Quand je fais un effort pour fouiller dans mes souvenirs les plus anciens, j’entends le bruit des talons de ma mère qui, à 6h1/2 pile, claquaient dans les quatre étages sans ascenseur de notre HLM — toujours pressée, toujours en retard parce qu’elle tenait à me préparer un chocolat chaud avant de partir. Le bruit des talons aiguilles ricochait dans la cage d’escalier, qui faisait chambre d’écho, et s’estompait finalement quand elle arrivait tout en bas.
Moi qui suis un visuel avant tout, à la rigueur un olfactif, je relie ma mère à des souvenirs auditifs. Les 33 tours de « Satch plays Fats » — des mélodies de Fats Waller jouées par Louis « Satchelmouth » Armstrong, un récital d’Yves Montand à Bobino, je crois, et le Cyrano de Bergerac de Daniel Sorano. Elle n’avait pas grand chose d’autre, et j’ai appris par cœur, très vite, ce que j’entendais — et que je sais toujours : « Mon cœur ne vous quitta jamais une seconde », « What did I do / To be so black and blue », ou « Rappelle-toi, Barbara ». Les pédagogues qui prétendent aujourd’hui que le par cœur ne sert à rien sont juste des gros khonnards.

Et puis le bruit des engueulades — nombreuses, corsées, volcaniques. J’ai compris très vite que c’étaient des preuves d’amour — et de fatigue. À force de se lever à 5h1/2 pour courir après les bus une heure plus tard, et rebelote en fin de journée…

Ah si, une phrase jetée comme ça, « ne regarde pas » — ce qui m’a incité à y regarder deux fois : nous avions dîné au mess de l’Evêché (la maison Poulaga de Marseille) où travaillait mon père, il y avait des limaçons dans la salade, nous rentrions à la nuit tombée, et au milieu du Panier, un type achevait de mourir, découpé à la mitraillette dans l’un des règlements de comptes FLN / OAS qui ensanglantaient la France de 1961. Il n’y avait presque pas d’éclairage urbain, dans ce quartier alors misérable, et le sang pour moi, dans ma mythologie intime, est resté noir. Comme dans les films de la même couleur, et dans Sueurs froides, qu’elle m’emmena voir en 1959 par amour de James Stewart. J’avais 6 ans. J’en fis des cauchemars persistants. C’est là que le petit garçon auditif est devenu un visuel pur. Je lui dois au fond mon attirance pour un certain cinéma — le bon. Je recherche sans doute — en vain — dans les films d’aujourd’hui la même qualité d’émotion que dans ceux d’autrefois, quand je me cramponnais à son bras pour être tout à fait sûr que je n’étais pas aussi seul que Bambi.

Ah si, l’auditif est revenu quand au milieu des années 1970 elle a été embauchée pour taper la thèse de mon père, sur le Cardinal de Retz — en cinq exemplaires avec des carbones. Les khonnards susdits, ceux qui vont voter EELV, le parti qui méprise les « boomers », ignorent sans doute ce qu’était un carbone — avec ou sans Spirito.

Tout cela sans suite ni logique. « Mémoire involontaire », dit-on des effets de madeleine chez Proust. Tiens, ma grand-mère maternelle, justement, s’appelait Madeleine.
C’est d’ailleurs dans sa tombe que l’on glissera lundi le cercueil de ma mère, morte le 5 mai d’avoir vu mourir mon père il y a quatre mois. Me voici orphelin à temps plein.

Jean-Paul Brighelli

762 commentaires

  1. On ne saurait l’être à titre temporaire — dans un monde normal, en tout cas.
    Je suis, pour ma part, orphelin à la Schrödinger : je ne sais si mes immondes géniteurs sont morts ou vivants, et frankly, I don’t care. Vous avez de la chance de pouvoir éprouver de la peine.

  2. Quand on perd sa maman, on redevient tous -pour un moment- un petit garçon.
    C’est sans doute ce que les mamans auraient voulu.
    Amitiés.

    • (Revenez, Josip, sous une forme ou sous une autre. Vous manquez.)

  3. Condoléances. Ils se sont suivis un peu plus rapidement que les miens, voici vingt-cinq ans et vingt-six ans. Il faut réaliser alors qu’on est en première ligne désormais.

  4. La mort comme prolégomène à la vie future ? Ou la mort comme prolégomène à la remémoration de la vie antérieure ?

    On a le droit … entre deux douleurs de choisir la moindre !

    • Postulat de Stendhal envers la douleur et le malheur :

      « A Mme LA COMTESSE DE TASCHER, A PARIS

      Paris, le. Juillet 1838

      Madame,

      PERMETTEZ-MOI de vous dire que j’adore votre courage. Je l’ai appris avec un transport de plaisir dont il est peut-être indiscret de vous faire part, mais qui m’a vivement ému. Soyez convaincue, Madame, que lorsque le malheur arrive, il n’y a qu’un moyen de lui casser la pointe, c’est de lui opposer le plus vif courage. L’âme jouit de sa force, et la regarde, au lieu de regarder le malheur, et d’en sentir amèrement tous les détails. Il y a du plaisir à avoir la seule qualité qui ne puisse pas être imitée par l’hypocrisie, en ce siècle comédien. »

  5. Autre postulat de Stendhal : la tristesse c’est la vieillesse !

    « A Mme JULES GAULTHIER,

    A MOUSSY (Marne)

    Paris, le 7 Octobre 1836.

    Je me moquerais bien, ma chère amie, que Julie fût envieuse, si cela ne nuisait pas à son bonheur. Mais la vue du bonheur des autres rapprochée de celle de notre mauvaise position, engendre subito du malheur.

    Je rentre pour vous écrire je suis horriblement pressé et bien fâché de votre absence. Quand revenez-vous ? Je ne partirai qu’en décembre, peut-être en janvier. Envoyez-moi une description exacte de ce que vous faites, surtout ne songez jamais aux choses tristes : c’est la vieillesse. »

  6. Condoléances.
    «Ce doit être ici le relais
    Où l’âme change de chevaux.»

  7. On ne meurt pas vraiment lorsque l’on n’est pas oublié des siens…

  8. Pour vous, pour elle. Courage.

    « Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,
    Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,
    Afin que vif et mort, ton corps ne soit que roses. »

  9. Au sujet du service qu’on doit aux morts, doit-on fêter en Europe le 8 mai 1945 ? Qui évoque plus de souvenirs douloureux que de réels bonheurs !

  10. Billet touchant car Jean-Paul est sans doute sincère quand il écrit cet hommage dédié à sa défunte mère, mais ces « sensations » mémorielles retrouvées sans les avoir cherchées, ces souvenirs ressurgis de cette vie derrière soi maintes fois couchés sur le papier par les écrivains orphelins de fait dont il se prétend compagnon de route, empruntent des sentiments à un patrimoine de sentiments canonisés par la littérature qu’il pratique depuis son enfance. Ça me gêne un peu. On dirait que ses affects ne reposent que sur des sentiments fabriqués, des sentiments de seconde main, des sentiments artistes. Fabriqués sincèrement, sans doute, mais fabriqués.
    Toute mon amitié condoléante.

  11. Je remercie très sincèrement tous ceux qui m’ont offert leurs condoléances…
    Et je remarque une fois de plus qu’il est vraiment impossible d’écrire quoi que ce soit sans s’attirer les foudres d’une partie des commentateurs. Si l’un trouve que ce que j’ai écrit sur ma mère était plein de sentiment, tel autre me suspecte d’un discours « littéraire » qui ôterait toute valeur de spontanéité (et depuis quand la spontanéité est-elle une valeur, quand on écrit ?), telle autre que j’ai invisibilisé la femme dont je parle en ne la nommant pas, tel autre…

    Comme l’année dernière, quand j’avais cru bien faire et divertir les lecteurs en proposant quelques chapitres du roman-feuilleton que j’écrivais alors.

    Franchement, c’est compliqué — parce qu’aucun de ces critiques zélés ne se risque à faire œuvre, c’est bien plus commode d’être dans la critique et le ressentiment. Et sous pseudonyme, en général. C’est bien commode.

    • Tenez compte des messages de sympathie qui vous ont été adressés sur votre boîte électronique; il existe un « domaine privé ».

      Certains messages postés ici en disent beaucoup sur la personnalité de ceux qui les écrivent;
      s’ils ne vous paraissent pas fréquentables, ignorez-les.

    • @JPB (no answer required nor expected) :
      — « une partie des commentateurs » : à cette heure, j’en compte un seul — et ce n’est pas même pas moi, car je vous envie vraiment d’éprouver une peine contenue mais perceptible. N’avoir pas écrit « condoléances », comme tout le monde, tient au fait que s’exprimer ainsi, en public et sur Internet, relève du comportement obligé, assez dépourvu de sens sauf pour ceux qui, comme apparemment ce M’sieur Lormier et quelques autres, sont de vos amis ou relations.
      — « aucun de ces critiques zélés ne se risque à faire œuvre » : qu’en savez-vous ?
      — « sous pseudonyme » : c’est le texte qui importe, pas sa signature. Voudriez-vous les parchemins, pendant qu’on y est ? Donnez ici votre adresse électronique et vous aurez mon nom de simple rien heureusement inconnu de tous les milieux intellectuels.
      Blague à part, pour en revenir au vrai sujet du billet, je pense vous comprendre : deux coups durs en quelques mois, ce n’est pas drôle. Contrairement au mot fameux, cela ne « passera » pas, mais cela s’atténuera. Heureusement, les spécifiques existent : le temps, le travail et les livres.

      • « apparemment ce M’sieur Lormier et quelques autres, sont de vos amis ou relations. »
        Lormier ne connaît pas Jean Paul Brighelli.

        « Donnez ici votre adresse électronique et vous aurez mon nom de simple rien… »

        Pour pouvoir commenter, vous avez forcément donné votre adresse électronique; si Brighelli veut vous contracter directement, il le fera.

        • @Lormier : Ce n’était pas un affront, et on pouvait en forger l’hypothèse.
          Parce que vous donnez votre véritable adresse, vous ? 🙂 J’irais bien ajouter que vous ignorez la paresse et l’incompétence générales des gens des départements informatiques.
          (Incidemment, je vois d’ailleurs mal l’intérêt pour M’sieur JPB de me *contacter*, sauf s’il voulait le nom d’un rien qui ne fait que passer.)

          • Mais je n’ai pas pris votre message pour un affront;j’ai seulement voulu préciser les choses;je n’ai jamais rencontré le Maestro en personne,voilà tout.
            « Parce que vous donnez votre véritable adresse, vous ? »
            Je ne sais pas ce qu’est une « véritable » adresse électronique; une adresse électronique, « véritable  » ou non, permet la réception et l’émission de messages.Il suffit qu’elle soit « valide ».

    • Sincères condoléances monsieur Brighelli. Quelque soit l’âge d’une maman, quand elle s’éteint, c’est un chagrin irréversible. Votre chance a été de la garder longtemps. Je suis très touchée par vos jolis souvenirs et je plains les pisse-froid qui en ces moments là trouvent malin de ricaner. Ils ne survivent que par la critique et manquent sérieusement de pudeur. Votre roman de cape et d’épée m’avait enchantée, moi. Sans doute que ces beaux esprits se sentaient plus à même de juger…
      Votre mère va vous manquer mais elle restera toujours vivante dans votre esprit tant que vous vivrez.
      Je compatis sincèrement à votre tristesse.

  12. Cessez donc d’être affecté par le moindre des écrits sur ce blog ou ailleurs.
    Comme je l’ai dit supra, vous êtes en première ligne, plus de giron maternel même symbolique. Alors assumez car vous savez qu’il en sera toujours ainsi, qu’il y aura toujours des mécontents, des envieux, des aigris pour venir s’exprimer chez vous car où pourraient-ils le faire ailleurs ?
    Ces départs qui vous affectent à si peu de temps d’intervalle devraient vous endurcir un peu vis-à-vis de l’inessentiel que représentent tous ces écrits. Non ?

    • Certes — et en même temps ça m’encourage à me désengager du monde. Parce que comme vous le dites, l’essentiel n’est pas là.

  13. C’est un peu vrai quand meme ce.que vous écrivez
    Enfin quand on se mouille à écrit, ce n’est pas toujours si simple.

    • …. de ne pas tenir compte des réactions que cela suscite, à l’écrit ou autrement.

  14. Le fantôme d’Hervé est tellement distancié, tellement dans le second degré, tellement dans le métalinguistique, que pour lui une douleur authentique verbalisée sous une forme autre qu’un cri ne peut être que le produit d’un artifice et d’une artificialité littéraires.
    Il est le clonage moderne du personnage de l’acteur ridicule Josef Tura, imbu de sa personne jusqu’à la boursouflure, qui ne conçoit son existence que comme une théâtralité permanente, dans le chef d’oeuvre de Lubitsch « To be or not to be ». Les cinéphiles me comprendront.

  15. Pas grave…
    L’usager de blog se sert d’un outil numérique hyper-puissant, très ouvert, qui permet aux sages comme aux cons de passer le temps en attendant la mort !
    C’est tout ! Distraction pure, maitrise réduite…

    Là comme ailleurs, prendre le bon, rire du mauvais, et ne pas abuser du hasard chaotique qui anime tout agora numérique, si peu sérieux !

  16. C’est tout simplement immonde d’écrire ce qu’a écrit Fantôme d’Hervé, choquant, indécent, stupide. Pauvre type. Jusqu’à la formule calculée de fin de message pour ne pas faire comme tout le monde.
    L’empathie d’un sac de patates.
    Stronzo, crepi !

    • Tiens, je viens de constater que nous avons choisi la même qualification de « pauvre type » à l’égard du puceau post-ado autocentré.

  17. Brighelli, cessez de vous tourmenter sur votre écriture. Vous écrivez très très bien, remarquablement bien et vous le savez. Et vous avez l’admiration de vos fidèles ici, et c’est cela qui compte, mon capitaine !
    Courage à vous pour tout ce qui vous arrive.

  18. Si Brighelli avait écrit « Maman est morte aujourd’hui » on aurait dit « Il se prend pour Albert Camus et il vise le Nobel ! »

    Difficile de contenter tout le monde et son maître !

  19. « « Ce que je ne comprends pas, Stevie, me dit-elle, c’est ce qui te pousse à écrire des bêtises pareilles. Tu as du
    talent. Pourquoi le gâcher ainsi ? » Elle tenait un exemplaire roulé du V.I.B. numéro 1 à la main et le brandissait
    comme elle aurait brandi un journal roulé pour menacer le chien venant de pisser sur le tapis. Elle attendit que je
    lui réponde – je dois dire, à son crédit, que sa question n’était pas entièrement rhétorique –, mais je n’avais rien à
    offrir pour ma défense. J’avais honte. J’ai passé pas mal d’années par la suite – trop, j’en ai l’impression – à
    avoir honte de ce que j’écrivais. Je crois que j’ai dû attendre d’avoir quarante ans pour me rendre compte que la
    plupart des auteurs de fiction et de poésie ayant publié ne serait-ce qu’une ligne ont été un jour ou l’autre
    accusés de gâcher le talent que Dieu leur avait donné. Si jamais vous écrivez (ou peignez ou dansez ou sculptez
    ou chantez, peu importe), il y aura toujours quelqu’un pour essayer de vous faire croire que vous êtes un
    minable, c’est tout. Je n’invente pas : ce sont les choses telles que je les vois. »

    Stephen King – Ecriture, Mémoires d’un métier.

  20. En ce qui concerne les sentiments ils sont irréductibles – non négociables démocratiquement !
    En ce qui concerne les qualités de style, elles sont ou non signées – s’il faut un parapheur soit ! Mais alors l’écriture bureaucratique et le style administratif sera le seul signe de distinction autorisé … ce sera le communisme de l’écriture, camarade citoyen !

    Le tovarich Brighelli a tendance à se distinguer avec un style bourgeois antidaté et poussif – il sera rééduqué en camp dans notre Kamtchatka littéraire comme le nommait si bien le bon Sainte-Beuve !

  21. A force de dénigrements la France reprend du poil de la bête !

    Ca valait le coup d’élire Macron qui à salir les tapis de l’Etat finira bien par lui donner un coup de fouet salutaire …. on pourra commencer le grand ménage !

  22. Tutto a te mi guida ( tout me conduis vers toi) c’est qu’a dit Axel de Fersen à sa bien aimée : Marie Antoinette ( reine de France et femme de Louis XVI)
    J’espère , aussi, c’est qu’a dû penser votre mère à votre père pour le rejoindre 4 mois plus tard.
    Mes sincères condéléances.

  23. Mes condoléances les plus sincères.

    Courage, encore. Vous avez montré maintes fois, sur ce blog ou ailleurs, que vous n’en manquiez pas.

  24. Au risque de casser l’ambiance, je trouve qu’hervé n’a pas totalement tort. Ce que raconte Brighelli est assez convenu, communément attendu. Il ne manque plus que l’odeur des croissants chauds de la boulangerie à l’angle de la rue qui le menait à l’école le matin. Mais :
    – il n’est pas exclu que certains aient eu une enfance banale, hein ; tout le monde n’a pas des parents suffisamment tarés pour vous flanquer un précepteur ;
    – d’où hervé nous pond-il qu’un texte, sans grande prétention littéraire (me semble-t-il), est un répertoire de sentiments éprouvés en propre ? qui n’a jamais joué les Cassandre en se pensant Démosthène ou charbonné trois gonzesses dans la même soirée en se pensant San-Antonio ? et réciproquement, qui n’a jamais pris plaisir à décrire son combat en se référant à Démosthène et ses bêtes à deux dos en se référant à San-A ? paraît qu’on pourrait même nommer ça l’extra- et l’intertextualité… ;
    – il y a des choses qui se disent et des choses qui ne se disent pas, selon le kairos.

    Bref, encore une fois avec hervé, question d’insertion dans la communauté, d’adaptation à la norme sociale — cela expliquant ceci. Il y en a qui sont Proust et d’autres qui sont simplement asthmatiques.

  25. Brighelli écrit bien, excellemment bien même, mais souvent des conneries.

  26. Allez camarades, suçons Brighelli, et tous contre hervé — ça lui plaira en plus.

  27. Le piège mis en place par les zérotorités consistent à laisser les mimiles/germaines partir en vacances en masse, cet été. Ils se covidiront et on les enterrera à même nos belles plages avec des tractopelles achetées avec le pognon de dingues de la relance.

    Les autres seront vaccinés et survivront. Ils continueront à bosser pour payer nos pensions et finiront par crever d’autre chose que du covid.

  28. Hervé, alias le mr2, est une petite frappe emphatique et boursouflée. Qu’il crève de sucette imposée par sa pouffe.

  29. Et pendant ce temps, cahin-caha, la vie sur Terre continue !

    http://dl.free.fr/bs47rRaNU

    « Pourquoi les astrobiologistes sont-ils surtout des astrophysiciens ?
    Les biologistes commencent à peine à se saisir de ces questions. Il faudrait qu’ils viennent nous aider à mieux comprendre l’émergence et l’influence du vivant sur une planète. Je suis dévoué à cette cause car, depuis l’année dernière, avec Régis Ferrière, nous donnons des cours pour les étudiants de master en biologie à l’Ecole normale supérieure, afin de leur montrer qu’il y a pour eux un cadre à investir, autour de la modélisation d’écosystèmes extraterrestres. »

    • Vous avez inclus dans vos proba celle qui consiste à voir débouler le morceau de fusée chinoise sur votre toit ?

  30. Vous voudriez que JPB se défasse une bonne fois de son manteau littéraire pour que son petit coeur soit mis à nu ? Ca va être compliqué sauf s’il devient amnésique …

  31. A la fin Baudelaire avait une ambition démiurgique : il voulait mettre son coeur à nu ! Et il ne put éructer sur son lit d’agonie que des « crénom ! » retentissant pour le plus grand scandale de sa mère.
    Un enfant au fond est destiné à scandaliser sa maman qui ne le sait pas en le mettant au monde !

    • La littérature est une complication psychologique dans le destin d’un homme – il découvre le monde à travers les mots des autres, bien obligé, et il se les met en bouche comme il le peut !

      Certains préféreront les chiffres qui ne mentent jamais comme chacun sait.

      Heureusement certains ignorants à la fois les chiffres et les lettres le mal leur vient naturellement dans le coeur sans complexité excessive.

    • Ca c’était une allusion à Molière je crois toujours d’actualité, aux Précieuses ridicules qui n’ont pas d’âge et à un article faussement candide du « Monde » posté par Dugong où Naomi Klein pleurnichait sur la grande barrière de corail – en Australie – que peut-être son fils voyait pour la dernière fois parce que « fi le goujat de pauvre polluait la planète » pendant qu’elle faisait tout son possible pour la sauver grâce à son verbiage mondain !

    • Je ne vous souhaite pas d’avoir à le connaître pour le comprendre un jour. Sincèrement. Si toutefois cela devait se produire, ce ne sera pas vous le perdant.

    • Et si ces interventions lui font comprendre que la posture qu’il occupe par le vouvoiement l’oblige aux gestes qui accompagnent la pratique, au risque de se faire passer pour un marquis poudré carnaval dans le cas contraire, si ce sombre **** prend conscience que la plus élémentaire des correction vis à vis des féaux qui ne seraient pas agrégés, ne le compromet pas. Tant mieux !

  32. Il s’agit d’une chauve-souris maléfique qui a chié sur le museau d’un pangolin dans un marché chinois situé juste à côté -mais c’est un pur hasard- d’un labo qui faisait des recherches sur les coronavirus. Si vous ne croyez pas à cette version officielle, c’est que vous êtes un néonazi complotiste et pédophile.
    Le pangolin, voilà l’ennemi. Demandez donc à votre époux: il a été mordu par un pangolin-garou et, depuis, chaque nuit de pleine lune il se déguise en Président de la République et vous appelle Alexandre. La suite n’est pas racontable.

  33. héros et héroïnes – des temps présents et futurs :

    y’a Greta la (s)tressée, la cassandre,
    mais y’a aussi Elon, qui nous promet la lune, enfin Mars (en attendant les étoiles) ;
    vive l’asperger !

  34. Eh bien stylistiquement, ça ne vaut pas tripette.
    Conséquemment, ça ne touche pas.
    Mais comment vous faire comprendre ça ?
    Quant à votre mère (c’est ça, l’allusion ?) personne ici n’en a jamais rien su — pas plus moi que les autres. Désolé, sincèrement…

  35. Ce genre de scène est de plus en plus fréquent.
    Pour ma part, j’ai décidé de ne plus échanger avec les covidistes: on ne peut pas davantage dialoguer avec eux qu’avec un fanatique islamiste.
    Dès qu’une réserve est émise, c’est l’anathème et l’excommunication, faute de pouvoir jeter au bûcher l’hérétique. Du moins pour le moment.

  36. Couilles, Bambi, marquis poudré, petite fille? Et quel appareil avez-vous prêté à JPB et qu’il ne vous a pas rendu? Je crains de ne pas être compétent pour vous suivre.

    • Un problème d’élimination des spams. Je maîtrise mal cette maquette.

      • Et le filtre ose considérer ma prose comme du spam mais pas celle de cyrano ? Bah !

        • Normal, le contenu de votre prose doit passer par la station d’épuration.

          • L’occasion de rappeler le disparu (et alors sans réponse) : « Oh, vous risqueriez de partir ! »

            (Je sais, il est malvenu de répéter ses bons mots, mais ici on annonce les contrepèteries, alors le bon goût…)

  37. Quoi ? On me censure parce que je parle de double voire de triple allégeance ? Qu’est-ce sera alors quand je vais parler d’Hunter Biden, de la drogue, du sexe, de sa maîtresse-espionne chinoise, des 11 millions versés à la famille de Joe par les Chinois plus les 10% au fils !

  38. transmissions et réceptions de messages un peu compliquées, semble t’il ?!
    pourtant bien fini le temps du « Houston, nous avons un problème » – l’actuel chef de cabine (de l’Iss), maîtrise, lui, très bien les choses.

  39. Avant la censure ici ça ressemblait à des dialogues de sourds – maintenant ça ressemble à des dialogues de dingues ! On progresse en somme …

  40. Tout est toujours à retisser ! Etonnez-vous que la raison soit perpétuellement à la ramasse !

  41. Chaque fois que je poste ici la Stasi des Gafam m’avertit que je viens encore de polluer la planète avec 0,00006 grammes de CO2 et que je devrais avoir bien mauvaise conscience d’insister aussi lourdement à détruire la Terre au lieu de me jeter dans la Seine !

  42. Ceci dit j’avertis JPB que les Gafam disposent d’immenses fermes de serveurs sur lesquels nos innocents bits sont stockés pour l’éternité ou quasi ! Tout se payera à la fin des temps …

  43. Le système fonctionnait très bien tant qu’on pouvait spéculer sur la culpabilisation chrétienne : certains acceptaient de perdre au nom du bien public !
    Mais maintenant où plus personne ne peut croire à la doctrine du péché qui va se dévouer jusqu’au sacrifice ?

  44. De Caroline Fourest (je suis fan de cette femme), un petit ouvrage qui dézingue les racialistes et la « cancel culture » : le titre est « Génération offensée ». A lire absolument, à distribuer autour de vous, à envoyer à Mélenchon, Faure, Hamon et tous les autres pour qu’ils comprennent ce que signifie « être vraiment de gauche » !

    • Fan également. Elle fait preuve d’un authentique courage, intellectuel et physique.
      Et il en faut pour défier depuis tant d’année fascistes nationalistes et fascistes islamistes.

    • Surtout sans doute pour qu’ils comprennent qu’ils ne sont absolument pas de gauche. Et qu’on les « classe » où on veut, mais pas là. Comment peut-on prétendre lutter contre un mal en le promouvant, en transformant ses victimes en bourreaux ?
      Comment Mélenchon a-t-il pu tomber dans un tel traquenard ?

      • Mélenchon n’est pas tombé dans un traquenard. C’est un vieux routier de la politique, roué et cynique. Simplement il a compris que les prolétaires votaient massivement RN et (jurisprudence Terra Nova oblige) il recrute désormais son électorat dans l’extrême-droite musulmane.

    • Un grand linguiste, c’est 1,90 m et au-dessus ? Un grand linguiste suisse c’est quelqu’un qui pisse au moins aussi haut que le jet du lac de Genève ? Que dire de tous ceux qui doivent se courber en deux pour visiter les chapelles votives de la linguistrerie ?

      Quelles sont les lois qui régissent les métriques dans l’espace des grands linguistres ?

      • Il me semble bien, Dugong, avoir lu sous votre plume que les « grands » esprits offraient, aux esprits moins brillants qui les fréquentent, la possibilité de se voir parfois « juchés sur les épaules de géants ». Disons alors que les deux linguistes dont il est question sont des géants. (Qui peuvent avoir parfois, puisqu’il s’agit de sciences humaines, des pieds d’argile.)

  45. @ Gus et Beer-Lambert
    Merci de vos paroles aimables. Je reviens m’exprimer ici avec plaisir.

  46. à Jean Paul Brighelli:

    Lundi,une jounrée douloureuse,difficile pour vous;on pensera à vous.

    • Merci beaucoup ! Oui, la journée sera longue — et pluvieuse, de surcroît.

    • Tant qu’on ne décrit pas le process précis menant d’un préfet à un sac de nitrate d’ammonium, on ne progressera pas.

  47. Poubelles spatiales (suite)

    La rentrée de toufriquet dans l’atmosphère terrestre en 2022 va-t-elle occasionner la chute incontrôlée de débris ? Ces débris vont-ils s’abimer dans l’océan indien ? Quel impact de la loi Climat et Résilience ? Y aura-t-il un révérend dumdum ?

  48. Aujourd’hui ont lieu les obsèques de la mère de JPB
    Je n’ai jamais été doué pour les condoléances ou même les doléances ; me d’être là où a proximité surtout après
    Bref je m’étais commis lors du papier concernant le.deces de son père, j

    • je l’ai regretté après.
      Bref.

      Saloperie de smartphone, même un jour comme ça il s’y met

  49. Ca n’a l’air de rien les électrons ! Mais 2h30 du matin panne générale de courant dans mon immeuble – je suis non seulement dans l’obscurité mais coupé de moi-même et du monde !
    Imaginons une panne générale des électrons : plus moyen de faire un mouvement, notre corps paralysé ! Et les astres de même … quel désastre !

    • Si vous songez que l’humanité a ignoré pendant quelques millions d’années les électrons, on se dit que le gouffre insondable des choses indispensables mais dont on ignore le b.a ba est assez profond encore !

      • Attention ! camarade proton et toi peu estimé camarade neutron, c’est de l’humour ! On vous aime bien aussi tous les deux, ne vous mettez pas martel en tête pour si peu !

    • Panne de courant et vous êtes coupé de vous même ????
      Merde alors, Pierre Driout est un être mi homme mi machine ou un truc du genre

    • Driout dans un remake de « Ravage », roman pétainiste de Barjavel. On imagine son bonheur.

  50. Sincères condoléances pour votre mère JP. Évidemment, pour vous, c’est lourd car il est très douloureux de perdre ses parents, quels que soient leur âge et le notre.

    B de Chartres, que vous citez de temps à autres, écrivait que nous sommes des nains hissés sur des épaules de géants. Alors nos parents, nous leur devons la vie biologique, mais souvent encore plus. Seuls les êtres sans culture et sans racines ne peuvent pas comprendre que des parents sont bien plus que des géniteurs (même d’apprenants comme disait un ci-devant crétin-ministre).

    Pour des époux ayant sans doute partagés le pire mais surtout le meilleur, partir l’un derrière l’autre, c’est beau, au moins sous certains aspects, presque littéraires.

    Alors, même si je comprends la difficulté —en vieillissant, je supporte de moins en moins les khons—laissez braire et continuez à écrire, c’est un espace de liberté. Comme on dit dans le pays qui m’a vu naitre et auquel ressemble de plus en plus le notre, « les chiens aboient et la caravane passe ». Il serait juste agréable que les chiens soient polis avec leur hôte, même et surtout quand ils ne sont pas d’accord avec lui, ce qui est parfois mon cas.

    En attendant, voici un message gouvernementeur « le circus virule toujours ».

    • Ca me fait penser à ma voisine, secrétaire du cabinet médical, je vais la voir ce matin pour lui demander si elle avait du courant électrique – je n’ai pas encore mis le pied dans le cabinet qu’elle me dit : on n’entre pas sans masque !

      Si le feu se déclare dans l’immeuble je n’irais donc pas la déranger … au cas où je trimballe des virus avec moi !

      C’est là où l’on se dit que le conditionnement prend toute sa force ! S’il est plus fort que toute réalité tangible …

  51. Il me paraît évident que centrer toute vie sociale autour d’un virus n’est pas vraiment du domaine de la raison mais plutôt de la pathologie mentale !

    Comment une société avancée peut-elle s’asphyxier ainsi sous l’emprise de la peur ? C’est un beau cas sociologique !

    • Tout à fait d’accord. Quelques décennies de télévision ont bien fait leur travail. C’est « TV lobotomie » du génial Michel Desmurget.
      Le prochain dictateur qui voudra rendre le peuple libre devra régler ce point. Interdiction des journaux TV ? Test de QI pour y avoir accès ?
      Avis aux amateurs.

  52. On a quelquefois l’impression depuis le début de cette crise entièrement artificielle du covid-19 de vivre dans un conte d’Edgar Poe – comme la méthode du docteur Goudron et du professeur Plume – quand les fous ont pris le contrôle de l’asile et retiennent le personnel sain d’esprit en otage !

  53. Auparavant cette crise – qui est une crise de société avant tout – il y avait le système hospitalier, avec ses hôpitaux généraux pour les malades du corps et ses hospices particuliers pour les malades mentaux – à l’extérieur la vie sociale suivait son cours sous des modalités diverses.
    C’est à dire qu’on y organisait la liberté – toutes les libertés bourgeoises ! Je ne vais pas les énumérer.
    Maintenant on organise la pénurie des libertés !

  54. En ce 10 mai, célébrons le 40e anniversaire de l’arrivée réussie de la mitterandie au pouvoir.
    Un mandat plus tard, à la télévision française, nous pouvions entendre ceci, le 30 octobre 1989 :https://m.ina.fr/video/I06334668/jm-le-pen-sur-l-islam-et-l-espace-chretien-video.html?fbclid=IwAR3ZXPprIrL9bzTfW68wrmFtZYPIf3m_1iV1T2vzmBZy6EMnlZ-Sz8gSeZA

    Force est de constater que l’interviewé avait tort, la situation actuelle nous le prouve…

    Il est vrai que le regroupement familial n’est pas une conséquence du 10 mai 1981 mais était déjà lancé par VGE et Chirac depuis plusieurs années. Il s’est juste amplifié et des stars comme Arsène Délire ont pu apporter leur bonne parole, adoubés et financés qu’ils étaient.

    Sous peine de mourir idiot, il est très intéressant de suivre les débats politiques des années 80 à 2000. En résumé : si vous dites que l’Islam ou Maastricht seront demain de vrais problèmes, vous êtes un facho suppôt de JMLP ou même de Pétain. Aujourd’hui on dit complotiste mais l’effet est le même. Il clôt le débat. Alors, circulons et attendons la Charia. Il ne faudra pas attendre longtemps, elle est déjà là dans certains quartiers. Amen.

    • Ce n’est pas seulement la charia ! C’est à coup sûr la destruction des structures politiques que nous avons eu tant de mal à mettre sur pied depuis 1789 !

      Il faut saisir que 90% de la population est d’une ignorance abyssale en matière politique et historique ! Elle croit que … les choses existent de toute éternité !

      • Il n’y a pas plus anti-naturel, pas plus artificiel qu’une construction politique démocratique – la tendance naturelles des sociétés humaines est de s’organiser autour d’un principe autoritaire de principe qui fait fi de la discussion !

        • Redoublement du mot principe – en fait j’aurais dû dire principe de droit divin – tout le monde aurait saisi !

      • Elles ont raison !
        Les choses existent depuis toute éternité…

        Un Driout nouveau remplace celui qui se retire.
        Rien ne change, vraiment !

        • Je ne suis qu’une petite somme d’électrons, de neutrons et de protons ! Le dénommé Driout est une fiction Jicé vous le savez bien ! Seul vous vous rayonnez car vous avez avec vous la force divine de l’inspiration !

          Vous êtes radio-actif en somme ! Le noyau de tous les éléments intellectuels ..;

    • Au nom des droits de l’homme, renions ceux de la femme. La charia est à nos portes, ce n’est qu’une question de temps pour qu’elle s’impose à tous, avec la complicité active de pas mal de responsables politiques de tout bord hélas.
      Ou ils ne mesurent pas les conséquences, inconséquents qu’ils sont, ou ils s’en moquent parce qu’ils ont les moyens de s’y soustraire.
      Comme toujours, quoi.

  55. Il y a une théorie politique qui se fait jour que j’appellerai « théorie englobante » où le contrôle sanitaire devient permanent et est un des éléments du contrôle social.

    • Il semble sans beaucoup m’avancer que les « autorités » veulent absolument perpétuer un contrôle sanitaire au moyen d’un pass définitif qui serait associé à chaque citoyen dans chaque activité sociale voire plus si affinités – car maintenant que les objets connectés envahissent les maisons depuis le compteur Linky jusqu’au réfrigérateur on peut avoir l’ambition d’un contrôle domestique aussi !

      • Surtout qu’avec votre pédigré viral complet, vous passeriez assez vite à l’état de poudre alimentaire pour bétail.

        • Vous blaguez ? Je suis une rente de situation pour les producteurs de poudres chimiques !

  56. Le Vespéral profite de l’anniversaire du 10 mai 81 pour nous passer un coup de Lang sur le museau

    http://dl.free.fr/wBE8cqcYK

    « La douche froide lui [Lang] tombe dessus en 1989. Qu’elle jaillisse de ses propres troupes n’arrange pas les choses. Le ministère de la culture publie, en effet, une vaste enquête sur les pratiques culturelles des Français. Huit ans après l’arrivée aux affaires de Lang, le bilan est douloureux : l’intensification de l’offre culturelle n’a pas réduit mais aggravé la fracture entre riches et pauvres. Les premiers vont encore davantage au spectacle ou au musée, les seconds moins. »

  57. 10 mai…
    pour la petite histoire, je rappellerai l’arrivée, dans ma boîte, de la nouvelle tête socialiss, qui a commencé par dépenser qques centaines de milliers (de francs) à tout faire repeindre et à changer la déco,
    puis, de celle du n°2, le petit et rondouillard rejet de mai 68, Geismar (je l’ai déjà dit), avant le gaspillage de millions qui allaient suivre ;

    je garde, au moins, le souvenir du la soirée de la « victoire », où le métro débordait de gens heureux, qui se parlaient, se souriaient, chantaient, bref un bonheur rare…
    … avant des lendemains qui allaient les faire sacrément déchanter ;

    il y avait encore, en ces temps là, qques « débats », un mot qui a maintenant ENTIEREMENT disparu de l’univers médiatique car, si vous n’êtes pas d’accord avec le mainstream, il n’y a RIEN à discuter, vous n’êtes plus qu’un COMPLOTISTE, l’ennemi à abattre ; point à la ligne.

  58. Le 10 mai 1981 c’est Jack Lang qui vous a installé l’éclairage Dugong ?

  59. Oui je vous le dis en vérité, le 10 mai nous sommes passés des ténèbres à la clarté supérieure ! Entre ici Jack (Lang), Robert (Badinter), Pierre (Mauroy), Pierre (Bérégovoy), et toi et toi et tous les autres porteurs de vos flambeaux citoyens, républicains, européens, universels ! Entre ici dans la lumière des téléviseurs !

  60. Du point de vue de la multiplication des chaînes de télévision on ne saurait dire que les fruit n’ont pas passé les promesses des fleurs – on est passé de trois chaines nationales à un bouquet garni de centaines de chaines pour la grande majorité étrangère !
    De là à dire que l’intelligence politique des Français en a été multipliée …

    • C’est la fée électricité qui fait tout maintenant. Aucun prince charmant ne la réveillerait en la prenant. Trop de risque de se faire plainter derrière…

  61. trahisons –

    après la gauche (pas celle de Josip, bien sûr), et la kulture
    (on doit quand même à Jack, outre la fête de la musique pour le peuple 😊, la superbe réussite du bicentenaire 1789-1989, je l’ai déjà dit ici),

    suite de la gauche et l’économie,
    avec cette « lettre ouverte des élus du Territoire de Belfort et de la Région au Président de la République » qui rappelle que,

     » le mix énergétique français repose principalement sur le nucléraire (76.5 %), l’hydraulique (9.8 %) et le gaz (8.4 %) ; ce sont pourtant ces secteurs qui sont les plus touchés par les délocalisations d’emplois de GENERAL ELECTRIC ; ces faits sont inquiétants pour l’avenir de notre parc nucléaire et hydraulique et notre capacité à le maintenir en état de marche… »

    Encore donc un grand merci au roitelet (et consorts), d’avoir vendu Alstom à GE – ce même roitelet qui nous annonce une dernière… « année utile » avant 2022, yep !

  62. Qu’y a-t-il de moins sexy que le chevènementisme aujourd’hui ? (bis)

    • @berland-bear
      Votre question (posée avec ce qu’on imagine bien être une moue dubitative) « Que signifie exactement être de gauche ? » appelle une réponse un peu documentée, et assez substantielle. Vous l’aurez très bientôt ici même.

      • Ne vous fatiguez pas trop quand même : je sens l’OPA à plein nez, et c’est ce qui m’intéressait.

  63. Il était a école avec mon père et ses.copains.d’alors
    Il a fait flipper tout le.monde dans les Ardennes ; plein étaient a 2 doigts de commettre.des bavures même après qu’il soit arrêté (je n’étais pas toujours présent dans les Ardennes alors et vu que je n’ai pas une tête de bavure …) et sans être de la’police ou autre
    Son procès à mis en évidence la misère humaine (c’était comme être allé je ne sais où pour certains que d’assister aux audiences ) à gerber

  64. Fourniret est l’exception au théorème « perpétuité = période de sûreté ».

    • Attali est un baromètre inversé: il faudrait systématiquement faire le contraire de ce qu’il défend pour redresser la nation.
      Le mal que ce type a fait est incalculable.

      • Quid du mal qu’ont fait ceux qui l’ont écouté bouche bée et l’ont suivi comme le messie ?

  65. Faudrait quand même pas que le peuple se mêle de l’application des peines !

  66. Si comme les Brighellis vous avez un problème de morale, l’appel Don Juanesque de l’intello ayant succéder à l’appel pédophile, je ne peux rien pour vous.

  67. Rappelons qu’en matière de perpétuité-vingdezans (vl’a les flics ?) la palme revient à Mohamed Faleh, qui a reçu à trois reprises les félicitations du jury.

    Fourniret, certes lauréat de la mention spéciale « incompressible-trentans », est un petit joueur.

    • Tommy Recco est pas mal aussi : condamné à perpétuité, libéré, puis recondamné à perpétuité (sans confusion des peines, évidemment).

  68. T’as de l’orthographe mais tu es con, cela ne sert pas à grand chose, faudrait d’abord vous achetez un cerveau, on n’est pas rendu.

    • Ce n’est pas parce que le verbe est précédé de « vous » qu’il doit se conjuguer à la 2e personne du pluriel, monsieur Barron…

      • T’as de l’orthographe mais tu es con, cela ne sert pas à grand chose, faudrait d’abord vous acheter un cerveau, on n’est pas rendu.

  69. Arthur : Attali, le prophète –

    j’ai retrouvé dans mes papelards, furieusement annotée,
    la synthèse de la « commission pour la libération de la croissance française » (2010),
    – p. 5 à 12, c’est bien suffisant à lire –
    du volumineux : « une ambition pour 10 ans », « une mobilisation générale pour libérer la croissance et donner un avenir aux générations futures » 😊

    superbe final 😊 :
    « Notre rapport est terminé. Sa vie commence.

    Nous allons nous employer à l’expliquer, à le faire connaître, à interpeller les acteurs de vie politique et sociale pour demander qu’il soit mis en œuvre. Vite. Durablement.

    Parce que nous sommes convaincus que, s’il ne l’était pas, notre pays déclinera. Parce que nous sommes convaincus qu’il peut l’être, démocratiquement, sereinement, durablement.

    Parce que nous n’avons pas travaillé pour nous donner bonne conscience mais pour ouvrir un chemin. Puisse le pays s’y engager. »

    (décrypter la novlangue, un jeu amusant)

    http://www.attali.com/download/CLCF-RapportFinal.pdf

  70. Aujourd’hui c’est que du bonheur ! On enterre le 10 mai 1981 et on peut donc tourner la page vivement …

  71. Revenons aux choses sérieuses

    « année utile » : opération ‘on (re)localise’ !
    309 entreprises, enveloppes budgétaires de 850 millions d’euros, environ 39 000 emplois… (ouahou),

    ex :
    « Le groupe BEL, qui produit notamment La Vache qui rit, touchera ainsi une part de 77 millions d’euros distribués ce lundi, pour rechercher et peut-être un jour commercialiser des fromages élaborés à base de protéines végétales ». 😊
    (source : le figaro)

  72. Monsieur Brighelli,
    Ceux que nous aimons ne s’éloignent jamais tant qu’ils sont dans nos pensées.
    Sincères condoléances.

  73. Merci à celles et ceux qui ont bien voulu penser à moi aujourd’hui.
    La journée a été rude, comme disait ce pauvre Damiens.

  74. Oui c une journée pas facile , et surtout je vous adresse toutes mes belles pensées et mettez de beaux cailloux sur la tombe de vos parents , ça évitera que les lapins mangent les fleurs ?Bon courage a vous

  75. L’étrangeté de la mort a fait s’élever des murailles colossales qu’on appelle communément religions – elles disent un non massif à la mort ! – mais un peu vainement semble-t-il à l’échelle d’un individu moderne !

    • Je dirais plutôt qu’elles disent un non plus ou moins massif à la vie…

    • Les religions sont un remède parfait à la désespérance de savoir que le temps est compté pour le bolo standard, même riche…

      Ah ! vivre éternellement en Enfer dans les bras de Lucrèce Borgia, ah ! discuter à n’en plus finir avec Blaise Pascal au Paradis, ah ! s’enfiler mille siècles en Purgatoire en attendant la décision de ce con de gérant qui prend son temps… !

  76. Waouh putain, c’est pas vrai, encore un qui vient de nous quitter brutalement:

    https://www.leparisien.fr/faits-divers/le-tueur-en-serie-michel-fourniret-est-mort-a-79-ans-10-05-2021-A2RAORSLWBALHHVAYKEI3DAZT4.php

    Mon idole…Quoique, Francis H, pour moi, l’est un cran au-dessus, l’a encore moins d’amis sur Facebook que Michel F.
    J’ai toujours pris la mort de mes semblables à la légère, refusant de bercer mièvrement dans la compassion, sentiment souvent surjoué dont je fais un usage restreint, sauf envers les animaux, mes frères inférieurs.
    C’est mon tempérament, c’est à dire le résultat d’une cuisine intérieure à partir d’ingrédients innés que j’ai frottés à la vie, aux autres, à tout un tas de matières que, pour certaines, je préfère tenir à distance. En tant que spinoziste, je préfère disséquer froidement tout ce qui se joue chimiquement dans cette compassion.
    C’est ainsi.

  77. Apportons un peu de sensibilité raffinée dans ces nobles échanges :
    « Mes étrons ensoleillés sont plus joyeux que vos propos maussades à la noirceur convenue… »

    • Ouf J’ai cru que le 11 mai 2021 se terminait à Oh27 (question de longitude probablement)

    • Pour le moment, l’Afrique subsaharienne a beaucoup moins de morts que nous.
      Cela interroge.

  78. Popper reviens !
    Estrosi est-il sorti indemne de l’affection au covid machin parce qu’il a la condition physique d’un marothonien (semi marothonien suffirait à mon humble avis) ou parce qu’il a pris de l’hcq ?

  79. Il n’y a pas que les paysages qui soient saccagés – il y a aussi les visages !

    Comment concevoir une telle défiguration ?

  80. https://fr.news.yahoo.com/covid-19-lassembl%c3%a9e-nationale-valide-224414945.html

    La représentation nationale vote l’apartheid sanitaire.
    Désormais les français sont divisés en deux catégories: les vaccinés qui disposeront de la liberté de circulation et les non-vaccinés qui seront discriminés. La ségrégation vaccinale est officiellement mise en place.
    A quand la crécelle pour les non-vaccinés? A quand des places de bus ou des magasins interdits aux non-vaccinés? A quand l’interdiction de mariage entre vaccinés et non-vaccinés? A quand un « statut des non-vaccinés »? A camp?

    • Non il y aura un pass pour les ceusses qui iront s’agglutiner dans les rassemblements de masse
      Donc ce pass dont je bénéficierai me servira à rien

  81. Les religions entourent les hommes de rites – alors que l’homme moderne est la figure parfaite de l’individualisme.

    Seulement l’homme ne vit jamais seul … il lui manque toujours dans certaines circonstances des rites de passage – d’où la force des cérémonies religieuses en cas de passage de vie à trépas d’un proche qui partageait votre vie.
    Il serait inutile de nier que la solennité du sacré encadre les vies humaines – en donne une matrice – et que le vide existentiel est souligné par l’absence de ces rites de l’homme sans religion.

  82. L’homme contemporain est né riche et célèbre et sa vie part en sucette dès qu’il se croit libre de faire n’importe quoi !

  83. Il faut être con comme un militaire français pour ne pas croire, comme le pratiquent naturellement nos élites politiques à la dérive, que le vivre ensemble c’est autre chose que « Fourberie, Lâcheté, Perversion »!

    • Les mélanges incompatibles fonctionnent tant qu’on a la force d’agiter vigoureusement la soupe de constituants qui ne sont pas faits pour aller ensemble – et ce moteur c’est évidemment l’argent ! Que l’argent vienne à se tarir et le mélange forcé reprend son naturel qui n’est pas du tout le vive-ensemble mais le vivre-séparé.

  84. Il ne faut pas forcer la nature des choses François Michelin (1926-2013) raconte une anecdote trouvée dans les papiers de son grand-père Edouard Michelin (1859-1940) au sujet de l’ébonite matériau issu du caoutchouc vulcanisé qui devient extrêmement dur ce que dit Edouard Michelin est contraire à la nature même du caoutchouc matériau élastique et fait pour le rester !

    Moralité : il ne faut pas toujours vouloir jouer à l’apprenti-sorcier avec la matière inerte comme avec la matière vivante et singulièrement la matière humaine rebelle aux leçons de morale !

    https://www.youtube.com/watch?v=mc9Dpm3abSE

    • La France doit devenir ce qu’elle est ! Ce qu’elle est par nature et destination et non pas ce qu’elle n’est pas …

      • La France n’est plus grand chose !

        Depuis que ces couillons de révolutionnaires fascistes républicains ont coupé la tête de ce cher Louis Capet,….elle traine les pieds !!!

  85. La nouvelle stupéfiante c’est qu’il n’y aura plus de couvre feu quelques jours après le solstice d’été
    On sera bien, enfermés à la maison après 21h en plein mois de juin

  86. Le corps professoral français, le corps fonctionnarial français veut moraliser l’islam ! Faire la leçon à l’islamisme ..; ce qui ne marche nulle part au monde !

    • L’Etat français a échoué dans l’empire avec son code de l’indigénat – qu’importe ! il recommence les mêmes erreurs à l’identique et veut renouer les fils de l’indigénat à l’intérieur des frontières métropolitaines !
      L’Etat français n’a ni raison, ni mémoire !

  87. Réponse à la question de Berland-Bear .
    Etre de gauche, c’est considérer que la plupart des maux ( pas tous, mais bien la plupart) qui affectent l’humanité et font obstacle à son accession sinon au bonheur du moins au bien-être, sont liés au système capitaliste. « Pursuit of happiness », dit la constitution américaine. « Le bonheur, une idée neuve en Europe », disait Saint Just. Avant ce bonheur subjectif et idéalisé, parlons plus modestement de bien-être, et donc :
    1. Je considère comme étant de gauche toutes celles et tous ceux qui, pour reprendre l’expression de F. Lordon, veulent « desserrer l’emprise du capital » sur la vie de nos sociétés. Cette emprise se caractérise par ce qu’il faut bien appeler un chantage : « si vous n’acceptez pas la façon dont nous organisons nos affaires, nous délocalisons pour aller là où la main d’œuvre est plus docile ». Ou de façon encore plus abrupte : « si vous refusez ce que nous voulons mettre en place, vous êtes viré ».
    2. Je considère comme étant de gauche toutes celles et tous ceux qui refusent catégoriquement, sans la moindre nuance, l’obscénité d’une situation où les 10 plus grosses fortunes du monde pèsent 962 milliards d’euros (source Forbes + Oxfam). Considérons bien l’énormité de la chose : le budget 2021 de la France est de 290 milliards d’euros. Eh bien dix hommes, oui deux fois 5, les 10 plus grosses fortunes du monde pèsent plus de 3 fois le budget de la 5ème ou 6ème économie mondiale. On accepte, ça ? On s’y résigne ? On fait semblant de n’en pas voir les dangers ?
    3. Encore plus parlant, et encore plus obscène : en une année, de 2020 à 2021, ces mêmes dix plus grosses fortunes se sont grossies de 379 milliards d’euros. En un an. En 12 mois donc, et à titre d’exemple, la fortune de Bernard Arnault est passée de 76 milliards à 150 milliards d’euros. Le plan de relance covid prévu par la France est de 100 milliards d’euros…Chacun voit bien qu’aujourd’hui, le capital dispose d’une puissance de feu qui dépasse très largement celle des états. Lutter contre cette situation, ou à tout le moins la refuser, c’est pour moi être de gauche. Je ne me souviens pas avoir entendu ou lu des Marine Le Pen, des Zemmour, des Sarkozy, des Fillon, des Bayrou, des Macron, remettre en cause même timidement ce système obscène.
    4. Je considère comme étant de gauche toutes celles et tous ceux qui considèrent que ces fortunes patronales ont été acquises ou bâties grâce au travail de leurs salariés, lesquels salariés sont littéralement dépossédés de la richesse qu’ils ont produite. Lutter contre cette dépossession, vouloir tendre vers une re-prise de possession de ce qui est dû à celles et ceux qui se lèvent tôt, c’est une des caractéristiques de la gauche. Je ne vois venir, de la part des responsables que je cite au point 4, rien, absolument rien qui aille dans ce sens. C’est même tout le contraire.
    5. Je considère comme étant de gauche toutes celles et tous ceux qui militent pour la renaissance d’un état fort. Un état qui assume son rôle et qui s’en donne les moyens. La pandémie a montré comment 40 ans de politiques de rentabilisation à tout prix, de réduction des coûts aveugle, de privatisations plus ou moins rampantes ont littéralement mis à nu nos hôpitaux. Et tous nos services publics sont dans le même état de dénuement : police, justice, éducation, armée. Voilà comment, par une succession de politiques à courte vue, on approche de l’explosion de la poudrière.
    Nos partis dits de gauche sont lamentablement à côté de la plaque sur les 5 points que j’ai privilégiés aujourd’hui. Il y a bien d’autres choses à dire, mais je m’en tiens là pour l’instant.
    Je sais bien que certains me rétorqueront que les solutions qui ont été mises en place au cours de l’Histoire, communisme soviétique en tête, se sont avérées catastrophiques. C’est une vérité incontestable et incontestée.
    Mais depuis quand considère-t-on que parce que la solution a un problème s’est avérée totalement inadéquate, alors le problème n’existe plus ?

    • « toutes celles et tous ceux »

      Qu’il est lourd ! Et l’écologie, dernier avatar d’une gauche en redécomposition ?

      Vive le Socialisme, vive André Henry *!

      * de loin, le meilleur sinistre de la cinquième

      • Scoop : à mes supposées lourdeurs, Dugong aurait sans doute préféré l’écriture inclusive !

    • D’accord sur tout mais j’y ajoute: être de gauche c’est défendre farouchement la laïcité et combattre l’emprise morale de la religion (l’opium du peuple) sur les citoyens, y compris par le recours à la Terreur antireligieuse (bisous St Just!) contre les partisans de l’obscurantisme et du droit divin.

    • A mon avis 99% des français qui réfléchissent un peu sont de gauche avec votre définition
      Lambda

  88. Durit, comme d’hab, dégoise des khonneries. Les chimistes (et les babiologites) n’ont qu’un moteur : la démiurgie. Tout ce qui est faisable sera fait. La France érigera quelques murs légaux et (aldo) moraux et l’essentiel sera fait ailleurs. Je ne vois pas très bien les babiologues chinois s’empêcher…

    • Dugong qui n’a jamais rien fait de sa vie sinon perroquer ses cours devant des élèves ébahis et stupéfaits sans doute d’autant de morgue et d’aplomb professoral ignore à peu près tout des lois de la nature humaine !

      • Les lois de la nature humaine … :
        Tout corps plongé dans un liquide qui ne refait pas surface au bout de 5 mn peut-être considéré comme perdu …
        (Cf. D. Pennac)

        Évidemment les apneistes, l’eau très froide …. font exception.

      • Je ne me suis jamais laissé aller à faire petit commerçant poujadiste. Quant aux « lois de la nature humaine », donnez-nous leur énoncé pour qu’on puisse rigoler en les dézinguant.

        • Oui la mégalomanie ça ne se soigne qu’en asile ! Pas dans l’éducation nationale …

    • @cyrano58
      Je vous suis complètement. Sur la laïcité, la nocivité des religions (et, par les temps qui courent, d’une religion en particulier dont le corpus idéologique est…heu…comment dire…plutôt explosif), la gauche institutionnelle est absolument indigne. Mais le « peuple de gauche », lui, n’est pas dupe. Entre C. Fourest et B. Hamon, il a choisi la première. Entre Mélenchon et Zineb El Razhoui, il a choisi la seconde.
      Nous aurons l’occasion d’évoquer ça ultérieurement, sans aucun doute.

      • 100 pour cent d’accord: la trahison d’une large partie de la gauche (et de toute l’extrême-gauche ou presque) me rend malade. Ceux que l’on nomme « islamogauchiste » ne sont rien d’autre que les supplétifs de l’extrême-droite musulmane. Quelle tristesse et quelle déception de voir les héritiers des « bouffeurs de curés » d’autrefois devenir les idiots utiles des islamistes réactionnaires, machistes, homophobes, antisémites et antilaïcs! Si un parti islamique prend un jour le pouvoir, ses alliés de gauche subiront le sort des S.A lors de la Nuit des Longs Coûteaux.
        On ne combat pas le capitalisme financier en s’alliant avec un fascisme religieux par ailleurs tout à fait compatible avec ledit capitalisme financier, comme en témoignent les théocraties pétrolière du Golfe, pratiquant l’ultralibéralisme jusqu’à l’esclavage des immigrés qui meurent sur les chantiers des stades de foot, pyramides modernes dédiées au dieu argent.

  89. Le niveau remonte très fort.
    Il était grand temps.
    Merci Josip d’avoir remis les quilles à nouveau.
    Oui…

  90. Le supôt de Tito désigne B. Arnaud à la vain dicte populeuse. Ca ne fait qu’une seule tête à couper, à moins qu’il s’agisse de l’incarnation franchouille de l’hydre capitaliste (?)

    • Suppôt de Tito? Cherchez bien dans vos anales, vous ne trouverez rien qui montre une quelquonque inclination de ma part pour Josip Broz.
      Pour Dragan Stojkovic et Dejan Savicevic, en revanche….

  91. L’éducation nationale forgeait pendant longtemps des mégalomaniaques aigus – on vit ainsi débarquer sur les travées de l’Assemblée nationale de 1981 des rangées de pieux barbus qui allaient réinventer la lumière socialiste après les obscurités de la nuit capitaliste !

    • Encore des gens qui n’en pouvaient plus d’être devant des élèves. Ensuite, il y a eu les Ioufmes pour les recaser.

  92. Je précise pour ceux qui en douteraient que je n’ai pas la bosse du commerce ! C’est un mode de survie – ce n’est pas une inclination naturelle ou un don c’est le moins que l’on puisse dire.

    • Durit, le Quasimodo du poujadisme. Vous avez beaucoup travaillé pour devenir aussi nul ?

      • C’est une vocation constante chez moi : converser de ma nullité avec d’autres nuls !

  93. Durit, le Quasimodo du poujadisme. Vous avez beaucoup travaillé pour devenir aussi nul et ronflant ?

    • Vous n’imaginez pas le nombre de tarés avec qui j’ai pu causer de ma vie !

  94. Je suis tellement nul de par ma nature profonde que je n’ai jamais passé mon permis de conduire considérant que les cimetières étaient assez remplis comme cela et qu’un chauffard de plus n’aurait pas vraiment rajouté quoi que ce soit à la sécurité routière.

    • Je crains surtout qu’on aurait fini par me le donner – peut-être pas du premier coup mais à la longue – on obtient n’importe quel diplôme de nos jours !

  95. Figurez-vous mon cher Dugong vous qui adorez converser avec un nul de mon espèce que je juge de manière extrêmement lucide et sévère mes limites !
    Mais cela je crois ne risque pas trop de vous arriver …

    • J’adore personnellement échanger des banalités avec deux génies de votre espèce, mes chers Driout et DuGong : on ne se refait pas !

  96. « je juge de manière extrêmement lucide et sévère mes limites »

    Qu’en savez-vous ? Est ce à vous d’en juger ?

  97. Ca ne vous pèse jamais ? Je veux dire d’avoir une intelligence aussi exceptionnelle on doit sacrément se sentir seul en ce bas-monde !

    • On a d’ailleurs bien compris que vous étiez au-dessus du génie ! Pas besoin pour vous de démontrer à coups d’inventions géniales vos immenses capacités – vous jugez d’avance les accomplissements infimes de l’humanité comme largement en-dessous de vos capacités inouïs !

      • L’humanité peut aller se faire foutre. D’ailleurs je n’ai jamais été abonné.

    • Assumer sa nullité, c’est pas original non plus, c’est même vieux comme le monde.
      Déjà Adam disait à Eve:
      « Assume ta nullité, ça dope! »
      Oui…

      • La masculinité et la féminité sont des problèmes résolus par Dugong avant même la parution de « La Bible » de Gutenberg !

        PS Dugong a inventé la machine à voyager dans le temps exprès pour niquer les gens qui se prennent pour des inventeurs comme ledit Gutenberg !

  98. Chuck Norris a essayé un jour de lutter contre Dugong : il s’est cassé son Ego ! C’est moi d’ailleurs qui fait les séances de kiné depuis pour le lui réparer …

  99. Certains disent les militaires français sont des lâches qui ne signent pas leurs forfaits !

    D’abord il faudrait démontrer qu’il y ait forfait – et ensuite il n’est pas interdit par le code de l’honneur militaire d’être plus rusé et habile en tout que ses ennemis et même de leur tendre des pièges dans lesquels ils vont se vautrer se croyant tout permis !

    • Personnellement, je n’ai point vu déballer des masses de grands forfaits.
      Oui…

  100. Peut-être effectivement que les militaires d’active ne voient plus guère le gouvernement actuel comme une bande d’amis sur qui on pourrait s’appuyer ! Mais à qui la faute ?

  101. J’attends avec des lactations (je m’en pourlèche d’avance les babines),
    LA solution, ou plutôt les solutions , promises en plusieurs épisodes j’espère – faut faire durer l’plaisir – par notre ami Josip,
    après sa pirouette conclusive de 11h16.

    • Des lactations? Fichtre! Vos montées de lait laissent présager une nature nourricière généreuse…Mais je m’égare.
      Avant d’envisager les solutions, encore faut-il cerner le problème. Partagez-vous mon exposé du problème en cinq points ? Si oui, alors à mes yeux vous êtes de gauche. Bienvenue !

  102. Josip, Charon du Styx qui sépare Le capitalisme du socialisme (réel).

    A raison d’un euro par transporté, il va vite dépasser Arnaud !

  103. Fabien Roussel ? Le bourreau de Béthune est de retour … autant dire les années soixante ! Il ne manque que la télé en noir et blanc, Guy Lux et Simone et on repart faire un tour dans la tuture du PCF !

    • On voit bien que, par ignorance, Durit n’est jamais allé se faire démocratiser à la fête de l’Huma.

  104. excellent ! le PC toujours fidèle au MUR !
    question : le candide(at) a t’il une une Liliane pour lui faire ses valises ?

  105. Mon cher Jicé,

    Ce qui a du génie sans bouillir c’est le caoutchouc ! Vous confondez certainement une outre gonflée de vin qui s’exprime quelquefois ici avec une chambre à air comme un véritable pneu gonflé d’air grâce au mirifique matériau noir et rugueux dont elle est faite !

    • Le pneu tient la route quand l’outre se vide de ses bons mots dans un dégueulis verbal peu appétissant.

      • Il existait même une réclame Michelin avec le Bonhomme Bibendum : le pneu qui boit l’obstacle !

    • Mon cher Driout,
      Je ne polémiquerai pas : je m’y connais trop en outres gonflées de vain….

    • Mimit, l’est pourri jusqu’à la moelle. Aucun éclairage, aucun avenir. Quelle profonde prégnance peut nous empêcher de voter n’importe quoi l’année prochaine ?

    • Il s’est bien amusé, votre ami. Mais c’est triste à pleurer.
      Que fera-t-on pour l’actuel qui a tout détruit et s’en vante ? « Il n’y a pas de culture française ».
      Non, il n’y en a plus, effectivement. Mais Mitterrand avait bien amorcé le processus.

    • Qui parle de venezualiser la France? Si l’on songe aux appels de nos généraux, je vois plutôt notre pays en danger de pinochetisation…

  106. Je suis vraiment très, très curieux de savoir ce que dira du passe sanitaire la Gérousie de Monseigneur Fabius. Histoire de voir l’ampleur de la couillonnade qu’est le contrôle de constitutionnalité.

    • Grand penseur — mais franchement, je le croyais mort depuis lurette.

        • En fait, j’en suis resté à la Parole malheureuse, que j’avais beaucoup lu et relu à sa sortie parce que je travaillais sur le Langage comme sujet global pour le concours d’entrée à l’ENS. Nous étions quelques-uns à être fous de Wittgenstein à l’époque. Et c’est ce que j’ai suivi chez Bouveresse au fil de ses publications.

  107. Enfin un bon mot : Aux Plantiers on a repéré un scierial killer !

    Les Plantiers proche de Colombières-sur-Orb village natal de Jean-Claude Carrière, pareillement à flanc de montagnes, entouré de bois de châtaigniers – d’où le scieur vengeur.

  108. Pas eu beaucoup de succès avec mes préfets, comme Gambetta. La rue de Montpensier attira-t-elle les foules ?

    L’interview du Révérend Père Lasserre au Monde est lunaire. Il y a tout, de l’obsessionnelle mauvaise conscience bourgeoise (« diversitééééé ») à la tranquille affirmation de la légitimité de l’État profond (« indépendannnnnnnnnnce-oh-oui-plus-fort-fais-moi-mal »). N’ont plus peur de rien, les salauds.

    J’te plastiquerais ça en beauté.

  109. Josip : « venezualiser », « pinochetiser », quelle différence ?!
    lisez donc « la fille de l’espagnole » de Karina Sainz-Borgo, une fiction tellement réelle…

    • Quelle différence ?
      J’en vois une, et de taille : Chavez a été élu en 1998 lors d’une consultation régulière. Pinochet, c’était un coup d’État militaire (missionné par les USA, Henry Kissinger à la manoeuvre).
      Entre une élection et un putsch, vous ne voyez pas de différence, vous?

      • Il n’y a guère de différence !
        Une élection n’est qu’un putsch bien déguisé capable de manipuler les petits bolos bêtas jusque dans l’isoloir, cette dernière étape de la médiatisation organisée par les hordes fascistes activistes, sublimes fourbes qui se cachent derrière la soi-disant démocratie républicaine en promettant tout et n’importe quoi…

        • JC, à l’extrême extrême-gauche du gauchisme, qui l’eût cru : il nous ressort le slogan de Cohn-Bendit « Élections piège à cons » !

  110. Déjà que la France s’africanise à toute allure si en plus elle s’américanisedusud en plus c’est le bouquet !

    • Parce que du nord c’est mieux, vous trouvez ? Et ça fait un paquet d’années que ça dure…

  111. Policière égorgée à Rambouillet, femme brûlée vive à Mérignac, policier abattu à Avignon.
    Quel est le point commun?
    Dieu seul le sait.

    • J’allais poster ce lien et vous m’avez devancé.
      En tenant ce genre de discours, il y a fort à parier que ce jeune homme va bientôt se retrouver avec une plainte pour viol, comme Juan Branco.

  112. Vous savez quoi ? C’est ce que j’allais écrire !!!!
    Si je n’étais pas si vieille et encore mariée, je vous épouserais bien ! 😉 😉 😉

    • Je crois que nous sommes quelques-uns à avoir pensé la même chose…

      J’aime bien ce type – découvert grâce à Lormier, by the way: merci! Moins agressif que Branco, il n’en est que plus incisif. En fait, il a un petit côté héritier des Lumières qui n’est pas pour me déplaire quand il parle de combattre le système en s’instruisant. Et essayer de mobiliser tous les gens intelligents, il me semble que c’était un peu le projet de Voltaire.

      La seule réserve que j’aurais, c’est qu’il ramène presque tout à la dimension économique.

        • En gros je vous résume son laïus « y faut de l’argent » !

          Si cela c’est une pensée politique articulée alors n’importe quel enfant de dix ans est capable de la comprendre.

          • Vous avez mal écouté; il a dit aussi que micron ou l’autre, c’est
            « kif-kif bourricot. »
            Achetez son livre, bourricot !

      • ….mobiliser tous les gens intelligents, alors que le système mobilise tous les gens inintelligents ?….

        C’est pas gagné !

      • « Moins agressif que Branco, il n’en est que plus incisif. »

        On ne se refait pas, hein.

        « Et essayer de mobiliser tous les gens intelligents, il me semble que c’était un peu le projet de Voltaire. »

        Je ne suis pas sûr que mêler Voltaire à ça (surtout pour lui faire dire ce genre de chose) soit une bonne idée. Même pour la dorure du prestige.

        • Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.

          Ce n’est pas vous qui aviez comparé Branco à Debord? Même si c’est pour le faire au détriment du premier, je ne vois pas du tout le rapport.

          Voltaire a comparé le projet des philosophes des Lumières au prosélytisme chrétien en disant que si douze types peuvent promouvoir une nouvelle idéologie religieuse qui remodèle complètement le monde, alors des écrivains talentueux qui peuvent diffuser leurs idées par le biais de l’imprimerie doivent pouvoir y arriver aussi, et encore plus rapidement. Je n’ai plus la citation exacte mais l’idée générale est là.

          Il y a beaucoup de gens de qualité chez les souverainistes, même s’ils ne sont pas tous exactement sur la même ligne. JPB pense que les personnes intelligentes n’arrivent jamais à se mettre d’accord et que c’est pour cela qu’elles ne gagnent jamais. Quand François Boulo déclare que ce serait quand même bien d’essayer, je ne vois pas ce qu’il y a de particulièrement risible à cela.

          • « Ce n’est pas vous qui aviez comparé Branco à Debord? Même si c’est pour le faire au détriment du premier, je ne vois pas du tout le rapport. »

            Non. (Et Valérie est beaucoup plus charmante !)

            « Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. »

            Disons que pour sortir une phrase pareille ici il faut s’appeler Gus ou Lormier.

            « Voltaire a comparé le projet des philosophes des Lumières au prosélytisme chrétien… »

            Oui, oui, oui, oui, oui. Voltaire est un critique, rien d’autre*. Vouloir le lester empiriquement de quelque projet politique, c’est s’exposer à quarante contre-exemples et sodomiser bien fort la situation d’énonciation (ou le ton) de ses œuvres. Ferney n’est pas Genève, Königsberg ou Florence.

            * Contradiction performative, mais bref.

            « Quand François Boulo déclare que ce serait quand même bien d’essayer, je ne vois pas ce qu’il y a de particulièrement risible à cela. »

            Comme l’union de la gauche, vous voulez dire ? Pourvu que ce soit « de gauche »…

            « JPB pense que les personnes intelligentes n’arrivent jamais à se mettre d’accord et que c’est pour cela qu’elles ne gagnent jamais. »

            C’est une façon commode (et pas du tout prétentieuse ou clichesque) d’expliquer la branlée que Meirieu lui a mise ?

    • Je ne suis pas polygame mais le coeur y est.
      Sinon, je suis le chroniqueur attitré des mariages sur BDA.

  113. Il a choisi le métier d’avocat où le boulot n’épuise que les nerfs mais pas trop les muscles ! Boulo mais pas trop …

  114. – François Lecointre à ses subordonnés : Démissionnez !
    – Toi d’abord, c’est toi le chef il faut montrer l’exemple !

    C’est étonnant un chef qui dit à ses soldats : Je préfère commander une armée de fantômes !

    La fonction de l’armée française : chasseur de fantômes sans doute !

    • Lecointre est un carriériste qui abandonne ses hommes en plein combat: la pire des lâchetés.
      De Gaulle, en 1940 lors de la débâcle, avait choisi de désobéir à un pouvoir inique.

    • On dirait un concours de rhétorique pour indigent de la pensée !

      La pensée sans la matière qu’est-ce que c’est ? UN vent léger de paroles …

  115. On est libre dans sa tête parce qu’on n’a plus de choix : andouille !

    • Et sans doute que si on a 40° de fièvre on est encore plus libre puisqu’on ne peut plus penser librement dans son délire !
      Sartre est une triple andouille qui fait illusion avec le prestige de la philosophie allemande adaptée dans un français littéraire pour classes de seconde.

      • On voit bien que vous n’avez jamais lu Critique de la Raison Dialectique.

  116. Si Juan vous rince l’oeil, Pierre, vous n’allez pas être déçu par ma modeste pomme ! Et en plus je n’ai pas de monosourcil.

    • J’ai déjà le texte manque plus que le son et l’image en effet … en 3d vous rendez bien ?

      • Pour le son, les avis divergent. Ma voix est particulière. Certaines (assez nombreuses, mais par ailleurs intéressées — gourmandes !) la trouvent vraiment très belle. D’autres, à l’avis desquels je me range, la pensent trop versaillaise et un chouïa tafiolante (surtout lorsque je rencontre les gens pour la première fois). Mais ils doivent être jaloux !

        Pour l’image… une horde de jeunes femmes m’a encore confié la semaine dernière vouloir boire des shots sur mon torse. Mais send nudes d’abord, Pierre !

  117. A sujet de la liberté réelle – pondérable – mesurée et tout et tout – pas un vague sentiment « je suis libre dans ma tête Diego » à la France Gall – pas une formule de rhétorique et une prétérition – vous savez sans doute qu’hier soir l’Assemblée nationale a voté le passe sanitaire ? Vingt ans de rétention des données mais où cela ? Comme il n’y a pas de cloud français malgré toutes les tentatives de l’Etat français cela veut dire que vos données de déplacement seront stockées dans une ferme de serveurs quelque part en Idaho ou en Dakota du nord sous la surveillance des anges gardiens du net style Apple, Microsoft ou IBM !

    • Vous savez confiance en Bill Gates ? Ben vous avez sacrément intérêt à avoir confiance en ce brave homme sinon il vous en cuira !

    • Si le système économique est directement menacé par les formes quelconques de rançonnage est-on encore en état de droit ? N’est-il pas vrai que des hôpitaux ont été pris en otage et leurs systèmes informatiques piratés contre rançon ?

      Tout cela ressemble de plus en plus à un système mafieux qui s’empare du pays.

    • Alors, quand François Boulo dit que le vote MLP sera équivalent au vote EM, il prouve qu’il a des neurones en état de marche, non ?

  118. Ils se font tous vacciner autour de moi. Absolument tous. Y compris ceux qui semblaient totalement défiants. J’en découvre à peu près deux ou trois par jour autour de moi.
    Tout le monde me dit que c’est inévitable et qu’entrer dans une piscine, un théâtre ou un musée deviendra très compliqué sans le vaccin.
    Je ne sais plus quoi penser, plus du tout.

    • Sanse… Vous ne voyez toujours pas les tombereaux de morts par thrombose ? Tous les vieillards piqués qui sont devenus catatoniques ? Et les charniers qui s’accumulent place Vendôme ?

      Allez, non. Ne sombrez pas dans la rhinocérite, Dérangée.

      • On ne les voit PAS ENCORE. Et ce ne seront sans doute pas des tombereaux de morts mais des cancers en pagaille.

        • Et est-ce que Madame Irma pourrait me dire s’il va faire beau la semaine prochaine ? J’hésite à programmer une après-midi piscine.

    • Tout comme vous. Je freine des 4 fers.
      Et autour de moi les plus opposés à cette vaccination quasi obligatoire avec arn, dont on ne sait rien pour la suite, se sont mués en moutons. C’est à n’y rien comprendre. Résister oui, mais jusqu’à quand et jusqu’où ?
      Ils font finalement de nous ce qu’ils veulent.
      C’est extrêmement inquiétant.

      • Relisez « De la servitude volontaire » de la Boétie: tout y est sur la soumission de nos compatriotes covidistes.

    • ne vous laissez pas influencer !
      c’est un peu la même chose autour de moi ;

      il faut nous opposer de toutes nos forces à ces MANIPULATIONS, à cette PROPAGANDE !

      je crois qu’il a été suffisamment dit, expliqué, re-expliqué, analysé dans les media NON mainstream (évidemment), sur les dangers de ces nouveaux types de vaccins, qui SONT TOUJOURS A l’ETAT d’EXPERIMENTATION (phase 3 !) ;

      seront exigés vaccin OU test (au moins aucun risque avec le test !)
      pour les « rassemblements » supérieurs à 1 000 personnes – on en est là pour le moment, et les sorties du territoire ;

      ici, le centre de vax local est très peu fréquenté… c’est bon signe,
      et grâce au « collectif de médecins réinfo covid » , vous aurez accès à ceux, dans votre région, qui restent fidèles… à leur serment !

    • Ce sont des lemmings. Tous.
      Fuck bigpharma! A bas le régime gileado-macronien!
      Je ne serai pas un cobaye et je ne me ferai pas vacciner.
      Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là!

  119. NOUS NE SOMMES PAS DES COBAYES !
    et puis, si vous tergiversez ici, à quoi bon vanter l’intervention de François Boulo ?
    ça fait partie du même monde ! de la même PROPAGANDE !
    Résignation vax, résignation ailleurs !

  120. Je ne crois pas avoir entendu François Boulo parler de guerre de civilisations !

    D’après ce que j’ai entendu de lui tout absolument tout se réduit à une guerre entre les ultra-riches et les autres – tous les autres sans distinction.

    • Moi je pense que l’islam est fondamentalement un système mafieux ! Et je doute que Boulo partage mon analyse …

      • Son épouse est née au Maroc, alors que votre époux est né en Allemagne, c’est pour ça qu’il y a une légère divergence sur l’affaire.
        Oui…

    • Il n’y a pas de guerre de civilisation Driout: l’islamisme est une barbarie, pas une civilisation.

  121. Oui, je sais. Mais quelques soucis, des pressions, et puis on n’en peut plus de cette vie-là.Il y a des moments où je courrais me faire piquer pour me retrouver dans le bleu d’une piscine et merde, quoi, y’en a marre. Et puis de toute façon, tout le monde me dit qu’on ne pourra échapper au vaccin sauf à vivre cloîtré. Et la claustration, j’en ai marre même si en ce moment, j’ai un très bon roman à lire.
    On ne va pas aller se faire un test à chaque séance de piscine ou à chaque entrée de musée ? Ras-le-bol de tout ce bazar.

    • A l’automne prochain, quand des milliers et des milliers de vaccinés auront à nouveau le covid, l’ampleur de la manipulation éclatera. Alors on vous dira qu’il faut faire et refaire encore un vaccin, 2 à 3 fois par an toute votre vie. Et pour vos gosses aussi. Nous sommes entrés dans l’ère de la rente vaccinale pour bigpharma. Et dans l’ère de l’esclavage pour nous.
      La prochaine révolution devra se faire contre les labos pharmaceutiques ainsi que contre leurs larbins corrompus de la politique et de la médecine. Ces labos pharmaceutiques sont l’incarnation la plus ignoble du capitalisme financier qui pourrit la planète autant que le fanatisme religieux.
      1793 vite!

      • On se demande si un tel programme épistémologique pouvait agir au sein des chapelles de la linguistrerie enfoncées dans la circularité des problèmes définitoires de concepts primitifs.

  122. laissons Sansé à ses angoisses…
    pour en revenir à François Boulo – loin de la frime du petit toro-

    qui re-re-re braquage les projecteurs
    sur la réalité (cachée) de notre monde, où règne en maître absolue une économie totalement FINANCIARISEE,

    et sur notre pays, en marche vers la grande pauvreté,

    – et où, malgré les dires, les délocalisations continuent ( récent ex : une partie des cols blancs, la branche R&D, de chez Psa Peugeot Citroën, s’est installée à Casablanca, tout comme les meilleurs ingénieurs continuent de quitter le pays) –

    comment réguler et reprendre le pouvoir… quand
    les MEDIA mainstream continuent leur PROPAGANDE, forcent à la RESIGNATION (cf vax !!)
    engluent dans un éternel présent, dans l’émotion jamais dépassée, dans le faits divers ;

    … à ces media de retrouver un peu de déontologie (comme les médecins, d’ailleurs), car les mouvements sociaux risquent en effet de reprendre ;
    si ce « pouvoir » continue dans le même sens, ce sera quasi mission impossible ;

  123. Ma déontologie est de marbre : je suis le dernier pédé célibataire de France et de Navarre !

    • Ici même on a répandu le bruit que j’avais fondé une petite famille de la main gauche avec un faux Périgourdin ! C’est controuvé …

  124. …et comme quoi, on en revient toujours au même : tant que l’ECOLE continuera de dégrader les savoirs, et « de MAINTENIR dans L’IGNORANCE »…

    • Oui je suis au courant vous pensez depuis le temps ! Vous autres professeurs vous allez enfin soulever le voile de l’ignorance qui avant vous régnait sur le monde …

  125. Il y avait Jean Moulin, qui coordonnait la résistance intérieure face à l’occupant nazi. Et il y a Sanse, qui lutte farouchement contre le Pfizer. Chaque époque a ses héros, hélas.

    • y’ avait aussi mon grand-père (d’abord enseignant, révoqué par Vichy, puis représentant « l’armé secrète » dans sa région, enfin, fusillé en 1943), ah les héros…

      refuser de porter « l’étoile jaune », refuser le pass sanitaire, me semble plutôt digne ; mais allez savoir !

    • y ‘avait aussi mon grand-père (enseignant révoqué par Vichy, puis représentant de « l’armée secrète », dans sa région, et enfin, fusillé en 1943) ; ah, les héros…
      être contre « l’étoile jaune », autrement dit contre le pass sanitaire, me semble quand même digne ! mais allez savoir…

      • Et ça va ? vous avez pas trop l’impression de saloper sa mémoire, à assimiler étoile jaune et passe sanitaire ?

      • Méfiez-vous Fib: là où il y a des Résistants, il y a toujours les inévitables collabos, prompts à dénoncer ceux qui s’opposent aux discriminations.
        Et à lécher le cul du pouvoir.

        • Méfiez-vous cyrano. Il y a des cons aussi, qui se prennent parfois pour des résistants de haut vol. Comme dirait le poète d’origine sénégalaise Élie Yaffa, « les vainqueurs l’écrivent, les vaincus racontent l’histoire ».

  126. C’est bel et bien vrai et pour plus de sûreté on va conserver pendant vingt ans toutes les données sur votre vie privée, sur vos faits et gestes dans des serveurs situés aux Etats-Unis ou ailleurs ! Comme cela le moindre petit coup de canif à la morale publique sera révélé et mis au jour !

  127. Vingt ans c’est un peu court ! moi je demande une prorogation sur cinquante ou soixante-dix … on ne sait jamais !

  128. Vous êtes au courant je suppose que tout passe par les tuyaux de l’informatique ? Des hackers se sont attaqués aux pipe-line aux Etats-Unis et 17 états plus Washington DC sont privés de fuel et de gaz !

    • Nous n’avons jamais été plus proches du chaos que maintenant ! Heureusement sur le plateau de SudTV on ne voit rien venir de grave …

  129. Il me semble qu’être opposé à la vaccination anti covid (ou être au moins très réticent), c’est, dans les circonstances actuelles, pousser un peu loin l’obsession sécuritaire (« on ignore les effets à long terme » etc.) ou paranoïaque (« le vaccin instrument de contrôle, d’atteinte aux libertés » etc.).
    Il faut savoir raison garder et faire des choix : voulons-nous retrouver une vie sociale, une vie culturelle non entravées? Eh bien actuellement la vaccination à grande échelle est la seule solution à nous offrir ces perspectives. Que ça plaise ou non, les exemples britannique et israélien en apportent la preuve statistique.
    Oui, il y a des cas d’effets secondaires indésirables voire mortels. Et pourtant, si l’on observe la situation de façon rationnelle et dépassionnée, ces cas relativement peu nombreux ne remettent pas en cause l’utilité de la vaccination.
    Bien entendu, il faut que les recherches continuent pour mettre au point un traitement. Le préventif ne suffit pas, il faut aussi du curatif. Mais actuellement la vaccination à grande échelle est le seul moyen d’espérer retrouver une existence à peu près sans contraintes.

    • La vaccination, pourquoi pas? Chacun est libre de servir de cobayes (les thérapies géniques – car il ne s’agit pas de vaccins- sont encore en phase d’évaluation).
      En revanche le pass sanitaire est une discrimination basée sur un critère strictement biologique (ça ne vous rappelle rien?), un apartheid sanitaire qui ne dit pas son nom et qui va aboutir à une nouvelle division des français entre des privilégiés vaccinés et un Tiers-Etat de non-vaccinés. Et là, une fois de plus, je suis écoeuré par la passivité de la gauche qui tolère ou même encourage « le statut des vaccinés ».

      • Je ne suis pas vraiment du genre à me pincer le nez mais il faut quand même un sacré degré d’ignominie (ou de bêtise, ou de trollisme, ou…) pour assimiler sérieusement le statut des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale et l’hypothétique statut des non-vaccinés dans notre société.

        Réfléchissez-y. Le déshonneur peut, parfois, se laver.

        • Lavez d’abord votre derrière après l’avoir tendu trop longtemps au régime macronien.
          Sinon, retournez en 5ème: on y apprend ce que sont les discriminations.
          A partir de 1940 en France, certains français ne pouvaient plus aller dans certains lieux. A partir de 2021 en France, certains français ne pourront plus aller dans certains lieux. Des faits, juste des faits.
          Quant au statut des non-vaccinés, il est voté depuis hier.

          • 0) Le « statut des Juifs » n’est pas réductible à l’interdiction d’aller dans certains lieux. Vous vous roulez dans l’indignité, quoi qu’il m’en coûte de l’écrire.

            1) Les discriminations, comme vous dites, ont une définition légale. Vous feriez bien de la (en fait, les) lire. (Cela dit, je suis très curieux de savoir ce que pourraient en dire (ou en ont dit) les vieux salauds des différentes ailes du Palais-Royal.)

            2) En France, un vote favorable de l’Assemblée nationale en première lecture n’autorise pas le Président de la République à promulguer un texte.

            Allez, je tire la chasse. Bon voyage !

          • Vous avez oublié d’ajouter, entre deux digressions oiseuses destinées à masquer votre absence totale d’argument pour nier la société d’apartheid sanitaire mise en place par les députés Larem: Pfizer est grand et Macron est son prophète.

            Une discrimination reste une discrimination, surtout lorsqu’il s’agit d’une discrimination fondée sur un critère biologique. Un français non-vacciné qui ne pourra pas entrer dans un lieu public sera un français discriminé, un sous-citoyen, un hilote.

            Sinon, vous proposez quoi comme signe distinctif pour les futurs parias non-vaccinés? Une crécelle? Une seringue cousue sur le vêtement?
            Et la déchéance de nationalité pour les non-vaccinés? Il convient d’y réfléchir. C’est un projet de loi que vous devriez suggérer à votre député Larem.
            Pour la déportation des non-vaccinés, on attendra que les vaccinés la réclame.

    • Il faudrait déjà que le dit « vaccin » protège de la COVID, ce qui reste largement discutable, surtout avec un virus qui mute plus vite que son ombre.
      Vous parlez d’Israël, mais les comparaisons entre Israël et ses voisins qui ont très peu vacciné (Liban, Jordanie…) relativisent la thèse de la vaccination libératrice.
      Pour appuyer ces dires, j’aurai pu vous envoyer sur le site euromomo.eu mais ceux qui suivaient les statistiques de mortalité sur ce site ont eu la surprise de voir les données israéliennes disparaitre alors que la mortalité venait de passer de 1.02 à 1.04 (et même 1.05 pour les plus de 65 ans). Sans doute un bug, peut-être déjà corrigé, je n’ai pas le temps de fêter les 40 ans de Mitterand et de suivre euromomo (un beau nom d’ailleurs).
      Faites quelques recherches, elles permettent de :
      – ne pas croire et répéter trop vite ce que le gouverne-ment raconte (ils mentent facilement depuis quelques décennies, et d’un seul coup d’un seul, ils sont devenus de grands apôtres de la Vérité… ?)
      – ne pas devenir parano et « complotiste » en adoptant trop vite et systématiquement la position opposée à la doctrine officielle.
      En bref, restons calmes et buvons frais.

  130. « Voulons-nous retrouver une vie sociale, une vie culturelle non entravées ? Eh bien actuellement la vaccination à grande échelle est la seule solution à nous offrir ces perspectives. »

    Faux. Il y a aussi la solution de s’en foutre, de vivre comme on a toujours vécu avec une espèce de super-grippe en plus. Ou moyennant quelques conneries (tout est ouvert mais avec masque en intérieur, etc.).

    « Et pourtant, si l’on observe la situation de façon rationnelle et dépassionnée, ces cas relativement peu nombreux ne remettent pas en cause l’utilité de la vaccination. »

    Alors que revoilà la sous-préfète… Z’auriez pu au moins dire « objectivement, en toute neutralité, la science et la raison dépassionnée montrent que la vaccination est la plus bonne des choses à faire ».

    (Réponse sur la gauche demain ou après-demain, vous m’avez un peu coupé l’herbe sous le pied en étant aussi raisonnable !)

    • « Faux. Il y a aussi la solution de s’en foutre, de vivre comme on a toujours vécu avec une espèce de super-grippe en plus. »
      Vous avez parfaitement raison. Coupons le monde en deux. D’un côté, les stressés de la vie qui croient devenir immortels avec un masque et des piquouzes, de l’autre, les adeptes de la vie des gnous. Dans leurs troupeaux, la sélection naturelle bat son plein…
      R&V dans quelques années, les plus en forme seront les gens libres car l’homme ne vit bien que libre et avec une vie sociale forte.

  131. Driout est le génie que j’aurais aimé être.

    Petit vague à l’âme.

  132. Berland-Bear a écrit :
    « Il y a aussi la solution de s’en foutre, de vivre comme on a toujours vécu avec une espèce de super-grippe en plus. »
    Ce que vous dites aurait été possible si nos hôpitaux étaient en mesure d’accueillir en réanimation tous les cas graves inéluctablement générés par le cas de figure que vous évoquez.
    Or nos hôpitaux ne le peuvent pas, désarmés qu’ils sont par les politiques de rentabilisation assénées à nos services publics depuis 40 ans de « thatcherism » et de « reaganomics ». Et voilà comment toute réflexion sur cette pandémie ne peut qu’être associée à une réflexion englobante sur « qu’est-ce que la gauche, la droite, quels sont les enjeux » etc. Full circle.

    • Effectivement, avec 10000 places en réanimation (au mieu des 5000 actuelles), on pourrait tout à fait vivre sans confinement, sans sacrifier des pans entiers de l’activité économique et sans restrictions de liberté.
      Mais les bouffe-merdes ultralibéraux qui nous gouvernent ont fait un mauvais calcul: en économisant sur ce qu’on ne doit pas économiser (santé et sécurité, à savoir les fonctions régaliennes de l’Etat), on finit par dépenser beaucoup. Les innombrables aides distribuées – qui seront de toute façon insuffisantes pour éviter des milliers de faillites et des centaines de milliers de chômeurs post-covid- coûtent bien plus que 5000 places supplémentaires de réanimation.

      • « Les innombrables aides distribuées – qui seront de toute façon insuffisantes pour éviter des milliers de faillites et des centaines de milliers de chômeurs post-covid- coûtent bien plus que 5000 places supplémentaires de réanimation. »

        Faudrait savoir. Je croyais que le covid était une aubaine pour — sinon un coup de — la finance et autres puissances capitalistes qui ont placé le Tout Puissant là où Il est. On s’y perd entre les complots un peu-beaucoup-passionnément-à la dinguerie…

      • Et incidemment, on n’aurait pas non plus laissé crever des malades qui souffraient d’autres pathologies que le Covid.

        Pas la peine de croire qu’il y a un complot. La loi de Hanlon suffit à expliquer comment on en est arrivé là.

        • J’aurais plutôt dit les lois de la génétique, mais c’est vous qui voyez.

          (Accessoirement, le rasoir de Guigui n’a jamais été un critère de vérité.)

    • « Or nos hôpitaux ne le peuvent pas… »

      Vous manquez d’imagination. À la guerre comme à la guerre.

      « Et voilà comment toute réflexion sur cette pandémie ne peut qu’être associée à une réflexion englobante sur « qu’est-ce que la gauche, la droite, quels sont les enjeux » »

      Bien sûr, bien sûr. Et la loi d’Osthoff, c’est de droite ou de gauche ?

      • La loi d’Osthoff, la loi de Bartsch, la métathèse de quantité, rien de tout cela n’est régi par l’idéologie. Même Staline s’est cassé les dents quand il a voulu intervenir dans le champ de la linguistique, alors vous pensez….
        En revanche, ne voir aucun arrière-plan idéologique à la façon dont un gouvernement gère les services publics, ça confine à la cécité, cher ami !

        • Cela fait bien la troisième fois qu’il déclare sa flamme à Driout. Et vous savez bien que l’amour est aveugle.

          • À la bonne vôtre, Gus !

            Et tous sont ainsi faits, vivre la même vie
            Toujours pour ces gens-là, cela n’est point hideux.
            Ce canard n’a qu’un bec et n’eut jamais envie
            Ou de n’en plus avoir ou bien d’en avoir deux.

            Ils n’ont aucun besoin de baiser sur les lèvres
            Et, loin des songes vains, loin des soucis cuisants,
            Possèdent pour tout coeur un viscère sans fièvre,
            Un coucou régulier et garanti dix ans.

        • Se payer d’« idéologie », « gauche/droite », « rationnel » et « dépassionné » le lendemain de la mort de Bouveresse, ça confine à l’indécence.

          « Ne voir aucun arrière-plan idéologique à la façon dont un gouvernement gère les services publics, ça confine à la cécité, cher ami ! »

          Où donc ai-je pu écrire quelque chose qui puisse vous faire penser cela, même avec votre fatras définitionnel ? Ce que je plaisante est votre façon de ramener toute question un peu tangible (eh oui Don Dugong, je suis un faux russellien !) aux magmas intellectuels sus-cités, formés par offre publique d’achat de leurs valeurs conative et expressive — au détriment, évidemment, de toute création de valeur référentielle. Bref, j’attends « République », « démocratie », « justice » et « bien » avec impatience.

          • Si vous me provoquez sur le définitoire, vous ne serez pas déçu !
            En revanche j’apprécie à sa juste valeur votre référence aux basiques jakobsonniens.
            Fatras définitionnel de ma part, dites-vous? Oh que non. Je suis simplement allé à l’essentiel, au noyau dur, à l’incompressible. A votre disposition pour du plus précis, du plus sophistiqué, de la dentelle…

          • « En revanche j’apprécie à sa juste valeur votre référence aux basiques jakobsonniens. »

            Par commodité, hein, par commodité.

            « Fatras définitionnel de ma part, dites-vous? Oh que non. »

            Deux ou trois tours de grande roue me font rire. Après…

            https://www.youtube.com/watch?v=nuNsWa36B3k

          • Cela dit, j’ai récemment perdu mes Platon. Et comme il me reste, plût aux Moires, quelques jours à vivre, n’hésitez pas à m’instruire sur le « beau », le « vrai », la « gauche » (la vraie, hein, la fausse tout le monde sait ce qu’elle a fait pour mériter ontologiquement ce qualificatif), la « droite » (pourquoi toujours la droite en complémentaire d’ailleurs ?), la « raison », l’assassin du pasteur Doucé, l’« utile », le sexe des anges, la « démocratie », la « République », l’« objectivité », P=NP, la « justice », la recette du pot-au-feu, la « paix », l’« indépendance » et quelques autres médailles en chocolat sur une poitrine de général soviétique. Je ne retrouverai peut-être pas Ion et les autres mais je suis sûr qu’il y aura quelques inédits de Flaubert.

  133. je n’assimile pas étoile jaune et… ausweis ! j’emploie le mot « digne » ; je maintiens qu’il me semble « digne » de se « battre » contre !
    that’s all bear !

    • Il y a peut-être des hiérarchies dans la dignité, non ? Et dans l’indignité des assimilations conceptuelles, remarquez.

      Mais CQFD : chaque époque a ses héros (qu’elle mérite ?).

      • le temps de la guerre est un temps particulier ;
        il ne s’agit pas d’être un héros, mais chacun fait des choix dans sa vie ;
        certains se sont battus et ont tenu bon, voire y ont perdu des plumes…

        espérons que nombreux seront ceux qui auront la DIGNITE de ne pas accepter cet ausweis, encore une maillon qui se rajoute aux autres.

  134. Josip :
    rappel 1 de ce qui a été dit et REDIT :
    « jusqu’en avril 2020, il y avait :
    la réa, par définition = défaillance multi-organique,
    les soins intensifs = défaillance mono-organique,
    et enfin les soins continus = surveillance attentive » ;

    … « depuis… les trois ont été regroupés sous le terme générique de réa… , soit : nombre total de lits disponibles : environ 16 000… » !

    rappel 2
    « la refus absolu des gouvernements d’étudier toute piste de TRAITEMENT(S),
    et la préférence d’UNE SEULE STRATEGIE DE SORTIE DE CRISE : LA VACCINATION » .

    Pourquoi donc verrait-on un nombre non négligeable de toubibs, depuis ces tous deniers mois s’insurger contre le fait que leur « serment » est jeté à la poubelle (ça s’est payé par des radiations),

    comment se fait-il que la tête du « conseil scientifique » ait affirmé au Lancet, le contraire de ce qu’il dit au gouvernement ici ;

    etc, etc… les exemples, les analyses, abondent, et de tous les pays !
    regardez, aussi le « WHO coronavirus dashboard »…

    • Dont acte pour le rappel 1, mais les lits en réa sont toujours en nombre insuffisant…
      Rappel 2 : totalement d’accord, le préventif ne suffit pas, il faut aussi le curatif. Il reste que la vaccination offre actuellement les seules perspectives positives…

      • Non, il y a les traitements précoces. J’en suis la preuve VIVANTE et je suis loin d’être le seul.

        • Pour Josip, qui était peut-être parti au moment de cette catabase dans le monde de la débilité.

          L’abruti avec qui vous causez a chopé le covid au début de l’épidémie. Ça a durement chauffé pour lui (au point de griller son dernier neurone, pensent les spécialistes). D’un naturel subversif, il a essayé les deux traitements du docteur Maboule : la potion marseillaise et le doigt dans le cul. Et… miracle ! la maladie qui se guérit toute seule s’est guérie. Fort de sa découverte, cyrano a dû choisir quel était le vrai et bon et juste traitement. Pensez bien qu’un abruti pareil a pris la potion marseillaise, alors que toutes les études du docteur Maboule montrent que c’est le doigt dans le cul !

          • J’aurais tendance à le prendre comme un compliment ! (Surtout si la maman est Driout…) Mais j’ai bien peur que Don Dug’ rejette cette idée.

  135. @berland-bear
    J’ignore si de votre part c’est sincère ou feint, si c’est une prise de position ou une posture, mais je crois que votre talon d’Achille et ipso facto votre problème, c’est le cynisme désabusé. En fait vous n’espérez plus rien de l’humanité. République, démocratie, gauche, droite, ces mots sont devenus pour vous vides de sens, parce que les voir vidés de leur sens, c’est en réalité extrêmement confortable : on n’a plus à lutter, à son modeste niveau, pour que ces mots fassent sens, n’est-ce pas ?
    Pour ma part je ne suis ni cynique ni désabusé. Je sais, pour l’avoir appris, que ces mots n’ont pas uniquement le sens que notre conception de la vie veut bien leur donner. Pour chacun de ces mots il y a un noyau dur sémantique. Et perdre de vue ce noyau dur, c’est ouvrir la porte à toutes les confusions, à tous les fatras, à tous les renversements de valeurs, qui profitent toujours aux mêmes et s’exercent toujours aux dépens des mêmes autres.

    • Vous me mécomprenez, Josip. Ce n’est pas que je ne me bats pas pour la « République » ou la « gauche » parce que ces mots ont été vidés de leur sens, c’est que je ne me bats pas pour la « République » ou la « gauche » parce que ces mots n’ont pas de sens, ou plus exactement n’ont aucune fermeté définitionnelle (sauf à s’accaparer un sens au nom de je ne sais quoi) suffisante pour être mon étendard — situation déjà conceptuellement difficile : Martin avec un étendard… Au mieux, ils n’ont aucun intérêt, même sont contreproductifs, au pire, ce sont des idoles.

      Je m’explique. Prenez « gauche » (j’anticipe lourdement sur demain). 1) Vous en faites un synonyme de bien : la gauche, c’est le camp du bien ; la droite, c’est le camp du mal. Absolument aucun contenu référentiel, aucune valeur cognitive : charge morale pure. La belle affaire. Aucun intérêt pour penser (ou agir) : dire que quelque chose est bien n’en est pas une « démonstration » (si tant est qu’il puisse exister des démonstrations en morale, je laisse cela de côté) et ce n’est pas parce que je ne dis pas que je fais le bien que je suis interdit de le faire. Ici, « gauche » est une idole : interdisez à quelqu’un utilisant cette définition de se définir comme de gauche et il ne sait plus quoi dire. (Regardez du reste qui, ici, lorsqu’il n’a plus rien à dire, vous traite de militant macroniste. L’imbécile de service.) 2) Vous adoptez une définition par immanence et sont « de gauche » tous ceux (et tout ce) qui s’en réclament. Vous arrivez immanquablement, vue l’imprécision distributivement individuelle du terme, à un attelage invraisemblable de vallsistes, de mélenchonistes, de lambertistes, de trotskystes, de jean-vincent-placéistes (de Jean-Vincent Placé lui-même, quoi), de chevènementistes, de maurelistes et autres bouffeurs de nèfles. Je ne suis pas sûr qu’il n’y ait pas une variabilité propositionnelle plus forte entre les sous-groupes qu’entre les groupes gauche et droite. (De sorte que les appels à « l’union de la gauche », répétée comme une prière sans s’intéresser à ce qu’il y a dans ces factions de gauche à unir justement, sont pour moi d’immenses sources de rigolade. (Ça vaut aussi pour les souverainistes, si Gus passait par là après avoir couché ses gamins et remercié son épouse, bon papa, bon mari, bon toutou : qui imagine trois minutes Lordon (le grand mufti de Nuit Debout, universitaire, urbain, suce-ton-migrant, antilibéral, Le Diplo s’il vout plaît) frayer avec Philippe de Villiers ? Fin de la blague.)) J’en viens au point : vous êtes entre gens de gauche, et après ? Bah… rien, vous n’avez toujours pas d’objectif. Étendard inutile. 3) Définition par transcendance maintenant : vous définissez « gauche » avec les balivernes habituelles : l’égalité contre la liberté, le méchant capital, la veuve et l’orphelin, ZzzzzZzzzzZzzzz. Déjà, mais c’est accessoire à mon propos, ça pue l’OPA : on se demande bien au nom de quoi votre définition de gauche, qui, j’en suis sûr, ne sera pas celle de Laurent Joffrin (Mycroft, revenez !), serait la seule… vraie, pertinente, disponible, au nom de quoi vous vous permettez de jouer au coucou avec ce nid. Et si vous ne la revendiquez pas comme vraie, pertinente, disponible ou que sais-je mais simplement comme vôtre, pourquoi donc prendre « gauche » ? Il y a « carotte », « furoncle », « soupeur » et autres joyeusetés nominalistes. Ensuite, et c’est l’essentiel, pour que votre définition ne revienne pas à un cas 1 un peu dérivé, pour qu’elle limite les pignolades habituelles à ce genre d’exercices créatifs (Bouveresse, bordel !), pour qu’elle soit, seulement, opérante donc, il vous faudra de la précision intellectuelle, une explicitation des définitions outils de la définition principale, un ensemble de critères consensuellement validables, etc. Et une fois que le gigot aura dégrossi et que vous serez deux pelés et trois tondus à être de gauche, vous passerez beaucoup, beaucoup plus de temps à m’expliquer pourquoi une idée/un engagement/une personne est de gauche qu’à m’expliquer pourquoi il (« celles et ceux », sérieusement ?) vaut la peine d’être défendu ou considéré. Sens de l’économie du discours politique. Conclusion) Mieux vaut ne pas payer en monnaie de singe hâbleur, redescendre, un peu, des cieux platoniciens et… faire ?

      (HS. J’y pense, parce vous ne l’avez pas encore utilisé. C’est la même affaire pour « factuel » : soit vous en faites un synonyme de vérité et… aucune valeur probante ou heuristique ; soit vous en faites un synonyme de consensualité et… aucune valeur probante (sur les deux niveaux) et très faible valeur heuristique (si le niveau 1 de la preuve est validé de surcroît) ; soit vous adoptez une définition foutrement compliquée, pleine de coups de force linguistique en plus, et… vous mettriez plus de temps à m’expliquer, en vous exposant à la contradiction en plus, pourquoi une allégation est factuelle qu’à me démontrer pourquoi elle est vraie. Donc : à ranger parmi les mots-slogans aux beaux éclats mais qui ne servent à rien pour qui ne sombre pas dans la facilité. Le coffre est bien rempli (et sans doute de « facilité » d’ailleurs, je sais).)

      Voyez, c’est tout différent de se définir comme appartenant à une famille politique vague ou de se définir comme favorable ou défavorable à telle ou telle mesure — quitte à réenglober ensuite dans un niveau plus fin que le foutoir josipien. Gauche/droite : aucun intérêt. Euro-fédéraliste/nationaliste : déjà mieux. Favorable à une fusion institutionnelle des parlements nationaux dans un parlement unique avec scrutins nationaux/favorable au déclenchement de l’article 50 avec négociation d’un accord sur des bases libre-échangistes : beaucoup mieux. À la limite, je veux bien imaginer quelles menues OPA si vous avez quelques raisons (étymologiques, historiques, par le talent…) de le faire et, surtout, si vous pouvez vous défaire, sur injonction, de la breloque langagière. (Si vous avez le temps de lire : un abruti sur Twitter se fait appeler Cincinnatus et publie chaque lundi des billets sur son blog, Cincivox, que je vous laisse trouver. C’est affreusement mal écrit mais ce n’est pas ce qui nous occupe. Vous lui demandez de se définir, il vous dira « républicain », « universaliste » et deux ou trois zolis mais très-très zolis mots. Bon. Vous lui demandez d’aller plus loin et là… c’est le drame. Ça tourne en rond dans le flou (inartistique), à coup d’égale-dignité-mon-cul, pas-de-discrimination, La-Raie-Publique et autres paroles bigotes que tout le monde peut signer sans que personne ne soit d’accord sur ce qu’elles veulent dire, propositionnellement.) Bref, des oppositions comme pédagogols/réacpublicains, accueillons-les-migrants/remigration, hygiénistes/flambeurs, indépendance-de-la-justice/élection-des-juges, républicains-Debray/démocrates-Debray, kelseniens/schmittiens (je manque d’inspiration mais vous avez saisi l’affaire) sont beaucoup, beaucoup plus intéressantes. Mais évidemment, il faut savoir quoi penser, au-delà de deux ou trois slogans-sifflets faciles.

      En résumé de ce pavé qui mériterait d’être énormément dégrossi : contrairement à vous, je ne me bats pas pour les beaux yeux d’une princesse lointaine dont je ne sais que le nom, qui peut autant ressembler à Hélène de Troie qu’à Driout de Rueil — si elle n’est pas chimérique. Je me bats pour le pain qui est sous mon pif, pour les idées que j’ai envie de défendre, contre ce qui m’apparaît être une connerie. Si je dois me battre. Qu’importent Label Rouge ou AB. Et si jamais, par le plus grand des hasards, ma route me menait vers le château de la princesse, bah… je verrais bien… si c’est Driout.

      — — —

      Anecdote : lorsque j’étais jeune, c’est-à-dire il y a peut-être quatre ans, j’étais comme vous, innocent et naïf. Lorsqu’on me demandait mes opinions politiques, après deux ou trois relances (modestement) socratéennes, je concédais que j’étais « de gauche »… tout en m’empressant de préciser « mais chevènementiste, hein » (je vous rassure, je ne suis jamais allé jusqu’à « la vraie » — un certain sens du ridicule, même à dix-sept ans). Et lorsqu’on me traitait, immanquablement, de facho, je souriais mais tenais à rétablir que « non, non, non, de gauche républicaine, celle d’Onfray, Polony et quelques autres » (y avait moins de monde à l’époque). Aujourd’hui, après avoir écouté un peu plus attentivement le débris belfortain, qui n’est pas tel que je me l’imaginais (soit qu’il ait changé, soit que je me sois fait des idées à l’époque, soit que j’aie changé) et après avoir arrêté d’avoir peur des grands méchants loups-mots-garous, je ne dis plus rien, je fais mes saillies, on peut me traiter de facho, de partisan de (même pas de faiseur du jeu de, c’était déjà acquis ça) l’extrême-droite, rien à foutre, je ne relève plus, et je ne me définis plus comme de gauche (pas plus que je ne me définis comme de droite, hein). Je suis… ce qu’on voudra bien me qualifier, tant que la précision conceptuelle est de ce niveau-là, c’est-à-dire, en gros, tant que je ne suis pas avec des amis. Ça ne m’empêchera pas de lire les tweets de Renaud Camus et les articles de lundimatin (Gus, allez vous coucher, il est minuit ! en plus vous allez avoir peur). Ça ne m’empêche pas non plus de vaguement lâcher, quand il le faut (cas bien rare et qui échoit presque exclusivement avec mes amis, disais-je), quelques qualificatifs plus fins, mais et encore. Allez, Josip, vous avez fait le premier pas : vous n’avez plus peur qu’on vous traite de facho mais vous tenez à « rétablir la vérité ». Faites le deuxième : brûlez vos vaisseaux, ne fétichisez plus les mots et… à vous la liberté — si j’ose dire.

      — — —

      Bonne nouvelle pour vous : il va de soi que les gens comme moi sont cramés pour être juge du droit actuellement ; vous, vous pouvez encore prétendre faire des triples axels au Conseil d’État, à la Cour de Cass’, au Conseil constit’, à la Cour des comptes, au CESE… Allez, je crois en vous.

        • Venant du Maestro, je ne sais que penser. D’autant que le Maestrino Don Dug’ a souvent dit que le court n’était pas l’ennemi du mieux…

    • Je suis né dans un village
      Près du ciel plein d’oiseaux,
      Je suis l’enfant le plus sage
      De Padie-les-Eaux.
      Mes parents sont culottiers
      Et la nuit, et le jour,
      Ils font leur triste métier
      Le cœur plein d’amour
      Papa pique et maman coud,
      Papa pique et maman coud,
      Papa pique, maman coud,
      Papa pique et maman coud.
      La nuit j’entends leur machine
      Qui gémit au grenier
      Comm’ le vent chez la voisine
      Pleure dans l’escalier.
      Parfois au milieu d’un rêve.
      Je m’réveille en sursaut,
      Je vois le jour qui se lève
      Tandis que là-haut
      Papa pique et maman coud.
      C’est l’printemps et c’est ma fête
      J’ai quinze ans, quel bonheur,
      Et les fill’s à bicyclette
      Emportent mon cœur.
      J’en connais une très jolie
      Qui s’appelle Louison,
      Je la vois dans la prairie
      Car à la maison… (Au refrain)
      Un matin clair de décembre
      Tous les deux on s’mariait
      Et le soir dans notre chambre
      Ma femme riait.
      Nous allions bientôt connaître
      Le bonheur cette nuit
      Quand soudain à la fenêtre
      On entend un bruit… (Au refrain)
      Hélas, j’ai perdu ma mère,
      Elle est morte doucement;
      Peu de temps après mon père
      A suivi maman.
      Et Louison s’en est allée
      Avec un hors-la-loi.
      Et dans la maison hantée,
      Tout comme autrefois,
      Y’a papa qui pique
      Et y’a maman qui coud.

    • Zemmour adepte de la lutte des classes? Zemmour qui adhèrerait à ma définition en 5 points?
      Vous êtes un grand humoriste, Berland-Bear….

  136. Qui peut m’expliquer l’intérêt d’un tel déballage sur ce théâtre-poubelle au milieu de ces pitres ?
    Branco est décevant. Vraiment. Comment n’a-t-il pas conscience que sa sincérité et son émotion le desservent ?
    Sa cliente n’aurait pas été en service commandé, par hasard ? Elle accepte la relation puis file déposer une main courante ! Et a le culot de revenir le voir ?
    La perplexité m’habite.
    Je n’ai plus nulle confiance en un tel avocat qui se laisse piéger de la sorte puis qui va faire son autocritique publique. Misère.

    • Est-ce que Madame Irma pourrait répondre à ma question posée plus haut ? I’ va faire beau la semaine prochaine ? Faut vraiment que je sois sûr pour la piscine.

    • Branco est cuit. Ce qui vient de lui arriver est juste un avertissement. Sous la Vème République, on ne touche pas au souverain-président.
      Prochaine étape: la noyade dans 10 cm d’eau ou le suicide assisté.
      Les seuls opposants tolérés et officiels sont Mélenchon l’éructant islamogauchiste et Marine le Pen l’inculte post-pétainiste, des épouvantails destinés à favoriser la réélection du banquier.
      Bon, maintenant il y a encore du boulot pour Larem: faut éliminer Onfray, entre autres.

        • C’est bon, je viens de m’informer (en cette ère erre ? de l’immédiateté il n’est pas nécessaire d’être branché en permanence -ou vissé devant je ne sais quoi)
          Il s’agit d’un jeune ayant fait l’ENS et sciences-po, encore accusé de viol
          Elles ont l’air vraiment chiantes les jeunes pétasses de maintenant, ca doit être dur pour les petits jeunes dans les milieux qui sortent de l’ordinaire.
          Bon, je sors

      • pitoyable petit toro à petite moustache ! 🤣
        et just’ pour encore plus 🤣
        le Grivois change de crémerie :
        « je crée un cab qui conseillera et accompagnera les dirigeants d’entreprise dans leurs choix stratégiques »

  137. Beer-Lambert, vous vous êtes surpassé dans l’effronterie drolatique plus haut dans votre édito aux accents marc-edouard nabiens. Nous attendons avec impatience la réplique (évidemment au sens tellurique) de Gavrilovic. Le niveau de ce blog remonte !
    PS: Dans la famille Joffrin, cessez donc d’invoquer ce pauvre Laurent. Je ne connais que Jules.

    • J’ai un plan pour de fausses attestations de vaccination (pas chères)
      Passez par JPB qui transmettra

      • Fait suer la structuration du blog en mode monde d’après
        Chaque commentaire se retrouve comme une réponse à un commentaire précédent

    • Vous m’étonnez, Mycroft. Je me trouve moins drôle, plus lourd, trop exposant lorsque je deviens (un peu) sérieux. (J’ai du reste déjà confié ici même mon admiration pour Dugong, qui, en toutes circonstances, parvient à ne jamais le gagner, son sérieux, justement.) Et si c’est pour ressembler à Marc-Édouard Nabe… Je ne le connais que de réputation — le souffre sent fort (comme Alain) — mais je sais que je n’ai pas le privilège d’être le fils de Marcel Zanini pour limiter mes récitals devant la XVIIe chambre. Alors qui va payer les amendes à la LICRA* et au MRAP** ? Driout peut-être ?

      * Ligue internationale contre les rototos accusateurs
      ** Mouvement pour la race et contre l’amitié avec le peuple

      (Des nouvelles du tribunal de police, Pierre ?)

  138. Lormier a disparu, j’espère qu’il n’a pas à nouveau attrapé le covid ou eu un accident de vtt

  139. Décrivons les choses avec réalisme :

    – La liberté politique telle que nous l’avons connu depuis la seconde guerre mondiale est proche de succomber.

    Soit que les musulmans imposent leur ordre mafieux fait d’intimidations quotidiennes et de violences verbales et de violences prosélytes, soit qu’en réaction on cherche à contrôler les moindres faits et gestes et pensées des citoyens pour les empêcher de troubler l’ordre public.

    Les consolations à la Jean-Paul Sartre, ce n’est pas grave puisque privés de vos libertés publiques vous n’en serez que plus libres dans vos têtes pour aimer votre prochain, sont des fictions religieuses dignes de ceux qui vous promettent le paradis après la mort ou le grand soir révolutionnaire et unanime !

    La liberté c’est hic et nunc, ici et maintenant ou jamais. Que cela soit dit et compris !

    • connue !

      Il faudra corriger – je ne prends pas assez le temps de soigner la forme …

      • La liberté ce n’est pas une métaphysique et non plus une transcendance ! C’est une série d’actes que vous êtes ou non en mesure d’accomplir – grâce à votre corps et votre esprit s’il est en forme !

        Parce que c’est sûr c’est lié directement à votre niveau d’intelligence, vos connaissances positives et vos capacités physiques !

  140. Liberté ou non d’aller au petit coin ?

    Le gouvernement va faire faire une étude en double aveugle – on prendra des malvoyants qui iront dans les toilettes publiques des cafés et restaurants et s’ils en mettent partout preuve sera faite que la liberté de pisser c’est pas pour maintenant !

    • Ni pour tout le monde. Le lobby des couches culottes est à l’affut et veillera au confinement des fuites des durits.

  141. Si vous voulez faire l’amour il vous faut au moins deux choses :

    – La maturité sexuelle
    – Un corps apte à remplir les fonctions sexuelles
    – Et éventuellement un partenaire – même si certains pensent que l’onanisme se suffit à lui-même voire une poupée gonflable.

    C’est une liberté totalement concrète ! Je vous dis cela parce que moi j’ai connu des adolescents handicapés lourdement qui auraient bien voulu faire l’amour comme tout un chacun mais que leur corps empêchait ! Nulle consolation ne prévaudra contre cela !

  142. Réponse à Berland-Bear.

    Vous : « Vous me mécomprenez, Josip. Ce n’est pas que je ne me bats pas pour la « République » ou la « gauche » parce que ces mots ont été vidés de leur sens, c’est que je ne me bats pas pour la « République » ou la « gauche » parce que ces mots n’ont pas de sens, ou plus exactement n’ont aucune fermeté définitionnelle (sauf à s’accaparer un sens au nom de je ne sais quoi) suffisante pour être mon étendard — situation déjà conceptuellement difficile : Martin avec un étendard… Au mieux, ils n’ont aucun intérêt, même sont contreproductifs, au pire, ce sont des idoles. »
    Moi : Dès votre exorde comminatoire, je vous conteste. Vous niez que les mots « République », « Gauche », puissent avoir une quelconque stabilité référentielle, (ce que j’appelle un noyau dur sémantique), ce que vous appelez fermeté définitionnelle, en ajoutant presque subrepticement « suffisante pour être mon étendard ». Superbe exemple de manipulation : votre expansion adjectivale, parce qu’elle est déterminative et non simplement appositive, change tout ! Vous voyez de l’instabilité référentielle là où ce sont vos signifiés, vos concepts, qui sont des sables trop mouvants…

    Vous : « Je m’explique. Prenez « gauche » 1) Vous en faites un synonyme de bien : la gauche, c’est le camp du bien ; la droite, c’est le camp du mal. Absolument aucun contenu référentiel, aucune valeur cognitive : charge morale pure. La belle affaire. »

    Moi : Contresens total. La gauche n’est pas le camp du bien. Aucun jugement moral n’a à intervenir ici. Je parle de justice/mérite (que chacun récolte les fruits de son travail pour parvenir à un bien-être mérité, de préférence au système capitaliste en vigueur où le salariat profite plus à l’employeur qu’aux salariés) et de logique pure (si cette justice n’a pas cours, alors inévitablement une guerre civile plus ou moins larvée menace en permanence. Voulons-nous la guerre civile ?). De morale, point. Du pragmatisme : je ne veux pas de la guerre civile qui couve un permanence quand la justice n’est pas rendue.
    Et paresse intellectuelle : le contenu référentiel de « Gauche », je vous l’ai livré en 5 points il y a peu. Vous avez le droit de dire que ce contenu vous paraît léger, insuffisant, risible, pathétique, que sais-je encore, mais vous ne pouvez pas dire qu’il n’y a aucun contenu référentiel. Par ailleurs j’ai bien précisé que ce contenu référentiel était minimaliste. Je peux, si vous voulez, quand vous voulez, l’amplifier, l’affiner, le préciser.

    Vous : 2) Vous adoptez une définition par immanence et sont « de gauche » tous ceux (et tout ce) qui s’en réclament.
    Moi : Non. Paresse intellectuelle ou mauvaise foi par goût de la polémique. Vous oubliez, parce que ça vous arrange, ma définition a minima en 5 points.

    Vous : « Vous arrivez immanquablement, vue l’imprécision distributivement individuelle du terme, à un attelage invraisemblable de vallsistes, de mélenchonistes, de lambertistes, de trotskystes, de jean-vincent-placéistes (de Jean-Vincent Placé lui-même, quoi), de chevènementistes, de maurelistes et autres bouffeurs de nèfles. Je ne suis pas sûr qu’il n’y ait pas une variabilité propositionnelle plus forte entre les sous-groupes qu’entre les groupes gauche et droite. (De sorte que les appels à « l’union de la gauche », répétée comme une prière sans s’intéresser à ce qu’il y a dans ces factions de gauche à unir justement, sont pour moi d’immenses sources de rigolade. Qui imagine trois minutes Lordon frayer avec Philippe de Villiers ? Fin de la blague.) »

    Moi : Dans cette diatribe à la Céline (plus du côté d’Hugues Aufray que de Louis-Ferdinand) vous vous laissez emporter par votre élan, et votre fougue juvénile vous procure une auto-griserie qui vous conduit à dire des sottises et des énormités (pourquoi Lordon chercherait-il à frayer avec De Villiers ? De Villiers a-t-il un jour contesté le capitalisme libéral ?)
    Cela dit, oui, l’Union de la gauche est évidemment toujours un combat. Comme toutes les unions. Si Berland et Bear sont incapables de s’accorder un tant soit peu, il n’est guère étonnant que ne vous ne soyez pas taillé pour l’action collective. Vous qui avez souvent du mal à être d’accord avec vous-même (tout dans votre prose en atteste), imaginez ce que ça donne au niveau d’un couple. Alors vous pensez, au niveau des différentes sensibilités d’un courant politique… !
    Et pourtant…Vous faites parfois référence à Jean Moulin : sa réussite historique est précisément d’être parvenu à associer des groupes venus d’horizons très divers (Frenay et J-P. Lévy, peut-on faire plus dissemblable ?) pour les faire tendre vers un même but…J’ajoute que même si l’union de la gauche institutionnelle est presque toujours éphémère, elle n’est pas trop maladroite le temps qu’elle dure. Le Front Popu, 1936, les congés payés (soit dit en passant, le patronat qui à l’époque clamait et bramait que l’économie ne s’en remettrait jamais, il la situait où, la fermeté définitionnelle du mot « gauche » ?), 1945-46, union nationale, Ambroise Croizat, la Sécurité Sociale, les nationalisations, tout ça, vous reniez ? Ou bien vous êtes preneur malgré tout ? Quand vous allez vous faire soigner sans débourser un kopek, vous savez à qui vous devez dire merci ? A défaut de bonheur, c’était bel et bien du bien-être, du mieux-être, n’est-ce pas ?
    Vous : « J’en viens au point : vous êtes entre gens de gauche, et après ? Bah… rien, vous n’avez toujours pas d’objectif. Étendard inutile. »

    Moi : Non. Voir le point 1 de ma définition a minima en 5 points : « objectif : desserrer l’emprise du capital sur la vie de nos sociétés, emprise qui est caractérisée par une forme de chantage fondé sur la notion de pensée unique puisque l’Histoire est finie (Fukuyama…), le libéralisme a gagné, circulez, il n’y a plus rien à voir »
    Vous : « 3) Définition par transcendance maintenant : vous définissez « gauche » avec les balivernes habituelles : l’égalité contre la liberté, le méchant capital, la veuve et l’orphelin, ZzzzzZzzzzZzzzz. »
    Moi : (Transcendance ? Rien à voir. Vos problèmes avec les signifiés sables mouvants se confirment.)
    Oui, c’est cela. Dormez. Mais quand on dort, on rêve peut-être, mais on ne pense plus… Vous vous gaussez en disant « le méchant capital ». Mais non. Le capital n’est pas méchant. Il est avide de pouvoir. Il est centré sur lui-même. Et c’est parce qu’il est avide de pouvoir et centré sur lui-même qu’il est amené à écraser quiconque lui résiste…Les balivernes habituelles, dites-vous… Accepter l’injustice plutôt que tendre vers la justice/mérite, ça vous tente ? Ecraser les plus fragiles, ça vous fait rêver ? A chacun ses balivernes, dans ce cas…

    Vous : « Ensuite, et c’est l’essentiel, pour que votre définition ne revienne pas à un cas 1 un peu dérivé, pour qu’elle limite les pignolades habituelles à ce genre d’exercices créatifs (Bouveresse, bordel !), pour qu’elle soit, seulement, opérante donc, il vous faudra de la précision intellectuelle, une explicitation des définitions outils de la définition principale, un ensemble de critères consensuellement validables, etc. »
    Moi : Eh bien nous y voilà. Et là, surprise, je vous suis totalement. Nous sommes quelques-uns, à gauche (voyez comme j’aggrave mon cas) à essayer de faire preuve de la précision intellectuelle requise pour promouvoir ce qui nous paraît souhaitable. Mais n’attendez pas de moi que je produise sur ce blog une thèse de philosophie politique ayant valeur de programme pour une prise de pouvoir par le peuple de gauche.

    Vous : « Gauche/droite : aucun intérêt. Euro-fédéraliste/nationaliste : déjà mieux. Favorable à une fusion institutionnelle des parlements nationaux dans un parlement unique avec scrutins nationaux/favorable au déclenchement de l’article 50 avec négociation d’un accord sur des bases libre-échangistes : beaucoup mieux. (…) Bref, des oppositions comme pédagogols/réacpublicains, accueillons-les-migrants/remigration, hygiénistes/flambeurs, indépendance-de-la-justice/élection-des-juges, républicains-Debray/démocrates-Debray, kelseniens/schmittiens (je manque d’inspiration mais vous avez saisi l’affaire) sont beaucoup, beaucoup plus intéressantes. Mais évidemment, il faut savoir quoi penser, au-delà de deux ou trois slogans-sifflets faciles. »
    Moi : Oui, je crois avoir saisi l’affaire. Si l’on ajoute à vos signifiés sables mouvants cette succession d’approches dont la plasticité vous fait courir le risque que la terre se dérobe sous vos pas, on peut finir par penser que vous aimez le mou (Dévotion envers S. Dali ? Soft Machine ? Matching Mole ?) !
    Je ne m’interroge plus sur votre corpus idéologique. Je doute de plus en plus que vous en ayez un de présentable. Si vous en avez un, c’est au mieux un manteau d’arlequin cousu par un paralytique arthritique, au pire une salade niçoise où le mariage des saveurs s’achève par un divorce gustatif sans appel sous forme de vomissement inextinguible. Et ça sera sans moi, je préfère les nourritures vertébrées….

    Vous : « Allez, Josip, vous avez fait le premier pas : vous n’avez plus peur qu’on vous traite de facho mais vous tenez à « rétablir la vérité ». Faites le deuxième : brûlez vos vaisseaux, ne fétichisez plus les mots et… à vous la liberté — si j’ose dire. »
    Moi : Figurez-vous que jamais personne ne m’a traité de facho. Si jamais quelqu’un s’y aventurait, vous savez très bien comment je réagirais : en définissant « fascisme », en mettant en lumière sa stabilité référentielle, son noyau dur sémantique. Que voulez-vous, on ne se refait pas…Vous pensez que je fétichise les mots ? La belle affaire ! Vous fétichisez bien Driout, vous !!!

    Vous : « Allez, je crois en vous. »

    Moi : Vous me faites le coup du « Ite missa est » ? Non non, aucun prosélytisme chez moi. C’est par les échanges d’idées que je fais valoir mon point de vue, même et surtout là où s’expriment majoritairement des gens qui ne pensent pas comme moi…Comme vous, Dugong, Brighelli et tant d’autres…

  143. Précisions nécessaires cher Josip ! Je viens de regarder le dictionnaire alors suis-je promu fétiche nègre ou fétiche sexuel ?

    Moi je vois bien pop-star ! Un peu tard à 58 ans mais bon ! je me ferais une raison si je suis adoré par mes fans !

    • Un truc épatant : je ne regarde jamais les émissions de talk-show et hier en zappant je suis tombé sur « Le grand journal » de Yann Barthès, ce devait être une première ou presque pour moi, un jeune chanteur « Roméo Elvis (!!!!) » expliquait qu’il ne lisait pas les messages qu’on lui envoyait sur « instagram » et « twitter » ça lui prenait trop la tête tous ces compliments des fans ; il avait en quelque sorte peur de prendre la grosse tête …

      • Y a des parents qui n’ont peur de rien « Roméo Johnny Elvis Kiki » voilà les prénoms de baptême de notre rappeur !

    • @Driout
      Fétiche nègre ou fétiche sexuel?
      Question à poser plutôt à Berland-Bear, l’instabilité référentielle et les signifiés mouvants, c’est beaucoup plus son domaine que le mien !
      Et puis, vous savez, c’est lui qui ne rêve que de vous…Ça n’est pas moi.

  144. Larem a présenté une femme voilée sur une liste électorale. Cette militante est la fondatrice d’une association qui diffuse la pensée des frères musulmans et notamment celle du prédiqueutard sale à fist Tarik Ramadan.
    Tous les autres partis politiques doivent donc s’unir et former un Front Républicain contre le parti clérical et antilaïc Larem, allié de l’extrême-droite musulmane.

  145. Josip, ne m’en voulez pas mais je lirai vos calembredaines ce soir. Je réfléchis mieux l’esprit frais et disponible, et surtout en réaction immédiate et d’une traite. Là, j’ai rendez-vous chez mon coiffeur-paysagiste.

      • Non, Pierre, pas vous… Vous étiez le seul qui ne me disais pas « ta gueule » ici… Et en plus vous savez que mon admiration pour vous est sincère : j’ai eu un cafard monstre hier soir à cause de ça d’ailleurs.

    • j’espère que vous n’aurez pas oublié vot’ Bouveresse (magazzzzzines non encore dispos, vax or not).

      • Vous savez bien que pour admirer quelqu’un il ne faut jamais en avoir lu une ligne !

  146. Le croato-serbique distribue les étiquettes de gauchité (en 5 points) aux badauds à peine descendus des wagons en appliquant son VTZ sur tous les fronts.

  147. La seule bonne nouvelle à l’ouest c’est qu’il y aurait 450 films en attente de sortie
    Je me demande comment tout cela va être mercantilement géré
    Une remarque en passant
    Erich au pied !

    • Beaucoup vont être refilés pour quelques euros et diffusés par nanardland en vod (?)

      Certains films devraient être reconnus comme navets avant même leur sortie.

  148. Pierre, permettez que je pastiche vos meilleures drioutinades (pieusement notées dans un carnet et filialement relues chaque premier samedi du mois — comme le JDH) ? C’est pour ma carrière… Moi, j’ai la vie devant moi ; vous, vous avez les vie/t(s ?) derrière vous.

    • J’aurais bien aimé que mes parents aient la délicatesse de me donner un prénom supplémentaire « Gros Kiki » ! Mais va te faire voir … je ne serai jamais rappeur du dimanche.

  149. Le seul vaccin qui m’inquiète niveau effets secondaires c’est le Pfizer ; voyez ce qui se passe en Israélie

  150. À chaque fois que je lis « effronterie » sous la plume de Mycroft — un mot qui n’a pas été employé depuis 1950, z’avez pas honte ? —, je revois ma mère, lorsque je lui répondais, me lancer « effronté, va ! » et me courser dans la baraque avec le martiiineeeeeeet ! 😭😭😭

  151. solution FINALE : destruction du Hamas/ Hezbollah, ET de l’axe chiite Téhéran-Beyrouth ;
    et que ça SAUTE ! ça suffit !

  152. déjà 16 ans qu’a disparu une de leurs charognes visqueuses, évidemment en France ;
    la France : le pays préféré des tyrans pour être soignés , dorlotés, protégés !

  153. tout s’essplique (enfin !) : certains zhommes ici font du « mansplaining » – nouveau koncept made in Audrey P. – 😊

  154. Ici on ne craint pas le ridicule alors les roquettes du Hamas vous pensez …

  155. Si j’avais eu un fils je l’aurais appelé « Homère Iliade Odyssée » …;

    • Une Polony complètement récupérable et recyclable à l’infini – une Polony madone de l’écologie ventre à terre ?

  156. « La phrase de Marine Le Pen et sa diffusion par ces adeptes des pédagogies délirantes qui ont détruit l’école et condamné à l’illettrisme les enfants les plus défavorisés relèvent de l’alliance objective. »

    Il a changé, Milner.

    • Les criminels aussi sont discriminés:
      -pour le tueur des Cévennes, son nom et sa photo sont diffusés dans tous les médias pendant la traque
      -pour le tueur d’Avignon, son nom et sa photo sont occultés par les médias pendant la traque et après l’arrestation
      Pourquoi une telle différence de traitement?
      Une fois de plus, dieu seul le sait.

  157. Ô Josip, ô mon Josip… quelle peine, vous m’infligez ! quelle déception, j’éprouve ! et de quelle cruauté, vous faites preuve ! Vous osez révéler à la face du monde combien je suis mauvais professeur, incapable de faire voir à son inapprenant ses errements et le poussant même à débiter de nouvelles sornettes. Des dizaines de commentaires sarcastiques, deux ou trois indices habillement disséminés et une longue, longue explication pour un tel échec — et quel échec… Puissent saint Philippe, saint Pierre, saint Stanislas et sainte Francette me pardonner : je me repens en brûlant trois Fabriques.

    Allez, cessons les conneries, et puisque vous saucissonnez (islamophobe !), saucissonnons.

    — — —

    §
    a) « Dès votre exorde comminatoire, je vous conteste. »

    Mais contestez, contestez, ça me rappelle mes parties fines (malheureusement fantasmatiques) avec Driout : j’adore qu’on me résiste !

    b) « Vous niez que les mots « République », « Gauche », puissent avoir une quelconque stabilité référentielle, (ce que j’appelle un noyau dur sémantique), ce que vous appelez fermeté définitionnelle, en ajoutant presque subrepticement « suffisante pour être mon étendard ». Superbe exemple de manipulation : votre expansion adjectivale, parce qu’elle est déterminative et non simplement appositive, change tout ! »

    Eh oui, je le confesse, je suis un manipulateur : j’ai l’extrême faiblesse de penser que mes lecteurs auront l’incroyable audace de lire mes phrases en entier. Surtout pour se faire un avis sur icelles. Punissez-moi, Josip, et sévèrement pour ma naïveté. (Eh oui, nous inversons les rôles avec Pierre, à l’occasion.)

    (« Appositive » ? N’est-ce pas aussi désuet que les goûts de mon lascif camarade ? Même le·a RPP — 1994 : avant ma naissance ! — n’en faisait plus usage (en ce sens).)

    c) « Vous voyez de l’instabilité référentielle là où ce sont vos signifiés, vos concepts, qui sont des sables trop mouvants… »

    Josip, je ne doute pas que le champ sémantique de chaque signifiant soit propre à chaque individu et que, malgré les chevauchements permettant l’intercompréhension, nous ne parlons jamais qu’avec des noms propres. Mais quand même. Intercompréhension justement. Si vous définissez comme « courgette » la bestiole qui a le col vert, nage sur l’eau et fait couincouin, et que vous demandez, avec insistance, à votre boucher, un « magret de courgette », vous risquez d’entendre parler du pays — alors qu’à l’inverse si vous demandez à trente philosophes si Tartempion est libre, vous aurez trente flatulences différentes, dont les doux parfums seront tantôt affirmatifs, tantôt négatifs, tantôt à la normande, tantôt tutti quanti — parce que « liberté », à l’instar de « gauche » et à la différence de « courgette », fait l’objet, présentement, dans notre société, hic et nunc (pour faire le cuistre et emmerder Jean-Paul), d’une intercompréhension minime, sinon nulle. La liberté, chacun y met ce qu’il veut derrière. De là, dans l’économie de mon précédent post, le passage en revue de différentes approches de systématisation, de raffermissement sémantique si vous voulez (bien mal comprises — quelle ironie).

    §
    a) « Contresens total. La gauche n’est pas le camp du bien. Aucun jugement moral n’a à intervenir ici. […] Et paresse intellectuelle : le contenu référentiel de « Gauche », je vous l’ai livré en 5 points il y a peu. » + « Non. Paresse intellectuelle ou mauvaise foi par goût de la polémique. Vous oubliez, parce que ça vous arrange, ma définition a minima en 5 points. » + « Non. Voir le point 1 de ma définition a minima en 5 points. »

    Épouvantails. Ou, plus probablement comme je viens de l’annoncer, mécompréhension de ce que, j’imagine, tous les autres lecteurs auront pigé : les trois points ne sont pas conjonctifs mais disjonctifs, il ne s’agit pas d’étudier trois aspects de la définition josipienne de la « gauche » mais trois manières différentes de définir la « gauche » (et allez savoir pourquoi la manière josipienne correspond à celle étudiée à la fin — mais quel talent ce Berland-Bear ! qu’on lui donne le Goncourt !) — ce que, du reste, confirmait pour les esprits distraits le parallélisme avec la monstrueuse « factualité » (« soit vous en faites un synonyme de […] ; soit vous en faites un synonyme de […] ; soit vous adoptez une définition foutrement […] »). Quoi qu’en pense le débile chloroquinard, je ne suis pas (complètement) demeuré : je peux encore distinguer trois définitions contradictoires (!), surtout quand c’est moi qui les ai proposées. N’insistons pas.

    b) « Je parle de justice/mérite (que chacun récolte les fruits de son travail pour parvenir à un bien-être mérité, de préférence au système capitaliste en vigueur où le salariat profite plus à l’employeur qu’aux salariés) et de logique pure (si cette justice n’a pas cours, alors inévitablement une guerre civile plus ou moins larvée menace en permanence. Voulons-nous la guerre civile ?). De morale, point. Du pragmatisme : je ne veux pas de la guerre civile qui couve un permanence quand la justice n’est pas rendue. »

    Josip, n’oubliez jamais que quand vous discutaillez avec Berland-Bear, vous discutaillez avec un imbécile. Justice et Mérite, je ne les connais pas. Je n’ai jamais eu le privilège de tailler le bout de gras avec eux dans la rue ou d’être invité à un déjeuner en leur compagnie chez Maxim’s.

    §
    a) « votre fougue juvénile vous procure une auto-griserie qui vous conduit à dire des sottises et des énormités (pourquoi Lordon chercherait-il à frayer avec De Villiers ? De Villiers a-t-il un jour contesté le capitalisme libéral ?) »

    Si vous escamotez trois de mes lignes (de coke) entre deux de mes phrases (de merde) aussi… vous n’aurez aucun mal à me faire dire que la Terre est plate. Lordon et (ø) Villiers étaient convoqués dans une analogie avec le souverainisme (en référence à une discussion entamée avec Gus plus tôt dans la journée). Cela me semblait assez clair… : « (Ça vaut aussi pour les souverainistes, si Gus passait par là […] : qui imagine trois minutes Lordon (le grand mufti de Nuit Debout, universitaire, urbain, suce-ton-migrant, antilibéral, Le Diplo s’il vous plaît) frayer avec Philippe de Villiers ? Fin de la blague.) » Vous devriez lire mes paragraphes en entier, je vous assure, on comprend beaucoup mieux. (Et très secondairement les recopier avec un peu plus de fidélité, hum hum.)

    b) « Cela dit, oui, l’Union de la gauche est évidemment toujours un combat. »

    La majuscule en plus, comme vous y allez ! C’est le titre d’une nouvelle feuille de chou régionale en Bretagne ?

    c) « [Bla-bla-bla Jean Moulin, bla-bla-bla le Front Populaire, bla-bla-bla la Libération (rien à voir avec votre ami Joffrin, Mycroft !)] »

    Le rapport avec le schmilblick ? La discussion portait sur la (non-)définition de l’objet « gauche » ; où donc avez-vous vu de ma part le moindre taquet à la gauche, quelle que soit l’aberrante définition qu’on lui donne ? Je vous l’ai dit, « gauche » est pour moi un concept au mieux inutile, pourquoi donc irais-je donner des bourre-pifs à un fantôme ?

    §
    a) « (Transcendance ? Rien à voir. Vos problèmes avec les signifiés sables mouvants se confirment.) »

    Oui, transcendance, par opposition à l’immanence du paragraphe précédent. Dans ce troisième cas, la définition de la « gauche » préexiste à ceux qui y répondent, le point fixe est hors du monde : il y a donnée d’une propriété, à vous de trouver les objets qui y correspondent (par opposition à : donnée de plusieurs objets, à vous de trouver une propriété qui les englobe… si vous le souhaitez). Cela rejoint la classique paire (de Loches ? (je me dugonguise dangereusement)) raisonnement par induction/raisonnement par déduction ou, comme je vous sais matheux, définition d’un ensemble par énumération (E = {π, 22, √2, 4+1}) ou par compréhension (E = {x ∈ ℚ | x² < 2} — et ainsi naquit ℝ).

    b) « [Bla-bla-bla, le méchant capital] »

    Le rapport avec le schmilblick ? (Voir supra.)
    Le capital, dis comme ça, je ne sais pas non plus ce que c'est. Peut-être un peu plus, mais pas beaucoup plus. (Voir supra.)

    §
    a) « Eh bien nous y voilà. Et là, surprise, je vous suis totalement. »

    C'est beau quand un effet « littéraire » réussit…

    b) « Nous sommes quelques-uns, à gauche (voyez comme j’aggrave mon cas) à essayer de faire preuve de la précision intellectuelle requise pour promouvoir ce qui nous paraît souhaitable. »

    Et alors, vous êtes combien après avoir dégraissé le gigot ? Trois, quatre ? Comme à une manif du Printemps Républicain quoi ? Et, pardonnez-moi, je ne voudrais pas insister trop lourdement mais : qu'est-ce qui vous donne, disons, la légitimité de baptiser votre agneau « Gauche » ? Qui vous dit que cette pauvre bête ne s'appelait pas « Sauce Tomate » ou « Pissenlit » ? Qui vous dit que votre voisin, ce salaud, qui fête l'Aïd El Kébir, a moins légitimement que vous nommé le sien « Gauche » avant faire son affaire dans la baignoire ? Il y a un Talmud de la gauche qui vous certifie que votre agneau est le seul, le vrai, l'unique Agneau pascal ou… parce-que-Josip-alors-Josip ?

    §
    a) « Si l’on ajoute à vos signifiés sables mouvants cette succession d’approches dont la plasticité vous fait courir le risque que la terre se dérobe sous vos pas, on peut finir par penser que vous aimez le mou (Dévotion envers S. Dali ? Soft Machine ? Matching Mole ?) ! »

    Je n'ai rien compris à cette phrase.

    (Et pour votre information, non, je n'aime pas particulièrement le mou, surtout quand il se réfère à Pierre — je suis toujours très vexé. Et je suis plutôt Dalida, Zouk Machine et Plage du Môle.)

    b) « Je ne m’interroge plus sur votre corpus idéologique. Je doute de plus en plus que vous en ayez un de présentable.  »

    Rapport avec le schmilblick ? (Voir supra.) Si ce n'est pas un magnifique tir de dégagement, ça, de dériver sur mes opinions politiques…

    (Et pour votre information, encore, c'est bien simple : je n'ai aucune opinion politique ! Je me contente de tacler la bêtise quand je la vois, cela suffit amplement à m'occuper. Ne vous attendez donc pas à trouver chez moi une grande théorie politique à la Rousseau, Kant ou Machiavel — Genève, Königsberg, Florence, si Gus passait par là… —, je ne suis qu'un très modeste critique : je ne crée rien, je détruis. Mon utilité marginale à la société est négative ! Je préfère cent fois Socrate à Platon.)

    §
    a) « Figurez-vous que jamais personne ne m’a traité de facho. »

    Quelle chance ! J'espère que vous la mesurez bien. (Quoique… si t'as pas été traité de facho à cinquante ans, t'as raté ta vie — ou tu votes Benoît Hamon, ce qui est un peu la même chose.)

    b) « Si jamais quelqu’un s’y aventurait, vous savez très bien comment je réagirais : en définissant « fascisme », en mettant en lumière sa stabilité référentielle, son noyau dur sémantique. »

    Et, sans trop entrer dans ce nouveau marécage, depuis quand les fachos sont des fascistes ?

    c) « Vous pensez que je fétichise les mots ? La belle affaire ! Vous fétichisez bien Driout, vous ! »

    Le rapport avec l'œuf ? (Car oui, chers lecteurs, si vous ne le saviez pas, le schmilblick était un œuf.) Mon admiration (spirituelle) pour Driout n'a aucune espèce de rapport avec votre fascination (politique) pour l'éclat de quelques mots dont, manifestement, vous avez autant de mal à vous séparer qu'un gosse de son hochet. Mauvais signe, Josip, quand on ne sait plus se définir qu'avec une ou deux étiquette(s) : faites comme Pierre, vous êtes (politiquement) queer !

    §
    « Vous me faites le coup du « Ite missa est » ? »

    Non. Je ne sais pas ce que c'est.

    — — —

    Message de service.

    Pour toute réclamation, merci de vous adresser à ma charmante sœur, qui, non contente de revenir m'emmerder en ce weekend prolongé alors que je ne l'ai pas vue depuis deux ans, a eu le mauvais goût de me continuellement distraire pendant que j'écrivais cette bafouille.

    Merci votre attention.

  158. Il fait un de ces ramdams, Fabien Roussel, avec ses déclarations sécuritaires !

      • Vous croyez aux mathématiques naturelles, vous ? Et à saint René murmurant à l’oreille du petit Berland-Bear « les mathématiques [sont] la conquête du continu par le discret » ?

  159. Coup d’état foireux (suite)

    extraits :
    … « On n’est pas l’armée birmane ! » : dans les régiments, les « tribunes de militaires » laissent de marbre …

    … C’est un peu le délire d’une poignée, de saint-cyriens cathos tradis, toujours les mêmes…

    …. ce « spectre du putsch que l’on agite, et qui semblerait venir des rangs même de l’armée, c’est n’est pas très républicain et démocratique » déplore notre jeune lieutenant. « Cela donne une mauvaise image. » Bien sûr, il a arpenté les banlieues difficiles dans le cadre de la mission Sentinelle : « Ce délitement, on le voit, c’est une réalité. De là à évoquer la guerre civile… Ce qui est sûr c’est que si par extraordinaire quelques excités avaient des velléités de coups d’Etat, ce ne sont pas nos soldats et sous-officiers qui iraient suivre des gars d’extrême droite dans ce délire, ils seraient un peu tout seuls ! » ….

    https://www.marianne.net/societe/vingt-mecs-sur-vingt-mille-dans-les-regiments-les-tribunes-de-militaires-laissent-de-glace

    Ca fait penser au conseil national de transition (cherchez avec un point org à la fin ; .org)
    En 2015 pour le 14 juillet (ca a fini avec 300 égarés errant dans Paris) …

  160. Le diplo docusse * une énième fois le colonialisme, censé avoir survécu en mutant juste ce qu’il fallait :

    https://blog.mondediplo.net/au-senegal-sortir-du-bourbier-neocolonial

    « Les voix de la révolution, de la libération ou de l’émancipation sont insondables. C’était peut-être la bande d’annonce d’une prochaine lutte beaucoup plus importante »

    Quand la situation se révèle pré-révolutionnaire, fopa insister, fo trouver aut’chose. Heureusement, le serbique croateux est là pour touiller les déjections pangolino-calvi murines pour tenter de les rendre lévogyres en les tordant suffisamment

    * docusser : verbe trans, 1er groupe, rassembler des éléments jusque là hépars pour favoriser un bon transit

  161. Le diplo docusse * une énième fois le colonialisme, censé avoir survécu en mutant juste ce qu’il fallait :

    https://blog.mondediplo.net/au-senegal-sortir-du-bourbier-neocolonial

    « Les voix de la révolution, de la libération ou de l’émancipation sont insondables. C’était peut-être la bande d’annonce d’une prochaine lutte beaucoup plus importante »

    Quand la situation se révèle pré-révolutionnaire, fopa insister, fo trouver aut’chose. Heureusement, le serbique croateux est là pour touiller les déjections pangolino-calvi murines pour tenter de les rendre lévogyres en les tordant suffisamment

    * docusser : verbe trans, 1er groupe, rassembler des éléments jusque là hépars pour favoriser un bon transit

  162. @Dugong
    Votre insistance à explorer la combinatoire serbie/croatie/montenegro/kosovo pour me nommer fait mon admiration. Ça rappelle un peu cette scène du film L’Arnaque (la partie de poker dans le train) où le personnage incarné par Paul Newman écorche volontairement à plusieurs reprises le nom du personnage joué par Robert Shaw. Scène très réussie, très drôle. Vos tentatives le sont aussi !

  163. Le nominal chez Dugong a pris la place de toutes ces petites libertés qu’il n’est plus en état d’exercer matutinalement …

    • Quand je vous nomme « débris », je ne crois pas ajouter du malheur au monde.

  164. « Elle mettait en scène des hommes (« jeunes cadres ») radieux, torse nu, un brin de soleil nimbant les cheveux, se lavant matutinalement dans la fontaine-lavoir d’une ferme (« résidence secondaire »)  »

    Vous voyez bien la scène avec le jeune cadre Dugong frais émoulu de son agrégation ?
    Maintenant qu’il est chenu c’est moins joyeux …

  165. Dugong veut nous faire payer sa vieillesse au prix fort – comme c’est touchant et humain toute cette amertume !

    • Aucune amertume. Je m’applique seulement à crever après vous. Pensez à garnir votre pilulier avant de devoir en payer le contenu de votre poche !

  166. @Dugong encore
    Quand l’exaspération atteint un certain degré, au moindre élément déclencheur une société relativement immobile peut se mettre en mouvement, pour ainsi dire pivoter d’un côté ou d’un autre, soit côté droit soit côté gauche.
    J’aimerais bien avoir le pouvoir de tordre la réalité, comme vous dites, pour la rendre levogyre. Je crains hélas qu’actuellement notre pays se tourne de l’autre côté. Je prends très au sérieux ce qui se passe du côté de l’armée, non pour le risque putschiste en tant que tel, mais pour le signe que ça envoie, et qui semble avoir été reçu 5 sur 5 par une bonne partie de nos concitoyens.

    • JG arrêtez de faire semblant d’avoir peur. Le risque putschiste est inexistant, même la tentative d’avril 61 dont tous les médias se repaissent à longueur d’antenne a été un échec. Seuls quelques régiments particuliers, Légion, parachutistes, commandos s’y sont ralliés, le gros des troupes, dont toute la marine et le contingent restant loyalistes.

      Cette affaire de tribune des militaires a été instrumentalisée afin de décrédibiliser leur analyse pertinente de l’état du pays. Quand on veut noyer son chien on l’accuse de la rage.

    • Je crains de ne pas vous comprendre : vous craignez le basculement vers l’E.D. ?
      Mais tous les médias nous bassinent avec l’ancrage des Français à droite.
      Et à l’approche des élections, il n’est pas certain que l’épouvantail MLP fonctionne encore. Le pb vient du fait que MLP a adoubé les généraux lanceurs d’alerte. Elle aurait mieux fait de se la boucler. Mais ça, c’est un peu au-dessus de ses possibilités.
      Et vous n’allez tout de même pas penser qu’elle changerait tout ce qu’ils dénoncent en cas d’élection, si ? Auquel cas, désillusionnez-vous maintenant, c’est toujours mieux que trop tard. Si quelqu’un en a bien conscience, c’est Zemmour.

      • @Méditerranée
        Je crains le basculement vers une droite dure totalement, mais alors totalement, dé-com-ple-xée. Je le crains parce que l’exaspération est telle que certains sont prêts à tout essayer, y compris l’incompétence la plus dangereuse. Qui peut aussi avoir nom Zemmour.

        Quant à une gauche vraiment de gauche, elle est aux abonnés absents. Je sais donc que je m’expose à tous les sarcasmes. Tant pis pour qui rira.

        • Pas moi en tout cas.
          Et je suis aussi dépitée que vous devant tant d’incompétence et de mauvaise fois conjuguées de tous bords.

  167. A quel moment exactement les institutions d’un pays s’effondrent ? Quand il n’y a plus de caractère.

    Le fameux moment où la IIIème république s’effondre le 17 juin 1940 et demande grâce à Adolf Hitler est précédée par la perte complète de la moindre capacité à la résistance. Entre 1933 et 1939, il n’y a plus d’autonomie de la pensée politique en France – les évènements se suivent au fil de l’eau comme un chien crevé qui dérive …
    A aucun moment la France n’est incarnée par une volonté claire et indicible pour exister, c’est le grand sabordage de la volonté populaire dans un pacifisme sans rivage, ni port où reprendre des forces.

    Quand on refuse de mener le combat de la survie on est sûr de perdre la bataille de la vie.

    Ce mystérieux champ de bataille où tout se noue, où tout se joue ! L’âme du pays à la fois havre tranquille et capable d’être un nid de frelons si les circonstances l’exigent.
    La France n’est pas un pays facile à vivre – c’est un pays facile à mourir.

  168. @ Berland-Bear
    L’incompréhension étant à son comble soit par opacité de votre part soit par stupidité de la mienne (je n’exclus rien), essayons d’ajuster nos repérages pour créer une intersection où la communication soit possible.
    Vous avez écrit ceci :
    « Gauche/droite : aucun intérêt. Euro-fédéraliste/nationaliste : déjà mieux. Favorable à une fusion institutionnelle des parlements nationaux dans un parlement unique avec scrutins nationaux/favorable au déclenchement de l’article 50 avec négociation d’un accord sur des bases libre-échangistes : beaucoup mieux. »
    Je vous ai répondu que ces mesures me semblaient d’une mollesse extrême, d’un impact quasi-nul sur nos vies. En quoi ces mesures amélioreraient-elles notre quête de bien-être, sinon de bonheur? Nous avons besoin de décisions un peu plus vertébrées!
    Si je n’ai pas tout compris, expliquez-moi.

    Des mesures vertébrées qui améliorent le bien-être, je vous en ai citées quelques-unes : la réduction du temps de travail, les congés payés, la gratuité des soins. (Toutes ont été prises par cette gauche institutionnelle éphémère qui ne peut pas gouverner dans la durée.)
    Ces mesures-là, vous les minorez, vous les moquez, vous les transformez littéralement en bla-bla-bla. Votre mépris de l’Histoire est confondant. Mais les faits sont têtus. Quand vous connaîtrez le chômage et que vous percevrez des allocations, à qui direz-vous merci? Quand vous constaterez que ces allocations ont été réduites en quantité ou en durée, demandez-vous qui a décidé ces réductions, ça vous convaincra qu’il existe encore une différence entre la droite et la gauche. Et ça n’est qu’un exemple entre mille.
    Que vaut l’article 50 pour traiter de ce sujet, entre autres? Expliquez-moi.

    • La barbe Josip ! Vous êtes fonctionnaire qu’est-ce que vous connaissez des allocations chômages ?

    • Laissez donc courir, Josip. Berland-Bear me semble être une espèce de nominaliste ultra sceptique qui refuse les étiquettes pour lui-même mais n’a aucun problème pour en coller aux autres. Si vous n’arrivez même pas à vous entendre sur les termes de la discussion, à quoi bon continuer ?

      • « Berland-Bear me semble être une espèce de nominaliste ultra sceptique qui refuse les étiquettes pour lui-même mais n’a aucun problème pour en coller aux autres. »

        Ça doit être ça. Mais un nominaliste qui fait la différence entre « Gauche » (laquelle ? celle de Macron ou de Staline ? de Soral ou de Bakounine ?) et « courgette », notez. Persévérez, Gus, l’agreg’ de philo est proche.

        « Si vous n’arrivez même pas à vous entendre sur les termes de la discussion, à quoi bon continuer ? »

        Alléluia ! Vous confirmez ce que je pense depuis longtemps : Gus, ce que le tempérament petit-bourgeois fait de meilleur.

        Embrassez votre épouse pour moi !

        • Vous êtes incorrigible :
          « Gauche » (laquelle ? celle de Macron ou de Staline ? de Soral ou de Bakounine ?), dites-vous.
          Laquelle? Et si, pour commencer, on s’en tenait à celle que j’ai définie? Valeur référentielle stable? Ensemble de propriétés physico-culturelles faisant consensus?
          Mais non. Vous préférez vos sables mouvants. Peut-être vous donnent-ils l’impression que vous savez faire preuve d’une grande finesse et d’un grand sens de la nuance…

          • Il était une fois Monseigneur Josip. Par un libre décret de son apostolique personne, il décida de nommer « merde » ce que ses ouailles, pauvres courges qui n’avaient pas reçu la révélation josipienne, nommaient « andouillette ». Un jour, lors d’une audience publique, ce terrible petit hérétique de Berland-Bear demanda à Monseigneur Josip ce qu’il pensait de la « merde » (faisant finement allusion aux sermons quotidiens, mais la référence, trop subtile, passa inaperçue). L’évêque répondit le plus simplement du monde qu’il adorait en manger. Scandalisés, les paroissiens le mirent à mort.

            Le langage est une norme sociale, Josip. Vous êtes entièrement libre de vous déclarer légitime à fixer la norme comme bon vous semble. Mais il risque de vous arriver des bricoles.

            Josip : prophète martyr ou provocateur à la petite semaine (ou couillon…) ?

  169. Où avez-vous vu que j’étais fonctionnaire? Vous me prenez pour un enseignant?
    Eh bien non.
    Les allocations chômage, ça fait plus que me parler. Il est arrivé que ça me hurle aux oreilles. Même que depuis, je souffre d’acouphènes…

    • Vous parlez comme un fonctionnaire je-sais-tout alors effectivement la méprise peut être facile ! Mais alors vous faites quoi dans la vraie vie ? Rentier comme tout le monde ici ?

      • Votre commerce de moisissure va bientôt cesser pour des raisons sanitaires. Nul ne s’en plaindra. Vous pourrez toujours dealer pour payer vos médocs…

        • Les dealeurs sont à ma porte mais je ne les fais pas rentrer chez moi … il paraît que la bonne came vient toute du Périgord allez savoir pourquoi ?

  170. Ce que je fais dans la vraie vie ?
    Eh bien si on vous le demande, vous pourrez répondre que vous n’en savez rien.
    Rentier, j’aimerais bien. Mais il se trouve que le hasard m’a octroyé d’autres peines que celle de naître.

  171. Si la caissière prend le pouvoir, on aura au moins l’occasion de mettre le ouaille. J’en connais, ici, qui viendront lécher les pieds des gauleiters du coin pour avoir des tickets de rationnement. Et quand je dis les pieds…

  172. Dugong a fui Marseille envahie de dealers et des réseaux mafieux pour se récupérer un petit havre tranquille dans le Périgord où lui et ses semblables s’empressent de reproduire la boxon qu’ils créent partout où ils s’installent !

  173. Qu’est-ce qu’un gauchiste soixante-huitard ? C’est un type qui a été élevé dans le calme et la tranquillité d’une société bourgeoise et qui clame son dégoût de ne pas vivre dans un bordel qu’il appelle société libérée !

    • 😉
      Et qu’est-ce qu’un réac d’E.D ? C’est un type qui a été élevé dans le bordel d’une société dérégulée et attaquée de tout côté dans ses valeurs et qui clame son dégoût ne pas vivre dans le calme et la tranquillité d’une société bourgeoise et ordonnée.

  174. Dugong a un argument éculé qu’il ressort de temps à autre – soit il parle de mon pilulier comme d’une chose de vieille bonne femme qui fait ses courses – soit alors il me menace de me couper les vivres chimiques si je ne vote pas bien et si je ne pense plus comme il faut c’est à dire rien du tout !

    Qu’est-ce que je fais dans l’éventualité où les structures étatiques de la France s’effondrent brutalement ? A votre avis ? J’attends les bras croisés que la mort me rattrape ? Ou bien je recrute à la sortie des écoles d’ingénieurs de jeunes chimistes et je monte un labo pharmaceutique pour produire des molécules génériques ?

    Bien entendu il y a au moins une personne que je ne recrute à aucun prix c’est Dugong car je n’ai pas besoin d’avoir à mes côtés un type qui ne songe qu’à semer le désordre et la zizanie !

    • Scène de ménage au sein du couple Driout/Dugong: l’un est lepéniste convaincu, l’autre est militant macronien. Comme dans tous les couples, il y a des oh et débat en cette année pré-électorale. En tout cas, les deux sont en trans et se cherchent l’époux dans la tête.

      Driout est jaloux depuis que Dugong -excité comme son banquier-président préféré enlaçant un antillais au torse luisant et musculeux- fantasme sur la grosse seringue de Véran après avoir vu le ministre de la santé recevoir l’injection du vaccin astrazeneca sur son biceps saillant aux veines grosses comme des…durites. « Olivier, je veux ton redemsivir dans ma raie du désir et j’ai envie de ton big phare moi! » entend-on hurler aux quatre coins coins du Périgord. Et le retraité de l’EN d’ajouter, à l’attention de son conjoint: « Avant tu étais ma grosse coquine qui me faisait de bons ragoûts, maintenant tu me fais de la chloroquine selon la recette de Raoult! Chez nous, quelqu’un qui prostitue sa morale pour rejoindre le RN, on appelle ça une périgourgandine! ».

      Mais Dugong est également jaloux depuis que Driout envisage un coming out hétéro par amour pour la présidente du erre haine et hurle dans la Rue du Quai à Rueil: « si Marine le Pen n’est pas séduite par ma reine la pine, ça va barder là! ». Et le libraire d’ajouter, Kant à lui, à l’attention de son époux: « Mes critiques de ta raie sont pures et c’est toi qui a choisi Emmanuel, l’antiverge! Mon périgourdin, tu es bien mal nommé avec ta micro-paire et ton mini-gourdin! »

      Leurs avis divergent (et c’est beaucoup pour seulement deux hommes). Se dirige-t-on vers un divorce pour incompatibilité d’humeurs (visqueuses)? Driout acceptera-t-il, malgré sa négrophobie congénitale (en un mot comme en deux), de rejoindre son époux dans le Périgord noir? Dugong renoncera-t-il à la cuisine méditerranéenne à base d’huile d’Olivier pour retourner truffer Pierre?
      Rendez-vous en 2022 pour savoir auquel des deux le suffrage universel donnera raison!

        • Merci @Josip.
          Mais je ne suis rien sans mes deux sources d’inspiration dont j’ai déjà nanarré les noces lubriques. En attendant le divorce? Epique, forcément épique!

      • Alors, BB, au lieu de faire don de votre personne à Driout, si vous accédiez à mes requêtes de 10:48?
        (Et sachez, au passage, que l’opposition déterminatif/appositif n’a rien de daté, ça reste la base de l’analyse des relatives et des expansions adjectivales. En linguistique, vouloir faire jeune en ayant recours à du technolecte supposé être glamour, c’est une coquetterie un peu vaine…non?)

  175. Dugong tient vraiment à se faire expliquer en cinq points pourquoi la Serbo-croatie n’est pas le Kosovo monténégrin…

      • Et plein de Osim, de Djazic, de Skoblar et de Petkovic. Comprenne qui pourra.

    • Il est quand même too much, ce BB. Deux ou trois fois il (p)ose la question « C’est quoi être de gauche? », on essaie de lui faire une réponse a minima un tant soit peu fondée, et le voilà qui ironise lourdement… Espèce de petit effronté !

      • « A minima »… 🙄

        (Qui vous a dit que je n’aimais pas le martinet ?)

  176. J’arrive mon Josip, je déjeune. Et je n’aime pas avoir mal à la tête en déjeunant.

    (Pour la terminologie : la RPR, qui est quand même la bible (actuellement) pour les défenseurs de la grammaire scolaire traditionnelle — ceux opposés au « prédicat », si vous voyez ce que je veux dire (quelle ironie !) — n’employait déjà plus ce terme en 1994 (reprenant ainsi l’usage ancien…) et réservait l’apposition aux groupes du type « la ville de Rome » (urbs Roma). Au surplus, votre opposition mélange un élément sémantique (« déterminatif ») et un élément syntaxique (« appositif »), c’est dire si elle est pertinente… L’usage qui me semble le plus répandu à cette heure est « déterminatif vs explicatif/circonstanciel » — deux éléments sémantiques donc. À votre service.)

    Je me brosse les dents et je réponds à vos (autres) bêtises.

    • Defining vs non-defining. Terminologie anglophone. Clair, précis.
      Mais à vrai dire ce genre de sodomisation de diptères me laisse froid. Vous avez compris ce dont je parlais, moi de même pour vous, nos repérages étaient pour une fois ajustés, le reste est pure coquetterie lexicale.

      • Une jolie façon de raconter des conneries, se faire aimablement corriger et dire « mais je t’emmerde ».

        Différence entre poids et masse ? Sodomisation de diptères ! Différence entre Van Gogh et Cézanne ? Sodomisation de diptères ! Différence entre la France et l’Allemagne ? Sodomisation de diptères ! Différence entre Droite et Gauche ? Sodomi… ah non, pardon : je vous salue la Gauche pleine de grâce…

  177. BB m’a dit, de sa douce voix carlabruniesque :
    « Le langage est une norme sociale, Josip. Vous êtes entièrement libre de vous déclarer légitime à fixer la norme comme bon vous semble. Mais il risque de vous arriver des bricoles.

    Josip : prophète martyr ou provocateur à la petite semaine (ou couillon…) ? »

    Bien sûr que le langage est une norme sociale.
    La preuve en est que si je vous traite de petit con, tout le monde verra ce que je veux dire. (Stabilité référentielle, ensemble de propriétés physico-culturelles faisant consensus).

  178. Il me semble que Lormier avait bien raison (pas pour islamo-droitiste à propos de Blanquer, quoi que …)
    Dans l’affaire S. Paty il y en a un qui n’a jamais été inquiété (à l’origine quand même ; une espèce de pousse au crime) alors qu’avec l’article 35 de la Loi de 1905 il y avait tout ce qu’il faut.
    Mais bon, le passé c’est le passé ….

  179. @ Don Quichotte, en réponse à 10:48.

    Pour je ne sais quelle raison dicible, vous souhaitez faire dériver une discussion sur la pertinence définitionnelle de l’objet « gauche » en débat post bûche de Noël sur la moralité de l’objet lui-même. Ça ne m’intéresse pas beaucoup. Je vous l’ai déjà dit, la « gauche », la « liberté », la « République », le « monde » sont pour moi des fantômes et je ne me bats pas avec les fantômes (pas plus que je ne leur taille des pipes). À la limite, demandez-moi ce que je pense de la suppression du corps préfectoral ou de la constitutionnalisation d’un « principe de fraternité », ça m’intéressera plus (mais seulement un chouïa). J’ai en revanche beaucoup de plaisir (et de déplaisir) à traquer la connerie quand je la vois — raison pour laquelle je vais quand même rebondir sur la deuxième partie de votre message.

    — — —

    « Je vous ai répondu que ces mesures [fin des parlements nationaux ou article 50] me semblaient d’une mollesse extrême, d’un impact quasi-nul sur nos vies. En quoi ces mesures amélioreraient-elles notre quête de bien-être, sinon de bonheur? Nous avons besoin de décisions un peu plus vertébrées!
    Si je n’ai pas tout compris, expliquez-moi. »

    1 — absolument facultatif) Vous fixez à l’État dont vous êtes ressortissant la mission d’assurer (ou même : participer à, vous aider à obtenir, tendre vers) votre bien-être, voire votre bonheur !? Eh beh.

    2 — très facultatif) Si l’Europe c’est le bonheur, j’imagine qu’en sortir serait le malheur et que le malheur aurait quelque « impact » (🙄) sur nos vies…

    3 — un peu facultatif) Je m’étonne qu’on puisse sérieusement se demander l’influence d’un article 50 sur la vie des Français. La supériorité d’un droit issu d’organes représentant 1/27e ou 79/705 de la Nation sur le droit national ? Une bagatelle. Et pour peu que vous preniez l’article 50 au sens large (Schengen, euro, CEDH…) : la souveraineté migratoire, la souveraineté monétaire, la souveraineté juridique ? bagatelles.

    « Ces mesures-là, vous les minorez, vous les moquez, vous les transformez littéralement en bla-bla-bla. »

    Où donc les aurais-je « minorées » ou moquées ?! Encore une fois : les fantômes, bla-bla-bla.

    « Votre mépris de l’Histoire est confondant. »

    V’là qu’l’Histoire se met à attribuer les bons points maintenant. De mieux en mieux.

    « Que vaut l’article 50 pour traiter de ce sujet, entre autres? Expliquez-moi. »

    J’ai la faiblesse (encore une) de penser que les directives européennes, les frontières comme-dans-une-auberge, l’euro fort et les juges de Strasbourg peuvent avoir quelques menus rapports avec la pauvreté en France. Mais j’ai beaucoup d’imagination.

    — — —

    Allez, c’est tout pour aujourd’hui. Je suis déjà très en retard et ce soir je fais la bamboche.

  180. « ensemble de propriétés physico-culturelles faisant consensus »

    😂😂😂

  181. Je vais vous faire l’honneur de vous citer :
    « bla-bla-bla ».
    Ite missa est.

    • Bla-bla-bla Josip, pas bla-bla-bla la Gauche !

      Je vais finir par me demander si vous le faites exprès. Déjà que j’avais du mal à croire que vous aviez réussi l’exploit de ne pas comprendre que les trois points étaient disjonctifs alors que c’était évident pour tous les autres… (Oui, quand la connerie est répétée, je deviens moins élégant).

      (D’ailleurs : j’attends toujours le début d’une excuse ou d’une repentance publique pour avoir éhontément trafiqué une de mes citations.)

  182. Etat et Santé – Covid management :

    nous, citoyens (?) pouvons remercier ces Cab qui ont donné moult coups de pouce à notre gouv, lui permettant ainsi d’affiner ses taktiks, qui font actuellement notre bonheur ;

    il n’y a pas eu en effet que le Cab McKinsey… (qui a peut être été mentionné ici),

    il y a eu aussi le très puissant Cab Bain & Co,
    présidé par la non moins très puissante Orit Gadiesh – ex cadre sup. du Mossad… – on comprend, au passage, comment la campagne vax israélienne a pu être menée tambour battant – une habituée de Davos.

    https://www.nouvelhay.com/2020/06/bain-company-presidente-orit-gadiesh-nee-a-haifa-en-israel-pilote-la-strategie-de-la-france-dans-le-depistage-du-coronavirus/

  183. @Initials BB
    Ensemble de propriétés physico-culturelles, pour continuer à rire un peu, suite :
    « Une « occurrence », dans le modèle culiolien, correspond au résultat d’un événement énonciatif qui opère une double découpe sur une notion, la notion représentant elle-même un système complexe de propriétés physico-culturelles d’ordre cognitif, antérieur à la catégorisation en mots. Cette double découpe délimite la notion, d’une part, quantitativement et, d’autre part, qualitativement. La délimitation quantitative construit l’ancrage spatio-temporel de l’occurrence, et a donc trait à son existence, son « être là », tandis que la délimitation qualitative concerne elle sa structuration subjective par un énonciateur. Elle représente une forme d’étalonnage qualitatif, qui consiste à évaluer la conformité de l’occurrence par rapport à un type, le centre organisateur du domaine notionnel, cette évaluation pouvant éventuellement s’interpréter en termes de valuation, et la conformité au type devenir adéquation au type [1]. »
    Nos derniers échanges m’ont convaincu que vous étiez une occurrence validable du domaine notionnel « petit con ». Assez proche de son centre organisateur.
    La grammaire méthodique du français de RPR ne vous sera d’aucun secours pour saisir ce dont il est question dans l’extrait que je cite.

    • Culioli, oui, il y a de quoi rire.

      « La grammaire méthodique du français de RPR ne vous sera d’aucun secours pour saisir ce dont il est question dans l’extrait que je cite. »

      Vous êtes mignon. Vous me faites penser à mon voisin de table en Histoire en troisième. Dès que le prof disait « après Lénine, il y a un grand méchant bonhomme qui prend le pouvoir », il me soufflait, l’air de ne pas trop en dire, « c’est Staline ! ».

      (Mon erreur fut de ne pas lui demander : « Et il est de droite ou de gauche ? »)

      • « Vous semblez ironique devant l’intérêt que je porte au modèle culiolien… »

        Si peu.

        « … vous qui récemment portiez Bouveresse aux nues avec des trémolos dans la voix. »

        Vous avez vraiment pris mes messages référant à Bouveresse comme une prière dévote ? J’écris décidément encore plus mal que je ne le pensais.

        « Finalement, l’ami Gus a tout compris : vous vous autorisez avec une indulgence renouvelée ce que vous moquez chez autrui. »

        Toutes les autorités se valent, c’est évident.

  184. cette même Orit Gadiesh qui, lors du dernier Forum, a vanté le savoir-faire Xi-nois, en matière de « crédit social » : les POINTS bientôt comme là-bas, ici ?

    • C’était votre blague du jour ?
      Eh bien elle ne me fait pas rire !!!!
      Le Valls à mille temps, mille postures, girouette à mouvement perpétuel, déloyal envers tous ceux (et tout ce) qu’il prétend servir, no thanks !

      • Vals, le George Bush français (souvenez vous de l’axe du mal)
        Même a Barcelone ils nen n’ont pas voulu, Gros Jean comme devant il tente un come hack
        Vals le pote d’Alain Bauer qui en 2012, quelques temps avant les exploits de l’unter mensh mehra (passons sur la suite) affirmait avec aplomb que …. le risque salafiste est derrière nous désormais …
        Il vend toujours des solutions de sécurité clés en main a certaines collectivités (avec sa boîte AB productions) ?
        Pendez les !

  185. L’avantage avec les théories sur l’univers, ses origines, sa destinée et tout le reste c’est que cela change tous les dix ans – pas le temps de s’ennuyer !

    Dans cinquante ans peut-être que l’univers sera un tire-bouchon géant destiné à déboucher les oreilles et les narines de Dugong – avec difficulté – qui le sait ?

  186. le Castro, l’architecte ?
    je rappelle, à tout hasard, pour Josip (qui n’aime pas le vieux toro, c’est attristant), qu’ancien mao, Castro est lui aussi passé par la case gauche, et a maintenant rejoint notre roitelet ;
    2d rappel (pour ceux qui ne savent pas tout ☺️), sa demi-soeur, Françoise, fut l’épouse d’un certain Fabius (que nous aimons tous, car, lui aussi, ne fait que du bien bien ☺️).

    une de ses oeuvres catastrophiques :
    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/dc/Saint-Denis_-_Bourse_du_travail_-1.JPG/330px-Saint-Denis_-_Bourse_du_travail_-1.JPG

    • Laissez tomber Castro, cet archi stalinien et intéressez-vous à Renaudie qui a lui, fait quelques belles choses pour les prols (à Ivry et à Saint Denis, notamment)

  187. En ce qui concerne « Picsou magazine » j’affirme hautement qu’il n’y avait pas de fiches cuisines ! Donc pas de recette pour concocter un univers en bonne et due forme … bien rissolé et mitonné à petit feu !

    • Pourquoi les castors (juniors) ont-ils la queue plate?
      Parce qu’ils se font sucer par les canards.

        • @fib
          « c’est la récré : Josip et Bear étant absents, on peut rigoler »
          Tiens, ce message m’avait échappé!
          Et il est très drôle.
          Et tellement vrai… Nos conversations de « linguistres malpolitologues » doivent exaspérer les autres participants à ce blog…
          Mille excuses pour l’ennui mortel qui en résulte !

    • oui, il est vrai qu’avec l’exemple ci-dessous, c’est tout à fait autre chose… que des tours bétonnées, avec absence complète de verdure ;
      autrement dit, trop beau et/ou coûteux ! pour être étendu ; le béton sale et brut a été jugé suffisant…
      http://jeanrenaudie.free.fr/

      • J’ai eu les immeubles de Renaudie pendant plusieurs années sous les yeux à Saint Denis. J’ai eu le temps d’apprécier…

  188. Chez Kelly ce soir, débat entre Zemmour et Céline Pinat, d’un niveau qu’on ne trouve sur aucune chaîne publique. Bien entendu.

    • Elle est superbe, certes mais je lui trouve quelques difficultés à lire ses papiers, une intonation inadaptée, des césures dans les phrases où il n’en faut pas et parfois elle m’agace. Mais bon, c’est mineur.

      • celle qui présente samedi politique sur TV libertés, peut être moins de « charme », mais autrement plus pertinente et compétente !…

    • Elle envoie du bois, Chahdortt et on comprend pourquoi elle n’est pas invitée sur les chaînes qui ferment les yeux !
      Chez Bercoff je me demande toujours comment ils ne filtrent pas les interventions des auditeurs qui viennent parler de tout autre chose que du thème traité par l’invité du jour.
      C’est pénible.

  189. connais pas ; mais tout est possible…
    sur leur page d’accueil, une très courte video avec Onfray (sur Cnews ) favorable au vaccin et au pass sanitaire – c’est désespérant…

  190. Vous rigolez ? Victoire de Josip par KO technique. Je suis au tapis depuis l’intervention de l’agrégatif de philo. Il faut savoir reconnaître les esprits supérieurs quand on les rencontre, c’est la dure loi de la joute. Quand l’abruti voit le nominaliste, le petit-bourgeois montre la courgette.

  191. Avant de recevoir le légitime coup de grâce de Josip, j’accorde mon point de suppliant à Jankélévitch. Un dernier rire avant le dernier soupir.

  192. Dreamteam

    https://lithub.com/art-spiegelman-and-robert-coover-have-collaborated-over-zoom-on-a-new-illustrated-dystopian-story/

    Le grand retour d’Artie après dix ans d’absence depuis MetaMaus où le gonze rééditait l’avis de recherche de son cerveau égaré dans les décombres des Twin Towers dix ans auparavant, avec pour tout outil d’exploration un marteau-piqueur pour lui forer le crâne.
    En France, ce sera édité chez Flammarion(comme Maus et MetaMaus) vers la fin de l’année.
    Son succès à venir dans cette prestigieuse maison m’enchante à l’avance, mais je regrette le temps où les planches d’Artie donnaient des coups de boutoir à la période consensuelle autour de la politique de Bush après le 11/09 et étaient refusées partout, sauf dans The Forward, un hebdomadaire yiddish-friendly progressiste à la diffusion relativement confidentielle.

  193. On remarquera l’occurrence de plus en plus fréquente de l’expression « centre organisateur » dans le causement du croatus adriaticus. Concept issu de la babiologie (embryologie), il a diffusé en linguistrerie par des gens souvent sortis de leur tesnière.

    A suivre ?

    • Pour info (et pour ceux qui ne sont pas encore morts d’ennui avec ces débats trop egocentrés):
      Culioli parlait indifféremment de « centre organisateur » ou de « centre attracteur » quand il évoquait le domaine notionnel . Plus qu’à la biologie, le concept de domaine notionnel doit beaucoup à la théorie des « fuzzy sets » (ensembles flous) du mathématicien Lofti Zadeh.

  194. La dernière fois qu’un littérateur (Debray) s’est essayé à époustoufler son monde en empruntant n’importe comment à la mathématique (Gödel) il s’est fait saigner à la gorge par un certain Jacques.

    • @initials BB
      Ce que vous sous-entendez démontre deux choses:
      – soit vous n’avez jamais vraiment lu les articles qui en décrivaient les procédures soit vous n’avez jamais vraiment compris la Théorie des Opérations Enonciatives (majuscules, oui). En cela vous rejoignez Lormier, qui sur ce point est dans le même état de dénuement que vous (« La TOE n’existe pas », dit-il, le bougre…)
      – vous ne voyez pas ou ne voulez pas voir en quoi et comment le concept de domaine notionnel permet de rendre compte de phénomènes de la langue, langue orale en particulier, qu’à ma connaissance (non encyclopédique) aucun autre modèle linguistique ne traite, tout simplement parce que ces autres modèles linguistiques font comme si ces phénomènes n’existaient pas (syndrome de la poussière qu’on repousse sous le tapis).
      De façon plus générale et globale, votre ironie sceptique sur le modèle culiolien me rappelle l’attitude de ce membre de la cour autrichienne (peut-être l’empereur lui-même, je ne sais plus) qui reprochait à Mozart de composer des oeuvres où il y avait trop de notes.

  195. Je reste extrêmement dubitatif sur les motivations profondes du passe sanitaire !

    S’il s’agissait seulement du covid-19 pourquoi conserver des données pendant vingt ans ?

    • Vous pouvez garder et présenter l’attestation papier (une photocopie) et rien mettre en jeu via un smartphone a la mord moi le …
      Un QR code imprimé c’est aussi lisible que via un écran

  196. A l’avenir je suggère plutôt de réfléchir à ceci : comment se prémunir contre les attaques virales venues de pays hostiles ?

  197. Il y a un film assez récent « Titan » (2015) où l’on métamorphose un être humain de manière à ce qu’il puisse vivre et subsister dans l’atmosphère de cette lune de Saturne !

    Evidemment il ne ressemble plus du tout au terme du processus à un être humain viable sur Terre …

  198. Forger l’homme nouveau en détruisant l’homme ancien c’est un processus d’essence totalitaire !

    On m’excusera si je suis quelque peu défiant devant une telle pensée d’envergure mondialisante …

      • Rien du tout ! Pas une larmichette sur les pédés qui iront se faire enculer par Elon Musk … pendant que je ferai bronzette sur Terre !

    • Il est évident que s’engouffrera dans un tel projet des gens dont le projet fondamental est la destruction des autres et de toute société organisée ! Ils y verront une aubaine à ne pas manquer …

      Croire un seul instant que l’appétit de destruction stimulé chez certains hommes ne peut prendre des dimensions apocalyptiques c’est méjuger des capacités de nuisance de certains hommes !

      • Vous prenez un Dugong quelconque malgré son âge avancé et son gâtisme précoce son appétit de revanche sur toutes les humiliations de la vie n’est pas éteint !

      • En attendant, ce n’est pas la grammaire qui est malmenée, là, Pierre ?
        Sujet de « s’engouffrera », je vous prie ?

        • C’est probable que même la grammaire souffre avec moi – mais juste un peu moins que la condition humaine que je respecte quand même un peu plus !

          • Ce n’est guère la respecter que de l’obliger à chercher le sujet d’un verbe dans une phrase à double subordonnée. Cela devrait couler de source, non ?

    • On peut supposer que les fondateurs de religion sont tous mégalomaniaques d’une manière ou d’une autre !

  199. Je vous donne un exemple parmi mille autres : Jésus aux yeux de n’importe quelle personne saine d’esprit était sujet à une forme mégalomaniaque d’exaltation de son moi qui le faisait prendre pour le fils divin de la Vierge – selon lui son père n’était pas son géniteur !
    Ce genre de chose est bien connu des psychologues : à un certain moment de son développement psychologique un enfant met en doute sa filiation. Mais cela passe vite avec le temps … sauf visiblement dans certains cas précis pathologiques.

  200. Score à la mi-temps du match Israël-Palestine : 126 morts à 9.
    Mais nos commentateurs (évidemment totalement indépendants et objectifs) n’hésiteront pas à parler de responsabilité unilatérale palestinienne dans le coup d’envoi du match, de torts partagés dans les cartons jaunes et rouges, et conclueront que le résultat final sera forcément un match nul.

    • Prenez garde à ne pas céder au chantage du faible contre le fort. Instinctivement, on a tendance à vouloir protéger le faible et c’est pourquoi le Hamas envoie des gosses se faire massacrer contre une armée de métier.
      Le gouvernement israélien actuel est un gouvernement d’extrême-droite et colonialiste, mais le Hamas est un mouvement terroriste d’extrême-droite et antisémite. Cyniquement, j’ai envie de dire qu’il faut laisser les bigots fascistes s’entretuer. En tout cas je crois qu’il faut se garder de prendre parti et je suis une fois de plus dégoûté de voir une partie de la gauche manifester en France avec des officines de l’extrême-droite musulmane et antisémite. Pour l’extrême-gauche, je ne suis pas surpris car son antisionisme n’est que le cache-sexe de son antisémitisme originel.

      • Pan sur le bec ! Pérec écrit un roman entier sans e…Et moi j’en mets un indû. Concluez-en ce que vous voulez !

        • Je ne conclus rien d’un e surnuméraire ! C’est déjà bien que je l’aie repéré…

  201. interview de l’enseignante Fatiha Agag-Boudjahlat, pour son livre « les Nostalgériades » (le Figa d’hier) ; deux extraits qui, une fois de plus, mettent les points sur les i :

    « le jour de l’hommage à Samuel Paty, à Toulouse, j’avais arboré un drapeau français.
    Je suis allée voir le délégué syndical du Snes qui avait pris la parole pour lui demander pourquoi il n’avait pas déclaré que Paty avait été victime d’un attentat islamiste.
    Il m’a regardée, a pris le drapeau et m’as répondu : « toi, avec ton drapeau de tortionnaires en Algérie »…

    … Pour nombre d’enseignants, aimer la France est un gros mot. Et les mêmes trouvent naturels d’arborer des drapeaux de la Palestine : le patriotisme est accepté quand il s’agit d’autres pays, mais pas avec la France. »

  202. Josip
    la Palestine, vieille épine dans le pied…

    très intéressant de lire l’article – si vous pouvez vous le procurer – du Figa d’hier :

    « l’Arabie saoudite cherche désormais la conciliation avec ses ennemis », qui détaille les contacts et rencontres en sous-main – chiites/sunnites -, « l’Iran, asphyxié économiquement » étant « en quête de désescalade »…

    cf. aussi, article du 11/05 « la nouvelle stratégie israélienne au Levant ».

    • « Vieille épine dans le pied »
      Dans le pied ça va; tant qu’il n’y a pas d’épines sur les troncs .
      Oui…

      • D’etrons sur les pines
        Un commentateur pourrait nous éclairer, sur la sensation que cela procure un étron sur la pine ?

        • « Dolmancé, dans quel état il faut pour le complément des plaisirs de l’agent, que se trouve le cul du patient ?

          Plein, très-assurément ; il est essentiel que l’objet qui sert, ait alors la plus complète envie de chier, afin que le bout du vit du fouteur, atteignant l’étron, s’y enfonce et y dépose plus chaudement et plus mollement le foutre qui l’irrite et qui le met en feu. » (la Philosophie dans le boudoir, bien sûr).

  203. Je me suis longtemps demandé si Fourniret était de gauche ou de droite, pro Palestinien ou pro Israelien …
    Je n’ai jamais demandé aux différentes factions de talibans ardennais (du pur souche issu du fin fond des bois, au venant d’une province ou un pays lointain)

  204. @fib et cyrano58
    Je me suis mal fait comprendre.
    Alors j’essaie de clarifier.
    Je ne retire aucun mot, aucune virgule à ce que dit cyrano58 ci-dessous :
    « Le gouvernement israélien actuel est un gouvernement d’extrême-droite et colonialiste, mais le Hamas est un mouvement terroriste d’extrême-droite et antisémite. »
    Ce propos, je le fais mien dans son intégralité.
    Ce que je veux mettre en cause, c’est la couverture de l’événement actuel par certains médias. Le message qu’ils envoient est, en caricaturant à peine : « torts partagés, match nul
     »
    Eh bien ça, ça n’est pas tenable. On pourrait simplement leur répondre par un décompte macabre: 126 à 9, match nul ?
    Mais surtout, je n’entends rien sur la genèse de ces événements. Il ne s’agit pas de remonter à 1947. Non. Simplement d’examiner ce qui se passe depuis seulement 10 ans là-bas. Un état qui se situe au dessus du droit international, soutenu et financé par la première puissance mondiale. Un groupe islamiste qui tire les marrons du feu tout en jetant de l’huile sur le brasier, soutenu et financé par l’Iran. L’ONU impuissante. Et la population qui trinque, objectivement d’un côté plus que de l’autre, dans l’indifférence quasi générale.
    Que les médias fassent leur boulot. Qu’ils informent. Aussi honnêtement que possible, en allant au delà des apparences. Ça n’est pas trop demander.

    • Dans Thélème à vif, on entend : « Hamas ce que pourras »

      Moyen-orient, vitrification, parking.

    • Et voilà notre Josip qui se prend à rêver tout éveillé.
      Faut-il vous expliquer que justement, les médias FONT leur boulot ?

    • (chéri) Bibi (Netanyahu) contre Fatah(litas) : a long story – son frère, fut le seul Israélien tué en 1976, lors du raid d’Entebe.

  205. Ce qu’il faudrait au bout du bout c’est remplacer les Israëliens et les Palestiniens par des robots d’extrême-centre pour faire plaisir à Josip et Cyrano58 !

    • Si les israéliens se libéraient de leurs ridicules contes hébreux de l’Antiquité et si les palestiniens se libéraient de leurs grotesques contes bédouins du Moyen Age, ils n’auraient plus aucune raison de s’entretuer. La religion c’est la haine, le racisme, l’intolérance, la bêtise et la guerre.

  206. Tout le monde je crois en arrive à un consensus mou : finitude de l’extrémisme humain et grand remplacement par des robots animés de bonnes intentions avec des passes sanitaires à jour !

  207. Allo l’humanité quoi ? On a un problème : vous êtes vraiment trop trop lourd ! On va être obligé de vous larguer dans l’espace inter-sidéral où vous vous nourrirez de plasma électrique bande de zombies que vous êtes !

  208. Ici Dieu ! Je vous ai entendu … vous vous plaignez de ce que la vie soit trop moche et l’humanité trop laide ! Je vais donc vous remplacer par une espèce plus évoluée : mes fils préférés, les robots !

  209. le petit dieu robot Xinois Zhu rong vient de se poser sur Mars…
    quand on en aura fini sur Terre (Moyen-Orient & co), la Guerre des Etoiles, pour de vrai, prendra le relais.

      • Un robot communiste sur une planète passée à la moulinette communiste c’est à dire où il n’y a plus rien du tout !

  210. Vous remarquerez qu’à ce moment-là quand tout a été bien nettoyé il n’y a plus d’occasion de conflit ! On se demande bien pourquoi alors avoir nommé cette planète Mars dieu de la guerre chez les Romains, si mes souvenirs sont bons ?

    • excellent Driout ! comme quoi, avoir nommé cette planète Mars et compter s’y établir un jour, c’est lourd de signification(s) ?!

  211. J’ai toujours pensé que les souhaits politiques sont généralement incohérents !

    Oscar Wilde disait cette chose profonde : quand les dieux veulent punir les hommes ils exaucent leurs voeux !

  212. Vous savez si vous voulez vraiment interdire la circulation des virus sur la planète Terre le mieux encore c’est d’y interdire la vie !

  213. Désolée, je n’avais pas encore lu ce billet et je comprends mieux maintenant vos choix… Toutes mes condoléances, cher Jean-Paul, pour le décès de votre père Jacques puis de votre maman Georgette. Recevez mes pensées les plus amicales.

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