Je sais bien que les Juifs sont fourbes et menteurs, mais quand même…
Le conflit israélo-palestinien m’apparaît typiquement comme un sujet sur lequel il faut savoir se retenir de prendre parti quand on n’y connaît rien, qu’on n’est pas directement concerné et qu’on n’a donc rien d’autre à plaquer sur les faits que des idées simplistes généreusement procurées par des journalistes souvent guère mieux informés que le commun des mortels.
Le droit de ne pas prendre parti sur le fond du conflit
Comme je n’avais pas la télévision et ne m’intéressais pas du tout à l’actu, mes camarades de lycée s’étaient un jour avisés qu’il fallait me tenir au courant de cette affaire et m’empêcher de penser mal. On m’avait donc dit : autrefois, les Juifs, c’étaient des victimes mais maintenant en Israël, ils font subir aux autres ce qu’ils ont subi sous Hitler. Les choses étaient claires, faciles à comprendre, l’analyse coulait de source et il fait peu de doute que cette unanimité bêtassonne venait directement du conditionnement médiatique. Au demeurant, à tous ceux qui prétendent que les Juifs sont tout-puissants dans les médias, j’oppose cette objection : alors, pourquoi les médias sont-ils globalement pro-palestinens ?
Moi je ne suis pro-rien du tout. Mon côté catho m’incite tout de même à trouver étrange que certains groupes politiques israéliens se tordent les méninges afin de concocter des projets de lois fiscales visant à exproprier les églises chrétiennes de leurs biens fonciers dans Jérusalem, espérant ainsi faire déguerpir une communauté qui représente moins de 2% de la population du pays et ne constitue une menace pour personne.
Mais pour ce qui est du conflit en lui-même, on pourrait s’amuser à remonter dans le temps pour pointer les responsabilités des uns et des autres, à commencer par celles de la « communauté internationale », cette grosse machine anonyme qui a l’art de créer des problèmes dont elle se lave ensuite les mains…
Silence gêné
Mais ce qui a retenu mon attention ces derniers jours, durant les émeutes de Gaza, c’est le silence des journalistes quand ils recevaient des responsables israéliens. Les questions posées étaient toujours les mêmes, sur la disproportion entre la nature de l’agression et la riposte militaire. Les termes qui revenaient pour décrire l’attitude des Palestiniens sont les suivants, j’ai noté : « manifestation pacifique », « des femmes et des enfants », « marcher le long de la frontière en ce jour de commémoration de la Nakba ». En fait, les émeutes du 14 mai, c’était un équivalent de la Manif Pour Tous. Devions-nous croire.
Les autorités israéliennes répondaient en parlant de « terroristes », d’« assauts contre la clôture de sécurité », de « grenades », de « cocktail molotov » et de « cerfs-volants enflammés ».
Et nos journalistes ne disaient rien, ne répondaient rien, ne répliquaient pas même quelque chose comme « ce n’est pas ce qu’on voit sur les images » ou « avez-vous la preuve de ce que vous avancez ? ». Ils laissaient dire. Et c’est cela qui sème le doute. Comme si leur interlocuteur disait une chose qu’ils savaient vraie mais qu’ils étaient décidés à ne pas dire eux-mêmes.
De la « fumée », des « enfants » et un « dérapage »
Alors, on regarde avec plus d’attention les photographies. Et l’on se rend compte, par exemple (et sans même évoquer les cerfs-volants enflammés) que la fumée sur beaucoup d’images ne provient pas des grenades lacrymogènes lancées par l’armée (fumée blanche), mais bien de départs d’incendies allumés du côté palestinien en divers points de la frontière. Outre la volonté manifeste de détruire celle-ci, la fumée dégagée, noire, épaisse et grasse (manifestement des pneus qui brûlent) rend impossible l’identification des éventuels assaillants par les tireurs et explique sans doute en grande partie la présence d’enfants parmi les victimes.
Encore faut-il voir ce qu’on entend par « enfants » : si la mort d’un bébé par asphyxie est avérée (mais est-elle plus imputable aux lacrymogènes de l’armée qu’aux fumées toxiques dégagées par les pneumatiques en flammes ?), quels étaient l’âge et le niveau d’implication des autres « enfants » ? Un ado fanatisé et formé aux techniques de guérilla dans les camps d’été du Hamas est certes « un enfant ». Mais c’est un enfant soldat. Autant dire qu’il représente un réel danger pour l’ennemi (en même temps qu’une perte négligeable pour le groupe armé qui l’emploie comme chair à canon, évidemment) :
De même, le bon vieux mot de « dérapage » a ressurgi dans l’actualité pour qualifier les propos de l’ambassadrice d’Israël en Belgique, Simona Frankel qui, le 15 mai, a qualifié de « terroristes » les « 55 » personnes mortes sous les balles de l’armée israélienne. Le 16 mai, le Hamas déclarait lui-même que « 50 » de ses membres étaient au nombre des 62 victimes (selon ses propres chiffres). Le dérapage n’était donc pas si dérapage que cela.
Quand une radio sauve l’honneur de la profession
Elle n’est sûrement pas le seul média à prendre ses distances vis-à-vis de ce qui s’impose comme la thèse officielle mais ils sont si rares qu’il faut les chercher, ceux qui font ce choix. Aussi doit-on reconnaître à Europe 1, par la voix de son envoyée spéciale sur place, le mérite d’avoir donné une image (si l’on peut dire) moins caricaturale que d’autres de la situation. Gwendoline Debono qui intervenait dans la matinale du 15 mai a promené son micro en retrait de la zone tampon et enregistré les exhortations de membres du Hamas galvanisant la foule, dans une démarche très claire de récupération du mouvement visant à envenimer la situation et à susciter des victimes dans le camp palestinien, une stratégie comme une autre, de plus en plus exploitée à l’heure des réseaux sociaux, des photos « virales » et des vidéos qui font « le buzz ». On assiste d’ailleurs en direct au calibrage du discours à destination des médias dans le reportage d’Europe 1, lorsque le responsable de quartier, membre du Hamas, recommande au jeune homme interviewé par la radio française : « fais attention à ce que tu dis quand tu parles : c’est une manifestation pacifique » – « Oui je sais, pacifique » (00:44)
Il ne s’agit pas, face à la thèse dominante qui présente Israël en persécuteur et les Palestiniens en victimes, de soutenir par principe la version contraire. Seulement de rappeler qu’une guerre est une guerre, et qu’une foule fanatisée a peu à envier à la puissance d’une armée, surtout quand elle a pour elle la force des images. Et celle d’un enfant mort peut avoir un impact diplomatique aussi puissant qu’un missile.
Chère Ingrid,
Vous avez globalement raison. D’où la fameuse blague militaire: « L’ennemi est con. Il croit que c’est nous l’ennemi, alors qu’en fait c’est lui. »
Ceci étant dit, pour ce qui est de prendre parti… Vous aurez certainement noté que la principale justification invoquée par Israël pour l’usage d’armes létales est le fait que les « terroristes », une fois la frontière passée, pourraient s’en prendre aux civils israéliens.
Nous ne sommes pas dans « Minority Report » et Netanyahu est loin de ressembler à Tom Hanks… Personne n’envisage d’abattre les migrants qui accèdent à la France au motif que dans ce flux se dissimulent des fanatiques qui veulent effectuer des attentats.
Et il me plait de croire que les gens ne vont pas à la mort par plaisir…
Je vous souhaite une belle journée.
Que pensez-vous qu’il se passera si une brèche est ouverte ? après tous les morts dans cette foule chauffée à blanc ? qu’ils vont rentrer en Israël, tranquillement, regarder à droite à gauche façon « j’y étais » et retourner sagement à Gaza ? L’armée devrait-elle selon vous les laisser rentrer et attendre de voir ce qui adviendra ? Il ne fait aucun doute au contraire que des milliers de vies sont sauvées à chaque jour que la frontière est gardée intacte. A ce titre,comparer ‘nos’ migrants avec les palestiniens voulant pénétrer en Israël par la force me semble prendre certains libertés avec la réalité.
« » Et il me plaît de croire que les gens ne vont pas à la mort par plaisir… « » à part cette expression ampoulée et non sans quelque prétention, tout musulman va vers la mort avec joie pour avoir accès au paradis d’Allah : les vierges et l’alcool… Mais cela impose de connaître le sujet !
PS J’ai rectifié votre faute d’orthographe.
Zot, s’il n’y avait pas eu de morts dans cette foule (et si Israël n’occupait pas de manière illégale de grandes superficies de territoires palestiniens), la foule en question n’aurait pas été « chauffée à blanc ».
Par ailleurs, avant d’employer des moyens létaux, il aurait parfaitement été possible d’équiper l’intégralité de la frontière avec des canons à eau télécommandés, et de ne tirer à balle réelle que sur ceux qui auraient réussi à passer.
Philvar: merci pour la correction.
Quant au reste… Je doute que les émirs, ou d’ailleurs n’importe quel habitant du Qatar serait prêt à aller à la mort pour accéder au paradis d’Allah. J’ai pour ma part eu l’occasion de discuter avec des palestiniens aisés, et je suis certain que votre affirmation ne les concerne pas.
Quand on réduit la majorité d’une population à la misère, et que les plus riches ont foutu le camp, la perspective d’un lendemain doré dans l’au-delà a bien plus de force que lorsque l’on vit une vie normale.
Et, en matière de prétention, concernant votre poncif sur la religion musulmane, je vous invite à lire ce qu’en écrit Naveed Sheikh, plutôt que d’affirmer péremptoirement que je ne connaitrais pas le sujet. Le crime essentiel de l’Islam serait plutôt à regarder sous le prisme de l’esclavage, mais c’est un autre débat.
« (et si Israël n’occupait pas de manière illégale de grandes superficies de territoires palestiniens) »…
Quels territoires ? Appartenant à qui ? Sur décision de qui ?… Relisez (attentivement) l’histoire depuis la résolution de l’ONU du 29 novembre 1947.
Ensuite, nous pourrons reprendre cette discussion sur des bases factuelles, et pas sur des fantasmes.
Alex, je vous invite à aller consulter la résolution 2334 du 23 décembre 2016 du Conseil de Sécurité de l’ONU…
Franchement, cette manie que les israéliens (et les juifs militants en France pour Israël) de vouloir refaire l’histoire est puérile.
il manquait un « ont » dans ma phrase…
sans tomber dans le conspirationisme,vous etes vous demander par qui et comment ces foules etaient envoyees au casse pipe.Meme si c est une evidence?
vous a t on parlé du bareme,pour une jambe,un bras,une poitrine,un visage,atteints,proposé par le hamas?Sans compter les menaces aux hésitants et les éxécutions des récalcitrants.
lol pas plus tard que le commentaire précédent, on m’accusait de fantasmer.
Où sont les articles de presse couvrant des exécutions de civils à Gaza, par le Hamas? Réponse: nulle part. Pour autant, j’ai vu il y a deux jours un reportage sur un gazaoui qui quittait la ville pour l’Égypte, car il en avait marre de la pauvreté. Il y a donc des journalistes internationaux sur place, qui ne manqueraient donc pas de rapporter de telles exactions.
Quant à l’indemnisation que vous évoquez comme si elle était un crime, je sais qu’elle existe, mais une question… les militaires israéliens qui sont blessés ne bénéficieraient pas d’une aide de leur état, peut-être?
Si les palestiniens par l’entremise du Hamas sont d’horribles provocateurs pourquoi entrer dans leur jeu?
Parce que.ces foules, que le hamas force et rend enragees, a la fois pour les detouner de lui, car il(le hamas) n est plus en odeur de sainteté dans la bande de gaza ,et perpétrent des massacres dignes de Daesh.
Madame,
Les lignes écrites au vitriol et votre fausse naïveté me laissent pantoise. Rappelez-vous que la haine engendre la haine. Voilà 70 ans que le peuple palestinien vit, écrasé, humilié, sans patrie et encore un peu, sans mémoire, sans nom. Les nations hypocrites laissent faire. D’une part ils déplorent d’un ton hypocrite et de l’autre ils détournent le regard laissant les israéliens et leurs souteneurs accomplir leur travail de sape: une civilisation que l’on étouffe petit à petit, une histoire qui se gomme, des traces que l’on efface. David avait lutté seul contre Goliath, avec une simple fronde. Il a été oint roi et son nom est désormais le symbole de la nation d’Israël. Mais aujourd’hui le philistin remplace le jeune d’alors et lutte contre le géant Goliath avec de simples pierres; mais le monde entier l’insulte et crie au scandale. Le petit, à qui on a volé l’enfance, qui a vu la pauvreté et l’humiliation de ses parents, se transformera en « ado fanatisé et formé aux techniques de guérilla dans les camps d’été du Hamas » et peu importe si cet « enfant soldat » ne représente « qu’une perte négligeable pour le groupe armé qui l’emploie comme chair à canon ». Il le sait bien. Il en est fortement conscient même, mais il a désormais si peu à perdre! Dans la mentalité Moyen-Orientale, il doit au moins sauver son honneur et puis, ne savons-nous pas que les peuples cousins partagent pas la même mentalité? N’ont-ils pas fait leurs les mots de Samson s’adossant aux piliers du temple de Baal?: « Sur moi et sur mes ennemis »?
Et blablabla et bla-bla-bla. On croirait entendre un journaliste de France Inter.
Dans votre discours formaté et hémiplégique, vous oubliez de dire que les Palestiniens n’ont jamais eu d’état avant 1947. Que l’étatd’Israël est légitime et reconnu par les Nation Unis, que les Arabes ont toujours étaient en guerre contre Israël, que toutes les solutions proposées pour la création d’un état palestinien ont échoué en raison de l’intransigence des mouvements politique palestiniens totalitaires, que toute concession d’Israël comme le retardait de Gaza ou du Liban est immédiatement exploité par les Arabes pour bombarder Iraël, que toute population non musulmane dans le monde musulman vit l’enfer.
Il faut d’abord évacuer quelques banalités : non, Israël n’est pas irréprochable, et personne ne saurait se satisfaire d’une situation de laquelle des gens y laissent leur peau, surtout des enfants et ce depuis plusieurs décennies.
Ceci dit, le regard est différent selon qu’il soit porté par un pays de l’UE, notamment la France droit de l’hommiste en diable, ou un pays hors Europe.
La France, pour ne citer qu’elle, a abandonné sa souveraineté à l’UE, dès lors, il nous est impossible de comprendre qu’un pays puisse défendre ses frontières par la force. Un américain ou un chinois n’aura absolument pas le même avis critique sur la situation à Gaza.
La cruelle vérité, c’est qu’Israël n’a pas le choix, ou plutôt si : combattre ou disparaître.
Pour illustrer mes propos, convoquons Michel Onfray, un extrait de son ouvrage « Décadence », auquel il est parfaitement possible de remplacer le terme « civilisation » par « pays » ou « nation ».
« Une civilisation lutte d’abord contre ce qui la met en péril. Elle n’existe qu’autant qu’elle a raison de ce qui la menace et veut sa fin. Dès qu’elle naît, elle fait face à ce qui veut l’abolir. Pour s’installer elle doit s’imposer; pour s’imposer, elle doit conquérir. Toute civilisation est d’abord le fait de barbares.
Une civilisation n’existe qu’en répondant de façon adéquate à ce qui met sa vie en péril. tant qu’elle riposte et pulvérise ce qui cherche sa mort, elle vit; quand elle n’a plus les moyens de répliquer, elle meurt. Plus sa force est grande, plus elle vit longtemps, sauf si une force plus grande en a raison.”
[Michel ONFRAY]
C’est ce que l’on nomme être « tragique », ni optimiste, ni pessimiste, mais réaliste…
Toutes les infos contredisent la propagande des hamasnikim et de leurs idiots utiles. Il n’est qu’à lire les fils de commentaires sur les sujets proposés par Causeur. Mais pour ça il faudrait accepter de voir les faits, ce qui demande courage et intégrité. Je ne me fais pas trop d’illusions.
Gaza est un nouveau ghetto à ciel ouvert, fermé de toutes parts, comme le ghetto de Varsovie. Quel dirigeant Israelien va se présenter comme successeur de Hans Frank, le « gérant » de Varsovie ( qui a été pendu à Nuremberg ) pour prendre la responsabilité du ghetto de GazArsovie ?
Essayer de transférer la culpabilité européenne sur Israël est odieux mais les musulmans ont compris l’intérêt qu’ils avaient à faire ça et les européens à s’en nourrir
l’Europe à un gros problème avec Israël
» alors, pourquoi les médias sont-ils globalement pro-palestinens ? »
Affirmation absolument gratuite
« la fumée dégagée, noire, épaisse et grasse (manifestement des pneus qui brûlent) rend impossible l’identification des éventuels assaillants par les tireurs et explique sans doute en grande partie la présence d’enfants parmi les victimes. »
Autre affirmation absolument gratuite
« Un ado fanatisé et formé aux techniques de guérilla dans les camps d’été du Hamas est certes « un enfant ». Mais c’est un enfant soldat. Autant dire qu’il représente un réel danger pour l’ennemi »
Les manifestants palestiniens étaient armés ? les enfants palestiniens étaient armés ? Je n’ai vu nulle part que c’était le cas. Dire qu’il y avait des enfants soldat représentant un réel danger pour les soldats israéliens abrités derrière la frontière me semble donc encore une affirmation gratuite
Bref, pour un blog qui prétend décrypter l’information, cet article est un désastre.
Les soldats, comme partout, font leur boulot ; ici il s’agit de défendre la frontière et d’interdire à une bande fanatisée de tuer des civils s’ils arrivent à entrer. Les choses sont moins simples et les avis divergeants ne sont que le reflet de certitudes conditionnées.
On peut surtout remercier Trump pour ce carnage. Curieux que personne ici n’évoque le véritable coupable…
http://www.liberation.fr/planete/2018/05/14/trump-s-installe-a-jerusalem-au-moins-59-morts-a-gaza_1650091
Bel article qui correspond pleinement avec le décryptage des images et des déclarations qui est le mien.
Ce que tente le hamas est la même stratégie utilisée par le FLN en Algérie en 1956 lors des massacres de Philippeville : lancer une foule fanatisée contre l’ennemi décrété afin de lui infliger de lourdes pertes et / ou de provoquer des représailles et s’attirer ainsi la sympathie des « progressistes ».
Si l’attaque échoue, l’on affiche les « martyrs » ; si elle réussit, on célèbre sa victoire.
Il faudrait tout de même que nos antisioniste ( pour ne pas dire plus) patentés se souviennent que Gaza n’est pas un Ghetto mais un territoire cédé par Israël à l’Autorité Palestinienne.
Si la situation économique y est désastreuse, ceci n’est pas du fait d’Israël mais de la corruption qui gangrène la société palestinienne et des exactions du Hamas qui préfère que l’argent généreusement déversé par « la communauté internationale » serve à creuser et aménager des tunnels propices à l’infiltration de terroristes ou à bricoler des roquettes pour agresser les villages israéliens se trouvant à leur portée.
« Ce que tente le hamas est la même stratégie utilisée par le FLN en Algérie en 1956 lors des massacres de Philippeville »
Il semblerait en tout cas que ce type de stratégie fonctionne. Rassemblez vos troupes (ou ce qu’il en reste).