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La Porta d’Ampugnani, église Saint-Jean-Baptiste, 1720
Soudain vous êtes sorti des arbres, et la lune pleine illumine l’asphalte. L’odeur sèche des immortelles et du fenouil prend le dessus sur les senteurs d’humus et de cèpes à venir. Bientôt, à droite, la masse imposante, ombragée de cyprès, de la tombe Vittini – pauvre palais pour l’au-delà. La nuit se fait plus dense tandis que vous longez le mur affreusement bétonné du cimetière de La Porta. Au bout de la ligne droite, le clocher baroque, illuminé. Construit par Domenico Baïna à partir de 1720 – mais il mourut avant d’en voir la fin. Tiens, bientôt une heure…
Vous faites presque une embardée quand apparaît dans le faisceau de vos phares une jeune fille affolée qui court vers le village, – pour échapper à quel fantôme ?
La porte du cimetière se referme comme elle s’est ouverte : en grinçant, bien sûr.
– Viens, dit-il en lui prenant la main.
Invite inutile. Sans doute parce qu’elle a à cœur de camoufler ses craintes, ou d’afficher son courage, Marion descend sans trop hésiter les marches qui mènent vers les tombes.
Les cyprès épaississent encore la nuit. Ils se dirigent sur la droite, vers les rectangles, luisant sous la lune, des dalles de marbre ou de granit.
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Le problème, en Corse, c’est le regard des autres. Qu’une fille se laisse embrasser, de jour comme de nuit, au cœur du maquis le plus impénétrable, et le village entier bat le rappel des commères. On alloue aux adolescents en mal d’amour un espace d’ébats, et rien d’autre : ici, cela va de la plaque indicatrice qui, sur la route de Campu Morade, salue les victoires du général Sebastiani jusqu’au châtaignier creusé par la foudre, juste avant le virage, « sur la route du haut », comme ils disent. Itinéraire officiel des promenades nocturnes, sous le regard des lampadaires. Au delà, on enfreint la loi tacite qui protège la vertu des filles et le repos des mère
Ils venaient de transgresser tous les codes, et par chance aucune voiture ne les avait happés dans le faisceau de ses phares, sur la route du cimetière, bien après l’arbre foudroyé.
Pendant tout le chemin, il l’a entretenue du fatras de vieilles légendes corses, et comment « l’incantatora » lève les malédictions en jetant du plomb ou de l’huile dans l’eau,
« Tandis que son doigt sec sème des gouttes d’or
Scintillantes dans l’eau qu’épouse la lumière,
Sur le sommeil fiévreux de l’enfant, la sorcière
Dit les mots solennels qui conjurent le sort ». (Charles Giovoni, « Exorcisme », in Mon île, 1934)
Il lui récite, d’un ton solennel qui eût été ridicule en toute autre circonstance, ces vers de Charles Giovoni et la formule qui « caccià l’ochju », casse l’œil :
« Gesù, Giuseppe, Maria,
Chi questu male si ne vaga via ».
– C’est toi le mauvais œil, dit-elle.
Croit-elle plaisanter ? Le fait est qu’il a tout fait pour l' »annochiare », selon la technique classique — par des compliments bien tournés sur ses capacités intellectuelles de fille de la ville en villégiature dans la Corse profonde.
Autour d’eux dansent les « scappucioli », les âmes des enfants morts. Ou des vers luisants, selon ce que l’imagination complote.
Et maintenant, enfin, à l’abri — au cœur des ténèbres. Personne ne se risque ici, le soir. D’abord, la grille grince horriblement. Il faut vraiment ne pas être corse pour profaner ainsi la nuit – et le reste.
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Ils trouvent une pierre tombale large comme un lit de noces. Le granit poli arraché aux carrières de Corte brille dans le noir, ton sur ton. Rien n’est encore inscrit sur la pierre, qui attend un corps – et qui en héberge deux, soudain, au milieu de la nuit. Quand elle se déshabille, son corps pourtant hâlé se détache en courbes claires sur la pierre obscure.
La nuit est chaude, la dalle est glacée. Il sent bien qu’elle frissonne, il la serre et la réchauffe, et il la prend sur lui. Galanterie, – et le plaisir de sentir sur soi tout le poids de ce corps si léger d’adolescente.
Baisers partout et folle étreinte. La pierre se réchauffe doucement contre son dos. Du pied, il trouve encore des espaces plus froids, comme dans un lit d’été lorsqu’on cherche un coin de drap encore frais. Elle l’embrasse et l’embrasse et l’embrasse, – et vérifie ensuite d’une main prudente que ces préliminaires sentimentaux l’ont rendu à l’âge de pierre, ou, mieux, de bronze… Alors elle pivote sur l’axe de son corps et engloutit sa verge dans sa bouche.
Elle le suce déjà qu’il l’aide encore à passer son genou au dessus de sa tête. Ses cuisses et ses fesses lui obscurcissent soudain les étoiles. Il fouille d’une langue adroite (ou supposée telle) les lèvres du sexe offert. Constatation toujours agréable : leurs baisers l’ont vraiment excitée. Ou la marche jusqu’au cimetière et les histoires de « mazzeri », ces sorciers redoutés. Ou le grincement de la grille. Les hommes ont toujours tendance à s’attribuer ce qui n’est que l’effet de la nuit, et du scintillement des étoiles.
Le bourdon du célèbre clocher baroque du village égrène une première fois les douze coups de minuit.
Si sa jeunesse éclate sur un point, c’est qu’elle n’ose pas perdre de temps en délicatesses de bouche. Elle va, vient et plonge, disparaît dans un buisson brun, avale jusqu’à la racine le sexe tendu, revient, dans une aspiration continue, jusqu’au bout du gland, l’enrobe de sa langue et replonge. Son manque tout relatif d’expérience l’incite à pratiquer des fellations de prostituée pressée d’avoir du sperme dans la bouche et de le recracher sur le ventre de son client. Mais du bout des ongles, elle caresse adroitement les cuisses et les couilles gonflées.
Il accélère ses jeux de langue, explore d’un doigt, de deux doigts, le vagin encore étroit mais complaisant, les ressort, les frotte sur l’anus ; finalement, il enfonce le pouce entre les fesses tendues, index et majeur dans le sexe dilaté et plus juteux encore que dans les livres.
C’est presque électrique. Il lui semble qu’elle aspire ses doigts, qu’elle accélère encore le rythme de sa bouche, qu’elle le boit bien au delà du ventre. Il joue de ses doigts quelques instants, caresse la boule au fond de son ventre et sa langue vibre toujours autour du clitoris, puis il les retire (y a-t-il comme une plainte ? une protestation ?), et immédiatement plonge deux doigts dans le cul ouvert, deux autres dans le sexe qui lui irrigue les joues, le nez et le menton. Elle crie. Les cloches sonnent minuit pour la seconde fois.
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La dernière vibration achève de se résoudre en silence quand la jeune fille, haletante, reprend l’initiative. Elle se libère d’un coup de la pince de crabe qui la fouille, lâche en même temps la verge extasiée et se retourne complètement, son visage au dessus du sien. Elle se redresse à demi. A genoux sur lui, elle se penche en avant pour embrasser la bouche toute barbouillée d’elle, et s’enfonce dans le ventre le sexe dressé vers les étoiles – un peu de lyrisme ne messied pas en de tels paysages.
Elle a une langue habile et fureteuse, qui évolue en impacts soudains, vient et revient chercher quelque secret au plus profond des muqueuses. Elle lui mord doucement les lèvres, et les langues dures reviennent se battre. Ses hanches se frottent aux siennes, et elle appuie son ventre contre le sien, contre la base de la queue qui la fouille et qu’elle s’approprie.
Au bout d’un moment elle se redresse et déplie les genoux. Elle est à présent assise sur lui, il est le mort qu’elle chevauche, et il a l’impression fugace qu’il s’enfonce encore et encore, bien au delà de son ventre. A peine s’il a le temps de penser qu’il va la défoncer : elle prend appui sur ses hanches, remonte autour de la colonne de chair tendue, et s’y empale à nouveau, toujours plus loin, plus fort. Elle a à chaque fois un cri grave, profond, comme un sanglot heureux.
Il se force à penser à des choses futiles. Au clocher de l’église, typique du rococo jésuite du début XVIIIe. Aux concerts d’orgue que l’on y organise. Aux voitures de sport qui stationnent parfois sur la place, témoignages de la réussite spectaculaires de quelques enfants du pays qui ont fait construire à leurs vieilles mamans quelques jolies bicoques. Qui se soucie de savoir si les fondations ont été creusées au marteau-piqueur ou au colt 45 ?
Mais tout, clocher, tuyaux d’orgues, marteaux-piqueurs, colts et Testarossa (surtout la Testarossa) le ramène à la situation présente et à ce ventre qui le possède.
Elle a de petits seins très ronds, des seins de jeune fille tendre, qu’il a caressés tout à l’heure tout en délicatesse, et qu’il pétrit maintenant à pleines mains, malmenant les pointes rondes, à peine perceptibles, griffant la peau de marbre, presque bleue sous la lune.
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Il se soulève, s’assoit tout contre elle, elle replie ses jambes derrière ses reins – emboîtés l’un à l’autre comme les êtres doubles de Platon dans le Banquet. Il penche la tête et suce longuement ces seins insensibles, les mord, de plus en plus sauvagement. A chaque fois, elle gémit, secoue la tête pour refuser et rejette un peu plus les épaules en arrière pour s’offrir davantage.
Puis elle appuie sur ses épaules, et le renverse à nouveau. Sous son dos, la pierre a eu le temps de refroidir, et il réprime un frisson bizarre, coincé entre cette glace et la chaleur du fourreau qui l’emprisonne.
Un instant elle s’arrête, le fixe et lui dit qu’elle l’aime, – et, par bonheur, ne semble pas exiger de réponse – ni y croire.
Alors elle se soulève un peu plus haut, saisit de la main droite la verge visqueuse, et sans tâtonner vraiment, la déplace de quelques centimètres vers l’arrière et se rassoit sur sa conquête – à peine plus lentement.
Trois ou quatre fois elle joue à ce jeu. Elle le libère soudain, le replonge en elle par devant, le parcourt avec son ventre, puis à nouveau se soulève, et l’enfonce dans son cul, à chaque fois plus ouvert. A chaque fois elle l’amène (mais comment le sait-elle ?) à son point d’explosion, le libère doucement, lui laisse quelques secondes pour maîtriser ses émotions, le temps de déplacer à nouveau l’objet de son tourment exquis en avant ou en arrière. Et pour rester encore un peu dans la douleur délicieuse d’une délivrance différée, il se prend à penser qu’à 16 ans elle a déjà troqué les sentiments pour la technique… Mais elle lui dit encore qu’elle l’aime, et il la croit, car l’heure tardive, les odeurs du maquis, la flamme noire des cyprès, tout conspire à le lui faire croire.
Bientôt, de plus en plus vite, il passe du ruissellement doux de son sexe, dont il heurte à chaque fois le fond avec une violence mal retenue, et la chaleur d’étuve de ce cul sans limite qui le happe, le relâche et le reprend. Et quand enfin il jouit, il ne sait même plus où il est, dans son ventre ou dans ses reins, dans quelle bouche chaude et huileuse… D’ailleurs, c’est à peine si elle le sent se répandre en elle, goutte d’eau apportée aux marécages de son corps. Elle le regarde fixement, assise sur lui, immobile sphinx.
Il y a un mouvement de l’air. Les cimes des cyprès oscillent, la lune qui s’était tenue à l’écart roule dans le ciel constellé. Il la regarde, penchée au-dessus de lui, à le scruter dans son orgasme comme elles font toutes quand elles ne sont pas trop pressées de se remaquiller. Le rayon de lune met un reflet argenté sur ses cheveux, et il pense que cette auréole sied bien au cimetière et que les morts n’ont pas grand-chose à y redire. Le visage reste invisible, à contre-jour, à contre-nuit. Face noire encadrée de cheveux argentés, – comme une très vieille femme venue du fond des âges pour réclamer un étrange dû.
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Ils se rhabillèrent, commodément assis sur le bord de la tombe. Elle remit son pull léger qui occulta la blancheur des seins, et cette peau laiteuse irriguée de lune.
Elle se leva pour achever d’enfiler son jeans, et un hurlement hystérique, terreur à l’état brut, lui échappa :
– Qu’est-ce qui t’arrive ?
Mais juste le hurlement se brise. Dans le gargouillis qui suit, il ne distingua que ces mots déformés par le cri : « Une main ! »
Elle fit un effort démesuré pour échapper à… à quoi ? Il y eut un bruit caractéristique de griffes labourant la toile cartonneuse du pantalon. L’instant d’après elle s’était enfuie, courant comme une folle.
Il se pencha. Des ronces, bien sûr. Rien que des ronces. Il éclata de rire, regarda le nom gravé sur le tombeau, et pensa que les *** négligeaient fort leurs morts.
Là-haut, le bruit de la grille, que l’on ouvre et que l’on ne referme pas. Puis les talons claquant sur le bitume. Juste après, le ronronnement d’un moteur, et deux phares à iodes balayèrent les cimes des cyprès.
– Je me demande ce que le chauffeur va raconter, dit-il en reprenant lentement la direction du village. Il a vu, à minuit et des poussières, la petite Une Telle qui sur la route du cimetière courait tout en reboutonnant son jean…
Il referma soigneusement la grille derrière lui. Dès qu’il fut arrivé au bout du mur du cimetière, l’ombre protectrice des arbres disparut soudain, et il se retrouva baigné de lune, face au village endormi. Cette goutte de lait suspendue au-dessus du clocher avait, à bien y regarder, un faciès ironique. Quand, deux cents mètres plus loin, il se retrouva dans l’ombre épaisse et humide des châtaigniers, la cloche sonna une fois. Si profond, si parfait avait été son délire qu’il ne savait plus si c’était la demie de minuit, ou bien déjà une heure.
– Si c’est une heure, il y aura un second coup, dans cinq minutes, dit-il tout haut. Et curieusement cette certitude le préserva contre les ombres.
Jean-Paul Brighelli
PS. Les images sont issues de performances réalisées sur la tombe célèbre de Victor Noir, au Père-Lachaise.
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Il est des marbres qui ne laissent pas froid…
Démenti à une épigramme d’un auteur grec antique ( Athenee?) :
Pourquoi t’étendre sur le marbre froid? Il ne peut jouir.
La Une : pourvu qu’elle ne laisse aucune trace (crasse – rouge et noire).
La Deuze (twice) : du noir ; ça s’imposait ; et le p’tit chapeau (noir) fait toute la différence.
La Trois : les grolles (ouaf) et la culotte (blanche) à pois-pois (re-ouaf).
La Quatre : blondasse-fadasse ; d’un mauvais goût absolu avec culotte blanche-gants noirs-bas couleur chair p’tits pois pois.
Toussa sous l’Eglise de St Jean-Baptiste ?
A. Chabot (« promeneur nécropolitain » et ex « prof »…)
a donc parfaitement illustré la « légende » concernant Victor… Noir, « martyr de la République » !
En vérité, je vous le dis, JPB s’y verrait bien, un jour,
en gisant coquin !
Grossière erreur de ma part :
Seul « l’érotique » de certains « marbres » a retenu l’attention du « promeneur nécropolitain »,
et pour cause… quand on voit la moche vulgarité de des « performances » !
(de ces)
(je mérite vraiment le bonnet d’âne… de préférence à la punition corporelle – 😁)
la « légende » concernant Victor… Noir, « martyr de la République » !
Tué par le prince Pierre Bonaparte ( on reste en Corse dont ce prince fut un moment député et président du conseil général).
C’était d’ailleurs un drôle de pistolet (…) dont la vie est parsemée de quelques meurtres…
Un extrait de sa bio sur Wikipedia :
» Pierre fait la connaissance d’Éléonore-Justine Ruffin, fille d’un ouvrier fondeur parisien, qu’il surnomme Nina et avec qui il part vivre en Corse. Avant son départ, le ministre de la Justice lui demande[réf. nécessaire] de convaincre le bandit Serafino, qui terrorise la région de Calvi, d’accepter un passeport pour l’Amérique. Il accepte cette mission. Serafino assassine quelque temps plus tard un ami de Pierre, maire d’un village voisin. Serafino est abattu par des gendarmes peu après.
En Corse, le couple rencontre un ancien précepteur des enfants de Lucien [Bonaparte, père de Pierre] , l’abbé Casanova, qui accepte de les bénir, sans mariage civil préalable »
Il participe à une guerre en Amérique du Sud, à une bataille en Algérie, tue un homme à New-York, un autre à Rome, se bat avec des Albanais à Corfou..
Le fameux meurtre de Victor Noir est aussi une conséquence d’une affaire Corse assez tordue.
Pour un petit bonheur posthume, comme disait Brassens…
😊!
A noter sur le gisant de V Noir ( dû à Dalou, auteur de la statue Le triomphe de la République, place de la Nation) :
» L’œuvre est conçue dans un réalisme qui entraîne certaines personnes superstitieuses à toucher le gisant depuis des années, d’où une oxydation de la patine et une érosion du bronze que présente la statue de nos jours sur le relief du visage, l’impact de balle, la partie virile et les chaussures. Un folklore veut en effet que les femmes en mal d’enfants touchent le gisant, voire le chevauchent, afin d’être rendues fertiles ».
On le voit bien sur la photo illustrant l’art Wikipedia
https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Tombe_Victor_Noir.jpg#mw-jump-to-license
Saisissant ! (On comprend l’intérêt de JPB pour une telle oeuvre d’art !)
Gisant de V.Noir:
» Les guides racontent qu’on trouve des préservatifs sur la tombe du journaliste, ce qui donnerait à penser que certains couples font l’amour directement sur le gisant »
La tombe de Victor Noir au cimetière du Père-Lachaise, Archives des sciences sociales des religions ( !!!), 2010
Marina Emelyanova-Griva
https://journals.openedition.org/assr/21870
Directement sur le gisant ? Est- ce facile ?
Il n’y a pas que JPB capable de prouesses… incredible but (évidemment) true !
C’est un rtécit sans tambour ni trompette…ni ceinturon.
L’odeur sèche des immortelles et du fenouil prend le dessus sur les senteurs d’humus et de cèpes à venir.
à venir , c’est-à-dire ?
i) si on poursuit son chemin, on sentira un peu plus loin, des odeurs de cèpes et d’humus. Mais alors comment se fait-il que « l’odeur sèche des immortelles et du fenouil » l’emporte déjà sur des senteurs non encore recontrées ? Est-ce à dire que ces odeurs (d’immortelles, de fenouil) sont si fortes que les senteurs ( d’humus et de cèpes) auront dû mal à être perçues ? Et que le narrateur (ou narrateur personnage, ou personnage) qui connaît l’endroit sait d’avance que les odeurs de cèpes et d’humus « à venir »,il ne les reconnaîtra que grâce à son expérience,tant elles seront étouffées par les précédentes, rémanentes. (on suppose que les vitres de la voiture sont baissées)
ii) ou alors c’est tout différent: les cèpes sont « à venir »;on les récoltera plus tard; déjà ils dégagent une certaine odeur qu’on ressentait mieux un peu plus tôt; maintenant dominent le fenouil et l’immortelle.
ii) me paraît beaucoup plus plausible.
La nuit est chaude, la dalle est glacée.
La journée a-t-elle été cahaude ? Il estminuit,certes et la nuit doit être assez froide,mais si le granit a chauffé toute la journée, il devrait être encore tiède;
Quand on se promène la nuit dans un village du Sud, sio s’approche d’un mur, on ressent brusquement une chaleur intempestive;si on était sorti faire quelques pas dehors, c’était pour qu’mander un peu de fraîcheur.
C’est toujours un plaisir de retrouver Lormier dans ses remarques au plus près du texte !😁
Il faudrait à Lormier quelques techolectes supputexiens pour tenter une métaanalyse de ces fragments…car il s’agit bien de fragments.
Parfois le paratexte nous enseigne qu’il s’agit d’un cahapitre de roman (achevé ou pas) d’un esquisse pour autre chose…
Aujourd’hui, pas de paratexte;on ne sait où pourrait mener un tel récit.
On le comparerait volontiers à d’autres (par exemple celui dont le personnage baisé était une joueuse de tennis) mais c’est très différent:avec la joueuse de tennis, on savait d’où elle sortait,on était au courant (en résumé) des manoeuvres préparatoires.
Ici, non.
Une remarque: dans aucune des histoires de copulationnement,il n’y a échec:la fille jouit toujours et jouit bien.
Le texte est peut- être simplement une nouvelle. Généralement on attend d’une nouvelle une » chute » , une surprise ( par exemple dans les nouvelles de Maupassant) , ou une explication de ce qui à été relaté ( c’était donc cela!) , mais la nouvelle erotique se dispense probablement de ce schéma?
* ce qui a
WTH 20 février 2025 At 10h34
(help, Lormier ! « Che » ?)
Chevènement, très probablement,quasi certainement.
le sexe qui lui irrigue les joues, le nez et le menton.
Cocasserie: en anglais un lave-dents s’appelle « oral irrigator »;cela va me poursuivre un moment.
(« jet dentaire » – grâce à Lormier, mon vocab’ anglais s’enrichit chaque jour davantage !)
Mais c’est, bien sûr… !
(« Che »…)
Ce n’est pas ce Che là, sur le mur?
Visite de Rima Hassan chez Georges Abdallah, qualifié de plus vieux détenu politique des infâmes prisons françaises il y a qqs jours…
https://x.com/RimaHas/status/1890436731024871733/photo/1
Rappel Georges n’est pas en prison pour ses idées mais pour complicité d’assassinat multiples.
assassinats au pluriel
Oui
« La journée a-t-elle été chaude ? Il est minuit, ertes et la nuit doit être assez froide, mais si le granit a chauffé toute la journée, il devrait être encore tiède; »
La peau n’est pas munie de capteurs de température mais de capteurs de flux d’énergie sous forme de chaleur. Ces capteurs seront particulièrement sensibles au contact avec des matériaux qui sont de bons conducteurs thermiques. Lorsque vous touchez un tel matériau qui est à la température ambiante, il s’établit un flux d’énergie qui pompe de l’énergie de la peau vers le matériau et donne cette sensation de froid.
C’est à peu près la même chose quand vous versez un peu d’éther ou d’alcool à 90 sur la peau. Ces liquides bouillent à des températures relativement basses (35°C pour l’éther, 78°C pour l’éthanol) à la pression ordinaire. Lorsque vous déposez une goutte d’un tel liquide qui est à la température de la pièce sur la peau, s’établit un flux de d’énergie sous forme de chaleur qui suffit à vaporiser le liquide (c’est ce qu’en physique on appelle la « chaleur latente de vaporisation » du liquide).
C’est le même phénomène qui permet un refroidissement de la peau par la sudation.
Amen.
PS De nombreux phénomènes naturels font d’explications thermodynamiques fausses mais fortement ancrées. Ainsi, « l’effet loupe » qui aurait lieu en arrosant une plante et qui brûlerait ainsi les feuilles arrosées au soleil. Ce qui ne signifie pas qu’il soit bénéfique pour la plante d’être arrosée en plein soleil…
It’s a beautiful world (suite)
https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/02/20/croyons-les-anarcho-capitalistes-americains-lorsqu-ils-annoncent-vouloir-se-debarrasser-de-la-democratie_6555481_3232.html
« croyons ces anarcho-capitalistes lorsqu’ils annoncent vouloir se débarrasser de la démocratie. Ils sont les ennemis du peuple. Les politiciens de droite et les chefs d’entreprise qui, en Europe et ailleurs, affichent une fascination servile pour le cocktail de déréglementations brutales qu’ils promettent sont les idiots utiles qui permettront leur sombre règne. »
Oui, Dugong.
Le courant de pensée – et d’action – que décrit cet article vient d’arriver au pouvoir aux USA. Les libertariens au pouvoir mettent en place un système « où l’on s’affranchit des lois, des taxes, des réglementations environnementales, du code de la construction et du droit du travail », et ce système libertarien conduit à coup sûr à la mise en place d’un état illibéral. C’est ce que nous promet Ubu-Roi aka Trusk/Mump.
Il est frappant de constater qu’Ubu-Roi, dans ses ingérences dans les affaires européennes, soutient les partis d’extrême-droite et personne d’autre. Et l’Histoire montre abondamment que l’extrême-droite s’accommode fort bien – euphémisme – d’un capitalisme généreux envers elle. La boucle est bouclée : libertariens + illibéraux = Ubu-Roi au pouvoir. La pompe à phynance + la moulinette.
Rien d’étonnant à ce que Bardella, Ciotti et Dupont-Aignan, souverainistes en carton et patriotes d’opérette, aient bruyamment applaudi le discours de JD Vance à Munich : ils y ont reconnu leur maître à penser et….leur sponsor.
Je l’ai déjà dit et je le répète, n’en déplaise à abcmaths qui s’en est offusqué : je vois sous mes yeux se mettre fn place tous les ingrédients qui rendent possible la Collaboration.
Et vlan ! Vous voilà reparti dans vos litanies…
Point de « collabos » jusque là ?
Point d’« Etat illibéral » ?
Point de « réglementations brutales » qui ont à peu près tout cassé… ?
Mais patience JG :
à force de « drill, baby, drill, »
et « plug, baby, plug »,
les damnés finiront par relever la tête,
s’ils le peuvent encore,
tandis que les z’élites (on ne parlera plus ni de droite, ni de gauche) se seront peut-être, qui sait, envolés vers Mars
« Dallas, ton univers impitoyable… » : « The place to be » … comme dans les années ‘80 ! Un « éden du business où tout est transaction ».
Une journaleuse qui n’a pas inventé l’eau chaude , et aurait sans doute du mal à comprendre le « phénomène qui permet un refroidissement de la peau par la sudation. » (merci professeur).
Point de « réglementations brutales » imposées… jusqu’à présent !
Seuls les démons de « droite » (!) feront arriver le « sombre règne » sur terre.
Me(r)dre alors ! On croyait être au Paradis, et tout fout le camp !
(« éden » : avec accent sur le « e » !)
(article du Monde – Dugong, 9h06)
Photos d’illustration.
Si certaines paraissent un peu ringardes, c’est imputable à la mode en lingerie – je suppose que les photos sont extraites du livre présenté à la
fin de l’article, livre déjà ancien ?
La première photo représente semble t il, la célèbre strip teaseuse (il y a peut être un autre mot plus up to date ?) DIta Von Teese dont on parlait bcp vers les années 2000- 2010.
La photo de la jeune femme en noir avec son petit chapeau à voilette, représente clairement une veuve – il y a une tradition de représentation erotique des veuves , avec bas noirs, voilette…
https://x.com/RimaHas/status/1890436731024871733/video/3
La porte de sa « cellule » est munie d’un digicode ?
Autorisation spéciale je suppose pour une députée européenne
Même communication sur le site professionnel LinkedIn
Une personne.écrit qu’il y a des gens qui bossent et qui ont un logement moins confortable que G Abdallah, et une autre se présentant comme sociologue à l’univ. Aix Marseille lui répond : vous êtes un être méprisable.
Toujours intéressant de lire les réactions…
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://fr.linkedin.com/posts/rimahassan_visite-de-georges-ibrahim-abdallah-activity-7296206895575388160-NxhH&ved=2ahUKEwiSvY-nr9SLAxXmfKQEHRqbHDAQFnoECBUQAQ&usg=AOvVaw0bjJnoUePdy4XAP9KV5qOk
« Toujours intéressant de lire les réactions… » (merci Echo !)
« Le trumpisme se caractérise par un rapport très particulier à la vérité », suite :
Pendant qu’à Munich le nouveau VP de Trump balance approximations, imprécisions et mensonges, son ancien VP rétablit une vérité mise à mal par Ubu-Roi :
https://www.bfmtv.com/international/amerique-nord/etats-unis/l-ukraine-n-a-pas-commence-cette-guerre-donald-trump-corrige-par-son-ancien-vice-president-mike-pence_AN-202502200328.html
Mike Pence, ancien VP de Trump 2016-2020…qui reprend de volée l’énormité proférée par Ubu-Roi : Pence sort grandi de l’épisode, incontestablement.
ECHO, le mensonge de Trump- Ubu-Roi vous paraît-il lui aussi relativement comparable à ce dont sont capables nos responsables politiques les moins médiocres? Pas de changement d’échelle ? L’Ukraine déclenchant la guerre en février 2022, ça passe crème ?
Quelle armée de quel pays a franchi les frontières de quel autre pays en février 2022? Je vous demandais hier de me rafraîchir la mémoire, Mike Pence l’a fait à votre place. Thanks Mike !
Indécrottable JG… qui se REFUSE catégoriquement à vouloir comprendre pourquoi les Russes ont « envahi » l’Ukraine – elle même « envahie » par les EU – 2014, « révolution orange », etc, etc…
Sans compter que Zélensk’ était près à signer avec la Russie…
mais l’Occident l’a sommé de rentrer en guerre,
B. Johnson s’étant précipité à Kiev pour transmettre les ordres…
Ne pas oublier la haine féroce des Brits à l’égard des Russes.
C’est une longue histoire, JG !
Quant au Pence (!) rien qu’un khon : il a été lâché… en connaissance de cause, et se venge comme il peut.
« l’Occident l’a sommé de rentrer en guerre »? Vous attribuez à « l’Occident » des pouvoirs que vous lui refusez catégoriquement par ailleurs.
? Il s’agit des… EU, maître d’oeuvre (!),
qui ont en effet « sommé l’Ukr de rentrer en guerre »,
et maintenant rendent l’Ukr responsable d’être, de son propre chef (!), rentrée en guerre.
L’« Occident », ou l’Europe (UE) = suiviste forcenée, et – depuis le retournement de veste des EU – tournée en ridicule, et plus que roupie de sansonnet…
Comme a dit quelqu’un, prêt de moi : « On peut dire que l’Europe n’a vraiment rien compris au film et va finir dans les poubelles de l’histoire. Elle aura achevé sa complétude… »
(entrer et non rentrer en guerre)
WTH
21 février 2025 At 10h48
Indécrottable JG… qui se REFUSE catégoriquement à vouloir comprendre pourquoi les Russes ont « envahi » l’Ukraine – elle même « envahie » par les EU – 2014, « révolution orange », etc, etc…
1. Pourquoi mettez-vous des guillemets à « envahi » ? Ça n’était pas une vraie invasion ? C’était « pour de rire »?
2. Vous dites donc clairement que cette invasion était justifiée et moralement défendable.
Bien bien.
I rest my case (again).
Quant à imaginer que Pence a pris la position qu’il a prise uniquement pour se venger d’on ne sait quoi, ça en dit plus long qu’un long discours sur la mesquinerie et l’étroitesse d’esprit qui caractérisent vos prises de parole.
Mike Pence s’est éloigné et désolidarisé de Trump après l’assaut du Capitole. Trump ne l’a pas accepté.
Et vous traitez de con un homme qui a sans doute beaucoup de défauts mais qui a au moins la dignité de s’opposer à Ubu-Roi.
Bien bien. I rest my case, again…
Lâchez-nous avec l’Ukraine. C’est terminé. Pauvre factchecker en carton.
Gérard
21 février 2025 At 11h20
Lâchez-nous avec l’Ukraine.
Non.
Merci pour la « mesquinerie » et « l’étroitesse d’esprit ».
« I rest my case, again » : vous vous prenez encore pour un avocat ou un honorable membre du Parle-ment ?
Vous êtes bardé de ce même culot qui anime M. Cymes. Dans un dernier élan de course à la respectabilité, ce triste sir met en garde contre la manipulation de JR Kennedy. Cymes, ce triste sir, qui nous expliquait « tous vaccinés tous protégés » « y’a pas d’effets secondaires » durant le Covid. Vous êtes du même tonneau.
Hollande avait la tâche de superviser le respect des accords de Minsk ; de son propre aveu, il a sciemment échoué dans cette charge qui lui avait été confiée expliquant qu’il fallait qu’il y ait une guerre.
Shut up ! Fermez votre bouche ! Comme pour ce Cymes, plus personne ne vous prête de crédit si n’est les petites putes gavées par l’USAID.
Gérard :
« Shut up ! Fermez votre bouche ! »
Gérard, fer de lance de la défense de la liberté d’expression à la mode Ubu-Roi.
On vous explique que les manœuvres que vous vous acharnez à défendre sont démasquées. Soit, je vous l’écris en bold pour que vous lâchiez l’affaire.
Hollande avait la tâche de superviser le respect des accords de Minsk ; de son propre aveu, il a sciemment échoué dans cette charge qui lui avait été confiée expliquant qu’il fallait qu’il y ait une guerre.
Gerard : « pour que vous lâchiez l’affaire ».
Non.
En fait, WTH, vous voyez le monde et l’humanité à votre image : exclusivement animés par des passions tristes.
Dommage pour vous…ça ne doit pas être drôle tous les jours.
N’oubliez pas que vénérer les brutes peut être un moyen de soigner ses propres frustrations.
Exact.
Juste un exemple en passant, tellement révélateur des passions tristes de WTH : elle qualifie Marie Charrel, auteur de l’article cité par Dugong ci-dessus, de « journaleuse qui n’a pas inventé l’eau chaude »…qualificatifs totalement gratuits, minables
WTH ne savait évidemment rien de cette Marie Charrel. Moi non plus, jusqu’à ce que je recherche et trouve ceci :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Marie_Charrel
Pas mal, pour « une journaleuse qui n’a pas inventé l’eau chaude ». Le jour où WTH pourra afficher des accomplissements comparables, elle pourra le faire sans trop de honte…
Voilà. Je n’ai pas d’intérêt particulier à prendre la défense de cette Marie Charrel. C’était juste pour illustrer les passions tristes qui animent en permanence la WTH.
A plus tard, peut-être.
Le Croate 21/2 @11h32
Marie machin ses six bouquins ont fait moins de 5000 exemplaires y compris les exemplaires de presse..C’est juste une totale imposture, et son diplôme de sciences pipo Grenoble ça vaut bien moins qu’un CAP limeur.
Tous les prix qu’elle a obtenus sont des trucs bricolés et ronflants de l’entre-soi.
En résumé une cruche mise en avant par son cénacle de tarlouses gauchisantes et de tafioles patentées…
« Passions tristes » : n’en jetez plus…
(déjà que je fais presque vomir M…x !)
Personne ne doute que la vôtre de vie (?!) est passionnante, « drôle », « animée »…
D’où vos lancinantes litanies…
… « les accomplissements comparables » de la môme journaleuse – sortie, entre autre, de IEP… Grenoble (!).
Sans être passée (pour diverses raisons…) par Sciences-Pipeau (Paris), qui ne l’était pas à l’époque,
j’avais déjà compris, au moins dans ces grandes lignes, dans quel monde nous Vuitions ! 😁
(Autrement dit, attendre… 2024, et la venue d’un Trumpy & co… pour sonner l’alarme, faut l’faire !)
(2025 : c’est encore mieux !)
Croire que l’usage des emoticons et du point d’exclamation entre parenthèses (!) peut se substituer à une réflexion argumentée et au langage articulé me paraît bien naïf et quelque peu imprudent.
Au passage, je constate que vous affichez un certain mépris pour les IEP de province…Parisianisme exacerbé ? Passions tristes, quand tu nous tiens…
« I rest my case, again… »
C’est curieux cette propension( fierté ? ) à utiliser la langue de l’envahisseur.
Colle toi, c’est ballot !
Oui…
(pas si facile pour Lormier)
abcmaths
21 février 2025 At 11h34
« I rest my case, again… »
C’est curieux cette propension( fierté ? ) à utiliser la langue de l’envahisseur.
Je pourrais vous la faire en trois autres langues que je maîtrise bien, plus deux autres où je me débrouille sans plus…
Mais j’avoue, la langue de Donne, Swift, Dickens, Orwell ou…Peter Gabriel – qui n’ont rien d’envahisseurs ubuesques – m’attire particulièrement.
La langue française, vous l’aimez comment ?
😊!
C’est un génie !
« je pourrais vous la faire en trois autres langues que je maîtrise bien »,
« Mais j’avoue… (!)
Un avocat ? un membre du Parle-ment ?
Même pas !
Juste animateur sur Bd et au ciné-club de son bled !
C’est bien, WTH, vous illustrez toujours à merveille la notion de « passion triste ».
Je ne suis pas certain que vous ayez conscience de ce que Spinoza entendait par « passions tristes ».
Dans votre cas, ça me semble correspondre à des avanies de la machine délirante, ou bien à des avaries de la machine désirante, alternativement.
abcmaths
21 février 2025 At 11h51
La langue française, vous l’aimez comment ?
A l’égal de la langue anglaise, et ça n’est pas peu dire.
VO ! Nous y revoilou !
JG : « animateur sur Bd et au ciné-club de son bled » : c’est sans doute ça l’ACTION pour JG.
Un être, vous dis-je, tout dans l’action et… l’humour !
Ukraine. Responsabilités.
Je ne me pose nullement en spécialiste.
Il est intéressant de lire l ‘étude tres substantuelle d’un spécialiste professeur à Grenoble et, pour autant que j’en juge, assez proche des idées de JG sur le monde – mais loin d’être affirmatif sur la responsabilité exclusive de la Russie dans le conflit.
https://hal.univ-grenoble-alpes.fr/hal-04666473/document
*Substantielle ..!
Pour ma part je n’ai jamais évoqué de responsabilité exclusive de la Russie : je ne connais que trop la tendance quasi-génétique des USA à vouloir placer ses pions un peu partout.
En revanche, je sais à coup sûr que c’est l’armée russe qui en février 2022, comme l’a opportunément rappelé Mike Pence à Ubu-Roi, a franchi les frontières de l’Ukraine pour déclencher une invasion encore en cours.
Je sais aussi qu’Ubu-Roi a qualifié Zelensky de « dictateur non élu », contre toute réalité (Zelensky a été élu démocratiquement, et en temps de guerre il est impossible d’organiser des élections).
Et je sais enfin qu’Ubu-Roi n’a jamais qualifié Poutine de dictateur, alors que pourtant…
En d’autres termes, je vois bien qui, au bout du compte, choisit tel ou tel camp, et pourquoi.
Kouine, Kouine… L’Ukraine… Kouine, la RuSSie pas belle… Kouine Kouine.
TA GUEULE !
Gérard, fer de lance de la défense de liberté d’expression à la mode Ubu-Roi.
Josip Gavrilovic 21 février 2025 At 11h46
Gerard : « pour que vous lâchiez l’affaire ».
Non.
L’Ukraine est éparpillée façon puzzle. C’est fini.
Zelensk’ n’est pas invité au derniers réglages avant pilori. Ursula n’est pas non plus invitée à ramener sa fraise non plus. Touf’ ? Qui est Touf’ sur la scène internationale ? Touf’ et Ursula ne figurent plus dans le bottin mondain du bizz’ international. Les deux se tiennent àleur postes à l’abri des poursuites judiciaires.
Vous pouvez vous astiquez la nouille des journées entières, du soir au matin comme dirait Voltaire, sur des considérations qui appartiennent au passé… à moins que vous ne soyez payé pour ça, je ne vois pas d’autre raison que celle-là. Sauf qu’à la différence de Hollande vous n’aurez aucune responsabilité sur l’échec de votre mission. Remplissez votre quota de signes à balancer sur ce blog, touchez vos cahuètes, mais ne venez surtout pas nous expliquez que vous croyez à vos salades sous peine de vous prendre un bon « TA GUEULE ».
Gerard, ne vous fatiguez pas inutilement, je ne lis plus les gens qui voudraient me réduire au silence.
Je connais Ubu-Roi par cœur.
Vous, on s’en fiche mais vos chefs nous lisent, donc :
Il faudra du temps pour nettoyer les écuries et récupérer les nuts. Et on les récupèrera. Que ces charognes ne s’imaginent être hors d’atteinte. Ursula sera la première de cette longue série de dominos qui sont sur le point de tomber.
Un lointain lecteur
20 février 2025 At 12h33
(…) La folle? (…) Gérard?
No comment.
« Ubu-Roi », « Spinoza » et quelques autres… 😁
Mais JG est loin d’être encore au point : très très loin d’une IA en mode Lormier !
Vous avez raison : mon intelligence – if any – n’a rien d’artificiel.
Humour ? Allez savoir…
Continuez dans cette voie, WTH, ne vous arrêtez pas en si bon chemin. Je mets en ce moment la dernière main à une communication sur Spinoza et les passions tristes, et les illustrations que vous vous ingéniez à me fournir me sont d’une aide précieuse. Merci.
Permettez-moi de reposter ceci, dont vous pourriez tirer profit :
Je ne suis pas certain que vous ayez conscience de ce que Spinoza entendait par « passions tristes ».
Dans votre cas, ça me semble correspondre à des avanies de la machine délirante, ou bien à des avaries de la machine désirante, alternativement.
« Je mets en ce moment la dernière main à une communication sur Spinoza et les passions tristes, et les illustrations que vous vous ingéniez à me fournir me sont d’une aide précieuse. Merci. »
Là ça s’corse ! Je vais donc de ce pas porter plainte !
JG – « certified human » or not ?- :
S’acharner ainsi sur une vieille bique ! Quelle honte !
https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRwdgirViTZUm4qaB3JeLIHjp6qogDSTNinvw&usqp=CAU
WTH : « Là ça s’corse ! Je vais donc de ce pas porter plainte! »
Rassurez-vous : tout sera anonymé.
Je vous ferai ainsi accéder à l’enviable statut d’archétype.
……
De rien, tout le plaisir est pour moi.
Touf’ est convoqué par Donald au printemps. Nous avons encore en mémoire cette très longue table qui le séparait de Vlad’ dans son palais moscovite, quand, pris d’une crise d’ego surdimensionné, il souhaitait faire part de sa pensée sur le conflit, persuadé qu’elle pouvait peser dans les débats. Touf’ a récemment cru bon de jouer les « Vlad' » avec Vance, lors de sa venue à Paris, de s’essayer lui aussi dans l’humiliation. Hier, sur Tik Tok, et accessoirement rediffusé sur YT dont les commentaires valent leur pesant de cahuètes, il a expliqué à son jeune auditoire ce qu’il dirait à Donald avec cet emploi du tutoiement qu’il lui réserve « Tu sais Donald… » etc… À chaque fois que ce type essaie de reprendre le dessus, il finit au tapis. Le Mozart de la finance qui affiche 1 000 milliards de dette dans sa gestion va expliquer la vie à un champion du bluff et du rapport de force en pensant que l’épisode parisien qu’il avait réservé à Vance serait oublié.
Tu sais, Touf’, comme pour Josip, il y a un moment où il va falloir que tu la fermes.
Quelques part sous le soleil d’un printemps américain.
Donald – You know, Touf’, at first, I would to show you a list.
would like * (shit !)
😉! Des chances (mal-aïe-chance) qu’il s’en prenne plein la gueule !
ça le changera de s’en mettre plein les narines.
Après avoir réussi une fois de plus, via tik-tok & co, à être la risée… de l’Est comme de l’Ouest !
Assis à la droite de Candace Owens au gueuleton offert en son honneur à la maison blanche ?
De la part de candace à Touf’
https://www.youtube.com/watch?v=UWdJ0jbHKms
😁!
ECHO 21 février 2025 At 8h40
Le texte est peut-être simplement une nouvelle. Généralement on attend d’une nouvelle une » chute » , une surprise ( par exemple dans les nouvelles de Maupassant) , ou une explication de ce qui a été relaté ( c’était donc cela!) , mais la nouvelle erotique se dispense probablement de ce schéma?
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« mais la nouvelle erotique se dispense probablement de ce schéma? »
Hypothèse intéressantissime !
Si on l’adopte,on peut estimer que le texte du billet se sufit à lui-même,forme un tout (« self-contained »,dirait on en anglais.) (D’où l’absence de paratexte,supputé-je.)
Quel statut attribuer au « narrateur » du tout début, l’homme qui de sa voiture a aperçu la jeune fille,fuyant sur la route en reboutonnant son jean?
« Vous faites presque une embardée quand apparaît dans le faisceau de vos phares une jeune fille affolée qui court vers le village, – pour échapper à quel fantôme ? »
« Je me demande ce que le chauffeur va raconter, dit-il en reprenant lentement la direction du village. Il a vu, à minuit et des poussières, la petite Une Telle qui sur la route du cimetière courait tout en reboutonnant son jean… »
Son questionnement est le nôtre; c’est un « narrateur de passage »,un narrateur adventice;n’empêche: en Corse du coin ,il fabriquera un récit cohérent où le comportement étrange de la petite untel trouvera une explication.
Il faudrait un technolecte approprié pour préciser le statut de ce narrateur désigné par le pronom « vous » au début, puis par « il » quand c’est le narrateur-baiseur-personnage qui s’exprime.
Hélas, j’ai eu beau étriller favel, Gavril Supputex n’est pas prêt à fournir gratuitement ses technolectes. Il en fait commerce (dans son estafette); nous n’avons pas le coeur de lui reprocher son avarice.
C’est qu’il est très occupé :
« Je mets en ce moment la dernière main à une communication sur Spinoza et les passions tristes… »
« Le fait est qu’il a tout fait pour l’ »annochiare », selon la technique classique — par des compliments bien tournés sur ses capacités intellectuelles de fille de la ville en villégiature dans la Corse profonde. »
Fille de la ville;d’une ville corse,sans doute;et qui vient assez souvent pour que le narrateur adventice,l’homme qui passe envoiture sache son nom.
« Il a vu, à minuit et des poussières, la petite Une Telle… »
Et le narrateur-baiseur,c’est un gars du village ?
Si oui, il a dû « passer » par la grande ville,il a en effet un regard « distancié »,vaguement amusé sur les gens du village;lui, en tout cas ne se préoccupe pas d’inventer des histoires sur les filles qu’on voit passer.
« Le problème, en Corse, c’est le regard des autres. Qu’une fille se laisse embrasser, de jour comme de nuit, au cœur du maquis le plus impénétrable, et le village entier bat le rappel des commères. »
Le narrateur-baiseur n’est pas une « commère »; le narrateur-automobiliste,si… Pas une question de sexe,alors. Un compère fait la commère.
« Le problème, en Corse, c’est le regard des autres. »
idem en Afrique où vous croyez vous trouver seul au centre du trou du cul du monde. Une demi heure plus tard (souvent moins) il y a une dizaine d’autochtones venus voir le blanc qui a enlisé son 4×4 et espèrent de quoi se payer une picole après vous avoir sorti de la merde…
ca c’est vécu!!!!
Josip Gavrilovic 21 février 2025 At 11h32
Le jour où WTH pourra afficher des accomplissements comparables, elle pourra le faire sans trop de honte…
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En anglais « accomplishmentS,au pluriel, est tout à fait courant et grammaticalement correct.
Lormier se garderait bien cependant de critiquer Gavril Supputex au motif qu’il aurait usé d’un anglcisme.
Ce n’est pas parce que Lormier,quant à lui, ne met pas ,en français, accomplissement au pluriel qu’il prétendrait l’interdire aux truies.
D’ailleurs, j’a ivérifié:la frome plurille est attestée par Littré,dans un manuscrit du XIIIième
« »Et qui à cete table pooit seoir les accomplissements de son cueur avait en toutes manières » Merlin folio 54 recto
Chez des auteurs beaucoup plus proche de nous:
Au plur., rare :
6. Mais ne serait-ce pas bien plus encore parce que le véritable foyer de ces hautes conceptions et de leurs héroïques accomplissements ne résidait qu’en Napoléon, et que là où il n’était plus, ainsi qu’on l’a pu remarquer souvent, les choses redevenaient abandonnées à leur marche ordinaire? E.-D. de Las Cases, Le Mémorial de Sainte-Hélène, t. 1, 1823, p. 743.
7. Notre pouvoir d’anticipation collective reste médiocre : toutefois, les périodes longues des projets concrets que la technique contemporaine nous impose, le sens d’une destinée et d’une œuvre de l’espèce humaine au-delà des accomplissements éphémères des nations et des empires, nous fabriquent un temps dont les dimensions ne sont pas les mêmes que pour nos prédécesseurs; … F. Perroux, L’Économie du XXesiècle,1964, p. 465.
Rem. Aucune indication ds les dict. du xxes. quant au plur. de ce mot. Les dict. du xixes. ont des positions divergentes : selon Lav. 1828 et Land. 1834, le mot n’a pas de plur. La Châtre t. 1 1853 cite un ex. d’emploi au plur. où accomplissements signifie qualités, vertus (idée de perfection contenue dans accompli, adj.).
https://www.cnrtl.fr/definition/accomplissement
AccomplissementS,au pluriel, n’est pas,en français, une forme courante. Si elle tend à le devenir (en atteste la plume de Gavril Supputex),c’est sans doute sous l’influence de l’anglais.
On traduit vite, on cède à la facilité.
Voici un dialogue,tiré de l’excellent « Women » de Cukor.
Crystal Allen : [to Stephen] Well, I, uh… I was going to surprise you tonight, darling, and… and cook dinner myself in my little apartment.
[laughs]
Crystal Allen : Why, of course I can cook!
Pat : She thinks because Lulu’s dark, he wont be able to see her!
Crystal Allen : [to Pat] Shhh!
Crystal Allen : [to Stephen] Oh, well, you don’t know half my ACCOMPLISHMENTS…
Pat : I’ll say he doesn’t!
Crystal Allen : [to Pat] Will you get out of here?
Crystal Allen : [to Stephen] Oh… Oh, well, that’s all right, Stephen; I’ll save you a piece of the cake… with a candle on it. Ah, well, I didn’t want to tell you before, Stephen, because I was afraid you might do something extravagant! Oh, it is dear of you to want to be with me on my birthday, but… I won’t be lonely. No, honestly, I won’t. And uh… if this weather lets up, my neuralgia will be better…
[shaky voiced]
Crystal Allen : then maybe I can… Oh no! It’s nothing. It’s just nerves. I had a rather gloomy letter from home today. My little sister, she’s not very well…
Pat : What’s wrong with her? She got a hangover?
https://www.imdb.com/title/tt0032143/characters/nm0001076
« Gavril Supputex n’est pas prêt à fournir gratuitement ses technolectes. »
Muni de la certitude que l’âne a vraiment soif et qu’il désire sincèrement être conduit à la rivière, je pourrais condescendre à partager généreusement avec lui ma panoplie de technolectes.
A bon entendeur…
Lormier devrait faire preuve de sincérité ? C’est au-dessus de ses forces.
@Lormier
« If at first you don’t succeed, try, and try again »…
Il semble qu’une trêve s’amorce entre la russophile WTH et le trumpophobe Gavrilovic.
Et c’est heureux car cela laisse la place aux commentaires de Lormier qui sont un peu plus reposants et qui ont le mérite d’essayer de se rapporter au texte.
Même si Lormier en l’occurence semble éprouver quelques difficultés à commenter.
Il est vrai que cette chronique et ses chaises pour corbeaux au cimetiere n’a rien d’une fable et laisse peu de place à l’imagination. Il manque au moins un fromage.
Oui…
(pas si facile car le texte est un peu long)
baises pour corps chauds
Vous avez entièrement raison, laissons ce blog reprendre une respiration plus douce et laissons le à nouveau s’émailler de deux ou trois sages intervenants. Je m’exécute sur le champ, et file à nouveau vers d’autres horizons !
https://www.youtube.com/watch?v=iqRHr5pEIFU
« Mais elle lui dit encore qu’elle l’aime, et il la croit, car l’heure tardive, les odeurs du maquis, la flamme noire des cyprès, tout conspire à le lui faire croire. »
On pourrait (sans trop tirer sur la corde supputessienne) estimer que cette phrase marque,sinon ,une convergence, du moins une contiguïté relative entre le narrateur-baiseur et le narrateur adventice; ce dernier aussi est sensible aux « odeurs du maquis »
« Soudain vous êtes sorti des arbres, et la lune pleine illumine l’asphalte. L’odeur sèche des immortelles et du fenouil prend le dessus sur les senteurs d’humus et de cèpes à venir. »
Ces deux narrateurs sont-ils « comme » des « exposants conjugués » ? (1/p,1/q; 1/p +1/q= 1;p et q dans lintervalle [1,+ ∞ ] ?
chaises pour corbeaux
chaises pour beaux corps
Eh non, Gérard (comme AnneAcrouse naguère) vous a surclassé .
(merci Gérard )
abcmaths :
« Cela laisse la place aux commentaires de Lormier qui ont le mérite d’essayer de se rapporter au texte.
Même si Lormier en l’occurence semble éprouver quelques difficultés à commenter. »
L’approche « Lanson et Dalida » de Lormier montre en effet ici ses limites, et son impuissance à rendre compte de l’essentiel. Sans se l’avouer (trop fier pour cela !), Lormier a ici besoin d’une pincée de Jakobson, d’un soupçon de Benveniste, et surtout d’une bonne dose de Butor.
Fin de la prescription.
Pas plus de 5mg de Butor sinon risque de coagulation avec le Greimas résiduel…
En effet. Attention avec ça.
Et ce n’est pas à un vieux Butor comme Michel qu’on va apprendre à faire du Greimas.
Un Ricardou ou rien, parole de Marseillais…
Dugong (16h41) : Captain B’ (« ice cream for crow ») – ça faisait longtemps !
Dans un polar, Harry Bosch – fan de jazz – « mit sur la platine Charlie Mingus à Carnegie Hall et sa version de vingt-quatre minutes de ‘C Jam Blues’ « … (1974)
(« on le voyait serrer sa contrebasse dans ses grands bras » ; oui, c’est comme ça que je l’ai vu…)
https://www.youtube.com/watch?v=KKdiz8RaIPQ
(crôa, crôa Dugong !… Je ne sais si JG appréciera C J B)
(Et oui, vous avez raison JG – 13h56 : j’abuse des emoti-cons, des !!, des …, et même des ,, –
Difficile d’y remédier, à mon grand âge – 😁
Qu’est-ce-que je vous passe, comme pommade – et évidemment pas en mode abcm’)
https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/l-ancien-conseiller-de-donald-trump-steve-bannon-est-accuse-d-avoir-effectue-un-salut-nazi-lors-de-la-conference-des-extremes-droites-dans-le-monde_7088340.html
En fait, ces gugusses se sont donné pour objectif d’inciter les gens à retourner au théâtre : il y avait déjà le passage obligé par Jarry et son Ubu-Roi, et nous avons désormais également Ionesco et Rhinocéros.
Le trumpisme, contre toute attente, se préoccupe d’accroître les acquisitions culturelles de la population mondiale.
PS : de même qu’il faut saluer Mike Pence qui a fait preuve de dignité en rétablissant une vérité mise à mal par Ubu-Roi, il faut aussi saluer ici Bardella (oui, oui) qui a préféré ne pas cautionner le geste stupéfiant de Bannon.
(Un fan de « Rhinoceros » : Philippot qui, me semble-t-il, avait intitulé un de ses « causements », quelque chose comme « Rhinoceros de Ionesco : une grande leçon pour rester humain face à la tyrannie » – je m’abstiens et de !! et d’emoticon)
« Saluer Bardella » : en faisant quel geste(icule) ?
(JG : même pas un encouragement ; et pourtant ni !!, ni emoticône)
Yes. Persévérez, vous êtes sur la bonne voie !
Voilà (comme dit le maestro, non JPB). Merci.
C’est juste pour éviter le Purgatoire !
(Je bats ma coulpe – suite –
14h27 : « Après avoir réussi une fois de plus, via tik-tok & co, à être la risée… de l’Est comme de l’Ouest »
Faux.
Selon l’Ambass de Pologne au Figaro :
« Avec sa forte personnalité, le président Macron peut convaincre les Américains de ce qui se joue en Ukraine ».
« un possible infléchissement de la position américaine grâce, notamment, à la force de persuasion d’Emmanuel Macron ».)
l’Ambass de Pologne (suite)
00
Encore un qui veut obtenir un permis de construire pour une piscine dans sa baraque du Luberon…
Le Luberon : pour un Pollack, possible.
Pour les autres, Ukr compris, c’est passé de mode.
N’ayez pas peur : Tromp va se prendre un calibre 5.56 * dans la tronche dans pas longtemps. Idem pour ses suce-poires Melon et al.
* munition OTAN !
Je ne crois pas qu’il soit souhaitable d’en faire un martyr.
Un assaut sur la Maison-Blanche mené par le groupe Rage Against The Machine me semble préférable. Avec une cinquantaine d’amplis Marshal 1ère génération crachant 150 décibels chacun, pour venir à bout des doubles vitrages.
Peu vraisemblable, le pruneau dans la tronche.
Risque de désunion, voire d’une guerre civile – très peu civile(isée).
Trumpy a évidemment le soutien du grand Kapital.
(Ne pas oublier son second, le Vance, catho pur et dur.)
Vous demandez l’Otan, ne quittez pas un correspondant va vous répondre dans quelques instants.
Bip ! Bip ! Nous regrettons de ne pas pouvoir donner suite à votre appel, l’Otan actuellement en audit fait l’objet d’une fouille au corps, tout nu, les mains sur le mur ; l’opération sera suivie d’une endoscopie rectale. Nous vous demandons de bien vouloir rappeler ultérieurement ; nous vous remercions de votre compréhension. Bip ! Bip !
Dugong 21 février 2025 At 8h39
Lorsque vous touchez un tel matériau qui est à la température ambiante, il s’établit un flux d’énergie qui pompe de l’énergie de la peau vers le matériau et donne cette sensation de froid.c
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De fait, nous sommes en présence d’un écrit de haute thermicité. Les échanges thermiques y tiennent une place essentielle.
La pierre se réchauffe doucement contre son dos. Du pied, il trouve encore des espaces plus froids, comme dans un lit d’été lorsqu’on cherche un coin de drap encore frais.
(Il les trouve;les cherche-t-il ?)
« Sous son dos, la pierre a eu le temps de refroidir, et il réprime un frisson bizarre, coincé entre cette glace et la chaleur du fourreau qui l’emprisonne. »
(A ce moment du récit,il a passé un certain temps* assis;son dos n’était pas en contact avec la pierre.)
Puis elle appuie sur ses épaules, et le renverse à nouveau. Sous son dos, la pierre a eu le temps de refroidir, et il réprime un frisson bizarre, coincé entre cette glace et la chaleur du fourreau qui l’emprisonne.
——————————————————————————————————-
Du point de vue calorimétrique…il nous manque un élément:à quelle température la pierre était-elle quand ils se sont couchés dessus ? Moi je veux bien que le granit soit un bon conducteur (encore que…) mais tout de même. De telles variations ?
Et ça m’étonnerait qu’on y ait versé de l’éther.
il a passé un certain temps* assis
A l’armée,on enseigne combien de temps tel canon met à refroidir;alors un appelé demande:et combien de temps met-il à se réchauffer ? Un certain temps,répondit l’adjudant.
Dugong 21 février 2025 At 8h39
La peau n’est pas munie de capteurs de température mais de capteurs de flux d’énergie sous forme de chaleur. Ces capteurs seront particulièrement sensibles au contact avec des matériaux qui sont de bons conducteurs thermiques.
Nous retrouvons la problématique des paupières,de l’oeil, de l’infrarouge et de l’ultra-violet.
Notre créateur aurait pu nous munir de capteurs sensibles à ces rayonnements . Notre perception du monde eût été différente. Différente comment ? Question impossible.
Il ya place pour une phénoménologie de la perception (et de tout le reste d’ailleurs)-laquelle n’a rien à voir avec la physique .
« Question impossible ».
Pour une IAL, certainement.
Les babiologues répondraient qu’il y a eu adaptation de l’œil au spectre solaire dont le maximum se situe dans le vert.
Lormier :
« Notre créateur (…)… »
Mais de qui donc parlez-vous ?
(Mauvaise influence de Vance ?)
Vous voilà en tête de liste des assassins potentiels
IAL nous fait une petite crise mystico-religieuse.
Ca se soigne très bien en quelques jours au paracétamol.
Dugong 21/2 @18h11
Si cela arrive, ce dont je doute fort, ce ne sera pas du 5.56 NATO. Aujourd’hui le cauchemar de la sécurité des présidents, US entre autres, c’est le gars désinhibé total avec une pétoire qui enfonce le dernier cercle, cf. attentat contre Reagan…Un trouduc de 55 kilos jaillit et bute POCUS, il aurait eu un vrai flingue c’était plié. Un pape y a eu droit aussi…
L’autre menace c’est le tireur de précision à 1500m, et ce sera pas du 5.56 NATO, surement du .338 Lapua, voire du .50 BMG…ou les versions Cheytac et depuis le 6,5x52mm Carcano à à paine 200m on a fait des progrès…
D’accord. N’importe quoi plutôt que rien.
On devrait trouver des candidas (albicans) chez les écolos (genre monte là dessus et tu verras le Capitole).
Elle crie. Les cloches sonnent minuit pour la seconde fois.La dernière vibration achève de se résoudre en silence …
se résoudre… se dissoudre…
Phénoménologie de la perception auditive.
J’ai pensé à ce passage des Mémoires d’outre Tombe:
« Une fois, cependant, il arriva qu’ayant voulu contempler au jour tombé l’intérieur de la basilique, je m’oubliai dans l’admiration de cette architecture pleine de fougue et de caprice. Dominé par le sentiment de la vastité sombre des églises chrestiennes (Montaigne), j’errais à pas lents et je m’anuitai : on ferma les portes. J’essayai de trouver une issue ; j’appelai l’usher, je heurtai aux gates : tout ce bruit, épandu et délayé dans le silence, se perdit ; il fallut me résigner à coucher avec les défunts.
ce bruit, épandu et délayé dans le silence,
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Lormier juxtapose les deux textes, non parce qu’il supputerait que le Maestro ait pu songer lui aussi à Chateaubriand…mais simplement parce que lui, Lormier, y a pensé.
Quand on rapproche les deux passages, on remarque qu’il nous faut des images pour évoquer le passage du sonore au muet. Pour Chateaubriand le bruit est liquide.
Il n’y a pas que la grosse cloche qui vibre (la grosse cloche sonne, la grosse cloche sonne…la grosse cochonne).
Non, la langue du narrateur-baiseur vibre aussi:
« sa langue vibre toujours autour du clitoris «
En Hertz, ça fait combien ?
Juste après, le ronronnement d’un moteur, et deux phares à iodes
(iodes ou iode ?)
Ce détail doit permettre de dater le récit:le phare à iode, c’était jusqu’à quand ?
Aujourd’hui les laides ont pris le pouvoir, partout,dans tous les domaines.
Lormier @21h05
Phare à iode, pas de pluriel pour l’élément iode…comme dans acier au carbone ou bronze au phosphore…Il y a de rares cas où phosphore est pluriel mais le sens en est changé et devient « phosphores= petits éléments lumineux »
Il y a de nombreux cerveaux (croates) qui phosphorent là-dessus.
« Aujourd’hui les laides ont pris le pouvoir.. »
Et Lormier s’endort près du phare. Quelle tristesse!
Oui…
IAL sent fort près du dard et, évidemment, ça ne favorise pas la jonction.
s’endort près du phare
sans dArd près du fOrt
Et maintenant, enfin, à l’abri — au cœur des ténèbres.
Tiens, ce titre,ce roman cher au (Pol)pote …
Touche pas à Conrad, sa..!
Il serait temps que je m’y plonge,
d’autant que personne n’est encore revenu sur « le N. du Narcisse ».
accomplissement,achèvement,assouvissement; mots voisins ;les frontières sont floues.
La meuf est assouvie,le narrateur-baiseur aussi; il n’a pas pratiqué l’apnée pour retarder le moment,mais seulment la pensée « futile ».
a seize ans, la meuf est pécoce,sur-douée.
Elle avait commencé tôt.
L’avaleuse n’attend pas le nombre des apnées…
Joli !
Hors contexte, incidence possible en tant que brève de comptoir ?
Je découvre enfin un lieu paisible dans lequel poursuivre ma retraite :
https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/02/21/en-corse-apres-l-assassinat-d-une-etudiante-sans-doute-ciblee-par-erreur-les-appels-au-sursaut-se-multiplient_6557921_3224.html
Putain, Hanna Schygulla !
https://img.lemde.fr/2025/02/19/0/0/6365/4244/800/0/75/0/f5cd521_ftp-import-images-1-yhulumgylqo0-ffccf5d5ef9345c49975563a0c61ceb5-0-efb9b351def84e048997f0dbf19e84ac.jpg
Le mariage de Maria Braun, Fassbinder, inoubliable.
Hanna Schygulla vieillit, mais restera éternellement divine aux yeux des cinéphiles.
On craint qu’elle ne tourne un remake du mariage avec De Niro…
Oui ! (Le mariage de MB).
Et mieux vaut cent fois une Schygulla qu’une De-neuve (?), récemment en couv’ de mag’ : tellement mal replâtrée, que ça en est ridicule.
Il est bien connu que le genre masculin ne se voit pas vieillir ; ainsi le De Niro.
Dans l’ensemble, il résiste (le genre m’) à l’appel du bistouri and co.
sauf certains qui osent encore se la jouer très vieux papas-coqs (le sang italien ?).
Mais bon, quand on est très brouzoufé, peu importe l’âge.
(J’ose : le LED peut-il rendre encore plus « laide » ? Il est vrai que bien des laides ont pris le pouvoir, à Hollywood et ailleurs)
Lormier citant Chateaubriand :
» j’errais à pas lents et je m’anuitai : on ferma les portes. J’essayai de trouver une issue ; j’appelai l’usher, je heurtai aux gates .. »
Il n’y a donc pas que JG qui aime utiliser l’anglais
( certes l’auteur se retrouve enfermé dans une église anglaise, à l’époque où la Révolution l’a amené en émigration ( sans passer par Calais?)…
* où la Révolution l’a amené en émigration en Angleterre
Evo nekoliko riječi na još jednom lijepom jeziku: možemo diverzificirati jezične užitke!
Sa zadovoljstvom !
Joli !
https://www.20minutes.fr/politique/4140098-20250222-digne-diriger-france-steve-bannon-allume-jordan-bardella
Bardella prend donc officiellement ses distances avec la mouvance trumpiste et l’extrême-extrême-droite extrémiste de chez extrême. Lui se contente d’assumer son appartenance à l’extrême-droite « normale ».
Tout ça devient diablement intéressant, mais quand même un peu confus : Steve Bannon est porté aux nues par Marion Maréchal-nous-voila-Le Pen, le torchon n’a pas fini de brûler entre Marion et Marine, Bardella claque la porte pour se désolidariser de Bannon…
Mon hypothèse se confirme, c’est programmé, planifié, voulu : l’extrême-droite a décidé de prendre en main la remise à niveau de la culture des masses. Après le théâtre (Jarry, Ionesco), les grands mythes fondateurs : ils nous rejouent les Atrides.
Chacun pourra deviner qui incarne Agamemnon, Clytemnestre, Iphigénie, Electre, Egisthe, Oreste etc.
Reconnaissons que la démarche pédagogique vaut son pesant de beurre de cacahuètes importé des USA sans sur-taxe made in Ubu-land.
« qui incarne Agamemnon »
Et Armageddon ?
Armageddon? Avec la menace nucléaire souvent brandie par Vlad, Poutine est le mieux placé pour décrocher le rôle principal.
Côté culture et grands mythes fondateurs, on s’éloigne du Homère d’alors pour se rapprocher du Nouveau Testament et de l’Apocalypse de Jean. Pas sûr qu’on y gagne !
» – C’est toi le mauvais œil, dit-elle.
Croit-elle plaisanter ? Le fait est qu’il a tout fait pour l’ »technique classique — par des compliments bien tournés sur ses capacités intellectuelles de fille de la ville en villégiature dans la Corse profonde. »
On peut s’arrêter sur cette notion d’ » annochiare » , et sur le sens que lui donne JPB.
D’après le très complet lexique Oraedes , encyclopédie de l’ésotérisme :
Anocchiatura
[anokiatyʁa], subst. masc.
Définition
[Occultisme]
► Fascination involontaire s’exerçant par les yeux ou les paroles et qui a la caractéristique d’accomplir son objet en sens inverse.
Étymologie
■ Ita. : an- (préfixe négatif) + occhio {œil} + -tura (suffixe ajouté aux verbes pour former des noms).
Commentaires
I. Description
► La notion est une adaptation localisée de l’oculus malus. Elle se rencontre dans le mezzogiorno(1) et particulièrement dans les îles : Sardaigne et Sicile, en Corse également. Le fait que le sortilège marche en sens inverse pouvait donner lieu à des brutalités comportementales (regards malveillants) et verbales (jurons, injures voir menaces) envers les enfants (estimés particulièrement sensibles à cela) de la part des parents et des adultes, persuadés que de cette façon, ils bénissent en fait leurs marmots en déchargeant les éventuelles forces magiques inconscientes négatives dont ils pourraient être à l’origine. La population s’expliquait ce phénomène par le fait que chacun était accompagné d’un démon familier qui faisait tout pour aller en sens contraire des volontés humaines. Si des paroles trop élogieuses étaient destinées à un enfant, il existait plusieurs techniques préservatives pour contrer le charme. Si un enfant était innochiato, on le menait à un mazzeri pour le désenvoûter. Pour savoir si l’opération avait marché, le sorcier rebouteux exerçait une mantique sur les taches d’huiles formées par la chute du liquide dans une assiette remplie d’eau que l’on disposait sur la tête de l’enfant.
II. Exemples
► Dans certains ports de pêche méditerranéens, il était considéré comme inapproprié de souhaiter du bien aux marins partant en mer(2) et il fallait au contraire exprimer le souhait qu’il lui arrive quelque malheur. Cet occultisme superstitieux du folklore, dont on rencontre encore un écho dans certains milieux de l’agriculture rurale(3), trouve ajd. son application en France au travers de la pratique — issue du monde du spectacle — consistant à substituer le mot de Cambronne à « bonne chance ».
III. Occurrences
► Les occurrences sont rares : hormis l’article chez Plancy 🗎⮵ (repris passim par ses émules) et une mention chez Piobb, Mérimée l’utilise in Colomba (Brandolaccio, superstitieux comme beaucoup de bandits, craignait de fasciner les enfants en leur adressant des bénédictions ou des éloges, car on sait que les puissances mystérieuses qui président à l’anocchiatura ont la mauvaise habitude d’exécuter le contraire de nos souhaits.). Il note également dans ses Notes d’un voyage en Corse : La plus ordinaire est l’idée antique qu’on peut jeter un sort, soit par le regard soit par des éloges. Cela s’appelle innochiare… »
https://oraedes.fr/Lexique/A
* D’après le très complet lexique Oraedes , encyclopédie de l’ésotérisme
En fait, encyclopédie précédée d’un lexique
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/enquete-ouverte-apres-l-abattage-d-un-cerf-sur-la-propriete-de-luc-besson-20250222
Un cerf aux abois qui se réfugie dans une gendarmerie, a probablement été conseillé par un bon avocat…
(Notons qu’aucun cancan – de comptoir – n’échappe à Dugong)
J’aime les histoires de cerf aux abois…
Autre « côté culture » :
Le roi de la com’ à Oupette : « Ma belle, eh oui t’en as marre. C’est la rançon de la gloire ! »
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/en-direct-le-salon-de-l-agriculture-ouvre-ses-portes-emmanuel-macron-attendu-ce-matin-20250222
JPB revient sur les barbarismes des usage(r)s barbares de la Langue –
(notons, pour la petite histoire, qu’il ne peut s’empêcher de citer les Onze mille verges,
et qu’il rappelle qu’on ne peut s’adresser à une « avocate », en l’appelant « maîtresse » – sauf exception… cf. plus haut.)
https://www.causeur.fr/pour-en-finir-avec-le-e-feminisant-303543
Excellent article .
PS N’en deplaise à Gavrilovic qui nous gonfle avec son journaliste de Médiaparte qui rêve de beau tennis et de grosses piges.
Oui..
abcmaths, si je vous gonfle comme les ballons de foot qui ont longtemps été le pain quotidien de Pascal Praud, nul doute que vous pourrez remédier à ce ballonnement en jouant sur la valve.
Ce dernier mot, à coup sûr, laisse le champ libre à votre activité intellectuelle préférée.
Brighelli :
« On laissera alors Mediapart persister à écrire « professeure », ce qui participera de sa déconsidération générale. »
En mélangeant dans un cocktail absurde des considérations grammaticales et une polémique sur l’activité investigatrice de Mediapart, Brighelli n’a pas pu s’empêcher de bander son arc pour lancer sa flèche du Parthe.
Ce faisant, c’est lui qui se déconsidère, tant il est clair qu’aujourd’hui Fabrice Arfi et ses collègues sont l’honneur de leur profession de journalistes d’investigation.
A mon tour de ne pas résister à la tentation : Brighelli croit avoir lancé la flèche du Parthe, il a en fait donné le coup de pied de l’âne. Coup bas, de l’Àne. Avec un A majuscule, majuscule comme paradoxalement la petitesse de Brighelli sur ce coup-là.
PS : Fabrice Arfi est ce journaliste qui enquête tous azimuts, avec une déontologie irréprochable (contrairement à ses détracteurs qui sont, eux, sans scrupules), et qui ne lâche jamais aucune information sans être sûr de son fait. On lui doit entre autres la démonstration de la duplicité du ministre J.Cahuzac, du PS, et l’enquête sur le financement libyen de la campagne électorale de Sarkozy. Ce journaliste a été inspecteur de police pendant 12 ans…
Entre un.journaliste d’investigation déontologiquement irréprochable comme F.Arfi, et un présentateur d’émission de TV pathétiquement en service commandé aux ordres de son patron Bolloré, à savoir P. Praud, Brighelli a choisi le second, qu’il couronne de lauriers.
https://www.causeur.fr/le-foot-mene-a-tout-la-preuve-pascal-praud-tf1-lci-rtl-i-tele-cnews-foot-animateur-fc-nantes-206946
In-com-pré-hen-sible.
C’est bien la peine de faire partie de l’élite intellectuelle de la nation pour en arriver là !
Ah ! F. Arfi qui officie chez Mediapart comme référence d’une absolue intégrité. Mediapart qui, nous le rappelons, fait les honneurs de la liste USAID…
Vous êtes au top Josip, ne changez rien.
Si vous estimez que ce journaliste a manqué à la déontologie de sa profession, c’est à vous que revient la charge de la preuve. Faites comme lui : enquêtez, et apportez des preuves.
Revenez me parler quand vous les aurez.
En attendant, continuez votre cirage des pompes d’Ubu-Roi.
Chut ! Il est « en service commandé pour » l’USAID.
C’est simple, Josip, à chaque khonnerie : une tarte à la crème.
Revenez donc sur l’Ukraine que l’on se marre un peu, on dirait que vous ferriez Touf’ et moi je ferais Vlad’. Je commence.
– Tovarich Touf’, toi savoir que moi j’ai toutes les armes que ton pays et ton union européenne a laissé dans petite babouchka patrie, quoi toi faire maintenant ? Toi vouloir grossir les effectifs en renvoyant matos ?
Je n’ai jamais voulu prêter foi à ce que tant de contributeurs à ce blog ont affirmé au fil des ans, vous concernant.
Je dois bien aujourd’hui me rendre à leurs raisons : vous êtes frappadingue, et pas qu’un peu.
Vous l’êtes d’avantage : je plonge seulement dans le burlesque qu’est votre carricature. Et je n’ai pas fini de me marrer.
Parce qu’il faut vraiment être piqué, pas avoir de figure, pour oser présenter un membre du staff du petit moustachu après que son titre apparaisse sur cette même liste dans laquelle figure les 15 M de dollars touchés par l’AFP.
ECHO 22 février 2025 At 12h01
On peut s’arrêter sur cette notion d’ » annochiare » , et sur le sens que lui donne JPB.
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Merci pour la traduction commentée;et en effet il y a lieu de brancher le synthé de Roger « sur le sens que … donne JPB » au vocable « annochiare ».
Voyons un peu:
« Le fait est qu’il a tout fait pour l’ »annochiare », selon la technique classique — par des compliments bien tournés sur ses capacités intellectuelles de fille de la ville en villégiature dans la Corse profonde. »
Des compliments, que du positif, tout le contraire d’une annochiatura,alors.
Le lecteur ignorant de la langue corse, et trop pressé pour consulter un dictionnaire , et trop pressé pour consulter un dictionnaire, aura compris de travers, fait une mauvaise étymologie peut-être…ramenant annochaire à « nox ». « Annochiare »: persuader une meuf de passer la nuit avec soi.
Et finalement, dans le contexte,ça colle assez bien. Un contresens qui a du sens !
Dominé par le sentiment de la vastité sombre des églises chrestiennes (Montaigne), j’errais à pas lents et je m’anuitai…
D’un autre côté, si « annochiare » est à prendre au sens exact, le projet du narrateur-baiseur est très méchant:baiser Marion, c’est lui coller le mauvais oeil (pourquoi une telle envie ?)…et d’ailleurs,ça réussit: elle s’enfuit, terrorisée, croyant qu’une main (celle d’un mort ? d’un serpent) l’a agrippée. Auto-suggestion, favorisée par les salades préliminaires et l’atmosphère sépulcrale ?
Elle était consentante; pas d’avant-texte, mais on a compris que le projet de baiser sur une tombe avait été mûri et discuté auparavant.
Sans doute recherchait-elle un frisson qui ajouterait à la jouissance…
« Sans doute parce qu’elle a à cœur de camoufler ses craintes, ou d’afficher son courage, Marion descend sans trop hésiter les marches qui mènent vers les tombes. »
Quant au baiseur, tiens, il n’est pas venu humer sa future fumée…ce n’est pas un ancien khâgneux de Thiers (je veux dire de la classe bénie où officiat le Maestro.)
officiait
Si quelqu’un peut fournir des preuves – ou même seulement des indices – que les investigations journalistiques d’Arfi sont bidonnées ou contraires à la déontologie, je suis preneur.
En cas de procès d’intention a priori, prière de s’abstenir.
Heu…C’est factuel.
Vous écrivez : » un présentateur d’émission de TV (Praud) pathétiquement en service commandé aux ordres de son patron Bolloré »
Je vous pose cette question : Au service de qui est Mediapart ? Au service de l’USAID.
Ce qui est valable pour Praud est valable pour Arfi et quelque soit la valeur de son travail de ce dernier.
du travail de ce dernier *
R. Gluksmann souhaiterait que l’UE européenne lève 500 milliards pour soutenir l’effort de guerre ukrainien mais ça ne vaut pas le cynisme hallucinant de B. Ghetta, journaliste et eurodéputé vitupérant que Trump lui foute la paix !
Josip Gavrilovic 21 février 2025 At 16h26
@Lormier
« If at first you don’t succeed, try, and try again »…
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Saperlipopette !
Gavril Supputex est pascalien !
Agenouillez vous et priez, la foi viendra me dit-il !
beau tennis et de grosses piges.
beau Pénis et de grosses Tiges.
Elle a de petits seins très ronds, des seins de jeune fille tendre, qu’il a caressés tout à l’heure tout en délicatesse, et qu’il pétrit maintenant à pleines mains, malmenant les pointes rondes, à peine perceptibles, griffant la peau de marbre, presque bleue sous la lune.
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Pas de tambours,pas de trompettes, pas de ceinturon…oui mais quand même l’évocation suspecte de la couleur bleue; il griffe et s’il serrait un peu plus fort des veinules marbrées apparaîtraient.
Dans la théorie magique classique ( si ces trois mots ne jurent pas trop ensemble) et dans les sociétés comme la société corse. le compliment aboutit à l’effet inverse – il est en quelque sorte une malédiction.
Or dans une conception ancienne de la morale, la relation sexuelle ne se comprend que dans le mariage, et la jeune fille qui a des relations hors mariage est déshonorée. Ainsi les compliments décernés par le séducteur ( celui qui conduit hors du droit chemin, seducere) à la jeune fille, correspondent bien à la définition de l’annochiare, puisqu’ ils contribuent à son déshonneur.
Évidemment cette conception n’a plus cours dans nos sociétés, même rurales conservatrices – sauf à estimer que les morales traditionnelles survivent de façon diminuée, en tant que mauvsise conscience.
Ce n’est pas la première fois que Marion baise. A chaque coït,elle se déshonore un peu plus ?
C’est un cas pour casuiste d’autrefois…
Après avoir cité Pascal plus haut, faut- il recourir à Suarez et Molina ?
Le compliment aboutit à l’effet inverse – il est en quelque sorte une malédiction.
Autrement dit, le baiseur cherche à coller le mauvais oeil à Marion:l’inverse de l’annochiatura.
l’inverse de l’annochiatura.
En ce sens qu’il n’y aurait annochiatura que de façon involontaire?
Ou bien faire délibérément un comploment dans le but de susciter l’effet contraire serait aussi une figure possible ?
Ici le séducteur sadique ( mais d’un sadisme civilisé, moral) fait coup double. Par ses compliments, il s’assure la possession qu’il convoite, et il déshonore sa proie…
Mais nul besoin alors de faite intervenir l’annochiare, la volonté de nuire du séducteur se suffit à elle- même, sans intervention surnaturelle ( mais n’est pas en contradiction avec le principe du compliment- malédiction).
* compliment
faire
Dugong 22 février 2025 At 13h07
J’aime les histoires de cerf aux abois…
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Maurice ROLLINAT
1846 – 1903
La biche
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux :
Son petit faon délicieux
A disparu dans la nuit brune.
Pour raconter son infortune
A la forêt de ses aïeux,
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux.
Mais aucune réponse, aucune,
A ses longs appels anxieux !
Et le cou tendu vers les cieux,
Folle d’amour et de rancune,
La biche brame au clair de lune.
Si profond, si parfait avait été son délire qu’il ne savait plus si c’était la demie de minuit, ou bien déjà une heure.
Délire ? Quel délire ? Ce délire dont parle le classique porno « Jouir jusqu’au délire »;en tout cas,il a repris ses esprits;il sera capable de reconstituer très posément les événements du minuit.
Jouir jusqu’au délire…comme ce Corse, au cimetière sous la lune:
https://xhamster.com/videos/jouir-jusquau-delire-1977-xh6hBYb
(contenu explicite)
(1977:le Maestro avait 24 ans;quelques années plus tôt il avait joué dans un prorno amateur « Le Cloutard sort son dard », tourné dans les locaux de l’Ecole;le jeune homme avait échappé de peu à l’exclusion; par la suite, Pierre Driout- qui avait acquis quelques VHS- fit chanter le Maestro, l’obligeant à les lui racheter à prix d’or.)