Il n’y eut aucun signe avant-coureur, aucun hoquet annonciateur : le moteur, d’un seul coup, s’arrêta. N*** n’eut que le temps de se garer sur le bas-côté — heureusement fort large, sur cette contre-voie qui longeait le canal du Rhône, peu avant le barrage.
– Qu’est-ce qui se passe ? se demanda-t-elle tout haut. Et merde !
Elle tenta de redémarrer. Rien — mais alors, un rien massif, pas même un raclement de gorge. Rien. Aucun bruit — sinon, comme elle s’en rendit compte d’un coup, le mistral dans les hautes branches.
Pendant une bonne minute, elle resta là, les mains sur le volant — déconcertée. Elle regardait devant elle, la longue ligne droite qui disparaissait dans les ombres, entre le soir qui tombait et les arbres qui hoquetaient sous les rafales.
Puis elle sortit, sans refermer la porte. Sans se faire trop d’illusions, elle ouvrit le capot, jeta un coup d’œil, tritura quelques fils, vérifia que la batterie était toujours reliée au moteur — on ne sait jamais. Elle ne se faisait aucune illusion : elle n’y connaissait pas grand chose, et l’illumination n’allait pas jaillir d’un coup.
Elle prit son portable, et composa le numéro de sa mère, chez qui elle se rendait. Personne ne répondit. Elle laissa un message, expliquant où et quoi — un peu déconcertée de ne pas la trouver. « Elle ne devait pas être bien loin… »
Une voiture passa, très vite. Dans la longue ligne droite, où l’on savait qu’il n’y avait pas de caméras, les gens bourraient comme des malades. « L’aurait pu s’arrêter, ce con », se dit-elle. La solidarité n’était plus ce qu’elle était.

Elle attendit un petit quart d’heure, et rappela. Sans succès.
Le soir finit de tomber. Deux voitures passèrent encore, à toute vitesse. L’une d’elles, par dérision peut-être, klaxonna en la frôlant. « Connard ! »

Le camion — un très gros camion citerne, d’un jaune indécis, un peu bourbeux — s’arrêta derrière elle, dans un grand chuintement de freins malmenés. Le messie ! Ces types s’y connaissent, et puis, les routiers sont sympas…
Curieusement, rien ne se passa. Simplement, la lourde porte avant s’entrouvrit.
Au bout de deux minutes, elle y alla. « Je suis en panne », commença-t-elle avant même d’arriver à hauteur de la porte — dans le rétro, elle voyait juste l’ombre d’un homme, en profil perdu. « Montez », dit une voix très basse. Elle hésita, se retourna vers sa voiture, et, d’un clic sur la clé électronique, ferma les portes. Pourquoi pas, après tout ? Il allait dans sa direction…

Ce qui la frappa en montant, c’était l’odeur. Ça puait comme une chambre d’amour après trois jours de baise ininterrompue. Une odeur de foutre froid, d’huile à moteur — l’association des deux idées lui fit imaginer l’usage que l’on pouvait faire de l’huile en question — que lui avait raconté l’Amant sur cet ami homo qui baisait sur des housses plastique, avec un mec complètement enduit d’huile de vidange…
Elle monta, et réalisa qu’ils étaient deux. Deux types très baraqués, presque la même gueule de gros costauds mal rasés — tous deux une quarantaine d’années peut-être un peu plus, pensa-t-elle, ils avaient quelques poils blancs sur les joues…
– On vous emmène, dit l’un.
Ce n’était pas une question. Elle s’installa près de la porte.
– Mettez-vous au milieu, dit le chauffeur. Le siège est moins défoncé.
Au même moment, le co-pilote la prit par le bras, et la fit passer entre eux, et le camion démarra, dans un bruit énorme. C’était un poids-lourd déjà vieux — sans direction assistée, remarqua-t-elle en voyant les biceps du chauffeur se tendre en tournant l’énorme volant. « Il arrive d’une faille de l’espace-temps », se moqua-t-elle in petto. Les vitesses grinçaient terriblement, une lourde odeur de moteur malmené monta dans la cabine, et la prit à la gorge.
– En panne, hein ? dit le co-pilote.
Il sentait le cuir et surtout la sueur — comme l’autre. Elle était coincée entre deux masses mal lavées. Elle avait remarqué tout de suite leurs mains énormes, aux ongles endeuillés. Quand le type l’avait prise par la main, d’abord pour la faire monter, puis pour la faire passer entre eux, elle avait frissonné d’horreur — c’était une patte d’ours, un bout de patte.
Elle réalisa soudain qu’elle mouillait. Son corps, bien avant son esprit, avait déduit les hypothèses les plus cochonnes. Elle tenta de contrôler son con, et comme souvent, quand elle s’efforçait de bloquer le sphincter vaginal en respirant à fond, elle mouilla davantage. Elle sentait son sexe couler littéralement su sa culotte.
L’atmosphère, à bord du camion, s’épaissit soudain. Les deux types avaient probablement flairé son excitation. Elle jeta un coup d’œil à la dérobée au co-pilote. Sous le jean serré, se dessinait une grosse queue en érection.
Elle se révolta contre son propre corps. « Mais enfin ! Je n’en ai pas envie ! »
Le type, calmement, lui prit la main et la posa sur la toile rude, raide de crasse, sous laquelle se moulait sa bite durcie. Puis lui-même tendit le bras, et le laissa retomber sur sa cuisse, très près de l’entrejambe.
Le chauffeur, tranquillement, saisit son autre main, l’attira à lui. Il avait déjà ouvert sa braguette, dégagé une grosse queue fortement bandée, sur laquelle elle referma les doigts — à peine, tant l’objet était épais, charnu, noueux. L’idée qu’une pareille queue pourrait forcer son anus la révolta — elle se sentit littéralement éjaculer, en y pensant.
Le co-pilote, quelques secondes plus tard, dégagea aussi son sexe. Très étrangement, il était la copie conforme de l’autre. Deux virilités jumelles, d’une surprenante longueur, parcourues de grosses veines saillantes, dures sous la main, deux verges épaisses — sa main ne se refermait pas sur les fûts noueux comme des branches mortes.
Pendant deux ou trois minutes, tandis que le camion s’enfonçait à toute allure dans la nuit, elle resta ainsi, assise entre ces deux hommes, serrant dans chacune de ses mains ces phallus invraisemblables. Elle ne savait pas trop qu’en faire — ils étaient secs comme du bois, et si tendus que la peau ne coulissait pas.
Finalement, elle abandonna le membre du chauffeur, se pencha à droite et commença à butiner la queue gonflée du co-pilote.
L’homme sentait la sueur et le foutre. Une odeur violente mais pas écœurante, l’odeur qu’avait le sexe de son amant lorsqu’il l’avait longtemps besognée. Elle lécha le gland énorme, presque violet tant il était congestionné, et dut faire un vrai effort pour le prendre dans sa bouche. Tout de suite, elle tenta de descendre le plus loin possible, mais en se distendant les mâchoires, et en allant à la imite du haut-le-cœur, elle ne pouvait en engloutir que la moitié.
L’idée que cette queue invraisemblable, qui ressemblait plus à un gode antique en bois tourné qu’à un objet de chair, s’enfoncerait vraisemblablement dans quelques minutes dans son ventre la fit frissonner — et elle sentit son sexe couler davantage, comme s’il se préparait à l’intrusion impossible du phallus épais comme le poignet d’un homme ordinaire. Et la certitude soudaine qu’il la sodomiserait la pétrifia de crainte — elle vit, littéralement, son anus exploser sous une attaque si disproportionnée.
Le camion freina doucement. Les freins chuintèrent, la lourde machine brinqueballa sur le bas-côté, et s’arrêta dans un gémissement de bête surmenée.
Pendant quelques secondes, il ne se passa rien. Elle suçait de son mieux le co-pilote, et c’était comme si elle était seule avec lui.
Puis des mains se posèrent sur sa poitrine, des pognes épaisses et curieusement délicates. Le chauffeur déboutonna rapidement son chemisier, souleva les bonnets du soutien-gorge sans le dégrafer et saisit les seins menus, tendus, qui disparurent entre les doigts énormes et adroits.
L’homme qu’elle suçait la prit par les cheveux — son chignon s’était défait tout seul — et lui releva la tête.
– Déshabille-toi, murmura-t-il.
Il avait la voix cassée, rauque, d’un homme à deux doigts de jouir.
Elle eut une dernière hésitation — elle se vit, curieusement, courir à demi-nue dans le faisceau des pares, tandis que le camion se remettait en marche et la suivait, au ralenti, à la frôler —, puis ôta son pantalon et le reste.
– Là-haut, dit le chauffeur en montrant la plate-forme au-dessus des sièges.
Il y avait un vrai lit, dans une niche très basse de plafond. Un vrai lit chargé d’odeurs fortes, le lit rarement lavé de deux hommes toujours sur la route. Elle s’étendit sur le dos, et tout de suite l’un des deux chauffeurs — dans l’obscurité, elle ne sut jamais, pendant toute l’heure qui suivit, qui était qui — la rejoignit, releva ses jambes comme son Amant aimait le faire, et la pénétra, tout de suite, à fond. Lentement, comme pour lui faire sentir sa reddition, l’écartèlement forcé de son sexe, — et sa disponibilité.
La verge monstrueuse semblait trop grosse pour le fourreau, mais l’homme l’ouvrit de manière assez délicate, jusqu’au fond. L’idée qu’elle avait tout entière en elle une queue qu’elle n’avait pas pu prendre dans sa bouche la bouleversa. Elle ne se savait pas si profonde, ni si ouverte. Elle ne l’avait jamais été.
L’homme la parcourut deux ou trois minutes. Puis le lit, près de son visage, oscilla, et elle sentit la queue de l’autre routier se poser sur sa joue.
Elle tourna la tête, et entreprit de la sucer de son mieux. L’odeur était la même — huile recuite et foutre froid. Et l’effort était le même — tout juste si elle en avalait la moitié, à la limite de la nausée, pendant que l’autre, là-bas, lui défonçait la chatte.

Le détail importe peu. Elle se retrouva bientôt couchée sur l’un d’eux, sa queue lui emplissait le ventre, tandis que le second lui écartait les fesses, et s’enfonçait, inexorablement, comme une machine lente, dans son derrière — sans lui faire exagérément mal, mais sans hésiter, et au fond, tout au fond de son cul sans fond, jusqu’au cœur. Elle se vit littéralement ouverte et défoncée, comme si elle était, un instant, extérieure à elle-même. L’idée qu’elle était forée simultanément par ces virilités jumelles et monstrueuses la fit jouir, un orgasme brutal, violent, qui la laissa pantelante : pendant quelques secondes, aucun des deux hommes, comme saisis dans la mâchoire de ses sphincters, ne put plus bouger.

Plus tard — beaucoup plus tard… Chacun d’eux l’avait prise à son gré, par un côté ou un autre ; chacun l’avait laminée, ramonée, écartelée. Plus tard, l’un éjacula dans son rectum un foutre abondant — les jets n’en finissaient pas de gicler dans le couloir obscur, dilaté depuis une heure par ces intrusions massives. L’autre lui remplit la bouche d’un sperme odorant, épicé — presque poivré.

Ils la ramenèrent jusqu’à sa voiture, sans dire un mot. Elle s’était rhabillée comme elle avait pu. Le foutre lancé dans son derrière qui redescendait lentement dans sa culotte trempée.
Le camion s’arrêta, le co-pilote ouvrit la portière et la prit par la main.
– Merci, dit-elle.
– Pas de quoi, dit le chauffeur.
Elle se retrouva dans la nuit, tandis que le camion faisait demi-tour.
Quelques secondes plus tard, son portable sonna. C’était sa mère, qui s’enquérait enfin de son sort.
– Tout va bien, dit-elle, mais la voiture est morte. Tu viens me chercher ?

Jean-Paul Brighelli

NB : Il s’agit là d’un chapitre isolé d’un roman érotique entièrement écrit, jamais proposé à un éditeur, faute de temps.

256 commentaires

  1. L’huile d’olive (première pression à froid) est souveraine pour introduire. Attention de ne pas trop chauffer (moins de 190°C).

    • L’éternel soutien-gorge (pour une fois même pas dégrafé, et pour cause) était-il aussi blanc, comme neige, que la von der la hyène ?

    • Ursula réélue, cela signifie que nous alllons nous retrouver à la place de la demoiselle sodomisee

  2. M. Brighelli dans son article L’erreur de Huntington (Causeur) cite la 4 ème page de couverture de son nouveau livre, L’Ecole sous emprise:
    « Les enseignants doivent retrouver le droit d’instruire enfants et adolescents contre leurs propres convictions, sans s’autocensurer. Est-il vraiment trop tard, face aux réseaux infiltrés du fanatisme, pour ressusciter ces « hussards noirs de la République » que furent jadis les instituteurs ? »
    Mais où prendre ces nouveaux hussards noirs, alors qu’un bon nombre d’enseignants (quel pourcentage ?) ont toutes les complaisances pour les nouveaux damnés de la terre de la nouvelle religion prétendument persécutée (comme sous Louis XIV on parlait de la RPR – pas du RPR qui n’évoque quasiment pas plus de souvenirs – la religion prétendue ou prétendument réformée); ces enseignants sont nombreux (surtout à gauche de la gauche) du côté de la liberté pour les abayas et voiles de polluer l’environnement visuel et les esprits.
    Je vais ici faire une remarque qui devrait me faire illico (j’allais dire incontinent) mettre au piquet. Le problème de la France n’est-il pas d’avoir laissé le champ complètement libre à une religion conquérante, faute de garder sa vielle religion devenue – quasiment – inoffensive, en tant que religion d’Etat (ou reconnue par l’Etat) ?
    Comparons avec l’Italie – une vidéo m’était tombée il y a peu d’années sous les yeux – quelque chose d’a priori parfaitement protocolaire : l’installation du nouveau président de la cour des comptes par le président Mattarella. Or il y avait dans l’assistance un cardinal, et derrière le banc où étaient assis les magistrats, le crucifix (avec je suppose la devise « républicaine » de la justice italienne, La legge e uguale per tutti »).
    Je me suis dit que certains nouveaux arrivants, en trouvant les locaux déjà occupés (je sais à quoi vous pensez…), n’insistent pas trop, en Italie, pays de Concordat, à la différence de ce qui se passe en France…
    Il me semble qu’on a beaucoup exagéré sur le caractère nocif du catholicisme d’Etat en France – voire même qu’on s’est mépris complètement et surtout par la suite, en se représentant faussement l’époque: souvenons-nous des livres d’Anatole France, où un prêtre candidat à un évêché, pour être nommé, intrigue auprès d’un préfet juif et franc-maçon, où des ministres agnostiques géraient le portefeuille des cultes et où des prêtres sans doute monarchistes se voyaient privés de leur salaire par décision administrative pour avoir omis à la fin de la messe de réciter la prière pour la république (Domine Salvam fac Rem publicam).
    Loin d’être une dictature bigote, la France ressemblait alors un peu à la Cacanie (l’Autriche-Hongrie) paradoxale de Musil ( » le régime était clérical et les habitants libres-penseurs », etc).

  3. sa vielle [religion] – vieille bien sûr – quoique la vielle soit un instrument qui évoque la France d’autrefois …

    • Il chauffait ses ouailles. Notamment les grenouilles de bénitier. M’étonnerait qu’il ait pu conduire un peterbuilt. Même sortant lentement du tunnel…

  4. Merci à ECHO ! Heureusement qu’il est là pour remonter le niveau (difficile de dire au dessus de la culotte *, pff !) – surtout en l’absence d’IAL qui se permettrait le pire…

    *ça va même jusqu’aux cheveux (autre rengaine) ; cette fois : « son chignon s’était défait tout seul. »

  5. « Le problème de la France n’est-il pas d’avoir laissé le champ complètement libre à une religion conquérante, faute de garder sa vielle religion devenue – quasiment – inoffensive, en tant que religion d’Etat (ou reconnue par l’Etat) ? »

    On avait gardé quelques spécimens à des fins mémorielles (un poil de cul de l’abbé Pierre suffit) mais là, faut débrancher la couveuse et vider les tubes dans l’eau de Javel…

    La multinationale papiste adore jouer les entremetteuses et passer pour une autorité supérieure indispensable.

  6. Le sirénien : spécimen périgourdin en mode redneck ?
    Deux passions : armes et gros cylindres – de la bavaroise aux Peterbilt –
    auxquels se rajoute (spécif’ french) le crachat in the bénitier.

  7. Pas de président LFI à l’AN: Mélenchon va-t-il nous faire une Trump et envahir ladite assemblée? La mèche orange lui irait bien…

    • La vieille religion d’Etat n’aurait pas grand chose à voir avec le délire sectaire de quelques illuminés. Ce serait précisément le contraire.

      • Quelques illuminés?
        Hélas non. La bête bouge encore.
        La « manif pour tous » : à ne surtout pas minimiser : combien de personnes dans les rues? Vous avez oublié ?
        Civitas : quelques illuminés? Non : une organisation structurée et des troupes en quantité non négligeable.

        Et dans toute l’Europe de l’Est, et aux USA, la bête bouge encore, et elle est armée.
        Dans l’écrasement de l’infâme, il ne faut épargner aucun infâme. Vaste programme.

        • Les cathos tradis sont des abrutis, c’est un fait. Nonobstant, depuis mes rats en 2012, ce sont des islamofascistes qui tuent, mitraillent, égorgent et écrasent.

  8. La presse » :Ursula von der Leyen reconduite à la tête de la Commission européenne grâce au soutien des écologistes’

    Risque-t-elle de se faire défoncer par des membres du lobby des camionneurs, elle qui quitte rarement son burlingue ?

  9. Et les bikers d’opérette qui zonent sur la route 66, où k’y peuvent caser leur bielle longue course ?

  10. Illuminés (suite) –
    L’homme à l’oreille coupée « acclamé par une convention républicaine… extatique » (lefigaro)

    • Jusque là je suis d’accord. Souverainiste, j’estime que les palestiniens ont droit à un Etat. Après, s’ils souhaitent renoncer à leur liberté de pensée et d’expression en embrassant l’islam, ça les regarde. On a le droit de réclamer la liberté d’être un esclave.

  11. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a réagi dans la foulée. « Le peuple juif n’est pas conquérant dans son propre pays – ni dans notre capitale éternelle, Jérusalem, ni dans le pays de nos ancêtres en Judée et en Samarie. Aucune fausse décision de La Haye ne déformera cette vérité historique, et, de même, la légalité de la colonisation israélienne sur tous les territoires de notre patrie ne peut être contestée », a-t-il estimé sur le réseau social X.

    Quand on analyse mot par mot cette déclaration, on ne peut qu’arriver à la conclusion suivante : Netanyahu est guidé par des considérations explicitement religieuses, qui font de lui un dirigeant de religion juive fanatique, à la tête d’un état terroriste, et d’un peuple qui l’a élu en toute connaissance de cause en soutien de cette idéologie religieuse expansionniste née de…la Bible.

    Copie conforme des Palestiniens qui ont élu le Hamas. Similitudes incroyables.
    Brighelli, qui souhaite la vitrification de Gaza puisque les Gazaouis ont élu le Hamas, prônera-t-il la vitrification d’Israël ?
    Non, car il faudrait pour cela qu’il soit cohérent. Or, s’il l’était, ça se saurait.

    • vitrification de Gaza (suite)

      Rien n’empêche qu’on construise un parking sur 2 niveaux.

      j’entends d’ici les bonnes âmes qui se plaindront que les gazaouis sont réduits à occuper le deuxième sous-sol.

    • Et oui, nous sommes en 2024 et deux peuples s’entretuent pour savoir si les légendes bédouines du Moyen Age sont plus vraies (???) que les contes hébreux de l’Antiquité.
      J’attends avec intérêt la guerre raéliens vs pastafaristes.

    • JG

      Les philistins cassent les khouilles de tout le monde, et ils méritent ce qui leur arrive à Gaza. Ces crétins congénitaux ont toujours choisi la mauvaise solution depuis 1948, et de plus, partout où ils sont passés ils ont foutus une merde terrible.
      En Jordanie, leur terre ancestrale, ils se sont tellement bien comportés avec leurs frères que le Roi a décidé de les exterminer, Septembre Noir!
      Ils ont inventé le terrorisme.
      Au Liban ils ont mis le pays à feu et à sang, pays qui était la Suisse du Moyen-Orient, je vous le rappelle…Callas chantait à Baalbek qui est aujourd’hui un cloaque nauséabond qui alimente nos banlieues en drogues.
      En Tunisie, où fut brièvement transféré le siège de l’OLP, bordel aussi…
      Je partage l’avis du maître des lieux, faut tous les cramer…U235 ou napalm, ça n’a pas d’importance, il faut qu’ils brûlent.

    • JG@19h13

      Vous êtes trop bête!
      Les Juifs sont là depuis avant la naissance de Rome, et depuis au moins 1000 ans avant qu’un dégénéré de bédouin pédophile ait des hallucinations au sujet d’un dieu omnipotent qui se serait mis en tête de dicter ses paroles à un illettré… Un dieu omniscient qui décide un beau jour de dire « ikra! ikra! » à un analphabète ça ne manque pas de saveur…Les arabisants de vos amis vous le diront, Dieu a dit à momo, « Ecrit!, Ecrit!!! » à un mec qui ne savait ni lire ni écrire…Belle pioche!!!!
      Les harédims sont bien tarés mais ils ne représentent qu’un très faible pourcentage de la population d’Israël, Tel Aviv est un des mecques des LGBT comme Cape Town ou San Francisco…Les entreprises innovantes en matière d’informatique, de robotique, de pharmacologie, d’armement sont légion en Israël alors que les bougnouls de Gaza se posent des questions pour savoir si l’on doit entrer dans les chiottes du pied droit ou gauche et de comment il faut se torcher pour éviter qu’un djinn t’entre par le trou du khul…

  12. 🤣 (suite) –
    Une autre (haute !) Cour de Justice, celle de l’UE « épingle (!) la Commission européenne pour manque de transparence » (covid19, contrats vaccins…),
    … et le surlendemain, van der la Hyène est réélue !

  13. Je recommande aux savants de ce blog prestigieux, natifs de la cité phocéenne ou curieux, l’ouvrage MARSEILLE 2600 ans d’histoire, 862 pages, de Roger Duchêne et Jean Contrucci, chez FAYARD. Une somme précise, documentée, bien écrite de cette capitale régionale célèbre à la vie changeante au fil des siècles.
    Masse: 1.36 kg
    Un régal.

    Comme je vous sais curieux de ma vie intellectuelle, camarades marseillais, j’enchaîne avec une lecture actuelle LA GRECE HELLENISTIQUE ET ROMAINE, 815 pages avec illustrations, chez BELIN Mondes Anciens, Masse: 1.932 kg
    Une autre merveille.

      • On ne peut même plus faire confiance à personne.
        Autrefois, on sous-traitait ce type de boulot à la mafia qui, elle, assurait. SAV inclus.

      • Absolument.
        L’Ukraine, plié ; L’OTAN, plié ; Ursulla ses magouilles et sa clique, fini, terminé on n’en parle plus. Et Dugong et Zorglub, ces deux fans de Marion Cotillard, Benjamin Biolay, Sophie Marceau, bref du camp du bien; se taisent enfin, retournent leur veste, se font même tatouer GJ forever.

  14. S’il paraît clair que les palestiniens sont les idiots utiles du monde arabe, de qui les gj sont-ils les inutiles ?

  15. Trump composté. Dommage que ce soit uniquement à l’oreille.

    Mais qui a l’oreille de ce connard ?

    • Dugong,
      En quoi est-il un connard?
      Trump s’il doit être jugé c’est à l’aune des américains pas des français à l’esprit étriqué.
      MAGA c’est la version française de Colbert ou de Louis XIV, qui y a-t-il de mal à ça? Vouloir une nation unie, forte, indépendante, servant d’exemple au monde sans en être le gendarme, est-ce mal?
      Renvoyer les tacos chez eux comme 10 millions de français rêvent de renvoyer les boucaques au bougnoulistan est-ce une aberration?
      Et nul doute qu’il assoira Poutine et Z à la table de négociations.
      Des esprits supérieurs et chagrins se moquent de JD Vance, avez-vous lu son bouquin? Les white trash qu’il dépeint ressemblent fort à mon grand-père dyonisien, moitié coco, moitié facho, les opioïdes en moins, le jaja en plus.

      • Pour avoir vécu quelques années à Saint Denis, je confirme qu’on peut être moitié coco, moitié facho (et même un peu plus dans ce dernier cas).

        Je me souviens des coupures de micro organisés par la mairie coco pour limiter le temps de parole des opposants. Une mairie de tradition coco (Doriot y fut maire) qui avait réussi à se mettre sept (7) listes de gauche contre elle aux municipales

    • On attend la prochaine photo (autrefois on aurait dit : quel gâchis d’pelloche !) :
      sirotant son coca au bout d’une paille (pas en plastoc elle,), au bout d’une bouche qu’on espère pulpeuse.

  16. Au sujet de l’affrontement Enthoven/ChatGPT, voici ce que j’ai vu de plus complet et bien au-delà de toutes les idées reçues sur l’IA, c’est un peu long mais ça en vaut la peine :

    https://www.youtube.com/watch?v=dOF9vc5tLJ4&t=260s

    J’en recommande le visionnage à tous ceux qui n’ont qu’une très vague idée de ce qu’est une IA et comment ça fonctionne.

    • Amusant mais anecdotique, Enthoven est bouffi de sa propre suffisance, pas besoin d’une IA pour le savoir.
      Dans tout ce qui relève du blabla, la philo en étant l’épitome, ChatGPT se débrouille fort bien, mais était, à ses débuts, aussi capable de donner des listes de nombres premiers pairs supérieurs à 2….
      En chimie c’est assez étrange chatGPT refuse de répondre aux demandes de recettes amusantes genre TATP, chlorate+sucre…Avec l’acide styphnique ça tousse un peu ce serait un composé hypothétique selon l’intelligence, mais ses sels existent toujours selon l’IA…Etrange n’est-ce pas? Et l’IA en donne même la formule, qui est en fait celle du fulminate de plomb…ChatGPT est au moins au niveau du CAPES de chimie.

  17. URSS: Brejnev se retire.
    Aux EU, on appelle les vrai dirigeants ‘l’état profond » parce qu’ils enfoncent profondément un bras dans l’orifice anal de leur marionnette. En français, on peut traduire cela par l’état pro-fion. A force, la candidature de Biden était devenue sans fondement.

  18. Trump est un « vieillard faible » incapable de résister à un coupeur d’esgourdes. C’est le niveau abbé P.

    • Faut y aller mollo sur la boutanche, Dugong !
      Le passé c’est du passé ; le 64 aussi ; c’est fini.
      Devenu comme le reste, quasi niveau kro – ou peu s’en faut…

      • Pas n’importe quel acide. Certains sont plus adaptés que d’autres pour faire disparaître un cadavre. Voir « breaking bad » pour la mise en œuvre mais aussi ce qu’il ne faut surtout pas faire…

    • Il faut avoir les points.
      En l’état, à moins de quinze ans de carrière derrière soi, ça ne doit pas être facile. Mais ça dépend sans doute des matières.

    • Le Front copulaire a su faire payer le cri d’une population, c’est tout.
      Et il est à craindre que ce ne soit pas fini.
      Oui…

    • Ils ont cru que le RN patienterait jusqu’au bout de la nuit pour le permettre d’accéder à des postes qui leur ont été refusés et qui leur revenaient légitimement, c’est vrai ? Ils sont drôles.

      Ils étaient déjà nuls. 75 % des Français ne peuvent plus les voir en peinture, ils ont réussi à obtenir des sièges par le vote internet et les procurations ; le conseil constitutionnel est en ce moment même sollicité, par principe puisque beaucoup admettent par avance que la décision rendue validera l’élection. On le sait. Quand certains parlent de ce pays en le comparant à la Grèce, d’autre le comparent par son taux de corruption à l’Ukraine.

      Ça ne ressemblait déjà plus à rien et ils n’iront plus nulle part.

  19. De mon Ânne-Hidalga à mon Ânesse-kamala…
    Prochainement sur les écrans yankees : un dialogue de sourds (ou presque) avec Elephant-trump ?

  20. Lu dans le Vespéral : « Marine Tondelier, la cheffe de file des Ecologistes s’est dite « désolée du spectacle que le Nouveau Front populaire donne aux Françaises et aux Français », à propos du blocage des discussions pour s’accorder sur le nom d’un candidat commun au poste de premier ministre. »

    Au moins, certains écolos sont conscients d’eux-mêmes et peuvent tenter l’épreuve du miroir…

  21. L’usage d’un prénom anonymisé nous invite à entendre que N*** et la scène sont bien réelles, puisque l’auteur – en bon déontologue de famille conscient de sa puissance, grand mouilleur en chef, se préoccupe court-toisement d’anonymat. L’alternative étant l’expression de fantasmes de JPB sur une pauvre bête qui n’a rien demandé de tout cela. Bref ce débat enfonce des portes à double battant les couilles et ne concerne que l’intéressé, puisqu’il ne mouille personne sur ce coup.

    Et peu importe la véracité du récit, l’objectif est le même: humilier, ici en frottant une ingénue à des brutes poisseuses. Et par delà, c’est comme si JP2M la salissait soi-même. Il est vrai que certaines ont un corps et un orgueil que d’instinct on a envie de mettre.

    A terre et profond.

    JP*** avait des pecs et le bide rempli de perversité. Elle n’avait rien de tout cela, ses jolis tétons se trouvaient à tâtons (… »mais qu’importe ton sein maigre, ô mon objet aimé? On est plus près du cœur quand la poitrine est plate! et je vois comme un merle en sa cage enfermé L’Amour, entre tes os, rêvant sur une patte ! ») Elle avait le corps léger et le pénil moelleux. Deux amants en parallèle, pour goûter les spécialités de chacun, et Chacun était l’Amant, JP*** comme un autre.

    Son dévolu portait sur les artistes: musicien, peintre, poète, essayiste… sans oublier les métiers de bouche: poissonnier, avocat… et bien sûr quelques casse-croûtes. Dissolue? Non. Libre et l’âge de la liberté. Ses amants s’offraient de l’épouser – tous – mais elle voulait vivre avant de faire couler le sperme par le bon chemin, et tirer le meilleur de chacun d’eux. Y compris des plus pervers.

    Tenez, celui-ci, accordéoniste de son état, la faisait jouir des seins, une grande première pour elle. Un art délicat. Trop long il engourdi et lasse, trop vif il crispe. Cet Amant avait une disposition exceptionnelle pour le toucher subtile des boutons nacrés, une attention au tiré poussé… mécanique sublime et infaillible. Impossible de savoir comment l’Amant s’y prenait, il imposait le bandage des yeux afin « de te divertir de ton regard ».

    Depuis, ayant découvert ce don de son corps, elle fréquente les guinguettes lunettes de soleil vissées au nez.

    Je vous jure que c’est vrai

  22. Toujours un plaisir de passer mes 10 minutes quotidiennes dans le commentarium Bd avec la même consternation tenace afin d’accumuler de la documentation-bêtisier grâce aux deux intarissables pourvoyeurs Dudu et Dobeulyou qui ont visiblement suffisamment de latitude temporelle pour passer 12 heures par jour sur ce site, les 12 restantes étant apparemment consacrées à regarder des videos et lire des tweets, ce qui mécaniquement fabrique de l’idéalisme fascisant, les deux D sus-nommés s’en revigorant mutuellement.

    • Et tout cela gratuitement ! Aucune subvention !
      L’été ne faisant pas trop fort dans le « ressenti » – du moins jusqu’à présent – je peux donc y aller un peu plus mollo sur le rosé bien frais, ce qui autorise quelques économies.

  23. La presse envisage donc sérieusement la nomination de Huguette Bello au poste de premier ministre. Le Parti Communiste Réunionnais vit depuis lurette en profitant d’une économie totalement artificielle

    https://www.lesechos.fr/2009/03/combien-coute-loutre-mer-a-la-france-1081771

    En combien de mois Huguette et sa clique vont-ils anéantir l’économie française considérée comme une poule aux euros d’or ?

    Et si Huguette n’y parvient pas, la Taub’ peut-être ?

    • La Taub’ vient en effet d’une autre île – ainsi nommée par l’Elyséen.
      La Taub’, autre daube de qualité très inférieure ;
      faudrait aller voir sur place, dans les Outre-mer,
      par exemple au retour de la pêche – à la criée ? – pour repérer
      – et avec un peu de chance ? – de la poiscaille un peu plus fraîche.

    • Soyons bon pour les non-)abonnés, pour une fois.

      L’abbé Pierre n’était pas #MeToo — et alors ?

      Ayant épuisé — pour le moment — son stock de personnalités susceptibles d’avoir un jour couché avec des starlettes, l’inénarrable Caroline De Haas en est donc arrivée à monter un dossier de harcèlement contre l’abbé Pierre, quin paraît-il, dans son grand âge…
      Bien qu’il soit plus porté sur les seins que sur l’Esprit saint ou les saintes nitouches, notre chroniquer a voulu revenir sur ces accusations absurdes, puisque l’impétrant est passé dans un monde meilleur où les néo-féministes en quête de notoriété n’existent pas.

      Au commencement était saint Paul, le gnome de Dieu, petite chose misérable qui, frappée d’illumination sur la route de Damas (il faut se méfier, au Moyen-Orient, les coups de soleil, de Paul à Mahomet en passant par tous les illuminés du désert, sont redoutables et vous font prendre de l’eau de source pour du saint-julien 1985 — mon préféré) devint un thuriféraire immédiat du dieu qu’il combattait férocement : une intolérance chasse l’autre.

      C’est à ce père de l’Eglise, sous-doté par la nature (qui dira l’incidence du micro-pénis dans les convictions religieuses ?) que nous devons la condamnation par l’Eglise de la sexualité, au point que s’il admet qu’il faut croître et se multiplier, il finit pas conclure que mieux vaut s’en abstenir. Rappelez-vous le beau livre de Pascal Quignard, Le Sexe et l’effroi, qui analyse le coup d’arrêt brutal que le christianisme a imposé au monde gréco-romain, où l’on s’emmanchait sans penser à mal…

      De surcroît, la progression hiérarchique au sein de l’Eglise allant d’un train de sénateur, les prêtres n’arrivent en position de force que tard dans leur vie. Mon hypothèse est que l’andropause au cours des siècles leur a fait dire de grosses bêtises sur la nécessaire chasteté des prêtres, des moines et des nonnains, qui avaient, les uns et les autres, l’âge de forniquer — et qui d’ailleurs ne s’en privaient guère : la vertu de saint Ambroise n’est pas à la portée de tout le monde, et la résistance de saint Antoine aux offres de la reine de Saba et autres petites cochonnes est moins un exemple qu’une exception sidérante.

      Alors l’abbé Pierre aurait touchaillé des jeunes femmes… Et alors ? Il a bien fait. Caroline de Haas, qui a monté le dossier d’accusation après avoir ruiné la vie de toutes sortes d’hommes qui ne lui avaient rien fait — crime impardonnable —, a recueilli le témoignage de quelques gourgandines en mal de célébrité. Et Médiapart, où bien sûr ils sont tous chastes, de se frotter les mains.

      L’abbé Pierre était bel homme, et en l’interprétant au faîte de sa beauté (dans Hiver 54, en 1989), Lambert Wilson lui rendait un bel hommage. Que la chair soit faible, nous le savons tous — et nous nous en excusons pour mieux en profiter. Grand bien nous fasse, à nous et aux pénitentes qui à genoux nous supplie de leur déverser notre sainte parole afin qu’elles s’en abreuvent à la source.

      La chasteté obligatoire ne peut avoir été imposée que par des hommes frappés de sénescence ou des pervers imposant aux autres ce dont ils se dispensaient allègrement : pourquoi madame De Hass ne monterait-elle pas un dossier contre une flopée de papes à progéniture extensive et mœurs équivoques ?

      Quant à l’idée d’inculper les morts, elle est, quand on y pense, hautement surréaliste. Cela se faisait autrefois — voir le « Concile cadavérique » qui en 897 jugea post mortem le pape Formose. Cet anticlérical de Paul Laurens en a tiré un tableau saisissant en 1870. Vite, exhumons la dépouille de l’abbé Pierre, et traînons-la au Palais de justice, au milieu des cris vengeurs des hyènes de garde.

      Laissons les morts enterrer les morts. L’abbé Pierre a fait un boulot remarquable, et les féministes de gauche qui pensent surtout à faire parler d’elles en sont loin, si loin qu’elles n’y arriveront jamais. Il n’y a pas de faute dans les relations charnelles entre adultes consentants, qu’on se le dise. Et nous devons juger les hommes sur le seul critère du bien qu’ils ont fait, et non des peccadilles que des oies blanches, faute de se repaître à satiété de la substantifique moëlle, leur reprochent pour occulter leur misérable petitesse.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_cadav%C3%A9rique#/media/Fichier:Jean_Paul_Laurens_Le_Pape_Formose_et_Etienne_VI_1870.jpg

    • Elle s’occupait jusqu’à présent des finances de la ville de Paris: ce sera parfait pour continuer l’oeuvre de Burno…
      Encore 9 ministres et on pourra parler de dix génies politiques.

    • Enfin, nous devrions être sous la tutelle du FMI à la rentrée, ils s’en foutent un peu du gouvernement en place, ils prendront le manche.

    • Casse-toi-d’là (suite) –
      Encore une bourde de l’Amélie : « … lettre à destination des sénateurs. Elle y adresse en préambule ses « sincères et chaleureuses félicitations » pour leur « réélection le 7 juillet dernier »(lefiga)…
      Les courriers étaient destinés aux…(dé)putés…. et « contenaient des informations sur les JO concernant les territoires des parlementaires ».
      « Territoires des parlementaires » ? Z’auraient eux aussi des « territoires » (chasses gardées), en mode loups et ursidés ?

  24. Lorsqu’on demande à l’IA de glouglou si elle accepte de devenir premier ministre du gouvernement français, voici ce qu’elle répond :

    « Je ne peux pas répondre aux questions sur les élections et les personnalités politiques pour le moment. Je suis entraîné pour être aussi précis que possible, mais il m’arrive de faire des erreurs. Pendant que je travaille à améliorer mes réponses aux questions sur les élections et la politique, vous pouvez essayer d’utiliser la recherche Google. »

    Pour le moment kèdi !

  25. Déj’ (suite) –

    Après le plateau-repas au village olympique, le (pas encore) loqueàterre va offrir demain, en son palais, un déj’ spécial JO, où seront conviés :
    le top des z’entreprises françaises – les boss de LVMH, Accor, Sodexo, Orange, Bpce (assurances) –

    ainsi que l’Elon (M.)., Mr Coca-cola, Mr Rbnb, Mr Uber.

    Que du beau monde ! Quelle classe ! Quel prestige !

    En attendant… l’hiver 2030 et des jeux « innovants, durables et inclusifs »,
    où il s’agira de « réinventer la montagne » – sans coca, rbnb, uber, sodexo, etc… ? ça va pas être facile !

  26. Six feet under

    John Mayall « artiste underground »(en français dans le texte) déjà enterré de son vivant…on ne rit pas.

    Mais ce que je préfère dans l’article du Monde, c’est « face à ce manque de notoriété qui le froissait un peu. » où l’on pourrait tout à fait voir un punctum d’humour volontaire. Mais non.

  27. C’est l’été, les rédactions sont vides de journalistes et se remplissent de stagiaires. C’est le moment de publier des articles àlakhs

    https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2024/07/24/on-peut-raisonnablement-penser-que-le-concept-de-dieu-personnel-est-faux-cela-n-empeche-pas-d-explorer-d-autres-propositions-religieuses_6257331_6038514.html

    J’ten foutrai des « propositions alternatives ». Les djeun’s demandent si, lorsqu’on change de fournisseur d’accès, on peut garder les 100 gigas. Ou pas…

  28. Causements probabilistes (suite)

    Dans le Fogari, on lit des tentatives de prendre des lanternes pour des vessies *.

    « Le changement climatique serait «très probablement» derrière une vague de chaleur qui a frappé l’est du Canada en juin »

    https://www.lefigaro.fr/sciences/le-changement-climatique-serait-tres-probablement-derriere-une-vague-de-chaleur-qui-a-frappe-l-est-du-canada-en-juin-20240709

    * pendant combien de temps encore trouvera-t-on des locuteux qui utilisent une telle expression ?

  29. Sponsors et JO : Veille du D Day –

    Après le déj’ à l’Elysée, diner (en ville), sous la pyramide (du Louvre) ; un « festin organisé par la vedette A. Ducasse »… auquel sont également conviés les « patrons des sponsors » (selon la Presse).

  30. Sponsors et JO (suite) – Mot d’ordre : consommer (et surtout) sans modération !

    « Sodexo, Danone, Carrefour et Coca-Cola sont sur le pied de guerre »,
    Au village olympique, Carrefour a installé des « supérettes de proximité » :
    « 1500 références a été pensée sur mesure avec des fleurs pour les victoires, des gâteaux d’anniversaire, des fromages français, des souvenirs de France ou même un rayon bagagerie que nous devons déjà réapprovisionner au vu de son succès ».

    Et même que « le chef étoilé franco-japonais Ryuji Teshima créera un menu dédié à la délégation nipponne, avec une soupe mêlant les deux gastronomies: bouillon de poule français et gyozas. »

    https://www.lefigaro.fr/societes/menu-vegetarien-frites-interdites-baguettes-dans-les-coulisses-du-plus-grand-restaurant-du-monde-20240725

  31. Nécrose du penis.
    Y en a qui disent que ça se soigne avec de la menthe forte, mais c’est faux.
    Oui…

  32. 1ère étape : le CELSA ! rien que ça…
    Et puis… le « Vespéral », surtout quand on se dit très « chaud » pour le « climat », un des sujets qui s’y est imposé, et qui tente d’y faire recette.
    On ne sait ce qu’il adviendra de tout ce blabla (réservé aux ceusses qui ne sembleraient pas avoir d’autres problèmes immédiats),
    dans le cas où la France serait susceptible de dégringoler encore un peu plus bas… tant son avenir, au moins à court terme, paraît quelque peu compromis.

  33. « Les cloportes exultent », déclare Pascal Praud au lendemain de la décision de ne pas renouveler la fréquence TNT de C8.
    En off, il aurait confessé « je vais enfin être avec les miens ! »

  34. Le clavier bien trempé

    J’ai appelé ma frangine pour lui demander sur quel piano avait joué Kantorow. Elle ne croit pas que c’était sur un Steinway, elle n’a pas reconnu la marque, et la console du clavier était épaisse et bizarre. Pas un piano de concert, un petit 160-170.
    Cela dit piano mouillu, piano foutu. Aucun respect pour les instruments de musique. Il fallait s’y attendre.

  35. cérémonie d’ouverture des JO : un vaste hymne à Homo Festivus avec quelques pépites très drôles. Notamment, la queerification de la Garde Républicaine par Aka N. et sa bande…

    Tataldit-on, a adoré

  36. Les circenses en mode occident très décadent, en accord avec coca-sodexo-danone… (le panem quotidien).
    et la truie Aye, aïe, aïe,…
    Depuis le festif en mode Jack L., quel progrès (!), quel prestige, quelle classe !

  37. Après cette scandaleuse cérémonie, outrancière, politisée et sans aucun rapport avec l’olympisme, il est à craindre que ces Jeux Olympiques provoquent une hépatologie mythique .
    Oui…

  38. Céki, ici, notre truc en plume, plume de panthère à milliardaire, plume de zanimo au fond de l’eau ?
    Hein, céki ?

  39. Pardon, Roland Petit ! ( rhoo, ça va, je n ‘ai pas non plus écrit Jean-Pierre, que l’autre truc en plume ne me cherche pas des noises )

  40. On se ouf’ de toutes ces khonneries es JO et de leurs tableaux à la K’ !
    22 millions d’abrutis céfrans qui ont regardé… sans moi, sans moi, sans moi.
    Et je ne n’étais même pas au Bicent’ 1989…
    (« Le cadre de cette île Saint Louis, ses escaliers reconvertis en Lido »… ! Pauvre Gégé !)

      • (… » Les US ne connaissant pas Bacchus, ils se sont interrogés X sur cet « Aladdin french gay genie ».
        So what ?!
        « Bacchus » ou « aladdin french genie », c’est du pareil au même : du gai… Paris.
        Un affreux gros-tas-sale-gueule ; rien qu’un guignol de la famille Depardiou.)

  41. Jean-Paul Petit me fait penser à Jean-Claude Dusse. De cette ouverture était absent tout ce qui pouvait représenter l’esprit Boomer (les Bronzés, les Visiteurs, voire les productions plus récentes Qu’est ce qu’on a fait au Bon Dieu) .
    Par contre les évocation historiques étaient dans la ligne LFI: la Liberté évoquée par une Marie-Antoinette décapitée chantant avec l’accent canaille le Ça Ira… tableau se terminant par un flot de sang jaillissant de la Conciergerie (pas mal vu finalement,
    mais c’était sans doute involontaire) . Évidemment je vois mal comment on aurait pu personnifier la Liberté par des références disons plus libérales (à Benjamin Constant, à Tocqueville !).
    Idem, l’absence autant que j’ai vu, de références à la diversité française : tout était Parisien… ou Africain dans les évocations. Pas de Coupo Santo ou de Gwen a dhu. Ni de bandera a testa mora. Heureusement dans un certain sens…

    • Ben oui, « africain et parisien », « tendance LFI » ; what else !
      (et il serait d’ailleurs bien temps que j’entame « De la démocratie en Amérique »…)

    • C’est juste, Jean Paul Petit rappelle au Splendide, à un personnage de Lauzier

      L’accent canaille ?
      Une gouaille parisienne, un sirop de rue pointu en bouche.

  42. F(L)EMME OLYMPIQUE (suite)

    Bingbing décroche la médaille de bronzage:

    https://nsm09.casimages.com/img/2024/07/27//24072711135223694418442298.jpg

    Les podophiles auront noté la présence des sandales de plage roses made in Taïwan, Bingbing se faisant toujours un plaisir d’exploiter la main d’œuvre asiatique…uhuhu!
    Je sais qu’il est cruel d’infliger aux laborieux outilleurs du blog une tel soufflet de comparaison blessante avec les jambes taillées comme des compas de leurs Josettes, et qui prient en vain pour une géométrie non euclidienne.

  43. En tout cas, c’est pas l’image précédente qui va réveiller BdA, moribond depuis le départ de Lormier.
    Quelqu’un a des nouvelles de IAL ?

  44. Au chapitre Grand Initié, ce week-end :
    Il se dit sur les réseau qu’il s’agissait d’un rituel de pouvoir kabbalistique dédié à Baël ayant pour grand autel la dame de fer ornée des ailes d’Isis. Osiris et Horus étant aussi de la cérémonie. Blasphème, impudicité : tous les ingrédients étaient réunis pour assister à l’avènement d’un nouveau monde et comme la symploque le traduisait.
    Il se dit aussi que ce genre d’entreprise est « very touchy », on ne dékhonne pas avec ce genre d’outils ; un manquement au cérémonial et ça leur retombe sur le coin du nez.

    En dehors des suppositions superstitieuses, ce qui est en revanche certain :
    La France s’est mise tous les pays chrétiens du monde entier à dos, ce qui n’est pas super malin, il faut bien l’admettre mais c’est toujours moins risqué que d’avoir le monde musulman au derrière.

    • Retour – ou plutôt même suite – de la vénération des cultes z’antiques !
      Voilà qui rappelle(rait) (et comment !) le « XIXe… » de Ph. Muray !
      ça continue(rait) donc de plus belle avec l’occultisme et tutti quanti.
      La (les) religion(s) sans fin… in the mood wokisme – tout en se gardant bien sûr, et en effet, de toucher aux islamisés !

  45. La sauterie aurait coûté aux contribuables 120 millions d’euros selon le Canard, lesquels comprenaient les 2,5 millions de cachets de Céline et Gaga. Soyons fous, on ne se prive de rien, on est pépères avec les comptes. On ne sait pas si la soirée organisée au Louvre par Touf’ et en sa présence, la veille, réunissant le toxicomane porteur de la flamme et les autres stars participantes à l’ouverture — avec Ducas aux fourneaux, s’il vous plaît — était inclue dans l’enveloppe.

    • (Un hôpital construit avec équipement : 30 millions d’euros ; moyenne des budgets de cérémonie d’ouverture de JO : 20 millions d’euros )

  46. Hop, hop, hop ! Nous avons en dernière instance l’avis d’un grand maître en démonologie, (heu… rank pro), sur la cérémonie d’ouverture. Celui là même qui nous avertit jadis de la fin effective de ce dernier verrou posé sur le commerce international par la vente de l’humain (GPA) et que l’on se doit peut-être interpréter, selon ses dires, comme une liberté, une avancée indéniable pour l’humanité entière au risue de passer pour de sales réacs. Ceci étant la question qu’il pose n’est pas totalement stupide, il est possible qu’il ait farpaitement raison.

    https://x.com/jattali/status/1817102025722589406

    • Toujours en vie le vieux débris !
      sherpa responsable et coupable de ce qui est, comme bien d’autres…
      de cette décadence occidentale qui atteint des limites dont nul ne sait ce qu’il en adviendra,
      tandis que d’autres pays, plus à l’Est, ont allégrement plongé – eux aussi, et à leur tour – dans un capitalisme effréné,
      qui ne présage rien de glorieux !

  47. Le seul souvenir drôle du Bicentenaire (puisque M Attali parle avec complaisance de ses exploits passés) c’est Margaret Thatcher offrant à Mitterand un exemplaire du Conte de Deux villes de Dickens, un roman particulièrement sombre et critique sur la période révolutionnaire.

  48. Dix ans semblent insuffisants.
    En effet, si les mécontents de cette cérémonie se cantonnaient qu’à la génération des boomers, une décennie pourrait être suffisante. Mais ni la génération X ni la génération Y sont cent pour cent en accord avec cette nouvelle mœurs woke promue lors de cet événement. La théorie du genre, même si elle rencontre des adeptes parmi les parents, n’est pas non plus un franc succès. De plus plus d’articles dénoncent la gravité de situations irréversibles dans lesquels des ados devenus suicidaires par le biais de cette idéologie.
    En revanche, notre éminence grise se trompe peut-être moins sur le retour puritain carabiné qui pourrait s’abattre, avec une force égale à celle qui fut utilisée pour tenter de convertir les masses à cette idéologie.

      • Le wokisme finira sans doute par disparaître,
        de même qu’il peut, en effet, y avoir risque (comme toujours) de passer d’un extrême à l’autre…

        Ce qui semble actuellement particulièrement dangereux – et qui reste largement dans l’ombre –
        c’est cet acharnement à mettre tout un chacun sous le joug des « codes », QR, et autres… inventions,
        pour instaurer un monde entièrement voué (!) au numérique et numérisé,
        dans lequel disparaîtrait, et pour de bon, la notion même – du moins ce qu’il en reste – de libre arbitre.

  49. le woke perdant du terrain sur sa terre natale, on assiste à une tentative par le soft power de l’imposer à l’UE. Ils peuvent évidemment compter sur la fille de Ghassam Salamé comme relais, membre de l’Open Society Foundations, qui occupe une place de choix sur France 2. On se souvient de ses injonctions à peine masquée à saveurs démocrates US à un Larcher qui se tenait le doigt sur la couture du pantalon, sur l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution. Elle a parfaitement rempli le job pour la cérémonie, elle en avait plein la bouche, on ne l’arrêtait plus.
    Ce n’est pas khon de la part d’Attali de normaliser avec dix ans d’avance ce que 80% de la population rejette (athées et croyants ; musulmans en tête) actuellement. Ils nous l’ont déjà fait avec Aya, la sortant d’un chapeau, nous la présentant comme l’artiste francophone la plus écoutée au monde. La pseudo vérité était diffusée non stop sur tous les médias, le public était prié d’adhérer.

    En fait, ce n’est pas tant la population qui serait décisionnaire de l’orientation civilisationnelle wokiste mais l’élection potentielle de Donald T. ; Attali et Soros le savent fort bien…

  50. Au moins, n’entend-on plus les conneries du Jordan ou de sa maîtresse (façon de parler).

    Une discipline olympique oubliée qui mérite d’être promue : le dégraissage de fonctionnaires où le niveau international s’est raidi et montre la suprématie des mileillistes argentins désargentés

  51. Pierre nous avait présenté son Tadzio, un jeune éphèbe gracieux, prodige de la natation, le cheveux délicieusement bouclé… Le gamin a explosé, hier, le record de Phelps d’une seconde (!).

  52. Le tas de vieux os aurait aimé se faire exploser dans le fondement par le nageur dont la profonde coulée inspire toute la pédalerie rueilloise

  53. Ça vous arracherait la bouche de dire qu’il vous manque, lui écrire un petit mot, une gentille bafouille comme vous savez le faire pour qu’il revienne ?

    • C’est son game à lui, le sirénien : frétiller vice et râlement dans l’eau sale.
      Et quand il finit par se lasser de son joujou, il s’en plaint à celui qu’il a l’honneur de tutoyer, lequel s’exécute.

      Frétiller, façon de parler, parce que côté caudale, à ce qu’il se murmure, il n’est plus bon à grand-chose.

      Peut-être habilement maquillé, pomponné et (dés-)habillé aurait-il pu faire quelque peu ricaner sa tribu, en un seul tableau D Day, dans la cour – non gazonnée, surtout pas – de sa gentilhommière.

      https://h16free.com/wp-content/uploads/2024/07/JO2024.jpg

    • Flo, dans un couple qui s’est dissous il y en a un des deux qui a été plongé dans la lassitude et l’autre qui s’est noyé dans la souffrance.
      Le plus à plaindre n’est pas toujours celui qu’on croit.

  54. (Gégé, 29/07, 0h41) –
    « L’orientation civilisationnelle » = (pseudo) retour aux bons genres ?
    Elephant-Trump chatouille dans le bon sens avec ses  » Je vous aime, vous les chrétiens, et je suis chrétien « ,

    et son Second, le Vance (dixit WikiBible)
    « converti au catholicisme en se faisant baptiser et confirmer en août 2019 » ;
    « Augustin m’a donné un moyen de comprendre la foi chrétienne d’une manière fortement intellectuelle ».
    Yes !

    Arrive un moment où il semble préférable de faire machine arrière – bien entendu uniquement côté sociétal.
    Ne faut surtout pas les prendre pour des idiots !
    Ils défendront jusqu’au bout leur pré-carré dont est exclu, à jamais, le peuple.

    En vérité donc, le vieil Attali, juif qui fut mitterrand, s’en ouf, tout comme papi Salamé ou encore fiston (!) Soros (et bien d’autres).

    L’essentiel est… ailleurs.
    L’essentiel c’est de continuer à faire de bonnes affaires.
    Que reprennent les accords d’Abraham !
    Amen (et plus jamais awomen !).

    • Rappel : Elephant-Trump est un homme d’affaires milliardaire…
      Qui pour croire (!) qu’il changerait les Règles du Jeu ?!

        • (et à ce propos, je conseille un très bon roman – polar, désolée Gégé – : « Avant la chute » de Noah Hawley.
          …La rédemption par la natation ?!)

    • 19h27 ! Etonnant non ?! notre fdh cause encore (très bien) français ; c’est toujours ça d’gagné sur l’américanisation (way of life).

      • Et sinon ? ça rigole bien dans les tribunes ?
        Attention aux marches ; mais peu de risque de glissades : après la pluie, le bon temps !
        Merci les Ricains !

  55. « … de la lassitude à la souffrance… » (lfdh à Flo, 19h26) :

    Entre vieilles pierres et vieux grimoires… Une histoire qui se serait pourtant tristement terminée en queue de poisson ?!

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