa villa cossue qui ne voit pas le monde changer et dont l’édifice laborieux s’effondre !

  101. Je vais vous donner une leçon de politique gratuite parce qu’est dimanche et qu’il faut montrer de la bonté un jour par semaine : en politique toutes les certitudes finissent un jour ou l’autre par s’effondrer ! Et il n’en reste rigoureusement rien du tout …

  102. Les Dugin venaient de participer à un festival (« Tradition ») aux environs de Moscou.

    Alexandre Dugin y avait prononcé une conférence philosophique intitulée: « Le dualisme métaphysique de la pensée historique. »

    Quelqu’un aurait-il le texte de cette conférence ?

    Si la bombe était destinée à Alexandre,il est probable qu’elle ait été posée par un adversaire philosophe, défendant le monisme matérialiste de la pensée historique.

    Images très bon-enfant du festival ,en 2020:musique,jolies blondes en costume traditionnel…

    http://traditionfestival.ru/

  103. WTH 19 août 2022
    « … entre les liens et les nœuds, de plus en plus difficile de se détacher de BdÂ… »

    Petite démonstration de Hojo Jutsu,art martial consistant à faire tomber l’adversaire et à l’immobiliser à l’aide de cordes.(Parfois la corde est déjà utilisé au moment de la prise).
    (Au judo,il y a des immobilisations,mais sans accessoire: l’immobilisateur ne peut s’éloigner de l’immobilisé).

    Comment cet art martial a pu engendrer le shibari… je n’en sais rien ,je soumets la question à plus nippon que moi.
    J’aurais préféré vous trouver une vidéo japonaise,mais il m’aurait fallu beaucoup de bol.

    https://www.youtube.com/watch?v=BoXu1ORdJHM

      • Je suppose qu’il nagera bientôt au milieu des requins en eau profonde avec Margaux Guyon ? Non ?

    • Durit devrait savoir que la vraie vie est ailleurs mais il retourne sans cesse renifler les mêmes étrons

  104. Si ça n’ennuie pas trop Arthur entre deux crawls est-ce qu’il pourrait nettoyer Paris à grandes eaux ?

  105. Leçon(s) du matin, chagrin (?) –

    « Ecole d’épicier » : j’en connais un qui, après un an à HEC, fut tellement écoeuré qu’il préférât … passer un capes, et fut un très bon prof – un boomer, ceci explique sans doute cela,
    et il n’a jamais parlé d’épitaphe ; seul E. Abbey a choisi : « no comment » !

    Celle de JPB attirera forcément moult de ses anciens élèves, lesquels n’ont donc pas perdu leur vie dans de sordides banlieues ;
    ainsi ont-ils pu se vendre (au grand kapital) – car personne n’échappe à cette destinée – d’une manière supposée leur garantir une « meilleure qualité de vie » (selon l’expression), ce qui est vrai, même si les chances semblent s’amoindrir dans les temps actuels.

    Et quant au fonctionnariat : malgré les récriminations de la spécialiste des chiffres en ce domaine, dame Agnès (MvosD), notre Darma-nain va en rajouter, histoire de prouver qu’il n’est pas question de souffler sur les braises : il promet « 3 000 postes de gendarmes verts ».

    (et merci à Driout pour avoir cité Cronin (Archibald), ce qui m’a remis en mémoire l’extrêmement vieux souvenir de « la Citadelle » !)

        • Il est inconcevable que Vlad affiche de supposées distensions au sein de son équipe à ses adversaires internationaux. Ce serait une sérieuse faiblesse de sa part.

          • « Il est inconcevable que Vlad affiche de supposées distensions au sein de son équipe à ses adversaires internationaux. Ce serait une sérieuse faiblesse de sa part. »

            🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣

            (Je reprends le mode opératoire de votre façon d’argumenter parce que je suis un peu rancunier. C’est une faiblesse de ma part.)

          • Perdu. Je suis WTH alias abcmaths alias Lormier alias Dugong alias Pierre Driout alias JP Brighelli alias Flo…

            Mais je manque parfois de conversation.

    • Troquer :
      Les Teutons semblent préférer au maws (maritime airborne warefare system) le système yankee ;
      donner, se donner (à la mauss, façon potlatch ?), une fois de plus.
      .

    • Toi le vieux ringard tu dégages !

      PS C’est curieux mais ça me fait penser à quelque chose !

      • Le mec qui fait semblant de s’intéresser à la bagnole, c’est le pire de tout. Mérite de finir au merlin désenchanteur…

    • … mais c’est bien sûr ! pour ça qu’il a choisi « dugong », parce qu’il est tout comme ce mammifère : doux et aimable, de préférence sur BdÂ.

  106. Le général Yakovleff (!) propose d’envoyer des soldats français en Ukraine. Y’ aurait beaucoup mieux à faire pour occuper nos rapatriés du Mali : par exemple, les faire pédaler pour produire de l’électricité ; paraît que ça marche ; ça ferait un complément, petit, mais mieux que rien. Quant au gaz, c’est une autre histoire.

  107. No news, good news ?
    Aucune nouvelle du cinéphile d’outre atlantique ;
    rappel : aucune pépite n’est à l’abri d’un pépin, surtout quand rodent les garimpeiros.

  108. Dugong 21 août 2022 At 18h30
    tu cours très vite et très loin jusqu’à ce que tu ne voies plus les refroidisseurs de la centrale nucléaire…

    Supposons qu’il soit vrai que…

    les Russes aient entrepris de « débrancher » la centrale de Zaporo…machin du réseau
    ukrainien pour la rebrancher sur le réseau russe et que…

    comme ils ne peuvent pas tout faire d’un seul coup, la centrale n’envoie actuellement son jus que sur une petite partie du réseau (mettons une « ligne à haute tension »).

    Cette situation est-elle hautement périlleuse?

    Y a-t-il un risque de « meltdown » ?

  109. Lormier maintient son hypothèse (insistant sur le mot hypothèse);l’attentat contre Douguine est un coup des philosophes opposés à la thèse dualiste de Douguine;les tenants du monisme matérialiste ont préféré la critique par les armes aux armes de la critique.

    Mais Lormier, qui se garde de toute précipitation, prend en considération d’autres hypothèses.

    En voici une:cet attentat serait l’oeuvre de l' »Armée Nationale Républicaine » (russe) qui considère Poutine comme un usurpateur et veut sa destitution puis sa “destruction”

    Elle appelle les soldats à se mutiner.
    Extrait d’une vidéo présentant cette Armée Républicaine Nationale ,avec des commentaires sur les Douguine et la mort de Daria.

    https://www.youtube.com/watch?v=7ydgjekMr1c

  110. Retour sur le « truandage ».
    Le dénommé Lormier me suggère de jeter un rapide coup d’œil sur la situation des normaliens « truandés » par l’Etat et qui, selon lui, ont toutes les raisons de truander l’Etat à leur tour. J’observe, et voici ce que je vois:
    Les normaliens possèdent des qualités intellectuelles incontestables et une réelle aptitude au travail qui leur ont permis dans un premier temps d’entrer en CPGE. En CPGE, ils ont été formés dans de bonnes conditions par les meilleurs enseignants. Ayant ensuite intégré l’ENS, ils ont dans un second temps été formés dans des conditions exceptionnelles (rémunération, hébergement) par des enseignants encore meilleurs, la crème de la crème, pour obtenir leur agrégation puisque, faut-il le rappeler, l’ENS forme des enseignants d’élite qui sont supposés contribuer, par la qualité de leur enseignement, à l’élévation du niveau culturel et intellectuel de la nation. Quand on entre à l’ENS, sur le papier tout est clair, aucun truandage : on en sort agrégé, et on devient un enseignant d’élite. Et les avantages et inconvénients de ce métier sont connus de tous, lisibles dans le Journal Officiel.
    Or qu’observé-je? Certains normaliens profitent éhontément de leur statut de normalien pour aller chercher fortune ailleurs. Ils détournent les privilèges dont ils ont bénéficié pour faire autre chose (de beaucoup plus rémunérateur) que ce à quoi L’ENS les destinait.
    J’ai bien connu un cloutier qui, son agrégation en poche, est parti travailler dans la banque. Il est rapidement devenu DRH de HSBC. Je vous laisse imaginer ses émoluments.
    Augustin Trapenard, cloutier lui aussi, n’a jamais enseigné. Le monde médiatique paie beaucoup mieux et vous ouvre des portes dorées…
    Voilà deux exemples de jolis truands, qui doivent un peu à leurs propres qualités et tout le reste à l’Etat.

    Je ne dirai jamais assez mon estime à un normalien comme Brighelli, cloutier également, qui, lui, a fait toute sa vie ce à quoi l’ENS le destinait : être un enseignant d’élite. Ce qui, d’ailleurs, ne l’a pas empêché de faire bien d’autres choses.

    • Tout à fait d’accord (et chapeau bas à JPB !).
      Lemaire (pitoyable) ministre, Chr. Barbier (remarquable) bonimenteur, Trapenard, itou, Et « people » puisqu’il pose avec son « nouveau compagnon » ;
      et les autres…

  111. Pourquoi faire des philosophes ? disait déjà Jean-François Revel avec un cynisme appliqué – c’est vrai ça ! Une armée en ordre de bataille a-t-elle besoin de philosophie ?

  112. Jean-François Revel l’idole des journaleux … a épousé une journaliste bête comme ses pieds !

  113. Revel c’est le type qui explique aux imbéciles que l’intelligence est un faire-valoir !

  114. Merci pour votre commentaire.
    Lormier apprécie particulièrement l’hommage que vous rendez au Maestro;cet homme exceptionnel abrite sous des dehors rugueux un cœur très sensible et qui saigne;tous ceux qui reconnaissent son excellence et le disent à haute voix mettent du baume sur ses blessures.
    Vos remarques sur les normaliens, qui témoignent d’une connaissance précise de ce milieu, sont aussi très précieuses.
    Nez en moins (et oreille en plus) elles ne sont nullement une réponse à la sollicitation de Lormier.
    “Le dénommé Lormier me suggère de jeter un rapide coup d’œil sur la situation des normaliens « truandés » par l’Etat et qui, selon lui, ont toutes les raisons de truander l’Etat à leur tour.”
    Pas du tout:le dénommé Lormier vous suggérait de jeter un coup d’œil sur les truanderies commises par l’Etat à l’encontre non pas des normaliens mais de l’ensemble des professeurs depuis une quarantaine d’années.
    Vous citiez très justement la réforme des retraites de Fillon; la politique éducative n’est qu’une longue succession de “réformes” qui affectent les “rémunérations”, les “conditions de travail (horaires etc.) “ .
    (Etrange que vous ayez bien noté cette méga-truanderie et qu’en même temps vous claironniez: :” L’Etat ne se livre à aucun truandage quant à la condition enseignante”.)

    Je ne vous ferai pas l’injure de laisser entendre que vous n’êtes pas en mesure d’examiner par vous-même ces truanderies diverses; je donne juste un exemple:un professeur de lycée,nommé dans les années 80 pouvait-il s’attendre à devoir participer,trente ans plus tard à des réunions,longues inutiles,emmerdantes avec un “conseil pédagogique” exerçant sur lui une tutelle odieuse ?

    • Ce qui précède est une réponse à Messeguiche 22 août 2022 At 11h57 et aurait dû apparaître sous son commentaire.

  115. Le corps enseignant français aurait-il manqué de saine philosophie depuis les années soixante alors ?

    • C’est la question n’est-ce pas ? Qu’est-ce qui fait que le corps enseignant qui soit dit en passant dominait l’assemblée nationale en 1981 – l’assemblée des barbus – ait creusé son propre tombeau ?

      • Je laisse ce plaisir étrange à autrui ! Certains ont la dent dure.

        Voyez Lormier, l’élégance consisterait à faire savoir de manière détournée à ABC que vous avez trouvé.

  116. Après mai-68 le gauchisme était ultra-majoritaire dans l’enseignement secondaire – on ne trouvait quasi plus trace d’un seul enseignant conservateur et fier de lui !
    La passion du gauchisme ? Une égalisation tous azimuts nivellatrice de toute catégorisation intellectuelle ! Le fameux renversement des valeurs … au profit de quoi ? De la ruine des enseignants peut être ?

  117. abcmaths 21 août 2022 At 14h19
    Tradition, chasses et fêtes.
    Oui…

    Joli !
    ( chaTTes et feSSes)

  118. On peut toujours essayer la connerie pour gouverner les sociétés si la philosophie n’y suffit pas !
    Après tout que Ruquier gagne 100.000 euros par mois ça se justifie si l’objectif est d’abêtir suffisamment !

  119. Y a même des profs assez cons comme Dugong pour penser que si Ruquier gagne 100.000 euros par mois et moi cent fois moins cela prouve bien qu’il est cent fois plus instruit que moi !

  120. Le niveau de revenu vous expliquera Dugong avec force moulinets est un moyen infaillible pour mesurer l’utilité sociale !
    En effet si Hanouna arrive à suffisamment abrutir le peuple un certain nombre de gens seront satisfaits de son utilité sociale.

  121. Effectivement une fois la philosophie éliminée de l’équation qu’est-ce qui reste ? L’amusement niais et un cheveu sur la tête à Toto !

  122. Lormier 22 août 2022 At 12h36
    Facile de dire “Joli!”

    « baloches dans le grésil »

    Lormier, vous êtes un tocard mais c’est pas une info.
    Tous les gens normalement polis ne dévoilent pas une contrepèterie afin de laisser le plaisir à autrui de la trouver. C’est la base.
    Y’a que vous qui ramez pour trouver les contrepèteries d’ABC .Les autres lecteurs gardent leur sourire pour eux-même et sont modestes dans leur dérisoire triomphe. Il ne sentent pas obligés d’afficher leur satisfecit dans l’attente d’un bon point. C’est puéril …

  123. Lormier 22 août 2022 At 12h48

    abcmaths 21 août 2022 At 14h19
    Tradition, chasses et fêtes.
    Oui…

    Joli !
    ( chaTTes et feSSes)

    Votre commentaire « Joli » copié sur celui de JPB fait peine.
    Cette contrepèterie est bien connue depuis si longtemps.
    Du niveau « le choix dans la date », « à pied par la Chine » etc.

    ABC nous habitue généralement à bien mieux et plus original, et vous trouvez le moyen de le féliciter pour une scorie. Vous êtes décidément pitoyable.

    • J’ai rectifié sa fiche ! Désolé je manque vraiment de discrétion … encore une fois !

  124. Ça y est;le FSB a trouvé l’assassin :Natalia Vovk,ukrainienne née en 1979,agent des services secrets ukrainiens;elle est arrivée en Russie le 23 juillet,accompagnée de sa fille âgée de 12 ans;elle a loué un appartement dans l’immeuble où habitait Darya et a tranquillement préparé son coup.

    Une fois l’attentat commis, elle est partie pour l’Estonie.

    Donc ce n’est pas le gang des philosophes monistes qui est responsable.
    Ils sont forts ,au FSB !

    https://t.me/rian_ru/175177

    • C’est un peu curieux qu’une femme ukrainienne puisse s’installer le 23 juillet dans l’immeuble où habite Daria sans attirer les soupçons des services secrets russes !
      Alors comme cela les Ukrainiens se baladent à Moscou en toute liberté ? Euh ! Sous une fausse identité alors ?

      • Ou alors les services secrets russes ont complètement merdé en ne surveillant pas les proches de Poutine ? Ce sont des nuls ? Ils ne savent même pas qu’on peut surveiller les portables ?

  125. abcmaths 22 août 2022 At 13h25
    Mouille les corps en saignant si cela te fait du bien.
    Oui…
    (facile pour Lormier)

    Joli !

  126. Dans l’affaire John Profumo en 1963 on a fait porter le chapeau à Stephen Ward l’ostéopathe qui fournissait en call-girl la haute société londonienne – mais le chapeau était un peu large pour lui tout seul !

  127. On apprend que les caméras de surveillance de l’immeuble de Daria Douguina étaient débranchées depuis quinze jours … ça tombe bien !

    C’est comme nous en France les enregistrements des caméras de surveillance au stade de France n’enregistrent jamais rien !

  128. Affaire Daria : il serait peut-être judicieux d’envoyer nos compères Driout et Lormier enquêter sur place ?

    • Disons que je suppose que les hauts fonctionnaires des services secrets russes essayent de se couvrir et ne pas supporter seuls la colère de Poutine qui a le glaive vengeur et le bras séculier comme disait Michel Audiard.

      Ceux qui ont merdé se défausseront les premiers !

    • Bonne idée : L’un et l’autre sont extrêmement forts lorsqu’ils basculent sur le terrain de l’enquête.
      Oui…

  129. Le fonctionnaire russe est comme le fonctionnaire français : il se cherche des excuses faciles !

    • Objection:
      Le cursus de l’élève fonctionnaire russe est limité par un numerus clausus.
      Il ne faut pas croire que les Russes soient toujours en fête dans la fonction publique.
      Excuses faciles, non. Excuses des quotas, oui.
      Oui..
      (deux)

  130. WTH 22 août 2022 At 13h51
    “… Sarraute, sotte à souhait…”

    Peut-être vais-je vous déplaire,mais,jadis (1960 ? 70 ?) j’aimais bien lire les billets de Claude Sarraute,dans Le Monde;ils m’amusaient et je ne les trouvais pas bêtes du tout.

  131. WTH 22 août 2022 At 16h12
    Affaire Daria : il serait peut-être judicieux d’envoyer nos compères Driout et Lormier enquêter sur place ?

    Pourquoi ?
    L’enquête est bouclée;Lormier ne peut que tirer son chapeau aux limiers du FSB

    FSB solves Darya Dugina’s murder, masterminded by Ukrainian secret services

    https://tass.com/society/1496687

    • Ils ne mettent que 48 heures pour identifier le meurtrier mais ne sont pas foutus d’empêcher l’attentat. Le FSB a une efficacité pour le moins aléatoire.

      • Vous ne savez pas non plus combien d’attentats ont pu être déjoués.
        C’est le premier officiel depuis le début du conflit, qui n’est pas non plus exactement réussi.

  132. Messeguiche 22 août 2022 At 11h57
    “Augustin Trapenard, cloutier lui aussi, n’a jamais enseigné.”

    Augustin Trapenard
    • La rédaction
    • 9 octobre 2013
    • Vie de campus

    “Comment devient-on journaliste littéraire?

    Élève à l’École Normale Supérieure de Fontenay-st-Cloud sous la direction de Frédéric Regard, j’ai ensuite passé l’agrégation d’Anglais. Puis, j’ai enseigné la littérature anglaise et américaine à l’École Normale Supérieure de Lyon…”

    https://www.mondedesgrandesecoles.fr/augustin-trapenard/

    Peut-être ment-il*…ou bien Messeguiche est mal renseigné…

    *S’il ment,ce serait facile de le confondre.

  133. Je ne connaissais pas ce Trapenard,mais son cas me fait penser à celui de Sylvain Fort,germaniste,musicologue,docteur,traducteur,auteur, à qui l’Université n’a jamais offert mieux que des postes de merde et sans avenir (allocataire-moniteur-normalien,PRAG) et qui,après avoir été la plume de Macronm s’occupe maintenant de la collection artistique de François Pinault .
    La République n’a pas besoin de savants;les milliardaires si.

  134. Un faible pour les « profs », le sieur Pinault ?! Après Aillagon qui a pris sa « retraite » à plus de 70 ans…

  135. Poutine c’est un tyran classique – ça n’a rien d’effrayant à mes yeux – du moment que vous ne lui disputez pas son pouvoir il ne vous embêtera pas ! Il n’a pas vocation au totalitarisme comme les néo-libéraux …

    • On trouve sur internet un hommage à Daria,martyre;dans un extrait d’émission,on peut l’entendre critiquer le libéralisme occidental.

      Qu’est-ce qui a provoqué cette guerre ? Je ne sais pas,mais je sais qu’elle était ardemment souhaitée par les Démocrates américains.

      Il ne semble pas que les autorités russes aient fait une démarche officielle auprès de celles estoniennes.

  136. Poutine a décoré Daria Douguina de l’ordre du courage,à titre posthume.

    « Pour le courage et le dévouement dont elle fait preuve dans l’accomplissement de ses devoirs professionnels, décernons l’Ordre du courage à Daria Alexandrovna Dugin, correspondante de la société par actions non publique Tsargrad Media, Moscou (à titre posthume) », indique le décret.

    https://ria.ru/20220822/orden-1811426696.html

  137. Dugong 23 août 2022 At 8h33
    Oukilè Lormier ?

    Supposons qu’il soit vrai que…

    les Russes aient entrepris de « débrancher » la centrale de Zaporo…machin du réseau
    ukrainien pour la rebrancher sur le réseau russe et que…

    comme ils ne peuvent pas tout faire d’un seul coup, la centrale n’envoie actuellement son jus que sur une petite partie du réseau (mettons une « ligne à haute tension »).

    Cette situation est-elle hautement périlleuse?

    Y a-t-il un risque de « meltdown » ?

    • Lormier, qui utilise un vocabulaire électrique qui trahit une conception matérialiste (le « jus »), exige une réponse binaire à un problème compliqué et très technique.

      La question fondamentale est la confiance à accorder aux procédures et à la compétence des équipes qui les conçoivent et de celles qui les mettent en œuvre.

      Je vous conseille de surveiller le chargeur de votre batterie de vae qui, parfois, peut cramer. Le lithium est une belle saloperie qui n’a pas encore fait les dégâts que sa réactivité chimiquepromet. Patience !

      https://www.clubic.com/electric-bicycle/actualite-429111-les-pompiers-alertent-sur-les-risques-d-incendie-des-batteries-de-velos-electriques.html

      • J’suis d’accord, le danger pour Lormier, ce n’est pas la centrale, ce sont ses vielles galoches et les nouvelles batteries .
        Oui…

      • « exige une réponse »
        Lormier n’exige rien. Lormier soumet. Lormier sollicite.
        Les autorités ukrainiennes affirment que les Russes,en débranchant la centrale ,peuvent provoquer un meltdown;quand il a appelé Poutine, Macron a repris cette thèse.
        On entend dire que Poutine accepterait que des inspecteurs de nations ne prenant pas part à la guerre visitent la centrale.
        Autre « détail »: les Russes ont la « maîtrise militaire » des lieux mais ils laissent les techniciens et ingénieurs ukrainiens faire fonctionner la centrale.

  138. abcmaths 23 août 2022 At 10h02
    J’suis d’accord, le danger pour Lormier, ce n’est pas la centrale, ce sont ses vielles galoches et les nouvelles batteries .
    Oui…

    Joli!

  139. Messeguiche 22 août 2022 At 21h36
    Je n’admire pas Brighelli.

    Et pourtant il vous laisse vous exprimer ici;quelle hauteur de vue,quelle largeur d’esprit,quelle bienveillance !

    • Vous appelez Brighelli « Maestro », signe d’allégeance sinon de soumission.
      Pour ma part si je devais m’adresser à lui, je l’appellerais « cher collègue ».
      Mais nous nous rejoignons en effet sur l’essentiel : Brighelli est un enseignant au plein sens du terme, et ses combats d’enseignant sont justes et légitimes.

      • C’est surtout au pieu qu’il est irremplaçable – mais je ne voudrais pas trahir le secret des dieux !

  140. Je vous sens 13NRV ! Dieu n’existait pas, Brighelli l’a remplacé en créant son petit blog perso au titre de l’expansion du royaume des idées !

  141. Dans l’argot de l’électricité, le « jus » tient une place particulière et son usage mérite d’être un peu décortiqué.

    D’abord, le terme semble désigner aussi bien une tension qu’un courant, notions qui se rejoignent dans celle de puissance. en ce sens, « envoyer le jus » c’est transmettre de la puissance ou d’en interrompre le flux (couper le « jus »).

    Le « jus » renvoie aussi à l’image d’un flot qui remplirait un appareil électrique (« y’a pus de jus » : cri horrifié de Lormier constatant que sa lampe de chevet n’éclaire plus le vae qui trône à côté de son pieu et dont le chargeur vient de disjoncter)
    Malheureusement on ne commande pas le « jus » comme on le ferait de celui d’une tomate. Pago contient, EDF « délivre * ».

    Finalement, la quantité qui exprimerait au mieux la notion de « jus » est le vecteur de Poynting en électromagnétisme (flux de puissance électromagnétique) qui permet d’exprimer en langage ordinaire la conservation de l’énergie :

    « Ce qui sort, c’est la diminution de ce qu’il y a à l’intérieur »…

    * si vous êtes sages, peut-être, peut-être, un mot prochainement sur l’adjectif « délivré » dans des phrases comme  » la tension délivrée par le générateur »…

    • Lithium or not lithium :
      … nobyl ayant rechargé ses batteries nous avons droit à un cours qui nous réchauffe le noyau au point que le besoin d’eau se fera durement sentir.

    • * si vous êtes sages, peut-être, peut-être, un mot prochainement sur l’adjectif « délivré » dans des phrases comme » la tension délivrée par le générateur »…

      Never trust an hippie

      • Un générateur délivre une tension comme quelqu’un pisse pour la même recherche. C’est le coup du robinet qui subit une pression jusqu’à l’ouverture de la vanne qui transforme la pression en courant. Cela peut aller jusqu’à une intensité maximale pour une pression nulle (analogue d’un générateur en court circuit).

        Quelqu’un (Lormier ?) me demandait si la lecture de Thom avait eu quelque influence sur mon enseignement. Voici un élément de réponse. J’espère que certains de mes anciens élèves regardent aujourd’hui différemment un générateur même si une telle considération a peu de valeur opérationnelle.
        C’est tripal…

        • Merci, my good Master, merci !
          (Saviez-vous que John et Yoko roulaient en Rolls, qu’ils nourrissaient une sainte aversion pour les Audi et les BM ?)

          • On peut faire de la merde et aimer les Rolls.

            Quant aux BM, je l’ai chevauchée hier sur 400 bornes et j’avais le cul moulu.

    • N’oubliez pas qu’avec JPB on écrit la Légende – avec un grand l- jamais l’histoire avec un petit h !

      Cf L’homme qui tua Liberty Valance.

    • Autant de chances de voir durit sur ce sentier que de la voir féliciter un migrant illégal ayant réussi à passer en Bojoland…

  142. Le vélo serait donc une obsession de (vieux) profs ?
    (très peu pour moi – excepté dans le Zeeland, où personne ne risque d’être raplapla.)

    Quant à JPB et son destrier, sur le sentier des dieux…
    Il s’agit bien du sentier des dieux, et ceux-ci ne tolèrent aucune exception, même pour JPB ; un simple baudet peut-être.

    • C’est peut être un sentier de contrebandier des lettres ! Etant donné les origines corses du sieur de Brighelli on peut supposer qu’il y avait bien quelques contrebandiers dans ses ancêtres quand même sous les Génois ou sous les Français !

      • Vous supposez bien : les sentiers côtiers, de grande utilité, de presque toute éternité.
        Et près de cinq siècle d’occupation par les Génois, avant les Français, ce n’est pas rien.

      • Sous les Gênois les Brighelli étaient encore en Toscane. Le premier arrivé, mon arrière-grand-père, remonte aux années 1880.

  143. Et personne pour déplorer la baisse du niveau depuis le retour de Lormier ? Tout se perd !

  144. Parmi tous ces grands esprits cultivés, qui peut me rappeler le nom de l’écrivain (du XXème) qui tenait un journal évaluatif de ses conquêtes féminines, très cru, très cynique…
    Son nom m’échappe…
    Merci…

    • Je ne vois pas…Hugo faisait déjà ça.
      Dans les conquêtes masculines en milieu homo, il y a Tricks, de Renaud Camus — oui, le même…

      • Le généraliste : Catalogue chronologique et descriptif des Femmes avec qui j’ai couché.

        Le plus spécialisé : Sonnets libertins et enculées.

        D’icelui extrait :

        « Paris, rue de la Harpe
        Fille moitié putain, moitié maquerelle. Basse prostitution, en cheveux.
        N’avait jamais été enculée. Elle a consenti avec appréhension, mais elle a littéralement hurlé à l’instant de la pénétration. Malgré tous ses efforts pour se dégager, j’ai réussi, mais à grand’peine. Elle m’a juré qu’elle ne recommencerait plus jamais.
        *
        Marcelle Paris, rue du Pélican
        Petite femme brune, parlant vite.
        La plus complaisante et la plus docile qu’on puisse rêver. Il n’y en a pas que j’aie enculée plus souvent ni dans des positions plus variées.
        Elle se prépare seulement avec un peu de mousse de savon, ce qui rend l’introduction rapide sans trop adoucir le frottement.
        Une fois, avant de lui faire ce qu’elle était habituée à souffrir chaque fois, je lui ai fourré tout un godmiché dans le trou du cul, en introduisant mes doigts dans le con pour saisir le godmiché à l’intérieur.
        *
        Décembre 1892 Abbeville
        Dans un bordel de l’endroit
        Fille jeune, entrée depuis peu et disposée à tout apprendre.
        J’ai eu certainement le pucelage de son cul. L’année suivante la tenancière me l’a rappelé en me revoyant. La fille lui en avait fait la confidence. Après moi, elle l’a accordé à tout le monde.
        Je la revois, petite et brune, très paysanne.
        *
        Jeanne (?)
        Rouen, rue des Espagnols (1)
        Belle fille brune, très poilue jusqu’au tour de l’anus et dans le sillon. Environ vingt ans.
        S’est fait enculer sans difficulté, à genoux sur son lit.
        C’est une de celles avec qui j’ai eu le plus de plaisir à le faire.
        *
        Rouen, rue des Espagnols (2)
        Fille courte et brune, assez grasse.
        La maquerelle m’avait prévenu qu’elle se laissait enculer, mais ne lui avait pas dit quelle me prévenait.
        Quand j’ai fait la proposition, la fille s’est écriée :
        « Ben, t’es bien tombé ! je suis justement pour ça ! »
        Elle avait dit cette phrase avec tant d’entrain que j’ai songé à passer toute la nuit avec elle ; mais après l’acte je suis parti.
        Perdue de vue.
        *
        Rouen, rue des Espagnols (3)
        Affreuse fille, vieille et laide, mais grande. Avait dû être belle.
        Tout à fait habituée à l’acte. Respectueuse et obéissante ; ne demandant ni précautions ni égards.
        Malgré sa vieillesse, je l’ai prise trois fois comme pis-aller. Elle m’intéressait par son abjection.
        *
        Mathilde
        Paris, rue d’Aboukir (1)
        Grande femme forte et brune.
        Je suis retourné six ou sept fois avec elle et l’ai enculée à chaque visite.
        Elle s’y prêtait, mais avait l’anus assez sensible et une fois m’a montré que je l’avais fait saigner.
        *
        Paris, rue d’Aboukir (2)
        Courte et grasse. Pas bien.
        Je l’ai prise comme pis-aller, un jour où j’étais allé voir Mathilde et où j’ai appris que celle-ci était partie.
        Sur ma demande elle s’est couchée sur le dos en travers du lit et a relevé les cuisses en me présentant au bord son trou du cul par-dessous. Pendant l’acte elle se plaignait beaucoup que cela lui faisait mal.
        *
        Marie
        Paris, quai des Tuileries
        Fille très jeune, 15 ou 16 ans, et jolie, mais de la plus basse prostitution, en cheveux, sous les ponts.
        Tout à fait habituée à la sodomie, elle se l’est fait faire en plein air sous le quai, vers 11 h du soir, sans difficulté. Coût : 5 F.
        *
        Paris, rue de l’Échaudé
        Fille blonde, mollasse, maussade et endormie
        Est assez habituée à se faire enculer. Les deux premières fois où je l’ai vue, elle s’était noyé tout le sillon des fesses dans de la vaseline. La troisième fois j’ai obtenu qu’elle n’y mît qu’un peu de savon.
        À ma visite précédente, peut-être à cause de l’excès de vaseline, je l’avais limée pendant plus de cinq minutes sans aboutir.
        *
        1896
        Mariquita
        Séville, dans la petite rue qui donne rue O’Donnell
        Énorme maquerelle obèse, qui fournissait des petites filles chez elle. Aussi grande que grosse. 40 ans environ.
        Un jour où elle n’avait personne, elle s’est offerte à remplacer ses petites clientes. J’ai accepté à condition que ce fût en cul. Elle m’a répondu :
        « Por el culito ? si quieres. »
        Je l’ai fait, mais avec une certaine peine, d’abord parce qu’elle s’y prêtait mal et ensuite à cause de l’énormité de ses fesses.
        Quelques jours plus tard, elle a fait devant moi une séance de tribadie extraordinaire avec une fille enceinte au 9ème mois, toutes deux nues. Je n’ai jamais rien vu de plus singulier. Il n’y a pas eu de faux-semblant, leurs cons étaient tout baignés de jouissance après l’acte. La fille enceinte m’a sucé à la fin.
        *
        Séville, petite rue derrière l’Hôtel de Paris
        Fille assez grande. Cheveux châtain foncé. Environ 22 ans.
        Elle m’a raccroché devant sa porte. J’ai refusé. Alors elle m’a retenu en m’offrant tout ce que je voudrais, même sa bouche. Je lui ai demandé ses fesses, elle m’a répondu oui, sans hésiter.
        Entrée avec moi dans sa chambre au rez-de-chaussée, elle m’a avoué qu’elle ne l’avait jamais fait encore, mais qu’elle voulait bien le faire, qu’il ne fallait pas m’en aller, qu’elle s’y prendrait le mieux qu’elle pourrait, etc.
        Je l’ai fait entièrement déshabiller. Elle était assez bien, de corps et de visage. Je l’ai sodomisée sans autre aide que de la salive, et elle a supporté cela courageusement, sans plainte, bien que cela parût lui faire assez mal. »

        Etc., etc.

  145. Le texte qui suit doit beaucoup à une réflexion subrepticement glissée par JPB dans une de ses chroniques, où il mettait en relation d’une part le prodigieux succès théâtral de « Cyrano de Bergerac » à sa sortie et d’autre part l’humiliation du désastre de Sedan lors de la guerre de 1870 quelques années plus tôt, la pièce d’Edmond Rostand devenant alors une réhabilitation de la fierté nationale. A tort ou à raison, j’estime que nous avons aujourd’hui à faire à un phénomène comparable, considérablement amplifié.

    DE QUOI « TOP GUN : MAVERICK » EST-IL LE NOM ?

    Il est toujours très instructif de lire les commentaires des internautes au bas des vidéos que propose You Tube. Quiconque allant sur ce site pour regarder des extraits du film cité dans le titre de ce texte, pourra constater que les réactions qu’il a suscitées sont plus qu’enthousiastes : nombre d’internautes américains rapportent que lors de sa diffusion en salle, projection terminée, le film a été spontanément applaudi, salué par des vivats, tout comme en amont certaines scènes spécifiques mettant en valeur le courage et le savoir-faire de l’armée américaine à travers le personnage emblématique interprété par Tom Cruise. L’attirance pour les super-héros a toujours été une caractéristique de l’enfance, et le personnage de Pete « Maverick » Mitchell est une sorte de super-héros, doté d’un talent de pilote quasi-surnaturel, qui défie la logique et la raison, comme il le dit lui-même aux autres membres de la mission qui leur est assignée : « Don’t think. Do. »

    En s’enthousiasmant pour ce film et en lui assurant un succès digne des Marvel Stories, le public américain signe le triomphe de la fiction sur la réalité, ou plus exactement il signale une fois de plus la capacité de la fiction valorisatrice à compenser – voire à remplacer – la réalité dans ce qu’elle a de plus cruel, de plus dévalorisant, de plus dépréciatif. En redorant fictionnellement le blason de l’armée américaine terni par les occupations désastreuses – désastres bien réels – de l’Irak puis de l’Afghanistan, « Top Gun Maverick » redonne aux USA et au public américain une fierté et une dignité que la réalité leur avait enlevées. On voit exactement le même phénomène à l’œuvre dans la nouvelle de James Thurber « The secret life of Walter Mitty », où le personnage de W. Mitty s’invente une vie héroïque pour compenser les humiliations que la vraie vie lui réserve. Même phénomène à l’œuvre également dans le fil de P. de Broca « Le Magnifique », où le terne et timide François Merlin s’invente un double glorieux en la personne fictive de Bob Saint Clair. « Top Gun Maverick » est dans cette lignée-là, sa fonction est de redonner par écran interposé lustre et brillant au Roman National (oui, Roman) malmené sur le terrain. Et le succès est au rendez-vous : le public fait un triomphe au film, comme Paris avait acclamé Cyrano.

    En l’occurrence, dans le dialogue entre réalité désastreuse et fiction triomphante, c’est la fiction qui a le dernier mot. Vouloir à tout prix avoir le dernier mot, voilà bien un des traits distinctifs de l’enfance : « na na na nanère, c’est celui qui dit qui est, etc. ». Attirance pour les super-héros, la fiction qui remplace la réalité, avoir le dernier mot à tout prix… le moment est venu de répondre à la question posée dans le titre : « Top Gun Maverick » et le succès qu’il rencontre sont le nom du retour à l’enfance, de l’incapacité d’en sortir, de la volonté de ne pas en sortir, du refus collectif d’entrer dans l’âge adulte, dans l’âge de Raison.

    On pourra trouver bien d’autres illustrations de ce phénomène dans les USA actuels, mais ceci est une autre histoire.

    • C’est loin d’être spécifique aux américains…

      Et chez nous, il n’y a pas eu que Cyrano. Voyez Arsène Lupin, par exemple. Ou Fantômas.

      • Et puis réduire l’enfance au fantasme de toute-puissance et à la volonté de toujours avoir raison, c’est un peu court, si j’ose dire.

        En utilisant la terminologie de l’analyse transactionnelle, on pourrait dire que la civilisation américaine a un très fort « enfant libre ». C’est entre autres ce qui fait sa force dans la création de fictions. Pour le « soft power », je crois que c’est plutôt efficace.

    • Bon article.
      Sur la mort d’Attila, voir le récit (magnifique) de Corneille dans la pièce éponyme — qui suit la légende selon laquelle le Hun était hémophile :

      « Écoutez
      Comme enfin l’ont puni ses propres cruautés,
      Et comme heureusement le ciel vient de souscrire
      À ce que nos malheurs vous ont fait lui prédire.
      À peine sortions-nous, pleins de trouble et d’horreur,
      Qu’Attila recommence à saigner de fureur,
      Mais avec abondance ; et le sang qui bouillonne
      Forme un si gros torrent, que lui-même il s’étonne.
      Tout surpris qu’il en est :  » s’il ne veut s’arrêter,
      Dit-il, on me paiera ce qu’il m’en va coûter.  »
      Il demeure à ces mots sans parole, sans force ;
      Tous ses sens d’avec lui font un soudain divorce :
      Sa gorge enfle, et du sang dont le cours s’épaissit
      Le passage se ferme, ou du moins s’étrécit.
      De ce sang renfermé la vapeur en furie
      Semble avoir étouffé sa colère et sa vie ;
      Et déjà de son front la funeste pâleur
      N’opposait à la mort qu’un reste de chaleur,
      Lorsqu’une illusion lui présente son frère,
      Et lui rend tout d’un coup la vie et la colère :
      Il croit le voir suivi des ombres de six rois,
      Qu’il se veut immoler une seconde fois ;
      Mais ce retour si prompt de sa plus noire audace
      N’est qu’un dernier effort de la nature lasse,
      Qui prête à succomber sous la mort qui l’atteint,
      Jette un plus vif éclat, et tout d’un coup s’éteint.
      C’est en vain qu’il fulmine à cette affreuse vue :
      Sa rage qui renaît en même temps le tue.
      L’impétueuse ardeur de ces transports nouveaux
      À son sang prisonnier ouvre tous les canaux ;
      Son élancement perce ou rompt toutes les veines,
      Et ces canaux ouverts sont autant de fontaines
      Par où l’âme et le sang se pressent de sortir,
      Pour terminer sa rage et nous en garantir.
      Sa vie à longs ruisseaux se répand sur le sable ;
      Chaque instant l’affaiblit, et chaque effort l’accable ;
      Chaque pas rend justice au sang qu’il a versé,
      Et fait grâce à celui qu’il avait menacé.
      e n’est plus qu’en sanglots qu’il dit ce qu’il croit dire ;
      Il frissonne, il chancelle, il trébuche, il expire ;
      Et sa fureur dernière, épuisant tant d’horreurs,
      Venge enfin l’univers de toutes ses fureurs. »

      Si après ça on n’a pas compris ce qu’est la littérature baroque, je rends mon tablier.

  146. Aujourd’hui jour d’instruction j’apprends coup sur coup l’existence d’Alfred Dreyfus qui a publié en un bouquin de 5000 pages toutes ses expériences homosexuelles dans les moindres détails et l’existence de « Christine and the Queens » chanteuse devenu chanteur par la grâce de l’opération du saint-esprit !
    Maintenant on a le droit de se genrer comme on veut donc ne vous étonnez pas si demain c’est Pierrette qui vous parle sur BdA !

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_and_the_Queens

  147. Josip « le retour » : la Raison fait homme ! Ne sera au grand jamais un grand enfant ; quant à chevaucher une BM… même pas en rêve (et 400 kms, j’en reste sur le’k !).

  148. Mieux vaut la Raison que la Passion ?
    Du moins pour certains, puisqu’il s’est écrit qu’Attila serait
    mort « tout simplement de la nuit de noce bien arrosée qui devait célébrer ce nouveau mariage du polygame forcené (!) que fut le chef des Huns. »

  149. Il semble qu’on ait résolu l’énigme de la mort d’Attila mais on ne sait toujours pas où se trouvent les champs catalauniques (ta mère) ni qui a cassé le vase de Soissons…

  150. Des concours de billes dans les prisons ? On découvrira peut-être des talents valorisables. certains détenus iront vers le solitaire.

    Des remises de peine pour les meilleurs ?

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