Eros, qui est un polisson, m’a souvent fait tomber amoureux de créatures résidant au loin. Quand j’habitais Paris, B*** vivait près d’Angoulême, V*** à Marseille. Plus tard, quand je fus revenu à Marseille (et que, fatalitas, V*** m’était sortie de la tête), j’entretins avec M***, qui vivait à Paris, une liaison qui, par la force des choses, se passait plus souvent au téléphone que sous la couette.
Alors nous nous parlions, interminablement, à nous dire « ces jolis riens qui sont tout ». Quand le regard ou la peau font défaut, il ne reste que la voix pour porter la sensualité. Combien de fois l’une ou l’autre montait ainsi jusqu’à l’orgasme au seul son de ma voix — accompagnée d’un petit jeu de doigts rythmé par les vibrations des cordes vocales…

C’est à peu près le dilemme de Roméo ou de Cyrano au pied du balcon de Juliette ou de Roxane. « C’est vrai que vous avez une toute autre voix », remarque Roxane, quand Cyrano s’est substitué à cette triple buse de Christian pour parler à sa place, dans le noir. Je le crois bien ! Et c’est la clef du choix des acteurs : on n’imagine pas Fabrice Luchini, avec sa voix souvent haut perchée et ses modulations infinies, jouer Cyrano ou Roméo. Imaginez notre histrion national articuler sérieusement :

« It is my soul that calls upon my name:
How silver-sweet sound lovers’ tongues by night,
Like softest music to attending ears! »

La scène du balcon — et pour cause — est parsemée de réflexions sur le son de la voix. Au tout début du dialogue, Juliette lance :

« My ears have not yet drunk a hundred words
Of that tongue’s utterance, yet I know the sound:
Art thou not Romeo and a Montague ? »

Une bonne part de l’attention que m’accordèrent pendant 45 ans mes élèves, ou désormais les publics devant lesquels je m’exprime, sur les ondes ou en direct, tient à la modulation basse de ma voix, objet d’un travail infini vers la fin de l’adolescence, quand les cordes vocales se sont enfin épaissies et que le larynx est descendu dans le cou… Je plains les enseignants qui n’ont pas une voix en accord avec cette nécessité constante de séduire qu’on appelle en vrai la pédagogie.

Faisons brièvement l’histoire de la voix.
Les bébés, garçons ou filles, ont à peu près la même voix. Ils crient à 440 hertz. Et jusqu’à la puberté, leurs voix sont très proches — c’est ce qui poussait les maîtres de chapelle à suggérer aux parents de castrer leur rejeton, afin que l’afflux prochain de testostérone n’abîme pas le son mélodieux du rossignol humain. Mais sans intervention extérieure, la voix des garçons va peu à peu passer dans le grave (avec au tout début des hauts et des bas assez comiques), tandis que celle des filles, sous l’influence des œstrogènes, restera dans les teintes claires et cristallines.
Ce n’est pas un hasard si j’évoque le rôle des hormones. La voix est un facteur essentiel de la séduction — et il faut être singulièrement crétin pour croire que l’essentiel des relations humaines ne tourne pas autour de la reproduction et de la gymnastique qui tourne autour de cette intention. Les mâles reproducteurs ont une voix basse — écoutez le brame des cerfs —, et singulièrement monocorde : des études concluantes ont prouvé que les femmes préfèrent le ton de Clint Eastwood à celui, glapissant, que prend (intentionnellement) Jack Lemmon dans Some like it hot. Dans la scène finale, lorsque Jack Lemmon passe d’un coup du registre glapissant à son intonation virile, on sent merveilleusement la différence fondamentale. Démonstration parfaite du fait que la femme se caractérise par des intonations et une variabilité bien plus intense que l’homme. À tel point que la voix tapissée de tabac et de luxure de Lauren Bacall (travaillée de son propre aveu à la cigarette pendant trois semaines avant le tournage, entretenue plus tard au whisky) fait planer une ambiguïté sur ce que Bogart (ou du moins les personnages qu’il interprétait) trouvait en elle.

On se souvient, dans Singing in the rain, de la performance de Jean Hagen (qui lui valut une nomination aux Oscars) dans le rôle de cette star du muet refoulée à l’arrivée du parlant à cause de sa voix haut perchée et zézayante. Une voix de crécelle, selon l’expression consacrée — sans que qui que ce soit se souvienne de ce qu’est une crécelle. Une heure de cours avec ce type de voix, c’est la fuite assurée.

N’en déplaise aux imbéciles qui s’insurgent contre les représentations « genrées », comme ils disent, les femmes ont une voix plus haute et plus modulée que les hommes, et les vrais séducteurs une voix plus basse, et plus monocorde — une voix susceptible de calmer les bébés et d’hypnotiser les donzelles. Essayez George Clooney. À la puberté, la voix des filles descend en général de deux tons, celle des garçons d’un octave. Sopranos d’un côté, ténors de l’autre. C’est sur ce critère vocal que se greffent, ensuite, les manœuvres d’approche.

Evidemment, certaines pratiques (l’alcool, le tabac, le style camionneur) peuvent faire baisser la voix des femmes. Mais de façon raisonnable : Garbo ne glapissait pas, elle jouait avec un ton grave et sensuel, et c’était pour cette voix qu’on lui écrivait ses rôles.

Reste l’accent, qui peut ruiner la plus belle voix. C’est après mon entrée à Normale Sup que j’ai travaillé ma voix de façon à ne laisser subsister quelques intonations sudistes qu’à volonté. Ava Gardner raconte dans ses Mémoires qu’en arrivant à Hollywood, elle a pris un nombre infini de leçons pour effacer son accent sudiste (elle venait de Caroline du Nord) et acquérir l’intonation parfaite de la femme fatale. Ça nous a valu Pandora, l’un des chefs d’œuvre d’Albert Lewin — la voix feutrée de Gardner, la voix de métal doux de James Mason. Comment faire comprendre cela à des adolescents glapissants ?

La voix est ce qui change en dernier. Les vieilles personnes, de l’un ou l’autre sexe, finissent par avoir les mêmes intonations — comme les bébés qu’ils furent autrefois. On sait alors que la fin s’approche, lorsque l’on a abandonné le dernier instrument de séduction.

Jean-Paul Brighelli

709 commentaires

  1. « cette nécessité constante de séduire qu’on appelle en vrai la pédagogie. »

    i) Et voilà:quand le pédagogue est bon,y a passage au plumard.
    ii) Qui a séduit qui ? La créature a séduit le Maestro ou bien le Maestro a séduit la créature ?
    Quand on regarde un tableau,n’est-ce pas le tableau qui nous regarde ? Echanger des regards,qu’est-ce que ça veut dire ?
    iii)Certains blâment les professeurs qui couchent avec leurs élèves; mais quoi de plus intime et pénétrant que la relation pédagogique ? Et ceux qui blâment sont en fait envieux:eux bavent devant les petites meufs aux seins bien pointus de seize ou dix-sept ans mais n’ont aucun moyen de les approcher…alors que les profs,pour eux c’est du gâteau:du jeune,y en a en veux-tu en voilà.

    • « Et voilà:quand le pédagogue est bon,y a passage au plumard. »
      Scandaleux commentaire de Lormier !

      Un professeur, ça  » s’empêche  » !
      Relisez « Paul et Vanessa » !

      Docile à sa voix ne veut pas dire promise à son lit !
      Dans les bras du professeur s’ adonner à l’ivresse, tant que vous y êtes !

      Oui…
      ( deux, faciles pour Lormier)

    • Lormier, en toute rigueur je pense que cet article et le mauvais cliché qui l’illustre font référence au sistre toujours largement utilisé en Afrique plutôt qu’à la crécelle. Pour moi une crécelle c’est un truc qui tourne autour d’une languette de bois flexible. Dans le docu de l’INA il y a les deux, des trucs que l’on secoue et d’autres que l’on fait tourner.
      Il y a le cliché des lépreux du moyen-âge avec leurs crécelles, que l’on imagine tournantes, mais un de mes profs d’histoire, en 5ème je crois, nous avait expliqué que l’instrument des lépreux s’appelait à l’époque une claquette, et était composé de planchettes de bois que l’on agitait, un sistre donc.

      • Ce qu’on offre aux enfants, de nos jours,sous le nom de crécelles,ce sont des boules de plastique (transparentes en général) remplies de petits machins, et avec un manche;on secoue,ça fait du bruit.
        Le mot anglais « rattle » est à peu près l’équivalent de « crécelle ».
        Pour un Anglais le sistre est une variété de crécelle.
        N’oublions pas que ce que nous appelons « serpent à sonnette » eux l’appellent
        « serpent-crécelle » (rattlesnake).
        Je ne sais si le Maestro-qui fut enfant de choeur et à ce titre accueillit la bite du curé dans son entrefesse plus d’une fois- mania jamais la crécelle à Pâques,après le départ des cloches:cette coutume picarde existe-t-elle en Corse ?
        Je me souviens d’une conférence de Richard Marienstrass où il dit que la crécelle était un instrument de tonnerre(et le tonnerre joue un grand rôle dans La Tempête ainsi que dans Le Roi Lear.

        Voici des « rattles » (crécelles ?) celtes. On s’en servait pour chasser les démons.
        https://balkancelts.wordpress.com/2015/04/02/chasing-demons-celtic-ritual-rattles/

  2. Brighelli :
    « Reste l’accent, qui peut ruiner la plus belle voix. C’est après mon entrée à Normale Sup que j’ai travaillé ma voix de façon à ne laisser subsister quelques intonations sudistes qu’à volonté. »

    Cette phrase indique sans ambiguïté que Brighelli avait honte – a toujours honte – de son accent marseillais. Il y aurait donc des accents régionaux susceptibles de faire honte à ceux qui les ont ? Il y aurait des accents « nobles », et d’autres qui le seraient moins ? Le français parlé par Raimu serait moins recevable que celui parlé par Jouvet? Seul un arrogant imbécile pourrait penser cela.
    La haine de soi commence avec le rejet et la honte de ses origines, qu’elles soient géographiques ou sociales.
    Brighelli, ne rejetez pas vos origines. L’accent méridional n’est ni plus ni moins recevable que l’accent tourangeau, basque, alsacien ou franc-comtois. Vos origines, si vous les expulsez par la porte, elles rentreront par la fenêtre.

    • Mais non !
      On nous a simplement fait remarquer que, promis à la profession d’enseignants, nous n’avions pas intérêt à voyager dans nos postes successifs avec un accent qui nuirait à la communication. Essayez « Mignonne allons voir si la rose » avec l’accent marseillais — ou alsacien, ou c e que vous voulez.
      Sans comptez qu’à un « je t’aime » avec la voix de Raimu on est tout de suite tenté d’ajouter, comme dans La Femme du boulanger, « je t’aime salope, ordure… » etc.
      Aucun racisme anti-sudiste : mes camarades cloutards (ou jamais) étaient tous logés à la m^me enseigne.
      De surcroît, cela permit quelques dictées phonétiques très drôles, chacun s’évertuant de noter l’accent des autres selon l’alphabet phonétique international.

    • Vous nous l’avez déjà faite il y a un an ! et Brighelli vous avez déjà répondu que vous étiez un gros lourdaud pas très futé, qu’il n’est pas question de honte mais d’adéquation à un certain milieu social, que les bourgeois qui se piquent de défendre les prolos le font par idéologie aveugle, qu’ils sont les premiers artisans du déclassement de ceux qu’ils prétendent défendre, que vous êtes un con, une couille molle et j’en passe.

  3. Docile à sa voix ne veut pas dire promise à son lit !

    Docile à sa Loi ne veut pas dire promise à son Vit !

  4. « C’est après mon entrée à Normale Sup que j’ai travaillé ma voix … »

    Les étonnements de Dugong,truismophile. ( Il se pose des questions,le cas n’est pas désespéré:s’il se plaît à répéter que « la langue évolue »,il n’est pas totalement englué dans le truisme.)

    Ainis se demandait-il si l’expression « dans le sens des aiguilles d’une montre » était encore comprise à une époque où tout se digitalise.

    Brighelli, le « cloutard qui n’est jamais resté dans les clous », est-ce une définition compréhensible pour ceux nés après la disparition des passages cloutés ?

  5. Cette phrase indique sans ambiguïté que Brighelli avait honte – a toujours honte – de son accent marseillais.

    Non.

  6. Dans les bras du professeur s’ adonner à l’ivresse,

    Dans les Draps du professeur s’ aBonner à l’ivresse,

  7. JPB à qui il reste aussi… la voix – Et quelle voix, n’est-ce-pas !
    Rares sont ceux à s’être donné la peine de travailler à ce point… leur Personne !

    Il est vrai qu’il peut aussi arriver aux enseignants d’oublier qu’ils sont en scène, et qu’il leur faut, de même que tout acteur, apprendre à poser la voix, et le reste.

    Et comme tout passionné d’écriture et de lecture, JPB n’abandonne jamais, même pour quelques jours !
    cf son billet * à propos des deux derniers tomes de Ph. Muray – lesquels ne m’échapperont pas.

    « toujours les mêmes ‘modernes’ (et même ‘postmodernes’) fustigeant les ‘classiques’ et le bon sens « ,
    nous rappelle JPB, dans son brillant (mais court) survol de la littérature des trois derniers siècles.

    Croyance en ce Progressisme, maintenant bien plus fort que jamais, vous dis-je,
    et toujours et encore cette peur du peuple, auquel est préféré le mot ‘populisme’.

    (Partir loin ne veut pas dire partir… sans biscuit. Partout où je suis passée – en Amérique du nord, surtout – je n’ai jamais manqué de mettre le nez (!) dans une, surtout petite, librairie, par curiosité, et par plaisir.)

    https://www.causeur.fr/muray-xix-e-siecle-a-travers-les-ages-reedition-belles-lettres-282607

  8. « Dans le sens des aiguilles d’une montre » : une, parmi bien d’autres expressions, vouées à disparaitre ;
    tout comme « traverser dans les clous »,
    ou encore, « il ne faut pas s’embarquer sans biscuit ».

    Le « biscuit » (cuit deux fois), une sorte de galette, provision de base du marin (au long cours) sans lequel il serait mort de faim…
    et que menaçait aussi le scorbut, d’où la trouvaille de l’amiral Nelson : mélanger du gin avec du citron ; naissance du gin-fizz !

  9. Brighelli :
    « Reste l’accent, qui peut ruiner la plus belle voix ».
    Puis, plus loin :
    « On nous a simplement fait remarquer que, promis à la profession d’enseignants, nous n’avions pas intérêt à voyager dans nos postes successifs avec un accent qui nuirait à la communication. »

    L’accent peut ruiner – ruiner ! – la plus belle voix.
    Un accent peut nuire – nuire ! – (quasi-anagramme de « ruiner »…) à la communication.
    Brighelli emploie des termes sans ambiguïté. Ruiner, nuire : il y aurait donc des accents nuisibles, néfastes, indésirables, déclarés pour ainsi dire « personae non gratae » (excusez le latin de cuisine).

    Et Brighelli accepte ça, sans barguigner.
    Une aliénation librement consentie, en quelque sorte. Une soumission à un diktat standardisateur, une obéissance absolue – « Sir yes sir ! » – aux ordres du sergent-chef chargé de réguler la langue, qui aboie « Je ne veux voir qu’une tête et n’entendre rien d’autre que le français du parisien bourgeois ! »
    A chacun sa forme de dhimmitude.

    • Oh mignonneu, allons voir si la rase qui ce mating avait déclase Sa rabe de pourpre au soleille…
      Ça vous dit ?
      Et à Lille ou Nantes, ça leur dit ?

        • « aliénation », « langue bourgeoise », « diktat standardisateur » , dhimmitude » :
          vous y allez fort ! Certes, pour faire réagir JPB…
          Dans l’extrait, « euse » : pour moi un « défaut » de prononciation, même si léger ;
          comme d’autres prononceront « chose » au lieu de « chause » ou « chôse », etc…

          Je ne permettrai pas d’aller plus loin. N’empêche que de tels même petits « défauts » me gêneraient à l’écoute d’une pièce de théâtre, par ex.

  10. Le monde se divise en deux catégories : les idéologues (« il faut agir tel que les choses devraient être ») et les pragmatiques (« il faut agir tel que les choses sont »).

    Les premiers mettent leurs gosses dans le public, disent à leur fille de sortir en mini-short après 22 heures et ne voient aucun problème à exhiber un accent baroque. Les seconds ont des enfants qui intègrent les meilleures écoles, n’ont pas à réconforter leur fille parce qu’elle s’est fait violer et réussissent mieux leur vie professionnelle.

    • (À quoi j’ajoute que les pragmatiques rient à gorge rompue quand les idéologues sont obligés de fuir pour chialer comme des petites bites quand leur délire devient patent. Mais c’est accessoire…)

  11. « il y aurait donc des accents nuisibles, néfastes, indésirables »

    Quelle découverte ! Un prix Nobel de sociologie, vite !

    • Quoi ? Que dites-vous ? L’accent d’un Groseille pourrait être plus nuisible que celui d’un Le Quesnoy ? Mais qui pourrait croire une proposition aussi audacieuse ?!

  12. Moralité : les bourgeois donnant des leçons de fierté aux prolos sont les premiers artisans de leur déclassement. Meirieu (le candidat de Dugong), Gavrilovic : même combat.

    • Un peu court, tout ça.

      La situation est-elle prérévolutionnaire ? « oui ou merde ? » ajouterait IAL

  13. Peut-être que devant Dieu et l’archange Michel l’accent d’un Groseille vaut bien celui d’un Le Quesnoy… Mais nous autres petits prolos, nous n’avons pas le luxe de vivre pour Dieu comme les bourgeois, nous prenons la valeur pour l’utilité, nous voulons seulement vivre la vie la moins pénible possible… Quelle bande de salauds, hein ?

  14. « Une aliénation librement consentie, en quelque sorte. Une soumission à un diktat standardisateur, une obéissance absolue – « Sir yes sir ! » – aux ordres du sergent-chef chargé de réguler la langue »

    Quoi ? La langue serait une convention sociale ? On refuserait de s’y plier à ses risques et périls ? Mais quelle découverte !

  15. Pfff… tout ça pue sa petite rébellion de lycéen. En plus par un type qui n’a même pas le courage d’affronter son délire public d’il y a deux mois… Rendez-nous Jean Moulin !

  16. « Moralité : les bourgeois donnant des leçons de fierté aux prolos sont les premiers artisans de leur déclassement. Meirieu…  »
    Oui ! Tout à fait d’accord… Evident même.
    (Josip va-t-il finir par répondre à votre incessante sollicitation ?)

    • C’est le syndrome de Bruay-en-Artois.

      (Je ne sais pas. Il n’a qu’à revenir sous son pseudo en disant « oui, je me suis trompé » et l’affaire est réglée. Mais il préfère l’entêtement dans la lâcheté. Chacun place son honneur où il le peut.)

  17. Il n’y a jamais eu autant de pauvres malheureux que depuis qu’on a inventé la sociologie !

  18. « l’alignement du professeur au Collège de France sur l’instituteur de maternelle » : les connaisseurs auront reconnu la célébrissime note de Milner sur le SGEN. Eh bien, Josip Gavrilovic, c’est un peu le SGEN de la communication : l’alignement du professeur de collège sur le poète connu et reconnu. Non mais il y a de ces imbéciles chez les libéraux…

  19. « …la modulation basse de ma voix, objet d’un travail infini vers la fin de l’adolescence… »

    Ce travail a eu un double résultat:faire craquer les meufs et capter l’attention des élèves;en fait,c’est la même chose puisque la pédagogie c’est la séduction. ( « cette nécessité constante de séduire qu’on appelle en vrai la pédagogie ».)

    Je répète:c’est au nombre d’élèves qu’il amène dans son plumard qu’on mesure la qualité d’un professeur.

    Une question demeure: pourquoi, dans quel but, le Maestro a-t-il entrepris ce long travail sur sa voix,après la mue ? Se doutait-il que cela faciliterait les conquêtes ?

  20. Jean-Paul Brighelli 9 mai 2024 At 18h51
    Il est poète — et poète installé. Pas prof devant des élèves ricaneurs.

    Ca me rappelle une anecdote:le fils d’une amié,élève assez sage,voit débarquer un professeur de maths africain (un remplaçant je crois) avec un accent à couper au couteau;assez vite, rigolades et même quelques imitations ! Le professeur s’énerve un peu et crie: « Vous allez aouéter de vous foutre de maaa gueule! » Fou-rire général.
    Je ne sais pas comment ça s’est terminé…

    Un accent alsacien dans un lycée marseillais,ça donnerait quoi ?

  21. WTH 9 mai 2024 At 16h40
    Sans grain de sel – au contraire de Lormier qui ne peut jamais s’empêcher de rajouter le sien !

    Pourquoi Lormier « s’empêcherai »t-il ? Il a voulu compléter,enrichir…
    Et pour Nelson, vous êtes sûre ?

  22. B*** vivait près d’Angoulême, V*** à Marseille. Plus tard, quand je fus revenu à Marseille (et que, fatalitas, V*** m’était sortie de la tête), j’entretins avec M***,

    Il y a seulement 26 lettres dans l’alphabet…il va falloir apprendre le LaTex pour pouvoir ajouter des indices.

  23. « …elle des filles, sous l’influence des œstrogènes, restera dans les teintes claires et cristallines. »

    Des voix cristallines…celles des jeunes russes parlant russe, langue cristalline.

    Est-il possible de parle l’hindi d’une voix critalline ? et le switzer deutsch ? et l’arabe ?

  24. « …elle des filles, sous l’influence des œstrogènes, restera dans les teintes claires et cristallines. »

    Des voix cristallines…celles des jeunes russes parlant russe, langue cristalline.

    Est-il possible de parle l’hindi d’une voix critalline ? et le switzer deutsch ? et l’arabe ?

    https://www.youtube.com/watch?v=7g5JHkZiROs

  25. Jean-Paul Brighelli 9 mai 2024 At 16h29
    Oh mignonneu, allons voir si la rase qui ce mating avait déclase Sa rabe de pourpre au soleille…
    Ça vous dit ?
    Et à Lille ou Nantes, ça leur dit ?
    ——————————————————————————————————-
    Il y a des Marseillais qui « parlent pointu » (je crois que c’est l’expression)-autrement dit qui n’ont pas du tout l’accent marseillais. Principalement dans les milieux (très) bourgeois.

    Et puis,un Marseillais ou une Marseillaise qui s’installe à Paris perd naturellement son accent en un an ou deux. Pas besoin d’effort.

    • On va hésiter avant de se foutre de l’accent d’un bonhomme de 145 kgs avec des bras aux veines qui ressemblent à des durites de camion…

  26. A propos de voix « graves »…
    A Marseille, c’est le chanteur (?) Jul qui a été choisi pour porter la flamme olympique, alors que JPB n’a même pas été contacté.
    Je préfère encore les polyphonies corses au rap, c’est dire…
    De la République des Lettres à la République délétère.

  27. Et dis donc,Dugland,ça commence à se voir beaucoup,ton désir fou pour Gavrilovic!Ça se voit que c’est en train de te bouffer la rate!Une seule solution,la chirurgie!Fais-toi opérer une bonne fois pour toutes,tu reviendras plein de coutures et de balafres,et peut-être alors que t’auras l’air d’un vrai bonhomme !Peut-être!

  28. Oh Dugland,pourquoi tu réponds jamais à mes posts?J’ai pas un nom qui finit par « ic »,c’est ça?T’aimes que les yougos?

  29. Nous vivons dans un curieux pays.
    Mon éditeur — qui me l’a demandé — hésite très fort à publier fin août le livre sur l’islamisation du système éducatif.
    Il a peur d’être plastiqué, d’un côté (ma propre sécurité le laisse froid…) ; mais surtout, il craint que les libraires, qui sont de gauche, dit-il, refusent de le vendre.
    Nous vivions dans un curieux pays.

    • Meirieu vous a déjà payé deux baraques et trois piscines… Il faut peut-être pas pousser avec les barbus.

      • (Il a tout claqué. Il a un rappel fiscal « impôt sur la fortune », doit préparer son prochain voyage au Japon et s’assurer d’autres gueuletons trois étoiles de je ne sais quelle table marseillaise…)

      • Vous pensiez que l’éditeur s’engageait en premier lieu dans un combat idéologique pour faire tourner sa boutique ?
        Seulement si le combat lui rapporte énormément… Alors était-il certain de rafler la mise avec un pamphlet sur l’islamisation du système éducatif (ce que tous le monde sait, pardon mais zéro scoop), rien de moins sûr.
        Se faire plastiquer pour des clopinettes ne serait pas très avisé, en effet.

  30. Conne comme je suis,ça va étonner,mais je viens d’avoir une illumination:si Dugland qui a rien dans le caleçon refuse de se dévoiler,si il change de nom comme moi de petite culotte,c’est que Dugland,pour de bon,c’est son vrai nom!

  31. Jean-Paul Brighelli 9 mai 2024 At 20h48
    Oh, je le savais déjà, j’ai commencé tôt.
    ———————————————————————————————————

    Une vocation de professeur très précoce ?

    Pourtant,vous nous aviez dit que jusqu’en 3ième,vous vouliez devenir médecin.

  32. Dugong 10 mai 2024 At 7h47
    Un peu court, tout ça.

    La situation est-elle prérévolutionnaire ? « oui ou merde ? » ajouterait IAL
    —————————————————————————————————–

    « La situation est-elle prérévolutionnaire ? » Voilà une question que Dugong pose de temps en

    temps (apparemment ça l’amuse) et Lormier jamais. La question de savoir ce qu’il pourrait y

    « ajouter » est oiseuse.

  33. Jean-Paul Brighelli 10 mai 2024 At 12h05
    Nous vivons dans un curieux pays.
    ———————————————————————————————————
    Les jeunes filles ont (presque toutes) des voix cristallines.

    Une jeune arabe peut-elle parler l’arabe d’une voix cristalline?

    Certaines langues (le russe par exemple) mettent en valeur la cristallinité des voix

    féminines;d’autres pas:les gutturales, les raclements de gorge ne sont pas des sons

    cristallins.

  34. Préjugé ethno-linguistico-centré.

    Un Suisse teuton peut fort bien tomber amoureux d’une Suissesse teutonne (et

    réciproquement.)

    Pour qui n’est pas Suisse teuton le switzer deutsch est une langue affreuse,qui écorche les oreilles;ce ne peut pas être la langue d’un dialogue amoureux.

    Et pourtant…

  35. גוים –
    10 mai 81 – 10 mai 2024 : 2ème anniv pour qui vous savez ; et encore une bonne bouteille et un p’tit cognac !

  36. Dugong 10 mai 2024 At 14h14
    « Une jeune arabe peut-elle parler l’arabe d’une voix cristalline? »

    Non, mais en ralentissant le débit, elle peut arriver à émettre des sons agréables.
    ——————————————————————————————————-
    Parole, chant:
    https://www.youtube.com/watch?v=r6n3H06YsTI

  37. Alors nous nous parlions, interminablement, à nous dire « ces jolis riens qui sont tout ».
    ________________________________________________________________________
    Deux à dire des riens ?

    Il ne peut exister à mon goût
    Plus fin diseur de ces jolis riens qui sont tout.
    Parfois il est distrait, ses Muses sont absentes ;
    Puis, tout à coup, il dit des choses ravissantes !

    Mais jamais le Maestro n’est distrait,jamais ses Muses ne s’absentent.

  38. « jamais ses Muses ne s’absentent »

    Elles sont cloîtrées dans le verger des muses?
    Oui…

  39. L’élection européenne ne servant quasiment à rien, j’ai bien envie de voter LFI le 9 juin. Et vous ?

  40. « …tomber amoureux de créatures  »

    Dans l’adjectif « amoureux »,il y a le mot « amour »;ce n’était donc pas que du désir;mais être amoureux ce n’est pas la même chose qu’aimer; certains couples (rares) s’aiment encore après 60 ans de mariage; dirait-on qu’ils sont amoureux ?

    Ce n’était pas que du désir,on se disait même des « petits riens qui sont tout »;le lalgage était plus élaboré que : »allez écarte,que je te baise »;pas que du désir, mais, forcément,y en avait.

    Bien malin qui pourrait tracer une frontière nette entre l’état amoureux et l’état de désir.

  41. Si l’on n’a pas de sur-moi, on peut désirer (on ne fait que ça),on peut même tomber amoureux, mais peut-on aimer ?

  42. « Eros, qui est un polisson, m’a souvent fait tomber amoureux de créatures résidant au loin. »

    Tiens, des « créatures » au pluriel; « créatures » serait-il maintenant synonyme de « meufs » ?

    Et LA créature (illa) s’inscrit-elle,finalement, dans une série ?

  43. Dugong 10 mai 2024 At 14h14
    « Une jeune arabe peut-elle parler l’arabe d’une voix cristalline? »

    Non, mais en ralentissant le débit, elle peut arriver à émettre des sons agréables.

    Les consonnes agressent moins si on allonge les voyelles ?

    La cristallinité d’une voix s’apprécie surtout dans l’énocé des voyelles.

  44. Notre mode de relation le plus courant,le plus spontané à l’autre c’est la haine/détestation.

    Je me demande si la langue de l’autre n’est pas un déclencjeur de la détestation.

    Nous détestons entendre des Arabes mener des conversations en arabe,car les sonorités de cette langue nous agressent;et par conséquent nous détestons les Arabes.

    Les habitants du sous-continent indien (Indiens ou Pakistanais) n’ont pas de gutturales raclantes dans leurs langues, mais celles-ci nous débectent pour d’autres raisons:ça semble être un flux continu de glouglous . Si trois Pakistanais montent dans votre wagon,vous êtes obligé de changer de wagon. Nous détestons les Indiens et les Pakistanais presque autant que les Arabes.

  45. Quant aux Tchèques (et Slovaques),il y a pas mal de nasales dans leur langue;elles reviennent souvent et ça énerve.

  46. Jean-Paul Brighelli 10 mai 2024 At 12h05
    “Nous vivons dans un curieux pays.
    Mon éditeur — qui me l’a demandé — hésite très fort à publier fin août le livre sur l’islamisation du système éducatif.”

    Comment peut-on écrire contre l’islamisation du système éducatif ( on suppose que le” sur” est un “contre” quand même ) et prôner la généralisation des écoles privées avec chacune leur projet éducatif dont certaines seraient de confession musulmane ?
    Heureusement qu’il y a encore un semblant d’EN pour que certains fassent leur beurre en écrivant à son propos, tout en défendant sa destruction avec le privé.
    C’est ce qui s’appelle être dans l’imposture totale.
    Il est certain que ce serait ballot d’avoir des ennuis avec les barbus alors que vous défendez haut et fort et “en même temps” leur installation bien au chaud dans des écoles ad hoc.

    • En effet et pour rappel, Brighelli-en-même-temps a bien écrit « Je suis devenu ultra libéral »…

    • Bof. Vous supposez que Brighelli prône la généralisation du privé sans contrôle, comme un libéral au sens strict. Il semble quand même plus probable qu’il défend l’efficacité pédagogique, c’est-à-dire un certain privé.

      • La généralisation du privé avec contrôle ne changera pas le fait qu’il soit réservé aux plus friqués, à ton élite de merde.

        • Pas nécessairement. Je connais des collèges privés où la scolarité coûte 50 balles par mois – un abonnement Netflix ou BeIN. Et ça couvre même des curaillonneries supplémentaires.

          • 50 balles pour un établissement qui aurait une capacité d’accueil de 500 élèves et qui aurait 2 000 demandes (en basse estimation), c’est bien ça ?

            On se souvient de cette trompette chantant les louanges de l’intégration des minorités par le public, qu’il aille expliquer à des familles monoparentales ou pas, qui sont immanquablement au rouge le quinze du mois, au centime près pour finir la semaine, ce que représentent 50 balles par mois multiplié par le nombre d’enfants, hein, sans parler du coût des trajets, de la cantine, et du voyage à la con organisé chaque année par classe de primaire ou de collège.
            50 balles par mois mais bien sûr…

          • En Inde, les parents consacrent le tiers de leurs revenus à l’éducation de leurs enfants.
            Rien n’est dû à personne.

          • 1) Les établissements auxquels je pense sont déjà complets. Le lucre n’est pas ce qui attire ces curés.

            2) a) Vous me parliez d’élite. Si ne pas être dans le rouge à la fin du mois, c’est faire partie de l’élite, ça risque de faire beaucoup, beaucoup de monde quand même.

            b) Il faut être un bourgeois à la Ruffin pour croire que « être dans le rouge dès le 15 du mois » signifie, en France, qu’on n’a pas 50 balles à consacrer à l’éducation de son gosse. Les problèmes des cassos – parce que c’est nécessairement de cela dont il s’agit le 15 du mois – sont bien plus profonds.

          • Une simple question : Est-ce qu’un Denis Colin, issu d’un milieu très modeste agricole, pourrait de nouveau refaire son même cursus (agrégé de philosophie) avec votre proposition ?
            Les petits exploitants agricoles (au moins un suicidé par jour) ne sont pas des cas soc’, comme vous dites.

          • 1) À qui s’adresse la question ? Parce que je ne propose rien moi… Je me contente de dire qu’il y a suffisamment de procès à faire à Brighelli pour ne pas lui en intenter à partir d’interprétations malveillantes.

            2) « Les petits exploitants agricoles ne sont pas des cas soc’ » : c’est-à-dire que l’expression « être dans le rouge dès le 15 du mois » suppose, pour avoir un sens, le salariat… Qu’est-ce que cela peut bien signifier, le 15 du mois, pour un non-salarié ?

          • Un exploitant budgétise ses revenus, il les réparti sur douze mois, parce qu’il a des traites à régler (crédits, par ex), elles tombent en général le 5 de chaque mois.
            Les travailleurs agricoles sont des salariés.

  47. Allons, soyons poétiques ! Il est comme les feuilles mortes, virevoltant au gré du vent. Tout dépend de quel côté le vent souffle et ce qu’il peut vous apporter.
    Peut-être verra-t-on un jour Brighelli se ranger du côté des barbus ? S’ils prennent le pouvoir ? Si cela peut rapporter un petit quelque chose ? Hein ? Y’a pas de mal à essayer quand on n’a pas de surmoi, tout est possible.

  48. Dugong 10 mai 2024 At 17h27
    elle échappe au choléra .

    Dugong s’est fait vacciner contre le choléra.

  49. Cher dugong, deux interrogations me taraudent depuis longtemps :
    * Pensez-vous que le « changement climatique » est une réalité ou une fiction ?
    * Pensez-vous que l’introduction massive de gaz à effet de serre dans l’atmosphère est sans incidence notable sur le climat ?

    Mais peut-être êtes-vous agnostique …

  50. Brighelli est un libéral opportuniste. Parce que les connards du mitterrandisme ont défoncé l’État et l’école à un point de non retour.

    •  » les connards du mitterrandisme ont défoncé l’État et l’école à un point de non retour. »

      Ça, c’est très vrai.

  51. Au moins Brighelli évolue. Il ne s’est pas encroûté dans de vieilles lubies à la pédagogie renouvelée comme les mitterrandistes.

  52. Brighelli a suffisamment de défauts pour ne pas alourdir la barque par des interprétations malveillantes !

  53. Vous préférez quoi ? Assurer l’avenir de vos gosses en les mettant dans le privé ou satisfaire votre petite idéologie étatiste en les balançant dans le saint public ?

    • Il suffit de faire le deuil de son narcissisme idéologique et d’avoir un honneur un peu mieux placé.

    • Daéns le même raisonnement, assurer notre sécurité aussi devant le délabrement des forces publiques, en nous adressant au privé comme Touf’ l’organise actuellement avec les JO ?
      Vous savez où vous pouvez vous le fourrer votre « privé » ?

  54. Et quand bien même le public serait aussi efficace que le privé… Il n’y a qu’un État totalitaire qui voudrait vous imposer la manière dont vous éduquez vos gosses.

      • Voilà qui tempère vos professions de libéralisme – et confirme le diagnostic de « libéral opportuniste ». Le totalitarisme non mais je te jure…

        • Ce qui confirme son adhésion à l’étonnant concept de communiste privé (Plus de propriétés privées ; les biens publics détenus par de multinationales privées) comme l’envisage Klauss grand fan de Mao…

          • « Il n’y a qu’un État totalitaire qui voudrait vous imposer la manière dont vous éduquez vos gosses.

            Reply
            Jean-Paul Brighelli 11 mai 2024 At 13h36
            Les révolutionnaires de 1789 l’ont fait — et ils ont bien fait. »

            Arrêtez les traits et relisez vous-même les délires de cet « opposant contrôlé ».

            Brighelli est un opposant contrôlé et rien d’autre. De la pire espèce parce que la gamelle est bonne.

  55. Abasourdi et consterné par le degré d’ignorance du domaine, de méconnaissance des enjeux, de manque de hauteur, de petitesse, de mépris larvé, de franchouillardise « café du commerce », tout ça bien palpable au travers des réactions lues ici sur le sujet de la façon dont sont mal-traités les accents régionaux, j’ai estimé qu’un passage obligé par la case « instruction » ne ferait de mal à personne. Traiter ce sujet avec légèreté, désinvolture, ricanements et cynisme évoque un peu trop à mon goût l’attitude qui consiste à sortir son revolver quand on entend le mot « culture ».
    Donc j’ai résolu d’informer et, pourquoi pas, de susciter un peu de réflexion, de sorte que des interlocuteurs devenus instruits laissent leur flingues dans leurs étuis (on peut rêver…)
    Alors voilà :
    – la discrimination des accents régionaux porte un nom : la glottophobie.
    – la discrimination fondée sur l’accent est désormais interdite en France, à la suite d’une modification du code pénal.
    https://www.vie-publique.fr/loi/277433-proposition-de-loi-glottophobie-promouvoir-la-france-des-accents#:~:text=La%20proposition%20de%20loi%20reconnait,et%20dans%20la%20fonction%20publique.
    – l’ouvrage de référence qui traite le sujet de façon à peu près exhaustive est dû au travail du sociolinguiste Philippe Blanchet :
    « Discriminations : combattre la glottophobie », Actes Sud.

  56. C’est encore tendance ici : le « puppy yoga » !

    Rassurez-vous lecteurs : ni Sanseverina (la pratique vient d’ailleurs d’être interdite en Italie),
    ni le maestro, ne risquent de tomber dans ce type d’aliénation (article sur bvoltaire et sur le Huffpost).

    Je suis hallucinée par le nombre de chiens qui baladent leur(s) maître(s) …
    en particulier chez les djeuns (fini le temps des zamoureux qui s’bécotaient sur les bancs publics) –

    Et les canards de parler de « bien-être animal » !
    Quand on voit l’offre ne serait-ce qu’en matière de bouffe (croquettes et autres saletés)…

    Même BB s’y met dans la dénonciation !
    Ben oui, l’animal représente un beau marché, *
    et un petit chiot c’est trop chou, d’autant que son propriétaire, dans le pire des cas, pourra s’en débarrasser ; se pratique bien le « rehoming » !…
    L’être humain se doit de consommer ; ainsi le veut ceux qui tiennent les rênes, ou plutôt la laisse.

    *ne pas confondre avec le Bon Marché (parisien)

    https://media.bvoltaire.fr/file/Bvoltaire/2024/05/IL20240509173828-photo-output-1-929×522.png

  57. Jean-Paul Brighelli 11 mai 2024 At 13h36
    Les révolutionnaires de 1789 l’ont fait — et ils ont bien fait.

    Tous ceux qui répètent à qui mieux mieux: »y a qu’à mettre les gosses dans le privé,là au moins,y a des résultats » oublient un petit détail:dans le privé comme dans le public,pour qu’il y ait des cours,il faut qu’il y ait des professeurs.

    Et le privé a exactement les mêmes problèmes de recrutement que le public,problèmes qui ne cessent d’empirer.

    Lormier l’a déjà dit: l’école privée ne pourra exceller qu’en attirant des diplômés de l’enseignement supérieur par des salaires élevés et des contrats en béton.

    Ca, le privé sous contrat ne peut pas le faire pour le moment.

    Pour tourner,une école privée hors-contrat devra demander au moins 50 000 euros par an aux parents.

  58. Ce blog est connu pour être un repère et un repaire pour les souverainistes.
    Fort bien. Mais alors que les souverainistes poussent leur souverainisme à son terme.
    Le souverainisme en France prend le plus souvent la forme d’un rejet des décisions prises à Bruxelles au nom de l’UE, décisions technocratiques prises par des ronds-de-cuir qui ne savent rien des spécificités de la situation de la France.
    Il serait dès lors cohérent de rejeter aussi le centralisme jacobin de la France, où des décisions technocratiques sont prises à Paris par des ronds-de-cuir qui ne savent rien des spécificités de la situation de la Lorraine, du Poitou, de la Provence, de la Bretagne, du Béarn, de l’Alsace, de la Corse, du Périgord etc., et de promouvoir l’idée de souveraineté de ces territoires qui ne veulent plus dépendre de Paris.
    Frères et soeurs souverainistes, encore un effort pour être vraiment souverainiste ! Manifestez votre solidarité pour la cause souverainiste de nos régions ! Ne laissez pas tomber vos frères souverainistes qui se battent pour la sauvegarde et le respect des accents régionaux !
    Mort à la globalisation ! A bas l’UE ! A bas la France jacobine ! Vive l’Occitanie souveraine ! Vive la Corse souveraine ! Vive la Lorraine souveraine ! Et vive etc. etc. Et halte à la glottophobie !

    Mort a la globalizacion ! A baish l’UE ! A baish França jacobina ! Viva l’Occitània sobeirana ! Viva la Corsega sobeirana ! (…etc…)E pausa a la glottophobie !

    • Que l’on commence d’abord par utiliser la langue française dans tous les territoires…
      ce qui semble bien loin d’être le cas ! wesh !

      • … ne serait-ce qu’histoire de « s’entendre » d’un « territoire » à l’autre !
        Quant au brouzouf, certains le souhaiteraient plus sonnant et moins trébuchant (aucun « ruissellement » en vue, si ce n’est celui des eaux de pluie !)

    • « qui ne savent rien des spécificités de la situation de la France »

      Dis que tu n’as rien compris au souverainisme sans dire que tu n’as rien compris au souverainisme…

      Ce n’est pas une question de compétence/connaissance mais de légitimité. La seule autorité normative légitime, c’est le peuple, la Nation. Existe-t-il un peuple européen ? Non. Un peuple français ? Oui. Un peuple poitevin ? Non.

      • Dis que tu n’as rien compris au souverainisme sans dire que tu n’as rien compris au souverainisme…
        Tutoiement ? On se connaît ? On a gardé les cochons ensemble ?

        Le peuple corse existe. Et comment !
        Le peuple marseillais aussi, à un point qu’on n’imagine même pas. Et si on creuse bien, un peu partout, le rejet des auto-proclamées élites parisiennes est massif. Et c’est bien leur légitimité qui est contestée.

        • « gardé les cochons ensemble » : un zeste, un reste de formule à la french !
          les « élites parisiennes » ; certes.
          Et quid des zélites locales, qui elles, ont parfois été élues et donc légitimées.

        • « Le peuple corse existe. »

          Les souverainistes qui y croit défendent l’indépendance… Reste à savoir s’ils y croient.

  59. N’y a pas que la défense de la cause animale !

    Ainsi, après avoir quitté depuis quelques mois, la défense de la cause ukrainienne (avec des images qui ont fait un flop),

    le BHL s’intéresse maintenant à la défense de la cause israélienne,
    et prend donc… la défense de la « talentueuse » Eden Golan (!) en lice pour l’eurovision (encore !) :
    il « va voter pour la ‘courageuse’ Eden Golan face ‘au vent de haine contre les Juifs’ »
    (lefigaro.fr)

  60. Oh Fatche de con(g) : wesh !
    Quel spectacle à Marseille les JUL, Soprano et Alonzo (c’est en quelle langue ?!

  61. Josip vient de découvrir que le Parlement français avait deux chambres… C’est bien, il n’est jamais trop tard !

    • Josip Gavrilovic n’est qu’un petit con de fils d’immigrés yougoslaves.
      Pas un vrai français, et encore moins un vrai marseillais.
      Son incompétence est inscrite dans ses gènes.

      • Vous oubliez le plus important : ou bien il ne sait pas lire, ou bien il se victimise indûment pour éviter d’avoir à affronter son incompétence. C’est tellement plus facile…

  62. GG :
    « Brighelli est un opposant contrôlé et rien d’autre. De la pire espèce parce que la gamelle est bonne. »

    Il me semble difficile, pour ne pas dire impossible d’être un « opposant contrôlé et rien d’autre », quand on s’adresse au public et en public – conférences, livres, etc…
    Tous zet toutes sous l’oeil de… Moscou, qu’il disent et même Beijing !

    « La gamelle est bonne » ; ben oui, pour un certain nombre.
    Et d’autres aimeraient bien un meilleur ruissellement, d’où leur demandes incessantes de mettre un pouce, liker, partager, s’abonner, blabla, blabla…

      • Tout travail mérite salaire…
        Trêve de plaisanterie, l’essentiel est que la gamelle des chiens (et chats) soit remplie de bonne choses !

      • Un type sans surmoi aurait aucun autre intérêt que celui idéologique dans les positions qu’il défendrait ?
        Vous n’avez qu’un seul intérêt : votre parabole qui vous sert de nombril. Et pourvu que la lumière des projecteurs se fasse sur vous, faute de pouvoir gratter quelques pièces.
        Vous êtes d’un drôle, Brighelli, si vous saviez… Il vous reste un ou deux fans pour gober vos balivernes.

      • Il est à craindre que Sansèv’ ait tristement raison : vous faire pousser la barbe si le vent tournait, pourvu que cela vous rapporte.

        • Il n’est pas vraiment drôle, et compte sans doute plus de personnes (sans être « fans ») pour « gober » ses « balivernes » !…

          Rajoutons que c’est un plaisir de vous voir copine avec Sanseverina, après tout ce que vous lui avez balancé dans la figure !

          • Nous avions compris qu’il vous fascinait.

            Comment appelle-t-on cet état féminin si particulier, Brighelli, celui d’une femme qui pardonnerait l’impardonnable à un homme — un peu comme celui qui avait investi Anne Sainclair lorsqu’elle criait par les grands dieu que son jules était innocent et ce malgré les preuves qu’elle avait sous les yeux —vous qui savez tout sur les ressorts de la psyché féminine, dite-nous ? Le drame pour vous, c’est qu’il ne dure pas.

          • Ne désespérez pas, il y a un matin où vous vous réveillerez libre, WTH.
            D’ici là, il est à craindre que le gros vieux pa-chat ait salement joué avec la souris…

  63. Oh Fatche de con(g) !
    11 mai 2024 At 15h12
    Oui. Information incomplète et hâtive de ma part. Dont acte. Adopté seulement par l’assemblée Nationale le 26 novembre 2020.
    A part ça, l’invective et l’insulte, vraiment indispensables ?

    On peut aussi revenir au sujet et ne pas perdre de vue que la glottophobie existe, dans des proportions considérables, qu’elle constitue une discrimination incontestable, et qu’elle trouve même des échos sur ce blog…

    • « On peut aussi revenir au sujet »

      L’Évangile selon saint Josip contenait trois versets. Permettez qu’on discute l’un d’eux.

      • Et réponse a été apportée aux deux autres versets.

        1) On a inventé le terme de glottophobie : oui, et ? Dites-nous plutôt pourquoi glottophobie et pas glossophobie, ce sera plus intéressant.

        2) Un type a écrit un bouquin sur le sujet : oui, et ? Citer une référence sans rien en tirer…

        • « Dites-nous plutôt pourquoi glottophobie et pas glossophobie, ce sera plus intéressant. »
          J’en suis bien incapable.
          Gavrilovic le pourrait, lui. Mais visiblement il répugne de plus en plus à pontifier. Dommage.

          « Un type a écrit un bouquin sur le sujet : oui, et ? Citer une référence sans rien en tirer… »
          Vous devriez d’abord m’être reconnaissant de vous signaler un auteur et un ouvrage qui vous étaient inconnus. Ensuite, si vous voulez vraiment savoir ce qu’on peut en tirer, demandez à Gavrilovic. Mais visiblement il répugne de plus en plus à pontifier. Dommage.

    • Wesh ! le Fatche’ avait trouvé un (autre) sujet de « discrimination incontestable », la « glottophobie », et voilà-t-il pas qu’il se fait déjà « invectiver » et « insulter » !
      En attente donc d’un prochain vaste sujet…

  64. « informer » son public avec des foutaises.

    Foutaises ? Le travail de Philippe Blanchet mérite-t-il d’être traité de foutaise?
    Et le porter à la connaissance du public de ce blog, foutaise ?
    Restez donc dans votre ignorance de l’ampleur du problème, je n’ai plus la volonté de conduire à la rivière l’âne qui n’a pas soif, et restons-en là.

    • La proposition « la discrimination fondée sur l’accent est désormais interdite en France, à la suite d’une modification du code pénal » est une foutaise. Parce qu’il n’y a pas eu de modification du code pénal et parce qu’aucune discrimination n’est généralement interdite en France.

      • Revenir au sujet.
        Revenir au sujet.
        Revenir au sujet.
        Revenir au sujet.
        Sujet : la glottophobie.
        Pas les problèmes de droit.

        Mais inutile de poursuivre, me semble-t-il.

        • Le premier Évangile selon saint Josip contenait trois versets. Pardonnez cette référence à un texte désormais apocryphe.

        • Revenir au sujet, revenir au sujet.
          גוים, c’est le gonze à qui tu demandes de réfléchir aux facteurs qui ont fait que la Shoah a pu se produire, et qui te répond que ta question est mal posée parce qu’elle ne tient pas compte de l’influence de la mousson sur le culture biodynamique de la goyave en Indonésie septentrionale.
          Revenir au sujet, revenir au sujet.
          Avertissement travail et redoublement demandé.

          • Quand « l’influence de la mousson sur le culture biodynamique de la goyave en Indonésie septentrionale » est présentée comme l’une des trois facteurs, il me semble opportun d’y revenir.

  65. Le bourgeois se reconnaît à son attachement de principe aux autorités universitaires.

    Quelqu’un a écrit un livre ? C’est donc qu’il y a, en soi, un sujet politique.

  66. Face 1 : « [il n’y a pas d’]accents nuisibles, néfastes, indésirables, déclarés pour ainsi dire personae non gratae »

    Face 2 : la grottophobie est une réalité.

    • Face 1 : aucun facteur endogène ne justifie qu’on déclare certains accents nuisibles, néfastes, indésirables, personae non gratae.
      Face 2 : la glottophobie (et non « grottophobie », sauf à Lourdes) les déclare tels, à partir de facteurs exogènes.
      Tout le problème est de repérer ces facteurs exogènes et d’en expliquer la genèse.
      Ça, c’est du niveau d’une première année post-bac en sociolinguistique.

      • « aucun facteur endogène ne justifie qu’on déclare »

        Parce que vous êtes un curé libéral.

        • Quel facteur endogène pourrait justifier qu’on déclare nuisible l’accent méridional ? Elles sont pas belles, mes fricatives ? Et mon système vocalique, il est bancal ? Atrophié ?

          • Celui qui plaira.

            En curé, vous cherchez des valeurs intrinsèques. Et en libéral, vous prétendez exclure tout sentiment des relations entre personnes.

          • Pourquoi un Poitevin devrait-il ne pas juger un accent différent du sien ou de l’accent standard ? S’associer à qui vous ressemble est un sentiment sain.

        • Vous déplacez encore le problème.
          Il était au départ question d’accents régionaux qui NUISENT à la communication ou qui RUINENT les atouts d’une belle voix.
          On est très loin de l’acceptation plus ou moins modulée de certains écarts par rapport au standard – i.e. le français parisien bourgeois.
          Avec NUIRE et RUINER on est dans l’optique d’une déclaration de sinistre et d’une évaluation des dégâts. C’est une approche totalement extrinsèque. On n’a jamais vu une voyelle, fût-elle plus ouverte que le standard, intrinsèquement ruiner quoi que ce soit.
          Si ruine il y a, elle ne vient pas de la voyelle sur-ouverte. Elle vient d’ailleurs. Ça me semble tellement clair et évident…et c’est cela, la glottophobie.

          • Je suis pas bien sûr de saisir votre point, tant les évangiles deviennent apocryphes et le canon s’étire et se rétracte selon la révélation qu’on fait de vos sottises…

            Néanmoins : la différence entre deux phonèmes simples étant une différence phonétique de degré (de l’aperture, du timbre d’articulation, du voisement…), dire « on n’a jamais vu une voyelle, fût-elle plus ouverte que le standard, intrinsèquement ruiner quoi que ce soit » est une foutaise.

          • Vous ne devriez pas vous aventurer dans ce domaine. Vous ne comprenez visiblement pas ce que je dis, alors que c’est à la portée d’un étudiant en sociolinguistique 1ère année.
            Pourquoi ne pas admettre qu’en la matière vous êtes hors-sol et à côté de la plaque? Quel orgueil…orgueil qui ne vous grandit pas.
            Nobody’s perfect.

          • Et le début du commencement d’un argument ? Ou vous essayez de vous convaincre ?

  67. Parenthèse (ça semble reparti – comme en 40 ?) –

     » l’âne qui n’a pas soif » : on a pu reconnaître une des expressions favorite d’une certain J.

    A propos de « soif », et de langage :

    « Coca-Cola permet à 750 français de porter la flamme olympique, »
    « … mais pas question de faire un tirage au sort ou de collectionner le maximum de capsules. L’essentiel était de prouver sa motivation. »

     » ‘Avec Coca-Cola, courez pour l’histoire ‘  » : campagne de pub lancée en juillet 2023″ : « racontez-nous comment vous brillez au quotidien pour votre communauté. »
    « 15 000 à avoir tenté leur chance ».

    Un des gagnants de la Team (c’est pas français) Sorel, « acteur engagé des quartiers pop’ de la cité phocéenne » a dit :
    « je m’y suis préparé comme à une candidature à un emploi ; j’ai parlé avec mes tripes, peu importe les fautes d’orthographe. »

    Parmi d’autres gagnants, un organisateur d’une « collecte pour Haïti »,
    un autre pour une opé’ de « sensibilisation au harcèlement scolaire »,
    une autre contre le « body-shaming » (c’est pas français),
    et même « miss Martini, drag queen » (c’est pas français) « pour la communauté LGBT marseillaise »).
    (le figaro éco du 10 mai)

    Et les deux camions Coca, « en tête du convoi publicitaire précédant les porteurs de flamme, distribueront un million de canettes…
    pour mettre en avant ses « eco cups » (c’est pas français).

    Formidab’ suite au « torch kiss » (c’est pas français) et à la fiesta (non plus !)

    Pu*tain con(g) ! Sacrés JO !

  68. Pour détendre les esprits, et d’une voix médiane, je me permets de vous recommander la lecture de : “Roman fleuve” de Philibert Humm. Pour une fois qu’un contemporain écrit un roman drôle, vraiment très drôle, sans se prendre au sérieux. Un régal.

  69. Avant que de « Détendre les esprits », une dernière réplique à GG :

    « fascinait » ? Le mot me semble un peu fort !…
    Et pas vous ?
    Depuis les temps immémoriaux (« l’ancienneté », ouaf !), que vous traînez sur ce blog,
    que vous vous opposez à ses « balivernes » !
    Jeu du chat et de la souris ?!

    Quant à la Sinclair, elle s’est appliquée à faire la sourde oreille sur toutes les « affaires » du Dsk – et questions business et brouzouf, quel maître que le Dsk, qui a fait merveille au FMI ! – mais elle s’imaginait sans doute très bien… à l’Elysée.

    On ne joue donc pas, ici, et même niveau EN, dans la même cours (y compris de récré).
    Il y a (bien) pire nuisible que JPB…

    • Et pas vous ?

      Non, plus du tout. J’ai le meilleur, j’apprécie sa plume en sachant garder mes distances, avec mon discernement. Ce que vous n’avez plus…
      Vous pourrez parler de l’étendue de sa capacité à nuire quand vous l’aurez totalement goûtée.

      • Car pour être un « trottin » du système, placée en première ligne, il faut un minimum de talent, et je le lui reconnais volontiers.

  70. Josip, c’est le type qui arrive costumé en arlequin à un enterrement et qui, devant les regards appuyés de l’assistance, chiale à la arlequinophobie.

    • C’est pourtant simple : il y a une norme sociale, vous la respectez, vous passez inaperçu, vous ne la respectez pas, vous assumez.

      Les bourgeois libéraux sont des sales gosses qui pleurent.

      • Et cette norme sociale, il y a des jeunes gens de 25 ans qui ne songent pas une seconde à la contester. A 25 ans, ils sont rassis et moisis comme des quignons de pain vieux de 5 siècles. Et ça se fout de la gueule des boomers…dites-moi que je rêve.
        Ça se fout de la gueule des boomers, mais ça recherche en permanence leur compagnie, ça recherche en permanence le contact avec eux…Allez comprendre !

        • A 25 ans, גוים est déjà un vieux schnock, qui s’aplatit devant la norme sociale. Non seulement il n’a encore rien fait de sa vie, mais il n’a pas encore eu le courage d’enlever ses charentaises.
          Finalement, sa seule utilité, c’est de payer nos retraites.
          Vive les boomers !

        • Vous ne savez pas lire… Je suis POUR qu’on puisse aller costumé à un enterrement. Je demande seulement qu’en ce cas on cesse de geindre comme un sale gosse, qui voudrait le beurre de la transgression et l’argent du confort. Soit l’un, soit l’autre.

  71. J’écoute la redif d’une émission de la Terre au carré, France Inter (oui, je sais, faut pas se vouloir du mal).

    Titre de l’épisode : « L’Homme de Denisova : cette forme humaine d’Eurasie »

    J’y entends : « Beaucoup d’humains et d’humaines ont vécu /…/ »

    Du coup je suis si choqué par l’intitulé que j’ai envoyé un message de protestation afin que le titre soit modifié « La Femme et l’Homme de Denisova : cette forme humaine d’Eurasie »

  72. Phonétiquement, un /i/ n’est jamais qu’un /a/ un peu plus antérieur et un peu plus fermé. Donc si la différence phonématique (de nature) repose sur une différence phonétique de degré et si la différence phonématique est le terminus de l’INcompréhension, pourquoi toute différence phonétique ne serait-elle pas un degré de la MÉcompréhension ? Couille molle Gavrilovic ne répond pas, il se contente de se convaincre lui-même…

    • (Certains grands esprits modéliseraient sans doute cela par des ensembles flous. Mais ne donnons pas du grain à moudre à Lormier, grand chasseur d’esbroufe.)

  73. Josip est une bonne incarnation du néolibéralisme moral : dérégulation MAIS collectivité nounou. Du genre : je réclame le droit à venir à un enterrement comme si j’allais au McDo MAIS je réclame la reconnaissance de la société.

    Eh bien non, sale gosse, ça ne se passe pas comme cela. Soit tu te plies à la norme, soit tu assumes. Chiale en silence.

  74. Pourquoi Antigone est un grand mythe ? Parce qu’Antigone ne reproche nullement à Créon d’agir comme un Créon, elle sait qu’il est à sa place et elle à la sienne. D’où la tragédie : rencontre de deux logiques valables l’une comme l’autre mais inconciliables.

    Pourquoi Josip est un grand con ? Parce qu’il transforme le romantisme en rebellitude de lycéen. Il voudrait les frissons de la transgression mais le confort de la soumission.

  75. Loup ou chien, il faut choisir. Mais on ne peut agir comme un loup et geindre de ne pas être traité en chien. Sinon on n’est jamais qu’un chien qui chiale de son fantasme, la pire espèce, le romantique embourgeoisé… le boomer quoi.

    • « Loup ou chien, il faut choisir. »

      Non. « Pourquoi le faudrait-il ? » demande la foule.

      Parce que tel est votre grand déplaisir répond le compol à muselière lâche de chez lfi.

      • Parce que prétendre ne pas choisir, c’est choisir. Vous êtes un gentil toutou qui se fantasme loup – comme tous les boomers mitterrandistes.

  76. Faisons le point. A partir d’une interrogation sur le rejet des accents régionaux dans la France de 2024 et des pratiques discriminatoires que ce rejet peut engendrer, on se retrouve grace à l’homme-aux-mille-pseudos avec un début d’exposé de phonétique articulatoire d’une cuistrerie niveau 1ère année. Estimons-nous heureux, on a échappé de peu à d’interminables pontifications sur la loi de Bartsch ou à un cours sur la nasalisation des voyelles.
    Extrapolons un tantinet : si גוים voyait un ami se faire tabasser à coups de battes de base-ball, il n’appellerait pas au secours. Non. Il entreprendrait plutôt à l’intention des agresseurs une conférence sur les aspects techniques du swing de Babe Ruth ou des lancers « curve » de Sandy Koufax ou Randy Johnson.
    Ir-ré-cu-pé-rable.

    Après réflexion, quelque chose cloche dans mon extrapolation : les gens comme גוים n’ont pas d’amis.

    • Sauf que ma « conférence » n’était qu’une réaction à cette foutaise sur laquelle vous avez glosé et glosé : « On n’a jamais vu une voyelle, fût-elle plus ouverte que le standard, intrinsèquement ruiner quoi que ce soit ».

      Avez-vous des arguments à proposer ? Manifestement, non. Vous fuyez et chialez, comme d’hab.

      • Dernièrement un commentateur avisé disait ceci à votre alter ego Dany-le-jaune :
        « Vous avez beaucoup à apprendre. Il n’est jamais trop tard. »
        Et Dany-le-foie-jaune répondait :
        Dany le jaune !
        2 mai 2024 At 14h05
        « Je n’ai jamais prétendu y connaître quoi que ce fût ! »
        Reçu 5 sur 5.

        • « Je n’ai jamais prétendu y connaître quoi que ce fût ! »

          C’est une réponse d’IA dégénérée et hâtive

  77. L’homme-aux-mille-pseudos jouit du privilège de pouvoir appeler Josip Gavrilovic par son nom.
    Ça n’est pas notre cas. Nous ne pouvons interpeller גוים qu’au moyen de mille pseudos improbables. On a pu croire un instant qu’il allait se dévoiler et exposer son pedigree. « Je peux le prouver ! » bramait-il. Mais non. Au pied du mur il s’est dégonflé comme une vieille baudruche fripée, comme une couille molle plissée. Couille molle, une expression que גוים utilise fréquemment : on voit là son goût narcissique pour l’autoportrait. L’homme-aux-mille-pseudos a magistralement prouvé une chose : au pied du mur, c’est un lâche, un couard, un pleutre. « Que de la bouche ! » comme on dit chez moi avec un bel accent régional.

    On en sera donc réduit à l’usage des pseudos pour nommer גוים. Je me permets de lui en suggérer deux qui lui iraient bien au teint :
    – « Peine-à-jouir »
    – et, comme il aime bien les pseudos au long cours, celui-ci : »Je m’emmerde quand je baise. Presqu’autant que mes partenaires. »

    • « Je m’emmerde quand je baise. Presqu’autant que mes partenaires. »

      Vous êtes particulièrement mal informé. Par exemple, une fille avec laquelle j’ai couché une dizaine de fois me harcèle depuis des mois et des mois, à coup de plusieurs messages par semaine, pour qu’on remette ça : « tu ne te rends pas compte, X, tu es le meilleur coup de ma vie ». Au début j’ai cru qu’elle se foutait de moi mais j’ai appris qu’elle avait répété cela à plusieurs amies que je n’étais pas censé connaître. Et l’une d’entre elle, intriguée et bien foutue, a depuis confirmé !

      • Peut-on imaginer davantage de fatuité, d’auto-satisfaction viriliste, de prétention narcissique, que ce que l’homme-aux-mille-pseudos nous donne à lire ici dans ce post de 8h24?
        Comme on dit par chez moi, avec un bel accent régional : « Tu te vantes, tu te vantes… »

        Les bras m’en tombent. Mais quel âge avez-vous donc, pour de vrai?

        • C’est pure vérité – que vous m’avez demandée d’ailleurs ! Ne soyez pas jaloux. J’en étais le premier surpris : un bon coup, je n’en ai jamais douté, mais le meilleur d’une vie… par une gonzesse qui a déroulé du câble en plus !

    • Mon pédigrée, sur les sollicitations de Face de fion, oui, mon identité, certainement pas. C’est d’ailleurs la difficulté de prouver l’un sans révéler l’autre. Pour l’instant, je cherche encore.

      Et il va de soi que personne ne peut porter une identité aussi ridicule que Josip Gavrilovic en France.

        • Et rien ne le sera jamais, soyez-en sûr.
          Que de la bouche.
          Prendre le risque de se mettre à nu, se mettre en danger, sortir de sa zone de confort, l’homme-aux-mille-pseudos en est totalement in-ca-pable.
          Que de la bouche.

        • C’est vrai. Mais comment voulez-vous prouver des titres sans révéler mon identité ? Vraie question.

          Un scan de mon PV d’installation dans une ENS, d’un mail de report de stage d’agreg et, prochainement, de mon rapport de soutenance – tout ça caviardé – vous irait-il ?

  78. גוים
    12 mai 2024 At 8h31
    « Mon pédigrée, sur les sollicitations de Face de fion, oui, mon identité, certainement pas. C’est d’ailleurs la difficulté de prouver l’un sans révéler l’autre. »

    CQFD. Au moment de franchir le Rubicon, au moment de prendre des risques, au moment d’avancer à visage découvert, vous tremblez, et vous retournez chez Maman chausser vos charentaises et avaler deux Choco-BN. Un couard, un pleutre, un foie-jaune. Il y a un film de Robert Aldrich dont le titre est « Attaque », où Aldrich met en scène un personnage qui semble inspiré de vous.
    Si je devais partir à la guerre avec vous, je redouterais à tout instant que vous me tiriez dans le dos.

    « Et il va de soi que personne ne peut porter une identité aussi ridicule que Josip Gavrilovic en France. »
    A l’occasion, faites-nous une conférence sur ce que peut être une identité ridicule.
    Heu, tout bien réfléchi, non. On se passera de vos pontifications de foie-jaune.

    • Quand on n’a rien à dire sur le raisonnement, on s’en prend au raisonneur… Et jusqu’à la fin des fins : quoi ? je ne révèle pas mon identité sur Bd (comme la majorité du commentariat) alors que vous prétendez agir à visage découvert (enfin… plus depuis votre petite crise de délire publique) ? Mais c’est une circonstance aggravante, mon cher ! L’incompétence peut être pardonnée pour mille raisons chez un anonyme, pas chez un IRL.

      Je note que vous n’avez – toujours – pas répondu sur le fond.

  79. @Zorglub

    le « changement climatique » est une réalité ou une fiction ?

    Je crois que les moyennes mesurées n’ont pas pas pu faire l’objet de tripatouillage à si grande échalle. Il est correct de dire comme le fait l’UE que « La période 2011-2020 a été la décennie la plus chaude jamais enregistrée. En 2019, la température moyenne de la planète se situait 1,1 °C au-dessus des niveaux de l’ère préindustrielle. »

    https://climate.ec.europa.eu/climate-change/causes-climate-change_fr

    Les modélisateurs du climat utilisent l’arme nucléaire : des équations différentielles non linéaires. On ne les exhibe jamais*. Pire, elles rendent très suspectes les causements sur la causalité qui suivent de près. Notamment quand on veut absolument séparer les causes comme le fait l’UE dans la page citée plus haut :  » Le réchauffement climatique dû aux humains augmente actuellement à un rythme de 0,2 °C par décennie ».

    Voir l’article de Ian Stewart en 2010 dans Images des Mathématiques dont voici la conclusion :
     » le problème du « réchauffement global » ou du « changement climatique » n’est pas de savoir quoi cause quoi quand le système est livré à lui-même, puisque les deux augmentations de température et de CO2 se causent mutuellement. Les scientifiques du climat ne débattent pas sur ce point qu’ils connaissent depuis longtemps. Le problème est le suivant : que se passe-t-il quand on sait qu’une de ces quantités a soudain été changée par l’activité humaine. »

  80. Oh Fatche de con(g) ! 9 mai 2024 At 16h27
    « Je ne veux voir qu’une tête et n’entendre rien d’autre que le français du parisien bourgeois ! »
    ___________________________________________________________________________

    Il ya ,en angalis, ce qu’on appelle RP (received pronunciation),une prononciation « neutre »,qui n’est liée à aucune région et que tout Anglais peut comprendre. Ce n’est PAS la prononciation du « bourgeois londonien ».

    Peut-il exister,en Français,une prononciation neutre,qui ne soit pas celle du « bourgeois parisien » ? Je veux dire ,une prononciation telle que celui qui l’utilise ne dévoile pas ipso facto sa région d’origine. A Angers,par exemple, je n’ai pas entendu d’accent « angevin »…

    Je l’ai déjà dit:à Marseille,il y a des Marseillais de souche qui n’ont pas l’accent marseillais.
    J’ai connu jadis un jeune Marseillais venu faire ses études à Paris;s’il ne l’avait pas dit,nul n’aurait su qu’il était marseillais.

  81. Oh Fatche de con(g) ! 9 mai 2024 At 16h27
    Brighelli :
    « Reste l’accent, qui peut ruiner la plus belle voix ».
    Puis, plus loin :
    « On nous a simplement fait remarquer que, promis à la profession d’enseignants, nous n’avions pas intérêt à voyager dans nos postes successifs avec un accent qui nuirait à la communication. »
    __________________________________________________________________________

    Revenons à nos moutons.
    i) Le Maestro,encore très jeune, a travaillé sa voix,dans le but de draguer les meufs avec succès. Il fallait pour cela acquérir une voix grave et aussi se débarrasser de l’accent marseillais-qui peut faire capoter n’importe quelle entreprise à visée copulationniste,si la meuf n’est pas de Marseille. (Et bien sûr,en matière de baise,le Maestro n’avait nulle intention de se limiter à une aire géographique.)

    En ce sens, il est fondé à dire que l’accent peut ruiner une voix.

    ii) Ce travail à visée copulatoire s’est avéré fort utile ensuite dans son métier de professeur (où il s’agit aussi de séduire.)

    Le conseil qui a été donné aux cloutards issus des diverses régions de France était de parler sans accent afin de ne pas paraître ridicule à leurs futurs élèves.
    Conseil pratique.

    Dans tout ça,il n’y a aucune affirmation d’une supériorité quelconque d’un accent par rapport à un autre.

    • EN fait, la démonstration incluait l’affirmation de la pureté de l’accent de Blois.

      « Jamais, ni en Normandie, ni en Franche-Comté, ni en Artois, ni en Picardie, pays qu’il avait particulièrement habités, il n’avait rencontré chez les villageois cette allure facile, cet air poli, ce langage épuré. Il était tenté de croire qu’il avait rencontré quelque gentilhomme, frondeur comme lui, qui, pour cause politique, avait été forcé comme lui de se déguiser. »

      Inutile de vous donner la référence, vous devez connaître cela par cœur.

  82. Dugong 12 mai 2024 At 9h51
    Rien n’a été prouvé sur la réalité du pédigrée…
    _________________________________________________________________________

    Le dictionnaire Robert écrit « pedigree » sans accent,reprenant l’orthographe anglaise de ce mot anglais.

    Mais de quel pedigree parle-t-on vraiment lorsque l’on évoque cette appartenance ?Revue historique, 2018 (Cairn.info)
    Celle-ci a fait preuve d’une réactivité étonnante au regard du pedigree monétariste de la plupart de ses dirigeants.Savoir/Agir, 2009, Christophe Bouillaud (Cairn.info)
    Oreilles ourlées et masques de papillon constituent d’autres critères du pedigree.Ouest-France, 14/12/2016
    Longtemps, les deux collections se sont observées de loin, bien qu’elles aient un pedigree très similaire.Capital, 29/07/2011, « Duel au soleil pour les guides de voyage »
    Le pedigree est une donnée cardinale dans le monde des courses.Ouest-France, Raphaël FRESNAIS, 11/03/2021
    Aveuglant aveuglé, tel est donc le pedigree de la bête.Vacarme, 2004, Emmanuel Burdeau (Cairn.info)
    Depuis des années, les poulains aux plus beaux pedigrees mondiaux se succèdent sur le ring.Ouest-France, Marion DUBOIS, 20/08/2019
    Ils n’ont pas encore de nom mais un pedigree prometteur.Ouest-France, Marylène CARRE, 18/09/2021
    Pourtant, malgré ce prestigieux pedigree, et en partie à cause de lui, le sujet est problématique.Revue historique, 2001, Philippe Bucc (Cairn.info)
    Le nombre de naissances enregistrées dépasse tous les records : en 2019, les organismes de pedigrees en ont dénombré 15 600.Ouest-France, Simon SAIDI, 29/07/2020

    https://dictionnaire.lerobert.com/definition/pedigree

  83. Cessons de disserter sur ma vie académique et sexuelle (où, d’après leurs réactions, j’arrive manifestement encore à pisser plus loin que Face de fion et Couille molle) et revenons à nos moutons : la science pure et dure.

    Après avoir découvert qu’un Groseille avait un accent plus nuisible qu’un Le Quesnoy (ce qui lui a valu un prix Nobel de sociologie) et que le parlement français avait deux chambres (prix Nobel de droit), Josip Gavrilovic découvrira-t-il, comme tout étudiant de L1, que les différences phonétiques sont de degré (prix Nobel de linguistique) ? Le peuple est impatient de le savoir…

  84. (Message sérieux – pour une fois.

    La recherche de l’anonymat est quelque chose que je respecte. Josip, si vous voulez y retourner pour des raisons qui vous regardent, dites-le-moi. Je m’engage, le cas échéant, à ne plus vous appeler par votre prénom/nom.)

  85. À mon propos « les connards du mitterrandisme ont défoncé l’État et l’école à un point de non retour », Brighelli a répondu « ça, c’est très vrai ».

    JPB, faisons une petite expérience de pensée. Diriez-vous qu’un type qui aurait voté Mitterrand, sa « pédagogie renouvelée » et son « école ouverte sur le monde » avant de militer dix ans au GRIP est un gros étron ?

  86. Quand on n’a plus rien pour faire valoir qu’on n’est pas totalement incompétent… on se flatte d’être totalement incompétent… mais à visage découvert ! Ça change tout.

    • Au bout du compte, on s’aperçoit ici que l’erreur commise plus haut par l’homme-aux-mille-pseudos écrivant « grottophobie » au lieu de « glottophobie » n’était pas une simple erreur de frappe ou une simple erreur d’aiguillage d’un correcteur orthographique malicieux. Non. C’était un authentique lapsus, signifiant.
      Parce qu’il y a des moments où l’homme-aux-mille-pseudos, c’est vraiment l’homme de Néanderthal au QI à un chiffre, qui ne connaît du monde que sa caverne.

        • Sur le fond, je ne suis ennemi ni du colloque ni de la joute.
          A condition – sine qua non – que les maitre-mots soient honnêteté intellectuelle et bonne foi.
          Je suis prêt à vous communiquer mon adresse électronique, ici même, pour que nous puissions débattre du fond.
          Et vous ?

          • Dans le fond, pourquoi pas… mais :
            – je discutaille ici essentiellement pour la déconne – c’est-à-dire me moquer de vous. Je crois que j’aurais quelques scrupules de principe à faire la même chose en face-à-face, sans public ;
            – le sujet actuel ne me paraît pas très dense. Il n’y a pas de point en fait. Et, pis, vous n’avez pas répondu à ma critique des seuls propos pierre de touche, alors bon…

          • (« honnêteté intellectuelle et bonne foi » : deux merveilleux qualificatifs méta qui n’engagent à rien. L’honnêteté intellectuelle, personne n’est capable de la définir concrètement… mais c’est toujours l’autre qui en manque. Et l’accusation est, comme de juste, parfaitement réversible.)

          • (« Tu es de mauvaise foi !
            — Non, c’est toi qui es de mauvaise foi !
            — Pas vrai, moi, je suis de bonne foi, contrairement à toi.
            — Tu dis ça parce que tu fais preuve de malhonnêteté intellectuelle !
            — Non, c’est toi qui es malhonnête ! »

            Pffff… Quand on est incapable de prouver ce qu’on avance, on accuse son interlocuteur d’être [malhonnête/de mauvaise foi…], c’est tellement plus commode.)

          • Bien. Voilà qui est parfaitement clair sur les tenants et les aboutissants de vos interventions sur ce blog.
            Et je dois dire que c’est sans surprise.
            Ayez dorénavant au moins la décence de ne pas parler de « fond ». Il est clair que le « fond », vous n’en avez rien à secouer.

          • La bonne foi, c’est par exemple ne pas prêter à un contradicteur des propos qu’il n’a jamais tenus.
            La bonne foi et l’honnêteté intellectuelle, c’est par exemple ne pas déformer volontairement les propos d’un contradicteur et la logique interne dans laquelle il situe ces propos.
            Ici, sur ce blog, avec un public, je ne suis pas certain que vous en soyez capable.
            Je serais plutôt enclin à penser le contraire. Le côté « showman » l’emportera toujours chez vous, sur ce blog, sur le côté « intellectuel rigoureux ».
            Et ne me ressortez pas votre rengaine sur la difficulté à donner une définition rigoureuse de la rigueur.
            Si « rigueur » vous défrise, disons alors « rectitude ». Mais je suis sûr que vous m’avez compris.

          • « Il est clair que le « fond », vous n’en avez rien à secouer. »

            C’est bien le drame. Je n’en ai rien à secouer du fond… et j’arrive encore à être plus pertinent que vous !

            Je note que vous n’avez – toujours – pas répondu.

            « La bonne foi, c’est par exemple ne pas prêter à un contradicteur des propos qu’il n’a jamais tenus. »

            Des exemples ?

            « La bonne foi et l’honnêteté intellectuelle, c’est par exemple ne pas déformer volontairement les propos d’un contradicteur et la logique interne dans laquelle il situe ces propos. »

            Des exemples ?

            Et à partir du moment où vous glosez ma volonté…

          • « La bonne foi et l’honnêteté intellectuelle, c’est par exemple ne pas déformer volontairement les propos d’un contradicteur et la logique interne dans laquelle il situe ces propos. »
            Des exemples ?

            Oui. Sans trop m’étendre sur le sujet – j’ai mieux à faire ce soir, et la lassitude gagne – , quand j’évoque le rejet des accents régionaux et les pratiques discriminatoires qui peuvent en découler, vous me parlez, vous, des Groseille et des Lequesnoy.
            Ce faisant, vous déplacez la problématique (oui oui, problématique) sur le terrain du langage en tant que marqueur SOCIAL, là où quant à moi j’évoquais le diktat standardisateur jacobin « francais standard = parisien bourgeois », qui rejette et réprime les accents régionaux (donc les marqueurs géographiques, GÉOGRAPHIQUES !) quand bien même les locuteurs provençaux, alsaciens ou béarnais s’exprimeraient dans un francais syntaxiquement et lexicalement irréprochable, socialement dans le haut du panier.
            En déplaçant ainsi la problématique, vous déformez volontairement la logique interne de mes propos. En d’autres termes, vous changez de sujet. Comme souvent. Pour le show.
            C’est incontestablement intellectuellement malhonnête.
            Bonsoir.

          • « La haine de soi commence avec le rejet et la honte de ses origines, qu’elles soient géographiques ou sociales. »

            Josip Gavrilovic, le 9 mai 2024 à 12h40, lançant la discussion sur les accents.

          • Cela étant, je ne suis pas opposé à ce qu’on change votre titre au prix Nobel de sociologie : quoi ? un accent guadeloupéen ou alsacien serait plus préjudiciable qu’un accent parisien ou marseillais ? Mais qui l’eût cru ?!

          • Au demeurant, puisque le nouvel évangile canonique ne parle plus que des accents régionaux et que ceux-ci sont évalués par leur déviation au « français standard = parisien bourgeois », je suis très curieux de savoir où se situe la région bourgeoise sur la carte…

  87. Quand je vais dans le nord du Yorkshire,je dois m’attendre à ce que mes interocuteurs disent « poube » pour « peub » (ou « cloube » pour « cleub »);il y a encore bien d’autres prononciations non standard;c’est assez déroutant;mais on s’habitue vite;bientôt,on n’a plus besoin des quelques secondes de délai pour identifier les mots.

    Si je m’installais là-bas, est-ce que je me mettrais à parler comme ça ? Je ne crois pas.

  88. Jean-Paul Brighelli 12 mai 2024 At 17h42
    Et beaucoup plus intelligente…

    Que Sanseverina ? Sanseverina est déjà très intelligente.

  89. L’accent guadeloupéen serait donc plus préjudiciable que l’accent breton pour faire carrière à Paris ? Mais quelle découverte !

  90. Dans l’histoire d’Hachiko,y a un truc que j’ai du mal à comprendre:le chien accompagnait son maître à la gare,puis passait sa journée là,à l’attendre. Bizarre quand même,un chien tout seul dans une gare, non ?

  91. Le Maestro est parti 15 jours au Japon,laissant à Marseillesa chienne (plus intelligente que Sanseverina). Il a bien dû la confier à quelqu’un, non ? Parce qu’une chienne, m^me trsè intelligente, n’est pas capable de sortir faire les courses et se cuisiner des repas.

  92. L’homme-aux-mille-pseudos me citant :
    « La haine de soi commence avec le rejet et la honte de ses origines, qu’elles soient géographiques ou sociales. »
    Josip Gavrilovic, le 9 mai 2024 à 12h40, lançant la discussion sur les accents.

    Magnifique exemple de détournement de citation intellectuellement malhonnête. Detournement/diversion très facile à prouver ici :
    – dans ce qui est ici cité, j’énonce une vérité générale, un fait que je considère admis par tous : tout individu a des origines géographiques d’une part, sociales d’autre part. Mais attention : les deux ne se confondent pas.
    – dans la suite de la discussion, j’indique clairement que les propos de Brighelli sur ses efforts pour gommer son accent méridional sont pour moi le signe que Brighelli a honte de son accent marseillais. J’oriente donc clairement la discussion vers les marqueurs géographiques, laissant clairement de côté les marqueurs sociaux.
    – quand il est question, dans les conseils reçus à Saint-Cloud par Brighelli, de gommer ce qui peut « nuire à la communication », il n’est question que de marqueurs géographiques, nullement de marqueurs sociaux.
    – toute la discussion porte ensuite sur les accents régionaux, et l’homme-aux-mille-pseudos lui-même ne parle que de cela quand il dit par exemple ironiquement « j’ai hâte d’entendre du Pagnol joué avec un accent alsacien ». La discussion-polémique est clairement orientée sur les accents régionaux.

    L’homme-aux-mille-pseudos est donc ici doublement intellectuellement malhonnête
    – d’abord en tentant, au cours de la discussion, pour le show, de faire diversion en déplaçant le sujet vers le domaine des marqueurs sociaux avec son allusion aux Groseille et Lequesnoy, alors que le sujet a été fortement délimité et circonscrit aux accents régionaux en tant que marqueurs géographiques,
    – ensuite, quand il cite mon propos initial sur la haine de soi, en voulant donner à penser que pour moi les marqueurs sociaux et les marqueurs géographiques font partie de la même problématique, alors que je prends précisément soin de me concentrer sur les accents régionaux.

    Faire diversion, sortir du sujet pour porter le fer sur un point annexe, deux caractéristiques récurrentes très évidentes dans la façon de polémiquer de l’homme-aux-mille-pseudos.
    Pour le show.
    Rarement pour le fond.

    • « dans ce qui est ici cité, j’énonce une vérité générale »

      Sauf que vous n’avez pas dit « l’eau bout à 100 degrés ». Vous avez dit : « la haine de soi commence avec le rejet et la honte de ses origines, qu’elles soient géographiques ou sociales ». C’est donc que vous reconnaissez un lien entre les deux.

      Considérez dès lors que j’ai fait la même chose : j’ai élargi la discussion de manière pertinente. Même si je n’ai pas l’autorité papale pour changer le canon de la discussion (« le sujet a été fortement délimité et circonscrit » : ça va les chevilles ?) selon mon bon vouloir : interdit de parler des accents sociaux quand Josip se trouve en difficulté, interdit de parler du droit quand il est prouvé qu’il raconte des conneries, silence sur la différence entre accent guadeloupéen et accent breton quand mon objection a été transformée pour répondre à sa volonté de circoncision…

    • Mais où se situe l’accent français dit standard dans ce classement ?
      Si les accents régionaux ont plus de pouvoir de séduction que l’accent français dit standard, où va la France ?

  93. L’homme aux mille pseudos :
    « Au demeurant, puisque le nouvel évangile canonique ne parle plus que des accents régionaux et que ceux-ci sont évalués par leur déviation au « français standard = parisien bourgeois », je suis très curieux de savoir où se situe la région bourgeoise sur la carte… »

    Objection retenue, car intéressante sur le fond.
    1. On notera tout d’abord – car c’est bien là le sujet pour peu qu’on cesse de vouloir faire à tout prix diversion – que quand il est question de décrire le « français standard », les sociolinguistes, Philippe Blanchet en tête, parlent de « parisien bourgeois ». Notons donc avec intérêt que le français dit standard n’est pas le « bordelais bourgeois », il n’est pas non plus le « lillois bourgeois », ni le « strasbourgeois bourgeois », ni le « toulousain bourgeois », ni le « marseillais bourgeois ».
    2. En effet, le mot « bourgeois » introduit ici une dimension sociale qui parasite la problématique. Mais ne faisons pas l’âne pour avoir du son : ce dont il est question, c’est d’une langue qui soit attestée, qui soit irréprochable sur les plans morphologique, syntaxique, lexical. Mais le sujet devient encore plus intéressant quand on constate que la notion de « parisien bourgeois » introduit aussi une composante phonétique nullement sociale mais….géographique : la géographie interne à Paris intra-muros. Je m’explique :
    – Arletty parlait un français morphologiquement, syntaxiquement et lexicalement impeccable. Et pourtant elle ne parlait pas le français dit standard, parce que phonétiquement elle avait l’accent des faubourgs, de Belleville ou de Ménilmontant…en d’autres termes une sorte d’accent régional…
    – pour parler le français dit standard, s’exprimer dans une langue morphologiquement, syntaxiquement et lexicalement correcte ne suffit donc pas. Il faut avoir des caractéristiques phonétiques (d’ailleurs aisément descriptibles) déterminées de façon totalement arbitraire par on ne sait qui.

    Objection de l’homme-aux-mille-pseudos retenue néanmoins : la région « bourgeoisie » sur la carte se situe dans l’arbitraire de pseudo-décideurs persuadés que tous les accents régionaux ne se valent pas, alors même que le français dit standard est un accent régional comme un autre.

    • « la notion de « parisien bourgeois » introduit aussi une composante phonétique nullement sociale mais….géographique : la géographie interne à Paris intra-muros » / « le français dit standard est un accent régional comme un autre »

      Sauf à considérer que les Groseille et les Le Quesnoy habitent les mêmes quartiers, ma raillerie initiale était donc absolument pertinente : je parlais bien d’accents géographiques. Boum !

  94. Josip Gavrilovic 13 mai 2024 At 8h05

    « … j’indique clairement que les propos de Brighelli sur ses efforts pour gommer son accent méridional sont pour moi le signe que Brighelli a honte de son accent marseillais.  »
    ——————————————————————————————————
    Lui « indique clairement » qu’il n’a pas honte de son accent marseillais.

    i) s’il s’en est débarrassé,c’est d’abord pour draguer des meufs d’origines diverses.
    ii) perdre tout accent régional a été conseillé aux jeunes cloutards:sans accent,ils risqueraient moins d’être brocardés par leurs élèves.

    Mais vous avez le droit de conserver vos certitudes.

    • A supposer qu’il n’ait pas eu honte de son accent marseillais, il n’a pas jugé insultant qu’on lui dise qu’il pouvait nuire à la communication.
      Or, à mes yeux, c’est insultant.

      • Non, c’était pratique.
        J’ai trois ou quatre voix à disposition.
        C’est un métier de comédien.

  95. « le français dit standard est un accent régional comme un autre. »

    Non, le français standard se parle dans des régions très diverses. A Marseille, par exemple,il y a des Marseillais de souche qui le parlent.

  96. Dugong 13 mai 2024 At 7h29
    Les clebs de Marseille aboient-ils différemment de ceux de Tours ?

    Sûrement.
    Question très intéressante.

  97. Si l’on aborde maintenant, sur le fond, le sujet de la loi anti-glottophobie votée par l’assemblée Nationale le 26 novembre 2020 (loi votée par l’AN, mais non encore adoptée, puisque le Sénat, lui, n’a toujours pas voté), deux questions méritent, me semble-t-il, d’être posées :
    – est-ce que légiférer est une approche adéquate du problème ? Ma réponse : oui, même si l’approche par la loi ne suffira pas. Mais la loi peut favoriser des prises de conscience, au besoin par le risque de mesures sanctionnant les pratiques discriminatoires. Un journaliste chroniqueur politique médiatique bien connu, au français irréprochable marqué par un net accent du Sud-Ouest, s’est entendu dire à ses débuts par le patron de RTL qu’il n’arriverait jamais à rien avec un accent pareil et que l’antenne lui était interdite. Propos d’une grande violence, pratique discriminatoire avérée, que ce directeur de radio prenne la foudre de la loi ne serait à mes yeux que justice.
    – deuxième question : si la loi est nécessaire mais non suffisante, comment la compléter ? Le travail de Philippe Blanchet fournit à cet égard des pistes dignes d’être explorées. Je le signale sans m’étendre davantage.

    Les pratiques discriminatoires liées à la glottophobie ne peuvent plus, selon moi, être ignorées, minorées, traitées avec désinvolture accpagnée d’un sourire narquois ou cynique. C’est en cela que les propos de Brighelli narrant ses efforts pour gommer son accent méridional m’ont fait réagir.
    Dernier point : la problématique de la diversité des accents régionaux rejetés voire réprimés contient en son sein un ensemble de problèmes qui peuvent largement déborder du fait régional en tant que tel. Mais ça sera peut-être l’objet d’une autre discussion polémique.

  98. Plexité (suite)

    En Boschiman, parapluie se dit « regenschirm ». En Alsacien, on prononce « barabli ».

  99. Josip est le genre de petit bourgeois qui veut aller à un enterrement habillé en arlequin et traîner la famille du défunt devant les tribunaux au motif qu’elle lui a demandé de partir de l’église.

    • Il y a une norme sociale connue et reconnue. Tu la respectes, très bien pour toi. Tu la transgresses, tu en ASSUMES toutes les conséquences.

      Vive la liberté, camarade !

        • C’est parfaitement le sujet. Ça s’appelle un raisonnement de principe, une élévation d’une discussion particulière à une controverse fondamentale – laquelle permet ensuite de décider la discussion particulière.

          Vous êtes vraiment trop con pour ne pas le comprendre ?

    • En même temps c’est cohérent avec le personnage de sale gosse qui porte des accusations gravissimes contre un contributeur, se barre pendant deux mois quand il est prouvé qu’elles sont infondées, puis revient d’abord sous pseudos différents, ensuite comme une fleur, sans avoir présenté la moindre excuse à celui qu’il a prétendu traîner dans la boue.

      Manque de courage ET d’éducation, c’est beau.

  100. L’homme-aux-mille-pseudos :
    « Vous avez dit : « la haine de soi commence avec le rejet et la honte de ses origines, qu’elles soient géographiques ou sociales ». C’est donc que vous reconnaissez un lien entre les deux. »

    Je peux mourir d’un infarctus ou d’un accident de la route.
    Le seul lien que je reconnaisse entre les deux est le résultat, mon décès.
    Même chose avec les origines géographiques ou sociales. Le seul lien que je reconnaisse entre les deux est qu’elles peuvent engendrer des pratiques discriminatoires.

    • 1) C’est le paragraphe qui suit qui est intéressant : pourquoi auriez-vous le droit d’élargir une discussion portant (prétendument) sur les infarctus avec un propos sur les accidents de la route – et pas moi ? Pis : quand j’en reviens aux accidents de la route (quoi ? l’accent guadeloupéen est plus préjudiciable que l’accent breton ?), vous ne relevez pas…

      2) Si au cours d’une discussion portant (prétendument) sur les infarctus, vous en venez à dire « les accidents de la route sur la N104 sont des infarctus comme les autres » (l’accent parisien bourgeois est un accent géographique comme un autre), est-ce bien raisonnable de tonner en hors-sujet contre une raillerie portant sur les infarctus ?

      Ou bien les notions sont mutuellement exclusives, et votre « l’accent parisien bourgeois est géographique » est une connerie. Ou bien l’une se subsume sous l’autre, et votre objection en hors-sujet est malvenue. Il faut choisir.

  101. Vous savez, Josip, quand on perd tous ses duels après avoir eu le choix :
    – des armes (l’économie, le droit, la linguistique…) ;
    – des témoins (« si Zorglub dit que je me fais sans cesse humilier, c’est FORCÉMENT que son compte a été piraté ») ;
    – et même des participants (« ouin, ouin, ouin, monsieur Brighelli, le méchant Fregoli il se moque de moi, il faut le virer de Bd »),
    le dernier moyen de conserver son honneur est peut-être de cesser les offenses (à l’intelligence).

    • Diversion, diversion, diversion.
      On vous a compris.
      Laissez donc ces malheureux Zorglub et Brighelli en dehors de ça.
      Duels, honneur, gagner, perdre, on vous a compris.
      Ne venez plus nous parler de « fond ». Le pervers narcissique que vous êtes (ça n’est pas une insulte, mais un diagnostic) se fiche complètement du fond, obnubilé par sa bite (metaphoriquement, mais pas que).

      Et puisqu’apparemment vous allez soutenir une thèse, donnez-nous l’intitulé, le lieu et l’heure de la soutenance, l’identité de votre directeur de thèse à défaut de la vôtre, et la composition de votre jury.
      Et en attendant de pouvoir vous faire appeler « docteur », avant la soutenance, vous pouvez choisir pour pseudo « souteneur ».

      • Diversion il y aurait, mon cher, si ce message était mon unique réponse. Il ne vous aura pas échappé que ce n’est pas le cas : j’ai répondu à tous vos messages « au fond ».

        Vous ne pouvez pas en dire autant. Ne pas répondre « au fond » et crier à la diversion, n’est-ce pas, finalement, la plus belle diversion ? Et la plus minable porte de sortie…

      • « Et puisqu’apparemment vous allez soutenir une thèse, donnez-nous l’intitulé, le lieu et l’heure de la soutenance, l’identité de votre directeur de thèse à défaut de la vôtre, et la composition de votre jury. »

        Mais bien sûr ! Mes couilles sur un plateau aussi ?

        • L’homme-aux-mille-pseudos:
          « Mais bien sûr ! Mes couilles sur un plateau aussi ? »

          Encore faudrait-t-il que vous en ayez.
          Qu’est-ce qui vous retient ? Tout cela est-il confidentiel ? Secret défense ? Nous sommes dans un pays où les soutenances de thèse sont publiques. Alors ? Donner les informations en question, serait-ce briser l’anonymat auquel vous tenez – lâchement ?
          Vous êtes décidément un couard pathétique.
          Zorglub ou Brighelli vous le confirmeraient sans doute, si seulement votre cas les intéressait.

          • « Donner les informations en question, serait-ce briser l’anonymat auquel vous tenez ? »

            Évidemment. Vous ne connaissez pas theses.fr ?!

          • Accessoirement (parce que je ne voudrais pas vous laisser une nouvelle occasion de jouer la diversion) : qu’est-ce que toutes ces informations peuvent bien vous faire ? Vous n’êtes pas un pur esprit attaché « au fond » ?

          • L’homme-aux-mille-pseudos est un animal étrange : il nous parle d’une thèse, donc d’un travail important supposé apporter une contribution considérable à sa discipline (on ne sait laquelle, d’ailleurs), mais il ne veut pas que ça s’ébruite, il veut nous priver de la connaissance des résultats de sa recherche, il veut nous empêcher d’accéder aux productions de sa puissante intelligence.
            Nous sommes privés de dessert : nous sommes privés des logorrhées écrites (!) du disert.
            L’homme-aux-mille-pseudos tient à rester un génie méconnu de nous, minables spécimens de commentariat d’un blog confidentiel.
            Putain.g con,g, c’était bien la peine de nous appâter !
            Que de la bouche !
            L’homme-aux-mille-pseudos, expert en diversion-latrine !

          • Mais on va de découverte en découverte cette semaine ! Quoi ? un pseudonyme servirait à construire un personnage différent de l’auteur réel ? Il y aurait une vie discursive et une vie réelle, et l’une ne serait pas l’exact décalque de l’autre ? « George Sand » pissait assise ? Je n’ose y croire.

    • Toute la « discussion » d’aujourd’hui le démontre à l’envi : l’homme-aux-mille-pseudos n’a rien à secouer du fond, tout ce qui lui importe est de gagner à qui pisse le plus loin et à qui a la plus grosse.
      Pour faire croire qu’il y est parvenu il a recours aux techniques habituelles favorites de ceux qui jouent à ces jeux de pré-adolescents : mauvaise foi et malhonnêteté intellectuelle, i.e. diversion, détournement de citations, déplacement de sujet etc.
      On a toujours tort de croire que les pervers narcissiques peuvent, ne serait-ce qu’un instant, laisser de côté leur petit ego et entrer dans une logique d’échange non conflictuelle. Ils en sont incapables, on en a eu une nouvelle illustration ce matin.

      • En attendant, contrairement à moi, vous n’avez pas répondu au fond. C’est bien la peine de prétendre ne pas être anonyme…

      • Un des traits distinctifs du pervers narcissique, c’est qu’il est capable de passer fréquemment et très vite de l’exhibition d’une intelligence qui se veut séduisante à l’invective et à l’insulte sans filtre.
        Nous avons sur ce blog un cas d’école.

  102. Dugong 13 mai 2024 At 8h30
    (Poly)gone with the wind (suite)

    Il s’agit d’un « segment* » bien particulier:les femmes mariées.

    * Comme dirait Dugong,amateur de truismes, « la langue évolue »;alors je m’amuse à utiliser « segments » dans son sens anglais…je crois que d’autres le font déjà.

    https://fruve.co.uk/products/grapefruit-segments

  103. « Le site Gleeden, spécialisé dans les rencontres extra-conjugales, vient de publier son classement des accents français les plus sexys. »

    Les rencontres extra conjugales, c’est une niche.

    Est-il facile de faire rentrer un Amstaff dans sa niche ? Suffit-il de dire à Sanseverina: »à la niche! » pour qu’elle y aille ? Avec un accent normand ? Parisien bourgeois ?

  104. Un conseil pour le soutenance de thèse de Mille Surnoms, qui n’est pas un taiseux : *
    la présence dans la salle, d’un amuseur, en mode Dugong, pour soulager l’attention (et la tension) du public, sera de toute évidence indispensable.

    *
    tout comme Josip : si, par un extraordinaire concours (!) de circonstance, il faisait partie du jury, il faudrait prévenir le public de la nécessité de prévoir casse-croûte et rafraîchissements.

    Josip qui, suite aux appels, pour ne pas dire brames, de Mille Surnoms,
    se donne à chaque fois, peu ou prou, une semaine (de réflexion) pour lancer un nouveau thème (de réflexion) qui leur permettra, à tous deux, des échanges qui se veulent à la hauteur de ceux de R. Garros, des temps anciens…

    • « si, par un extraordinaire concours (!) de circonstance, [Gavrilovic] faisait partie du jury »

      Même si les couilles molles demeurées sont légion dans les jurys de thèse, faut pas pousser mémé dans les orties. Déjà, il ne connaît pas theses.fr. Donc il n’est pas de l’Université. Ensuite, il n’a (vraisemblablement) pas dépassé le niveau collège dans le domaine où je soutiens. Donc il ne risque pas d’être personnalité extérieure. Enfin, je pense que je le saurais si un des membres de mon jury s’amusait à jouer les abrutis sur un blog pendant son temps libre…

      • L’homme-aux-mille-pseudos ne veut pas que sa thèse soit connue ! Quelle admirable et inhabituelle modestie! Quelle exquise retenue !

        Mais n’en doutons pas : à l’instar de la thèse soutenue en 1951 par le jeune Noam Chomsky sur la morpho-phonologie de l’hébreu moderne, thèse qui sera prolongée quelques années plus tard par le révolutionnaire « Structures syntaxiques », la thèse de l’homme-aux-mille-pseudos ne restera pas longtemps réservée aux seuls « happy few » : nous pourrons alors, nous aussi, tutoyer le divin !

        • « NOUS [!!!!!!] pourrons alors, NOUS [!!!!!!] aussi, tutoyer le divin »

          Cela me paraît bien présomptueux en ce qui vous concerne. Pendant votre petite absence, vous avez dépassé le niveau collège en mathématiques ?

          • C’est évidemment un « nous » pluriel, comme précédemment et reproduit ci-dessous :
            « L’homme-aux-mille-pseudos tient à rester un génie méconnu de nous, minables spécimens de commentariat d’un blog confidentiel. »

            Vous soutenez donc une thèse de mathématiques ?
            Si Laurent Lafforgue est au jury, sortez au moment opportun une gourde d’eau bénite en lui expliquant que vous gardez toujours précieusement sur vous une extension de sa personne, contenant et contenu.

          • « Vous soutenez donc une thèse de mathématiques ? »

            Non.

            « Si Laurent Lafforgue est au jury, sortez au moment opportun une gourde d’eau bénite »

            Je sUiS PlUS cOn QuE lEs TrOiS QuaRtS dEs fRaNçaIs en MatHémATIqUeS mAIs Je sUiS AtHéE, oUH Là lÀ JE sUIs TrèS inTelLigENt.

      • « Déjà, il ne connaît pas theses.fr. Donc il n’est pas de l’Université. »
        Là, pour le coup, c’est moi qui faisais l’âne pour avoir du son, car je connais évidemment thèses.fr.
        Pour le reste, la seule chose que le commentariat de ce blog sache sur mes activités professionnelles, c’est que je ne suis pas enseignant. Et le commentariat n’en saura pas plus. Toutes les conjectures vous sont donc permises.

        • « Là, pour le coup, c’est moi qui faisais l’âne pour avoir du son, car je connais évidemment thèses.fr. »

          Mais bien sûr, cela va de soi ! Tant que vous croyez qu’on y croit…

          • Et vous, croyez ce que vous voulez et croassez ce que vous voulez.
            En revanche ne croissez ni ne multipliez comme vous voulez : la reproduction des pervers narcissiques présente un danger considérable pour la planète.

          • « pervers narcissique »

            Figurez-vous que vous n’êtes pas la première personne à me le dire… (l’autre étant une demoiselle que j’ai troussée, grande lectrice de Marie Claire et de FemmePlus).

  105. « Pour le reste, la seule chose que le commentariat de ce blog sache sur mes activités […] Et le commentariat n’en saura pas plus. »

    Tout est dit.

    • Non. Il y aurait encore beaucoup à dire. Mais en l’occurrence je ne serai pas l’instance énonciative.

  106. Une soutenance de thèse, ça coûte un bras et peut-être même les deux, au malheureux impétrant : reprographie et tirage de tous les exemplaires destinés au jury, champagne et petits fours pour rincer le jury et les invités après la délibération – qui se conclut relativement souvent par l’attribution de la mention très honorable avec les félicitations du jury. Il serait surprenant qu’il en aille autrement avec l’homme-aux-mille-pseudos, tant son éblouissante intelligence ne peut que susciter approbations enthousiastes voire enamourées.
    Pour tous les frais occasionnés, a-t-il puisé dans ses maigres économies de modeste représentant du petit peuple?
    A-t-il été contraint de faire un emprunt ?
    A-t-il sollicité l’aide de Maman ?
    Nous sommes impatients de le savoir.

    • Euh… c’est-à-dire que… les (jeunes) doctorants ont généralement un contrat doctoral, gros malin.

      • Pas forcément. C’est à la tête du client.
        J’en connais une qui était agrégée et qui n’en a pas eu, la prof et la fac ayant préféré un type qui avait juste un master.

        • En LSH, une thèse sans contrat doc est à peu près aussi suicidaire qu’une thèse sans agreg. Vous avez consolé la demoiselle au moins ?

  107. גוים
    13 mai 2024 At 14h53
    « Vous soutenez donc une thèse de mathématiques ? »
    Non. »

    Et nous dire dans quelle discipline vous êtes souteneur, c’est encore trop indiscret ? La révélation de ce point mettrait en danger les cours mondiaux du soja ? Le prix du baril de brut monterait en flèche et mettrait à genoux les économies occidentales ?

    • Je suis d’avis que chacun livre, préserve ou même invente exactement ce qu’il veut sur BdÂ. La vie de l’artiste à la ville ne regarde que lui – surtout lorsqu’il décide d’écrire sous pseudo. Il peut l’exposer en totalité ou en partie sur la scène s’il le souhaite, les spectateurs peuvent essayer d’en savoir plus mais je ne lui fais aucun devoir de se révéler. Voyez, je ne crois pas que la révélation de votre profession/votre adresse/pourquoi votre femme vous fait cocu avec le voisin mettrait en danger les cours mondiaux du soja… mais je ne vous la demande pas.

      Donc je suis navré : ce que je fais en dehors de mon clavier a l’air de vous pas-si-on-ner (au moins autant que les « discussions de fond » dont vous vous faites l’unique et exclusif participant) mais vous devrez supporter ma fin de non-recevoir.

      • La liberté d’écrire ce qu’on veut, ni plus ni moins, va même jusqu’à la liberté de procéder à une abondante miction avec jet dirigé vers votre sillon inter-glutéal, comme disait finement je ne sais plus qui.

        • Bien sûr ! jouez au fort et roulez des mécaniques tant que vous voulez ! En attendant, il n’y en a qu’un de nous deux qui a fui Bd pour chialer pendant deux mois…

          • Je vous assure, quand je vous vois tomber ainsi dans la facilité de phrases-clichés pathétiques, quand je vous vois vous débattre avec une rhétorique usée jusqu’à la corde, quand je vous vois en panne d’imagination dans l’invective, quand je vous vois ressasser sans cesse les mêmes griefs frelatés, vous me faites réellement pitié. J’aimerais vous aider. Voulez-vous qu’on en parle ?
            Je sais en tout cas que votre thèse n’est pas une thèse de psycho. Dans cette discipline, vous avez autant de connaissances qu’une armoire normande et la finesse d’analyse d’une colonne de Panzers lancés à travers les Ardennes.

            (Ce post sera reproduit un peu plus loin. Comme l’homme-aux-mille-pseudos tourne en rond et se répète ad nauseam, je suis bien obligé de lui administrer le remède en plusieurs prises)

  108. Bon, la conversation prenait un tour assez divertissant, mais j’ai à faire.
    A plus tard. Ou pas.
    “Samočestitanje je poput visoke kule na koju se uzdiže tašta budala. Ondje, gdje sjedi u svojoj oholoj samoći, ne vidi ga nitko osim njega samog.”

    • C’est un proverbe croate ou juste une occasion de vous rassurer en vous disant que vous parlez une langue dont j’ignore tout ? Misère de ressentiment !

      • Il est incroyable, cet homme-aux-mille-pseudos. Il passe son temps à me demander si j’ai besoin d’être rassuré.
        Mais enfin, pour avoir besoin d’être rassuré, encore faudrait-il être inquiet, ou stressé…et pourquoi le serais-je ?

        • Quand vous sortez une phrase dans une langue étrangère de manière totalement gratuite, sans que rien ne vienne justifier cet étalage (n’hésitez pas à me détromper) après avoir pris votre trempe habituelle, on se dit que vous avez quelque chose à vous prouver, qu’un certain trouble vous guette… Pareil quand vous vous barrez pendant deux mois après avoir été méchamment pris en pleine crise de délire publique, quand quand vous allez chialer dans les jupes à Brighelli que le méchant Fregoli ouin-ouin-ouin, ou quand vous annoncez pour la septième fois votre départ dé-fi-ni-tif et sans appel de BdÂ.

          • Pervers narcissique, suite.
            « Tout tout tout pour mon zizi ».
            Il y a des moments où, très sincèrement, je vous plains. A quel degré d’insécurité faut-il être parvenu pour atteindre une telle agressivité et une telle arrogance ?
            Quand vous avez des poussées de violence incontrôlée comme ça, pourquoi ne pas avoir recours à l’onanisme, pour laisser échapper la vapeur de la cocotte-minute ? Vous devriez essayer. C’est de votre âge.

          • « une telle agressivité et une telle arrogance »

            Arrogance si vous voulez – c’est toujours ce que disent les faibles – mais agressivité non : souligner le ridicule de vos mœurs me fait surtout glousser.

          • Je vous assure, quand je vous vois tomber ainsi dans la facilité de phrases-clichés pathétiques, quand je vous vois vous débattre avec une rhétorique usée jusqu’à la corde, quand je vous vois en panne d’imagination dans l’invective, quand je vous vois ressasser sans cesse les mêmes griefs frelatés, vous me faites réellement pitié. J’aimerais vous aider. Voulez-vous qu’on en parle ?
            Je sais en tout cas que votre thèse n’est pas une thèse de psycho. Dans cette discipline, vous avez autant de connaissances qu’une armoire normande et la finesse d’analyse d’une colonne de Panzers lancés à travers les Ardennes.

          • Les faits sont têtus : vous êtes parti chialer pendant deux mois après avoir fait une crise de DÉLIRE publique, je suis resté tranquillement à rire sans rien changer de mes habitudes. Et vous voudriez m’apporter une aide ? psychologique en plus ? On croit rêver ! Occupez-vous de votre fion, mon pauvre, il a encore du mal à se remettre de la dérouillée que vous vous êtes infligée.

          • Mon pôôovre, je crois que votre état est encore plus alarmant que prévu : vous n’êtes même plus capable de voir que je suis en train de me foutre de votre gueule !
            Et votre mythomanie s’aggrave à chacun de vos posts. Là, pour le coup, je suis inquiet pour vous. N’allez pas nous faire une grosse bêtise, hein ?

          • A reconstruire le passé à son avantage, on perd vite pied devant les vicissitudes du présent…

          • Mais oui, mais oui… Vous allez prétendre ne pas avoir publiquement déliré et ne pas être parti chialer pendant deux mois ? Chiche ?

  109. @ Josip qui dit vrai. Un des traits distinctifs du pervers narcissique, c’est qu’il est capable de passer fréquemment et très vite de l’exhibition d’une intelligence qui se veut séduisante à l’invective et à l’insulte sans filtre.
    Nous avons sur ce blog un cas d’école.

    Non pas qu’un malheureusement. Tel Père tel fils comme y disent.

  110. Dugong 13 mai 2024 At 10h40
    Encore un projet de loi qui ne sera jamais appliquée…
    ————————————————————————————————-
    Je ne sais pas trop comment rendre cette phrase correcte (accord) sans l’alourdir grandement .

    « un projet d’une loi qui ne sera jamais appliquée » me semble gauche.

    encore un projet de loi tel que si la loi était votée elle ne serait jamais appliquée ?

    encore un inutile projet de loi,car si la loi était votée,elle ne serait jamais appliquée ?

    • Au passage (et quitte à faire criser Dugong qui adore faire chier avec la précision lexicale lorsqu’il est question de physique mais déclare toujours pisser dessus lorsqu’on le reprend), ce n’est pas un projet mais une proposition de loi. Pas le même régime juridique.

      • Parce qu’en physique c’est essentiel alors que dans l’improbable compactage conceptuel qui vous sert de théorie, ce sont, au mieux, des simagrées (de canard)

        • Objection totalement réversible : on pourrait vous rétorquer que vous ne voyez pas l’essentiel en dehors de votre domaine de compétence, ou que votre prétendue précision en physique relève d’une préciosité ridicule.

          C’est faible, faible, faible – comme d’habitude avec Gros étron.

  111. Nous apprenons,grâce à Dugong que les femmes mariées,inscrites sur Gledeen ,recherchant des aventures extra-conjugales (avec des hommes mariés ?) trouvent que l’accent lyonnais est le plus attirant.

    Nous n’avons rien eu, de la part du Maestro au sujet des femmes mariées; peut-être ne l’intéressent elles pas.

  112. Josip Gavrilovic 13 mai 2024 At 10h35
    A supposer qu’il n’ait pas eu honte de son accent marseillais, il n’a pas jugé insultant qu’on lui dise qu’il pouvait nuire à la communication.
    Or, à mes yeux, c’est insultant.
    ——————————————————————————————————-
    Josip Gavrilovic n’en démordra pas:le Maestro ne peut pas ne pas avoir eu honte.

    Il me rappelle ces mères qui veulent convaincre leur fille que le garçon qu’elle fréquente n’est pas bien pour elle.

    Tu l’aimes, tu l’aimes…mais non ma petite,tu es sous son emprise.

    Mais maman,je te jure qu’il m’aime et moi je l’aime aussi.

    Non ,mais enfin, ma petite,tu as vu ses manières à table ?

    Et alors ? On ne passe pas son temps à table…

    Oui et il t’encule, n’est-ce pas ?

    Oui maman,il m’encule et j’adore ça,c’est ainsi que je jouis le mieux. Si tu savais comme c’est fort! Papa ne t’a jamais enculée ?

    Enfin ma fille ! Va dans ta chambre!

  113. La thèse de Trouduc porte sur l’usage de la statique héraclitéenne chez les gymnosophistes de l’époque élisabéthaine pour éviter le contact avec le réel.

    • Tellement pas en contact avec le réel que mon petit séjour en Suisse est financé par le privé… mais Gros étron se rassure comme il peut.

    • Dugong
      13 mai 2024 At 16h30
      La thèse de Trouduc porte sur l’usage de la statique héraclitéenne chez les gymnosophistes de l’époque élisabéthaine pour éviter le contact avec le réel.

      Il prétend être passé par l’ENS. Or le péché mignon des normaliens, c’est le chiasme, on les y immerge tout petits.
      Je vois donc plutôt une thèse de stylistique, avec un intitulé du genre « Passements de jambe et enjambements de passes, approche contrastive des figures de style dans l’auto-fiction épistolaire écrite à quatre mains par Frank Ribéry et Dodo la Saumure. »
      Franchement, j’aimerais la lire.

  114. Dugong 13 mai 2024 At 17h12
    https://www.youtube.com/watch?v=fW4dctsRT3A

    Ce petit film raconte une histoire qui est le contraire de celle qu’esquisse mon petit dialogue.

    De même qu’une mrère ne peut admettre que sa fille soit heureuse avec un garçon qui met les coudes sur la table et qui l’encule,de Même Josip Gavrilovic ne peut admttre que le Maestro se soit dépouillé de son accent marseillais sans éprouver de honte.

  115. Au passage, merci pour la réponse et pour le lien.
    Les systèmes d’équa diff aux dérivées partielles sont des putes, c’est bien connu.
    On peut être amené à rayer d’un trait de Bic rageur les solutions exponentielles : « C’est pas physique ».

    • sauf les exp(-k.t) qui se réalisent par les charges et décharges des condensateurs et bobines. Par exemple.

    • « Les systèmes d’équa diff aux dérivées partielles sont des putes, c’est bien connu. »

      A commencer par les équations de Maxwell de l’électromagnétisme

  116. Assez de ces pitoyables brèves de comptoir de ridicules vieux boomers ;
    grand temps que Z reparte dans ses déserts pour (re)faire provision de poésie ;
    les autres ont atteint un degré tel dans l’abjection (poil au’c), qu’il n’y a plus grand chose à faire…

    • Z’allez pas nous emmerder pour 1,90 € !

      Je réclame le statut d’abjecteur de con sciance.

      Vos restrictions de liberté, vous pouvez, etc.

      • Continuez ainsi !
        Vous êtes sur la bonne voie, pour « soulager tension et attention du public » lors de la prochaine soutenance de thèse de qui vous savez !

        • Je ne lis pas tous les commentaires, donc j’ai parfois du mal à suivre.
          Lormier s’est enfin décidé à commencer une thèse, c’est bien cela ?

  117. « De même qu’une mrère ne peut admettre que sa fille soit heureuse avec un garçon qui met les coudes sur la table et qui l’encule »

    Enculer avec le coude c’est la porte ouverte aux pénis elbow.

  118. Dugong 14 mai 2024 At 8h14

    Enculer avec le coude c’est la porte ouverte aux pénis elbow.
    _________________________________________________________________________

    Mais non,vous n’avez pas compris.Ce garçon n’a pas de manières:quand il mange,il met les coudes sur la table;la baise est une activité distincte,c’est d’ailleurs ce que précise la fille:on ne passe pas sa vie à table;la mère saisit tout de suite l’implicite. Et la fille de clamer qu’elle adore se faire enculer par ce garçon. Il n’est nullement question d’enkhulationnement avec le coude !

    Exactement de la même manière que Josip Gavrilovic ne peut admettre que le Maestro n’ait pas éprouvé de honte quand on lui a suggéré de se débarrasser de son accent marseillais, la mère ne peut concevoir que sa fille prenne du plaisr avec un garçon mal élevé qui l’enkhule !

    Ce sont deux esprits dogmatiques qui nient le réel quand il n’est pas conforme à leur dogme.

  119. Lormier 13 mai 2024 At 16h19

    Nous n’avons rien eu, de la part du Maestro au sujet des femmes mariées; peut-être ne l’intéressent elles pas.
    ___________________________________________________________________________

    Légèrement inexact,je corrige.

    Le Maestro a raconté que pour punir un collègue qui avait osé lui tenir tête en salle des professeurs,il avait baisé son épouse.

    Mais il dut quasiment se forcer,cette meuf ne présentant guère d’attrait. A la manière de Casanova,afin de raidir sa pine,il usa des sortilèges de l’imagination.

  120. « Il n’est nullement question d’enkhulationnement avec le coude !

    Qu’en sait-il ce bougre de IAL ?

    • Je rappelle que je suis l’auteur de la petite histoire,donc c’est moi qui décide de la méthode d’enkhulationnage;dexièmement, cette historiette n’a été conçue que dans le but d’illustrer le fonctionnement des espurits dogmatiques-tels que Josip Gavrilovic.

      • « donc c’est moi qui décide… »

        Ya pas que la langue qui est fasciste…

        Une fois pondu, un étron appartient-il encore à son mouleur ou a-t-il accès à l’universel ??

  121. Dugong 13 mai 2024 At 16h39
    La clique des cinglés catalans enfin virée :
    ________________________________________________________________________
    euh…
    Les indépendantiestes sont toujours là;ils ont perdu la majorité absolue.

     » Le Parti socialiste catalan (PSC), … élections régionales catalanes, avec 28 % des suffrages et 42 sièges (sur 130) – 5 points et 9 députés régionaux de plus qu’au précédent scrutin de 2021. Surtout, la somme des sièges des partis indépendantistes (59 députés) n’atteint pas la majorité absolue (68), pour la première fois depuis 2012  »

    Après les grâces concédées en 2021 aux dirigeants indépendantistes condamnés à de lourdes peines de prison pour la tentative de sécession d’octobre 2017, le premier ministre a réformé ad hoc le code pénal afin de supprimer le délit de « sédition ». Et, en novembre 2023, il a négocié une loi d’amnistie couvrant tous les délits commis dans le cadre de la lutte pour l’indépendance depuis 2012.

  122. Le Vespéral publie une articulet lénifiant sur les neurosciances

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2024/05/14/un-millimetre-cube-de-cerveau-humain-150-millions-de-synapses_6233108_1650684.html

    « prélever un bout de cerveau a priori sain, d’environ un millimètre cube, chez un sujet bien vivant ; le soumettre à une fixation rapide à l’aide de résine et d’une solution de métaux lourds, qui apportent aussi un peu de couleur ; puis le trancher en 5 019 lamelles d’une épaisseur moyenne de 33,9 nanomètres, environ 2 000 fois plus fines qu’un cheveu ; et les aligner soigneusement sur du ruban adhésif (pas n’importe lequel). Il n’y a plus qu’à examiner chaque lamelle à la loupe, ou plus exactement au microscope électronique à balayage multifaisceaux. Vous obtenez un ensemble de données totalisant 1,4 pétaoctet, soit l’équivalent d’un livre de plus de 700 milliards de pages. »

    On nous parle de pétaoctets de données mais on ne nous dit rien sur la nature de ces données. Mesure et tais-toi !

  123. Dugong 14 mai 2024 At 10h51
    « donc c’est moi qui décide… »

    Ya pas que la langue qui est fasciste…

    Une fois pondu, un étron appartient-il encore à son mouleur ou a-t-il accès à l’universel ??
    __________________________________________________________________________

    Présentation scatologique d’un questionnement recevable.

    Le récit n’appartient pas à son auteur.

    Nez en moins, l’interprétation qu’en fait le lecteur doit obéir à des règles; elle ne peut entrer en contradiction avec les données du texte;

    Je concède que dans mon récit très bref, rien ne permet d’exclure que le garçon pratqieu (ou du moins tente de pratiquer) une enkhulationnelment cubital.

    Qu’est-ce qui a suggéré cette interprétation à Dugong ? Tout simplement son habitude de tout mélanger,son confusionnisme mental: à table,le garçon pose les coudes sur la table…de là à imaginer qu’il enfonce le coude dans le trou de balle de sa copine…

    Pour que ce soit possible il faut qu’il ait des membres très fins et une articulation très souple.

    Je mets Dugong au défi de trouver des exemples d’une telle pratique dans la littérature*.

    * Je fais exprès d’imiter les « scientifiques » en utilisant ce terme à contresens.

  124. Lormier :
    « Josip Gavrilovic ne peut admettre que le Maestro n’ait pas éprouvé de honte quand on lui a suggéré de se débarrasser de son accent marseillais. »

    Lormier déforme quelque peu mes propos.
    Mais tout d’abord un mot sur mon prétendu dogmatisme. Je récuse ce soupçon. Le réel s’impose à moi, que j’aie souhaité qu’il advienne ou pas. Une fois le réel advenu, l’honnêteté intellectuelle et une bonne acuité visuelle m’enjoignent de le constater et de l’observer.

    J’observe donc que Brighelli narre qu’il a gommé les traces de son accent marseillais pour diverses raisons, l’une d’entre elles étant qu’à l’ENS il lui fut suggéré de le faire car son accent pouvait, lui disait-on, « nuire à la communication ».
    Je constate et j’observe que Brighelli n’a aucunement jugé insultante cette suggestion. Or elle l’était. J’y reviens dans un instant.
    Lormier dit : « Josip Gavrilovic ne peut admettre que le Maestro n’ait pas éprouvé de honte quand on lui a suggéré de se débarrasser de son accent marseillais ». Non, je ne dis pas cela. Ce que je dis, c’est que je m’étonne que Brighelli n’ait pas vu le caractère insultant de la suggestion qui lui était faite.
    Ce blog n’est pas une plate-forme de communication universitaire et je n’ai aucunement l’intention de « pontifier » sur la complexité du rapport de l’homme à la langue. Je m’en tiendrai à ceci, basique : la langue maternelle de tout individu est partie constitutive de sa personnalité, de son être, de son identité. Cette Langue (avec majuscule) se matérialise en une Parole (majuscule aussi, hommage à Ferdinand de Genève) qui est l’expression de cette personnalité, de cet être, de cette identité – et le réel oblige à constater que la Parole est soumise à des contingences géographico-environnementales qui expliquent la présence d’un accent régional, partout, toujours. Il n’en reste pas moins vrai que la Parole est l’expression d’une personnalité, d’un être, d’une identité.
    Demander à Brighelli de gommer son accent marseillais, c’était remettre en cause une partie constitutive de sa personnalité en un instant T, de son être en un instant T, de son identité en un instant T. C’était lui dire : vous n’êtes pas comme il faut que vous soyez. C’était l’insulter.

    Brighelli aurait pu manifester des réactions du genre « Fuck you, je suis comme je suis et je vous emmerde », ou bien « Mon accent marseillais ne vous plaît pas, moi c’est votre « parisien bourgeois » qui me défrise », ou bien encore « Morphologiquement, syntaxiquement et lexicalement mon français est impeccable alors je m’autorise à procéder à une miction abondante dirigée vers votre sillon inter-glutéal ». Il aurait pu. Mais il ne l’a pas fait. C’est le réel.
    Réel que je constate et que j’observe. Sans dogmatisme. Mais réel dont la signification peut très bien ne pas m’échapper…

    • Et certains douteraient encore que Josip est l’idiot pas très utile du libéralisme contemporain ?

      « Je suis ainsi (marseillais, noir, homo…), je dois pouvoir l’exprimer à tous à tout instant. La communauté doit s’effacer derrière la toute puissance de mon être » – le tout servi par une métaphysique essentialiste complètement ridicule.

      • Et on s’étonne ensuite qu’on forme des générations entières de sales gosses ? Mais éduquer, c’est contrarier la pente naturelle de l’individu qui voudra toujours s’affirmer aux dépens de la communauté, c’est nécessairement « insulter » son être, dont les gogos se flattent toujours.

        • « C’était lui dire : vous n’êtes pas comme il faut que vous soyez. »

          Venez comme vous êtes : telle est la maxime du libéralisme bourgeois contemporain.

          • Néandertal
            14 mai 2024 At 12h24
            « C’était lui dire : vous n’êtes pas comme il faut que vous soyez. »
            Venez comme vous êtes : telle est la maxime du libéralisme bourgeois contemporain.

            Non.
            Mais la maximale du néandertalisme telle qu’exprimée ici rappelle furieusement celle d’un khmer rouge des grandes années.

      • « le tout servi par une métaphysique essentialiste complètement ridicule »
        Neandertal prouve ici :
        – qu’il n’a rien compris à ce que j’ai dit
        – et que ses connaissances et sa réflexion personnelle sur le rapport de l’homme à la langue sont au mieux notoirement insuffisantes, au pire inexistantes.
        Redoublement demandé.
        Au lieu d’être glottophobe, Neandertal gagnerait à être réellement grottophobe : sortir de sa caverne, s’ouvrir au monde, ça peut changer des perspectives…

        • Vous dites très précisément :
          – qu’il existe un être pour chaque individu ;
          – que cet être est défini par des propriétés objectives.

          C’est ce qu’on appelle en philosophie une métaphysique essentialiste… je ne vois pas trop comment on pourrait le contester. Évidemment, comme vous êtes une couille molle intellectuelle, vous n’assumez pas le terme.

          • Néandertal
            14 mai 2024 At 14h05
            Vous dites très précisément :
            – qu’il existe un être pour chaque individu ;
            – que cet être est défini par des propriétés objectives.

            Une fois de plus, magnifique exemple de détournement/diversion/distortion/déformation/sortie du cadre du sujet.

            Voici reproduit ci-dessous ce que j’ai dit :
            « La langue maternelle de tout individu est partie constitutive de sa personnalité, de son être, de son identité. Cette Langue (avec majuscule) se matérialise en une Parole (majuscule aussi, hommage à Ferdinand de Genève) qui est l’expression de cette personnalité, de cet être, de cette identité – et le réel oblige à constater que la Parole est soumise à des contingences géographico-environnementales qui expliquent la présence d’un accent régional, partout, toujours. Il n’en reste pas moins vrai que la Parole est l’expression d’une personnalité, d’un être, d’une identité. »

            Et voici, pour rappel, la traduction qu’en fait Neandertal :
            « Vous dites très précisément :
            – qu’il existe un être pour chaque individu ;
            – que cet être est défini par des propriétés objectives. »
            Le commentariat jugera de la validité de cette traduction. Personnellement j’aime beaucoup le « très précisément ».

            Si Neandertal est une nouvelle incarnation de l’homme-aux-mille-pseudos, je crois alors pouvoir dire que sa thèse n’est pas une thèse de traductologie. Je le crois et je l’espère, par respect pour la discipline « traductologie ».

          • Allons-y point par point si vous voulez : quelle branche contestez-vous ? la première ou la seconde ?

          • Néandertal
            14 mai 2024 At 14h38
            Allons-y point par point si vous voulez : quelle branche contestez-vous ? la première ou la seconde ?

            Je conteste toutes les branches que vous voulez, y compris celle sur laquelle vous êtes assis. En fait je suis comme vous, je m’en fous. Je suis là pour la déconne, comme vous.
            Réservez vos perversités narcissiques à vos amis, si vous en avez.

      • Un « marseillais, noir, homo », ça finit suriné dans une ruelle sombre au milieu d’un tas d’immondices laissés là par des syndiqués FO en colère défendant leur andouillette.

  125. C’est exactement le romantisme bas de gamme. Je veux que la communauté me reconnaisse comme transgresseur mais je lui dénie le droit de me sanctionner : les frissons de la fronde mais le confort du conformisme – le bourgeois contemporain !

    • Néandertal
      14 mai 2024 At 12h31
      (…) que la communauté me reconnaisse comme transgresseur
      (…) les frissons de la fronde
      Transgression ? Fronde ?
      S’exprimer dans une langue morphologiquement, syntaxiquement et lexicalement impeccable, avec un accent régional (quel qu’il soit) dû aux contingences géographico-environnementales qui ont accompagné votre éducation, c’est une transgression ? C’est frondeur ?
      Neandertal galèje.

      Romantisme, bas de gamme ou pas : Neandertal ne sait rien, strictement rien, du Romantisme. Et ça se voit. Sinon il n’utiliserait pas ce mot dans ce contexte.
      Ça pontifie, et ça a tout à apprendre.
      Ça peut commencer à agacer.

      • 1) L’accent est-il une norme (sociale) dans un milieu considéré ?
        2) Comment appelle-t-on un individu qui ne respecte pas une norme (sociale), si ce n’est un frondeur ? Comment appelle-t-on le fait de ne pas respecter une norme (sociale), si ce n’est une transgression ?

        Vous le faites exprès ou…

        • Je m’auto-cite :
          « S’exprimer dans une langue morphologiquement, syntaxiquement et lexicalement impeccable, avec un accent régional (quel qu’il soit) dû aux contingences géographico-environnementales qui ont accompagné votre éducation, c’est une transgression ? »
          Si c’est une transgression, alors vous devez convenir que 90% des locuteurs francophones sont des frondeurs. Le français dit standard (que vous appelez norme sociale) n’est en effet parlé que par environ 10% de la population francophone.
          La norme sociale en question est donc bafouée par 90% des francophones.
          90% de « rebelles romantiques » qui sont des frondeurs qui s’ignorent, comme Mr Jourdain, et que Neandertal révèle à eux-mêmes.
          Merci Neandertal ! 90% de révolutionnaires potentiels, quelle aubaine !

          • 1) Qui incluez-vous dans « la population francophone » ?

            2) « 90% de  »rebelles romantiques » » : votre niveau en compréhension de texte est à peu près aussi bon que votre niveau en mathématiques. Le romantique bas de gamme n’est pas celui qui transgresse la norme mais celui qui exalte la transgression de la norme (1) tout en réclamant l’indifférence (2) et chialant si on ne leur accorde pas (3). Trois conditions que ne remplissent pas Brighelli et à tous les marseillais que je connais à Paris – à la différence du bourgeois néolibéral que vous êtes.

  126. Pourquoi donc la communauté devrait-elle faire un effort particulier pour comprendre ceux qui s’écartent de la norme phonétique ? La communauté ne doit rien à l’individu, c’est à l’individu de s’adapter s’il veut pleinement l’intégrer.

  127. L’abonnement de soutien aux crap bullsheets c’est 100€. Avec ça, on peut se procurer 6 bouquins du GRIP.

    Ya pas photo ! Et quand on regarde les contenus, on a une double vision du zéro et de l’infini.

  128. Je remercie JPB pour sa réponse à mon expérience de pensée. Il ne s’est pas défaussé, c’était courageux : honneur à lui.

    Mais je me permets d’affiner un peu, si vous me le permettez. Supposons un type qui :
    – a voté en 81 pour Mitterrand, sa « pédagogie renouvelée » et son « école ouverte sur le monde » ;
    – a ensuite milité pendant dix ans au GRIP ;
    – déclare aujourd’hui que les deux faits ne sont nullement contradictoires et que le militantisme gripien n’est en aucun cas une manière de tenter de s’amender d’une turpitude politique.
    JPB, diriez-vous qu’un tel individu est une grosse merde ?

    • Doit-on comprendre que vous souteniez la « pédagogie renouvelée » et l’« école ouverte sur le monde » en dehors de Mitterrand ? Que la turpitude est politique et pédagogique ?

        • On se met à pratiquer la définitionnite maintenant ? Encore beaucoup de cohérence…

          Mais pour vous répondre : le pédagogisme.

        • Comme quoi(ssa),
          même גוים devenu Néandertal restera en, toute circonstance, fidèle à un (son) « missel ».

          Remarquable jusqu’au-boutiste,
          ne connaît ni la croix ni la bannière, et,
          tout comme ses challengers,
          jamais à bout de souffle…

    • Sur les 15,7 millions, combien étaient profs ? combien ont ensuite milité au GRIP ? combien ne reconnaissent pas une erreur aujourd’hui ? combien insultent Mimile et Germaine ?

      • Quand Mélenchon sera élu en 2027, j’espère qu’il sera tellement occupé par autre chose, qu’il omettra de nous regrouper dans un grand stade.

        Quant à Mimile et Germaine, ils peuvent crever…

          • Poser trois questions à la suite d’une objection mais c’est le fasciiiiiiisme ! Une couille molle de plus.

            Prenez définitivement exemple sur Brighelli. Lui il ne se dérobe pas.

  129. « Vous allez prétendre ne pas avoir publiquement déliré et ne pas être parti chialer pendant deux mois ? Chiche ? »

    Donc apparemment pas chiche…

    • Extraits d’un échange récent :
      Josip Gavrilovic
      13 mai 2024 At 21h26
      Je vous assure, quand je vous vois tomber ainsi dans la facilité de phrases-clichés pathétiques, quand je vous vois vous débattre avec une rhétorique usée jusqu’à la corde, quand je vous vois en panne d’imagination dans l’invective, quand je vous vois ressasser sans cesse les mêmes griefs frelatés, vous me faites réellement pitié. J’aimerais vous aider. Voulez-vous qu’on en parle ?

      גוים
      13 mai 2024 At 21h44
      (…) Et vous voudriez m’apporter une aide ? psychologique en plus ? On croit rêver !

      Josip Gavrilovic
      13 mai 2024 At 22h10
      (…) Je crois que votre état est encore plus alarmant que prévu : vous n’êtes même plus capable de voir que je suis en train de me foutre de votre gueule !
      (Fin des citations)

      Nouvelle illustration de la technique de la diversion chère à l’homme-aux-mille-pseudos : il sort du sujet « norme sociale/accents régionaux » pour ressasser des griefs frelatés au moyen d’une rhétorique usée jusqu’à la corde. Le pervers narcissique, cas d’école. L’homme est à plaindre, c’est certain. Son entourage immédiat plus encore.
      Quant à moi je suis proche du fou-rire à la pensée de l’homme-aux-mille-pseudos prenant au sérieux ma proposition d’aide psychologique. Trop drôle, vraiment !

      • « la pensée de l’homme-aux-mille-pseudos prenant au sérieux ma proposition d’aide psychologique »

        Euh… c’est surtout vous qui avez pris au sérieux mon message « manifestement ». Il n’était pas tant question de répondre à votre proposition que de saisir l’occasion de rappeler votre petite crise de délire publique et la chialerie qui en a suivi. Quand on est suffisamment serein, on n’a pas besoin d’expliciter qu’on déconne. Seuls ceux qui ont besoin de se rassurer le font. (Tout comme ils en appellent au commentariat !)

        • « Il n’était pas tant question de répondre à votre proposition que de saisir l’occasion de rappeler votre petite crise »
          Ci-dessus, définition et illustration de la technique du détournement/diversion, par son utilisateur.
          CQFD. Merci de votre contribution.

          • « détournement/diversion »

            Non. Excursus gratuit après avoir répondu en détail au fond.

            Mais vous faites sciemment la conclusion pour avoir une porte de sortie, sur l’excursus mais aussi (ce qui est plus grave) sur le fond. Comme d’habitude, couille molle se défile…

        • « Tout comme ils en appellent au commentariat »
          Non.
          Je n’en appelle pas au commentariat. Le commentariat a sans doute autre chose à faire que de répondre à d’éventuels appels.
          En revanche, je le laisse juge. C’est tout à fait différent.

          • Le commentariat est une grande personne, vous savez… il n’a pas besoin de votre autorisation pour juger. Et si par hasard il se trouvait intéressé par la discussion, il est suffisamment grand pour relire le fil sans qu’on ait besoin de lui en citer une partie.

            Donc à chaque fois vous dites « le commentariat jugea », vous ne vous rendez pas compte que vous faites la preuve d’une certaine insécurité intellectuelle, contraire à votre prétention bravache au détachement. C’est chaque fois un CSC.

          • « Donc à chaque fois vous dites « le commentariat jugea », vous ne vous rendez pas compte que vous faites la preuve d’une certaine insécurité intellectuelle, contraire à votre prétention bravache au détachement. »

            Vous êtes vraiment nul en traduction.
            Vous le faites exprès ou…

      • Mais revenons à nos moutons : on peut en savoir plus sur votre petit délire et sur la chialerie pendant deux mois ? Votre ego est tellement boursouflé que vous ne pouvez cognitivement admettre qu’un autre que moi vous prenne pour un con ? Vous aviez consommé des substances ? Qu’est-ce qui vous a décidé à revenir finalement ? Pourquoi d’abord des pseudos ?

        TDQQPNRPSR…

        • Je suis d’avis que chacun livre, préserve ou même invente exactement ce qu’il veut sur BdÂ. La vie de l’artiste à la ville ne regarde que lui. Il peut l’exposer en totalité ou en partie sur la scène s’il le souhaite, les spectateurs peuvent essayer d’en savoir plus mais je ne lui fais aucun devoir de se révéler.
          Donc je suis navré : ce que je fais en dehors de mon clavier a l’air de vous pas-si-on-ner mais vous devrez supporter ma fin de non-recevoir.
          (Il se peut que les lignes ci-dessus vous disent quelque chose.)

          Et sinon, quand vous avez des poussées de violence incontrôlée comme ça, pourquoi ne pas avoir recours à l’onanisme, pour laisser échapper la vapeur de la cocotte-minute ? Vous devriez essayer. C’est de votre âge.

          • Sauf que la petite crise de délire PUBLIQUE n’a pas eu lieu à la ville… Mais je comprends que vous n’ayez pas le courage d’affronter un comportement passé si dégradant. Couille molle Josip !

          • גוים
            14 mai 2024 At 15h34
            Mais je comprends que vous n’ayez pas le courage d’affronter un comportement passé si dégradant.

            Parole de spécialiste !
            – messages  » éructifs  » de 3h du mat’ fortement éthylisés des samedis soirs prolongés jusqu’à plus soif…
            – messages souhaitant la mort (par AVC ou autre) d’à peu près tout le monde de ce blog…Combien de « Crève, machin ou truc, crève » avons-nous eu la joie de lire ? Dernier en date, à Sanseverina, trop intelligente pour les pervers narcissiques…
            – messages sur vos activités sexuelles, comptage de vos conquêtes, vanité puérile de vos succès féminins, réels ou inventés…
            – insultes et invectives à n’en plus finir, tous azimuts…
            Oui, vraiment, le dégradant, ça vous connaît. Personne ne pourra vous le retirer.

          • Mais j’affronte tout, moi. Si vous avez des questions sur certains de mes messages que vous jugez dégradants pour moi, je suis prêt à y répondre. Ce n’est pas votre cas. Vous avez fui pendant deux mois après votre petite crise de délire publique (vrai ou faux ?) et vous fuyez encore. Josip bombe le torse mais n’est qu’une couille molle, une fois de plus.

          • גוים
            14 mai 2024 At 16h16
            Mais j’affronte tout, moi.
            Si vous avez des questions sur certains de mes messages que vous jugez dégradants pour moi…

            L’homme-aux-mille-pseudos nous offre un festival de démonstrations, d’exemples et d’illustrations de ce qu’est un pervers narcissique.
            C’est absolument magistral, à montrer et à analyser dans toutes les facs de médecine section psychiatrie.
            Non, vraiment, aucune question à poser : tout est transparent, éblouissant, évident.
            Encore merci !

        • « Mais j’affronte tout, moi. »
          Et voilà notre homme-aux-mille-pseudos qui se la joue « Expendables », un compendium de Keanu Reeves, Jason Statham, Denzel Washington et Schwarzy réunis.
          Notre homme-aux-mille-pseudos n’a peur de rien, il affronte tout avec ses petits bras musclés.
          Il ose tout.
          Et on le reconnaît. Ah ça, pour le reconnaître, on le reconnaît !
          Il a même osé parler de « bonne éducation », au sens « courtoisie, respect d’autrui » de l’expression….!
          Courtoisie, bonne éducation…Et si on comptait les invectives et insultes par lui proférées?

          גוים, je vous propose un marché : sur les trois derniers fils de ce blog seulement (voyez, je ne suis pas trop exigeant sur l’exhaustivité), vous me lâchez un bifton de 100 euros à chaque invective ou insulte par vous proférée. Qu’en dites-vous, vous qui n’avez peur de rien et affrontez tout?

          Et sur la norme sociale « bonne éducation/courtoisie/respect d’autrui », que vous transgressez allègrement en merveilleux rebelle romantique frondeur (qu’est-ce que vous pouvez dire, comme absurdités !), vous avez des analyses de normalien talentueux à nous communiquer ? Ou même – on s’en contenterait – de khâgneux laborieux ?

          Dernièrement, je ne sais plus à quelle occasion (faudrait que je cherche, j’ai la flemme, et je ne constitue pas de dossiers), vous avez traité Sanseverina de « petite agrégée ».
          « Petite agrégée ». Mais c’est vous qui, disant cela, étiez minuscule, paramécique, moléculaire.
          Je n’ai lu nulle part vos excuses.

          • Josip, vous devriez peut-être relire Sacher-Masoch ?

            Quelle obstination à endurer horions et humiliations, sans espoir que cela ne cesse ou que quiconque ici ne vienne à votre rescousse, trop heureux d’assister au spectacle d’un massacre que pour ma part je trouve affligeant !

          • Message de Neandertal 17h51

            Neandertal cite un vieux message d’un membre du commentariat. Sans mettre de guillemets et sans citer sa source.

            Le commentariat – dont peut-être le membre en question – jugera. Du procédé et du contenu.
            Blague à part : connaissant un peu la question, je certifie que ce que l’homme-aux-mille-pseudos montre de lui sur ce blog est caractéristique des comportements, stratégies et méthodes des pervers narcissiques.
            Et, très sérieusement, si ce « diagnostic » (forcément insuffisamment documenté) se confirmait, il faudrait plaindre son entourage. Dégâts considérables – et durables – en pareil cas.

          • « Neandertal cite un vieux message d’un membre du commentariat. Sans mettre de guillemets et sans citer sa source. »

            Voilà ce qui nous sépare. Vous êtes incapable de comprendre qu’avec des guillemets ce message n’aurait aucun intérêt : la plate citation de l’avis d’un commentateur… Alors que sans guillemets, je reprends à mon compte de manière plaisante cet avis comme s’il était écrit pour la première fois : blague pour initiés (puisqu’il est celui qui vous a plongé dans votre petite crise de délire le 31 mars dernier) certes mais surtout jugement propre. Mettre des guillemets à un tel message, ce serait comme mettre un point d’ironie à la fin de Candide : tout ruiner. Mais je m’arrête là : quand on en est à expliquer les blagues, c’est soit que la blague est mauvaise, soit que l’interlocuteur est un blaireau – et autant vous dire que j’ai mon petit avis sur la question !

            « ce que [Néandertal] montre de lui sur ce blog est caractéristique des comportements, stratégies et méthodes des pervers narcissiques »

            L’expression « pervers narcissique » ne se trouve ni dans le DSM ni dans la CIM ; elle est en revanche dans tout bon magazine de presse féminine. Alors ne venez pas parler de diagnostic ou de fac de médecine…

            Et relisez Sacher-Masoch !

  130. Il y a deux types de boomers : le boomer simple et l’ultimate boomer. Entre Le Pen et Mélenchon, tous les boomers, centristes anciens socialistes, préfèreraient ne pas choisir – évidemment. Mais si on les force, contrairement à ce qu’on croit, le boomer de base votera Mélenchon et l’ultimate boomer votera Le Pen. Entre un nom dérangeant et un programme où on vous fait les poches, faut pas déconner.

    Je pense que Dugong est actuellement un boomer de base (il s’en défendra) mais qu’au pied du mur, à force d’avoir vieilli, il pourrait vriller ultimate boomer. Malheureusement, je crains que nous ne le saurons pas*.

    • *Non pas parce qu’il clamsera avant 2027 (ne désespérons pas) mais parce que Dieu ne pourrait offrir à la jeunesse le cadeau d’un aussi beau duel.

    • Néant oublie qu’il reste la possibilité (encore) de ne pas veauter en plantant un bel arbre pour l’occasion…

      • « tous les boomers […] préfèreraient ne pas choisir. Mais si on les force… »

        Vous êtes con ou… ?

        • Comment un échantillon de coprolithe à peine durci comme toi pourrait-il m’obliger à « choisir » un candida (albicans) ?

  131. Josip Gavrilovic 14 mai 2024 At 11h07

    J’observe donc que Brighelli narre qu’il a gommé les traces de son accent marseillais pour diverses raisons, l’une d’entre elles étant qu’à l’ENS il lui fut suggéré de le faire …
    _________________________________________________________________________

    La première raison (chronologiquement parlant) c’est qu’il avait estimé que pour tomber un maximum de meufs issues de toutes les provinces de France (y compris l’Ile de France et…Paris) il lui fallait,après avoir aqcuis une voix grave, se défaire de son accent marseillais.

    Personne ne l’y a poussé,il a pris cette décision tout seul, après examen du paysage meuffique, et uniquement dans le but de remplir un magnifique tableau de chasse.

    Pas de place pour la honte.

  132. Il est des femmes qui aiment être prises en levrette…pour des raisons diverses, notamment adéquation entre la bite de leur partenaire et la géométrie de leur orifice, facilité pour contibuer au va et vient sans solliciter les lombaires etc.etc.

    Mais putain de bordel de merde, c’est leurs oignons!

    Ben non;pour certaines féministes ces femmes sont « animalisées »…si elles disent aimer faire comme ça ,c’est qu’elles sont aliénées, qu’elles se sont laissé baratiner par le patriarcat.

    Josip Gavrilovic,c’est pareil:Brighelli aurait dû se sentir insulté quand on lui a conseillé de gommer son accent marseillais.

    • Vous pensez donc que Brighelli s’est métaphoriquement fait prendre en levrette et que, pour diverses raisons, il y a – métaphoriquement toujours – trouvé son compte ?
      Intéressant. Je note.

        • Et la volonté délibérée d’ignorer la présence du mot « metaphoriquement » est un signe supplémentaire (n’en jetez plus, la coupe est pleine) de mauvaise foi/malhonnêteté/diversion/detournement/etc.
          Et, en prime ici, d’absence d’humour…
          Sans surprise.

          • Ce n’est pas une métaphore/comparaison, c’est une analogie. Lisez Aristote, que diable !

          • Si je dis « vous êtes futé comme une poule », je dis que vous êtes métaphoriquement une poule. Mais si je dis « vous êtes comme une poule qui a trouvé un couteau », je ne dis pas que vous êtes métaphoriquement une poule. Car comparaison dans un cas, analogie dans l’autre.

          • Comparaison : A par rapport à B.
            Analogie : A/B par rapport à C/D.

            Je sais que ce sont des mathématiques de très, très haut niveau mais faites un effort…

          • Conclusion : soit vous ne connaissez pas la différence entre analogie et métaphore, soit vous ne savez pas lire Lormier.

          • Sans aucun doute, si ça vous fait plaisir.
            Comme dirait Dugong, je m’en contrebranle.
            Je suis certain d’avoir été compris, c’est l’essentiel.

          • Non mais c’est important quand même… La différence entre analogie et comparaison fait partie de la culture générale de l’honnête homme, le genre de choses qu’on apprenait tous au lycée en classe de rhétorique avant que Meirieu, imposé par le chouchou de Dugong, ne foute l’école de ce pays en l’air.

  133. Je propose le néologisme « enkhubationnement » pour désigner l’nkhulationnement par le coude.

  134. Cubitalgie de Lormier (qui restera dans l’histoire comme maladie de Parkinson ou le syndrome de Münchausen)

    • Oui, je trouve aussi. Quelle obstination à endurer horions et humiliations, sans espoir que cela cesse ou que quiconque ici vienne à sa rescousse, trop heureux d’assister au spectacle d’un massacre que pour ma part je trouve affligeant.

    • Avec les pervers narcissiques, impossible de baisser le rideau. Ils sont en représentation permanente.
      Notre homme-aux-mille-pseudos ne peut se résoudre à quitter la scène. C’est le Gloria Swanson du Sunset Bd de BdA.

  135. Neandertal :
    « L’expression « pervers narcissique » ne se trouve ni dans le DSM ni dans la CIM ».
    Vous n’espérez tout de même pas me l’apprendre, dites ?
    L’expression « gros connard de mes deux qui brise les roubignolles de tout le monde » n’est pas non plus au DSM. Et pourtant, ça existe.

    Et les travaux de Paul-Claude Racamier existent aussi.
    Mais il est vrai que je connais au moins un pervers narcissique potentiel qui pense que la psychanalyse est privée de toute rationalité, alors dans ces conditions…difficile de le convaincre.
    Il resterait à protéger son entourage, ça serait toujours ça de gagné.

    • « L’expression « gros connard de mes deux qui brise les roubignolles de tout le monde » n’est pas non plus au DSM. Et pourtant, ça existe. »

      Certes. Mais préconiseriez-vous de l’enseigner « dans toutes les facs de médecine section psychiatrie » (ce jour, 16h35) ?

      Mon message, que vous avez courageusement coupé (et ça donne des leçons…), concluait justement : « Alors ne venez pas parler de diagnostic ou de fac de médecine ».

    • « Et les travaux de Paul-Claude Racamier existent aussi »

      Votre complaisance pour la psychanalyse est, je dois bien l’avouer, ce que j’arrive le moins à comprendre chez vous. Je veux dire : vous êtes en tout point la caricature du rationaliste bas de gamme (athéisme à la petite semaine, pignolage autour du méta, combats sans envergure genre horoscope ou homéopathie, etc.)… sauf en ce qui concerne la psychanalyse. D’habitude les blaireaux dans votre genre tonnent contre cette pseudo-science qui ne respecte pas la méthode scientifique, qui n’est pas falsifiable et vas-y que je te resuce (mal) Popper, bla-bla-bla… Mais pas vous. C’est assez surprenant, ça vous donne un côté bobo très inattendu. J’aurais tendance à mettre cette divergence sur le fait que votre formation scientifique s’est arrêtée au collège mais c’est quand même un peu léger. Vous croyez au Linky par exemple ?

      • Le réel s’impose à moi, que j’aie souhaité qu’il advienne ou pas. Quand il advient, je constate et j’observe.
        Quand le réel des effets de la psychanalyse advient, il s’impose à moi. Alors je constate et j’observe les effets. Si vous préférez regarder ailleurs, c’est votre affaire.
        Votre entourage, si le diagnostic de pervers narcissique vous concernant vient à se confirmer, aura bien besoin du réel des effets de la psychanalyse, même si la guérison n’est jamais garantie. A défaut, il restera à votre entourage la possibilité d’accompagner Laurent Lafforgue à Lourdes pour prier la Vierge Marie.

        • « Le réel s’impose à moi, que j’aie souhaité qu’il advienne ou pas. Quand il advient, je constate et j’observe. »

          Ou pourquoi le méta est l’arme des demeurés.

          Quand un contributeur autre que moi s’est joliment foutu de votre gueule il y a deux mois, vous avez vachement « constaté et observé », vous n’avez pas du tout fait une petite crise de délire pour expliquer une réalité qui vous était cognitivement insupportable. C’est bien la preuve, s’il en fallait une, que les pétitions de rationalité n’engagent en rien ceux qui les font.

          • Le 30 mars dernier (veille de la catastrophe !), un grand esprit disait d’ailleurs : « Les pétitions de principe n’engagent que ceux qui sont prêts à y croire ! Et plus on pétitionne, plus on avoue son mensonge… » (https://blog.causeur.fr/bonnetdane/deux-hemispheres-dans-une-chevelure-4922#comment-514453). Admirable.

            Comme Josip est incapable de PROUVER en intra/par le fait que la réalité s’impose à lui, que… [insérer ici le bla-bla rationaliste habituel], il PRÉTEND en méta/par le discours que la réalité s’impose à lui. Donc soit c’est un escroc : il vend une méthode qu’il est incapable de tenir. Soit c’est un fou qui ne sait pas ménager l’économie de son discours : la force de la vérité nue balaiera toujours dans l’instant des centaines de lignes de pétition.

          • Vous n’avez donc toujours pas saisi que vos stratégies et techniques sont éventées?
            Vous êtes nu, Neandertal, nu comme un ver !
            Votre retour permanent à des griefs frelatés vous permet de faire diversion, et accessoirement de vous auto-persuader que vous sortez vainqueur de toutes les polémiques, la seule chose en fait qui vous importe réellement…
            Vous êtes grillé, Neandertal, gri-llé!
            Nu comme un ver, comme le Roi de l’histoire bien connue…
            Allez, je salue bien bas la Neandertal-Gloria Swanson de notre Sunset Bd, incapable de renoncer à la scène et aux honneurs, et pour cela prêt.e à tous les détournements.
            Et en dépit de Gloria Swanson, rideau !

  136. Je lis sur Femme Actuelle (https://www.femmeactuelle.fr/sante/psycho/pervers-narcissique-comment-le-reconnaitre-2030384) :

    « [La proie du pervers narcissique] va peu à peu être sous son emprise sans prendre conscience de ce qui est en train de se passer. Dans un premier temps elle éprouve quelque chose de très vif, de très puissant, de l’amour [!]. Elle a l’impression d’avoir rencontré une partie d’elle-même, comme si cet homme était son double. Peu à peu, elle ne peut plus s’en passer, elle a l’impression de ne plus pouvoir respirer sans lui. Une dépendance qui la mène jusqu’à la souffrance. Aucune décision ne peut plus être prise sans lui. La victime se sent affaiblie et poussée dans ses limites. »

    Mon pauvre Josip, je crains que votre amour ne soit pas réciproque…

    • Parce que vous pensez sérieusement que je suis votre proie ?
      Alors que c’est vous qui venez en permanence me renifler, et pousser des brames d’amour audibles jusque dans le Kamtchatka et la Patagonie ?
      Je vous l’ai déjà dit, et je le répète : vous n’êtes pas du tout mon genre de femme.

  137. L’homme-aux-mille-pseudos, c’est le Roi de l’histoire bien connue où aucun de ses courtisans n’ose lui dire qu’il est nu.
    Eh bien il faut bien alors que je m’y colle : Neandertal, vous êtes nu.
    Et un pervers narcissique nu, ça n’est pas très ragoûtant.

      • Vous vous ennuyez à ce point, en Suisse, que vous passiez vos journées à écrire des sottises sur ce blog, en somme grassement payé à rien foutre ?
        Et que seraient vos journées sans moi ? L’amour et le désir fou vous rendent assez collant, je dois l’avouer.
        Mettez-vous dans le crâne une bonne fois pour toutes : vous n’êtes pas mon type de femme !
        Il faut savoir renoncer à un amour impossible, Neandertal ! Il faut savoir prendre acte du réel ! Seul un pervers narcissique ne comprend pas que le réel s’impose à lui aussi…
        Acceptez de quitter la scène et de laisser le rideau se baisser !
        Accordez ce plaisir à WTH, bordel !

  138. Le réel s’impose à moi. J’ai d’ailleurs fabulé une histoire de comptes multiples quand on m’a critiqué et je suis parti pendant deux mois quand il a été prouvé que je délirais. Mais le réel s’impose à moi, je ne vis pas dans une réalité alternative.

    • Le réel s’impose moi. J’ai d’ailleurs affirmé qu’une loi était en vigueur alors que la proposition n’avait même été examinée par le Sénat, on me l’a fait remarquer et je n’ai pas du tout mais alors pas du tout rechigné à l’admettre. Le réel s’impose à moi.

      • 11 mai 2024 At 15h12
        Oui. Information incomplète et hâtive de ma part. Dont acte. Adopté seulement par l’assemblée Nationale le 26 novembre 2020.

        La loi a bel et bien été votée par l’Assemblée Nationale. Mais pas encore par le Sénat.
        Vous pourriez peut-être reconnaître que j’ai reconnu mon erreur, et que je n’y ai pas rechigné. Mais à l’impossible nul n’est tenu : un pervers narcissique ne reconnaît rien d’autre que son image dans le miroir, dont il est follement épris.

        • Dans cet univers, en français de France d’aujourd’hui de tous les jours, avec l’accent parisien, normand, picard, berrichon, occitan ou alsacien, la proposition « Josip a rechigné à admettre tel fait » implique que « Josip a admis tel fait ».

          • Certes. Mais alors à quoi bon écrire, de façon visiblement ironique et polémique, ceci :
            « on me l’a fait remarquer et je n’ai pas du tout mais alors pas du tout rechigné à l’admettre »…?
            A quoi bon? Mais enfin, élémentaire, mon cher Swanson : apporter une fois de plus la preuve que vous ne pouvez plus masquer votre pathologie et vos symptômes.
            Le Roi est nu.

          • « A quoi bon? »

            La proposition « Josip a rechigné à admettre tel fait » n’implique pas seulement que Josip a admis tel fait mais elle implique aussi la difficulté à l’admettre.

            Autrement dit, la réalité ne s’impose pas toujours à vous, et lorsqu’elle s’impose à vous, c’est parfois avec difficulté.

  139. Le Bégaudeau cinéaste-écrivain est une daube. Mais le Bégaudeau sociologue est généralement très bon.

    « Tu es un bourgeois.
    Mais le propre du bourgeois, c’est de ne jamais se reconnaître comme tel.
    Petit test :

    Tu votes toujours au second tour des élections quand l’extrême droite y est qualifiée, pour lui faire barrage.
    Par conséquent, l’abstention te paraît à la fois indigne et incompréhensible.
    Tu redoutes les populismes, dont tu parles le plus souvent au pluriel.
    Tu es bien convaincu qu’au fond les extrêmes se touchent.
    L’élection de Donald Trump et le Brexit t’ont inspiré une sainte horreur, mais depuis lors tu ne suis que d’assez loin ce qui se passe aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.
    Naturellement tu dénonces les conflits d’intérêts, mais tu penses qu’en voir partout relève du complotisme.
    Tu utilises parfois (souvent ?) dans une même phrase les mots racisme, nationalisme, xénophobie et repli sur soi.
    Tu leur préfères définitivement le mot ouverture. »

  140. Un voilà un autre à qui la réalité s’impose !

    La « pédagogie renouvelée » et l’« école ouverte sur le monde » n’équivaut pas Meirieu, non mais je te jure…

  141. Voter Mitterrand en 81 c’était déjà dément pour un instructionniste mais voter Jospin c’est carrément criminel ! Ce n’est plus une erreur de jeunesse, c’est le fait d’être une grosse merde à ce niveau.

  142. @WTH, qui, lassée de ces interminables joutes, s’écriait « Rideau, bordel ! »

    Comme vous le voyez, Gloria Swanson est très vite revenu.e sur cette scène qu’iel ne peut se résoudre à quitter.
    Rien d’étonnant à cela : les pervers narcissiques sont toujours en représentation permanente. Pas moyen de baisser le rideau.

    • Les résultats du Kéno d’hier soir sont : le numéro 01, le numéro 09, le 16, le 17, le 28, le 29, le 38, le 39, le 46, le 47, le 49, le 51, le 52, le 54, le 55, le 59, le 61, le 65, le 66 et le 68.

      TOUT LE MONDE S’EN FOUT !

      • Question innocente (vraiment) : l’homme-aux-mille-pseudos a-t-il vu – ou connaît-il sans l’avoir vu – le film de Billy Wilder « Sunset Boulevard », et le rôle qu’y joue Gloria Swanson ?
        Je pose la question car, en l’absence de la référence, il serait difficile de saisir mes fines allusions…

  143. Ben oui, des zabrutis.

    Au même titre que les zabrutis, plein d’espérance (?!) prêts à voter aux zeurops’.
    Extrait de espas.eu (European Strategy and Policy Analysis System), prévisions 2030 :

    « La crise continuera d’affecter les membres les plus vulnérables
    de la société.
    Une augmentation de 45 % du chômage, un risque accru de pauvreté touchant près de 130 millions d’Européens et l’exclusion des jeunes — dont 14 millions ne sont ni étudiants ni employés — sont autant de facteurs qui exigent l’adoption de mesures
    fortes. Si cela n’est pas fait, il pourrait exister un risque
    important de radicalisation sociale.
    Les jeunes (de 15 à 24 ans) seront particulièrement touchés par
    les inégalités: un quart d’entre eux sont actuellement sans emploi, voire la moitié dans certains pays… »

  144. Une feuille de chou local « le Métropol » : « objectifs 2030 pour nos quartiers »…
    Les quartiers « prioritaires » = 19 % de la pop, 26,5 % de moins de 15 ans, 54 % « sous le seuil de pauvreté ».

    Après une « consultation citoyenne », axes prioritaires, dont :
    . le vivre ensemble
    . la transition éco et solidaire
    . l’inclusion numérique
    … le développement de l’emp(l)oi, etc…

    ça rappelle :

    https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=3615+code+qui+n%27en+veut+deschiens#fpstate=ive&vld=cid:ad4df87d,vid:mdW6OZGv4LU,st:0

  145. Les raisonnements de Josip Gavrilovic au sujet du Maestro…sur la honte qu’il aurait dû éprouver quand on l’a incité à se défaire de son accent marseillais etc; ne tienne pas compte de ce trait de la personnalité dudit Maestro:il se fout de son accent, il n’a pas d’identité régionale.

    Il confiait notamment: je suis corse quand ça m’arrange.
    Il n’a pas d’appartenance.
    C’est un citoyen du monde, ou plutôt de la littérature. Quand le hasard des nomiantaions l’a expédié en Normandie, il s’est vécu comme un personnage de Flaubert, baisant des meufs dans le bocage, en leur récitant des pages de Madame Bovary,d’une voix grave et monocorde.

    Qui était-il alors ? Homais ? Rodolphe? Charles ? Un autre encore ? Et qu’est-ce qui l’avait séduit chez la créature du jour ? Une chevelure comparable à celle de Madame Arnoux ?

    Naguère,il commença un billet par « ce fut comme une apparition. »

  146. WTH 15 mai 2024 At 14h48
    Ben oui, des zabrutis.
    « l’exclusion des jeunes — dont 14 millions ne sont ni étudiants ni employés … »

    …ni employables. C’est bien ce que je disais:beaucoup trop de jeunes, qui nous coûtent un pognon de dingue et ne nous rapporteront jamais rien.

    Il faudrait inventer un vaccin spécifique qui ne tue que les jeunes.

  147. Avec une régularité de métronome, ce blog est de façon récurrente le lieu d’affrontements verbaux de tous ordres entre deux estimables intervenants, Josip Gavrilovic d’une part, et d’autre part un contributeur qui s’affuble d’une multitude de pseudonymes changeants. La fréquence de ces affrontements est telle que le moment est venu de procéder à une psycho-analyse sauvage et drôlatique de cette relation problématique. Pour la commodité de la démonstration, Josip Gavrilovic sera désigné ci-après par JG et le contributeur anonyme par MP, i.e. Multi-Pseudonymé.

    MP recherche en permanence le contact avec JG. Quand JG s’absente, MP le lui reproche amèrement et avec véhémence. Il compte les jours. Il ne peut
    pas se passer de lui. C’est clairement une forme de dépendance affective. Une forme d’amour, osons le dire. Un forme d’amour dont il reste à préciser les contours, et c’est un des objets de cette étude.

    La relation MP/JG est toujours conflictuelle. Le conflit se matérialise chez MP par un recours fréquent à l’insulte « couille molle » adressée à JG. Arrêtons-nous un instant sur la notion de « couille molle », qui met en cause le courage et la virilité, mais qui fait aussi référence à un trouble hormonal, l’hypogonadisme, qui altère la qualité de la semence, et peut engendrer des handicaps, des anormalités chez les enfants procréés.
    Anormalité : MP a pleinement conscience de son a-normalité. Il en fait une force : le passage de a-normal (associé généralement à la notion de défaut, de problèmes) à hors-norme (associé au contraire de façon laudative à l’extra-ordinaire) est, chez MP, décisif dans la construction de sa personnalité: sa déformation inaugurale se transforme à ses yeux en un trait distinctif inaccessible au commun des mortels : un super-pouvoir hors norme. D’ou ces incessantes démonstrations d’expériences victorieuses, de supériorité intellectuelle présumée, de performances sexuelles triomphantes et magnifiées.
    Faisons ici une première pause réflexive :
    – MP, nous l’avons vu, supporte mal les absences de JG. Exactement comme un enfant reproche au père ses absences. C’est le syndrome de l’abandon : MP éprouve la souffrance psychique de l’enfant abandonné.
    – nous avons également vu que MP, même si il la transforme en super-pouvoir, connaît son anormalité. En traitant JG de couille molle, il attribue symboliquement l’origine de son a-normalité à un possible hypogonadisme de JG, en qui il voit, de toute évidence, une figure du père ! Quand MP traite JG de couille molle, il lui envoie un message crypté. Il lui dit : « Tu m’as fait. Mal. Tu m’as mal fait, ça me fait mal, mais le mal est fait, par ton mâle effet. Je suis par ta faute un être impur, perverti, au sens premier du terme : falsifié. » Perversion : mot-clé de la relation MP/JG. J’y reviens sans tarder.

    Impossible en effet de ne pas remarquer l’insistance de JG à traiter MP de pervers narcissique (terme peut-être adéquat, mais là n’est pas l’essentiel). Cette insistance est on ne peut plus signifiante : qu’est-ce qu’une perversion ? Etymologiquement c’est une falsification, un renversement de sens, la mise en place volontaire d’une fausse route. Quant à Narcisse, c’est bien connu, il ne regarde que lui, n’aime que lui. On se souvient peut-être que JG « dédia » jadis à MP la chanson du groupe Odeurs « Je m’aime »…
    https://youtu.be/J8loylpnbkQ?si=wTQLHN0Q4ppStpbK

    En le traitant de pervers narcissique, JG envoie lui aussi à MP un message codé, subliminal :
    « Toi, pervers qui tend vers père. Moi, père encore vert, capable d’assumer procréation. » Et ce message codé (« pervers narcissique ») signifie que JG a entendu et compris le message crypté de MP (« couille molle »).
    En d’autres termes : MP ne cesse de dire à JG : « Tu pourrais être mon père et il ne me déplairait pas que tu le sois! »
    Et JG ne cesse de dire à MP : « Je suis prêt à assumer le fait d’être ton père symbolique ! Plus rien ne te contraint à ne regarder que toi, à n’aimer que toi ! Tu peux avoir des regards, des égards pour autrui ! »

    La figure du miroir fonctionne ici à plein : JG et MP, en fait aussi narcissiques l’un que l’autre, une figure paternelle et une figure filiale, deux miroirs qui se font face avec pour effet la même image reproduite à l’infini.

    Ma conclusion est double :
    – il est urgent que JG et MP voient ou revoient Star Wars, avec une focale sur la relation Luke Skywalker/Dark Vador (« Je suis ton père ! »)
    – il faut envisager pour ces deux éminents contributeurs, dans les meilleurs délais, une psycho-thérapie familiale.

    Merci de votre attention.

  148. Sophisme ?

    Astrazeneca,on le sait, a retiré son prétendu vaccin du marché,demandant que l’AMM de ce produit soit annulée.

    On lit en maints endroits: »c’est une décision purement commerciale, le prduit ne se vend pus, rien à voir avec sa dangerosité ».

    Et pourquoi ki’s vend plus ?

    Vous vous souvenez que dès 2021 son utilisation était suspendue à peu près partout en Europe,à cause des thromboses (en France,on a attendu d’avoir trois morts).

    Donc la mévente était due à la dangerosité.

  149. Le « récit » qu’on est en train de nous servir sur Astrazeneca:oui, il est retiré du marché mais nous avons les vaccins à ARN messager, qui sont beaucoup mieux.

    En fait,ils sont encore plus nocifs.

    Très intéressant entretien avec Alexandra Henrion Caude qui explique cela et bien plus:que signifient les investissements de Big Pharma en France ?

    https://www.google.com/search?sca_esv=1cbe4b6585e2caa3&sca_upv=1&sxsrf=ADLYWIJE_ddWVAR34juxXc4oMzPBQI2ibg:1715796684249&q=tocsin+houdiakova+henrion+caude&tbm=vid&source=lnms&prmd=ivnbz&sa=X&ved=2ahUKEwjP8_veoJCGAxWdU6QEHURZBssQ0pQJegQICxAB#fpstate=ive&vld=cid:455dc638,vid:S91pXiodPwQ,st:0

    • Oui, vous faites bien de signaler son analyse du « récit ».
      Sa « lecture » de l’article du NY times est également intéressante.
      (« Covid Vaccine Side Effects: 4 Takeaways From Our Investigation – Thousands of Americans believe they experienced rare but serious side effects. But confirming a link is a difficult task »)…

  150. Une nombreuse flotte= une flotte qui comprend un grand nombre de bâtiments.

    De nombreuses flottes = ?

    (Pour vaincre l’Allemagne et son allié,le Japon, il fallut rassembler de nombreuses flottes.)

  151. « Pense » à tes géniteurs (suite)

    A la conception de Trouduc, il y a eu pollution de la semence avariée du Père par le méconium du fils. Ceci explique cela.

    • Tss… Peu ragoûtant cet intérêt pour certains vocables : après « « hypogonadisme » voici « méconium »…

  152. abcmaths 15 mai 2024 At 23h37
    Et là, vous n’avez pas noté que Virginie parlait maintenant de « la modulation basse et rassurante de la voix d’acteur de Paul » ?
    https://abcmathsblog.blogspot.com/

    Si.
    Elle ne parvient pas à séparer ce que cette voix a d’érotique de ce qu’elle a de rassurant…
    Sa déclaration d’amour était aussi une demande d’aide:elle cherchait un être qui puisse la soutenir dans sa détresse.
    J’ai aussi remarqué que le « léger accent vosgien » de Paul ne lui déplaît pas:Paul ne parle pas le français standard.

    Vous écrivez une fois « évènelment » et une fois « événement ».

    Personnellement, je m’en tiens à l’orthographe qu’on m’ a enseignée (é, é); l’Acadmié, depuis quelques années, accepte les deux…mais ne conseille pas de les utiliser toutes deux dans un même texte.

    (PS J’écris aussi « clef » et j’adore particulièrement écrire « clef USB ».)

  153. Les nombreuses familles qui a,au mois d’août, se préparent à emprunter la route des vacances doivent s’assurer du bon état de leur véhicule et notamment vérifier la pression de leurs pneumatiques.

    Les familles nombreuses bénéficient de conditions avantageuses sur les chemins de fer français.

    Pour partir en vacances, de nombreuses familles nombreuses choisissent le train.
    Pour vaincre l’Allemagne et son allié,le Japon, il fallut rassembler de nombreuses flottes.

  154. WTH 15 mai 2024 At 21h22
    Oui, vous faites bien de signaler son analyse du « récit ».

    L’entretien est très riche. Alexandra Henrion Caude a aussi l’art de la synthèse: « la tendance actuelle est de réduire la médecine à l’administration de « vaccins » ».

    • Pfizer (& co…) ont promis de s’installer en France…. « Choose France » semble intéresser de très près big pharma (et Amazon).

  155. Lu dans le Vespéral :

    « Cannes 2024 : « Diamant brut », portrait de la jeune fille aspirante à la célébrité »

    IAL ?

    • Diamant brut (suite)

      Lormier 11 mai 2024 At 9h28
      Quant aux Tchèques (et Slovaques),il y a pas mal de nasales dans leur langue;elles reviennent souvent et ça énerve.

      La question se pose de savoir si une jeune fille… disons « pinokhumétable », avec un accent contenant des nasales à coucher dehors, serait moins séduisante qu’une autre à la voix normale, sans aucun accent, mais ayant des yeux de veau et affichant un bide Kronembourg ?

  156. Qu’on me pardonne de revenir un instant sur la question du « Français dit standard » et du rejet/répression des accents régionaux.
    Je rappelle qu’au départ de la discussion, il y avait mon étonnement que Brighelli ne se soit pas senti insulté par l’affirmation qui lui était assénée que son accent méridional nuisait à la communication et qu’en conséquence cet accent devait être gommé. L’insulte, à mes yeux, était de dire à Brighelli: « vous n’êtes pas comme il faut que vous soyez. »
    L’homme-aux-mille-pseudos réagissait ainsi à mes remarques :
    Néandertal
    14 mai 2024 At 12h19
    « Mais éduquer, c’est contrarier la pente naturelle de l’individu qui voudra toujours s’affirmer aux dépens de la communauté, c’est nécessairement « insulter » son être. »
    Puis, plus loin :
    Néandertal
    14 mai 2024 At 12h24
    « C’était lui dire : vous n’êtes pas comme il faut que vous soyez. »
    Venez comme vous êtes : telle est la maxime du libéralisme bourgeois contemporain. » (fin de citations)

    Tout cela débute avec un paradoxe : avant de confier à Brighelli la mission d’enseigner, l’ENS entreprend de le rééduquer sur le plan phonétique. Le ré-éduquer, car il n’est pas comme il faut qu’il soit – c’est ce que pense l’ENS.
    J’emploie à dessein le verbe « ré-éduquer », historiquement marqué. Car la définition de « éduquer » donnée par l’homme-aux-mille-pseudos (voir plus haut) ressemble furieusement à celle qu’aurait pu donner un garde rouge maoïste en 1966 ou un khmer rouge des grandes années pol-potiennes. Et on s’en souvient : les gardes rouges et les khmers rouges étaient des experts reconnus de la rééducation de masse.

    Le sujet est d’autant plus sensible et passionnant qu’il existe un film du grand King Vidor, un authentique chef d’œuvre selon moi, « Le Rebelle » (titre original The Fountainhead), qui met en scène un architecte (Howard Roark) qui défend une conception personnelle, individualisée (certains diront individualiste) de sa discipline, hors des sentiers battus, hors des opinions communes, hors des normes. Cet architecte est attaqué, traqué, harcelé par le représentant de l’orthodoxie officielle (Ellsworth Toohey), qui veut le mettre au pas, le ramener dans la Norme, le briser.
    J’ai le très net sentiment que l’ENS voulant que Brighelli ait un accent « comme il faut », ENS ici relayée par l’homme-aux-mille-pseudos, c’est l’incarnation du garde rouge, du khmer rouge, de Ellsworth Toohey dont le discours peut se résumer ainsi : « Je ne veux voir qu’une tête et je coupe les têtes qui dépassent ».

    Vaste sujet, dont la répression des accents régionaux n’est qu’un aspect, bien évidemment.

    • « Car la définition de « éduquer » donnée par l’homme-aux-mille-pseudos (voir plus haut) ressemble furieusement à celle qu’aurait pu donner un garde rouge maoïste en 1966 »

      Ou tout parent responsable.

  157. Ceci doit-il nous donner de l’espoir ?

    Peter Daszak,l’homme qui a utilisé des subventions pour financer des recherches de type gain de fonction à Wuhan, est sur la sellette; il pourrait se voir refuser de nouvelles subventions et être démis de ses fonctions.
    Il y a de la bagarre aux Etats Unis…on ne sait pas comment ça va finir.
    Tout était prêt pour la nouvelle plandémie:une grippe aviaire cette fois,avec un virus trafiqué pour pouvoir facilement infecter l’homme et un « vaccin » à ARN messager. La maladie X, annoncée depuis des années, allait déferler.
    Mais les questions de certains parlementaires à quelques organisateurs de la plandémie sont un grain de sable (ou un peu plus) qui grippe une belle mécanique.

    https://oversight.house.gov/release/new-select-subcommittee-report-recommends-ecohealth-alliance-president-debarred-and-criminally-investigated-exposes-failures-in-nih-grant-procedures/

  158. Josip Gavrilovic 16 mai 2024 At 10h47
    Qu’on me pardonne de revenir un instant sur la question du « Français dit standard » et du rejet/répression des accents régionaux.

    Revenir…en ignorant deux aspects essentiels du cas Brighelli:
    i) Bien avant l’ENS, il avait de lui-même, sans que personne ne l’y incite, travaillé à se défaire de son accent marseillais-et ce pour servir ses projets copulationnistes: pour se taper le plus grand nombre de meufs issues de toutes les régions françaises,il lui fallait acquérir une voix grave,débarrassée de tout accent régional.
    ii) Le Maestro n’a pas d’appartenance géographique;ni Marseille ni la Corse ne font partie de son identité.
    Il peut reprendre quand il veut l’accent corse ou l’accent marseillais.
    Aux Ulis, pour intéresser des fanas du rap à Victor Hugo, il a improvisé un rap sur un poème de ce « khon », en prenant l’accent de ces banlieusards déshérités.
    Et ça a marché!

    Alors, vous voyez ?

    Ou vous préférez garder vos oeillères et brouter de l’herbe ?

  159. Rassurez-vous, cher Lormier, je vois très bien.
    Sachez par ailleurs que mon acuité visuelle est parfaite et que je suis plutôt « viandard » qu’herbivore.

    Ce que vous semble ne pas voir, vous, c’est que pour moi Brighelli n’est qu’un exemple (certains diront un prétexte) pour nourrir la discussion sur uniformisation/standardisation vs personnalisation, et encore au delà, communauté/collectivisation forcée vs prise en compte des spécificités individuelles de chacun.
    D’où mon allusion au Rebelle de King Vidor. L’avez-vous vu, Lormier ?

  160. Dugong 16 mai 2024 At 10h29
    On connaissait les pieds nickelés, voici les acadmiés (de partout ?)

    Le lecteur avisé aura rectifié de lui-même.

  161. On dit « un nom à coucher dehors » et « un accent à couper au couteau ».
    Pourrait-on dire un accent à coucher dehors ?

    • « The first step in solving a problem is recognizing there is one. »
      Il y a, que ça plaise ou non, un problème dans notre pays avec la façon dont les accents régionaux sont (dé)considérés, (mal)traités.

  162. curé (la morale est objective) + libéral (la communauté doit s’effacer derrière l’individu) = bourgeois contemporain.

    • Cette discussion est un merveilleux exemple de la distinction entre libéralisme classique et néolibéralisme.

      Pour le libéral vieille école, l’individu est premier mais il est surtout autonome. D’où l’amour des libertés individuelles : liberté de s’adapter à la communauté si on le souhaite ; liberté de traiter différemment celui qui agit différemment. Pour un néolibéral à la Josip, l’individu est premier mais il n’est pas autonome, il est totalement soumis aux curés qui décideront pour lui s’il est aliéné, s’il agit mal. D’où la haine des libertés individuelles : l’individu a tort de s’adapter à la communauté et personne ne doit avoir le droit de traiter différemment celui qui agit différemment.

      • Économiquement, c’est la même chose. Pour le libéral classique, l’État n’a pas à intervenir dans l’économie. Pour le néolibéral, l’État doit intervenir… pour faire régner le libéralisme.

    • « La communauté doit s’effacer derrière l’individu », c’est l’opinion que me prête l’homme-aux-mille-pseudos.

      Je ne veux pas relancer une polémique stérile.
      Sur les accents régionaux, je tiens fermement à dire que la phrase ci-dessus entre guillemets n’est pas du tout la position que je défends.
      En revanche j’attends de la communauté qu’elle ait un respect minimum de l’individu.
      L’exemple de Jean Castex est excellent, et illustre très exactement ce que je veux dire :
      – en aucun cas – en aucun cas ! – son accent n’était un obstacle à la communication, ne nuisait à la communication (contrairement aux craintes exprimées par l’ENS sur l’accent de Brighelli). Quand il s’exprimait dans l’exercice de sa fonction, il était compris de tous.
      – et pourtant, certains n’ont pas manqué de se moquer de son accent méridional. Au nom de quoi ? A quel titre ? Là est la question. Jusqu’où peut aller l’exigence d’effacement de l’individu derrière la « communauté » ?

      Je m’en tiens là désormais.

      • « en aucun cas […] son accent […] ne nuisait à la communication »

        1) Le fait même que son accent soit objet de discussions démontre que cette phrase est fausse.

        2) Vous n’avez toujours pas répondu, malgré plusieurs relances, à :

        « Phonétiquement, un /i/ n’est jamais qu’un /a/ un peu plus antérieur et un peu plus fermé. Donc si la différence phonématique (de nature) repose sur une différence phonétique de degré et si la différence phonématique est le terminus de l’INcompréhension, pourquoi toute différence phonétique ne serait-elle pas un degré de la MÉcompréhension ? »

        « Au nom de quoi ? A quel titre ? »

        Au titre qui est le leur – et qui ne vous regarde pas. Vos prédécesseurs dans le libéralisme appelaient cela l’autonomie de la volonté.

        • Je n’aurais jamais imaginé me faire traiter un jour de « néolibéral ».
          Tout arrive. Il arrive même que l’homme-aux-mille-pseudos se fourre le doigt dans l’œil jusqu’à l’aponévrose de Tenon.

  163. @Neandertal
    Je vous recommandais hier de voir « Sunset Boulevard » (Boulevard du Crépuscule) de Billy Wilder, 1951.
    Je vous recommande aujourd’hui « The Fountainhead » (Le Rebelle) de King Vidor, 1949.
    Vous ne le regretterez pas, il s’agit de deux très grands films.
    D’après ce que je crois saisir de votre vision du monde, le film de King Vidor vous passionnera.

  164. Néandertal
    16 mai 2024 At 15h51
    « Toujours pas de réponse ? »

    A quoi bon vouloir sculpter l’éphémère ?

    Et si vous me traitez de « couille molle », je vous appellerai « fiston ».
    Je sais retenir les leçons données par Prophète Mao….

  165. Quand les mâles cigales stridulent, peut-on dire qu’ils parlent aux femelles avec « l’accent du midi » ?

  166. WTH 16 mai 2024 At 13h31
    On dit « un nom à coucher dehors »

    …avec un billet de logement.

    (varaiante que j’avais entendue dans la bouche d’une pied-noire)

  167. « Phonétiquement, un /i/ n’est jamais qu’un /a/ un peu plus antérieur et un peu plus fermé. Donc si la différence phonématique (de nature) repose sur une différence phonétique de degré et si la différence phonématique est le terminus de l’INcompréhension, pourquoi toute différence phonétique ne serait-elle pas un degré de la MÉcompréhension ? »

    Couille molle !

  168. Couille molle n’a donc pas le courage de répondre. On progresse : la dernière fois, il s’est carrément enfui !

  169. Cette évidence logique, à laquelle Couille molle n’a pas le courage de se confronter…

    « Phonétiquement, un /i/ n’est jamais qu’un /a/ un peu plus antérieur et un peu plus fermé. Donc si la différence phonématique (de nature) repose sur une différence phonétique de degré et si la différence phonématique est le terminus de l’INcompréhension, pourquoi toute différence phonétique ne serait-elle pas un degré de la MÉcompréhension ? »

    • Pas le courage ?
      Allons donc.
      Je ne doute pas une seule seconde que ça vous rassure de penser ça.
      La réalité est plus prosaïque :
      – tout le monde se fout royalement de ce truc-là, moi le premier
      – j’ai une flemme XXL de (ré)pondre 3 pages profondément ennuyeuses sur ce sujet. Alors non.
      Faudra vous y faire, fiston…

    • Dans le Sud, tous les « o » sont ouverts : on confond donc « homme » et « heaume », qu’on distingue pourtant partout ailleurs. C’est bien la preuve que la thèse selon laquelle un accent régional ne nuit « en aucun cas » à la communication est une foutaise. Et il n’est pas ici question d’une simple difficulté, d’un effort particulier de concentration à faire (Josip n’a jamais dû écouter un alsacien de sa vie…) mais d’une impossibilité fondamentale.

  170. L’accent régional ne nuit tellement pas à la communication que toutes les interviews en Nouvelle-Calédonie sont sous-titrées dans les JT…

  171. Josip, allez donc acheter un ticket de bus dans le Berry profond et osez revenir nous dire que l’accent régional ne nuit pas à la communication… Non mais je te jure, « le réel s’impose à moi » !

    • « le réel » : tiens, encore une substantivation pédante. « Réalité » fait sans doute trop populo…

    • Il y a lurette, un cardan de ma CV a pété au fin fond de l’Ecosse.
      Immédiatement, l’Amicale des Gens dans la Merde a œuvré pour remorquer la gueuse * vers le seul garageot du coin (une sorte de soudeur qui allumait sans cesse son vieux clope avec un chalumeau allumé tenu sous l’aisselle et dont il parvenait à régler la flamme sans presque bouger), phone à maif assistance qui envoya la pièce à l’aéroport d’Edimbourg** (à 400 bornes)***, aller-retour réussi dans la journée…

      * j’ai quand même dû répondre à un grand nombre de questions du genre, combien de miles avec un gallon ? Questions auxquelles j’avais fini par répondre un peu n’importe quoi mais cela faisant hocher la tronche des autochtones pour lesquels le mot « sobriété » a un sens un peu brouillé.

      ** prononcer Edinburu comme si vous étiez en plein safari au Tanganyika (Tanzanie)

      *** mon parfait accent écossais m’a souvent fait passer pour un local. Notamment un improbable couple de locuteurs espagnols, langue que je maîtrise parfaitement (!) avec qui j’ai dû visiter quelques ruines et, un inénarrable hobereau en Jaguar qui m’a expliqué le secret de l’ultime protection contre les midgees : le bas de femme sur la tête…

  172. « Mais peu à peu le parti conservateur [en Alsace sous la Monarchie de Juillet] gagna du terrain. Il avait à sa tête un personnage important, Humann, plusieurs fois ministre des finances, et grand ami de Guizot. Les journaux opposants de Paris se moquaient de son accent et racontaient que, comme il disait à la tribune  »mes projets sont détruits », la Chambre avait compris  »mes brochets sont des truites. » Mais ces railleries inoffensives n’empêchaient pas les Alsaciens d’être fiers de
    leur compatriote, qui mourut ministre » (La Revue de Paris, édition de janvier-février 1916)

    Le réel s’impose à moi : l’accent régional ne nuit « en aucun cas » à la communication.

  173. Couille molle répondra-t-il ou va-t-il courageusement fuir comme la dernière fois ?

  174. Un type veut dire que ses projets sont détruits, tout le monde comprend qu’il tient une pisciculture radioactive mais à part ça l’accent ne nuit « en aucun cas » à la communication…

  175. Un type veut dire qu’il s’est enfilé un adorable heaume à la dernière fête de Carcassonne, tout le monde comprend qu’il est sodomite mais l’accent ne nuit « en aucun cas » à la communication.

    • Le contenu de votre rafale de messages était totalement prévisible de la part de quelqu’un qui, de son propre aveu, est nul en langues étrangères.
      Question d’oreille et d’acuité auditive, sans doute.
      Il va peut-être falloir que vous vous surveillez :
      Rappel d’une œuvre jadis à vous dédiée :
      « Que je m’aime oh que je m’aime!
      Ça finit par être un problème
      Quand je suis seul avec moi-même :
      Faudrait peut-être que je me surveille
      Je suis déjà sourd d’une oreille… »

  176. Bullshit intégral, du début à la fin.
    « En situation de communication, la compréhension réussie est un cas particulier du malentendu. »
    Ça sera ma seule et unique réponse, parce qu’elle rend compte de tous les exemples que vous pourrez donner.
    Bonsoir fiston.

    • Messieurs les jurés, Dugong a l’anus dilaté mais « la compréhension réussie est un cas particulier du malentendu » !

  177. L’accent de Seine-Saint-Denis ne nuit « en aucun cas » à la communication, dit celui qui n’est jamais allé retirer un formulaire préfectoral au guichet de Fatou…

    • Un grand esprit a un jour défini la Linguistique comme la discipline ayant pour objet « le langage appréhendé à travers la diversité des langues naturelles ».

      Diversité des langues naturelles.
      L’homme-aux-mille-pseudos ne capte que le parisien bourgeois, tout le reste lui pose problème.
      Et il ose l’ouvrir.
      Cet homme est une blague sur pattes !

  178. Vous connaissez tous la véritable histoire de Bernadette Soubirous d’ailleurs ? C’était une jeune bergère qui avait l’habitude de se promener dans l’arrière-pays de Lourdes. Sauf qu’un jour elle croise au détour d’un chemin un satyre en train de s’astiquer. La jeune Bernadette revient chez elle en courant, croise les vieux du pays en train de jouer aux boules sur la place du village et crie, encore essoufflée, de son accent rocailleux : « j’ai vu la vèèèèrge, j’ai vu la vèèèèrge ». Évidemment, pour étouffer le scandale, on a transformé ça en « j’ai vu la vierge ».

  179. « Le professeur est un acteur. » Oui.

    Son élocution doit être claire;il ne doit pas parler trop vite, ni manger les mots. Oui.

    Les gens qui parlent trop vite, qui mangent des mots,qui parlent dans leur barbe,qui articulent mal, eh ben même s’ils n’ont pas d’accent,on a du mal à les comprendre.

    Voilà.

    J’écoute parfois Angus Dalgleish;ce qu’il dit (notamment sur le lien cancer/injection) est très intéressant…mais il faut s’accrocher,car la diction laisse à désirer. Je me suis peu à peu habitué à sa façon de parler particulière et maintenant je peux le suivre sans trop d’effort.Evidement quand il lâche à toute vitessse des termes médicaux,je n’arrive pas toujours à les identifier.

    Du temps où le Professeur Raoult faisait ses petites allocutions sur You tube, je m’étais dit:c’est un vrai professeur;il parle distinctement et quand il utilise un terme médical,il s’arrête pour le définir.

    C’est un mec qui tient compte du public auquel il s’adresse.

    Voilà.

    Un Anglais peut très bien comprendre un Ecossais à l’accent prononcé-à condition que l’Ecossais parle distinctement et à une vitesse normale.

    • « Un Anglais peut très bien comprendre un Ecossais à l’accent prononcé »
      Mais ce sera pour se foutre de sa gueule.

      Raoult, comment dire, c’était d’abord un problème de contenu…

      • Le contenu des allocutions de Raoult ne m’a jamais posé problème.

        Exemple:quand des gens sont malades,il faut les soigner. Où voyez-vous un problème ?

        Exemple:nous constatons chez des malades un manque d’oxygène dans le sang ,dont ils ne s’aperçoivent pas (hypoxie heureuse);nous conseillons donc de surveiller le taux d’oxygène dans le sang à l’aide de petits appareils pas chers. Où est le problème ?

        Exemple: difficultés respiratoires aiguës; l’intubation est un acte invasif que des patients âgés peuvent ne pas supporter;en plus, souffler une grande quantité d’air dans un poumon malade et rabougri n’est pas forcément salutaire;nous préconisons l’optiflow,beaucoup moins traumatisant. Où est le problème ?

        Exemple: après guérison,il peut y avoir des séquelles pulmonaires (fibroses et autres);nous demandons aux patients que nous avons traités de revenir nous voir afin que nous examinions leurs poumons à l’aide de nos scanners low dose ultra-précis. Où est le problème ?

        etc.

        NB i) L’idée de l’optiflow a été adoptée par beaucoup d’hôpitaux.
        ii)Un certain temps après mon propre covid,j’ai suivi le conseil du Professeur Raoult:j’ai fait faire un scanner de mes poumons; le médecin que j’ai consulté à ce sujet et qui a rédigé l’ordonnance m’a confirmé que Raoult avait raison et que même un covid léger pouvait laisser des traces.

        • « quand des gens sont malades, il faut les soigner. Où voyez-vous un problème ? »

          Un problème apparaît dès qu’on soigne les gens autre part que là où ils ont mal.

          Merci Boby.

  180. Je disais hier :
    « L’exemple de Jean Castex est excellent, et illustre très exactement ce que je veux dire :
    – en aucun cas – en aucun cas ! – son accent n’était un obstacle à la communication, ne nuisait à la communication (contrairement aux craintes exprimées par l’ENS sur l’accent de Brighelli). Quand il s’exprimait dans l’exercice de sa fonction, il était compris de tous. »

    Et voici comment l’homme-aux-mille-pseudos présente mes propos :
    Néandertal
    16 mai 2024 At 20h47
    « Parmi les sottises de Josip : « en aucun cas » un accent régional (français) ne nuit à la communication. »
    Généralisation que je n’ai jamais posée – je ne parlais que du cas Castex -, détournement de mes propos, me faire dire des choses que je n’ai pas dites : techniques habituelles de la mauvaise foi et de la malhonnêteté intellectuelle.
    Mais techniques depuis longtemps éventées, mises à jour.
    « Le Roi est nu ».

    • Je sais que vous avez des difficultés en mathématiques et en logique dès qu’on dépasse le CE2 mais faites un effort, par pitié.

      Vous dites : ∃x, ¬A(x).
      Je prouve : ∀x, A(x).
      Et vous osez me dire que je suis hors-sujet…

      • Vous dites : ∃x, ¬A(x).
        Je prouve : ∀x, A(x).

        Et vous osez me dire que mes messages en croate auxquels vous ne comprenez rien sont une façon de vous mettre devant vos insuffisances ? Eh bien (1) ça n’est pas le cas, et (2) c’est en revanche ce que vous faites, vous, avez les « matez ma t(r)ique ».
        Vous êtes un sacré filou plein de culot !

  181. Depuis que Raoult s’est opposé à la désastreuse politique sanitaire macroniste en matière de covid,on ne cesse de le dénigrer et de tenter de le faire passer pour un charlatan.

    Pourtant, avant la crise, ses compétences n’étaient jamais mises en doute. Je rappelle,notamment, qu’il avait été nommé au « conseil de défense » et qu’il en a démissionné de lui-même quand il a constaté les orientations de ce conseil.

    Le même processus de dénigrement s’observe dans d’autres pays du monde, à l’égard de tous les médecins qui se sont oposés à la vaccinolâtrie.

    Aux Etats Unis, Peter McCullough, cardiologue réputé (le plus publié de tous les cardiologues américains) a été ostracisé dès qu’il s’est opposé au gouvernement;il a perdu sa chaire à l’université.

    En Angletrre Dalgleish, professeur d’oncologie, n’a plus pu publier dans les revues scientifiques du jour où il a expliqué que les boosters provoquaient des rechutes graves chez ses patients.

    La France est le pays où on va le plus loin dans la bassesse et l’insulte,c’est ce qui la distingue des autres pays. Volà tout.

    Bien sûr les dénigreurs n’apportent jamais le moindre argument scientifique à l’appui de leurs dires.

  182. Dugong 17 mai 2024 At 7h56
    « Un Anglais peut très bien comprendre un Ecossais à l’accent prononcé »
    Mais ce sera pour se foutre de sa gueule.

    Faux.
    Je vais vous retrouver un entretien entre unjournaliste écossais et un Anglais;vous constaterez que ça se passe sans moquerie ni difficulté.

    Le réel s’imposera-t-il à vous ?

    • Je me rappelle de discussions narquoises entre profs « d’Anglais » dans une salle des profs, L’un étant scotish natif …

  183. Dugong 17 mai 2024 At 9h28
    « quand des gens sont malades, il faut les soigner. Où voyez-vous un problème ? »

    Un problème apparaît dès qu’on soigne les gens autre part que là où ils ont mal.

    Je ne comprends pas.

    Exemple:une compression d’un disque intervétébral au niveau du cou peut provoquer des douleurs dans une main;il faut ,autant que possible, soigner au niveau du cou.

    Et de toute façon, vous esquivez, putain de merde. Le gouvernement avait dit:si vous êtes malade, restez chez vous, n’appelez pas le médecin.

  184. L’homme-aux-mille-pseudos veut plaisamment nous démontrer que certaines caractéristiques phonético-phonologiques des accents régionaux nuisent à la communication, la rendent difficile voire impossible. Et qu’il s’agit là d’un trait propre aux accents régionaux, une exclusivité des accents régionaux.
    Pour ma part je vous propose le dialogue ci-après, où il faut imaginer que les deux locuteurs s’expriment en français dit standard, chacun possédant à la perfection les compétences d’expression orale et de compréhension de l’oral en français dit standard. J’insiste : il faut imaginer que les échanges suivants ne comportent aucun élément d’accent régional. Du français standard exclusivement.
    Essayons d’oraliser ce dialogue et de « l’écouter » :
    – Néandertal : « Si je prononce le nom de Talleyrand, qu’est-ce qui te vient immédiatement à l’esprit ? »
    – Fregoli : « Autun ».
    – Néandertal : « Oui, bien sûr, Talleyrand, grande noblesse, hautain, ça va de soi. Mais encore ? »
    – Fregoli : « Je n’ai pas dit hautain, j’ai dit Autun. La ville. Autun. Talleyrand a été evêque d’Autun. »
    – Neandertal : « Ah d’accord. Mais alors, lui, Talleyrand, le grand aristocrate, la Province, l’éloignement de Paris, de Versailles, de la Cour…Est-ce que ça lui allait bien, Autun ?
    – Fregoli : « Tu es en train de me demander si la Province lui allait bien au teint ? »
    – Neandertal : « Non non ! Je te demande si la vie à Autun lui convenait… »
    – Fregoli : « Ah d’accord. Oui, je pense que ça lui convenait. La charge d’évêque avait bien des avantages. »
    – Neandertal : « Ah bon ? Tu en es sûr ? »
    – Fregoli : « Je ne dis que des choses sûres. »
    – Neandertal : « ????? Tu ne dis que des chaussures ???? »
    – Fregoli : « Mais non ! Je veux dire que je ne dis que des choses dont je suis certain ! Tu le fais exprès ou quoi ? Toi alors, tu es un cas ! »
    – Neandertal : « Moi, Inca ? Mais pas du tout ! Je n’ai aucune origine sud-américaine, je suis né et j’ai été éduqué à Paris dans le 7ème ? Comme toi ! Plus parisien bourgeois que moi, y a pas ! »
    – Fregoli : « Bon. Dis donc, on dirait bien qu’on a du mal à se comprendre aujourd’hui, toi et moi. Pourtant, normalement on parle la même langue, non ? »
    – Neandertal : « Eh bien oui, il y a beaucoup de malentendus, hein ? Mais alors, dans ce que dit notre ami commun Gavrilovic, tout ne serait pas à jeter ? »
    – Fregoli : « Mais qu’est-ce que tu racontes, encore ? Dans ce que dit Gavrilovic, absolument rien, rien de rien, n’est acheté ! Et rien n’est à vendre non plus ! »
    – Neandertal : « Euh…je voulais dire rien à jeter, à mettre à la poubelle, quoi… »
    – Fregoli : « Eh bien ce que je mets à la poubelle désormais, c’est l’idée que même si on s’exprime dans la même langue, la communication réussie, c’est gagné d’avance… »

    Il semble donc – non, il est certain – que le français dit standard, le parisien bourgeois, présente lui aussi des caractéristiques phonético-phonologiques qui nuisent à la communication, qui la rendent difficile.
    Difficile mais pas impossible, et il en est de même avec les accents régionaux : la communication suppose toujours un effort permanent de chaque interlocuteur pour s’adapter à la parole de l’autre.
    Cet effort d’adaptation est nécessaire dans tous les cas de figure : avec le français dit standard aussi ! La compréhension de l’autre n’est pas donnée d’avance. D’une certaine façon, si je puis dire, elle se négocie – comme on négocie un virage.

    PS 1 @l’homme-aux-mille-pseudos
    L’exercice de style auquel je viens de me livrer me semble infiniment plus convaincant que les 3 pages de phonétique articulatoire sur les voyelles « i » et « a » que vous me demandiez, plus adéquat qu’une description détaillée du phénomène de l’assimilation régressive, plus pertinent qu’un recours au trapèze de Jones…
    Vous vous aventurez sur des terres que vous connaissez imparfaitement. Et comme vous ne manquez pas de culot, vous y allez à l’esbroufe : la problématique de ces phénomènes vous dépasse, alors vous feignez d’en être l’organisateur…
    PS2 @l’homme-aux-mille-pseudos
    Comme vous êtes nul en langues étrangères, vous n’avez sans doute pas capté que « couille molle » pourrait être la traduction littérale de l’anglais « softball ». Savez-vous ce qu’est le softball ? C’est un sport qui ressemble un peu au base-ball. Eh bien je crois que vous venez de prendre un joli coup de batte dans les coucougnettes. Allez fiston, à la prochaine !

    • « Il semble donc – non, il est certain – que le français dit standard, le parisien bourgeois, présente lui aussi des caractéristiques phonético-phonologiques qui nuisent à la communication, qui la rendent difficile. Difficile mais pas impossible, et il en est de même avec les accents régionaux »

      Eh bien on y arrive : des difficultés* au sein d’un même accent et des difficultés supplémentaires lorsqu’il existe une divergence d’accent. Mais pourquoi Castex ferait-il exception à cette règle générale ?

      (*Même si je ne sais pas s’il est bien légitime d’employer « nuire » ou « difficulté » dès lors qu’il n’y a pas de standard supérieur – ce qui n’est pas le cas lorsqu’il existe précisément une différence d’accent.)

      « la communication suppose toujours un effort permanent de chaque interlocuteur pour s’adapter à la parole de l’autre. »

      Bien sûr. Et cet effort est d’autant plus important que la différence de prononciation entre deux locuteurs est grande. D’où : faible effort entre deux locuteurs de français standard ; effort moyen entre un locuteur de français standard et Jean Castex.

      « L’exercice de style auquel je viens de me livrer me semble infiniment plus convaincant que les 3 pages de phonétique articulatoire sur les voyelles « i » et « a » que vous me demandiez »

      C’est-à-dire qu’il n’a aucun rapport… Vous traitez ici de difficultés indépendantes de l’accent, alors que c’était l’objet de la question que je vous ai posée (dont la réponse tient en une phrase, pas en trois pages : « oui, toute différence phonétique est un degré de la mécompréhension »).

      • « Vous traitez ici de difficultés indépendantes de l’accent »
        Non, justement.
        L’accent méridional fait clairement la différence entre la voyelle de « brin » et celle de « brun ». Pour un marseillais, la confusion « Autun » vs « hautain » est impossible.
        Même chose avec « acheté » ( 2 syllabes pour le parisien) vs « à jeter » (3 syllabes pour le méridional, donc confusion impossible).
        Même chose avec « choses sûres » : deux syllabes pour un parisien, mais 3 syllabes pour un marseillais, donc confusion avec « chaussures » impossible pour ce dernier.
        Les difficultés que je pointe sont donc intimement liées à l’accent : à l’accent parisien bourgeois…au français dit standard…
        Je vous donne ici 3 exemples où l’accent régional méridional évite les ambiguïtés (et donc les problèmes de communication) que le français dit standard génère…amusant, non ?

        • Oui, en effet, je n’avais pas saisi.

          Mais vous apportez encore un peu plus d’eau à mon moulin alors : la différence d’accent nuit à la communication…

  185. Je note avec intérêt que vous admettez l’idée que le français dit standard (le parisien bourgeois) est un accent régional comme un autre, imposé comme standard par un coup de force inaugural…

    Sur le fond : oui, les accents (tous les accents) peuvent rendre la communication difficile. Mais les difficultés de communication ne viennent pas uniquement des accents, loin de là. La communication réussie tient toujours un peu de l’exploit : il aura fallu que les interlocuteurs s’adaptent les uns aux autres, ajustent leurs outils linguistiques, reformulent leurs propos etc.

    Oui, vraiment, la compréhension est un cas particulier du malentendu : les risques de malentendu sont au départ plus nombreux et plus importants que les chances de compréhension réussie. Les accents font partie de ces risques, j’en conviens, mais les accents régionaux pas plus que le français dit standard, lui même aussi accent régional parisien + norme sociale « bourgeoisie »…

    • « vous admettez l’idée que le français dit standard (le parisien bourgeois) est un accent régional comme un autre »

      En gros (parce que je suis assez sceptique devant votre définition de l’accent) : en diachronie, oui ; en synchronie, ça ne risque pas.

      « oui, les accents (tous les accents) peuvent rendre la communication difficile »

      1) Plus exactement : non pas l’accent (ce qui n’aurait aucun sens avec votre définition) mais la différence d’accent.

      2) Pas au même degré.

      3) Vous admettez donc que votre assertion sur Castex était une foutaise ?

      « mais les accents régionaux pas plus que le français dit standard »

      Ben non… Si l’accent standard est défini par sa prévalence, le risque de différence d’accent est plus important pour un locuteur à l’accent non standard qu’à l’accent standard. Donc, sauf à imaginer une distribution où l’effectif serait compensé par la distance (l’accent standard serait le plus phonétiquement extrême…), le cas d’égalité est impossible. Donc vous avez tort.

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